On n’analyse jamais la beauté des actrices, on ne les envisage jamais sous le côté purement plastique, se plaint-il au début. […] Taglioni était d’une autre génération que Théo, le début du poète correspondait à l’apogée de l’actrice. […] Il fallait que la fiction s’identifie complètement à l’être intime de l’actrice.