Le danseur, par la même raison, doit se servir de tous les doigts de ses pieds, comme d’autant de branches, dont l’écartement sur le sol, augmentant l’espace de son appui, affermit et maintient son corps dans l’équilibre juste et convenable ; s’il néglige de les étendre ; s’il ne mord en quelque façon la planche, pour se cramponner et se tenir ferme, il s’ensuivra une foule d’accidents. […] Afin de rendre cette attitude encore plus gracieuse pour un danseur, on doit étendre le bras gauche qui tient le caducée ; en enlevant cet angle que produit l’action du bras, cela rend la pirouette beaucoup plus agréable.