/ 154
1 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
n-Jacques Rousseau Chanter, c’est faire différentes inflexions de voix agréables à l’oreille, et toujours correspondante
On a fait un art du chant ; c’est-à-dire que des observations sur des voix sonores qui chantaient le plus agréablement, on a
’y en a point qui en donnant une suite d’inflexions différentes de la voix , ne chante ; parce que quelque mauvais que soit l
pendante de celle de l’articulation des paroles. Voyez Expression. La voix d’ailleurs est un instrument musical dont tous le
se servir sans le secours de maîtres, de principes ou de règles. Une voix sans agrément et mal conduite distrait autant de
te distrait autant de son propre ennui la personne qui chante, qu’une voix sonore et brillante, formée par l’art et le goût.
, qu’une voix sonore et brillante, formée par l’art et le goût. Voyez Voix [Article de Rousseau]. Mais il y a des personnes
paraît. Voyez Chant, Chanteur, Maître à chanter [Article non rédigé], Voix [Article de Rousseau]. Le poème entier d’un opér
t à l’articulation, et en donnant les plus beaux sons possibles de sa voix . Voyez Débit, Temps [Article de Rousseau], Déclam
jamais d’accord avec les choses qu’elle devait exprimer ; et pour une voix propre à la déclamation, des sons durs, presque t
l’article Récitatif [Article de Rousseau]. (B) Effort Effort, ( Voix .) défaut qui est dans le Chant, le contraire de l
t les cris au théâtre de la Comédie Française. Le volume, les grandes voix sont à-peu-près tout ce qu’applaudit la multitude
médiocres crient pour lui plaire, les chanteurs communs forcent leurs voix pour le surprendre. On reviendra tôt ou tard, en
prendre. On reviendra tôt ou tard, en France, de l’erreur des grandes voix  ; mais il faut attendre que le chant du théâtre a
essera d’être lourd, il faudra bien qu’on croie qu’il n’y a de vraies voix que celles qui sont légères. Voyez Récitatif [Art
ousseau], Légèreté [Article non rédigé]. (B) Egalité Egalité, ( Voix .) c’est une des qualités les plus essentielles la
Egalité, (Voix.) c’est une des qualités les plus essentielles la voix . Il n’en est point qu’on puisse appeler belle, si
efois l’exagère, n’a pas encore porté en France la manie de forcer la voix humaine par delà les sons qui constituent sa beau
n’a pas raidi. Voyez Maître à chanter [Article non rédigé], Etendue, Voix [Article de Rousseau]. (B) Etendue Etendue
é], Etendue, Voix [Article de Rousseau]. (B) Etendue Etendue, ( Voix .) La nature a donné à la voix humaine une étendue
Rousseau]. (B) Etendue Etendue, (Voix.) La nature a donné à la voix humaine une étendue fixe de tons ; mais elle en a
lus ou moins de force, plus ou moins de douceur, etc. le volume de la voix qui le forme, est ou large ou étroit, lourd ou lé
[Article de Rousseau]. Or dans toutes ces différences il y a dans la voix bien organisée qui les produit, un nombre fixe de
ble. Lorsque le chant est devenu un art, l’expérience a décomposé les voix différentes de l’homme, pour en établir la qualit
que la nature, et voici la division qui leur sert de règle. Dans les voix des femmes, le premier et le second dessus : ce d
bas-dessus. On donne le même nom et on divise de la même manière les voix des enfants avant la mue. Voyez Mue [Article non
es voix des enfants avant la mue. Voyez Mue [Article non rédigé]. Les voix d’homme sont tailles ou hautes-contre, ou basses-
France dans la composition de notre musique vocale, que six sortes de voix , deux dans les femmes, et quatre dans les hommes.
lui de la clé ; ce qui fait diatoniquement onze tons. Cette espèce de voix est très rare ; on en donne mal à propos le nom à
nom leur donner. Je dois au surplus avertir que je parle ici, 1° des voix en général : il y en a de plus étendues ; mais c’
s conséquence. 2° Qu’en fixant diatoniquement l’étendue ordinaire des voix , on les suppose au ton de l’opéra, par exemple. I
dessus ; ce qui fait diatoniquement dix tons et demi. Cette espèce de voix est la plus ordinaire à l’homme ; on s’en sert pe
ette expression, en fait une seconde différence. On fait usage de ces voix dans les chœurs ; elles remplissent et soutiennen
a déjà dit que le concordant et le fausset étaient regardés comme des voix bâtardes et inutiles. Le premier est une sorte de
n a abusé de nos jours de l’ignorance de la multitude à l’égard d’une voix très précieuse que nous avons perdue. On veut par
erte en France à l’art de nos Musiciens. Ce chanteur parcourait d’une voix égale et aisée, plus de tons que n’en avaient enc
oix égale et aisée, plus de tons que n’en avaient encore parcouru nos voix de ce genre les plus vantées. Il avait de plus un
-être en effet n’était-il que médiocre dans ces parties ; mais quelle voix  ! et il faut premièrement chanter, et avoir de qu
ement chanter, et avoir de quoi chanter à l’opéra. Le fausset est une voix de dessus factice ; elle parcourt avec un son aig
ctice ; elle parcourt avec un son aigre les mêmes intervalles que les voix de dessus. Il y a des chanteurs qui se le donnent
x de dessus. Il y a des chanteurs qui se le donnent, en conservant la voix qu’ils avaient avant la mue. Voyez Mue [Article n
nt la mue. Voyez Mue [Article non rédigé]. D’autres l’ajoutent à leur voix naturelle, et c’est une misérable imitation de ce
usage a prévalu sur l’humanité ; une opération barbare y produit des voix de dessus, qu’on croit fort supérieures aux voix
arbare y produit des voix de dessus, qu’on croit fort supérieures aux voix que la nature a voulu faire ; et de ce premier éc
. On a vu plus haut quelle est l’étendue déterminée par la nature des voix de dessus. Les musiciens d’Italie ont trouvé cett
vé cette étendue trop resserrée ; ils ont travaillé dès l’enfance les voix des castrati, et à force d’art ils ont cru en éca
e d’art ils ont cru en écarter les bornes, parce qu’ils ont enté deux voix factices et tout à fait étrangères, sur la voix d
qu’ils ont enté deux voix factices et tout à fait étrangères, sur la voix donnée. Mais ces trois voix de qualités inégales,
actices et tout à fait étrangères, sur la voix donnée. Mais ces trois voix de qualités inégales, laissent toujours sentir un
t qui par conséquent dépare toujours la nature. L’étendue factice des voix procurée par l’art, ne pouvait pas manquer d’exci
ion des femmes, qui se destinant au chant, n’avaient cependant qu’une voix naturelle. Dès qu’un dessus artificiel fournissai
rescrites par la nature, se trouvaient bien plus à leur aise avec des voix factices, qui leur donnaient la liberté de se jou
ons beaucoup plus extraordinaires et infiniment moins difficiles. Les voix de femme, si bien faites pour porter l’émotion ju
Italie), si elles n’avaient eu l’adresse et le courage de gâter leurs voix pour s’accommoder aux circonstances. Ainsi à forc
à force d’art, de travail et de constance, elles ont calqué sur leurs voix plusieurs tons hauts et bas au-dessus et au-desso
es, soumis à des lois, ne peut être qu’un embellissement du son de la voix humaine ; et ce son de la voix n’est et ne doit ê
être qu’un embellissement du son de la voix humaine ; et ce son de la voix n’est et ne doit être que l’expression du sentime
, tel que la nature l’a donné, ne puisse rendre. Puisque le son de la voix (ainsi qu’on l’a dit plus haut, et qu’on le prouv
l’homme, les différents tons qui composent l’étendue naturelle de sa voix , sont donc relatifs aux différentes expressions q
L’humanité, la raison, la religion, sont également outragées par les voix factices, qu’on fait payer si cher aux malheureux
nourrit, et qui les porte. Voyez Egalité, Son [Article de Rousseau], Voix [Article de Rousseau], Maître à chanter [Article
Grasseyer, Grasseyement. (B) Grasseyement Grasseyement, s. m. ( Voix .) Défaut de l’organe qui gâte la prononciation or
ice qui aurait peut-être distrait les spectateurs de ce défaut, si sa voix avait secondé son talent. Elle arriva un jour sur
seyement emploie sont étrangers à celui que forment pour rendre R les voix sans défaut. Sur le théâtre on ne passe guère ce
s supérieurs, qui ont l’adresse de le racheter ou par la beauté de la voix , ou par l’excellence de leur jeu. Telle fut la cé
t moins désagréable. (B) Grasseyer Grasseyer, v. neut. (Chant. Voix .) C’est changer par une prononciation d’habitude
par une prononciation d’habitude ou naturelle, le son articulé de la voix  : ainsi on grasseye, lorsqu’on prononce les c, le
es enfants, on ne peut trop veiller à la correction des défauts de la voix , de la prononciation, et du ton que leurs organes
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
u des sensations au premier moment qu’il a respiré, et les sons de la voix , le jeu des traits du visage, les mouvements du c
uls les expressions de ce qu’il a senti. Il y a naturellement dans la voix des sons de plaisir et de douleur, de colère et d
s outrées, nous sont cependant aussi naturels que le geste même et la voix . L’un et l’autre ne sont en effet, que les instru
éveloppe c’est la Nature primitive qui se peint dans les sons de leur voix , dans les traits de leur visage, dans leurs regar
se forme la Danse, comme on apprend à chanter, quoiqu’on ait dans la voix tous les sons dont se forme le chant ; parce qu’o
3 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IV » p. 136
À mon gré, la symphonie seule n’y suffit pas. J’y voudrais aussi des voix récitantes et des chœurs. Il y faudrait le goût l
toujours de pauvres hères et toujours ridicules. On entend mieux les voix , quand on ne voit point les corps. S’il dépouille
ime, pour la meilleure part, est le concert mimé que je veux dire. La voix mérite bien qu’on la traite enfin comme un incomp
re plus ou moins mystique. Les beaux mimes faisant voir l’action, les voix invisibles faisant entendre les sentiments et les
4 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
grace an corps et aux gestes ; elle règle toutes les infléxions de la voix , et les mouvemens de la tête, St. Augustin a adop
, et les préceptes ne sont que des observations. Les infléxions de la voix , dans le discours, me paraissent encore étrangère
et en semi-tons, pour que l’instrument fut toujours d’accord avec la voix et la fortifiât. Il paroit que l’usage des orateu
i-tons pouvoient donc guider, et trois ou quatre nuances, (telles que voix basse, voix naturelle, voix élevée, voix très-for
ient donc guider, et trois ou quatre nuances, (telles que voix basse, voix naturelle, voix élevée, voix très-forte, suffisoi
, et trois ou quatre nuances, (telles que voix basse, voix naturelle, voix élevée, voix très-forte, suffisoient pour donner
quatre nuances, (telles que voix basse, voix naturelle, voix élevée, voix très-forte, suffisoient pour donner les inflexion
nguoient les troupes en chantant ; car parler à haute et intelligible voix , n’est pas chanter. Ne seroit-ce pas encore une m
acteur ; si je compare le son de ce frêle instrument avec celui de la voix qui sortoit avec fracas du cornet adapté à l’enor
oportions ; sa tête enveloppée dans une seconde tête monstrueuse ; sa voix métamorphosée en voix de Stentor ; ses bras paral
veloppée dans une seconde tête monstrueuse ; sa voix métamorphosée en voix de Stentor ; ses bras paralisés pas l’établisseme
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
excellence Devant cette noble Éminence. Ces deux Filles qui par leurs voix Ont charmé la Cour tant de fois, Savoir Mademoise
ans le Ballet, Remplis d’agréables mélanges, Que, certainement, leurs voix d’Anges Furent dans ces contentements Un des plus
6 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
des faits qui prouvent que les Oracles s’énonçoient par l’usage de la voix , si on pouvoit donner quelque créance aux Auteurs
pereur Tibere, semble encore prouver que les Démons ont l’usage de la voix  ; joint à ce que dit Aristote, que dans l’une des
es prodiges extraordinaires : entre autres on entendoit les nuits des voix qui sortoient de dessus les travaux, qui faisoien
s les travaux, qui faisoient des mugissemens épouventables ; d’autres voix qui sortirent du fond du canal, dont les tons éto
de les recommencer le lendemain, quoiqu’on entendît encore les mêmes voix de ces esprits souterrains pendant toute la nuit,
ogie sécrete, attribuent ces événemens singuliers & ces sortes de voix aux Esprits élémentaires. Ainsi les Esprits accou
Ainsi les Esprits accoutumez aux fables croiroient volontiers que les voix que l’on entendit la nuit sur le canal, sont cell
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
à ma stupéfaction, j’entendis, comme si c’était celle d’une autre, ma voix qui disait d’un ton ferme : — Voilà, monsieur. Je
vous, et où jouez-vous ? Ici le ton perdit de son assurance, quand la voix reprit : — Vous ne devez pas connaître mon nom, m
st pâle,… parce qu’elle a peur ! — Et vous, avez-vous peur aussi ? La voix ferme reparut : — Non, monsieur. Il me regarda, u
t de quitter l’atmosphère de la scène. Tandis que je m’en allais, une voix d’or — la voix d’or — se mit à résonner, disant d
atmosphère de la scène. Tandis que je m’en allais, une voix d’or — la voix d’or — se mit à résonner, disant des mots que je
nt j’ai oublié les noms, tant ma pensée était pleine d’elle seule. Sa voix sonnait dans mes oreilles. Je ne comprenais pas u
ait de tirer. Elle les regarda lentement l’une après l’autre… puis sa voix  ; sa voix d’or éclata dans les notes aiguës et me
er. Elle les regarda lentement l’une après l’autre… puis sa voix ; sa voix d’or éclata dans les notes aiguës et me désespéra
8 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
la haute-contre doit être l’amant favorisé, elles disent que c’est la voix du cœur ; des sons mâles et forts alarment sans d
encore du sentiment pour prouver que la haute-contre ne fut jamais la voix du cœur. Voyez Haute-Contre [Article de Barthez].
les imaginer, que déployer ses organes, et fixer l’expression dont la voix est capable, par des paroles dont le sens annonçâ
arque, de Plutarque, et d’Artemon, chantaient ensemble et d’une seule voix les louanges de la divinité : ainsi ces chansons
ne peut montrer qu’un très mauvais goût ; car outre qu’il faut que la voix excède et passe de beaucoup sa juste portée pour
prodiguent à la vérité les vitesses dans les roulades ; mais quand la voix a quelques syllabes à articuler, ils ont grand so
hant, s. m. (Musique.) est en général une sorte de modification de la voix , par laquelle on forme des sons variés et appréci
chant : il paraît aussi que les diverses inflexions qu’on donne à sa voix en parlant, forment des intervalles qui ne sont p
on appelle partie de chant toutes celles qui sont destinées pour les voix . Chant se dit aussi de la manière de conduire la
nnées par la nature. Voyez Geste. C’est par les différents sons de la voix que les hommes ont dû exprimer d’abord leurs diff
ord leurs différentes sensations. La nature leur donna les sons de la voix , pour peindre à l’extérieur les sentiments de dou
naturel de croire que le chant des oiseaux, les sons différents de la voix des animaux, les bruits divers excités dans l’air
e des eaux, servirent de modèle pour régler les différents tons de la voix . Les sons étaient dans l’homme : il entendit chan
ensations et son instinct le portèrent à l’imitation. Les concerts de voix furent donc les premiers. Ceux des instruments ne
ne seconde imitation : car dans tous les instruments connus, c’est la voix qu’on a voulu imiter. Nous en devons l’invention
prétendez lire, vous lisez mal : vous chantez. Les inflexions de la voix des animaux sont un vrai chant formé de tons dive
uments d’ailleurs n’ayant été inventés que pour imiter les sons de la voix , il s’ensuit aussi que la Musique instrumentale d
e complète, à quatre parties ou plus, chanté à la fois par toutes les voix , et joué par tout l’orchestre. On cherche dans le
avec Jean-Jacques Rousseau Concert, s. m. (Musique.) assemblée de voix et d’instruments qui exécutent des morceaux de mu
l’unisson ou à l’octave. (S) On fait des concerts d’instruments sans voix , dans lesquels on n’exécute que des symphonies. D
de Paris, les actrices de l’opéra les plus goûtées du public, et les voix de la chapelle et de la chambre du Roi les plus b
d’une chanteuse de concert, c’est un beau dessus, pour dire une belle voix de dessus. Les chœurs de femmes à l’opéra sont co
e qu’ils purent trouver de musiciens à Paris, et ils firent venir des voix du Languedoc pour former l’établissement de l’opé
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
n mal extrême. Il est consolé, toutesfois, Par Dame Echo, de qui la voix Lui répond qu’il faut qu’il espère, Et qu’Amour l
fait les Chants, Tout de même, en très-peu de temps. Leviez, dont la voix est plus belle Que n’est celle de Philomelle, Y r
t, pour vous le dire, enfin, La jeune, et mignonne Turpin, Qui par sa voix , et par sa grâce, Tous les autres Chantres, surpa
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
une est cet Amour Féminin,157 Dans un âge tout enfantin, Qui, par sa Voix , et par son geste, Et sa grâce toute céleste, Vou
elle prestance, Et, bref, les agitations, Et toutes les inflexions De voix , et de corps, nécessaires, Dedans les Théâtraux M
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
pas, On ouït, soudain, l’harmonie D’une Angélique symphonie De douces Voix et d’instruments ; Et durant ces divins moments,
rs, Auteur prisé dans l’Univers ; Et que Mademoiselle Hilaire Dont la voix a le ton de plaire, Et le sieur Le Gros, mêmement
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 14 septembre : L’Amour médecin — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre en vers du 20 septembre 1665 »
jeu fut mêlé d’un Ballet, Qui fut trouvé drôle, & follet : Et des Voix pleines de merveilles56 Ravirent toutes les orei
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
e la parole et un grand Chanteur par les différentes inflexions de la voix . On était heureux dans ce temps d’avoir de pareil
a Pythie ne parle plus de nos jours ; ou si elle ose parler, c’est la voix qui crie dans le désert. Tout le monde est sourd,
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 juillet 1661 »
d’argent brilleront, Pour les Danseurs qui danseront, Pour les belles Voix ordinaires, Et pour tous les Instrumentaires. S
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IX. Des Actions convenables à la Danse Théâtrale »
le de les traiter. Or le geste peut peindre avec grâce tout ce que la voix peut exprimer. Toutes les actions dont le Théâtre
16 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
t un autre chargé de la gésticnlation. C’est donc à une extinction de voix que les Romains dûrent ce changement bizarre ; c’
étoit d’airain, mais soit que la résonnance de ce métal répercutât la voix désagréablement, soit qu’elle lui prêtât trop d’é
non pas si laids ; ils servoient à de jeunes acteurs, qui avoient une voix douce et agréable ; car il n’est fait aucune ment
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
Et chacun volontiers dit chût Lorsque cette aimable Déesse, Avec une voix charmeresse, Ses dignes Maximes chanta, Par qui l
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
touchaient des airs, Et les accords des doux concerts, S’unissant aux voix sans pareilles, Charmaient les cœurs et les oreil
19 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
efois pour nous annoncer ses volontez sur la terre, par l’usage de la voix ordinaire, ou mélodieuse, comme celle que l’on en
ns nous devons soumettre notre jugement, par rapport aux effets de la voix & de la Musique céleste, qui passe pour être
prétend que le corps humain est un instrument harmonieux, orné d’une voix fléxible & sonore, composé de la main de Dieu
20 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
nstitue l’intonation parfaite, l’accent propre à l’organisation de la voix  ; comme un instrument chargé d’une infinité de co
ie sur la conformation de l’organe qui opère les différens sons de la voix . On me dira, sans doute, que cette comparaison n’
n’a rien de relatif à l’acteur pantomime, puisqu’il doit parler sans voix  ; je répondrai que ses gestes, le jeu varié de sa
21 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24
la Poësie, ie n’appelleray point à tesmoin vn Arion qui au son de sa voix & de sa lire fist iadis danser ce Dauphin qui
té, ie dis & sacrez & profanes, ont honoré la danse, & de voix & de pratique. Ceux là me fourniroyent vne mu
as la Danse, disent-ils, pour ses pas & ses mesures, autrement la voix & la Musique courroient la mesme fortune, mai
pratiquent auiourd’huy. Ie dis ceux : pource que ie ne puis donner ma voix à l’inconsideration de plusieurs, qui poussez de
magination plaine de quelque science, il se peut faire entendre ou de voix ou d’escrit, sinon à tous, pour le moins à ceux d
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
pectacle succéda au premier. C’est une action ingénieuse, qui sans la voix , sans avoir besoin du discours a tous les caractè
actions qu’on voyait. Les gestes seuls suppléaient à la douceur de la voix , à l’énergie du Discours, au charme de la Poésie5
23 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
t en entendant les rires elle leva la main droite et dit à très haute voix  : « Chut !… Taisez-vous, je vais réciter ma poési
t regardai le public, je fis une belle révérence, et commençai, d’une voix qui résonna par toute la salle. Je débitai le pet
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
bitans oisifs de la capitale. Le jour 18. étoit consacré à mettre aux voix et à résoudre une grande question ; il s’agissoit
ent l’assemblée et lui portoient trop d’ombrage. La question mise aux voix , les opinions se partagèrent, les débats furent v
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
ts, Si doux, si gais et si galants, On ouït de l’aimable HILAIRE La voix mélancolique et claire, Qui flattait l’oreille et
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
ce Spectacle sont ouis, Où, certes, l’admirable HYLAIRE Charme par sa voix nette et claire. ORPHÉE, ou BAPTISTE, pour lui (C
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
s lui, la Vie N’est pas un Bien digne d’envie. On fut ravi des belles Voix Qui chantaient ses divines Loix.126 Force Masque
28 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
se qui brûlait lorsqu’on les regardait fixement. Quand il parlait, sa voix était celle d’un vieillard et ses yeux démentaien
arlait, sa voix était celle d’un vieillard et ses yeux démentaient sa voix . Il ne m’avait jamais donné que d’excellents cons
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
ivent, que dans les climats plus heureux qu’elle rend florissants. La voix de Médicis les rappela en Italie, et ils y accour
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
toucher les plus endurcis, Animés des douceurs divines De deux rares voix féminines, Qui sont (comme j’ai dit un jour) Les
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
e douceur surtout apparaît. Le pas est doux, les gestes sont doux, la voix est douce, infiniment douce. Tout est doux. Il vo
e « l’Œuvre ». Rodin poussa lentement la porte du temple, puis, d’une voix douce, il nous dit d’entrer. Là vraiment le silen
32 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
chaque être particulier ? Dieu a autrefois fait entendre du ciel une voix par laquelle il a dit de Jésus-Christ : (Matth. 1
ssions excitoient en lui un bruit qui l’empêchoit d’entendre la douce voix de la vérité. « Je prêtois pourtant, ajoute-t-il,
is bien voulu me voir près de l’Epoux, et avoir la joie d’entendre sa voix  ; mais les fougues de mon orgueil, qui, en pensan
sedet, sed in terrâ loqui non cessat.  » « Ne soyons pas sourds à sa voix  : Nos non simus surdi.  » « Vous ayant laissé l’E
épris de sa règle. Mais que dirons-nous donc de ceux qui méprisent la voix de leur pasteur, sans y avoir égard ; qui s’expos
mps consacré au démon, il ne tombe sous sa puissance ; il obéira à la voix de son pasteur, il fera pénitence de sa faute s’i
nitence de sa faute s’il ne lui a pas obéi, et il n’écoutera point la voix du serpent qui veut le séduire. Ceux qui ont rech
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
avirent. Ô Que l’on fut bien diverti Par l’aimable Bergeroty, Dont la voix est mignonne et claire, Et par Mademoiselle Hilai
34 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
a pas semé. Aussi, quoique le peuple Juif résistât opiniâtrément à la voix des Prophètes, Dieu ne laisse pas de dire à Isaïe
laisse pas de dire à Isaïe : Criez sans cesse, faites retentir votre voix comme une trompette ; annoncez à mon peuple les c
35 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
de la danse comme un jargon qui leur est absolument étranger : leurs voix doivent être touchantes ; c’est toujours au cœur
u petit nombre. Les arts sont de tous les pays ; qu’ils empruntent la voix qui leur est propre, ils n’auront pas besoin d’in
ébranler l’âme, ils cessent dèslors d’être aimables et de plaire : la voix de la nature et l’expression fidelle du sentiment
jambes pour être danseur, de la mémoire pour être comédien, et de la voix pour être chanteur, en partant d’un principe auss
36 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
de la Danse comme un jargon qui leur est absolument étranger ; leurs voix doivent être touchantes, c’est toujours au cœur q
u petit nombre. Les Arts sont de tous les pays ; qu’ils empruntent la voix qui leur est propre, ils n’auront pas besoin d’in
ler l’ame ? ils cessent dès-lors d’être aimables & de plaire ; la voix de la nature & l’expression fidelle du sentim
es pour être Danseur ; de la mémoire pour être Comédien ; & de la voix pour être Chanteur. En partant d’un principe auss
37 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
j’aime ! J’ai dormi deux heures, après quoi j’ai été réveillé par des voix qui partaient d’assez loin, mais que le brouillar
place, disparaissaient et reparaissaient de nouveau. Une horloge à la voix lamentable sonnait lentement minuit. Je n’étais p
illé à demi, j’ai ouvert la fenêtre et j’ai entendu distinctement les voix qui se passaient de l’une à l’autre de loin en lo
des flambeaux au pied de la montagne. J’étais curieux de cet effet de voix et de lumières dans les nuages. Je résolus d’alle
38 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
ère, Étant leur très humble Valet : Mais, pour revenir au Ballet, Les Voix douces et naturelles De quatre aimables Demoisell
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
, À se donner lui-même en spectacle aux Romains, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [Voir Fêtes de la Cour de Fr
qui frappent leurs yeux, par l’expérience de tous les siècles, par la voix intérieure qui crie sans cesse dans le fond de le
40 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
ise pour retourner vers l’empire des morts ; Nourrit, converti par la voix de Dieu, par les prières d’Alice, devait, au cont
théâtre, bien entendu, — s’avança sur le bord de la rampe, et, d’une voix émue, mais ferme : — Rassurez-vous, messieurs, di
l faisait faire les tuyaux en question. — Où ? demande M. Véron d’une voix formidable. — Rue Nicolas-Flamel. On repart pour
chanteur, Nous appelant encor de tes lèvres dorées, Car ta danse a la voix et l’âme du chanteur ! *** Vinrent ensuite la ma
arts. Dès sa première enfance, Carlotta Grisi chantait et dansait. Sa voix n’était pas moins légère que sa personne. — Quitt
disait la Malibran, quitte la danse ; travaille le chant, tu as de la voix , tu auras du talent, tu me remplaceras. — Danse,
joint celui de bien chanter, deux talents difficiles à concilier ; sa voix est agile, claire, un peu aiguë, faible dans le m
m, mais elle la conduit avec adresse et méthode, c’est une très jolie voix de danseuse. Beaucoup de cantatrices qui ne danse
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
s bêtes farouches, mais les Étoiles du Ciel, danseraient au son de sa voix . Orphée, pour contenter Mercure, recommença ses c
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
erelles, Firent alternativement Goûter un doux contentement Par leurs voix claires et sereines, Plutôt Angéliques qu’humaine
43 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
ce ; ou bien les accompagnemens trop forts étouffent tout-à-fait leur voix . Quoi qu’il en soit, un bel-esprit moderne a prop
ui subjugueront les applaudissemens, tout aussi bien que ces ports de voix forcés dont se servent actuellement les Comédiens
de Jurisconsultes atteints de rhumes meurtriers & d’extinction de voix . — Mais comment citeraient-ils les Loix ? — En fa
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
excellence qui se vit les jours de Mardi et Jeudi, fut la Musique de voix et d’instruments la plus harmonieuse et la plus d
Si vous voulez pour vous fixer la renommée, Occupez toujours ses cent voix . Le duc d’Aumale reçut un Triton tenant un Tride
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
basse. Il avait été reçu par M. Pedro Gailhard, mais celui-ci, de la voix profonde qu’il s’est habilement fabriquée et qui,
i, avant de venir à Paris, y a déjà des imitatrices. Influencé par la voix et par le geste d’un homme qui avait joué jadis l
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
ous l’ai pourtant présenté ! — Oui, mais je n’ai pas saisi le nom. La voix de Rachel Boyer se teinta de vénération pour dire
oute sa reconnaissance, M. Groult lui dit en propres termes, et de sa voix bourrue : — Ce n’est pas moi, c’est elle qu’il fa
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
it Récits furent fort beaux, Animés par des airs nouveaux, Et par des voix incomparables De divers Chantres admirables Qui f
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
s vous accueillir ; mais soyez docile, et laissez-vous conduire. À sa voix , accourent alors les différents personnages que c
49 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
mon disciple. Elle pousse si loin l’imitation, qu’elle s’est fait une voix comme la mienne. En passant des nuits, en quêtant
u’on me le pardonne, car il est juste. J’ai mis quatre ans à faire ma voix . On a cherché à la comparer à celle de feu Grasso
50 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
Et lorsque j’apparus : — Oh ! c’est un papillon. Tout cela fut dit à voix très haute. Ensuite je perçus la voix de l’aînée
n papillon. Tout cela fut dit à voix très haute. Ensuite je perçus la voix de l’aînée des princesses, celle qui ressemble si
51 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
e épouvantable ; la haine, la jalousie et la vengeance accourent à sa voix  ; elle leur commande de servir sa fureur, et ces
ers de les accroître encore ; les furies et les démons accourent à sa voix  ; ils se grouppent de différentes manières et pou
52 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
s petits temps, etc., etc., etc. Le professeur les leur indique d’une voix brève et d’une façon si rapide qu’il faut avoir u
uand, parfois, le caquet des fillettes s’enfle au point de couvrir la voix des deux maigres instruments, ce dernier, dis-je,
53 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
se l’Éphémère. Il y a des chanteurs dont on dit : ils ont un filet de voix . Par leur manière d’émettre et de nuancer le son,
54 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
nnes des deux sexes, qui savent lire la musique et l’exécuter avec la voix , ou sur un instrument quelconque. En Italie, la p
55 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
t une danseuse ou une chanteuse, car elle était l’une et l’autre. Une voix fraîche, pure et juste, une danse légère et corre
a mort, nous croyons qu’elle se trompait ; Carlotta, guidée par cette voix intérieure qui ne ment jamais aux grands artistes
dirait un écrivain de l’empire, et bien lui en prit. Les ailes et la voix , elle avait tout : c’était une vraie fauvette. El
jambes fléchissent, la respiration lui manque, il demande grâce d’une voix entrecoupée. Point de grâce ! Si les valseuses de
56 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
xpressions du sentiment données à l’homme par la nature. Voyez Chant, Voix [Article de Rousseau], Danse, Déclamation. L’homm
Déclamation. L’homme a senti, dès qu’il a respiré ; et les sons de la voix , les mouvements divers du visage et du corps, ont
teurs, formaient de si grands éloignements, qu’on n’aurait entendu la voix ni distingué aucun des traits du visage, si on n’
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
ce qui ravit plus le coeur, C’est certain Angélique Choeur Formé des voix justes et belles, De trois illustres Demoiselles,
58 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
ce qui peut plaîre ou déplaîre dans le monde ! Quand la pluralité des voix doit seule prononcer, il se trouve un petit Tribu
n seul ou d’un plus grand nombre ; & que sans cette pluralité des voix on ne peut rien statuer de certain. Quelques réfl
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
nouveaux Époux, ordonna à ces Reines criminelles de disparaître. À sa voix les Amours dont elle était accompagnée, fondirent
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
regards. Osez-y suivre la route que le goût vous indique. Écoutez la voix de la gloire qui vous appelle. La carrière est ou
61 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
Niemtchinova à la manière du Coq d’Or, avec l’accompagnement de cette voix si fraîche qui monte de l’orchestre. Les autres a
62 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
et son violon seul dominoit sur tous les instrumens et sur toutes les voix qui composoient ce nombreux assemblage de gens à
63 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
belles, Par un Dialogue avec Elles ;61 Toutes s’expliquant par des VOIX Qui charment ce plus grand des ROIS. Les ARTS,
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
tant de facultés sublimes la variété des sons et des infléxions de la voix , ses modulations naturelles, la finesse de l’orei
aux mouvements de ses pas et de son corps ; les sons éclatants de sa voix se réunirent à son action ; les traits de sa phys
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
chanteresse de Garrick. J’oserai dire qu’il avoit autant de sortes de voix que de physionomies différentes, qu’il avoit l’ar
eautés fugitives de la déclamation, les charmes passagers d’une belle voix , les graces et les contours de la danse ; ces tal
ux, disoient tout ce que les passions vouloient leur faire dire ; une voix presque voilée, mais qui se ployoit avec flexibil
66 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
vive. Ensuite les règles s’établirent au son des instrumens et de la voix  ; le corps s’agita en cadence ; les bras s’ouvrir
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
mais les paroles ; les souffleur lit les vers à haute et intelligible voix , et le chanteur les psalmodie avec lui. Quelle ca
68 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
ans les routes du Firmament, Durant que les Dieux Maritimes, De leurs voix douces et sublimes, Font un concert mélodieux Dig
69 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
irène, Hilaire, Qui, toujours, a le don de plaire, Avec son angélique Voix , Ainsi que la première fois. En charmant Chacun
70 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
n’ayant guére, de pareilles, Charme les yeux, et les Oreilles, Par sa Voix , et par des Appas Que toutes Chanteuses n’ont pas
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
était à la tête de tous les autres. Il les animait du geste et de la voix  : alors la symphonie se faisait entendre et la da
72 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
Qui ne saurait chanter sans plaire, Et la Barre pareillement, Dont la voix plaît infiniment, Et dont la personne excellente
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
nq actes ; il eût le plus grand succès. La nouveauté et le charme des voix , l’exécution brillante d’un orchestre nombreux, l
adativement vers le ceintre ; la richesse des vêtemens, la beauté des voix , l’exécution précise et brillante de deux cens mu
, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théatre, etc. » Ne seroit-il pas plus sim
74 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
lugubre ; elle vent parler ; les pleurs et les sanglots étouffent sa voix . Oreste, frappé du plus affreux préssentiment, la
table recule, frémit, se jette aux pieds de l’ombre, la conjure d’une voix foible et mourante de croire que son cœur est inn
nocent, et que sa main seule est criminelle. L’ombre lui répond d’une voix menaçante et terrible, rejette ses pleurs, ses sa
pour ne le plus abandonner. FIN. (1). Ce cri est prononcé par une voix cachée.
75 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
rée dans la danse un à un par un double tour en l’air, à l’instar des voix dans une fugue — si toutefois cette comparaison p
76 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »
jeune faune Styrax qui s’éprend de la danseuse Cydalise mais que les voix de la forêt rappellent à son existence de génie é
77 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
dont j’avais été l’objet, et surtout de l’état de ma santé. Il a une voix pure comme son visage, avec peu d’inflexions. Cel
78 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
rit par l’étude des Sciences ; qu’on apprit la Musique pour régler la voix , & la Danse pour donner à toutes ses actions
ns l’avoir vu jouer son personnage ; desorte qu’ayant fait cesser les voix & les instrumens dans le spectacle, il représ
rps & les mains parlantes, comme un Comédien qui s’exprime par la voix . Lucien rapporte qu’un Prince de Pont étant venu
79 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
moment est cruel pour Camille, l’Amour se taît, la nature parle ; la voix du sang et celle de la patrie se font entendre. L
er dans sa tragédie. Horace outré de colère et n’écoutant plus que la voix de la vengeance s’élance sur elle et lui plonge s
80 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
faire ma connaissance, il m’a toujours plu, cet homme-là. Il élève la voix , je lève la jambe : nous sommes faits pour nous c
81 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
és par les petits échos de la direction. Hayden avoit-il besoin de la voix de l’empirisme pour être annoncé ? Son nom et sa
82 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
restait inaltérable. Elle tira un tricot d’un sac à ouvrage et d’une voix restée fraîche, me dit : — Il faut que je travail
ouvements et changements divers. Ces deux Américaines, sans élever la voix , doucement, mais avec cette brièveté absolue des
83 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
z d’argent et pousse un dernier hoquet. Ce débat de la femme avec les voix , ce dialogue des mouvements avec les sons m’ont p
84 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
des grands succès, Les bravos sans fin et les frais bouquets, Et les voix disant : « Dieux ! qu’elles sont belles ! » Et po
85 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
une action naturelle ou merveilleuse, au son des instruments ou de la voix . Tout ballet suppose la danse, et le concours de
u corps, sauts, et pas mesurés, faits au son des instruments ou de la voix . Les sensations ont été d’abord exprimées par les
voilà ses deux principes primitifs. On voit par ce peu de mots que la voix et le geste ne sont pas plus naturels à l’espèce
86 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
faisait faire les tuyaux en question. — « Où ? s’écrie M. Véron d’une voix formidable. — « Rue Nicolas-Flamel. » « On repart
décor plus de pittoresque et de variété. Il était inévitable que des voix s’élevassent pour condamner la routine où s’obsti
corps de ballet de la Scala, et qui, douée en même temps d’une jolie voix , hésitait entre le chant et la danse. La Malibran
87 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
n assez pour en vivre jusqu’à la fin de ses jours. Le cœur étouffa la voix de la raison. A mesure que l’heure du départ appr
-il répondu, les nerfs irritables, la peau sensible, l’âme tendre, la voix douce et une coquetterie sans bornes. Le prince a
peuvent pendant de longues heures absorber ma contemplation, dont la voix m’ensorcelle, et avec laquelle j’ai des entretien
ments de Gentz, dit : « Nous l’avons vu mourir doucement au son d’une voix qui lui fit oublier celle du temps20. » *** S’il
ridée et ratatinée. Quand il la questionna sur Gentz, elle dit de sa voix chevrotante : « Ah, oui ! le vieux monsieur si bo
un demi-siècle de distance, Gentz apparaissait encore à celle dont la voix était l’écho des pensées intimes de Fanny, sa voi
re à celle dont la voix était l’écho des pensées intimes de Fanny, sa voix d’outre-tombe. 13. Freiherr von Andlaw, Erinne
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
ns la Thrace et dans la Thessalie, qu’il contemple les miracles de la voix d’Orphée, sa mort, sa tête qui rend encore des so
89 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
de mots d’esprit partant comme des frisées. Dumas avait presque deux voix , deux manières de parler : celle qu’il employait
90 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
e. — Vous voyez, je lutte, disait Markouski avec des sanglots dans la voix , j’agrémente mes salons de fleurs. Je mets de l’e
91 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
st sans doute aux possibilités que M. Rameau a pressenties dans leurs voix flexibles et brillantes, que l’opéra doit ces mor
92 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
ur et la vengeance. Ces filles de l’enfer accourent et obéissent à sa voix . Armide brise le carquois et les Haches de l’Amou
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
portes de l’Enfer ; il n’entend que des plaintes lamentables, que des voix gémissantes, que des cris de rage et de désespoir
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
s de ses ouvrages, soit par leur action, soit par le brillant de leur voix , soit enfin par le goût et l’expression de leur c
95 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
e Danse qui se trouvent dans les Ballets, & qu’il avoit un peu de voix & beaucoup de goût pour le chant, il entrepri
96 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
ce drame, dont l’instinct a été donné à l’homme en même temps que la voix et le geste, en même temps que la parole et le mo
es par la magnificence des théâtres et des habits, la délicatesse des voix , l’harmonie des concerts et les savantes composit
spectacle ne surprit pas moins par sa nouveauté que par la beauté des voix , la variété des concerts, les changemens merveill
icier ; l’Église lui fournit son premier compositeur et ses premières voix . Comme établissement, son origine est royale. Dè
-delà du nombre de douze ; plus tard on réduisit à deux le nombre des voix , et a six celui des violons ; les danseurs leur f
on tour, emprunte à l’Allemagne et à l’Italie les merveilles de leurs voix , mais qui, seul en Europe, fait, défait et soutie
97 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
ourrait aller, si la sonnette du régisseur, dominant le tumulte de sa voix perçante, ne calmait soudain l’effervescence géné
la veuve, Cléofas sent une main se poser sur son bras, et entend une voix qui lui crie dans la langue du ballet : « Halte-l
onnette, et la petite langue d’argent n’a pas plutôt fait entendre sa voix , qu’Asmodée, qui avait disparu, jaillit soudainem
98 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
ux autels de Diane. A la vue d’Oreste Iphigénie se sent troublée ; la voix du sang se fait entendre, et elle conçoit le dess
er les jours de son ami. Iphigénie, entrainée, sans le savoir, par la voix du sang, annonce qu’Oreste partira, et que Pylade
99 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
que le chant et la danse ne sont pas moins naturels à l’homme que la voix et le geste, et que l’une et l’autre n’ont été, p
100 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
nge du public, et, poussée par une sorte d’inspiration, je m’écriai à voix assez haute pour que tout le monde pût m’entendre
/ 154