n-Jacques Rousseau Chanter, c’est faire différentes inflexions de
voix
agréables à l’oreille, et toujours correspondante
On a fait un art du chant ; c’est-à-dire que des observations sur des
voix
sonores qui chantaient le plus agréablement, on a
’y en a point qui en donnant une suite d’inflexions différentes de la
voix
, ne chante ; parce que quelque mauvais que soit l
pendante de celle de l’articulation des paroles. Voyez Expression. La
voix
d’ailleurs est un instrument musical dont tous le
se servir sans le secours de maîtres, de principes ou de règles. Une
voix
sans agrément et mal conduite distrait autant de
te distrait autant de son propre ennui la personne qui chante, qu’une
voix
sonore et brillante, formée par l’art et le goût.
, qu’une voix sonore et brillante, formée par l’art et le goût. Voyez
Voix
[Article de Rousseau]. Mais il y a des personnes
paraît. Voyez Chant, Chanteur, Maître à chanter [Article non rédigé],
Voix
[Article de Rousseau]. Le poème entier d’un opér
t à l’articulation, et en donnant les plus beaux sons possibles de sa
voix
. Voyez Débit, Temps [Article de Rousseau], Déclam
jamais d’accord avec les choses qu’elle devait exprimer ; et pour une
voix
propre à la déclamation, des sons durs, presque t
l’article Récitatif [Article de Rousseau]. (B) Effort Effort, (
Voix
.) défaut qui est dans le Chant, le contraire de l
t les cris au théâtre de la Comédie Française. Le volume, les grandes
voix
sont à-peu-près tout ce qu’applaudit la multitude
médiocres crient pour lui plaire, les chanteurs communs forcent leurs
voix
pour le surprendre. On reviendra tôt ou tard, en
prendre. On reviendra tôt ou tard, en France, de l’erreur des grandes
voix
; mais il faut attendre que le chant du théâtre a
essera d’être lourd, il faudra bien qu’on croie qu’il n’y a de vraies
voix
que celles qui sont légères. Voyez Récitatif [Art
ousseau], Légèreté [Article non rédigé]. (B) Egalité Egalité, (
Voix
.) c’est une des qualités les plus essentielles la
Egalité, (Voix.) c’est une des qualités les plus essentielles la
voix
. Il n’en est point qu’on puisse appeler belle, si
efois l’exagère, n’a pas encore porté en France la manie de forcer la
voix
humaine par delà les sons qui constituent sa beau
n’a pas raidi. Voyez Maître à chanter [Article non rédigé], Etendue,
Voix
[Article de Rousseau]. (B) Etendue Etendue
é], Etendue, Voix [Article de Rousseau]. (B) Etendue Etendue, (
Voix
.) La nature a donné à la voix humaine une étendue
Rousseau]. (B) Etendue Etendue, (Voix.) La nature a donné à la
voix
humaine une étendue fixe de tons ; mais elle en a
lus ou moins de force, plus ou moins de douceur, etc. le volume de la
voix
qui le forme, est ou large ou étroit, lourd ou lé
[Article de Rousseau]. Or dans toutes ces différences il y a dans la
voix
bien organisée qui les produit, un nombre fixe de
ble. Lorsque le chant est devenu un art, l’expérience a décomposé les
voix
différentes de l’homme, pour en établir la qualit
que la nature, et voici la division qui leur sert de règle. Dans les
voix
des femmes, le premier et le second dessus : ce d
bas-dessus. On donne le même nom et on divise de la même manière les
voix
des enfants avant la mue. Voyez Mue [Article non
es voix des enfants avant la mue. Voyez Mue [Article non rédigé]. Les
voix
d’homme sont tailles ou hautes-contre, ou basses-
France dans la composition de notre musique vocale, que six sortes de
voix
, deux dans les femmes, et quatre dans les hommes.
lui de la clé ; ce qui fait diatoniquement onze tons. Cette espèce de
voix
est très rare ; on en donne mal à propos le nom à
nom leur donner. Je dois au surplus avertir que je parle ici, 1° des
voix
en général : il y en a de plus étendues ; mais c’
s conséquence. 2° Qu’en fixant diatoniquement l’étendue ordinaire des
voix
, on les suppose au ton de l’opéra, par exemple. I
dessus ; ce qui fait diatoniquement dix tons et demi. Cette espèce de
voix
est la plus ordinaire à l’homme ; on s’en sert pe
ette expression, en fait une seconde différence. On fait usage de ces
voix
dans les chœurs ; elles remplissent et soutiennen
a déjà dit que le concordant et le fausset étaient regardés comme des
voix
bâtardes et inutiles. Le premier est une sorte de
n a abusé de nos jours de l’ignorance de la multitude à l’égard d’une
voix
très précieuse que nous avons perdue. On veut par
erte en France à l’art de nos Musiciens. Ce chanteur parcourait d’une
voix
égale et aisée, plus de tons que n’en avaient enc
oix égale et aisée, plus de tons que n’en avaient encore parcouru nos
voix
de ce genre les plus vantées. Il avait de plus un
-être en effet n’était-il que médiocre dans ces parties ; mais quelle
voix
! et il faut premièrement chanter, et avoir de qu
ement chanter, et avoir de quoi chanter à l’opéra. Le fausset est une
voix
de dessus factice ; elle parcourt avec un son aig
ctice ; elle parcourt avec un son aigre les mêmes intervalles que les
voix
de dessus. Il y a des chanteurs qui se le donnent
x de dessus. Il y a des chanteurs qui se le donnent, en conservant la
voix
qu’ils avaient avant la mue. Voyez Mue [Article n
nt la mue. Voyez Mue [Article non rédigé]. D’autres l’ajoutent à leur
voix
naturelle, et c’est une misérable imitation de ce
usage a prévalu sur l’humanité ; une opération barbare y produit des
voix
de dessus, qu’on croit fort supérieures aux voix
arbare y produit des voix de dessus, qu’on croit fort supérieures aux
voix
que la nature a voulu faire ; et de ce premier éc
. On a vu plus haut quelle est l’étendue déterminée par la nature des
voix
de dessus. Les musiciens d’Italie ont trouvé cett
vé cette étendue trop resserrée ; ils ont travaillé dès l’enfance les
voix
des castrati, et à force d’art ils ont cru en éca
e d’art ils ont cru en écarter les bornes, parce qu’ils ont enté deux
voix
factices et tout à fait étrangères, sur la voix d
qu’ils ont enté deux voix factices et tout à fait étrangères, sur la
voix
donnée. Mais ces trois voix de qualités inégales,
actices et tout à fait étrangères, sur la voix donnée. Mais ces trois
voix
de qualités inégales, laissent toujours sentir un
t qui par conséquent dépare toujours la nature. L’étendue factice des
voix
procurée par l’art, ne pouvait pas manquer d’exci
ion des femmes, qui se destinant au chant, n’avaient cependant qu’une
voix
naturelle. Dès qu’un dessus artificiel fournissai
rescrites par la nature, se trouvaient bien plus à leur aise avec des
voix
factices, qui leur donnaient la liberté de se jou
ons beaucoup plus extraordinaires et infiniment moins difficiles. Les
voix
de femme, si bien faites pour porter l’émotion ju
Italie), si elles n’avaient eu l’adresse et le courage de gâter leurs
voix
pour s’accommoder aux circonstances. Ainsi à forc
à force d’art, de travail et de constance, elles ont calqué sur leurs
voix
plusieurs tons hauts et bas au-dessus et au-desso
es, soumis à des lois, ne peut être qu’un embellissement du son de la
voix
humaine ; et ce son de la voix n’est et ne doit ê
être qu’un embellissement du son de la voix humaine ; et ce son de la
voix
n’est et ne doit être que l’expression du sentime
, tel que la nature l’a donné, ne puisse rendre. Puisque le son de la
voix
(ainsi qu’on l’a dit plus haut, et qu’on le prouv
l’homme, les différents tons qui composent l’étendue naturelle de sa
voix
, sont donc relatifs aux différentes expressions q
L’humanité, la raison, la religion, sont également outragées par les
voix
factices, qu’on fait payer si cher aux malheureux
nourrit, et qui les porte. Voyez Egalité, Son [Article de Rousseau],
Voix
[Article de Rousseau], Maître à chanter [Article
Grasseyer, Grasseyement. (B) Grasseyement Grasseyement, s. m. (
Voix
.) Défaut de l’organe qui gâte la prononciation or
ice qui aurait peut-être distrait les spectateurs de ce défaut, si sa
voix
avait secondé son talent. Elle arriva un jour sur
seyement emploie sont étrangers à celui que forment pour rendre R les
voix
sans défaut. Sur le théâtre on ne passe guère ce
s supérieurs, qui ont l’adresse de le racheter ou par la beauté de la
voix
, ou par l’excellence de leur jeu. Telle fut la cé
t moins désagréable. (B) Grasseyer Grasseyer, v. neut. (Chant.
Voix
.) C’est changer par une prononciation d’habitude
par une prononciation d’habitude ou naturelle, le son articulé de la
voix
: ainsi on grasseye, lorsqu’on prononce les c, le
es enfants, on ne peut trop veiller à la correction des défauts de la
voix
, de la prononciation, et du ton que leurs organes
u des sensations au premier moment qu’il a respiré, et les sons de la
voix
, le jeu des traits du visage, les mouvements du c
uls les expressions de ce qu’il a senti. Il y a naturellement dans la
voix
des sons de plaisir et de douleur, de colère et d
s outrées, nous sont cependant aussi naturels que le geste même et la
voix
. L’un et l’autre ne sont en effet, que les instru
éveloppe c’est la Nature primitive qui se peint dans les sons de leur
voix
, dans les traits de leur visage, dans leurs regar
se forme la Danse, comme on apprend à chanter, quoiqu’on ait dans la
voix
tous les sons dont se forme le chant ; parce qu’o
À mon gré, la symphonie seule n’y suffit pas. J’y voudrais aussi des
voix
récitantes et des chœurs. Il y faudrait le goût l
toujours de pauvres hères et toujours ridicules. On entend mieux les
voix
, quand on ne voit point les corps. S’il dépouille
ime, pour la meilleure part, est le concert mimé que je veux dire. La
voix
mérite bien qu’on la traite enfin comme un incomp
re plus ou moins mystique. Les beaux mimes faisant voir l’action, les
voix
invisibles faisant entendre les sentiments et les
grace an corps et aux gestes ; elle règle toutes les infléxions de la
voix
, et les mouvemens de la tête, St. Augustin a adop
, et les préceptes ne sont que des observations. Les infléxions de la
voix
, dans le discours, me paraissent encore étrangère
et en semi-tons, pour que l’instrument fut toujours d’accord avec la
voix
et la fortifiât. Il paroit que l’usage des orateu
i-tons pouvoient donc guider, et trois ou quatre nuances, (telles que
voix
basse, voix naturelle, voix élevée, voix très-for
ient donc guider, et trois ou quatre nuances, (telles que voix basse,
voix
naturelle, voix élevée, voix très-forte, suffisoi
, et trois ou quatre nuances, (telles que voix basse, voix naturelle,
voix
élevée, voix très-forte, suffisoient pour donner
quatre nuances, (telles que voix basse, voix naturelle, voix élevée,
voix
très-forte, suffisoient pour donner les inflexion
nguoient les troupes en chantant ; car parler à haute et intelligible
voix
, n’est pas chanter. Ne seroit-ce pas encore une m
acteur ; si je compare le son de ce frêle instrument avec celui de la
voix
qui sortoit avec fracas du cornet adapté à l’enor
oportions ; sa tête enveloppée dans une seconde tête monstrueuse ; sa
voix
métamorphosée en voix de Stentor ; ses bras paral
veloppée dans une seconde tête monstrueuse ; sa voix métamorphosée en
voix
de Stentor ; ses bras paralisés pas l’établisseme
excellence Devant cette noble Éminence. Ces deux Filles qui par leurs
voix
Ont charmé la Cour tant de fois, Savoir Mademoise
ans le Ballet, Remplis d’agréables mélanges, Que, certainement, leurs
voix
d’Anges Furent dans ces contentements Un des plus
des faits qui prouvent que les Oracles s’énonçoient par l’usage de la
voix
, si on pouvoit donner quelque créance aux Auteurs
pereur Tibere, semble encore prouver que les Démons ont l’usage de la
voix
; joint à ce que dit Aristote, que dans l’une des
es prodiges extraordinaires : entre autres on entendoit les nuits des
voix
qui sortoient de dessus les travaux, qui faisoien
s les travaux, qui faisoient des mugissemens épouventables ; d’autres
voix
qui sortirent du fond du canal, dont les tons éto
de les recommencer le lendemain, quoiqu’on entendît encore les mêmes
voix
de ces esprits souterrains pendant toute la nuit,
ogie sécrete, attribuent ces événemens singuliers & ces sortes de
voix
aux Esprits élémentaires. Ainsi les Esprits accou
Ainsi les Esprits accoutumez aux fables croiroient volontiers que les
voix
que l’on entendit la nuit sur le canal, sont cell
à ma stupéfaction, j’entendis, comme si c’était celle d’une autre, ma
voix
qui disait d’un ton ferme : — Voilà, monsieur. Je
vous, et où jouez-vous ? Ici le ton perdit de son assurance, quand la
voix
reprit : — Vous ne devez pas connaître mon nom, m
st pâle,… parce qu’elle a peur ! — Et vous, avez-vous peur aussi ? La
voix
ferme reparut : — Non, monsieur. Il me regarda, u
t de quitter l’atmosphère de la scène. Tandis que je m’en allais, une
voix
d’or — la voix d’or — se mit à résonner, disant d
atmosphère de la scène. Tandis que je m’en allais, une voix d’or — la
voix
d’or — se mit à résonner, disant des mots que je
nt j’ai oublié les noms, tant ma pensée était pleine d’elle seule. Sa
voix
sonnait dans mes oreilles. Je ne comprenais pas u
ait de tirer. Elle les regarda lentement l’une après l’autre… puis sa
voix
; sa voix d’or éclata dans les notes aiguës et me
er. Elle les regarda lentement l’une après l’autre… puis sa voix ; sa
voix
d’or éclata dans les notes aiguës et me désespéra
la haute-contre doit être l’amant favorisé, elles disent que c’est la
voix
du cœur ; des sons mâles et forts alarment sans d
encore du sentiment pour prouver que la haute-contre ne fut jamais la
voix
du cœur. Voyez Haute-Contre [Article de Barthez].
les imaginer, que déployer ses organes, et fixer l’expression dont la
voix
est capable, par des paroles dont le sens annonçâ
arque, de Plutarque, et d’Artemon, chantaient ensemble et d’une seule
voix
les louanges de la divinité : ainsi ces chansons
ne peut montrer qu’un très mauvais goût ; car outre qu’il faut que la
voix
excède et passe de beaucoup sa juste portée pour
prodiguent à la vérité les vitesses dans les roulades ; mais quand la
voix
a quelques syllabes à articuler, ils ont grand so
hant, s. m. (Musique.) est en général une sorte de modification de la
voix
, par laquelle on forme des sons variés et appréci
chant : il paraît aussi que les diverses inflexions qu’on donne à sa
voix
en parlant, forment des intervalles qui ne sont p
on appelle partie de chant toutes celles qui sont destinées pour les
voix
. Chant se dit aussi de la manière de conduire la
nnées par la nature. Voyez Geste. C’est par les différents sons de la
voix
que les hommes ont dû exprimer d’abord leurs diff
ord leurs différentes sensations. La nature leur donna les sons de la
voix
, pour peindre à l’extérieur les sentiments de dou
naturel de croire que le chant des oiseaux, les sons différents de la
voix
des animaux, les bruits divers excités dans l’air
e des eaux, servirent de modèle pour régler les différents tons de la
voix
. Les sons étaient dans l’homme : il entendit chan
ensations et son instinct le portèrent à l’imitation. Les concerts de
voix
furent donc les premiers. Ceux des instruments ne
ne seconde imitation : car dans tous les instruments connus, c’est la
voix
qu’on a voulu imiter. Nous en devons l’invention
prétendez lire, vous lisez mal : vous chantez. Les inflexions de la
voix
des animaux sont un vrai chant formé de tons dive
uments d’ailleurs n’ayant été inventés que pour imiter les sons de la
voix
, il s’ensuit aussi que la Musique instrumentale d
e complète, à quatre parties ou plus, chanté à la fois par toutes les
voix
, et joué par tout l’orchestre. On cherche dans le
avec Jean-Jacques Rousseau Concert, s. m. (Musique.) assemblée de
voix
et d’instruments qui exécutent des morceaux de mu
l’unisson ou à l’octave. (S) On fait des concerts d’instruments sans
voix
, dans lesquels on n’exécute que des symphonies. D
de Paris, les actrices de l’opéra les plus goûtées du public, et les
voix
de la chapelle et de la chambre du Roi les plus b
d’une chanteuse de concert, c’est un beau dessus, pour dire une belle
voix
de dessus. Les chœurs de femmes à l’opéra sont co
e qu’ils purent trouver de musiciens à Paris, et ils firent venir des
voix
du Languedoc pour former l’établissement de l’opé
n mal extrême. Il est consolé, toutesfois, Par Dame Echo, de qui la
voix
Lui répond qu’il faut qu’il espère, Et qu’Amour l
fait les Chants, Tout de même, en très-peu de temps. Leviez, dont la
voix
est plus belle Que n’est celle de Philomelle, Y r
t, pour vous le dire, enfin, La jeune, et mignonne Turpin, Qui par sa
voix
, et par sa grâce, Tous les autres Chantres, surpa
une est cet Amour Féminin,157 Dans un âge tout enfantin, Qui, par sa
Voix
, et par son geste, Et sa grâce toute céleste, Vou
elle prestance, Et, bref, les agitations, Et toutes les inflexions De
voix
, et de corps, nécessaires, Dedans les Théâtraux M
pas, On ouït, soudain, l’harmonie D’une Angélique symphonie De douces
Voix
et d’instruments ; Et durant ces divins moments,
rs, Auteur prisé dans l’Univers ; Et que Mademoiselle Hilaire Dont la
voix
a le ton de plaire, Et le sieur Le Gros, mêmement
jeu fut mêlé d’un Ballet, Qui fut trouvé drôle, & follet : Et des
Voix
pleines de merveilles56 Ravirent toutes les orei
e la parole et un grand Chanteur par les différentes inflexions de la
voix
. On était heureux dans ce temps d’avoir de pareil
a Pythie ne parle plus de nos jours ; ou si elle ose parler, c’est la
voix
qui crie dans le désert. Tout le monde est sourd,
d’argent brilleront, Pour les Danseurs qui danseront, Pour les belles
Voix
ordinaires, Et pour tous les Instrumentaires. S
le de les traiter. Or le geste peut peindre avec grâce tout ce que la
voix
peut exprimer. Toutes les actions dont le Théâtre
t un autre chargé de la gésticnlation. C’est donc à une extinction de
voix
que les Romains dûrent ce changement bizarre ; c’
étoit d’airain, mais soit que la résonnance de ce métal répercutât la
voix
désagréablement, soit qu’elle lui prêtât trop d’é
non pas si laids ; ils servoient à de jeunes acteurs, qui avoient une
voix
douce et agréable ; car il n’est fait aucune ment
Et chacun volontiers dit chût Lorsque cette aimable Déesse, Avec une
voix
charmeresse, Ses dignes Maximes chanta, Par qui l
touchaient des airs, Et les accords des doux concerts, S’unissant aux
voix
sans pareilles, Charmaient les cœurs et les oreil
efois pour nous annoncer ses volontez sur la terre, par l’usage de la
voix
ordinaire, ou mélodieuse, comme celle que l’on en
ns nous devons soumettre notre jugement, par rapport aux effets de la
voix
& de la Musique céleste, qui passe pour être
prétend que le corps humain est un instrument harmonieux, orné d’une
voix
fléxible & sonore, composé de la main de Dieu
nstitue l’intonation parfaite, l’accent propre à l’organisation de la
voix
; comme un instrument chargé d’une infinité de co
ie sur la conformation de l’organe qui opère les différens sons de la
voix
. On me dira, sans doute, que cette comparaison n’
n’a rien de relatif à l’acteur pantomime, puisqu’il doit parler sans
voix
; je répondrai que ses gestes, le jeu varié de sa
la Poësie, ie n’appelleray point à tesmoin vn Arion qui au son de sa
voix
& de sa lire fist iadis danser ce Dauphin qui
té, ie dis & sacrez & profanes, ont honoré la danse, & de
voix
& de pratique. Ceux là me fourniroyent vne mu
as la Danse, disent-ils, pour ses pas & ses mesures, autrement la
voix
& la Musique courroient la mesme fortune, mai
pratiquent auiourd’huy. Ie dis ceux : pource que ie ne puis donner ma
voix
à l’inconsideration de plusieurs, qui poussez de
magination plaine de quelque science, il se peut faire entendre ou de
voix
ou d’escrit, sinon à tous, pour le moins à ceux d
pectacle succéda au premier. C’est une action ingénieuse, qui sans la
voix
, sans avoir besoin du discours a tous les caractè
actions qu’on voyait. Les gestes seuls suppléaient à la douceur de la
voix
, à l’énergie du Discours, au charme de la Poésie5
t en entendant les rires elle leva la main droite et dit à très haute
voix
: « Chut !… Taisez-vous, je vais réciter ma poési
t regardai le public, je fis une belle révérence, et commençai, d’une
voix
qui résonna par toute la salle. Je débitai le pet
bitans oisifs de la capitale. Le jour 18. étoit consacré à mettre aux
voix
et à résoudre une grande question ; il s’agissoit
ent l’assemblée et lui portoient trop d’ombrage. La question mise aux
voix
, les opinions se partagèrent, les débats furent v
ts, Si doux, si gais et si galants, On ouït de l’aimable HILAIRE La
voix
mélancolique et claire, Qui flattait l’oreille et
ce Spectacle sont ouis, Où, certes, l’admirable HYLAIRE Charme par sa
voix
nette et claire. ORPHÉE, ou BAPTISTE, pour lui (C
s lui, la Vie N’est pas un Bien digne d’envie. On fut ravi des belles
Voix
Qui chantaient ses divines Loix.126 Force Masque
se qui brûlait lorsqu’on les regardait fixement. Quand il parlait, sa
voix
était celle d’un vieillard et ses yeux démentaien
arlait, sa voix était celle d’un vieillard et ses yeux démentaient sa
voix
. Il ne m’avait jamais donné que d’excellents cons
ivent, que dans les climats plus heureux qu’elle rend florissants. La
voix
de Médicis les rappela en Italie, et ils y accour
toucher les plus endurcis, Animés des douceurs divines De deux rares
voix
féminines, Qui sont (comme j’ai dit un jour) Les
e douceur surtout apparaît. Le pas est doux, les gestes sont doux, la
voix
est douce, infiniment douce. Tout est doux. Il vo
e « l’Œuvre ». Rodin poussa lentement la porte du temple, puis, d’une
voix
douce, il nous dit d’entrer. Là vraiment le silen
chaque être particulier ? Dieu a autrefois fait entendre du ciel une
voix
par laquelle il a dit de Jésus-Christ : (Matth. 1
ssions excitoient en lui un bruit qui l’empêchoit d’entendre la douce
voix
de la vérité. « Je prêtois pourtant, ajoute-t-il,
is bien voulu me voir près de l’Epoux, et avoir la joie d’entendre sa
voix
; mais les fougues de mon orgueil, qui, en pensan
sedet, sed in terrâ loqui non cessat. » « Ne soyons pas sourds à sa
voix
: Nos non simus surdi. » « Vous ayant laissé l’E
épris de sa règle. Mais que dirons-nous donc de ceux qui méprisent la
voix
de leur pasteur, sans y avoir égard ; qui s’expos
mps consacré au démon, il ne tombe sous sa puissance ; il obéira à la
voix
de son pasteur, il fera pénitence de sa faute s’i
nitence de sa faute s’il ne lui a pas obéi, et il n’écoutera point la
voix
du serpent qui veut le séduire. Ceux qui ont rech
avirent. Ô Que l’on fut bien diverti Par l’aimable Bergeroty, Dont la
voix
est mignonne et claire, Et par Mademoiselle Hilai
a pas semé. Aussi, quoique le peuple Juif résistât opiniâtrément à la
voix
des Prophètes, Dieu ne laisse pas de dire à Isaïe
laisse pas de dire à Isaïe : Criez sans cesse, faites retentir votre
voix
comme une trompette ; annoncez à mon peuple les c
de la danse comme un jargon qui leur est absolument étranger : leurs
voix
doivent être touchantes ; c’est toujours au cœur
u petit nombre. Les arts sont de tous les pays ; qu’ils empruntent la
voix
qui leur est propre, ils n’auront pas besoin d’in
ébranler l’âme, ils cessent dèslors d’être aimables et de plaire : la
voix
de la nature et l’expression fidelle du sentiment
jambes pour être danseur, de la mémoire pour être comédien, et de la
voix
pour être chanteur, en partant d’un principe auss
de la Danse comme un jargon qui leur est absolument étranger ; leurs
voix
doivent être touchantes, c’est toujours au cœur q
u petit nombre. Les Arts sont de tous les pays ; qu’ils empruntent la
voix
qui leur est propre, ils n’auront pas besoin d’in
ler l’ame ? ils cessent dès-lors d’être aimables & de plaire ; la
voix
de la nature & l’expression fidelle du sentim
es pour être Danseur ; de la mémoire pour être Comédien ; & de la
voix
pour être Chanteur. En partant d’un principe auss
j’aime ! J’ai dormi deux heures, après quoi j’ai été réveillé par des
voix
qui partaient d’assez loin, mais que le brouillar
place, disparaissaient et reparaissaient de nouveau. Une horloge à la
voix
lamentable sonnait lentement minuit. Je n’étais p
illé à demi, j’ai ouvert la fenêtre et j’ai entendu distinctement les
voix
qui se passaient de l’une à l’autre de loin en lo
des flambeaux au pied de la montagne. J’étais curieux de cet effet de
voix
et de lumières dans les nuages. Je résolus d’alle
ère, Étant leur très humble Valet : Mais, pour revenir au Ballet, Les
Voix
douces et naturelles De quatre aimables Demoisell
, À se donner lui-même en spectacle aux Romains, À venir prodiguer sa
voix
sur un théâtre, etc. [Voir Fêtes de la Cour de Fr
qui frappent leurs yeux, par l’expérience de tous les siècles, par la
voix
intérieure qui crie sans cesse dans le fond de le
ise pour retourner vers l’empire des morts ; Nourrit, converti par la
voix
de Dieu, par les prières d’Alice, devait, au cont
théâtre, bien entendu, — s’avança sur le bord de la rampe, et, d’une
voix
émue, mais ferme : — Rassurez-vous, messieurs, di
l faisait faire les tuyaux en question. — Où ? demande M. Véron d’une
voix
formidable. — Rue Nicolas-Flamel. On repart pour
chanteur, Nous appelant encor de tes lèvres dorées, Car ta danse a la
voix
et l’âme du chanteur ! *** Vinrent ensuite la ma
arts. Dès sa première enfance, Carlotta Grisi chantait et dansait. Sa
voix
n’était pas moins légère que sa personne. — Quitt
disait la Malibran, quitte la danse ; travaille le chant, tu as de la
voix
, tu auras du talent, tu me remplaceras. — Danse,
joint celui de bien chanter, deux talents difficiles à concilier ; sa
voix
est agile, claire, un peu aiguë, faible dans le m
m, mais elle la conduit avec adresse et méthode, c’est une très jolie
voix
de danseuse. Beaucoup de cantatrices qui ne danse
s bêtes farouches, mais les Étoiles du Ciel, danseraient au son de sa
voix
. Orphée, pour contenter Mercure, recommença ses c
erelles, Firent alternativement Goûter un doux contentement Par leurs
voix
claires et sereines, Plutôt Angéliques qu’humaine
43
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
ce ; ou bien les accompagnemens trop forts étouffent tout-à-fait leur
voix
. Quoi qu’il en soit, un bel-esprit moderne a prop
ui subjugueront les applaudissemens, tout aussi bien que ces ports de
voix
forcés dont se servent actuellement les Comédiens
de Jurisconsultes atteints de rhumes meurtriers & d’extinction de
voix
. — Mais comment citeraient-ils les Loix ? — En fa
excellence qui se vit les jours de Mardi et Jeudi, fut la Musique de
voix
et d’instruments la plus harmonieuse et la plus d
Si vous voulez pour vous fixer la renommée, Occupez toujours ses cent
voix
. Le duc d’Aumale reçut un Triton tenant un Tride
basse. Il avait été reçu par M. Pedro Gailhard, mais celui-ci, de la
voix
profonde qu’il s’est habilement fabriquée et qui,
i, avant de venir à Paris, y a déjà des imitatrices. Influencé par la
voix
et par le geste d’un homme qui avait joué jadis l
ous l’ai pourtant présenté ! — Oui, mais je n’ai pas saisi le nom. La
voix
de Rachel Boyer se teinta de vénération pour dire
oute sa reconnaissance, M. Groult lui dit en propres termes, et de sa
voix
bourrue : — Ce n’est pas moi, c’est elle qu’il fa
it Récits furent fort beaux, Animés par des airs nouveaux, Et par des
voix
incomparables De divers Chantres admirables Qui f
s vous accueillir ; mais soyez docile, et laissez-vous conduire. À sa
voix
, accourent alors les différents personnages que c
mon disciple. Elle pousse si loin l’imitation, qu’elle s’est fait une
voix
comme la mienne. En passant des nuits, en quêtant
u’on me le pardonne, car il est juste. J’ai mis quatre ans à faire ma
voix
. On a cherché à la comparer à celle de feu Grasso
Et lorsque j’apparus : — Oh ! c’est un papillon. Tout cela fut dit à
voix
très haute. Ensuite je perçus la voix de l’aînée
n papillon. Tout cela fut dit à voix très haute. Ensuite je perçus la
voix
de l’aînée des princesses, celle qui ressemble si
e épouvantable ; la haine, la jalousie et la vengeance accourent à sa
voix
; elle leur commande de servir sa fureur, et ces
ers de les accroître encore ; les furies et les démons accourent à sa
voix
; ils se grouppent de différentes manières et pou
s petits temps, etc., etc., etc. Le professeur les leur indique d’une
voix
brève et d’une façon si rapide qu’il faut avoir u
uand, parfois, le caquet des fillettes s’enfle au point de couvrir la
voix
des deux maigres instruments, ce dernier, dis-je,
se l’Éphémère. Il y a des chanteurs dont on dit : ils ont un filet de
voix
. Par leur manière d’émettre et de nuancer le son,
nnes des deux sexes, qui savent lire la musique et l’exécuter avec la
voix
, ou sur un instrument quelconque. En Italie, la p
t une danseuse ou une chanteuse, car elle était l’une et l’autre. Une
voix
fraîche, pure et juste, une danse légère et corre
a mort, nous croyons qu’elle se trompait ; Carlotta, guidée par cette
voix
intérieure qui ne ment jamais aux grands artistes
dirait un écrivain de l’empire, et bien lui en prit. Les ailes et la
voix
, elle avait tout : c’était une vraie fauvette. El
jambes fléchissent, la respiration lui manque, il demande grâce d’une
voix
entrecoupée. Point de grâce ! Si les valseuses de
xpressions du sentiment données à l’homme par la nature. Voyez Chant,
Voix
[Article de Rousseau], Danse, Déclamation. L’homm
Déclamation. L’homme a senti, dès qu’il a respiré ; et les sons de la
voix
, les mouvements divers du visage et du corps, ont
teurs, formaient de si grands éloignements, qu’on n’aurait entendu la
voix
ni distingué aucun des traits du visage, si on n’
ce qui ravit plus le coeur, C’est certain Angélique Choeur Formé des
voix
justes et belles, De trois illustres Demoiselles,
ce qui peut plaîre ou déplaîre dans le monde ! Quand la pluralité des
voix
doit seule prononcer, il se trouve un petit Tribu
n seul ou d’un plus grand nombre ; & que sans cette pluralité des
voix
on ne peut rien statuer de certain. Quelques réfl
nouveaux Époux, ordonna à ces Reines criminelles de disparaître. À sa
voix
les Amours dont elle était accompagnée, fondirent
regards. Osez-y suivre la route que le goût vous indique. Écoutez la
voix
de la gloire qui vous appelle. La carrière est ou
Niemtchinova à la manière du Coq d’Or, avec l’accompagnement de cette
voix
si fraîche qui monte de l’orchestre. Les autres a
et son violon seul dominoit sur tous les instrumens et sur toutes les
voix
qui composoient ce nombreux assemblage de gens à
belles, Par un Dialogue avec Elles ;61 Toutes s’expliquant par des
VOIX
Qui charment ce plus grand des ROIS. Les ARTS,
tant de facultés sublimes la variété des sons et des infléxions de la
voix
, ses modulations naturelles, la finesse de l’orei
aux mouvements de ses pas et de son corps ; les sons éclatants de sa
voix
se réunirent à son action ; les traits de sa phys
chanteresse de Garrick. J’oserai dire qu’il avoit autant de sortes de
voix
que de physionomies différentes, qu’il avoit l’ar
eautés fugitives de la déclamation, les charmes passagers d’une belle
voix
, les graces et les contours de la danse ; ces tal
ux, disoient tout ce que les passions vouloient leur faire dire ; une
voix
presque voilée, mais qui se ployoit avec flexibil
vive. Ensuite les règles s’établirent au son des instrumens et de la
voix
; le corps s’agita en cadence ; les bras s’ouvrir
mais les paroles ; les souffleur lit les vers à haute et intelligible
voix
, et le chanteur les psalmodie avec lui. Quelle ca
ans les routes du Firmament, Durant que les Dieux Maritimes, De leurs
voix
douces et sublimes, Font un concert mélodieux Dig
irène, Hilaire, Qui, toujours, a le don de plaire, Avec son angélique
Voix
, Ainsi que la première fois. En charmant Chacun
n’ayant guére, de pareilles, Charme les yeux, et les Oreilles, Par sa
Voix
, et par des Appas Que toutes Chanteuses n’ont pas
était à la tête de tous les autres. Il les animait du geste et de la
voix
: alors la symphonie se faisait entendre et la da
Qui ne saurait chanter sans plaire, Et la Barre pareillement, Dont la
voix
plaît infiniment, Et dont la personne excellente
nq actes ; il eût le plus grand succès. La nouveauté et le charme des
voix
, l’exécution brillante d’un orchestre nombreux, l
adativement vers le ceintre ; la richesse des vêtemens, la beauté des
voix
, l’exécution précise et brillante de deux cens mu
, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa
voix
sur un théatre, etc. » Ne seroit-il pas plus sim
lugubre ; elle vent parler ; les pleurs et les sanglots étouffent sa
voix
. Oreste, frappé du plus affreux préssentiment, la
table recule, frémit, se jette aux pieds de l’ombre, la conjure d’une
voix
foible et mourante de croire que son cœur est inn
nocent, et que sa main seule est criminelle. L’ombre lui répond d’une
voix
menaçante et terrible, rejette ses pleurs, ses sa
pour ne le plus abandonner. FIN. (1). Ce cri est prononcé par une
voix
cachée.
rée dans la danse un à un par un double tour en l’air, à l’instar des
voix
dans une fugue — si toutefois cette comparaison p
jeune faune Styrax qui s’éprend de la danseuse Cydalise mais que les
voix
de la forêt rappellent à son existence de génie é
dont j’avais été l’objet, et surtout de l’état de ma santé. Il a une
voix
pure comme son visage, avec peu d’inflexions. Cel
rit par l’étude des Sciences ; qu’on apprit la Musique pour régler la
voix
, & la Danse pour donner à toutes ses actions
ns l’avoir vu jouer son personnage ; desorte qu’ayant fait cesser les
voix
& les instrumens dans le spectacle, il représ
rps & les mains parlantes, comme un Comédien qui s’exprime par la
voix
. Lucien rapporte qu’un Prince de Pont étant venu
moment est cruel pour Camille, l’Amour se taît, la nature parle ; la
voix
du sang et celle de la patrie se font entendre. L
er dans sa tragédie. Horace outré de colère et n’écoutant plus que la
voix
de la vengeance s’élance sur elle et lui plonge s
faire ma connaissance, il m’a toujours plu, cet homme-là. Il élève la
voix
, je lève la jambe : nous sommes faits pour nous c
és par les petits échos de la direction. Hayden avoit-il besoin de la
voix
de l’empirisme pour être annoncé ? Son nom et sa
restait inaltérable. Elle tira un tricot d’un sac à ouvrage et d’une
voix
restée fraîche, me dit : — Il faut que je travail
ouvements et changements divers. Ces deux Américaines, sans élever la
voix
, doucement, mais avec cette brièveté absolue des
z d’argent et pousse un dernier hoquet. Ce débat de la femme avec les
voix
, ce dialogue des mouvements avec les sons m’ont p
des grands succès, Les bravos sans fin et les frais bouquets, Et les
voix
disant : « Dieux ! qu’elles sont belles ! » Et po
une action naturelle ou merveilleuse, au son des instruments ou de la
voix
. Tout ballet suppose la danse, et le concours de
u corps, sauts, et pas mesurés, faits au son des instruments ou de la
voix
. Les sensations ont été d’abord exprimées par les
voilà ses deux principes primitifs. On voit par ce peu de mots que la
voix
et le geste ne sont pas plus naturels à l’espèce
faisait faire les tuyaux en question. — « Où ? s’écrie M. Véron d’une
voix
formidable. — « Rue Nicolas-Flamel. » « On repart
décor plus de pittoresque et de variété. Il était inévitable que des
voix
s’élevassent pour condamner la routine où s’obsti
corps de ballet de la Scala, et qui, douée en même temps d’une jolie
voix
, hésitait entre le chant et la danse. La Malibran
n assez pour en vivre jusqu’à la fin de ses jours. Le cœur étouffa la
voix
de la raison. A mesure que l’heure du départ appr
-il répondu, les nerfs irritables, la peau sensible, l’âme tendre, la
voix
douce et une coquetterie sans bornes. Le prince a
peuvent pendant de longues heures absorber ma contemplation, dont la
voix
m’ensorcelle, et avec laquelle j’ai des entretien
ments de Gentz, dit : « Nous l’avons vu mourir doucement au son d’une
voix
qui lui fit oublier celle du temps20. » *** S’il
ridée et ratatinée. Quand il la questionna sur Gentz, elle dit de sa
voix
chevrotante : « Ah, oui ! le vieux monsieur si bo
un demi-siècle de distance, Gentz apparaissait encore à celle dont la
voix
était l’écho des pensées intimes de Fanny, sa voi
re à celle dont la voix était l’écho des pensées intimes de Fanny, sa
voix
d’outre-tombe. 13. Freiherr von Andlaw, Erinne
ns la Thrace et dans la Thessalie, qu’il contemple les miracles de la
voix
d’Orphée, sa mort, sa tête qui rend encore des so
de mots d’esprit partant comme des frisées. Dumas avait presque deux
voix
, deux manières de parler : celle qu’il employait
e. — Vous voyez, je lutte, disait Markouski avec des sanglots dans la
voix
, j’agrémente mes salons de fleurs. Je mets de l’e
st sans doute aux possibilités que M. Rameau a pressenties dans leurs
voix
flexibles et brillantes, que l’opéra doit ces mor
ur et la vengeance. Ces filles de l’enfer accourent et obéissent à sa
voix
. Armide brise le carquois et les Haches de l’Amou
portes de l’Enfer ; il n’entend que des plaintes lamentables, que des
voix
gémissantes, que des cris de rage et de désespoir
s de ses ouvrages, soit par leur action, soit par le brillant de leur
voix
, soit enfin par le goût et l’expression de leur c
e Danse qui se trouvent dans les Ballets, & qu’il avoit un peu de
voix
& beaucoup de goût pour le chant, il entrepri
ce drame, dont l’instinct a été donné à l’homme en même temps que la
voix
et le geste, en même temps que la parole et le mo
es par la magnificence des théâtres et des habits, la délicatesse des
voix
, l’harmonie des concerts et les savantes composit
spectacle ne surprit pas moins par sa nouveauté que par la beauté des
voix
, la variété des concerts, les changemens merveill
icier ; l’Église lui fournit son premier compositeur et ses premières
voix
. Comme établissement, son origine est royale. Dè
-delà du nombre de douze ; plus tard on réduisit à deux le nombre des
voix
, et a six celui des violons ; les danseurs leur f
on tour, emprunte à l’Allemagne et à l’Italie les merveilles de leurs
voix
, mais qui, seul en Europe, fait, défait et soutie
ourrait aller, si la sonnette du régisseur, dominant le tumulte de sa
voix
perçante, ne calmait soudain l’effervescence géné
la veuve, Cléofas sent une main se poser sur son bras, et entend une
voix
qui lui crie dans la langue du ballet : « Halte-l
onnette, et la petite langue d’argent n’a pas plutôt fait entendre sa
voix
, qu’Asmodée, qui avait disparu, jaillit soudainem
ux autels de Diane. A la vue d’Oreste Iphigénie se sent troublée ; la
voix
du sang se fait entendre, et elle conçoit le dess
er les jours de son ami. Iphigénie, entrainée, sans le savoir, par la
voix
du sang, annonce qu’Oreste partira, et que Pylade
que le chant et la danse ne sont pas moins naturels à l’homme que la
voix
et le geste, et que l’une et l’autre n’ont été, p
nge du public, et, poussée par une sorte d’inspiration, je m’écriai à
voix
assez haute pour que tout le monde pût m’entendre
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