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1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
rade de Lisbonne, où elle entra au bruit de toute l’artillerie de la Ville . Les Châsses de saint Vincent, et de saint Antoin
avec les transports de la plus vive joie, et au bruit du Canon de la Ville et des Vaisseaux. L’Image fut placée tout de fuit
ats. Le premier représentait le Palais de la Renommée ; le second, la ville de Milan ; le troisième, le Portugal ; le quatriè
rendre à tous les Peuples du monde. Cette pompe passa du Port dans la Ville , sous plusieurs arcs de triomphe. Les rues étaien
nchée de Fleurs. Sur des Théâtres élevés en plusieurs quartiers de la Ville , on voyait exécuter des Danses vives sur des Symp
on Professe des Jésuites. Une partie de cette Place représentait la ville de Troie avec ses tours et ses murailles. Aux app
Les soldats Grecs sortirent de cette machine, et les Troyens de leur Ville , armés et couverts de feux d’artifice avec lesque
s firent un combat merveilleux. Le Cheval jetait des feux contre la Ville  ; la Ville contre le Cheval ; et l’un de plus bea
combat merveilleux. Le Cheval jetait des feux contre la Ville ; la Ville contre le Cheval ; et l’un de plus beaux spectacl
e de Protecteur. 90. On le nomme ainsi parce qu’il mourut dans cette Ville . Il était né à Lisbonne.
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
e d’un camarade ? Mais en me voyant démaquillée et déjà en costume de ville , il s’arrêta court, et s’écria : — Ah mais, qui ê
nsion. Quelques années plus tard je revins, danseuse, dans cette même ville et à l’hôtel où je descendis, un des grands hôtel
e même ville et à l’hôtel où je descendis, un des grands hôtels de la ville , on refusa de me recevoir. Sans trop me demander
mbien y en a-t-il d’autres que j’ignore ? Je n’arrive jamais dans une ville sans que Loïe Fuller n’y soit déjà venue avant mo
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
d’Apollon . Première partie. Le fond du théatre représente la ville de Troye : ou voit à la gauche le péristile d’un
rhus, profitant de la brèche que les Troyens viennent de faire à leur ville , pour y donner l’entrée à l’enorme cheval qui ren
lité des ennemis ; Pyrrhus tombe sur les Troyens ; il fonce dans leur ville  ; il y répand le carnage et la mort et la fait in
e saccagement général succède la destruction et la ruine totale de la ville et du palais de Priam consumé par les flammes. On
m consumé par les flammes. On voit défiler par les derrières de cette ville les Troyens et les Troyennes enchaînés ; les Grec
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
tie du peuple : mais si vous aviez parcouru comme moi les principales villes d’Italie, vous auriez entendu à Vénise de simples
cre se perd et s’oublie pour toujours. En Italie et dans les grandes villes un opéra se joue trois mois. On vous a trompé, ou
s mois. On vous a trompé, ou vous vous êtes trompé : dans les grandes villes , on donne deux opéras-buffa, et quatre grands bal
des deux saisons dont je viens de vous parler, on donne dans quelques villes , le Primavera c’est-à-dire, au printems, un opéra
5 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVII. Des differentes manieres de faire les bras avec toutes sortes de Chassez. » pp. 264-267
plus aisez pour faire tous les chassez qui se font dans les danses de Ville  ; il est necessaire aussi que je vous explique la
ais comme je n’en ai point trouvé de cette sorte dans aucune danse de Ville , je ne parlerai pas de la maniere d’y faire les b
6 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
tour de damas cramoisi galonné d’or. Le grand buffet de vermeil de la ville était dressé dans l’angle de l’autre cheminée, vi
t par la rue Saint-Honoré, celle du Roule, et celle de la Monnaie, la ville avait fait élever pour son passage une fontaine d
nt au commencement du quai de Gesvres, les boîtes et les canons de la ville firent une décharge, et le conduisirent à ce brui
s de la chambre, et qui avaient sous leurs ordres des garçons, que la ville avait fait habiller de drap bleu galonné en argen
s y devenir des archives durables de la magnificence et du goût d’une ville illustre, dont le bon ordre et l’opulence attiren
de sa Majesté étant devant la barrière de l’Hôtel-de-ville, MM. de la ville s’avancèrent de dix pas au-dehors de la barrière
ents, et recouvert de taffetas cramoisi galonné d’or. Le buffet de la ville était dressé dès le matin dans la partie de cette
ec Monseigneur le Dauphin, Madame la Dauphine, et Mesdames. MM. de la ville les avaient reconduits jusqu’à leurs carrosses. I
les avaient reconduits jusqu’à leurs carrosses. Il a été donné par la ville de Paris plusieurs autres festins au Roi, à la Re
ue événement extraordinaire, qui intéresse un état, une province, une ville , un peuple, etc. Ce mot a été nécessaire à toute
’à l’ivresse seule de la canaille, et infectent les rues d’une grande ville , dont l’extrême propreté dans ces moments heureux
ison professe des Jésuites. Une partie de cette place représentait la ville de Troie avec ses tours et ses murailles. Aux app
les soldats grecs sortirent de cette machine, et les Troyens de leur ville , armés et couverts de feux d’artifice, avec lesqu
ils firent un combat merveilleux. Le cheval jetait des feux contre la ville , la ville contre le cheval ; et l’un des plus bea
un combat merveilleux. Le cheval jetait des feux contre la ville, la ville contre le cheval ; et l’un des plus beaux spectac
ucoup plus qu’on ne pense. Toute cette pompe, après avoir traversé la ville de Londres, arriva en bon ordre, et le ballet com
des avantages glorieux qui les causent. Voyez Fêtes de la Cour, de la Ville , des Princes de France, etc. Festins royaux, Illu
s des nuages épais, qui semblaient sur ce point séparer la cour de la ville . Mais cette nuit et ses sombres nuages ne faisaie
sa cour et qui étonnèrent l’Europe, de faire inviter les femmes de la ville les plus distinguées, et de les y faire placer sa
s de la pièce des Suisses, en face de l’orangerie, on avait placé une ville édifiée avec art, et fortifiée suivant les règles
t armés à la grecque, auraient paru courir à pleines voiles contre la ville bâtie : le feu de ces vaisseaux et celui de la vi
voiles contre la ville bâtie : le feu de ces vaisseaux et celui de la ville était composé par un artifice singulier, que la f
s après les plus grands efforts, et malgré la défense opiniâtre de la ville , étaient cependant vainqueurs ; la ville était pr
é la défense opiniâtre de la ville, étaient cependant vainqueurs ; la ville était prise, saccagée, détruite ; et sur ses débr
s autre fête qu’un grand feu d’artifice, ils laissèrent la cour et la ville se livrer aux vifs transports de joie que la nais
it fait passer dans les cœurs de tous les Français. Voyez Fêtes de la Ville de Paris. Les douceurs de la paix et un accroisse
par mille attentions, récompensés avec libéralité. (B) Fêtes de la Ville de Paris Fêtes de la Ville de Paris. On a vu
és avec libéralité. (B) Fêtes de la Ville de Paris Fêtes de la Ville de Paris. On a vu dans tous les temps le zèle et
force et de résolution, et avec un zèle et une ardeur admirables. La ville récompensa les deux jouteurs victorieux par un pr
de ce magistrat célèbre. Voyez Fêtes de la Cour de France. Bal de la ville de Paris, donné dans son hôtel la nuit du 30 Août
eu d’Artifice, etc. Il y a eu depuis des occasions multipliées, où la ville de Paris a fait éclater son zèle et sa magnificen
c de Bourgogne. Six cents mariages faits et célébrés aux dépens de la ville , furent le témoignage de son amour pour l’état, d
respectable à la postérité. Au moment que le projet fut proposé à la ville , les préparatifs de la plus belle fête étaient au
e mal entendu, qui, en les déplaçant, les rend ridicules ! Toutes les villes considérables du royaume imitèrent un exemple aus
nés pour l’aimer, le servir, et le défendre. (B) Fêtes des grandes Villes du Royaume de France Fêtes des grandes Villes
Fêtes des grandes Villes du Royaume de France Fêtes des grandes Villes du Royaume de France. C’est ici qu’on doit craind
ater. On verrait dans le même tableau la magnificence constante de la ville de Lyon embellie par le goût des hommes choisis q
de ses citoyens. A côté des fêtes brillantes, qui ont illustré cette ville opulente, on serait frappé des ressources des hab
r de la France, sous les yeux toujours ouverts de nos Parlements, des villes plus tranquilles, mais moins opulentes, suppléer
ris à Bordeaux, lors du passage de notre première Dauphine dans cette ville , sont un précis de tout ce qui s’est jamais prati
t jamais pratiqué de plus riche, de plus élégant dans les différentes villes du royaume ; et les arts différents, qui se sont
la supérieure était remplie par les dames les plus distinguées de la ville , et l’autre l’était par cinquante-deux jeunes dem
asques qui était allée au-devant de cette princesse à une lieue de la ville , l’accompagna en dansant au son des flûtes et des
seigneur le Dauphin, vive Madame la Dauphine. Les députés du corps de ville de Bordeaux vinrent à Castres le 26. Ils furent p
rdeaux sur les trois heures et demie du soir, au bruit du canon de la ville et de celui des trois forts. La princesse trouva
e trouva à la porte Saint-Julien un arc de triomphe très beau, que la ville avait fait élever. Le plan que formait la base de
artiment de l’attique, tant du côté de la campagne que de celui de la ville , était l’inscription suivante : Anagramma numeric
llia ; l’Espagne, la France. Dans l’autre, aussi vers la campagne, la ville de Bordeaux était représentée par une figure, ten
us Delphinæ 1745 ; l’arrivée de Madame la Dauphine remplit de joie la ville de Bordeaux. Du côté de la ville, l’emblème de la
adame la Dauphine remplit de joie la ville de Bordeaux. Du côté de la ville , l’emblème de la droite représentait un miroir ar
. Madame la Dauphine trouva auprès de cet arc de triomphe le corps de ville qui l’attendait. Le comte de Ségur était à la têt
ville qui l’attendait. Le comte de Ségur était à la tête. Le corps de ville eut l’honneur d’être présenté à Madame la Dauphin
ir les ordres de Madame la Dauphine, et lui offrir les présents de la ville . A l’entrée de la nuit il fut fait une illuminati
entrée de la nuit il fut fait une illumination générale, tant dans la ville que dans les faubourgs ; et sur les huit heures o
une chambre voisine, exécutèrent des symphonies italiennes. Le 28 la ville offrit des présents aux dames et aux seigneurs de
’extrémité de la rue des Fossés, à quelque distance de la porte de la ville , on avait élevé une colonne d’ordre dorique de 6
té de celle de la princesse, étaient les plus habiles musiciens de la ville , qui exécutèrent un concert dont Madame la Dauphi
leurs respects, et de la supplier d’accepter la maison navale, que la ville avait fait préparer pour son voyage, et que cette
is en or et des croissants en argent, qui font partie des armes de la ville . Il y avait aussi une chaloupe pour la symphonie,
laquelle étaient l’intendant de la province et sa suite, le corps de ville , l’ordonnateur de la marine, etc. Au départ de l
vue. Lorsque Madame la Dauphine fut rentrée, les députés du corps de ville de Bordeaux lui demandèrent la permission de lui
rdeaux lui demandèrent la permission de lui présenter un dîner que la ville avait fait préparer, et d’avoir l’honneur de l’y
e de sa Majesté catholique, père de cette princesse, la cuisine de la ville aborda la maison navale, et celle de la bouche qu
des tables aussi délicatement que magnifiquement servies. Le corps de ville de Bordeaux tint aussi matin et soir des tables t
autant qu’ils m’ont paru liés aux grands spectacles que les rois, les villes , les provinces, etc. offrent aux peuples dans les
de l’Encyclopédie qui y ont quelque rapport. Voyez Fêtes, Fêtes de la Ville de Paris, etc. Les Chinois ont poussé l’art pour
roverbe, et toto divisos orbe Britannos. 5. Anagramme numérique. La ville et les jurats de Bordeaux ont érigé cet arc de tr
7. Les paroles sont de Fuzelier, la musique est de M. Rameau. 8. La ville de Bordeaux a élevé ce palais en l’honneur du trè
7 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
iens, & dont l’origine commença dès l’établissement des Foires de Ville en Ville, pour l’utilité du Commerce, & qu’il
p; dont l’origine commença dès l’établissement des Foires de Ville en Ville , pour l’utilité du Commerce, & qu’ils dressoi
ire de la Marre, qui réduit les Danseurs de corde à ne jouer dans les Villes du Royaume que dans le tems des Foires, & à d
mœurs du tems, qui sont assez au goût des gens de la Cour & de la Ville  ; joint aux belles décorations de leur Théâtre. C
sses aussi hautes que le toit des maisons, qui alloit annoncer par la Ville les Jeux que sa troupe devoit représenter. Il dan
nous assure que l’art du saut & de la lute étoit en usage dans la ville d’Enos ou de Caen, proche la montagne du Liban, o
ête dans son lit : après cette action mémorable, les Magistrats de la Ville menerent Judith en pompe au bal où la fête étoit
alais les meilleurs Maîtres de Danses qui s’étoient réfugiez dans les Villes d’Italie, & leur fit composer des Entrées de
8 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
au mois d’août, Fanny repartait pour Boston et conquérait dans cette ville connue pour son austérité une popularité sans pré
adelphie pour une nouvelle tournée à la Havane. Elle resta dans cette ville jusqu’à la fin du mois de mai. Renonçant au proje
it que la bénéficiaire fit une visite préalable aux notabilités de la ville . Le soir du jour solennel, il lui fallait s’asseo
la terrasse du palais, d’où ils leur firent admirer le panorama de la ville . Le 15 juillet le président de la République, Van
pompeux des matelots excita l’attention générale des habitants de la ville . De toutes les fenêtres les gens regardaient et l
invitèrent à leur fête corporative. Même dans ses excursions loin des villes , les gens se pressaient sur son passage et la sal
hôtel brûla pour elle de plus de feux qu’il n’en alluma. Dans la même ville se passa une scène qui rappelle des épisodes de l
res à Philadelphie, à Baltimore, à Washington. Dans un hôtel de cette ville , Fanny fit la connaissance du ministre de France,
ontrait à peu près un gîte. Il n’y avait pas d’hôtel à Wilmington, la ville où l’on quittait le chemin de fer pour s’embarque
moignait, par des trépignements, qu’il était subjugué d’avance. D’une ville à l’autre la renommée grossissait le bruit de ses
es équipages à quatre chevaux. En décembre 1840 elle usa dans la même ville d’un traîneau superbe attelé de quatre chevaux bl
importuns. Ceci est une profanation et un manque de courage. » A la ville , Fanny observait les convenances plus sévèrement
importante à la construction d’un orphelinat catholique dans la même ville . La pensée maîtresse de Fanny Elssler en Amérique
avait exposé ses vues dans une lettre adressée aux notabilités de la ville , et qu’il faut citer tout entière, parce qu’elle
l y a près d’un an que je demandai s’il n’avait été établi dans cette ville aucun fonds pour le soulagement des acteurs âgés
sée à l’infortune et si digne de sympathie. « Dans toutes les grandes villes d’Europe, à Londres, Paris, Berlin et Vienne, des
formelle de mes services professionnels pour l’établissement, dans la ville de New-York, d’un fonds charitable, destiné au so
ork s’était passée dans une atmosphère de malaise et de tristesse. La ville avait été éprouvée par des krachs financiers et d
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 18 août 1668 »
lettre du 18 août 1668 Comme chacun, à leur exemple (Que toute la Ville contemple), De se signaler est ravi, C’est ce qu’
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 juin 1667 »
Robinet, lettre du 12 juin 1667 Encor un mot de notre Ville , Et puis notre Muse fait gile. C’est pour ajouter
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
ait en dansant cueillir des rameaux verts, qu’elle rapportait dans la Ville de la même manière. Toutes les portes des maisons
des Écussons entourés de guirlandes de fleurs, et que dans plusieurs villes de France on plante le premier jour de Mai, au-de
12 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — V »
nsi, une suite d’architectures constitue la fresque monumentale d’une ville  : la Cité, puis le Louvre, puis la Concorde et le
13 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
es efforts ne seraient pas inutiles. Des voyages dans les principales villes , de Bordeaux (a), de Marseille, etc., me firent a
adémie Royale de Musique . (a) Bordeaux est, après Paris, la première ville de France ou s’exécutent de grands ballets. Son s
llents danseurs même à l’Opéra de Paris. Depuis quelques années cette ville a donné trois ou quatre danseurs, qui ont tenu ou
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
-York. Je fis donc mes débuts de « danseuse » au théâtre d’une petite ville , que New-York ignorait totalement. Personne du re
des habitants, ne s’occupait de ce qui se passait dans ladite petite ville . A la fin de la pièce, le soir de la première, no
tai donc pas à revêtir mon costume, en scène et par-dessus ma robe de ville . Puis je fredonnai un air et me mis à danser très
ilement l’heure où je paraîtrais, enfin, sur cette scène de la grande ville . Au cours de cette tournée, et malgré les conditi
but à New-York, au Casino, qui était un des plus jolis théâtres de la ville . Là je pus, pour la première fois, réaliser mes d
e disait : « Loïe Fuller renaît de ses cendres. » Dès le lendemain la ville entière était inondée d’affiches sur lesquelles u
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
er si agréable. On peut mettre au nombre des Bals publics ceux que la Ville de Paris a donnés dans les occasions éclatantes,
irable sous la main vivifiante d’un homme de génie. [Voir Fêtes de la Ville de Paris] 106. Elle fut inventée par un Moine.
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début juin : Fragments du Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 juin 1667 »
Robinet, lettre du 12 juin 1667 Encor un mot de notre Ville , Et puis notre Muse fait gile. C’est pour ajouter
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
agilité,3 De grâce et de dextérité,4 Que les meilleurs Danseurs des villes N’auraient pas été plus habiles. Et pour mieux pr
18 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
Compagnons d’Ulysse chez les Thémésiens, lequel fut assassiné dans la Ville de Thémese par les habitans, en revenant du siége
emberg, qu’un certain jour qui est marqué, il passa dans cette grande Ville une espece de phantôme ou de grand homme, d’une f
n assembla jusqu’à 800 des deux séxes, & les conduisit hors de la Ville  : ils se perdirent ensuite si absolument, que que
oient devenus ; mais l’on a depuis trouvé au milieu de la Hongrie une Ville assez belle, dont les habitans ont le langage &am
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
à la hâte, et courut se joindre à la troupe dévote qui sortait de la Ville . Il était dans cet âge aimable où un garçon fort
esoin pour ne pas s’égarer. Il marche sans s’arrêter et il arrive. La ville d’Athènes était plongée dans la consternation la
20 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIX. Des Chassez de differentes façons. » pp. 175-182
lus faciles ou ceux qui m’ont parû les plus usitez dans les danses de Ville , telle que dans la Mariée, l’Allemande, la Babett
s manieres, mais comme je ne les ai point trouvé dans aucune danse de Ville , c’est ce qui m’oblige de n’en point parler.
21 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
croire pour quelques instants que tu n’as pas encore quitté Paris, la ville de joie ! C’était un bal de nuit, la fête était c
ait trop, fit irruption dans la salle, accompagné de deux sergents de ville . A la vue de l’autorité, le cercle s’élargit. Les
tais permis quelques commentaires ; mais, à l’arrivée des sergents de ville , je crus qu’il était de mon devoir de défendre mo
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
ntroduite, que les filles, à certains jours de Fête, allassent par la Ville toutes nues, et lui en demandaient la cause ; afi
’exerça à la chasse ; puis les amena tous deux en pleine assemblée de Ville où était tout le Peuple, et mit devant eux des fr
23 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Le « vendredi » de Mlle Nérys. »
nt l’allure et la forme du mouvement à la coupe de leurs vêtements de ville ou de soirée. Or les costumes très somptueux arbo
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
resse. La décoration représente les fortifications extérieures de la ville de Scyros. Hercule et Admète paroîssent à la têt
l’assaut. Hercule de son bras nerveux brise et enfonce la porte de la ville . Une partie des murailles s’ecroule. On pénetre d
mais ce Prince reçoit une blessure mortelle. Hercule ayant embrasé la ville de Scyros délivre Alceste ; elle voit son ravisse
25 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
ajustemens ; devenue l’oracle du bon goût, les dames de la cour et la ville s’empressoient de la consulter. Tout est bien cha
l’opéra, de modèle qu’il étoit, est devenu la copie des femmes de la ville . La première qui arbora l’étendard de l’indécence
st métamorphosée en scène de scandale et d’impudeur. Les femmes de la ville changent de forme et de costume tous les mois ; n
nature leur a primordialement imprimée. Ces perruques ont passé de la ville à l’opéra. Les habitans de Paris ayant adopté ces
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
rmé cela) Des Masques, environ deux mille, Tant de la Cour, que de la Ville , (Et peu d’entre eux sans diamant) Entrèrent en c
27 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
Hyménée l’idée d’aller à Athènes et d’annoncer aux habitans de cette ville désolée le retour de leurs filles chéries, et leu
conde et dernière partie. La décoration représente une place de la ville d’Athènes voisine de la mer ; elle est ornée des
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
. Lorsque Louis XII voulut montrer toute la dignité de son rang, à la ville de Milan, il ordonna un bal solennel où toute la
taient remplis par des personnes de considération de la cour et de la Ville . À droite et à gauche du centre du bal étaient de
s les plus distinguées de l’un et de l’autre sexe de la cour et de la Ville , avec ordre de ne paraître au Bal qu’en habits de
29 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XIV. De la maniere de faire les bras avec les pas de Sissonne. » pp. 249-251
vous fasse tourner, dont vous en trouvez plusieurs dans les danses de Ville  : par exemple, dans la Mariée à la fin du premier
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
 ; Si bien qu’avec plus de trois mille, Tant des champs, que de cette ville , Qui furent (non pas sans émoi) Rebutés aussi bie
31 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXX. Des Coupez du mouvement. » pp. 139-141
de ce pas dans l’Aimable Vainqueur ; qui est une fort belle danse de Ville , ils y sont placez de differentes manieres &
32 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVIII. De la maniere de faire les bras avec les Saillies, ou pas échapez des deux pieds à la fois. » pp. 268-271
traiter de la maniere de faire tous les principaux pas des danses de Ville , & de fournir en même tems les moïens les plu
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
ra quel était l’obstacle qui s’opposait à son bonheur. Le salut de la ville de Troie dépendait d’une statue de Minerve : la s
34 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XL. Des Saillies ou Pas échapez des deux pieds. » pp. 183-186
singulier dans son genre, & comme il est placé dans une danse de Ville intitulée la Babette ; je me trouve indispensable
35 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XII. De la maniere de faire les bras avec les Pirouettez. » pp. 243-246
ez obligé de faire pour vous élever. De plus, c’est que les danses de Ville qui ne sont que gracieuses par elles-mêmes, ne de
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
e se fut retirée, les Alpes s’ouvrirent. On vit dans l’éloignement la ville de Casals, les retranchements des Espagnols, et l
bière, qui viennent recevoir les Français, et ceux-ci entrent dans la ville , malgré les efforts des Espagnols. Alors Pallas,
n d’une Salle nouvelle dans Paris firent comprendre à la Cour et à la Ville que les Spectacles publics, vus jusqu’alors avec
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
La Danse noble, la belle Danse se perd, disait-on à la Cour, et à la Ville , lors même que nous avions, au Théâtre de l’Opéra
38 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIX. Discours sur les mouvemens en general. » pp. 67-70
que de donner l’instruction de faire les differens pas des danses de ville , c’est ce qui m’engage de ne me pas étendre sur c
39 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVI. Des Jettez, ou demies Cabrioles. » pp. 162-165
nner la maniere de faire les pas qui sont en usage dans les danses de Ville , c’est ce qui m’engage de ne pas embarasser l’Eco
40 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XLII. Des Battemens de differentes façons. » pp. 190-193
e plusieurs manieres, & qu’ils sont mêlez dans quelques danses de Ville , je vais donner la maniere de les faire avec faci
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
e feu Carnaval, Étant, en merveilles, fertile, Divertit la Cour et la Ville Fut rechanté, fut redansé, Encor Jeudi, dernier p
42 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVIII. Des pas de Bourée & des Fleurets. » pp. 122-132
placés à la fin de la Bretagne, & dans plusieurs autres danses de Ville  ; lorsque ces pas sont bien pris, ils sont des pl
ieres differentes ; mais comme je ne l’ai trouvé dans aucune danse de Ville  ; c’est ce qui fait que je n’en donnerai aucune e
43 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
r la récompense de son tableau que j’ai vû chez les Jésuites de cette Ville , qui en sçavent l’histoire par tradition. On trou
e, 120000 sesterces : & le Roi de Nicomédie voulant affranchir la ville de Guide de plusieurs tributs, pourvû qu’elle lui
e de lui donner une statue qui faisoit le plus grand ornement de leur Ville . Il s’est même trouvé d’excellens Peintres &
que tout le monde admiroit, lui fit des Entrées magnifiques dans les Villes où il avoit fait quelque ouvrage. Un décret du Sé
ture sur les murailles, elle demeuroit indifféremment dans toutes les Villes  ; un Peintre étoit un bien commun à toute la terr
tableaux de ce grand Peintre ; & ne pouvant mettre le feu dans la Ville par un autre côté que celui où étoit le Cabinet d
togene, poursuit le même Pline, travailloit dans un jardin hors de la Ville , près du camp des ennemis, & il achevoit assi
l’Italie. Baronius dit que le peuple Romain ayant découvert une autre ville sous terre, fut ravi d’y voir représenté en peint
, les instrumens servans à la guerre pour attaquer & défendre les villes , toutes les couronnes différentes pour marquer le
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
f, devant l’Arche, depuis la maison d’Obededon [Obed-Édom] jusqu’à la ville de Bethléem. Cette marche se fit avec sept chœurs
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
ianza le « diablotin brun » qui ensorcela à Petrograd « la cour et la ville  », il y a de cela quelque trente ans, et qui port
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
is, de Thésée et d’Hélène, l’entreprise de Castor et Pollux contre la ville d’Athènes, la mort tragique d’Hippolyte, le retou
ne, l’enlèvement de cette reine, l’embrasement de la plus florissante ville de l’Asie dont il est la cause. Voilà ce que lui
47 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
, avec la direction du théâtre de San-Francisco, à donner, dans cette ville , le 5 janvier 1869, à huit heures du soir, une re
-York avec sa troupe, et nous savons qu’il y a entre les deux grandes villes huit jours de chemin de fer à toute vapeur. En ro
modeste et très recueillie, à l’autel. Elle portait une toilette de ville très élégante et très simple : robe de soie gris-
s pour devise : Anvers e contre tous. Il paraît, du reste, que cette ville de Belgique ne tient pas une place médiocre dans
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
ement dire, constitue l’action. Dans le décor rigide et hautain de la ville fatale, la verve populaire s’est bâti en plein ai
49 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
faire se pourra, nous avons jugé à propos d’établir dans notre bonne ville de Paris une Académie royale de danse, composée d
t de poche, ou bien encore qu’ils échangeaient contre des bottines de ville … L’administration s’alarma de ces économies. On
50 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
sage Si jamais Vienne a mérité sa réputation, parfois discutée, de ville où l’on s’amuse, ce fut en 1815, à l’époque du Co
ambes, aristocratiques et populaires. La musique enveloppait toute la ville comme d’une atmosphère d’harmonie. On l’entendait
istiques de la race, Fanny Elssler grandit à une époque où Vienne, sa ville natale, donnait à la vocation d’une danseuse les
Elssler s’établit professeur de chant à Berlin et devint, dans cette ville , directeur des chœurs à l’Opéra Royal. Berlioz eu
à l’étranger fut nécessaire, avant que Fanny réussît à convaincre sa ville natale de sa supériorité. C’est à Berlin qu’elle
ureux relâchèrent à ce moment-là les liens qui attachaient Fanny à sa ville natale. Elle perdit coup sur coup Gentz, le 9 jui
51 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
e dans l’oubli, a été jugé par le tems. En Italie et dans les grandes villes , un opéra se joue pendant trois mois, après les q
52 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
achée, sans se faire connoître à personne. Alexandre entre dans cette ville en triomphateur. A ses côtés est le nouvel objet
53 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIX. Des Coupez de differentes manieres. » pp. 133-138
eulement un demi-coupé d’un tel pied. Il se trouve dans les danses de Ville des coupez battus : par exemple, vous faites votr
54 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
appelle Balets ambulatoires, qui se jouent de place en place dans les Villes , à l’occasion des Fêtes publiques. A qui Appien A
artie de cette place étoit ornée d’une décoration qui représentoit la Ville de Troie, avec ses tours & ses murailles : au
s Soldats Grecs sortirent de cette machine, & les Troïens de leur Ville , couverts de feux d’artifice, avec lesquels ils f
e danse merveilleux : le cheval jettoit des feux d’artifice contre la Ville , & la ville contre le cheval. Mais ce qui fut
eux : le cheval jettoit des feux d’artifice contre la Ville, & la ville contre le cheval. Mais ce qui fut plus digne d’ad
55 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
’une assemblée si considérable : les Dames les plus distinguées de la Ville de Trente, y parurent avec beaucoup d’éclat. La s
ccorder un petit droit sur les Robinets des Fontaines publiques de la Ville , pour régaler les Cantons. Henri IV. ayant lû le
fauteuils, pour les personnes de considération de la Cour & de la Ville  ; à droite & à gauche du centre du bal, étoie
lus distinguées de l’un & de l’autre sexe, de la Cour & de la Ville , avec ordre de ne paroître au bal qu’en habits dé
56 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
eindre, trouvé par les prêtres, nourri pendant quarante jours dans la ville du Nil, et servi par des femmes nues, était enfin
57 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXI. Des pas tombez & des pas de Gaillarde. » pp. 142-147
n conserve encore l’usage, & même il est dans plusieurs danses de Ville  ; ce pas se fait en avant & de côté, aprochan
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
ingénument) Le plus grand Divertissement, Tant de la Cour, que de la Ville , Et qui, seul, en vaut plus que mille, C’est le B
59 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
le Carnaval de Venise… Là-bas, à Copenhague, — la vieille et sainte ville , enfouie au fond du Nord, qui vous apparaît avec
ique de l’Opéra. Amalia Ferraris n’était danseuse qu’au théâtre. A la ville , dans son petit appartement de la rue de Provence
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
e, était sur le point de s’accomplir dans une des moins considérables villes d’Italie, et par les soins d’un simple particulie
61 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
e à Vienne La recette ne peut être aussi considérable parce que cette ville est moins peuplée que Londres. Les fortunes y son
62 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
ticulières ; autant d’associations, sans y comprendre le bureau de la ville , les régies des acteurs etc. etc. tant de variati
63 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVIII. Des Contre-tems de côté de plusieurs sortes. » pp. 168-174
autez, de retomber presqu’à la même place, surtout dans les danses de Ville où les pas doivent estre faits dans toute leur re
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
ent, à l’envi, leur richesse, et leur magnificence, ce fut dans cette ville si justement célébrée, que des hommes supérieurs
re de l’esprit, de l’imagination, et du génie ; ils embéllirent cette ville en y élevant des temples, des palais, des théatre
65 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
e partie. La décoration représente une grande place publique de la ville d’Argos ; un bucher est élevé au milieu de cette
le fond on apperçoit une partie des fortifications intérieures de la ville  ; une foule de peuple est rangée dans cette place
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
uvre par toute l’Italie. En France, excepté Paris et quelques grandes villes de nos départemens, le reste de notre immense pay
67 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
aimable petit Geste, Qui ma foi, paraît tout céleste, Et vaut que la Ville , et la Cour, Aille admirer ce jeune Amour. J’en
68 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
Juif, en accompagnant l’arche depuis la maison d’Obededon jusqu’à la ville de Bethléem. Cette marche se fit avec sept corps
, plusieurs troupes de jeunes citoyens des deux sexes sortaient de la ville au point du jour ; elles allaient en dansant au s
des rameaux verts ; elles les rapportaient de la même manière dans la ville , et elles en ornaient les portes des maisons de l
fleurs, qu’on plante dès l’aurore du premier jour de Mai dans tant de villes , au-devant des maisons de gens en place. Il y a p
69 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
Chapitre X le coucher de l’astre « Paris est la ville la plus essentiellement oublieuse. Tant que vous
entrée dans la salle. Elle n’avait pas l’intention de danser dans sa ville natale. On lui demanda si instamment de le faire
tes l’occasion de lui manifester leur cordiale affection. La première ville où Fanny, après son retour d’Amérique, donna une
rgentina un succès qui l’avait décidée à prolonger son séjour dans la Ville Eternelle. Un moment le Saint-Siège avait eu l’id
es étaient faites pour la tête et non pour les jambes145. » Dans une ville des Etats pontificaux, à Foligno, où Fanny donna
ntéressant, pousse ce soupir : reliqua desiderantur. De toutes les villes d’Italie, la plus dangereuse pour une artiste étr
Au milieu de tous ces bouleversements, Fanny ne changea pas. Dans la ville qui se rajeunissait elle eut le don de rester jeu
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
multitude, et furent sur le point de nuire à l’Art. Dans les grandes Villes , la singularité naturelle ou factice, est bientôt
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
e au degré de splendeur où nous pouvons croire sans orgueil que notre Ville Capitale est montée. Tant il est vrai que dans le
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
, que nous l’avons vue, il n’y a pas longtemps, charmer la Cour et la Ville , quoiqu’elle fût évidemment déplacée. Dans l’Acte
73 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVI. De la maniere de faire les bras avec les Contre-tems de Gavote. » pp. 255-263
un pas des plus gais : aussi est-il fort en usage dans les danses de Ville . La maniere d’en faire les bras n’est pas fort em
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
sur ces scènes scandaleuses qui se renouvellent chaque jour dans une ville riche et immense, Garrick avoit lu parole, et. ob
moit pour sa campagne, ses projets de construction pour une maison de ville , et pour la reconstruction de son théâtre ; l’att
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
ucoup plus qu’on ne pense. Toute cette pompe, après avait traversé la ville de Londres, arriva en bon ordre, et le Ballet com
76 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
eu le courage d’amener une troupe si loin de son pays natal dans une ville où personne ne comprenait un mot de japonais. Il
77 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
d’un homme tel que vous, dans la vie changeante et mêlée d’une grande ville , il en va tout autrement dans le tête-à-tête prol
78 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
le bouquet en bégayant : « Mademoiselle, au nom des jeunes gens de la ville … — C’est bien, c’est bien, messieurs, dit le père
e passa, et le lendemain elle partit sans cortège et sans bruit de la ville où elle avait eu son premier succès. L’année suiv
du médecin, chercher une femme de confiance qu’il me désigna dans la ville et qu’il chargea de veiller sur le mort et sur la
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
aque jour ils visitaient un quartier de Paris. Ils avaient partagé la ville en un certain nombre d’îlots et parcouraient parf
roid intense. Avec quelques amis je visitais le quartier pauvre d’une ville provinciale, où disait-on, les gens, travaillant
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
alent, écrivait le 19 janvier 1908, le maître de Meudon. « Toutes les villes où elle a passé et Paris lui sont redevables des
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
la grande artiste, deux fois compatriote, qui incarne le génie de ma ville natale, Saint-Pétersbourg aux parapets de granit
82 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
et de savans quitta l’Egypte, et se réfugia à Athènes, qui devint la ville favorite des arts, et des sciences. Chacun de ce
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
sont pas. La musique règne également partout ; on la trouve dans les villes et dans les villages, dans les rues et dans les c
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
réunies lui obtinrent le plus brillant succès tant à la cour qu’à la ville .   Je composai pour la Dlle. Guymard et le Picq l
85 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
et signé de M. Claretie lui-même. « Mme Hanako écrivait-il, est à la ville une petite personne, délicieusement curieuse et c
ien… C’est cela… Merci ! Sur la scène, une autre femme, en chapeau de ville , un cahier de notes à la main, très aimable aussi
86 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
randons, danse des brandons ; on exécutait cette danse dans plusieurs villes de France, le premier dimanche de carême, autour
évêques et des magistrats, il subsistait opiniâtrement dans quelques villes du royaume. A la fête de saint Martial, apôtre du
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvi » pp. 89-95
es ballets de M. Gardel ; ma réponse sera courte, j’habite une petite ville a cinq lieues de Paris ; à mon âge on se déplace
88 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
médiocre, mais Brichanteau a été de tout temps fasciné par Paris, la ville tentaculaire, dispensatrice de gloire. Pourquoi f
89 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
ns voix, dans lesquels on n’exécute que des symphonies. Dans quelques villes considérables de province, plusieurs particuliers
aque concert doit finir par un motet à grand chœur. Il n’est guère de ville en Europe où on ait tant de goût pour les Arts, d
ar le travail et l’industrie. Le Commerce seul fait la richesse de la ville de Lyon, et la bonne foi est le grand ressort de
s de Quinault étaient tous coupés pour la déclamation : la cour et la ville étaient contentes de ce genre ; elles n’avaient n
vec facilité. En fallait-il davantage à un musicien que la cour et la ville louaient sans cesse, qui pour soutenir son théâtr
90 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
de l’incendie par lequel il avoit détruit une partie de cette superbe ville . On peut encore dans une même Entrée exprimer des
91 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
e encore dans les Antiquitez de Fauchet, Liv. 8, chap. 7, que près la Ville d’Autun, environ la saint Jean, il se fit un orag
92 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
pas débuter avant un mois et n’arrivais même pas à savoir par quelle ville je commencerais. Un mois d’oisiveté ! Enfin, j’ap
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
n, on le lui montrera, en faisant ce qui n’a jamais été fait dans une ville où les ressources sont immenses en ouvriers et en
94 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
ens de parler, il entreprit de donner aux yeux de la Cour & de la Ville ces Tragedies Lyriques qui font encore l’admirati
95 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
il obtint des lettres-patentes, « portant permission d’établir en la ville de Paris et autres du royaume, des académies de m
nt chargés de la régie de l’Opéra ; enfin, en 1749, le roi donna à la ville de Paris la direction générale de l’Académie roya
n la comparait à l’édilité romaine, qui confiait aux magistrats de la ville le soin des spectacles publics. On s’occupa de ré
us de vingt-cinq ans, en possession des suffrages de la cour et de la ville  ; elle fut remplacée par la demoiselle Salé, dont
iverses depuis son introduction en France : tantôt administrée par la ville de Paris elle-même, tantôt par ses délégués, tant
qui veulent être entendus. On y sait les faits de la Cour, ceux de la ville et ceux de l’Europe. Il n’est pas un étranger de
96 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
n matière de stratégie, lorsqu’on connaît l’intérieur de la place, la ville , dit-on, est à moitié prise. A partir de cette pu
97 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
éristique : Un après-midi, la fille d’un architecte fort connu de la ville de Paris avait amené sa fillette à une matinée au
98 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
le soirée pour lancer ma protégée. J’invitai tout le beau monde de la ville . La première actrice du Théâtre National entendit
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
iste à prononcer avec des gestes : cependant, continue-t-il, toute la ville se met en mouvement pour lui voir réprésenter les
100 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
usage chez les Grecs, chez les Romains, & presque dans toutes les villes du monde. L’on attribue à Pylade & à Batylle
oute l’Italie : la jeunesse de l’un & de l’autre sexe sortoit des villes en dansant au son des instrumens, pour aller cher
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