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1 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
munique à vos sens, vos yeux lui obéissent et la préviennent : un feu vif les anime ; vous apercevez, vous détaillez, vous
émotion, votre chaleur, seront dans cette circonstance plus ou moins vives , selon le différent degré de connaissances antéri
réer, d’une image toute de feu qu’elle présente tout-à-coup à une âme vive , exercée, et délicate ; l’émotion qui la saisit e
ue l’âme n’éprouve point de sentiment, sans former le désir prompt et vif de l’exprimer ; tous ses mouvements ne sont qu’un
pant qui occupe l’âme, elle cherche à répandre au-dehors l’impression vive qu’il fait sur elle. L’impulsion qui l’a ébranlée
je crois fort certaine, j’oserais définir l’enthousiasme une émotion vive de l’âme à l’aspect d’un tableau neuf et bien ord
né qui la frappe, et que la raison lui présente. Cette émotion, moins vive à la vérité, mais du même caractère, se fait sent
us inspirer, tout cela n’est et ne peut être que l’effet de l’émotion vive qui a précédé dans l’âme de l’orateur celle qui s
enthousiasme de se communiquer et de se reproduire ; c’est une flamme vive qui gagne de proche en proche, qui se nourrit de
us animé ; leur feu mutuel est comme une balle de paume que l’adresse vive et rapide des joueurs se renvoie ; c’est là où no
sme constant établi par la nature. L’enthousiasme de ce genre le plus vif s’éteint, s’il ne se communique. Il y a en nous u
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
blant d’injures. Cette première partie du Ballet finit par une Entrée vive de Villageois qui virent la Vérité sans la craind
st plus une figure triste, fâcheuse, dégoûtante : c’est un personnage vif , gai, amusant, dont la parure et les discours son
ans le goût de nos farces anciennes ; mais le sortilège d’une Musique vive et saillante les rend extrêmement piquants. On ou
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
dre longtemps encore, alors que déjà ils étaient très loin, crier : «  Vive l’art ! Vive la Loïe ! ». Je me suis souvent dema
encore, alors que déjà ils étaient très loin, crier : « Vive l’art ! Vive la Loïe ! ». Je me suis souvent demandé si la pol
s de donner un soir une représentation en plein air. C’était mon plus vif désir. J’acquiesçai donc. On fit aussitôt des pré
par le public furent tout à fait surhumaines et me donnèrent la plus vive impression que j’aie ressentie. C’était immense,
geants. Il semblait s’être imposé en dépit de mes rebuffades, souvent vives et toujours désobligeantes, la mission de me comp
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
s deux hommes, l’un d’un génie mâle et vigoureux, l’autre d’un esprit vif et liant, formèrent le plan d’un Spectacle nouvea
entendues jusqu’alors. On était encore dans le silence que cause une vive admiration, lorsqu’un second spectacle succéda au
nna aux Acteurs le titre de Pantomimes, qui n’était qu’une expression vive , et point exagérée de la vérité de leur action. L
5 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78
et plus gracieuse, et renforcer et baisser les pointes pour la rendre vive et brillante. [3] L’artiste doit s’attacher à nua
nchaînement de temps, de pas de vigueur, réglés sur un motif musical, vif et précipité55. [5] * Soyez vigoureux, mais sans
temps, parviennent à corriger ces défauts. Arqués. Ils sont nerveux, vifs et brillants dans les choses qui tiennent plus de
vu la consistance et la résistance de leurs ligaments articulaires ; vifs parce qu’ils croisent plus du bas que du haut, et
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 11 avril 1671 »
Mardi, pour la seconde fois, Avec sa jeune, et belle Infante, Déjà si vive , et si brillante : Et deux des plus lestes Sauteu
7 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — V »
tantôt lents, tantôt rapides, ici des ondulations, là des bonds plus vifs ou plus vites ; alternant par masses, comme un pa
8 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
peindrez le désespoir et la fureur d’Harpagon avec des couleurs aussi vives , que celles que Molière a employées si toute fois
e, et formoient les parties avancées de celui-ci ; les couleurs moins vives et moins éclatantes étoient employées ensuite. J’
résors ; théâtre, qui souvent dénué d’action forte et privé d’intérêt vif , doit être riche en tableaux de tous les genres,
l n’est tranquille, il n’est harmonieux, si les couleurs en sont trop vives et trop brillantes, il détruira le charme du tabl
nt être admis, ainsi que tous ceux qui seront coupés par des couleurs vives et entières. Dans les décorations de goût et d’id
s, depuis le bleu foncé jusqu’au bleu le plus tendre ; depuis le rose vif jusqu’au rôse pâle ; depuis le violet jusqu’au li
9 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
ndrez le désespoir & la fureur d’Arpagon, avec des couleurs aussi vives que celles que Moliere a employées, si toutefois
& formoient les parties avancées de celui-ci, les couleurs moins vives & moins éclatantes étoient employées ensuite.
ors ; Théatre qui souvent dénué d’action forte & privée d’intérêt vif , doit être riche en Tableaux de tous les genres,
n’est tranquille, s’il n’est harmonieux, si les couleurs en sont trop vives & trop brillantes, il détruira le charme du T
nt être admis, ainsi que tous ceux qui seront coupés par des couleurs vives & entieres. Dans les décorations de goût &
s, depuis le bleu foncé jusqu’au bleu le plus tendre ; depuis le rose vif jusqu’au rose pâle ; depuis le violet jusqu’au li
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
avec eux une troupe leste et brillante, représentèrent par des Danses vives une Chasse à grand bruit. Elle fut terminée par l
voix les Amours dont elle était accompagnée, fondirent par une Danse vive et rapide sur elles, les poursuivirent avec leurs
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
tion théâtrale doit avoir trois parties essentielles. Par un Dialogue vif , ou par quelque événement adroitement amené, on f
vous en loue. Mais vous que la nature a comblé de ses dons, jeunesse vive et brillante qui êtes l’ornement du Théâtre, l’am
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
. Il est suivi par Eliza, jeune femme Indienne d’une rare beauté. Ses vives caresses, ses tendres soins, apprennent au specta
pour donner l’allarme dans l’habitation. Le combat commence ; il est vif , mais l’Indien est terrassé ; les sauvages veulen
exige. FIN. (1). On parviendra à donner à cette scène un mouvement vif et intéressant en consultant l’Encyclopedie sur l
13 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
pect d’une chaloupe que bat une horrible tempête, & par une Danse vive qui annonce la joie barbare que fait naître l’esp
es que le Public a donné à plusieurs Scenes de mes Ballets, l’émotion vive qu’ils ont causée, me persuadent que si je n’ai p
nsport ; & ils se retirent tous trois pénétrés de la joie la plus vive . Clitandre paroît sur la Scene ; son entrée est
ent ! il croit à peine ce qu’il voit, il ne peut se persuader qu’Inès vive encore, & doutant de son bonheur il exprime t
du dépit, jouée partie assis, & partie debout ; elle parut aussi vive , aussi animée & aussi naturelle que toutes le
e la Danse & les Ballets puissent leur procurer des plaisirs plus vifs . « Que l’on continue, ajouteront-ils, à faire de
que des sensations médiocres, & vous en éprouveriez de bien plus vives , si cet Art étoit porté au degré de perfection où
qui la suit est intéressant, & le combat qui termine cette action vive présente trois Tableaux à la fois ; c’est l’amiti
rte à l’objet de leur tendresse ; cette Scene longue à la lecture est vive & animée à l’exécution ; car vous savez qu’il
14 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
eignent tour-à-tour. Cette expression est cent fois plus animée, plus vive & plus précise que celle qui résulte du disco
our le feu, & les contorsions de la physionomie pour l’expression vive de l’ame. Ce n’est point tout cela chez M. Garric
y embarrassera toujours un Danseur, s’il n’est ferme & vigoureux, vif , brillant & précis. Je demanderai donc pourqu
s fortes que nous, ont-elles la physionomie rendre & voluptueuse, vive & animée, & toujours expressive, lors mêm
qui joindra aux difficultés & aux graces de l’Art cette Pantomime vive & animée, & cette expression rare de sent
bon goût. Permettez-moi donc de donner la préférence aux Physionomies vives & animées. Leur variété nous distingue, elle
us ceux au contraire qui sont favorisés de la nature, qui ont un goût vif & décidé pour la Danse, & qui sont comme
allumé du feu de cette passion. Non, Monsieur, l’imagination quelque vive qu’elle soit ne se prête point à des contre-sens
analogue à celle de nos jours ; car comment concilier notre exécution vive & brillante avec l’attirail lourd & incom
secours les plus utiles au langage sans parole, & à l’expression vive & animée des mouvements de l’ame désignés par
 : réunissons, Monsieur, à la beauté de notre exécution, l’expression vive & animée des Pantomimes ; détruisons les masq
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
re I. De la Danse profane La Danse ne fut d’abord qu’une expression vive de joie et de reconnaissance. Elle était comme un
16 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « A Sa Majesté l’Empereur de toutes les Russies. » pp. -
de recevoir de votre Majesté Impériale, a pénétré mon cœur de la plus vive reconnoissance. Non seulement elle me permet de l
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
ole par ses ordres dans les Airs ; elle y étale les couleurs les plus vives  : l’Amour frappé de ce brillant spectacle, après
18 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Danses de Mlle Svirskaya. »
ôt par une belle ardeur intellectuelle et une curiosité musicale très vive que par le jaillissement spontané du rythme salta
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
res, graves, et pathétiques. Toutes les compositions du second furent vives , gaies, et légères. Ils se réunirent d’abord, bât
nit avec tant de feu, avec des couleurs en même temps si douces et si vives . Elle plongeait quelquefois les Spectateurs dans
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
arquement reçurent l’image de Charles, avec les transports de la plus vive joie, et au bruit du Canon de la Ville et des Vai
vés en plusieurs quartiers de la Ville, on voyait exécuter des Danses vives sur des Symphonies qui exprimaient l’allégresse p
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
. Elle s’arrachait du Théâtre avec cette espèce de désespoir des âmes vives et tendres, qui ne s’exprime que par un excès d’a
urde149. Tant il est vrai que la Danse en action cause une émotion si vive , lorsqu’elle est habilement exécutée, que le Spec
22 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
utres, et dont les contrastes et le coloris doivent produire les plus vives sensations. Il est aisé de concevoir, d’après mes
des figures symétriques et des pas compassés, mais par une expression vive et animée, qui tienne le spectateur toujours atte
s avec des traits plus ou moins marqués et des couleurs plus ou moins vives , ne sont point ménagées avec art, et distribuées
23 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
rcer le cœur, s’il ne veut lui rendre le sien. Jason, pénétré du plus vif repentir, se jette, malgré les efforts de Créon,
vée vers le ciel, il la présente à Jason qui s’en saisit avec le plus vif empressement ; elle est déjà sur le bord de ses l
l de combler de faveurs une union si parfaite. Jason plein de la plus vive reconnoissance, embrasse Médée, la perfide se ret
24 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
& dont les contrastes & le coloris doivent produire les plus vives sensations. Il est aisé de concevoir d’après mes
figures symmétriques & des pas compassés, mais par une expression vive & animée, qui tienne le Spectateur toujours a
ec des traits plus ou moins marqués, & des couleurs plus ou moins vives , ne sont point ménagées avec Art & distribuée
25 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
’aspect d’une chaloupe que bat une horrible tempête, et par une danse vive qui annonce la joie barbare que fait naître l’esp
que le public a données a plusieurs scènes de mes ballets, l’émotion vive qu’ils ont causée, une persuadent que si je n’ai
transport ; et ils se retirent tous trois pénétrés de la joie la plus vive . Clitandre paroît sur la scène. Son entrée est u
nt ! il croit à peine ce qu’il voit ; il ne peut se persuader qu’Inès vive encore ; et doutant de son bonheur, il exprime to
cène du dépit, jouée partie assis et partie debout ; elle parut aussi vive , aussi animée et aussi naturelle que toutes les a
que la danse et les ballets puissent leur procurer des plaisirs plus vifs . » Que l’on continue, ajouteront-ils, à faire de
use que des sensations médiocres, et vous en éprouveriez de bien plus vives , si cet art étoit porté au dégré de perfection où
orte à l’objet de leur tendresse. Cette scène longue à la lecture est vive et animée à l’exécution ; car vous savez qu’il fa
26 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
eignent tour-à-tour. Cette expression est cent fois plus animée, plus vive et plus précieuse, que celle qui résulte du disco
pour le feu, et les contorsions de la physionomie, pour l’expression vive de l’ame. Ce n’étoit point tout cela chez M. Garr
oins fortes que nous, ont elles la physionomie tendre et voluptueuse, vive et animée, et toujours expressive, lors même que
ui qui joindra aux difficultés et aux grâces de l’art cette pantomime vive et animée et cette expression rare de sentiment,
bon goût. Permettez moi donc de donner la préférence aux physionomies vives et animées. Leur variété nous distingue ; elle in
us ceux au contraire que sont favorisés de la nature, qui ont un goût vif et décidé pour la danse, et qui sont comme appell
allumé du feu de cette passion. Non, Monsieur, l’imagination quelque vive qu’elle soit, ne se prête point à des contre-sens
nalogue à celle de nos jours : car, comment concilier notre exécution vive et brillante avec l’attirail lourd des Grecs et d
des sécours les plus utiles au langage sans parole, et à l’expression vive et animée des mouvemens de l’âme désignés par les
 : réunissons, Monsieur, à la beauté de notre exécution, l’expression vive et animée des pantomimes ; détruisons les masques
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
e jeunes Vierges qui se rassemblaient autour de l’Époux. Leurs Danses vives et modestes lui peignaient leurs chastes désirs,
bstituaient au Gloria Patri ce verset qu’ils chantaient avec les plus vifs transports de zèle et de joie : San Marceau prega
28 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »
e de profil à l’instar de Nijinsky dans L’Après-Midi, produit la plus vive sensation. Car cette parade délicieusement burles
voque Le Spectre de la Rose — et c’est fini. Le succès s’annonce très vif  ; et il n’a rien de forcé, de guindé, de démonstr
29 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
 ; elle n’étoit ni jolie ni grande ni bienfaite ; mais sa danse étoit vive , légère et pleine de gaieté et de brillant. Les j
les exécutoit avec une extrême facilité, elle ne dansoit que des airs vifs , et ce n’est pas sur ces mouvemens rapides que l’
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
i Charles VI qui y était venu masqué en Sauvage, faillit à être brûlé vif par l’imprudente curiosité du Duc d’Orléans. Le C
31 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
té des tableaux déchirans, qu’il lui présente, le pénétrer de la plus vive douleur, l’électriser au feu des passions, et des
confidence ; il savoit que l’à parte est l’expression d’une réflexion vive et prompte, qui nait de l’intérêt que l’acteur pr
ient lents, resserrés, et comprimés par la douleur. Dans les passions vives et violentes, l’expression animée de ses traits d
e médiocre, mais il étoit parfaitement bien fait, il avoit une figure vive et animée ; ses yeux disoient tout ce qu’il voulo
rice célèbre, qui lui à fait éprouver tour-à-tour toutes les émotions vives des sentimens, et des passions. Combien ses talen
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
Danse chez les Grecs, chez les Romains, et dans les derniers siècles. Vive , saillante, estimable et dangereuse tout à la foi
’eût offert dans ce moment le tableau de Danse le plus noble, le plus vif , le mieux lié à l’action principale. Rien de tout
livrée toute entière et sans retour, aux divers mouvements de la plus vive tendresse. Instruite par son art de l’état du cam
33 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
au mouvement de la mesure et des airs ; qu il y en avoit la lents, de vifs et d’accélérés : chaque mesure de ces airs variés
e. Mais on ne peut raisonnablement appeller danse une marche grave ou vive , on des gestes qui n’avoient d’autre expréssion q
leurs yeux, et les feux qui s’en échappoient, répandoient une lumière vive sur toutes les parties de leur physionomie ; leur
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
es époux s’approchent de l’autel ; l’Hymen allume son flambeau au feu vif et brillant de celui de l’Amour. Les Prêtresses d
esses. Ceci forme un pas de quatre plein d’action, exécuté sur un air vif et léger. La pomme passe alternativement des main
xécutent un pas orné de couronnes et de guirlandes de fleurs ; ce pas vif et brillant offre une foule de grouppes, de passe
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
le prix des talents, des cercles aimables qui en jouissent, des âmes vives et délicates qui les aiment. Ainsi un ouvrage qui
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »
este plus de nos jours que quelques faibles traces. Des plaisirs plus vifs et moins grossiers ont succédé à ces divertisseme
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VIII. De la Danse des Anciens considérée comme exercice. »
force pour rendre d’une manière agréable et précise, les expressions vives , fortes, et légères, dont elle était composée. To
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
nouvelles qu’il exécutait lui-même : chacune d’elles était une image vive et ingénieuse des traits estimables, des actions
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
e. Que ne peut pas la force de l’imagination sur les hommes d’un sang vif  ? Les Prêtres alors se croyaient vraiment inspiré
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
s exigeaient des recherches fines pour le choix des habits, des idées vives pour l’assortiment des personnages, de l’habileté
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
e, qu’on ai nommé intérêt, et il a autant de caractères plus ou moins vifs , qu’il y a de genres d’actions propres au théâtre
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
gle qui entraîne l’Artiste dans le précipice : le second est un amour vif pour la gloire qui l’élève tôt ou tard au plus ha
43 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
deux Danses différentes Semblaient des planètes errantes, D’un éclat vif et sans pareil, Dont Madame était le Soleil. Les
44 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
elles qu’elle reçoit de lui, allument dans son âme la passion la plus vive  ; et à l’aide de cette méthamorphose, l’Amour éta
les divinités qui l’accompagnent : Ce pas enfin rend avec des nuances vives l’action amoureuse de la grotte dérobée aux spect
Dans le même moment celui de l’Hymen s’allume ; mais sa lumière moins vive et moins éteincellante ne dure qu’un instant. Jun
45 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
tc. ces scènes, absolument nécessaires à la marche du drame, seroient vives et animées ; les danseurs seroient forcés d’aband
lligible par l’énergie et la vivacité de ses gestes, par l’expression vive et animée de sa physionomie : conséquemment la da
pour les Matelots. Au troisième acte, air marqué pour les Démons, air vif pour les mêmes. Au quatrième acte, entrée des Gre
ceux qui l’exécutent ont une ame et une expression de sentiment aussi vive qu’animée. Vous concevez, Monsieur, que pour pein
sans esprit ne peuvent ni servir le danseur, ni convenir à une action vive , il ne s’agit donc point d’assembler simplement d
renant de nouvelles formes, à mesure que l’exécution deviendroit plus vive et plus animée, tout auroit l’air svelte. Un élan
t plus vive et plus animée, tout auroit l’air svelte. Un élan, un pas vif , une fuite, agiteroient la draperie dans des sens
e, seroit plus vraie, plus naturelle ; que son action dailleurs étant vive et animée, elle la rendroit avec plus de feu et d
46 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
mp;c. Ces Scenes absolument nécessaires à la marche du Drame seroient vives & animées ; les Danseurs seroient forcés d’ab
ligible par l’énergie & la vérité de ses gestes, par l’expression vive & animée de sa Physionomie ; conséquemment la
our les Matelots. Au troisieme Acte, air marqué pour les Démons ; air vif pour les mêmes. Au quatrieme Acte, entrée des Gre
x qui l’exécutent ont une ame & une expression de sentiment aussi vive qu’animée. Vous concevez, Monsieur, que pour pein
p; sans esprit ne peuvent servir le Danseur, ni convenir à une action vive . Il ne s’agit donc point d’assembler simplement d
renant de nouvelles formes, à mesure que l’exécution deviendroit plus vive & plus animée, tout auroit l’air léger. Un él
plus vive & plus animée, tout auroit l’air léger. Un élan, un pas vif , une fuité agiteroient la draperie dans des sens
e seroit plus vraie, plus naturelle ; que son action d’ailleurs étant vive & animée, elle la rendroit avec plus de feu &
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
tous leurs mouvements. Observez cette pâleur subite, ces contorsions vives , ces cris perçants, lorsque leur âme est affectée
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
s à la main des tambours, et ils chantèrent en dansant, avec les plus vifs transports de reconnaissance, ce beau Cantique qu
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
élicate de l’esprit, et on ne fait rien sans elle. C’est un sentiment vif , prompt et sûr, qui met tout à sa place et qui ne
50 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
r ; aussi le plaisir que j’ai goûté samedi à Mogador fut-il tellement vif et d’une qualité si rare que je répugne quelque p
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
ires et tant soit peu barbares de la mise en scène, est l’un des plus vifs qu’on puisse imaginer. Sur le plateau de l’Opéra,
e la maîtrise ; au lieu de sourire aux applaudissements toujours très vifs , elle reste absente, fascinée par le désir de per
52 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156
jour ou l’intervalle qui les sépare naturellement. Ils sont nerveux, vifs et brillants dans les choses qui tiennent plus de
t vû la consistance et la résistance de leurs ligamens articulaires ; vifs , parce qu’ils croisent plus du bas que du haut, e
es battemens étant, pour ainsi dire, réuni dans un point, paroit plus vif et plus brillant ; l’œil l’embrasse tout entier ;
53 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
our frappé des charmes de Psyché, conçut pour elle la passion la plus vive , et qu’il se détermina à l’épouser ; que la curio
la troupe enjouée se plaît à lui peindre(1). Scène II. Un trait vif et brillant d’harmonie annonce l’Amour ; ce bruit
en, l’Amour, Psyché et toute la cour de Vénus se livrent à des danses vives et légères, symbole heureux de l’allégresse. Cett
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
poison le plus subtil que la Nature souffle au-dedans : une commotion vive en arrête le progrès, détourne sa malignité et la
55 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
a splendeur cachée des âmes simples. Volontiers elle peint d’un trait vif et brillant les pauvres gens en qui elle trouve q
56 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
 : Les Sorcières gigantesques qui ont obtenu un succès d’imprévu très vif . Les danseuses se profilent sur un écran violemme
57 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 14 juillet. « La Maladetta ». »
eur avec des éléments de virtuosité réelle et, en outre, un sentiment vif du caractère ; aussi le « jeune premier » de la p
58 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
et en séduisant l’oeil elle captive le coeur, et l’entraine aux plus vives émotions ; voila, ce qui constitue l’art. Lorsqu’
e de l’âme, sont assurés de produire le plus grand éffet, et les plus vives émotions ; mais on ne peut espérer d’intéresser,
59 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
s séduisantes font sur le cœur du jeune guerrier l’impression la plus vive . Les tableaux animés du plaisir effacent de son a
tenant des couronnes et des guirlandes, est exécuté sur le mouvement vif d’un passe-pied ; les entrelacemens, les passes r
60 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
plaisanta : « Fanny, disait-il, déploie toutes les grâces coquettes, vives , agaçantes, un peu mignardes de sa danse ; Thérès
e toucher, la physionomie de la danseuse exprimait la douleur la plus vive . Pendant que les chirurgiens discutaient avec cha
ut particulier : dans les écarts les plus excessifs de cette danse si vive et si libre, elle n’est jamais indécente ; elle e
la terre de ses bras, qui font claquer les castagnettes et se relève vive et preste comme un oiseau, en jetant à son danseu
penchant que l’écolier a pour Florinde, en lui faisant saisir sur le vif les manèges et les frivolités de cette charmante
et sans remords, je ne sais pas une joie plus grande, un plaisir plus vif  : voir danser Mlle Taglioni, courir à sa suite, j
est pas la sylphide aux ailes de soie et d’azur, c’est la jeune fille vive , gaie, insouciante et légère. » La foule n’eut pa
tement le chemin de Paris. C’était le 24 octobre. Le froid était déjà vif . A cinq heures du matin, comme la voiture approch
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
e et la Danse occupaient agréablement leurs autres sens. Ces saillies vives , ces traits légers, ce badinage élégant, qui sont
62 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
toyen qui le projette, on a besoin encore d’un coup d’œil juste, d’un vif amour pour le grand, d’un penchant invincible pou
63 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
ois. Mes conclusions ? Cette vérité de La Palisse : pour qu’un ballet vive il faut avant tout que l’on y danse. Et je persis
64 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 mars. Le cas des Sakharoff. »
servant de certaines réalités, de quelques observations prises sur le vif , le grand critique créa la légende des Sakharoff,
65 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314
jour ou l’intervalle qui les sépare naturellement. Ils sont nerveux, vifs & brillants dans les choses qui tiennent plus
la consistance & la résistance de leurs ligaments articulaires ; vifs , parce qu’ils croisent plus du bas que du haut, &
s battements étant, pour ainsi dire, réuni dans un point, paroît plus vif & plus brillant ; l’œil l’embrasse tout entie
66 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
, talent qu’on ne trouve jamais que dans les hommes d’une imagination vive et d’un sentiment exquis ; toutes ces choses sont
ue le ballet (genre tout entier à la France, le plus piquant, le plus vif , le plus varié de tous) a été imaginé et goûté, t
à laquelle on pense le moins : c’est pourtant l’action intéressante, vive , pressée, qui fait le grand mérite de ce genre. I
nos jours le fond de la féerie, dont nous nous sommes formés une idée vive , légère et riante, a paru propre à produire une i
67 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
e s’asseoir en attendant que je pusse les recevoir. L’émotion la plus vive demeurait empreinte sur la petite figure de l’enf
able. Mon souvenir, ou plutôt le souvenir de mes danses, demeurait si vif en lui, résumait si bien l’idée qu’il se faisait
68 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
plaudissais ; mais tout en regardant ses petits pieds, si pressés, si vifs , si amusants, je me disais : « Ce n’est pas ça, l
ai parlé de Wagner, de Victor Hugo et de M. Ingres parce que j’ai un vif sentiment de l’égalité entre les arts et, malgré
69 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
désespoir. Il embrasse Arlequin, & lui prodigue les marques d’une vive amitié : celui-ci feint de le plaindre quand le S
qu’il éprouve ; & tout le monde se retire au bruit d’une musique vive , qui exprime tour-à-tour les horreurs de la guerr
70 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
dans un pas de deux, peut exprimer sa flâme4 : L’autre, d’un pas plus vif sait égayer notre âme5. Gardel peut d’un héros n
mporta quelque temps sur les plus nobles pas. Le bruyant Fandango, la vive Provençale21 Qui sans cesse bondit, qu’en gaîté
indre une Nymphe11 et l’amant qui l’agace ? Que vos gestes, vos yeux, vifs et lents tour-à-tour, Expriment vos desirs, vos c
brillant de sa propre beauté. &c… Le Pâtre est plus joyeux ; vif , adroit et malin, Que dans la gaîté même, il gard
izarre Rend un poëme entier ou burlesque ou barbare. &c… Soyez vif et pressé dans vos narrations : Soyez riche et po
lanter la scène. Ne me révoltez point par une image obscène. Soyez vif et fertile en imitations11 : Soyez pompeux et ric
n art peut-être eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses vives peintures Il n’eût fait quelquefois grimacer ses
e de quatre couplets, sur des airs différons ; le dernier est l’air : Vive Henri quatre, &c.   Pas d’Henri quatre. On n
des Danses allemandes qu’on nomme boiteuses ; l’air est à trois temps vifs  ; mais en général, l’allemande est à deux temps m
rois temps vifs ; mais en général, l’allemande est à deux temps moins vifs que l’anglaise, et plus vifs que la contredanse f
éral, l’allemande est à deux temps moins vifs que l’anglaise, et plus vifs que la contredanse française. Son pas est simple,
llante, ainsi que le boléro.   Provençale ; Danse de Provence, gaie, vive et charmante, air à deux temps. Elle s’exécute au
onne, terme de musique et de danse. Cet air est à trois temps, un peu vif  ; en général, il ne commence qu’au deuxième temps
élicate de l’esprit, et on ne fait rien sans elle. C’est un sentiment vif , prompt et sûr, qui met tout à sa place, et qui n
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
es que la liberté, le plaisir et la joie : ses danses étaient l’image vive de la gaieté, des transports de Bacchus. Au retou
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre V. Honneurs et Privilèges accordés à la Danse »
ns la personne des grands Artistes ; mais j’éprouve un sentiment plus vif encore, lorsqu’en parcourant les Annales de Rome,
73 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
iers temps, avant la naissance même des autres arts, la Danse fut une vive expression de joie. Tous les Peuples l’ont fait s
74 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
, son élévation réelle et sans rien de forcé. Son sens plastique très vif . Ses entrechats, ses doubles tours en l’air, fixé
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
r, Fleurira l’empire d’Amour ! Ô Que ces rares Créatures Causeront de vives pointures ! Que la belle et chère Toussy Remplira
76 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
ps de théatre bien préparés, mais toujours inattendus, par une action vive , par des grouppes bien dessinés et artistement co
, et fort incertaine encore, pénètre l’ame de Clytemnestre de la plus vive inquiétude ; un songe funeste lui a peint les plu
t, elle recule épouvantée et se livre aux transports d’une affliction vive et fortement sentie. Iphise mêle ses pleurs aux l
à sa sœur une reconnoissance qui pourroit lui causer une émotion trop vive , se jette a ses pieds et lui présente une lettre.
as ; le plaisir l’empêche de voler à lui ; l’excès d’un bonheur aussi vif et aussi inattendu semble anéantir toutes ses fac
77 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
ivation d’objets instructifs, à cependant excité en moi une émulation vive dont je n’aurois peut-être pas été animé, si j’av
i que l’idée la plus imparfaite et la plus foible de l’action la plus vive et la plus variée. Celle qui la suit, lie l’intri
cœur doit y être toujours agité. Ainsi, comment décrire l’expression vive du sentiment et l’action animée de la pantomime ?
ur, elle passe subitement de cet excès de tristesse à la joye la plus vive et la plus immoderée. Ces transitions soudaines,
78 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
rivation d’objets instructifs a cependant excité en moi une émulation vive dont je n’aurois pas été peut-être animé, si j’av
ue l’idée la plus imparfaite & la plus foible de l’action la plus vive & la plus variée. Celle qui la suit, lie l’in
cœur doit y être toujours agité ; ainsi comment décrire l’expression vive du sentiment & l’action animée de la Pantomim
ur, elle passe subitement de cet excès de tristesse à la joie la plus vive & la plus immodérée. Ces transitions soudaine
79 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
ne dit rien, tandis que ses gestes ou ses pas expriment le sentiment vif dont il est agité. On ne peut se distinguer au th
t aux mouvemens de l’ame du danseur ; j’exige que dans une expression vive , on ne forme point de pas lents ; que dans une sc
ssion aussi forte, si cependant les images de la pantomime sont aussi vives aussi frappantes et aussi animées que celles du d
80 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
spectacle aussi imposant que magnifique était terminé par des Danses vives et gaies qui faisaient passer la joie et l’amour
81 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
e et ses Nymphes prennent une course légère et rapide, et cette danse vive et brillante offre d’instans en instans des group
érale, à la quelle Alexandre daigne se mêler. Les mouvemens nobles et vifs de cette dernière fête, caractérisent la félicité
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
’art, et plus il s’achemine vers la perfection. Son aiguillon le plus vif est l’espoir de la gloire. La familiarité au cont
83 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
re avec éclat. Le soleil, en se montrant sur l’horizon, efface par sa vive lumière, tous les objets les plus brillans : je v
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
urent de toutes parts ; et ce petit ballet est terminé par des danses vives et voluptueuses.
85 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
aire, on voit que ce Ballet forme une Action complète ; qu’elle y est vive , intéressante, et marche toujours à sa fin, sans
r l’à plomb, ils dansent presque toujours sur des airs d’un mouvement vif et rapide. Ils ne pourraient même marcher sans to
86 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
e bonheur. Pourroit-on se dispenser de nommer cette action franche et vive , danse naturelle, ou danse primitive ? Il faut co
de tout tems il exerca son empire sur les coeurs et que les passions vives qu’il alluma stimulées par le désir de plaire à l
87 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159
é des passions a prêté aux gestes et à la physionomie cette éloquence vive et animée que les sujets tendres et langoureux m’
e l’action et l’expression avoient allumé ; ni amorti les impressions vives qu’elles venoient de faire éprouver au spectateur
88 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
qui s’oppose, ainsi que je le prouverai dans la suite, à l’expression vive & à l’action animée qu’elle pourroit avoir, s
s au récit ou au dialogue. Tout Ballet qui dénué d’intrigue, d’action vive & d’intérêt, ne me déploie que les beautés mé
89 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
otre tableau soit en harmonie, et que les effets principaux aient une vive expression qu’accompagne une grâce séduisante. La
anières différentes ; ce sont donc ces pas lents et soutenus, ces pas vifs , précipités, et ces temps plus ou moins ouverts,
ité de la bonne musique qui donne à ceux qui l’exécutent un sentiment vif de la mesure, en sorte qu’ils la marquent et la s
90 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
rvantiam Christi erubescamus.  » Plus les sentimens de Religion sont vifs au-dedans de l’ame, plus il est difficile qu’elle
qui les dicte, on seroit attendri par le spectacle d’une religion si vive , si enflammée et si pure. Il faut porter le même
mple de David, dont la danse n’exprimoit que les sentimens de la plus vive religion. Il ne reste plus qu’à répondre à l’endr
91 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
point encore produit quelques-unes. Ma surprise est redoublée par la vive persuasion où je suis que vous avez tous les tale
ême à n’y mettre que de petites phrases, qu’on prend pour un dialogue vif & coupé. Que M. de Voltaire ne craigne donc p
postérité. « Combien de gens ignorent le mérite des Pantomimes  » ! Vives & saillantes, sans froideur & sans lieux
92 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
ut banale, — fermée osbtinément aux indifférents et aux curieux, — et vive , et nerveuse, pourtant, dès qu’on entre en commun
immenses glaces taillées en losanges, qui reflètent les bougies rose vif du lustre et des appliques, semblables à une flor
eur lui-même. Il adorait son art et sa fille. Aussi, malgré une assez vive opposition de sa femme, ne songea-t-il pas un ins
93 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
obstacles sans cesse renouvellés qu’il me présentoit, répandirent une vive lumière sur mes travaux. Le résultat de mes obser
alousie de Pallas et de Junon, fournit, pour ainsi dire, des couleurs vives à leur expression ; les attraits touchans des Gra
; dans l’instant où tout le inonde se livre à l’expression d’une joye vive et pure, que les tables sont servies, que l’on bo
on des haubois, des flûtes et des chalumeaux anime cette fête, danses vives et voluptueuses, courses légères, jeux de guirlan
cription de ce ballet paroitra longue ; cependant son exécution étoit vive et rapide. Je pourrois ajouter ici d’autres exemp
94 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
lascives. Leur nom désigne assez quel était leur emploi, les figures vives dont elles étaient composées, les airs expressifs
95 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
apidité surprenante, et l’Opéra fut reçu en Italie avec cette passion vive qu’inspirent aux hommes sensibles toutes les nouv
96 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
lore Sous les plis des maillots, vermeils comme l’aurore ; C’était la vive Elssler, ce volcan adouci, Lucile et Carlotta, ce
97 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
aient sans art, mais non pas toujours sans grâce, une joie franche et vive . Ensuite les règles s’établirent au son des instr
98 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
vent juger sainement des arts, sans les avoir étudi2s. Les sensations vives qu’ils éprouvent en examinant un bon tableau, en
99 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
’un des suivants de Bacchus, qui en fut l’inventeur. Elle était gaie, vive , et du caractère de nos passe-pieds, de nos gavot
vrage en est plein. Le branle et la bourrée sont en entier d’un genre vif , léger, et gai. La cycinnis ne pouvait donc pas ê
du dieu qu’ils en croyaient l’inventeur. Elles étaient d’un caractère vif et gai. Les jeunes filles et les jeunes garçons l
ls exprimaient par leurs figures, leurs pas, et leurs gestes, la joie vive d’une noce. C’est une des danses qui étaient grav
100 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
thiques ; comme il est cependant le seul grand Spectacle d’une Nation vive , délicate et sensible, il n’est pas étonnant qu’i
t un nouveau genre d’action théâtrale, qui pouvait donner un feu plus vif à l’ensemble de sa composition, des Fêtes aussi a
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