es. Comment… je n’ai pas vu la reine Victoria. — Un jour, à Nice, on
vint
me demander de danser devant la reine Victoria. E
à Nice, on vint me demander de danser devant la reine Victoria. Elle
venait
d’arriver sur le littoral, comme elle le faisait
infiniment plu. Mon mari est allé sur la plage. Ne voudriez-vous pas
venir
lui parler de vos éclairages changeants. Je suis
a mère qui m’attendait. Lorsque je rentrai à l’hôtel, le propriétaire
vint
au-devant de moi. — Vous avez eu un grand succès,
Dans la voiture plusieurs personnes parurent me reconnaître. Une dame
vint
s’asseoir à côté de moi et se mit à me parler. Lo
is en train de me rhabiller, lorsqu’une des femmes de l’établissement
vint
me dire : — Voulez-vous, je vous prie, revenir da
rquise, accompagnés de quelques dignitaires de la suite du souverain,
vinrent
dans ma loge et m’apportèrent un drapeau persan,
ix pieds de haut, qui semblait quelque prince des Mille et une Nuits,
vint
sur la terrasse où nous étions assis. Il était ac
jouta-t-il. Si cela peut vous être agréable de faire sa connaissance,
venez
, je vais vous présenter. J’étais ravie. Lorsque j
is que nous devenions amis… Je dansais à Marseille à cette époque. Il
vint
au théâtre et demanda à me voir, après la représe
sister à une de vos cérémonies religieuses. Le chef noir me promit de
venir
à mon hôtel et de me donner une idée de ce qu’éta
se de moi. — Je dansais à New-York, lorsque la suite de Li Hung Chang
vint
un soir au théâtre. Des amis me présentèrent à l’
à cause des riches coloris du vêtement du haut mandarin, on en était
venu
à parler de moi et de mes danses colorées, mon am
égrader !… Il y a huit ans de cela. Je pendis ma jaquette jaune et on
vient
seulement de me la rendre. Mon amie plaida ma cau
airait. Jamais je n’aurais cru possible, en effet, de lui demander de
venir
à l’Hippodrome. Une de ses dames d’honneur me rép
la peine d’être vues. Si je plais, la Reine me demandera peut-être de
venir
danser un jour devant elle. » Je montai dans ma
é une telle tristesse. J’aurais préféré mille fois qu’elle ne fût pas
venue
. J’appris, par la suite, au théâtre même, qu’on a
evait repartir à quatre heures. Le directeur qui croyait que la Reine
venait
voir l’Hippodrome, n’avait pas attaché d’importan
emain, tous les journaux racontèrent, que la Reine d’Angleterre était
venue
à l’Hippodrome, malgré ses obligations multiples,
as un mot. Pourtant, comme j’avais écrit à la Reine, pour la prier de
venir
, il me parut que je devais m’excuser de mon appar
e de mon retard, dont je ne me fusse pas rendue coupable, si on était
venu
m’avertir. Je regrettais qu’on ne se fût pas adre
moi, au lieu de prévenir le directeur. Le même soir une de mes amies
vint
m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame
it la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’elle connaissait, de
venir
me voir danser à l’Hippodrome. — Cela rendra vos
danses célèbres dans le monde entier, me dit cette amie. Et la Reine
viendra
, j’en suis sûre, si cela lui est possible. Au com
dai mon amie et m’écrirai : — Mais alors, c’est pour cela qu’elle est
venue
cet après-midi ? — Elle est déjà venue vous voir
s, c’est pour cela qu’elle est venue cet après-midi ? — Elle est déjà
venue
vous voir ! Je n’aurais pas cru à tant de prompti
ue vous voir ! Je n’aurais pas cru à tant de promptitude. — Elle est
venue
à la matinée. Et en détail, je racontai toute l’h
nses. Quant au directeur, il est demeuré convaincu que la Reine était
venue
voir non Loïe Fuller, mais l’Hippodrome, et rien
orchestre Gourlier. — Tendre la perche. — Les coulisses. — Ceux qui y
viennent
. — Alexandre Flan. — Ernest Blum. — Pourquoi je n
fant de quinze à seize ans, fille d’une ouvreuse de la salle. Elle ne
vient
jamais aux répétitions et elle sait tous les rôle
un tel point, qu’elle remplace, le soir, instantanément, la première
venue
. Et cela sans se tromper d’un mot, d’une virgule.
trésor pour les Délassements. Car trop souvent ces dames oublient de
venir
, retenues qu’elles sont, l’une par le vilain temp
nne jusqu’à midi des leçons de déclamation aux débutantes du théâtre,
vient
faire répéter jusqu’à quatre heures, et le soir j
Alexandre Flan. Ce jeune vaudevilliste, une des gloires du théâtre, y
vient
juste trois fois par chacune de ses pièces. Le jo
VII En revanche, son collaborateur habituel, M. Ernest Blum, y
vient
tous les soirs. Je crois qu’il y couche. VIII
t d’habits noirs inconnus. Mais ceux-là ont parfaitement le droit d’y
venir
. Ce sont MM. Alphonse Royer, directeur de l’Opéra
, Albert Wolff. Il y a deux ans, Edmond About n’en sortait pas Il n’y
vient
plus depuis que les blondes sont en majorité, et
tre aussi de ce côté-là, moi ?… Oscar. Certainement ; si vous étiez
venue
hier répéter, vous le sauriez. Mélina. Hier, je
tre remplaçante est-elle là ? Rose. Non, monsieur. Elle ne peut pas
venir
… Elle reçoit aujourd’hui. oscar Bon… voilà une r
coupe quelque chose, à moi, je ne joue pas. L’auteur. Mais vous ne
venez
jamais répéter, vous non plus. Paurelle. On rép
ette. Tiens, je croyais être en avance… Oscar. A votre place, je ne
viendrais
pas du tout. henriette. Et vous feriez joliment
ncore ? m lle Gérard. Il y a que c’est une infamie et que vous allez
venir
avec moi chez le commissaire… m lle febvre. Ça m
e arrêter. Oscar. Mesdames, taisez-vous et répétons. m lle Gérard.
Venez
… allons, venez, ou je fais chercher un sergent de
car. Mesdames, taisez-vous et répétons. m lle Gérard. Venez… allons,
venez
, ou je fais chercher un sergent de ville. m lle
ns, venez, ou je fais chercher un sergent de ville. m lle febvre. Je
viens
… mais tu me le payeras. (Elles sortent furieuses.
Mélanie. Elles vont chez le commissaire, faut que j’aille voir cela.
Viens
-tu avec ?… mélanie. Marche devant. Au bout de tr
e leur premier menuet est fini, la Reine convie une autre Cavalier de
venir
danser avec elle, & après qu’ils ont dansé, i
e une autre à la personne avec qui il doit danser, pour la convier de
venir
danser. Mais si la personne que vous conviez parl
si la personne que vous conviez parloit à quelqu’un, & qu’elle ne
vienne
pas aussi-tôt, il faut se transporter à l’endroit
p; se va placer, afin de faire place à ceux qui dansent. Mais si l’on
vient
vous reprendre, lorsque c’est à vous de prier, il
tte regle est également pour les Dames. De même que lorsque l’on vous
vient
prier pour danser, il faut vous transporter à l’e
allez faire une reverence à une autre Demoiselle, pour la convier de
venir
faire la reverence avec vous, afin de ne point dé
otalement ma promesse jusqu’au jour de la représentation où un billet
vint
me la rappeler. J’avais négligé de demander à mon
ocié de mon directeur m’avait demandé, comme une véritable faveur, de
venir
à un bal donné par des amis à lui et d’ouvrir ce
e cet orchestre, M. Sohmers, enthousiaste comme le sont les Roumains,
vint
me voir après que j’eus dansé et me prédit mervei
ns un petit salon où l’on me pria d’attendre jusqu’à ce que quelqu’un
vînt
me chercher pour paraître en scène. Une heure, et
en scène. Une heure, et même davantage, se passa. Enfin, un monsieur
vint
me dire que tout était prêt. Par un corridor j’at
s sous les yeux. Aucun journaliste, disait-on, n’avait été autorisé à
venir
à la fête. C’était un avocat, très petit de taill
pas dans un nouveau monde. Nous abondâmes en Allemagne. Mon directeur
vint
à notre rencontre et nous emmena à Berlin. Mais,
ma mère tomba gravement malade. A l’époque dont je parle, le choléra
venait
d’éclater à Hambourg. La maladie de ma mère se dé
contrat. Il allait retourner en Amérique avec une troupe qu’il était
venu
tout exprès pour engager en Allemagne. Il me para
onnu, et qui est devenu directeur de théâtre depuis, M. Marten Stein,
vint
me voir et j’essayai de rester au music-hall où j
temps de gagner de quoi partir et d’attendre un nouvel engagement qui
viendrait
peut-être. Je pensais à Paris plus que jamais. Ah
Mon engagement était pour le printemps suivant. L’hiver passé, avril
venu
, le jour même où nous devions nous embarquer pour
ui avait servi d’intermédiaire entre le directeur russe et moi, était
venu
à la gare pour me dire adieu. Lorsqu’il vit que j
are pour me dire adieu. Lorsqu’il vit que j’avais manqué le train, il
vint
chez nous et mena un beau tapage. Pendant ce temp
de moi à personne. Deux jours durant, je me cachais lorsque quelqu’un
venait
, et j’avais pris une garde-malade pour veiller ma
n départ, une jeune Anglaise, que je n’avais vue qu’une ou deux fois,
vint
faire visite chez nous, et voyant ma mère très ma
es jadis et qu’elle avait rencontré chez nous. Je ne l’avais pas fait
venir
parce que je redoutais trop de faire quoi que ce
lors j’attendis que le jour se levât et peut-être aussi que quelqu’un
vînt
qui pourrait m’aider. Vers neuf heures des gens a
e moment dans la capitale allemande. Je les priais, à tous hasard, de
venir
à la gare et de m’apporter un peu d’argent pour q
mponné le visage avec mon mouchoir, il vit combien j’étais triste. Il
vint
s’asseoir en face de moi et je compris à l’expres
ait la foule. Il me prit dans ses bras et me dit : — Elle vit encore,
venez
! Dans la voiture il me recommanda : — Entrez dan
nd, ma loge regorgeait de fleurs à raison des visiteurs de marque qui
venaient
me voir et à qui la direction offrait le champagn
jà soif. Un habitué , à son ami. Parole d’honneur ! tu n’es jamais
venu
ici, toi ? L’ami. Parole d’honneur ! L’habitu
t que c’est son oncle. L’ami. C’est donc cela ? — Est-ce qu’elle va
venir
? L’habitué. Sois-en convaincu. Les bals du Cas
us. Mademoiselle, je… Alice. Il est vilain, ton ami. — Monsieur ne
vient
pas souvent ici, n’est-ce pas ? l’ami. C’est la
ougit et ne répond pas. — Tu ne veux pas le dire, — ça m’est égal… Tu
viens
en incognito ; est-ce que tu es marié ? L’ami.
rend de l’aplomb. Tiens, moi qui te parles, il y a six mois, avant de
venir
ici, j’étais plus bête qu’une bouteille vide. — J
monte, alors. Alice , à l’ami. Çà t’est égal, mon vieux, qu’Alida
vienne
se rafraîchir avec nous ? L’ami. Au contraire,
lida. Par vocation, oui, monsieur. L’ami. Il y a longtemps que vous
venez
ici ? Alida. Depuis la fondation. — Monsieur es
st très-amusant. Alida. — Je te crois. — C’est pour cela que nous y
venons
tous, et que le Casino-Cadet gagne des millions.
, je ne sais pas danser. Alida. — Alors, au plaisir de te revoir. —
Viens
-tu, Alice ? Alice. — Voilà. — (Saluant.) — Mess
L’ami. — Je dis que c’est charmant et que je suis enchanté d’y être
venu
… L’habitué. — N’est-ce pas ? L’ami. — Pour n’
d’ardents Chasseurs, De Diane, les Précurseurs, Lesquels annoncent sa
venue
: Et si-tôt qu’elle est aperçue, Le Chasseur, ave
Mais un des Faunes qui l’oyait, Quand de la sorte, elle chantait, En
vient
, tout seul, ensuite, rire : Et se mêle de lui pré
, Jouissant d’un tranquil Sort : Mais l’Amour qui veut qu’il soupire,
Vient
, et l’un de ses Traits lui tire, Et, par d’autres
pond qu’il faut qu’il espère, Et qu’Amour lui sera prospère. Enfin,
viennent
des Fagoteurs, Lesquels, en habiles Sauteurs ; Am
le aperçoit dans un Parterre : Et, lors, six Cueilleuses, belle-erre,
Viennent
devant Elle, danser. Or, pour la mieux embarras
n, Les Cupidons, avec leur Sire, Et les Bergers, pour vous tout dire,
Viennent
, par leurs Chants, et leur Pas, De ce Couple remp
s, Sarah Bernhardt ; la plus célèbre des actrices françaises ; allait
venir
en Amérique. Quel événement ! Nous l’attendions a
il ne restait guère d’espoir pour moi. Je ne sais si Sarah était déjà
venue
en Amérique, car j’avais toujours été en tournée
pressionnait ! J’y voyais un juste hommage rendu au génie. Elle était
venue
. Elle était là ! Ah ! si je pouvais seulement la
mes pauvres billets, sur lesquels je comptais tant : Ce directeur ne
viendrait
-il jamais ? Ah ! enfin, un grand bruit qui se rap
un ton ferme : — Voilà, monsieur. Je suis une artiste, et je voudrais
venir
, avec ma mère, à la matinée que Sarah Bernhardt d
é qu’à mon… immense désir de la voir… et c’est pour cela… que je suis
venue
ici. — Eh bien ! je vais vous donner des places
nes. Tandis qu’il tenait mes mains, il me dit : — Vous avez ma carte,
venez
me voir ; peut-être pourrai-je vous trouver un en
les. Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite fille de l’Ouest
viendrait
un jour à Paris, y monterait sur une scène, elle
r aujourd’hui ?… *** Je dansais aux Folies-Bergère. A une matinée, on
vint
me dire que Sarah Bernhardt était dans une loge a
matinée merveilleuse. Et maintenant c’était une matinée où elle était
venue
pour me voir, spécialement pour me voir, elle ; m
aubaine, si reconnaissant, le brave homme ! Sarah m’avait demandé de
venir
déjeuner chez elle, le jour où il lui montrerait
le reçus, tout en me demandant pourquoi l’administrateur de mon idole
venait
me voir. Il m’expliqua que Mme Sarah Bernhardt dé
. La commission avait été mal rapportée, et elle avait compris que je
viendrais
le jour même. Lorsqu’elle comprit qu’elle ne pouv
ndre compte de ce qu’il lui faudrait comme éclairage. A son tour elle
vint
à mon théâtre après la représentation, pour voir
urnaux, — et cela sans m’avoir consultée, — que Sarah Bernhardt était
venue
voir les éclairages de Loïe Fuller pour la nouvel
XVIII comment j’ai découvert hanako Tout ce qui
vient
du Japon m’a toujours intéressée au plus haut poi
esponsabilité financière de ses représentations quand elle projeta de
venir
en Europe avec toute sa suite. Sada Yacco avait a
Londres une troupe japonaise qui cherchait un engagement. Les acteurs
vinrent
me voir. Ils montraient des prétentions folles et
ir. Ils montraient des prétentions folles et je les renvoyai d’où ils
venaient
. Mais comme ils ne trouvèrent pas d’engagement no
rent à Copenhague je vis la troupe entière pour là première fois. Ils
vinrent
tous me saluer à mon hôtel, et jouèrent je ne sai
après le premier acte, car je dansais dans un autre théâtre, mais on
vint
me dire à l’issue de la représentation, que Hanak
s théâtres royaux d’Europe. Puis, après une tournée en Hollande, elle
vint
enfin à Paris. Les Japonais et Hanako restèrent a
purent entrer en communication avec Hanako et lui dire qu’ils étaient
venus
la chercher. Un soir elle parvint à s’échapper av
des circonstances, serait-il juste, dis-je, qu’un individu quelconque
vint
, en dépit de toute espèce de loyauté, l’emporter
réables de la place, et pour être le très humble serviteur du premier
venu
? aucun. Cependant il est plus essentiel qu’on se
court les risques d’un arriéré. Quels sont les maîtres de Ballets qui
viennent
solliciter cette atroce injustice ? ceux qui sont
de tout mon dévouement. GARDEL. P.-S. — Si votre cœur vous portait à
venir
me voir, ne l’écoutez pas, je vous prie, par ce t
er 1842. Mon cher Monsieur Courtin, Quoiqu’il soit un peu tard pour
venir
vous souhaiter la bonne année car vous êtes au 17
par Milan où je serai au mois de mai. J’aimerais pourtant bien aussi
venir
faire un petit tour à Paris. Je verrai s’il n’y a
moreau qui donne des concerts ne la trouve plus assez jeune. Elle est
venue
espérant faire fortune ; ce temps-là est passé po
Falcon est aussi ici, mais elle a le bon esprit de dire quelle n’est
venue
que pour voir sa sœur, que peut-être elle donnera
t Je terre contre un pot de fer ! Mademoiselle Valérie Miro est aussi
venue
; la pauvre femme a débuté, a eu assez de succès
i ne veulent pas écouter les bons conseils ! Je leur avais dit : « Ne
venez
pas sans engagement ». Elles ont cru que j’avais
IV la princesse marie C’était le soir de mes débuts, à Bucarest. On
vint
me dire que le Prince royal et la Princesse royal
s d’elle. On appelle cela un « ordre de Cour », mais pour moi l’ordre
vint
sous la forme d’une lettre charmante me disant qu
que je vous connais beaucoup, et je suis très contente que vous soyez
venue
me voir. Puis elle me demanda si je pouvais obten
en, faites-moi savoir quand vous serez à Berlin, et je tâcherai qu’il
vienne
vous voir. Il aime les choses artistiques, et il
anda : — Pourrions-nous réaliser des tableaux de ce genre, quand vous
viendrez
danser au palais ? Je répondis que c’était à des
si exténuée que je dus m’arrêter. La Princesse remarqua ma fatigue et
vint
à moi. — Quel égoïsme de notre part de n’avoir pa
a seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui demander de me
venir
en aide. J’allai chez elle à neuf heures du matin
andis que nous causions ; jamais, quoi qu’il arrive, personne ne peut
venir
m’y troubler. Je me réfugie ici de temps en temps
Elle sonna et donna ordre de prévenir de suite M. X… que miss Fuller
viendrait
le trouver, avec une carte d’elle, et que M. X… v
e la Princesse, elle m’embrassa et prononça ces mots : — Si jamais je
viens
à Paris, j’irai vous voir à votre atelier. Elle m
de la danse ; quelques brefs aperçus sur les danses de salon modernes
vinrent
compléter son exposé. Ce que M. de Fouquières a d
la danse de théâtre et celle de salon. Mlle Bos et M. Raymond étaient
venus
plaider la cause des danses Directoire, et l’étoi
leur métier parfait. Enfin, M. Van Duren et les trois demoiselles Guy
vinrent
nous dire sur ce qu’ils pensent de la danse antiq
nons des Anciens par la tradition, ce qu’ils en ont écrit n’étant pas
venu
jusqu’à nous. Pline, Liv. 7, dit seulement que le
Sa Majesté ; parce qu’on ne peut se dispenser d’obéïr à une Dame qui
vient
vous prendre : on doit du moins se présenter pour
Juan d’Autriche, dans le tems qu’il étoit Vice-Roi des Pays-Bas, qui
vint
exprès à Paris, pour voir incognito danser Margue
sa fille Reine d’Espagne & femme de Philippe II. & qu’elle y
vint
accompagnée du Duc d’Albe Gouverneur des Pays-bas
es de danseurs & de danseuses des Provinces voisines, qui étoient
venus
à Bayonne au bruit de la fête, y danserent à la m
anté des Cantons. Après la maladie du Roi en 1684, Sa Majesté voulant
venir
à Notre-Dame pour rendre graces à Dieu de sa guér
enchantée. Monsieur, & plusieurs Seigneurs & Dames de la Cour
vinrent
voir cet appareil, pour s’y rafraîchir pendant la
’ai oui dire à nos fameux Danseurs que l’usage des contre-danses nous
vient
d’un Maître à danser d’Angleterre, arrivé en Fran
riante, Ce sont des jeux que je chante, Qui te doivent leurs appas ;
Viens
, danse au son de ma lyre, Et rends les airs que j
lyre, Et rends les airs que j’en tire, Aussi legers que tes pas. *
Venez
Dieux, venez Déesses, Danses Sacrées.La Danse au
s les airs que j’en tire, Aussi legers que tes pas. * Venez Dieux,
venez
Déesses, Danses Sacrées.La Danse au pied des aut
anses, Dieu des allarmes, Plaisoient même à ta fierté. * Du temple
viens
sur la scêne, Danse, viens-y disputer Aux efforts
laisoient même à ta fierté. * Du temple viens sur la scêne, Danse,
viens
-y disputer Aux efforts de Melpoméne L’honneur de
nfans d’un loisir heureux : Zéphire, que l’hyver glace, Fuis l’amour,
viens
à sa place Nous ranimer par ses feux. * Les M
x Spectacles que nous venons de décrire. La première idée leur en est
venue
des Tyrrhéniens ; et l’Antiquité a donné à ce gen
el on avait placé l’image du Cardinal Protecteur. On supposait, qu’il
venait
, pour la seconde fois, prendre la protection du R
Royaume. Ainsi tous les vaisseaux du port magnifiquement appareillés
vinrent
jusqu’à cet endroit à sa rencontre, lui rendirent
e les bienfaits que toutes les Parties du Monde avaient reçus de lui,
venaient
lui faire hommage, et lui offrir des présents, av
pe à la porte, c’est la fiancée du jeune homme, fraîche et parée, qui
vient
dire bonjour à son jeune cousin. Ce jour, en effe
st amoureux ! — Oui, mais dans cette ronde formée, si la robe blanche
vient
à passer, si le frôlement de l’aile jalouse vient
si la robe blanche vient à passer, si le frôlement de l’aile jalouse
vient
à se faire entendre, si le regard triste et touch
’a vue, il l’a touchée ; elle l’appelle, elle est là, là du côté d’où
vient
le jour ; elle se cache dans les fleurs du jardin
fait entendre ; un coup de vent ouvre la fenêtre à demi brisée. — Qui
vient
d’entrer ? c’est la Sylphide ! Elle a été apporté
perfide et fin, il est sournois ; il guette le je ne sais quoi qui va
venir
; il est plus clairvoyant qu’Effie elle-même, car
e, il regarde, il voudrait percer le nuage ; il attend celle qui doit
venir
, et cependant l’heure approche, il faut marcher à
’une heure ! Faites votre profit de cette moralité, jeunes filles qui
venez
à l’Opéra ! « Peu à peu, à mesure que vient le j
alité, jeunes filles qui venez à l’Opéra ! « Peu à peu, à mesure que
vient
le jour (c’est toujours Nodier qui parle), les va
il faut y croire et surtout quand une belle jeune fille de vingt ans
viendra
prêter, à cette histoire, la grâce et la poésie d
, une grâce toujours nouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout cela lui
venait
comme le chant vient à l’oiseau ; et quand elle s
ouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout cela lui venait comme le chant
vient
à l’oiseau ; et quand elle s’arrête enfin, quand
Enfin elle est Finette, je suis Rigolboche. VI Je crois que je
viens
d’avoir un mouvement d’orgueil. Qu’on me le pardo
tient-il ? A l’amour-propre probablement. VIII Aucune femme ne
vient
au monde vertueuse pourtant, elle le devient ou r
retard. La maîtresse de piano a ses heures fixées. Chez Finette, elle
vient
tous les jours à une heure et s’en va à deux. Lor
vient tous les jours à une heure et s’en va à deux. Lorsqu’un poulet
vient
plus tard, il ne reçoit fatalement sa réponse que
out le monde s’entretenait de sa bonne action, son cœur fit prime. On
venait
la voir, elle et son « neveu », comme on va voir
ne, suivant une vieille habitude, ne manqua pas d’y assister ; elle y
vint
dès le premier jour, dans une voiture de chez Bri
Voulez-vous m’y aider ? — Avec plaisir. Que faut-il faire ? — D’abord
venir
à mon hôtel la voir danser. — Mais certainement.
si cela pouvait nous aider en quoi que ce fût elle serait contente de
venir
à notre réunion. Comme la princesse, elle me prom
ésirée par elle de se produire d’une façon vraiment utile était enfin
venue
. Je décidai de donner une soirée pour la presse l
tations aux principaux artistes et critiques d’art de Vienne. Le jour
venu
tout fut prêt. J’avais engagé un orchestre. La sa
ement les gazes qui la drapaient, se réduisaient à peu de chose. Elle
vint
sur le devant de l’estrade, et tandis que la musi
fois-ci l’un d’eux devait se décider à un engagement. Le lendemain il
vint
me voir et proposa vingt représentations dans l’u
ne premiere. Le Théâtre représente un Palais magnifique. Arlequin
vient
avec sa Maitresse ; il l’assure de son amour ; il
art. Lazzis d’Arlequin. Scene III. Les Créanciers du Sultan
viennent
en foule ; ils sont mis grottesquement. Le Sultan
ien sait signe au Sultan de se relever, & lui sait entendre qu’il
vient
lui donner du secours. On apporte par son ordre t
onné tout son argent, il fait entendre qu’il meurt de faim. Un Pauvre
vient
lui demander l’aumône. Paillasse exprime sa misèr
un par la fenêtre. Les autres Escrocs prennent le parti de celui qui
vient
d’être puni par Arlequin. Combat entre les amis d
uminés & décorés des mains de l’Art & de la Nature. Le Peuple
vient
exprimer au Sultan sa joie & sa reconnaissanc
ncé, Et, mêmement, bien avancé, Suivi d’une illustre Brigade, Louis y
vint
en Mascarade, En noble et triomphant arroi, (Loui
mêmes, conduite Et Madame, pareillement, Du Bal, le second Ornement,
Vinrent
en Bergers et Bergères, Revêtus d’étoffes légères
eur pourra-t-il affronter la rivalité formidable des attractions ? On
vient
d’applaudir une jeune femme en maillot pailleté q
nt les incomplets, mal outillés pour les grandes scènes lyriques, qui
viennent
le plus souvent chercher des compensations au mus
t en ouvrant la main, elle n’est plus que la petite vague fraîche qui
vient
se briser au rivage de la rampe. Puis elle mime u
singe. Eh ! bien, si ceux de la comédie laissent tomber ces nouveaux
venus
déconcertants, ceux de la danse n’ont qu’à les ra
e russe s’incline devant le tutu de blanche tarlatane ! Je vois d’ici
venir
les rieurs. Ce sont donc des danseurs que vos fam
ameux Russes. N’est-ce pas, d’ailleurs, d’un Russe déçu Phèdre que me
vient
cette formule irrésistiblement drolatique : le Ka
ez très satisfaite et lui aviez promis de revenir et pourtant vous ne
venez
pas. Elle déclare que ce n’est pas gentil à vous
Je n’arrive jamais dans une ville sans que Loïe Fuller n’y soit déjà
venue
avant moi, et même à Paris, — à la foire de Neuil
e j’allai dans l’Amérique du Sud je découvris que Loïe Fuller y était
venue
également avant moi. Ce que je me demande souvent
j’ajoute que la choriste américaine, dont j’ai parlé tout à l’heure,
vint
à Paris, et qu’un beau jour son amant la planta l
vouloir ces deux messieurs ? Le ministre probablement désirait que je
vinsse
danser chez lui. Ces messieurs entrèrent, et je r
!… Un jour, je demandai à ma mère et à M. Morris d’inviter le nouveau
venu
à notre table. Je découvris avec peine que toute
it connaissance nos relations s’établirent tout de même fort bien. Il
vint
avec nous au théâtre chaque fois que nous jouions
la Jamaïque, et je le remerciai avec effusion. Peu de jours après, il
vint
me prendre pour me conduite à Marly chez le grand
se hâter d’en finir avec ce qui les ennuie. Une fois Alexandre Dumas
vint
me rendre visite au Grand-Hôtel, et depuis ce tem
ille bientôt au rivage ; ce navire porte des commerçans Européens qui
viennent
faire trafic avec les Colons. Ils descendent et s
cide a sortir par un des flancs du théâtre, il rencontre sa sœur, qui
vient
pour retrouver Belton ; elle reçonnoit son frère,
ue ce sont là les liens qui l’attachent à Belton ; elle le conjure de
venir
le voir, l’assure qu’il est digne d’être son frèr
son frère. L’Indien est touché. Il embrasse sa sœur ; elle l’engage à
venir
dans son logis ; il se décide, il prend les deux
e de Belton et qu’ils la rendent à la colonie. Le frère de l’Indienne
vient
à son tour ; il est instruit de tout ; il demande
ressant et compagnon des plus aimables. Ce dernier invita M. Boosey à
venir
déjeuner un matin avec lui, chez Delmonico. — Mer
’était bien un peu vague, mais M. Boosey assura qu’il était charmé et
viendrait
, dès qu’il serait libre. Il avait peur de n’avoir
t à trouver le temps long. Il crut s’être trompé de jour et fit enfin
venir
le patron. — Comment, dit celui-ci, le garçon ne
pas informé, que M. X… a téléphoné à deux heures qu’il ne pouvait pas
venir
, et qu’il vous priait de commander ce que vous dé
réglera l’addition. Pensez à ce que dut croire cet Anglais ! Il était
venu
déjeuner avec un gentleman, et non se faire payer
tre déjeuner jusqu’à deux heures et j’ai téléphoné. Je croyais ne pas
venir
ici du tout. J’avais une affaire d’un million de
monde, dans quelque partie de l’univers qu’il soit né, aurait préféré
venir
au monde en Amérique. Car l’Amérique, à en croire
tel de Mexico, où j’étais descendue, je trouvai la musique municipale
venue
pour me donner une sérénade. A la fin de mon séjo
s passâmes la visite de la douane. Le soir, à l’hôtel, le jeune homme
vint
chez moi avec Mortier et je lui rendis son paquet
verres de kirsch et trinquant avec les machinistes. — Pourquoi il n’y
vient
plus. — La sortie du théâtre. — Mon intention d’e
ir le plaisir de regarder les daines passer ou pour les voir de prés,
viennent
chaque soir y consommer des liqueurs. Rien de plu
X Il y a quelque temps, certain prince russe. — un pour de bon, —
venait
sans façon y boire des petits verres de kirsch, q
les machinistes, qui ont fini par le tutoyer. Cl… est cause qu’il ne
vient
plus. Les machinistes le regrettent. XI La
e dans la fievre de l’impatience. Un gandin brun. Tu es sûr qu’elle
viendra
? Son ami. Parfaitement ! car elle a fait répon
ne voiture et attends-moi au coin du faubourg. Le jeune homme. Tu y
viendras
? L’actrice. Je te le jure. Je filerai entre le
nt développé chez la femme, qu’elle se jette dans les bras du premier
venu
, sans scrupule. L’homme est à leurs yeux un geôli
ec nous, pour nous reprocher nos déréglements, que la vieillesse soit
venue
. Qu’est-ce qui a jamais pardonné à une vieille lo
lle y compte. XI Je regrette déjà l’accès de sensibilité que je
viens
d’avoir. L’air moral ne doit pas m’aller du tout.
oral ne doit pas m’aller du tout. J’en suis à me demander pourquoi je
viens
d’être aussi sentencieuse. Et à propos de quoi ?
ur sa cheminée traîne perpétuellement une épître décachetée. Quand on
vient
la voir elle s’arrange de façon à laisser le visi
uski la raconte lui-même partout, et dernièrement, devant moi, il est
venu
prier un journaliste d’en faire une nouvelle à la
eur seules avaient donné. — On attendait une société de Russes qui ne
venait
point. Gil Perez le suivait en lui criant : — Pol
succombe !… Tout à coup un mouvement se fit à la porte, le contrôleur
vint
tout joyeux parler à l’oreille de Markouski, dont
mmes, les autres avec celles de leurs amis, ceux-là comme ils étaient
venus
. Seuls, les trois hommes distingués ne firent pas
le chorégraphe polonais ne resta prisonnier qu’une heure. Son associé
vint
le rendre à la liberté et à ses cours. Mais, depu
rté, l’opulence. L’Électeur de Bavière, le Prince Emanuel de Portugal
vinrent
alors en France, et ils prirent le ton qu’ils tro
amusements. Ils voyaient une trop grande distance entre ce que Paris
venait
d’admirer, et ce que leur fortune ou la bienséanc
ont ses fastes l’honorent. Lorsque les Suisses furent sur le point de
venir
en France, pendant le règne de Henri IV pour reno
es FILLES du Premier des DIEUX, Comme d’Elles ils croient naître, Ils
viennent
les en reconnaître, Faisant tout à fait galamment
e sont point Nymphes moisies, Pour juger sur ce différend, En dansant
viennent
prendre rang ; Et comme, en un mot, les dernières
ller sur nouveaux frais, JUPIN, le MAÎTRE de la FOUDRE, Enfin de tout
vient
en découdre, En changeant ces Objets si beaux, Po
vre Un soir, pendant l’Exposition de 1900, M. et Mme Jules Claretie
vinrent
, à mon petit théâtre de la rue de Paris, pour voi
ns combien Sada Yacco avait intéressé les Claretie et je les priai de
venir
voir ma nouvelle étoile japonaise. Après la repré
r chez M. et Mme Claretie, pour la petite Hanako et pour moi. Le jour
vint
, et nous nous mîmes en route, Hanako paraissait i
faire plaisir, et parce que je l’en avais priée expressément, qu’elle
venait
à ce déjeuner. Elle était charmante avec ses drôl
amais ni gants, ni voilettes, ni mouchoirs, c’était toujours elle qui
venait
justement de prendre les derniers. Elle avait tou
ako, que j’avais applaudie dans la Martyre au passage de l’Opéra, est
venue
me voir, conduite par miss Loïe Fuller, qui nous
ire de faunesse, elle m’a répondu : — C’est le hasard. La lumière est
venue
à moi plutôt que je ne suis allée à elle ! » Je m
t ami, voulut bien adapter en français, travail laborieux que la mort
vint
interrompre. Ce fut long ce livre, si long, et fo
egrette de ne pouvoir vous emmener dans son royaume. Elle ne peut pas
venir
, elle ne peut vraiment pas. Elle m’a dit seulemen
ir la voir danser. Ce fut les larmes aux yeux que je lui répondis : —
Venez
tant que vous voudrez, ma petite chérie ; j’enten
tites princesses et de toute une petite suite de petits amis. Lorsque
vint
mon tour d’entrer en scène, les lumières s’éteign
rendis au palais. La princesse Marie envoya chercher ses enfants. Ils
vinrent
les uns derrière les autres, aussi timides que de
s « ma Loïe », et, après sa première visite au théâtre, où elle était
venue
me voir danser, elle essaya de m’imiter. Elle éta
. Moi, timide, je tremblais. Heureusement la patronne des Lorettes me
vint
en aide, elle me ramena au souvenir des hymnes qu
gme de toute sa vie, quand elle veut que sa vie soit mystérieuse. On
viendra
me prendre ce soir. Si on savait que je suis chez
suis chez vous, on serait bien furieux. On m’a dit hier que si on ne
venait
pas au bois, on viendrait dîner. Il y a des Loret
ait bien furieux. On m’a dit hier que si on ne venait pas au bois, on
viendrait
dîner. Il y a des Lorettes, qui devant un tiers n
. Vous avez toutes ouvert votre aumônière, et quand le collecteur est
venu
, l’offrande ne s’est pas fait attendre. C’est un
serrer les reins avec une ceinture non hygiénique, a le privilége de
venir
réveiller à minuit ceux ou celles qui ne dorment
J’ai vu un bail de loyer qui était signé Juli de Mommorenssy ; il ne
vint
même pas à la pensée du notaire de mettre en dout
e âme veuve. Elle date sa lettre d’une localité dont le nom seul fait
venir
la chair de poule, et elle trace ces mots : De l
jeune fille des environs de Vendôme, arrachée au chalet de son père,
vient
à Paris, et, après quelques transformations, est
La fin du travail donnait pour résultat la nouvelle que la Vendômoise
venait
d’épouser un boïard ou un hospodar moscovite, et
cs, monnaie de France, que le parrain de la pupille avait le droit de
venir
réclamer, et qu’elle lui laissait comme souvenir
va faire son marché. — J’ai ouvert une table, vous dit-elle… vous
viendrez
, n’est-ce pas ? D’abord je vous invite. La premiè
lle vous autorise à prendre le coin de la nappe : sa blanchisseuse ne
vient
qu’une fois tous les deux mois. Une dispute affre
nction d’âge ni de sexe, aux plus anciens pensionnaires. — Un nouveau
venu
veut dire son opinion. — Un hourra d’anciens et d
ez à votre voisin. Ce n’est pas plus difficile que cela. — Le nouveau
venu
fait ainsi qu’il lui a été expliqué, et du premie
mon dîner, La maîtresse de la maison se penche à l’oreille du nouveau
venu
et lui dit : « Pour faire cesser ce conflit, et r
ce conflit, et raviver les enchères, dites huit francs. » Le nouveau
venu
dit huit francs. Le calme renaît. L’hôtesse frapp
à la Lorette : Lucien, je serai demain à l’Opéra à minuit ; Charles,
venez
me prendre à la Renaissance à une heure ; Adrien,
e sur lui de l’imiter. — La Lorette. L’Opéra tombe tous les ans ; j’y
viens
par habitude, mais, ma foi, je n’y viendrai plus…
éra tombe tous les ans ; j’y viens par habitude, mais, ma foi, je n’y
viendrai
plus… il y a mieux que ça. — Où ? dit inconsidéré
i, c’est de rigueur ; mais vous, monsieur, vous aurez le privilége de
venir
avec votre nez revêtu de son ornement. Il y aura
s. Le nez de carton demande chaque soir à son portier si on n’est pas
venu
indiquer le jour et le lieu de la fête à laquelle
nciers : ils ont su qu’elle donnait un bal par souscription, ils sont
venus
l’assaillir et ont allégé sa bourse au point qu’e
on interrompue de malades qui considèrent le docteur comme un ami. On
vient
causer avec lui santé ou maladie comme on causera
de, de vous remercier de vos soins… — Il y a long-temps qu’elle n’est
venue
. — Elle n’a plus besoin de venir, docteur… Elle e
s… — Il y a long-temps qu’elle n’est venue. — Elle n’a plus besoin de
venir
, docteur… Elle est guérie. — C’est juste. — Je
u médecin de service, et fend la foule des prolétaires. — Docteur, je
viens
, au nom d’un de vos confrères, solliciter pour mo
hande à la toilette, ou achète un fonds de table d’hôte et le notaire
vient
dîner en remboursement de ses avances. La Lore
En m’apprenant ton départ !… est une ode qui transmet aux siècles à
venir
la sensibilité exquise et le dévouement surhumain
mement. On voit aussitôt les Naïades, Avecque les Vertes Dryades, Qui
viennent
faire, tour à tour, À l’aimable Flore leur cour ;
ose les Jardins de Flore, Ainsi que, dans celle d’après, Les Heures y
viennent
exprès Cueillir mille Fleurs pour les Grâces ; Et
te belle et royale ALTESSE À qui mes Missives j’adresse. Des Faunes y
viennent
aussi, Et le Ballet finit ainsi Par cette quinziè
tait à Londres, quelques mois auparavant. Une amie m’avait demandé de
venir
dîner avec quelques officiers que l’on fêtait, av
ligne, pas une carte. Quelle drôle de chose ! De qui cela pouvait-il
venir
? Je ne connaissais personne aux Indes. Mais tout
ccès de la pièce, nous la jouâmes d’abord dans les provinces avant de
venir
la présenter au public de New-York. Je fis donc m
e ! C’est trop fort ! Lorsque j’aurai besoin de vous pour un rôle, je
viendrai
vous chercher avec plaisir. Mais comme danseuse,
tant qu’actrice, et il se moquait de la danseuse ! Mme Hoffman était
venue
avec moi, elle m’attendait au foyer du théâtre, o
ncer mes courses, car le besoin me talonnait. Mme Hoffman m’offrit de
venir
demeurer auprès d’elle et de sa fille, ce que j’a
it-il, et j’ai justement la musique qu’il vous faut pour cette danse.
Venez
dans mon cabinet, je vais vous la jouer. Là, pour
contrat dès le lendemain. En rentrant, je demandai s’il n’était rien
venu
pour moi du Casino. Rien ! Le soir, mes amies all
st toujours vraisemblable. Don Cléofas Zambulo, écolier d’Alcala, est
venu
chercher fortune au bal ; et, comme c’est un gail
e. Don Cléofas va s’élancer sur ses pas, lorsqu’une élégante pèlerine
vient
à son tour l’agacer. Le domino fugitif est aussit
racher la belle du bras de Cléofas. — Qu’à cela ne tienne ! le volage
vient
justement d’apercevoir certain domino rose dont l
ès, les connaître plus intimement. « Soit, dit le diable ; elles vont
venir
ici toutes les trois pour consulter l’alchimiste.
ies sylphides et les wilis en expectative. Un incident ne tarde pas à
venir
interrompre les exercices : il s’agit de deux pro
a bien ses motifs pour agir de la sorte : Paquita, sa protégée, doit
venir
justement tout à l’heure demander à être admise d
derniers plans, à l’heure où le spectacle va commencer. Le régisseur
vient
frapper les trois coups. On entend l’orchestre jo
tion prend un tour des plus tendres, lorsque la camériste de Florinde
vient
lui annoncer la visite du maître de ballets. Cléo
ne Espagnole, entendant au bas de son balcon résonner la sérénade, ne
vienne
pas aussitôt montrer son nez au travers de la rej
t ainsi que vont les choses ! allons en prévenir le Bellaspada. » Qui
vient
encore après lui ? Bon ! la femme de chambre de F
s son cœur ; l’amour pur va triompher, quand, par malheur, un laquais
vient
apporter à l’écolier, de la part de la veuve, une
ntre la veuve une alliance offensive et défensive, à laquelle Asmodée
vient
généreusement promettre son appui. Pour commence
Cléofas a la malheureuse idée, — c’est le diable qui le pousse, — de
venir
fourrer son nez à la porte du boudoir, juste au m
le troupeau des attentifs. Florinde, toujours travestie en militaire,
vient
aussi faire un tour à la fiesta del sautillo. Ell
e Wiesenthal, Viennoise, qui valsait au music-hall. Aujourd’hui, elle
vient
nous dire ses petits secrets sur le vaste plateau
il entreprend l’Arlequin du Carnaval, triomphe de Nijinsky. Il va il
vient
, tourne en l’air, pirouette laborieusement, obsti
e s’était révélée. Longtemps les femmes s’étaient dit : « Que peut-il
venir
après la grâce nuageuse, l’abandon décent et volu
ux de Taglioni ? » Longtemps les hommes s’étaient dit : « Que peut-il
venir
après la verve provoquante, la pétulance hardie e
ie et cavalière, la fougue tout espagnole de Fanny Elssler ? » Il est
venu
Carlotta Grisi, légère et pudique comme la premiè
is II avait passé quelques nuits. C’est dans le lit même du César que
vint
au monde celle qui devait être plus tard l’impéra
eut bien le dire. Le lieu était, du reste, si sauvage, que les souris
venaient
manger sur la table, et que les ours se promenaie
re danseuse de l’Italie. Un Français, M. Guyet, fut son maître ; puis
vint
Perrot, qui lui donna d’excellentes leçons et d’u
papier de riz de la Chine ou les pétales intérieurs d’un camélia qui
vient
d’éclore ; le caractère de sa physionomie est une
mps modernes, et peut-être bien aussi des temps antiques. Maintenant,
venons
à l’analyse du ballet. Au lever du rideau, vous a
vec le poète : Il aimait trop le bal, c’est ce qui l’a tué ! Voici
venir
les danseuses de tous les pays, et l’Andalouse fo
faite ! Les feuilles ont frémi, une main écarte les branches. Qui ose
venir
à pareille heure dans ce lieu formidable ? Albrec
ureuse, l’exécution si homogène et si désinvolte, le tout est si bien
venu
que je me suis abandonné sans réserves à la douce
zandi » de Scarlatti-Massine. Aussi la Brianza a-t-elle raison d’être
venue
se mêler à toute cette fougueuse jeunesse, Brianz
te, parées de leur propre beauté et sans autre voile que leur pudeur,
venaient
immédiatement après eux avec des pas lents, et un
es maintenant ; A l’épreuve à tout venant. La troisième, des enfants
venait
après, qui disait : Et nous un jour le serons, Q
et qu’elles s’accoutumassent à mépriser l’opinion du vulgaire ; d’où
vient
que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit,
ylle] d’Alexandrie, les deux hommes en ce genre les plus surprenants,
vinrent
y développer leurs talents sous l’Empire d’August
et ils trouvèrent le moyen d’engager adroitement leur Adversaire à le
venir
voir. Le concours fut extrême, et le Cynique fut
aient de plaisir54. Telle aurait paru Mademoiselle Sallé, si elle fût
venue
dans un siècle, où la Danse théâtrale eût été mie
e suivant, j’allai comme d’habitude au Lycée avec mes frères. Ma mère
vint
aussi dans le courant de l’après-midi, et s’assit
nt. Seulement cette fois personne ne se moqua de moi. Lorsque ma mère
vint
me rejoindre, longtemps après, elle était encore
e tout cela. Il me faut dire que lorsque ce premier incident théâtral
vint
se placer dans ma vie, j’avais tout juste deux an
p. 112) « qu’il y en a, et surtout des femmes qui font en sorte qu’on
vienne
aux jours de fêtes, non dans des vues droites et
s honteuses. Si ceux qui se conduisent ainsi, ajoute le concile, sont
venus
à l’église avec de moindres péchés, ils s’en reto
e les prêtres aient donc grand soin d’avertir le peuple qu’on ne doit
venir
à l’église en ces saints jours que pour prier ».
par rapport à la fuite des danses, que celui du concile de Tours, qui
vient
d’être rapporté : et il y joint la même menace d’
livrer et de combattre l’ombre de Lybas. Le spectre parût, dit-on, en
vint
aux mains avec l’Athlète, fut vaincu, et de rage
ène II. Ce jeune homme est Euthyme, amant passionné d’Eucharis. Il
vient
présenter d’autres victimes aux Témessiens en éch
l’autel, et la tenant dans ses bras, il défie tous les Témessiens de
venir
la lui ravir. Cette témérité imposante surprend t
hérit. On entoure Euthyme, on le regarde comme un dieu tutélaire, qui
vient
d’assurer à cette contrée la paix et le bonheur.
r l’hommage qu’on s’empresse a lui rendre. Les jeunes gens de Témesse
viennent
prendre ces deux amans pour les conduire au templ
e village, les Bretons le Triory ou Passepied, les Bransles de Poitou
viennent
des Poiteuins, & la Volte de Prouence, des It
nos airs de Courante ont este tirez de quelques Balets, les Canaries
viennent
aussi d’vn Balet où les Danseurs representoient l
uueront quelque chose digne de leur enuie où ie les lairay aller pour
venir
où mon dessein m’appelle.
e Comédie admirable, Dont l’ouvrage était remarquable, Bientôt après,
vint
le Ballet, Où l’on joua bien son rôlet. Chacun y
il de ma mère, et l’homme joua de l’accordéon jusqu’au moment où l’on
vint
nous avertir que le déjeuner était servi. Je dema
ela, et, bien qu’on fût très pauvre chez nous, on me gardait. Le jour
vint
pourtant où ma mère mourut. Puis ce fut le tour d
l me conduit à la fontaine quand il a soif et je lui donne sa part. —
Venez
-vous ici tous les jours ? — Oui, c’est l’entrée d
imagination, l’aveugle le voyait. *** Un jour, la femme de ménage qui
venait
chez nous, chaque matin, à Passy, afin d’aider le
quelle gaîté elle témoignerait quand enfin la mort de la paralytique
viendrait
la débarrasser du poids dont elle avait bénévolem
, et cela dans l’espoir de recevoir deux ou trois pence. Le garçonnet
vint
ouvrir la portière de notre voiture. Déjà le coch
atinée, un adage et une variation classiques, une valse à laquelle se
vient
mêler l’éternel thème mimique du dépit amoureux,
Opéra, Mme Tréfilova nous donna une « danse japonaise » que je voyais
venir
avec une appréhension dont je suis, après coup, c
ent ; elle porte d’une main l’éventail et de l’autre le parasol. D’où
vient
ce caractère exquis de grâce narquoise qui nous d
pointes et subtilités. De leurs Noms voici, donc, la liste, Comme ils
viendront
à l’improviste, Sans y chercher d’autre façon ; O
s yeux ont grande douceur, Dont la face est claire et sereine, Et qui
vient
du Sang de Lorraine. Mademoiselle de Nemours, Q
d’une très rare beauté, Aux Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en
venait
me dire, Et fut-ce le Roi notre Sire, As-tu rien
jesté est placée, il lui fait une très-profonde reverence, ensuite il
vient
à l’endroit où est la Reine, ou premiere Princess
a Princesse ou Dame qui doit danser à son tour, afin de la convier de
venir
danser, & là il l’attend, afin de faire tous
s, et qu’on y tienne des discours indécens ; et quand des jeunes gens
viennent
à la danse, déjà échauffés par des chansons lubri
aint docteur nous parle encore à nous-mêmes dans ses sermons qui sont
venus
jusqu’à nous ; écoutons-le avec le respect que mé
i corrompu et si aveugle ? Je ne puis m’empêcher d’ajouter à ce qu’on
vient
d’entendre de saint Jean Chrysostôme, ce qu’on éc
étant saints, le reste le soit aussi. Ç’a toujours été la coutume de
venir
à l’église, afin que là leurs mariages fussent sa
té sainte, on s’abandonne à tout plaisir sans modération, et que l’on
vienne
aux danses, voilà tous ces beaux commencemens ren
au mur de fond de la scène, s’y arrêta une seconde, prit son élan et
vint
tomber, en trois bon ’s, sur le trou du souffleur
diable au corps avec les sauteries espagnoles du Cid n’auraient qu’à
venir
sous ses fenêtres plumer la dinde ou racler le ja
e fois dans le bal, il faut valser. M. Mauri était beau joueur. Quand
vint
la guerre, les fonds étaient bas. C’était la dern
me elle n’oublie jamais de le faire remarquer aux journalistes qui la
viennent
mettre à la question piquant elle-même ses chauss
suis produite dans le divertissement de Polyeucte, M. Halanzier étant
venu
me chercher à la Scala, où j’avais un engagement…
, diamants à l’écrin, chevaux et voitures à l’écurie. Je sais qu’elle
vient
d’acheter une bicoque de cent mille francs pour y
ravaille la musique, qu’elle aime la littérature ; que, chez elle, on
vient
lui faire des conférences sur les œuvres ancienne
oit porter pareille somme Pour subvenir à leur besoin, Puisqu’il sont
venus
, de si loin, Avecque Comédie et danse, Donner du
uelques Princes, Et d’autres Gens un peu plus minces. Faute d’avis,
venus
à temps, Je ne vis point ce passe-temps, Car, pou
Souveraine Fait notre bienheureux Destin, Et leurs admirable DAUPHIN
Vinrent
à cette belle Fête, Étant, des pieds jusqu’à la T
ne rien présenter de répréhensible, d’où par un tour d’imagination on
vient
ensuite à conclure que les danses, telles qu’elle
dangereuses et indignes des chrétiens les danses, selon l’idée que je
viens
d’en donner, et qui répond à ce que tout le monde
s ? On ne peut être chaste que par une grâce spéciale de Dieu, de qui
vient
la chasteté comme toutes les autres vertus ; et l
suppose qu’elles le craignent, et que pour éviter ce malheur il leur
vienne
à la pensée de se recommander à Dieu pour être en
ependant sans faire ni se permettre rien qui offense Dieu. M. Bossuet
viendra
encore ici à l’appui de cette réponse, par celle
int Jean Chrysostôme que M. Bossuet a eu en vue dans la réponse qu’on
vient
d’entendre, est de l’homélie 37 sur saint Matthie
u ainsi ? Pourquoi me transportes-tu comme un insensé, et pourquoi me
viens
-tu persuader que j’ai sujet de me réjouir, quand
les paroles de la vie éternelle ; mais encore ceux même qui étoient
venus
pour se saisir de sa personne, répondoient aux ph
Le petit frère suivit le père de loin et revint dire à sa mère qu’il
venait
d’entrer tout droit chez le marquis de X… La mère
ne fille se prit à courir, appelant ses camarades : — Mesdemoiselles,
venez
!… Si vous saviez !… Ah ! que je suis heureuse !…
it à l’étrangler. Pendant ce temps-là, les petites camarades ameutées
venaient
apporter le tribut de leurs félicitations. Enfin,
ts. Dans le même temps l’ombre du délicat Apicius sortit de terre. Il
venait
prêter à ce superbe Festin les finesses qu’il ava
odeste fut adroitement coupée par Bacchus, Silène et les Egipans, qui
venaient
célébrer une Noce si illustre ; et la Fête fut ai
17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. L’Opéra
vient
d’offrir au public plusieurs soirées composées in
les ressources du mouvement organisé. Et ce n’est pas de Hellerau que
viendra
la renaissance du ballet parisien ! Cependant l’a
t des Nymphes. Un Berger et une Bergère nouvellement unis par l’Amour
viennent
offrir à cette Déesse les premières roses du prin
amène Vulcain. Scène V. Vulcain est reçu avec indifférence ; il
vient
montrer à Vénus une partie des armes qu’elle lui
e Scène, Par la Nymphe de nôtre Seine, Avec Vertumne, Dieu Latin, Qui
vient
, par un noble Dessein, Divertir notre auguste Sir
lle trace, À de riants Vergers, fait place : Où la Déesse, aussi-tôt,
vient
, Et, contre l’Amour, s’entretient, Avec les Nymph
VIII En ce qui concerne le poème, l’allégorie est
venue
, de tout temps, en aide à la figuration grossière
Et de bien régler les affaires, Glorieuses et nécessaires, Dont vous
venez
si bien à bout Que vous trouvez du temps pour tou
elle s’empressoit de marcher à la tête des secours puissants qu’elle
vient
d’accorder à ses Alliés. Il n’est aucune circonst
vous pliez, si l’un des deux étoit derriere, cela facilite de laisser
venir
le genouil en dedans, au lieu que les talons étan
s Mascarades, Les unes avec Sérénades, Ainsi qu’en leur Centre Royal,
Vinrent
fondre dans ce grand Bal, Et mon HÉROÏNE et PRINC
u Bal & la maniere de s’y comporter avec politesse, soit que l’on
vienne
vous prendre pour danser, ou que vous alliez pren
! Elle fut le lieu de rendez-vous où les souverains et les diplomates
vinrent
refaire la carte de l’Europe. La présence de ces
l ne marche pas. » La bourgeoisie et le peuple suivaient l’impulsion
venue
d’en haut. Le goût de la vie joyeuse était encour
ifférente, sous le nom de Schrœder-Devrient. Un ballet où tout Vienne
vint
applaudir ce Lilliput fut une Cendrillon exécutée
plâtrier, Johann Prinster, originaire de Méran, dans le Tyrol, était
venu
à Vienne en 1769. Non content d’être dans sa spéc
iver à la notoriété. Après un quatrième enfant qui mourut en bas-âge,
vinrent
les deux célébrités de la famille, Thérèse, née l
s jours par le numéro 19 de la Haydngasse. *** La généalogie que nous
venons
d’exposer a son intérêt. Elle nous montre que Fan
o, ce geôlier de Rossini qu’il astreignait à une production continue,
vint
à Vienne en 1822, lorsqu’il eut été dérangé par l
angère. Dans l’été 1831, le célèbre écrivain allemand Wolfgang Menzel
vint
à Vienne. Il vit représenter plusieurs ballets à
e pour un certain temps l’exercice de sa profession. Un appel qui lui
vint
justement de Londres lui fournit à point nommé un
rès le moment où elle retournerait à Berlin, lorsqu’un heureux hasard
vint
donner à sa destinée un cours inespéré et réalisa
mple consacré à Bélus. On voit d’abord entrer une foule de peuple qui
vient
lui faire des offrandes. On y danse un air qui es
he du mausolée de Ninus et aussitôt ces mots paraissent sur la base.
Viens
, cours, venge ton père. 29Et dans le même momen
entend alors une jeune fille qui s’écrie : Athéniens, accourez tous :
venez
, écoutez-moi. Je viens vous rendre ces filles ché
fille qui s’écrie : Athéniens, accourez tous : venez, écoutez-moi. Je
viens
vous rendre ces filles chéries que vous pleurez.
t risqué mon agent. — C’est déjà trop pour une danseuse qui, avant de
venir
à Paris, y a déjà des imitatrices. Influencé par
rage je n’avais que la rampe. Lorsque j’eus fini, le directeur me fit
venir
dans son cabinet et me proposa de m’engager séanc
omme en 1892, j’avais de nombreux amis parisiens dans la salle. Il en
vint
beaucoup sur la scène pour me féliciter et, parmi
ndis donc, sans autrement m’émouvoir : — Merci beaucoup, monsieur, je
viens
justement de voir le Louvre, et je crois que c’es
me demanda de revenir. Un jour, le conservateur du musée de Bucarest
vint
à Paris, et un ami commun me l’amena. Entre autre
rlé la première fois devant moi. Finalement, il dit à son visiteur de
venir
le voir chaque fois qu’il passerait par Paris. En
de la belle Danse. Presque tous les Etrangers loin d’en disconvenir,
viennent
depuis près d’un siécle admirer nos Danses, se fo
on éclat qu’à la naissance des Opera. Lully, Italien de Nation, étant
venu
en France à l’âge de neuf ans ; y appris la Musiq
avoit dans ce Ballet une Scene très singuliere où un Maître à danser
vient
vanter en chantant tous les avantages de son Art,
es dans l’Attique, revêtus des marques distinctives de leur caractère
venaient
ensuite. Ils marchaient lentement et en mesure en
en inventant tout de suite une autre célébrité ; il prend la première
venue
, l’illumine d’un regard, et l’on ne songe pas plu
let ; il n’est pas étranger aux émotions du théâtre, et si, lorsqu’il
venait
d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssle
l venait d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssler, on était
venu
lui demander si elle était la factrice ou le comm
ur d’Amérique, elle reparut au milieu d’eux. Le 2 septembre 1842 elle
vint
en spectatrice au Kærnthner-Thor, pour assister à
de Jeres, et la Cachucha furent applaudies par un public attendri qui
venait
apporter un témoignage de sympathie, plus encore
les et Incurables. A la fin du spectacle une députation de vieillards
vint
la remercier d’avoir renoncé, en leur faveur, à l
l’a vue ses sentiments ont changé. Il se demande de quelle sphère est
venu
cet être incomparable, dans quels suaves embrasse
, combien de joies et de martyres il est destiné à connaître. « Tu es
venue
, s’écrie-t-il, ô créature, de planète en planète,
ois des langages ivres d’amour et de tristesse, comme les entendirent
venir
, en un sombre matin, des feuilles remuées et de l
tervint plusieurs fois dans l’étude de pièces nouvelles. Des artistes
venaient
lui demander conseil. Elle enseignait à la grande
d. Fanny leur avait confié sa fortune et il avait été entendu qu’elle
viendrait
en personne chaque année, le 1er janvier, toucher
chaise comme sur un cheval de guerre, il saisissait le premier objet
venu
qui pût tenir lieu d’épée ou de lance ; il montra
e de maison et qui restaient fidèles au culte de leur jeunesse. « Ils
venaient
à l’heure exacte, dit Louis Hevesi, ne fût-ce que
ine Catherine Prinster, son inséparable compagne jusque dans la mort,
vint
reposer à côté d’elle. Le poète latin Martial nou
es symétriques et carrés qu’aucune préoccupation de couleur locale ne
vient
agrémenter ou tourmenter. Aussi, Mme Stichel, maî
aute époque ou encore à ces admirables jeunes femmes américaines, qui
viennent
sur nos tréteaux exécuter leurs folles danses acr
Cour rit et fit gogailles. On s’y promena dans le Parc, Où l’Amour
vint
jouer de l’Arc Parmi nos charmantes Chrétiennes,
s régulières. On donna à ces Danseurs le nom de Mimes. On les faisait
venir
dans les festins pour divertir les Convives. Ils
jà dit à Alexandrie, et il avait vu Pylade en Cilicie. Il l’engagea à
venir
à Rome, après en avoir parlé à Mécène, qui aimait
ère fut littéralement saisissante. Pourquoi fallait-il qu’un comédien
vînt
geindre devant la Madone des vers de Maurice Rost
ous leurs tons, les Sens languissent, Par le sentiment du plaisir Qui
vient
doucement les saisir. La Scène est pompeuse et br
gesse eut du dessous. Un petit Livre dont je tire Tout ce qu’ici je
viens
d’écrire Se tait des Décorations Dans ses belles
s de la Cour, au Balet des Amours d’Hercule : le Cardinal Mazarin fit
venir
exprès d’Italie l’Auteur Italien, pour le faire r
l’appelle, suit constamment les deux valeureux Chevaliers qui le sont
venus
délivrer de cette agréable prison. Une autre band
enriette d’Angleterre ; & attendu qu’elle avoit passé la mer pour
venir
en France, le sujet fut la naissance de Venus, pa
toit retirée dans l’Isle d’Angleterre, où toutes les Nations du monde
vinrent
en ordre par la Tamise, jusqu’au Palais du Roi, p
s, firent l’ouverture & chanterent ces Vers au Roy. Le monde te
vient
faire hommage, Grand Roy, de sa fertilité, Puisqu
té, Puisqu’ici loge la beauté, Et l’amour l’honneur de notre âge ; Il
vient
chercher la Vérité Chez vous, où son temple est p
masse du monde, qui lui avoit donné tant de peine à porter, il étoit
venu
dans l’Isle Britannique, où étoit ce point fixe,
n, dans une grande Salle, une danse de Paysans & de Paysannes qui
viennent
danser en présence du grand Duc : ce Prince donne
nt et inquiétèrent l’école traditionaliste, lorsque Philippe Taglioni
vint
les propager à Paris. Véron trace le parallèle su
ceux qu’elle remporta sur diverses scènes d’Allemagne, Marie Taglioni
vint
tenter la fortune à Paris. En 1824, elle débutait
re ratifier sa réputation si brillamment inaugurée en Allemagne. Elle
vint
donner à l’Opéra, ce « centre de l’univers », une
ommage inusité salua cette manifestation d’un art nouveau. Un bouquet
vint
rouler devant ces pieds qui délaissaient les sent
belle Effie. Mais il est aimé d’une sylphide, un esprit des airs, qui
vient
le baiser sur le front, puis s’envole par la chem
remerciements, en éloges. Il reprochait à Mlle Taglioni de n’être pas
venue
plus tôt à Berlin. — Si j’avais pu, disait-il, je
r à Paris. — Sire, les temps sont changés, répond Mlle Taglioni ; n’y
vient
pas qui veut. — Guillaume rit beaucoup de cette r
l. Il y eut contre Marie Taglioni des essais d’opposition. Tantôt ils
venaient
des partisans fidèles du vieux ballet mythologiqu
e humeur contre une rivale prétendue invincible. Ou bien les attaques
venaient
des dénigreurs de profession, des mercenaires de
ion dans toutes ses circonstances, je dis que lorsque la jambe gauche
vient
pour se croiser devant qu’elle s’étende en s’apro
Le rythme, tel qu’on l’entend communément, est aussi loin du rythme à
venir
que la symétrie de l’harmonie véritable. La symét
int ferme, il serait aisé d’enlever toute la masse du monde, il était
venu
en Angleterre, qui était ce point si difficile à
e toutes les nations qui sortirent du globe avec un cortège brillant,
vinrent
danser successivement des Entrées de plusieurs ca
renfort indispensable des gestes qui convenaient, que le temps était
venu
pour lui de se lever et de dire quelques mots en
s théâtres européens au Japon, pour que les acteurs d’Europe puissent
venir
y jouer des pièces de leur pays. Le public nippon
donna aux Gobelins le 29 janvier 1393, le Roi Charles VI qui y était
venu
masqué en Sauvage, faillit à être brûlé vif par l
v. 27.) qu’elle enseigne toutes choses, et qu’elle est la vérité , ne
vient
se joindre à l’instruction extérieure. Cette onct
se : chose inédite, inouïe à ces Vendredis où toutes les impuissances
viennent
faire la roue devant les badauds. Dès les premièr
sa Régence, elle mena le Roi à Bayonne, où sa Fille Reine d’Espagne,
vint
la joindre avec le Duc d’Albe que la Régente voul
preté enchantée. Monsieur, et plusieurs Dames et Seigneurs de la cour
vinrent
voir ces appareils et s’y rafraîchir pendant la p
utriche Vice-Roi des Pays-Bas, partit exprès en poste de Bruxelles et
vint
à Paris incognito, pour voir danser à un Bal de c
es, et à s’entr’égorger eux-mêmes. Les derniers qui demeurent vivants
viennent
apporter leurs armes aux pieds de Cadmus. » Je n
isfait Mars que par de grands exploits : Vous que l’Enfer a nourries,
Venez
cruelles Furies, Venez briser l’Autel en cent mor
grands exploits : Vous que l’Enfer a nourries, Venez cruelles Furies,
Venez
briser l’Autel en cent morceaux épars. Quinault
’agrément de Monsieur le Marquis de Segur, seigneur de Romainville, y
vient
d’établir une fête annuelle, à l’imitation de la
i. Il n’est point douteux qu’il n’ait été englouti. Aussi des paysans
viennent
-ils annoncer au Bailli qu’il est noyé. Cette nouv
ène XII et dernière. C’est le Seigneur, son épouse et sa suite. Il
vient
venger l’innocence, couronner la vertu et punir l
nélie Falcon. Le 7 mars 1840, veille de cette solennité, Lucile Grahn
vint
au théâtre répéter une « variation » qu’elle deva
e nom de la Divinita. A Londres, où Fanny avait fait florès avant de
venir
à Paris, il avait ses poches pleines des vieux ch
anser au bénéfice des blessés de l’armée victorieuse ! On la crut, on
vint
la voir, la plaindre et l’applaudir. Elle était e
rdinaire à Votre Altesse Royale, qu’au lieu de me contenter de lui en
venir
témoigner mon humble reconnoissance, j’ose lui fa
ne Route nouvelle vers les riches campagnes de la Sicile, qu’Aréthuse
vient
d’embellir. Tels sont les Arts. Ils s’évanouissen
appliquer cette parole du prophète Osée : Votre perte, ô Israël ! ne
vient
que de vous. (Osée, c. 13, v. 9.) Au reste, le v
e de l’opposition, d’effacer un peu l’épaule droite, & de laisser
venir
un peu aussi la gauche en devant qui par conseque
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