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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
es. Comment… je n’ai pas vu la reine Victoria. — Un jour, à Nice, on vint me demander de danser devant la reine Victoria. E
à Nice, on vint me demander de danser devant la reine Victoria. Elle venait d’arriver sur le littoral, comme elle le faisait
infiniment plu. Mon mari est allé sur la plage. Ne voudriez-vous pas venir lui parler de vos éclairages changeants. Je suis
a mère qui m’attendait. Lorsque je rentrai à l’hôtel, le propriétaire vint au-devant de moi. — Vous avez eu un grand succès,
Dans la voiture plusieurs personnes parurent me reconnaître. Une dame vint s’asseoir à côté de moi et se mit à me parler. Lo
is en train de me rhabiller, lorsqu’une des femmes de l’établissement vint me dire : — Voulez-vous, je vous prie, revenir da
rquise, accompagnés de quelques dignitaires de la suite du souverain, vinrent dans ma loge et m’apportèrent un drapeau persan,
ix pieds de haut, qui semblait quelque prince des Mille et une Nuits, vint sur la terrasse où nous étions assis. Il était ac
jouta-t-il. Si cela peut vous être agréable de faire sa connaissance, venez , je vais vous présenter. J’étais ravie. Lorsque j
is que nous devenions amis… Je dansais à Marseille à cette époque. Il vint au théâtre et demanda à me voir, après la représe
sister à une de vos cérémonies religieuses. Le chef noir me promit de venir à mon hôtel et de me donner une idée de ce qu’éta
se de moi. — Je dansais à New-York, lorsque la suite de Li Hung Chang vint un soir au théâtre. Des amis me présentèrent à l’
à cause des riches coloris du vêtement du haut mandarin, on en était venu à parler de moi et de mes danses colorées, mon am
égrader !… Il y a huit ans de cela. Je pendis ma jaquette jaune et on vient seulement de me la rendre. Mon amie plaida ma cau
airait. Jamais je n’aurais cru possible, en effet, de lui demander de venir à l’Hippodrome. Une de ses dames d’honneur me rép
la peine d’être vues. Si je plais, la Reine me demandera peut-être de venir danser un jour devant elle. » Je montai dans ma
é une telle tristesse. J’aurais préféré mille fois qu’elle ne fût pas venue . J’appris, par la suite, au théâtre même, qu’on a
evait repartir à quatre heures. Le directeur qui croyait que la Reine venait voir l’Hippodrome, n’avait pas attaché d’importan
emain, tous les journaux racontèrent, que la Reine d’Angleterre était venue à l’Hippodrome, malgré ses obligations multiples,
as un mot. Pourtant, comme j’avais écrit à la Reine, pour la prier de venir , il me parut que je devais m’excuser de mon appar
e de mon retard, dont je ne me fusse pas rendue coupable, si on était venu m’avertir. Je regrettais qu’on ne se fût pas adre
moi, au lieu de prévenir le directeur. Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame
it la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’elle connaissait, de venir me voir danser à l’Hippodrome. — Cela rendra vos
danses célèbres dans le monde entier, me dit cette amie. Et la Reine viendra , j’en suis sûre, si cela lui est possible. Au com
dai mon amie et m’écrirai : — Mais alors, c’est pour cela qu’elle est venue cet après-midi ? — Elle est déjà venue vous voir 
s, c’est pour cela qu’elle est venue cet après-midi ? — Elle est déjà venue vous voir ! Je n’aurais pas cru à tant de prompti
ue vous voir ! Je n’aurais pas cru à tant de promptitude. — Elle est venue à la matinée. Et en détail, je racontai toute l’h
nses. Quant au directeur, il est demeuré convaincu que la Reine était venue voir non Loïe Fuller, mais l’Hippodrome, et rien
2 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
orchestre Gourlier. — Tendre la perche. — Les coulisses. — Ceux qui y viennent . — Alexandre Flan. — Ernest Blum. — Pourquoi je n
fant de quinze à seize ans, fille d’une ouvreuse de la salle. Elle ne vient jamais aux répétitions et elle sait tous les rôle
un tel point, qu’elle remplace, le soir, instantanément, la première venue . Et cela sans se tromper d’un mot, d’une virgule.
trésor pour les Délassements. Car trop souvent ces dames oublient de venir , retenues qu’elles sont, l’une par le vilain temp
nne jusqu’à midi des leçons de déclamation aux débutantes du théâtre, vient faire répéter jusqu’à quatre heures, et le soir j
Alexandre Flan. Ce jeune vaudevilliste, une des gloires du théâtre, y vient juste trois fois par chacune de ses pièces. Le jo
VII En revanche, son collaborateur habituel, M. Ernest Blum, y vient tous les soirs. Je crois qu’il y couche. VIII
t d’habits noirs inconnus. Mais ceux-là ont parfaitement le droit d’y venir . Ce sont MM. Alphonse Royer, directeur de l’Opéra
, Albert Wolff. Il y a deux ans, Edmond About n’en sortait pas Il n’y vient plus depuis que les blondes sont en majorité, et
tre aussi de ce côté-là, moi ?… Oscar. Certainement ; si vous étiez venue hier répéter, vous le sauriez. Mélina. Hier, je
tre remplaçante est-elle là ? Rose. Non, monsieur. Elle ne peut pas venir … Elle reçoit aujourd’hui. oscar Bon… voilà une r
coupe quelque chose, à moi, je ne joue pas. L’auteur. Mais vous ne venez jamais répéter, vous non plus. Paurelle. On rép
ette. Tiens, je croyais être en avance… Oscar. A votre place, je ne viendrais pas du tout. henriette. Et vous feriez joliment
ncore ? m lle Gérard. Il y a que c’est une infamie et que vous allez venir avec moi chez le commissaire… m lle febvre. Ça m
e arrêter. Oscar. Mesdames, taisez-vous et répétons. m lle Gérard. Venez … allons, venez, ou je fais chercher un sergent de
car. Mesdames, taisez-vous et répétons. m lle Gérard. Venez… allons, venez , ou je fais chercher un sergent de ville. m lle
ns, venez, ou je fais chercher un sergent de ville. m lle febvre. Je viens … mais tu me le payeras. (Elles sortent furieuses.
Mélanie. Elles vont chez le commissaire, faut que j’aille voir cela. Viens -tu avec ?… mélanie. Marche devant. Au bout de tr
3 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
e leur premier menuet est fini, la Reine convie une autre Cavalier de venir danser avec elle, & après qu’ils ont dansé, i
e une autre à la personne avec qui il doit danser, pour la convier de venir danser. Mais si la personne que vous conviez parl
si la personne que vous conviez parloit à quelqu’un, & qu’elle ne vienne pas aussi-tôt, il faut se transporter à l’endroit
p; se va placer, afin de faire place à ceux qui dansent. Mais si l’on vient vous reprendre, lorsque c’est à vous de prier, il
tte regle est également pour les Dames. De même que lorsque l’on vous vient prier pour danser, il faut vous transporter à l’e
allez faire une reverence à une autre Demoiselle, pour la convier de venir faire la reverence avec vous, afin de ne point dé
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
otalement ma promesse jusqu’au jour de la représentation où un billet vint me la rappeler. J’avais négligé de demander à mon
ocié de mon directeur m’avait demandé, comme une véritable faveur, de venir à un bal donné par des amis à lui et d’ouvrir ce
e cet orchestre, M. Sohmers, enthousiaste comme le sont les Roumains, vint me voir après que j’eus dansé et me prédit mervei
ns un petit salon où l’on me pria d’attendre jusqu’à ce que quelqu’un vînt me chercher pour paraître en scène. Une heure, et
en scène. Une heure, et même davantage, se passa. Enfin, un monsieur vint me dire que tout était prêt. Par un corridor j’at
s sous les yeux. Aucun journaliste, disait-on, n’avait été autorisé à venir à la fête. C’était un avocat, très petit de taill
pas dans un nouveau monde. Nous abondâmes en Allemagne. Mon directeur vint à notre rencontre et nous emmena à Berlin. Mais,
ma mère tomba gravement malade. A l’époque dont je parle, le choléra venait d’éclater à Hambourg. La maladie de ma mère se dé
contrat. Il allait retourner en Amérique avec une troupe qu’il était venu tout exprès pour engager en Allemagne. Il me para
onnu, et qui est devenu directeur de théâtre depuis, M. Marten Stein, vint me voir et j’essayai de rester au music-hall où j
temps de gagner de quoi partir et d’attendre un nouvel engagement qui viendrait peut-être. Je pensais à Paris plus que jamais. Ah
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
Mon engagement était pour le printemps suivant. L’hiver passé, avril venu , le jour même où nous devions nous embarquer pour
ui avait servi d’intermédiaire entre le directeur russe et moi, était venu à la gare pour me dire adieu. Lorsqu’il vit que j
are pour me dire adieu. Lorsqu’il vit que j’avais manqué le train, il vint chez nous et mena un beau tapage. Pendant ce temp
de moi à personne. Deux jours durant, je me cachais lorsque quelqu’un venait , et j’avais pris une garde-malade pour veiller ma
n départ, une jeune Anglaise, que je n’avais vue qu’une ou deux fois, vint faire visite chez nous, et voyant ma mère très ma
es jadis et qu’elle avait rencontré chez nous. Je ne l’avais pas fait venir parce que je redoutais trop de faire quoi que ce
lors j’attendis que le jour se levât et peut-être aussi que quelqu’un vînt qui pourrait m’aider. Vers neuf heures des gens a
e moment dans la capitale allemande. Je les priais, à tous hasard, de venir à la gare et de m’apporter un peu d’argent pour q
mponné le visage avec mon mouchoir, il vit combien j’étais triste. Il vint s’asseoir en face de moi et je compris à l’expres
ait la foule. Il me prit dans ses bras et me dit : — Elle vit encore, venez  ! Dans la voiture il me recommanda : — Entrez dan
nd, ma loge regorgeait de fleurs à raison des visiteurs de marque qui venaient me voir et à qui la direction offrait le champagn
6 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
jà soif. Un habitué , à son ami. Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi ? L’ami. Parole d’honneur ! L’habitu
t que c’est son oncle. L’ami. C’est donc cela ? — Est-ce qu’elle va venir  ? L’habitué. Sois-en convaincu. Les bals du Cas
us. Mademoiselle, je… Alice. Il est vilain, ton ami. — Monsieur ne vient pas souvent ici, n’est-ce pas ? l’ami. C’est la
ougit et ne répond pas. — Tu ne veux pas le dire, — ça m’est égal… Tu viens en incognito ; est-ce que tu es marié ? L’ami.
rend de l’aplomb. Tiens, moi qui te parles, il y a six mois, avant de venir ici, j’étais plus bête qu’une bouteille vide. — J
monte, alors. Alice , à l’ami. Çà t’est égal, mon vieux, qu’Alida vienne se rafraîchir avec nous ? L’ami. Au contraire,
lida. Par vocation, oui, monsieur. L’ami. Il y a longtemps que vous venez ici ? Alida. Depuis la fondation. — Monsieur es
st très-amusant. Alida. — Je te crois. — C’est pour cela que nous y venons tous, et que le Casino-Cadet gagne des millions.
, je ne sais pas danser. Alida. — Alors, au plaisir de te revoir. —  Viens -tu, Alice ? Alice. — Voilà. — (Saluant.) — Mess
L’ami. — Je dis que c’est charmant et que je suis enchanté d’y être venu … L’habitué. — N’est-ce pas ? L’ami. — Pour n’
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
d’ardents Chasseurs, De Diane, les Précurseurs, Lesquels annoncent sa venue  : Et si-tôt qu’elle est aperçue, Le Chasseur, ave
Mais un des Faunes qui l’oyait, Quand de la sorte, elle chantait, En vient , tout seul, ensuite, rire : Et se mêle de lui pré
, Jouissant d’un tranquil Sort : Mais l’Amour qui veut qu’il soupire, Vient , et l’un de ses Traits lui tire, Et, par d’autres
pond qu’il faut qu’il espère, Et qu’Amour lui sera prospère. Enfin, viennent des Fagoteurs, Lesquels, en habiles Sauteurs ; Am
le aperçoit dans un Parterre : Et, lors, six Cueilleuses, belle-erre, Viennent devant Elle, danser. Or, pour la mieux embarras
n, Les Cupidons, avec leur Sire, Et les Bergers, pour vous tout dire, Viennent , par leurs Chants, et leur Pas, De ce Couple remp
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
s, Sarah Bernhardt ; la plus célèbre des actrices françaises ; allait venir en Amérique. Quel événement ! Nous l’attendions a
il ne restait guère d’espoir pour moi. Je ne sais si Sarah était déjà venue en Amérique, car j’avais toujours été en tournée
pressionnait ! J’y voyais un juste hommage rendu au génie. Elle était venue . Elle était là ! Ah ! si je pouvais seulement la
mes pauvres billets, sur lesquels je comptais tant : Ce directeur ne viendrait -il jamais ? Ah ! enfin, un grand bruit qui se rap
un ton ferme : — Voilà, monsieur. Je suis une artiste, et je voudrais venir , avec ma mère, à la matinée que Sarah Bernhardt d
é qu’à mon… immense désir de la voir… et c’est pour cela… que je suis venue ici. — Eh bien ! je vais vous donner des places
nes. Tandis qu’il tenait mes mains, il me dit : — Vous avez ma carte, venez me voir ; peut-être pourrai-je vous trouver un en
les. Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite fille de l’Ouest viendrait un jour à Paris, y monterait sur une scène, elle
r aujourd’hui ?… *** Je dansais aux Folies-Bergère. A une matinée, on vint me dire que Sarah Bernhardt était dans une loge a
matinée merveilleuse. Et maintenant c’était une matinée où elle était venue pour me voir, spécialement pour me voir, elle ; m
aubaine, si reconnaissant, le brave homme ! Sarah m’avait demandé de venir déjeuner chez elle, le jour où il lui montrerait
le reçus, tout en me demandant pourquoi l’administrateur de mon idole venait me voir. Il m’expliqua que Mme Sarah Bernhardt dé
. La commission avait été mal rapportée, et elle avait compris que je viendrais le jour même. Lorsqu’elle comprit qu’elle ne pouv
ndre compte de ce qu’il lui faudrait comme éclairage. A son tour elle vint à mon théâtre après la représentation, pour voir
urnaux, — et cela sans m’avoir consultée, — que Sarah Bernhardt était venue voir les éclairages de Loïe Fuller pour la nouvel
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
XVIII comment j’ai découvert hanako Tout ce qui vient du Japon m’a toujours intéressée au plus haut poi
esponsabilité financière de ses représentations quand elle projeta de venir en Europe avec toute sa suite. Sada Yacco avait a
Londres une troupe japonaise qui cherchait un engagement. Les acteurs vinrent me voir. Ils montraient des prétentions folles et
ir. Ils montraient des prétentions folles et je les renvoyai d’où ils venaient . Mais comme ils ne trouvèrent pas d’engagement no
rent à Copenhague je vis la troupe entière pour là première fois. Ils vinrent tous me saluer à mon hôtel, et jouèrent je ne sai
après le premier acte, car je dansais dans un autre théâtre, mais on vint me dire à l’issue de la représentation, que Hanak
s théâtres royaux d’Europe. Puis, après une tournée en Hollande, elle vint enfin à Paris. Les Japonais et Hanako restèrent a
purent entrer en communication avec Hanako et lui dire qu’ils étaient venus la chercher. Un soir elle parvint à s’échapper av
10 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
des circonstances, serait-il juste, dis-je, qu’un individu quelconque vint , en dépit de toute espèce de loyauté, l’emporter
réables de la place, et pour être le très humble serviteur du premier venu  ? aucun. Cependant il est plus essentiel qu’on se
court les risques d’un arriéré. Quels sont les maîtres de Ballets qui viennent solliciter cette atroce injustice ? ceux qui sont
de tout mon dévouement. GARDEL. P.-S. — Si votre cœur vous portait à venir me voir, ne l’écoutez pas, je vous prie, par ce t
er 1842. Mon cher Monsieur Courtin,   Quoiqu’il soit un peu tard pour venir vous souhaiter la bonne année car vous êtes au 17
par Milan où je serai au mois de mai. J’aimerais pourtant bien aussi venir faire un petit tour à Paris. Je verrai s’il n’y a
moreau qui donne des concerts ne la trouve plus assez jeune. Elle est venue espérant faire fortune ; ce temps-là est passé po
Falcon est aussi ici, mais elle a le bon esprit de dire quelle n’est venue que pour voir sa sœur, que peut-être elle donnera
t Je terre contre un pot de fer ! Mademoiselle Valérie Miro est aussi venue  ; la pauvre femme a débuté, a eu assez de succès
i ne veulent pas écouter les bons conseils ! Je leur avais dit : « Ne venez pas sans engagement ». Elles ont cru que j’avais
11 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
IV la princesse marie C’était le soir de mes débuts, à Bucarest. On vint me dire que le Prince royal et la Princesse royal
s d’elle. On appelle cela un « ordre de Cour », mais pour moi l’ordre vint sous la forme d’une lettre charmante me disant qu
que je vous connais beaucoup, et je suis très contente que vous soyez venue me voir. Puis elle me demanda si je pouvais obten
en, faites-moi savoir quand vous serez à Berlin, et je tâcherai qu’il vienne vous voir. Il aime les choses artistiques, et il
anda : — Pourrions-nous réaliser des tableaux de ce genre, quand vous viendrez danser au palais ? Je répondis que c’était à des
si exténuée que je dus m’arrêter. La Princesse remarqua ma fatigue et vint à moi. — Quel égoïsme de notre part de n’avoir pa
a seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui demander de me venir en aide. J’allai chez elle à neuf heures du matin
andis que nous causions ; jamais, quoi qu’il arrive, personne ne peut venir m’y troubler. Je me réfugie ici de temps en temps
Elle sonna et donna ordre de prévenir de suite M. X… que miss Fuller viendrait le trouver, avec une carte d’elle, et que M. X… v
e la Princesse, elle m’embrassa et prononça ces mots : — Si jamais je viens à Paris, j’irai vous voir à votre atelier. Elle m
12 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 janvier. Danses de jadis et danses d’aujourd’hui. »
de la danse ; quelques brefs aperçus sur les danses de salon modernes vinrent compléter son exposé. Ce que M. de Fouquières a d
la danse de théâtre et celle de salon. Mlle Bos et M. Raymond étaient venus plaider la cause des danses Directoire, et l’étoi
leur métier parfait. Enfin, M. Van Duren et les trois demoiselles Guy vinrent nous dire sur ce qu’ils pensent de la danse antiq
13 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
nons des Anciens par la tradition, ce qu’ils en ont écrit n’étant pas venu jusqu’à nous. Pline, Liv. 7, dit seulement que le
Sa Majesté ; parce qu’on ne peut se dispenser d’obéïr à une Dame qui vient vous prendre : on doit du moins se présenter pour
Juan d’Autriche, dans le tems qu’il étoit Vice-Roi des Pays-Bas, qui vint exprès à Paris, pour voir incognito danser Margue
sa fille Reine d’Espagne & femme de Philippe II. & qu’elle y vint accompagnée du Duc d’Albe Gouverneur des Pays-bas
es de danseurs & de danseuses des Provinces voisines, qui étoient venus à Bayonne au bruit de la fête, y danserent à la m
anté des Cantons. Après la maladie du Roi en 1684, Sa Majesté voulant venir à Notre-Dame pour rendre graces à Dieu de sa guér
enchantée. Monsieur, & plusieurs Seigneurs & Dames de la Cour vinrent voir cet appareil, pour s’y rafraîchir pendant la
’ai oui dire à nos fameux Danseurs que l’usage des contre-danses nous vient d’un Maître à danser d’Angleterre, arrivé en Fran
riante, Ce sont des jeux que je chante, Qui te doivent leurs appas ; Viens , danse au son de ma lyre, Et rends les airs que j
lyre, Et rends les airs que j’en tire, Aussi legers que tes pas. *   Venez Dieux, venez Déesses, Danses Sacrées.La Danse au
s les airs que j’en tire, Aussi legers que tes pas. *  Venez Dieux, venez Déesses, Danses Sacrées.La Danse au pied des aut
anses, Dieu des allarmes, Plaisoient même à ta fierté. *  Du temple viens sur la scêne, Danse, viens-y disputer Aux efforts
laisoient même à ta fierté. *  Du temple viens sur la scêne, Danse, viens -y disputer Aux efforts de Melpoméne L’honneur de
nfans d’un loisir heureux : Zéphire, que l’hyver glace, Fuis l’amour, viens à sa place Nous ranimer par ses feux. *   Les M
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
x Spectacles que nous venons de décrire. La première idée leur en est venue des Tyrrhéniens ; et l’Antiquité a donné à ce gen
el on avait placé l’image du Cardinal Protecteur. On supposait, qu’il venait , pour la seconde fois, prendre la protection du R
Royaume. Ainsi tous les vaisseaux du port magnifiquement appareillés vinrent jusqu’à cet endroit à sa rencontre, lui rendirent
e les bienfaits que toutes les Parties du Monde avaient reçus de lui, venaient lui faire hommage, et lui offrir des présents, av
15 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
pe à la porte, c’est la fiancée du jeune homme, fraîche et parée, qui vient dire bonjour à son jeune cousin. Ce jour, en effe
st amoureux ! — Oui, mais dans cette ronde formée, si la robe blanche vient à passer, si le frôlement de l’aile jalouse vient
si la robe blanche vient à passer, si le frôlement de l’aile jalouse vient à se faire entendre, si le regard triste et touch
’a vue, il l’a touchée ; elle l’appelle, elle est là, là du côté d’où vient le jour ; elle se cache dans les fleurs du jardin
fait entendre ; un coup de vent ouvre la fenêtre à demi brisée. — Qui vient d’entrer ? c’est la Sylphide ! Elle a été apporté
perfide et fin, il est sournois ; il guette le je ne sais quoi qui va venir  ; il est plus clairvoyant qu’Effie elle-même, car
e, il regarde, il voudrait percer le nuage ; il attend celle qui doit venir , et cependant l’heure approche, il faut marcher à
’une heure ! Faites votre profit de cette moralité, jeunes filles qui venez à l’Opéra ! « Peu à peu, à mesure que vient le j
alité, jeunes filles qui venez à l’Opéra ! « Peu à peu, à mesure que vient le jour (c’est toujours Nodier qui parle), les va
il faut y croire et surtout quand une belle jeune fille de vingt ans viendra prêter, à cette histoire, la grâce et la poésie d
, une grâce toujours nouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout cela lui venait comme le chant vient à l’oiseau ; et quand elle s
ouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout cela lui venait comme le chant vient à l’oiseau ; et quand elle s’arrête enfin, quand
16 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
Enfin elle est Finette, je suis Rigolboche. VI Je crois que je viens d’avoir un mouvement d’orgueil. Qu’on me le pardo
tient-il ? A l’amour-propre probablement. VIII Aucune femme ne vient au monde vertueuse pourtant, elle le devient ou r
retard. La maîtresse de piano a ses heures fixées. Chez Finette, elle vient tous les jours à une heure et s’en va à deux. Lor
vient tous les jours à une heure et s’en va à deux. Lorsqu’un poulet vient plus tard, il ne reçoit fatalement sa réponse que
out le monde s’entretenait de sa bonne action, son cœur fit prime. On venait la voir, elle et son « neveu », comme on va voir
ne, suivant une vieille habitude, ne manqua pas d’y assister ; elle y vint dès le premier jour, dans une voiture de chez Bri
17 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
Voulez-vous m’y aider ? — Avec plaisir. Que faut-il faire ? — D’abord venir à mon hôtel la voir danser. — Mais certainement.
si cela pouvait nous aider en quoi que ce fût elle serait contente de venir à notre réunion. Comme la princesse, elle me prom
ésirée par elle de se produire d’une façon vraiment utile était enfin venue . Je décidai de donner une soirée pour la presse l
tations aux principaux artistes et critiques d’art de Vienne. Le jour venu tout fut prêt. J’avais engagé un orchestre. La sa
ement les gazes qui la drapaient, se réduisaient à peu de chose. Elle vint sur le devant de l’estrade, et tandis que la musi
fois-ci l’un d’eux devait se décider à un engagement. Le lendemain il vint me voir et proposa vingt représentations dans l’u
18 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
ne premiere. Le Théâtre représente un Palais magnifique. Arlequin vient avec sa Maitresse ; il l’assure de son amour ; il
art. Lazzis d’Arlequin. Scene III. Les Créanciers du Sultan viennent en foule ; ils sont mis grottesquement. Le Sultan
ien sait signe au Sultan de se relever, & lui sait entendre qu’il vient lui donner du secours. On apporte par son ordre t
onné tout son argent, il fait entendre qu’il meurt de faim. Un Pauvre vient lui demander l’aumône. Paillasse exprime sa misèr
un par la fenêtre. Les autres Escrocs prennent le parti de celui qui vient d’être puni par Arlequin. Combat entre les amis d
uminés & décorés des mains de l’Art & de la Nature. Le Peuple vient exprimer au Sultan sa joie & sa reconnaissanc
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
ncé, Et, mêmement, bien avancé, Suivi d’une illustre Brigade, Louis y vint en Mascarade, En noble et triomphant arroi, (Loui
mêmes, conduite Et Madame, pareillement, Du Bal, le second Ornement, Vinrent en Bergers et Bergères, Revêtus d’étoffes légères
20 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 février. Les périls du music-hall. »
eur pourra-t-il affronter la rivalité formidable des attractions ? On vient d’applaudir une jeune femme en maillot pailleté q
nt les incomplets, mal outillés pour les grandes scènes lyriques, qui viennent le plus souvent chercher des compensations au mus
t en ouvrant la main, elle n’est plus que la petite vague fraîche qui vient se briser au rivage de la rampe. Puis elle mime u
21 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
singe. Eh ! bien, si ceux de la comédie laissent tomber ces nouveaux venus déconcertants, ceux de la danse n’ont qu’à les ra
e russe s’incline devant le tutu de blanche tarlatane ! Je vois d’ici venir les rieurs. Ce sont donc des danseurs que vos fam
ameux Russes. N’est-ce pas, d’ailleurs, d’un Russe déçu Phèdre que me vient cette formule irrésistiblement drolatique : le Ka
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
ez très satisfaite et lui aviez promis de revenir et pourtant vous ne venez pas. Elle déclare que ce n’est pas gentil à vous
Je n’arrive jamais dans une ville sans que Loïe Fuller n’y soit déjà venue avant moi, et même à Paris, — à la foire de Neuil
e j’allai dans l’Amérique du Sud je découvris que Loïe Fuller y était venue également avant moi. Ce que je me demande souvent
j’ajoute que la choriste américaine, dont j’ai parlé tout à l’heure, vint à Paris, et qu’un beau jour son amant la planta l
23 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
vouloir ces deux messieurs ? Le ministre probablement désirait que je vinsse danser chez lui. Ces messieurs entrèrent, et je r
!… Un jour, je demandai à ma mère et à M. Morris d’inviter le nouveau venu à notre table. Je découvris avec peine que toute
it connaissance nos relations s’établirent tout de même fort bien. Il vint avec nous au théâtre chaque fois que nous jouions
la Jamaïque, et je le remerciai avec effusion. Peu de jours après, il vint me prendre pour me conduite à Marly chez le grand
se hâter d’en finir avec ce qui les ennuie. Une fois Alexandre Dumas vint me rendre visite au Grand-Hôtel, et depuis ce tem
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
ille bientôt au rivage ; ce navire porte des commerçans Européens qui viennent faire trafic avec les Colons. Ils descendent et s
cide a sortir par un des flancs du théâtre, il rencontre sa sœur, qui vient pour retrouver Belton ; elle reçonnoit son frère,
ue ce sont là les liens qui l’attachent à Belton ; elle le conjure de venir le voir, l’assure qu’il est digne d’être son frèr
son frère. L’Indien est touché. Il embrasse sa sœur ; elle l’engage à venir dans son logis ; il se décide, il prend les deux
e de Belton et qu’ils la rendent à la colonie. Le frère de l’Indienne vient à son tour ; il est instruit de tout ; il demande
25 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
ressant et compagnon des plus aimables. Ce dernier invita M. Boosey à venir déjeuner un matin avec lui, chez Delmonico. — Mer
’était bien un peu vague, mais M. Boosey assura qu’il était charmé et viendrait , dès qu’il serait libre. Il avait peur de n’avoir
t à trouver le temps long. Il crut s’être trompé de jour et fit enfin venir le patron. — Comment, dit celui-ci, le garçon ne
pas informé, que M. X… a téléphoné à deux heures qu’il ne pouvait pas venir , et qu’il vous priait de commander ce que vous dé
réglera l’addition. Pensez à ce que dut croire cet Anglais ! Il était venu déjeuner avec un gentleman, et non se faire payer
tre déjeuner jusqu’à deux heures et j’ai téléphoné. Je croyais ne pas venir ici du tout. J’avais une affaire d’un million de
monde, dans quelque partie de l’univers qu’il soit né, aurait préféré venir au monde en Amérique. Car l’Amérique, à en croire
tel de Mexico, où j’étais descendue, je trouvai la musique municipale venue pour me donner une sérénade. A la fin de mon séjo
s passâmes la visite de la douane. Le soir, à l’hôtel, le jeune homme vint chez moi avec Mortier et je lui rendis son paquet
26 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
verres de kirsch et trinquant avec les machinistes. — Pourquoi il n’y vient plus. — La sortie du théâtre. — Mon intention d’e
ir le plaisir de regarder les daines passer ou pour les voir de prés, viennent chaque soir y consommer des liqueurs. Rien de plu
X Il y a quelque temps, certain prince russe.  — un pour de bon, —  venait sans façon y boire des petits verres de kirsch, q
les machinistes, qui ont fini par le tutoyer. Cl… est cause qu’il ne vient plus. Les machinistes le regrettent. XI La
e dans la fievre de l’impatience. Un gandin brun. Tu es sûr qu’elle viendra  ? Son ami. Parfaitement ! car elle a fait répon
ne voiture et attends-moi au coin du faubourg. Le jeune homme. Tu y viendras  ? L’actrice. Je te le jure. Je filerai entre le
27 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
nt développé chez la femme, qu’elle se jette dans les bras du premier venu , sans scrupule. L’homme est à leurs yeux un geôli
ec nous, pour nous reprocher nos déréglements, que la vieillesse soit venue . Qu’est-ce qui a jamais pardonné à une vieille lo
lle y compte. XI Je regrette déjà l’accès de sensibilité que je viens d’avoir. L’air moral ne doit pas m’aller du tout.
oral ne doit pas m’aller du tout. J’en suis à me demander pourquoi je viens d’être aussi sentencieuse. Et à propos de quoi ?
ur sa cheminée traîne perpétuellement une épître décachetée. Quand on vient la voir elle s’arrange de façon à laisser le visi
28 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
uski la raconte lui-même partout, et dernièrement, devant moi, il est venu prier un journaliste d’en faire une nouvelle à la
eur seules avaient donné. — On attendait une société de Russes qui ne venait point. Gil Perez le suivait en lui criant : — Pol
succombe !… Tout à coup un mouvement se fit à la porte, le contrôleur vint tout joyeux parler à l’oreille de Markouski, dont
mmes, les autres avec celles de leurs amis, ceux-là comme ils étaient venus . Seuls, les trois hommes distingués ne firent pas
le chorégraphe polonais ne resta prisonnier qu’une heure. Son associé vint le rendre à la liberté et à ses cours. Mais, depu
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
rté, l’opulence. L’Électeur de Bavière, le Prince Emanuel de Portugal vinrent alors en France, et ils prirent le ton qu’ils tro
amusements. Ils voyaient une trop grande distance entre ce que Paris venait d’admirer, et ce que leur fortune ou la bienséanc
ont ses fastes l’honorent. Lorsque les Suisses furent sur le point de venir en France, pendant le règne de Henri IV pour reno
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
es FILLES du Premier des DIEUX, Comme d’Elles ils croient naître, Ils viennent les en reconnaître, Faisant tout à fait galamment
e sont point Nymphes moisies, Pour juger sur ce différend, En dansant viennent prendre rang ; Et comme, en un mot, les dernières
ller sur nouveaux frais, JUPIN, le MAÎTRE de la FOUDRE, Enfin de tout vient en découdre, En changeant ces Objets si beaux, Po
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
vre Un soir, pendant l’Exposition de 1900, M. et Mme Jules Claretie vinrent , à mon petit théâtre de la rue de Paris, pour voi
ns combien Sada Yacco avait intéressé les Claretie et je les priai de venir voir ma nouvelle étoile japonaise. Après la repré
r chez M. et Mme Claretie, pour la petite Hanako et pour moi. Le jour vint , et nous nous mîmes en route, Hanako paraissait i
faire plaisir, et parce que je l’en avais priée expressément, qu’elle venait à ce déjeuner. Elle était charmante avec ses drôl
amais ni gants, ni voilettes, ni mouchoirs, c’était toujours elle qui venait justement de prendre les derniers. Elle avait tou
ako, que j’avais applaudie dans la Martyre au passage de l’Opéra, est venue me voir, conduite par miss Loïe Fuller, qui nous
ire de faunesse, elle m’a répondu : — C’est le hasard. La lumière est venue à moi plutôt que je ne suis allée à elle ! » Je m
t ami, voulut bien adapter en français, travail laborieux que la mort vint interrompre. Ce fut long ce livre, si long, et fo
32 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
egrette de ne pouvoir vous emmener dans son royaume. Elle ne peut pas venir , elle ne peut vraiment pas. Elle m’a dit seulemen
ir la voir danser. Ce fut les larmes aux yeux que je lui répondis : —  Venez tant que vous voudrez, ma petite chérie ; j’enten
tites princesses et de toute une petite suite de petits amis. Lorsque vint mon tour d’entrer en scène, les lumières s’éteign
rendis au palais. La princesse Marie envoya chercher ses enfants. Ils vinrent les uns derrière les autres, aussi timides que de
s « ma Loïe », et, après sa première visite au théâtre, où elle était venue me voir danser, elle essaya de m’imiter. Elle éta
33 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
. Moi, timide, je tremblais. Heureusement la patronne des Lorettes me vint en aide, elle me ramena au souvenir des hymnes qu
gme de toute sa vie, quand elle veut que sa vie soit mystérieuse. On viendra me prendre ce soir. Si on savait que je suis chez
suis chez vous, on serait bien furieux. On m’a dit hier que si on ne venait pas au bois, on viendrait dîner. Il y a des Loret
ait bien furieux. On m’a dit hier que si on ne venait pas au bois, on viendrait dîner. Il y a des Lorettes, qui devant un tiers n
. Vous avez toutes ouvert votre aumônière, et quand le collecteur est venu , l’offrande ne s’est pas fait attendre. C’est un
serrer les reins avec une ceinture non hygiénique, a le privilége de venir réveiller à minuit ceux ou celles qui ne dorment
J’ai vu un bail de loyer qui était signé Juli de Mommorenssy ; il ne vint même pas à la pensée du notaire de mettre en dout
e âme veuve. Elle date sa lettre d’une localité dont le nom seul fait venir la chair de poule, et elle trace ces mots : De l
jeune fille des environs de Vendôme, arrachée au chalet de son père, vient à Paris, et, après quelques transformations, est
La fin du travail donnait pour résultat la nouvelle que la Vendômoise venait d’épouser un boïard ou un hospodar moscovite, et
cs, monnaie de France, que le parrain de la pupille avait le droit de venir réclamer, et qu’elle lui laissait comme souvenir
va faire son marché. — J’ai ouvert une table, vous dit-elle… vous viendrez , n’est-ce pas ? D’abord je vous invite. La premiè
lle vous autorise à prendre le coin de la nappe : sa blanchisseuse ne vient qu’une fois tous les deux mois. Une dispute affre
nction d’âge ni de sexe, aux plus anciens pensionnaires. — Un nouveau venu veut dire son opinion. — Un hourra d’anciens et d
ez à votre voisin. Ce n’est pas plus difficile que cela. — Le nouveau venu fait ainsi qu’il lui a été expliqué, et du premie
mon dîner, La maîtresse de la maison se penche à l’oreille du nouveau venu et lui dit : « Pour faire cesser ce conflit, et r
ce conflit, et raviver les enchères, dites huit francs. » Le nouveau venu dit huit francs. Le calme renaît. L’hôtesse frapp
à la Lorette : Lucien, je serai demain à l’Opéra à minuit ; Charles, venez me prendre à la Renaissance à une heure ; Adrien,
e sur lui de l’imiter. — La Lorette. L’Opéra tombe tous les ans ; j’y viens par habitude, mais, ma foi, je n’y viendrai plus…
éra tombe tous les ans ; j’y viens par habitude, mais, ma foi, je n’y viendrai plus… il y a mieux que ça. — Où ? dit inconsidéré
i, c’est de rigueur ; mais vous, monsieur, vous aurez le privilége de venir avec votre nez revêtu de son ornement. Il y aura
s. Le nez de carton demande chaque soir à son portier si on n’est pas venu indiquer le jour et le lieu de la fête à laquelle
nciers : ils ont su qu’elle donnait un bal par souscription, ils sont venus l’assaillir et ont allégé sa bourse au point qu’e
on interrompue de malades qui considèrent le docteur comme un ami. On vient causer avec lui santé ou maladie comme on causera
de, de vous remercier de vos soins… — Il y a long-temps qu’elle n’est venue . — Elle n’a plus besoin de venir, docteur… Elle e
s… — Il y a long-temps qu’elle n’est venue. — Elle n’a plus besoin de venir , docteur… Elle est guérie. — C’est juste. — Je
u médecin de service, et fend la foule des prolétaires. — Docteur, je viens , au nom d’un de vos confrères, solliciter pour mo
hande à la toilette, ou achète un fonds de table d’hôte et le notaire vient dîner en remboursement de ses avances. La Lore
En m’apprenant ton départ !… est une ode qui transmet aux siècles à venir la sensibilité exquise et le dévouement surhumain
34 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 février 1669 »
mement. On voit aussitôt les Naïades, Avecque les Vertes Dryades, Qui viennent faire, tour à tour, À l’aimable Flore leur cour ;
ose les Jardins de Flore, Ainsi que, dans celle d’après, Les Heures y viennent exprès Cueillir mille Fleurs pour les Grâces ; Et
te belle et royale ALTESSE À qui mes Missives j’adresse. Des Faunes y viennent aussi, Et le Ballet finit ainsi Par cette quinziè
35 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
tait à Londres, quelques mois auparavant. Une amie m’avait demandé de venir dîner avec quelques officiers que l’on fêtait, av
ligne, pas une carte. Quelle drôle de chose ! De qui cela pouvait-il venir  ? Je ne connaissais personne aux Indes. Mais tout
ccès de la pièce, nous la jouâmes d’abord dans les provinces avant de venir la présenter au public de New-York. Je fis donc m
e ! C’est trop fort ! Lorsque j’aurai besoin de vous pour un rôle, je viendrai vous chercher avec plaisir. Mais comme danseuse,
tant qu’actrice, et il se moquait de la danseuse ! Mme Hoffman était venue avec moi, elle m’attendait au foyer du théâtre, o
ncer mes courses, car le besoin me talonnait. Mme Hoffman m’offrit de venir demeurer auprès d’elle et de sa fille, ce que j’a
it-il, et j’ai justement la musique qu’il vous faut pour cette danse. Venez dans mon cabinet, je vais vous la jouer. Là, pour
contrat dès le lendemain. En rentrant, je demandai s’il n’était rien venu pour moi du Casino. Rien ! Le soir, mes amies all
36 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
st toujours vraisemblable. Don Cléofas Zambulo, écolier d’Alcala, est venu chercher fortune au bal ; et, comme c’est un gail
e. Don Cléofas va s’élancer sur ses pas, lorsqu’une élégante pèlerine vient à son tour l’agacer. Le domino fugitif est aussit
racher la belle du bras de Cléofas. — Qu’à cela ne tienne ! le volage vient justement d’apercevoir certain domino rose dont l
ès, les connaître plus intimement. « Soit, dit le diable ; elles vont venir ici toutes les trois pour consulter l’alchimiste.
ies sylphides et les wilis en expectative. Un incident ne tarde pas à venir interrompre les exercices : il s’agit de deux pro
a bien ses motifs pour agir de la sorte : Paquita, sa protégée, doit venir justement tout à l’heure demander à être admise d
derniers plans, à l’heure où le spectacle va commencer. Le régisseur vient frapper les trois coups. On entend l’orchestre jo
tion prend un tour des plus tendres, lorsque la camériste de Florinde vient lui annoncer la visite du maître de ballets. Cléo
ne Espagnole, entendant au bas de son balcon résonner la sérénade, ne vienne pas aussitôt montrer son nez au travers de la rej
t ainsi que vont les choses ! allons en prévenir le Bellaspada. » Qui vient encore après lui ? Bon ! la femme de chambre de F
s son cœur ; l’amour pur va triompher, quand, par malheur, un laquais vient apporter à l’écolier, de la part de la veuve, une
ntre la veuve une alliance offensive et défensive, à laquelle Asmodée vient généreusement promettre son appui. Pour commence
Cléofas a la malheureuse idée, — c’est le diable qui le pousse, — de venir fourrer son nez à la porte du boudoir, juste au m
le troupeau des attentifs. Florinde, toujours travestie en militaire, vient aussi faire un tour à la fiesta del sautillo. Ell
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 novembre. Danseurs viennois. Mlle Wiesenthal et M. Anton Birkmeyer. »
e Wiesenthal, Viennoise, qui valsait au music-hall. Aujourd’hui, elle vient nous dire ses petits secrets sur le vaste plateau
il entreprend l’Arlequin du Carnaval, triomphe de Nijinsky. Il va il vient , tourne en l’air, pirouette laborieusement, obsti
38 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
e s’était révélée. Longtemps les femmes s’étaient dit : « Que peut-il venir après la grâce nuageuse, l’abandon décent et volu
ux de Taglioni ? » Longtemps les hommes s’étaient dit : « Que peut-il venir après la verve provoquante, la pétulance hardie e
ie et cavalière, la fougue tout espagnole de Fanny Elssler ? » Il est venu Carlotta Grisi, légère et pudique comme la premiè
is II avait passé quelques nuits. C’est dans le lit même du César que vint au monde celle qui devait être plus tard l’impéra
eut bien le dire. Le lieu était, du reste, si sauvage, que les souris venaient manger sur la table, et que les ours se promenaie
re danseuse de l’Italie. Un Français, M. Guyet, fut son maître ; puis vint Perrot, qui lui donna d’excellentes leçons et d’u
papier de riz de la Chine ou les pétales intérieurs d’un camélia qui vient d’éclore ; le caractère de sa physionomie est une
mps modernes, et peut-être bien aussi des temps antiques. Maintenant, venons à l’analyse du ballet. Au lever du rideau, vous a
vec le poète : Il aimait trop le bal, c’est ce qui l’a tué ! Voici venir les danseuses de tous les pays, et l’Andalouse fo
faite ! Les feuilles ont frémi, une main écarte les branches. Qui ose venir à pareille heure dans ce lieu formidable ? Albrec
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
ureuse, l’exécution si homogène et si désinvolte, le tout est si bien venu que je me suis abandonné sans réserves à la douce
zandi » de Scarlatti-Massine. Aussi la Brianza a-t-elle raison d’être venue se mêler à toute cette fougueuse jeunesse, Brianz
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
te, parées de leur propre beauté et sans autre voile que leur pudeur, venaient immédiatement après eux avec des pas lents, et un
es maintenant ; A l’épreuve à tout venant. La troisième, des enfants venait après, qui disait : Et nous un jour le serons, Q
et qu’elles s’accoutumassent à mépriser l’opinion du vulgaire ; d’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit,
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
ylle] d’Alexandrie, les deux hommes en ce genre les plus surprenants, vinrent y développer leurs talents sous l’Empire d’August
et ils trouvèrent le moyen d’engager adroitement leur Adversaire à le venir voir. Le concours fut extrême, et le Cynique fut
aient de plaisir54. Telle aurait paru Mademoiselle Sallé, si elle fût venue dans un siècle, où la Danse théâtrale eût été mie
42 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
e suivant, j’allai comme d’habitude au Lycée avec mes frères. Ma mère vint aussi dans le courant de l’après-midi, et s’assit
nt. Seulement cette fois personne ne se moqua de moi. Lorsque ma mère vint me rejoindre, longtemps après, elle était encore
e tout cela. Il me faut dire que lorsque ce premier incident théâtral vint se placer dans ma vie, j’avais tout juste deux an
43 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
p. 112) « qu’il y en a, et surtout des femmes qui font en sorte qu’on vienne aux jours de fêtes, non dans des vues droites et
s honteuses. Si ceux qui se conduisent ainsi, ajoute le concile, sont venus à l’église avec de moindres péchés, ils s’en reto
e les prêtres aient donc grand soin d’avertir le peuple qu’on ne doit venir à l’église en ces saints jours que pour prier ».
par rapport à la fuite des danses, que celui du concile de Tours, qui vient d’être rapporté : et il y joint la même menace d’
44 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
livrer et de combattre l’ombre de Lybas. Le spectre parût, dit-on, en vint aux mains avec l’Athlète, fut vaincu, et de rage
ène II. Ce jeune homme est Euthyme, amant passionné d’Eucharis. Il vient présenter d’autres victimes aux Témessiens en éch
l’autel, et la tenant dans ses bras, il défie tous les Témessiens de venir la lui ravir. Cette témérité imposante surprend t
hérit. On entoure Euthyme, on le regarde comme un dieu tutélaire, qui vient d’assurer à cette contrée la paix et le bonheur.
r l’hommage qu’on s’empresse a lui rendre. Les jeunes gens de Témesse viennent prendre ces deux amans pour les conduire au templ
45 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Preface. » pp. 5-10
e village, les Bretons le Triory ou Passepied, les Bransles de Poitou viennent des Poiteuins, & la Volte de Prouence, des It
nos airs de Courante ont este tirez de quelques Balets, les Canaries viennent aussi d’vn Balet où les Danseurs representoient l
uueront quelque chose digne de leur enuie où ie les lairay aller pour venir où mon dessein m’appelle.
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 août 1669 »
e Comédie admirable, Dont l’ouvrage était remarquable, Bientôt après, vint le Ballet, Où l’on joua bien son rôlet. Chacun y
47 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
il de ma mère, et l’homme joua de l’accordéon jusqu’au moment où l’on vint nous avertir que le déjeuner était servi. Je dema
ela, et, bien qu’on fût très pauvre chez nous, on me gardait. Le jour vint pourtant où ma mère mourut. Puis ce fut le tour d
l me conduit à la fontaine quand il a soif et je lui donne sa part. —  Venez -vous ici tous les jours ? — Oui, c’est l’entrée d
imagination, l’aveugle le voyait. *** Un jour, la femme de ménage qui venait chez nous, chaque matin, à Passy, afin d’aider le
quelle gaîté elle témoignerait quand enfin la mort de la paralytique viendrait la débarrasser du poids dont elle avait bénévolem
, et cela dans l’espoir de recevoir deux ou trois pence. Le garçonnet vint ouvrir la portière de notre voiture. Déjà le coch
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
atinée, un adage et une variation classiques, une valse à laquelle se vient mêler l’éternel thème mimique du dépit amoureux,
Opéra, Mme Tréfilova nous donna une « danse japonaise » que je voyais venir avec une appréhension dont je suis, après coup, c
ent ; elle porte d’une main l’éventail et de l’autre le parasol. D’où vient ce caractère exquis de grâce narquoise qui nous d
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
pointes et subtilités. De leurs Noms voici, donc, la liste, Comme ils viendront à l’improviste, Sans y chercher d’autre façon ; O
s yeux ont grande douceur, Dont la face est claire et sereine, Et qui vient du Sang de Lorraine. Mademoiselle de Nemours, Q
d’une très rare beauté, Aux Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en venait me dire, Et fut-ce le Roi notre Sire, As-tu rien
50 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. » pp. 49-54
jesté est placée, il lui fait une très-profonde reverence, ensuite il vient à l’endroit où est la Reine, ou premiere Princess
a Princesse ou Dame qui doit danser à son tour, afin de la convier de venir danser, & là il l’attend, afin de faire tous
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
s, et qu’on y tienne des discours indécens ; et quand des jeunes gens viennent à la danse, déjà échauffés par des chansons lubri
aint docteur nous parle encore à nous-mêmes dans ses sermons qui sont venus jusqu’à nous ; écoutons-le avec le respect que mé
i corrompu et si aveugle ? Je ne puis m’empêcher d’ajouter à ce qu’on vient d’entendre de saint Jean Chrysostôme, ce qu’on éc
étant saints, le reste le soit aussi. Ç’a toujours été la coutume de venir à l’église, afin que là leurs mariages fussent sa
té sainte, on s’abandonne à tout plaisir sans modération, et que l’on vienne aux danses, voilà tous ces beaux commencemens ren
52 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
au mur de fond de la scène, s’y arrêta une seconde, prit son élan et vint tomber, en trois bon ’s, sur le trou du souffleur
diable au corps avec les sauteries espagnoles du Cid n’auraient qu’à venir sous ses fenêtres plumer la dinde ou racler le ja
e fois dans le bal, il faut valser. M. Mauri était beau joueur. Quand vint la guerre, les fonds étaient bas. C’était la dern
me elle n’oublie jamais de le faire remarquer aux journalistes qui la viennent mettre à la question piquant elle-même ses chauss
suis produite dans le divertissement de Polyeucte, M. Halanzier étant venu me chercher à la Scala, où j’avais un engagement…
, diamants à l’écrin, chevaux et voitures à l’écurie. Je sais qu’elle vient d’acheter une bicoque de cent mille francs pour y
ravaille la musique, qu’elle aime la littérature ; que, chez elle, on vient lui faire des conférences sur les œuvres ancienne
53 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
oit porter pareille somme Pour subvenir à leur besoin, Puisqu’il sont venus , de si loin, Avecque Comédie et danse, Donner du
54 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 3 octobre : Ballet des Noces de Village — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 6 octobre 1663 »
uelques Princes, Et d’autres Gens un peu plus minces. Faute d’avis, venus à temps, Je ne vis point ce passe-temps, Car, pou
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
Souveraine Fait notre bienheureux Destin, Et leurs admirable DAUPHIN Vinrent à cette belle Fête, Étant, des pieds jusqu’à la T
56 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
ne rien présenter de répréhensible, d’où par un tour d’imagination on vient ensuite à conclure que les danses, telles qu’elle
dangereuses et indignes des chrétiens les danses, selon l’idée que je viens d’en donner, et qui répond à ce que tout le monde
s ? On ne peut être chaste que par une grâce spéciale de Dieu, de qui vient la chasteté comme toutes les autres vertus ; et l
suppose qu’elles le craignent, et que pour éviter ce malheur il leur vienne à la pensée de se recommander à Dieu pour être en
57 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
ependant sans faire ni se permettre rien qui offense Dieu. M. Bossuet viendra encore ici à l’appui de cette réponse, par celle
int Jean Chrysostôme que M. Bossuet a eu en vue dans la réponse qu’on vient d’entendre, est de l’homélie 37 sur saint Matthie
u ainsi ? Pourquoi me transportes-tu comme un insensé, et pourquoi me viens -tu persuader que j’ai sujet de me réjouir, quand
les paroles de la vie éternelle  ; mais encore ceux même qui étoient venus pour se saisir de sa personne, répondoient aux ph
58 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
Le petit frère suivit le père de loin et revint dire à sa mère qu’il venait d’entrer tout droit chez le marquis de X… La mère
ne fille se prit à courir, appelant ses camarades : — Mesdemoiselles, venez  !… Si vous saviez !… Ah ! que je suis heureuse !…
it à l’étrangler. Pendant ce temps-là, les petites camarades ameutées venaient apporter le tribut de leurs félicitations. Enfin,
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
ts. Dans le même temps l’ombre du délicat Apicius sortit de terre. Il venait prêter à ce superbe Festin les finesses qu’il ava
odeste fut adroitement coupée par Bacchus, Silène et les Egipans, qui venaient célébrer une Noce si illustre ; et la Fête fut ai
60 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. L’Opéra vient d’offrir au public plusieurs soirées composées in
les ressources du mouvement organisé. Et ce n’est pas de Hellerau que viendra la renaissance du ballet parisien ! Cependant l’a
61 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
t des Nymphes. Un Berger et une Bergère nouvellement unis par l’Amour viennent offrir à cette Déesse les premières roses du prin
amène Vulcain. Scène V. Vulcain est reçu avec indifférence ; il vient montrer à Vénus une partie des armes qu’elle lui
62 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
e Scène, Par la Nymphe de nôtre Seine, Avec Vertumne, Dieu Latin, Qui vient , par un noble Dessein, Divertir notre auguste Sir
lle trace, À de riants Vergers, fait place : Où la Déesse, aussi-tôt, vient , Et, contre l’Amour, s’entretient, Avec les Nymph
63 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VIII » p. 138
VIII En ce qui concerne le poème, l’allégorie est venue , de tout temps, en aide à la figuration grossière
64 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
Et de bien régler les affaires, Glorieuses et nécessaires, Dont vous venez si bien à bout Que vous trouvez du temps pour tou
65 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « A SON ALTESSE SÉRÉNISSIME, » pp. -
elle s’empressoit de marcher à la tête des secours puissants qu’elle vient d’accorder à ses Alliés. Il n’est aucune circonst
66 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre IV. De la premiere Position. » pp. 11-12
vous pliez, si l’un des deux étoit derriere, cela facilite de laisser venir le genouil en dedans, au lieu que les talons étan
67 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
s Mascarades, Les unes avec Sérénades, Ainsi qu’en leur Centre Royal, Vinrent fondre dans ce grand Bal, Et mon HÉROÏNE et PRINC
68 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XV. Des Reverences en entrant dans un appartement, ou dans une assemblée. » pp. 47-48
u Bal & la maniere de s’y comporter avec politesse, soit que l’on vienne vous prendre pour danser, ou que vous alliez pren
69 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
! Elle fut le lieu de rendez-vous où les souverains et les diplomates vinrent refaire la carte de l’Europe. La présence de ces
l ne marche pas. » La bourgeoisie et le peuple suivaient l’impulsion venue d’en haut. Le goût de la vie joyeuse était encour
ifférente, sous le nom de Schrœder-Devrient. Un ballet où tout Vienne vint applaudir ce Lilliput fut une Cendrillon exécutée
plâtrier, Johann Prinster, originaire de Méran, dans le Tyrol, était venu à Vienne en 1769. Non content d’être dans sa spéc
iver à la notoriété. Après un quatrième enfant qui mourut en bas-âge, vinrent les deux célébrités de la famille, Thérèse, née l
s jours par le numéro 19 de la Haydngasse. *** La généalogie que nous venons d’exposer a son intérêt. Elle nous montre que Fan
o, ce geôlier de Rossini qu’il astreignait à une production continue, vint à Vienne en 1822, lorsqu’il eut été dérangé par l
angère. Dans l’été 1831, le célèbre écrivain allemand Wolfgang Menzel vint à Vienne. Il vit représenter plusieurs ballets à
e pour un certain temps l’exercice de sa profession. Un appel qui lui vint justement de Londres lui fournit à point nommé un
rès le moment où elle retournerait à Berlin, lorsqu’un heureux hasard vint donner à sa destinée un cours inespéré et réalisa
70 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
mple consacré à Bélus. On voit d’abord entrer une foule de peuple qui vient lui faire des offrandes. On y danse un air qui es
he du mausolée de Ninus et aussitôt ces mots paraissent sur la base. Viens , cours, venge ton père. 29Et dans le même momen
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
entend alors une jeune fille qui s’écrie : Athéniens, accourez tous : venez , écoutez-moi. Je viens vous rendre ces filles ché
fille qui s’écrie : Athéniens, accourez tous : venez, écoutez-moi. Je viens vous rendre ces filles chéries que vous pleurez.
72 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
t risqué mon agent. — C’est déjà trop pour une danseuse qui, avant de venir à Paris, y a déjà des imitatrices. Influencé par
rage je n’avais que la rampe. Lorsque j’eus fini, le directeur me fit venir dans son cabinet et me proposa de m’engager séanc
omme en 1892, j’avais de nombreux amis parisiens dans la salle. Il en vint beaucoup sur la scène pour me féliciter et, parmi
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
ndis donc, sans autrement m’émouvoir : — Merci beaucoup, monsieur, je viens justement de voir le Louvre, et je crois que c’es
me demanda de revenir. Un jour, le conservateur du musée de Bucarest vint à Paris, et un ami commun me l’amena. Entre autre
rlé la première fois devant moi. Finalement, il dit à son visiteur de venir le voir chaque fois qu’il passerait par Paris. En
74 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
de la belle Danse. Presque tous les Etrangers loin d’en disconvenir, viennent depuis près d’un siécle admirer nos Danses, se fo
on éclat qu’à la naissance des Opera. Lully, Italien de Nation, étant venu en France à l’âge de neuf ans ; y appris la Musiq
avoit dans ce Ballet une Scene très singuliere où un Maître à danser vient vanter en chantant tous les avantages de son Art,
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
es dans l’Attique, revêtus des marques distinctives de leur caractère venaient ensuite. Ils marchaient lentement et en mesure en
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
en inventant tout de suite une autre célébrité ; il prend la première venue , l’illumine d’un regard, et l’on ne songe pas plu
let ; il n’est pas étranger aux émotions du théâtre, et si, lorsqu’il venait d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssle
l venait d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssler, on était venu lui demander si elle était la factrice ou le comm
ur d’Amérique, elle reparut au milieu d’eux. Le 2 septembre 1842 elle vint en spectatrice au Kærnthner-Thor, pour assister à
de Jeres, et la Cachucha furent applaudies par un public attendri qui venait apporter un témoignage de sympathie, plus encore
les et Incurables. A la fin du spectacle une députation de vieillards vint la remercier d’avoir renoncé, en leur faveur, à l
l’a vue ses sentiments ont changé. Il se demande de quelle sphère est venu cet être incomparable, dans quels suaves embrasse
, combien de joies et de martyres il est destiné à connaître. « Tu es venue , s’écrie-t-il, ô créature, de planète en planète,
ois des langages ivres d’amour et de tristesse, comme les entendirent venir , en un sombre matin, des feuilles remuées et de l
tervint plusieurs fois dans l’étude de pièces nouvelles. Des artistes venaient lui demander conseil. Elle enseignait à la grande
d. Fanny leur avait confié sa fortune et il avait été entendu qu’elle viendrait en personne chaque année, le 1er janvier, toucher
chaise comme sur un cheval de guerre, il saisissait le premier objet venu qui pût tenir lieu d’épée ou de lance ; il montra
e de maison et qui restaient fidèles au culte de leur jeunesse. « Ils venaient à l’heure exacte, dit Louis Hevesi, ne fût-ce que
ine Catherine Prinster, son inséparable compagne jusque dans la mort, vint reposer à côté d’elle. Le poète latin Martial nou
77 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 3 décembre. Danses du « Grand Mogol ». »
es symétriques et carrés qu’aucune préoccupation de couleur locale ne vient agrémenter ou tourmenter. Aussi, Mme Stichel, maî
78 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Danses de Mlle Svirskaya. »
aute époque ou encore à ces admirables jeunes femmes américaines, qui viennent sur nos tréteaux exécuter leurs folles danses acr
79 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
Cour rit et fit gogailles. On s’y promena dans le Parc, Où l’Amour vint jouer de l’Arc Parmi nos charmantes Chrétiennes,
80 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
s régulières. On donna à ces Danseurs le nom de Mimes. On les faisait venir dans les festins pour divertir les Convives. Ils
jà dit à Alexandrie, et il avait vu Pylade en Cilicie. Il l’engagea à venir à Rome, après en avoir parlé à Mécène, qui aimait
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Le « vendredi » de Mlle Nérys. »
ère fut littéralement saisissante. Pourquoi fallait-il qu’un comédien vînt geindre devant la Madone des vers de Maurice Rost
82 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
ous leurs tons, les Sens languissent, Par le sentiment du plaisir Qui vient doucement les saisir. La Scène est pompeuse et br
83 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
gesse eut du dessous. Un petit Livre dont je tire Tout ce qu’ici je viens d’écrire Se tait des Décorations Dans ses belles
84 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
s de la Cour, au Balet des Amours d’Hercule : le Cardinal Mazarin fit venir exprès d’Italie l’Auteur Italien, pour le faire r
l’appelle, suit constamment les deux valeureux Chevaliers qui le sont venus délivrer de cette agréable prison. Une autre band
enriette d’Angleterre ; & attendu qu’elle avoit passé la mer pour venir en France, le sujet fut la naissance de Venus, pa
toit retirée dans l’Isle d’Angleterre, où toutes les Nations du monde vinrent en ordre par la Tamise, jusqu’au Palais du Roi, p
s, firent l’ouverture & chanterent ces Vers au Roy. Le monde te vient faire hommage, Grand Roy, de sa fertilité, Puisqu
té, Puisqu’ici loge la beauté, Et l’amour l’honneur de notre âge ; Il vient chercher la Vérité Chez vous, où son temple est p
masse du monde, qui lui avoit donné tant de peine à porter, il étoit venu dans l’Isle Britannique, où étoit ce point fixe,
n, dans une grande Salle, une danse de Paysans & de Paysannes qui viennent danser en présence du grand Duc : ce Prince donne
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
nt et inquiétèrent l’école traditionaliste, lorsque Philippe Taglioni vint les propager à Paris. Véron trace le parallèle su
ceux qu’elle remporta sur diverses scènes d’Allemagne, Marie Taglioni vint tenter la fortune à Paris. En 1824, elle débutait
re ratifier sa réputation si brillamment inaugurée en Allemagne. Elle vint donner à l’Opéra, ce « centre de l’univers », une
ommage inusité salua cette manifestation d’un art nouveau. Un bouquet vint rouler devant ces pieds qui délaissaient les sent
belle Effie. Mais il est aimé d’une sylphide, un esprit des airs, qui vient le baiser sur le front, puis s’envole par la chem
remerciements, en éloges. Il reprochait à Mlle Taglioni de n’être pas venue plus tôt à Berlin. — Si j’avais pu, disait-il, je
r à Paris. — Sire, les temps sont changés, répond Mlle Taglioni ; n’y vient pas qui veut. — Guillaume rit beaucoup de cette r
l. Il y eut contre Marie Taglioni des essais d’opposition. Tantôt ils venaient des partisans fidèles du vieux ballet mythologiqu
e humeur contre une rivale prétendue invincible. Ou bien les attaques venaient des dénigreurs de profession, des mercenaires de
86 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XLI. Des ouvertures de Jambes. » pp. 187-189
ion dans toutes ses circonstances, je dis que lorsque la jambe gauche vient pour se croiser devant qu’elle s’étende en s’apro
87 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IX »
Le rythme, tel qu’on l’entend communément, est aussi loin du rythme à venir que la symétrie de l’harmonie véritable. La symét
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
int ferme, il serait aisé d’enlever toute la masse du monde, il était venu en Angleterre, qui était ce point si difficile à
e toutes les nations qui sortirent du globe avec un cortège brillant, vinrent danser successivement des Entrées de plusieurs ca
89 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
renfort indispensable des gestes qui convenaient, que le temps était venu pour lui de se lever et de dire quelques mots en
s théâtres européens au Japon, pour que les acteurs d’Europe puissent venir y jouer des pièces de leur pays. Le public nippon
90 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
donna aux Gobelins le 29 janvier 1393, le Roi Charles VI qui y était venu masqué en Sauvage, faillit à être brûlé vif par l
91 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
v. 27.) qu’elle enseigne toutes choses, et qu’elle est la vérité , ne vient se joindre à l’instruction extérieure. Cette onct
92 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 7 mars. Spectacle de danse de Mlle Brociner. »
se : chose inédite, inouïe à ces Vendredis où toutes les impuissances viennent faire la roue devant les badauds. Dès les premièr
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
sa Régence, elle mena le Roi à Bayonne, où sa Fille Reine d’Espagne, vint la joindre avec le Duc d’Albe que la Régente voul
preté enchantée. Monsieur, et plusieurs Dames et Seigneurs de la cour vinrent voir ces appareils et s’y rafraîchir pendant la p
utriche Vice-Roi des Pays-Bas, partit exprès en poste de Bruxelles et vint à Paris incognito, pour voir danser à un Bal de c
94 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
es, et à s’entr’égorger eux-mêmes. Les derniers qui demeurent vivants viennent apporter leurs armes aux pieds de Cadmus. » Je n
isfait Mars que par de grands exploits : Vous que l’Enfer a nourries, Venez cruelles Furies, Venez briser l’Autel en cent mor
grands exploits : Vous que l’Enfer a nourries, Venez cruelles Furies, Venez briser l’Autel en cent morceaux épars. Quinault
95 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
’agrément de Monsieur le Marquis de Segur, seigneur de Romainville, y vient d’établir une fête annuelle, à l’imitation de la
i. Il n’est point douteux qu’il n’ait été englouti. Aussi des paysans viennent -ils annoncer au Bailli qu’il est noyé. Cette nouv
ène XII et dernière. C’est le Seigneur, son épouse et sa suite. Il vient venger l’innocence, couronner la vertu et punir l
96 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
nélie Falcon. Le 7 mars 1840, veille de cette solennité, Lucile Grahn vint au théâtre répéter une « variation » qu’elle deva
e nom de la Divinita. A Londres, où Fanny avait fait florès avant de venir à Paris, il avait ses poches pleines des vieux ch
anser au bénéfice des blessés de l’armée victorieuse ! On la crut, on vint la voir, la plaindre et l’applaudir. Elle était e
97 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
rdinaire à Votre Altesse Royale, qu’au lieu de me contenter de lui en venir témoigner mon humble reconnoissance, j’ose lui fa
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
ne Route nouvelle vers les riches campagnes de la Sicile, qu’Aréthuse vient d’embellir. Tels sont les Arts. Ils s’évanouissen
99 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
appliquer cette parole du prophète Osée : Votre perte, ô Israël ! ne vient que de vous. (Osée, c. 13, v. 9.) Au reste, le v
100 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre X. De la maniere de faire les bras avec les Coupez de mouvemens. » pp. 236-238
e de l’opposition, d’effacer un peu l’épaule droite, & de laisser venir un peu aussi la gauche en devant qui par conseque
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