éjugés, et les préjugés sont le poison le plus subtil de l’esprit. Un
Traité
fondé sur l’expérience de tous les temps, serait
ter, des Artistes, des Amateurs, et de la bonne Compagnie12. Ainsi un
Traité
qui corrigerait les abus, et qui aiderait les pro
peine de le lire. Il y a une espèce d’hommes pour qui seuls, tous les
Traités
les plus Philosophiques seront toujours insuffisa
ità desta e non addormentata. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci,
Traité
de la peinture, ch. CCXLII.] Appliquez-vous à d
si rimuta in ogni attitudine. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci,
Traité
de la peinture, ch. CLXXXXII.] 50. Il faut q
o della gravità che sostiene. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci,
Traité
de la peinture, ch. CCI.] (Voyez la fìg. i, pla
te de’ piedi in terra posata. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci,
Traité
de la peinture, ch. CCVI.] (Voyez la fìg. 2, pl
centro del suo sostentacolo. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci,
Traité
de la peinture, ch. CCXV.] (Voyez fig. 2, 4 et
Conclusion du
traité
contre les danses. Je crois avoir montré par de
’est donc cette onction sainte que toutes les personnes qui liront ce
traité
doivent demander, et que je dois aussi prier Dieu
grand Musicien & d’Architecte du monde. Saint Augustin, dans son
Traité
de la Musique vocale & instrumentale, & S
l’idée de Dieu, suivant le sentiment de S. Denis l’Aréopage, dans son
Traité
de la Hiérarchie, & ce que les anciens Philos
ordes d’un instrument, ce qui cause sa destruction. Socrate, dans son
Traité
de l’immortalité de l’ame, dit encore que l’ame e
es malades. Haffenreffer Musicien & Médecin d’Allemagne a fait un
Traité
de l’harmonie du poulx, qui prouve l’opinion des
cette Musique existe dans tous les élémens. Le P. Mércenne, dans son
Traité
de l’harmonie universelle, assure que les vents i
esperances ne sont point trompées, je donnerai incessamment un autre
Traité
qui enseignera la maniere de faire tous les diffe
s ; mais aussi les habillemens comiques. J’y joindrai encore un petit
Traité
de la composition du Balet, afin que cette Noble
j’en joindrai un grand nombre d’autres, qui ont composé en commun un
traité
contre les danses, qu’ils ont adressé au roi de N
é de ministres du saint Evangile des églises françaises réformées. Ce
traité
a été imprimé en 1679, chez François Estienne (le
e (le lieu de l’impression n’est point marqué). Il porte pour titre :
Traité
des danses, auquel est amplement résolue la quest
l est permis aux chrétiens de danser. Ces ministres emploient tout ce
traité
à montrer par un grand nombre d’autorités des sai
on allégue pour les justifier. Lorsque j’ai pris le même plan dans le
traité
que je donne, je n’avois pas encore lu celui des
me à l’esprit. Je vais donner une analyse et quelques extraits de ce
traité
excellent en lui-même ; et quoique le français, d
soit plus touché de la force avec laquelle les ministres, auteurs du
traité
, ou qui l’ont adopté, parlent contre les danses,
rent qu’il a été avisé entre eux, « être très-nécessaire de mettre ce
traité
au jour, pour affermir dans le bien ceux qui ne s
t par leurs œuvres. » chapitre II. Pour procéder avec ordre dans ce
traité
, et ôter tout lieu d’échapper à la force des auto
ariages. Pour détruire ce vain prétexte, les ministres, auteurs de ce
traité
, font voir que des mariages qui ne se feroient qu
bonne œuvre, la doit commencer sur de meilleurs fondemens. » Tout le
traité
est terminé par une conclusion énergique et press
tions, ou des choses naturelles qui renfermaient un sens moral. [Voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 5, « Éta
au plus haut point de perfection et de grandeur. Lucien qui a fait un
traité
de la danse, entre dans un détail fort grand des
n en ferait un jour dans les cours les plus polies de l’Europe. [Voir
Traité
historique, Ire partie, livre III, chap. 4, « Fra
voir la marche théâtrale de ces sortes de spectacles. C’est du savant
traité
du P. Ménestrier Jésuite, qu’on a extrait le peu
partie de l’action du ballet. Voyez Sapate [Article non rédigé : voir
Traité
historique de la danse, IIe partie, livre I, chap
de la France, dansé peu de temps après la majorité de Louis XIV [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des
’il eût autant d’art pour leur invention et pour leur conduite. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 3, « Fêt
nre tout neuf, acquit l’avantagé de se faire copier à son tour. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 9, « Du
Platon. Hist. de la danse par Bonnet. Lucien. L. P. Ménestrier, Jés.
Traité
des Ballets, etc. (B) Ballets de chevaux D
Romaines, doit être rangée aussi dans cette classe. Le P. Ménestrier,
Traité
des Ballets. Ballets de collège Ballets de
coup de ces ouvrages dans le Père Ménestrier, qui en a fait un savant
traité
, et qui était l’homme de l’Europe le plus profond
z Ballet, et de l’opéra, voyez Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir
Traité
historique, IIe partie, livre I, chap. 2, « Origi
pour rendre grâces à Dieu, l’honorer, et publier ses louanges. [Voir
Traité
historique, Ire partie, livre I, chap. 6, « Défin
it avec la plus grande pompe dans toutes les fêtes solennelles. [voir
Traité
historique, Ire partie, livre I, chap. 7, De la D
ce qu’elle était une imitation des danses impies des idolâtres. [voir
Traité
historique, Ire partie, livre I, chap. 8, « De la
r bous. Voyez Brandons. Et le P. Ménestrier Jésuite, qui écrivait son
Traité
des ballets en 1682, dit dans la préface de cet o
dansaient dans le chœur en chantant des hymnes de réjouissance. [voir
Traité
historique, Ire partie, livre I, chap. 10, « De l
ême rapidité au son de la flûte. Voyez Moulinet [Article non rédigé],
Traité
histoire de la danse, Ière partie, livre I, chap.
ivers de le développer que la fortune leur prodigue ou leur refuse ».
Traité
historique de la danse, tome I. liv. II. chap. VI
neur de Saturne, et en chantant les louanges des premiers âges. [voir
Traité
historique, Ire partie, livre II, chap. 12, « Des
ors dans la Morale, ce que l’Anatomie est devenue dans la Physique ».
Traité
historique de la danse, tome I. liv. II. ch. VII.
ouces et modestes. Voyez sur cette danse et son origine le I. tome du
Traité
de la danse. [livre II, chap. 4, « De quelques da
stituées dans les suites pour célébrer les fêtes des dieux. (B) [voir
Traité
historique, Ire partie, livre I, chap. 9, « De la
lexions sur l’incertitude des Jugemens en matière de Littérature, 38
Traité
du Geste, &c. 49 L’Art de se louer soi-même,
application, suppléer à l’absence d’un maître en consultant ce petit
traité
. En un mot, j’aurai rempli parfaitement mon but,
canonisation de Saint Charles de Borromée, qui avait fait lui-même un
traité
de cet amusement. Par la danse, j’avoue que je n’
rappelant à mes lecteurs que je me suis déterminé à publier ce petit
traité
que pour répondre à l’empressement de quelques pe
port de Bérose, & même des danses Gigantesques. Et je termine mon
Traité
par la Danse naturelle de quelques Elémens &
meilleure plume, par la dignité de son sujet qui n’a point encore été
traité
. Pytagore, Platon, Lucien, & Athénée nous ont
ent une idée generale de la Danse ; Meursius en a plus parlé dans son
Traité
de l’Orchestre : mais cela est fort différent d’u
et de gravité, répond à nos branles1. Je ne prétends point publier un
traité
complet d’orchestographie2 ; j’entreprends seulem
Toinet Arbeau, chanoine de Langres, s’est distingué le premier par un
traité
qu’il donna en 1588, et qu’il intitula Orchestogr
à cet Ouvrage, et mon excuse sur la manière dont je l’ai écrit. J’ai
traité
assez sérieusement un sujet qu’on ne regardera pe
quelques doutes qu’on pourrait former sur la partie historique de ce
Traité
, en partant d’après une autorité que je reconnais
re langue ; quoique nous ayons déjà une Histoire de la Danse 6, et un
Traité
des Ballets 7. Le premier de ces Ouvrages n’a poi
otte], comme j’en pense. Un Écrivain, au reste, qui voudrait faire un
Traité
philosophique sur la Rhétorique, n’aurait garde d
sions de Fêtes & de réjouissances publiques. Il est vrai que ce
Traité
auroit reçû plus de brillant d’une jeune plume, q
seurs, dit-on, sont aussi fermes contre les danses, qu’on dit dans ce
traité
qu’ils doivent l’être, et s’ils refusent l’absolu
livres ; les sujets de l’orchestre n’étoient pas plus magnifiquement
traités
. Les grands corps de ballet n’excédoient pas le n
Table des principaux sujets
traités
par ordre alphabétique A Aplomb, 52, 65, 66. A
e tout y était réglé, et qu’elles étaient des Allégories ingénieuses.
Traité
des Ballets, p. 38.
mais comme c’est un pas de Ballet, & que je n’entreprends dans ce
Traité
que de donner la maniere de faire les pas qui son
nos Ecoliers profiter ; c’est tout ce que je me suis proposé dans ce
traité
, & j’ose me flater d’y avoir réussi.
us de bonne grace, suivant les régles de l’art. Théophraste, dans son
Traité
de la Musique, a dit qu’il y a en nous trois prin
c une chemise brûlante, pour représenter la mort d’Hercule : & au
Traité
qu’il adresse aux Martyrs, il parle de ceux qui s
e conduire avec politesse dans les Bals reglez. Comme dans tout ce
Traité
je me suis proposé de montrer à cette noble Jeune
ense au progrès de l’art. Voyez Opéra [Article de Jaucourt] (B) [Voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 5, « Éta
e! Voyez Ballet, Coupe, Danse, Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir
Traité
historique, IIe partie, livre IV, chap. 11, « Des
oduit un effet raisonnable et fondé sur la passion de ce héros. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre IV, chap. 2, « Divi
spectacles : il ne faut pas les en blâmer. L’art du théâtre, quoique
traité
alors avec les plus belles ressources du génie, n
aujourd’hui, la raison, la discussion, l’expérience, et les meilleurs
traités
. Il n’est guère de Particulier qui ne s’érige en
a formation d’un bon danseur, je joins aux préceptes que contient mon
Traité
, des figures que j’ai fait dessiner d’après moi-m
ur la simple poétique de l’art, eussent été remplacés par quelque bon
traité
théorique, sur le mécanisme de la danse, écrit pa
bre est immense. 35. Les Spartiates seuls étaient nus. 36. Cartari,
Traité
des images des Dieux.
l’établissement de l’Opéra Français. V. le Père Ménestrier, dans son
Traité
des ballets. Une vanité mal entendue en est le pr
. On trouve encore que Cicéron qui vivoit l’an 706 de Rome, a fait un
Traité
de la nature des Dieux, & qu’il dit avec Plut
cette prétendue Musique élémentaire & magique, & dont je n’ai
traité
, malgré toutes ces preuves, que par raport à l’Hi
se était dans la plus grande vogue chez les Romains, Lucien, dans son
Traité
sur la Danse, a dit : « Il faut que le danseur ai
avec eux les sieurs Beauchamps, Saint-André, Favières et Lapierre ».
Traité
historique de la Danse, par Cahuzac ; &c. ou
les bals furent l’unique ressource de la gaîté française ». Cahuzac,
Traité
historique de la Danse. 2. « Le dimanche 15 oc
ent de grands ballets dans plusieurs desquels ce Roi dansa. Cahuzac,
Traité
de la Danse. – Voyez les Recherches sur les Théât
eur d’y exécuter les Danses qu’il avait apprises de la belle Aspasie.
Traité
de la Danse ancienne, par Cahuzac, tome premier,
a voulu l’apprendre en sa vieillesse, tant il admirait cet exercice.
Traité
de la Danse, dialogue de Lucien. Caton, le plu
corder ses Danses, afin de paraître moins gauche dans un bal de Rome.
Traité
historique de la Danse par Cahusac, tome premier,
Pères du concile dansèrent avec autant de modestie que de dignité ».
Traité
de la Danse ancienne et moderne, par Cahusac.
ais, tome 5, discours xii, édition de 1731. 1. Cahusac, auteur du
Traité
historique de la Danse ancienne et moderne, trois
Dubos à la suite de ses Réflexions sur la Poésie et la Peinture ; le
Traité
de la Danse par Lucien, deuxième dialogue ; et de
un beau geste à l’art de bien parler ». Sanlèque, chanoine régulier,
Traité
des Gestes. La joûte de Cicéron et de Roscius à
nue quelquefois de moitié sa dépense, et double sa gloire ». Cahusac,
Traité
historique de la Danse, ancienne et moderne, tome
es membres déliés et les mouvements aisés. En présentant au public ce
traité
élémentaire, je crois lui fournir des moyens d’in
istoire de la Danse ce que j’ai dit dans celle de la Musique, où j’ai
traité
suffisamment de l’Opéra, je l’abandonne entiereme
des mouvemens qui tenoient beaucoup de la danse. Aristoxene dans son
Traité
de la Musique, dit que les femmes de Grece chanto
e & de l’Odyssée, avec une espece de représentation. Lysanias, au
Traité
qu’il a fait des Poëtes Iambiques, dit qu’un nomm
grande partie des Cours de l’Europe. Saint Augustin rapporte dans son
Traité
de la Doctrine Chrétienne, Liv. 2, que les représ
32
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
Traité
du geste, Contenant la maniere de représenter l
tière à l’Ouvrage où je la discute à fond ; & je finirai ce petit
Traité
par deux observations dignes d’y trouver place. I
Historiens, les Orateurs et les Poètes. Lucien nous a même laissé un
Traité
de cet Art célèbre, qu’on peut regarder comme une
irginum, etc. 30. On la nommait la fête des Agapes. 31. Préface du
Traité
des Ballets. Édit. 1682.
d’un homme injuste. Domitien traitait les Pantomimes, comme il avait
traité
les Philosophes. Il ne sentait ni le prix de la s
taigne tant renommée du Dieu des sciences, & qui ont si dignement
traité
ce qu’ils ont entrepris, que me peut-on respondre
lifes d’action, dont les caracteres semblent avoir été imitez dans le
Traité
de la Chorographie de Feuillet Maistre de Danse,
re historique de M. de Furetiere, à la lettre orc. Il y a, dit-il, un
Traité
curieux fait par Thoinet Arbeau, imprimé à Langre
roîtra fort opposé à l’opinion du vulgaire. Mursius rapporte dans son
Traité
d’Orchesographie, qu’il y avoit deux cens sortes
trième ; car la musique, cet art devin et difficile, ne doit pas être
traité
avec légèreté. Si nous avons la générosité de gra
messe en musique, sur le théâtre de l’opéra. Mozart no fut pas mieux
traité
qu’Hayden. Ce célèbre compositeur étonna l’Allema
oit en usage bien auparavant les Jeux Olimpiques. Boulanger, dans son
Traité
du Théâtre, dit que les Danseurs de corde étoient
& de Saint Laurent, suivant le Réglement de 1560, énoncé dans le
Traité
de la Police du Commissaire de la Marre, qui rédu
anc. XIV. L’explication des planches par ordre se trouve à la fin du
Traité
. 63. Des statures d’homme ou de femme, qui se r
sur cela les ministres protestans dans leur chapitre dixième de leur
traité
contre les danses. Il est si conforme aux princip
nd’arco, ed aumenta il salto. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci,
Traité
de la peinture, ch. CCLXII.] Léonard définit pa
blissent et les éteignent ; mais tous ses efforts sont impuissans. Le
traité
de M. de Cahusac sur la danse est aussi nécessair
es et des bras. Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, il n’a
traité
que la poétique de l’art ; il en a saisi l’esprit
que l’on pourroit atteindre avec de l’émulation ; le genre qu’ils ont
traité
est le genre par excellence ; il n’emprûnte ses t
Que de mémoires excellents ! que d’observations neuves, et combien de
traités
instructifs sortiroient de la société, si l’émula
Thoynot Arbeau, Chanoine de Langres s’est distingué le premier par un
traité
qu’il donna en 1588, et qu’il a intitulé Orchesog
moires excellents ! Que d’observations instructives, & combien de
traités
admirables émaneroient & sortiroient de la So
Thoinet Arbeau, Chanoine de Langres s’est distingué le premier par un
Traité
qu’il donna en 1588, & qu’il a intitulé Orche
ès peu de circonstances. Voyez Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir
Traité
historique, IIe partie, livre IV, chap. 3, « Obst
de pièces. Puis il me fallut, toujours à cause de M. Daly, rompre un
traité
pour une tournée en France. Telle est l’histoire
cles ; et elle trouve par conséquent très-bien sa place dans ce petit
traité
. En vain s’efforceroit-on de mettre ici les saint
es mains inéxpérimentées, sans courrir les risques de nous égarer. Le
traité
de Lucien en forme de dialogue entre Solon et le
, sur ma foi. Mais je n’en répète pas moins avec Tertullien, dans son
Traité
des Spectacles : « Quœ denique pantomimus a puer
nous aprend encore dans son troisiéme Tableau, & Cartari dans son
Traité
des Images des Dieux, que les Anciens ont regardé
& Strabon, & les Poëtes, comme Homere & Hésiode, qui ont
traité
des faits des Héros de l’Antiquité, rapportent qu
s danses, par celle de S. Charles, archevêque de Milan, qui a fait un
traité
entier contre ces divertissemens si persévérammen
rescrits, et si opiniâtrément défendus. Il dit en particulier dans ce
traité
en latin, (c. 16) « Qu’il se souvient que lui et
se est un exemple de cette « obscure clarté ». Cet opuscule est-il un
traité
d’orchestique, fait pour suppléer au livre perdu
même image mais renversée. C’est le chorégraphe qui est, à son tour,
traité
de « géomètre inventif », unique en sa science.
it si pétulent, que les acteur (forcés de la suivre sous peine d’être
traités
sevérement par le public) étoient obligés de roul
corde. avant-propos. Les maîtres de ballets, qui ont après mol
traité
le sujet de Pâris, l’ont divisé en quatre ou cinq
vec lesquelles on a célébré en Europe les grands événements. Voyez le
Traité
de la danse [II], liv. I. ch. II. [« Origine des
oût, et d’invention. Voyez les Mémoires de la reine de Navarre. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre II, chap. 4, « Des
s-uns ayant pour plus de deux cents mille écus de pierreries ». [voir
Traité
historique, IIe partie, livre II, chap. 1, « Des
fluent peu cependant sur le nom des artistes dans la postérité. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 2, « Des
e ; et après le festin, le ballet de Circé et de ses nymphes ». [voir
Traité
historique, IIe partie, livre II, chap. 2, « Des
e grand, et qui méritait à tant de titres de pareils ministres. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des
, sous le titre de Gli habitatori di monti, ou Les Montagnards. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des
669, où il dansa pour la dernière fois dans le Ballet de Flore. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 3, « Fêt
sa composition, la géométrique qui la distribue, sont des objets déjà
traités
dans l’article Artifice [Article non signé] ; dan
signé] ; dans les savants écrits de M. Frezier ; et, en 1750, dans un
traité
des feux d’artifice de M. Perrinet d’Orval, où la
nes [Articles non rédigés]. 2. On transcrit tout ceci, mot-à-mot, du
Traité
des Ballets, du Père Ménestrier, Jésuite. 3. Ce
là leur place ». 33Au surplus quoique tout sujet soit propre à être
traité
en Danse Pantomime, et même ceux qu’on peut tirer
liberté, comme on le trouve plus au long dans Macrobe, & dans le
Traité
que Lipse en a fait, Livre premier. Mais depuis A
ves et bien comiques. 112. Le Père Ménestrier, Jésuite. Préf. de son
Traité
des ballets. 113. Nous devons à la protection si
ne fais que suivre le sentiment des Auteurs les plus célébres qui ont
traité
cette matiere, & par rapport à la convenance
êmes figures, que les Livres de Vitruve & d’Héron l’ancien, qui a
traité
des machines, nous paroissent si obscurs. De quel
l’origine des Sciences & des Arts. C’est aussi par où je finis le
Traité
de la Peinture & de la Poésie, que je regarde
nt : et quiconque en néglige une, ne peut garder l’autre. L’auteur du
traité
contre les spectacles, dit : « Que fait au specta
contre les danses qui se font aux noces, les ministres protestans, du
traité
desquels j’ai fait plus haut l’analyse. Je le rap
ute leur science dans les saintes, Ecritures. Tertullien commence son
traité
du voile que les vierges doivent porter, par ce p
inations ? Par un terrible, mais très-juste châtiment de Dieu, on est
traité
selon les désirs déréglés de son cœur : on craint
sent & les éteignent ; mais tous ses efforts sont impuissants. Le
Traité
de Mr. de Cahusac sur la Danse, est aussi nécessa
& des bras. Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, il n’a
traité
que la Poétique de l’Art ; il en a saisi l’esprit
té inventé par les Poètes, et principalement les Tragiques, peut être
traité
en danse par les compositeurs des Ballets, et exé
, établit ce grand principe qu’il ne faudroit jamais perdre de vue : (
traité
du voile des vierges, c. 1.) « Que ni le temps, n
nimer la Danse et satisfaire pleinement les vrais amateurs. (B) [voir
Traité
historique, IIe partie, livre IV, chap. 6, « Preu
oosey n’oubliera jamais son amphytrion américain !… L’Américain avait
traité
avec quelque négligence, on en conviendra, son co
ur de l’université de Paris, dans un petit supplément qu’il a fait au
traité
de la manière d’enseigner et d’étudier les belles
voyez mes Dames la responce que ie leur ay faicte en l’Apologie de ce
traité
, où vous aprendrez que l’on s’offence à tort d’vn
leur hardiesse et leur magnificence. C’est déjà le décor synthétique
traité
par masse, sans petits détails inutiles, avec une
o Ritorni Reggiano. Milano, 1838, in-8º. 6. Cité par Blasis dans son
Traité
. (Milan, 1820, p. 10 et 39.) 7. Lettera politic
t exigé la disparition de ce dernier. Depuis lors il avait de nouveau
traité
un peu trop cavalièrement les femmes de théâtre e
ste. Il ajoutait que les spectateurs de Her Majesty’s Theatre avaient
traité
Fanny avec rigueur. « Le public anglais, écrivai
el, et, le 9 octobre 1839, elle signait avec une agence américaine un
traité
par lequel elle s’engageait à donner, contre de b
ge 276, un abrégé historique de quelques-uns de ses effets. (B) [Voir
Traité
historique, IIe partie, livre IV, chap. 12, « Règ
chacun de ces passages en particulier. Au temps de l’ancien auteur du
traité
sur les spectacles, dont j’ai déjà parlé, plusieu
lus5. Je ne vous ai point entretenu de bagatelles ; le sujet que j’ai
traité
dans cette Lettre est très-grave. Un temps viendr
élèbre Barthès ou dans ceux des anatomistes ou physiologistes qui ont
traité
ce sujet à fond. Ce que j’ai dit est plus que suf
urnée, faillit ruiner l’entreprise. Rita Sangalli s’était engagée par
traité
, avec la direction du théâtre de San-Francisco, à
uent. Mais que de difficultés à résoudre pour le chercheur ! Ainsi le
Traité
de la Danse de Carlo Blasis, l’illustre maître mi
enlève la statue de Diane. Tel est le plan du ballet. Ce sujet a été
traité
par Euripide chez les Grecs, et par Guymond de la
rs eut le mérite de comprendre Rossini, de le lier à la France par un
traité
en règle, et de donner à l’Opéra des chanteurs te
r froid, monotone et sans expression, qui a été fait par Lully. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 6, « Déf
plan, et à un musicien de le manquer d’une façon plus complète. [voir
Traité
historique, IIe partie, livre III, chap. 6, « Déf
s, ne fournissent les sujets de trois Drames ; tous les trois ont été
traités
par les Auteurs Anciens, et après eux par les Mod
de neuf cent soixante-et-treize auteurs, anciens et modernes qui ont
traité
de la musique ; Brossard ajoute qu’il en a omis u
ant pas les dispositions, parce qu’il y est sans cesse dérogé par des
traités
particuliers entre la direction, les poètes et le
; mais dans les auteurs anciens, ni dans les auteurs modernes qui ont
traité
de cette matière, il n’en n’est aucun qui me conv
t aucun dans les Auteurs anciens ni dans les Auteurs modernes qui ont
traité
de cette matiere, qui me convainque que ces figur
e Fanny le tira de son cruel embarras. Le 19 décembre elle signait le
traité
qui la liait à l’Opéra pour une nouvelle période
rope. En Amérique, un seul personnage, avant Fanny Elssler, avait été
traité
de la sorte : c’était le général Lafayette. A la
in une représentation à bénéfice à l’expiration de l’engagement. A ce
traité
succéda le 10 juillet 1839 un second engagement à
e actrice de banlieue, la Lorette fait son premier début, et signe un
traité
par lequel l’administration s’engage, par écrit,
t Napoléon, qui avait renseigné les hommes d’Etat anglais, rédigé les
traités
de Paris et les résolutions de Carlsbad, envoyé d
▲