Sur les machines de
théâtre
Changement Changement, grande machine d’o
est de l’invention du marquis de Sourdéac, a été adoptée par tous les
théâtres
de Paris. Elle est fort simple, et l’exécution en
s Grecs se servaient des chars pour introduire leurs divinités sur le
théâtre
; ils étaient d’un usage très fréquent dans les g
mes. Voyez Coulisse. Les deux premiers châssis de chacun des côtés du
théâtre
, ont pour l’ordinaire vingt-un pieds de hauteur ;
un pieds de hauteur ; les cinq autres à proportion, selon la pente du
théâtre
ou les gradations qu’on veut leur donner pour la
ration théâtrale) on donne ce nom aux plafonds de l’Opéra, lorsque le
théâtre
représente un lieu découvert ; comme on dit le ci
qui est sur l’orchestre. La partie du cintre qui est la plus près du
théâtre
, n’est composée que de planches qui tiennent l’un
: on la lève pour aider le passage des vols qui se font du milieu du
théâtre
ou de sa partie la plus éloignée, et qui vont se
de chaque côté, qui se louent à l’année ; elles n’ont vue que sur le
théâtre
en plongeant, et n’ont aucune communication avec
t, et n’ont aucune communication avec la salle. La toile qui ferme le
théâtre
, se perd dans le cintre lorsqu’on la lève. Voyez
etc. Voyez ces machines à leurs articles. Coulisse Coulisse, (
Théâtre
Lyrique) rainure faite au plancher du théâtre, da
Coulisse Coulisse, (Théâtre Lyrique) rainure faite au plancher du
théâtre
, dans laquelle est enfermé un châssis de décorati
ans de gros chevrons posés horizontalement à huit pieds en dessous du
théâtre
, qui soutiennent les faux châssis sur lesquels so
ent. Voyez Faux-châssis. Pendant le temps qu’un châssis avance sur le
théâtre
, celui qui était ou devant ou derrière coule en d
gner l’espace qui est d’un châssis à l’autre ; un acteur entre sur le
théâtre
par la seconde coulisse, et il en sort par la cin
oulisse, et il en sort par la cinquième, selon l’état de la scène. Au
théâtre
de l’Opéra de Paris, il n’y a que six coulisses o
éra de Paris, il n’y a que six coulisses ou châssis de chaque côté du
théâtre
; par conséquent il n’y a jamais que les six premi
gé]. Les coulisses ou rainures sont d’un très grand inconvénient à ce
théâtre
, elles avancent beaucoup plus que les châssis en
e, elles avancent beaucoup plus que les châssis en dedans, et hors du
théâtre
; et cela paraît indispensable jusqu’à ce que leur
avance laisse la partie de la rainure qu’elle a occupée vide hors du
théâtre
, et que celle qu’on retire laisse vide aussi cell
est placé sur une plate-forme, à huit pieds au-dessous du plancher du
théâtre
. Sur cette plate-forme est une rainure ou couliss
is ; il passe par la rainure ou coulisse qui est faite au plancher du
théâtre
, et l’excède de vingt-un pieds de hauteur. A haut
er du théâtre, et l’excède de vingt-un pieds de hauteur. A hauteur du
théâtre
, à chacun des portants du faux-châssis, sont, du
Ferme, (à l’Opéra) c’est la partie de la décoration qui ferme le
théâtre
, et c’est de-là qu’elle a pris son nom. La ferme
ferme le théâtre, et c’est de-là qu’elle a pris son nom. La ferme au
théâtre
de l’Opéra de Paris, se place pour l’ordinaire ap
t une rainure, et qui sont placés horizontalement sur un plan cher du
théâtre
. Des cordes qui sont attachées à l’un des côtés d
ur. Il y a de grandes et de petites herses : on les multiplie sur ce
théâtre
autant qu’on croit en avoir besoin ; on les sert
qu’exciter des craintes sans cesse renouvellées. Le frontispice de ce
théâtre
touche pour ainsi dire au bâtiment de la biblioth
ction la plus complette et la plus nombreuse qui existe en Europe. Le
théâtre
de Louvois construit légèrement à quatre ou cinq
L’opéra brûlé deux fois en dix neuf ans, et dans ce même espace, les
théâtres
de Vienne, de Milan, de Vénise, de Stockholm, d’A
qu’elles sont le fruit d’une expérience acquise sur presque tous les
théâtres
de l’Europe pendant soixante années. Effrayé des
e les loges de la droite ne voyent que ce qui se passe à la gauche du
théâtre
, et que les loges de la gauche n’apperçoivent que
s sorties ; la partie sur la quelle j’oserai m’étendre, sera celle du
théâtre
, parce que mes connoissances m’y autorisent. Au r
is qui ne se dérobent point à l’œil de l’expérience. J’ai vû tous les
théâtres
de l’Italie, de l’Allemagne, de l’Angleterre, de
de celle d’une salle de comédie ; je ne parle ici que de la partie du
théâtre
, de son étendue, de ses dessus, de ses dessous, e
dessus, de ses dessous, et des parties latérales. Je dis donc, que le
théâtre
actuel est trop petit pour les grandes choses qu’
de plus à l’avant-scène, et dix-huit pieds ajoutés à la profondeur du
théâtre
, produiroient une étendue suffisante à toutes les
oète s’y prendroit-il pour faire exécuter cette idée Grandiose sur un
théâtre
si petit, et aussi mal distribué que celui de l’o
e les cochers de Paris et les meneurs de cabriolets le sont moins. Un
théâtre
isolé fournit à l’architecte les facilités de mul
uter dans une petite cage resserrée de tous cotés par des maisons. Ce
théâtre
isolé doit communiquer à un bâtiment isolé comme
couvertes qui conduiroient les artistes à la droite et à la gauche du
théâtre
. Ce corps de bâtiment serviroit aux loges des act
la mit à sec. Les deux galleries communicatives du bâtiment isolé au
théâtre
seroient soutenues par des arcades ; ce qui forme
que l’on donnât aux parties latérales de la droite et de la gauche du
théâtre
six toises au moins de largeur à prendre depuis l
érentes, celle des ouvriers occupés dans les dessus et les dessous du
théâtre
également exposée ; tel est le tableau fidèle du
dèle du désordre, de la confusion et de la crainte qui règnent sur ce
théâtre
. Indépendamment des six toises de distance dont j
truire deux corps de bâtiment placés sur l’alignement de la partie du
théâtre
, mais cependant assez éloignés d’elle. On y commu
t solide soutenu par une grande arche. Les deux pavillons de L’Odéon,
théâtre
le mieux construit et le plus sagement distribué
ces deux bâtimens ; sûreté, œconomie, et facilité dans le service du
théâtre
. Sureté, parce que les décorations, les accessoir
devenir la proye des flammes, qu’ils serviroient encore de rempart au
théâtre
, et que quatre pompes placées sur chacun des pont
. L’augmentation que j’ai donnée à la largeur et à la profondeur du
théâtre
faciliteroit le moyen d’y établir deux hangards o
eroient pratiqués de droite et de gauche sur les parties latérales du
théâtre
et les arcades se fermeroient à volonté. On y dép
eroit libre, que les acteurs seroient tranquilles, que la manœuvre du
théâtre
s’exerceroit avec plus de facilité et de précisio
les architectes savent que cet usage est adopté dans tous les grands
théâtres
de l’Italie. Les pièces dont j’ai parlé plus haut
e la distribution que l’on nomme retirade. Je reviens à la partie du
théâtre
. Il seroit fort utile que l’administration du spe
huit hommes pris du corps des pompiers, ils ne quitteroient point le
théâtre
pendant les représentations. Ils auroient de gran
les rideaux ; dailleurs, les pompes placées de droite et de gauche du
théâtre
suppléeroient abondamment, et dans un instant, à
t. Il me sera facile de faire sentir et de démontrer cette vérité. Un
théâtre
ouvert dans ces flancs permet au peintre décorate
t si heureusement servis, n’a pu, faute de moyens, être adopté sur un
théâtre
étranglé vers le fond, et trop resserré dans ses
théâtre étranglé vers le fond, et trop resserré dans ses flancs. Le
théâtre
de l’Odéon fût construit pour la comédie Français
nombre d’artistes qui compose la comédie et celui qui est emploié au
théâtre
des arts ; à la comédie Française, la régie d’uni
et lorsqu’il y a dans les pièces d’apparat, soixante personnes sur le
théâtre
Français, il y en a trois cens sur celui de l’opé
de l’opéra sans compter les inutiles. Avant, de quitter la partie du
théâtre
, je dois observer que les réservoirs pratiqués da
re les deux corps de batimens, et ceux que j’établis sur les côtés du
théâtre
en offrent d’aussi prompts que de multipliés, cel
, l’eau nécessaire aux deux réservoirs placés dans les enfoncemens du
théâtre
; dèslors plus d’obstacles, plus de dégrès incomm
secours, j’opposerois aux causes qui détruisent communément tous les
théâtres
, une grande quantité d’eau ; je la conduirois ais
nce et d’utilité ; ce seroit de pratiquer dans le gros mur du fond du
théâtre
une arcade de la longueur environ de douze pieds
à côté du grand réservoir ; nulle difficulté alors pour monter sur le
théâtre
; les échelles, les crocs, et autres ustensilles
erture servirait encore, dans plusieurs circonstances, à prolonger le
théâtre
et à éloigner le point de perspective. Le théatre
t de ne laisser aucune communication entre la charpente du ceintre du
théâtre
chargée de ponts, de machines, de toiles, de cord
ant-scène ; de sorte qu’à la moindre apparence de feu, la salle et le
théâtre
se trouvent, pour ainsi dire séparés par un mur d
ire cette observation à Soufflot au moment où il alloit construire le
théâtre
de Lyon, et je lui conseillai d’élever dans les l
sion s’affoiblit, la surprise cesse et le plaisir fuit. L’étendue du
théâtre
est une chose de convenance. La nature et le genr
: que les colonnes de l’avant-scène soient creuses vers la partie du
théâtre
; que dans le vide, qu’offrira le demi-cercle, on
ecte mort ou vivant, qui ait eû l’avantage de construire trois grands
théâtres
et l’immense dortoir du palais égalité ; construc
, dans leurs entrées, dans leurs sorties ; les incidens, les coups de
théâtre
, les situations, et tout ce qui tient enfin aux c
qui paroissoit impossible deviendra facile à opérer ; la manœuvre du
théâtre
s’exécutera sans bruit, sans confusion, sans déso
idérable ; on me permettra de répondre à ces trois objections. 1°. Un
théâtre
qui a journellement en activité 300 personnes, do
Lettre XII. Le petit
théâtre
, dont j’ai eu l’honneur, Madame, de vous faire la
évrier 1673, que ce beau génie fut enlevé aux arts et à sa patrie. Ce
théâtre
, étant libre, fut cédé à Lulli sur-intendant de l
achines située dans une des ailes du Château des Tuilleries. Ce vaste
théâtre
, le plus beau de l’Europe, le plus ingénieusement
e l’on éleva un mur, qui la partagea en deux parties, et que celle du
théâtre
fut suffisante pour l’elévation de la salle provi
ée. Cette dernière construction valoit mieux que l’ancienne ; mais ce
théâtre
trop étranglé et trop resserré dans ses flancs, s
des machines et à l’exécution des ouvrages en tous genres. Ce nouveau
théâtre
ne subsista pas longtems ; il fut réduit en cendr
n, Madame, l’opéra quitta le Boulevard, et alla s’établir sur un beau
théâtre
que la Dlle. Montansier avoit fait élever rue de
peindre, retracer, être elle-même une action. Tout ce qui se passe au
Théâtre
, est sujet à cette loi immuable. Tout ce qui s’en
nement qui se passe sous ses yeux. C’est cet attachement que l’art du
Théâtre
inspire ; c’est cette attention suivie et involon
ractères plus ou moins vifs, qu’il y a de genres d’actions propres au
théâtre
. Dans le grand Ballet, il y a beaucoup de mouveme
s à la peinture ordinaire qui ne peut rendre qu’un seul moment, et le
Théâtre
par sa nature est fait pour représenter une suite
e, celle qui exprime les passions et par conséquent la seule digne du
Théâtre
, ne pouvait y entrer qu’en passant. Les Furies, d
âme par degrés, et lui feraient goûter tout le plaisir que produit au
Théâtre
le charme de l’imitation. Le grand Ballet qui coû
VIII Sommaire. — Ce que sont les Délassements-Comiques aux autres
théâtres
. — L’air qu’on y respire. — M. Sari, le directeur
le directeur. — Son caractère. — Ce qu’il est arrivé à faire dans ce
théâtre
. — Ce qui l’étonne lui-même. — Une idée à lui. —
ou plutôt les Délass’ Com’, pour parler correctement, sont aux autres
théâtres
parisiens ce qu’est le quartier Latin au faubourg
parisiens ce qu’est le quartier Latin au faubourg du Roule. C’est le
théâtre
bohème par excellence, l’insouciance et le sans-f
là. On y rit du matin au soir. Depuis le directeur jusqu’au garçon de
théâtre
, tout le monde fait des mots. Les pompiers mêmes
es pompiers mêmes sont spirituels : II Ce qu’on dépense dans ce
théâtre
d’intelligence, d’esprit et de bonne humeur, suff
c’est Sari qui l’introduit. Il est non-seulement le directeur de son
théâtre
, mais il en représente la joie. Homme charmant, b
s décors. Les tours de force qu’il a accomplis depuis qu’il dirige ce
théâtre
sont fabuleux. Dans une salle grande comme une co
milieu d’un feu d’artifice de mots. VIII La troupe féminine du
théâtre
se compose d’une vingtaine de dames recrutées un
pagnes lui ressemblaient, M. Harel (le jeune) suffirait à conduire le
théâtre
. Des mauvaises langues ont voulu insinuer qu’Anna
qu’Anna datait de la fondation des Délassements. Si cela est vrai, le
théâtre
est bien jeune ou elle est bien conservée. J’en c
aucun côté bien saillant. Elles jouent ce qui se trouve, par amour du
théâtre
ou pour leur plaisir. Quant à leur vie privée, je
La Scène est dans la Turquie Européenne. Scene premiere. Le
Théâtre
représente un Palais magnifique. Arlequin vient a
s dorés, chargés de faisceaux d’échasses. Ils les posent au milieu du
Théâtre
, & remontent dans leurs nuages. Le Magicien f
oir, & sort en adressant des vœux au Ciel. Scene IX. Le
Théâtre
change & représente une rue. Paillasse, monté
é. Ils se retirent, chacun d’un côté différent. Scene X. Le
Théâtre
représente un jardin agréable. Arlequin danse ave
après lui, en se moquant du pauvre Arlequin. Scene XI. Le
Théâtre
change, & représente une Salle des appartemen
ne XVI. Arlequin & le second Magicien entrent par le fond du
Théâtre
. Le Sultan continue de faire des amitiés à Arlequ
enfin dans les coffres, & tout disparaît. Scene XIX. Le
Théâtre
représente une Salle richement ornée, éclairée pa
t les morts sur leurs épaules, & sortent. Scene XXI. Le
Théâtre
représente une Campagne arrosée d’une rivière. Ar
a rivière les corps de ceux qu’ils ont tués. Scene XXII. Le
Théâtre
représente l’Appartement du Sultan, Plusieurs Cou
ntendre que le Sultan est mort de douleur. Scene XXIII. Le
Théâtre
représente une grande Place, au milieu de laquell
ement ; la foudre tombe par éclats ; les éclairs semblent embrâser le
Théâtre
. Paillasse exprime sa frayeur par des Lazzis plai
, & ils sont tous enlevés dans les airs. Scene XXVI. Le
Théâtre
représente une Salle du Palais du Sultan. (Tout l
(Tout le Peuple est rassemblé). Le Magicien fait sortir de dessous le
Théâtre
un mortier d’une énorme grandeur, & fait ente
tablir des académies de musique, pour chanter en public des pièces de
théâtre
pendant douze années consécutives. En 1672, Lulli
les plus grandes dames de la cour figuraient dans les ballets sur le
théâtre
de Versailles. Bizarre contradiction ! pendant qu
cteur privilégié de l’Académie royale de musique, Lulli transféra son
théâtre
de la rue Mazarine au jeu de paume du Bel-Air, da
du parterre venait d’être porté de quarante à quarante-huit sous, le
théâtre
du Palais-Royal fut détruit par un incendie. Plus
eur qui se trouvait dessus s’avisa de placer sur sa tête un casque de
théâtre
, puis s’affubla d’un manteau royal. Immédiatement
musique, chassée par l’incendie du Palais-Royal, alla s’installer au
théâtre
des Tuileries ; puis l’administration obtint du r
ion obtint du roi la permission de jouer des opéras en un acte sur le
théâtre
des Menus-Plaisirs, rue Bergère. L’ouverture eut
la rue Richelieu, sur l’emplacement de l’ancien hôtel de Louvois, un
théâtre
qui se nommait Théâtre-National. Le gouvernement
éra, qui prit le nom d’Académie impériale de musique. Depuis 1792, ce
théâtre
a successivement porté les noms suivants : Académ
vement porté les noms suivants : Académie de musique, Opéra-National,
Théâtre
de la République et des Arts, Théâtre de l’Opéra,
mie de musique, Opéra-National, Théâtre de la République et des Arts,
Théâtre
de l’Opéra, Théâtre des Arts, Académie impériale
a-National, Théâtre de la République et des Arts, Théâtre de l’Opéra,
Théâtre
des Arts, Académie impériale de musique, Académie
des Arts, Académie impériale de musique, Académie royale de musique,
Théâtre
de la Nation, Académie nationale de musique. Chaq
, Académie nationale de musique. Chaque gouvernement a voulu tenir ce
théâtre
sur les fonts de baptême. Le duc de Berry ayant é
re prosaïque et cerclée d’ennuis pour une femme, c’est la carrière du
théâtre
. Quel esclave, je vous le demande, est rivé à une
t l’Exposition de 1900, M. et Mme Jules Claretie vinrent, à mon petit
théâtre
de la rue de Paris, pour voir Sada Yacco, dans sa
e contractait nul émoi de rendre visite à l’administrateur du premier
théâtre
du monde. J’habitais Paris depuis assez longtemps
affres de l’agonie. Ce joli sourire sur les lèvres qui se tordent au
théâtre
sous la douleur de l’hara-kiri ! Elle me faisait
à l’Hippodrome. Mais elle parle plus volontiers de philosophie que de
théâtre
. Gaie, avec son œil bleu et son sourire de faunes
voulurent bien accepter mon invitation et, un soir, ils arrivèrent au
Théâtre
d’Art pendant que je « travaillais ». Je vins les
r quoi, le jeune chef d’orchestre repliquait : — Ne me parlez pas des
théâtres
subventionnés, on y est bien plus stupide que par
de très bons musiciens à l’orchestre, malgré qu’ils ne fussent pas au
théâtre
ce soir-là. M. Claretie dont l’amabilité est prov
épétition. « J’ai eu, l’autre soir, écrivait-il, comme la vision d’un
théâtre
futur, quelque chose comme le théâtre féministe.
rivait-il, comme la vision d’un théâtre futur, quelque chose comme le
théâtre
féministe. Les femmes, de plus en plus, prennent
siècle des Ouvriers », le vingtième sera celui des Femmes. C’était au
théâtre
des Arts, boulevard des Batignolles, à une répéti
en magicien. Nous assisterons avant peu à des miracles de lumière, au
théâtre
. Lorsque M. Fortuny, le fils de l’illustre artist
. Fortuny, le fils de l’illustre artiste espagnol, aura réalisé « son
théâtre
», nous aurons des visions délicieuses. Peu à peu
ges. Mais il est certain que des moyens nouveaux s’offrent à l’art du
théâtre
, et miss Loïe Fuller aura apporté là sa forte par
lle pas été si connue, on l’eût prise pour une anarchiste. Et dans ce
théâtre
des Batignolles où j’ai vu jadis les mélodrames l
élodrames les plus noirs faire frémir les publics populaires, dans ce
théâtre
devenu élégant, luxueux, avec sa décoration clair
élégant, luxueux, avec sa décoration claire et quasi modern-style, au
théâtre
des Arts, elle a transporté ses rampes, ses lante
mais avec cette brièveté absolue des gens pratiques (défiez-vous, au
théâtre
, de ceux qui parlent trop), ces deux femmes menai
ments de tous les jours danser les pas sans l’illusion du vêtement de
théâtre
, avec un simple lambeau d’étoffe, parfois rose, r
s mains de rêve s’agitant là devant Hérode, superbe en son manteau de
théâtre
et contemplant la vision de la danse idéale en ro
ons des hommes : ce trait de génie est sublime. Ils ont exposé sur un
Théâtre
des Héros dont la vie merveilleuse était connue :
itus, les Alexandre, les Didon, les Cyrus, etc. qui exécutent sur les
Théâtres
d’Italie non seulement ce chant simple des Grecs,
on les place dans le fond de quelques-uns des tableaux, pour parer le
Théâtre
. Voilà tout leur emploi. Telle est la constitutio
irrégulier, long124, embrouillé, sans rapport, n’est qu’un mélange du
Théâtre
des Grecs, de la Tragédie Française, et des rhaps
tous les jours de la Musique tous les jours de la vie. Nous avions un
Théâtre
tragique repris sous œuvre par Corneille, et fond
sir ses sujets. La Musique, la Danse, les Chœurs étaient bannis de ce
Théâtre
; la représentation mâle d’une action unique expo
cet homme extraordinaire suppose plus d’étendue de génie que tout le
Théâtre
des Grecs ensemble. Quinault connaissait la march
ir employer pour le bâtir. Il en écarta l’Histoire qui avait déjà son
Théâtre
, et qui comporte une vérité, trop connue, des per
c elles. De là qu’il bâtissait sur le merveilleux, il ouvrait sur son
Théâtre
à tous les Arts la carrière la plus étendue. Les
des mouvements généraux127, des concerts ravissants128, des coups de
Théâtre
frappants129, et quelquefois le pathétique le plu
ésie, serait souffert encore par des Spectateurs instruits, et sur un
Théâtre
qu’il voulait consacrer à la plus délicieuse illu
la Fable n’est qu’une des folies de l’esprit des premiers temps ? Le
Théâtre
n’est qu’un tableau vivant des passions. Quinault
ait son objet, parce qu’il réunit avec la vraisemblance suffisante au
Théâtre
, la Poésie, la Peinture, la Musique, la Danse, la
st, n’était représenté que pendant trois mois. 126. Qu’on suppose un
Théâtre
tel qu’il devait être, et qu’on s’imagine l’effet
e Acte de Roland. 130. Les chœurs du cinquième Acte d’Atys. 131. Le
Théâtre
de la Comédie Française. Nous avons deux grands g
des Peuples. Voilà la Danse simple, et un des objets de Quinault. Le
Théâtre
lui offrait mille occasions brillantes de la plac
ar elle-même forme une action suivie, la seule qui ne peut être qu’au
Théâtre
, et qui entre pour moitié dans le grand dessein d
entielles de son ensemble. Tout ce qui est sans action est indigne du
Théâtre
; tout ce qui n’est pas relatif à l’action devien
toujours, lorsqu’elle sera bien rendue, une des beautés piquantes du
Théâtre
Lyrique. [Voir Enchantement] Le Théâtre comporte
une des beautés piquantes du Théâtre Lyrique. [Voir Enchantement] Le
Théâtre
comporte donc deux espèces distinctives de Danse,
ominations. Il n’est donc point de Danse qui ne puisse être admise au
Théâtre
; mais elle n’y saurait produire un agrément réel
t point l’objet qu’avait eu son Prédécesseur dans l’établissement des
théâtres
de Danse. Il ne vit de ce spectacle, que le frivo
la diversité de leurs succès se battaient, s’égorgeaient derrière le
théâtre
. Les Spectateurs échauffés de la représentation p
prétexte des mœurs, l’engagèrent à bannir tous les Pantomimes. Leurs
Théâtres
furent fermés ; mais les ordres de l’Empereur fur
jouir des représentations secrètes qu’on ne pouvait plus voir sur des
Théâtres
publics. La familiarité entre les Spectateurs et
nseurs devint chaque jour plus grande. Ils se mêlèrent sur ces petits
Théâtres
de société et tout fut bientôt Pantomime bon ou m
uccesseur n’en connut que la partie la plus grossière. Il rouvrit les
Théâtres
publics des Pantomimes que Tibère avait fermés. S
des Courtisans, l’avilissement du Sénat, le goût de la multitude. Le
Théâtre
, pendant son règne, ne fut plus qu’une école odie
trouvait, le parti de tous, le moins digne d’un homme qui règne. Les
Théâtres
de Danse n’étaient devenus nuisibles, que, parce
tacle de notre Cour. Dès lors la Danse reprit parmi nous sur tous nos
théâtres
, à l’exception de celui de l’Opéra, la place qu’e
exception de celui de l’Opéra, la place qu’elle avait occupée sur les
Théâtres
des Grecs. On ne l’y fit plus servir que d’Interm
Il fut imité depuis par tous ceux qui travaillèrent après lui pour le
Théâtre
Lyrique. Le propre des talents communs est de sui
re ne l’égalera-t-on jamais. Telle fut la marche lente des progrès du
Théâtre
Lyrique jusqu’en l’année 1697, que la Motte [La M
dant, à force de réflexions et de complaisance, on souffrit enfin, au
Théâtre
Lyrique, deux sortes de plaisir ; mais ce genre t
ts, a commencé de nos jours, la réputation de ce Poète Philosophe. Le
Théâtre
Lyrique qui lui doit le Ballet moderne, lui est r
t la Musique de Lully. Cet ouvrage fut fait à la hâte pour remplir le
Théâtre
qu’on venait d’ôter à Cambert pour le donner à Lu
lles sont utiles ou nuisibles. Or, pour ne parler que de la Danse, du
Théâtre
, je trouve dans ces inconvénients généraux de gra
je crois avoir déjà prouvé que la Danse n’a fait jusqu’ici sur notre
Théâtre
que la moindre partie de ce qu’elle aurait dû fai
r des abus funestes à l’Art qui se sont glissés parmi nos Danseurs du
Théâtre
; pour leur faire connaître à eux-mêmes, la néces
iquées par les grands Danseurs, ou crus tels, dont ils remplissent au
Théâtre
les emplois. Comme si le vrai talent devait se do
e droit de paraître seul deux fois, dans quelque Opéra qu’on mette au
théâtre
. Il penserait n’avoir pas dansé, s’il n’avait ses
rapporte. Aucun des Auteurs qui depuis Quinault ont travaillé pour le
Théâtre
Lyrique, sans excepter même la Motte, ne paraît a
très douce et un éclairage vague. Nous demandâmes à l’électricien du
théâtre
de mettre des lampes vertes à la rampe, et au che
nter au public de New-York. Je fis donc mes débuts de « danseuse » au
théâtre
d’une petite ville, que New-York ignorait totalem
Oscar Hommerstein, devenu depuis le célèbre impresario, possédait un
théâtre
. La pièce n’eut — doit-on le dire ? — aucun succè
e-même fut impuissante à la sauver des attaques de la critique. Aucun
théâtre
de New-York ne voulut lui accorder l’hospitalité
alité et notre troupe se dispersa. Au lendemain de cette première au
théâtre
de M. Hommerstein, le journal de la petite locali
euse ! Mme Hoffman était venue avec moi, elle m’attendait au foyer du
théâtre
, où je la rejoignis. Elle remarqua tout de suite
out de suite combien j’étais pâle et agitée. Lorsque nous sortîmes du
théâtre
il faisait nuit. Nous marchâmes en silence dans l
pris ma robe, qui faisait un bien mince paquet, et je partis pour le
théâtre
. La fille de Mme Hoffman m’accompagnait. Nous pri
: Loin du bal. Une troupe nouvelle répétait l’Oncle Célestin dans le
théâtre
. Cette troupe devait d’abord faire une tournée de
e je fis mon début à New-York, au Casino, qui était un des plus jolis
théâtres
de la ville. Là je pus, pour la première fois, ré
e avec ces lettres hautes d’un pied : « La Serpentine. La Serpentine.
Théâtre
du Casino. Théâtre du Casino. » Mais tout à coup
hautes d’un pied : « La Serpentine. La Serpentine. Théâtre du Casino.
Théâtre
du Casino. » Mais tout à coup une chose me frappa
tements de mon cœur. Nulle part mon nom n’était mentionné. J’allai au
théâtre
et rappelai au directeur que j’avais accepté le c
écautions au cas où vous ne désireriez pas continuer. » Je quittai le
théâtre
toute désespérée sans savoir que faire. Ma tête t
enais un engagement, de quitter tout simplement le Casino. J’allai au
théâtre
de Madison Square, mais en route je m’étais remis
t rien venu pour moi du Casino. Rien ! Le soir, mes amies allèrent au
théâtre
où elles purent contempler une affiche annonçant,
ma stupéfaction, à ma joie immense, je vis que, dès le lendemain, le
théâtre
refusait du monde. Il en fut de même tout le temp
Chapitre IX. Des Actions convenables à la Danse Théâtrale Le
Théâtre
Lyrique est en possession de plusieurs actions tr
c grâce tout ce que la voix peut exprimer. Toutes les actions dont le
Théâtre
Lyrique est en possession peuvent donc être conve
venables à la Danse. Pylade et Bathylle ont rendu autrefois sur leurs
Théâtres
la Tragédie et la Comédie : tous les genres trouv
est composée comme elle. [Voir Geste, Geste (Danse), Geste (Chant du
Théâtre
)] Mais la Peinture n’a qu’un moment qu’elle puiss
a Danse. Elle agit toujours par sa nature. Il ne lui manque sur notre
Théâtre
que l’intention. Elle va à droite et à gauche : e
; et il n’est point d’action de cette espèce qu’on ne peigne sur ses
Théâtres
d’une manière, sinon parfaite, du moins satisfais
ui ont tous les mouvements expressifs et faciles. La Danse, sur notre
Théâtre
, n’a plus besoin que de guides, de bons principes
re Theater on me demanda de danser à une représentation de charité au
théâtre
allemand de New-York. J’oubliai totalement ma pro
. C’est alors que je réclamai la permission de danser le soir même au
théâtre
allemand au bénéfice d’une actrice malade. Le dir
lemand au bénéfice d’une actrice malade. Le directeur y consentit. Au
théâtre
allemand on avait engagé pour moi un orchestre ro
pour moi une véritable hantise : danser à Paris. Puis le directeur du
théâtre
allemand me proposa une tournée à l’étranger en c
Après avoir dansé trois fois, comme j’avais l’habitude de le faire au
théâtre
, je revins en scène pour remercier le public de s
cinq cents. Je n’en décidai pas moins de signer avec le directeur du
théâtre
allemand de New-York un contrat qui m’assurait so
quand je partis pour l’Europe, elles étaient prêtes. L’impresario du
théâtre
allemand nous avait précédées et nous avait reten
. Mais ces débuts, je les fis sans ardeur. En Amérique, les meilleurs
théâtres
m’offraient des engagements avec des cachets infi
der. Un agent théâtral, alors inconnu, et qui est devenu directeur de
théâtre
depuis, M. Marten Stein, vint me voir et j’essaya
Chapitre I. Naissance du
Théâtre
Soit que le hasard ou le goût, ait guidé les An
t des tréteaux informes de Thespis formèrent avec tant de rapidité ce
théâtre
sublime, qui a servi depuis de modèle aux Corneil
Dès que la flamme du Génie eut fait briller à leur esprit l’idée d’un
théâtre
, toutes les idées subséquentes s’offrirent en fou
rme du Spectacle. La Danse qu’on employait partout, ne manquait qu’au
théâtre
; et elle y fut bientôt portée avec le caractère
était capable d’un pareil écart. Observons cependant, que la Danse du
théâtre
, dès sa naissance, fut la peinture d’une action.
certains de mes confrères, critiques dramatiques, n’ont que faire du
Théâtre
Kamerny, de Moscou. Ceux mêmes qui jadis ont fail
t, ivres d’espace et d’harmonieuse exaltation. Vous avez vu, dans les
théâtres
où l’on parle le mouvement gauche ou guindé, touj
tte misère plastique, tout ce néant dynamique. Or nous avons enfin un
théâtre
dramatique où le danseur, être placé « en dehors
s mimes admirables qui impriment à l’émotion une forme définitive. Ce
théâtre
unique, nous avons tout lieu d’en prendre soin ;
russe à Notre-Dame de France. Quant à moi, en exaltant l’effort de ce
théâtre
héroïque et fantasque, je crois rester fidèle aux
OMIQUES ITALIENS, Les plus admirables Chrétiens Qui paraissent sur le
Théâtre
, Si que chacun les idolâtre, Nous régalent, pour
, A fait faire une fin tragique À SCARAMOUCHE, qui, mourant Et sur le
Théâtre
expirant, Fait aussi rire à gorge pleine ! Qu’OLA
s qu’eux dedans leur Placard, Vous en mettre même le Quart. 95. Le
Théâtre
sans Comédie, 96. et les Comédiens Juges et Part
18 décembre 1804. GARDEL, Chef des Ballets du
Théâtre
des Arts
us qui croient l’être) ont le droit d’établir des ballets d’action au
Théâtre
des Arts. Il appuie, m’a-t-on dit, son assertion
ter. Si Gluck, Sacchini Grétry, Guillard, etc., étaient attachés au
Théâtre
des Arts et recevaient, par l’Administration, une
de ce jeune compositeur, et parce qu’il était, comme moi, attaché au
Théâtre
des Arts. Mais ici un étranger arrive, et se prét
ets, bons ou mauvais, ont le droit d’établir leurs productions sur le
théâtre
de l’Opéra de Paris, quel est l’homme à talent qu
ra de Paris, quel est l’homme à talent qui voudra rester attaché à ce
théâtre
pour n’avoir que les travaux désagréables de la p
ux qui intriguent : il faut donc que le maître des Ballets au premier
Théâtre
du Monde, qui par son travail n’a pas une heure d
st-à-dire à être nommé Maître des Ballets en chef et sans partage des
Théâtres
du Gouvernement français, ou si je n’en suis pas
ne lettre non datée adressée de Londres à une amie : Un mot sur les
théâtres
d’ici. D’abord nous sommes arrivés le 22 à 9 heur
té malade. J’ai trouvé un logement qu’on nous avait retenu en face du
théâtre
. Jeudi j’ai été voir le spectacle. On donnait Don
de nouveautés. Mademoiselle Dupont, des Français, qui est engagée au
Théâtre
Français d’ici pour jouer les mères nobles, la pa
ressemblance avec moi. — Un document historique. — Une répétition du
théâtre
. — Ces dames chez le commissaire. — La Comédie-Fr
se d’une représentation manquée : — Qu’elle avait oublié l’adresse du
théâtre
! Oscar a proposé de la lui attacher autour du co
la petite : une telle voyage. III Continuons cette revue de mon
théâtre
favori. Je suis un peu comme les amoureux, moi ;
matin, donne jusqu’à midi des leçons de déclamation aux débutantes du
théâtre
, vient faire répéter jusqu’à quatre heures, et le
nquent, et qui les rappelle à l’ordre quand elles oublient que sur le
théâtre
elles ne sont pas chez elles. Il a beaucoup de ma
e Gourlier, musicien de talent ; il a aussi sa part dans le succès du
théâtre
. Ses accompagnements sont pleins de fantaisie, et
, un ou deux journalistes de la très-petite presse, et les auteurs du
théâtre
. Et encore parmi ces derniers en est-il qu’on ne
is. Tel M. Alexandre Flan. Ce jeune vaudevilliste, une des gloires du
théâtre
, y vient juste trois fois par chacune de ses pièc
ur deux ans. UNE RÉPÉTITION AUX DÉLASSEMENTS La scène se passe sur le
théâtre
, — face aux acteurs (je m’exprime comme un vérita
es réclamer. (Il se lève et s’en va.) oscar, à l’auteur. En voilà un
théâtre
! le directeur qui va chercher ses pensionnaires
de l’opéra Comédie-ballet Comédie-ballet : on donne ce nom au
théâtre
Français, aux comédies qui ont des intermèdes, co
re étaient appelés de ce nom, parce qu’ils avaient des intermèdes. Au
théâtre
lyrique, la comédie-ballet est une espèce de comé
r Campra, est la première comédie-ballet qu’on ait représentée sur le
théâtre
de l’opéra : elle le fut en 1699. Nous n’avons da
, fort ingénieux et très bien écrit, donné en 1704, qui soit resté au
théâtre
. La musique est de Destouches. Cet ouvrage n’est
inaire de presque tous les auteurs qui ont tenté de se montrer sur le
théâtre
de l’opéra. Un poème lyrique paraît fort peu de c
e mer, qu’on juge aussi tranquille que celles qu’on voit peintes à ce
théâtre
: on y vogue avec une réputation déjà commencée o
médiocre ; en sorte que pendant plus de dix ans on s’était passé à ce
théâtre
d’un plaisir qui est devenu très piquant de nos j
re aujourd’hui par les divertissements, les chœurs, les mouvements du
théâtre
, les chants brillants, etc. sans cela l’ennui est
désigner tous les petits poèmes mis en musique, qu’on exécute sur le
théâtre
ou en concert ; et les danses mêlées de chant, qu
oland. L’art d’amener les divertissements est une partie fort rare au
théâtre
lyrique ; ceux mêmes, pour la plupart, qui parais
eautés de ce spectacle. (Voyez Opéra [Article de Jaucourt]). C’est le
théâtre
des enchantements ; toute sorte de merveilleux es
de la féerie ou de la magie. Les dieux de la fable développent sur ce
théâtre
la puissance surnaturelle que l’antiquité leur at
est en général l’espace de temps qui sépare deux actes d’une pièce de
théâtre
, soit qu’on remplisse cet espace de temps par un
e dans tous leurs spectacles : il ne faut pas les en blâmer. L’art du
théâtre
, quoique traité alors avec les plus belles ressou
qui jouait avec les lions. [Voir Ballet] Les Romains, en adoptant le
théâtre
des Grecs, prirent tous les défauts de leur genre
aissé échapper, s’ils avaient vécu deux mille ans plus tard. Ainsi le
théâtre
français, dans les mains de ces deux hommes uniqu
iolon sur lequel les divertissements d’un acte d’opéra entrent sur le
théâtre
. On donne aussi ce nom à la danse même qu’on exéc
erre Ballet Pantomime Composé par Mr. Angiolini Maître des Ballets du
Théâtre
près de la Cour à Vienne, et représenté pour la p
près de la Cour à Vienne, et représenté pour la première fois sur ce
Théâtre
le Octobre 1761. À Vienne. Chez Jean Thomas Tratt
n’y ait point d’entrée, de figure, de pas inutile. Une bonne Pièce de
Théâtre
en Danse doit être un Extrait serré d’une excelle
ur, que quelque Danseur de génie entreprenne de représenter sur notre
Théâtre
Lyrique une grande action, qu’il commence par en
re est-il, pour tous les genres, la boussole la plus sûre de l’Art du
Théâtre
.
e la ville comme d’une atmosphère d’harmonie. On l’entendait dans les
théâtres
, dans les églises, dans les salles de concert, da
de 250 000 habitants soixante-cinq manufactures1. Les deux principaux
théâtres
de musique étaient celui de la Porte de Carinthie
e, Kœniglich-kaiserliches Hoftheater nächst dem Kärnthner-Thor, et le
théâtre
An der Wien, Kœniglich-kaiserlich privilegirtes T
grand spectacle, des opéras, des ballets et des pantomimes. Les deux
théâtres
accordaient à la danse une place considérable. C’
nom de Horchelt exploitait avec un succès remarquable sur la scène du
théâtre
An der Wien les dispositions naturelles des Vienn
quadrilles soupçonnés de dévergondage. Ce fut un coup mortel porté au
théâtre
An der Wien. Sur la scène de la Porte de Carinthi
nie. Au temps du Congrès, deux artistes français personnifiaient à ce
théâtre
les principes de la danse savante. L’un était le
compte des chanteurs dirigés par lui : « C’est le plus beau chœur de
théâtre
que j’aie encore rencontré3. » Une maladie d’Elss
ans. Ses remarquables aptitudes frappèrent Aumer qui exerçait dans ce
théâtre
une véritable souveraineté sur le corps de ballet
un homme qui est une des figures les plus curieuses de l’histoire du
théâtre
au dix-neuvième siècle, par Barbaja, l’illustre i
tripots de Naples, devenu fermier des jeux du royaume et directeur du
théâtre
San Carlo, ce geôlier de Rossini qu’il astreignai
politiques dans ses nombreuses et fructueuses gestions, et afferma le
théâtre
de la Porte de Carinthie. Il amenait une troupe i
rey, gloires de la Scala. Teresa Coralli, qui fut très goûtée au même
théâtre
, était, en dépit de son nom italien, d’origine fr
le Nord, la Brugnoli l’était pour le Sud. Cette artiste, l’étoile du
théâtre
San Carlo de Naples, se distinguait, elle aussi,
L’honneur d’être présentées à des souverains était pour les reines de
théâtre
une des formes les plus convoitées de la gloire.
musical de premier ordre. Pour les jeunes artistes un engagement à ce
théâtre
était le commencement de la célébrité. Les représ
x sœurs les débuts dans la carrière et les posaient dans le monde des
théâtres
. Le public ne s’aperçut pas des qualités personne
ntion de ses compatriotes et lui attirer les égards des directeurs de
théâtres
. Les deux mois passés à l’Opéra Royal lui furent
ant mise, au moins par quelques-uns, au même rang que cette étoile du
théâtre
San Carlo vers qui, trois ans auparavant, elle le
dire qu’elle n’obtenait qu’un très faible succès. L’administration du
théâtre
, s’il faut en croire Gentz, la traitait avec peu
. Alphonse Royer dit qu’il voyait les deux sœurs « quitter le soir le
théâtre
de la Porte de Carinthie après le spectacle et re
s distractions. Il y eut des soirées dansantes en grand nombre et, au
théâtre
, le ballet bénéficia de cette soif de plaisir. La
t le gardèrent de longues années jusqu’au jour où la mère, retirée du
théâtre
, put lui consacrer toute sa tendresse. La situati
put lui consacrer toute sa tendresse. La situation de la plupart des
théâtres
de Londres, vers 1830, était lamentable, au point
or, fut obligé de se rendre à Londres pour une affaire de matériel de
théâtre
. Comme il avait besoin, à la même époque, d’un gr
Tragique de Sémiramis Composé par Mr. Angiolini Maître des Ballets du
Théâtre
près de la Cour à Vienne, et représenté pour la p
près de la Cour à Vienne, et représenté pour la première fois sur ce
Théâtre
le 31 Janvier 1765. À l’occasion des Fêtes pour l
es en France, et ce qu’on pourrait appeler la naissance des pièces de
théâtre
, se perdent dans des conjectures tellement vagues
elle-même, et de montrer avec quelle intimité les perfectionnemens du
théâtre
se lient au progrès des mœurs. Cette investigatio
nos lecteurs. Durey de Noinville, qui publia en 1753 une Histoire du
théâtre
de l’Académie royale de musique, déclare que, dès
èles aux définitions anciennes, nous appellerons opéra « une pièce de
théâtre
en vers, mise en musique et en chants, accompagné
ntations qui depuis sont devenues si célèbres par la magnificence des
théâtres
et des habits, la délicatesse des voix, l’harmoni
. Ce fut Baltazar Perruzzi qui renouvela les anciennes décorations de
théâtre
, lorsqu’en 1516 le cardinal Bernard de Bibienne f
une des premières pièces italiennes en musique qui aient paru sur les
théâtres
. Plus de cent soixante ans après, en 1682, Bullar
hines, avec des chants et musique ; elle fut aussi représentée sur le
théâtre
du Petit-Bourbon par la troupe royale : les décor
ient conduire à l’intronisation définitive de l’opéra français sur un
théâtre
de Paris. Le préjugé contre la difficulté de chan
yaume, des académies de musique, pour chanter en public des pièces de
théâtre
, comme il se pratique en Italie, en Allemagne et
des musiciens dans toutes les églises du Languedoc. On fit dresser un
théâtre
dans le jeu de paume de la rue Mazarine, et au mo
27 juin 1672. Tel fut le long enfantement de l’opéra en France. Comme
théâtre
, sa naissance est toute religieuse : un cardinal
a à l’époque de sa virilité actuelle. Lulli fit construire un nouveau
théâtre
dans la rue de Vaugirard, près du palais du Luxem
de Bacchus (ce fut le premier ouvrage qu’il fit jouer sur son nouveau
théâtre
), l’Idylle sur la Paix et l’Églogue de Versailles
égie de l’Opéra, commença d’acquitter. Ce fut, pour le premier de nos
théâtres
, une véritable renaissance ! En voyant le sérieux
roi lui-même dès 1713, on est moins surpris de lire le décret sur le
Théâtre
Français, que Napoléon data du Kremlin ! D’abord
en prétendre au-delà de sa cessation1. Les entrées des acteurs sur le
théâtre
, la réception des ouvrages, étaient tout aussi sc
éfense de stationner dans les coulisses ; défense de s’avancer sur le
théâtre
hors de l’enceinte de la balustrade. Le répertoir
ène fut si fort goûtée, que lorsqu’on donna ce ballet à Paris, sur le
théâtre
de l’Opéra, on y introduisit les danseuses ; depu
oiselle Guyot lui succéda dans la publique admiration. Elle quitta le
théâtre
pour le couvent en 1725. Mademoiselle Prévôt rest
ette salle ayant été brûlée, il s’établit aux Tuileries ; c’est de ce
théâtre
que datent, pour les machinistes des coulisses, l
ion avait pénétré dans l’Opéra. La Nation en avait chassé la cour. Le
théâtre
exerçait sur les mœurs une influence trop grande
nnée 1794, que des despotes ou de vils courtisans. Les artistes de ce
théâtre
avaient été autorisés à se gouverner eux-mêmes, e
ndait cette justice à l’Opéra national, qu’il était sans contredit le
théâtre
qui avait le plus contribué à échauffer l’esprit
te solennité. A cette époque, il n’était question que d’affranchir le
théâtre
; de nouveaux réglemens, de nouveaux décrets, de
le allait s’ouvrir pour lui. La Comédie française avait été érigée en
théâtre
du peuple, c’est-à-dire destiné aux représentatio
toutes les communes où il y avait des spectacles. On proposa pour ces
théâtres
un répertoire dans lequel les scènes d’opéra deva
cent aujourd’hui l’art dans toutes ses parties ; qu’elles ont doté le
Théâtre
Français d’artistes dont nous pouvons nous glorif
si habilement conduit par un maître qui n’a quitté la direction de ce
théâtre
que pour devenir le premier chef d’orchestre de l
urope, fait, défait et soutient les réputations lyriques. En 1796, le
Théâtre
de la République et des Arts fut établi rue de la
, il s’était tenu debout. Jusqu’en l’an VI (1799), les artistes de ce
théâtre
s’étaient gouvernés eux-mêmes, en régie sociale :
ens de 800 fr. par an, mademoiselle Leverd, que nous avons admirée au
Théâtre
Français. Le personnel et cette dépense diminuère
droits de vieille suprématie ; elle frappa de contributions tous les
théâtres
secondaires ; elle percevait un impôt sur chacune
Les chiffres forment une partie essentielle de l’histoire de tous les
théâtres
. Sous l’Empire, l’art du décorateur et surtout ce
e ; la beauté de ses proportions laisse peu de regrets à ce sujet. Le
théâtre
de la rue de Richelieu alarmait par son voisinage
r la première fois, en 1824, fit représenter la Donna del Lago sur le
théâtre
de la rue Lepelletier ; le Siége de Corinthe, don
30 de 826,919 fr., non compris, bien entendu, la redevance des petits
théâtres
, qui s’élevait alors à une somme de deux cent mil
timulant l’émulation des artistes ; en un mot, en faisant de l’Opéra,
théâtre
, salle et foyer, le centre de toutes les lumières
ajouterons que, depuis la révolution de 1830, la redevance des petits
théâtres
est abolie. M. Véron ne s’est pas considéré comme
acle du monde7. Maintenant l’Opéra est le plus fréquenté de tous les
théâtres
. Chaque soir on y voit se réunir ce qu’on nomme l
e-Saint-Martin. Le 20 thermidor an II (7 août 1794), sous le titre de
Théâtre
des Arts, ouverture de par et pour le peuple, rue
on-Neuville, qui avait été ouverte, le 15 août 1793, sous le titre de
Théâtre
National. Du 10 ventôse an V (28 février 1797) a
10 ventôse an V (28 février 1797) au 6 fructidor an X (24 août 1802),
Théâtre
de la République et des Arts, et quelquefois Théâ
(24 août 1802), Théâtre de la République et des Arts, et quelquefois
Théâtre
des Arts. Le 5 fructidor an X (27 août 1802), Th
et quelquefois Théâtre des Arts. Le 5 fructidor an X (27 août 1802),
Théâtre
de l’Opéra. Le 10 messidor an XII (29 juin 1804)
L’Oratorio d’Hayden, intitulé la création du monde fut donné sur le
théâtre
de l’opéra ; cet ouvrage rempli de science et de
a refroidir son goût. Le lieu de la scène étoit mal choisi : l’opéra,
théâtre
de la fiction, du merveilleux et des plus douces
à l’indécence, portent à l’imagination des secousses dangereuses ; ce
théâtre
embelli par les machines et les décorations, étoi
ux que la création du monde. Un temple n’eût-il pas été préférable au
théâtre
de l’opéra. Il y en avoit tant de vacans à cette
aire célébrer, le jour de Pâques, une grande messe en musique, sur le
théâtre
de l’opéra. Mozart no fut pas mieux traité qu’Ha
u d’excellente musique chez les souverains, à leurs concerts, à leurs
théâtres
, et à leurs chapelles ; j’ai éprouvé la même joui
X Sommaire. — Le public des Délassements. — Sa sympathie avec le
théâtre
. — Les biches et les gandins. — Le gandin pur san
asse est dangereuse. — Les biches. — Habituées. — Ce qui les amène au
théâtre
. — Les familles honnêtes. — Un double bénéfice. —
est un public spécial, qui semble avoir été créé expressément pour le
théâtre
. Ses allures, son langage, ses manières de voir e
velle amène un ou deux personnages éminents. C’est alors fête dans le
théâtre
; on est tenté d’illuminer. Montaubry, le ténor,
illuminer. Montaubry, le ténor, honore aussi, à de certains soirs, le
théâtre
de sa présence. Il se moque de la troupe, de la p
le, il échauffa l’Empereur, et promit de protéger Pylade. On élève un
Théâtre
. Rome accourt. Elle voit d’abord une Tragédie com
t imaginé, était l’homme le plus singulier qui eût encore paru sur le
théâtre
. Son imagination féconde lui suggérait chaque jou
re, entretenir, et l’illusion. Les actions qu’on représentait sur les
Théâtres
de Rome étaient ou tragiques, ou comiques, ou sat
avaient le fond ; mais l’Art de l’employer leur fut inconnu. Sur nos
théâtres
nous avons de même des pieds excellents, des jamb
étaient tragiques, comiques ou satiriques, comme toutes les Pièces de
théâtre
qui avaient été représentées jusqu’alors. 58. H
maintien prenaient rapidement une forme nouvelle. Elle s’arrachait du
Théâtre
avec cette espèce de désespoir des âmes vives et
ux qu’aux jeunes Poètes qui voudront tenter à l’avenir la carrière du
Théâtre
Lyrique, que j’ose adresser le peu de mots que je
Voir Coupe, Couper] On est dans l’habitude de ne regarder la Danse au
Théâtre
Lyrique, que comme un agrément isolé. Il est cepe
’un agrément déplacé contraire aux principes fondamentaux de l’Art du
Théâtre
. [Voir Divertissement, Fête] Si quelque Danseur e
à lui. 149. Dans la Scène troisième, dès qu’Alcibiade paraît sur le
théâtre
, Amintas lui dit : Dans vos yeux satisfaits on l
se. Je dus partir après le premier acte, car je dansais dans un autre
théâtre
, mais on vint me dire à l’issue de la représentat
de tout le monde reçut Hanako à bras ouverts. Elle joua dans tous les
théâtres
royaux d’Europe. Puis, après une tournée en Holla
lement inconnue à Paris, — et une petite, très petite troupe, dans un
théâtre
à côté. J’obtins d’un des directeurs une singuliè
s aidée par la chance. Et ils débutèrent avec un très grand succès au
Théâtre
Moderne du boulevard des Italiens. La pièce fut j
donna douze représentations au lieu de trois. En même temps un petit
théâtre
, le théâtre du musée Grévin proposa d’engager mes
représentations au lieu de trois. En même temps un petit théâtre, le
théâtre
du musée Grévin proposa d’engager mes Nippons pou
avec une nouvelle pièce qui devait être une comédie. Et c’est pour ce
théâtre
que fut écrite la « Poupée japonaise ». Ensuite l
ic, par l’embellissement de leurs Jeux & par la propreté de leurs
Théâtres
, que je suis persuadé qu’on sera bien-aise de sça
ge bien auparavant les Jeux Olimpiques. Boulanger, dans son Traité du
Théâtre
, dit que les Danseurs de corde étoient connus che
e en Ville, pour l’utilité du Commerce, & qu’ils dressoient leurs
Théâtres
dans les Places publiques, pour assembler le peup
s de la Cour & de la Ville ; joint aux belles décorations de leur
Théâtre
. C’est pourquoi ils font payer les places à prése
e intitulée D’heigra, qu’étant prêt de faire jouer cette piéce sur le
Théâtre
de Rome, l’an 586 de sa Fondation, partie des pla
étes & de Gymnastes pour les sauts périlleux, avoient dressé leur
Théâtre
dans une Place publique, & qu’ils alloient co
seuse qu’on appelloit la belle Tourneuse, a fait trop de bruit sur le
Théâtre
des Danseurs de corde, pour n’en pas faire mentio
e à croire ce que j’en vais rapporter. Elle paroissoit d’abord sur le
Théâtre
d’un air imposant, & y dansoit seule une Sara
res, tire son origine de la danse Pyrrique. Nous avons vû sur le même
Théâtre
en 1714 un Pantomime Toscan danser plusieurs Entr
ue des Toscans, pour les danses caractérisées les plus convenables au
Théâtre
pour exprimer les passions. Les Danseurs de corde
& qu’ils sont les premiers qui ont corrompu & abusé sur leur
Théâtre
de l’art de la Danse, par des gestes, des mouveme
danseurs, des bouffons & des farceurs, pour représenter sur leur
Théâtre
des danses qui tendoient à la corruption des mœur
lics, et il fonda sur leur magie, la tranquillité de son Règne62. Les
Théâtres
, déjà établis, étaient beaucoup pour ses vues. Il
e et soutient l’enthousiasme. On ne voit, on ne veut voir que ce seul
Théâtre
. On allait aux autres. On court à celui-ci. Les p
scius, qu’on venait de perdre, avaient laissé un vide immense dans le
Théâtre
déjà connu. Il était difficile de le remplir. L’E
Pylade. Deux partis se formèrent ainsi rapidement, et les cabales du
Théâtre
, comme l’avait prévu l’Empereur, étouffèrent tout
es, et le parti de Bathylle ne parlait de rien moins que de brûler le
Théâtre
de Pylade, et de le massacrer lui-même. Auguste a
motifs de pencher dans notre chant dramatique ; tels sont les cris au
théâtre
de la Comédie Française. Le volume, les grandes v
de l’erreur des grandes voix ; mais il faut attendre que le chant du
théâtre
ait pris les accroissements dont il est susceptib
est la plus ordinaire à l’homme ; on s’en sert peu cependant pour nos
théâtres
et pour notre musique latine. On croit en avoir a
rati (qu’on a d’ailleurs employés de tous les temps en femmes sur les
théâtres
d’Italie), si elles n’avaient eu l’adresse et le
reilles françaises. Avec cet artifice les femmes se sont soutenues au
théâtre
, dont elles auraient été bannies, et elles y disp
sseau], Maître à chanter [Article non rédigé]. (B) Geste (Chant du
théâtre
) Geste, (Chant du théâtre.) l’opéra français
cle non rédigé]. (B) Geste (Chant du théâtre) Geste, (Chant du
théâtre
.) l’opéra français a pour objet de séduire l’espr
au prélude m’avait promis. Le contresens du geste passe rapidement au
théâtre
de la comédie ; l’attention y court de pensée en
ir sur la faute qui lui échappe quelquefois. Il n’en est pas ainsi au
théâtre
du chant ; les détails y sont ralentis et répétés
alors il fait toujours plus mal, pour vouloir mieux faire. Ainsi à ce
théâtre
il arrive quelquefois que les acteurs les plus es
ts, les berceaux et l’onde pure qu’offraient les côtés et le fonds du
théâtre
, sans leur donner le moindre signe de vie. (B)
vie. (B) Geste (Déclamation) Geste, (Déclamation.) Le geste au
théâtre
doit toujours précéder la parole : on sent bien p
culements en arrière ; par ces tours oisifs enfin toujours gauches au
théâtre
, qui refroidissent l’action et rendent l’acteur i
ôle qu’il jouait : voilà la seule bonne manière de les adapter sur le
théâtre
aux différents mouvements du caractère et de la p
ents du caractère et de la passion. Voyez Déclamation. Nous voyons au
théâtre
français des gestes et des mouvements qui nous en
désirons dans la déclamation et dans le chant, surtout dans celui du
théâtre
. Voyez Grasseyer. On parle gras, on chante gras,
y en a sur le c qu’on prononce comme s’il était un t. On a mis sur le
théâtre
des personnages de ce genre qui y ont beaucoup gr
n’est produit que par l’affectation ou la mignardise. On a vu sur le
théâtre
lyrique une jeune actrice qui aurait peut-être di
angers à celui que forment pour rendre R les voix sans défaut. Sur le
théâtre
on ne passe guère ce défaut d’organe qu’à des tal
ndres que de faibles appointements, et encore à cette époque le grand
théâtre
ne payait qu’assez irrégulièrement. Thérèse, au c
la bonne cause, au profit du vrai talent. Le 21 mai, le Courrier des
Théâtres
publiait cette note lapidaire où se reconnaît le
donnait cet alléchant portrait de Fanny, le directeur du Courrier des
Théâtres
essayait de faire vibrer pour elle de puissantes
de l’une des demoiselles Esler à Paris. Quand cette artiste était au
théâtre
de Vienne, on voulait savoir qu’elle intéressait
rs que leurs obligations retenaient encore à Londres, le Courrier des
Théâtres
et les journaux dévoués à Véron dirent monts et m
it, les obligeait sans cesse à remanier leur ouvrage. Le Courrier des
Théâtres
insistait particulièrement sur les effets de lumi
ête ; depuis le directeur jusqu’au dernier figurant ou machiniste, le
théâtre
avait la tête à l’envers et le cœur idem 95. » Vé
dangereuse. » Quand Fanny prit part aux répétitions, le Courrier des
Théâtres
se fit l’écho des coulisses, où règnerait, d’aprè
été applaudi. Cependant on a éprouvé une déception que la Gazette des
Théâtres
définit ainsi : « En vérité, avant la première re
attache le regard et étonne l’imagination ; elles feraient le tour du
théâtre
sans paraître se fatiguer et sans que les attrait
s venir là à cette même place pour découvrir Fanny l’Allemande sur le
théâtre
et pour découvrir dans la salle quelques étranger
outes deux ! » Ce verbiage et ces oripeaux irritèrent la Gazette des
Théâtres
. Elle avait trouvé particulièrement choquant que
ue jamais le fils de Napoléon (puisqu’il faut le nommer) n’a vu ni au
théâtre
, ni ailleurs, l’artiste pour laquelle on lui a pr
soutenir un démenti dont je ne suis que l’écho. » Ni la Gazette des
Théâtres
ni aucun autre journal ne fit expier à Fanny les
r en triomphe dans Paris et de s’exhiber avec elle. Le 16 octobre, le
Théâtre
Nautique donnait la première représentation d’un
e à l’égard de l’intruse qu’on prétendait lui opposer. La Gazette des
Théâtres
, quoiqu’elle fût habituellement du côté des tagli
Elssler dans la Tempête. « Nous saurons ce soir, dit le Courrier des
Théâtres
du 7 décembre, si le faubourg Saint-Denis est tag
ament. On la faisait débuter dans une pièce romantique qui avait pour
théâtre
un royaume impossible de fées, de génies et de mo
eur renom pour remettre à flot la pièce qui sombrait. Le Courrier des
Théâtres
battit la grosse caisse. « Mozart et les pieds de
t Courrier des Dames, septembre et octobre 1834. 97. La Gazette des
Théâtres
, Journal des Comédiens, jeudi 18 septembre 1834.
Journal des Comédiens, jeudi 18 septembre 1834. 98. Le Courier des
Théâtres
, 16 septembre 1834.
Comédie, Avec Concert, et Mélodie, Avoir le Divertissement, Dessus un
Théâtre
charmant, Coûtant grand nombre de Pistoles, Ornés
t, Sans qu’elle interrompit l’ouïe, Dans le cours de la Comédie. À ce
Théâtre
si riant, Dressé, je pense, à l’Orient, On se ren
, Audinot, Cléophile. — La Guimard. — Ses dépenses. — Sa table. — Son
théâtre
. — Son hôtel. — Ses dettes. — Mesdemoiselles Pesl
it souvent après le spectacle. Elle tenait sa cour chez elle comme au
théâtre
; ses domestiques la servaient à genoux. C’était
neille, mise en musique par Mouret. La représentation eut lieu sur le
théâtre
de Sceaux, à la demande et sous les yeux de la du
a duchesse du Maine. L’effet produit fut immense : les acteurs sur le
théâtre
, les illustres spectateurs dans la salle, tout le
enuet qu’elle exécutait sur le bord des rampes d’un côté à l’autre du
théâtre
. Chaque soir, le public attendait ce passage avec
re dans les frises !… Sa rivale, — la blonde Sallé, — glissait sur le
théâtre
, nonchalante, voluptueuse et poétique… La premièr
son service qu’au retour du prince. Mademoiselle de Camargo quitta le
théâtre
en 1751, et mourut à Paris, en 1770, âgée de soix
Mademoiselle Sallé. Chorégraphe et mime remarquables. Ce fut au
théâtre
de Covent-Garden de Londres qu’elle donna ses deu
. Des vertus de cette espèce ont, dans tous les temps, brillé sur nos
théâtres
. » Mademoiselle Roland. Celle-ci tint hon
e fait et les circonstances qui l’avaient motivé, ils se rendirent au
théâtre
bien résolus à faire payer à Vestris cet injuste
a nature, et le cœur envahi par la passion, elle allait se retirer du
théâtre
, lorsque d’Auberval, à qui elle ne voulait se don
Elle était inimitable dans les ballets anacréontiques. En quittant le
théâtre
, cette virtuose emporta ce genre agréable avec el
aient portées au comble. » Son hôtel de la Chaussée-d’Antin avait un
théâtre
dont les loges étaient drapées de satin rose reha
lon d’argent. Des bougies parfumées éclairaient la salle : c’était le
Théâtre
de Terpyschore. « Tout le monde, dit Bachaumont
lèbrent chez elle et dont on rapporte des choses merveilleuses. » Ce
Théâtre
était, en outre, affirment, les Mémoires du temps
urs. Ces saynètes érotiques ont été réunies dans un recueil, intitulé
Théâtre
d’amour, qui n’a jamais été livré à l’impression
imard passait l’été dans une villa à Pantin. Là encore, elle avait un
théâtre
où elle donnait des représentations. Ce fut sur c
sous le titre de Gli habitatori di monti 109, ou Les Montagnards. Le
Théâtre
représentait cinq grandes montagnes. On figurait
dents, les monts lumineux, et les montagnes ombrageuses. Le milieu du
Théâtre
représentait le champ de la Gloire, dont tous les
hement vêtus à la Française marchaient sur ses pas. Ils chassèrent du
Théâtre
les Quadrilles précédentes qui s’en étaient empar
Le Ballet devint alors général, et ce pas termina le premier Acte. Le
Théâtre
au second représentait les Alpes couvertes de nei
ce, et fait la quatrième Entrée. Aussitôt, et sans autre à propos, le
Théâtre
change et représente Arras. On voit les Flamands
s Français du parti d’Espagne, et son Entrée finit le second acte. Le
Théâtre
représente la mer environnée de rochers, et le ré
s, et les Lions du premier Acte reparaissent. Hercule sort du fond du
Théâtre
pour les combattre ; mais Jupiter descend des cie
idérer philosophiquement, fut cependant le premier fondement de notre
Théâtre
. [Voir Ballet] Les soins du Ministère, ses dépens
nt infidèle. Après m’être transporté sur les dessus et les dessous du
théâtre
, après en avoir parcouru les ceintres, examiné le
inistrations et tous les grands talens qui ont contribué au succès du
théâtre
le plus pompeux et le plus magnifique de l’univer
42
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
s n’est-on pas au supplice par la mauvaise prononciation des héros de
Théâtre
! L’un semble siffler en déclamant ; l’autre a to
ment y remédier ? Je l’ai déjà dit, en ne faisant représenter sur nos
Théâtres
que des Pantomimes, ou du moins en prescrivant à
i l’on veut conserver les Poèmes immortels qui font tant d’honneur au
Théâtre
Français. J’entends de ma petite chambre, située
, Fanier, Luzy ; les sieurs Bellecourt, Préville, Augé ; Clairval, au
Théâtre
italien ; Larrivée, Legros, & la demoiselle A
de ce privilège singulier. S’il se présentait un Acteur, sur quelque
Théâtre
que ce fût, qui eût un bel organe, & s’exprim
servation des Acteurs qu’ils chérissent. Ouvrons les Annales de notre
Théâtre
, on y verra que les fureurs d’Oreste coûtèrent la
s étudié devant un miroir les gestes qu’il se proposait d’employer au
Théâtre
. Dans un Ouvrage considérable, que j’ai dessein d
de certains gestes d’appareil, faits avec affectation sur le bord du
Théâtre
, ravir, enthousiasmer tous les Spectateurs. Mais
a plus raisonnable. C’est ainsi que mon systême, s’il était adopté au
théâtre
, serait encore extrêmement utile à la Société. Ma
f, les Ballets fantastiques de Loïe Fuller transforment le plateau du
Théâtre
des Champs-Élysées en cercle magique. Or rien de
i tient de l’optique est plein d’intérêt. On en rêve l’application au
théâtre
; c’est à Loïe Fuller que j’aurais confié (si j’é
epuis le « Guignol » de mon enfance, je ne me suis tellement amusé au
théâtre
! Voilà bien la Fuller ! L’ombre sur la scène n’a
ique jetait la consternation dans Paris et repoussait les affaires de
théâtre
à l’arrière-plan de l’actualité. Un succès que pe
un peu mignarde et artificielle qu’il affectionnait. Le Courrier des
Théâtres
jugea que ce portrait était « loin encore, quoiqu
rfidie qu’elle avait « d’autres succès à espérer100 ». La Gazette des
Théâtres
, qui reprochait avec aigreur à Fanny, quinze jour
e, pourvu qu’ils offrissent des situations saisissantes, des coups de
théâtre
, des prétextes à fastueuses exhibitions. Il avait
absorbaient son attention. La tragique réalité portait préjudice aux
théâtres
. L’Ile des Pirates, jouée quinze jours seulement
r, comme un cygne sous celles du colosse de Rhodes. » La Gazette des
Théâtres
, tout en reconnaissant aux deux sœurs un joli tal
oration de son hôtel nouvellement construit. Fortement attiré vers le
théâtre
, il avait rêvé pour la mise en scène des améliora
l’appartement de Mlle Taglioni, qui était alors première danseuse au
théâtre
impérial, il vit accourir dans ses jambes une cha
fin les deux sœurs Elssler pour qui seules j’étais allé cette fois au
théâtre
. Thérèse, la cathédrale de Strasbourg ou la tour
t à se faire aimer de Cléofas. Mais le diable, qui veut l’éloigner du
théâtre
, fait qu’elle échoue ; elle renonce à son ambitio
cert d’éloges qui, de toutes parts, montait vers elle. La Gazette des
Théâtres
, de tous les journaux le moins bienveillant à son
it qu’une pâle imitation. Tel fut l’avis qu’émit, dans la Gazette des
Théâtres
, son rédacteur en chef, J. Arago. « C’est qu’en
Les créations poétiques et merveilleuses sont donc enfin rentrées au
théâtre
l’autre soir avec Mlle Taglioni115. » L’oppositi
a danse pourra servir à compléter peu à peu les richesses lyriques du
théâtre
si habilement administré par M. Duponchel116. »
a de tels transports qu’émue jusqu’aux larmes, elle dit en sortant du
théâtre
: « Est-ce que je retrouverais ici le bon, le che
ingt-six représentations rapportèrent 65 000 francs. C’était, pour le
théâtre
de Bordeaux, une recette fabuleuse. Dans l’élan d
Il semblait qu’une fatalité farouche s’acharnât contre les reines du
théâtre
. Le Courrier des Théâtres fit appel aux sentiment
ité farouche s’acharnât contre les reines du théâtre. Le Courrier des
Théâtres
fit appel aux sentiments religieux de ses lecteur
grande réputation, Mlle Heberle. Cette belle danseuse avait quitté le
théâtre
en plein succès pour épouser un riche banquier de
nnées. Le 20, elle faisait sa première sortie. 99. Le Courrier des
Théâtres
, 24 février 1835. 100. La Revue de Paris, t. XV
835. 100. La Revue de Paris, t. XVI, avril 1835. 101. Gazette des
Théâtres
, 12 avril 1835. 102. Charles Maurice, Histoire a
éâtres, 12 avril 1835. 102. Charles Maurice, Histoire anecdotique du
Théâtre
, t. II, p. 124. 103. Mémoires d’un Bourgeois de
. Gautier sur le Diable boiteux se trouve aussi dans ses Souvenirs de
théâtre
, d’art et de critique, Paris, 1883. 109. Gazett
irs de théâtre, d’art et de critique, Paris, 1883. 109. Gazette des
Théâtres
, 6 juin 1836. 110. Th. Gautier, Histoire de l’Ar
ant et de danse que Quinault a voulu faire ; c’est-à-dire, que sur le
Théâtre
nouveau qu’il fondait, il a voulu parler à l’orei
estes, les mouvements mesurés de la Danse. Tout ce qui se fait sur le
Théâtre
doit être plein de vie. Rien n’y doit paraître da
ès successifs jusqu’à son parfait développement. En admettant sur son
Théâtre
le même Art dont les Grecs et les Romains s’étaie
tandis qu’elle est capable de former les tableaux les plus dignes du
Théâtre
. Mais en parcourant les compositions de ce beau g
tion de Quinault. Je vois évidemment que, si elle eût été remplie, le
Théâtre
m’eût offert dans ce moment le tableau de Danse l
, pendant que le char de Mars, en tournant rapidement vers le fond du
Théâtre
, se perd dans les airs, et que les Prêtres, les P
nse des Assiégés, leurs sorties, leurs fuites ; qu’on imagine voir au
Théâtre
la succession rapide de tous ces divers tableaux,
remière ville de France ou s’exécutent de grands ballets. Son superbe
théâtre
a presque toujours possédé de bons compositeurs e
sique . Un journaliste disait, au sujet de mes débuts à l’opéra : Le
théâtre
de Bordeaux est destiné à nous approvisionner de
nseurs. Un autre journaliste de la province écrivait : Notre grand
théâtre
de Bordeaux paraît être désormais le dernier éche
élever à cet Olympe (le grand opéra). Que ceci soit dit en faveur du
théâtre
de Bordeaux, qui présentement possède encore quel
de fruit. 73. Un grand acteur disait : On ne peut se distinguer au
théâtre
que lorsqu’on est aidé par la nature. Ces mots d
sans sa sœur Thérèse, sa compagne dévouée, sa partenaire si utile au
théâtre
et toujours si heureuse de s’effacer, sa conseill
es musiciens du prince Esterhazy. Cette personne n’appartenait pas au
théâtre
et ne pouvait par conséquent rendre à Fanny les m
ut faire sur la vie américaine en général. Vers 1840 la situation des
théâtres
en Amérique était fort précaire. De valeur artist
, la gracieuse fille, a été reçue d’une façon digne d’elle. Jamais le
théâtre
du Park n’avait vu une telle solennité. Son encei
sé les bégueuleries les plus sauvages, et, grâce à elle, la partie du
théâtre
jusqu’alors réprouvée du nom d’enfer (the hell) s
s du Park sont priées de vouloir bien se rappeler qu’il y a encore le
théâtre
X… » A l’occasion du passage d’une étoile, les b
ait s’asseoir, en compagnie d’une personne respectable, à l’entrée du
théâtre
, derrière une table qui portait des troncs à offr
coups de grosse caisse et ces roulements de timbales qui ébranlent le
théâtre
? Ce sont les musiciens (la chose se passe à Bost
spectateurs traînent l’idole. Cette façon d’honorer les célébrités du
théâtre
n’était pas inconnue en Europe. En Amérique, un s
val. Après la représentation, le même équipage l’attend à la porte du
théâtre
, encadré de porteurs de torches et de musiciens q
pied, le retour n’en fut que plus difficile. Précédée du directeur du
théâtre
qui fendait péniblement le flot de la multitude,
trois heures du matin. Le 5 octobre de la même année les musiciens du
théâtre
de Boston donnent une sérénade à Fanny après la r
cule et de Démosthène ? » *** « Ce n’est pas une simple assemblée de
théâtre
, écrit Catherine Prinster, que Fanny a transporté
furent ces représentants de la nation qui pressèrent le directeur du
théâtre
de la retenir pour plusieurs soirées. Fanny alla
Le 15 juillet le président de la République, Van Buren, assistait au
théâtre
, avec les ministres, à la représentation donnée p
blée sont présents dans cette salle, tandis que les autres siègent au
théâtre
. » La séance fut levée et renvoyée au lendemain.
s grands succès fut la conversion des quakers. Pour ces puritains, le
théâtre
était un lieu de perdition. Fanny les y fit aller
pour l’acclamer, dans les rues, à la porte de l’hôtel, à la sortie du
théâtre
. Elle fut très populaire dans le monde des ouvrie
qui rappelle des épisodes de la Bible. Un soir que Fanny rentrait du
théâtre
, une femme du peuple s’approcha de la voiture et
ie lointaine, chère compagne de notre jeunesse… » Ils organisèrent au
Théâtre
allemand une solennité nettement allemande au cou
e 18 était jour de représentation. Les Allemands escortèrent Fanny du
théâtre
jusque chez elle. Pour braver les Américains, ils
se était nombreuse et prospère. Elle avait son quartier spécial et un
théâtre
où l’on jouait fort convenablement les dernières
agne de France émut joyeusement les cœurs. Dans la rue l’orchestre du
théâtre
jouait des mélodies françaises. Soudain la cloche
, de quatre à six, les belles créoles faisaient leur persil devant le
théâtre
Tacon. Même aux jours froids de février, elles po
uillon du gain, à qui ne souriaient point les muses, avait le soir au
théâtre
, en un moment de détente, la révélation de la Bea
; tantôt elle annonçait sa résolution de se retirer définitivement du
théâtre
, au moment du plein épanouissement de son talent
osent dans ce beau génie ; je me suis demandé mille fois, pourquoi au
Théâtre
, la plus grande partie de ce qu’il m’est démontré
e pourrait souffrir, si l’on avait le moindre goût pour les Pièces de
théâtre
, ou que l’on n’eut pas été enchanté et séduit par
de Lully. Cette erreur est la cause primitive de tous les malheurs du
Théâtre
Lyrique.
ots. Ne voyez-vous pas-là les commencemens de la Pantomime ? Que le
Théâtre
français éprouve encore un peu de décadence, &
èmes dramatiques en récit, c’est qu’on a toujours dit qu’une Pièce de
Théâtre
avait des Spectateurs, & non des Auditeurs :
: c’est vous en donner une idée. Il est fâcheux que les Pièces de ce
Théâtre
ne soient pas toutes sans paroles, & que le P
d’une Pantomime , que nous représentons depuis si long-temps sur le
Théâtre
du sieur Nicolet : les Amateurs conçoivent sans p
de n’y pas trouver de ces situations à retenir », ou de ces coups de
théâtre
, si fréquens sur la Scène moderne. « Je crois bie
ur » : soit dit en passant, ceci peut encore servir de règle pour les
Théâtres
, où la parole est en usage ; car je ne prétends p
e, elle vaut un Drame ; « je la préfere même aux meilleures Pièces de
Théâtre
». On doit dans une Pantomime représenter des c
d’usage de jouer après les Drames en cinq actes ; & c’est sur le
Théâtre
où se sont immortalisés les Shakespear, les Dryde
s Ouvrages. Note du grand Sauteur. 3. On appelle Pantomime sur le
Théâtre
de Covent-Garden, & de Drury-Lane ; ce qui n’
a forme d’une Reine majestueuse, &c. Les Anglais ont à Londres un
Théâtre
, nommé Saddlen’swells, qui n’est destiné qu’aux P
adamus. Ce Livre tant vanté a paru en effet sous le titre de l’Art du
Théâtre
, &c. (Paris, Cailleau). Il n’a pas eu tout le
ion par les gestes, des actions et des passions des hommes. Portée au
Théâtre
, elle y reçut plusieurs accroissements glorieux à
r, composé de routes les parties difficiles, dont la liaison forme au
théâtre
ce bel Ensemble, qui est un des chefs-d’œuvre de
Danse allégorique, que les Athéniens avaient portée d’abord sur leur
théâtre
, et qui représentait le mouvement des Astres [Voi
t-être le meilleur ouvrage de ce genre fut représenté à Venise sur un
Théâtre
public85, sous le titre de la Verita raminga ; ce
este encore triste, rebutée, abandonnée. Dans cet instant, la Muse du
Théâtre
arrive. Elle voit et reconnaît la Vérité ; Tout l
éras, et de ces Opéras Bouffons qu’on y représente séparément sur des
Théâtres
publics. On ne compose guère depuis longtemps ces
s et tous les peuples de l’Europe en embellirent successivement leurs
théâtres
, et on l’employa enfin pour célébrer dans les cou
t de Soupçons, qui précédaient l’Apparence et le Mensonge. Le fond du
théâtre
s’ouvrit. Sur un grand nuage porté par les vents,
simple reprirent en France la place qu’elles avaient occupée sur les
théâtres
des Grecs et des Romains ; on ne les y fit plus s
l’Amour, qu’on introduisit pour la première fois des danseuses sur ce
théâtre
. Quinault qui avait créé en France l’opéra, qui e
e ballet. Il fut imité depuis par tous ceux qui travaillèrent pour le
théâtre
lyrique. Le propre des talents médiocres est de s
alante est le premier ballet dans la forme adoptée aujourd’hui sur le
théâtre
lyrique. Ce genre appartient tout à fait à la Fra
ble suivant la nature des sujets. Tous les ballets qui sont restés au
théâtre
sont en cette forme, et vraisemblablement il n’y
aux Poètes et aux Musiciens, qui auront le courage de croire, que le
théâtre
du merveilleux est propre à rendre le comique. Le
nre si aimable. On n’a de lui que l’Europe galante qui soit restée au
théâtre
; il a cru modestement sans doute que ce qu’on ap
eux servi cependant dans un genre tout à lui. Il n’est excellent à ce
théâtre
que dans ceux qu’il a créés. Voyez Pastorale [Art
poésie, à la peinture, à la musique, d’étaler leurs richesses ; et au
théâtre
lyrique, des occasions de faire briller la grande
r, pour décider si ce genre est le véritable. De tous les ouvrages du
théâtre
lyrique, le ballet est celui qui paraît le plus a
ation pour la musique se fortifiera, ou s’affaiblira par la suite. Le
théâtre
lyrique qui peut compter à peu-près sur huit ou d
ses différentes que les anciens et les modernes ont portées sur leurs
théâtres
. Les Grecs unirent la danse à la Tragédie et à la
leurs délices, sans la protection signalée qu’Auguste accorda à leurs
théâtres
et à leurs compositions. Ces deux hommes rares ne
se d’acajou par une petite chaîne du meilleur goût ». Le Courrier des
Théâtres
vantait avec insistance la piété et la vertu de F
rre fils, qui représentait Fanny dansant la cachucha. Le Courrier des
Théâtres
la décrivait ainsi : « Une ravissant statuette, r
sœurs Elssler allèrent passer leur congé à Vienne. Elles donnèrent au
théâtre
de la Porte de Carinthie huit représentations. Le
vingt-deux fois à Fanny au cours des huit soirées. « J’ai déjà vu au
théâtre
mainte soirée animée, écrivait Heinrich Adami le
au profit des pauvres, l’autre au profit d’un malheureux directeur de
théâtre
. « Ces deux sœurs exceptionnelles, dit l’Allgemei
Fanny qui commençait alors une brillante carrière, Fanny Cerrito. Le
théâtre
An der Wien tint un gros succès avec une parodie
Theaterzeitung. Scholz à son tour eut des imitateurs dans les autres
théâtres
. La cachucha s’ajoutait aux valses et aux polkas
qu’ils fixent les caractères généraux de son talent. Jamais femme de
théâtre
n’a trouvé, pour la décrire, un écrivain plus cha
tes, leur manière de s’étirer. « La souplesse, disait le Courrier des
Théâtres
, l’élégante mollesse, la légèreté de velours, la
les comptes rendus se manifeste le même sentiment, que la Gazette des
Théâtres
résume en ces termes : « Mlle Fanny Elssler a dél
s tout le reste est une mystification puérile, triviale, indigne d’un
théâtre
tel que l’Opéra. » Si Th. Gautier parla peu de F
rs il avait de nouveau traité un peu trop cavalièrement les femmes de
théâtre
en donnant le nom de Déjazet à une jument poussiv
lle Fanny Elssler est la plus belle des femmes qui sont maintenant au
théâtre
; d’autres ont peut-être quelques portions d’une
rent un langage tout différent. Leur principal organe, la Gazette des
Théâtres
, dit : « La reprise de la Sylphide est une erreur
s’est passé hier à l’Opéra des scandales inouïs dans les fastes de ce
théâtre
. Le parterre était transformé en arène véritable
même sort. « Un citoyen de soixante-dix ans, rapporte le Courrier des
Théâtres
, reçut un coup de poing qui lui mit l’œil en sang
récits circonstanciés et lamentables, on dirait que l’Opéra a été le
théâtre
d’une Saint-Barthélemy plus sanglante que l’autre
s, disait-on, 150 000 roubles à la disposition de l’administration du
théâtre
, afin que Marie Taglioni fût placée dans le cadre
Elssler satisfit amplement à cette double obligation. La Gazette des
Théâtres
elle-même rendit justice à la danseuse aussi bien
, d’Horace, et qui étonnait les spectateurs par son précoce génie. Au
théâtre
de la Renaissance, Ruy Blas, de V. Hugo, représen
t de leurs regards attendris. Toutes ces nouveautés dans le monde des
théâtres
captivaient trop Paris pour qu’il pût s’intéresse
autant de pittoresque que la cracovienne de la Gypsi. La Gazette des
Théâtres
la félicita d’avoir retrouvé sa voie véritable, a
ux français donnèrent de sa lutte avec Marie Taglioni. La Gazette des
Théâtres
et le Siècle se faisaient adresser de Londres une
hide, et, cette fois, personne ne cria à l’usurpation. La Gazette des
Théâtres
traça entre elle et Fanny un parallèle très dur p
ique, la poursuite désespérée du repos et de la fortune. Le monde des
théâtres
se souvenait de la manière dont Mme Malibran avai
e faire construire un palais à Baltimore et devenir propriétaire d’un
théâtre
à Londres. Fanny Elssler était à la fois assez se
Petits Mémoires de l’Opéra, p. 210 et p. 236. 120. Le Courrier des
Théâtres
, 5 décembre 1836. 121. L’Artiste, 1836, n° 23.
llgemeine Theaterzeitung, n° 154, 3 août 1837. 125. Le Courrier des
Théâtres
, 30 juillet 1837. 126. Allgemeine Theaterzeitun
rtraits contemporains, Paris, 1874, soit encore dans les Souvenirs de
théâtre
, d’art et de critique, Paris, 1883. 129. Article
uit dans les Portraits contemporains, p. 372-375. 130. Souvenirs de
théâtre
, d’art et de critique. 131. La Renaissance lati
ectacle : mais je la vis souvent chez elle. Quoiqu’elle eût quitté le
théâtre
, elle s’exerçoit tous les jours. Je fus enchanté
t encore par la générosité de la nation. On se battoit pour entrer au
théâtre
et l’enthousiasme qu’avoient fait naître les tale
ester que par les bourses remplies de guinées, qu’on lui jetta sur le
théâtre
de toutes les parties de la salle. Indépendamment
de l’opéra. J’ai l’honneur d’être etc. 1. Mlle. Camargo, si gaie au
théâtre
, étoit naturellement triste et sérieuse ; et aprè
edevance d’environ 300 000 francs prélevée par l’Opéra sur les autres
théâtres
de Paris, l’administration était, au moment de la
c fracas du Café de Paris, se jetant dans sa voiture qui le dépose au
théâtre
, et là recevant, comme un pacha, les caresses de
royauté dans la vie mondaine comme dans la politique, les parties du
théâtre
occupées jusqu’alors par la caste privilégiée. L’
ibe, entourées de la musique des compositeurs les plus populaires. Le
théâtre
devait parler avant tout aux sens de ce public de
des idées, Duponchel, architecte de profession, amateur passionné de
théâtre
. Duponchel était partisan des tendances nouvelles
peinture et la sculpture, allaient s’étendre aux arts auxiliaires du
théâtre
. Il ne se contenta pas d’introduire dans la machi
nnait, par sa plantation, le moyen de placer beaucoup de monde sur le
théâtre
; un très grand nombre de lustres garnis de bougi
que les salves d’applaudissements partissent de plusieurs parties du
théâtre
, mais il les plaçait de telle sorte que tous puss
ent ni plus brave dispensateur de gloire ne trôna sous le lustre d’un
théâtre
… On a souvent admiré, mais jamais assez, selon mo
x fut Charles Maurice, directeur et rédacteur en chef du Courrier des
Théâtres
. Celui-là était le Mandrin de la presse théâtrale
chose. Il ne se passait presque pas un jour sans que le Courrier des
Théâtres
ne fulminât contre le Bouge-Variétés et n’en dema
de l’effroi qu’il inspirait, il faut lire son Histoire anecdotique du
théâtre
, ouvrage qui, sous un titre trompeur, n’est guère
maltraités, selon qu’ils ont passé ou non à la caisse du Courrier des
Théâtres
. Mais, pour le maître souverain qui a fait tomber
s. La saison de 1832 avait été désastreuse, le choléra ayant vidé les
théâtres
. Les abonnés de l’Opéra redemandèrent l’argent qu
mptueux et bien ordonnés, des foules émerveillées, d’en avoir fait un
théâtre
dont la France avait le droit d’être fière devant
cteur qui a fait de l’Opéra « le plus brillant et le plus heureux des
théâtres
». Il considère Véron comme un bienfaiteur de la
nt avec les machinistes. — Pourquoi il n’y vient plus. — La sortie du
théâtre
. — Mon intention d’en faire une comédie. — Ce qui
! a déjà parlé de l’entente cordiale qui règne entre le public et le
théâtre
. « Des loges à la scène, dit-il, on a toujours qu
ouvent employé, c’est le système des correspondances. Il n’est pas un
théâtre
où l’on reçoive autant de lettres. Soixante à qua
l ne vient plus. Les machinistes le regrettent. XI La sortie du
théâtre
est l’instant le plus réellement curieux. C’est l
Crois-tu qu’elle est drôle celle-là : on m’attend de chaque côté du
théâtre
, par devant et par derrière : comment faire pour
. Deuxième gandin , qui la regarde s’en aller. C’est un employé du
théâtre
. Bon, voilà qu’on éteint tout : allons, elle est
vre de l’esprit humain, n’a point eu l’honneur d’être exécutée sur le
Théâtre
du sieur Nicolet. Le goût & la délicatesse ga
dité de son débit, & les suffrages unanimes qu’un Drame reçoît au
Théâtre
, qui sont la véritable marque de leur succès ou d
urait peut-être que le suffrage d’un petit nombre suffit, au moins au
Théâtre
, puisque je donne à entendre que c’est ordinairem
ène. Soyez moins paresseux, parce que vous êtes trop riches ; ayez un
Théâtre
où soient représentées toutes les Pièces qu’on vo
plaudissemens que j’envie, ce sont ceux des Spectateurs rassemblés au
Théâtre
du sieur Nicolet. Plutôt que d’écrire de mauvais
r des Pantomimes : ils ne courront plus risque dans leurs Pièces de
Théâtre
, de faire débiter tant de choses insipides ou enn
injustice ; ils les surpassèrent dans l’amour qu’ils eûrent pour les
théâtres
; mais la passion qu’ils montrèrent pour la panto
ui l’esprit de parti. Le peuple s’amusant sans cesse des intrigues du
théâtre
ne s’inquiétoit en aucune manière des affaires du
autres pour Hilas. Enfui ce jour si impatiemment desiré arriva, et le
théâtre
quoique grand fut trop petit pour contenir la fou
, libère successeur farouche d’Auguste n’aimoit ni les talons, ni les
théâtres
; il chassa de Rome tous les Baladins, et fit fer
les théâtres ; il chassa de Rome tous les Baladins, et fit fermer les
théâtres
; mais la passion éffrénée que les Grands avoient
à donner azile dans leurs palais à tous ces crapuleux histrions. Les
théâtres
de société se multiplièrent, les Romains de toute
par l’œuvre d’un sculpteur et celle d’un musicien, est danseuse à ce
théâtre
de Christiania où les pièces de Holberg continuen
e Johanna Dybwad interpréta à merveille les drames d’Henrik Ibsen. Ce
théâtre
n’a pas de troupe de chant et de danse régulière,
les chœurs de l’opéra. Ils sont placés en haie sur les deux ailes du
théâtre
; les hautes-contre et les tailles forment une es
ent une espèce de demi-cercle dans le fond. Les chœurs remplissent le
théâtre
, et forment ainsi un fort agréable coup d’œil ; m
les modèles qu’ils doivent suivre, et les exercer pour les rompre au
théâtre
: 2°. Tirer un avantage de ce nombre d’acteurs, p
sement réel du spectacle. Les chœurs sont toujours sans action sur le
théâtre
; et le moyen de procurer le plus grand plaisir a
es idées qu’on veut peindre, lorsque les chœurs se rassemblent sur le
théâtre
. Les difficultés à vaincre sur cette partie, doiv
la bonne société. La plupart des personnes qui font l’ornement de nos
théâtres
et qui y brillent, y ont été conduits par la misè
ducation et l’ignorance de la plupart des personnes qui se livrent au
théâtre
est contraire à leurs progrès. Il ne faut que rai
goût, à la délicatesse de l’esprit et à la décence qui doit règner au
théâtre
, pour embrasser et propager toutes les trivialité
ue ce Volange imprima fut tel, qu’on l’engagea à débuter sur un grand
théâtre
; mais ce bouffon, charmant dans le cadre étroit
106, avec laquelle on élevait le parterre et l’orchestre au niveau du
théâtre
. La Salle fut ornée de Lustres, d’un Cabinet de g
ce Française. Bientôt après les Comédiens obtinrent en faveur de leur
théâtre
une pareille permission. Leur peu de succès les r
s du monde l’apprennent et l’exercent. Les Bals étaient une espèce de
Théâtre
pour eux où il leur était glorieux de faire brill
ui l’on doit considérer le plus, ou de celui qui compose une Pièce de
théâtre
, ou de ceux qui l’apprenent par cœur ? Je me dout
la Scène. Qu’ils tremblent, je me propose de consacrer mes veilles au
Théâtre
fameux des Boulevards ; oui, je vais le gratifier
ivers aura d’obligations au sieur Nicolet ! Il m’ouvre la barrière du
théâtre
, qu’il n’est guères aisé de franchir la première
autre il faut que je la voie. Je vais aller chez le directeur de son
théâtre
. — Mais il ne voudra pas te recevoir. Je n’avais
s voilà parties, et, après une demi-heure de marche, nous arrivons au
théâtre
. Le directeur n’était pas encore là. Nous nous as
ut à la ronde : — Messieurs, je voudrais bien voir le directeur de ce
théâtre
, s’il vous plaît ? Quand je m’arrêtai de parler,
que je ne pouvais plus retenir, et, rejoignant ma mère, je sortis du
théâtre
. — Qu’y a-t-il, chère Loïe ? Qu’ont-ils dit, pour
tes américains. Dans les loges, il y avait les directeurs de tous les
théâtres
de New-York et leurs femmes. La salle était bondé
ris, tout dernièrement, on m’annonça la visite de l’administrateur du
théâtre
Sarah Bernhardt. Je le reçus, tout en me demandan
de ce qu’il lui faudrait comme éclairage. A son tour elle vint à mon
théâtre
après la représentation, pour voir quelques éclai
ant de belles paroles. Le lendemain matin l’entreprenant directeur du
théâtre
où je dansais, annonça, dans tous les journaux, —
ns les récits des journaux qu’hyperboles et mensonges. La Gazette des
Théâtres
et le Siècle exprimèrent des dispositions peu bie
es. Le Siècle poursuivait Fanny de sa verve caustique. La Gazette des
Théâtres
disait, le 6 août 1840 : « Les succès de Mlle Els
ction a soufflé l’autre semaine sur la salle de l’Opéra… Les échos du
théâtre
ont dit : Taglioni ! et le public est accouru en
’engagement contracté en décembre 1836 par Mlle Fanny Elssler avec le
théâtre
de l’Opéra, en qualité de premier sujet de la dan
ible au cas où il serait prouvé que Fanny aurait dansé ou joué sur un
théâtre
quelconque après le 15 décembre 1840. Par cette c
Durmont, agréé de Léon Pillet ; il n’est pas étranger aux émotions du
théâtre
, et si, lorsqu’il venait d’applaudir au talent, à
« Que chacun des acteurs ou artistes engagés à l’administration d’un
théâtre
concourt en ce qui le concerne à l’exploitation d
r son dédit donnèrent naissance à d’aimables facéties. La Gazette des
Théâtres
dit dans son numéro du 1er septembre 1842 : « Com
rlin, Fanny se rendit à Londres où elle trouva, dans la direction des
théâtres
, la même misère que dix ans auparavant. Bunn, le
moignât la même faveur qu’autrefois, elle ne put sauver le malheureux
théâtre
. Londres la revit en 1847 à Covent-Garden restaur
ire donné au bénéfice du corps de ballet143. En 1844, les habitués du
théâtre
de la Monnaie purent faire à leur tour le classiq
nouvelle était malheureusement fausse. Ce n’est pas à Paris, c’est au
théâtre
allemand de Budapest que Fanny se montra dans l’h
y Elssler avait obtenu à la fin de 1845 et au commencement de 1846 au
Théâtre
Argentina un succès qui l’avait décidée à prolong
nt les colères d’une population exaspérée avaient leur contre-coup au
théâtre
. Fanny Elssler risquait une grosse partie, lorsqu
ait dans l’attente de quelque chose d’extraordinaire ». Les places du
théâtre
de la Petrowska s’étaient louées à des prix fabul
es de la vie de famille, après avoir épuisé les ivresses de la vie de
théâtre
. Les nécessités de sa carrière et ses voyages inc
nce qu’il avait si magnifiquement illustrée. Fanny avait trop aimé le
théâtre
pour pouvoir un beau jour s’en passer. Elle le fr
souscrivit pour une somme de mille francs. Malgré sa passion pour le
théâtre
, aucune prière ne put jamais décider la glorieuse
de. Peu d’indices rappelaient qu’on était chez une ancienne gloire du
théâtre
. Les trophées des victoires passées se faisaient
inée avait été, en apparence, plus brillante. Thérèse avait quitté le
théâtre
pour épouser le prince Adalbert de Prusse, le cré
douce que son ancienne rivale, Marie Taglioni. Après avoir quitté le
théâtre
en 1847, la Sylphide s’était installée dans une v
845. 145. Hippolyte Hostein, Historiettes et Souvenirs d’un homme de
théâtre
, Paris, 1878, p. 147. 146. Ludwig Speidel, Fanny
Philosophes profitables, et faire servir les Représentations même du
Théâtre
à la correction et à l’amusement des Citoyens ; m
a, autant qu’il était en son pouvoir, les abus qui avaient infecté le
Théâtre
, restreignit à certains jours de la semaine, les
rd, disait-on à la Cour, et à la Ville, lors même que nous avions, au
Théâtre
de l’Opéra, les meilleurs Danseurs qui y eussent
était donc la perte dont on se plaignait ? Qu’avaient fait sur notre
Théâtre
, ces grands Danseurs que l’on regrettait tant ? J
petits lustres qui ne repandoient qu’une clarté lugubre. La partie du
théâtre
étoit proportionnée au rétréci de la salle. L’ava
noir de ce spectacle. Le célèbre Servandoni en fit de magnifiques. Ce
théâtre
fut machiné par Arnoud, qui avoit du goût et de l
s un auteur contemporain. « Un Orphée jouant de sa Lyre entra sur le
Théâtre
, suivi d’un Chien, d’un Mouton, d’un Chameau, d’u
requête, et les Chevaliers et leurs Dames descendant des nues sur le
théâtre
au son de plusieurs Instruments dansèrent divers
urent vives, gaies, et légères. Ils se réunirent d’abord, bâtirent un
théâtre
à leurs frais, et représentèrent concurremment de
ls se séparèrent, et l’Art y gagna. [Voir Ballet] Il y eut alors deux
théâtres
rivaux qu’une émulation utile soutint, instruisit
ie, il y a des traits, des événements, des écarts qui sont propres au
théâtre
, et qu’il faut savoir séparer de ceux qui peut-êt
Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires Ce n’est pas seulement au
Théâtre
, que la Danse a formé le fond d’un grand Spectacl
énique88. La mer, le rivage, les rues, les places publiques, sont les
Théâtres
sur lesquels on fait voir successivement ces repr
pisseries les plus riches ; la terre était jonchée de Fleurs. Sur des
Théâtres
élevés en plusieurs quartiers de la Ville, on voy
c amertume qu’un tel spectacle aurait sans doute fait la fortune d’un
théâtre
de Saint-Pétersbourg ou de Berlin. L’Hercule dijo
de gloire à côté de Mozart et du chevalier Gluck, seuls survivants au
théâtre
d’une grande époque méconnue. À Paris, la campagn
intime en leur restituant leur timbre. Enfin Jacques Rouché monte au
Théâtre
des Arts le fameux ballet des Talents Lyriques, g
vement de Proserpine, sont autant de Sujets qu’il peut exposer sur le
théâtre
, et qui doivent entrer d’une manière éloignée ou
nition, son deuil, son silence. Mais quels Tableaux frappants pour le
Théâtre
ne trouvera-t-il pas dans les aventures d’Actéon,
llait en faire, ses infortunes ; ses fureurs. Tout cela appartient au
Théâtre
; ainsi que la retraite d’Achille dans l’Île de S
jouissaient-ils d’un avantage qui devait rendre nécessairement leurs
Théâtres
en général fort supérieurs aux nôtres. Leurs Comp
IV Le mastic et le chausson Arrivée au
théâtre
. — Hygiène de la danseuse. — Le veau et le mouton
uez qu’il en était cinq — le plus souvent — alors qu’elle a quitté le
théâtre
. Il lui est donc resté — en moyenne — trois heure
le, en rit beaucoup pour sa part et ne manqua pas d’en égayer tout le
théâtre
. Boismaison, bafoué par ses camarades, fut pris d
tauration, le vicomte Sosthènes de la Rochefoucauld, surintendant des
théâtres
royaux, faisait placer une sentinelle : ce garde
e procéder à son mastic, — ainsi que l’on dit dans l’argot des petits
théâtres
, — sans être génée elle-même et sans gêner ses ca
e du poignet, l’inexpressible de tricot auquel l’ancien bonnetier des
théâtres
, — l’estimable M. Maillot, — a attaché à jamais s
petite X… continue avec fruit son commerce. Quand elle se retirera du
théâtre
et qu’elle liquidera pour jouer à la châtelaine m
t le chef et le protecteur. On doit le regarder comme le fondateur du
théâtre
Français, pour le quel il composa lui-même plusie
les morts qui jouèrent de leur vivant les premiers rôles sur le vaste
théâtre
du monde ; ce jugement ne peut être équivoque, il
arriva à Paris en l’année 1644. et donna le 28. Février 1645. sur le
théâtre
du Petit-Bourbon, en présence de Louis quatorze,
des peintres et des machinistes. Cette nouvelle troupe débuta sur le
théâtre
du Palais Royal, par Orphée et Euridice, opéra It
ter l’intérêt et l’éclat. Nous n’avions alors que des pigeoniers pour
théâtres
, et la nation les a conservés malheureusement tro
enfance ; il appliqua une partie de cet art aux machines propres aux
théâtres
; genre inconnu alors et qui tient du merveilleux
é, et magnifique par ses détails et son ensemble. Il y éleva un grand
théâtre
, et fit venir de Paris les ouvriers qui lui étoie
r l’époque où l’on vit pour la première fois des femmes danser sur le
théâtre
. Cette association, ce mélange intéressant qui pr
Le 21. Janvier de l’année 1681 on donna à St. Germain eu laye sur le
théâtre
du Château, le triomphe de l’Amour, opéra-ballet
re. Lully mourut : les traditions de tout ce qu’il avait fait sur son
Théâtre
restèrent. On crut ne pouvoir mieux faire que de
ernicieuses, les premières actions qu’on a voulu y introduire. Sur un
Théâtre
créé par le génie, pour mettre dans un exercice c
à qui j’avais écrit, d’Allemagne, pour lui proposer de danser sur son
théâtre
. Académie nationale de chorégraphie ! Je croyais
e cataclysme, l’effondrement définitif. Je n’entrai pas moins dans le
théâtre
. Je dis l’objet do ma visite. Je demandai à voir
demandai-je, y a-t-il encore d’autres danseuses de ce genre dans les
théâtres
de Paris ? — Non. Celle du Casino a manqué de par
our mon début. Le lendemain il paya mon imitatrice, et elle quitta le
théâtre
. Le même soir je pris sa place et il me fallut ré
avec quelle joie, de ma 600e représentation à Paris. J’étais alors au
théâtre
de l’Athénée. La salle entière avait été louée pa
avalanche fleurie qui roula sur la scène. Au moment où je quittai le
théâtre
, les étudiants dételèrent mes chevaux et traînère
tard, en 1900, j’avais installé, on ne l’a peut-être pas oublié, mon
théâtre
dans la rue de Paris à l’Exposition Universelle.
de Paris à l’Exposition Universelle. Un jour que je me rendais à mon
théâtre
, j’aperçus au loin, mon amoureux de Nice. Mon cœu
. On l’a peu suivi, cette danse ne paraissant pas assez noble pour le
théâtre
de l’opéra. (B) La bourrée est à deux temps, et c
’est point, et ne saurait jamais être théâtral ; on n’use pas même au
théâtre
de celui à dix. Quelque vigueur qu’on puisse supp
trechats des danseuses ; mademoiselle Sallé ne l’a jamais fait sur le
théâtre
; mademoiselle Camargo le faisait d’une manière f
demoiselle Lany est la première danseuse en France qui l’ait passé au
théâtre
à six. J’ai entendu dans les commencements de gra
artistes modernes qui ont acquis quelque réputation dans la danse du
théâtre
. Observer, réfléchir, lire, leur paraissent des d
s de l’homme : pourquoi donc tous les danseurs se privent-ils sur nos
théâtres
de l’avantage que leur procurerait cette expressi
s de ses traits, sont les grâces les plus désirables pour un homme de
théâtre
. On convient qu’il y a quelques caractères qui ex
ndis : — Dites aux archiduchesses qu’elles peuvent me voir ce soir au
théâtre
. La pauvre femme m’avoua alors qu’on lui avait dé
ous devenions amis… Je dansais à Marseille à cette époque. Il vint au
théâtre
et demanda à me voir, après la représentation. —
dansais à New-York, lorsque la suite de Li Hung Chang vint un soir au
théâtre
. Des amis me présentèrent à l’attaché militaire a
devais paraître devant le Mikado. On mettait même à ma disposition le
théâtre
du meilleur acteur japonais, Danjero. Et tout cel
ntrais en scène. Au milieu de ma danse, la Reine se leva et quitta le
théâtre
avec toute sa suite. Je la vis se lever, et parti
éféré mille fois qu’elle ne fût pas venue. J’appris, par la suite, au
théâtre
même, qu’on avait téléphoné après le déjeuner, po
re, un gré infini d’avoir attendu si longtemps pour ne pas quitter le
théâtre
sans avoir vu, ne fût-ce qu’un moment, la Loïe Fu
’Agamemnon. Ovide noud apprend que ses vers avaient été dansés sur le
Théâtre
: quelques auteurs ontcrû qu’il a voulu parler de
Nations : c’est leFestin de Pierre. Cette Pièce a réussi sur tous les
Théâtres
quoiqu’elle ne soit pas dans les règles. Les unit
1] Il n’en a pas été ainsi jusqu’à présent : si l’on en excepte notre
Théâtre
et les Pantomimes qui y ont été données par mon M
ur magnificence et leur galanterie ; Naples et Venise jouissaient des
Théâtres
publics de Musique et de Danse ; l’Espagne était
-Bretagne au reste de la Terre 115 était le sujet de ce spectacle. Le
Théâtre
représentait le globe du monde. La vérité, sous l
sous le nom d’Alithie, était tranquillement couchée à un des côtés du
Théâtre
. Après l’ouverture, les Muses exposèrent le sujet
our et la société. — Fête générale. — La musique ; les concerts ; les
théâtres
; la danse. — Le ballet d’enfants de Horchelt. —
Itinéraire des quatre campagnes effectuées par Fanny. — Situation des
théâtres
aux Etats-Unis vers 1840. — Sommes perçues par Fa
iques de cercueils illustres. — Formes de l’enthousiasme américain au
théâtre
. — Harangues de Fanny aux spectateurs. — Honneurs
u’on l’appelle chez lui l’« Antoine » du Japon. Il a apporté dans les
théâtres
de son pays quelques modifications qui ont amené
, et de la faire durer au moins jusqu’à minuit. On déjeune et dîne au
théâtre
pendant les entr’actes qui, cela va de soi, sont
inuer ce qu’ils faisaient précédemment. On construit actuellement des
théâtres
européens au Japon, pour que les acteurs d’Europe
ais totalement qui cela pouvait être, et cherchais toujours lorsqu’au
théâtre
on me présenta la carte d’un monsieur qui désirai
*** Un jour nous donnions des représentations à Lyon. En arrivant au
théâtre
l’un de mes électriciens me dit : — La propriétai
atronne, me dit-il enfin, est sûre que c’est vous, elle vous a vue au
théâtre
, c’est la même danse, et elle me charge de vous d
s ans, de nouveaux danseurs et de nouvelles danseuses débutent sur le
théâtre
de l’Opéra, vont dans les pays étrangers, et sont
e la danse. Chant premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au
théâtre
un novice danseur Des charmes de son art croit êt
e, brillant, et quelquefois grotesque. Dans sa fougue, il franchit le
théâtre
, en un saut ; L’esprit même trébuche, en s’élevan
rt poétique de Boileau. Chant III, vers Chez nos dévots aïeux le
théâtre
abhorré Fut long-temps dans la France un plaisir
c. Art de la danse. Chant II. Chez nos dévots aïeux, le
théâtre
abhorré Fut long-temps, dans la France, un plaisi
nages, D’un masque plus honnête habilla les visages, Sur les ais d’un
théâtre
en public exhaussé Fit paraître l’acteur d’un bro
son âge, D’un masque sérieux habillant son visage8, Sur les ais d’un
théâtre
, au palais exhaussé9, De même que Beauchamps, d’u
peaux rustiques, Entendre fredonner quelques vieux airs gothiques, En
théâtre
, changer le fond de ce salon, Le jeune homme en P
refreins ; Qu’en sautillant encore, au sortir on répète Et volons au
théâtre
, emboucher la trompette. Art poétique de Boi
rses mœurs, prêtez divers visages. Chant III, vers J’aime sur le
théâtre
un agréable auteur Qui, sans se diffamer aux yeux
Ne passez pas le but : la Danse est l’art de plaire. J’aime sur le
théâtre
un élégant danseur Qui, sans se diffamer aux yeux
otre art d’un amour idolâtre, Gardez-vous, croyez-moi, de paraître au
théâtre
: Chant IV, vers 25 Son exemple est pour vo
la route la plus sûre. &c… Vous donc qui, d’un beau feu pour le
théâtre
épris, 10 Venez en vers pompeux y disputer le pr
que la parole, Offre, comme un éclair, l’esprit de votre rôle. Le
théâtre
, fertile en censeurs pointilleux, Chez nous pour
our le bouffon, l’agréable et le fin, Et fait d’un grand spectacle un
théâtre
forain : Dans ce ballet chinois, à burlesques gri
ous animer de la voix et des yeux ; Agréez ces leçons que ma Muse, au
théâtre
, Me dicta, jeune encor, sur l’art que j’idolâtre1
s machines, avec M. le marquis de Soudiac. Il fit représenter, sur un
théâtre
bâti exprès dans le jeu de paume de l’hôtel Guéné
talens : et c’est à lui qu’est due l’ingénieuse invention des feux de
théâtre
, avec le lycopodium. 27. Louis-Pierre Dupré, co
le Dieu de la Danse ; nul danseur n’eut plus de graces. Il quitta le
théâtre
en 1781 : il y reparut par intervalles en 1795, 1
t de représentations, qu’on ne parlait que de lui. Recherches sur les
Théâtres
de France, tome 3, p. 30. – Histoire de l’Opéra,
i dansa. Cahuzac, Traité de la Danse. – Voyez les Recherches sur les
Théâtres
par Beauchamps, et le Journal de l’Etoile. 5.
oux. 9. J’ai vu plus de cent ans après, au palais des Tuileries, ce
théâtre
où avait dansé Louis xiv et ensuite Louis xv. On
âtre où avait dansé Louis xiv et ensuite Louis xv. On avait abattu le
théâtre
seulement, pour y faire une salle d’Opéra, lors d
: elle ne laissait rien à desirer. Mademoiselle Saulnier se retira du
théâtre
en 1794. 14. Mademoiselle Miller (Mad. Gardel) p
el épousa Gaëtan Vestris. Entrée à l’Opéra en 1766, elle se retira du
théâtre
en 1780. Son genre de Danse était noble et sérieu
ils font des sauts extraordinaires…. La manière dont on danse sur nos
théâtres
est très-fautive à cet égard, &c. Spectateur
pantomime la plus claire et la plus étonnante que j’aie vue. Mais au
théâtre
, beaucoup de ces gestes seraient nuls, les specta
23 février 1790. Ce ballet est un des plus agréables qu’on ait vus au
théâtre
. Bacchus, ballet pantomime de Gallet : il fut ex
13. Ballet de la Jérusalem délivrée, donné il y a plusieurs années au
théâtre
des Élèves de l’Opéra. 14. Ce ballet chinois, fa
uste Vestris sont à-peu-près du même âge ; ils ont étudié ensemble au
théâtre
, et débuté dans la même année. Le Pas de deux du
ingularité augmenta sa réputation. Il ne fit jamais d’écolier pour le
théâtre
. Voyez la note 16 du second Chant. 18. « Sans l
, Qu’en vérité, qu’en vérité Chacun s’en retourne enchanté. 97. Le
Théâtre
sans Comédie et les Comédiens Juges et Parties, d
ivertissement de la Vestale. Ce soir-là, Duponchel avait apporté au
théâtre
un énorme bouquet dont il se proposait de faire h
acte, un portant chargé de lampes allumées s’abîma avec fracas sur le
théâtre
et faillit écraser madame Dorus-Gras : celle-ci n
rappe à la suite du dieu des enfers. Il n’y eut plus qu’un cri sur le
théâtre
: « Nourrit est tué ! » Mademoiselle Dorus, que n
ment, quitta la scène pleurant à sanglots. Il se passait alors sur le
théâtre
, dans les dessous et dans la salle, trois scènes
ande un peu ce que ça peut faire à Duponchel ! On entend par vols, au
théâtre
, ces suspensions dans le vide qui simulent un per
vous ne voulez plus danser, Si vous ne faites que passer Sur ce grand
théâtre
si sombre, Ne courez pas après votre ombre Et tâc
ns elle, sans la Sylphide, il fallait ce soir-là fermer les portes du
théâtre
, et on les ferma. Elle refusa de venir en aide à
multe… Puis, mademoiselle Taglioni, qui ne parla que cette fois, — au
théâtre
, bien entendu, — s’avança sur le bord de la rampe
n regrettera la danse des œufs… Marie Taglioni essaya de renoncer au
théâtre
… Mais, une fois sortie de cette atmosphère incand
s espagnoles. — Vers de Roger de Beauvoir. — La cachucha sur tous les
théâtres
. — Danses hongroises. — La grande sœur. — Sa chèr
et d’applaudissements, et tout directeur qui put faire exécuter à son
théâtre
le fandango, le bolero ou le zapateado fut sûr d’
uronnes, rappels multipliés, bonbons, colombes, dollars lancés sur le
théâtre
, — rien n’y manqua. La ballerine était dans le ra
e de réaliser ce projet : Anténor Joly venait de prendre les rênes du
théâtre
de la Renaissance (salle Ventadour où furent, dep
ection des Beaux-Arts, on était moins aveugle : le chef du bureau des
théâtres
, un Perrot aussi, poussé peut-être par une secrèt
ncesse leur expliqua que j’étais la dame qu’ils avaient vue danser au
théâtre
, l’aînée, la petite princesse n° 1, ne souffla mo
s n’assistèrent pas à la représentation. Par contre, ils revinrent au
théâtre
et s’ancrèrent de plus en plus dans leur convicti
fant m’appelait toujours « ma Loïe », et, après sa première visite au
théâtre
, où elle était venue me voir danser, elle essaya
ecteur d’un des premiers journaux de New-York avait amené un soir, au
théâtre
, sa femme et sa fille pour me voir dans mon rôle
gée. J’invitai tout le beau monde de la ville. La première actrice du
Théâtre
National entendit parler de la fête et voulut y a
t parler de la fête et voulut y assister. J’invitai les directeurs de
théâtres
comme je l’avais fait à Vienne. Cette fois-ci l’u
vint me voir et proposa vingt représentations dans l’un des premiers
théâtres
de Budapest. Mon amie devait répéter dès le lende
é pour elle. Puis, elle alla à Vienne et donna des représentations au
théâtre
An der Wien. On m’a raconté qu’elle s’était rendu
reilles, je le croi Ainsi qu’un Article de Foi, Car BOYER, qui sur le
Théâtre
, Fait du bruit presque autant que quatre, De ce p
s L’a, dit-on, traitée à merveilles. Par divers ornements nouveaux Le
Théâtre
était des plus beaux ; Les Scolares fort bien jou
s y goûtèrent, Admirant tous, sans fiction, La riche décoration De ce
Théâtre
magnifique Où parut l’Ouvrage Héroïque.
heureux dans les nombreuses hérésies chorégraphiques qui affligent le
théâtre
, comporte un acheminement inconscient vers la dan
pectacle donné au Cercle Interallié. Sur le plateau exigu d’un petit
théâtre
de fortune, elle a esquissé un air de Grieg, une
Ce qui n’empêche que ce sont des choses qui n’ont rien à voir avec le
théâtre
. Les accoutrements des mantes religieuses sont de
le quelle, elle n’est qu’un argument pour ceux qui tournent le dos au
théâtre
lyrique pour mieux goûter une partition au piano,
ables de remplir avec succès les premières places dans les plus beaux
théâtres
de l’Europe, et qu’ils en feraient les délices et
’inaction lui a procuré beaucoup plus d’embonpoint qu’il n’en faut au
théâtre
et dans un genre surtout qui exige de belles prop
Clotilde a de grands moyens de développemens ; elle peut parcourir le
théâtre
avec l’élégance que lui donna son physique et ave
s, Marquis et Comtes, M’en ont fait tout plein de beaux contes, Et le
Théâtre
, seulement, Est construit si superbement, Qu’on n
Danse et le Récit, Où, des mieux, chacun réussit, Après ce plaisir de
Théâtre
, Dont la Cour fut presque idolâtre,…
struites Aux Sciences, soir et matin, Représentèrent en Latin, Sur un
Théâtre
magnifique, D’Egeric, l’Histoire tragique, Dont l
lle Se donnera, pour le certain, Le jour de Vendredi prochain, Sur le
Théâtre
de Molière Et que, par grâce singulière Mardi, l’
▲