l’Opéra en France, on conserva le fond du grand Ballet dont on fit un
Spectacle
à part ; mais on en changea la forme. Quinault im
s un, dans lequel les récits firent la partie la plus considérable du
Spectacle
. [Voir Ballet] La Danse n’y fut qu’en sous-ordre.
antit pour jamais le grand Ballet, qui avait été si longtemps le seul
Spectacle
de notre Cour. Dès lors la Danse reprit parmi nou
le dessus. On avait plus de Chanteurs que de Danseurs passables. Les
Spectacles
de Danse avaient été formés jusqu’alors par les p
l’art ne s’était conservée que parmi les gens du monde. En formant un
Spectacle
public, on n’eut pour ressources que quelques Maî
tre Danseurs qui figuraient sous cette mascarade dans les Fêtes de ce
Spectacle
. Le Triomphe de l’Amour 138 fut le premier ouvrag
sement, comme on louerait de nos jours l’établissement d’une Salle de
Spectacle
bien régulière et proportionnée au degré de splen
sentiment qui était sa partie sublime, ni de ces traits brillants de
Spectacle
qu’il répandait en esprit inventeur dans ses bell
a dit, que sa mort même n’avait rien fait pour sa gloire, imagina un
Spectacle
de Chant et de Danse formé de plusieurs actions d
une composition vaste, tels que ceux de Raphaël et de Michel-Ange. Le
Spectacle
trouvé par la Motte est un composé de plusieurs A
rtient tout à fait à la France. Les Grecs, les Romains n’eurent aucun
Spectacle
qui puisse en avoir donné l’idée. Peut-être quelq
fournie à la Motte ; mais que ma conjecture soit vraie ou fausse, ce
Spectacle
n’en est pas moins une composition originale qui
e qu’inspirent aux hommes sensibles toutes les nouveautés de goût. Ce
Spectacle
était sans Danse, et on voulut conserver les grâc
téressaient la gloire ou le repos des Nations. Ils formèrent seuls un
Spectacle
d’une dépense vraiment royale, et qui fut porté s
les idées que fit naître la belle fête de Bergonce Botta, ce genre de
Spectacle
parut susceptible de la plus heureuse variété. Il
mposition. Les Anciens, qu’un goût exercé guidait toujours dans leurs
Spectacles
, avaient eu une attention singulière à employer d
er, toutes les merveilles de la Fable fournissaient les sujets de ces
Spectacles
. Pour les rendre vraisemblables et pour donner un
et de séduire. On prit ordinairement la nuit pour l’exécution de ces
Spectacles
. Il semble que, sur ce point, plus heureux que le
au surplus de l’ensemble83? Telles étaient les belles parties de ces
Spectacles
superbes consacrés à la Danse. Elles furent plus
. Cette partie moins négligée rendrait notre Opéra le plus surprenant
spectacle
de l’Europe. Le jour artificiel bien ménagé est c
eaux établissements, mais Sixte reçut avec assez de froideur quelques
Spectacles
ingénieux que Riari lui avait donnés sur un Théât
ait d’abord refroidi en voyant l’insensibilité de son Oncle. Un grand
Spectacle
qu’il venait de donner au Peuple de Rome, où il n
’ils offrirent au jeune duc, en exécutant des Ballets de Triomphe. Un
spectacle
magnifique succéda à cette Entrée Pittoresque. On
i lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des Romains. Ce
Spectacle
disparut, et il se forma un grand Ballet composé
nses de différents caractères. Ce repas extraordinaire fut suivi d’un
Spectacle
encore plus singulier. Orphée en fit l’ouverture.
grands Ballets à machines. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Le premier de ces
Spectacles
est étranger à mon sujet, et je ne parlerai du se
ù toutes les nations accourroient pour s’y former, et pour y jouir du
spectacle
pompeux des beaux arts. Toutes ces merveilles avo
e du défunt. Nous étions privés du plus pompeux et du plus magnifique
spectacle
de l’Europe, (l’Opéra Français), et nous en devon
la Reine mere et de la Cour, la FestaThéatrale del la Finta Pazza. Ce
spectacle
neuf et dans une langue qui ne nous étoit pas alo
ence des vêtemens, tout offrit à l’oeil, et à l’oreille enchantés, le
spectacle
le plus grand, et le plus pompeux ; il obtint le
llant, et fut donné pendant longtems. Si la cour fut satisfaite de ce
spectacle
, le Cardinal Mazarin ne le fut pas moins ; il en
fit les paroles, Cambert en composa la musique ; il donna ce nouveau
spectacle
à Issy, village aux environs de de Paris, dans la
village aux environs de de Paris, dans la maison de M. de la Haye. Ce
spectacle
neuf, obtint du succès, et le Cardinal le fit rep
du mariage de Louis quatorze étant fixée, on avoit préparé plusieurs
spectacles
de l’invention de Benserade et de l’Abbé Perrin.
mbert, Sous-Intendant de la musique du Roi. Mais au milieu de tant de
spectacles
on distingua l’opéra Italien ; il avoit pour titr
te de deux cens musiciens, tant de belles choses réunies offrirent un
spectacle
digne de la circonstance pour la quelle il avoit
du merveilleux ; genre, qui convient à l’opéra, puisque ce magnifique
spectacle
est celui des arts, et qu’ils doivent s’y montrer
vent s’y montrer tous à la fois. C’est donc à cet ami des arts que ce
spectacle
doit toutes les machines étonnantes, et heureusem
. Ce fut enfin lui qui composa toutes celles des fêtes, et des grands
spectacles
que l’on donna pour le mariage de Louis quatorze.
de la terre et du Château de Neubourg situés en Normandie, y donna un
spectacle
étonnant par sa nouveauté, et magnifique par ses
destinée à célèbrer le mariage du Roi, et sa paix avec l’Espagne. Ce
spectacle
avoir, pour titre, la Toison d’or, tragédie de Pi
nrent par la suite des lettres patentes et le privilège de ce nouveau
spectacle
sons le titre des Académies d’opéra en musique et
e l’Amour, opéra-ballet de Quinault, musique de Lully. Ce fut dans ce
spectacle
magnifique que l’on vit paraître pour la première
Duchesses, enfin ce qu’il y avoit de Grands à la cour, figura dans ce
spectacle
. On avoit réuni à cette haute noblesse les danseu
, tout offrit dans ses détails et dans son ensemble, le plus brillant
spectacle
du monde. Louis quatorze n’y dansa point, et fut
; A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en
spectacle
aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un thé
l’antiquité ; ne sera-t-on pas étonné de voir dans les fêtes, et les
spectacles
pompeux de la cour, le costume le plus ridicule e
t les avantages que pouvait lui procurer le goût des Romains pour les
Spectacles
publics, et il fonda sur leur magie, la tranquill
des nouveautés heureuses produiraient un effet encore plus grand. Les
Spectacles
anciens sont pour le Public comme une vieille hab
, dans les cercles, dans les familles, dans les lieux publics, que du
spectacle
en vogue. Auguste pressentit ces effets. Il comme
utaient les suffrages des Romains, ceux-ci entraînés par le charme du
Spectacle
, le voyant avec assiduité et n’en sortant jamais
aux plaisirs de Rome. Il ne lui restait plus de liberté que dans ses
Spectacles
, et Auguste avait la barbarie de la lui ravir. Ce
s dire, une simple conjecture.1°. Le goût qu’Auguste témoigna pour le
Spectacle
nouveau de Pylade et de Bathylle parut si vif que
nvention. 2°. Presque tous les historiens s’accordent à dire, que les
spectacles
des pantomimes furent les principales causes de l
s pas, De marquer que la Tragédie, Où Balthazar perdit la Vie, Fut un
Spectacle
, Mercredi, Dont Maint, et Maint fut ébaudi, Qui,
Savoir au célèbre Collège Que l’on appelle de Clermont : Ou pareils
Spectacles
se font, Pour y rendre plus solennelle La Distrib
t du Temps, du Théâtre, N’agisse ni peu, ni prou là, Dedans ces beaux
Spectacles
là. 160. sic
dies, sans autre secours que celui de la symphonie et de la Danse. Ce
spectacle
nouveau fut reçu des Romains avec la plus grande
i se prétendait Philosophe, assista pour la première fois à un de ces
spectacles
. Frappé de la vérité de la représentation, il lai
t à Paris dans un cas semblable. La multitude discuta les Acteurs, le
spectacle
, le genre. On parla Musique sans la savoir, et on
, et pour éclairer la multitude. Ils publièrent qu’ils donneraient un
spectacle
tout à fait nouveau, et ils trouvèrent le moyen d
rage de Mars, la joie maligne des Dieux, qui accourent en foule à ce
spectacle
. L’assemblée entière enchantée applaudit. Le Cyni
Héros, qu’un Roi de Pont, qui voyait pour la première fois un pareil
spectacle
, suivit sans peine le fil de l’action, en fut cha
sur-intendant de la musique du Roi, pour y représenter ses opéras. Ce
spectacle
eût lieu pendant 90 années dans cette salle infor
cas de dire qu’à quelque chose malheur est bon ; car le retréci de ce
spectacle
enchainoit toutes les grandes idées et présentoit
iné avoit été construit sous le ministère de Mazarin, pour les grands
spectacles
qui se donnèrent au mariage de Louis XIV. Tous le
s hommes célébrés enfantèrent des ouvrages faits pour immortaliser ce
spectacle
magnifique et pompeux. Tout étoit sage et heureu
Quadrille [Article de Jaucourt] (B) Coryphée Coryphée, s. m. (
Spectacle
.) Les anciens nommaient ainsi le chef de la troup
stable, ses ressources, ses revenus, et le goût des Français pour ce
spectacle
, sont de grands moyens pour le porter à un point
Obstacles au Progrès de la Danse »] Doubler Doubler, v. act. (
Spectacle
.) pour prendre la place, ou pour tenir la place,
e d’acteurs, presque toujours inutiles, pour l’embellissement réel du
spectacle
. Les chœurs sont toujours sans action sur le théâ
qu’ils chantent. Voyez Chœurs. Mais l’expédient sûr et d’embellir le
spectacle
, et de donner du mouvement aux chœurs, est de met
lus distingués que ceux des chœurs, ajouteraient à la magnificence du
spectacle
, et cet ordre rendrait toutes les belles idées qu
re bien faibles à côté de l’autorité, du désir de l’embellissement du
spectacle
, et du besoin qu’on a toujours de former des suje
le, et du besoin qu’on a toujours de former des sujets. Voyez Double,
Spectacle
[Article de Jaucourt]. (B) Figurant, Figurante
Chapitre VII. Des
Spectacles
des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique
ine de leur établissement : on peut même le regarder comme le premier
spectacle
public qui ait paru chez les Grecs, puisqu’il éto
uplesses & d’agilitez très-surprenans ; ce qui rendit aussi leurs
spectacles
plus divertissans & plus estimables. Spon nou
nques ou Charlatans, pour vendre leur mithridat ; & sur la fin du
spectacle
, quelques-uns de leur troupe alloient faire la qu
e tems-là les hommes & les femmes un peu de mise n’alloient à ces
spectacles
qu’avec une espéce de honte. Pausanias rapporte a
is & l’Opéra s’étant toujours opposez à l’embellissement de leurs
spectacles
, les ont à la fin contraint de s’abonner avec eux
rgent, & préférerent, au grand regret de Térence, la nouveauté du
spectacle
des Danseurs de corde, à celui de sa Piéce. Il pl
rte encore qu’au tems de Néron, un Chevalier Romain parut à un de ces
spectacles
, monté sur un éléfant, qui marchoit en cadence su
seurs de corde étoient dans ce tems-là en quelque réputation pour les
spectacles
publics : les Empereurs Romains y assistoient aus
ré depuis ces tems-là, ayant toujours été regardez en France comme un
spectacle
puérile & convenable à la populace, si ce n’e
que l’art de la Danse puisse imaginer dans ce genre-là. J’étois à ce
spectacle
auprès d’un des plus fameux Danseurs de l’Opéra,
pour exprimer les passions. Les Danseurs de corde, pour rendre leurs
spectacles
plus complets, ont joint encore à leur troupe cel
des Danseurs de corde, dont les jeux furent regardez depuis comme un
spectacle
convenable à la populace ; ce qui a duré jusqu’à
ur celui des Comédies, qui font aujourd’hui le plus essentiel de leur
spectacle
, aussi ne voit-on plus de ces fameux Danseurs de
à Rome par les Pantomimes. Auguste se servit toujours utilement des
Spectacles
qu’il avait établis. Il avait prévu les troubles
décesseur dans l’établissement des théâtres de Danse. Il ne vit de ce
spectacle
, que le frivole, l’utile lui échappa. Auguste en
ue cette hardiesse ne montât bientôt jusqu’à sa Personne. À la fin du
spectacle
, les Acteurs ou irrités ou enorgueillis de la div
l’Empire. J’ai dit que Tibère n’avait aperçu que le côté frivole des
Spectacles
. Son Successeur n’en connut que la partie la plus
ais cet Empereur crut faire une action utile, en ôtant aux Romains un
Spectacle
que l’indécence avait rendu méprisable. Pline lou
s’était acquis sur l’esprit et le cœur de ses sujets, pour purger ce
Spectacle
de toutes les indécences qui le déshonoraient, po
pas des lettres » que danse Mlle Zambelli ne survient qu’à la fin du
spectacle
, quand l’attention du spectateur est lassée par m
on pourrait dire. Ne demandons à la pantomime que de fournir pour le
spectacle
de danse une armature solide mais très légère, et
our le spectacle de danse une armature solide mais très légère, et ce
spectacle
sera viable. Stendhal, adepte fervent de la panto
le mouvement sous le costume, l’essentiel sous l’accessoire. Mais un
spectacle
ne peut pas durer uniquement par son agencement d
is, sans que je raille, Relevèrent, encor, la Paille. 129. De quel
spectacle
s’agit-il ? D’un spectacle déjà représenté ou bie
evèrent, encor, la Paille. 129. De quel spectacle s’agit-il ? D’un
spectacle
déjà représenté ou bien de la répétition du futur
t vigoureux, l’autre d’un esprit vif et liant, formèrent le plan d’un
Spectacle
nouveau, qui frappa l’ami d’Auguste. Il affranchi
ncore dans le silence que cause une vive admiration, lorsqu’un second
spectacle
succéda au premier. C’est une action ingénieuse,
les peintures badines d’une bonne Comédie. Qu’on juge du charme d’un
Spectacle
de cette espèce. Surtout lorsqu’on saura que les
ue jour quelque nouveau moyen de perfectionner l’Art et d’embellir le
Spectacle
. Avant lui, quelques Flûtes composaient l’Orchest
ns. La Poésie Dramatique était de leur temps en possession des grands
Spectacles
. La Danse théâtrale s’en empara à son tour. Pylad
réponse, par celle qu’il a faite au misérable auteur, apologiste des
spectacles
. (tom. 7., p. 626.) « On dit qu’il faut bien trou
nd que, sans courir au théâtre, nous trouverons la nature si riche en
spectacles
divertissans ; et que d’ailleurs la Religion, et
le du peuple juif. (suprà, p. 161.) « Les Juifs, dit-il, n’avoient de
spectacles
pour se réjouir que leurs fêtes, leurs sacrifices
sur saint Matthieu. Le saint docteur y parle en ces termes contre les
spectacles
: (tom. 7, p. 424.) « Si vous voulez donner à vot
vous repentir, comme quand vous allez chercher les divertissemens des
spectacles
. De plus, vous avez une femme et des enfans ; si
lie de la plus grande sagesse. Voyant les Romains passionnés pour les
spectacles
, et entendant parler des plaisirs qu’ils y alloie
auroit la même vertu pour éloigner des danses, que pour éloigner des
spectacles
. C’est pourquoi je les propose d’après cet illust
danse) ne tient devant ce plaisir. S’il faut pour nous émouvoir, des
spectacles
, du sang répandu, de l’amour, que peut-on voir de
a Cour dit cela), La REINE pourra, sans obstacle, Voir l’incomparable
Spectacle
Que notre susdit SOUVERAIN ; De qui le Sort est s
pareil À ce magnifique Appareil. Je discours ainsi par avance De ce
spectacle
d’importance, Et par Prélude seulement ; Mais j’e
me Que j’ai ressenti dans moi-même, Revoyant, au Palais Royal Ce beau
Spectacle
sans égal, Car, laissant là, les flatteries, Ille
ens point, En vous répétant sur ce point, Qu’il est vrai que ce grand
Spectacle
, Qui faisait là, crier miracle ! Ce Beau Spectacl
vrai que ce grand Spectacle, Qui faisait là, crier miracle ! Ce Beau
Spectacle
tout royal, Est, encore, ici, sans égal. Mais,
ici, par tout, être ouïe, Aussi bien que la Symphonie, Et que tout ce
Spectacle
, enfin, S’y voit, aussi, de même, à plein. Une
e, qu’elle fait encore tous les jours par l’émulation qu’excitent les
spectacles
de l’Academie Roïale de Musique. Il ne faut pourt
ennent depuis près d’un siécle admirer nos Danses, se former dans nos
Spectacles
& dans nos Ecoles ; même il n’y a point de Co
des Spectateurs. On vit sur les Theatres de Paris ce nouveau genre de
spectacle
qui sous le nom d’Opera, n’avoit été connu jusqu’
ans peine & pour toûjours de l’Italie, par le charme de ces mêmes
spectacles
que Rome & Venise avoient inventez. Il ne se
ans les Bales de l’Opera, contribuerent beaucoup à la magnificence du
spectacle
. Mesdemoiselles de la Fontaine & Subligny qui
pas de deux dans un genre particulier, ne manque jamais d’embellir le
spectacle
, & d’attirer les applaudissemens du public. L
age de Madame Chrétienne de France avec le Duc de Savoie, on donna un
spectacle
de la première espèce. Le Gris de Lin en fut le s
e y étale les couleurs les plus vives : l’Amour frappé de ce brillant
spectacle
, après en avoir joui, se décide pour le Gris de L
a facilité de la suivre. La foule d’hommes bornés qui fréquentent nos
Spectacles
ne sauraient croire que ce qu’ils ont vu ; le par
comment Mécène qui était l’ami de Virgile, se serait-il contenté d’un
Spectacle
qui n’aurait pas été une imitation énergique de l
par la charlatanerie que celui que l’amour du plaisir entraîne à nos
Spectacles
; mais aussi n’en est-il point qui saisisse avec
it. Sous Auguste au contraire, il était parvenu au point de former un
Spectacle
, qui remplaçait ceux où l’on avait longtemps admi
es de façon que la déclamation suffît presque seule à la durée de son
spectacle
: trois quarts d’heure à peu près étaient occupés
s progrès, qu’on a imaginé des danses brillantes, que cette partie du
spectacle
s’est accrue ; depuis enfin que le ballet (genre
a eue en créant ce genre, est le germe des plus grandes beautés de ce
spectacle
. (Voyez Opéra [Article de Jaucourt]). C’est le th
une pièce de théâtre, soit qu’on remplisse cet espace de temps par un
spectacle
différent de la pièce, soit qu’on laisse cet espa
e temps aux acteurs de changer d’habits, et quelquefois d’allonger le
spectacle
; mais il n’en peut être jamais une partie nécess
Les Grecs avaient des entractes de chant et de danse dans tous leurs
spectacles
: il ne faut pas les en blâmer. L’art du théâtre,
omposé de quelques airs de violons qu’on n’écoute point. A l’opéra le
spectacle
va de suite ; l’entracte est une symphonie que l’
uption, et pendant laquelle la décoration change. Cette continuité de
spectacle
est favorable à l’illusion, et sans l’illusion il
able à l’illusion, et sans l’illusion il n’y a plus de charme dans un
spectacle
en musique. Voyez Illusion [Article de Diderot].
Jaucourt]. Les Italiens eux-mêmes, toujours amoureux et jaloux de ce
spectacle
, l’ont-ils jamais examiné? On avance ici une prop
pour combattre l’ennui presque continuel de plus de quatre heures de
spectacle
; et cette ressource est un défaut très grand du
mme un nouveau moyen de produire le merveilleux, seul vrai fond de ce
spectacle
. Voyez Merveilleux [Article non signé], Opéra [Ar
mage à la Vérité, la choisissent pour leur Souveraine et terminent ce
spectacle
par une Entrée générale qui exprime la joie la pl
. Je ne connais que ce seul Ballet qui ait été donné au Public, comme
Spectacle
, ailleurs que dans les Cours des Souverains. Tous
lleurs que dans les Cours des Souverains. Tous les autres ont été des
Spectacles
gratuits, qui ne servaient qu’aux divertissements
osé de Zamora, danseur-costumier, à la Comédie des Champs-Élysées. Ce
spectacle
m’a fait songer à ces mémorables présentations de
, malgré certains excès somptuaires qui d’ailleurs déparaient tout le
spectacle
, l’impression première fut littéralement saisissa
que, dans un très grand détail au sujet de cette brillante partie des
spectacles
des Grecs. Quelques auteurs ont prétendu que c’ét
la gloire et le repos des nations. Il forma seul alors un très grand
spectacle
, et d’une dépense immense, que dans les deux dern
e dans un détail fort grand des sujets qui sont propres à ce genre de
spectacle
: il semble que cet auteur ait prévu l’usage qu’o
ifférents réussir, et faire honneur à leurs différents inventeurs. Ce
spectacle
avait des règles particulières, et des parties es
s, l’autre pour faire apercevoir la marche théâtrale de ces sortes de
spectacles
. C’est du savant traité du P. Ménestrier Jésuite,
étale l’éclat des plus vives couleurs. L’Amour frappé de ce brillant
spectacle
, après l’avoir considéré, se décide pour le gris
n nomme le grand ballet. Par ce court détail, on voit que ce genre de
spectacle
réunissait toutes les parties qui peuvent faire é
genre : mais la cour de Savoie semble l’avoir emporté dans ces grands
spectacles
sur toutes les cours de l’Europe. Elle avait le f
r un trait de génie singulier avait d’abord senti le vrai genre de ce
spectacle
(Voyez Opéra [Article de Jaucourt]) n’avait pas e
nt avec rapidité, une foule d’objets piquants qui paraissent dans ces
spectacles
, forment un ensemble charmant, qui plaît égalemen
refois des ballets de chevaux qui faisaient partie de ces magnifiques
spectacles
. Pluvinel, un des écuyers du roi, en fit exécuter
es Ballets. Ballets de collège Ballets de collège, ce sont ces
spectacles
qu’on voit dans les collèges lors de la distribut
une entrée générale ; c’était le grand ballet en raccourci : Idée des
spectacles
anciens et nouveaux de l’abbé de Pure, imprimé à
plus haut degré de perfection. Il ne fut plus question à Rome que des
spectacles
de Pylade et de Batyle. Le premier, qui était né
se, les machines peuvent fournir de plus brillant, fut épuisé dans ce
spectacle
superbe ; la description qui en parut étonna l’Eu
oit pas eu honte, quoique prêtre et religieux, d’écrire en faveur des
spectacles
; et pour éluder l’autorité des anciens docteurs,
il prétendoit pareillement que les saints pères ne blâmoient dans les
spectacles
de leur temps, que l’idolâtrie et les scandaleuse
ères, que d’assurer, comme fait l’auteur, qu’ils ne blâment, dans les
spectacles
de leur temps, que l’idolâtrie et les scandaleuse
le sévère condamnation n’y trouvera-t-on pas de l’esprit qui mène aux
spectacles
, où, pour ne pas reconnoître tous les autres maux
ue les dangers et les maux que M. Bossuet fait remarquer ici dans les
spectacles
, se trouvent également dans les danses. Sa répons
ent dans les danses. Sa réponse frappe donc autant les danses que les
spectacles
; et elle trouve par conséquent très-bien sa plac
sur la construction d’une salle d’opéra. LA quantité de salles de
spectacles
détruites depuis 20 années par les incendies ; le
dans une grande ville est le rendez vous des citoyens pour y jouir du
spectacle
des arts, et se délasser de leurs travaux) fut co
r le progrès des arts qui concourent unanimement 0 la perfection d’un
spectacle
dont la nation Française se glorifiera toujours,
jusqu’au point central de ce cercle ne jouissent que de la moitié du
spectacle
; c’est-à-dire, que les loges de la droite ne voy
jouissances. Si l’on me consultoit sur la construction d’une salle de
spectacle
, je conseillerois dabord de ne point sacrifier au
e les cadres nous manquent ; ou qu’ils sont trop petits. Une salle de
spectacle
doit être exactement isolée. Il seroit à désirer
s accessoires, les troupes ou les comparses nécessaires à la pompe du
spectacle
. C’est alors qu’il n’y auroit ni tumulte ni confu
à la partie du théâtre. Il seroit fort utile que l’administration du
spectacle
de la république et des arts, eût huit hommes pri
parfaitement bien combiné tout ce qui étoit nécessaire à ce genre de
spectacle
; l’idée que l’on avoit conçue d’y transporter l’
tous genres qui concourent à ses plaisirs et à l’embellissement de ce
spectacle
. On feroit encore tous les quinze jours en présen
dire séparés par un mur de fer. Dans les beaux jours de l’été, les
spectacles
sont déserts ; on abandonne la magie des arts, po
ndue du théâtre est une chose de convenance. La nature et le genre de
spectacle
ainsi que le nombre des citoyens et des étrangers
t étranglé, et offre un libre passage à tous les sujets employés à ce
spectacle
; je ne renoncerai jamais à l’idée des deux parti
llité et â la facilité du service. J’ai déjà souhaité pour l’effet du
spectacle
, que le public ne pût appercevoir aucune lumière
tout ce qui tient au goût, à la commodité, à la sûreté des salles de
spectacles
. C’est au talent de l’artiste à tirer de tout ce
onneront point à Louis l’architecte d’avoir construit trois salles de
spectacles
, dont la dernière est aussi remplie de défauts qu
dix ou douze mille francs ; au reste, c est la nature et le genre de
spectacle
, la population et le nombre des citoyens qui doiv
ge le temple des arts. Dailleurs n’a-t-on pas toujours fait entrer le
spectacle
de 1’opéra dans la masse générale des dépenses du
er aux yeux du spectateur ces vilaines cordes, qui seules changent en
spectacle
ridicule le plus agréable merveilleux. Les chapel
ministration de la ville de Paris, chargée désormais de ce magnifique
spectacle
. Voyez Opéra [Article de Jaucourt] et Chapelet. L
eux [Article non signé]. (B) Décoration Décoration, (Opéra) ce
spectacle
est celui du merveilleux ; c’est là qu’il faut sa
détails clairs et raisonnés qu’il y fait de tout ce qui regarde leur
spectacle
, il est aisé de se convaincre de la connaissance
fonde de cette partie, trouvera mille moyens fréquents d’embellir son
spectacle
, d’occuper les yeux du spectateur, de préparer l’
rbres arrachés par la fureur des vents. Il le distraira ensuite de ce
spectacle
par celui d’un temple auguste : toutes les partie
dans l’étude des différents arts nécessaires à l’ensemble de pareils
spectacles
, ne trouve à produire en machines et en décoratio
e plusieurs inconvénients, et ôte une partie du plaisir que ferait le
spectacle
. 1°. Les cordes d’un changement à l’autre sont je
rties de cette espèce trop négligées, diminuent beaucoup le charme du
spectacle
; mieux soignées, elles le rendraient infiniment
à la Comédie des Champs-Élysées viennent de présenter au public deux
spectacles
nettement antithétiques : les danses dans le sile
la belle tenue, discrète et grave, a conféré une noblesse réelle à un
spectacle
fort mince quant au fond, l’une de ces jeunes fil
faisait de Mlle Vronska. Je l’ai revue depuis, au cours d’un charmant
spectacle
donné au Cercle Interallié. Sur le plateau exigu
ites danses. Je suis en retard pour les comptes rendus de plusieurs
spectacles
de danse ; il sied donc que je liquide cette obli
tte obligation sans délai. Au Salon d’Automne M. Malkovsky a donné un
spectacle
auquel il applique la définition tant soit peu pa
e je n’ai pas encore pu voir, celle aussi d’un audacieux et attrayant
spectacle
de danse qu’on vient d’inaugurer au dancing du Mo
[Première partie] [1] Le
Spectacle
que je présente au Public est un Ballet Pantomime
e de danser la « Danse Italique ». Elle embrassait tous les genres de
Spectacles
, et jouait la Tragédie, la Comédie, la Satire et
terrible ainsi que par l’agréable ; la variété qu’on demande dans les
Spectacles
exige que nous traitions alternativement les deux
moyens : nous manquons de tout ce qui serait nécessaire pour de tels
Spectacles
.
Lettre VIII. E n vous parlant, Monsieur, des
spectacles
des anciens, ce sera vous conduire dans un labiri
e nature étoit cette pierre, et à quelle espèce elle appartenoit. Les
spectacles
pantomimes ne s’établirent à Rome qu’après la mor
rler ailleurs de Batyle et de Pylade, créateurs d’un nouveau genre de
spectacles
, qui remplaça la tragédie et la comédie ; je me c
de Louis quatorze. L’antique Rome ainsi que la nouvelle, privoit ses
spectacles
des objets les plus intéressants et les plus dign
t-il jouir des grands effets que lui offrent les tableaux variés d’un
spectacle
tel que celui de l’opéra, si on ne levoit jamais
imposant, dans le cadre grandiose établi par Bakst pour le mémorable
spectacle
de Londres. On nous en donne un fragment importan
, où il y a de vieilles choses de toute beauté (on en jugera quand le
spectacle
sera tout à fait au point) et quelques inventions
i n’est pas arrivé jeudi) un développé à la quatrième ouverte, est un
spectacle
rare ; L’Oiseau bleu, qu’on connaissait, d’ailleu
une composition dramatique, qui pour la forme ressemble en partie aux
Spectacles
des Anciens, et qui pour le fond a un caractère p
s, et supposons pour un moment que nous n’avons jamais ouï parler des
Spectacles
de France, d’Italie, de Rome et d’Athènes. Dépoui
rhapsodies des temps gothiques ; comme il est cependant le seul grand
Spectacle
d’une Nation vive, délicate et sensible, il n’est
n est saillante, les Chanteurs du plus rare talent l’exécutent, et ce
Spectacle
n’a qu’un temps125. Dans les plus grandes Villes
es beautés. C’est sous ce premier aspect que s’offrit à son esprit un
Spectacle
Français de Chant et de Danse. D’abord le merveil
ien mille tableaux variés, et la matière inépuisable du plus brillant
Spectacle
. [Voir Féerie] Le langage musical si analogue à l
e la Magie ; et les grands Ballets qui étaient depuis si longtemps le
spectacle
à la mode, lui fournissaient trop de preuves jour
sa musique y est plus musique et plus elle-même qu’à la scène, où le
spectacle
la corrompt. Parsifal, cette messe sublime, pour
les voix invisibles faisant entendre les sentiments et les âmes, quel
spectacle
ce pourrait être.
corps, un esprit, un visage. Boileau, Art poétique. L’origine des
spectacles
en France, et ce qu’on pourrait appeler la naissa
ines et de décorations. » Nos pères aimaient à dire que c’était là un
spectacle
universel, où chacun trouvait à s’amuser dans le
rs à le regarder comme le plus beau et le plus magnifique de tous les
spectacles
qu’a imaginés et qu’imaginera l’esprit humain. A
ces louanges, d’autres critiques étaient bien éloignés de regarder ce
spectacle
comme l’assemblage ou l’abrégé de toutes les perf
gardé comme le plus brillant et souvent comme le plus agréable de nos
spectacles
. L’antiquité connaissait l’opéra. Les fêtes publi
de plusieurs autres grands maîtres. On témoigna tant de goût pour ce
spectacle
, que, depuis 1637, date de l’introduction de l’op
Mais ils prennent soin d’ajouter qu’on ne peut pas encore donner à ce
spectacle
le nom d’opéra, qui n’était pas connu dans ce roy
s sonnets à ce sujet. Les critiques du temps s’expriment ainsi : « Ce
spectacle
ne surprit pas moins par sa nouveauté que par la
teau de Neubourg, en Normandie, la Toison d’or, avec un grand luxe de
spectacle
. Sur ces entrefaites, le cardinal Mazarin, le pro
es. Perrin n’abandonna pas son projet de l’établissement public de ce
spectacle
. Le 28 juin 1669, il obtint des lettres-patentes,
’édilité romaine, qui confiait aux magistrats de la ville le soin des
spectacles
publics. On s’occupa de régler les attributions e
e, les 15 août et 8 septembre, 1er novembre, 8, 24 et 25 décembre. Le
spectacle
commençait à cinq heures un quart. Deux dernières
l’Opéra. On ne tolérait d’autres exceptions à ces règles que pour les
spectacles
devant le roi, et ceux qui avaient lieu pendant l
ion publique. Son étendue, ses ressources, la pompe et le luxe de son
spectacle
, l’impression que pouvait produire son exécution
cteurs de l’Opéra, dont les noms ne rappelaient, selon l’Almanach des
Spectacles
pour l’année 1794, que des despotes ou de vils co
emblable devait être fondé dans toutes les communes où il y avait des
spectacles
. On proposa pour ces théâtres un répertoire dans
de Rémusat, premier chambellan de l’empereur, nommé surintendant des
spectacles
. Il ne faut pas croire que l’Empire fût une époqu
tes de l’Opéra s’élevèrent à 660,327 fr. ; l’Empereur dépensa pour ce
spectacle
1,027,676 fr. Il est vrai que l’Opéra marchait à
cette Muette de Portici, qui à elle seule, par l’entraînement de son
spectacle
, fit la révolution de Belgique4 et les débuts de
ne, ni sympathie ni racine ; l’Opéra n’était pas le plus suivi de nos
spectacles
; mais, assurément, c’en était toujours le plus b
lus brillant. La restauration ne parvint jamais à faire de l’Opéra un
spectacle
populaire. Le luxe y régnait ; on y avait appelé
vemens politiques qui laissaient peu de loisir à la fréquentation des
spectacles
. En 1829, les dépenses furent de 1,770,103 fr. ;
rve aux jeunes talens, tantôt par le soin qu’il apporte à publier les
spectacles
de l’Opéra, tantôt par sa générosité envers les a
s représentations du dimanche, tantôt par le charme et la richesse du
spectacle
, et enfin par l’habileté avec laquelle il a su pr
meilleurs ouvrages de l’ancien répertoire, ont tenu jusqu’à la fin le
spectacle
rempli. Jamais l’Opéra, le pays des miracles, n’a
, l’Opéra a dépensé plus de 100,000 fr., et Paris a joui du plus beau
spectacle
du monde7. Maintenant l’Opéra est le plus fréque
oient à toutes les rampes. L’égalité règne à l’Opéra, et peut-être le
spectacle
d’un tel public offre-t-il autant d’attraits que
royez-moi. Cependant, les répétitions générales de l’Opéra offrent un
spectacle
tout émaillé de ravissantes : bigarrures. La sall
is, menace aussi l’empyrée de l’Opéra. Tous les soirs, à la sortie du
spectacle
, vous verrez une foule de jeunes gens dont l’amou
n a suivi les erremens du Dieu et la bayadère. La danse, le chant, le
spectacle
et les décors se mêlent intimement et se confonde
ine, on peut concevoir. À commencer, donc, par la Salle Où ce grand
Spectacle
s’étale, C’est un Vaisseau large, & profond,
ue, ces Airs, Et cent autres Charmes divers, Qui font passer ce grand
Spectacle
, Quoi qu’un simple Essai, pour Miracle. À la Mu
, par telle persévérance Combler la Gloire de la France, Où ces rares
Spectacles
-ci, Ne s’étaient point vus jusqu’ici. Il ne fau
tait-elle interposée entre notre vision intérieure et les réalités du
spectacle
! Et maintenant que vous êtes là, j’hésite à repr
ette délicieuse et déchirante tristesse que nous cause malgré nous le
spectacle
d’un être de grâce mêlé aux décevantes et amères
comédie, (tom. 7, p. 643.) s’applique à montrer que l’assistance aux
spectacles
, défendue en tout temps, l’est encore plus les jo
lus les jours de dimanches et de fêtes. Et comme ce qu’il dit sur les
spectacles
est également applicable aux danses, je crois dev
is devoir rapporter ses propres paroles en substituant les danses aux
spectacles
. « En vérité, dit-il, on pousse trop loin la lice
es termes de l’Ecriture, la musique doit être importune, et auquel le
spectacle
et la comédie paroissent peu propres, et doivent,
ne faut pas s’étonner que durant ce temps on défende spécialement les
spectacles
, quand ils seroient innocens. On voit bien que ce
sive ou déraisonnable, saint Thomas l’appuie de cette raison, que ces
spectacles
et ces exercices empêchent la récollection des pé
doctrine des saints. » Est-il plus aisé d’allier les danses que les
spectacles
avec l’esprit de récollection et de componction,
cipalement composées. Elles soulevèrent presque tous les danseurs des
spectacles
de l’Europe, et notamment ceux de l’opéra de Pari
rs des spectacles de l’Europe, et notamment ceux de l’opéra de Paris,
spectacle
qui étoit, qui est, et qui sera long-temps le pre
au costume à la pompe et à la variété des ballets ; et la danse de ce
spectacle
, qui, quoique susceptible encore de perfection, e
jose le dire, plus en harmonie avec l’ensemble des sensations que le
spectacle
produit. Je ne pense pas que cette idée soit pû
Mes idées ne s’arreterent pas là. La pantomime étant plus encore le
spectacle
des yeux que celui des oreilles, je conçus qu’ell
sujet, elles formèrent les dernières entrées qui terminèrent ce beau
spectacle
. Tels étaient les Ballets Moraux ; ils devaient l
fournissaient à la Danse, puisqu’elle en était l’âme et le fond. Ces
Spectacles
au surplus réunissaient toutes les parties, qui p
t coûté à conquérir. Sully, le grave Sully98, était l’ordonnateur des
Spectacles
qui amusaient ce bon Prince ; mais il les lui off
… l’Arsenal était toujours l’endroit où s’exécutaient ces Jeux et ces
Spectacles
qui demandaient quelque préparation… J’avais fait
Chapitre IV. Vices du grand Ballet Le grand Ballet est un
spectacle
de Danse. Les vers qui exposent le sujet, les mac
, languissant. Il n’est donc pas possible de faire du grand Ballet un
Spectacle
susceptible de l’intérêt théâtral ; parce que cet
sur quatre à cinq de longueur. C’étoit là que se trouvoit la porte du
spectacle
ressemblant parfaitement a celle d’une prison. La
m répondait à tout le reste. Les décorations réparoient le noir de ce
spectacle
. Le célèbre Servandoni en fit de magnifiques. Ce
éra n’est fait que pour les yeux & les oreilles ; il est moins le
Spectacle
du cœur & de la raison, que celui de la varié
erveilleux traîne après lui. Je dirai simplement que la Danse dans ce
Spectacle
devroit être placée dans un jour plus avantageux
naît de l’entêtement des Poëtes ou de leur maladresse, la Danse à ce
Spectacle
ne tient à rien & ne dit rien ; elle est dans
anes ceux qui n’adoptent point avec bonhommie les vieilles loix de ce
Spectacle
, & les anciennes rubriques auxquelles ils son
connoître & de se consulter s’évitent scrupuleusement. Comment un
Spectacle
aussi composé que celui de l’Opéra peut-il réussi
disparate blessera toujours ceux que le plaisir de sentir conduit au
Spectacle
, car elle ne peut n’être pas apperçue que par les
ra agissent de concert, & se prêtent mutuellement des secours, ce
Spectacle
alors aura le plus grand succès ; les talents réu
ls & de beautés différentes que l’Opéra. J’ai toujours regardé ce
Spectacle
comme un grand Tableau qui doit offrir le merveil
qu’elles ne sont pas rendues avec exactitude & avec précision. Ce
Spectacle
ne peut donc souffrir de médiocrité, il ne séduit
edes propres à la guérison. J’ai dit que la plupart des Ballets de ce
Spectacle
étoient froids, quoique bien dessinés & bien
pour but. Voyons ce que fait habituellement le Maître de Ballets à ce
Spectacle
, & examinons l’ouvrage qu’on lui distribue. O
idicules. Enfin, Monsieur, l’Opéra est, si j’ose m’exprimer ainsi, le
Spectacle
des singes. L’homme s’évite, il craint de se mont
s de l’Olympe. Les habits & les caracteres étant sans nombre à ce
Spectacle
, je souhaiterois que la Danse ne fût pas toujours
gal dans toutes les parties de l’Opéra ; il préside en Souverain à ce
Spectacle
. Grec, Romain, Berger, Chasseur, Guerrier, Faune,
tte Lettre par une réflexion qui me paroît bien simple. La Danse à ce
Spectacle
a trop de caracteres idéaux, trop de personnages
nfiance augmente. Le cœur & l’esprit ne sont jamais la dupe de ce
Spectacle
; il est rare, pour ne pas dire impossible, que l
notre belle Cour Française : Et j’ay su de Gens plus de seize, Que ce
Spectacle
si brillant, Si beau, si pompeux, si galant, Etai
e nous a fourni l’Italie, Pour travailler, en bel arroi, À ces grands
Spectacles
de Roi, Avait de ses savantes Veilles, Tirés les
est pas seulement au Théâtre, que la Danse a formé le fond d’un grand
Spectacle
. Des Fêtes consacrées par la piété, autorisées pa
, dont l’appareil, la pompe, la magnificence ne le cèdent en rien aux
Spectacles
que nous venons de décrire. La première idée leur
x contre la Ville ; la Ville contre le Cheval ; et l’un de plus beaux
spectacles
fut la décharge de dix-huit Arbres tous chargés d
nt l’amour des grands, et fixèrent sur eux l’engouement du peuple. Ce
spectacle
neuf qui lit tourner toutes les têtes Romaines éx
ompenses. Mais malgré l’amour apparent qu’Auguste témoignoit pour ces
spectacles
, il usa envers Hilas et Pylade de cette sévérité
aux citoyens la seule jouissance, qu’il leur avoit laissée, celle des
spectacles
. Tous ces propos échauffèrent les esprits, et les
x productions des arts ; les théatres n’eurent plus de modèles et les
spectacles
n’offrirent que les tableaux dégoûtants de la cra
outinrent jusqu’au règne de Trajau, mais cet Empereur envisageant les
spectacles
pantomines comme une école ouverte à l’indécence,
Robinet, lettre du 14 juillet 1668100 Le
Spectacle
superbe et rare Qui dans Versailles se prépare Es
ché, Dans ma pénultième Epître, Où j’en fis un fort long Chapitre, Ce
spectacle
, plein de beautez, Est, encor, de Leurs Majestez,
n’est guéres fait que pour les yeux et les oreilles ; il est moins le
spectacle
du cœur et de la raison, que celui de la variété
erveilleux traine après lui. Je dirai simplement que la danse dans ce
spectacle
devroit être placée dans un jour plus avantageux
es poètes, ou de la mal-adresse des maitres de ballets, la danse à ce
spectacle
ne tient à rien et ne dit rien ; elle est dans mi
rans ceux qui n’adoptent point avec bonhommie les vieilles lois de ce
spectacle
, et les anciennes rubriques aux quelles ils sont
e connoître et de se consulter, s’évitent scrupuleusement. Comment un
spectacle
aussi composé que celui de l’opéra peut-il réussi
disparate blessera toujours ceux que le plaisir de sentir conduit au
spectacle
; car elle peut n’être pas apperçue par les origi
’opéra agissent de concert et se prêtent mutuellement des secours, ce
spectacle
alors aura le plus grand succès. Les talens réuni
orsqu’elles ne sont pas rendues avec exactitude et avec précision. Ce
spectacle
ne peut donc souffrir de médiocrité ; il ne sédui
es propres à la guérison. J’ai dit que la plupart des ballets de ce
spectacle
étoient froids, quoique bien dessinés et bien exé
pour but. Voyons ce que fait habituellement le maître de ballets à ce
spectacle
, et examinons l’ouvrage qu’on lui distribue. On l
idicules. Enfin, Monsieur, l’opéra est, si j’ose m’exprimer ainsi, le
spectacle
des singes. L’homme s’évite ; il craint de se mon
ités de l’Olimpe. Les habits et les caractères étant sans nombre à ce
spectacle
, je souhaiterois que la danse ne fut pas toujours
gal dans toutes les parties de l’opéra ; il préside en souverain à ce
spectacle
. Grec, Romain, Berger, Chasseur, Guerrier, Faune,
tte lettre par une réflexion qui me paroît bien simple. La danse à ce
spectacle
à trop de caractères idéaux, trop de personnes ch
confiance augmente. Le cœur et l’esprit ne sont jamais la dupe de ce
spectacle
; il est rare, pour ne pas dire impossible, que l
« Ballets russes » : La Belle au Bois Dormant, par André Levinson
Spectacle
émouvant entre tous que la première de La Belle a
elle au Bois dormant n’est aucunement une évocation rétrospective, un
spectacle
historique péniblement déchiffré par l’érudition,
pa avaient conservé leur éclat primitif, il n’en était pas de même du
spectacle
dans son ensemble qui avait sensiblement périclit
gisseur Serguéev et surtout sur les souvenirs des exécutants. Pour le
spectacle
et sa magie tout était à refaire. Léon Bakst en f
tableaux frappants, de situations fortes, il n’offre plus alors qu’un
spectacle
froid et monotone. Ce genre de composition ne peu
on exposition, son nœud et son dénouement. La réussite de ce genre de
spectacle
dépend en partie du bon choix des sujets et de le
paroit froid et monotone, son ballet ne fera aucune sensation. Si le
spectacle
de M. Servandoni ne réussissoit pas, ce n’étoit p
’elles peuvent conduire à la perfection de leur art. Mentor, dans un
spectacle
de danse, peut et doit agir en dansant ; cela ne
ieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. Avant-propos. Le
spectacle
héroïque de l’ancienne chevalerie formera toujour
Le spectacle héroïque de l’ancienne chevalerie formera toujours un
spectacle
intéressant, lorsqu’il sera présenté à une nation
ine ; quels effets ne dut pas produire sur une noblesse guerrière, le
spectacle
magnifique des Tournois ? ils furent adoptés dans
mpose, et fait naître le trouble et l’espérance, ajoute à la pompe du
spectacle
. Adèle le rend surtout intéressant : soutenue dan
tableaux frappants, de situations fortes, il n’offre plus alors qu’un
Spectacle
froid & monotone. Ce genre de composition ne
exposition, son nœud & son dénouement. La réussite de ce genre de
Spectacle
dépend en partie du bon choix des sujets & de
paroît froid & monotone, son Ballet ne fera aucune sensation. Le
Spectacle
de M. Servandoni ne réussissoit pas faute de gest
u’elles peuvent conduire à la perfection de leur Art. Mentor, dans un
spectacle
de Danse, peut & doit agir en dansant ; cela
cre à Reims en 1722, le mariage de S. M. en 1725, etc. C’est un doux
spectacle
pour un peuple aussi tendrement attaché à son Roi
u’ils offrirent au jeune duc en exécutant des ballets de triomphe. Un
spectacle
magnifique succéda à cette entrée pittoresque. On
i lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des Romains. Ce
spectacle
disparut, et il se forma un grand ballet composé
nses de différents caractères. Ce repas extraordinaire fut suivi d’un
spectacle
encore plus singulier. Orphée en fit l’ouverture
ets »,] pag. 2 , et les articles Ballet, Opéra [Article de Jaucourt],
Spectacles
[Article de Jaucourt]. On aperçut dès-lors que da
tous les événements heureux ou glorieux, pouvaient donner lieu à des
spectacles
nouveaux, à des divertissements inconnus, à des f
x contre la ville, la ville contre le cheval ; et l’un des plus beaux
spectacles
fut la décharge de dix-huit arbres tous chargés d
ballet devant le roi, et qui formaient par cet arrangement un premier
spectacle
pour le peuple, dont la foule ne saurait à la vér
nissant la Grande-Bretagne au reste de la terre4 était le sujet de ce
spectacle
. Le théâtre représentait le globe du monde : la v
, par le détail où on est entré, que le point capital dans ces grands
spectacles
, est d’y répandre la joie, la magnificence, l’ima
démêlé sans peine dans les fêtes de Londres, que les préparatifs des
spectacles
qu’on donna à la cour, furent presque tous offert
ésentaient dans le ballet les naïades et les néréides, terminèrent ce
spectacle
par des présents ingénieux qu’elles offrirent aux
joie basse, pire cent fois que la tristesse. Presque tous les grands
spectacles
de ce temps, qui étaient les seuls amusements du
à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Ce
spectacle
eut toutes les grâces de la nouveauté ; l’exécuti
Beaux-Arts. Soit que l’esprit se fût développé par la continuité des
spectacles
publics, qui furent, et qui seront toujours un am
oses aimables, qui est si naturel à sa nation, il est certain que les
spectacles
, les plaisirs, pendant son ministère, n’eurent pl
. On y représenta le magnifique Ballet de Cassandre. C’est le premier
spectacle
où Louis XIV parut sur le théâtre : il n’avait al
e, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en
spectacle
aux Romains. On ne s’attachera point à rapporter
i gouvernaient sous ses yeux une nation heureuse. Que ces magnifiques
spectacles
doivent charmer un bon citoyen, quand ils lui off
rand manège la plus belle, la plus élégante, la plus commode salle de
spectacle
, dont la France eût encore joui. Le théâtre était
re incroyable de spectateurs qui s’empressèrent d’accourir aux divers
spectacles
qu’on y donna pendant tout l’hiver. C’est là qu’o
pour l’ordinaire toutes les espèces connues. L’idée vaste d’un pareil
spectacle
, ne pouvait naître que dans l’esprit d’un homme c
ibilité d’une pareille entreprise pour l’avenir. La nouvelle salle de
spectacle
, construite avec la rapidité la plus surprenante,
es plus sombres tous les charmes des plus beaux jours. Voyez Salle de
spectacle
[Article non rédigé], Illumination [Article non r
sse adopter, furent entremêlés avec choix dans le cours de ce superbe
spectacle
. Aussi vit-on Zulisca amuser le roi, plaire à la
de Navarre, Le Temple de la Gloire, et Jupiter vainqueur des Titans,
spectacle
magnifique, digne en tout de l’auteur ingénieux e
c d’Aumont, et Zulisca, dont nous avons parlé, couronna la beauté des
spectacles
de l’hiver 1746. On a détaillé l’année 1747. Les
e, furent, 1°. celle qui d’un coup d’œil changeait une belle salle de
spectacle
en une magnifique salle de bal : 2°. celle qui se
M. le duc d’Aumont avait choisi pour servir de théâtre aux différents
spectacles
qu’il avait projetés, le terrain le plus vaste du
e l’amour national et la curiosité naturelle font, courir à ces beaux
spectacles
. La pièce immense des Suisses était le premier lo
ifique opéra, qui, au moment de l’arrivée du roi, aurait commencé son
spectacle
. Au sortir du grand théâtre, la cour aurait suivi
à toutes les dames et à tous les seigneurs de la cour. Le magnifique
spectacle
de ce séjour, après qu’on aurait remonté le grand
s plaisirs. M. le duc d’Aumont fut chargé en 1754 des préparatifs des
spectacles
. Le théâtre de Fontainebleau fut repris sous œuvr
ateur de la trempe de celui-ci, les riantes idées des plus singuliers
spectacles
. Voici celles qu’il déploya aux yeux les plus dig
position entre le temple et le Pont-Royal, et tout-à-coup on jouit du
spectacle
de divers combats des uns contre les autres. Ces
bordent des deux côtés les quais superbes qui servaient de cadre à ce
spectacle
éclatant, le Pont-Royal et le Pont-Neuf, les écha
rtillerie, le son éclatant des trompettes, annoncèrent tout-à-coup un
spectacle
nouveau. On vit s’élancer dans les airs de chaque
ans de petits bateaux, mais qui paraissaient sortir de la rivière. Ce
spectacle
des cascades, dont le signal avait été donné par
int de l’exécution. C’est à l’hôtel de Conti que devait être donné le
spectacle
le plus ingénieux, le plus noble, le moins ressem
ntrant par la principale porte de l’Hôtel-de-ville, trouva un nouveau
spectacle
: c’était un palais de l’Hymen illuminé. Dans le
rès le souper de Madame la Dauphine, il y eut un bal dans la salle de
spectacle
; et comme cette salle fait partie de l’Hôtel-de-
exercices, au son des violons et des hautbois : dans les vides de ce
spectacle
, les trompettes-marines et les cors de chasse se
s. Enfin le Roi, après avoir été longtemps diverti par la variété des
spectacles
et des amusements de la foire, entra dans la bout
e les cacher, semblait encore les embellir, fit préparer en secret le
spectacle
élégant dont elle voulait surprendre la Reine. Ai
sépare le labyrinthe de l’île d’amour : on y avait formé une salle de
spectacle
de toute la largeur de l’allée, et d’une longueur
i cherché à les connaître qu’autant qu’ils m’ont paru liés aux grands
spectacles
que les rois, les villes, les provinces, etc. off
c. mais encore de combiner toutes ces parties avec le plan général du
spectacle
que la décoration indique. Cette loi primitive fa
urs voulu atteindre. Il est dans la nature de la chose même, que tout
spectacle
représente quelque chose : or on ne représente ri
coupures. Il faut peindre dans tous les Arts ; et dans ce qu’on nomme
spectacle
, il faut peindre par les actions. Les exemples de
cette grande image, l’attaque, le combat, la chute ; peignez-vous le
spectacle
magnifique de ce moment de triomphe des bons ange
en foule de ce grand sujet. Mais il faudrait donc employer à tous ces
spectacles
des machines? Et pourquoi non? A quoi destinera-t
ement à la scène principale ; il fut comme le centre de la fête et du
spectacle
. Le 24 Janvier 1730, à 6 heures du soir, les illu
us grande célérité, et la surface de la rivière offrit tout-à-coup un
spectacle
enchanteur ; c’était un vaste jardin de l’un à l’
u haut de ces tours que commença une partie de l’artifice de ce grand
spectacle
, après que le signal en eut été donné par une déc
ices, soleils fixes et tournants, gerbes, etc. après quoi commença le
spectacle
d’un combat sur la rivière, dans les intervalles
formes, comme de serpents, etc. Pour troisième acte de cet agréable
spectacle
, on fit partir d’abord du bas des deux montagnes,
dant le Règne de Louis XIII pour une multitude presque innombrable de
Spectacles
dont elle ne fut pas plus égayée, et qui ne jetèr
llet devant le Roi, et dont on formait par cet arrangement un premier
spectacle
pour le Peuple, dont la foule ne saurait, à la vé
sant la Grande-Bretagne au reste de la Terre 115 était le sujet de ce
spectacle
. Le Théâtre représentait le globe du monde. La vé
uta en 1704, et demanda sa retraite en 1730, elle fit le charme de ce
spectacle
pendant vingt cinq années. Si l’on doit juger de
roissoit plus à l’opéra en 1745, époque où je commençai fréquenter ce
spectacle
: mais je la vis souvent chez elle. Quoiqu’elle e
ais l’aisance, la prestesse et la gaieté la remplaçoient ; et dans un
spectacle
où tout étoit triste, traînant et langoureux, il
e ces règles, on pourra donner, je l’avoue, de grands, de magnifiques
Spectacles
; mais c’est justement alors qu’on tombera dans l
ot des Polichinelle, des Scaramouche, personnages célèbres de pareils
spectacles
consacrés communément aux tréteaux. Je ne dis pas
tte force, et de cette vérité éloquente qu’emploie la nature dans ses
spectacles
réels. 40La Danse Pantomime-tragique est par con
ause. Quant à moi, content de lui avoir donné un essai de ce genre de
spectacles
, en qualité de compositeur, s’il daigne applaudir
les talents ne manqueront pas de tourner en plaisanterie ce genre de
spectacles
. Mais si le Public judicieux et instruit, applaud
it cette vérité par un pas de joie noble et vive qui termina ce grand
spectacle
. C’est par cette galanterie ingénieuse que le Car
se perdit dans les airs. C’est par ce vol que fut terminé ce bizarre
Spectacle
. « Quand je considère (dit un auteur112 qui avai
cence perdue, et pas la moindre étincelle de goût. On fit servir à ce
spectacle
les débris des décorations, des habits, des machi
nouvelle dans Paris firent comprendre à la Cour et à la Ville que les
Spectacles
publics, vus jusqu’alors avec assez d’indifférenc
t plus particulier qu’il prenait à son succès notre première Salle de
Spectacle
un peu régulière. C’est celle où on représente au
n’était pas assez vaste pour pressentir comme Auguste, l’utilité des
Spectacles
publics. Ses vues restèrent resserrées dans le ce
s mêmes tentatives que le Cardinal Riari avait faites à Rome pour les
Spectacles
en général. Baïf était sans protecteurs, sans for
un peu éblouis et prenons, en toute humilité, notre part de joie à ce
spectacle
rare. Nous verrons se manifester un style figé, i
alors, tout cela aura été « inutile beauté » ? Que nous reste-t-il du
spectacle
cambodgien au Pré-Catelan, en 1906 ? Quelques des
t maintenant elle s’égaie, AU CHÂTEAU SAINT GERMAIN EN LAYE, Dans son
Spectacle
très charmant, Composé magnifiquement De ravissan
ci, qui pense s’y connaître, Dit que l’artifice en surprend Et que le
Spectacle
en est grand. Dansez, SEIGNEUR, dansez, menez joy
la Religion, à l’Astronomie & à l’art de la Guerre, plutôt qu’aux
spectacles
& aux fêtes publiques ; mais elle doit sa per
nion des Grecs, qu’un génie heureux, avec quelques principes pour les
Spectacles
, peut réussir sans posseder toutes ces Sciences,
anques & des boufons ; & ce fut pour purger le Théâtre de ces
spectacles
indécens, que les Grecs eurent recours aux Balets
ts représentez dans les Cours de l’Europe, depuis la restauration des
spectacles
environ l’an 1450, jusqu’en 1723. Balet des prosp
nt dans les places publiques, avec autant d’ordre que de méthode : ce
spectacle
étoit en vénération parmi cette nation. Stace &am
n avoit fait la dépense, rien ne fut épargné pour l’embellissement du
spectacle
, pour les machines, les décorations, & la mag
la Déesse de la verité, pour orner son temple ; ce qui finit ce beau
spectacle
. On ne peut disconvenir qu’il n’y ait beaucoup de
a composition d’un Balet, je veux pour servir de contraste à ce grand
spectacle
, rapporter ici le Balet qui fut dansé à la Cour d
tabac des Indiens & s’en servoient diversement : ils finirent le
spectacle
. Ainsi je ne doute pas que sur l’idée du Balet du
en 1657, M. Clement, homme fort entendu pour les représentations des
spectacles
, fit le Balet de la nuit, qui a passé pour l’un d
n mêlent sont assez profonds pour employer tout ce qui convient à ces
spectacles
. Au Palais du grand Duc de Toscane, il se fait to
Je fus vraiment sollicité Par une obligeante BEAUTÉ De demeurer à ce
Spectacle
; Mais, par un malheureux Obstacle, Ayant des Aff
ementaire, mais pourtant agréable de Faust et de Suite de danses. Les
spectacles
récents nous ont permis de nous documenter plus a
le paraisse, Mlle Lorcia la remplit bien. J’ai assisté récemment à un
spectacle
où, par les hasards du fameux tour de liste, Mlle
endant ce temps, Le Ciel rendre vos vœux contents, Et permette que ce
spectacle
Vous puisse ravir, à miracle.
miré que jamais, Etant abondant en miracles, Et l’un des plus pompeux
spectacles
, Qui dans mille effets éclatants, Ait paru depuis
parut une enchanterie. Je dois être, à mon tour, Mardi, De ce grand
Spectacle
, ébaudi : Et puis, je ne faudrai d’en mettre Un p
elèrent un troisième qui devait nécessairement augmenter le charme du
Spectacle
. La Danse qu’on employait partout, ne manquait qu
t languissante. Devenue en France une partie essentielle d’un nouveau
spectacle
, que les Romains auraient jugé digne de leur magn
de laisser la danse oisive, dans le plan ingénieux et raisonné de son
Spectacle
. Je trouve, dans ses compositions, l’indication é
et de la machine. Dans chacun de ses Opéras, on trouve des moyens de
Spectacle
, dont jusqu’ici il semble qu’on ne se soit point
u fatras des accessoires. Ce n’est pas là un « sketch », un abrégé de
spectacle
qu’on bâcle nonchalamment. Seulement tout ce qui
c’est la partie la plus complète, la plus heureuse, de ce passionnant
spectacle
. Le motif comique de la poupée désarticulée est e
e se portant avec puissance sur le genou plié. Vous avez vu, dans les
spectacles
lyriques, s’affronter sans se confondre, deux rac
mes. Mais notre tradition comporte une lacune, nous manquons, pour le
spectacle
de danse d’un langage mimique, car la pantomime c
T GERMAIN vient de me rapporter Que l’on vous y prépare un assez doux
spectacle
, Et, cela supposé, ce n’est pas grand miracle Que
re, seulement, Est construit si superbement, Qu’on ne saurait voir ce
spectacle
Sans, tout soudain, crier miracle. Or, argent, az
tière, Qu'ici, je ne fais qu’effleurer, Faute de place pour narrer Ce
Spectacle
, presque céleste Et, dedans le blanc qui me reste
t tellement unie à la Musique, qu’on ne peut faire en général un beau
spectacle
, si elle n’est de la partie. C’est un art auquel
joûte que les Législateurs introduisirent des fêtes, des festins, des
spectacles
, des feux de joie, & des jeux innocens, pour
ms des compositeurs, & ceux des Danseurs, qui avoient excellé aux
spectacles
, dans la pratique de cet Art ; mais qui ne sont p
; desorte qu’ayant fait cesser les voix & les instrumens dans le
spectacle
, il représenta devant lui l’adultere de Venus &am
Vulcain qui leur dressoit des embuches, les Dieux qui accouroient au
spectacle
, Venus toute confuse, Mars étonné & suppliant
ince de Pont étant venu à la Cour de Néron, & s’étant trouvé à un
spectacle
où ce fameux Danseur représentoit les Travaux d’H
étranger de considération qui n’avoit jamais assisté à ces sortes de
spectacles
, ne voyant qu’un seul Danseur avec des masques &a
lloit que dans un seul corps il y eût plusieurs ames. J’ai vû dans un
spectacle
à la Foire S. Germain, un Pantomime Toscan qui ch
’en parler plus amplement, lorsque je ferais paraître quelque nouveau
Spectacle
de ce genre, je vais m’acquitter de mon engagemen
ous a laissé tout ce que nous avons de plus complet sur ces sortes de
Spectacles
; mais en lisant tout ce qu’il exige d’un Danseur
es Danseurs Pantomimes représentaient des sujets tragiques ; si leurs
Spectacles
étaient préférés à la Tragédie simplement récitée
’Empire ; il est hors de doute que ces Danses faisaient alors sur les
Spectacles
des impressions beaucoup plus vives que le simple
donnée par des Poètes illustres, soit pour enrichir la décoration du
Spectacle
, soit pour éviter les inconvénients indispensable
beaux Arts. Soit que l’esprit se fût développé par la continuité des
Spectacles
publics, qui sont toujours l’École la plus instru
oses aimables qui est si naturel à sa Nation ; il est certain que les
spectacles
, les amusements, les plaisirs pendant son ministè
e, À disputer des prix indignes de ses mains, À se donner lui-même en
spectacle
aux Romains, À venir prodiguer sa voix sur un thé
unes, Qu’en extase je fus ravi De trois seulement que je vis. Pareils
spectacles
sont ma vie, De les voir j’ai toujours envie, J’y
pour comble de malheur, s’était emparé de l’autorité suprême dans les
Spectacles
publics. Ce n’était plus par conséquent que le ca
tait si folle, qu’elles couraient, les jours où il n’y avait point de
Spectacle
, dans les loges des Acteurs ; elles tâchaient de
t d’un Buffet de rafraîchissements dans le milieu. La nouveauté de ce
spectacle
, la commodité de jouir de tous les plaisirs du Ba
eu de soin, une imagination médiocre, et quelque goût, on rendrait ce
Spectacle
le fond et la ressource la plus sûre de l’Opéra,
ait de tout temps à Moscou ou à Petrograd. D’ailleurs le renouveau du
spectacle
de danse français se produit sous l’influence évi
’une conception élaborée et stable de ce que doit être, à l’Opéra, le
spectacle
de danse ; l’absence d’un maître de ballet qui au
se, et fatigante à l’excès pour tous les artistes employés à ce grand
spectacle
. Les Srs. Breton et Trial, singulièrement protégé
672. Ces changemens multipliés ont fait et font encore la ruine de ce
spectacle
. Ils entraînent après eux l’esprit de parti, ils
et : l’âme un instant ravie n’est pas satisfaite : elle retombe ou le
spectacle
l’a prise, d’où la musique l’a relevée, l’invitan
est le cygne : Pavlova. Et je reproche amèrement aux organisateurs du
spectacle
de ne pas avoir fait danser à Smolzoff une de ses
e toutes parts, et Danaüs ne pouvant plus soutenir la vüe d’un pareil
spectacle
, tombe sans sentiment sur une couchette. Le bruit
eur fureur sur un jeune homme nouvellement couronné par l’Hymen. A ce
spectacle
, les Danaïdes reculent épouvantées ; Hypermnestre
cruelles épouses s’efforcent de leur arracher. Danaüs se repaît de ce
spectacle
; mais craignant qu’il n’echappe quelque victime
uvre ses frères massacrés et baignés dans leur sang ; la vue d’un tel
spectacle
le transporte de fureur ; il veut courir au secou
igne d’un pédantisme chagrin ? Ayons le courage de le dire : c’est un
spectacle
exquis. En faisant mouvoir la beauté vivante selo
probation, des femmes exquises réjouirent leurs yeux par d’harmonieux
spectacles
. Ce sont ces fêtes qu’il nous faut envier à la gé
amp; c’est ce qui fait que l’homme seul est capable d’être touché des
spectacles
. C’est le propre de la Peinture & du Balet d’
imoient si fort ces représentations & ces démonstrations dans les
spectacles
du Théâtre, que quand il faloit représenter le su
nous apprend que Néron fit aussi servir les Chrétiens à de semblables
spectacles
, après l’embrasement de Rome, pour tâcher de se d
Marten Stein et moi, dans un coin du balcon d’où nous pûmes suivre le
spectacle
. Le spectacle !… Je m’en moquais un peu du specta
t moi, dans un coin du balcon d’où nous pûmes suivre le spectacle. Le
spectacle
!… Je m’en moquais un peu du spectacle. Et j’euss
pûmes suivre le spectacle. Le spectacle !… Je m’en moquais un peu du
spectacle
. Et j’eusse été fort en peine de dire ce que je v
l’Athénée, M. et Mme Flammarion vinrent un soir dans ma loge après le
spectacle
, en même temps qu’Alexandre Dumas fils. Comme il
rubans de mon chapeau, probablement pour les garder en souvenir d’un
spectacle
qu’il jugeait mémorable… Dans une autre circonsta
le qu’il jugeait mémorable… Dans une autre circonstance, je donnai un
spectacle
non moins mémorable, mais à un nombre de personne
ut la curiosité du peuple, je ne puis ignorer qu’il est des genres de
spectacles
qui l’attachent de préférence. La vüe de bœufs, d
s avoir vû tous les grands préparatifs de la fête, jouiroit encore du
spectacle
le plus pompeux et le plus imposant. Le cortège a
ar le génie des arts, offriroient un ensemble vraiment miraculeux, un
spectacle
unique et ravissant, une fête absolument neuve, o
nt avec la plus grande rapidité. Les mosquées sont les théâtres de ce
spectacle
extraordinaire. Les Dervis y pirouettent avec une
nie s’échauffant par degrés, parvint enfin jusqu’à la combinaison des
spectacles
réguliers, la Danse fut une des principales parti
olume, qui a pour objet la danse, les chroniques et comptes rendus de
spectacles
publiés par moi depuis une année et parus pour la
ysées pour y danser sur des airs espagnols populaires. Je sors de son
spectacle
et déjà les particularités de ses diverses danses
au rang suprème que pour jouir du privilège de faire des heureux. Ce
spectacle
consolant embellit mes derniers jours, et me fait
N’est pour moi nullement un jour De société, ni d’amour, De jeux, de
spectacles
, de danses, Ni d’aucunes réjouissances, Et si j’a
s compte de tant de générosité. Et constatons avec amertume qu’un tel
spectacle
aurait sans doute fait la fortune d’un théâtre de
r son profil de mousquetaire, contribuer à l’unité optique de ce beau
spectacle
qu’on voudrait revoir infiniment et qu’on ose à p
e méthode plus sévèrement raisonnée, une sélection plus plausible des
spectacles
qu’il nous offre. Les « Ballets Léonidoff » qui s
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