/ 248
1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
l’Opéra en France, on conserva le fond du grand Ballet dont on fit un Spectacle à part ; mais on en changea la forme. Quinault im
s un, dans lequel les récits firent la partie la plus considérable du Spectacle . [Voir Ballet] La Danse n’y fut qu’en sous-ordre.
antit pour jamais le grand Ballet, qui avait été si longtemps le seul Spectacle de notre Cour. Dès lors la Danse reprit parmi nou
le dessus. On avait plus de Chanteurs que de Danseurs passables. Les Spectacles de Danse avaient été formés jusqu’alors par les p
l’art ne s’était conservée que parmi les gens du monde. En formant un Spectacle public, on n’eut pour ressources que quelques Maî
tre Danseurs qui figuraient sous cette mascarade dans les Fêtes de ce Spectacle . Le Triomphe de l’Amour 138 fut le premier ouvrag
sement, comme on louerait de nos jours l’établissement d’une Salle de Spectacle bien régulière et proportionnée au degré de splen
sentiment qui était sa partie sublime, ni de ces traits brillants de Spectacle qu’il répandait en esprit inventeur dans ses bell
a dit, que sa mort même n’avait rien fait pour sa gloire, imagina un Spectacle de Chant et de Danse formé de plusieurs actions d
une composition vaste, tels que ceux de Raphaël et de Michel-Ange. Le Spectacle trouvé par la Motte est un composé de plusieurs A
rtient tout à fait à la France. Les Grecs, les Romains n’eurent aucun Spectacle qui puisse en avoir donné l’idée. Peut-être quelq
fournie à la Motte ; mais que ma conjecture soit vraie ou fausse, ce Spectacle n’en est pas moins une composition originale qui
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
e qu’inspirent aux hommes sensibles toutes les nouveautés de goût. Ce Spectacle était sans Danse, et on voulut conserver les grâc
téressaient la gloire ou le repos des Nations. Ils formèrent seuls un Spectacle d’une dépense vraiment royale, et qui fut porté s
les idées que fit naître la belle fête de Bergonce Botta, ce genre de Spectacle parut susceptible de la plus heureuse variété. Il
mposition. Les Anciens, qu’un goût exercé guidait toujours dans leurs Spectacles , avaient eu une attention singulière à employer d
er, toutes les merveilles de la Fable fournissaient les sujets de ces Spectacles . Pour les rendre vraisemblables et pour donner un
et de séduire. On prit ordinairement la nuit pour l’exécution de ces Spectacles . Il semble que, sur ce point, plus heureux que le
au surplus de l’ensemble83? Telles étaient les belles parties de ces Spectacles superbes consacrés à la Danse. Elles furent plus
. Cette partie moins négligée rendrait notre Opéra le plus surprenant spectacle de l’Europe. Le jour artificiel bien ménagé est c
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
eaux établissements, mais Sixte reçut avec assez de froideur quelques Spectacles ingénieux que Riari lui avait donnés sur un Théât
ait d’abord refroidi en voyant l’insensibilité de son Oncle. Un grand Spectacle qu’il venait de donner au Peuple de Rome, où il n
’ils offrirent au jeune duc, en exécutant des Ballets de Triomphe. Un spectacle magnifique succéda à cette Entrée Pittoresque. On
i lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des Romains. Ce Spectacle disparut, et il se forma un grand Ballet composé
nses de différents caractères. Ce repas extraordinaire fut suivi d’un Spectacle encore plus singulier. Orphée en fit l’ouverture.
grands Ballets à machines. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Le premier de ces Spectacles est étranger à mon sujet, et je ne parlerai du se
4 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
ù toutes les nations accourroient pour s’y former, et pour y jouir du spectacle pompeux des beaux arts. Toutes ces merveilles avo
e du défunt. Nous étions privés du plus pompeux et du plus magnifique spectacle de l’Europe, (l’Opéra Français), et nous en devon
la Reine mere et de la Cour, la FestaThéatrale del la Finta Pazza. Ce spectacle neuf et dans une langue qui ne nous étoit pas alo
ence des vêtemens, tout offrit à l’oeil, et à l’oreille enchantés, le spectacle le plus grand, et le plus pompeux ; il obtint le
llant, et fut donné pendant longtems. Si la cour fut satisfaite de ce spectacle , le Cardinal Mazarin ne le fut pas moins ; il en
fit les paroles, Cambert en composa la musique ; il donna ce nouveau spectacle à Issy, village aux environs de de Paris, dans la
village aux environs de de Paris, dans la maison de M. de la Haye. Ce spectacle neuf, obtint du succès, et le Cardinal le fit rep
du mariage de Louis quatorze étant fixée, on avoit préparé plusieurs spectacles de l’invention de Benserade et de l’Abbé Perrin.
mbert, Sous-Intendant de la musique du Roi. Mais au milieu de tant de spectacles on distingua l’opéra Italien ; il avoit pour titr
te de deux cens musiciens, tant de belles choses réunies offrirent un spectacle digne de la circonstance pour la quelle il avoit
du merveilleux ; genre, qui convient à l’opéra, puisque ce magnifique spectacle est celui des arts, et qu’ils doivent s’y montrer
vent s’y montrer tous à la fois. C’est donc à cet ami des arts que ce spectacle doit toutes les machines étonnantes, et heureusem
. Ce fut enfin lui qui composa toutes celles des fêtes, et des grands spectacles que l’on donna pour le mariage de Louis quatorze.
de la terre et du Château de Neubourg situés en Normandie, y donna un spectacle étonnant par sa nouveauté, et magnifique par ses
destinée à célèbrer le mariage du Roi, et sa paix avec l’Espagne. Ce spectacle avoir, pour titre, la Toison d’or, tragédie de Pi
nrent par la suite des lettres patentes et le privilège de ce nouveau spectacle sons le titre des Académies d’opéra en musique et
e l’Amour, opéra-ballet de Quinault, musique de Lully. Ce fut dans ce spectacle magnifique que l’on vit paraître pour la première
Duchesses, enfin ce qu’il y avoit de Grands à la cour, figura dans ce spectacle . On avoit réuni à cette haute noblesse les danseu
, tout offrit dans ses détails et dans son ensemble, le plus brillant spectacle du monde. Louis quatorze n’y dansa point, et fut
 ; A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un thé
l’antiquité ; ne sera-t-on pas étonné de voir dans les fêtes, et les spectacles pompeux de la cour, le costume le plus ridicule e
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
t les avantages que pouvait lui procurer le goût des Romains pour les Spectacles publics, et il fonda sur leur magie, la tranquill
des nouveautés heureuses produiraient un effet encore plus grand. Les Spectacles anciens sont pour le Public comme une vieille hab
, dans les cercles, dans les familles, dans les lieux publics, que du spectacle en vogue. Auguste pressentit ces effets. Il comme
utaient les suffrages des Romains, ceux-ci entraînés par le charme du Spectacle , le voyant avec assiduité et n’en sortant jamais
aux plaisirs de Rome. Il ne lui restait plus de liberté que dans ses Spectacles , et Auguste avait la barbarie de la lui ravir. Ce
s dire, une simple conjecture.1°. Le goût qu’Auguste témoigna pour le Spectacle nouveau de Pylade et de Bathylle parut si vif que
nvention. 2°. Presque tous les historiens s’accordent à dire, que les spectacles des pantomimes furent les principales causes de l
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 5 août : Ballet des Songes accompagnant la tragédie de collège La Prise de Babylone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 8 août 1671 »
s pas, De marquer que la Tragédie, Où Balthazar perdit la Vie, Fut un Spectacle , Mercredi, Dont Maint, et Maint fut ébaudi, Qui,
Savoir au célèbre Collège Que l’on appelle de Clermont : Ou pareils Spectacles se font, Pour y rendre plus solennelle La Distrib
t du Temps, du Théâtre, N’agisse ni peu, ni prou là, Dedans ces beaux Spectacles là. 160. sic
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
dies, sans autre secours que celui de la symphonie et de la Danse. Ce spectacle nouveau fut reçu des Romains avec la plus grande
i se prétendait Philosophe, assista pour la première fois à un de ces spectacles . Frappé de la vérité de la représentation, il lai
t à Paris dans un cas semblable. La multitude discuta les Acteurs, le spectacle , le genre. On parla Musique sans la savoir, et on
, et pour éclairer la multitude. Ils publièrent qu’ils donneraient un spectacle tout à fait nouveau, et ils trouvèrent le moyen d
rage de Mars, la joie maligne des Dieux, qui accourent en foule à ce spectacle . L’assemblée entière enchantée applaudit. Le Cyni
Héros, qu’un Roi de Pont, qui voyait pour la première fois un pareil spectacle , suivit sans peine le fil de l’action, en fut cha
8 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
sur-intendant de la musique du Roi, pour y représenter ses opéras. Ce spectacle eût lieu pendant 90 années dans cette salle infor
cas de dire qu’à quelque chose malheur est bon ; car le retréci de ce spectacle enchainoit toutes les grandes idées et présentoit
iné avoit été construit sous le ministère de Mazarin, pour les grands spectacles qui se donnèrent au mariage de Louis XIV. Tous le
s hommes célébrés enfantèrent des ouvrages faits pour immortaliser ce spectacle magnifique et pompeux. Tout étoit sage et heureu
9 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
Quadrille [Article de Jaucourt] (B) Coryphée Coryphée, s. m. ( Spectacle .) Les anciens nommaient ainsi le chef de la troup
stable, ses ressources, ses revenus, et le goût des Français pour ce spectacle , sont de grands moyens pour le porter à un point
Obstacles au Progrès de la Danse »] Doubler Doubler, v. act. ( Spectacle .) pour prendre la place, ou pour tenir la place,
e d’acteurs, presque toujours inutiles, pour l’embellissement réel du spectacle . Les chœurs sont toujours sans action sur le théâ
qu’ils chantent. Voyez Chœurs. Mais l’expédient sûr et d’embellir le spectacle , et de donner du mouvement aux chœurs, est de met
lus distingués que ceux des chœurs, ajouteraient à la magnificence du spectacle , et cet ordre rendrait toutes les belles idées qu
re bien faibles à côté de l’autorité, du désir de l’embellissement du spectacle , et du besoin qu’on a toujours de former des suje
le, et du besoin qu’on a toujours de former des sujets. Voyez Double, Spectacle [Article de Jaucourt]. (B) Figurant, Figurante
10 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique
ine de leur établissement : on peut même le regarder comme le premier spectacle public qui ait paru chez les Grecs, puisqu’il éto
uplesses & d’agilitez très-surprenans ; ce qui rendit aussi leurs spectacles plus divertissans & plus estimables. Spon nou
nques ou Charlatans, pour vendre leur mithridat ; & sur la fin du spectacle , quelques-uns de leur troupe alloient faire la qu
e tems-là les hommes & les femmes un peu de mise n’alloient à ces spectacles qu’avec une espéce de honte. Pausanias rapporte a
is & l’Opéra s’étant toujours opposez à l’embellissement de leurs spectacles , les ont à la fin contraint de s’abonner avec eux
rgent, & préférerent, au grand regret de Térence, la nouveauté du spectacle des Danseurs de corde, à celui de sa Piéce. Il pl
rte encore qu’au tems de Néron, un Chevalier Romain parut à un de ces spectacles , monté sur un éléfant, qui marchoit en cadence su
seurs de corde étoient dans ce tems-là en quelque réputation pour les spectacles publics : les Empereurs Romains y assistoient aus
ré depuis ces tems-là, ayant toujours été regardez en France comme un spectacle puérile & convenable à la populace, si ce n’e
que l’art de la Danse puisse imaginer dans ce genre-là. J’étois à ce spectacle auprès d’un des plus fameux Danseurs de l’Opéra,
pour exprimer les passions. Les Danseurs de corde, pour rendre leurs spectacles plus complets, ont joint encore à leur troupe cel
des Danseurs de corde, dont les jeux furent regardez depuis comme un spectacle convenable à la populace ; ce qui a duré jusqu’à
ur celui des Comédies, qui font aujourd’hui le plus essentiel de leur spectacle , aussi ne voit-on plus de ces fameux Danseurs de
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
à Rome par les Pantomimes. Auguste se servit toujours utilement des Spectacles qu’il avait établis. Il avait prévu les troubles
décesseur dans l’établissement des théâtres de Danse. Il ne vit de ce spectacle , que le frivole, l’utile lui échappa. Auguste en
ue cette hardiesse ne montât bientôt jusqu’à sa Personne. À la fin du spectacle , les Acteurs ou irrités ou enorgueillis de la div
l’Empire. J’ai dit que Tibère n’avait aperçu que le côté frivole des Spectacles . Son Successeur n’en connut que la partie la plus
ais cet Empereur crut faire une action utile, en ôtant aux Romains un Spectacle que l’indécence avait rendu méprisable. Pline lou
s’était acquis sur l’esprit et le cœur de ses sujets, pour purger ce Spectacle de toutes les indécences qui le déshonoraient, po
12 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
 pas des lettres » que danse Mlle Zambelli ne survient qu’à la fin du spectacle , quand l’attention du spectateur est lassée par m
on pourrait dire. Ne demandons à la pantomime que de fournir pour le spectacle de danse une armature solide mais très légère, et
our le spectacle de danse une armature solide mais très légère, et ce spectacle sera viable. Stendhal, adepte fervent de la panto
le mouvement sous le costume, l’essentiel sous l’accessoire. Mais un spectacle ne peut pas durer uniquement par son agencement d
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 janvier : Divertissement royal — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 11 janvier 1670 »
is, sans que je raille, Relevèrent, encor, la Paille. 129. De quel spectacle s’agit-il ? D’un spectacle déjà représenté ou bie
evèrent, encor, la Paille. 129. De quel spectacle s’agit-il ? D’un spectacle déjà représenté ou bien de la répétition du futur
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
t vigoureux, l’autre d’un esprit vif et liant, formèrent le plan d’un Spectacle nouveau, qui frappa l’ami d’Auguste. Il affranchi
ncore dans le silence que cause une vive admiration, lorsqu’un second spectacle succéda au premier. C’est une action ingénieuse,
les peintures badines d’une bonne Comédie. Qu’on juge du charme d’un Spectacle de cette espèce. Surtout lorsqu’on saura que les
ue jour quelque nouveau moyen de perfectionner l’Art et d’embellir le Spectacle . Avant lui, quelques Flûtes composaient l’Orchest
ns. La Poésie Dramatique était de leur temps en possession des grands Spectacles . La Danse théâtrale s’en empara à son tour. Pylad
15 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
réponse, par celle qu’il a faite au misérable auteur, apologiste des spectacles . (tom. 7., p. 626.) « On dit qu’il faut bien trou
nd que, sans courir au théâtre, nous trouverons la nature si riche en spectacles divertissans ; et que d’ailleurs la Religion, et
le du peuple juif. (suprà, p. 161.) « Les Juifs, dit-il, n’avoient de spectacles pour se réjouir que leurs fêtes, leurs sacrifices
sur saint Matthieu. Le saint docteur y parle en ces termes contre les spectacles  : (tom. 7, p. 424.) « Si vous voulez donner à vot
vous repentir, comme quand vous allez chercher les divertissemens des spectacles . De plus, vous avez une femme et des enfans ; si
lie de la plus grande sagesse. Voyant les Romains passionnés pour les spectacles , et entendant parler des plaisirs qu’ils y alloie
auroit la même vertu pour éloigner des danses, que pour éloigner des spectacles . C’est pourquoi je les propose d’après cet illust
danse) ne tient devant ce plaisir. S’il faut pour nous émouvoir, des spectacles , du sang répandu, de l’amour, que peut-on voir de
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
a Cour dit cela), La REINE pourra, sans obstacle, Voir l’incomparable Spectacle Que notre susdit SOUVERAIN ; De qui le Sort est s
pareil À ce magnifique Appareil. Je discours ainsi par avance De ce spectacle d’importance, Et par Prélude seulement ; Mais j’e
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
me Que j’ai ressenti dans moi-même, Revoyant, au Palais Royal Ce beau Spectacle sans égal, Car, laissant là, les flatteries, Ille
ens point, En vous répétant sur ce point, Qu’il est vrai que ce grand Spectacle , Qui faisait là, crier miracle ! Ce Beau Spectacl
vrai que ce grand Spectacle, Qui faisait là, crier miracle ! Ce Beau Spectacle tout royal, Est, encore, ici, sans égal. Mais,
ici, par tout, être ouïe, Aussi bien que la Symphonie, Et que tout ce Spectacle , enfin, S’y voit, aussi, de même, à plein. Une
18 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
e, qu’elle fait encore tous les jours par l’émulation qu’excitent les spectacles de l’Academie Roïale de Musique. Il ne faut pourt
ennent depuis près d’un siécle admirer nos Danses, se former dans nos Spectacles & dans nos Ecoles ; même il n’y a point de Co
des Spectateurs. On vit sur les Theatres de Paris ce nouveau genre de spectacle qui sous le nom d’Opera, n’avoit été connu jusqu’
ans peine & pour toûjours de l’Italie, par le charme de ces mêmes spectacles que Rome & Venise avoient inventez. Il ne se
ans les Bales de l’Opera, contribuerent beaucoup à la magnificence du spectacle . Mesdemoiselles de la Fontaine & Subligny qui
pas de deux dans un genre particulier, ne manque jamais d’embellir le spectacle , & d’attirer les applaudissemens du public. L
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
age de Madame Chrétienne de France avec le Duc de Savoie, on donna un spectacle de la première espèce. Le Gris de Lin en fut le s
e y étale les couleurs les plus vives : l’Amour frappé de ce brillant spectacle , après en avoir joui, se décide pour le Gris de L
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
a facilité de la suivre. La foule d’hommes bornés qui fréquentent nos Spectacles ne sauraient croire que ce qu’ils ont vu ; le par
comment Mécène qui était l’ami de Virgile, se serait-il contenté d’un Spectacle qui n’aurait pas été une imitation énergique de l
par la charlatanerie que celui que l’amour du plaisir entraîne à nos Spectacles  ; mais aussi n’en est-il point qui saisisse avec
it. Sous Auguste au contraire, il était parvenu au point de former un Spectacle , qui remplaçait ceux où l’on avait longtemps admi
21 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
es de façon que la déclamation suffît presque seule à la durée de son spectacle  : trois quarts d’heure à peu près étaient occupés
s progrès, qu’on a imaginé des danses brillantes, que cette partie du spectacle s’est accrue ; depuis enfin que le ballet (genre
a eue en créant ce genre, est le germe des plus grandes beautés de ce spectacle . (Voyez Opéra [Article de Jaucourt]). C’est le th
une pièce de théâtre, soit qu’on remplisse cet espace de temps par un spectacle différent de la pièce, soit qu’on laisse cet espa
e temps aux acteurs de changer d’habits, et quelquefois d’allonger le spectacle  ; mais il n’en peut être jamais une partie nécess
Les Grecs avaient des entractes de chant et de danse dans tous leurs spectacles  : il ne faut pas les en blâmer. L’art du théâtre,
omposé de quelques airs de violons qu’on n’écoute point. A l’opéra le spectacle va de suite ; l’entracte est une symphonie que l’
uption, et pendant laquelle la décoration change. Cette continuité de spectacle est favorable à l’illusion, et sans l’illusion il
able à l’illusion, et sans l’illusion il n’y a plus de charme dans un spectacle en musique. Voyez Illusion [Article de Diderot].
Jaucourt]. Les Italiens eux-mêmes, toujours amoureux et jaloux de ce spectacle , l’ont-ils jamais examiné? On avance ici une prop
pour combattre l’ennui presque continuel de plus de quatre heures de spectacle  ; et cette ressource est un défaut très grand du
mme un nouveau moyen de produire le merveilleux, seul vrai fond de ce spectacle . Voyez Merveilleux [Article non signé], Opéra [Ar
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
mage à la Vérité, la choisissent pour leur Souveraine et terminent ce spectacle par une Entrée générale qui exprime la joie la pl
. Je ne connais que ce seul Ballet qui ait été donné au Public, comme Spectacle , ailleurs que dans les Cours des Souverains. Tous
lleurs que dans les Cours des Souverains. Tous les autres ont été des Spectacles gratuits, qui ne servaient qu’aux divertissements
23 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Le « vendredi » de Mlle Nérys. »
osé de Zamora, danseur-costumier, à la Comédie des Champs-Élysées. Ce spectacle m’a fait songer à ces mémorables présentations de
, malgré certains excès somptuaires qui d’ailleurs déparaient tout le spectacle , l’impression première fut littéralement saisissa
24 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
que, dans un très grand détail au sujet de cette brillante partie des spectacles des Grecs. Quelques auteurs ont prétendu que c’ét
la gloire et le repos des nations. Il forma seul alors un très grand spectacle , et d’une dépense immense, que dans les deux dern
e dans un détail fort grand des sujets qui sont propres à ce genre de spectacle  : il semble que cet auteur ait prévu l’usage qu’o
ifférents réussir, et faire honneur à leurs différents inventeurs. Ce spectacle avait des règles particulières, et des parties es
s, l’autre pour faire apercevoir la marche théâtrale de ces sortes de spectacles . C’est du savant traité du P. Ménestrier Jésuite,
étale l’éclat des plus vives couleurs. L’Amour frappé de ce brillant spectacle , après l’avoir considéré, se décide pour le gris
n nomme le grand ballet. Par ce court détail, on voit que ce genre de spectacle réunissait toutes les parties qui peuvent faire é
genre : mais la cour de Savoie semble l’avoir emporté dans ces grands spectacles sur toutes les cours de l’Europe. Elle avait le f
r un trait de génie singulier avait d’abord senti le vrai genre de ce spectacle (Voyez Opéra [Article de Jaucourt]) n’avait pas e
nt avec rapidité, une foule d’objets piquants qui paraissent dans ces spectacles , forment un ensemble charmant, qui plaît égalemen
refois des ballets de chevaux qui faisaient partie de ces magnifiques spectacles . Pluvinel, un des écuyers du roi, en fit exécuter
es Ballets. Ballets de collège Ballets de collège, ce sont ces spectacles qu’on voit dans les collèges lors de la distribut
une entrée générale ; c’était le grand ballet en raccourci : Idée des spectacles anciens et nouveaux de l’abbé de Pure, imprimé à
plus haut degré de perfection. Il ne fut plus question à Rome que des spectacles de Pylade et de Batyle. Le premier, qui était né
se, les machines peuvent fournir de plus brillant, fut épuisé dans ce spectacle superbe ; la description qui en parut étonna l’Eu
25 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
oit pas eu honte, quoique prêtre et religieux, d’écrire en faveur des spectacles  ; et pour éluder l’autorité des anciens docteurs,
il prétendoit pareillement que les saints pères ne blâmoient dans les spectacles de leur temps, que l’idolâtrie et les scandaleuse
ères, que d’assurer, comme fait l’auteur, qu’ils ne blâment, dans les spectacles de leur temps, que l’idolâtrie et les scandaleuse
le sévère condamnation n’y trouvera-t-on pas de l’esprit qui mène aux spectacles , où, pour ne pas reconnoître tous les autres maux
ue les dangers et les maux que M. Bossuet fait remarquer ici dans les spectacles , se trouvent également dans les danses. Sa répons
ent dans les danses. Sa réponse frappe donc autant les danses que les spectacles  ; et elle trouve par conséquent très-bien sa plac
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
sur la construction d’une salle d’opéra. LA quantité de salles de spectacles détruites depuis 20 années par les incendies ; le
dans une grande ville est le rendez vous des citoyens pour y jouir du spectacle des arts, et se délasser de leurs travaux) fut co
r le progrès des arts qui concourent unanimement 0 la perfection d’un spectacle dont la nation Française se glorifiera toujours,
jusqu’au point central de ce cercle ne jouissent que de la moitié du spectacle  ; c’est-à-dire, que les loges de la droite ne voy
jouissances. Si l’on me consultoit sur la construction d’une salle de spectacle , je conseillerois dabord de ne point sacrifier au
e les cadres nous manquent ; ou qu’ils sont trop petits. Une salle de spectacle doit être exactement isolée. Il seroit à désirer
s accessoires, les troupes ou les comparses nécessaires à la pompe du spectacle . C’est alors qu’il n’y auroit ni tumulte ni confu
à la partie du théâtre. Il seroit fort utile que l’administration du spectacle de la république et des arts, eût huit hommes pri
parfaitement bien combiné tout ce qui étoit nécessaire à ce genre de spectacle  ; l’idée que l’on avoit conçue d’y transporter l’
tous genres qui concourent à ses plaisirs et à l’embellissement de ce spectacle . On feroit encore tous les quinze jours en présen
dire séparés par un mur de fer.   Dans les beaux jours de l’été, les spectacles sont déserts ; on abandonne la magie des arts, po
ndue du théâtre est une chose de convenance. La nature et le genre de spectacle ainsi que le nombre des citoyens et des étrangers
t étranglé, et offre un libre passage à tous les sujets employés à ce spectacle  ; je ne renoncerai jamais à l’idée des deux parti
llité et â la facilité du service. J’ai déjà souhaité pour l’effet du spectacle , que le public ne pût appercevoir aucune lumière
tout ce qui tient au goût, à la commodité, à la sûreté des salles de spectacles . C’est au talent de l’artiste à tirer de tout ce
onneront point à Louis l’architecte d’avoir construit trois salles de spectacles , dont la dernière est aussi remplie de défauts qu
dix ou douze mille francs ; au reste, c est la nature et le genre de spectacle , la population et le nombre des citoyens qui doiv
ge le temple des arts. Dailleurs n’a-t-on pas toujours fait entrer le spectacle de 1’opéra dans la masse générale des dépenses du
27 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
er aux yeux du spectateur ces vilaines cordes, qui seules changent en spectacle ridicule le plus agréable merveilleux. Les chapel
ministration de la ville de Paris, chargée désormais de ce magnifique spectacle . Voyez Opéra [Article de Jaucourt] et Chapelet. L
eux [Article non signé]. (B) Décoration Décoration, (Opéra) ce spectacle est celui du merveilleux ; c’est là qu’il faut sa
détails clairs et raisonnés qu’il y fait de tout ce qui regarde leur spectacle , il est aisé de se convaincre de la connaissance
fonde de cette partie, trouvera mille moyens fréquents d’embellir son spectacle , d’occuper les yeux du spectateur, de préparer l’
rbres arrachés par la fureur des vents. Il le distraira ensuite de ce spectacle par celui d’un temple auguste : toutes les partie
dans l’étude des différents arts nécessaires à l’ensemble de pareils spectacles , ne trouve à produire en machines et en décoratio
e plusieurs inconvénients, et ôte une partie du plaisir que ferait le spectacle . 1°. Les cordes d’un changement à l’autre sont je
rties de cette espèce trop négligées, diminuent beaucoup le charme du spectacle  ; mieux soignées, elles le rendraient infiniment
28 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 novembre. Le débat de la musique et du silence. »
à la Comédie des Champs-Élysées viennent de présenter au public deux spectacles nettement antithétiques : les danses dans le sile
la belle tenue, discrète et grave, a conféré une noblesse réelle à un spectacle fort mince quant au fond, l’une de ces jeunes fil
faisait de Mlle Vronska. Je l’ai revue depuis, au cours d’un charmant spectacle donné au Cercle Interallié. Sur le plateau exigu
29 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 décembre. Grands mots, petites danses. »
ites danses. Je suis en retard pour les comptes rendus de plusieurs spectacles de danse ; il sied donc que je liquide cette obli
tte obligation sans délai. Au Salon d’Automne M. Malkovsky a donné un spectacle auquel il applique la définition tant soit peu pa
e je n’ai pas encore pu voir, celle aussi d’un audacieux et attrayant spectacle de danse qu’on vient d’inaugurer au dancing du Mo
30 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
[Première partie] [1] Le Spectacle que je présente au Public est un Ballet Pantomime
e de danser la « Danse Italique ». Elle embrassait tous les genres de Spectacles , et jouait la Tragédie, la Comédie, la Satire et
terrible ainsi que par l’agréable ; la variété qu’on demande dans les Spectacles exige que nous traitions alternativement les deux
moyens : nous manquons de tout ce qui serait nécessaire pour de tels Spectacles .
31 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
Lettre VIII. E n vous parlant, Monsieur, des spectacles des anciens, ce sera vous conduire dans un labiri
e nature étoit cette pierre, et à quelle espèce elle appartenoit. Les spectacles pantomimes ne s’établirent à Rome qu’après la mor
rler ailleurs de Batyle et de Pylade, créateurs d’un nouveau genre de spectacles , qui remplaça la tragédie et la comédie ; je me c
de Louis quatorze. L’antique Rome ainsi que la nouvelle, privoit ses spectacles des objets les plus intéressants et les plus dign
t-il jouir des grands effets que lui offrent les tableaux variés d’un spectacle tel que celui de l’opéra, si on ne levoit jamais
32 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
imposant, dans le cadre grandiose établi par Bakst pour le mémorable spectacle de Londres. On nous en donne un fragment importan
, où il y a de vieilles choses de toute beauté (on en jugera quand le spectacle sera tout à fait au point) et quelques inventions
i n’est pas arrivé jeudi) un développé à la quatrième ouverte, est un spectacle rare ; L’Oiseau bleu, qu’on connaissait, d’ailleu
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
une composition dramatique, qui pour la forme ressemble en partie aux Spectacles des Anciens, et qui pour le fond a un caractère p
s, et supposons pour un moment que nous n’avons jamais ouï parler des Spectacles de France, d’Italie, de Rome et d’Athènes. Dépoui
rhapsodies des temps gothiques ; comme il est cependant le seul grand Spectacle d’une Nation vive, délicate et sensible, il n’est
n est saillante, les Chanteurs du plus rare talent l’exécutent, et ce Spectacle n’a qu’un temps125. Dans les plus grandes Villes
es beautés. C’est sous ce premier aspect que s’offrit à son esprit un Spectacle Français de Chant et de Danse. D’abord le merveil
ien mille tableaux variés, et la matière inépuisable du plus brillant Spectacle . [Voir Féerie] Le langage musical si analogue à l
e la Magie ; et les grands Ballets qui étaient depuis si longtemps le spectacle à la mode, lui fournissaient trop de preuves jour
34 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IV » p. 136
sa musique y est plus musique et plus elle-même qu’à la scène, où le spectacle la corrompt. Parsifal, cette messe sublime, pour
les voix invisibles faisant entendre les sentiments et les âmes, quel spectacle ce pourrait être.
35 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
corps, un esprit, un visage. Boileau, Art poétique. L’origine des spectacles en France, et ce qu’on pourrait appeler la naissa
ines et de décorations. » Nos pères aimaient à dire que c’était là un spectacle universel, où chacun trouvait à s’amuser dans le
rs à le regarder comme le plus beau et le plus magnifique de tous les spectacles qu’a imaginés et qu’imaginera l’esprit humain. A
ces louanges, d’autres critiques étaient bien éloignés de regarder ce spectacle comme l’assemblage ou l’abrégé de toutes les perf
gardé comme le plus brillant et souvent comme le plus agréable de nos spectacles . L’antiquité connaissait l’opéra. Les fêtes publi
de plusieurs autres grands maîtres. On témoigna tant de goût pour ce spectacle , que, depuis 1637, date de l’introduction de l’op
Mais ils prennent soin d’ajouter qu’on ne peut pas encore donner à ce spectacle le nom d’opéra, qui n’était pas connu dans ce roy
s sonnets à ce sujet. Les critiques du temps s’expriment ainsi : « Ce spectacle ne surprit pas moins par sa nouveauté que par la
teau de Neubourg, en Normandie, la Toison d’or, avec un grand luxe de spectacle . Sur ces entrefaites, le cardinal Mazarin, le pro
es. Perrin n’abandonna pas son projet de l’établissement public de ce spectacle . Le 28 juin 1669, il obtint des lettres-patentes,
’édilité romaine, qui confiait aux magistrats de la ville le soin des spectacles publics. On s’occupa de régler les attributions e
e, les 15 août et 8 septembre, 1er novembre, 8, 24 et 25 décembre. Le spectacle commençait à cinq heures un quart. Deux dernières
l’Opéra. On ne tolérait d’autres exceptions à ces règles que pour les spectacles devant le roi, et ceux qui avaient lieu pendant l
ion publique. Son étendue, ses ressources, la pompe et le luxe de son spectacle , l’impression que pouvait produire son exécution
cteurs de l’Opéra, dont les noms ne rappelaient, selon l’Almanach des Spectacles pour l’année 1794, que des despotes ou de vils co
emblable devait être fondé dans toutes les communes où il y avait des spectacles . On proposa pour ces théâtres un répertoire dans
de Rémusat, premier chambellan de l’empereur, nommé surintendant des spectacles . Il ne faut pas croire que l’Empire fût une époqu
tes de l’Opéra s’élevèrent à 660,327 fr. ; l’Empereur dépensa pour ce spectacle 1,027,676 fr. Il est vrai que l’Opéra marchait à
cette Muette de Portici, qui à elle seule, par l’entraînement de son spectacle , fit la révolution de Belgique4 et les débuts de
ne, ni sympathie ni racine ; l’Opéra n’était pas le plus suivi de nos spectacles  ; mais, assurément, c’en était toujours le plus b
lus brillant. La restauration ne parvint jamais à faire de l’Opéra un spectacle populaire. Le luxe y régnait ; on y avait appelé
vemens politiques qui laissaient peu de loisir à la fréquentation des spectacles . En 1829, les dépenses furent de 1,770,103 fr. ;
rve aux jeunes talens, tantôt par le soin qu’il apporte à publier les spectacles de l’Opéra, tantôt par sa générosité envers les a
s représentations du dimanche, tantôt par le charme et la richesse du spectacle , et enfin par l’habileté avec laquelle il a su pr
meilleurs ouvrages de l’ancien répertoire, ont tenu jusqu’à la fin le spectacle rempli. Jamais l’Opéra, le pays des miracles, n’a
, l’Opéra a dépensé plus de 100,000 fr., et Paris a joui du plus beau spectacle du monde7. Maintenant l’Opéra est le plus fréque
oient à toutes les rampes. L’égalité règne à l’Opéra, et peut-être le spectacle d’un tel public offre-t-il autant d’attraits que
royez-moi. Cependant, les répétitions générales de l’Opéra offrent un spectacle tout émaillé de ravissantes : bigarrures. La sall
is, menace aussi l’empyrée de l’Opéra. Tous les soirs, à la sortie du spectacle , vous verrez une foule de jeunes gens dont l’amou
n a suivi les erremens du Dieu et la bayadère. La danse, le chant, le spectacle et les décors se mêlent intimement et se confonde
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
ine, on peut concevoir. À commencer, donc, par la Salle Où ce grand Spectacle s’étale, C’est un Vaisseau large, & profond,
ue, ces Airs, Et cent autres Charmes divers, Qui font passer ce grand Spectacle , Quoi qu’un simple Essai, pour Miracle. À la Mu
, par telle persévérance Combler la Gloire de la France, Où ces rares Spectacles -ci, Ne s’étaient point vus jusqu’ici. Il ne fau
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
tait-elle interposée entre notre vision intérieure et les réalités du spectacle  ! Et maintenant que vous êtes là, j’hésite à repr
ette délicieuse et déchirante tristesse que nous cause malgré nous le spectacle d’un être de grâce mêlé aux décevantes et amères
38 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
comédie, (tom. 7, p. 643.) s’applique à montrer que l’assistance aux spectacles , défendue en tout temps, l’est encore plus les jo
lus les jours de dimanches et de fêtes. Et comme ce qu’il dit sur les spectacles est également applicable aux danses, je crois dev
is devoir rapporter ses propres paroles en substituant les danses aux spectacles . « En vérité, dit-il, on pousse trop loin la lice
es termes de l’Ecriture, la musique doit être importune, et auquel le spectacle et la comédie paroissent peu propres, et doivent,
ne faut pas s’étonner que durant ce temps on défende spécialement les spectacles , quand ils seroient innocens. On voit bien que ce
sive ou déraisonnable, saint Thomas l’appuie de cette raison, que ces spectacles et ces exercices empêchent la récollection des pé
doctrine des saints. » Est-il plus aisé d’allier les danses que les spectacles avec l’esprit de récollection et de componction,
39 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
cipalement composées. Elles soulevèrent presque tous les danseurs des spectacles de l’Europe, et notamment ceux de l’opéra de Pari
rs des spectacles de l’Europe, et notamment ceux de l’opéra de Paris, spectacle qui étoit, qui est, et qui sera long-temps le pre
au costume à la pompe et à la variété des ballets ; et la danse de ce spectacle , qui, quoique susceptible encore de perfection, e
jose le dire, plus en harmonie avec l’ensemble des sensations que le spectacle produit.   Je ne pense pas que cette idée soit pû
  Mes idées ne s’arreterent pas là. La pantomime étant plus encore le spectacle des yeux que celui des oreilles, je conçus qu’ell
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
sujet, elles formèrent les dernières entrées qui terminèrent ce beau spectacle . Tels étaient les Ballets Moraux ; ils devaient l
fournissaient à la Danse, puisqu’elle en était l’âme et le fond. Ces Spectacles au surplus réunissaient toutes les parties, qui p
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
t coûté à conquérir. Sully, le grave Sully98, était l’ordonnateur des Spectacles qui amusaient ce bon Prince ; mais il les lui off
… l’Arsenal était toujours l’endroit où s’exécutaient ces Jeux et ces Spectacles qui demandaient quelque préparation… J’avais fait
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
Chapitre IV. Vices du grand Ballet Le grand Ballet est un spectacle de Danse. Les vers qui exposent le sujet, les mac
, languissant. Il n’est donc pas possible de faire du grand Ballet un Spectacle susceptible de l’intérêt théâtral ; parce que cet
43 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
sur quatre à cinq de longueur. C’étoit là que se trouvoit la porte du spectacle ressemblant parfaitement a celle d’une prison. La
m répondait à tout le reste. Les décorations réparoient le noir de ce spectacle . Le célèbre Servandoni en fit de magnifiques. Ce
44 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
éra n’est fait que pour les yeux & les oreilles ; il est moins le Spectacle du cœur & de la raison, que celui de la varié
erveilleux traîne après lui. Je dirai simplement que la Danse dans ce Spectacle devroit être placée dans un jour plus avantageux 
naît de l’entêtement des Poëtes ou de leur maladresse, la Danse à ce Spectacle ne tient à rien & ne dit rien ; elle est dans
anes ceux qui n’adoptent point avec bonhommie les vieilles loix de ce Spectacle , & les anciennes rubriques auxquelles ils son
connoître & de se consulter s’évitent scrupuleusement. Comment un Spectacle aussi composé que celui de l’Opéra peut-il réussi
disparate blessera toujours ceux que le plaisir de sentir conduit au Spectacle , car elle ne peut n’être pas apperçue que par les
ra agissent de concert, & se prêtent mutuellement des secours, ce Spectacle alors aura le plus grand succès ; les talents réu
ls & de beautés différentes que l’Opéra. J’ai toujours regardé ce Spectacle comme un grand Tableau qui doit offrir le merveil
qu’elles ne sont pas rendues avec exactitude & avec précision. Ce Spectacle ne peut donc souffrir de médiocrité, il ne séduit
edes propres à la guérison. J’ai dit que la plupart des Ballets de ce Spectacle étoient froids, quoique bien dessinés & bien
pour but. Voyons ce que fait habituellement le Maître de Ballets à ce Spectacle , & examinons l’ouvrage qu’on lui distribue. O
idicules. Enfin, Monsieur, l’Opéra est, si j’ose m’exprimer ainsi, le Spectacle des singes. L’homme s’évite, il craint de se mont
s de l’Olympe. Les habits & les caracteres étant sans nombre à ce Spectacle , je souhaiterois que la Danse ne fût pas toujours
gal dans toutes les parties de l’Opéra ; il préside en Souverain à ce Spectacle . Grec, Romain, Berger, Chasseur, Guerrier, Faune,
tte Lettre par une réflexion qui me paroît bien simple. La Danse à ce Spectacle a trop de caracteres idéaux, trop de personnages
nfiance augmente. Le cœur & l’esprit ne sont jamais la dupe de ce Spectacle  ; il est rare, pour ne pas dire impossible, que l
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
notre belle Cour Française : Et j’ay su de Gens plus de seize, Que ce Spectacle si brillant, Si beau, si pompeux, si galant, Etai
e nous a fourni l’Italie, Pour travailler, en bel arroi, À ces grands Spectacles de Roi, Avait de ses savantes Veilles, Tirés les
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
est pas seulement au Théâtre, que la Danse a formé le fond d’un grand Spectacle . Des Fêtes consacrées par la piété, autorisées pa
, dont l’appareil, la pompe, la magnificence ne le cèdent en rien aux Spectacles que nous venons de décrire. La première idée leur
x contre la Ville ; la Ville contre le Cheval ; et l’un de plus beaux spectacles fut la décharge de dix-huit Arbres tous chargés d
47 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
nt l’amour des grands, et fixèrent sur eux l’engouement du peuple. Ce spectacle neuf qui lit tourner toutes les têtes Romaines éx
ompenses. Mais malgré l’amour apparent qu’Auguste témoignoit pour ces spectacles , il usa envers Hilas et Pylade de cette sévérité
aux citoyens la seule jouissance, qu’il leur avoit laissée, celle des spectacles . Tous ces propos échauffèrent les esprits, et les
x productions des arts ; les théatres n’eurent plus de modèles et les spectacles n’offrirent que les tableaux dégoûtants de la cra
outinrent jusqu’au règne de Trajau, mais cet Empereur envisageant les spectacles pantomines comme une école ouverte à l’indécence,
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 14 juillet 1668 »
Robinet, lettre du 14 juillet 1668100 Le Spectacle superbe et rare Qui dans Versailles se prépare Es
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 7 février 1671 »
ché, Dans ma pénultième Epître, Où j’en fis un fort long Chapitre, Ce spectacle , plein de beautez, Est, encor, de Leurs Majestez,
50 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
n’est guéres fait que pour les yeux et les oreilles ; il est moins le spectacle du cœur et de la raison, que celui de la variété
erveilleux traine après lui. Je dirai simplement que la danse dans ce spectacle devroit être placée dans un jour plus avantageux 
es poètes, ou de la mal-adresse des maitres de ballets, la danse à ce spectacle ne tient à rien et ne dit rien ; elle est dans mi
rans ceux qui n’adoptent point avec bonhommie les vieilles lois de ce spectacle , et les anciennes rubriques aux quelles ils sont
e connoître et de se consulter, s’évitent scrupuleusement. Comment un spectacle aussi composé que celui de l’opéra peut-il réussi
disparate blessera toujours ceux que le plaisir de sentir conduit au spectacle  ; car elle peut n’être pas apperçue par les origi
’opéra agissent de concert et se prêtent mutuellement des secours, ce spectacle alors aura le plus grand succès. Les talens réuni
orsqu’elles ne sont pas rendues avec exactitude et avec précision. Ce spectacle ne peut donc souffrir de médiocrité ; il ne sédui
es propres à la guérison.   J’ai dit que la plupart des ballets de ce spectacle étoient froids, quoique bien dessinés et bien exé
pour but. Voyons ce que fait habituellement le maître de ballets à ce spectacle , et examinons l’ouvrage qu’on lui distribue. On l
idicules. Enfin, Monsieur, l’opéra est, si j’ose m’exprimer ainsi, le spectacle des singes. L’homme s’évite ; il craint de se mon
ités de l’Olimpe. Les habits et les caractères étant sans nombre à ce spectacle , je souhaiterois que la danse ne fut pas toujours
gal dans toutes les parties de l’opéra ; il préside en souverain à ce spectacle . Grec, Romain, Berger, Chasseur, Guerrier, Faune,
tte lettre par une réflexion qui me paroît bien simple. La danse à ce spectacle à trop de caractères idéaux, trop de personnes ch
confiance augmente. Le cœur et l’esprit ne sont jamais la dupe de ce spectacle  ; il est rare, pour ne pas dire impossible, que l
51 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
« Ballets russes » : La Belle au Bois Dormant, par André Levinson Spectacle émouvant entre tous que la première de La Belle a
elle au Bois dormant n’est aucunement une évocation rétrospective, un spectacle historique péniblement déchiffré par l’érudition,
pa avaient conservé leur éclat primitif, il n’en était pas de même du spectacle dans son ensemble qui avait sensiblement périclit
gisseur Serguéev et surtout sur les souvenirs des exécutants. Pour le spectacle et sa magie tout était à refaire. Léon Bakst en f
52 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre II. » pp. 9-16
tableaux frappants, de situations fortes, il n’offre plus alors qu’un spectacle froid et monotone. Ce genre de composition ne peu
on exposition, son nœud et son dénouement. La réussite de ce genre de spectacle dépend en partie du bon choix des sujets et de le
paroit froid et monotone, son ballet ne fera aucune sensation. Si le spectacle de M. Servandoni ne réussissoit pas, ce n’étoit p
’elles peuvent conduire à la perfection de leur art. Mentor, dans un spectacle de danse, peut et doit agir en dansant ; cela ne
53 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
ieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. Avant-propos. Le spectacle héroïque de l’ancienne chevalerie formera toujour
Le spectacle héroïque de l’ancienne chevalerie formera toujours un spectacle intéressant, lorsqu’il sera présenté à une nation
ine ; quels effets ne dut pas produire sur une noblesse guerrière, le spectacle magnifique des Tournois ? ils furent adoptés dans
mpose, et fait naître le trouble et l’espérance, ajoute à la pompe du spectacle . Adèle le rend surtout intéressant : soutenue dan
54 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29
tableaux frappants, de situations fortes, il n’offre plus alors qu’un Spectacle froid & monotone. Ce genre de composition ne
exposition, son nœud & son dénouement. La réussite de ce genre de Spectacle dépend en partie du bon choix des sujets & de
paroît froid & monotone, son Ballet ne fera aucune sensation. Le Spectacle de M. Servandoni ne réussissoit pas faute de gest
u’elles peuvent conduire à la perfection de leur Art. Mentor, dans un spectacle de Danse, peut & doit agir en dansant ; cela
55 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
cre à Reims en 1722, le mariage de S. M. en 1725, etc. C’est un doux spectacle pour un peuple aussi tendrement attaché à son Roi
u’ils offrirent au jeune duc en exécutant des ballets de triomphe. Un spectacle magnifique succéda à cette entrée pittoresque. On
i lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des Romains. Ce spectacle disparut, et il se forma un grand ballet composé
nses de différents caractères. Ce repas extraordinaire fut suivi d’un spectacle encore plus singulier. Orphée en fit l’ouverture 
ets »,] pag. 2 , et les articles Ballet, Opéra [Article de Jaucourt], Spectacles [Article de Jaucourt]. On aperçut dès-lors que da
tous les événements heureux ou glorieux, pouvaient donner lieu à des spectacles nouveaux, à des divertissements inconnus, à des f
x contre la ville, la ville contre le cheval ; et l’un des plus beaux spectacles fut la décharge de dix-huit arbres tous chargés d
ballet devant le roi, et qui formaient par cet arrangement un premier spectacle pour le peuple, dont la foule ne saurait à la vér
nissant la Grande-Bretagne au reste de la terre4 était le sujet de ce spectacle . Le théâtre représentait le globe du monde : la v
, par le détail où on est entré, que le point capital dans ces grands spectacles , est d’y répandre la joie, la magnificence, l’ima
démêlé sans peine dans les fêtes de Londres, que les préparatifs des spectacles qu’on donna à la cour, furent presque tous offert
ésentaient dans le ballet les naïades et les néréides, terminèrent ce spectacle par des présents ingénieux qu’elles offrirent aux
joie basse, pire cent fois que la tristesse. Presque tous les grands spectacles de ce temps, qui étaient les seuls amusements du
à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Ce spectacle eut toutes les grâces de la nouveauté ; l’exécuti
Beaux-Arts. Soit que l’esprit se fût développé par la continuité des spectacles publics, qui furent, et qui seront toujours un am
oses aimables, qui est si naturel à sa nation, il est certain que les spectacles , les plaisirs, pendant son ministère, n’eurent pl
. On y représenta le magnifique Ballet de Cassandre. C’est le premier spectacle où Louis XIV parut sur le théâtre : il n’avait al
e, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains. On ne s’attachera point à rapporter
i gouvernaient sous ses yeux une nation heureuse. Que ces magnifiques spectacles doivent charmer un bon citoyen, quand ils lui off
rand manège la plus belle, la plus élégante, la plus commode salle de spectacle , dont la France eût encore joui. Le théâtre était
re incroyable de spectateurs qui s’empressèrent d’accourir aux divers spectacles qu’on y donna pendant tout l’hiver. C’est là qu’o
pour l’ordinaire toutes les espèces connues. L’idée vaste d’un pareil spectacle , ne pouvait naître que dans l’esprit d’un homme c
ibilité d’une pareille entreprise pour l’avenir. La nouvelle salle de spectacle , construite avec la rapidité la plus surprenante,
es plus sombres tous les charmes des plus beaux jours. Voyez Salle de spectacle [Article non rédigé], Illumination [Article non r
sse adopter, furent entremêlés avec choix dans le cours de ce superbe spectacle . Aussi vit-on Zulisca amuser le roi, plaire à la
de Navarre, Le Temple de la Gloire, et Jupiter vainqueur des Titans, spectacle magnifique, digne en tout de l’auteur ingénieux e
c d’Aumont, et Zulisca, dont nous avons parlé, couronna la beauté des spectacles de l’hiver 1746. On a détaillé l’année 1747. Les
e, furent, 1°. celle qui d’un coup d’œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique salle de bal : 2°. celle qui se
M. le duc d’Aumont avait choisi pour servir de théâtre aux différents spectacles qu’il avait projetés, le terrain le plus vaste du
e l’amour national et la curiosité naturelle font, courir à ces beaux spectacles . La pièce immense des Suisses était le premier lo
ifique opéra, qui, au moment de l’arrivée du roi, aurait commencé son spectacle . Au sortir du grand théâtre, la cour aurait suivi
à toutes les dames et à tous les seigneurs de la cour. Le magnifique spectacle de ce séjour, après qu’on aurait remonté le grand
s plaisirs. M. le duc d’Aumont fut chargé en 1754 des préparatifs des spectacles . Le théâtre de Fontainebleau fut repris sous œuvr
ateur de la trempe de celui-ci, les riantes idées des plus singuliers spectacles . Voici celles qu’il déploya aux yeux les plus dig
position entre le temple et le Pont-Royal, et tout-à-coup on jouit du spectacle de divers combats des uns contre les autres. Ces
bordent des deux côtés les quais superbes qui servaient de cadre à ce spectacle éclatant, le Pont-Royal et le Pont-Neuf, les écha
rtillerie, le son éclatant des trompettes, annoncèrent tout-à-coup un spectacle nouveau. On vit s’élancer dans les airs de chaque
ans de petits bateaux, mais qui paraissaient sortir de la rivière. Ce spectacle des cascades, dont le signal avait été donné par
int de l’exécution. C’est à l’hôtel de Conti que devait être donné le spectacle le plus ingénieux, le plus noble, le moins ressem
ntrant par la principale porte de l’Hôtel-de-ville, trouva un nouveau spectacle  : c’était un palais de l’Hymen illuminé. Dans le
rès le souper de Madame la Dauphine, il y eut un bal dans la salle de spectacle  ; et comme cette salle fait partie de l’Hôtel-de-
exercices, au son des violons et des hautbois : dans les vides de ce spectacle , les trompettes-marines et les cors de chasse se
s. Enfin le Roi, après avoir été longtemps diverti par la variété des spectacles et des amusements de la foire, entra dans la bout
e les cacher, semblait encore les embellir, fit préparer en secret le spectacle élégant dont elle voulait surprendre la Reine. Ai
sépare le labyrinthe de l’île d’amour : on y avait formé une salle de spectacle de toute la largeur de l’allée, et d’une longueur
i cherché à les connaître qu’autant qu’ils m’ont paru liés aux grands spectacles que les rois, les villes, les provinces, etc. off
c. mais encore de combiner toutes ces parties avec le plan général du spectacle que la décoration indique. Cette loi primitive fa
urs voulu atteindre. Il est dans la nature de la chose même, que tout spectacle représente quelque chose : or on ne représente ri
coupures. Il faut peindre dans tous les Arts ; et dans ce qu’on nomme spectacle , il faut peindre par les actions. Les exemples de
cette grande image, l’attaque, le combat, la chute ; peignez-vous le spectacle magnifique de ce moment de triomphe des bons ange
en foule de ce grand sujet. Mais il faudrait donc employer à tous ces spectacles des machines? Et pourquoi non? A quoi destinera-t
ement à la scène principale ; il fut comme le centre de la fête et du spectacle . Le 24 Janvier 1730, à 6 heures du soir, les illu
us grande célérité, et la surface de la rivière offrit tout-à-coup un spectacle enchanteur ; c’était un vaste jardin de l’un à l’
u haut de ces tours que commença une partie de l’artifice de ce grand spectacle , après que le signal en eut été donné par une déc
ices, soleils fixes et tournants, gerbes, etc. après quoi commença le spectacle d’un combat sur la rivière, dans les intervalles
formes, comme de serpents, etc. Pour troisième acte de cet agréable spectacle , on fit partir d’abord du bas des deux montagnes,
56 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
dant le Règne de Louis XIII pour une multitude presque innombrable de Spectacles dont elle ne fut pas plus égayée, et qui ne jetèr
llet devant le Roi, et dont on formait par cet arrangement un premier spectacle pour le Peuple, dont la foule ne saurait, à la vé
sant la Grande-Bretagne au reste de la Terre 115 était le sujet de ce spectacle . Le Théâtre représentait le globe du monde. La vé
57 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
uta en 1704, et demanda sa retraite en 1730, elle fit le charme de ce spectacle pendant vingt cinq années. Si l’on doit juger de
roissoit plus à l’opéra en 1745, époque où je commençai fréquenter ce spectacle  : mais je la vis souvent chez elle. Quoiqu’elle e
ais l’aisance, la prestesse et la gaieté la remplaçoient ; et dans un spectacle où tout étoit triste, traînant et langoureux, il
58 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
e ces règles, on pourra donner, je l’avoue, de grands, de magnifiques Spectacles  ; mais c’est justement alors qu’on tombera dans l
ot des Polichinelle, des Scaramouche, personnages célèbres de pareils spectacles consacrés communément aux tréteaux. Je ne dis pas
tte force, et de cette vérité éloquente qu’emploie la nature dans ses spectacles réels. 40La Danse Pantomime-tragique est par con
ause. Quant à moi, content de lui avoir donné un essai de ce genre de spectacles , en qualité de compositeur, s’il daigne applaudir
les talents ne manqueront pas de tourner en plaisanterie ce genre de spectacles . Mais si le Public judicieux et instruit, applaud
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
it cette vérité par un pas de joie noble et vive qui termina ce grand spectacle . C’est par cette galanterie ingénieuse que le Car
se perdit dans les airs. C’est par ce vol que fut terminé ce bizarre Spectacle . « Quand je considère (dit un auteur112 qui avai
cence perdue, et pas la moindre étincelle de goût. On fit servir à ce spectacle les débris des décorations, des habits, des machi
nouvelle dans Paris firent comprendre à la Cour et à la Ville que les Spectacles publics, vus jusqu’alors avec assez d’indifférenc
t plus particulier qu’il prenait à son succès notre première Salle de Spectacle un peu régulière. C’est celle où on représente au
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
n’était pas assez vaste pour pressentir comme Auguste, l’utilité des Spectacles publics. Ses vues restèrent resserrées dans le ce
s mêmes tentatives que le Cardinal Riari avait faites à Rome pour les Spectacles en général. Baïf était sans protecteurs, sans for
61 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
un peu éblouis et prenons, en toute humilité, notre part de joie à ce spectacle rare. Nous verrons se manifester un style figé, i
alors, tout cela aura été « inutile beauté » ? Que nous reste-t-il du spectacle cambodgien au Pré-Catelan, en 1906 ? Quelques des
62 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 31 août 1669 »
t maintenant elle s’égaie, AU CHÂTEAU SAINT GERMAIN EN LAYE, Dans son Spectacle très charmant, Composé magnifiquement De ravissan
63 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-neuvième semaine, lettre du 9 décembre 1666 »
ci, qui pense s’y connaître, Dit que l’artifice en surprend Et que le Spectacle en est grand. Dansez, SEIGNEUR, dansez, menez joy
64 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
la Religion, à l’Astronomie & à l’art de la Guerre, plutôt qu’aux spectacles & aux fêtes publiques ; mais elle doit sa per
nion des Grecs, qu’un génie heureux, avec quelques principes pour les Spectacles , peut réussir sans posseder toutes ces Sciences,
anques & des boufons ; & ce fut pour purger le Théâtre de ces spectacles indécens, que les Grecs eurent recours aux Balets
ts représentez dans les Cours de l’Europe, depuis la restauration des spectacles environ l’an 1450, jusqu’en 1723. Balet des prosp
nt dans les places publiques, avec autant d’ordre que de méthode : ce spectacle étoit en vénération parmi cette nation. Stace &am
n avoit fait la dépense, rien ne fut épargné pour l’embellissement du spectacle , pour les machines, les décorations, & la mag
la Déesse de la verité, pour orner son temple ; ce qui finit ce beau spectacle . On ne peut disconvenir qu’il n’y ait beaucoup de
a composition d’un Balet, je veux pour servir de contraste à ce grand spectacle , rapporter ici le Balet qui fut dansé à la Cour d
tabac des Indiens & s’en servoient diversement : ils finirent le spectacle . Ainsi je ne doute pas que sur l’idée du Balet du
en 1657, M. Clement, homme fort entendu pour les représentations des spectacles , fit le Balet de la nuit, qui a passé pour l’un d
n mêlent sont assez profonds pour employer tout ce qui convient à ces spectacles . Au Palais du grand Duc de Toscane, il se fait to
65 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 5 janvier : La Pastorale comique — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 janvier 1667 »
Je fus vraiment sollicité Par une obligeante BEAUTÉ De demeurer à ce Spectacle  ; Mais, par un malheureux Obstacle, Ayant des Aff
66 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 février. Affaires courantes. »
ementaire, mais pourtant agréable de Faust et de Suite de danses. Les spectacles récents nous ont permis de nous documenter plus a
le paraisse, Mlle Lorcia la remplit bien. J’ai assisté récemment à un spectacle où, par les hasards du fameux tour de liste, Mlle
67 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
endant ce temps, Le Ciel rendre vos vœux contents, Et permette que ce spectacle Vous puisse ravir, à miracle.
68 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 22 avril 1662 »
miré que jamais, Etant abondant en miracles, Et l’un des plus pompeux spectacles , Qui dans mille effets éclatants, Ait paru depuis
69 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 11 avril 1671 »
parut une enchanterie. Je dois être, à mon tour, Mardi, De ce grand Spectacle , ébaudi : Et puis, je ne faudrai d’en mettre Un p
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
elèrent un troisième qui devait nécessairement augmenter le charme du Spectacle . La Danse qu’on employait partout, ne manquait qu
t languissante. Devenue en France une partie essentielle d’un nouveau spectacle , que les Romains auraient jugé digne de leur magn
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
de laisser la danse oisive, dans le plan ingénieux et raisonné de son Spectacle . Je trouve, dans ses compositions, l’indication é
et de la machine. Dans chacun de ses Opéras, on trouve des moyens de Spectacle , dont jusqu’ici il semble qu’on ne se soit point
72 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
u fatras des accessoires. Ce n’est pas là un « sketch », un abrégé de spectacle qu’on bâcle nonchalamment. Seulement tout ce qui
c’est la partie la plus complète, la plus heureuse, de ce passionnant spectacle . Le motif comique de la poupée désarticulée est e
73 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
e se portant avec puissance sur le genou plié. Vous avez vu, dans les spectacles lyriques, s’affronter sans se confondre, deux rac
mes. Mais notre tradition comporte une lacune, nous manquons, pour le spectacle de danse d’un langage mimique, car la pantomime c
74 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-sixième semaine, lettre du 18 novembre 1666 »
T GERMAIN vient de me rapporter Que l’on vous y prépare un assez doux spectacle , Et, cela supposé, ce n’est pas grand miracle Que
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 20 ou 22 novembre : Xerxès — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 décembre 1660 »
re, seulement, Est construit si superbement, Qu’on ne saurait voir ce spectacle Sans, tout soudain, crier miracle. Or, argent, az
76 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 février 1670 »
tière, Qu'ici, je ne fais qu’effleurer, Faute de place pour narrer Ce Spectacle , presque céleste Et, dedans le blanc qui me reste
77 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
t tellement unie à la Musique, qu’on ne peut faire en général un beau spectacle , si elle n’est de la partie. C’est un art auquel
joûte que les Législateurs introduisirent des fêtes, des festins, des spectacles , des feux de joie, & des jeux innocens, pour
ms des compositeurs, & ceux des Danseurs, qui avoient excellé aux spectacles , dans la pratique de cet Art ; mais qui ne sont p
 ; desorte qu’ayant fait cesser les voix & les instrumens dans le spectacle , il représenta devant lui l’adultere de Venus &am
Vulcain qui leur dressoit des embuches, les Dieux qui accouroient au spectacle , Venus toute confuse, Mars étonné & suppliant
ince de Pont étant venu à la Cour de Néron, & s’étant trouvé à un spectacle où ce fameux Danseur représentoit les Travaux d’H
étranger de considération qui n’avoit jamais assisté à ces sortes de spectacles , ne voyant qu’un seul Danseur avec des masques &a
lloit que dans un seul corps il y eût plusieurs ames. J’ai vû dans un spectacle à la Foire S. Germain, un Pantomime Toscan qui ch
78 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
’en parler plus amplement, lorsque je ferais paraître quelque nouveau Spectacle de ce genre, je vais m’acquitter de mon engagemen
ous a laissé tout ce que nous avons de plus complet sur ces sortes de Spectacles  ; mais en lisant tout ce qu’il exige d’un Danseur
es Danseurs Pantomimes représentaient des sujets tragiques ; si leurs Spectacles étaient préférés à la Tragédie simplement récitée
’Empire ; il est hors de doute que ces Danses faisaient alors sur les Spectacles des impressions beaucoup plus vives que le simple
donnée par des Poètes illustres, soit pour enrichir la décoration du Spectacle , soit pour éviter les inconvénients indispensable
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
beaux Arts. Soit que l’esprit se fût développé par la continuité des Spectacles publics, qui sont toujours l’École la plus instru
oses aimables qui est si naturel à sa Nation ; il est certain que les spectacles , les amusements, les plaisirs pendant son ministè
e, À disputer des prix indignes de ses mains, À se donner lui-même en spectacle aux Romains, À venir prodiguer sa voix sur un thé
80 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 janvier 1662 »
unes, Qu’en extase je fus ravi De trois seulement que je vis. Pareils spectacles sont ma vie, De les voir j’ai toujours envie, J’y
81 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
pour comble de malheur, s’était emparé de l’autorité suprême dans les Spectacles publics. Ce n’était plus par conséquent que le ca
tait si folle, qu’elles couraient, les jours où il n’y avait point de Spectacle , dans les loges des Acteurs ; elles tâchaient de
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
t d’un Buffet de rafraîchissements dans le milieu. La nouveauté de ce spectacle , la commodité de jouir de tous les plaisirs du Ba
eu de soin, une imagination médiocre, et quelque goût, on rendrait ce Spectacle le fond et la ressource la plus sûre de l’Opéra,
83 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
ait de tout temps à Moscou ou à Petrograd. D’ailleurs le renouveau du spectacle de danse français se produit sous l’influence évi
’une conception élaborée et stable de ce que doit être, à l’Opéra, le spectacle de danse ; l’absence d’un maître de ballet qui au
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
se, et fatigante à l’excès pour tous les artistes employés à ce grand spectacle . Les Srs. Breton et Trial, singulièrement protégé
672. Ces changemens multipliés ont fait et font encore la ruine de ce spectacle . Ils entraînent après eux l’esprit de parti, ils
85 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — I » p. 134
et : l’âme un instant ravie n’est pas satisfaite : elle retombe ou le spectacle l’a prise, d’où la musique l’a relevée, l’invitan
86 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Madame Balachova. »
est le cygne : Pavlova. Et je reproche amèrement aux organisateurs du spectacle de ne pas avoir fait danser à Smolzoff une de ses
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
e toutes parts, et Danaüs ne pouvant plus soutenir la vüe d’un pareil spectacle , tombe sans sentiment sur une couchette. Le bruit
eur fureur sur un jeune homme nouvellement couronné par l’Hymen. A ce spectacle , les Danaïdes reculent épouvantées ; Hypermnestre
cruelles épouses s’efforcent de leur arracher. Danaüs se repaît de ce spectacle  ; mais craignant qu’il n’echappe quelque victime
uvre ses frères massacrés et baignés dans leur sang ; la vue d’un tel spectacle le transporte de fureur ; il veut courir au secou
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
igne d’un pédantisme chagrin ? Ayons le courage de le dire : c’est un spectacle exquis. En faisant mouvoir la beauté vivante selo
probation, des femmes exquises réjouirent leurs yeux par d’harmonieux spectacles . Ce sont ces fêtes qu’il nous faut envier à la gé
89 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
amp; c’est ce qui fait que l’homme seul est capable d’être touché des spectacles . C’est le propre de la Peinture & du Balet d’
imoient si fort ces représentations & ces démonstrations dans les spectacles du Théâtre, que quand il faloit représenter le su
nous apprend que Néron fit aussi servir les Chrétiens à de semblables spectacles , après l’embrasement de Rome, pour tâcher de se d
90 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
Marten Stein et moi, dans un coin du balcon d’où nous pûmes suivre le spectacle . Le spectacle !… Je m’en moquais un peu du specta
t moi, dans un coin du balcon d’où nous pûmes suivre le spectacle. Le spectacle  !… Je m’en moquais un peu du spectacle. Et j’euss
pûmes suivre le spectacle. Le spectacle !… Je m’en moquais un peu du spectacle . Et j’eusse été fort en peine de dire ce que je v
91 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
l’Athénée, M. et Mme Flammarion vinrent un soir dans ma loge après le spectacle , en même temps qu’Alexandre Dumas fils. Comme il
rubans de mon chapeau, probablement pour les garder en souvenir d’un spectacle qu’il jugeait mémorable… Dans une autre circonsta
le qu’il jugeait mémorable… Dans une autre circonstance, je donnai un spectacle non moins mémorable, mais à un nombre de personne
92 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
ut la curiosité du peuple, je ne puis ignorer qu’il est des genres de spectacles qui l’attachent de préférence. La vüe de bœufs, d
s avoir vû tous les grands préparatifs de la fête, jouiroit encore du spectacle le plus pompeux et le plus imposant. Le cortège a
ar le génie des arts, offriroient un ensemble vraiment miraculeux, un spectacle unique et ravissant, une fête absolument neuve, o
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XII. De la Danse sacrée des Turcs »
nt avec la plus grande rapidité. Les mosquées sont les théâtres de ce spectacle extraordinaire. Les Dervis y pirouettent avec une
94 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
nie s’échauffant par degrés, parvint enfin jusqu’à la combinaison des spectacles réguliers, la Danse fut une des principales parti
95 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « Préface de l’auteur »
olume, qui a pour objet la danse, les chroniques et comptes rendus de spectacles publiés par moi depuis une année et parus pour la
96 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 janvier. Quelques danses sur des airs populaires espagnols. »
ysées pour y danser sur des airs espagnols populaires. Je sors de son spectacle et déjà les particularités de ses diverses danses
97 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « A Sa Majesté l’Empereur de toutes les Russies. » pp. -
au rang suprème que pour jouir du privilège de faire des heureux. Ce spectacle consolant embellit mes derniers jours, et me fait
98 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 12 février : Réception faite à un Gentilhomme de Campagne — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
N’est pour moi nullement un jour De société, ni d’amour, De jeux, de spectacles , de danses, Ni d’aucunes réjouissances, Et si j’a
99 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
s compte de tant de générosité. Et constatons avec amertume qu’un tel spectacle aurait sans doute fait la fortune d’un théâtre de
r son profil de mousquetaire, contribuer à l’unité optique de ce beau spectacle qu’on voudrait revoir infiniment et qu’on ose à p
100 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Les Ballets Léonidoff. »
e méthode plus sévèrement raisonnée, une sélection plus plausible des spectacles qu’il nous offre. Les « Ballets Léonidoff » qui s
/ 248