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1 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
(bientôt) un brave homme Qui, sans s’arrêter aux marchands de vin, Le soir rentrerait en disant : Enfin !… Et les rendrait f
aze et de soie Leur corps mollissant se dessinera, Et la Galerie, aux soirs d’Opéra, Se pâmera, rien qu’à les voir, de joie…
at. Elle et le marquis de X…, un abonné s’aimaient d’amour tendre. Un soir , Mlle F. S… ne rentra pas, pour la première fois,
parti sur cette qualification. — Est-ce que sérieusement, a dit hier soir à la fillette une de ses camarades de loge, tu cr
2 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
t tenté d’illuminer. Montaubry, le ténor, honore aussi, à de certains soirs , le théâtre de sa présence. Il se moque de la tro
chestre, des ouvreuses, de l’Entr’acte, des petits bancs. — Un de ces soirs , il se moquera de lui-même. Je suis convaincue qu
uvez pas entrer, lui dit ce dernier. — Pourquoi donc j’entre tous les soirs  ? — M. Sari vient de supprimer toutes les entrées
3 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
ou qu’on va jouer. Elle les sait à un tel point, qu’elle remplace, le soir , instantanément, la première venue. Et cela sans
le retard d’un chemin de fer. Julia, une biche de passage, a donné un soir pour excuse d’une représentation manquée : — Qu’e
butantes du théâtre, vient faire répéter jusqu’à quatre heures, et le soir joue un rôle écrasant jusqu’à minuit. Malgré ces
evanche, son collaborateur habituel, M. Ernest Blum, y vient tous les soirs . Je crois qu’il y couche. VIII Je dirais bi
entil et surtout… trop journaliste. IX Cependant, à de certains soirs , les coulisses se peuplent d’étrangers, le foyer
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
XXIV comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre Un soir , pendant l’Exposition de 1900, M. et Mme Jules Cl
étitions de Salomé. Ils voulurent bien accepter mon invitation et, un soir , ils arrivèrent au Théâtre d’Art pendant que je «
s musiciens à l’orchestre, malgré qu’ils ne fussent pas au théâtre ce soir -là. M. Claretie dont l’amabilité est proverbiale,
ne bien l’impression de mon travail de répétition. « J’ai eu, l’autre soir , écrivait-il, comme la vision d’un théâtre futur,
révolutionnaire en son genre, une révolutionnaire de l’Art. Et là, ce soir où je l’ai vue répéter Salomé, en robe de drap, s
s’entourera de ces serpents noirs qu’elle a seulement maniés, l’autre soir , dans la coulisse, parmi les accessoires. » Ce so
t maniés, l’autre soir, dans la coulisse, parmi les accessoires. » Ce soir -là, entre deux essais, M. Claretie m’avait encore
5 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
. — Les bijoux. — La nouvelle gazza ladra. — Pieds de danseuses. Les soirs de représentation, la danseuse doit arriver à l’O
malheur, le jugea irréparable et ne pensa plus qu’à la vengeance. Un soir , au coin de la rue Saint-Nicaise, — où était situ
ait d’air — absolument. On y manquait de beaucoup d’autres choses. Un soir , mademoiselle François était en train de boutonne
e de peine. Léchez — n’empâtez pas ! La mère d’une danseuse entre un soir , en sanglotant, dans la loge de sa fille, au mome
ne se serait pas exposée à entendre ce que M. de P… lui répondit, le soir de la répétition générale du Tribut de Zamora. S
l’administration… Ceux-ci ne s’en vont pas du tout… Au contraire ! Le soir du Tribut de Zamora, mademoiselle L… s’était inst
nt pour Sa Majesté près de l’Académie royale de musique, — dansait un soir  — 1727 — lorsque sa robe et ses paniers, accroché
6 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
missaires artistiques me demanda s’il ne me plairait pas de donner un soir une représentation en plein air. C’était mon plus
ient deux bassins qui laissaient jaillir des fontaines lumineuses. Le soir de ma première arriva. J’étais d’une impatience f
yeux et que je ne pouvais plus effacer son sourire de ma mémoire. Un soir il y eut bal à l’hôtel. J’y fus invitée, naturell
dépit de ma réserve et de ma froideur, y fût-il parvenu, si, un beau soir , il n’avait disparu, sous le coup de poursuites,
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
signature de mon imprésario et était ainsi conçu : « Prenez train ce soir même pour embarquer après-demain destination New-
ans la rue. — J’étais engagée pour quelques représentations à Spa. Le soir de mes débuts, la reine et la princesse Clémentin
e ne voulait pas me dire son nom. — Victoria de Schaumbourg-Lippe. Un soir que je dansais à La Haye, la princesse était dans
Je répondis : — Dites aux archiduchesses qu’elles peuvent me voir ce soir au théâtre. La pauvre femme m’avoua alors qu’on l
du Soleil de la décoration persane. On m’a dit, par ailleurs, que, ce soir -là, les préoccupations du Shah avaient été pour u
i. — Je dansais à New-York, lorsque la suite de Li Hung Chang vint un soir au théâtre. Des amis me présentèrent à l’attaché
adressé directement à moi, au lieu de prévenir le directeur. Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écri
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 1er mars 1664 »
rné, Et d’invention singulière, Avec l’ordinaire lumière, Fut vers le soir , Jeudi passé, Pour la dernière fois dansé ; Et co
9 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
uation actuelle. Rita Sangalli Voici ce qui se passa, certain soir , il y a une quinzaine d’années, au Grand-Théâtre
cès. Il est vrai que le succès la soulève à un tel point qu’un de ces soirs , elle pourrait, encore dépasser la rampe et tombe
isco, à donner, dans cette ville, le 5 janvier 1869, à huit heures du soir , une représentation des Chasseurs noirs, ballet a
emporté par trois heures de vitesse — , et saute dans le train. Et le soir , à huit heures précises, on jouait les Chasseurs
dans la journée, les tours de force auxquels les pieds se livrent, le soir , en leur vivacité rythmée. La bouche, charnue, d
remplace par des pigeons. J’en ai eu de quoi monter un colombier. Un soir , on me jetait le mâle, et, l’autre soir, la femel
quoi monter un colombier. Un soir, on me jetait le mâle, et, l’autre soir , la femelle. — Et que diable avez-vous fait de to
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 22 août : Ballet, La Destinée de Monseigneur accompagnant la tragédie de collège Sigéric — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 août 1662 »
oliers des Jésuites, Dont les Personnes sont instruites Aux Sciences, soir et matin, Représentèrent en Latin, Sur un Théâtre
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
Loret, lettre du 2 août 166436 Sur le soir , une Comédie Très abondante en mélodie, Sujet par
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
Le susdit Ballet harmonique, Allégorique, magnifique, A, durant des soirs , ou des nuits, Été dansé cinq fois depuis, Où Ver
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
it projeté, de façon que le Roi ayant attendu depuis quatre heures du soir jusqu’à sept aux Tuileries, le mouvement et achem
et les plus grands Seigneurs de la cour. Il commença à dix heures du soir , et ne finit qu’à trois heures après minuit. Balt
un combat de quatorze blancs contre quatorze jaunes à huit heures du soir aux flambeaux. Le Mardi 17, autre combat, à la Pi
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
u du spectacle. Et j’eusse été fort en peine de dire ce que je vis ce soir -là. J’attendais la Serpentine, ma rivale, ma vole
aussi nettement que Marten Stein et moi-même !… Il a dû réprimer, ce soir -là, une terrible envie de rire. De fait, il la ré
lendemain il paya mon imitatrice, et elle quitta le théâtre. Le même soir je pris sa place et il me fallut répéter sa danse
15 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
ns de Salomé au théâtre de l’Athénée, M. et Mme Flammarion vinrent un soir dans ma loge après le spectacle, en même temps qu
non moins mémorable, mais à un nombre de personnes plus restreint. Un soir je rentrai chez moi à 8 heures et trouvai ma mais
it pas absolument correct. Le plus drôle toutefois, c’est que ce même soir j’avais rencontré quelques amies et que j’avais é
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
ce qui se passait dans ladite petite ville. A la fin de la pièce, le soir de la première, nous jouâmes notre scène d’hypnot
dans une grande glace pour me rendre compte de ce que j’avais fait le soir précédent. Le miroir se trouvait juste en face de
l’une ni l’autre. Mais quelques mois plus tard mon amie me dit que ce soir -là je ne cessai de faire entendre une sorte de gé
ant, je demandai s’il n’était rien venu pour moi du Casino. Rien ! Le soir , mes amies allèrent au théâtre où elles purent co
au théâtre où elles purent contempler une affiche annonçant, pour le soir suivant, les débuts dans « la Serpentine » de mis
17 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
ligence, de Londres à Bristol. Le lendemain, à six heures et demie du soir , elle s’embarquait sur le Great Western, le plus
à Boston, elle montait à bord du Caledonia, qui la déposait le 28 au soir à Liverpool. De là elle se rendit rapidement par
bénéficiaire fit une visite préalable aux notabilités de la ville. Le soir du jour solennel, il lui fallait s’asseoir, en co
re sont mis aux enchères et atteignent des prix fous. A la Havane, un soir de bénéfice, Fanny est cherchée à l’hôtel par un
vrais vous dire quelques mots de l’œuvre que nous avons entreprise ce soir , mais mon cœur n’en a pas la force. Laissez-moi v
« Il paraît, dit l’honorable M. Weise, en constatant à une séance du soir un trop grand nombre de sièges vides, il paraît q
renvoyée au lendemain. Il fut décidé que la Chambre se réunirait les soirs où Fanny ne danserait pas. Comme Fanny prenait un
me ville se passa une scène qui rappelle des épisodes de la Bible. Un soir que Fanny rentrait du théâtre, une femme du peupl
llemands de toutes les conditions et de tous les partis à assister ce soir , à sept heures et demie, dans le local de M. Loui
faite, elle fut choquée des toilettes criardes des Havanaises. Chaque soir , de quatre à six, les belles créoles faisaient le
llumaient à toutes les places. Lorsque ces belles dames recevaient le soir , on écartait les rideaux du salon ; tous les pass
se l’aiguillon du gain, à qui ne souriaient point les muses, avait le soir au théâtre, en un moment de détente, la révélatio
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
Lecteur débonnaire, Seulement, pour te satisfaire, Je t’assure que ce soir -là, (Car on m’a confirmé cela) Des Masques, envir
19 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
s l’espace de quelques heures, le mal fit des progrès rapides, et, le soir , la pauvre sylphide avait perdu ses ailes ; le so
s rapides, et, le soir, la pauvre sylphide avait perdu ses ailes ; le soir , elle était étendue sur sa causeuse, d’où, malgré
nément avec celle de notre Théâtre-Italien. A son entrée en scène, le soir de son début, son pied se prit dans une costière
20 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
el point nous tous vous portons dans nos cœurs. Vous rappelez-vous ce soir de novembre à Saint-Pétersbourg, où, dans ce sous
21 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
on journal à tout faire dit que l’on redoute des étouffements pour le soir de la première représentation. En vue de cette so
s renforts empruntés à l’Opéra-Comique et au Gymnase. Il avait mis ce soir -là sa redingote la plus voyante et son gilet le p
le, dans le grand parc ombragé de vieux arbres où elle se glissait le soir , sous la fenêtre à ogive du jeune duc de Reichsta
ues que les spectateurs de la Tempête lui avaient décochés le premier soir . Les dithyrambes qui saluaient sa nouvelle rivale
mérites des deux rivales. Véron les fit paraître toutes deux le même soir , un dimanche, Marie Taglioni dans le Dieu et la B
Dieu et la Bayadère, Fanny Elssler dans la Tempête. « Nous saurons ce soir , dit le Courrier des Théâtres du 7 décembre, si l
utante à se montrer inférieure à elle-même, en la privant, le premier soir où elle affrontait le public parisien, de l’appui
de ce que Paris renferme de sommités sociales, voilà l’Opéra pour ce soir . Bien fou qui y résisterait ! Encore plus fou qui
22 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
ombre de ses trilbis, il vous associera aux jeux de ses lutins, et le soir , il éclairera le forestier sous les noires voûtes
tuel rédacteur des Nouvelles à la main, qui le premier a découvert un soir le passage de cet astre sous le disque d’un réver
n, il transporte ses pénates et son mobilier à un quatrième étage. Un soir , il va prendre l’air sur le boulevart extérieur ;
uand elle veut que sa vie soit mystérieuse. On viendra me prendre ce soir . Si on savait que je suis chez vous, on serait bi
onte plus en omnibus qu’avec une brochure roulée entre les doigts. Le soir elle va à l’orchestre, et dit à chaque apparition
ette scène improvisée, elle chante les couplets qu’elle a entendus le soir . L’Arthur fait l’orchestre sur un mirliton, le pè
ts : De la vallée aux Loups… minuit… Elle parle des heures lentes du soir … du concert du vent qui semble pleurer avec elle,
de zèle excusable parce qu’il est fort rare dans son emploi, porte le soir même la lettre à l’Arthur. Par une double fatalit
d’Opéra cinquante à soixante billets. Le nez de carton demande chaque soir à son portier si on n’est pas venu indiquer le jo
orte un bouquet-monstre et lui demande la permission de lui amener le soir quelques amis, sans façon. Le soir arrivé, trois
nde la permission de lui amener le soir quelques amis, sans façon. Le soir arrivé, trois cents personnes envahissent le logi
ais, le violon, me fait la cour ; je lui ai donné rendez-vous ici, ce soir , à huit heures, et je l’ai prié, comme par capric
letage jusque sous l’édredon. Chaque page du roman qu’elles lisent le soir est mouchetée par la cerise cuite, tatouée par l’
s, mauvaises têtes, Sans raison comme sans chagrin, Du matin jusqu’au soir en fêtes, En noce du soir au matin ; Voilà les Lo
aison comme sans chagrin, Du matin jusqu’au soir en fêtes, En noce du soir au matin ; Voilà les Lolo, les Lolo, les Lolo, Le
23 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
a figuration. La jeune Marie-Anne ne se tint pas pour vaincue, et, un soir qu’un danseur manquait son entrée, elle s’élança
écutait sur le bord des rampes d’un côté à l’autre du théâtre. Chaque soir , le public attendait ce passage avec la plus vive
et de qualité ose se produire sur la scène sans cette précaution ? Le soir , cette repartie était connue de tout Paris ; on c
is avait accoutumé de dire : « Sardanapale dîne chez Lucullus. » Ce soir -là, autour de la table étincelante de fleurs, de
dansions ? s’écria la Pélissier. — Danser !… — Pourquoi pas ?… Chaque soir , nous nous fatiguons pour plaire à ces messieurs
is l’orchestre n’y verra rien. Je m’en charge. Roger tint parole : Le soir de ce bal déc… olleté, il amena au docteur Véron
24 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
moiselle Fatou Un de mes voisins à l’orchestre me disait, l’autre soir , pendant le divertissement de la Juive : — Tenez,
 ! Et prompte à coudre la pièce au trou comme on dit ! En entrant, un soir , au foyer, mademoiselle Mercédès demande : — Devi
e Palestine qui joue un si grand rôle dans l’histoire des Hébreux. Un soir qu’elle avait eu « des mots » avec une de ses cam
n immédiate, si on la surprenait encore en délit de mendicité. Or, un soir que la fine mouche avait, dans l’une de ces colle
re & Pamélar IIe Voici ce qu’on raconte sous le couvert : Un soir , un directeur voit une de ses artistes arriver, é
tes, mes petites chattes ? — Le jour, nous sons chez nos parents : le soir , nous allons au théâtre… — Et après ? — Ça s’dit
25 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
XIV la princesse marie C’était le soir de mes débuts, à Bucarest. On vint me dire que le
es dans notre causerie que son déjeuner attendit plus d’une heure. Le soir où je dansai au palais, je crus que la Princesse
mots : « Oh ! rien ne vaut le cher foyer. » Je venais de danser, ce soir -là, « l’Ave Maria » de Gounod, des danses de bacc
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
drai-je le sujet avec plus d’ampleur. Et maintenant, allons revoir ce soir Pétrouchka et le Faune, qui, issus de conceptions
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
re Sire, Que je prétends bien de revoir, S’il plaît à Dieu, Lundi, le soir , Pour lorgner encor la Personne De ce Brave Porte
28 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
La gaieté parisienne semble s’être réfugiée là. On y rit du matin au soir . Depuis le directeur jusqu’au garçon de théâtre,
l’argent. Il en est stupéfait lui-même. IV Je me souviens qu’un soir , à l’issue d’une première représentation qui avai
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
Loret, lettre du 31 juillet 1661 Ce fut le soir de ce Jour-là Qu’icelle Cour on régala De plusieu
30 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
gardait encore la mort qui venait de la prendre. C’était poignant. Le soir du début arriva. Le premier acte eut du succès, l
nication avec Hanako et lui dire qu’ils étaient venus la chercher. Un soir elle parvint à s’échapper avec sa suivante, et, s
31 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
e a été éclatant ; maints snobs jusqu’alors irréductibles admirent ce soir -là l’existence du ballet de l’Opéra. L’humour dél
32 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
de l’un des brillants officiers qui se battaient pour elle, tous les soirs , sous les réverbères. Clotilde avait les cheveux
t faire bon commerce avec elle : « Mon bon petit ami, « Je rentre ce soir , et je n’ai pu danser le pas que je voulais. Je s
eprend de le rassurer : — Je vais tout vous avouer. Ma fille danse ce soir à côté de Lise Noblet ; or, celle-ci a de très be
e Noblet et la femme du chanteur à la voix blanche que vous savez… Le soir , madame Alexis Dupont se trémoussait fort agréabl
un père ! Le père Dumilâtre, — qui avait été tragédien, — venait, les soirs où ses filles jouaient, s’asseoir au parterre de
on Dieu, comme elle danse !… On n’a pas idée de danser comme ça !… Un soir le voisin interpellé reconnut l’ancien tragédien,
uelle catastrophe termina une carrière si heureusement commencée : Un soir de mars 1862, à une répétition de la Muette, Emma
33 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
nt la carence de l’Académie Nationale, nous nous sommes rendu l’autre soir à l’Opéra-Comique ou M. Ruhlmann conduisait la su
34 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
lendemain les affiches annoncèrent ses représentations. J’y allai un soir , puis deux, puis trois. Du premier coup j’avais é
ues, elle repartit sans insister davantage. Je les ai vues danser, un soir , autour d’Isadora Duncan, habillées de bleu, de b
35 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
ommence à neuf heures et demie du matin pour finir à quatre heures du soir . Entre onze heures et midi, une vingtaine de minu
ions ! A toutes les saillies du décor, posé pour la représentation du soir , des chapeaux de vingt-cinq louis, des toquets de
36 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
. Par exemple il disait : « Elle absente, la vie parisienne de chaque soir était tout à fait impossible. » Ou encore : « Tou
ation des Huguenots. La société la plus brillante de Paris, réunie ce soir -là à la salle de la rue Le Peletier, accueillit,
once à son ambition. Asmodée détruit aussi l’auréole de Florinde ; un soir de représentation, l’étoile a beau se surpasser ;
oétiques et merveilleuses sont donc enfin rentrées au théâtre l’autre soir avec Mlle Taglioni115. » L’opposition des deux p
tumulte qui remplissait les rues Le Peletier et Grange-Batelière les soirs où l’affiche annonçait le Diable boiteux ou la Sy
éputations faites à Paris, ils se tinrent sur la réserve les premiers soirs . Ils furent effrayés aussi par la liberté de la c
de tes baisers, ma belle !… A toi, mon Andalouse, et les sérénades le soir , et les fêtes le jour, à toi les parfums enivrant
37 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
ns que personne s’en préoccupât puisque personne ne les entendait. Le soir de ce même jour, Mortier mit ses souliers devant
une demi-heure. Or, la demi-heure se prolongea jusqu’à sept heures du soir . On peut s’imaginer quel émoi était le nôtre. Voi
t dans mon sac de voyage, et nous passâmes la visite de la douane. Le soir , à l’hôtel, le jeune homme vint chez moi avec Mor
38 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
ait que l’illustre soldat qui devait être le duc d’Isly. Celui-ci, le soir de la répétition générale de la Révolte au Sérail
premier Empire, pourtant, quelque chose d’approchant avait existé. Un soir , à la vue de la décrépitude et de la laideur de c
ions les retiennent une grande partie de la journée au théâtre, où le soir les ramène forcément. Il n’y a là dedans rien de
39 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
intelligence rare. Dans le jour on y donne à déjeuner et à dîner ; le soir on y vend des rafraîchissements. Les gandins rich
regarder les daines passer ou pour les voir de prés, viennent chaque soir y consommer des liqueurs. Rien de plus bizarre qu
40 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
si souvent, et qui se préparait à jouer la comédie au Gymnase, où, le soir de son début, le quatrain suivant courait la sall
r quelques brûlures le long des jambes. Elle n’en dansa pas moins, le soir de la première ; mais, en retirant son maillot, l
41 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
ri pendant plus de quatre semaines. Lorsque j’eus un mois et demi, un soir une masse de gens s’arrêtèrent devant chez nous.
42 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
r les théâtres d’ici. D’abord nous sommes arrivés le 22 à 9 heures du soir après une traversée terrible dont je suis sortie
hé et je vous assure que le par-dessus le marché n’est pas fameux. Ce soir je vais voir la Garcia, sœur de la Malibran. On p
43 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
prendre devant la glace pour préparer l’effet de la représentation du soir  ; puis viennent encore les questions d’amour-prop
ort. Sans parler de la cause de leur beauté, qu’elles plaident chaque soir devant la rampe, les actrices poussent souvent l’
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
rter. « Le 31 Janvier (1610) après l’Office solennel du matin et du soir , sur les quatre heures après midi, deux cents Arq
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
e l’interrompit. — Oh ! je sais. C’est la prière qu’elle dit tous les soirs lorsque je la couche. Et j’avais récité cela dans
46 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
entendre et te voir, la terre modeste de la cendre que tu agitais le soir pour éveiller une étincelle, le tissu aux mailles
s ont vues, peut-être même à ceux qui les ont sous les yeux ; oui, ce soir , dans une belle loge à l’Opéra de Paris, ou à la
lphides ont emporté leur sœur expirée comme une fleur brisée avant le soir . Quand la Sylphide a disparu dans les airs, la ré
47 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
état de choses, en commençant à six heures et demie ou sept heures du soir et en finissant avant minuit. Et comment croyez-v
48 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
ument personne à Paris. Figurez-vous donc ma surprise, en recevant un soir la carte d’un des spectateurs, avec ces mots écri
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
re, zambellienne aussi l’école. A-t-elle bien fait dans Faust l’autre soir  ? Ma foi, je ne sais trop. M. Gaubert, énervé ou
50 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
vec les artistes qui lui témoignaient la plus cordiale déférence ; le soir au parterre41. » Les historiens d’Auguste sont u
atégie42. » C’étaient de vrais plans de bataille qu’il élaborait, les soirs de premières représentations. Il dispersait ses h
odestement s’asseoir à sa droite et l’écoutait comme un oracle. « Un soir , Auguste interrompit un air de longue haleine par
u’aux nuances les plus fines de ce langage musical ; je constatais le soir que mes instructions avaient été comprises et fid
51 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
bonné, le marquis de M… et une coryphée s’aimaient d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas ; la mère pleure, le pèr
e c’était assez du foyer de la Comédie pour alimenter la causerie. Un soir , à l’Opéra, il remarque les disgrâces physiques d
 Emma Livry, emportée, hélas ! par une mort affreuse : le feu prit un soir (1862) à la gaze de ses jupons, et elle expira ap
52 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
chante à l’opéra de Paris ; vous eussiez été surpris de rencontrer le soir dans les rues des ouvriers de toutes les classes,
53 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
ame, qui brillent à l’opéra depuis sept heures jusqu’à onze heures du soir , et que le public regarde comme autant de corps c
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
à travailler pour eux-mêmes ; on répétera pendant l’après-midi et le soir on dansera : voilà cette existence qu’on aime cro
55 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
rlocuteurs. Pour commencer, je vais te raconter mon arrivée ici, hier soir , par un joli brouillard qui ne m’a pas permis de
n étais amoureux fou, et tu t’en inquiétais assez ! J’allais tous les soirs au théâtre ; je mettais mes plus beaux habits et
56 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
à un maître du trapèze ou bien à ce modeste mime que j’ai vu, l’autre soir , figurer un pochard avec une « maestria » à toute
57 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
let de Saint-Léon, il est d’un agrément vraiment inépuisable. L’autre soir , j’ai pris un plaisir particulier à la variation
58 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
mination d’un palais n’étaient pas encore livrés. « A onze heures du soir , M. Duponchel, M. Desplechin, M. Feuchères, M. Sé
x heures, on faisait une répétition générale de l’illumination et, le soir , on représentait la Tempête qui, sous une autre d
fit un signe à son fidèle Auguste, qui comprit, comme d’habitude. Le soir , lorsque Louise eut exécuté son pas d’ordinaire l
59 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
adressait à lui-même et qui ne l’empêchaient pas de reprendre, dès le soir suivant, sa place autour du tapis vert. Après des
le vouloir, m’a emprisonné dans un véritable réseau magique. Venez ce soir au ballet et vous verrez combien elle est belle !
it enfin, le jour des adieux, à faire taire ses gémissements. Le même soir il lui écrivait encore pour la remercier : « Tu
immense. Toute la journée il avait montré un entrain merveilleux. Le soir sa bonne humeur avait mis en fête le salon du pri
t. » Il n’est plus de force à supporter des plaisirs violents. « Hier soir , écrit-il un autre jour à la même, j’étais à demi
n tête-à-tête et un entretien mélancolique avec Prokesch, et enfin le soir un autre tête-à-tête dont je dirais volontiers av
il accuse un « noble breuvage » que Fanny lui a préparé la veille au soir . « Je désire savoir, écrit-il, le matin du 23 avr
60 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
lle faisait son apparition dans le divertissement de la Vestale. Ce soir -là, Duponchel avait apporté au théâtre un énorme
ui ne se reposait jamais ! Sans elle, sans la Sylphide, il fallait ce soir -là fermer les portes du théâtre, et on les ferma.
testation solennelle, qu’une manifestation énergique auraient lieu le soir de la représentation d’adieux de leur idole… Dans
r cette illumination manquèrent à l’appel… Aussitôt, à onze heures du soir , M. Duponchel, M. Desplechin, M. Feuchères, M. Sé
61 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
al dans l’Hôtel-de-ville, le 8 Septembre 1745. Sur les sept heures du soir , leurs Majestés, avec toute la famille royale, en
ntés au Roi par M. le duc de Gesvres. Sur les huit heures et demie du soir , M. le prévôt des marchands demanda l’ordre du Ro
ire. « Le 31 Janvier (1610)2, après l’office solennel du matin et du soir , sur les quatre heures après midi, deux cents arq
t projeté ; de façon que le roi ayant attendu depuis quatre heures du soir jusqu’à sept, aux Tuileries, le mouvement et ache
un combat de quatorze blancs contre quatorze jaunes, à huit heures du soir , aux flambeaux. Le mardi 17, autre combat à la pi
oncours des masques a monté à plus de 12000 depuis les huit heures du soir , que le bal commença, jusqu’à huit heures du mati
le lendemain elle arriva à Bordeaux sur les trois heures et demie du soir , au bruit du canon de la ville et de celui des tr
ur recevoir l’appareil d’un feu d’artifice qui devait être exécuté le soir de l’arrivée de Madame la Dauphine. Cet édifice a
les six heures à l’Hôtel des Fermes, y resta jusqu’à huit heures. Le soir Madame la Dauphine alla au bal, habillée en domin
troisième fois, et l’on représenta l’opéra d’Hippolyte et Aricie. Le soir il fut déclaré qu’elle partirait sûrement le lend
ésident du parlement et l’intendant donnèrent l’exemple ; ils tinrent soir et matin des tables aussi délicatement que magnif
ifiquement servies. Le corps de ville de Bordeaux tint aussi matin et soir des tables très délicates, et tout s’y passa avec
on ait jamais tirée, occupa Sa Majesté jusqu’à près de neuf heures du soir . Alors le Roi passa sur le parquet de la salle du
le spectacle élégant dont elle voulait surprendre la Reine. Ainsi le soir du 12 Juillet 1729, en se promenant avec elle sur
centre de la fête et du spectacle. Le 24 Janvier 1730, à 6 heures du soir , les illuminations préparées avec un art extrême,
62 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
IX alexandre dumas Un soir aux Folies-Bergère on m’apporta deux cartes. Sur
63 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
oyer aux danses et aux jeux un temps destiné â assister à l’office du soir , pour y louer Dieu d’un même cœur et d’une même b
64 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
e bat comme s’il s’agissait d’un début solennel, et, en effet, chaque soir je débute. J’ignore toujours une seconde auparava
65 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
ante ans, et qui n’en parait que trente. XV Je le rencontrai un soir aux Italiens. — Il me proposa d’entrer aux Délass
66 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
en préoccuper. C’est alors que je réclamai la permission de danser le soir même au théâtre allemand au bénéfice d’une actric
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
à danser ! * * * Il allait être minuit quand nous pénétrâmes l’autre soir dans ce fourré touffu de la jungle parisienne qui
68 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
. L’exécution fut remarquable quoiqu’inégale. La princesse du premier soir fut Mlle Olga Spessivtseva, jeune ballerine qui n
69 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
e se grise, son langage est commun, elle injurie sa bonne du matin au soir . Sa bonne en rit, et elle a bien raison, elle sai
70 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
n. Le directeur d’un des premiers journaux de New-York avait amené un soir , au théâtre, sa femme et sa fille pour me voir da
71 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
n — sans lequel plus d’une d’elles n’eût pas eu la force de danser le soir  !… *** Les choses ne se passent pas autrement de
72 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
Meyerbeer écrivit le fameux ballet des nonnes de Robert le Diable. Le soir de la première, le 21 novembre 1831, elle fut sau
est que Laporte, toujours à deux doigts de la faillite, n’avait pu ce soir -là payer d’avance, comme le voulaient les convent
des représentations à bénéfice fussent mis à jour, elle prélevait le soir même une part de la recette. Les archives de l’Op
73 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
siasme qu’excite toujours sa fameuse cachucha, qu’elle dessine chaque soir avec une hardiesse de plus en plus espagnole, mon
eusement acclamée, et l’article de Th. Gautier valait de l’or. *** Le soir du 5 mai, la joie de la triomphatrice aurait pu ê
lettres a noté, dans son Second memorandum, sa présence à l’Opéra, le soir du 22 septembre. Il dit : « On jouait le Philtre,
de telle sorte, en effet, que Mlle Fanny Elssler dut prévoir, dès ce soir -là, le sort réservé à la Gypsi. Quelle imprudence
e et les témoignages de sympathie qui lui furent prodigués ce dernier soir pouvaient lui donner confiance pour l’avenir. Dan
74 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
endis à mes études ordinaires et ne revis Mlle Fiori que le lendemain soir , quand on porta le corps à l’église. Elle voulut
là, je me sens mieux. Il ne fallait plus me parler d’aller danser le soir . On dut changer le spectacle et je restai trois j
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
je l’agitai dans les rayons colorés, à la manière des étoffes que, le soir , j’agitais dans le rayonnement de mes projecteurs
76 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
cela. De fait, madame, elle a transformé les Folies-Bergère. Tous les soirs le public habituel des promenoirs est submergé pa
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
, ne jeûne pas ; encore, poursuit-il, qu’il pousse son jeûne jusqu’au soir , selon la coutume constante de ce temps-là, il po
78 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
ances humaines, il se plaisoit à descendre sur la terre, à danser les soirs des branles aux chansons, à rire de mauvais conte
79 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
élas ! la danseuse doit bientôt oublier cette promesse ! — Appelée le soir même à exécuter un pas de deux dans un divertisse
e. Afin de le désabuser tout à fait, Asmodée médite de le conduire le soir même chez Florinde. — La belle courtisane donne u
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
compagnon. — Quelqu’un, on peut le dire, allez. Et mieux chercher le soir  ? — Quelqu’un, on peut le dire, allez. Et mieux q
81 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314
u partent d’un point plus éloigné du centre de gravité. Quoi qu’il en soir , la Danse noble & terre-à-terre est la seule
82 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
ur, et il ne faudrait pas jurer qu’au fond de son couvent, à certains soirs de première, il ne récitât pas des chapelets pour
u besoin. Alphonse Royer dit qu’il voyait les deux sœurs « quitter le soir le théâtre de la Porte de Carinthie après le spec
83 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
énat ; & quand tout fut disposé, il le convia à un festin pour le soir dans son Palais, sous prétexte d’avoir une affair
84 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
outes les veilles des Fêtes de la Vierge ; les filles s’assemblent le soir devant les portes des Eglises de Notre-Dame, &
85 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
étré deux heures de la journée du rôle dont on doit se débarrasser le soir , à la bonne heure, mais, ne s’exprimer perpétuell
86 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
viendrait la trouver en cet endroit. Un jeune mousquetaire y parut un soir , cherchant, disait-il, une de ses parentes, arriv
Maintenant l’Opéra est le plus fréquenté de tous les théâtres. Chaque soir on y voit se réunir ce qu’on nomme les notabilité
gouvernemens et aux rois, menace aussi l’empyrée de l’Opéra. Tous les soirs , à la sortie du spectacle, vous verrez une foule
87 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
ec des tables garnies dans toutes les rues, qui étoient illuminées le soir , où l’on dansoit des danses publiques ; desorte q
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
compatriotes ; la troisième était Lucile Grahn. Lorsque, le premier soir , Fanny Elssler parut dans Giselle, le public gard
n mouvement vertigineux. Une autre de ces séances intimes eut lieu un soir chez Julie Rettich, la grande actrice du Hofburgt
89 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
uvriers qui leur sont adjoints, faire une ronde d’inspection tous les soirs après les répétitions et les représentations ; et
90 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
aient tant de charme, à un idéal exclusif d’expression dramatique. Un soir , Rossini fit voir à Stendhal « un défaut chez Vig
91 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
, qu’il est certain d’avoir, Le matin il vous loue, et vous siffle le soir . Art poétique de Boileau. Chant III, vers
Louvre dans la grande salle de Bourbon ; il dura depuis dix heures du soir jusqu’à trois heures et demie après minuit, et co
92 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
rbillon des affaires qui l’a entraîné toute la journée, se délasse le soir dans des soupers aimables de la fatigue et des em
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