été fixées ; elles sont inconnues, et se perdent dans l’immensité des
siècles
. Ce que les auteurs anciens et modernes ont écrit
té, où je suis de lire dans le passé, et de voyager dans le néant des
siècles
, je ne Hazarderai pas de prononcer affirmativemen
sais pénibles et souvent infructueux ; ils érrèrent pendant plusieurs
siècles
, et toujours égarés, ils ne pouvoient arriver à u
it tout au goût et à la nature a surnagé sur les flots tumultueux des
siècles
; le tems n’a pu flétrir ses charmes, et elle bri
ment, où ils parvinrent à l’imiter, et à la faire sourire. Combien de
siècles
ont dû s’écouler, combien de tentatives infructue
es Batyae, et les Pylade. Tous ces hommes célèbres, en étonnant leurs
siècles
reçurent les tributs d’admiration et de respect,
ensanglantés des révolutions, sont arrivés jusqu’à nous à travers les
siècles
, et ils seront en vénération, tant qu’il y aura d
res, et rares, qui en éclairant le monde, ont fait la gloire de leurs
siècles
, et sont encore aujourd’hui l’ornement de la natu
rs la perfection. L’époque de leur gloire est invariablement fixée au
siècle
de Périclès. Ce fut à Athènes qu’ils déployèrent,
chapitre du Virgile travesti — et retravesti — une mythologie « grand
siècle
» où autour du danseur empenné et enjuponné d’apr
des belles en paniers à la Camargo, or et bleu, font des pointes — un
siècle
ou plus « avant la lettre ». Donc, Bakst a imagin
l Dufy (qui semble tendre la main à Eugène Lamy, costumier, il y a un
siècle
, de la première Sylphide) peuvent prétendre à un
ente, du triomphe des arts ; j’en ai fixé la brillante époque au beau
siècle
de Périclès ; mais je ne vous ai rien dit de leur
progrès, et cette perfection sublimes furent encouragés pendant deux
siècles
; les récompenses, les distinctions et les honneu
efface ses plus belles actions ; c’est une tache que le tems, et les
siècles
ne peuvent faire disparoitre. Ici, je vois Homère
mère, l’immortel Homère, le modèle de tous les poëtes, et de tous les
siècles
, le confident des Muses, le favori et le secrétai
masqués pendant le règne de Louis XIV avait mis au commencement de ce
siècle
cet amusement à la mode. Les Princes faisaient gl
rtuner le Roi. Ce Magistrat que la postérité, pour l’honneur de notre
siècle
, mettra de niveau avec les hommes les plus célèbr
e notre siècle, mettra de niveau avec les hommes les plus célèbres du
siècle
de Louis XIV107, sut bien changer une cour irrégu
ui, comme le feu sacré, ne s’éteigne jamais. Qu’on se persuade que le
siècle
qui a produit, dans les Lettres, L’Esprit des loi
elle, et l’Encyclopédie, peut aller aussi loin, dans les Arts, que le
siècle
même d’Auguste. 145. Par Mouret.
utres. Il est aisé de conclure d’un trait aussi caractéristique de ce
siècle
, que les connaissances, l’esprit et le goût y éta
sophie un vain amas de sophismes inexplicables et sans vertu. Dans un
siècle
où on aurait pensé, la prévoyance du Gouvernement
croit sans doute fort inférieurs aux Danseurs, tant vantés du dernier
siècle
. La tradition théâtrale nous les peint comme des
ropositions. Je crois les Danseurs modernes fort supérieurs à ceux du
siècle
dernier ; quoique je sois très convaincu que la D
après avoir obtenu (ce qui est assez rare) les suffrages même de leur
siècle
. Que ne pouvons-nous joindre aux noms de ces gran
A peine conserve-t-on une idée de ces pantomimes si célébres dans le
siècle
d’Auguste. Du moins si ces grands compositeurs ne
i puissans. Les programmes des ballets, qui ont été donnés, il y a un
siècle
ou environ, dans les différentes cours de l’Europ
ain nombre de pas et de figures dont le public est rebattu depuis des
siècles
; de sorte que les ballets de Phaéton, ou de tout
Lustres, Ses décorations illustres Ont un éclat si surprenant, Que le
siècle
de maintenant N’a point vu de splendeurs égales D
e sommes encore à cet égard qu’au point louable où en sont restés les
siècles
polis ; mais craignons de nous plonger dans l’exc
is craignons de nous plonger dans l’excès, et dans la dépravation des
siècles
corrompus. Quelle erreur funeste par exemple, si
progrès qu’ils ont faits successivement dans cet art depuis plusieurs
siècles
; car ils composoient savamment à l’époque où tou
le commerce de l’Inde a élevé l’Angleterre ; et l’on a vu depuis deux
siècles
l’essor prodigieux qu’il a donné à cette nation.
ense vraiment royale, et qui fut porté souvent dans les deux derniers
siècles
au plus haut point de magnificence et de grandeur
semble que, sur ce point, plus heureux que les Anciens, les derniers
siècles
et le nôtre aient trouvé le temps qui était le pl
ameuse Procession des Panathénées. J’ai appris par ce livre que, deux
siècles
durant, esthéticiens et archéologues — dont l’ill
, d’ailleurs, de quoi s’étonner. Sait-on qu’il y a plus d’un quart de
siècle
un savant français usa de la cinématographie enco
e parti fort judicieux de ne pas utiliser cette musique parisienne du
siècle
passé pour en tirer quelque variante de Shéhéraza
ante ne tardera pas à vous dédommager de vos peines. Connaissez votre
siècle
: il aime les Arts. Tout ce qu’ils tentent pour l
utation soit passagère ; parce qu’il a l’art de saisir le goût de son
siècle
, & que ce qui plaît à un siècle ne réunit pas
a l’art de saisir le goût de son siècle, & que ce qui plaît à un
siècle
ne réunit pas toujours le vrai beau, digne d’être
s. La postérité n’est autre chose que le suffrage unanime de tous les
siècles
. Pourquoi mettrait-on tant d’ouvrages au jour, s
auroient besoin d’adopter l’usage que les peintres suivoient dans les
siècles
d’ignorance ; ils substituoient à la place du mas
du silence et de l’inéfficacité de leurs mouvemens. Dès le troisième
siècle
, on commençoit à s’appercevoir de la monotonie de
ns excités alors par les succès qu’ils pouvoient se promettre dans un
siècle
où tout sembloit élever et seconder le génie, soi
ns doute, quelques droits sur leurs loisirs. La bonne Compagnie de ce
siècle
lit et s’éclaire. Jamais la pédanterie ne fut si
e Mars des Temples, des Prêtres, et des Danses. Les Philosophes21 des
siècles
les plus reculés qui ont cherché la première caus
a fait éclater dans les siens. Elle avait au commencement du dernier
siècle
, le Comte Philippe d’Aglié, le génie peut-être le
teau, qu’il s’appelle « Olympia » ou « Gaîté-Montparnasse », quarante
siècles
, et plus, nous regardent. Et ce n’est pas là une
i les aigles romaines en qualité de soldat du train ; sur cela, trois
siècles
ou quatre passent, et nous le retrouvons, grand c
ne douce illusion, et à se persuader que le goût et les talens de son
siècle
sont fort au dessus de ceux des siècles précédens
e le goût et les talens de son siècle sont fort au dessus de ceux des
siècles
précédens ; il applaudit avec fureur aux cabriole
n’apparaît qu’à l’état de suggestion lointaine, d’écho amorti par les
siècles
. La chorégraphie mêle avec un esprit de finesse e
tions bien tardives. Cette pénurie est d’autant plus étonnante que le
siècle
d’Auguste fut celui de l’éloquence. Cicéron fut l
Mais tout est miracle, tout est mystère dans l’antiquité ; l’amas des
siècles
, les voiles épais qui les enveloppent, dérobent l
qu’on s’est permis de faire à des usages établis et consacrés par les
siècles
, m’autorisent à m’étendre sur les abus qui se son
t-il question d’une forêt antique et éloignée plantée par la main des
siècles
; le peintre-paysagiste ne portera ses regards qu
ux extrêmes. Le résultat de mes observations vous prouvera que chaque
siècle
a eu ses ridicules et que les goûts les plus biza
rien de ce qu’invente Fuller ne saurait être indifférent. Un quart de
siècle
n’a pu anéantir la fascination de sa « danse serp
on scénique de ce ballet porte l’empreinte de la plus basse époque du
siècle
dit « stupide ». J’admets que le sujet est une vi
souvient encore, et l’on se rappellera toujours avec regret, que les
siècles
de la chevalerie furent les siècles d’honneur et
era toujours avec regret, que les siècles de la chevalerie furent les
siècles
d’honneur et de la galanterie. Après cette esquis
ise à parler, au courant de la plume, de ces choses élaborées par les
siècles
et établies pour l’éternité. Mais alors, tout cel
talie et dont la brique rouge à découvert attend vainement depuis six
siècles
son revêtement de marbre multicolore. Rien dans u
ar on ne saurait mieux dire. Ainsi le passage sur les danses du grand
siècle
, étonnant entre tous, nous montre le rythme et la
les pontifes chrétiens imitèrent l’exemple de Trajan. Après bien des
siècles
, Bergonce de Botta (Voir la note 23 du chapitre p
erfectionnés jusqu’au dernier degré, par les artistes qui honorent le
siècle
présent. [2] Le très petit nombre d’ouvrages que
us représenter ce que fut Mlle Camargo, ni Mlle Taglioni. À la fin du
siècle
dernier, l’art chorégraphique était arrivé à un t
fait Mme Duncan, sinon reprendre une tradition, plus vieille de vingt
siècles
que la vôtre ? Nous prétendons seulement que la t
issement chez les Grecs et chez les Romains. Elle a dégénéré dans les
siècles
suivants, et après avoir été anéantie, ainsi que
parce qu’elle est puisée dans la nature, que l’expérience de tous les
siècles
la confirme, qu’en s’en écartant, la Danse n’est
ous honteux d’être Français ? Comment cette nation qui depuis tant de
siècles
a été admirée de toute l’Europe par les chefs-d’œ
leurs principes. Ce qu’ils enfantent, brave les années, triomphe des
siècles
et marche à l’immortalité. On reviendra au bon go
e mois offre ses ridicules ; chaque année étale son délire, et chaque
siècle
enfin ne présente au sage et à l’écrivain qu’un a
t triompher l’unité optique du spectacle, méconnue, perdue pendant un
siècle
ou presque ; Shéhérazade, instaura de même cet ex
mplis la Danse chez les Grecs, chez les Romains, et dans les derniers
siècles
. Vive, saillante, estimable et dangereuse tout à
pas égal avec la Poésie, l’Éloquence et la Musique. Dans les derniers
siècles
[,] froide et languissante, elle ne fut qu’un dive
stres modernes se consolent et se rassurent : les ouvrages du dernier
siècle
sont regardés maintenant sans contradiction, comm
re qu’ils ont été faits sans enthousiasme : tel sera le sort, dans le
siècle
prochain, de tous ces divers monuments glorieux a
l faut supprimer de cet article tout ce qui a été dit des orateurs du
siècle
dernier. Je réponds 1°. qu’il n’existe point de m
ux temps n’est plus, « & l’on dit tout haut qu’une Pantomime du
siècle
d’Alexandre ou de César, donnée aujourd’hui pour
en usage ; car je ne prétends pas moins qu’à la gloire d’éclairer mon
siècle
.... & la postérité. « Combien de gens ignor
on front est couvert. Voilà quel est l’aveuglement & la malice du
siècle
. Dès qu’on écrit, on s’attire des envieux ; des c
aire, qui fut tout à la fois le Protée, l’Esope, et le Roscius de son
siècle
. Pour bien peindre cet acteur sublime, il faudroi
r et du musicien parcourent avec leurs chefs-d’oeuvre l’immensité des
siècles
, et deviennent immortels comme eux. Il seroit bie
Garrick disoit que Grandval étoit le peintre fidèle des moeurs de son
siècle
; qu’il les représentoit avec une vérité d’autant
ave. Donc Jodjana a incarné, selon des procédés élaborés au cours des
siècles
, certains chapitres de la Légende Dorée de son îl
mérite dans tous les genres ; les Italiens nous ont donné depuis deux
siècles
d’excellentes leçons musicales, et nous ont toujo
; la plume de Voltaire traça tout-à la fois Zaïre et la Henriade, le
siècle
de Louis XIV. Candide et la Pucelle ; Rousseau, l
lent de leur opéra, et le ton de dédain dont les critiques du dernier
siècle
ont écrit en France, des Ouvrages Lyriques de Qui
passions. Quinault en voyait un131 digne de l’admiration de tous les
siècles
, où elles pouvaient être peintes avec le pinceau
des mouvements de caractère, la simplicité, la sagesse, le bonheur du
siècle
de Saturne. Cette image touchante se gravait dans
ir54. Telle aurait paru Mademoiselle Sallé, si elle fût venue dans un
siècle
, où la Danse théâtrale eût été mieux connue. Ce s
e toujours infaillible. Ils ont sur ce point l’expérience de tous les
siècles
. Ainsi lors qu’une continuité de grands succès él
orquer cet argument, contre ce que je dirai de notre Danse du dernier
siècle
. Les choses ne sont pas égales. Sous Louis XIV l’
il que notre Ville Capitale est montée. Tant il est vrai que dans les
siècles
les plus éclairés, il y a toujours dans les Arts
« Sylvia » L’on sait que la donnée de Sylvia date de plus de trois
siècles
; ce grand vent d’Italie qui, chaud et parfumé, s
Introduction L’art de la danse attira, dans les
siècles
les plus reculés, l’attention des législateurs ;
elle faisait des recherches dans les archives de la police secrète du
siècle
passé ; à seize elle étudiait la littérature anci
de la femme vient de revivre. L’âme de la danse devait naître dans ce
siècle
douloureux et fiévreux. Loïe Fuller cisela du rêv
, où l’on chante l’Alleluia, qui est la figure du cantique de joie du
siècle
futur : si le jeûne ne convient pas au temps d’un
lgares qui le consultoient, la même observance selon la tradition des
siècles
précédens. Cette sévérité venoit de l’ancienne di
se dans le chœur et dans la nef. En France même, au milieu du dernier
siècle
, on voyait encore les Prêtres et le Peuple de Lim
lusieurs années, suivi d’une suprématie décisive qui se maintint deux
siècles
, s’était étiolée, rompue, perdue dans tout l’Occi
u Malade imaginaire. Serait-ce donc là un tableau des mœurs du Grand
Siècle
, l’évocation d’un milieu précis ? Ou bien la reco
dirai-je ? Je le crois excellent et aussi pur que le permet la vie du
siècle
; mais c’est un ouvrier qui bâtit des églises et
e gens font pour justifier les danses, disent : « Nous sommes dans un
siècle
si débordé, qu’il n’y a rien de si louable qui ne
t même parmi ceux qui paroissent avoir renoncé à la vie des hommes du
siècle
. Ceux qui conservent une lumière plus pure, sont
’il leur est permis de vivre en particulier selon les maximes dont le
siècle
est ennemi : encore leur échappe-t-il souvent, ou
e. Elle introduit un facteur fortuit dans une formule ratifiée par un
siècle
d’expérience. Elle fait grimacer la perfection. N
pôtre du Limousin, le peuple dansait encore vers le milieu du dernier
siècle
dans le chœur de l’église, dont ce saint est le p
donne alors ces noms différents. Deruel danseur de l’opéra du dernier
siècle
, faisait la cabriole en montant, et l’entrechat e
et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils et des filles pour le
siècle
présent, on les laisse, par une molle et excessiv
, on les laisse, par une molle et excessive indulgence, périr pour le
siècle
futur. C’est ce qui a fait prononcer à saint Paul
à ce grand sculpteur, le Praxitèle, et peut-être le Phidias de notre
siècle
. Ses talents placent son nom à côté de ceux des M
mples éclatants qui frappent leurs yeux, par l’expérience de tous les
siècles
, par la voix intérieure qui crie sans cesse dans
èce dont s’étaient saturés les seizième, dix-septième et dix-huitième
siècles
. Louis Bœrne, qui était venu d’Allemagne à Paris,
nt tout naturellement à l’Opéra. Là Perrot prouva de nouveau qu’en un
siècle
où les préférences allaient aux danseuses, un dan
leurs premiers pas aux côtés des grandes danseuses du commencement du
siècle
, de Fanny Bias, la célébrité de l’époque impérial
nos jours55 . Notre Histoire embrasse en effet toute cette étendue de
siècles
; mais il doit connaître principalement les Fable
ité exquise, d’une galanterie évocatrice des belles manières du grand
siècle
. D’abord, les mots me demeuraient obscurs, mais,
rnant avec celles sur la pointe et le cou-de-pied ! Dire qu’il y a un
siècle
à peine Carlo Blasis — qui pendant cinquante ans
t leçons ! cela ne s’est jamais fait, en honneur, les talens de notre
siècle
sont surprenans. Le maître reçoit ces louanges a
s a laissé quelques ouvrages sur cette matière. 1. L’Orphée de notre
siècle
, l’ornement de la scène lyrique et le plus célèbr
ection, qu’elle a dû surprendre Noverre lui-même (a). Les artistes du
siècle
passé sont inférieurs à ceux des dernières années
au point. Sans doute la danse classique dure en évoluant depuis deux
siècles
, ou peu s’en faut. Elle n’en reste pas moins une
gier Pécourt en faveur de leur libre et poétique fiction d’un « grand
siècle
» imaginaire. Ils ont préféré l’invention désinvo
ions. Par malheur, les avant-scènes appartiennent les unes depuis des
siècles
, les autres plus récemment à des locataires peu d
’est surtout à partir de 1836, année où furent fondés la Presse et le
Siècle
, que l’on vit apparaître une pléiade de talents à
un bienfaiteur de la musique, et, par suite, de la nation. « Dans ce
siècle
de désillusions et de ruines, dit l’article, la m
la tyrannie, ni le despotisme et n’aspire à aucune faveur. Il faut un
siècle
pour que la vérite perce les ténébres dont l’envi
s, enfin le rétablissement de l’Ecole de Droit fermée alors depuis un
siècle
, on ne pourra se dispenser de regarder Colbert av
cle : le miracle se produisit. Après dix minutes qui me semblèrent un
siècle
, tant j’étais désireuse de savoir, il rouvrit les
que l’esprit intérieur nous a presque entièrement abandonnés dans un
siècle
marqué à tant de traits qui le déshonorent, et qu
exion : Ibid.c. 6, n.° 27.) « Si, selon les lumières de la sagesse du
siècle
, l’ivresse ou la folie sont le principe de la dan
a d’intéressant pour le cœur, on n’ait de goût que pour la vanité du
siècle
et pour ses dangereux plaisirs ? Saint Augustin a
objet particulier. Dieu qui vouloit apprendre aux filles de tous les
siècles
combien un tel désir est mauvais à ses yeux, et q
ailes du tems, triomphent de sa faulx, et parcourrent l’immensité des
siècles
. Le génie des arts est indestructible ; cette éma
exactement ceux dont la forme se perd dans l’immesurable distance des
siècles
, il faut présumer avec les commentateurs raisonna
propos. La fête de la Rose, n’est point une fiction. Depuis douze
siècles
et plus, on la célèbre chaque année en Picardie,
complimentée par un abonné sur son minois de bergerette à la mode du
siècle
dernier, s’écriait en s’adressant aux camarades :
Contemporain de mes aïeux, Auteur d’un œuvre merveilleux, Quoiqu’un
siècle
entier nous sépare, Permets, qu’en jouant, je m’e
u d’ornemens, de nombre et de césure. Villon sut le premier, dans ces
siècles
grossiers, Débrouiller l’art confus de nos vieux
me a vu Caton6, Souvent ouvrir le bal, sans manquer au bon ton. Au
siècle
des beaux-arts, lorsque le chef suprême Voulait s
comiques, &c. Cet usage fut conservé à l’Opéra, pendant plus d’un
siècle
. Ce fut Gardel l’aîné qui le premier dansa à visa
à ce qu’un philosophe anglais écrivait sur la Danse, il y a près d’un
siècle
, c’est-à-dire en 1711. …… Comme l’art imite la na
où l’art de la pantomime s’est soutenu avec succès pendant plusieurs
siècles
, les spectateurs connaissaient le langage des mai
un livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre
siècle
, que la fléxion des genoux et leur extension étoi
ent sans doute utile dans des temps d’ignorance ne l’est plus dans un
siècle
où les beaux arts tendent à la perfection. Le bru
ant à travers les années, des lieux que l’Opéra a habités depuis deux
siècles
, — du Jeu de Paume de la Bouteille, rue Mazarine,
Mademoiselle de Camargo n’avait plus rien à perdre. Un peu plus d’un
siècle
plus tard, le docteur Véron arrêtait, en compagni
nsensiblement à la destruction et à l’anéantissement des arts, si les
siècles
ne produisoient toujours quelques hommes rares, q
peroit bientôt malgré la censure amére du très-illustre Cynique de ce
siècle
, s’ils cherchoient à se distinguer par les mœurs
en occupe. On voudrait alors, pour l’honneur, pour la félicité de son
siècle
, faire passer rapidement les découvertes qu’on cr
es journaux qu’hyperboles et mensonges. La Gazette des Théâtres et le
Siècle
exprimèrent des dispositions peu bienveillantes.
tres et le Siècle exprimèrent des dispositions peu bienveillantes. Le
Siècle
poursuivait Fanny de sa verve caustique. La Gazet
suivantes elle apparaîtra comme une des figures les plus aimables du
siècle
dernier158. » Fanny Elssler fut enterrée au cime
pouvoir, et si, au dire de Gladstone, le dix-neuvième siècle fut le «
siècle
des Ouvriers », le vingtième sera celui des Femme
int Paul écrit aux Romains : (c. 12, v. 2.) Ne vous conformez pas au
siècle
présent , n’est-ce pas comme s’il disoit : Ne sui
ts, encore moins de ceux de tant de princes d’Europe qui, pendant les
siècles
obscurs qui ont suivi la chute de l’Empire, ne se
France de Daniel, et Mezeray, etc. Les festins, dégoûtants pour les
siècles
où la politesse et le goût nous ont enfin liés pa
es qui me sont prescrites m’empêcheront aussi de parler des fêtes des
siècles
trop reculés : les triomphes d’Alexandre, les ent
ministre, en qui le défaut de goût n’était peut-être que celui de son
siècle
, avait imaginé et conduit le plus grand nombre de
chelieu. En lui mille traits annonçaient à la cour l’homme aimable du
siècle
, aux Arts un protecteur, à la France un général.
ttendre, si les efforts redoublés des deux plus beaux génies de notre
siècle
, qui furent employés à cet ouvrage, ont épuisé le
osophe emprunter la main des grâces pour offrir la lumière au dernier
siècle
. Il jouit à la fois de l’honneur de l’avoir éclai
jugea à propos de donner aux colonnes, pour s’accommoder à l’usage du
siècle
: elles y furent élevées sur des socles d’environ
les hommes que de le penser, et dépriser le goût et l’esprit de notre
siècle
que de le croire. Revenons à mon sujet, il faut q
obscurité, et j’ose dire dans le mépris ou elle étoit il n’y a pas un
siècle
. Ce ne seroit pas m’entendre que de penser que j
ette en velours rouge usé, garnie de boiseries ouvragées à la mode du
siècle
dernier et décorée de glaces au cadre enfumé, éca
ses « admirables ballets » comme d’œuvres d’art anéanties depuis des
siècles
: « C’était un art nouveau qui est mort avec ce g
hes modernes. C’est cette union qu’avait su réaliser il y a plus d’un
siècle
Salvatore Viganò. Henry Prunières. 1. Viganò
avec patience aux abonnés la reprise de l’œuvre de Meyerbeer. Dans le
Siècle
nouvellement créé, Louis Desnoyers constatait qu’
, p. 241 et 312. 112. Petits Mémoires de l’Opéra, p. 132. 113. Le
Siècle
, 18 juillet 1836. 114. Voir chap. v, p. 175-177.
re fascinant avaient tourné les têtes des plus vieux grognards. » Le
Siècle
rapporte une autre réception sur un navire de l’E
autier, par de Spoelberch de Lovenjoul, Paris, 1887, t. II. 138. Le
Siècle
, 28 juillet 1840.
çois Pétrarque, italien de naissance, un des plus beaux génies de son
siècle
, mort en 1374 chanoine de Padoue. Dans le premier
grand spectacle, et d’une dépense immense, que dans les deux derniers
siècles
on a porté au plus haut point de perfection et de
dévotion : en France même on voyait encore vers le milieu du dernier
siècle
, les prêtres et tout le peuple de Limoges danser
▲