Habitans de la Pensylvanie. Officiers Anglais. Quakers. Matelots. La
scène
est en Pensylvanie. La décoration réprésente des
réprésente des habitations et des plantations voisines de la mer.
Scène
i. Plusieurs Colons, Quakers et Officiers Angl
Plusieurs Colons, Quakers et Officiers Anglois sont répandus sur la
scène
; les uns jouent, les autres boivent et conversen
is qu’une grande troupe de Nègres et de Négresses travaillent(1).
Scène
ii. Pendant cette action, un jeune Officier An
eux nationaux, avec tous les instrumens en usage dans leurs pays.
Scène
iii. Un grand bruit d’acclamations interrompt
Nègres s’emparent de leurs matelots ; et tout le monde se retire.
Scène
iv. La nuit commence à étendre ses voiles ; on
Zoraïm, frère de la jeune Indienne, amante de Belton. Il parcourt la
scène
et cherche les habitations. Comme il se décide a
ucteur. Il lui ordonne de le quitter et de le suivre à l’instant.
Scène
v. La jeune femme fait ses efforts pour l’appa
il se décide, il prend les deux enfans dans ses bras et la suit.
Scène
vi. Belton paroît retournant dans son logement
inte du jour. L’esclave va porter ce billet, et Belton se retire.
Scène
vii. Le jour commence à poindre insensiblement
rir ; elle tombe évanouie entre les bras de ses nouveaux maîtres.
Scène
viii. Cependant le jour s’est levé. Les Colons
et part comme un trait. Tous se retirent et emmenent l’Indienne.
Scène
ix. Belton paroît dans le fond de la scène sui
mmenent l’Indienne. Scène ix. Belton paroît dans le fond de la
scène
suivi de quelques esclaves chargés de balots ; il
ole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la grace de leur père.
Scène
x. Dans ce moment Zirca et Fatmé qui ont suivi
le les pas de Zoraïm leur fils, paroîssent inopinément. Témoins de la
scène
qui se passe, ils expriment leur surprise et leur
resse régnent dans tous les cœurs et brillent dans tous les yeux.
Scène
xi. L’assemblée vivement touchée de la scène q
ns tous les yeux. Scène xi. L’assemblée vivement touchée de la
scène
qui vient de se passer, et voulant terminer ce be
isance accorde la liberté aux nëgres. Ils sont rangés d’un coté de la
scène
. Les colons leur otent la petite chaîne qu’ils po
e chaque quadrille exige. FIN. (1). On parviendra à donner à cette
scène
un mouvement vif et intéressant en consultant l’E
e partie. La décoration représente un sallon du palais de Vénus.
Scène
I. Vénus donne une fête à Mars. L’Amour, les
s voluptueux de cette fête qu’un bruit de guerre se fait entendre.
Scène
II. Un officier annonce à Mars qu’on l’attend
que Vénus se livre au plaisir d’aller trouver Adonis qui l’attend.
Scène
III. La décoration représente une vaste forêt.
présentent une vaste forêt, la gauche offre des bosquets délicieux.
Scène
I. Les Nymphes jouent avec l’Amour. Le Petit D
Faunes, et se retire avec eux dans un endroit écarté de la forêt.
Scène
II. Vénus cherche Adonis ; elle exprime son im
t il part dans la résolution de se venger des caprices de sa mère.
Scène
III. Vénus se mêle aux jeux des Faunes et des
s, et des tourterelles, symbole de la confiance et de la fidélité.
Scène
IV. Leur hommage est interrompu par un bruit d
ient ; mais au lieu de lui présenter Adonis, il lui amène Vulcain.
Scène
V. Vulcain est reçu avec indifférence ; il vie
dans la résolution de se venger de Vénus, de Mars, et de l’Amour.
Scène
VI. Le divertissement devient général ; Adonis
tableaux, les situations et les grouppes perpétuellement variés de la
scène
nocturne du premier acte ; il faudroit beaucoup d
la rapidité de l’éclair. J’oserai seulement dire, que tout dans cette
scène
y est ménagé par la décence, qu’il n’y avoit qu’u
e le respect et l’honnêteté doivent également ménager. Au reste cette
scène
absolument neuve à la pantomime héroïque, peut êt
ration représente un lieu aride, terminé par une montagne escarpée.
Scène
I. Psyché en habit de victime est enchaînée s
plus propre à exprimer l’excès de sa douleur et de son désespoir.
Scène
II. L’Amour, vivement épris des charmes de Ps
ourmens que lui préparoit l’implacable jalousie de sa mère, quitte la
scène
en exprimant l’excès de son bonheur. Seconde
et les fleurs les plus belles ornent et décorent ce sallon magique.
Scène
I. Psyché endormie sur de riches carreaux, est
sions délicieuses que la troupe enjouée se plaît à lui peindre(1).
Scène
II. Un trait vif et brillant d’harmonie annonc
Amour sont constans ; il veut jouir de l’incognito. A la fin de cette
scène
nocturne, dont il est impossible de décrire les s
rimant tout à la fois et son courroux et l’intérêt le plus tendre.
Scène
III. Psyché vole après son amant qui est souda
s, lui ordonnent de le déplacer et de le traîner vers le milieu de la
scène
: la malheureuse Psyché, succombe en obéissant à
es rochers, poursuit sa proye et l’atteint : Tisiphone s’en saisit.
Scène
II. L’Amour, sensible aux larmes et aux maux d
qu’il arrachera Psyché à la mort qu’on lui prépare : il disparoît.
Scène
III. La terre s’en trouve et laisse un libre p
plaisir barbare de lui faire éprouver les plus cruels tourmens. Cette
scène
d’horreur offre une foule de tableaux plus déchir
La décoration représente le palais de Vénus, terminé par un trône.
Scène
I. Vénus est placée sur son trône ; Adonis ama
i ne respirent que le plaisir, l’expriment par des danses légères.
Scène
II. L’Amour et Psyché paroissent ; et leur pré
ux pieds de Vénus pour fléchir son courroux ; elle est inéxorable.
Scène
III. Le Dieu d’Hymen paroît, et loin d’appaise
n. L’encens brûle ; tout annonce l’allégresse d’un si bel instant.
Scène
IV. Un éclair perce la nue et est suivi d’un c
core donner l’immortalité à colle qui à su lui plaire et le fixer.
Scène
V et dernière. Mercure descend de l’Olimpe ; i
la joye de ceux qui en sont les témoins. (1). La musique de cette
scène
doit être douce et mélodieuse ; elle doit servir
es . Acte I. La décoration représente une isle de l’Oronte.
Scène
I. Renaud ayant délivré les captifs d’Armide,
t aucune des merveilles promises, se dispose à regagner le rivage.
Scène
II. Les Nayades sortent du sein des eaux et se
le couronnent de fleurs et elles l’enchaînent avec des guirlandes.
Scène
III. Armide paroît et triomphe. Une vapeur sop
a décoration représente les magnifiques jardins du palais d’Armide.
Scène
I. Cette Princesse paroît avec son vainqueur ;
n’egale leur bonheur. Ils quittent ainsi que leur suite le lieu de la
scène
, pour parcourir tous les endroits délicieux du ja
pour parcourir tous les endroits délicieux du jardin enchanté(1).
Scène
II. Ubalde et le chevalier Danois ayant surmon
il l’agite, et les fantômes voluptueux disparoissent à l’instant.
Scène
III. Les deux guerriers vont poursuivre leur e
décoration représente un salon richement décoré du palais d’Armide.
Scène
I. Armide et son amant sont suivis du plus bri
l’idée d’en être séparé un instant, jette le trouble dans son âme.
Scène
II. Ubalde et le chevalier Danois qui ont été
lieu où son cœur pourroit courir encore quelques nouveaux dangers.
Scène
III. Ils vont partir, lorsqu’Armide instruite
Armide, et en peignant tous les sentimens qui déchirent son cœur.
Scène
dernière. Armide en revoyant la lumière ne peu
cachées dans cette isle : passe si tu veux les connoître. (1). Cette
scène
ne doit pas être symétriquement composée. Elle do
té par des Amours et des Zéphirs descend des deux, et couvre toute la
scène
. Dans cet instant le grouppe devient général. Une
coüent journellement ; le célèbre Shakespéar, ce génie brillant de la
scène
Anglaise, les laissa toujours derrière lui. J’ai
t fournir à l’action, et au mouvement rapide et précis qu’exigent les
scènes
pantomimes. La mort d’Agamemnon ne m’eût donné qu
emier. Le théâtre représente une partie des jardins de Mycènes.
Scène
i. Egisthe et Clytemnestre paroissent ; ils se
ous les objets qui pourroient s’opposer à leur mutuelle félicité.
Scène
ii. Dans ce moment un bruit éloigné de timbale
: Egisthe se relève avec autant de précipitation que de crainte.
Scène
iii. Un Messager envoyé par Agamemnon se prost
que son message va mettre fin à ses douleurs et à ses infortunes.
Scène
IV. Clytemnestre et Egisthe se rapprochent : C
les différentes victoires qu’ils ont remportées sur leurs ennemis.
Scène
i. Une foule innombrable de peuple s’assemble
rsemer de fleurs les chemins par les quels Agamemnon doit passer,
Scène
ii. Ce Prince, en descendant de son char, est
daigne point de s’y associer et engage sa famille à les embellir.
Scène
iii. Cette fête générale est interrompue penda
gamemnon, Clytenmestre, Egisthe, Electre, Iphise et Cassandre ; cette
scène
dialoguée, en développant le caractère et les pas
pour se dérober aux regards des personnes qui sont dans ce salon.
Scène
i. Clytemnestre, dont la vue de Cassandre a re
a délivrera bientôt de deux objets qui lui sont odieux. Pendant cette
scène
, les jeunes Princesses, qui se sont arrêtées à l’
s s’éloignent rapidement pour porter à leur père ce funeste avis.
Scène
ii. Clytemnestre sort en peignant tout à la fo
la fois son impatience, son inquiétude et le trouble qui l’agite.
Scène
iii. Egisthe seul s’abandonne à ses réflexions
ré un nouvel effroi ; il fuit et se dérobe à l’aide des colonnes.
Scène
iv. Agamemnon et Cassandre entrent dans le sal
ulant d’horreur, et aux quels Agamemnon ne peut croire. Pendant cette
scène
, Egisthe, que les colonnes dérobent aux regards d
ennent son bras et balancent dans son cœur le crime et la fureur.
Scène
v. C’est dans ce moment de trouble et d’irréso
ependant dans leur action le trouble qui suit les grandes crimes.
Scène
vi. Electre et Iphise , qui ont vainement cher
non, que la jeune Iphise n’a point cessé d’arroser de ses larmes.
Scène
vii. Les cris d’Eleclre ont attiré les Dames e
ours de leur Roi, et les femmes se grouppent autour de Cassandre.
Scène
viii. Egisthe et Clytemnestre ajoutent à la no
st partagée entre là fureur, le désespoir et la vengeance. Pendant la
scène
précédente où Clytemnestre et Egisthe paroîssent
dans l’ame et sur la physionomie l’horreur d’un crime découvert.
Scène
ix. Electre vole aux pieds de son père, lui pa
un salon faisant partie des appartemens d’Electre et d’Iphise.
Scène
i. Ces Princesses paroissent ; elles sont couv
se ; Iphise et les femmes font de vains efforts pour la consoler.
Scène
ii. Clytemnestre, éffrayée de son crime et per
t entendre qu’elle la fera promptement repentir de son insolence.
Scène
iii. Electre furieuse et hors d’elle-même, fai
à la douceur de penser qu’elle aura quelques nouvelles d’Oreste.
Scène
iv. Les etrangers sont intrnduits. Oreste, pou
fin qu’elle ne soit point surprise par les ennemis de sa famille.
Scène
v. Oreste, qui voit ses sœurs et leurs femmes
sthe pour le percer de mille coups. Sa sœur et Pylade l’arrêtent.
Scène
vi. Dans ce moment, la jeune Iphise et les fem
frère à l’amitié de Pylade, et aux soins vigilans de ses femmes.
Scène
vii. Egisthe entre ; les plaintes amères que l
d’elle ; Iphise suit les pas d’Egisthe pour tacher de le fléchir.
Scène
viii. Electre, à la vue de ses fers, exprime s
usant Egisthe des coups dont il expire, ils frémissent d’horreur.
Scène
ix. Oreste et Pylade paroîssent. Les Officiers
nes et qu’il purgera la terre d’un monstre excérable. Ils quittent la
scène
, ainsi que les personnes de leur suite, en exprim
e sacrifier le barbare Egisthe aux manes d’Agamemnon. Acte V. La
scène
est dans la nuit. La décoration représente un
uppe de figures de marbre qui expriment les regrets et la douleur.
Scène
i. Oreste et Pylade paroîssent dans ce bois so
et se cache dans les bosquets obscurs qui entourent le monument.
Scène
ii. Une marche triste et lugubre annonce l’arr
ui lui sont offerts que par des éclairs et des coups de tonnerre.
Scène
iii, Le tombeau s’ouvre ; on y voit Oreste acc
ouvanté fuit de toutes part. On entraine Egisthe et Clytemnestre.
Scène
iv. Dans ce moment les furies sortent du tombe
ante et terrible, rejette ses pleurs, ses sanglots, et disparoît.
Scène
vi et dernière. Oreste qui ne peut plus suppor
s, et les premières danseuses, l’action devient froide, la marche des
scènes
se ralentit, et l’exécution est sans effet. Les
aut point d’inutilité au théâtre ; conséquemment on doit bannir de la
scène
ce qui peut y jetter du froid, et n’y introduire
t en action doit être une pièce de ce genre ; il doit être divisé par
scènes
et par actes ; chaque scène en particulier doit a
ce de ce genre ; il doit être divisé par scènes et par actes ; chaque
scène
en particulier doit avoir, ainsi que l’acte, un c
uatre personnes qui seront de leur suite. S’ils ne disent rien sur la
scène
, ils y sont de trop, et doivent en être bannis ;
lisse, puisqu’ils l’ont naturellement, et qu’ils sont les héros de la
scène
; la difficulté consiste à y introduire les figur
ue les figurans ne doivent prendre la place de l’acteur qui quitte la
scène
, que pour la remplir à leur tour, non pas simplem
Je comprends que le compositeur a tout sacrifié à l’effet, et que la
scène
des fléches en l’air prêtes à percer l’Amour, l’a
fléches en l’air prêtes à percer l’Amour, l’avoit séduit ; mais cette
scène
étoit déplacée. Nulle vraisemblance dailleurs dan
te que d’une furie ; Endimion peu reconnoissant, et peu sensible à la
scène
qui se passoit en sa faveur, paroissoit moins ten
galerie du Luxembourg peinte par Rubens : chaque tableau présente une
scène
; cette scène conduit naturellement à une autre ;
embourg peinte par Rubens : chaque tableau présente une scène ; cette
scène
conduit naturellement à une autre ; de scène en s
ésente une scène ; cette scène conduit naturellement à une autre ; de
scène
en scène on arrive au dénouement, et l’œil lit sa
e scène ; cette scène conduit naturellement à une autre ; de scène en
scène
on arrive au dénouement, et l’œil lit sans peine
on représente un bois sacré, terminé par un temple dédié à Junon.
Scène
I. Didon, vivement éprise d’Enée, cherche la s
pée que du désir de lui plaire, et que du bonheur d’en être aimée.
Scène
II. Enée, non moins sensible que Didon, cherch
e jeune Ascagne, ou plutôt l’enfant de Cythère, s’amuse pendant cette
scène
à cueillir des fleurs ; il en compose une guirlan
ndifférence ; il dissimule son dépit. Le jeune Ascagne, pendant cette
scène
, s’est approché de ce Prince. Il a ouvert son cœu
val, et se venger de la préférence offensante qu’on lui oppose. Cette
scène
d’action est suivie d’un fête générale de trois q
une cascade rustique ; des arbres s’élèvent au dessus du rocher.
Scène
I. Cette chasse devant être l’instant de la dé
des amans. L’Hymen qui aime la pompe et l’appareil ne promet rien.
Scène
II. Une suite nombreuse devance la chasse : le
nue, la foudre gronde ; la grêle et la pluie obscurcissent encore la
scène
; la cascade se déborde et tombe avec fracas sur
il annonce par son retour le tems le plus calme et le plus serein.
Scène
III. Junon, satisfaite de son ouvrage, paroît
Didon et toutes les gradations de sentimens qui peuvent colorier une
scène
amoureuse, sont rendus avec les pinceaux et les c
Hymen confus et pénétré de honte, fuit en exprimant son désespoir.
Scène
IV. Enée et Didon au comble de la félicité, so
ctérisent leur bonheur, et ne respirent que l’Amour et la volupté.
Scène
V. Jarbe, enivré d’amour et dévoré de jalousie
elle pare de son bouclier le coup que son adversaire lui portoit.
scène
vi. La suite d’Jarbe et celle du Prince Troyen
e, qui fuit avec les siens, en exprimant sa rage et son désespoir.
Scène
VII. Didon, qui s’étoit rangée du côté des Tro
uatrième partie. La décoration représente l’appartement d’Enée. La
scène
est dans la nuit, un riche baldaquin couronne une
de Carthage, et un bûcher élevé pour faire un sacrifice aux Dieux.
Scène
I. Enée, accompagné des officiers Troyens, don
; elle lui reproche tout à la fois son parjure et son infidélité.
Scène
II et dernière. Didon abandonnée n’écoute plus
ière partie. La décoration représente un lieu aride et inhabité.
Scène
I. Orphée, en proye à sa douleur, ne peut se
ace, a résolu de le conduire aux Enfers et de lui rendre Euridice.
Scène
II. L’Amour paroît ; Orphée tombe à ses pieds,
és lancent des flammes : Caron est assis sur la proüe de sa barque.
Scène
I. Ce vieux Nautonier frémit de rage à la vue
Troisième partie. La décoration représente les Champs Elisés.
Scène
I. La vue d’un mortel étonne les ombres heureu
ur trône ; les Juges des Enfers et la cour infernale l’environnent.
Scène
I. L’Amour a répandu sa douce influence. Orphé
ration offre l’aspect d’une grotte des Enfers voisine de l’Achéron.
Scène
I. Orphée y est conduit ; Euridice lui est ren
jaloux de son bonheur la lui a ravie ; il se retourne et la voit.
Scène
II. Dans cet instant des démons, conduits par
eprésente le mont Rhodope : l’Hebre serpente au bas de ses coteaux.
Scène
I. Orphée inconsolable de la double perte d’Eu
exprimant leur dépit, et en le menaçant d’une vengeance éclatante.
Scène
II. Aux accens de la lyre d’Orphée, la décora
mpressant d’embéllir sa sollitude par ces agréables métamorphoses.
Scène
III. Les femmes irritées paroissent à la tête
, et en le renversant sur un rocher pour le sacrifier à leur rage.
Scène
IV et dernière. Bacchus justement irrité, et s
une composition aussi difficile que celui de l’Amour et de Psyché. La
scène
qui le suit offre les plus grands et les plus int
Garçons et filles de Salency. Garçons et filles de Varennes. La
scène
est à Salency. Scène première. Au point du
lency. Garçons et filles de Varennes. La scène est à Salency.
Scène
première. Au point du jour les garçons du vil
jeux des paysans ; elle danse avec eux, et appelle ensuite Julie.
Scène
II. Javotte montre avec empressement à Julie l
elle pour instruire son père et sa mère du choix de la communauté.
Scène
III. Le bailli, qui est épris de Julie, et que
en la menaçant de se venger de ses mépris et de son indifférence.
Scène
IV. Colin aborde Julie avec le trouble du sent
et il se sépare d’elle pour rejoindre ses camarades. Pendant cette
scène
, le Bailli est aux aguets avec quelques filles du
ns cette confiance, et sont remplacées par les garçons de la fête.
Scène
V. A l’aspect du Bailli, Julie court chez elle
colère du Bailli, il arrache les guirlandes, il enlève le drapeau.
Scène
VI. Colin accourt ; son expression est celle d
réparer l’injure qu’il vient de faire à l’innocence et à la vertu.
Scène
VII. Colin, qui est fermier du Seigneur de Sal
e le suit des yeux, et fait des vœux pour le succès de son voyage.
Scène
VIII. Julie s’abandonne à la plus excessive do
désabuser, et les instruire des intentions criminelles du Bailli.
Scène
IX. L’orage augmente. On voit les débris du bâ
ent précipitamment chez eux pour apporter du secours à leur nièce.
Scène
X. Julie revient à elle, et revoit la lumière.
ssent et le conduisent chez eux en exprimant l’excès de leur joye.
Scène
XI. Le Bailli paroît avec les habitans de Sale
u Bailli, et de leur bonheur… un bruit de chasse se fait entendre.
Scène
XII et dernière. C’est le Seigneur, son épouse
s sentimens moins barbares. Le songe du Tyran est une imitation de la
scène
Anglaise ; cette action pantomime est frappée au
Thoas. Soldats de Thoas. Soldats d’Oreste et de Pylade. Matelots. La
scène
est en Tauride. Première partie. La décorat
élèvent dans les nues, forment des grottes et des antres obscurs. La
scène
est dans la nuit. Scène i. La mer est agit
ent des grottes et des antres obscurs. La scène est dans la nuit.
Scène
i. La mer est agitée par une horrible tempête
esprit, il poursuit en furieux l’ombre de sa mère qui disparoît.
Scène
ii Des Gardes de Thoas portant des torches al
à coucher de Thoas ; une couchette est placée sur un des cotés de la
scène
; elle est couronnée par un baldaquin surmonté de
artement qu’elle ne réfléchit la lumière sur les traits de Thoas. La
scène
est au crepuscule du matin. Scène i. Thoas
ère sur les traits de Thoas. La scène est au crepuscule du matin.
Scène
i. Thoas est endormi. Un songe affreux agite s
de son corps ; il tombe, il appelle et l’on vient à son secours.
Scène
ii. Isménie, précédée de deux esclaves portant
ouvellent bientôt la soif qu’ il a de répandre le sang des Grecs.
Scène
iii. C’est en vain qu’il les questionne sur le
arbare de les faire égorger, est infléxible aux larmes d’Isménie.
Scène
iv. Thoas, commande à ses guerriers de se livr
un peu plus loin et sur un plan plus élevé est la statue de Diane.
Scène
i. Iphigénie, le cœur déchiré par les fonction
éesse et effacer par ses larmes le sang dont l’autel est souillé.
Scène
ii. Eumène accourt ; elle annonce à Iphigénie,
aînés au cruel Thoas ; elle mêle ses larmes à celles d’Iphigénie.
Scène
iii. Les Prêtresses paroîssent ; Iphigénie leu
s le vestibule du temple, et interrompues par l’arrivée de Thoas.
Scène
iv. Le Tyran est suivi des deux victimes ; Ism
yé de tant de fermeté, fuit en ordonnant qu’on hâte le sacrifice.
Scène
v. Isménie, aussi humaine que son époux est ba
ttant à Iphigénie de mettre tout en usage pour fléchir son époux.
Scène
vi. Iphigénie ordonne aux Prétresses de rentre
tre tout en usage pour déterminer son père à servir ses desseins.
Scène
vii. Iphigénie s’approche d’Oreste et de Pylad
e, se dérobe à leurs prières et entre dans l’intérieur du temple.
Scène
viii. Ce combat de sentiment continue entre Or
t à prendre la fuite, et tous deux restent pour recevoir la mort.
Scène
ix. Iphigénie, tenant une lettre à la main, pa
leur fidélité et se jette de nouveau dans ses bras. Thoas paraît.
Scène
ii. Arbas est enchaîné, il a été surpris par l
magination ; il veut lui même immoler Oreste et s’élance sur lui.
Scène
iii. Isménie accourt, l’arrête, et, en embrass
s pour lui porter le coup mortel. Pylade paroît avec ses soldats.
Scène
iv. Il se jette avec la rapidité de l’éclair s
rs ; et un vaisseau magnifiquement orné est sur le bord du rivage.
Scène
dernière. La mort d’un Prince farouche, cruel
OLUME. (1). Ces objets effrayans paroissent successivement sur la
scène
; car sans leur apparition le rêve ne seroit poin
Hérauts d’armes. Juges du camp. Ecuyers. Pages. Le lieu de la
scène
est le palais du Comte de Ponthieu. Acte I.
. La décoration représente un superbe salon du palais de Renaud.
Scène
I. Des chevaliers et des dames magnifiquement
on la conduit dans son appartement, et tout le monde se disperse.
Scène
II. Alphonse interdit, se livre à des inquiétu
ureur. Acte II. La décoration représente le cabinet d’Adèle.
Scène
I. Elle profite de l’instant ou elle est seule
let à une de ses femmes, dont elle connoît la fidélité et le zèle.
Scène
II. Dans le moment où elle lui commande le sec
e à ses genoux, pour lui témoigner son amour et sa reconnoissance.
Scène
III. Alphonse paroît ; ce chevalier d’un carac
aymond, et se livre sans ménagement à tous les excès de sa fureur.
Scène
IV. Renaud, qui arrive, devient aussi la victi
el, quoi qu’il ne lui soit pas proposé par un chevalier. Il quitte la
scène
comme un furieux, en provoquant son rival au comb
ar des balustrades couvertes et ornées de riches tapis. Le fond de la
scène
offre un amphithéatre circulaire, qui communique
au centre de l’amphithéatre. Une barrière partage cette décoration.
Scène
I. Une marche guerrière et triomphale annonce
ui jure qu’elles sont le garant de son triomphe et de son bonheur.
Scène
II. Une musique bruyante se fait entendre. On
Acte I. La décoration représente une salle du palais d’Horace.
Scène
I. Camille, Julie. Camille aime tendrement l’a
mour. Julie se dispose à remplir cet ordre lorsque Curiace paroît.
Scène
II . Camille, l’ainé des Curiaces. Il vole ve
tudes ; il lui fait les plus tendres adieux. Camille peint dans cette
scène
tout ce que l’amour, en opposition avec le devoir
un fauteuil, absorbée par la crainte, la douleur et le désespoir.
Scène
III. Camille, les trois Horaces. Les Horaces
dans leurs bras, et les arrose des larmes précieuses de l’amitié.
Scène
IV. Les acteurs précédens. Le vieil Horace, Pr
rix qu’il accordera à l’ainé des Vainqueurs. Camille, témoin de cette
scène
et des vœux qui se forment aux dépens de sa félic
t à la tête des Albains Les trois Curiaces sont rangés près de lui.
Scène
I. Tullus, Métius, les trois Horaces, les tro
dmiration le vainqueur. Tullus le couronne en présence de l’armée.
Scène
II. Acteurs précédens. Le vieil Horace et Proc
impatience. Acte III. La décoration représente le Capitole.
Scène
I. Acteurs précédens. Fulvie, dames Romaines,
te fête que Camille paroît pour y semer l’horreur et la confusion.
Scène
II. Les Précédens, Camille. Cette fière Romain
traîné au parricide, il s’élance vers sa sœur ; on l’arrête, et cette
scène
, offre un grouppe général. D’un coté, on voit Cam
ration représente un souterrain du Capitole, éclairé par une lampe.
Scène
I. Horace. Horace est placé près d’une table,
’avoir méconnu son sang, et d’avoir puni une ennemie de la patrie.
Scène
II. Horace, Fulvie. Fulvie a su corrompre la
ecours, il tombe à ses pieds, anéanti sous le poids de sa douleur.
Scène
III. Le vieil Horace. Le père d’Horace paroît
foiblesse indigne de son cœur, le sang qui coule dans ses veines.
Scène
IV. Les acteurs précédens. Procule, Chevalier
place, et le peuple est placé derrière elle sur des gradins élevés.
Scène
I. Le vieil Horace, Horace, Fulvie, Procule, D
usique éclate de nouveau ; et le cortège fait le tour de la place.
Scène
dernière. Les acteurs précédens. Tullus. Une
ouchette, surmontée d’un riche baldaquin est placée à la gauche de la
scène
. Scène i. Danaüs désespéré de l’union de s
surmontée d’un riche baldaquin est placée à la gauche de la scène.
Scène
i. Danaüs désespéré de l’union de ses filles
noux tremblans supportent avec peine le poids de son corps agité.
Scène
ii. Il veut fuir ; mais il est arrêté par des
’effacent ; les gouffres se ferment, et Danaüs revoit la lumière.
Scène
iii. Un de ses principaux Officiers vient l’av
rémonie, est dispersé dans les différentes parties de cet édifice.
Scène
i. Danaüs, vivement troublé, se fait violence
e leur père, que ces statues sont celles de l’Hymen et de l’Amour.
Scène
i. Danaüs devancé par deux Officiers fait pose
résente une magnifique gallerie qui aboutit à la chambre nuptiale. La
scène
est dans la nuit. Scène i. Danaüs est devan
erie qui aboutit à la chambre nuptiale. La scène est dans la nuit.
Scène
i. Danaüs est devancé par des Officiers portan
ts, il ordonne aux Officiers de fermer les rideaux, et se retire.
Scène
ii. Hypermnestre tremblante paroît tenant un p
s funéraires et lugubres les précipitent dans l’empire des morts.
Scène
iii. Danaüs, toujours inquiet et toujours tour
de reproches, et ordonne qu’on l’éloigne pour jamais de ses yeux.
Scène
iv. Lincée désarmé et chargé de chaînes est co
s cette place, pour être témoin de l’execution qui doit s’y faire.
Scène
i. On amene Lincée paré d’ornemens funéraires
Argos, et on lui prête d’une commune voix le serment de fidelité.
Scène
ii. et dernière. Danaüs, averti de la révolte,
oyens que son art lui offre, s’egare et se perd Les transpositions de
scènes
ont jetté une confusion monstrueuse dans ce plan
s branchages forment un demi ceintre au dessus d’elles. Le fond de la
scène
représente la mer ; les deux côtés de cette mer p
ne de petits rochers. Cette décoration est terminée par l’horison.
Scène
i. Thétis et Pélée sont devancés par un nombr
ît et jette le trouble et la confusion dans toute l’assemblée(2).
Scène
ii. Elle entre d’un pas précipité et reproche
u Mont Ida ; une mer vaste et tranquille termine cette décoration.
Scène
i. Les Bergers et les Bergères s’empressent à
r ; il leur exprime sa reconnoissance et se mêle à leurs jeux(1).
Scène
ii. Mercure descend des cieux ; il remet à Par
e porte dans son cœur le sentiment de la crainte et du désespoir.
Scène
iii. Une musique céleste annonce l’arrivée des
lles. Paris tremblant et consterné se retire. Insensiblement toute la
scène
se couvre de nuages légers et brillants, et se di
mpriment dans tous ses mouvemens ; Pâris est dans l’enchantement.
Scène
iv. Pâris avance d’un air noble et modeste : i
lle ; Vénus et l’Amour lui en promettent la possession. Pendant cette
scène
, Junon et Pallas expriment leurs craintes et leur
retirent, en exprimant leur haine, leur désespoir et leur fureur.
Scène
v. et derniere. Ce spectacle se termine par un
le ; j’étois privé de tous les grands moyens, qui peuvent embellir la
scène
. Mais je le donnai à Stuttgardt, sur le superbe t
onviens ; mais ils donnent moins de préceptes, que de conseils. Cette
scène
me paroit rendue foiblement ; vous ne mettez pas
oète. Le maître de ballets, à son exemple, doit faire recommencer une
scène
en action, jusqu’à ce qu’enfin ceux qui l’exécute
au spectateur, qui le transporte, en un instant, dans le lieu, où la
scène
a dû se passer ; qui met son âme dans la même sit
nt, pour la plupart, vides de sens, et n’offrent qu’un amas confus de
scènes
aussi mal consues que désagréablement conduites ;
e de faire paroitre Mentor à propos, et le talent de l’éloigner de la
scène
, dès l’instant qu’il pourroit la refroidir. Si
grand, l’ennui, personnage qui ne devroit jamais trouver place sur la
scène
. C’est un défaut bien capital que celui de voul
défaut, que de doubler et de tripler les objets : ces répétitions de
scènes
refroidissent l’action, et appauvrissent le sujet
ccèder avec rapidité : si l’action ne marche avec promptitude, si les
scènes
languissent, si le feu ne se communique également
elle traîne après elle. J’ai vu, le croiriez-vous, Monsieur, quatre
scènes
semblables dans le méme sujet ; j’ai vu des meubl
idens burlesques à l’action la plus noble et la plus voluptueuse ; la
scène
se passoit cependant dans un lieu respecté de tou
L’auteur, pendant notre travail, eut l’idée d’ajouter à sa pièce une
scène
où le docteur Quack hypnotisait une jeune veuve.
L’hypnotisme était à ce moment très en vogue à New-York. Pour que la
scène
donnât tout son effet, il lui fallait une musique
peu ridicule même, et c’était tout à fait ce qui convenait pour cette
scène
d’hypnotisme que nous ne prenions pas au sérieux.
lle. A la fin de la pièce, le soir de la première, nous jouâmes notre
scène
d’hypnotisme. Le décor, représentant un jardin, é
bras en l’air, tandis que je continuais à voltiger tout autour de la
scène
comme un esprit ailé. Un cri soudain jaillit de l
apillon ! Je me mis à tourner sur moi-même en courant d’un bout de la
scène
à l’autre, et il y eut un second cri : — Une orch
applaudissements nourris éclatèrent. Le docteur glissait autour de la
scène
, de plus en plus vite, et de plus en plus vite je
veloppée dans le nuage soyeux de la légère étoffe. Le public bissa la
scène
, puis la bissa encore… et tant et si bien que nou
théâtre. La pièce n’eut — doit-on le dire ? — aucun succès, et notre
scène
d’hypnotisme elle-même fut impuissante à la sauve
n article follement élogieux de ce qu’il appelait « mon jeu » dans la
scène
de l’hypnotisme. Mais la pièce ayant fait four, p
fait four, personne ne songea qu’il serait possible d’en détacher une
scène
, et je continuai à rester sans engagement. D’aill
bscurité avec un seul rayon de lumière jaune traversant le fond de la
scène
. Lorsque j’eus fini l’étude de mes danses, je me
ous primes par l’entrée des artistes. Un seul bec de gaz éclairait la
scène
complètement vide. Dans la salle également sombre
précieuse quand même. Je n’hésitai donc pas à revêtir mon costume, en
scène
et par-dessus ma robe de ville. Puis je fredonnai
ngement. Je continuai à danser, m’effaçant dans l’ombre au fond de la
scène
, puis revenant sous le bec de gaz et tournoyant a
ux, escomptant fébrilement l’heure où je paraîtrais, enfin, sur cette
scène
de la grande ville. Au cours de cette tournée, et
les avais conçues : nuit dans la salle et lumières de couleur sur la
scène
avec première apparition baignée dans une lumière
de ornée des travaux d’Hercule et terminée par un Arc-de-Triomphe.
Scène
I. Un bruit de guerre se fait entendre, et un
anses guerrières, qui sont interrompues par l’arrivée de Déjanire.
Scène
II. Déjanire accompagnée d’une suite aussi bri
t Hilias se mêlent à cette fête pour en augmenter la magnificence.
Scène
III. La décoration représente un Superbe sallo
se promet d’un Hymen qui mettra le comble au bonheur de son fils.
Scène
IV. Hercule épris pour le moins autant qu’Hili
olonne, pénétré tout à la fois de jalousie, de remords et d’amour.
Scène
V. Philoclète reparoît ; il rappelle Hercule à
à Déjanire, et qu’il va consentir à l’hymen de son fils et d’Jolé.
Scène
VI. Ces deux amans paroissent : Hercule frémit
entimens de gloire et de générosité qu’il vient de faire paroître.
Scène
VII. La décoration représente une grotte des j
x plus tristes pensées. Ses yeux s’appésantissent ; elle s’endort.
Scène
VIII. Junon traverse les airs ; elle est suivi
rer, du sein de cette malheureuse Princesse), annonce sa victoire.
Scène
IX. Déjanire s’éveille ; elle est épouvantée ;
nocente qui doit cimenter à jamais son bonheur et sa tranquillité.
Scène
X. La décoration représente une forêt mêlée de
alternativement tous les moyens qui peuvent le délivrer de la vie.
Scène
XII et dernière. Le ciel s’entr’ouvre ; Jupite
e offre une grotte de rochers, et la gaucho des bosquets délicieux.
Scène
I. Une troupe de jeunes Athéniennes se rassem
approche imprévue, l’épouvante dans l’âme des jeunes Athéniennes.
Scène
II. Les Corsaires débarquent, regardent avec a
ecourir sa maîtresse et la débarrasser des bras de ces ravisseurs.
Scène
III. D’autres Corsaires paroissent, qui disput
ls peignent leur joye par des danses caractéristiques ; pendant cette
scène
, les Athéniennes expriment la plus vive douleur,
plus vive douleur, et les Corsaires yvres et fatigués s’endorment.
Scène
IV. Un jeune enfant effrayé et mouillé par l’o
à embrasse sa sœur ; le jeune Hyménée est entouré par ses amis. Cette
scène
offre un tableau plein d’intérêt ; l’amour patern
oux Plaisirs le Séjour. Le grand BALLET s’y danse encores83, Avec une
SCÈNE
de MORES, Scène nouvelle et qui vraiment Plaît, d
Séjour. Le grand BALLET s’y danse encores83, Avec une SCÈNE de MORES,
Scène
nouvelle et qui vraiment Plaît, dit-on, merveille
veraine se condense, se matérialise, descend dans l’espace réel d’une
scène
de music-hall. Mlle Stacia Napierkowska, dansant
nse d’Anitra, cette rengaine orientaliste qui poursuit le critique de
scène
en scène. Pourquoi l’horizon musical du danseur e
tra, cette rengaine orientaliste qui poursuit le critique de scène en
scène
. Pourquoi l’horizon musical du danseur est-il si
nir a pour titre l’Amour Corsaire, ou l’Embarquement pour Cythère. La
scène
se passe sur le bord de la mer dans l’isle de Mis
s hommes qui échappent à la fureur des flots. Le sujet de la première
scène
est l’admission d’un étranger sauvé du naufrage.
acher à ce genre, mais les larmes que le public a données a plusieurs
scènes
de mes ballets, l’émotion vive qu’ils ont causée,
e, et se livre à la douleur et au désespoir. Béatrix témoin de cette
scène
, fait alors des efforts pour les raccommoder, et
tous trois pénétrés de la joie la plus vive. Clitandre paroît sur la
scène
. Son entrée est un monologue ; elle emprûnte ses
u’il baise la main de Béatrix, en prend occasion pour se venger de la
scène
que la jalousie de son amant lui a fait essuyer,
dans les bras des Espagnols. Inès qui dans les commencemens de cette
scène
, jouissoit du plaisir d’une vengeance qu’elle cro
ts de l’amante la plus passionnée. Les différens evénemens que cette
scène
à produits rendent l’action générale ; le plaisir
e s’appercevoir, Monsieur, que ce ballet n’est qu’une combinaison des
scènes
les plus saillantes de plusieurs drames de notre
rrête ? ose tout ; Dans un cœur tout à toi laisse tomber le coup. La
scène
de dépit, les lettres déchirées et les portraits
lettres déchirées et les portraits rendus avec mépris, présentent la
scène
du dépit amoureux de Molière. Le raccommodement d
la danse. Tout eût du succès dans ce ballet, sans en excepter même la
scène
du dépit, jouée partie assis et partie debout ; e
st à dire, du vrai et du beau simple, cherche également à enrichir la
scène
Française d’un genre qu’il a moins puisé dans son
uit, quoique dégagées des charmes de l’illusion que leur prêteroit la
scène
, et quoique privées de la nouvelle force qu’elles
ver un grand nombre, continua-t-il, capable de jouer ces pièces : ces
scènes
simultanées seroient embarrassantes à bien rendre
oit l’écueil contre le quel la plupart des comédiens échoueroient. La
scène
muette est épineuse, c’est la pierre de touche de
les mœurs et par la supériorité des talens. Je suis, etc. 1. Cette
scène
en remontant à l’arrivée de Constance et de Clair
st pour parer celui que l’on porte à l’objet de leur tendresse. Cette
scène
longue à la lecture est vive et animée à l’exécut
chaude, plus animée et plus intéressante que celle qui résulte d’une
scène
dialoguée. Je crois, Monsieur, que celle que je v
Quelques choses qu’aient pu dire les petits critiques au sujet de la
scène
simultanée de M. Diderot, et de la partie de Tric
née de M. Diderot, et de la partie de Trictrac jouée dans la première
scène
du pere du famille, ce qui la rend plus vraie et
que par un spectacle continuel de Dieux et de héros introduits sur la
scène
?
La chorégraphie simpliste et usée ainsi que l’ensemble de la mise en
scène
ont fait songer au Châtelet et aux frères Cognard
, parfois nous entendions danser, mais nous n’apercevions rien sur la
scène
. Les acteurs de cette fiction entomologique sont
baguette du chef d’orchestre, de ses ailes diaprées, exigeait sur la
scène
de grandes envolées de temps sautés. Le plateau s
nt. Le décor est une vignette agrandie et coloriée avec goût. Mais la
scène
n’est pas la page d’un bouquin, elle n’est pas un
tableaux liés entre eux par l’action qui fait le sujet du ballet ; la
scène
est, pour ainsi dire, la toile sur laquelle le co
’ils s’attacheront à copier fidèlement la nature, et à peindre sur la
scène
les différentes passions, avec les nuances et le
é des jambes ; mais la symétrie doit faire place à la nature dans les
scènes
d’action. Un exemple, quelque foible qu’il soit,
c une adresse égale à leur legèreté, etc. Voilà ce que j’appelle une
scène
d’action, où la danse doit parler avec feu, avec
e, sans affoiblir l’action et refroidir l’intérêt. Voilà, dis-je, une
scène
, qui doit offrir un beau désordre, et où l’art du
règles de l’opéra ; mais il fera un exercice froid et compassé d’une
scène
d’action qui doit être pleine de feu. Des critiqu
int assez l’art pour juger de ses différents effets, diront que cette
scène
ne doit offrir que deux tableaux ; que le desir d
parlé que superficiellement, me paroit trop essentiel au charme de la
scène
, pour que je ne revienne pas sur cet objet. Les c
e s’est malheusement introduit à l’opéra surtout dans les ballets. La
scène
brillante de ce spectacle magnifique s’est métamo
La scène brillante de ce spectacle magnifique s’est métamorphosée en
scène
de scandale et d’impudeur. Les femmes de la ville
, je reviens au costume, comme à la partie la plus intéressante de la
scène
. Il est le portrait fidèle de toutes les nations
plaisir. Les loix du costume s’étendent sur toutes les parties de la
scène
, sur tous les objets qui s’y montrent, sur tous l
le vêtement, mais encore sur tous les objets animés et inanimés de la
scène
. Si le costume n’est point absolument vrai, il do
ractère sevère de la nation éloignée que l’autour a transporté sur la
scène
. Sans cette précaution l’éffet sera nul, le but s
ires soit d’utilité, soit d’ornement, embellissent les tableaux de la
scène
; mais la forme variée de ces accéssoires doit êt
x règles, il ne voudra pas sortir les ordres adoptés par l’art. Si la
scène
est chez les Péruviens, et qu’il doive tracer le
tre la boussole du maître des ballets ; le guider dans le choix de la
scène
ou des décorations, des bâtimens, des jardins et
race la marche que le génie a pris relativement à la distribution des
scènes
, aux épisodes et à l’ordonnance du tableau en gén
s Témessiennes. Jeunes hommes de Témesse. Peuple. Soldats. La
scène
est à Témesse. Scène première La décoration
s hommes de Témesse. Peuple. Soldats. La scène est à Témesse.
Scène
première La décoration représente la mer héris
se la tombe de cet officier entourée de Cyprès : vers le milieu de la
scène
, un autel. Le jour étant arrivé, où l’on doit im
er sur elle ; mais il est suspendu par l’arrivée d’un jeune homme.
Scène
II. Ce jeune homme est Euthyme, amant passionn
it éclore en son ame tant d’humanité, d’intrépidité et de courage.
Scène
III. La décoration représente un salon. Euchar
son hymen, et on se livre ensuite à l’expression vive de la joye.
Scène
IV. Euthyme paroît, orné de l’habit nuptial. I
ieu que l’innocence et le courage doivent être unis pour toujours.
Scène
dernière. La décoration représente le temple d
s de dix ans que M. Jacques Rouché, outré par le marasme de la grande
scène
subventionnée, osa, tel un torpilleur affrontant
he. Il annonça dès lors une « grande saison française », monta sur la
scène
exiguë de son petit Théâtre des Arts des œuvres d
ans, où M. Dalcroze fait mimer aux gosses de la classe de solfège la
scène
de la visite du docteur. On avait confectionné po
Depuis on a monté un mystère de Claudel. Aujourd’hui, on escalade la
scène
de l’Opéra. Mais, oh ! la laideur des dos voûtés
r immortalité. J’ai ajouté (parce que je n’ai pu m’en dispenser) à la
scène
de Daphnis et de Philis ; j’ai fait enfin interve
adiennes. Vénus. Jeux, Ris et Plaisirs de la suite de Vénus. La
scène
est en Arcadie. Avertissement. Il est à pr
ntre l’Amour et les Graces, et celle du dénouement de l’intrigue. Les
scènes
suivantes tiennent plus à l’épisode qu’au sujet m
de buissons, d’arbustes fleuris et de quelques cascades rustiques.
Scène
première. L’amour égaré, las et fatigué, se c
t, produit autour de lui un tapis émaillé de fleurs odoriférantes.
Scène
II. Trois jeunes filles d’une beauté ravissant
é, et on l’emporte en triomphe en jouant et en folâtrant avec lui.
Scène
III. La décoration représente l’intérieur de l
accablant de l’incertitude, lorsqu’enfin ils les voyent paroître.
Scène
IV. Lycénion leur fait les plus tendres reproc
e en les embrassant ; Vous êtes mes sœurs, vous êtes les Graces !
Scène
V. Tant de prodiges excitent la curiosité des
leur côté les Graces et s’embellissent en marchant sur leurs pas.
Scène
VI. La décoration représente un paysage agréab
plaisir, toujours délicieux, quand il est l’ouvrage du sentiment.
Scène
VII. Philis triste et rêveuse, fixe un rameau
ne Daphnis caché derrière un buisson de fleurs observe son amante.
Scène
VIII. Le moment est favorable ; Philis plongée
plaisance sur le Berger, dont les charmes lui paroissent nouveaux.
Scène
IX. L’Amour qui est allé chercher les Graces,
eur troupe et se jurent encore en se quittant de s’aimer à jamais.
Scène
X. Déjà le coteau est rempli d’une foule de Be
qui expriment tout à la fois la joye, le plaisir et l’enjouement.
Scène
XI. Un prodige inattendu interrompt la fête :
t mieux, on ma fait l’honneur d’en prendre plusieurs et de les suivre
scène
par scène. Assurément je suis très flatté de cett
n ma fait l’honneur d’en prendre plusieurs et de les suivre scène par
scène
. Assurément je suis très flatté de cette préféren
ons qui forment les actes, et les sous-divisions, qui déterminent les
scènes
. Ce sont des espèces d’extraits de pièces dramati
tte à projeter mentalement notre vision dans l’espace grandiose de la
scène
. Si cette transposition facilement fallacieuse de
des enchantements illusoires et tant soit peu barbares de la mise en
scène
, est l’un des plus vifs qu’on puisse imaginer. Su
sente, fascinée par le désir de perfection. Elle ne vit pas encore en
scène
, désinvolte, oublieuse de l’effort ; encore elle
Scala et de San Carlo ne se sont pas évanouies — et je ne cite pas la
scène
romaine dont se réclame Mme Leonidoff, car je cro
romaine dont se réclame Mme Leonidoff, car je crois savoir que cette
scène
n’a jamais eu de tradition chorégraphique. À ce p
d’une pièce, mais ne répondent à aucune formule plausible de mise en
scène
. Quelquefois les motifs sont heureux ; quelquefoi
iganò regagna l’Italie et fit paraître aux yeux des Vénitiens, sur la
scène
du San Samuele dont son père était l’impresario,
l affirmait d’ailleurs son admiration pour son maître en mettant à la
scène
à la Fenice La Fille mal gardée du chorégraphe fr
sol. On admira la pantomime de Marguerite angoissée par un rêve et la
scène
en laquelle des gardes accouraient de toutes part
partir de 1812, Salvatore Viganò se fixe à Milan. C’est pour la vaste
scène
de la Scala sur laquelle peut manœuvrer à l’aise
s attendent des heures entières que le maestro leur indique le jeu de
scène
à exécuter. Stendhal nous le montre « environné d
Stendhal nous le montre « environné de quatre-vingts danseurs sur la
scène
de la Scala, ayant à ses pieds un orchestre de di
gine quel travail devait être pour le chorégraphe la mise au point de
scènes
comme la réception d’Othello par le Sénat de Veni
igues amoureuses, Viganò reprenait le vieux mythe pour peindre sur la
scène
l’humanité primitive et les origines de la civili
leau apparaissait d’une originalité puissante et contrastait avec les
scènes
habituelles de ballet illustrant les amours d’un
udes qui trahissaient leur stupidité bestiale ou bien erraient sur la
scène
en paraissant s’ignorer les uns les autres. Dans
ettait en pratique les idées de Noverre sur le réalisme de la mise en
scène
et de la mimique, idées que le réformateur lui-mê
aux interprètes ? Nullement, car il ne s’agissait pas ici de jeux de
scène
laissés à l’initiative des acteurs. Tous les gest
ale s’explique moins aisément. L’action en est obscure, mais quelques
scènes
d’un effet grandiose suffirent à assurer un triom
Titans, on ne saurait assez admirer l’harmonieux équilibre entre les
scènes
à grande figuration est celles dont l’action se c
torni dans sa minutieuse description du jeu des deux acteurs en cette
scène
de séduction qui mettait Stendhal dans un état di
s l’emporte dans ses bras. À cet instant, le feu sacré s’éteint et la
scène
se trouve plongée dans l’obscurité. Émilia échapp
u bruit, les vestales accourent et se désespèrent de la flamme morte.
Scène
de désordre et d’épouvante dans les ténèbres qu’é
nation romantique, sa vision toute picturale, son entente des grandes
scènes
à nombreuse figuration. Dans les Titans il ne fai
t long. Le quatrième suscita de nouveau l’enthousiasme. Les dernières
scènes
ennuyèrent. Stendhal écrivait de Milan à de Mares
t travailler par groupe et lorsque le moment était venu de répéter la
scène
entière on reconnaissait avec surprise que tous l
ndé par Sanquirico. L’imagination du chorégraphe lui représentait les
scènes
d’un ballet comme une succession de fresques anim
ne a réalisé un tableau chorégraphique du même genre dans l’admirable
scène
des pirates frappés de terreur panique dans le ba
de Daphnis et Chloé (musique de Maurice Ravel). La pantomime de cette
scène
est rythmée musicalement. 16. Rome, Naples et F
gère, le « Waldweben » antique imaginé par M. Cras se déroule sur une
scène
encombrée par d’énormes rochers praticables ; de
sur tous les plans, toute une flore artificielle complète la mise en
scène
. Qu’y avait-il à faire ? Mme Stichel fait tourner
elier d’Apelles, terminé dans le fond par une gallerie de tableaux.
Scène
I. Apelles instruit de la visite d’Alexandre,
Une Nymphe prépare la palette et une autre les pinceaux d’Apelles.
Scène
II. Un bruit d’instrumens militaires annonce l
iées du héros, et aux lauriers que ses victoires lui ont mérités.)
Scène
III. Roxane qui a des droits sur le cœur d’Ale
sort en faisant à Campaspe les plus tendres adieux, et pendant cette
scène
, il va examiner les chefs d’œuvres qui composent
va examiner les chefs d’œuvres qui composent la galerie d’Apelles.
Scène
IV. L’amour qu’Apelles a conçu pour Campaspe,
s’agite ; tout annonce en lui le désordre de ses sens. Pendant cette
scène
, Campaspe participe à l’action ; elle exprime sa
l se saisit de sa main, la baise avec transport. Alexandre paroît.
Scène
V. Ce Prince est accompagné d’Ephestion. Roxan
’exposition de l’action. La chasse suivante contrastera bien avec les
scènes
précédentes, tant pour l’action que pour la décor
ojet, et exprimera par ses gestes l’éxcès de sa satisfaction. Ici, la
scène
changera, elle représentera un endroit délicieux
armes embellies par ce que la galanterie a de plus recherché. A cette
scène
variée succédera un pas de deux entre Henri et la
der leurs projets en blessant le coeur du héros ; comme le lieu de la
scène
est embélli par ce Dieu, et que ce que la volupté
secouant son flambeau, l’autre en écrasant ses serpens. Le lieu de la
scène
offriroit le temple de l’immortalité dérobé en pa
e représenter. Un Médecin et un Apothicaire qui formèrent la première
Scène
, s’y réjouissaient de ce que les maux du monde fa
riche, il ne fallait que faire banqueroute deux ou trois fois. Cette
Scène
fut suivie d’une Entrée dans laquelle un Marchand
rent alors les différents personnages que cette Muse introduit sur la
Scène
. Ils entourent par ses ordres la Vérité, la dégui
de l’esprit. L’action se divise en Actes ; chaque Acte est partagé en
Scènes
; les Scènes amènent successivement les situation
L’action se divise en Actes ; chaque Acte est partagé en Scènes ; les
Scènes
amènent successivement les situations ; les situa
ant désiré. En Amérique, souvent, j’avais dansé, sur les plus grandes
scènes
lyriques, entre deux actes d’un opéra, et j’imagi
este d’un homme qui avait joué jadis le rôle de Méphistophélès sur la
scène
qu’il dirigeait aujourd’hui, Marten Stein n’osa p
à mes tempes. Je fermai les yeux. Quand je les rouvris, j’aperçus, en
scène
, une de mes compatriotes qui jadis, m’ayant empru
nterprète. La salle s’était vidée. Nous n’étions plus que six sur la
scène
: M. Marchand, sa femme, le second chef d’orchest
de nombreux amis parisiens dans la salle. Il en vint beaucoup sur la
scène
pour me féliciter et, parmi eux, Calvé. Elle me p
salle entière avait été louée par les étudiants. Lorsque j’arrivai en
scène
chaque spectateur me jeta un bouquet de violettes
evé de danser, ce fut une nouvelle avalanche fleurie qui roula sur la
scène
. Au moment où je quittai le théâtre, les étudiant
avorable à l’éclat des figures claires de premier plan. Au pied de la
scène
, se trouvaient deux bassins qui laissaient jailli
éteindre les lumières, un homme vint me dire, tandis que j’entrais en
scène
: — Regardez avant qu’on éteigne, le flot humain
qu’il avait déclaré à son père qu’il voulait m’épouser. Il y eut une
scène
violente entre les deux hommes. Le père menaça de
le dédié à Jupiter ; la droite offre une partie du palais de Priam.
Scène
I. Pyrrhus, profitant de la brèche que les Tr
tente de Pyrrhus est distinguée par sa richesse et sa magnificence.
Scène
I. Une marche de triomphe annonce l’arrivée du
s, au bruit des timballes et des instrumens consacrés à la guerre.
Scène
II. Polixène, fille de Priam, qui avoit tenté
rent, s’évitent, et se retrouvent. Ces deux amans peignent dans cette
scène
muette tous les mouvemens qui agitent leur ame. P
tés offrent les campagnes de Sigée. On y voit le tombeau d’Achille.
Scène
I. Les sacrificateurs et les prêtres se prépar
représente les jardins du Sérail du Sophi de Perse ; la droite de la
scène
offre une terrasse ornée de balustrades et ombrag
aves sont dispersés sur l’escalier dans différentes attitudes ; cette
scène
tranquille et contrastée de tableaux reçoit un no
ité de Zulmire l’en aime davantage ; et, pour faire diversion à cette
scène
affligeante, il ordonne des jeux ; on se livre à
ophi la suit pour la calmer. Fatnie, qui avoit épié malignement cette
scène
, se livre à tous les projets de sa vengeance ; el
mélange les couleurs d’après les sentimens de son cœur. Pendant cette
scène
la cruelle Fatnie paroît vers le fond avec Zélis
nneteté. Pourroit-on s’étonner, Madame, de ne pas trouver derrière la
scène
, la décence, la considération de soi-même, les ég
vouerez, Madame, que tous ces contre-facteurs des talens dégradent la
scène
et fatiguent le public éclairé. Il est des chemin
de petites productions, qui ne peuvent ni illustrer ni embéllir notre
scène
. Lorsque l’on se consacre aux plaisirs du public
. Lorsque l’on se consacre aux plaisirs du public tels que ceux de la
scène
, il faut avoir reçu de la nature les dons précieu
laboratoire, en permanence de recherches théâtrales dont les grandes
scènes
, voire surtout le cinéma, finissent par profiter.
e que le manteau d’Hamlet ou le cothurne de Roscius. Mais les grandes
scènes
payent, fait aussi regrettable que paradoxal, leu
Le music-hall, quelquefois, glane où le théâtre a passé. Ainsi cette
scène
de la Conquérante que j’ai vue aux Folies-Bergère
’est un accès de jalousie furieuse qui est censé déterminer ce jeu de
scène
exhilarant. C’est ainsi que l’épanouissement libr
investigation, appliquée à la plus vaste, à la plus somptueuse de nos
scènes
, et à un établissement tout-à-fait national, pren
curiosité et d’intérêt-général. On aime à voir quelle influence cette
scène
a exercée à des époques différentes sur l’esprit
ers ce qu’on a si pompeusement appelé depuis ce temps la vérité de la
scène
. On rapporte comme un fait merveilleux que le che
a, on comptait cinquante-neuf poètes qui avaient travaillé pour cette
scène
. Parmi eux, on citait les noms de l’abbé Perrin,
et dames de la cour. Cette réunion de personnes des deux sexes sur la
scène
fut si fort goûtée, que lorsqu’on donna ce ballet
l’esprit public, pour qu’on négligeât de s’en servir. L’Opéra, cette
scène
vaste que l’on pouvait animer de mouvemens si rem
acé sous la protection de la République. Alors, on distinguait sur la
scène
, les Laïs les Lainez, les Gardel, les Vestris, le
éâtre qui avait le plus contribué à échauffer l’esprit public par des
scènes
patriotiques. L’Offrande à la Liberté, scène lyri
l’esprit public par des scènes patriotiques. L’Offrande à la Liberté,
scène
lyrique composée par Gardel et Gossec, avait été
pectacles. On proposa pour ces théâtres un répertoire dans lequel les
scènes
d’opéra devaient jouer : l’Apothéose de Beaurepai
ions civiques ; on y avait donné la Fête des vieillards. Ainsi, cette
scène
que la vieille royauté avait édifiée et entretenu
pâle rayon du siècle de Louis XV avait pénétré dans la salle, sur la
scène
et dans les coulisses ; c’était une aurore, auror
cent treize individus, dont cent quatre-vingt-six appartenaient à la
scène
, quatre-vingts à l’orchestre, le reste aux différ
r la porte, pour le faire rentrer par les fenêtres. » Notre première
scène
lyrique était donc réinstallée à la Cour : elle e
t saluer de ses acclamations. Combien toutes les proportions de cette
scène
ne s’étaient-elles pas alors agrandies ! En 1793,
achevaient leur existence de renommée ; la jeunesse manquait à cette
scène
, aucun talent nouveau ne s’y montrait ; la danse
on théâtrale était dès-lors impossible dans ce lieu, de la part d’une
scène
dont la cassette royale faisait les frais. On con
Taglioni. La musique et la danse, le décors, le costume, l’art de la
scène
et celui du machiniste marchèrent alors d’un pas
ant le progrès musical commencé, en suivant les traditions de mise en
scène
et de décors que la Muette de Portici avait légué
peut répéter le nom sans y joindre un éloge nouveau, de la plus belle
scène
lyrique nationale5, où brillent les Nourrit, les
n tel public offre-t-il autant d’attraits que les magnificences de la
scène
. L’Opéra est actuellement l’établissement le plus
ts ; les génies qui rient et courent dans les escaliers ; forment des
scènes
imprévues qui charment et qui étonnent. J’ai vu T
chant. Cette nomination est de 1833. 4. Les effets de cette mise en
scène
, si palpitante d’énergique vérité, ne se sont pas
té gracieuse des danses et des groupes, ne purent être admises sur la
scène
de l’Opéra que par le talent et la persévérance d
évérance de M. Duponchel, qui nous a donné depuis ce temps la mise en
scène
de Gustave, de la Tentation, de Don Juan et de Ro
part, ils s’y mêlèrent, et c’est à cette innovation que sont dues les
scènes
si entraînantes de la conspiration, de la révolte
, car elle est une traditionaliste convaincue. Mais elle ravive cette
scène
par son beau regard sombre et par de bien piquant
du grotesque. Quant au reste de l’exécution et surtout de la mise en
scène
, j’ai trop peu à en dire — ou trop, si je m’y met
pigraphe] C’est en vain qu’aujourd’hui des chants mélodieux Sur la
Scène
appellent les Grâces, Si la danse n’amuse, et ne
ettrai ici, une réflexion, depuis Louis quatorze jusqu’a ce moment la
scène
Française s’est soutenue glorieusement, malgré le
ts des anciens des noms des femmes dont les talens avoient embelli la
scène
; ils ne parlent que d’Ampuse, de Tymèle, et de D
mes font les délices de la société, elles font encore le charme de la
scène
; elles l’animent, l’embellissent, et elles y ajo
l que celui de l’opéra, si on ne levoit jamais le rideau qui cache la
scène
? voilà, je crois, les masques : qu’on les laisse
présenter Agamemnon, et dit insolemment à Pilade : « Je rendrai cette
scène
en prémier, vous la jouerez ensuite à votre maniè
bien mérité de cet excellent pantomime. Pylade alors s’avança sur la
scène
, et dit froidement à Hilas : « Jeune homme, nous
ades, ne faisoit point sa cour aux grands, et insultoit même étant en
scène
au goût, et aux decisions du public. Un jour repr
é publiquement, l’avoit couvert de ridicule. Auguste indigné de cette
scène
scandaleuse à la quelle il avoit assisté, voulut
s farceurs, les dames Romaines, et leurs filles joüoient avec eux les
scènes
les plus indécentes, et se prostituèrent sans auc
leur éloquence au conservatoire où dans les coulisses de l’opéra ? La
scène
Française ne m’offre-1-elle point Corneille, Raci
ie, et dont les successeurs font encore aujourd’hui les délices de la
scène
Française ; si leur éloquence est secondaire, il
oit un homme chargé d’accompagner, probablement les accents de chaque
scène
étoient notés en piano en forté, et en semi-tons,
ce vrai, ce naturel qui embellit les arts ; je n’apperçois sur cette
scène
antique qu’un amas de ridicules et d’invraisembla
que celle des Grecs et des Romains et que le costume adopté par notre
scène
Française, s’avoisine de la vérité, autant que ce
J’avais à peu près seize ans. Je jouais alors les ingénues ; sur les
scènes
de province, lorsque parut à l’horizon théâtral l
ais sûre dé ne jamais arriver à la voir, cette merveilleuse fée de la
scène
! Je savais d’avance qu’il n’y aurait pas de plac
e, paraissant à peine effleurer le sol, puis s’arrêta au milieu de la
scène
et regarda le public, ce public d’acteurs. Soudai
rappels et des rappels après chaque acte, puis le rideau tomba sur la
scène
finale que suivit un grand tumulte de bravos et d
blic sortait lentement, comme au regret de quitter l’atmosphère de la
scène
. Tandis que je m’en allais, une voix d’or — la vo
etite fille de l’Ouest viendrait un jour à Paris, y monterait sur une
scène
, elle aussi, devant un public frémissant d’enthou
e ? Mon idole était là. Et pour moi ! Etait-ce possible ? J’entrai en
scène
, et regardai le public qui emplissait la salle du
uve du Malabar, Timoleon, Gaston & Bayard, &c. &c. Notre
Scène
comique va bientôt aussi ne peindre que par des g
out cela prouve qu’on est encore loin d’avoir approfondi le genre des
Scènes
muettes. « On se donne bien de garde, lorsqu’on
a Pantomime n’était pas le talent « de faire agir des hommes sur la
Scène
», & d’imaginer des changemens singuliers ; m
arté dans le geste, la simplicité dans la marche. J’ai déployé sur la
Scène
l’ame rusée & fourbe d’Arlequin, le comique &
engageassent le petit nombre de ceux qui se disputent aujourd’hui la
Scène
Pantomimique, à rentrer dans l’ancienne route, qu
ituations à retenir », ou de ces coups de théâtre, si fréquens sur la
Scène
moderne. « Je crois bien que vous m’en saurez bon
iguer ma mémoire par de longues recherches, je vous rappellerai cette
Scène
de Zaïre, où, pour toute réponse aux discours du
la Comédie Lyrique. (Autre note de l’Editeur). 6. Voyez la dernière
Scène
d’une Tragédie intitulée : Timoléon. (Note du gra
ue. Corriger souvent le poème, lier la danse à l’action, imaginer des
scènes
analogues aux drames, les adapter adroitement aux
a supprimer, sans affoiblir l’intérêt, sans interrompre la marche des
scènes
et sans en refroidir l’action. La plupart des poè
froids et dèsagréables. Chaque ballet devroit, à mon sens, offrir une
scène
qui enchaînât, et qui liât intimement le premier
le premier acte avec le second, le second avec le troisième etc. ces
scènes
, absolument nécessaires à la marche du drame, ser
Lully me fait une impression semblable à celle que j’éprouve dans la
scène
des Deux Docteurs du Mariage forcé de Molière. Ce
s contraires aussi choquans ne peuvent en vérité trouver place sur la
scène
; ils en détruisent le charme et l’harmonie et pr
si ridicule qu’un opéra sans paroles : jugez-en je vous prie, par la
scène
d’Antonin Caracalla dans la petite pièce de la No
avante, mais toujours agréable et toujours voluptueuse, a paru sur la
scène
. Que n’eût-il pas fait, si l’usage de se consulte
t se trouver dans les décorations, à l’effet d’indiquer le lieu de la
scène
. Comment peut-il réussir, s’il ignore l’endroit o
ngés symétriquement qui éclaire bien un théatre et qui fait valoir la
scène
; le talent consiste à savoir distribuer les lumi
se et des chœurs ? que fait l’orchestre ? il détruit les idées que la
scène
vient d’imprimer dans mon âme ; il joue un passe-
ute, car le monologue tient à l’action ; il marche de concert avec la
scène
; il peint, il retrace il instruit. Mais comment
araitre mauvais à la lecture, mais il fera le plus grand effet sur la
scène
; il n’offre pas un instant que le peintre ne pui
s sont de vrais monologues. Les deux pas de trois, sont l’image de la
scène
dialoguée dans deux genres différens ; et le ball
hassé, acteur unique, qui avoit l’art de mettre de l’intérêt dans des
scènes
froides, et d’exprimer par le geste les pensées l
Femina, Lâcheté, mimodrame de Bakst, on reprend à l’Opéra Pétrouchka,
scènes
burlesques. Il y a, entre ces deux étonnantes fic
assourdissante qui d’un exubérant mouvement d’allégresse accapare la
scène
; c’est le rythme puissant, multiple, singulièrem
éâtre ; c’est à Loïe Fuller que j’aurais confié (si j’étais roi !) la
scène
des Sorcières de Macbeth, l’Ariel de la Tempête,
is tellement amusé au théâtre ! Voilà bien la Fuller ! L’ombre sur la
scène
n’avait jusqu’alors été qu’un élément fortuit et
de Scribe. — Robert le Diable. — Rénovation du décor et de la mise en
scène
. — Les « principes » de Véron. — La claque ; Augu
apartistes. — La Tempête ; les répétitions ; dépenses pour la mise en
scène
. — Première représentation le 15 septembre 1834.
ducci. — Les soirées de Saint-Pétersbourg et de Moscou. — Adieux à la
scène
, le 21 juin 1851, à Vienne. — Poésie de Grillparz
Qui se font grands Hommes chez Eux, Une TRAGÉDIE excellente, Dont la
Scène
était fort brillante, Et même le BALLET du TEMPS,
t prêché, Paraît, la chose est bien certaine, Présentement, dessus la
Scène
,149 Avec tout le pompeux Arroy, Qu’elle parut au
Et bien-tôt, étant drue, et saine, Icelle reprendra son Rôle, sur la
Scène
. 156. Madle Molière
des Opéras bouffons, ou Comédies-mêlées-d’ariettes. Il faut varier la
Scène
& donner au Public des Pantomimes : voilà ce
ors », voilà la matière, la raison d’être du ballet. Or le metteur en
scène
de Cydalise s’est méfié des ressources de la dans
s une trombe de jetés en tournant et de déboulés, décrit autour de la
scène
le cercle magique du « manège », le public est éb
Robinet, lettre du 21 juin 1665 […] Dessus la
Scène
du milieu, La TROUPE plaisante et comique Qu’on p
s et de baisers ! *** Voici la première danseuse qui ait paru sur la
scène
de l’Opéra, où, avant elle, quelques dames, — mad
moiselle Le Rochois lui faisait travailler, dans le rôle de Médée, la
scène
du troisième acte où l’amante abandonnée adresse
cuté un ballet pantomime avec Balon, comme elle artiste à l’Opéra. La
scène
choisie fut la dernière d’Horace, de Corneille, m
, et, un soir qu’un danseur manquait son entrée, elle s’élança sur la
scène
et improvisa un pas qui porta à son comble l’enth
aginez-vous qu’une fille honnête et de qualité ose se produire sur la
scène
sans cette précaution ? Le soir, cette repartie é
efusé tout ce qu’il faut pour en avoir. » Aussitôt qu’elle entrait en
scène
, on oubliait sa figure. On n’avait pas, d’ailleur
es du roi avaient emmené loin de Paris, ne voulut pas paraître sur la
scène
: elle ne reprit son service qu’au retour du prin
as aborder : Quand, sous la forme d’un démon, Lyonnais parait sur la
scène
, Chacun dit à son compagnon : Je sens que le diab
Vestris cet injuste abus de pouvoir. Aussitôt que le danseur parut en
scène
, il fut assailli par une bordée de sifflets, des
vait un théâtre où elle donnait des représentations. Ce fut sur cette
scène
suburbaine qu’elle « enleva » avec d’Auberval cet
urs. Plusieurs petits Génies. Troupe de Démons. Foule de Peuple. La
Scène
est dans la Turquie Européenne. Scene premier
de ceux qui sont pauvres. Paillasse ne peut en acheter qu’une seule.
Scène
plaisante de ceux qui, par orgueil, en prennent p
uté par sa maitresse, qui le voit sans le sol. Tous les Acteurs de la
scène
sortent après lui, en se moquant du pauvre Arlequ
tres, toujours pauvres, restent dans leur premier état. Pendant cette
Scène
, plusieurs femmes charmantes distribuent de ces r
— Singulière musique de danse. — La fatigue. — Une répétition sur la
scène
. — Comment on démontre la pantomime d’un ballet.
leçon ; c est le cours ; ce sont les répétitions, au foyer ou sur la
scène
, des pas, des groupes et des ensemble. Tout cela
us plaît-il d’avoir un léger crayon d’une répétition ordinaire sur la
scène
de l’Opéra ? D’abord, sur celle-ci, — dont le rid
chorégraphique qui ressemble au patois des Nègres : — Attention ! la
scène
de la prison et le pas des captives !… Vous êtes
t très avantageux de se passer, prive le spectateur des charmes de la
scène
, des effets des décorations et des tableaux varié
ectacle. C’est alors qu’il n’y auroit ni tumulte ni confusion, que la
scène
seroit libre, que les acteurs seroient tranquille
récieuse à l’administration, que loin de diminuer la magnificence des
scènes
, elle y ajouterait infiniment. Il me sera facile
héatre est indispensablement nécessaire aux charmes de l’illusion. La
scène
est comme un tableau dont on ne peut sentir tout
ières incommodes et lorsqu’il veut ensuite ramener ses regards sur la
scène
, tout lui paroît noir et confus, son œil fatigué
et privent enfin le spectateur d’une des parties enchanteresses de la
scène
. Voici encore un inconvénient plus destructif des
e dessein de Pilade, je m’en occupe, j’oublie les acteurs qui sont en
scène
, mon attention se partage, et mon imagination se
ège, et rien ne peut me ramener à l’intérêt qu’on m’a fait perdre. La
scène
en effet ne peut faire illusion, se jouer de nos
ompeux que les décorations ; rien de si pauvre et de si maigre que la
scène
, composée presque toujours de deux ou trois inter
des dépenses ruineuses ; il faut que la partie proprement dite de la
scène
ne soit ni beaucoup plus longue ni beaucoup plus
uations, et tout ce qui tient enfin aux charmes et à l’illusion de la
scène
, s’oppéreront facilement et avec précision. Le pe
nfusion, sans désordre, et cette partie brillante et magnifique de la
scène
(malheureusement trop négligée) reparoîtra avec é
es proportionnées à la grandeur des sujets que je transportois sur la
scène
, des succès soutenus dans le genre que j’ai crée,
un sujet dans son répertoire, il faut, avant de le transporter sur la
scène
, qu’il l’examine scrupuleusement ; un pressentime
lorsqu’ils deviennent inutiles ; car ils ne peuvent être témoins des
scènes
mystérieuses qui se passent, qui forment le noeud
nes comme lui. Un tel maître de ballets, Monsieur, doit abandonner la
scène
, et prendre un état qui n’exige que la routine de
ire ? Si Agamemnon, Clitemnestre, Achille et Iphigenie se trouvent en
scène
, voilà quatre rôles à enseigner ; chacun des acte
ie sur la coulisse lorsqu’elle est accablée de douleur, comme dans la
scène
de Médée et d’Eglé de l’opéra de Thésée. On se se
seconde coulisse, et il en sort par la cinquième, selon l’état de la
scène
. Au théâtre de l’Opéra de Paris, il n’y a que six
u’on puisse, suivant les occasions, élargir ou rétrécir le lieu de la
scène
; que d’ailleurs la coulisse qui avance laisse la
nificence, et l’ensemble de sa composition, représenter le lieu de la
scène
et arracher le spectateur d’un local réel, pour l
es locaux, pour établir aux yeux du spectateur le lieu où se passe la
scène
. Ce qui nous reste des ouvrages dramatiques des G
l’invention. Ce n’est pas assez d’imaginer des lieux convenables à la
scène
, il faut encore varier le coup d’œil que présente
, mais il savoit encore ceux des interlocuteurs, qui se trouvoient en
scène
avec lui ; aussi s’exprimoit-il avec autant de fa
Après cet exposé, Garrick commença ; il mit successivement dans cette
scène
, toutes les gradations dont elle étoit susceptibl
ure semble avoir refusé tout ce qui est nécessaires aux charmes de la
scène
, soit si parfait et si sublime ? Non, ajoutoit il
acteur est de faire oublier jusqu’à son nom, lorsqu’il paroit sur la
scène
. C’est ce que vous savez si bien faire, mon cher
ubilité nuancée de sa diction, l’intérêt soutenu qu’elle mettoit a la
scène
, lui avoient acquis des droits à l’estime que Gar
e monde, sans grimaces et sans charge ; il étoit perpétuellement à la
scène
; il avoit un masque frippon et mobile, qui se pl
cet acteur, vraiment fait pour être un des plus beaux ornemens de la
scène
française. Je lui répondis que le mépris des comé
Qui sont magnifiques et belles, En ont une sur le Tapis (C’est sur la
Scène
que je dis), Qui ne doit rien à ses Aînées, Qu’en
zon très haut. De toutes parts, l’œil est ramené vers le milieu de la
scène
où se dresse, somptueuse, la tente bleue et jaune
s en est en même temps le protagoniste. Il danse le vent, traverse la
scène
par d’amples et pathétiques jetés qui font ployer
nfié à des exécutants de deuxième plan, agrémenté de nouveaux jeux de
scène
« amusants », tombent à plat. J’imagine la fureur
es grandes virtuoses italiennes avaient tenu la première place sur la
scène
impériale ; San Carlo et la Scala prêtaient leurs
; elle se répète sans cesse, elle radote. La splendeur de la mise en
scène
n’y change rien. Le ballet est si vieilli qu’il t
la tourner du côté de mon art et à en faire une seconde dans quelques
scènes
de mes ballets, lorsque les circonstances me le p
amations propres à rendre plus effrayans les tableaux déchirans de la
scène
. Dans l’instant de l’horrible massacre des fils d
sent et se disent les plus tendres adieux. Danaiis exprime dans cette
scène
tous les sentimens que la crainte et la haine lui
iis ordonne qu’on les sépare et qu’on les entraîne au supplice. Cette
scène
peinte avec les couleurs fortes et les pinceaux h
, est en proye à tous les tourmens qu’elles lui font éprouver ; cette
scène
offre des groupes et des situations dont il résul
i dit plus haut, — est le régisseur général du lieu. Comme metteur en
scène
et comme acteur, il possède un talent réellement
t chargé de prévenir ces dames et de veiller à ce qu’elles entrent en
scène
à temps. C’est lui qui va les voir quand elles so
garantie par moi, — pour deux ans. UNE RÉPÉTITION AUX DÉLASSEMENTS La
scène
se passe sur le théâtre, — face aux acteurs (je m
seize bergers, il en manque quatorze… Il est impossible de mettre en
scène
dans ces conditions-là… L’auteur. Ça n’est pas
e les actrices et les spectateurs. — Les conversations des loges à la
scène
. — Les correspondances épistolaires. — L’invitati
aire une comédie. — Ce qui m’en a empêché. — Encore M. Jules Janin. —
Scènes
dialoguées. — Le moyen de s’en aller seule quand
te cordiale qui règne entre le public et le théâtre. « Des loges à la
scène
, dit-il, on a toujours quelque chose à se dire, t
s poussée par mes instincts littéraires, j’ai sténographié une de ces
scènes
de mœurs. Je la livre au lecteur. J’avais d’abord
mari, dont elle cessa de porter le nom. En 1854, elle se retira de la
scène
. On pouvait lire, il y a quelques années, dans le
. Figurait-elle dans un pas de trois ou de quatre, après son écho, la
scène
n’appartenait qu’à elle : elle se campait résolum
on simultanément avec celle de notre Théâtre-Italien. A son entrée en
scène
, le soir de son début, son pied se prit dans une
Quand, en quatre enjambées, comme un tourbillon, elle traversa la
scène
de la rue Le Peletier, — le 11 août 1856, dans le
exploité en 1815 par le comte Palffy, qui faisait représenter sur une
scène
vaste des pièces à grand spectacle, des opéras, d
eneur du nom de Horchelt exploitait avec un succès remarquable sur la
scène
du théâtre An der Wien les dispositions naturelle
naient des représentations chez des particuliers. Mais, à la suite de
scènes
fâcheuses qui se produisirent au palais Kaunitz,
ergondage. Ce fut un coup mortel porté au théâtre An der Wien. Sur la
scène
de la Porte de Carinthie régnait la danse noble q
e et du Conservatoire. Après s’être produit comme ténor sur plusieurs
scènes
d’Allemagne, Jean Elssler s’établit professeur de
, Anna, qui parut, peu de temps d’ailleurs, en qualité de mime sur la
scène
du Kærnthner-Thor, sans arriver à la notoriété. A
es menottes se cramponnent au bord du récipient de bois ! » Certes la
scène
eût été plaisante, mais c’est une fable que le mê
ièrent pas immédiatement ses mérites. Des étrangères régnaient sur la
scène
du Kærnthner-Thor, et les Viennois furent assez l
. Après avoir vanté la beauté de Fanny et son excellente tenue sur la
scène
, elle apprécia sa danse : « C’est, dit-elle, la p
ns la Laitière suisse, des grands progrès qu’elle avait faits. Sur la
scène
du Kærnthner-Thor, Fanny retrouvait une de ses co
ble, de ce qui est sublime se réveille, lorsque sur une des premières
scènes
de l’Allemagne règnent les spectacles qui exciten
is art ne fut plus encouragé par les applaudissemens que le nôtre. La
scène
Française, la plus riche de l’Europe en drames de
idées sur le papier, relisez les cent fois ; divisez votre drame par
scènes
; que chacune d’elles soit intéressante, et condu
des mains. » Ces avis donnés et suivis, Monsieur, délivreroient la
scène
d’une quantité innombrable de mauvais danseurs, d
posé de cinq Actes, de trois ou d’un seul ; et un Acte est composé de
Scènes
en dialogue ou en monologue. Or, chaque Acte, cha
omposé de Scènes en dialogue ou en monologue. Or, chaque Acte, chaque
Scène
doit avoir son exposition, son nœud et son dénoue
aître, des mouvements de danse populaires. Pour les poupées, dans les
scènes
d’intérieur le procédé diffère. Pétrouchka est un
e un être humain ; il tâche de s’exprimer. Ceci détermine ses jeux de
scène
. En vain l’âme se débat contre l’armature qui l’e
ément qu’elle va boiter dans la coulisse ; car elle ne sortira pas de
scène
, sans avoir trébuché. Cette façon de penser enfan
non seulement son métier, mais encore sa passion favorite, la mise en
scène
de sa beauté et son principal titre aux libéralit
r un nuage qui remontait dans les frises. Le choc la précipita sur la
scène
, où son trône, détaché de la gloire, tomba sur el
ux ou trois admirables morceaux d’Halévy, à la richesse de la mise en
scène
, au grand escalier volcanique construit en feu so
beaucoup d’Anglais s’étant plaints au bureau de cette suppression, la
scène
du monstre serait rétablie comme à la première re
ant les manœuvres militaires du corps de ballet, il se formait sur la
scène
un conseil de guerre composé des officiers supéri
re général et des applaudissements unanimes accueillirent ces jeux de
scène
gais et comiques. La jeune danseuse avait ajouté
ez pour faire cesser une pareille situation. Quinze jours après cette
scène
de désolation politique, mademoiselle Pauline Duv
Elle s’appela plus tard Madame Pouch-Lafarge, joua son drame sur une
scène
beaucoup plus vaste que celle de l’Opéra et acqui
eoir au parterre de l’Opéra. Puis, sitôt que l’une d’elles entrait en
scène
, il s’écriait, en s’adressant à son voisin : — Pa
rare illustration que celle du rang social. Ce début eut lieu sur la
scène
de l’Académie impériale de musique, au commenceme
a course activait l’action dévorante, bondir çà et là et sillonner la
scène
en tous sens au milieu des cris de terreur ! La m
n voyant brûler sa fille ! Toutes les danseuses, qui se trouvaient en
scène
, s’étaient enfuies, affolées de terreur. On les r
à bien peindre les mœurs, les âges, les passions qu’ils mettaient en
Scène
. Sans cette précaution, cette partie aurait été t
iété, leur harmonie, leur son particulier paraissait ainsi changer la
Scène
, et donner à chacun des Danseurs la physionomie d
1844. Pour ses débuts, cette dame fâcheusement illustre arriva sur la
scène
d’un bond de panthère, s’arrêta net sur la pointe
n âge ingrat. Derrière les ventres dorés qui occupent le devant de la
scène
, derrière les spéculateurs, les financiers, les a
e vaste Cité, Flore, que le Printemps r’amène, Se découvre dessus la
Scène
, En des Atours fort gracieux, Avec ses Nymphes, &
Airs, La Solennité de la Noce, Comme s’ils étaient chez Mandoce. La
Scène
, au reste, incessamment, Comme, par un Enchanteme
d’attendre jusqu’à ce que quelqu’un vînt me chercher pour paraître en
scène
. Une heure, et même davantage, se passa. Enfin, u
s fois, comme j’avais l’habitude de le faire au théâtre, je revins en
scène
pour remercier le public de ses applaudissements
irée au bénéfice des matelots et je consentis à danser. On dressa une
scène
sur le pont. Et là, avec la mer pour toile de fon
et des petits sujets, des coryphées, des quadrilles paraissent sur la
scène
. D’après les états de situation du ministère, on
ecteur qui… Une tête d’homme coupée — en carton — serait jetée sur la
scène
par les lions de la loge infernale. La salle étai
uvantait à l’idée de voir un simulacre de tête tranchée rouler sur la
scène
. Les lions s’empressèrent de déférer à son vœu, e
fin de danser en mesure, et qu’elles apprennent à bien marcher sur la
scène
. Beaucoup ne s’en doutent même pas. Les anciens d
ant les manœuvres militaires du corps de ballet, il se formait sur la
scène
un conseil de guerre composé des officiers supéri
re général et des applaudissements unanimes accueillirent ces jeux de
scène
gais et comiques… Elle mit à l’épreuve un jeune d
marques gaies, caustiques. Celle-là n’engendre la mélancolie, ni à la
scène
, ni dans la vie privée, proclament Charles Bocher
e dire encor des Ornements, De tous les riches Changements Par qui la
Scène
est si brillante, Et si superbe, et si riante, En
seur entre ou sort sans nécessité, si les Chœurs de Danse occupent la
scène
ou la quittent, sans que l’action qu’on représent
au Peuple, que le prix ne devait être donné qu’à lui. 149. Dans la
Scène
troisième, dès qu’Alcibiade paraît sur le théâtre
d’esprit, de grâce mutine. Aussi, c’est Carlotta Zambelli qui est en
scène
, amazone et monture à la fois. Qu’y a-t-il encore
e départageant le plateau, ces deux tourbillons isolés remplissent la
scène
d’un beau vertige dionysiaque. Dans le ballet de
Ballets Léonidoff » qui se produisent actuellement sur la plus belle
scène
de Paris ne causent qu’une profonde stupeur. C’es
e couleurs, Dans des vases de porcelaine, Pour mieux faire éclater la
Scène
. Les plus grands Seigneurs de la Cour, Avec les D
ssent, Par le sentiment du plaisir Qui vient doucement les saisir. La
Scène
est pompeuse et brillante, Plus que n’est la Sphè
’Emma Livry, la malheureuse artiste qui, enveloppée de flammes sur la
scène
, mourut de ses brûlures, il dit : « Elle apparte
e bossue », qu’avaient raillée les élèves de Coulon, disputait sur la
scène
du théâtre impérial de Vienne la première place à
rle. Enhardie par ce succès et par ceux qu’elle remporta sur diverses
scènes
d’Allemagne, Marie Taglioni vint tenter la fortun
battus. L’usage, qui devint vite un abus, de jeter des fleurs sur la
scène
, ne s’était pas encore établi alors. La main qui
raissent ; plus de ces poses laborieusement voluptueuses, plus de ces
scènes
soi-disant lascives, qui se jouent avec le sourir
é aujourd’hui au musée de l’Opéra, dont elle aimait à se parer sur la
scène
. La Russie fut également démonstrative à sa façon
a poétique sylphide, l’immatérielle créature qui apparaissait, sur la
scène
, étrangère aux basses réalités, avait dans les qu
eur, Laporte, parut et annonça que Mlle Taglioni refusait d’entrer en
scène
. C’est que Laporte, toujours à deux doigts de la
rot avait été associé à son triomphe, elle fit dans les coulisses une
scène
ridicule. « N’est-il pas affreux, s’écriait-elle,
ruit. Fortement attiré vers le théâtre, il avait rêvé pour la mise en
scène
des améliorations importantes, et, en effet, sous
60 000 francs pour monter les Huguenots. Malgré l’éclat de la mise en
scène
, personne ne se plaignit maintenant que la musiqu
licitait d’avoir, avec l’œuvre de Meyerbeer, restauré sur la première
scène
française le règne du grand art. En réalité le no
s Ruy Blas, après avoir, sous le nom d’Orientales, décrit surtout des
scènes
espagnoles. Emile Deschamps rendait populaire le
ile de la troupe, qui se montra pendant plusieurs années sur diverses
scènes
parisiennes, et dont Théophile Gautier donnait ce
l’apparentait au chahut, pour en faire un spectacle acceptable sur la
scène
officielle de l’Académie royale de Musique. Elle
heatre, faisait faillite, selon l’habitude des directeurs des grandes
scènes
de Londres. Un certain nombre d’artistes, dont Ma
sons, des révérences de toutes nuances, choses qui, représentées à la
scène
, ont toujours un attrait nouveau pour les personn
ux situations surtout elle pouvait déployer tout son talent : dans la
scène
où Florinde s’épuise en vains efforts pour arrach
C’est qu’en vérité, écrivait-il, on ne doit être acteur de pareilles
scènes
que lorsqu’on n’a ni os ni muscles, lorsqu’on peu
e Elssler113 ». Le Diable boiteux faisait prévaloir avec éclat sur la
scène
de l’Opéra une conception plus libre de la danse.
uvrages lyriques, applaudis du public, que vous avez produits pour la
scène
, placent votre nom à côté des artistes dont la mé
Taglioni et que quatre générations successives représentèrent sur la
scène
de la capitale russe, Marius Petipa resta à la tê
et russe, époque marquée par l’avènement de la musique nationale à la
scène
chorégraphique, par la suprématie de la danseuse
u langage abstrait des formes, décrit dans l’espace circonscrit de la
scène
des paraboles ou des spirales, de magnifiques et
et vanité. Ce n’est qu’en libérant la danse, en l’intronisant sur la
scène
, que l’on résoudra le problème du spectacle choré
et perpétuellement variés d intérêt et de situation ; chacune de ces
scènes
doit offrir des contrastes heureux et artistement
Ce beau poëme est divisé en plusieurs chants ; chacun d’eux offre des
scènes
variées, des sentimens, des passions et des intér
x de Scribe, parce qu’ils offraient « d’heureux prétextes de mises en
scène
originales et variées et d’ingénieux à-propos pou
on élément, lorsqu’il s’agissait de réaliser avec magnificence sur la
scène
les conceptions du librettiste et du compositeur.
eu de l’être, comme autrefois, à rideau levé. Il modernisa la mise en
scène
et l’imprégna de romantisme. Les anciens palais c
« Rien ne fut ménagé, dit Véron, pour donner de l’éclat à la mise en
scène
de ce bal ; les quadrilles furent des plus variés
es nouveaux et qui réunissait à un moment sept cents personnes sur la
scène
. Le public s’extasia de même devant les tableaux
vue tout l’ouvrage, dit Véron, depuis la première jusqu’à la dernière
scène
; je ne lui imposais point mes opinions, j’écouta
e collection de lettres adressées à l’auteur par les célébrités de la
scène
. On y voit les plus grands noms au bas des billet
e doit reprocher à Véron d’avoir solidement établi sur notre première
scène
lyrique un type d’opéra qui allait être funeste a
beauté, il se jette avec transport dans ses bras ; et cette première
scène
offre ce que la volupté, la coquetterie et les gr
t les Nymphes courent et volent après le plaisir qui les suit. Cette
scène
, Monsieur, perd tout à la lecture ; vous ne voyez
s qui n’ont point perdu le Dieu de vue, entrent précipitamment sur la
scène
; mais quelle est leur crainte ! elles ne voient
ur. Voilà, Monsieur, une description bien foible d’un enchaînement de
scènes
qui toutes intéressent réellement. L’instant ou l
vous faire saisir. Je suis dans la même impuissance relativement aux
scènes
simultanées que j’avois placées dans ce ballet. L
oissoient que dans le jardin, et que je ne les avois associés à cette
scène
que pour faire cortège, et pour rendre l’arrivée
d’années, au Grand-Théâtre de Boston : Une jeune danseuse, était en
scène
, très audacieuse, très ardente et choyée du publi
d ? L’enfant avait raison : elle se sentait destinée à de plus vastes
scènes
, et peu lui importaient les petites misères du pr
t tout le second etage de l’hôtel : Le plancher est incliné, comme la
scène
de l’Opéra, et aboutit à une glace, d’un seul mor
demi-dieu. Aussi, lorsqu’Halanzier l’emmena pour lui faire visiter la
scène
du nouvel Opéra : — Eh bien, est-ce assez grand c
ui demanda-t-il. Elle ne répondit pas, s’en alla au mur de fond de la
scène
, s’y arrêta une seconde, prit son élan et vint to
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