r ami. Eh bien, je ne vous ai rien dit, et lui, il est mort sans rien
savoir
et me croyant heureux. Je ne me pardonnerais pas
derniers jours par l’aveu de la vérité. Comment il m’a élevé, vous le
savez
; vous y avez concouru en vous chargeant de m’ins
ucoup trop jeune et trop écrasé par la volonté bénie de mon père pour
savoir
où j’allais. Je n’avais que vingt ans, je n’avais
er. Vous-même… mais je ne vous fais pas de reproche, mon ami. Vous ne
saviez
pas non plus ! Vous aviez vécu calme et sans comb
Ce fut le côté fort et salutaire ; mais il en résulta aussi que je ne
sus
point en quoi consistait ma force et comment elle
rée des vérités humaines. Mes transports l’effrayaient, et au lieu de
savoir
les enchaîner par la persuasion, elle les augment
temps, j’acquis la certitude qu’elle ne m’aimait pas. Je n’avais pas
su
me faire aimer. Je n’accusai que moi ; mais je ne
ait bâiller. Il est instruit, savant même à ce qu’on dit. Moi je n’en
sais
rien et ça m’est égal : je l’ai vu trois fois pen
ste état de santé qui ne permet pas que nous nous absentions, et Dieu
sait
combien durera cette maladie, qui dure déjà depui
partageait tous mes goûts, et qui, n’ayant guère plus d’esprit et de
savoir
que moi, ne m’eût pas infligé le supplice d’être
emme vit bien, à mon attitude et à l’altération de mes traits, que je
savais
tout ; un peu effrayée de mon air sombre, elle me
tagea ma douleur et la calma autant qu’il était en elle. Mais elle ne
savait
pas les paroles d’amour et de foi qui apaisent et
isait-elle, une figure de croque-mort qui parfois l’épouvantait. Vous
savez
qu’une arme à feu déchargée trop près effraya les
ire, fut interrompue. Nous rentrâmes, et ma femme se mit au lit. Vous
savez
le reste. Elle ne se releva plus. Après huit jour
Mais je ne veux pas refaire l’expérience, car j’ai mal aimé, et je ne
saurais
probablement pas aimer mieux. On ne m’a pas appri
tout porté à la chérir et à l’admirer toujours. Pourtant je n’ai pas
su
me mettre à son plan et dissimuler mes exigences.
es exigences. J’ai senti mourir en moi l’affection que je n’avais pas
su
faire naître en elle. Je me fusse soumis à ses ca
me garder d’entraîner un autre être dans ma nuit. Il ne s’agit pas de
savoir
si je m’y trouve bien, il s’agit de n’associer pe
endra donc grand service s’il marche vite, et je suis résolu à lui en
savoir
gré de toutes les manières. Ne vous inquiétez pas
ui peut s’engager entre nous. Vous m’avez connu fervent, mais vous ne
savez
pas à quel point j’ai appris à mes dépens l’indul
e de foi qui repose, comme l’autre foi, sur de grands témoignages. Je
sais
qu’elle avait tant de charme, tant de talent, qu’
a… La Danseuse Elle dansait fort bien. Moi Feue Mlle Lubra n’a jamais
su
danser. La Danseuse Et Mlle Mauri ? Moi C’est aut
fort aimable de m’apprendre mon métier. Moi Ne m’accablez pas. Je ne
sais
aucun métier, pas même le mien. Et quand vous sau
voyez aujourd’hui. La Danseuse Ah ! c’est joli ! Des danseuses qui ne
savent
pas danser ! Moi Ne dites donc pas cela ! Wagner
ictor Hugo non plus n’aurait jamais passé son examen de poète : il ne
savait
faire ni les textines, ni les ballades, ni même l
rimer une émotion, elle l’éprouve elle-même à un tel degré qu’elle ne
sache
plus qui la voit en scène, ni comment elle sera j
nseuse Oui. Vous comprenez ça. Moi Une trouvaille ! La Danseuse Vous
savez
donc l’anglais mieux que le grec ? Moi C’est méch
danse surtout en grec, et c’est ce dont vous ne douteriez pas si vous
saviez
le grec mieux que l’anglais. La Danseuse Oh ! moi
notre langage et n’ont pas de mystère pour vous ; mais comme vous ne
savez
pas le russe, je suis sûre que vous délirez devan
bsurdes que vous connaissez. La Danseuse Oh ! je vous en prie ! Je ne
sais
pas non plus le chinois. Moi Vous le sauriez en q
hose d’inutilement abscons, où la formule remplace l’idée, où l’on ne
sait
même plus si l’artiste comprend la valeur des ges
s qu’elle répète. Et comme elle n’en est plus émue… La Danseuse Qu’en
savez
-vous ? Moi Je le sens… Et comme elle n’en est plu
i, Dont Maint, et Maint fut ébaudi, Qui, là, d’entrer, eut Privilège,
Savoir
au célèbre Collège Que l’on appelle de Clermont
ibution annuelle Des Prix établis par le ROY ; Non pas, non, de je ne
sais
quoi, Mais de Volumes d’importance, Où brille sa
’on n’y voit rien de plat. Beauchamp rempli d’intelligence, Comme on
sait
, pour la belle Dance, Avait pris soin de ce Balle
ns un siècle où on aurait pensé, la prévoyance du Gouvernement aurait
su
prévenir la disette, rendre les leçons des Philos
Antonin, qu’elle avait placé sur le trône, une pareille injure. Il la
sut
le dernier ; mais il la sut, la souffrit avec fer
sur le trône, une pareille injure. Il la sut le dernier ; mais il la
sut
, la souffrit avec fermeté, ne fit tuer personne,
vec laquelle il dirigeait les rênes de l’Empire, par la sagesse qu’il
sut
opposer aux dérèglements de sa femme. Ses Amis (c
utremont, le… Je ne vous pardonne pas, monsieur, je vous approuve. Je
sais
combien vous êtes attaché à votre mère adoptive,
re adoptive, et je serais désolé de vous séparer d’elle avant de vous
savoir
parfaitement tranquille. Croyez, monsieur, à mes
ésence. Cette variation de Cléopâtre — dont certes on abuse et qui ne
saurait
convenir à tous les tempéraments — n’en reste pas
nique des déboulés, l’utilisation très sensée des ports de bras — qui
savent
dans la variation citée accompagner la jambe et a
i l’école. A-t-elle bien fait dans Faust l’autre soir ? Ma foi, je ne
sais
trop. M. Gaubert, énervé ou pressé, déconcertait
, la grande et vibrante manière de l’ensemble. Lorcia est une nature.
Saura-t
-elle s’acharner au travail au point de mériter la
e bras mélodieux, s’alanguit en portements de corps passionnés. Je ne
sais
si le nom de Mlle Roselly est un nom de guerre ;
de Mlle Roselly est un nom de guerre ; mais s’il en est ainsi, on ne
saurait
trouver mieux pour la peindre ; blanche, blonde e
moigner largement le degré de satisfaction qu’il vous donnera par son
savoir
et son activité. Je vous communique ces chiffres
, j’y reviendrai dans ma prochaine lettre. Sans votre agrément, je ne
saurais
brusquer par mon insistance la délicatesse de vos
. » Je reconnais bien là la bonté candide de vos jeunes années, et je
sais
assez la bienveillante douceur de votre caractère
coup plus en dehors que vous, et peut-être vous blessera-t-il sans le
savoir
en voulant vous faire partager des idées ou seule
quelques jours, mais qui risque de vous devenir insupportable, et qui
sait
? malsain. — En outre, ce jeune homme a des passi
’idée qu’on y vénère. Vous n’êtes point habitué à la discussion et je
sais
que vous ne l’aimez pas. Laisserez-vous battre en
ne jamais arriver à la voir, cette merveilleuse fée de la scène ! Je
savais
d’avance qu’il n’y aurait pas de place pour quelq
tout cela signifiait qu’il ne restait guère d’espoir pour moi. Je ne
sais
si Sarah était déjà venue en Amérique, car j’avai
fût-ce que de loin, même de très loin. Mais où et comment ? Je ne le
savais
pas et continuai à lire les jounaux, me grisant d
a grande ville. Mais j’avais heureusement beaucoup de courage sans le
savoir
. Lorsque j’appris que Sarah allait jouer pour les
-tu ? demanda ma mère. Je m’arrêtai un moment pour réfléchir. — Je ne
sais
pas, répliquai-je, mais d’une façon ou d’une autr
e plus, dans l’Ouest, on ne m’avait jamais traitée de la sorte. Je ne
savais
pas encore, il est vrai, que les gens là-bas étai
porte sur laquelle on lit : « Défense d’entrer. » Personne de nous ne
sait
plus que faire. Tout le monde se dévisageait. La
porte. Machinalement j’avançai, me trouvai au milieu d’un groupe sans
savoir
auquel de ces messieurs m’adresser. Au comble de
fin des applaudissements. Je dansai, et malgré qu’elle ne dût pas le
savoir
, je dansai pour elle. J’oubliai tout le reste. Je
ta dans les notes aiguës et me désespéra. Ce qu’elle disait, je ne le
savais
toujours pas. Mais je vis qu’elle déchirait les p
idole venait me voir. Il m’expliqua que Mme Sarah Bernhardt désirait
savoir
si je ne pouvais pas lui donner certaines indicat
faut rendre responsable de ma désillusion ? Je m’étais imaginé je ne
sais
quoi, parce que Sarah Bernhardt est une artiste d
et il m’a fallu vingt ans pour l’apprendre. Elle est une femme, je ne
saurais
plus, maintenant, l’oublier, mais elle reste mon
ont du mérite ; mais pour obtenir un nom et de justes éloges, il faut
savoir
créer soi-même. Comment est-il possible d’excelle
imagination, peut-il être exercé par ceux qui en manquent ? ce qu’ils
savent
le moins bien est ce qu’ils devroient savoir le m
en manquent ? ce qu’ils savent le moins bien est ce qu’ils devroient
savoir
le mieux ; tous ces mauvais copistes gâtent et en
ègles qu’il doit suivre, et les principes qu’il doit adopter. Il doit
savoir
la danse, l’avoir exercé long-tems, connoître le
célée par la routine et l’ignorance. Il faut que le maître de ballets
sache
que la danse ne possède que sept pas fondamentaux
etit nombre l’étonnera sans doute, mais sa surprise cessera lorsqu’il
saura
que la musique n’a que sept notes, et la peinture
les couleurs lui manquent ? Il ne suffit pas que le maître de ballets
sache
parfaitement la danse, il faut qu’il ait encore l
le, Puisque entre mes Sujets divers, Il s’en trouve un inénarrable, À
savoir
le Ballet d’un Monarque adorable, Et qui doit êtr
narrable, À savoir le Ballet d’un Monarque adorable, Et qui doit être
su
partout cet Univers. […] J’avais pensé, dans cet
it judicieux. Évitant ostensiblement tout pédantisme, le conférencier
sut
, avec un esprit d’à-propos jamais en défaut, nous
perpose heureusement à l’habileté technique ! Les lecteurs de Comœdia
savent
la haute estime en laquelle nous tenons les danse
t-il juger les productions de l’Académie Baraduc ? Or, j’avoue ne pas
savoir
distinguer le mouvement d’un blues de celui d’un
l’on disait naguère à Rome, une danseuse pédestre. Ces jambes nues ne
savent
que marcher, tandis que la danseuse classique gli
est prêt à conclure que s’il existe d’innombrables manières de ne pas
savoir
danser, il n’y en a qu’une seule de savoir le fai
brables manières de ne pas savoir danser, il n’y en a qu’une seule de
savoir
le faire. * * * J’avais demandé récemment, en m’a
ect du métier ne paraissent pas être le moyen de parvenir. Si l’on ne
sait
rien faire, on a la ressource d’« innover ». Mais
part légers de deux grains ; Et, même, par l’illustre Hilaire, Qui ne
saurait
chanter sans plaire, Et la Barre pareillement, Do
our le reste, c’est autre chose, Toutefois, si parler j’en ose, Je ne
saurais
faire autrement Que jaser généralement De ce Ball
able, Part un sort assez honorable De son art plus qu’industrieux, En
sait
faire aussi pour les Dieux. En ce Ballet que nu
Deux charmantes Fleurs de jeunesse, Sœurs de la précédente Altesse,
Savoir
Alençon et Valois, Extraites du Sang de nos Rois.
autant d’admirateurs. Ô Chers Lecteurs, dans ces Vers nôtres, Je ne
saurais
parler des autres, Qui firent, toutes, grand effe
vingt ans de piétinement sur les plantes nues, Isadora conserve je ne
sais
quel prestige plastique. Son geste est sobre, par
s quelques femmes à l’esprit simple et droit, à l’instinct juste, qui
surent
maintenir, malgré et contre tous, leur conviction
ramena les foules vers la danse, qui lui créa un nouveau public. Elle
sut
déterminer un mouvement d’opinion. Cela reste acq
me de leurs cœurs, il y a un tourment, un bonheur déchirant qu’ils ne
sauraient
dire. Aussi ils dansent l’ineffable, absorbés dan
leuse, dans cette atmosphère fauve de poussière et de sueur. Et je ne
saurais
oublier cette foule montmartroise, sensuelle et g
près inédite. Car notre génération, ou plutôt la précédente, n’a pas
su
la voir. Ce genre de cécité intellectuelle, de da
astiques. J’ai toujours été profondément indifférent à la question de
savoir
si je suis ou non « à la page ». Mais pour le cou
. Ces deux Filles qui par leurs voix Ont charmé la Cour tant de fois,
Savoir
Mademoiselle Hilaire, Qui ne saurait chanter sans
Ont charmé la Cour tant de fois, Savoir Mademoiselle Hilaire, Qui ne
saurait
chanter sans plaire, Et La Barre, qui pleinement
CE naissante,72 De plus en plus est ravissante , De FIENNE, qu’on ne
saurait
voir Sans mille Attraits apercevoir, Dedans sa Da
es prend illec comme en Cadence. Divine ALTESSE à qui j’écris, Vous
savez
tout ce que je dis ; Mais, comme ma Lettre est pu
di ciò dà bastante saggio che, sebbene non sia egli un Danzatore, ma
su
di ciò pensa così bene che piacemi, e sia lecito
Géométrie, la Musique, la Philosophie, l’Histoire, et la fable, qu’il
sache
exprimer les passions, et les mouvements de l’âme
il ne le cède à Phidias, ni à Apelles pour le regard. Ce Danseur doit
savoir
aussi particulièrement expliquer les conceptions
judicieux, et avoir l’oreille très délicate». Lucien, De la Danse l.
Su
quai requisiti io così ragiono. Di Poesia per l’i
-l’air, ne se retrouve-t-il pas identique, mais transfiguré par je ne
sais
quelle hiératique grandeur dans les bas-reliefs m
as le ridicule de faire une apologie du music-hall. D’ailleurs, il ne
saurait
qu’en faire. Les sympathies et les curiosités des
e. Même en faisant la roue, Miss Payne reste « ladylique ». Or, je ne
sais
pas, n’ayant pas vu le reste de son répertoire, s
vu le reste de son répertoire, si c’est là le fond de son sac. Je ne
sais
de quelle manière elle échappe à une certaine pén
arquablement réglé. La femme, fine, le corps comme forgé à l’enclume,
sait
se faire impondérable au bras de son danseur qui
braconner sur le terrain de mon excellent collègue M. Fréjaville, qui
sait
soumettre les futilités présumées du music-hall à
avo sia rivolto verso la terra, e succedevolmente si faccia di giù in
su
un soave giro di polso. E nel medesimo tempo che
nel medesimo tempo che la man sinistra lo fa, come è detto, di giù in
su
. E quivi termina il movimento delle braccia d’opp
doperato, e col sinistro si vorrebbe fare il contrario, ritornando di
su
in giù colla mano in dentro sopra il suo lato, e
o partendo col piè dritto, il sinistro braccio deve andare innanzi in
su
, ed il dritto dallato in giù: ed all’incontro, se
pité, je le gardai dans mon chapeau entre mes genoux, attendant je ne
sais
quel moment favorable qui ne se présenta plus, et
ns les siennes et resta assise près de lui, immobile et muette. Je ne
sais
pas si elle avait remarqué ma présence ; à ce mom
pas été heureux avec elle. — Alors, qu’est-ce que c’est donc ? — Que
sait
-on ? Vous, peut-être ? — Moi ? Quelle folie ! Je
de notion sur la vie et sur le monde. J’étais à l’état sauvage, je ne
savais
pas lire et je sentais l’horreur de la misère san
er les pieds, et comme je réclamais : « Petite bête, me dit-il, tu ne
sais
donc pas que toute ta fortune à venir est dans te
M. Fiori se tourna vers moi et me dit : « Danse, qu’on voie ce que tu
sais
faire. » Il me donna le rythme avec un tambour de
se laissât tenter. Mais Fiori était un parfait honnête homme. « Je ne
sais
pas, me répondit-il, si tu me rapporteras ce que
ndit-il, si tu me rapporteras ce que tu vas me coûter, mais ce que je
sais
, et ce que tu ne sais pas, toi, c’est que : qui p
orteras ce que tu vas me coûter, mais ce que je sais, et ce que tu ne
sais
pas, toi, c’est que : qui prend un enfant au théâ
, il me répondait : « Ça ne te regarde pas. Une danseuse ne doit rien
savoir
et ne penser à rien qu’à son art. » A force de m’
humaine fût toujours dans un accord logique avec la structure. Il ne
savait
pas dessiner, mais, par des lignes très bien agen
uyais pas de ses enseignements et j’en appréciais la justesse, car il
savait
me faire exécuter les choses les plus difficiles,
ans les poses où je devais m’abandonner en me fiant à son aide. Je ne
sais
si vous avez vu ce ballet, où la Taglioni, soulev
e dans ma mémoire, et je trouvais, à la contempler obstinément, je ne
sais
quel plaisir amer tout trempé de mes larmes. Tout
velles dans l’après-midi. Il avait un peu de fièvre et s’agitait pour
savoir
quelles personnes étaient dans la pièce voisine.
rts, m’obtiendra l’indulgence publique, et que les jeunes danseurs me
sauront
gré de l’intérêt que je prends à leurs progrès. J
ne bonne école, dans laquelle ils ont acquis un goût pur7. [9] On ne
saurait
trop recommander aux jeunes gens qui se destinent
ts, ces modèles du beau idéal, formeront leur goût. Un danseur qui ne
sait
point se dessiner, et qui par conséquent manque d
e. « Je voudrais, dit le sage Montaigne, que chacun écrivit ce qu’il
sait
, et autant qu’il en sait. » 2. On pourrait aus
sage Montaigne, que chacun écrivit ce qu’il sait, et autant qu’il en
sait
. » 2. On pourrait aussi citer à certains maîtr
is essentiellement utile, et que tout professeur, sans être obligé de
savoir
dessiner, peut employer, c’est-à-dire, que je for
mbinaisons respectives, les dénominations adoptées par les géomètres,
savoir
de perpendiculaires, d’horizontales, d’obliques,
’on ne fut nullement insensible à sa jolie personne. Quant au rythme,
sut
-elle toujours l’observer scrupuleusement sur ce p
de l’attitude : genoux fléchis avec grâce, cou-de-pied bombé… « Je ne
saurais
vous dire avec quelle grâce il (Vestris-père) ôta
à la Salle Favart — avec sa grande allure de sujet classique et je ne
sais
quel air de noblesse et d’amertume sur son beau p
s De la grande Actrice choisie, Beauval, qui, d’un beau feu, saisie,
Sait
jouer, admirablement, Sur tout, un Rôle véhément.
malade sera Mademoiselle de Molière, Autre Actrice si singulière, Qui
sait
jouer si finement, Si proprement, si noblement, Q
ou trois petits mots d’Histoire, Qui font le comble de sa gloire : À
savoir
, ô charmant Héros ! Que vous chantâtes là, son lo
stait, l’homme, classant et cataloguant les sons, créa la musique. On
sait
ce qu’il a su en tirer depuis !… Or, aujourd’hui,
classant et cataloguant les sons, créa la musique. On sait ce qu’il a
su
en tirer depuis !… Or, aujourd’hui, l’homme, pass
érite pour cela aucun éloge, Je ne puis pas expliquer la chose, je ne
sais
pas comment je fais. Je ne puis que répondre, com
qu’on lui demanda ce qu’était le temps : — Demandez-le-moi, je ne le
sais
pas ; ne me le demandez pas, je le sais. C’est de
— Demandez-le-moi, je ne le sais pas ; ne me le demandez pas, je le
sais
. C’est de l’intuition, de l’instinct, pas davanta
nature qui se composent et se décomposent. Un jour viendra où l’homme
saura
les employer de si précieuse façon pour des harmo
s, un hochement de tête, une main retirée vivement !… Nous avons beau
savoir
qu’il y a autant d’harmonie dans les mouvements q
us ressenties, sans pourtant nous douter qu’on pût les exprimer. Nous
savons
tous que dans les fortes émotions de joie, de dou
s beau de Paris, je connois très-peu de filles et même de garçons qui
sachent
lire la musique, l’écrire et chanter, ou jouer d’
; la sottise reste aux marchands de musique. Plusieurs d’entre eux ne
savent
ni la lire ni l’apprécier ; tout le bénéfice rest
Vénise dans trois théâtres pour la fête de l’Ascension. Il est bon de
savoir
qu’à Alexandrie, Bergame, Reggio, etc. on réprése
en donnons que deux ou trois en France par an ; on les grave. Reste à
savoir
, s’ils en méritent la peine et la dépense. En Fra
ttre en vous en promettant une seconde, peut-être, une troisième, que
sais
-je, une quatrième ; car la musique, cet art devin
ppelle, Lundi dernier, Jeudi passé, Le Ballet du Roi fut dansé. Je ne
saurais
encor que dire De ce Ballet de notre Sire, (Qu’on
Salle (me dit-on) est pleine » Vous gagneriez peu de passer, » On ne
saurait
vous y placer. Quant il m’eût fait cette harang
juste et délient, douée d’une pénétration merveilleuse des âmes, qui
sait
découvrir la signification profonde des choses in
stinctifs ou conscients. Elle a sans le vouloir, et peut-être sans le
savoir
, toute une théorie de la connaissance et toute un
ante ou bien une disposition particulière que rien n’explique ? Je ne
sais
. Mais elle est profondément religieuse, avec un e
ent pas toujours la guérison des malades pour qui on les emploie ? On
sait
qu’ils sont utiles à plusieurs, et c’en est assez
ques-uns. C’est cette même espérance qui nous anime. D’ailleurs, nous
savons
que Dieu nous demande notre travail, et non le fr
parlent à des morts. Le ministre, chargé de planter et d’arroser, ne
sait
pas si son travail réussira, parce que c’est Dieu
es, qui sont réservés dans le ciel pour ceux qui aiment Dieu. Si nous
savons
nous aimer nous-mêmes, ne nous mettrons-nous pas
e vie qui est si courte ? N’est-ce pas être véritablement sage que de
savoir
nous priver de plaisirs qui pourroient nous expos
nseuse qui a voulu prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle
savait
parler et écrire. Sais-tu bien pourquoi j’ai fait
r à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire.
Sais
-tu bien pourquoi j’ai fait ce livre ? — Non. — Je
la suivre. La foule d’hommes bornés qui fréquentent nos Spectacles ne
sauraient
croire que ce qu’ils ont vu ; le par-delà de ce q
qui m’ont frappé moi-même. Ce n’est pas aussi, pour les personnes qui
savent
la démêler, que j’écris ce Chapitre. Je ne l’adre
e nous avons tout ce qu’on peut avoir, parce que leurs perceptions ne
sauraient
aller plus loin que l’objet, quel qu’il soit, qui
si bien fondées. La nature a tout fait pour eux ; mais il faut qu’ils
sachent
qu’ils ont encore tout à faire pour l’art. Qu’ils
e, qu’est-ce qu’elle veut dire ? — Comment, dit le président, vous ne
savez
pas que Loïe a récité des poésies dimanche ? Ma m
prière je ne m’en souviens pas. Mais ma mère l’interrompit. — Oh ! je
sais
. C’est la prière qu’elle dit tous les soirs lorsq
lui répondis que je ne pouvais pas la prévenir d’une chose que je ne
savais
pas moi-même. — Où as-tu appris ça ? — Je ne sais
e chose que je ne savais pas moi-même. — Où as-tu appris ça ? — Je ne
sais
plus maman. Elle me dit alors que j’avais dù ente
mes. Les chiens se poursuivent, sautent au nez des chevaux ; et je ne
sais
rien qui donne l’idée du jeu le plus heureusement
e faire devant la Danse et la danseuse pour se donner l’illusion d’en
savoir
un peu plus qu’elle-même sur ce qu’elle sait le m
donner l’illusion d’en savoir un peu plus qu’elle-même sur ce qu’elle
sait
le mieux et qu’on ne sait pas le moins du monde ?
oir un peu plus qu’elle-même sur ce qu’elle sait le mieux et qu’on ne
sait
pas le moins du monde ? Il faut bien qu’il compen
’est demandé un jour ce que c’est que le Temps ; et il avoue qu’il le
savait
fort bien quand il ne pensait pas à s’interroger
xpression terriblement hardie : je n’en trouve pas d’autre. Mais vous
saviez
d’avance que je suis écrivain obscur et compliqué
nt de rattacher ce gracieux fait : la Danse, à l’ensemble de ce qu’il
sait
, ou croit savoir. Il tente d’approfondir le mystè
ce gracieux fait : la Danse, à l’ensemble de ce qu’il sait, ou croit
savoir
. Il tente d’approfondir le mystère d’un corps qui
vement humain. Oui, ce corps dansant semble ignorer le reste, ne rien
savoir
de tout ce qui l’environne. On dirait qu’il s’éco
sent, elles semblent ne pas le faire sans s’obliger à respecter je ne
sais
quelle égalité successive. La cadence, la mesure,
me, à la flamme, à l’ardente et subtile action de Mme Argentina. Vous
savez
quels prodiges de compréhension et d’invention ce
m’intéresse passionnément. Je suis celui qui n’oppose jamais, qui ne
sait
pas opposer, l’intelligence à la sensibilité, la
’hôtesse rayonnante et rougissante, mais une invitée de marque qui ne
saurait
se départir d’une indifférence indulgente et d’un
Lamballe à telles élues du concours de classement. Évidemment elle ne
saurait
, petite et assez forte comme elle l’est, se disti
admirable, saute et bat à ravir. Un maître de ballet inventif aurait
su
utiliser jusqu’à ces défauts, la diriger vers le
es Du Ballet de l’Hiver dernier, Ainsi que je l’appris hier ; C’est à
savoir
, celle des BASQUES, Dont, comme eux, les Pas sont
Compliments grands Artisans. […] Grande HÉROÏNE à qui j’écris, Vous
savez
tout ce que je dis, Car, en qualité de Bergère, V
été là pour la soutenir. Je lui demandai ce qu’elle avait. Elle n’en
savait
rien, mais depuis quelques temps elle était souff
t à soigner ma mère et les médecins français se retirèrent dès qu’ils
surent
qu’il était notre médecin. Notre docteur s’inform
tre langue. Je ne parvenais pas à lui faire comprendre que je voulais
savoir
quand je pourrais quitter le train et retourner à
ert de tristesse. Qu’allais-je faire ? Que pouvais-je faire ? Je n’en
savais
rien. Je heurtai la porte de la cahute en planche
J’allai à lui, et lui demandai s’il parlait un peu l’anglais. Il n’en
savait
pas un mot ! Il essaya de parler français, puis a
ès dix minutes qui me semblèrent un siècle, tant j’étais désireuse de
savoir
, il rouvrit les yeux et me dit en allemand : — No
zione col destro per esempio avanti al sinistro, equilibrasi il corpo
su
tutti due i piedi, quindi piegansi i ginocchi, e
ote o sotto o sopra. [5] Per esser “fatta in giro” fa bisogno girarsi
su
quel lato istesso del piè che prima si muove, il
atif à l’action devient un ornement sans goût, et sans chaleur. Qui a
su
mieux que Quinault, ces lois fondamentales de l’A
c point de Danse qui ne puisse être admise au Théâtre ; mais elle n’y
saurait
produire un agrément réel, qu’autant qu’on aura l
int d’ouvrage de cet esprit créateur, dans lequel on ne voie, si l’on
sait
voir, l’indication marquée de plusieurs Ballets d
s périls et les hasards, Faisait le premiers des Césars ; Rassan (qui
sait
l’art de combattre) L’illutre Amant de Cléopâtre,
e Doit se rendre un jour adorable ! Les autres étaient Plabisson, Qui
savait
des mieux leur leçon, Vaure, Dargentier, Barnouvi
uête et prière De la pieuse Reine-Mère, Le Carême étant survenu, J’ai
su
du discours ingénu D’un de mes voisins nommé Jacq
le obéit à des règles », a judicieusement dit Voltaire, quoique je ne
sache
plus exactement où j’ai relevé ce tronçon de syll
ée. Ce qui n’exclut aucune trouvaille personnelle, aucune méthode qui
saurait
prévaloir. En définitive, nous sommes d’accord su
Aussi sa dette est-elle immense envers le génie français. Mais elle a
su
s’acquitter. Le triomphe des « Saisons Russes » à
asion. C’est une restitution. Et il sied de l’avouer — les russes ont
su
augmenter le pécule. C’est à quoi je songe en évo
medesima si previene con altro Sissonne col piede che stava disteso,
su
cui si cade; volendosi cambiar gamba, col piede c
starà distesa ferma e l’altra farà il Tordichamb: nel cadere, si cade
su
quella gamba che stava distesa, e l’altra con qua
ello di mano a un Uomo ben alto con la mano distesa in alto, e salito
su
di una sedia. [25] Si puol fare altra sorte di qu
terra, si metterà verbigrazia col piede sinistro in seconda in aria e
su
il dritto disteso, equilibrato il corpo nella qua
all’altro, che si tiene sempre disteso, cadendosi sul medesimo piede
su
cui prima il corpo stava appoggiato, con darsi ne
corpo, di fianco, di sbalzo, capriole tonde intrecciate, salto tondo
su
di un piede, detto di sbalzo. [40] Quello “sotto
i comincia con un Dégagé alla seconda, e sia il manco, poi saltandosi
su
questo istesso, si dona al corpo il moto del giro
perda l’aria racchiusa, che la teneva in elasticità, nel cadere resta
su
il medemo terreno: ma se conservasi ripiena del v
o, e prendere i salti tondi in quinta Spagnuola. [46] Il “salto tondo
su
d’un piede” serve per carattere di Pulcinella o d
d in questo salto si possono raddoppiare due giri. [47] Va pur questo
su
di un piede fatto “di sbalzo”: si prende il Contr
izione e si torna a staccare in grande, quanto più puole, cadendo poi
su
il piede medesimo, levando l’altro in aria. Per e
o per esempio il destro, si salta sul sinistro, s’intreccia e si cade
su
dell’altro piede o sull’istesso su cui si saltò,
ul sinistro, s’intreccia e si cade su dell’altro piede o sull’istesso
su
cui si saltò, ed un resta distaccato alla seconda
nt voyage d’un bel esprit oisif et rêveur, qui s’inquiète fort peu de
savoir
ce que va dire la Revue d’Édimbourg ! Pâle et dou
on rival. Il est perfide et fin, il est sournois ; il guette le je ne
sais
quoi qui va venir ; il est plus clairvoyant qu’Ef
qui a menti, un jaloux qui veut tromper Effie ! Il n’a rien vu, il ne
sait
rien, James n’est amoureux que d’Effie ; reprenez
— une écharpe rose à faire envie à toutes les filles de la terre. Que
sait
-on ? c’est peut-être bien une moralité cachée, c’
tout bas, personne ne m’entendra. — Tout ce que je veux, c’est de le
savoir
là et de respirer un air qui touche à l’air que t
amour que j’ai pour toi n’est pas une affection de la terre, et tu ne
sais
pas combien il y a d’amour hors de la vie, et com
ien de la malice et de la grâce : un peu de jeunesse et de beauté n’y
saurait
nuire ; que le décorateur soit habile à la façon
ination, se compose de tout ce qui nous trouve crédules. Si vous nous
savez
plaire et nous tenir attentifs par quelque récit
e était si pâle, elle était si chaste et si triste ! En même temps on
savait
si bien qu’elle était à l’aise, là-haut, sur nos
oux airs qui donnent du plaisir sans jamais nuire. » Mais personne ne
saurait
dire combien de douleurs mademoiselle Taglioni sa
is personne ne saurait dire combien de douleurs mademoiselle Taglioni
savait
mettre dans le dénouement de son drame ; on eût d
ublic comme pas une. Elle s’élançait par grandes envolées, et l’on ne
savait
où s’arrêterait son élan. Par malheur, sa légèret
e chez elle, comme à l’Opéra, Rita vit sous le regard de maman. Je ne
sache
pas qu’elle s’en plaigne. Çà et là, au salon roug
28 décembre, lorsque Sangalli quitta New-York avec sa troupe, et nous
savons
qu’il y a entre les deux grandes villes huit jour
ballerines et sous le bâton imperturbable de Sangalli, qui est, on le
sait
, une tempiste hors ligne. Jusque-là, tout allait
viette, de cailles en caisse et d’ortolans à la provençale. *** Je ne
sais
pas si, dans son extrême jeunesse, Rosita Mauri a
pieds ! J’ignore si ses laquais ont « la tête africaine » ; mais je
sais
qu’elle a pignon sur rue, argenterie au panier, v
ins à la cave, diamants à l’écrin, chevaux et voitures à l’écurie. Je
sais
qu’elle vient d’acheter une bicoque de cent mille
que de cent mille francs pour y remiser la vieillesse de son papa. Je
sais
qu’elle a pour grande maîtresse de sa maison l’ex
cesse répétant : — Ah ! si sa pauvre mère pouvait voir tout cela ! Je
sais
encore qu’elle a ses historiographes pour nous ap
e par les occupations d’une femme de goût et d’une femme d’esprit. Je
sais
, enfin, qu’elle a pris pour devise : Anvers e con
i se réunissent pour se réjouir ensemble. Tout le monde le voit et le
sait
; et cette seule idée ne fait-elle pas envisager
les jeunes filles ainsi rassemblés dans le dessein de se réjouir ? Ne
sait
-on pas combien est violente la pente de la nature
e l’histoire de l’ancien Testament, qui est le livre de la Genèse, on
sait
ce qui arriva à Dina, fille de Jacob et de Lia, â
les siècles combien un tel désir est mauvais à ses yeux, et qu’on ne
sauroit
prendre trop de précautions contre une passion qu
mon par ces paroles du livre de la Sagesse : (c. 8, v. 21.) Comme je
savois
que je ne pouvois avoir la continence, si Dieu ne
, si Dieu ne me la donnoit, et c’étoit déjà un effet de la sagesse de
savoir
de qui je devois recevoir ce don, je m’adressai a
sent mauvais. C’étaient Pillevois et Carabin : celle-ci, la femme qui
sait
le mieux recevoir de Paris, — un de ses bals a as
n qui, d’ailleurs, lui témoignait toute la joie qu’il ressentait à se
savoir
le préféré d’une aussi charmante créature. »
demoiselle Fonta a pris sa retraite voici tantôt deux ou trois ans. —
Savez
-vous, demandait mademoiselle Baratte, pourquoi La
légèreté et à la grâce on a substitué l’énergie et la force, il faut
savoir
gré à une artiste de ne pas tomber dans ces excès
use, très forte d’exécution et de correction, la seule de l’Opéra qui
sache
danser une variation de violon. C’est merveille d
elle n’avait songé qu’elle eût à se repentir d’être danseuse, et qui
sait
si, la veille de son début, dans son désir de bie
re dans une voiture et je donnai l’adresse des Folies-Bergère, car je
savais
que mon agent, de son côté, avait écrit au direct
ur des Folies-Bergère de m’engager. Qu’on imagine ma stupeur quand on
saura
que, en descendant de fiacre, devant les Folies,
ous oublié que vous vous proposiez de danser à l’Opéra ? Peut-être le
sait
-il !… — Peu importe, répondis-je, posez toujours
mporte, répondis-je, posez toujours la question. Et puis cet homme ne
sait
rien. Je n’appris que plus tard que M. Marchand p
au point de vue de la réclame c’était une excellente idée, mais je ne
sus
que longtemps après, que mon engagement définitif
a de l’Observatoire de Flammarion, à Juvisy, m’a impressionnée, on le
sait
. Pourtant la vue que l’on a de Meudon, tout en ét
d’entrer. Là vraiment le silence est d’or. Que valent les mots ? Nous
savons
que nous sommes impuissants à exprimer par des mo
ive. Mais sur leur visage, il y avait un reflet de grande joie, et je
sus
qu’ils avaient apprécié et compris Rodin. Ces deu
éternellement, et dont j’ai compris la valeur initiale. « Elle a même
su
nous faire connaître l’Extrême-Orient par ses cho
faire un ballet français sans faillir à leur nature, les Français ne
sauraient
faire un ballet russe sans se trahir et s’amoindr
ins, l’opinion du Russe qui écrit ces lignes. * * * Cependant l’on ne
saurait
restaurer en un tournemain une tradition méconnue
isent, et derechef un seul élan vertical enlève les deux corps. Je ne
sais
si ces pas sont faits par M. Staats, qui a signé
araît une personnalité naissante. On annonce la Khovanschtina ; je ne
sais
si l’on s’est déjà préoccupé de ces « danses des
de donner plus de poids, par un exemple frappant, à une règle qui ne
saurait
être trop scrupuleusement observée. Outre les loi
ous avez fait, et tout ce que vous pouvez faire, sans avoir besoin de
savoir
lire. Continuez de vous dessiner d’après des modè
ez les yeux, et lisez. Apprenez ce que le grand talent peut produire.
Saviez
-vous que Pylade eût existé ? Vous avait-on parlé
réfugiés en France. À cette tâche généreuse vous étiez appelée. Vous
saviez
à quel point nous tous vous portons dans nos cœur
vous qui apportez sur la scène quelque chose de notre âme à tous… Je
sais
fort bien que je dois, à mes lecteurs, un compte-
monde, où elle éprouve de continuelles contradictions, parce qu’elle
sait
qu’elle y est étrangère, et qu’il est facile de t
t, s’agit-il de parler en faveur des passions ? La plupart croient en
savoir
assez pour s’ériger en docteurs, pour décider en
s la satisfaction esthétique inhérente à ce temps. Pourquoi, je ne le
sais
pas encore. Mais ce qui distingue Karsavina, c’es
le bon métier « académique » de Mmes Egorova et Chollar, le parti que
sait
tirer Mme Tchernitcheva de sa belle personnalité
ement les actes de tous ces corps qui se nourrissent. Chacun, sans le
savoir
, donne équitablement ce qui leur revient, à chacu
s chances de vie, à chacun des germes de mort qui sont en lui. Ils ne
savent
ce qu’ils font, mais ils le font comme des dieux.
ntraire, les ténèbres, pendant que nous avons la lumière ; anxieux de
savoir
, trop heureux d’ignorer, nous cherchons dans ce q
de plus sûr. Je n’y puis rien. C’est la vie même qui le veut : tu le
sais
mieux que moi, qu’elle se sert de tout. Tout lui
a jalousie, qu’elle soit artistique ou passionnelle ; voire songes !…
Sais
-tu qu’il me suffit qu’elles me chuchotent quelque
tout pénétré de symétries, tout ordre, tout actes et séquences !… Qui
sait
quelles Lois augustes rêvent ici qu’elles ont pri
privation nous conduise à les admirer)… Ils mènent donc comme ils le
savent
, nous qui les ignorons naïvement ; et suivant le
etiens de merveilles avec moi-même. Je m’inquiète comment la nature a
su
enfermer dans cette fille si frêle et si fine, un
appée de toutes les portes de la vie ? ÉRYXIMAQUE Crois-tu qu’elle en
sache
quelque chose ? et qu’elle se flatte d’engendrer
es jambes est à la place de cette tête ; et que son doigt trace je ne
sais
quels signes dans la poussière !… Après tout, pou
s qu’elle est l’acte pur des métamorphoses ? PHÈDRE Divin Socrate, tu
sais
quelle confiance simple et singulière j’ai placée
e c’est que la danse ; et l’un et l’autre paraissez respectivement le
savoir
; mais le savoir tout à fait séparément ! L’un me
nse ; et l’un et l’autre paraissez respectivement le savoir ; mais le
savoir
tout à fait séparément ! L’un me dit qu’elle est
Quel venin ? SOCRATE … Qui se nomme : l’ennui de vivre ! — J’entends,
sache
-le bien, non l’ennui passager ; non l’ennui par f
ennui par fatigue, ou l’ennui dont on voit le germe, ou celui dont on
sait
les bornes ; mais cet ennui parfait, ce pur ennui
amme !… — Cette fille est peut-être une sotte ?… Ô Flamme !… — Et qui
sait
quelles superstitions et quelles sornettes formen
de forces extraordinaires… Ou je sens qu’elles sortent de moi qui ne
savais
pas que je contenais ces vertus. Dans un monde so
. II J’ai réellement dix-huit ans, — pas une soirée de plus. Je
sais
que j’en parais vingt-quatre. La célébrité vieill
dans ce livre surtout. Je n’aurais qu’à raconter simplement ce que je
sais
d’elles. Mais, outre que la vengeance n’est pas d
bonne du matin au soir. Sa bonne en rit, et elle a bien raison, elle
sait
que sa maîtresse fait cela parce que je le fais.
ais. Finette a la réputation d’écrire des lettres charmantes. Elle ne
sait
pas signer son nom et ne lit que les imprimés. Co
rdonne pas. J’avais une lettre importante à écrire, et vraiment je ne
savais
comment la tourner. Je m’en fus trouver la maître
stituer le mouvement. Il n’y a pas là, d’ailleurs, de quoi s’étonner.
Sait
-on qu’il y a plus d’un quart de siècle un savant
igure de pédant. Qu’il nous laisse disserter, nous autres, mais qu’il
sache
, lui, son métier. Quand Mlle Nyota, assise, danse
p de goût, aucune vulgarité. J’oubliais : les dents fort belles. J’en
sais
quelque chose. Elle me les a montrées… Mais peut-
uisqu’elle est une créature Dont les attraits font avouer Qu’on ne le
saurait
trop louer. Mademoiselle de Fiennes, Une de nos
Cour. Enfin, voici pour la dernière, De la Cour une autre lumière,
Savoir
la belle Rochefort, Que tout le monde estime fort
dansent chacune son Rôlet. Mais, comme il faut cesser d’écrire, Je ne
saurais
plus vous rien dire De ce charmant Ballet susdit,
ne m’a pas permis de soupçonner la forme ou la couleur du pays. J’ai
su
, par la lenteur du trajet, que la pauvre haridell
ivre une haute idée à ces messieurs les larbins. Qui se laisse servir
sait
payer, c’est la devise des antichambres. − Monsie
bien que son maître, qui a un cœur d’or, l’ait longtemps pleurée. Je
savais
déjà que M. de Sainte-Fauste a été le gouverneur
xions. Ce qu’il a conclu, je ne suis pas en état de le juger, mais je
sais
ce qu’il a souffert pour devenir ce qu’il est. C’
tes gens, il n’y a que les coquins qui lui sont absolument fermés. Il
sait
donc déjà que M. Juste Odoard est un cœur digne d
qui vit tout seul à présent dans un château fantastique perché je ne
sais
où entre ciel et terre. En y entrant j’ai songé a
e. Tu as fait de moi un homme et j’ai été heureux bien longtemps sans
savoir
et sans comprendre ce que te coûtait mon bonheur.
rouillard semblait apporter sous mes fenêtres. Je me suis levé, je ne
sais
pourquoi, car rien de ce qui peut se passer ici n
faut, pour les bien connaître, remonter aux causes premières. Veut-on
savoir
quelles sont les mœurs qui dominent dans une Mona
e, les échos de leurs pères. On a de même la clef des Arts, lorsqu’on
sait
remonter à leurs sources primitives ; parce qu’el
es Arcadiens, qui passaient pour des Peuples très sages, parce qu’ils
savaient
être heureux, une partie des usages qu’il établit
était proposé par des routes aussi agréables que sûres ; parce qu’il
sut
opposer en Philosophe, les continuelles émotions
eau d’histoire sur des découpures de fleurs. Un arrangement mécanique
sait
tout le mérite de la seconde. Le génie ordonne, d
primer le seul mouvement qui peut leur donner une sorte de vie. On ne
saurait
faire qu’un seul tableau, de toutes les Danses si
ain, Sous un Accoutrement Romain. Cet autre aimable et jeune Altesse,
Savoir
Madame la DUCHESSE, De Palatine Extraction, Attir
SIENNE admirable, Qu’on trouva là presque adorable, Ayant jusques par
sus
les yeux Des aimables Présents des Cieux, Avec un
nonville selon qui « la danse théâtrale n’admet pas le travesti ». Je
sais
parfaitement bien que Saint-Léon a fait exécuter,
rd de la Lange Linie ont un sourire de fée, naïf et hautain, qu’on ne
saurait
oublier.
ment de gandins et de biches appartenant à toutes les classes. Chacun
sait
que le royaume du Gandinisme et de la Bicherie, d
né de parents riches mais extrêmement ridicules, le gandin parvenu a
su
se créer, par d’honnêtes relations, une sorte de
uand elles s’y fourvoient, Rolland, le contrôleur, devient joyeux. Il
sait
qu’elles partiront infailliblement après le prolo
discuta les Acteurs, le spectacle, le genre. On parla Musique sans la
savoir
, et on disputa sur la Danse sans la connaître. On
des événements, des écarts qui sont propres au théâtre, et qu’il faut
savoir
séparer de ceux qui peut-être plus éclatants dans
re, si je ne me servais sur ce point de l’autorité d’un Auteur qui ne
saurait
être suspecte. Je vais traduire ici une partie de
on en chasse tout à fait Le Chagrin par un grand BALLET. Lorsque j’en
saurai
davantage, Vous le verrez dans notre Ouvrage.
s l’avoir vu triste une heure. Artiste jusqu’au bout des ongles, il a
su
faufiler un peu d’art au boulevard, rien qu’avec
s il me ménagerait un triomphe. Il avait parfaitement raison. Si l’on
savait
tout ce qu’il faut d’intelligence, d’adresse et d
ant nul ne songe à la plaisanter ni à rire d’elle. D’ailleurs, chacun
sait
qu’elle est d’une sagesse exemplaire, et qu’elle
ades comme Dupuis du Gymnase. Elle est très-aimée des habitués. Je ne
sais
pas si elle les paye de retour. Sa distinction na
us restâmes à la Jamaïque, je dois l’avouer, je ne m’inquiétai pas de
savoir
son nom. Aussi bien me suis-je toujours moins inq
e communiquer avec ses amis, via New-York, et il n’était pas arrivé à
savoir
si sa mère, ses frères et ses sœurs étaient morts
me dit que Dumas avait répliqué : — Ma main n’est pas serrée, mais je
sais
ce que vous voulez dire, mon enfant. Mon ami Poul
Il me dit : — Retenez-les, il faut qu’ils prennent de l’âge avant de
savoir
qu’on ne monte pas une côte au galop. Alors je de
HEUS77, Avait lors deux autres ENTRÉES, Qu’on a beaucoup considérées,
Savoir
des MORES et MAHOMS, Deux très perverses Nations.
compare le danseur qui ne danse que d’une jambe, à un peintre qui ne
saurait
dessiner ses figures que d’un seul côté : des dan
e vos bras, de vos jambes soit correct, et prononcé avec grâce. On ne
saurait
trop vous recommander de filer délicatement la pi
fois ouvre un avis important. » Boileau. ce sera à vous ensuite à
savoir
en faire usage. Ne craignez pas de fatiguer votre
us tromper, ne rougissez jamais de vos erreurs en le consultant, mais
sachez
profiter de ses conseils, et mettez-les aussitôt
te aux yeux : « Je revois les amours, les faits de nos aïeux : « Elle
sait
m’inspirer leur belliqueuse ivresse. « J’admire l
e deviendra jamais danseur sans le désir ardent de l’être. 9. On ne
saurait
trop prendre de précautions en choisissant un maî
’a pas besoin d’un travail aussi opiniâtre pour conserver ce que l’on
sait
. L’art du danseur, comme tous ceux d’exercice, ne
rite la palme. M. Gardel par cette observation montre jusqu’où va son
savoir
et prouve combien l’art de la danse est difficile
éométrie, la Musique, la Philosophie, l’Histoire, et la Fable ; qu’il
sache
exprimer les passions et les mouvements de l’âme
ne le cède ni à Phidias, ni à Apelles pour ce regard. Ce Danseur doit
savoir
aussi particulièrement expliquer les conceptions
el est celui de la plupart de nos Danseurs. Ce que le Maître Ecrivain
sait
faire avec ses doigts, ils le font avec les pieds
tiplier. Il est beaucoup plus difficile de danser que de déclamer. On
sait
déjà sa langue lors qu’on apprend à déclamer, et
outés prend dans l’action, mais simplement leurs noms ? Un Danseur ne
saurait
dire au Public : Messieurs, Je suis Oreste, Achil
llets Pantomimes, borné pour l’ordinaire à deux ou trois Danseurs, ne
saurait
faire durer ses Pièces plus long temps que la nat
uante volte, ed in quanti modi il peso del corpo si vada trovando, or
su
questo or su quell’altro equilibrio: il che sareb
ed in quanti modi il peso del corpo si vada trovando, or su questo or
su
quell’altro equilibrio: il che sarebbe un voler a
Et, même, assez près des Couronnes. Du susdit Ballet que je vis, On
saura
, par forme d’avis, Que les Airs sont du Sieur Bap
Et le sieur Le Gros, mêmement, Y chantèrent divinement : Mais pour en
savoir
davantage Que je n’en dis dans cet Ouvrage Écrit
éclatante, Qui tous les Spectateurs enchante. Lorsque le Détail, j’en
saurai
, Le Lecteur j’en entretiendrai.
mon titre et sous le prétexte de sacrifier aux gens qui veulent tout
savoir
, racontons de quelle manière j’ai été dotée du su
Tu viens d’être plus audacieuse que les membres de l’Académie qui ne
savent
plus qu’en oublier. Il est parfaitement juste que
Avant cette soirée, je dansais déjà fort bien. Mais je dansais sans
savoir
, par instinct, en me rappelant ce qu’avaient fait
re ce que fait la jambe gauche. XIII A un moment donné, et sans
savoir
pourquoi, il faut être sombre, mélancolique et fa
ne statuette me représentant. Nous arrivâmes enfin à la maison. Je ne
savais
ce que j’allais faire de ces garçons, mais ils ne
emière arriva. J’étais d’une impatience fébrile. On n’avait rien fait
savoir
au public marseillais, car nous regardions cette
mon cœur alla à lui sans que nous cussions échangé une parole. Je ne
savais
pas qui il était et je ne pensais nullement à fai
ris, qu’à Saint-Pétersbourg ou à Vienne. Tout de suite je voulus tout
savoir
de son existence. Lui, de son côté, désira que je
s, hier, miss Fuller, et un plus grand, ce matin. — Ce matin ? — Oui.
Savez
-vous quel est le monsieur avec qui vous venez de
je ne les quittais guère des yeux. La chose drôle, c’est qu’elles ne
savaient
pas que je les connaissais. Je m’amusai donc beau
e croyiez pas que je vous comprenais. Je le fixai un bon moment, pour
savoir
s’il était fâché ou non. Il sourit avec finesse e
ger de Son Excellence que lui demander d’oublier ma faute. Si j’avais
su
que ma défection entraînerait de telles conséquen
« La Reine a envoyé quelqu’un à ma matinée », pensai-je, « elle veut
savoir
si mes danses valent vraiment la peine d’être vue
portance à la question me concernant, et ne se préoccupa nullement de
savoir
si j’étais là ou non. Le lendemain, tous les jour
e. Alors seulement, je compris toute sa bonté, sa patience. Et je lui
sais
, aujourd’hui encore, un gré infini d’avoir attend
uloureuse, l’angoisse inscrite sur votre clair visage de jeune fille.
Savez
-vous qu’en Russie un tableau célèbre existe trait
ession, dans ces vagues pantomimes mesurées, vous n’avez pas toujours
su
amoindrir et dissimuler votre valeur réelle. L’es
ume de danse traditionnel au nom du naturel, du pittoresque, de je ne
sais
plus quoi d’aussi étranger à l’art. Donc, vous êt
avoir un jour des danseurs, on s’adresse à l’enseignement, car on ne
saurait
en improviser. L’essentiel est qu’on veut en avoi
anse masculine en bloc. La danse théâtrale qui constitue le ballet ne
saurait
— opine-t-il — se passer de la participation des
ue la grande tradition dont il tente de restaurer les fondements. Qui
sait
si l’information que je citais au début de ces li
s des deux grands Baptistes,136 Originaux, et non Copistes, Comme on
sait
, dans leur noble Emploi, Pour divertir notre Gran
Merveilles. […] [George Dandin] Mais sur ce point c’en est assez :
Sus
, Muse, promptement passés En cette autre brillant
pour rien il délivre, Si je vous mens ni peu ni prou ; Et, si vous ne
saviez
pas où, C’est à l’enseigne du Parnasse ; Allez-y
o — est un roman de Le Sage imité de l’espagnol, et que tout le monde
sait
par cœur ; c’est aussi un ballet qui a obtenu une
, ainsi fait. C’est d’abord Paquita qui se présente. La fillette veut
savoir
si le jeune homme qui l’a courtisée au bal l’aime
e plaisir à écouter l’écolier ; mais le malencontreux don Gil, qui ne
sait
rien faire à propos, revient au bout d’un moment
èves, ce qui ne figure pas trop mal une scène d’inquisition, car vous
savez
à quelles épreuves tortionnaires sont soumises le
nir pour une danseuse. Mais cela ne fait pas le compte d’Asmodée, qui
sait
à quelles tentations, à quels périls serait expos
la consigne, — défendent avec chaleur la cause de la danseuse. On ne
sait
jusqu’où cela pourrait aller, si la sonnette du r
oi ! vous êtes jaloux, lui dit-elle, pour un baiser diplomatique ! Ne
savez
-vous pas que c’est un personnage que je dois ména
à paraître, et sa pantomime fait assez comprendre au galant qu’on lui
sait
gré de ses attentions… Mais voilà qu’au même inst
e convoitent que ses prétendues richesses, et le dédaigneraient s’ils
savaient
qu’il ne possède rien. Mais l’écolier n’en veut p
arfaitement le droit de ne pas reconnaître, mais dont la moustache ne
saurait
nous en imposer, à nous qui avons bonne mémoire.
Mais allez donc en remontrer à la danseuse sur ce chapitre là ; elle
sait
par expérience comment on arrive au cœur des femm
rovince cherche à faire prévaloir sa chorégraphie locale. La jalousie
sait
trouver une étincelle sous les cendres d’un amour
noble et pompeuse cadence, Encore aujourd’hui se redanse : Mais j’ai
su
de deux, ou de trois, Que c’est pour la dernière
Où La Grange, en fort galant Homme, Fait le Rôle qui lui sied mieux,
Savoir
celui d’un Amoureux. Ayant vu l’une, et l’autre P
rance Le personnage le plus recommandable de la Chine est celui qui
sait
une plus grande quantité de mots. L’érudition de
ns à un discours libre de toute entrave, à une forme non serve qui ne
saurait
être prescrite, et qui ne puisse être imitée : ce
des bras s’écarte de la règle commune, et c’est au goût du danseur à
savoir
les placer le plus gracieusement possible. Posi
uvements des bras. Le mouvement du poignet se prend de deux manières,
savoir
du haut en bas, et du bas en haut. Lorsque vous v
Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 374-375.] 45. Il faut aussi
savoir
placer ses bras selon sa construction physique. S
II — Mais pourquoi écrire ?… qu’espérez-vous raconter ? — Je ne
sais
pas, ce qu’on voudra, ma vie, mes impressions, de
r nous dire en plein public ce que nous sommes, — comme si nous ne le
savions
pas mieux qu’eux, — ils ont commis selon moi une
t bien être vrai. XII Je suis née à Nancy, nà : XIII Sans
savoir
comment, je me suis retrouvée au Casino-Cadet, à
rations, appartenait à ce monde irréel qui les avait subjugués. On ne
saurait
imaginer les véritables passions que j’ai suscité
Victoria. Sur le ton du plus parfait mépris elle affirmait : — Tu ne
sais
pas ce que tu dis, c’est un ange. A chaque change
naissance du printemps », « l’été », « l’automne », « l’hiver ». Elle
savait
prendre des expressions variées et combiner d’har
tait qu’il ne se marierait jamais. Il a trente ans aujourd’hui et qui
sait
si le cœur de l’homme n’est pas resté le même que
sœur de cette admirable miss Booth, qui fonda l’armée du Salut. Je le
sus
plus tard, c’était miss Isadora Duncan. Le lendem
oup j’avais été pris : elle m’avait révélé la beauté du mouvement. Je
savais
désormais, par elle, qu’un bras levé, que des jam
jour, fit arrêter sa voiture, les admira, s’informa. Mais quand elle
sut
que c’étaient les élèves de la danseuse aux jambe
r et l’immarcessible, et mon émotion était d’une suavité inconnue. Je
sus
un grand gré à miss Isadora Duncan du bonheur que
ue fit Compliment Ou harangue à notre beau Sire, Autant bien qu’on le
saurait
dire.
, Qui plût, alors, beaucoup, encor, Et qu’ici, nous aurons, en somme,
Savoir
le Bourgeois Gentilhomme, Lequel est un sujet fol
— Non, pas plus que devant le Roi d’Angleterre. — Eh bien, faites-moi
savoir
quand vous serez à Berlin, et je tâcherai qu’il v
s’exprimer par des gestes, donc par la danse. Il s’agit seulement de
savoir
si la danseuse doit exprimer le chagrin qu’elle r
avait toute une collection. Quelle artiste elle doit être pour avoir
su
réunir toutes ces belles choses ! — Ceci est ma c
un long moment, puis je lui dis : — J’aurais aimé vous connaître sans
savoir
que vous étiez une princesse. — Mais, répondit-el
dès le jour de sa naissance dans le palais royal de son père. Chacun
sait
que la vie d’une princesse royale oxclut toute li
merveilles : Mais n’en ayant vu qu’un essai, Bien parler encore je ne
sais
; Si lundi l’on me fait la grâce de m’y procurer
ôtre Sire ; Et, certes, grand peut-on bien dire, Puis-que (comme l’on
sait
assez) Tous les autres Ballets passés, Soit pour
es machines sans pareilles. Mais sur ce peu de vers on n’en peut rien
savoir
. Allez-vous, dis-je, allez les voir. MAROTTE y
ses, ni si belles, Et, bref, où l’on fût plus joyeux. MADAME, vous le
savez
mieux Que je ne puis ici le dire ; Aussi, ne vais
i assurément ne sont pas sans remède. Lorsque l’humanité parle, l’art
sait
trouver des ressources pour obéir. (B) Déborde
toute cette matière, et que jamais homme peut-être avant lui n’avait
su
la mettre en pratique avec tant de méthode, d’int
d’ailleurs. Mais pour le bien et le progrès de l’art, il faut qu’ils
sachent
encore les avantages que les connaissances de cet
un peintre à qui le premier dessein est donné par une main sûre qui a
su
en écarter tous les inconvénients, et qui en indi
ses y sont ménagées avec un art, une exactitude, une précision qui ne
sauraient
être assez admirées, et qui supposent la connaiss
te l’illusion. 3°. Le bandage étant d’une très grande longueur, il ne
saurait
jamais être assez fort pour que la ferme soit bie
goli retti sulla punta della prima cascante, parallela al passo ed in
su
rivolta, come H fa vedere. [8] Il tenere il piè i
ota il dovere appoggiare il piè sulla punta senza che il corpo vi sia
su
portato. Ed il medesimo dimostra il punto messo d
ll dans un recueillement béat, avec une curiosité candide que rien ne
saurait
lasser. Cependant, plus le tour de la danse appro
our l’entrechat, et cet entrechat soit un entrechat-dix, ce haut fait
saurait
-il s’imposer au public ? Sans doute, si c’est là
off n’a eu pour se guider dans sa recherche du comédien intégral, qui
sache
couler son émotion dans une forme impeccable et s
dit : « Je suis quelqu’un pour qui le monde visible existe ». Et qui
sait
si cet autre maître vénéré, dont on va fêter aprè
rcer dans les fêtes ; lorsqu’elles vous endormiront, vous me le ferez
savoir
. La musique, en tout genre, est partie intégrale
’ils sçûssent juger sainement de leurs moyens d’exécution ; alors ils
sauroient
apprécier le parti qu’on en peut tirer, et ils ap
val ? etc. etc. que de trésors que de ressources ! le tout consiste à
savoir
les employer avec goût, et à ne point en abuser p
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