/ 372
1 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
r ami. Eh bien, je ne vous ai rien dit, et lui, il est mort sans rien savoir et me croyant heureux. Je ne me pardonnerais pas
derniers jours par l’aveu de la vérité. Comment il m’a élevé, vous le savez  ; vous y avez concouru en vous chargeant de m’ins
ucoup trop jeune et trop écrasé par la volonté bénie de mon père pour savoir où j’allais. Je n’avais que vingt ans, je n’avais
er. Vous-même… mais je ne vous fais pas de reproche, mon ami. Vous ne saviez pas non plus ! Vous aviez vécu calme et sans comb
Ce fut le côté fort et salutaire ; mais il en résulta aussi que je ne sus point en quoi consistait ma force et comment elle
rée des vérités humaines. Mes transports l’effrayaient, et au lieu de savoir les enchaîner par la persuasion, elle les augment
temps, j’acquis la certitude qu’elle ne m’aimait pas. Je n’avais pas su me faire aimer. Je n’accusai que moi ; mais je ne
ait bâiller. Il est instruit, savant même à ce qu’on dit. Moi je n’en sais rien et ça m’est égal : je l’ai vu trois fois pen
ste état de santé qui ne permet pas que nous nous absentions, et Dieu sait combien durera cette maladie, qui dure déjà depui
partageait tous mes goûts, et qui, n’ayant guère plus d’esprit et de savoir que moi, ne m’eût pas infligé le supplice d’être
emme vit bien, à mon attitude et à l’altération de mes traits, que je savais tout ; un peu effrayée de mon air sombre, elle me
tagea ma douleur et la calma autant qu’il était en elle. Mais elle ne savait pas les paroles d’amour et de foi qui apaisent et
isait-elle, une figure de croque-mort qui parfois l’épouvantait. Vous savez qu’une arme à feu déchargée trop près effraya les
ire, fut interrompue. Nous rentrâmes, et ma femme se mit au lit. Vous savez le reste. Elle ne se releva plus. Après huit jour
Mais je ne veux pas refaire l’expérience, car j’ai mal aimé, et je ne saurais probablement pas aimer mieux. On ne m’a pas appri
tout porté à la chérir et à l’admirer toujours. Pourtant je n’ai pas su me mettre à son plan et dissimuler mes exigences.
es exigences. J’ai senti mourir en moi l’affection que je n’avais pas su faire naître en elle. Je me fusse soumis à ses ca
me garder d’entraîner un autre être dans ma nuit. Il ne s’agit pas de savoir si je m’y trouve bien, il s’agit de n’associer pe
endra donc grand service s’il marche vite, et je suis résolu à lui en savoir gré de toutes les manières. Ne vous inquiétez pas
ui peut s’engager entre nous. Vous m’avez connu fervent, mais vous ne savez pas à quel point j’ai appris à mes dépens l’indul
2 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
e de foi qui repose, comme l’autre foi, sur de grands témoignages. Je sais qu’elle avait tant de charme, tant de talent, qu’
a… La Danseuse Elle dansait fort bien. Moi Feue Mlle Lubra n’a jamais su danser. La Danseuse Et Mlle Mauri ? Moi C’est aut
fort aimable de m’apprendre mon métier. Moi Ne m’accablez pas. Je ne sais aucun métier, pas même le mien. Et quand vous sau
voyez aujourd’hui. La Danseuse Ah ! c’est joli ! Des danseuses qui ne savent pas danser ! Moi Ne dites donc pas cela ! Wagner
ictor Hugo non plus n’aurait jamais passé son examen de poète : il ne savait faire ni les textines, ni les ballades, ni même l
rimer une émotion, elle l’éprouve elle-même à un tel degré qu’elle ne sache plus qui la voit en scène, ni comment elle sera j
nseuse Oui. Vous comprenez ça. Moi Une trouvaille ! La Danseuse Vous savez donc l’anglais mieux que le grec ? Moi C’est méch
danse surtout en grec, et c’est ce dont vous ne douteriez pas si vous saviez le grec mieux que l’anglais. La Danseuse Oh ! moi
notre langage et n’ont pas de mystère pour vous ; mais comme vous ne savez pas le russe, je suis sûre que vous délirez devan
bsurdes que vous connaissez. La Danseuse Oh ! je vous en prie ! Je ne sais pas non plus le chinois. Moi Vous le sauriez en q
hose d’inutilement abscons, où la formule remplace l’idée, où l’on ne sait même plus si l’artiste comprend la valeur des ges
s qu’elle répète. Et comme elle n’en est plus émue… La Danseuse Qu’en savez -vous ? Moi Je le sens… Et comme elle n’en est plu
3 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 5 août : Ballet des Songes accompagnant la tragédie de collège La Prise de Babylone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 8 août 1671 »
i, Dont Maint, et Maint fut ébaudi, Qui, là, d’entrer, eut Privilège, Savoir au célèbre Collège Que l’on appelle de Clermont 
ibution annuelle Des Prix établis par le ROY ; Non pas, non, de je ne sais quoi, Mais de Volumes d’importance, Où brille sa
’on n’y voit rien de plat. Beauchamp rempli d’intelligence, Comme on sait , pour la belle Dance, Avait pris soin de ce Balle
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
ns un siècle où on aurait pensé, la prévoyance du Gouvernement aurait su prévenir la disette, rendre les leçons des Philos
Antonin, qu’elle avait placé sur le trône, une pareille injure. Il la sut le dernier ; mais il la sut, la souffrit avec fer
sur le trône, une pareille injure. Il la sut le dernier ; mais il la sut , la souffrit avec fermeté, ne fit tuer personne,
vec laquelle il dirigeait les rênes de l’Empire, par la sagesse qu’il sut opposer aux dérèglements de sa femme. Ses Amis (c
5 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Troisième lettre. A monsieur Juste Odoard, à Lyon. »
utremont, le… Je ne vous pardonne pas, monsieur, je vous approuve. Je sais combien vous êtes attaché à votre mère adoptive,
re adoptive, et je serais désolé de vous séparer d’elle avant de vous savoir parfaitement tranquille. Croyez, monsieur, à mes
6 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
ésence. Cette variation de Cléopâtre — dont certes on abuse et qui ne saurait convenir à tous les tempéraments — n’en reste pas
nique des déboulés, l’utilisation très sensée des ports de bras — qui savent dans la variation citée accompagner la jambe et a
i l’école. A-t-elle bien fait dans Faust l’autre soir ? Ma foi, je ne sais trop. M. Gaubert, énervé ou pressé, déconcertait
, la grande et vibrante manière de l’ensemble. Lorcia est une nature. Saura-t -elle s’acharner au travail au point de mériter la
e bras mélodieux, s’alanguit en portements de corps passionnés. Je ne sais si le nom de Mlle Roselly est un nom de guerre ;
de Mlle Roselly est un nom de guerre ; mais s’il en est ainsi, on ne saurait trouver mieux pour la peindre ; blanche, blonde e
7 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
moigner largement le degré de satisfaction qu’il vous donnera par son savoir et son activité. Je vous communique ces chiffres
, j’y reviendrai dans ma prochaine lettre. Sans votre agrément, je ne saurais brusquer par mon insistance la délicatesse de vos
. » Je reconnais bien là la bonté candide de vos jeunes années, et je sais assez la bienveillante douceur de votre caractère
coup plus en dehors que vous, et peut-être vous blessera-t-il sans le savoir en voulant vous faire partager des idées ou seule
quelques jours, mais qui risque de vous devenir insupportable, et qui sait  ? malsain. — En outre, ce jeune homme a des passi
’idée qu’on y vénère. Vous n’êtes point habitué à la discussion et je sais que vous ne l’aimez pas. Laisserez-vous battre en
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
ne jamais arriver à la voir, cette merveilleuse fée de la scène ! Je savais d’avance qu’il n’y aurait pas de place pour quelq
tout cela signifiait qu’il ne restait guère d’espoir pour moi. Je ne sais si Sarah était déjà venue en Amérique, car j’avai
fût-ce que de loin, même de très loin. Mais où et comment ? Je ne le savais pas et continuai à lire les jounaux, me grisant d
a grande ville. Mais j’avais heureusement beaucoup de courage sans le savoir . Lorsque j’appris que Sarah allait jouer pour les
-tu ? demanda ma mère. Je m’arrêtai un moment pour réfléchir. — Je ne sais pas, répliquai-je, mais d’une façon ou d’une autr
e plus, dans l’Ouest, on ne m’avait jamais traitée de la sorte. Je ne savais pas encore, il est vrai, que les gens là-bas étai
porte sur laquelle on lit : « Défense d’entrer. » Personne de nous ne sait plus que faire. Tout le monde se dévisageait. La
porte. Machinalement j’avançai, me trouvai au milieu d’un groupe sans savoir auquel de ces messieurs m’adresser. Au comble de
fin des applaudissements. Je dansai, et malgré qu’elle ne dût pas le savoir , je dansai pour elle. J’oubliai tout le reste. Je
ta dans les notes aiguës et me désespéra. Ce qu’elle disait, je ne le savais toujours pas. Mais je vis qu’elle déchirait les p
idole venait me voir. Il m’expliqua que Mme Sarah Bernhardt désirait savoir si je ne pouvais pas lui donner certaines indicat
faut rendre responsable de ma désillusion ? Je m’étais imaginé je ne sais quoi, parce que Sarah Bernhardt est une artiste d
et il m’a fallu vingt ans pour l’apprendre. Elle est une femme, je ne saurais plus, maintenant, l’oublier, mais elle reste mon
9 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
ont du mérite ; mais pour obtenir un nom et de justes éloges, il faut savoir créer soi-même. Comment est-il possible d’excelle
imagination, peut-il être exercé par ceux qui en manquent ? ce qu’ils savent le moins bien est ce qu’ils devroient savoir le m
en manquent ? ce qu’ils savent le moins bien est ce qu’ils devroient savoir le mieux ; tous ces mauvais copistes gâtent et en
ègles qu’il doit suivre, et les principes qu’il doit adopter. Il doit savoir la danse, l’avoir exercé long-tems, connoître le
célée par la routine et l’ignorance. Il faut que le maître de ballets sache que la danse ne possède que sept pas fondamentaux
etit nombre l’étonnera sans doute, mais sa surprise cessera lorsqu’il saura que la musique n’a que sept notes, et la peinture
les couleurs lui manquent ? Il ne suffit pas que le maître de ballets sache parfaitement la danse, il faut qu’il ait encore l
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 février 1669 »
le, Puisque entre mes Sujets divers, Il s’en trouve un inénarrable, À savoir le Ballet d’un Monarque adorable, Et qui doit êtr
narrable, À savoir le Ballet d’un Monarque adorable, Et qui doit être su partout cet Univers.  […] J’avais pensé, dans cet
11 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 janvier. Danses de jadis et danses d’aujourd’hui. »
it judicieux. Évitant ostensiblement tout pédantisme, le conférencier sut , avec un esprit d’à-propos jamais en défaut, nous
perpose heureusement à l’habileté technique ! Les lecteurs de Comœdia savent la haute estime en laquelle nous tenons les danse
t-il juger les productions de l’Académie Baraduc ? Or, j’avoue ne pas savoir distinguer le mouvement d’un blues de celui d’un
12 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 novembre. Le débat de la musique et du silence. »
l’on disait naguère à Rome, une danseuse pédestre. Ces jambes nues ne savent que marcher, tandis que la danseuse classique gli
est prêt à conclure que s’il existe d’innombrables manières de ne pas savoir danser, il n’y en a qu’une seule de savoir le fai
brables manières de ne pas savoir danser, il n’y en a qu’une seule de savoir le faire. * * * J’avais demandé récemment, en m’a
ect du métier ne paraissent pas être le moyen de parvenir. Si l’on ne sait rien faire, on a la ressource d’« innover ». Mais
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
part légers de deux grains ; Et, même, par l’illustre Hilaire, Qui ne saurait chanter sans plaire, Et la Barre pareillement, Do
our le reste, c’est autre chose, Toutefois, si parler j’en ose, Je ne saurais faire autrement Que jaser généralement De ce Ball
able, Part un sort assez honorable De son art plus qu’industrieux, En sait faire aussi pour les Dieux. En ce Ballet que nu
Deux charmantes Fleurs de jeunesse, Sœurs de la précédente Altesse, Savoir Alençon et Valois, Extraites du Sang de nos Rois.
autant d’admirateurs. Ô Chers Lecteurs, dans ces Vers nôtres, Je ne saurais parler des autres, Qui firent, toutes, grand effe
14 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
vingt ans de piétinement sur les plantes nues, Isadora conserve je ne sais quel prestige plastique. Son geste est sobre, par
s quelques femmes à l’esprit simple et droit, à l’instinct juste, qui surent maintenir, malgré et contre tous, leur conviction
ramena les foules vers la danse, qui lui créa un nouveau public. Elle sut déterminer un mouvement d’opinion. Cela reste acq
me de leurs cœurs, il y a un tourment, un bonheur déchirant qu’ils ne sauraient dire. Aussi ils dansent l’ineffable, absorbés dan
leuse, dans cette atmosphère fauve de poussière et de sueur. Et je ne saurais oublier cette foule montmartroise, sensuelle et g
près inédite. Car notre génération, ou plutôt la précédente, n’a pas su la voir. Ce genre de cécité intellectuelle, de da
astiques. J’ai toujours été profondément indifférent à la question de savoir si je suis ou non « à la page ». Mais pour le cou
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
. Ces deux Filles qui par leurs voix Ont charmé la Cour tant de fois, Savoir Mademoiselle Hilaire, Qui ne saurait chanter sans
Ont charmé la Cour tant de fois, Savoir Mademoiselle Hilaire, Qui ne saurait chanter sans plaire, Et La Barre, qui pleinement
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
CE naissante,72 De plus en plus est ravissante , De FIENNE, qu’on ne saurait voir Sans mille Attraits apercevoir, Dedans sa Da
es prend illec comme en Cadence. Divine ALTESSE à qui j’écris, Vous savez tout ce que je dis ; Mais, comme ma Lettre est pu
17 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo III. Delle qualità del Ballerino »
di ciò dà bastante saggio che, sebbene non sia egli un Danzatore, ma su di ciò pensa così bene che piacemi, e sia lecito
Géométrie, la Musique, la Philosophie, l’Histoire, et la fable, qu’il sache exprimer les passions, et les mouvements de l’âme
il ne le cède à Phidias, ni à Apelles pour le regard. Ce Danseur doit savoir aussi particulièrement expliquer les conceptions
judicieux, et avoir l’oreille très délicate». Lucien, De la Danse l. Su quai requisiti io così ragiono. Di Poesia per l’i
18 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
-l’air, ne se retrouve-t-il pas identique, mais transfiguré par je ne sais quelle hiératique grandeur dans les bas-reliefs m
as le ridicule de faire une apologie du music-hall. D’ailleurs, il ne saurait qu’en faire. Les sympathies et les curiosités des
e. Même en faisant la roue, Miss Payne reste « ladylique ». Or, je ne sais pas, n’ayant pas vu le reste de son répertoire, s
vu le reste de son répertoire, si c’est là le fond de son sac. Je ne sais de quelle manière elle échappe à une certaine pén
arquablement réglé. La femme, fine, le corps comme forgé à l’enclume, sait se faire impondérable au bras de son danseur qui
braconner sur le terrain de mon excellent collègue M. Fréjaville, qui sait soumettre les futilités présumées du music-hall à
19 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo XXXI. Del Movimento delle Braccia »
avo sia rivolto verso la terra, e succedevolmente si faccia di giù in su un soave giro di polso. E nel medesimo tempo che
nel medesimo tempo che la man sinistra lo fa, come è detto, di giù in su . E quivi termina il movimento delle braccia d’opp
doperato, e col sinistro si vorrebbe fare il contrario, ritornando di su in giù colla mano in dentro sopra il suo lato, e
o partendo col piè dritto, il sinistro braccio deve andare innanzi in su , ed il dritto dallato in giù: ed all’incontro, se
20 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
pité, je le gardai dans mon chapeau entre mes genoux, attendant je ne sais quel moment favorable qui ne se présenta plus, et
ns les siennes et resta assise près de lui, immobile et muette. Je ne sais pas si elle avait remarqué ma présence ; à ce mom
pas été heureux avec elle. — Alors, qu’est-ce que c’est donc ? — Que sait -on ? Vous, peut-être ? — Moi ? Quelle folie ! Je
de notion sur la vie et sur le monde. J’étais à l’état sauvage, je ne savais pas lire et je sentais l’horreur de la misère san
er les pieds, et comme je réclamais : « Petite bête, me dit-il, tu ne sais donc pas que toute ta fortune à venir est dans te
M. Fiori se tourna vers moi et me dit : « Danse, qu’on voie ce que tu sais faire. » Il me donna le rythme avec un tambour de
se laissât tenter. Mais Fiori était un parfait honnête homme. « Je ne sais pas, me répondit-il, si tu me rapporteras ce que
ndit-il, si tu me rapporteras ce que tu vas me coûter, mais ce que je sais , et ce que tu ne sais pas, toi, c’est que : qui p
orteras ce que tu vas me coûter, mais ce que je sais, et ce que tu ne sais pas, toi, c’est que : qui prend un enfant au théâ
, il me répondait : « Ça ne te regarde pas. Une danseuse ne doit rien savoir et ne penser à rien qu’à son art. » A force de m’
humaine fût toujours dans un accord logique avec la structure. Il ne savait pas dessiner, mais, par des lignes très bien agen
uyais pas de ses enseignements et j’en appréciais la justesse, car il savait me faire exécuter les choses les plus difficiles,
ans les poses où je devais m’abandonner en me fiant à son aide. Je ne sais si vous avez vu ce ballet, où la Taglioni, soulev
e dans ma mémoire, et je trouvais, à la contempler obstinément, je ne sais quel plaisir amer tout trempé de mes larmes. Tout
velles dans l’après-midi. Il avait un peu de fièvre et s’agitait pour savoir quelles personnes étaient dans la pièce voisine.
21 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
rts, m’obtiendra l’indulgence publique, et que les jeunes danseurs me sauront gré de l’intérêt que je prends à leurs progrès. J
ne bonne école, dans laquelle ils ont acquis un goût pur7. [9] On ne saurait trop recommander aux jeunes gens qui se destinent
ts, ces modèles du beau idéal, formeront leur goût. Un danseur qui ne sait point se dessiner, et qui par conséquent manque d
e. « Je voudrais, dit le sage Montaigne, que chacun écrivit ce qu’il sait , et autant qu’il en sait. » 2. On pourrait aus
sage Montaigne, que chacun écrivit ce qu’il sait, et autant qu’il en sait . » 2. On pourrait aussi citer à certains maîtr
is essentiellement utile, et que tout professeur, sans être obligé de savoir dessiner, peut employer, c’est-à-dire, que je for
mbinaisons respectives, les dénominations adoptées par les géomètres, savoir de perpendiculaires, d’horizontales, d’obliques,
22 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
’on ne fut nullement insensible à sa jolie personne. Quant au rythme, sut -elle toujours l’observer scrupuleusement sur ce p
de l’attitude : genoux fléchis avec grâce, cou-de-pied bombé… « Je ne saurais vous dire avec quelle grâce il (Vestris-père) ôta
à la Salle Favart — avec sa grande allure de sujet classique et je ne sais quel air de noblesse et d’amertume sur son beau p
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
s De la grande Actrice choisie, Beauval, qui, d’un beau feu, saisie, Sait jouer, admirablement, Sur tout, un Rôle véhément.
malade sera Mademoiselle de Molière, Autre Actrice si singulière, Qui sait jouer si finement, Si proprement, si noblement, Q
ou trois petits mots d’Histoire, Qui font le comble de sa gloire : À savoir , ô charmant Héros ! Que vous chantâtes là, son lo
24 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
stait, l’homme, classant et cataloguant les sons, créa la musique. On sait ce qu’il a su en tirer depuis !… Or, aujourd’hui,
classant et cataloguant les sons, créa la musique. On sait ce qu’il a su en tirer depuis !… Or, aujourd’hui, l’homme, pass
érite pour cela aucun éloge, Je ne puis pas expliquer la chose, je ne sais pas comment je fais. Je ne puis que répondre, com
qu’on lui demanda ce qu’était le temps : — Demandez-le-moi, je ne le sais pas ; ne me le demandez pas, je le sais. C’est de
— Demandez-le-moi, je ne le sais pas ; ne me le demandez pas, je le sais . C’est de l’intuition, de l’instinct, pas davanta
nature qui se composent et se décomposent. Un jour viendra où l’homme saura les employer de si précieuse façon pour des harmo
s, un hochement de tête, une main retirée vivement !… Nous avons beau savoir qu’il y a autant d’harmonie dans les mouvements q
us ressenties, sans pourtant nous douter qu’on pût les exprimer. Nous savons tous que dans les fortes émotions de joie, de dou
25 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
s beau de Paris, je connois très-peu de filles et même de garçons qui sachent lire la musique, l’écrire et chanter, ou jouer d’
; la sottise reste aux marchands de musique. Plusieurs d’entre eux ne savent ni la lire ni l’apprécier ; tout le bénéfice rest
Vénise dans trois théâtres pour la fête de l’Ascension. Il est bon de savoir qu’à Alexandrie, Bergame, Reggio, etc. on réprése
en donnons que deux ou trois en France par an ; on les grave. Reste à savoir , s’ils en méritent la peine et la dépense. En Fra
ttre en vous en promettant une seconde, peut-être, une troisième, que sais -je, une quatrième ; car la musique, cet art devin
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
ppelle, Lundi dernier, Jeudi passé, Le Ballet du Roi fut dansé. Je ne saurais encor que dire De ce Ballet de notre Sire, (Qu’on
Salle (me dit-on) est pleine » Vous gagneriez peu de passer, » On ne saurait vous y placer. Quant il m’eût fait cette harang
27 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
juste et délient, douée d’une pénétration merveilleuse des âmes, qui sait découvrir la signification profonde des choses in
stinctifs ou conscients. Elle a sans le vouloir, et peut-être sans le savoir , toute une théorie de la connaissance et toute un
ante ou bien une disposition particulière que rien n’explique ? Je ne sais . Mais elle est profondément religieuse, avec un e
28 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
ent pas toujours la guérison des malades pour qui on les emploie ? On sait qu’ils sont utiles à plusieurs, et c’en est assez
ques-uns. C’est cette même espérance qui nous anime. D’ailleurs, nous savons que Dieu nous demande notre travail, et non le fr
parlent à des morts. Le ministre, chargé de planter et d’arroser, ne sait pas si son travail réussira, parce que c’est Dieu
es, qui sont réservés dans le ciel pour ceux qui aiment Dieu. Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne nous mettrons-nous pas
e vie qui est si courte ? N’est-ce pas être véritablement sage que de savoir nous priver de plaisirs qui pourroient nous expos
29 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
nseuse qui a voulu prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire. Sais-tu bien pourquoi j’ai fait
r à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire. Sais -tu bien pourquoi j’ai fait ce livre ? — Non. — Je
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
la suivre. La foule d’hommes bornés qui fréquentent nos Spectacles ne sauraient croire que ce qu’ils ont vu ; le par-delà de ce q
qui m’ont frappé moi-même. Ce n’est pas aussi, pour les personnes qui savent la démêler, que j’écris ce Chapitre. Je ne l’adre
e nous avons tout ce qu’on peut avoir, parce que leurs perceptions ne sauraient aller plus loin que l’objet, quel qu’il soit, qui
si bien fondées. La nature a tout fait pour eux ; mais il faut qu’ils sachent qu’ils ont encore tout à faire pour l’art. Qu’ils
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
e, qu’est-ce qu’elle veut dire ? — Comment, dit le président, vous ne savez pas que Loïe a récité des poésies dimanche ? Ma m
prière je ne m’en souviens pas. Mais ma mère l’interrompit. — Oh ! je sais . C’est la prière qu’elle dit tous les soirs lorsq
lui répondis que je ne pouvais pas la prévenir d’une chose que je ne savais pas moi-même. — Où as-tu appris ça ? — Je ne sais
e chose que je ne savais pas moi-même. — Où as-tu appris ça ? — Je ne sais plus maman. Elle me dit alors que j’avais dù ente
32 (1936) Philosophie de la danse
mes. Les chiens se poursuivent, sautent au nez des chevaux ; et je ne sais rien qui donne l’idée du jeu le plus heureusement
e faire devant la Danse et la danseuse pour se donner l’illusion d’en savoir un peu plus qu’elle-même sur ce qu’elle sait le m
donner l’illusion d’en savoir un peu plus qu’elle-même sur ce qu’elle sait le mieux et qu’on ne sait pas le moins du monde ?
oir un peu plus qu’elle-même sur ce qu’elle sait le mieux et qu’on ne sait pas le moins du monde ? Il faut bien qu’il compen
’est demandé un jour ce que c’est que le Temps ; et il avoue qu’il le savait fort bien quand il ne pensait pas à s’interroger 
xpression terriblement hardie : je n’en trouve pas d’autre. Mais vous saviez d’avance que je suis écrivain obscur et compliqué
nt de rattacher ce gracieux fait : la Danse, à l’ensemble de ce qu’il sait , ou croit savoir. Il tente d’approfondir le mystè
ce gracieux fait : la Danse, à l’ensemble de ce qu’il sait, ou croit savoir . Il tente d’approfondir le mystère d’un corps qui
vement humain. Oui, ce corps dansant semble ignorer le reste, ne rien savoir de tout ce qui l’environne. On dirait qu’il s’éco
sent, elles semblent ne pas le faire sans s’obliger à respecter je ne sais quelle égalité successive. La cadence, la mesure,
me, à la flamme, à l’ardente et subtile action de Mme Argentina. Vous savez quels prodiges de compréhension et d’invention ce
m’intéresse passionnément. Je suis celui qui n’oppose jamais, qui ne sait pas opposer, l’intelligence à la sensibilité, la
33 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 février. Affaires courantes. »
’hôtesse rayonnante et rougissante, mais une invitée de marque qui ne saurait se départir d’une indifférence indulgente et d’un
Lamballe à telles élues du concours de classement. Évidemment elle ne saurait , petite et assez forte comme elle l’est, se disti
admirable, saute et bat à ravir. Un maître de ballet inventif aurait su utiliser jusqu’à ces défauts, la diriger vers le
34 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
es Du Ballet de l’Hiver dernier, Ainsi que je l’appris hier ; C’est à savoir , celle des BASQUES, Dont, comme eux, les Pas sont
Compliments grands Artisans.  […] Grande HÉROÏNE à qui j’écris, Vous savez tout ce que je dis, Car, en qualité de Bergère, V
35 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
été là pour la soutenir. Je lui demandai ce qu’elle avait. Elle n’en savait rien, mais depuis quelques temps elle était souff
t à soigner ma mère et les médecins français se retirèrent dès qu’ils surent qu’il était notre médecin. Notre docteur s’inform
tre langue. Je ne parvenais pas à lui faire comprendre que je voulais savoir quand je pourrais quitter le train et retourner à
ert de tristesse. Qu’allais-je faire ? Que pouvais-je faire ? Je n’en savais rien. Je heurtai la porte de la cahute en planche
J’allai à lui, et lui demandai s’il parlait un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il essaya de parler français, puis a
ès dix minutes qui me semblèrent un siècle, tant j’étais désireuse de savoir , il rouvrit les yeux et me dit en allemand : — No
36 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo XXXIX. Della Glissata, de Glissade »
zione col destro per esempio avanti al sinistro, equilibrasi il corpo su tutti due i piedi, quindi piegansi i ginocchi, e
ote o sotto o sopra. [5] Per esser “fatta in giro” fa bisogno girarsi su quel lato istesso del piè che prima si muove, il
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
atif à l’action devient un ornement sans goût, et sans chaleur. Qui a su mieux que Quinault, ces lois fondamentales de l’A
c point de Danse qui ne puisse être admise au Théâtre ; mais elle n’y saurait produire un agrément réel, qu’autant qu’on aura l
int d’ouvrage de cet esprit créateur, dans lequel on ne voie, si l’on sait voir, l’indication marquée de plusieurs Ballets d
38 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
s périls et les hasards, Faisait le premiers des Césars ; Rassan (qui sait l’art de combattre) L’illutre Amant de Cléopâtre,
e Doit se rendre un jour adorable ! Les autres étaient Plabisson, Qui savait des mieux leur leçon, Vaure, Dargentier, Barnouvi
uête et prière De la pieuse Reine-Mère, Le Carême étant survenu, J’ai su du discours ingénu D’un de mes voisins nommé Jacq
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
le obéit à des règles », a judicieusement dit Voltaire, quoique je ne sache plus exactement où j’ai relevé ce tronçon de syll
ée. Ce qui n’exclut aucune trouvaille personnelle, aucune méthode qui saurait prévaloir. En définitive, nous sommes d’accord su
Aussi sa dette est-elle immense envers le génie français. Mais elle a su s’acquitter. Le triomphe des « Saisons Russes » à
asion. C’est une restitution. Et il sied de l’avouer — les russes ont su augmenter le pécule. C’est à quoi je songe en évo
40 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo LX. Delle Capriole » p. 31
medesima si previene con altro Sissonne col piede che stava disteso, su cui si cade; volendosi cambiar gamba, col piede c
starà distesa ferma e l’altra farà il Tordichamb: nel cadere, si cade su quella gamba che stava distesa, e l’altra con qua
ello di mano a un Uomo ben alto con la mano distesa in alto, e salito su di una sedia. [25] Si puol fare altra sorte di qu
terra, si metterà verbigrazia col piede sinistro in seconda in aria e su il dritto disteso, equilibrato il corpo nella qua
all’altro, che si tiene sempre disteso, cadendosi sul medesimo piede su cui prima il corpo stava appoggiato, con darsi ne
corpo, di fianco, di sbalzo, capriole tonde intrecciate, salto tondo su di un piede, detto di sbalzo. [40] Quello “sotto
i comincia con un Dégagé alla seconda, e sia il manco, poi saltandosi su questo istesso, si dona al corpo il moto del giro
perda l’aria racchiusa, che la teneva in elasticità, nel cadere resta su il medemo terreno: ma se conservasi ripiena del v
o, e prendere i salti tondi in quinta Spagnuola. [46] Il “salto tondo su d’un piede” serve per carattere di Pulcinella o d
d in questo salto si possono raddoppiare due giri. [47] Va pur questo su di un piede fatto “di sbalzo”: si prende il Contr
izione e si torna a staccare in grande, quanto più puole, cadendo poi su il piede medesimo, levando l’altro in aria. Per e
o per esempio il destro, si salta sul sinistro, s’intreccia e si cade su dell’altro piede o sull’istesso su cui si saltò,
ul sinistro, s’intreccia e si cade su dell’altro piede o sull’istesso su cui si saltò, ed un resta distaccato alla seconda
41 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
nt voyage d’un bel esprit oisif et rêveur, qui s’inquiète fort peu de savoir ce que va dire la Revue d’Édimbourg ! Pâle et dou
on rival. Il est perfide et fin, il est sournois ; il guette le je ne sais quoi qui va venir ; il est plus clairvoyant qu’Ef
qui a menti, un jaloux qui veut tromper Effie ! Il n’a rien vu, il ne sait rien, James n’est amoureux que d’Effie ; reprenez
— une écharpe rose à faire envie à toutes les filles de la terre. Que sait -on ? c’est peut-être bien une moralité cachée, c’
tout bas, personne ne m’entendra. — Tout ce que je veux, c’est de le savoir là et de respirer un air qui touche à l’air que t
amour que j’ai pour toi n’est pas une affection de la terre, et tu ne sais pas combien il y a d’amour hors de la vie, et com
ien de la malice et de la grâce : un peu de jeunesse et de beauté n’y saurait nuire ; que le décorateur soit habile à la façon
ination, se compose de tout ce qui nous trouve crédules. Si vous nous savez plaire et nous tenir attentifs par quelque récit
e était si pâle, elle était si chaste et si triste ! En même temps on savait si bien qu’elle était à l’aise, là-haut, sur nos
oux airs qui donnent du plaisir sans jamais nuire. » Mais personne ne saurait dire combien de douleurs mademoiselle Taglioni sa
is personne ne saurait dire combien de douleurs mademoiselle Taglioni savait mettre dans le dénouement de son drame ; on eût d
42 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
ublic comme pas une. Elle s’élançait par grandes envolées, et l’on ne savait où s’arrêterait son élan. Par malheur, sa légèret
e chez elle, comme à l’Opéra, Rita vit sous le regard de maman. Je ne sache pas qu’elle s’en plaigne. Çà et là, au salon roug
28 décembre, lorsque Sangalli quitta New-York avec sa troupe, et nous savons qu’il y a entre les deux grandes villes huit jour
ballerines et sous le bâton imperturbable de Sangalli, qui est, on le sait , une tempiste hors ligne. Jusque-là, tout allait
viette, de cailles en caisse et d’ortolans à la provençale. *** Je ne sais pas si, dans son extrême jeunesse, Rosita Mauri a
pieds ! J’ignore si ses laquais ont « la tête africaine » ; mais je sais qu’elle a pignon sur rue, argenterie au panier, v
ins à la cave, diamants à l’écrin, chevaux et voitures à l’écurie. Je sais qu’elle vient d’acheter une bicoque de cent mille
que de cent mille francs pour y remiser la vieillesse de son papa. Je sais qu’elle a pour grande maîtresse de sa maison l’ex
cesse répétant : — Ah ! si sa pauvre mère pouvait voir tout cela ! Je sais encore qu’elle a ses historiographes pour nous ap
e par les occupations d’une femme de goût et d’une femme d’esprit. Je sais , enfin, qu’elle a pris pour devise : Anvers e con
43 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
i se réunissent pour se réjouir ensemble. Tout le monde le voit et le sait  ; et cette seule idée ne fait-elle pas envisager
les jeunes filles ainsi rassemblés dans le dessein de se réjouir ? Ne sait -on pas combien est violente la pente de la nature
e l’histoire de l’ancien Testament, qui est le livre de la Genèse, on sait ce qui arriva à Dina, fille de Jacob et de Lia, â
les siècles combien un tel désir est mauvais à ses yeux, et qu’on ne sauroit prendre trop de précautions contre une passion qu
mon par ces paroles du livre de la Sagesse : (c. 8, v. 21.) Comme je savois que je ne pouvois avoir la continence, si Dieu ne
, si Dieu ne me la donnoit, et c’étoit déjà un effet de la sagesse de savoir de qui je devois recevoir ce don, je m’adressai a
44 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
sent mauvais. C’étaient Pillevois et Carabin : celle-ci, la femme qui sait le mieux recevoir de Paris, — un de ses bals a as
n qui, d’ailleurs, lui témoignait toute la joie qu’il ressentait à se savoir le préféré d’une aussi charmante créature. »
demoiselle Fonta a pris sa retraite voici tantôt deux ou trois ans. —  Savez -vous, demandait mademoiselle Baratte, pourquoi La
légèreté et à la grâce on a substitué l’énergie et la force, il faut savoir gré à une artiste de ne pas tomber dans ces excès
use, très forte d’exécution et de correction, la seule de l’Opéra qui sache danser une variation de violon. C’est merveille d
elle n’avait songé qu’elle eût à se repentir d’être danseuse, et qui sait si, la veille de son début, dans son désir de bie
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
re dans une voiture et je donnai l’adresse des Folies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait écrit au direct
ur des Folies-Bergère de m’engager. Qu’on imagine ma stupeur quand on saura que, en descendant de fiacre, devant les Folies,
ous oublié que vous vous proposiez de danser à l’Opéra ? Peut-être le sait -il !… — Peu importe, répondis-je, posez toujours
mporte, répondis-je, posez toujours la question. Et puis cet homme ne sait rien. Je n’appris que plus tard que M. Marchand p
au point de vue de la réclame c’était une excellente idée, mais je ne sus que longtemps après, que mon engagement définitif
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
a de l’Observatoire de Flammarion, à Juvisy, m’a impressionnée, on le sait . Pourtant la vue que l’on a de Meudon, tout en ét
d’entrer. Là vraiment le silence est d’or. Que valent les mots ? Nous savons que nous sommes impuissants à exprimer par des mo
ive. Mais sur leur visage, il y avait un reflet de grande joie, et je sus qu’ils avaient apprécié et compris Rodin. Ces deu
éternellement, et dont j’ai compris la valeur initiale. « Elle a même su nous faire connaître l’Extrême-Orient par ses cho
47 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »
faire un ballet français sans faillir à leur nature, les Français ne sauraient faire un ballet russe sans se trahir et s’amoindr
ins, l’opinion du Russe qui écrit ces lignes. * * * Cependant l’on ne saurait restaurer en un tournemain une tradition méconnue
isent, et derechef un seul élan vertical enlève les deux corps. Je ne sais si ces pas sont faits par M. Staats, qui a signé
araît une personnalité naissante. On annonce la Khovanschtina ; je ne sais si l’on s’est déjà préoccupé de ces « danses des
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
de donner plus de poids, par un exemple frappant, à une règle qui ne saurait être trop scrupuleusement observée. Outre les loi
ous avez fait, et tout ce que vous pouvez faire, sans avoir besoin de savoir lire. Continuez de vous dessiner d’après des modè
ez les yeux, et lisez. Apprenez ce que le grand talent peut produire. Saviez -vous que Pylade eût existé ? Vous avait-on parlé
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
réfugiés en France. À cette tâche généreuse vous étiez appelée. Vous saviez à quel point nous tous vous portons dans nos cœur
vous qui apportez sur la scène quelque chose de notre âme à tous… Je sais fort bien que je dois, à mes lecteurs, un compte-
50 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
monde, où elle éprouve de continuelles contradictions, parce qu’elle sait qu’elle y est étrangère, et qu’il est facile de t
t, s’agit-il de parler en faveur des passions ? La plupart croient en savoir assez pour s’ériger en docteurs, pour décider en
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
s la satisfaction esthétique inhérente à ce temps. Pourquoi, je ne le sais pas encore. Mais ce qui distingue Karsavina, c’es
le bon métier « académique » de Mmes Egorova et Chollar, le parti que sait tirer Mme Tchernitcheva de sa belle personnalité
52 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
ement les actes de tous ces corps qui se nourrissent. Chacun, sans le savoir , donne équitablement ce qui leur revient, à chacu
s chances de vie, à chacun des germes de mort qui sont en lui. Ils ne savent ce qu’ils font, mais ils le font comme des dieux.
ntraire, les ténèbres, pendant que nous avons la lumière ; anxieux de savoir , trop heureux d’ignorer, nous cherchons dans ce q
de plus sûr. Je n’y puis rien. C’est la vie même qui le veut : tu le sais mieux que moi, qu’elle se sert de tout. Tout lui
a jalousie, qu’elle soit artistique ou passionnelle ; voire songes !… Sais -tu qu’il me suffit qu’elles me chuchotent quelque
tout pénétré de symétries, tout ordre, tout actes et séquences !… Qui sait quelles Lois augustes rêvent ici qu’elles ont pri
privation nous conduise à les admirer)… Ils mènent donc comme ils le savent , nous qui les ignorons naïvement ; et suivant le
etiens de merveilles avec moi-même. Je m’inquiète comment la nature a su enfermer dans cette fille si frêle et si fine, un
appée de toutes les portes de la vie ? ÉRYXIMAQUE Crois-tu qu’elle en sache quelque chose ? et qu’elle se flatte d’engendrer
es jambes est à la place de cette tête ; et que son doigt trace je ne sais quels signes dans la poussière !… Après tout, pou
s qu’elle est l’acte pur des métamorphoses ? PHÈDRE Divin Socrate, tu sais quelle confiance simple et singulière j’ai placée
e c’est que la danse ; et l’un et l’autre paraissez respectivement le savoir  ; mais le savoir tout à fait séparément ! L’un me
nse ; et l’un et l’autre paraissez respectivement le savoir ; mais le savoir tout à fait séparément ! L’un me dit qu’elle est
Quel venin ? SOCRATE … Qui se nomme : l’ennui de vivre ! — J’entends, sache -le bien, non l’ennui passager ; non l’ennui par f
ennui par fatigue, ou l’ennui dont on voit le germe, ou celui dont on sait les bornes ; mais cet ennui parfait, ce pur ennui
amme !… — Cette fille est peut-être une sotte ?… Ô Flamme !… — Et qui sait quelles superstitions et quelles sornettes formen
de forces extraordinaires… Ou je sens qu’elles sortent de moi qui ne savais pas que je contenais ces vertus. Dans un monde so
53 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
. II J’ai réellement dix-huit ans, — pas une soirée de plus. Je sais que j’en parais vingt-quatre. La célébrité vieill
dans ce livre surtout. Je n’aurais qu’à raconter simplement ce que je sais d’elles. Mais, outre que la vengeance n’est pas d
bonne du matin au soir. Sa bonne en rit, et elle a bien raison, elle sait que sa maîtresse fait cela parce que je le fais.
ais. Finette a la réputation d’écrire des lettres charmantes. Elle ne sait pas signer son nom et ne lit que les imprimés. Co
rdonne pas. J’avais une lettre importante à écrire, et vraiment je ne savais comment la tourner. Je m’en fus trouver la maître
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
stituer le mouvement. Il n’y a pas là, d’ailleurs, de quoi s’étonner. Sait -on qu’il y a plus d’un quart de siècle un savant
igure de pédant. Qu’il nous laisse disserter, nous autres, mais qu’il sache , lui, son métier. Quand Mlle Nyota, assise, danse
p de goût, aucune vulgarité. J’oubliais : les dents fort belles. J’en sais quelque chose. Elle me les a montrées… Mais peut-
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
uisqu’elle est une créature Dont les attraits font avouer Qu’on ne le saurait trop louer. Mademoiselle de Fiennes, Une de nos
Cour. Enfin, voici pour la dernière, De la Cour une autre lumière, Savoir la belle Rochefort, Que tout le monde estime fort
dansent chacune son Rôlet. Mais, comme il faut cesser d’écrire, Je ne saurais plus vous rien dire De ce charmant Ballet susdit,
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
ne m’a pas permis de soupçonner la forme ou la couleur du pays. J’ai su , par la lenteur du trajet, que la pauvre haridell
ivre une haute idée à ces messieurs les larbins. Qui se laisse servir sait payer, c’est la devise des antichambres. − Monsie
bien que son maître, qui a un cœur d’or, l’ait longtemps pleurée. Je savais déjà que M. de Sainte-Fauste a été le gouverneur
xions. Ce qu’il a conclu, je ne suis pas en état de le juger, mais je sais ce qu’il a souffert pour devenir ce qu’il est. C’
tes gens, il n’y a que les coquins qui lui sont absolument fermés. Il sait donc déjà que M. Juste Odoard est un cœur digne d
qui vit tout seul à présent dans un château fantastique perché je ne sais où entre ciel et terre. En y entrant j’ai songé a
e. Tu as fait de moi un homme et j’ai été heureux bien longtemps sans savoir et sans comprendre ce que te coûtait mon bonheur.
rouillard semblait apporter sous mes fenêtres. Je me suis levé, je ne sais pourquoi, car rien de ce qui peut se passer ici n
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
faut, pour les bien connaître, remonter aux causes premières. Veut-on savoir quelles sont les mœurs qui dominent dans une Mona
e, les échos de leurs pères. On a de même la clef des Arts, lorsqu’on sait remonter à leurs sources primitives ; parce qu’el
58 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
es Arcadiens, qui passaient pour des Peuples très sages, parce qu’ils savaient être heureux, une partie des usages qu’il établit
était proposé par des routes aussi agréables que sûres ; parce qu’il sut opposer en Philosophe, les continuelles émotions
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
eau d’histoire sur des découpures de fleurs. Un arrangement mécanique sait tout le mérite de la seconde. Le génie ordonne, d
primer le seul mouvement qui peut leur donner une sorte de vie. On ne saurait faire qu’un seul tableau, de toutes les Danses si
60 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
ain, Sous un Accoutrement Romain. Cet autre aimable et jeune Altesse, Savoir Madame la DUCHESSE, De Palatine Extraction, Attir
SIENNE admirable, Qu’on trouva là presque adorable, Ayant jusques par sus les yeux Des aimables Présents des Cieux, Avec un
61 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »
nonville selon qui « la danse théâtrale n’admet pas le travesti ». Je sais parfaitement bien que Saint-Léon a fait exécuter,
rd de la Lange Linie ont un sourire de fée, naïf et hautain, qu’on ne saurait oublier.
62 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
ment de gandins et de biches appartenant à toutes les classes. Chacun sait que le royaume du Gandinisme et de la Bicherie, d
né de parents riches mais extrêmement ridicules, le gandin parvenu a su se créer, par d’honnêtes relations, une sorte de
uand elles s’y fourvoient, Rolland, le contrôleur, devient joyeux. Il sait qu’elles partiront infailliblement après le prolo
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
discuta les Acteurs, le spectacle, le genre. On parla Musique sans la savoir , et on disputa sur la Danse sans la connaître. On
des événements, des écarts qui sont propres au théâtre, et qu’il faut savoir séparer de ceux qui peut-être plus éclatants dans
re, si je ne me servais sur ce point de l’autorité d’un Auteur qui ne saurait être suspecte. Je vais traduire ici une partie de
64 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 5 décembre 1666 »
on en chasse tout à fait Le Chagrin par un grand BALLET. Lorsque j’en saurai davantage, Vous le verrez dans notre Ouvrage.
65 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
s l’avoir vu triste une heure. Artiste jusqu’au bout des ongles, il a su faufiler un peu d’art au boulevard, rien qu’avec
s il me ménagerait un triomphe. Il avait parfaitement raison. Si l’on savait tout ce qu’il faut d’intelligence, d’adresse et d
ant nul ne songe à la plaisanter ni à rire d’elle. D’ailleurs, chacun sait qu’elle est d’une sagesse exemplaire, et qu’elle
ades comme Dupuis du Gymnase. Elle est très-aimée des habitués. Je ne sais pas si elle les paye de retour. Sa distinction na
66 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
us restâmes à la Jamaïque, je dois l’avouer, je ne m’inquiétai pas de savoir son nom. Aussi bien me suis-je toujours moins inq
e communiquer avec ses amis, via New-York, et il n’était pas arrivé à savoir si sa mère, ses frères et ses sœurs étaient morts
me dit que Dumas avait répliqué : — Ma main n’est pas serrée, mais je sais ce que vous voulez dire, mon enfant. Mon ami Poul
Il me dit : — Retenez-les, il faut qu’ils prennent de l’âge avant de savoir qu’on ne monte pas une côte au galop. Alors je de
67 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 20 février 1667 »
HEUS77, Avait lors deux autres ENTRÉES, Qu’on a beaucoup considérées, Savoir des MORES et MAHOMS, Deux très perverses Nations.
68 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
compare le danseur qui ne danse que d’une jambe, à un peintre qui ne saurait dessiner ses figures que d’un seul côté : des dan
e vos bras, de vos jambes soit correct, et prononcé avec grâce. On ne saurait trop vous recommander de filer délicatement la pi
fois ouvre un avis important. » Boileau. ce sera à vous ensuite à savoir en faire usage. Ne craignez pas de fatiguer votre
us tromper, ne rougissez jamais de vos erreurs en le consultant, mais sachez profiter de ses conseils, et mettez-les aussitôt
te aux yeux : « Je revois les amours, les faits de nos aïeux : « Elle sait m’inspirer leur belliqueuse ivresse. « J’admire l
e deviendra jamais danseur sans le désir ardent de l’être. 9. On ne saurait trop prendre de précautions en choisissant un maî
’a pas besoin d’un travail aussi opiniâtre pour conserver ce que l’on sait . L’art du danseur, comme tous ceux d’exercice, ne
rite la palme. M. Gardel par cette observation montre jusqu’où va son savoir et prouve combien l’art de la danse est difficile
69 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
éométrie, la Musique, la Philosophie, l’Histoire, et la Fable ; qu’il sache exprimer les passions et les mouvements de l’âme 
ne le cède ni à Phidias, ni à Apelles pour ce regard. Ce Danseur doit savoir aussi particulièrement expliquer les conceptions
el est celui de la plupart de nos Danseurs. Ce que le Maître Ecrivain sait faire avec ses doigts, ils le font avec les pieds
tiplier. Il est beaucoup plus difficile de danser que de déclamer. On sait déjà sa langue lors qu’on apprend à déclamer, et
outés prend dans l’action, mais simplement leurs noms ? Un Danseur ne saurait dire au Public : Messieurs, Je suis Oreste, Achil
llets Pantomimes, borné pour l’ordinaire à deux ou trois Danseurs, ne saurait faire durer ses Pièces plus long temps que la nat
70 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo III. Dell’Equilibrio del Corpo »
uante volte, ed in quanti modi il peso del corpo si vada trovando, or su questo or su quell’altro equilibrio: il che sareb
ed in quanti modi il peso del corpo si vada trovando, or su questo or su quell’altro equilibrio: il che sarebbe un voler a
71 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
Et, même, assez près des Couronnes. Du susdit Ballet que je vis, On saura , par forme d’avis, Que les Airs sont du Sieur Bap
Et le sieur Le Gros, mêmement, Y chantèrent divinement : Mais pour en savoir davantage Que je n’en dis dans cet Ouvrage Écrit
72 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 1er ou 2 décembre : Le Ballet des ballets — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 5 décembre 1671 »
éclatante, Qui tous les Spectateurs enchante. Lorsque le Détail, j’en saurai , Le Lecteur j’en entretiendrai.
73 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
mon titre et sous le prétexte de sacrifier aux gens qui veulent tout savoir , racontons de quelle manière j’ai été dotée du su
Tu viens d’être plus audacieuse que les membres de l’Académie qui ne savent plus qu’en oublier. Il est parfaitement juste que
Avant cette soirée, je dansais déjà fort bien. Mais je dansais sans savoir , par instinct, en me rappelant ce qu’avaient fait
re ce que fait la jambe gauche. XIII A un moment donné, et sans savoir pourquoi, il faut être sombre, mélancolique et fa
74 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
ne statuette me représentant. Nous arrivâmes enfin à la maison. Je ne savais ce que j’allais faire de ces garçons, mais ils ne
emière arriva. J’étais d’une impatience fébrile. On n’avait rien fait savoir au public marseillais, car nous regardions cette
mon cœur alla à lui sans que nous cussions échangé une parole. Je ne savais pas qui il était et je ne pensais nullement à fai
ris, qu’à Saint-Pétersbourg ou à Vienne. Tout de suite je voulus tout savoir de son existence. Lui, de son côté, désira que je
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
s, hier, miss Fuller, et un plus grand, ce matin. — Ce matin ? — Oui. Savez -vous quel est le monsieur avec qui vous venez de
je ne les quittais guère des yeux. La chose drôle, c’est qu’elles ne savaient pas que je les connaissais. Je m’amusai donc beau
e croyiez pas que je vous comprenais. Je le fixai un bon moment, pour savoir s’il était fâché ou non. Il sourit avec finesse e
ger de Son Excellence que lui demander d’oublier ma faute. Si j’avais su que ma défection entraînerait de telles conséquen
« La Reine a envoyé quelqu’un à ma matinée », pensai-je, « elle veut savoir si mes danses valent vraiment la peine d’être vue
portance à la question me concernant, et ne se préoccupa nullement de savoir si j’étais là ou non. Le lendemain, tous les jour
e. Alors seulement, je compris toute sa bonté, sa patience. Et je lui sais , aujourd’hui encore, un gré infini d’avoir attend
76 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
uloureuse, l’angoisse inscrite sur votre clair visage de jeune fille. Savez -vous qu’en Russie un tableau célèbre existe trait
ession, dans ces vagues pantomimes mesurées, vous n’avez pas toujours su amoindrir et dissimuler votre valeur réelle. L’es
ume de danse traditionnel au nom du naturel, du pittoresque, de je ne sais plus quoi d’aussi étranger à l’art. Donc, vous êt
77 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
avoir un jour des danseurs, on s’adresse à l’enseignement, car on ne saurait en improviser. L’essentiel est qu’on veut en avoi
anse masculine en bloc. La danse théâtrale qui constitue le ballet ne saurait — opine-t-il — se passer de la participation des
ue la grande tradition dont il tente de restaurer les fondements. Qui sait si l’information que je citais au début de ces li
78 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 18 octobre 1670 »
s des deux grands Baptistes,136 Originaux, et non Copistes, Comme on sait , dans leur noble Emploi, Pour divertir notre Gran
79 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
Merveilles. […] [George Dandin] Mais sur ce point c’en est assez : Sus , Muse, promptement passés En cette autre brillant
pour rien il délivre, Si je vous mens ni peu ni prou ; Et, si vous ne saviez pas où, C’est à l’enseigne du Parnasse ; Allez-y
80 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
o — est un roman de Le Sage imité de l’espagnol, et que tout le monde sait par cœur ; c’est aussi un ballet qui a obtenu une
, ainsi fait. C’est d’abord Paquita qui se présente. La fillette veut savoir si le jeune homme qui l’a courtisée au bal l’aime
e plaisir à écouter l’écolier ; mais le malencontreux don Gil, qui ne sait rien faire à propos, revient au bout d’un moment
èves, ce qui ne figure pas trop mal une scène d’inquisition, car vous savez à quelles épreuves tortionnaires sont soumises le
nir pour une danseuse. Mais cela ne fait pas le compte d’Asmodée, qui sait à quelles tentations, à quels périls serait expos
la consigne, — défendent avec chaleur la cause de la danseuse. On ne sait jusqu’où cela pourrait aller, si la sonnette du r
oi ! vous êtes jaloux, lui dit-elle, pour un baiser diplomatique ! Ne savez -vous pas que c’est un personnage que je dois ména
à paraître, et sa pantomime fait assez comprendre au galant qu’on lui sait gré de ses attentions… Mais voilà qu’au même inst
e convoitent que ses prétendues richesses, et le dédaigneraient s’ils savaient qu’il ne possède rien. Mais l’écolier n’en veut p
arfaitement le droit de ne pas reconnaître, mais dont la moustache ne saurait nous en imposer, à nous qui avons bonne mémoire.
Mais allez donc en remontrer à la danseuse sur ce chapitre là ; elle sait par expérience comment on arrive au cœur des femm
rovince cherche à faire prévaloir sa chorégraphie locale. La jalousie sait trouver une étincelle sous les cendres d’un amour
81 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 6 mai 1662 »
noble et pompeuse cadence, Encore aujourd’hui se redanse : Mais j’ai su de deux, ou de trois, Que c’est pour la dernière
82 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 20 décembre 1670 »
Où La Grange, en fort galant Homme, Fait le Rôle qui lui sied mieux, Savoir celui d’un Amoureux. Ayant vu l’une, et l’autre P
83 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en France »
rance Le personnage le plus recommandable de la Chine est celui qui sait une plus grande quantité de mots. L’érudition de
84 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VII »
ns à un discours libre de toute entrave, à une forme non serve qui ne saurait être prescrite, et qui ne puisse être imitée : ce
85 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63
des bras s’écarte de la règle commune, et c’est au goût du danseur à savoir les placer le plus gracieusement possible. Posi
uvements des bras. Le mouvement du poignet se prend de deux manières, savoir du haut en bas, et du bas en haut. Lorsque vous v
Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 374-375.] 45. Il faut aussi savoir placer ses bras selon sa construction physique. S
86 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
II — Mais pourquoi écrire ?… qu’espérez-vous raconter ? — Je ne sais pas, ce qu’on voudra, ma vie, mes impressions, de
r nous dire en plein public ce que nous sommes, — comme si nous ne le savions pas mieux qu’eux, — ils ont commis selon moi une
t bien être vrai. XII Je suis née à Nancy, nà : XIII Sans savoir comment, je me suis retrouvée au Casino-Cadet, à
87 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
rations, appartenait à ce monde irréel qui les avait subjugués. On ne saurait imaginer les véritables passions que j’ai suscité
Victoria. Sur le ton du plus parfait mépris elle affirmait : — Tu ne sais pas ce que tu dis, c’est un ange. A chaque change
naissance du printemps », « l’été », « l’automne », « l’hiver ». Elle savait prendre des expressions variées et combiner d’har
tait qu’il ne se marierait jamais. Il a trente ans aujourd’hui et qui sait si le cœur de l’homme n’est pas resté le même que
88 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
sœur de cette admirable miss Booth, qui fonda l’armée du Salut. Je le sus plus tard, c’était miss Isadora Duncan. Le lendem
oup j’avais été pris : elle m’avait révélé la beauté du mouvement. Je savais désormais, par elle, qu’un bras levé, que des jam
jour, fit arrêter sa voiture, les admira, s’informa. Mais quand elle sut que c’étaient les élèves de la danseuse aux jambe
r et l’immarcessible, et mon émotion était d’une suavité inconnue. Je sus un grand gré à miss Isadora Duncan du bonheur que
89 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
ue fit Compliment Ou harangue à notre beau Sire, Autant bien qu’on le saurait dire.
90 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 15 novembre 1670 »
, Qui plût, alors, beaucoup, encor, Et qu’ici, nous aurons, en somme, Savoir le Bourgeois Gentilhomme, Lequel est un sujet fol
91 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
— Non, pas plus que devant le Roi d’Angleterre. — Eh bien, faites-moi savoir quand vous serez à Berlin, et je tâcherai qu’il v
s’exprimer par des gestes, donc par la danse. Il s’agit seulement de savoir si la danseuse doit exprimer le chagrin qu’elle r
avait toute une collection. Quelle artiste elle doit être pour avoir su réunir toutes ces belles choses ! — Ceci est ma c
un long moment, puis je lui dis : — J’aurais aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une princesse. — Mais, répondit-el
dès le jour de sa naissance dans le palais royal de son père. Chacun sait que la vie d’une princesse royale oxclut toute li
92 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
merveilles : Mais n’en ayant vu qu’un essai, Bien parler encore je ne sais  ; Si lundi l’on me fait la grâce de m’y procurer
93 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 18 février 1662 »
ôtre Sire ; Et, certes, grand peut-on bien dire, Puis-que (comme l’on sait assez) Tous les autres Ballets passés, Soit pour
94 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — La Muse de la Cour à Mademoiselle Borel, Fille de Monseigneur l’Ambassadeur de Hollande d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, huitième semaine, lettre du 3 janvier 1666 »
es machines sans pareilles. Mais sur ce peu de vers on n’en peut rien savoir . Allez-vous, dis-je, allez les voir. MAROTTE y
95 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 27 février 1667 »
ses, ni si belles, Et, bref, où l’on fût plus joyeux. MADAME, vous le savez mieux Que je ne puis ici le dire ; Aussi, ne vais
96 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
i assurément ne sont pas sans remède. Lorsque l’humanité parle, l’art sait trouver des ressources pour obéir. (B) Déborde
toute cette matière, et que jamais homme peut-être avant lui n’avait su la mettre en pratique avec tant de méthode, d’int
d’ailleurs. Mais pour le bien et le progrès de l’art, il faut qu’ils sachent encore les avantages que les connaissances de cet
un peintre à qui le premier dessein est donné par une main sûre qui a su en écarter tous les inconvénients, et qui en indi
ses y sont ménagées avec un art, une exactitude, une précision qui ne sauraient être assez admirées, et qui supposent la connaiss
te l’illusion. 3°. Le bandage étant d’une très grande longueur, il ne saurait jamais être assez fort pour que la ferme soit bie
97 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo VII. Dichiarazione de’ segni che si trovano nelle Figure de’ Passi. »
goli retti sulla punta della prima cascante, parallela al passo ed in su rivolta, come H fa vedere. [8] Il tenere il piè i
ota il dovere appoggiare il piè sulla punta senza che il corpo vi sia su portato. Ed il medesimo dimostra il punto messo d
98 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 février. Les périls du music-hall. »
ll dans un recueillement béat, avec une curiosité candide que rien ne saurait lasser. Cependant, plus le tour de la danse appro
our l’entrechat, et cet entrechat soit un entrechat-dix, ce haut fait saurait -il s’imposer au public ? Sans doute, si c’est là
99 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
off n’a eu pour se guider dans sa recherche du comédien intégral, qui sache couler son émotion dans une forme impeccable et s
dit : « Je suis quelqu’un pour qui le monde visible existe ». Et qui sait si cet autre maître vénéré, dont on va fêter aprè
100 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
rcer dans les fêtes ; lorsqu’elles vous endormiront, vous me le ferez savoir . La musique, en tout genre, est partie intégrale
’ils sçûssent juger sainement de leurs moyens d’exécution ; alors ils sauroient apprécier le parti qu’on en peut tirer, et ils ap
val ? etc. etc. que de trésors que de ressources ! le tout consiste à savoir les employer avec goût, et à ne point en abuser p
/ 372