senter ses opéras. Ce spectacle eût lieu pendant 90 années dans cette
salle
informe, et elle seroit encore aujourd’hui le Dom
des obstacles que le génie ne pouvoit surmonter. Comme il falloit une
salle
d’opéra et que sa construction exigeoit du tems,
ra et que sa construction exigeoit du tems, on sacrifia la magnifique
salle
des machines située dans une des ailes du Château
s et leur magnificence. Vous jugerez facilement de l’étendue de cette
salle
, lorsque vous saurez que l’on éleva un mur, qui l
arties, et que celle du théâtre fut suffisante pour l’elévation de la
salle
provisoire de l’opéra. On y joua le 24 Janvier 17
r et Pollux ; et le 26 Janvier 1770 on fit l’ouverture de la nouvelle
salle
, construite sur le même emplacement de celle qui
architecte, construisit, sur le Boulevards St. Martin, une très-belle
salle
d’opéra en soixante huit jours. Enfin, Madame, l’
rien pour le varier et l’embellir. Je vous dois la déscription de la
salle
qui existoit alors. Elle devint très-heureusement
eureusement pour les talens et les arts, la proye des flammes. Cette
salle
très-sale et très-ridiculement construite, étoit
porte du spectacle ressemblant parfaitement a celle d’une prison. La
salle
étoit basse et étroite ; les loges, séparées symé
biné ressembloit bien plus à l’antre ténébreux des Sybilles, qu’à une
salle
d’opéra. Le tout étoit éclairé par deux petits lu
té lugubre. La partie du théâtre étoit proportionnée au rétréci de la
salle
. L’avant-scène, ou le Proscenium répondait à tout
Observations sur la construction d’une
salle
d’opéra. LA quantité de salles de spectacles d
servations sur la construction d’une salle d’opéra. LA quantité de
salles
de spectacles détruites depuis 20 années par les
u rétréci du local, les grands effets de leur art ; on sentira qu’une
salle
construite et placée comme est celle de l’opéra,
nent les jouissances. Si l’on me consultoit sur la construction d’une
salle
de spectacle, je conseillerois dabord de ne point
un dont les défauts ne surpassent les beautés. La construction d’une
salle
d’opéra est bien différente de celle d’une salle
a construction d’une salle d’opéra est bien différente de celle d’une
salle
de comédie ; je ne parle ici que de la partie du
, mais que les cadres nous manquent ; ou qu’ils sont trop petits. Une
salle
de spectacle doit être exactement isolée. Il sero
de tous les chassis. Les décorations étant portées à bras soit de la
salle
des peintres au théatre soit du théatre an magasi
era la distribution de ce bâtiment. 2° Il faut de toute nécessité une
salle
pour les administrateurs précédée d’une antre piè
à tous les inconvéniens, ils doivent coucher alternativement dans la
salle
et faire des rondes dans la nuit. L’administratio
et autres ustensilles emmagasinés sous les deux terrasses séparant la
salle
du bâtiment destiné aux acteurs. Cette ouverture
ement, où à l’instant qui leur serait prescrit par l’inspecteur de la
salle
. Cette précaution de faire ouvrir en dehors ne do
gagnèrent, elles dévorèrent tout. Nul n’échappa à leur fureur, et la
salle
d’Amsterdam fut le tombeau d’un nombre prodigieux
de machines, de toiles, de cordages, et la charpente du plafond de la
salle
. Rien de plus facile que d’interrompre toute cont
iteroit encore les moyens que Soufflot a ingénieusement employés à la
salle
de Lyon. Il y existe un espèce de rideau de tôle
sifs de l’avant-scène ; de sorte qu’à la moindre apparence de feu, la
salle
et le théâtre se trouvent, pour ainsi dire séparé
ment placés qu’ils voient et qu’ils entendent de quelqu’endroit de la
salle
où ils se trouvent. Une précaution qui n’est pas
Une précaution qui n’est pas à négliger est la forme intérieure de la
salle
. Les acteurs dans toutes les circonstances, ne do
fait avec beaucoup de peine, de confusion et d’imprécision : mais ces
salles
m’ont toujours parues trop grandes et pour le pub
oportion avec les décorations ; il est à présumer par l’immensité des
salles
d’Italie, qu’elles ont été construites par des pe
yoit indispensable), deux corps avancés. Je dois répéter que ces deux
salles
sont indispensables à l’œconomie, à la tranquilli
ourroit paroître neuf. On s’en est servi avec succès dans la nouvelle
salle
que l’on a construite à Londres. Au reste, je sou
; un orchestre et un amphithéâtre élevés à l’autre extrémité de cette
salle
seroient susceptibles d’un beau décore. Ces deux
surance de tout ce qui tient au goût, à la commodité, à la sûreté des
salles
de spectacles. C’est au talent de l’artiste à tir
ût ne pardonneront point à Louis l’architecte d’avoir construit trois
salles
de spectacles, dont la dernière est aussi remplie
sent y agir sans peine et sans confusion. 2°. Quant à la partie de la
salle
destinée pour le public, elle doit être assez spa
des dangers aux quels les citoyens sont journellement exposés dans la
salle
existante, ordonnera enfin la construction d’un é
es grands talens. Ce que je viens de dire sur la construction d’une
salle
d’opéra, est environné d’un nuage, que le génie d
re 1715, les Bals publics furent permis trois fois la semaine dans la
salle
de l’Opéra. Les Directeurs firent faire une Machi
quelle on élevait le parterre et l’orchestre au niveau du théâtre. La
Salle
fut ornée de Lustres, d’un Cabinet de glaces dans
que j’ai vu durer encore, on poussa l’enthousiasme jusqu’à trouver la
salle
belle, commode, et digne en tout du goût, de l’in
on sait qu’il n’est plus du bon air d’y danser. Les deux côtés de la
salle
sont occupés par quelques Masques obscurs, qui su
siècle de Louis XIV107, sut bien changer une cour irrégulière, en une
salle
de Bal la plus magnifique qu’on eut vue encore en
’un des deux interlocuteurs prit la petite chose et l’emporta dans la
salle
de danse. C’était un drôle de petit paquet humain
es, vous dis-je. A ce moment une femme accourut de l’autre bout de la
salle
de bal. Elle poussa un cri, et s’empara de l’enfa
oirée. Elle roucoula, rit, agita ses menottes et circula par toute la
salle
jusqu’à ce que le dernier des danseurs fût parti.
gement avec le propriétaire de l’unique taverne de l’endroit. Dans la
salle
commune il y avait un grand poêle de fonte. C’éta
que c’était le seul cabaret de l’endroit, et, comme nous occupions la
salle
de débit, nous avions imposé un rude sacrifice au
, Mais, toutefois, je n’entrai pas ; D’une parole assez humaine, » La
Salle
(me dit-on) est pleine » Vous gagneriez peu de pa
e crédit, En s’approchant de moi me dit D’une manière spécieuse, » La
Salle
est si peu spacieuse, » Que je puis vous faire se
s-perle de Braque et des savantes rondeurs des Maillol ! Dans la même
salle
, Mlle Isabel d’Etchessary a présenté la Danse pol
, de ce rayonnement du corps qui fait qu’une grande danseuse tient la
salle
avant d’avoir esquissé le moindre pas. Une Pawlov
ux péplums duncaniens, mentionnons Vicente Escudero, qui a dansé à la
Salle
Gaveau des danses de son pays. Très belle, la dan
sieurs girandoles en cire le long des murs des deux rampes. La grande
salle
n’avait point de pièce qui la précédât : on const
it point de pièce qui la précédât : on construisit une antichambre ou
salle
des gardes, de plain-pied à la grande salle ; on
ruisit une antichambre ou salle des gardes, de plain-pied à la grande
salle
; on la prit sur la cour, et le dessous forma par
forma par cet ordre un péristyle au rez-de-chaussée de la cour. Cette
salle
des gardes était construite d’une solide charpent
solide charpente et maçonnerie, elle procurait une entrée à la grande
salle
par son milieu ; et loin de gâter la symétrie et
cour, elle la rendait plus régulière. Les sept fenêtres de la grande
salle
furent garnies de grandes croisées neuves à grand
t à deux battants, avec des espagnolettes bronzées. Le pourtour de la
salle
était décoré d’un lambris d’appui : les cadres et
s. Les murs, trumeaux, embrasements et plafonds des croisées de cette
salle
, ainsi que le pourtour des tableaux, étaient reco
t toutes les ferrures des portes et des croisées étaient bronzées. La
salle
était garnie de banquettes cramoisi : sur la chem
de girandoles disposées avec symétrie. Dans la longueur de la grande
salle
pendaient quatorze beaux lustres de forts cristau
latives entre eux, et d’une symétrie fort élégante. Dans cette grande
salle
était dressé, dans l’angle à côté de la cheminée,
ornées de belles et grandes figures de bronze doré. Le plancher de la
salle
était couvert de tapis de Turquie, et d’un double
is que l’on dressât avant son arrivée, était placée dans cette grande
salle
. Elle avait trente pieds de longueur sur huit pie
-du-corps en haie et sous les armes. Elle fut conduite dans la grande
salle
en passant par la salle des gardes, et de-là dans
s les armes. Elle fut conduite dans la grande salle en passant par la
salle
des gardes, et de-là dans son appartement, dont l
Les prévôts des marchands et échevins s’étaient tenus dans la grande
salle
; le Roi ordonna de les faire entrer, et M. le go
était servie. Le Roi sortit de son appartement, passa dans la grande
salle
, et se mit à table. Pendant le festin, l’ode qui
n et ses saillies. Tout le pourtour de cette fontaine qui formait une
salle
de lumières, et les poteaux, étaient illuminés pa
nseigneur le Dauphin, Madame la Dauphine, et Mesdames, dans la grande
salle
, et de-là à l’appartement du Roi, où ils eurent l
fort satisfait, vit tirer ce feu à la croisée du milieu de la grande
salle
; les deux croisées à côté étaient distinguées et
lustrade dorée : elle était couverte, ainsi que toute l’étendue de la
salle
, d’un tapis. Il y avait un dais au-dessus de ladi
de sur des banquettes. Après le feu, leurs Majestés passèrent dans la
salle
des gouverneurs, qui avait été décorée en salle d
tés passèrent dans la salle des gouverneurs, qui avait été décorée en
salle
de concert. On y exécuta une ode sur le retour de
t la musique. Pendant le concert, on avait ôté l’estrade de la grande
salle
et les tapis, pour dresser la table. Le Roi, aprè
ermeil. M. le prévôt des marchands eut l’honneur de servir le Roi. La
salle
était remplie de personnes de la première considé
omme de la chambre de M. le duc de Gesvres. La décoration de la grand
salle
était telle. Etant d’usage d’appuyer les plancher
es, les ornements redorés, ainsi que les draperies des figures. Cette
salle
, à laquelle la décoration donnait la forme d’une
buffet de la ville était dressé dès le matin dans la partie de cette
salle
, auprès de la cheminée du côté de la chambre du R
tablement supérieur, au-dessus de la croisée du milieu de la nouvelle
salle
des gardes : au-dessous de cette couronne étaient
de-ville était entièrement illuminé, ainsi que le comble de la grande
salle
. Leurs Majestés regardèrent quelque temps cette i
rs divers caractères3. Un bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des
salles
préparées avec grande magnificence, termina cette
itre de Ballet comique de la reine ; il fut représenté dans la grande
salle
de Bourbon par la reine, les princesses, les prin
dans le grand manège la plus belle, la plus élégante, la plus commode
salle
de spectacle, dont la France eût encore joui. Le
e qui le bordait, de la plus élégante richesse, et la découpure de la
salle
, d’une adresse assez singulière, pour que le Roi
it sans doute le projet honorable de M. le maréchal de Richelieu. Une
salle
de théâtre une fois élevée le suppose. La fête du
l’impossibilité d’une pareille entreprise pour l’avenir. La nouvelle
salle
de spectacle, construite avec la rapidité la plus
n essor inattendu de mécanique, se métamorphosait à la volonté en une
salle
étendue et magnifique de bal. Peu de moments aprè
x nuits les plus sombres tous les charmes des plus beaux jours. Voyez
Salle
de spectacle [Article non rédigé], Illumination [
de louange, furent, 1°. celle qui d’un coup d’œil changeait une belle
salle
de spectacle en une magnifique salle de bal : 2°.
n coup d’œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique
salle
de bal : 2°. celle qui servit aux travaux et à la
e Paris, donné dans son hôtel la nuit du 30 Août 1739. Trois grandes
salles
dans lesquelles on dansa, avaient été préparées a
ages, qui contribuaient à l’ingénieuse et riche décoration dont cette
salle
fut ornée. Pour la rendre plus magnifique et plus
ibuts relatifs à l’objet de la fête. Au fond de cette cour changée en
salle
de bal, on avait construit un magnifique balcon e
écelait le goût exquis qui ordonnait tous ces arrangements. La grande
salle
de l’Hôtel-de-ville, qui s’étend sur toute la faç
l’Hôtel-de-ville, qui s’étend sur toute la façade, servait de seconde
salle
; elle était décorée de damas jaune, enrichi de f
es et les croisées étaient disposées en estrades et en gradins, et la
salle
était éclairée par un grand nombre de bougies. La
la salle était éclairée par un grand nombre de bougies. La troisième
salle
était disposée dans celle qu’on nomme des gouvern
de lumières placées avec art. On voyait par les croisées de ces deux
salles
, tout ce qui se passait dans la première : c’étai
’on avait ménagée pour multiplier les plaisirs. On communiquait d’une
salle
à l’autre par un grand appartement éclairé avec u
un grand appartement éclairé avec un art extrême. Auprès de ces trois
salles
on avait dressé des buffets décorés avec beaucoup
. Les gardes de la porte et ceux de la prévôté occupaient la première
salle
de l’Hôtel-de-ville ; la porte de cette salle éta
occupaient la première salle de l’Hôtel-de-ville ; la porte de cette
salle
était gardée au-dehors par les troupes bourgeoise
s par les troupes bourgeoises. Les cent-suisses occupaient la seconde
salle
; les gardes-du-corps la troisième. Dans la quatr
érent. Après le souper de Madame la Dauphine, il y eut un bal dans la
salle
de spectacle ; et comme cette salle fait partie d
Dauphine, il y eut un bal dans la salle de spectacle ; et comme cette
salle
fait partie de l’Hôtel-de-ville, elle s’y rendit
rès avoir admiré quelque temps ce point de vue, fut conduite dans une
salle
où les officiers de la bouche avaient préparé sa
ste, tous les appartements bas étaient autant de cuisines, offices et
salles
à manger ; ainsi pour la dérober à la vue, et à t
ures dans son appartement, et changea d’habit pour aller à la foire.
Salle
de la foire. La foire que M. le duc d’Orléans ava
queté et élevé seulement d’une marche : ce milieu était destiné à une
salle
de bal ; et on n’avait rien oublié de ce qui pouv
n oublié de ce qui pouvait la rendre aussi magnifique que commode. La
salle
n’était séparée de ces espèces de rue que par une
près de neuf heures du soir. Alors le Roi passa sur le parquet de la
salle
du bal, située au milieu de la foire, et se plaça
. Les banquettes couvertes de velours cramoisi, qui entouraient cette
salle
, servaient de barrière aux spectateurs. La sympho
la tête de la danse ; un tambourin provençal se rangea au fond de la
salle
, et on commença un petit ballet, sans chant, très
Après ce chœur le Roi alla souper, et les masques s’emparèrent de la
salle
du bal. Ensuite on distribua à ceux qui se trouva
llée qui sépare le labyrinthe de l’île d’amour : on y avait formé une
salle
de spectacle de toute la largeur de l’allée, et d
e de toute la largeur de l’allée, et d’une longueur proportionnée. La
salle
et le théâtre étaient ornés avec autant de magnif
, cachées par de riches rideaux, parurent tout-à-coup dans toutes les
salles
; elles semblaient se multiplier, comme la multit
n statue, frappe rudement à la porte. On va ouvrir ; il entre dans la
salle
; les conviés sont épouvantés, ils prennent la fu
eur. Le bruit cesse ; les conviés, un peu rassurés reviennent dans la
salle
, mais la frayeur les accompagne, ce qui donne lie
aume du Bel-Air, dans la de Vaugirard. Puis, à la mort de Molière, la
salle
rue du Palais-Royal fut donnée aux chanteurs et a
t Myrtil et Lycoris. On continua d’y jouer jusqu’à ce que la nouvelle
salle
construite près de la porte Saint-Martin eût été
y ayant été assassiné, le 13 février 1820, à la sortie de l’Opéra, la
salle
de la rue Richelieu fut fermée, puis démolie. On
u fut fermée, puis démolie. On éleva alors dans la rue Lepeletier une
salle
qui est, depuis trente ans, provisoire. Ce monume
sins de l’architecte Debut, n’a pas coûté moins de trois millions. La
salle
de l’Opéra est simplement décorée ; elle est circ
est circulaire, mais elle a un immense avantage sur toutes les autres
salles
de Paris : elle est très-sonore. Nous ne sommes p
rlequin. Scene XI. Le Théâtre change, & représente une
Salle
des appartemens du Sultan. Des Courtisans, qui se
e des appartemens du Sultan. Des Courtisans, qui se promènent dans la
salle
, font entendre que le Sultan, accablé de douleur,
t du sort, & veut mourir. Scene XIII. La muraille de la
Salle
s’entrouvre avec fracas. Le premier Magicien para
& tout disparaît. Scene XIX. Le Théâtre représente une
Salle
richement ornée, éclairée par des lustres & d
nlevés dans les airs. Scene XXVI. Le Théâtre représente une
Salle
du Palais du Sultan. (Tout le Peuple est rassembl
mandaient quelque préparation… J’avais fait construire à ce sujet une
salle
spacieuse... un jour qu’on représentait un fort b
pacieuse... un jour qu’on représentait un fort beau Ballet dans cette
salle
, etc. Il dit dans ce même endroit, que lorsqu’il
rait bien des choses à faire et il paraît qu’on en a l’intention à la
Salle
Favart. Pourquoi la deuxième scène lyrique n’aura
e Mlle Alice Vronska — qui, si je ne me trompe fort, a déjà paru à la
Salle
Favart — avec sa grande allure de sujet classique
mentine étaient dans la loge royale. C’était une soirée de gala et la
salle
resplendissait de toilettes magnifiques et de bij
et pour la princesse Victoria de Schaumbourg-Lippe et leur suite. La
salle
était bondée et, pour orchestre, j’avais la socié
g-Lippe. Un soir que je dansais à La Haye, la princesse était dans la
salle
avec le major Winslow et d’autres personnes de sa
lissement vint me dire : — Voulez-vous, je vous prie, revenir dans la
salle
et faire semblant de vous laisser électriser, pou
nommer les Altesses et qu’on lui avait ordonné de me réclamer dans la
salle
, sous un prétexte quelconque. Elle était si déso
mbe qu’on lui avait annoncée comme devant être lancée sur lui dans la
salle
, bien plus que pour ma personne, mes danses et mê
contes de Fées ! Ils passèrent devant nous et s’installèrent dans la
salle
du fond. Le propriétaire revint bientôt vers notr
La Gravette de Mayolas, lettre du 17 août 1669 […] Dans une
Salle
préparée Et de verdure diaprée, On eut, pour le c
r malheur le feu à leur peau de lin collé dessus avec de la poix ; la
Salle
fut aussitôt pleine de flammes, & remplie d’e
S.A.R. Monseigneur le Régent a permis d’établir un bal public dans la
Salle
de l’Opéra, trois fois la Semaine, pendant le cou
ur l’entrée de chaque masque, de l’un & de l’autre séxe. Comme la
Salle
est ornée superbement, avec une nombreuse simphon
ois, qu’ils en ont aussi obtenu un pareil, pour donner le bal dans la
Salle
de la Comédie Françoise, alternativement à ceux d
l dans la Salle de la Comédie Françoise, alternativement à ceux de la
Salle
de l’Opéra. Il est à souhaiter que cet établissem
en est assez : Sus, Muse, promptement passés En cette autre brillante
Salle
Qui fut la Salle Théâtrale. Ô le charmant Lieu qu
s, Muse, promptement passés En cette autre brillante Salle Qui fut la
Salle
Théâtrale. Ô le charmant Lieu que c’était ! L’Or
on Hôtel, en ce jour A régalé toute la Cour. Dans une grande et belle
Salle
, On vit par la Troupe Royale Représenter ANTIOCHU
Momons de Paris Se trouvèrent à ce Régale119 Qui se fit dans la même
Salle
Où le TARTUFFE, en grand crédit, De plus en plus,
vingt ouvriers, et au moins trente manœuvres, pour les ouvrages de la
salle
et du magasin ; on leur adjoignit des peintres po
contres, huit hautbois, flûtes et bassons, un timbalier. Un maître de
salle
de danse, un compositeur de ballets, un dessinate
ositive à tous les comédiens français et étrangers de se servir de la
salle
de l’Opéra, d’employer des musiciens au-delà du n
, que Gossec avait tant de fois enrichis ; l’autre, par le luxe de sa
salle
, la folie de ses intrigues et les joies bruyantes
lait avoir voulu placer tout exprès l’Opéra sous sa main, faire de la
salle
même une dépendance de ses appartemens, et du bal
urg, en 1674, il avait été transporté au Palais-Royal. En 1763, cette
salle
ayant été brûlée, il s’établit aux Tuileries ; c’
son séjour aux Tuileries, on reconstruisit sur des plans nouveaux la
salle
du Palais-Royal ; l’Opéra en prit possession. En
ession. En 1780, le 8 juin, pendant l’opéra d’Orphée, de Glück, cette
salle
brûla de nouveau. La frayeur des spectateurs fut
isés dans le foyer. L’Opéra fit alors une courte halte dans la petite
salle
des Menus-Plaisirs ; de là il passa à la salle de
e halte dans la petite salle des Menus-Plaisirs ; de là il passa à la
salle
de la Porte-Saint-Martin, qui, commencée à la fin
République et des Arts fut établi rue de la Loi (Richelieu), dans la
salle
que le Gouvernement avait acquise de mademoiselle
vernement avait acquise de mademoiselle Montansier. Ce fut dans cette
salle
que le parterre fut assis : jusque-là, il s’était
ence, ou qu’un pâle rayon du siècle de Louis XV avait pénétré dans la
salle
, sur la scène et dans les coulisses ; c’était une
ince meurt à l’Opéra assiégé par les masques accourus pour le bal. Le
salle
fut fermée ; toute représentation théâtrale était
cassette royale faisait les frais. On construisit alors à la hâte la
salle
de la rue Lepelletier ; elle ne devait être que p
n édifice voué aux flammes, car telle est la destinée probable de ces
salles
d’Opéra. Les compagnies d’assurances ne veulent l
sie en redoutait l’entrée ; elle y était encore mal à l’aise : car la
salle
de la rue Lepelletier, que la banque elle-même n’
concourt au mouvement intellectuel de la société, en bannissant de la
salle
tout ce qui avait pu effaroucher les susceptibili
l’émulation des artistes ; en un mot, en faisant de l’Opéra, théâtre,
salle
et foyer, le centre de toutes les lumières. C’est
entures. La description qui nous a été laissée des dispositions de la
salle
de l’Opéra rappelait les ornemens du ballet de Gu
éra offrent un spectacle tout émaillé de ravissantes : bigarrures. La
salle
envahie par un public qui se confond à toutes les
par et pour le peuple, rue de la Loi ou plutôt de Richelieu, ancienne
salle
construite par mesdemoiselles Montansier et Bourd
rze Fleuves divers Font de mélodieux Concerts, Fut redansé dans cette
Salle
, Qui pour Ballets n’a point d’égale ; Lequel Ball
t les directeurs de tous les théâtres de New-York et leurs femmes. La
salle
était bondée. Les trois coups annoncèrent le leve
ut, il y eut un silence, un silence presque pénible dans cette grande
salle
archipleine. Chacun retenait sa respiration. Elle
une demi-heure ce fut elle — empêchée de jouer par les clameurs de la
salle
— qui sembla le public. Elle regardait, — tour à
rémissant d’enthousiasme et que Sarah Bernhardt se trouverait dans la
salle
à son tour pour applaudir cette petite fille de l
possible ? J’entrai en scène, et regardai le public qui emplissait la
salle
du haut en bas. Dans ma grande robe blanche, immo
e jouait, à ma profonde, à ma délicieuse émotion, le rôle de toute la
salle
résumé dans son applaudissement désiré. *** Un jo
agréable Ballet de Flore ; Les Étrangers, les Courtisans, Qui dans la
Salle
était présent, Comme les Dames les plus belles, Y
dans le cadre restreint où le ballet étouffait. Car le plateau de la
Salle
Favart ne s’est pas mis pour les danseurs en frai
e fin et délicat, Dont Monsieur l’Éminent Légat, Eut dans une superbe
Salle
À Fontainebleau le Régale ; Il la vit attentiveme
danse macabre. Et je revois Marie Piltz, affrontant avec sérénité une
salle
houleuse dont le tapage hostile couvre complèteme
ux danseurs et les danses n’agissent pas, au-delà de la rampe, sur la
salle
. Il y a double solution de contact. Massine a sim
un corridor j’atteignis l’estrade que l’on avait élevée au fond de la
salle
du bal. Il faisait terriblement sombre et la seul
e tout petit rayon qui filtrait d’un de mes projecteurs mal fermé. La
salle
semblait vide totalement. Je vis, quand j’eus ach
ant dans ces mêmes galeries, je rejoignis, par le petit corridor, une
salle
des artistes où je m’habillai avant de partir. De
’on ne peut le dire en Vers, Ni par le plus grand préambule, Théâtre,
Salle
et Vestibule ; Où la Comédie et le Bal, Et même u
autour de la scène comme un esprit ailé. Un cri soudain jaillit de la
salle
: — Un papillon ! un papillon ! Je me mis à tourn
tes. Un seul bec de gaz éclairait la scène complètement vide. Dans la
salle
également sombre, le directeur, installé dans un
s, réaliser mes danses telles que je les avais conçues : nuit dans la
salle
et lumières de couleur sur la scène avec première
la scène avec première apparition baignée dans une lumière bleue. La
salle
était bondée et le public fut absolument enthousi
ai mon premier, mon second, mon troisième pas. Lorsque j’eus fini, la
salle
entière était debout. Parmi les spectateurs se tr
it de rivalité sans doute. VII Il est très-rare de voir dans la
salle
des familles dites honnêtes. Quand elles s’y four
intes. Mais il est des gens qui trouvent moyen de se faufiler dans la
salle
malgré la surveillance active des contrôleurs. Un
squ’à ce qu’elle fût arrivée sur le parquet. Pendant cet exercice, la
salle
entière se tordait, à la vue de son petit jupon d
ne belle révérence, et commençai, d’une voix qui résonna par toute la
salle
. Je débitai le petit poème d’un air si sérieux, q
orte. Elle étoit à peine entrouverte, que la Peur s’introduit dans la
salle
: elle plane sur toutes les têtes, glace les espr
tant entre eux le prix du saut et celui de la course, en un moment la
salle
est évacuée ; Cette scène ne retrace-t-telle pas
eption bourgeoise de l’administration de l’Opéra. — Aménagement de la
salle
de la rue Le Peletier. — Le public. — Les livrets
. — Première représentation le 15 septembre 1834. — Physionomie de la
salle
. — Succès de Fanny. — Opinions de la presse. — In
me refuser le plaisir de manger avec vous ? » Il m’a conduit dans une
salle
immense, d’un beau style ogival, toute rehaussée
a introduit en me faisant traverser un salon encore plus grand que la
salle
, encore plus beau et non moins sévère. Il m’a pri
t suivant : Lorsque Taglioni, la fée aux blanches ailes, Quittait la
salle
aimée où pleuvaient tant de fleurs, L’insouciant
ts, elle y retrouva d’anciens amis. Dès 1838, plus d’un habitué de la
salle
de la rue Le Peletier avait pris la route de Mila
e avait fait, en 1850, une apparition à Paris, dans la Tempesta, à la
salle
Ventadour. Elle n’était alors que demi-étoile à H
ulpteurs, furent les modèles des Architectes dans la construction des
Salles
de Spectacle. Alors le talent et le génie se réun
e vers son passé de danseuse pour entendre les applaudissements d’une
salle
qu’elle voit. Ce qui fait le charme personnel de
oses somptueuses ? J’aurais surtout voulu rester indéfiniment dans la
salle
obscure à m’abreuver de cette délicieuse et déchi
nda si je pouvais obtenir tous mes effets d’éclairage dans une simple
salle
, pour la séance que je voulais donner au Palais.
hitecture pour pouvoir dire dans quel style il faudrait classer cette
salle
, mais rien de ce que j’avais vu auparavant n’y re
du palais dans une pièce encore plus jolie, s’il est possible, que la
salle
dans laquelle j’avais pénétré la première fois. L
aisaient florès, Des Labyrinthes, des Dédales, Des Amphithéâtres, des
Salles
, Qui se plantaient, se bâtissaient, Et, se succéd
il a accomplis depuis qu’il dirige ce théâtre sont fabuleux. Dans une
salle
grande comme une commode, sur une scène profonde
eaucoup qui la trouvent fort jolie. Il est vrai que les gandins de la
salle
ont renoncé à lui faire la cour. Ils la voient pe
intre la poursuit, enjambe la rampe et se fond dans l’obscurité de la
salle
. On voit enfin une énorme main d’ombre se saisir
tué. Comme un ange1. Les deux amis, tout en causant, arrivent dans la
salle
des portraits. L’ami. Quelles sont ces femmes ?
L’habitué. N’est-ce pas ? j’en suis fou. Alice , regardant dans la
salle
. Tiens, voilà Alida Gambilmuche, Rosalba et Nini
nt, par l’intermédiaire de Marten Stein qui servait d’interprète. La
salle
s’était vidée. Nous n’étions plus que six sur la
e inconnue, comme en 1892, j’avais de nombreux amis parisiens dans la
salle
. Il en vint beaucoup sur la scène pour me félicit
à présent, transfiguré. Il nous conduisit dans une autre partie de la
salle
, et découvrit plusieurs plaques de quelque chose
e de chaque toile. A la fin il s’approcha de moi, puis, embrassant la
salle
d’un geste large, il dit : — Ce sont vos couleurs
00e représentation à Paris. J’étais alors au théâtre de l’Athénée. La
salle
entière avait été louée par les étudiants. Lorsqu
’avais là-bas de très nombreux amis. Tout à coup, dans un angle de la
salle
de bal, je découvris mon voisin de table. Il ne p
lle ne vienne pas aussi-tôt, il faut se transporter à l’endroit de la
salle
où l’on commence de danser & l’attendre, &
aginaires figures de danse surgir de l’orchestre ; il y avait dans la
salle
une main nerveuse qui se crispait de convoitise,
sch, Adèle Mérante, Biot IIe, Lecerf, Grangé, Keller, Adriana, Sacré,
Salle
, Testa, Moïse, Lapy, Bernay, Ottolini, Mercédès,
a main de la jeunesse Toujours de fleurs semer ses derniers pas.
Mademoiselle Salle
Un petit lion fauve qui lèche ses griffes au
le n’en a point manqué et que l’on a pu, depuis, voir plus d’une fois
Salle
comble à l’Opéra. Mademoiselle Testa L’en
monsieur. Et elle ajouta naïvement : — Est-ce que cela se voit de la
salle
? a travers les coryphées. Mademoisel
nalités féminines de la maison. Les mères des élèves sont là, dans la
salle
, formant un public remuant et tapageur, d’où jail
e villa avec un jardin, a installé des dortoirs, des réfectoires, une
salle
de danse et de gymnastique, une salle d’hydrothér
dortoirs, des réfectoires, une salle de danse et de gymnastique, une
salle
d’hydrothérapie, et chaque jour les enfants font
iblement, Et comblaient d’ardeur martiale Tous les moins hardis de la
Salle
. Quoi que ce ne fût qu’un ébat, Il s’y fit un for
et voilà qu’une tension nerveuse se manifeste de plus en plus dans la
salle
: on attend les « fouettés ». C’est là un mouveme
e. C’est une enfant de quinze à seize ans, fille d’une ouvreuse de la
salle
. Elle ne vient jamais aux répétitions et elle sai
s (je m’exprime comme un véritable vaudevilliste), le dos tourné à la
salle
, est assis, dans un fauteuil boiteux, le régisseu
la poupée. Et ce dualisme du mouvement, poignant et cocasse, tient la
salle
en haleine. Reste enfin la foule des badauds où r
d comme de l’autre, je vous conseillerois de vous mettre au bas de la
salle
. Afin qu’étant expliqué si distinctement vous pui
; voir, Et qu’à peine, on peut concevoir. À commencer, donc, par la
Salle
Où ce grand Spectacle s’étale, C’est un Vaisseau
r du rideau, le théâtre représente, s’il faut en croire le livret, la
salle
du grand Opéra de Madrid, décorée pour un bal. Ce
irque ? — car l’Oriente n’est pas encore terminé, — ou bien encore la
salle
que Philippe IV avait fait élever au milieu de la
hestre jouer l’ouverture, puis la toile du fond se lève, montrant une
salle
garnie de spectateurs et splendidement illuminée.
ousiasme ? — Il faut dire aussi qu’Asmodée a magiquement travaillé la
salle
, et qu’il la gouverne suivant ses desseins. Flori
don de la rampe, elle ramasse tous les désirs et l’enthousiasme de la
salle
? Nous avons vu Rosita Diez. Lola et les meilleur
uose ? En cette fin de décembre 1836, on inaugurait rue Vivienne une
salle
de bal vaste et luxueuse, la salle Musard, dont B
36, on inaugurait rue Vivienne une salle de bal vaste et luxueuse, la
salle
Musard, dont Barthélemy se plaignait en ces terme
bénéficiaire, tous frais payés, une somme nette de 32 815 francs. Une
salle
en délire mêlait à ses applaudissements frénétiqu
: « La tête de Duponchel ! » La reine Marie-Amélie, qui était dans la
salle
, fut par hasard avertie de la chose. Elle faillit
s quelle tristesse infinie pour laquelle l’expression nous manque… La
salle
émue et charmée ne pouvait se lasser de l’accable
paraissaient les comiques Lepeintre jeune, Arnal, Vernet et Odry. La
salle
était fort brillante. Des places avaient été pris
ptre d’or de la beauté ; elle n’a qu’à paraître pour produire dans la
salle
un frémissement passionné plus flatteur que tous
a triomphatrice aurait pu être troublée, si elle avait aperçu dans la
salle
une personne dont la présence était pour elle une
bre ce ballet fut donné avec Don Juan. Quoique ce fût un dimanche, la
salle
était à moitié vide. C’était un insuccès notoire.
r Ballet] Les soins du Ministère, ses dépenses, la construction d’une
Salle
nouvelle dans Paris firent comprendre à la Cour e
l’intérêt plus particulier qu’il prenait à son succès notre première
Salle
de Spectacle un peu régulière. C’est celle où on
la première représentation de la Tempête eut lieu le 15 septembre. La
salle
offrait un beau coup d’œil. Un grand nombre de ch
quement représentée par Shakespeare. Un vent de malaise passe dans la
salle
. Les applaudissements d’Auguste restent sans écho
r un lit de repos. Le rideau se lève pour la troisième fois. Dans une
salle
aux ornements fantastiques la fée Alcine, c’est-à
découvrir Fanny l’Allemande sur le théâtre et pour découvrir dans la
salle
quelques étrangers venus de France ; pour saluer
e, des chanteurs, des décorations, des danseurs, un pas nouveau et la
salle
meublée à toutes ses places de ce que Paris renfe
s sonnets imprimés sur du satin, pleuvent de toutes les parties de la
salle
; ce sont des brevets d’honneur que l’amour de la
t, d’une ample manière, Sur ce Sujet, prenant carrière, Lors qu’en la
Salle
des Ballets, Il parut, avec tant d’Attraits, Aux
l recevait en héritage l’Ile des Pirates, qui faisait le vide dans la
salle
et dans la caisse. Marie Taglioni, revenue de Lon
uenots. La société la plus brillante de Paris, réunie ce soir-là à la
salle
de la rue Le Peletier, accueillit, avec des trans
ion, l’étoile a beau se surpasser ; grâce aux artifices du diable, la
salle
reste de glace. Asmodée continue de combattre le
rouvée charmante ; bien plus, on s’est écrié de tous les points de la
salle
que cela valait Mlle Taglioni, et personne n’a cr
e la rampe, elle ramasse tous les désirs et tout l’enthousiasme de la
salle
? « Nous avons vu Rosita Diez, Lola et les meille
ny et au public qui applaudissait cette danse « qu’il y avait dans la
salle
, des mères, des femmes, des sœurs, des filles ».
e Mazarine, et du Jeu de Paume du Bel-Air, rue de Vaugirard, des deux
salles
du Palais-Royal et de l’hôtel de la rue Saint-Nic
mense : les acteurs sur le théâtre, les illustres spectateurs dans la
salle
, tout le monde pleurait. Mademoiselle Prevost qui
scène et improvisa un pas qui porta à son comble l’enthousiasme de la
salle
. Mademoiselle Prévost était éclipsée. *** Madem
se rehaussé d’un galon d’argent. Des bougies parfumées éclairaient la
salle
: c’était le Théâtre de Terpyschore. « Tout le
embellissement, comme on louerait de nos jours l’établissement d’une
Salle
de Spectacle bien régulière et proportionnée au d
Castor ! Et dire que l’entrée des gladiateurs avait fait fureur à la
Salle
des Machines, que le grand Dupré avait brillé dan
ue vous avez fait cinq ou six tours de fuite, il faut d’un coin de la
Salle
à l’autre, en vous regardant, vous presenter la m
lots. Il se passait alors sur le théâtre, dans les dessous et dans la
salle
, trois scènes bien diverses. Le public, surpris,
ent lieu le soir de la représentation d’adieux de leur idole… Dans la
salle
, on réclamerait la tête de Duponchel… A ce cri,
sse ou manquée. On ne pouvait les descendre ni les remonter. Toute la
salle
criait de terreur. Enfin, un machiniste se dévoua
nténor Joly venait de prendre les rênes du théâtre de la Renaissance (
salle
Ventadour où furent, depuis les Italiens) et brûl
me malgré lui, des bravos unanimes éclatent dans tous les coins de la
salle
. Je voudrais bien y voir les Péris et les fées vé
divers caractères114. Un Bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des
Salles
préparées avec grande magnificence termina cette
éunis au grand complet, pour le recevoir. On nous introduisit dans la
salle
du comité où ces messieurs nous attendaient, assi
e guinées, qu’on lui jetta sur le théâtre de toutes les parties de la
salle
. Indépendamment de l’or que renfermoient ces bour
rs dissimulèrent sous les ornements et les tentures la sobriété de la
salle
. Des ors flamboyants, des velours rutilants, des
compositeur. « — J’en suis sûr. Si vous avez beaucoup d’amis dans la
salle
qui veulent l’entreprendre, je le ferai continuer
e galvaniser le bal traditionnel en habits noirs et d’introduire à la
salle
de la rue Le Peletier la foule bariolée qui s’amu
riale de Musique, Paris, 1855, t. II, p. 189. 26. Joseph d’Arçay, la
Salle
à manger du docteur Véron, Paris, 1868, p. 103.
(Décoration théâtrale) on donne ce nom à la partie du plancher de la
salle
de l’Opéra qui est sur l’orchestre. La partie du
ue sur le théâtre en plongeant, et n’ont aucune communication avec la
salle
. La toile qui ferme le théâtre, se perd dans le c
urait aimé, sinon la clairière romantique des Sylphides, du moins une
salle
de fête seigneuriale dans un château « Empire » o
Dame n’incommode celuy auec lequel elle danse, ayant fait vn tour de
salle
sur les susdits pas, elle doit s’arrester au bout
quises à la Gaillarde, de s’en aquitter par la promenade d’vn tour de
salle
au partir des susdites reuerences, comme pratique
ns doute que cet intermède se prolongeait trop, fit irruption dans la
salle
, accompagné de deux sergents de ville. A la vue d
titre de ballet comique de la Reine. Il fut représenté dans la grande
salle
de Bourbon, par la Reine, les Princesses, les Pri
r l’expérience. Celle d’un ballet classique qui s’épanouit dans cette
salle
de bal houleuse, dans cette atmosphère fauve de p
la déclaration de guerre. C’est pourquoi je croyais humer dans cette
salle
paisible et bruyamment sympathique comme une odeu
que le dessus de sa porte cochère, le grand escalier, et sept ou huit
salles
très - vastes, étoient ornées de tableaux. Je voy
eption, point d’éloges. Les réceptions ne se faisoient point dans les
salles
du Louvre qui lui étoient destinées. L’Epée de bo
peinture, la sculpture, l’architecture et la dorure donnèrent à cette
salle
la forme, 1’élegance, la richesse et le goût. Ell
e Vienne. Le jour venu tout fut prêt. J’avais engagé un orchestre. La
salle
était décorée de fleurs. Le buffet était des plus
es personnes les plus distinguées de l’état, parut en dansant dans sa
salle
d’audience, vêtu a la grecque, en robe longue, et
vir sa vengeance. Troisième partie. La décoration représente la
salle
Royale du palais de Créon. Ce Prince est sur son
uatre dernières, à quatre cents. Il y avait, en outre : Un maître de
salle
de danse à cinq cents livres ; Un compositeur de
i, — dont le rideau relevé démasque les effrayantes profondeurs de la
salle
, — toutes ces demoiselles habillées d’un corsage
au Park-Theatre avait pour résultat de vider complètement les autres
salles
. Les directeurs détournèrent ingénieusement à leu
les remercier au Capitole de cette démarche. Quand elle entra dans la
salle
des délibérations, les députés se levèrent et cha
ttention. Très peu de membres de l’Assemblée sont présents dans cette
salle
, tandis que les autres siègent au théâtre. » La s
ilette qui, au dire du marchand, venait directement de Paris. Dans la
salle
les tons rutilants des étoffes étaient amortis, i
on — serait jetée sur la scène par les lions de la loge infernale. La
salle
était comble, les Elssléristes triomphaient bruya
lus juste. » La plus spirituelle de nos ballerines, vers 1900, était
Mlle Salles
: un feu roulant de plaisanteries, de ripostes du
au Gymnase, où, le soir de son début, le quatrain suivant courait la
salle
: Du premier rang au dernier De l’orchestre, on
vent être cachées ou voilées de même que les lampes qui éclairent les
salles
, pour que l’on puisse contempler les objets sans
nse. La durée de la représentation est de quatre heures. 125. Quelle
salle
serait assez grande pour contenir les spectateurs
félicité. Seconde partie. Le théâtre représente une magnifique
salle
d’audience du palais de Didon. Didon est placée s
fin de recommencer de l’autre pied les mesmes pas iusqu’au bout de la
salle
, où estant, il faudra faire sur le premier pas vn
s reprenant la femme par la main, la conduira iusques au milieu de la
salle
, & là s’il y a quelque personne qualifiee il
es les loges et toutes les places étoient retenues ; à cinq heures la
salle
étoit pleine, et les bureaux de distribution étoi
ur, je leur donnai des billets pour un grand concert. J’étais dans la
salle
et les observais. La femme était émerveillée de v
dats Albains. Esclaves. Acte I. La décoration représente une
salle
du palais d’Horace. Scène I. Camille, Julie.
é. L’empereur avait mis à sa disposition, dans la Hofburg, la célèbre
salle
du Manège, où ses concerts alternèrent pendant la
armonie. On l’entendait dans les théâtres, dans les églises, dans les
salles
de concert, dans les salons, sur les places publi
rejoindre, peu après, pour un moment. Nous étions dans le fond de la
salle
très peu éclairée. On répétait à l’orchestre. Tou
it ainsi garrotté. Le lendemain matin, le sieur Demeru, gardien de la
salle
, trouva Boismaison qui avait fait de vains effort
du sujet de son mandement, il fit passer l’assemblée dans une grande
Salle
préparée pour l’exécution des Entrées de Balet, q
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