/ 118
1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
senter ses opéras. Ce spectacle eût lieu pendant 90 années dans cette salle informe, et elle seroit encore aujourd’hui le Dom
des obstacles que le génie ne pouvoit surmonter. Comme il falloit une salle d’opéra et que sa construction exigeoit du tems,
ra et que sa construction exigeoit du tems, on sacrifia la magnifique salle des machines située dans une des ailes du Château
s et leur magnificence. Vous jugerez facilement de l’étendue de cette salle , lorsque vous saurez que l’on éleva un mur, qui l
arties, et que celle du théâtre fut suffisante pour l’elévation de la salle provisoire de l’opéra. On y joua le 24 Janvier 17
r et Pollux ; et le 26 Janvier 1770 on fit l’ouverture de la nouvelle salle , construite sur le même emplacement de celle qui
architecte, construisit, sur le Boulevards St. Martin, une très-belle salle d’opéra en soixante huit jours. Enfin, Madame, l’
2 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
rien pour le varier et l’embellir. Je vous dois la déscription de la salle qui existoit alors. Elle devint très-heureusement
eureusement pour les talens et les arts, la proye des flammes. Cette salle très-sale et très-ridiculement construite, étoit
porte du spectacle ressemblant parfaitement a celle d’une prison. La salle étoit basse et étroite ; les loges, séparées symé
biné ressembloit bien plus à l’antre ténébreux des Sybilles, qu’à une salle d’opéra. Le tout étoit éclairé par deux petits lu
té lugubre. La partie du théâtre étoit proportionnée au rétréci de la salle . L’avant-scène, ou le Proscenium répondait à tout
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
Observations sur la construction d’une salle d’opéra. LA quantité de salles de spectacles d
servations sur la construction d’une salle d’opéra. LA quantité de salles de spectacles détruites depuis 20 années par les
u rétréci du local, les grands effets de leur art ; on sentira qu’une salle construite et placée comme est celle de l’opéra,
nent les jouissances. Si l’on me consultoit sur la construction d’une salle de spectacle, je conseillerois dabord de ne point
un dont les défauts ne surpassent les beautés. La construction d’une salle d’opéra est bien différente de celle d’une salle
a construction d’une salle d’opéra est bien différente de celle d’une salle de comédie ; je ne parle ici que de la partie du
, mais que les cadres nous manquent ; ou qu’ils sont trop petits. Une salle de spectacle doit être exactement isolée. Il sero
de tous les chassis. Les décorations étant portées à bras soit de la salle des peintres au théatre soit du théatre an magasi
era la distribution de ce bâtiment. 2° Il faut de toute nécessité une salle pour les administrateurs précédée d’une antre piè
à tous les inconvéniens, ils doivent coucher alternativement dans la salle et faire des rondes dans la nuit. L’administratio
et autres ustensilles emmagasinés sous les deux terrasses séparant la salle du bâtiment destiné aux acteurs. Cette ouverture
ement, où à l’instant qui leur serait prescrit par l’inspecteur de la salle . Cette précaution de faire ouvrir en dehors ne do
gagnèrent, elles dévorèrent tout. Nul n’échappa à leur fureur, et la salle d’Amsterdam fut le tombeau d’un nombre prodigieux
de machines, de toiles, de cordages, et la charpente du plafond de la salle . Rien de plus facile que d’interrompre toute cont
iteroit encore les moyens que Soufflot a ingénieusement employés à la salle de Lyon. Il y existe un espèce de rideau de tôle
sifs de l’avant-scène ; de sorte qu’à la moindre apparence de feu, la salle et le théâtre se trouvent, pour ainsi dire séparé
ment placés qu’ils voient et qu’ils entendent de quelqu’endroit de la salle où ils se trouvent. Une précaution qui n’est pas
Une précaution qui n’est pas à négliger est la forme intérieure de la salle . Les acteurs dans toutes les circonstances, ne do
fait avec beaucoup de peine, de confusion et d’imprécision : mais ces salles m’ont toujours parues trop grandes et pour le pub
oportion avec les décorations ; il est à présumer par l’immensité des salles d’Italie, qu’elles ont été construites par des pe
yoit indispensable), deux corps avancés. Je dois répéter que ces deux salles sont indispensables à l’œconomie, à la tranquilli
ourroit paroître neuf. On s’en est servi avec succès dans la nouvelle salle que l’on a construite à Londres. Au reste, je sou
; un orchestre et un amphithéâtre élevés à l’autre extrémité de cette salle seroient susceptibles d’un beau décore. Ces deux
surance de tout ce qui tient au goût, à la commodité, à la sûreté des salles de spectacles. C’est au talent de l’artiste à tir
ût ne pardonneront point à Louis l’architecte d’avoir construit trois salles de spectacles, dont la dernière est aussi remplie
sent y agir sans peine et sans confusion. 2°. Quant à la partie de la salle destinée pour le public, elle doit être assez spa
des dangers aux quels les citoyens sont journellement exposés dans la salle existante, ordonnera enfin la construction d’un é
es grands talens.   Ce que je viens de dire sur la construction d’une salle d’opéra, est environné d’un nuage, que le génie d
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
re 1715, les Bals publics furent permis trois fois la semaine dans la salle de l’Opéra. Les Directeurs firent faire une Machi
quelle on élevait le parterre et l’orchestre au niveau du théâtre. La Salle fut ornée de Lustres, d’un Cabinet de glaces dans
que j’ai vu durer encore, on poussa l’enthousiasme jusqu’à trouver la salle belle, commode, et digne en tout du goût, de l’in
on sait qu’il n’est plus du bon air d’y danser. Les deux côtés de la salle sont occupés par quelques Masques obscurs, qui su
siècle de Louis XIV107, sut bien changer une cour irrégulière, en une salle de Bal la plus magnifique qu’on eut vue encore en
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
’un des deux interlocuteurs prit la petite chose et l’emporta dans la salle de danse. C’était un drôle de petit paquet humain
es, vous dis-je. A ce moment une femme accourut de l’autre bout de la salle de bal. Elle poussa un cri, et s’empara de l’enfa
oirée. Elle roucoula, rit, agita ses menottes et circula par toute la salle jusqu’à ce que le dernier des danseurs fût parti.
gement avec le propriétaire de l’unique taverne de l’endroit. Dans la salle commune il y avait un grand poêle de fonte. C’éta
que c’était le seul cabaret de l’endroit, et, comme nous occupions la salle de débit, nous avions imposé un rude sacrifice au
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
, Mais, toutefois, je n’entrai pas ; D’une parole assez humaine, » La Salle (me dit-on) est pleine » Vous gagneriez peu de pa
e crédit, En s’approchant de moi me dit D’une manière spécieuse, » La Salle est si peu spacieuse, » Que je puis vous faire se
7 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 décembre. Grands mots, petites danses. »
s-perle de Braque et des savantes rondeurs des Maillol ! Dans la même salle , Mlle Isabel d’Etchessary a présenté la Danse pol
, de ce rayonnement du corps qui fait qu’une grande danseuse tient la salle avant d’avoir esquissé le moindre pas. Une Pawlov
ux péplums duncaniens, mentionnons Vicente Escudero, qui a dansé à la Salle Gaveau des danses de son pays. Très belle, la dan
8 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
sieurs girandoles en cire le long des murs des deux rampes. La grande salle n’avait point de pièce qui la précédât : on const
it point de pièce qui la précédât : on construisit une antichambre ou salle des gardes, de plain-pied à la grande salle ; on
ruisit une antichambre ou salle des gardes, de plain-pied à la grande salle  ; on la prit sur la cour, et le dessous forma par
forma par cet ordre un péristyle au rez-de-chaussée de la cour. Cette salle des gardes était construite d’une solide charpent
solide charpente et maçonnerie, elle procurait une entrée à la grande salle par son milieu ; et loin de gâter la symétrie et
cour, elle la rendait plus régulière. Les sept fenêtres de la grande salle furent garnies de grandes croisées neuves à grand
t à deux battants, avec des espagnolettes bronzées. Le pourtour de la salle était décoré d’un lambris d’appui : les cadres et
s. Les murs, trumeaux, embrasements et plafonds des croisées de cette salle , ainsi que le pourtour des tableaux, étaient reco
t toutes les ferrures des portes et des croisées étaient bronzées. La salle était garnie de banquettes cramoisi : sur la chem
de girandoles disposées avec symétrie. Dans la longueur de la grande salle pendaient quatorze beaux lustres de forts cristau
latives entre eux, et d’une symétrie fort élégante. Dans cette grande salle était dressé, dans l’angle à côté de la cheminée,
ornées de belles et grandes figures de bronze doré. Le plancher de la salle était couvert de tapis de Turquie, et d’un double
is que l’on dressât avant son arrivée, était placée dans cette grande salle . Elle avait trente pieds de longueur sur huit pie
-du-corps en haie et sous les armes. Elle fut conduite dans la grande salle en passant par la salle des gardes, et de-là dans
s les armes. Elle fut conduite dans la grande salle en passant par la salle des gardes, et de-là dans son appartement, dont l
Les prévôts des marchands et échevins s’étaient tenus dans la grande salle  ; le Roi ordonna de les faire entrer, et M. le go
était servie. Le Roi sortit de son appartement, passa dans la grande salle , et se mit à table. Pendant le festin, l’ode qui
n et ses saillies. Tout le pourtour de cette fontaine qui formait une salle de lumières, et les poteaux, étaient illuminés pa
nseigneur le Dauphin, Madame la Dauphine, et Mesdames, dans la grande salle , et de-là à l’appartement du Roi, où ils eurent l
fort satisfait, vit tirer ce feu à la croisée du milieu de la grande salle  ; les deux croisées à côté étaient distinguées et
lustrade dorée : elle était couverte, ainsi que toute l’étendue de la salle , d’un tapis. Il y avait un dais au-dessus de ladi
de sur des banquettes. Après le feu, leurs Majestés passèrent dans la salle des gouverneurs, qui avait été décorée en salle d
tés passèrent dans la salle des gouverneurs, qui avait été décorée en salle de concert. On y exécuta une ode sur le retour de
t la musique. Pendant le concert, on avait ôté l’estrade de la grande salle et les tapis, pour dresser la table. Le Roi, aprè
ermeil. M. le prévôt des marchands eut l’honneur de servir le Roi. La salle était remplie de personnes de la première considé
omme de la chambre de M. le duc de Gesvres. La décoration de la grand salle était telle. Etant d’usage d’appuyer les plancher
es, les ornements redorés, ainsi que les draperies des figures. Cette salle , à laquelle la décoration donnait la forme d’une
buffet de la ville était dressé dès le matin dans la partie de cette salle , auprès de la cheminée du côté de la chambre du R
tablement supérieur, au-dessus de la croisée du milieu de la nouvelle salle des gardes : au-dessous de cette couronne étaient
de-ville était entièrement illuminé, ainsi que le comble de la grande salle . Leurs Majestés regardèrent quelque temps cette i
rs divers caractères3. Un bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des salles préparées avec grande magnificence, termina cette
itre de Ballet comique de la reine ; il fut représenté dans la grande salle de Bourbon par la reine, les princesses, les prin
dans le grand manège la plus belle, la plus élégante, la plus commode salle de spectacle, dont la France eût encore joui. Le
e qui le bordait, de la plus élégante richesse, et la découpure de la salle , d’une adresse assez singulière, pour que le Roi
it sans doute le projet honorable de M. le maréchal de Richelieu. Une salle de théâtre une fois élevée le suppose. La fête du
l’impossibilité d’une pareille entreprise pour l’avenir. La nouvelle salle de spectacle, construite avec la rapidité la plus
n essor inattendu de mécanique, se métamorphosait à la volonté en une salle étendue et magnifique de bal. Peu de moments aprè
x nuits les plus sombres tous les charmes des plus beaux jours. Voyez Salle de spectacle [Article non rédigé], Illumination [
de louange, furent, 1°. celle qui d’un coup d’œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique salle de bal : 2°.
n coup d’œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique salle de bal : 2°. celle qui servit aux travaux et à la
e Paris, donné dans son hôtel la nuit du 30 Août 1739. Trois grandes salles dans lesquelles on dansa, avaient été préparées a
ages, qui contribuaient à l’ingénieuse et riche décoration dont cette salle fut ornée. Pour la rendre plus magnifique et plus
ibuts relatifs à l’objet de la fête. Au fond de cette cour changée en salle de bal, on avait construit un magnifique balcon e
écelait le goût exquis qui ordonnait tous ces arrangements. La grande salle de l’Hôtel-de-ville, qui s’étend sur toute la faç
l’Hôtel-de-ville, qui s’étend sur toute la façade, servait de seconde salle  ; elle était décorée de damas jaune, enrichi de f
es et les croisées étaient disposées en estrades et en gradins, et la salle était éclairée par un grand nombre de bougies. La
la salle était éclairée par un grand nombre de bougies. La troisième salle était disposée dans celle qu’on nomme des gouvern
de lumières placées avec art. On voyait par les croisées de ces deux salles , tout ce qui se passait dans la première : c’étai
’on avait ménagée pour multiplier les plaisirs. On communiquait d’une salle à l’autre par un grand appartement éclairé avec u
un grand appartement éclairé avec un art extrême. Auprès de ces trois salles on avait dressé des buffets décorés avec beaucoup
. Les gardes de la porte et ceux de la prévôté occupaient la première salle de l’Hôtel-de-ville ; la porte de cette salle éta
occupaient la première salle de l’Hôtel-de-ville ; la porte de cette salle était gardée au-dehors par les troupes bourgeoise
s par les troupes bourgeoises. Les cent-suisses occupaient la seconde salle  ; les gardes-du-corps la troisième. Dans la quatr
érent. Après le souper de Madame la Dauphine, il y eut un bal dans la salle de spectacle ; et comme cette salle fait partie d
Dauphine, il y eut un bal dans la salle de spectacle ; et comme cette salle fait partie de l’Hôtel-de-ville, elle s’y rendit
rès avoir admiré quelque temps ce point de vue, fut conduite dans une salle où les officiers de la bouche avaient préparé sa
ste, tous les appartements bas étaient autant de cuisines, offices et salles à manger ; ainsi pour la dérober à la vue, et à t
ures dans son appartement, et changea d’habit pour aller à la foire. Salle de la foire. La foire que M. le duc d’Orléans ava
queté et élevé seulement d’une marche : ce milieu était destiné à une salle de bal ; et on n’avait rien oublié de ce qui pouv
n oublié de ce qui pouvait la rendre aussi magnifique que commode. La salle n’était séparée de ces espèces de rue que par une
près de neuf heures du soir. Alors le Roi passa sur le parquet de la salle du bal, située au milieu de la foire, et se plaça
. Les banquettes couvertes de velours cramoisi, qui entouraient cette salle , servaient de barrière aux spectateurs. La sympho
la tête de la danse ; un tambourin provençal se rangea au fond de la salle , et on commença un petit ballet, sans chant, très
Après ce chœur le Roi alla souper, et les masques s’emparèrent de la salle du bal. Ensuite on distribua à ceux qui se trouva
llée qui sépare le labyrinthe de l’île d’amour : on y avait formé une salle de spectacle de toute la largeur de l’allée, et d
e de toute la largeur de l’allée, et d’une longueur proportionnée. La salle et le théâtre étaient ornés avec autant de magnif
, cachées par de riches rideaux, parurent tout-à-coup dans toutes les salles  ; elles semblaient se multiplier, comme la multit
9 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
n statue, frappe rudement à la porte. On va ouvrir ; il entre dans la salle  ; les conviés sont épouvantés, ils prennent la fu
eur. Le bruit cesse ; les conviés, un peu rassurés reviennent dans la salle , mais la frayeur les accompagne, ce qui donne lie
10 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
aume du Bel-Air, dans la de Vaugirard. Puis, à la mort de Molière, la salle rue du Palais-Royal fut donnée aux chanteurs et a
t Myrtil et Lycoris. On continua d’y jouer jusqu’à ce que la nouvelle salle construite près de la porte Saint-Martin eût été
y ayant été assassiné, le 13 février 1820, à la sortie de l’Opéra, la salle de la rue Richelieu fut fermée, puis démolie. On
u fut fermée, puis démolie. On éleva alors dans la rue Lepeletier une salle qui est, depuis trente ans, provisoire. Ce monume
sins de l’architecte Debut, n’a pas coûté moins de trois millions. La salle de l’Opéra est simplement décorée ; elle est circ
est circulaire, mais elle a un immense avantage sur toutes les autres salles de Paris : elle est très-sonore. Nous ne sommes p
11 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
rlequin. Scene XI. Le Théâtre change, & représente une Salle des appartemens du Sultan. Des Courtisans, qui se
e des appartemens du Sultan. Des Courtisans, qui se promènent dans la salle , font entendre que le Sultan, accablé de douleur,
t du sort, & veut mourir. Scene XIII. La muraille de la Salle s’entrouvre avec fracas. Le premier Magicien para
& tout disparaît. Scene XIX. Le Théâtre représente une Salle richement ornée, éclairée par des lustres & d
nlevés dans les airs. Scene XXVI. Le Théâtre représente une Salle du Palais du Sultan. (Tout le Peuple est rassembl
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
mandaient quelque préparation… J’avais fait construire à ce sujet une salle spacieuse... un jour qu’on représentait un fort b
pacieuse... un jour qu’on représentait un fort beau Ballet dans cette salle , etc. Il dit dans ce même endroit, que lorsqu’il
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
rait bien des choses à faire et il paraît qu’on en a l’intention à la Salle Favart. Pourquoi la deuxième scène lyrique n’aura
e Mlle Alice Vronska — qui, si je ne me trompe fort, a déjà paru à la Salle Favart — avec sa grande allure de sujet classique
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
mentine étaient dans la loge royale. C’était une soirée de gala et la salle resplendissait de toilettes magnifiques et de bij
et pour la princesse Victoria de Schaumbourg-Lippe et leur suite. La salle était bondée et, pour orchestre, j’avais la socié
g-Lippe. Un soir que je dansais à La Haye, la princesse était dans la salle avec le major Winslow et d’autres personnes de sa
lissement vint me dire : — Voulez-vous, je vous prie, revenir dans la salle et faire semblant de vous laisser électriser, pou
nommer les Altesses et qu’on lui avait ordonné de me réclamer dans la salle , sous un prétexte quelconque. Elle était si déso
mbe qu’on lui avait annoncée comme devant être lancée sur lui dans la salle , bien plus que pour ma personne, mes danses et mê
contes de Fées ! Ils passèrent devant nous et s’installèrent dans la salle du fond. Le propriétaire revint bientôt vers notr
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 août 1669 »
La Gravette de Mayolas, lettre du 17 août 1669 […] Dans une Salle préparée Et de verdure diaprée, On eut, pour le c
16 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
r malheur le feu à leur peau de lin collé dessus avec de la poix ; la Salle fut aussitôt pleine de flammes, & remplie d’e
S.A.R. Monseigneur le Régent a permis d’établir un bal public dans la Salle de l’Opéra, trois fois la Semaine, pendant le cou
ur l’entrée de chaque masque, de l’un & de l’autre séxe. Comme la Salle est ornée superbement, avec une nombreuse simphon
ois, qu’ils en ont aussi obtenu un pareil, pour donner le bal dans la Salle de la Comédie Françoise, alternativement à ceux d
l dans la Salle de la Comédie Françoise, alternativement à ceux de la Salle de l’Opéra. Il est à souhaiter que cet établissem
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
en est assez : Sus, Muse, promptement passés En cette autre brillante Salle Qui fut la Salle Théâtrale. Ô le charmant Lieu qu
s, Muse, promptement passés En cette autre brillante Salle Qui fut la Salle Théâtrale. Ô le charmant Lieu que c’était ! L’Or
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
on Hôtel, en ce jour A régalé toute la Cour. Dans une grande et belle Salle , On vit par la Troupe Royale Représenter ANTIOCHU
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — Fin février : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 2 mars 1669 »
Momons de Paris Se trouvèrent à ce Régale119 Qui se fit dans la même Salle Où le TARTUFFE, en grand crédit, De plus en plus,
20 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
vingt ouvriers, et au moins trente manœuvres, pour les ouvrages de la salle et du magasin ; on leur adjoignit des peintres po
contres, huit hautbois, flûtes et bassons, un timbalier. Un maître de salle de danse, un compositeur de ballets, un dessinate
ositive à tous les comédiens français et étrangers de se servir de la salle de l’Opéra, d’employer des musiciens au-delà du n
, que Gossec avait tant de fois enrichis ; l’autre, par le luxe de sa salle , la folie de ses intrigues et les joies bruyantes
lait avoir voulu placer tout exprès l’Opéra sous sa main, faire de la salle même une dépendance de ses appartemens, et du bal
urg, en 1674, il avait été transporté au Palais-Royal. En 1763, cette salle ayant été brûlée, il s’établit aux Tuileries ; c’
son séjour aux Tuileries, on reconstruisit sur des plans nouveaux la salle du Palais-Royal ; l’Opéra en prit possession. En
ession. En 1780, le 8 juin, pendant l’opéra d’Orphée, de Glück, cette salle brûla de nouveau. La frayeur des spectateurs fut
isés dans le foyer. L’Opéra fit alors une courte halte dans la petite salle des Menus-Plaisirs ; de là il passa à la salle de
e halte dans la petite salle des Menus-Plaisirs ; de là il passa à la salle de la Porte-Saint-Martin, qui, commencée à la fin
République et des Arts fut établi rue de la Loi (Richelieu), dans la salle que le Gouvernement avait acquise de mademoiselle
vernement avait acquise de mademoiselle Montansier. Ce fut dans cette salle que le parterre fut assis : jusque-là, il s’était
ence, ou qu’un pâle rayon du siècle de Louis XV avait pénétré dans la salle , sur la scène et dans les coulisses ; c’était une
ince meurt à l’Opéra assiégé par les masques accourus pour le bal. Le salle fut fermée ; toute représentation théâtrale était
cassette royale faisait les frais. On construisit alors à la hâte la salle de la rue Lepelletier ; elle ne devait être que p
n édifice voué aux flammes, car telle est la destinée probable de ces salles d’Opéra. Les compagnies d’assurances ne veulent l
sie en redoutait l’entrée ; elle y était encore mal à l’aise : car la salle de la rue Lepelletier, que la banque elle-même n’
concourt au mouvement intellectuel de la société, en bannissant de la salle tout ce qui avait pu effaroucher les susceptibili
l’émulation des artistes ; en un mot, en faisant de l’Opéra, théâtre, salle et foyer, le centre de toutes les lumières. C’est
entures. La description qui nous a été laissée des dispositions de la salle de l’Opéra rappelait les ornemens du ballet de Gu
éra offrent un spectacle tout émaillé de ravissantes : bigarrures. La salle envahie par un public qui se confond à toutes les
par et pour le peuple, rue de la Loi ou plutôt de Richelieu, ancienne salle construite par mesdemoiselles Montansier et Bourd
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 22 avril 1662 »
rze Fleuves divers Font de mélodieux Concerts, Fut redansé dans cette Salle , Qui pour Ballets n’a point d’égale ; Lequel Ball
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
t les directeurs de tous les théâtres de New-York et leurs femmes. La salle était bondée. Les trois coups annoncèrent le leve
ut, il y eut un silence, un silence presque pénible dans cette grande salle archipleine. Chacun retenait sa respiration. Elle
une demi-heure ce fut elle — empêchée de jouer par les clameurs de la salle  — qui sembla le public. Elle regardait, — tour à
rémissant d’enthousiasme et que Sarah Bernhardt se trouverait dans la salle à son tour pour applaudir cette petite fille de l
possible ? J’entrai en scène, et regardai le public qui emplissait la salle du haut en bas. Dans ma grande robe blanche, immo
e jouait, à ma profonde, à ma délicieuse émotion, le rôle de toute la salle résumé dans son applaudissement désiré. *** Un jo
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
agréable Ballet de Flore ; Les Étrangers, les Courtisans, Qui dans la Salle était présent, Comme les Dames les plus belles, Y
24 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 décembre. Polyphème. »
dans le cadre restreint où le ballet étouffait. Car le plateau de la Salle Favart ne s’est pas mis pour les danseurs en frai
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 8 novembre 1664 »
e fin et délicat, Dont Monsieur l’Éminent Légat, Eut dans une superbe Salle À Fontainebleau le Régale ; Il la vit attentiveme
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
danse macabre. Et je revois Marie Piltz, affrontant avec sérénité une salle houleuse dont le tapage hostile couvre complèteme
ux danseurs et les danses n’agissent pas, au-delà de la rampe, sur la salle . Il y a double solution de contact. Massine a sim
27 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
un corridor j’atteignis l’estrade que l’on avait élevée au fond de la salle du bal. Il faisait terriblement sombre et la seul
e tout petit rayon qui filtrait d’un de mes projecteurs mal fermé. La salle semblait vide totalement. Je vis, quand j’eus ach
ant dans ces mêmes galeries, je rejoignis, par le petit corridor, une salle des artistes où je m’habillai avant de partir. De
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
’on ne peut le dire en Vers, Ni par le plus grand préambule, Théâtre, Salle et Vestibule ; Où la Comédie et le Bal, Et même u
29 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
autour de la scène comme un esprit ailé. Un cri soudain jaillit de la salle  : — Un papillon ! un papillon ! Je me mis à tourn
tes. Un seul bec de gaz éclairait la scène complètement vide. Dans la salle également sombre, le directeur, installé dans un
s, réaliser mes danses telles que je les avais conçues : nuit dans la salle et lumières de couleur sur la scène avec première
la scène avec première apparition baignée dans une lumière bleue. La salle était bondée et le public fut absolument enthousi
ai mon premier, mon second, mon troisième pas. Lorsque j’eus fini, la salle entière était debout. Parmi les spectateurs se tr
30 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
it de rivalité sans doute. VII Il est très-rare de voir dans la salle des familles dites honnêtes. Quand elles s’y four
intes. Mais il est des gens qui trouvent moyen de se faufiler dans la salle malgré la surveillance active des contrôleurs. Un
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
squ’à ce qu’elle fût arrivée sur le parquet. Pendant cet exercice, la salle entière se tordait, à la vue de son petit jupon d
ne belle révérence, et commençai, d’une voix qui résonna par toute la salle . Je débitai le petit poème d’un air si sérieux, q
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
orte. Elle étoit à peine entrouverte, que la Peur s’introduit dans la salle  : elle plane sur toutes les têtes, glace les espr
tant entre eux le prix du saut et celui de la course, en un moment la salle est évacuée ; Cette scène ne retrace-t-telle pas
33 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
eption bourgeoise de l’administration de l’Opéra. — Aménagement de la salle de la rue Le Peletier. — Le public. — Les livrets
. — Première représentation le 15 septembre 1834. — Physionomie de la salle . — Succès de Fanny. — Opinions de la presse. — In
34 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
me refuser le plaisir de manger avec vous ? » Il m’a conduit dans une salle immense, d’un beau style ogival, toute rehaussée
a introduit en me faisant traverser un salon encore plus grand que la salle , encore plus beau et non moins sévère. Il m’a pri
35 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
t suivant : Lorsque Taglioni, la fée aux blanches ailes, Quittait la salle aimée où pleuvaient tant de fleurs, L’insouciant
ts, elle y retrouva d’anciens amis. Dès 1838, plus d’un habitué de la salle de la rue Le Peletier avait pris la route de Mila
e avait fait, en 1850, une apparition à Paris, dans la Tempesta, à la salle Ventadour. Elle n’était alors que demi-étoile à H
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
ulpteurs, furent les modèles des Architectes dans la construction des Salles de Spectacle. Alors le talent et le génie se réun
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Nostalgie d’étoile. »
e vers son passé de danseuse pour entendre les applaudissements d’une salle qu’elle voit. Ce qui fait le charme personnel de
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
oses somptueuses ? J’aurais surtout voulu rester indéfiniment dans la salle obscure à m’abreuver de cette délicieuse et déchi
39 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
nda si je pouvais obtenir tous mes effets d’éclairage dans une simple salle , pour la séance que je voulais donner au Palais.
hitecture pour pouvoir dire dans quel style il faudrait classer cette salle , mais rien de ce que j’avais vu auparavant n’y re
du palais dans une pièce encore plus jolie, s’il est possible, que la salle dans laquelle j’avais pénétré la première fois. L
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
aisaient florès, Des Labyrinthes, des Dédales, Des Amphithéâtres, des Salles , Qui se plantaient, se bâtissaient, Et, se succéd
41 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
il a accomplis depuis qu’il dirige ce théâtre sont fabuleux. Dans une salle grande comme une commode, sur une scène profonde
eaucoup qui la trouvent fort jolie. Il est vrai que les gandins de la salle ont renoncé à lui faire la cour. Ils la voient pe
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
intre la poursuit, enjambe la rampe et se fond dans l’obscurité de la salle . On voit enfin une énorme main d’ombre se saisir
43 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
tué. Comme un ange1. Les deux amis, tout en causant, arrivent dans la salle des portraits. L’ami. Quelles sont ces femmes ?
L’habitué. N’est-ce pas ? j’en suis fou. Alice , regardant dans la salle . Tiens, voilà Alida Gambilmuche, Rosalba et Nini
44 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
nt, par l’intermédiaire de Marten Stein qui servait d’interprète. La salle s’était vidée. Nous n’étions plus que six sur la
e inconnue, comme en 1892, j’avais de nombreux amis parisiens dans la salle . Il en vint beaucoup sur la scène pour me félicit
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
à présent, transfiguré. Il nous conduisit dans une autre partie de la salle , et découvrit plusieurs plaques de quelque chose
e de chaque toile. A la fin il s’approcha de moi, puis, embrassant la salle d’un geste large, il dit : — Ce sont vos couleurs
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
00e représentation à Paris. J’étais alors au théâtre de l’Athénée. La salle entière avait été louée par les étudiants. Lorsqu
’avais là-bas de très nombreux amis. Tout à coup, dans un angle de la salle de bal, je découvris mon voisin de table. Il ne p
47 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
lle ne vienne pas aussi-tôt, il faut se transporter à l’endroit de la salle où l’on commence de danser & l’attendre, &
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
aginaires figures de danse surgir de l’orchestre ; il y avait dans la salle une main nerveuse qui se crispait de convoitise,
49 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
sch, Adèle Mérante, Biot IIe, Lecerf, Grangé, Keller, Adriana, Sacré, Salle , Testa, Moïse, Lapy, Bernay, Ottolini, Mercédès,
a main de la jeunesse Toujours de fleurs semer ses derniers pas. Mademoiselle Salle Un petit lion fauve qui lèche ses griffes au
le n’en a point manqué et que l’on a pu, depuis, voir plus d’une fois Salle comble à l’Opéra. Mademoiselle Testa L’en
monsieur. Et elle ajouta naïvement : — Est-ce que cela se voit de la salle  ? a travers les coryphées. Mademoisel
nalités féminines de la maison. Les mères des élèves sont là, dans la salle , formant un public remuant et tapageur, d’où jail
50 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
e villa avec un jardin, a installé des dortoirs, des réfectoires, une salle de danse et de gymnastique, une salle d’hydrothér
dortoirs, des réfectoires, une salle de danse et de gymnastique, une salle d’hydrothérapie, et chaque jour les enfants font
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
iblement, Et comblaient d’ardeur martiale Tous les moins hardis de la Salle . Quoi que ce ne fût qu’un ébat, Il s’y fit un for
52 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
et voilà qu’une tension nerveuse se manifeste de plus en plus dans la salle  : on attend les « fouettés ». C’est là un mouveme
53 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
e. C’est une enfant de quinze à seize ans, fille d’une ouvreuse de la salle . Elle ne vient jamais aux répétitions et elle sai
s (je m’exprime comme un véritable vaudevilliste), le dos tourné à la salle , est assis, dans un fauteuil boiteux, le régisseu
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
la poupée. Et ce dualisme du mouvement, poignant et cocasse, tient la salle en haleine. Reste enfin la foule des badauds où r
55 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VII. De la maniere de faire les bras avec les tems de Courante, & les demi coupez en arriere. » pp. 214-222
d comme de l’autre, je vous conseillerois de vous mettre au bas de la salle . Afin qu’étant expliqué si distinctement vous pui
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
; voir, Et qu’à peine, on peut concevoir. À commencer, donc, par la Salle Où ce grand Spectacle s’étale, C’est un Vaisseau
57 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
r du rideau, le théâtre représente, s’il faut en croire le livret, la salle du grand Opéra de Madrid, décorée pour un bal. Ce
irque ? — car l’Oriente n’est pas encore terminé, — ou bien encore la salle que Philippe IV avait fait élever au milieu de la
hestre jouer l’ouverture, puis la toile du fond se lève, montrant une salle garnie de spectateurs et splendidement illuminée.
ousiasme ? — Il faut dire aussi qu’Asmodée a magiquement travaillé la salle , et qu’il la gouverne suivant ses desseins. Flori
don de la rampe, elle ramasse tous les désirs et l’enthousiasme de la salle  ? Nous avons vu Rosita Diez. Lola et les meilleur
58 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
uose ? En cette fin de décembre 1836, on inaugurait rue Vivienne une salle de bal vaste et luxueuse, la salle Musard, dont B
36, on inaugurait rue Vivienne une salle de bal vaste et luxueuse, la salle Musard, dont Barthélemy se plaignait en ces terme
bénéficiaire, tous frais payés, une somme nette de 32 815 francs. Une salle en délire mêlait à ses applaudissements frénétiqu
: « La tête de Duponchel ! » La reine Marie-Amélie, qui était dans la salle , fut par hasard avertie de la chose. Elle faillit
s quelle tristesse infinie pour laquelle l’expression nous manque… La salle émue et charmée ne pouvait se lasser de l’accable
paraissaient les comiques Lepeintre jeune, Arnal, Vernet et Odry. La salle était fort brillante. Des places avaient été pris
ptre d’or de la beauté ; elle n’a qu’à paraître pour produire dans la salle un frémissement passionné plus flatteur que tous
a triomphatrice aurait pu être troublée, si elle avait aperçu dans la salle une personne dont la présence était pour elle une
bre ce ballet fut donné avec Don Juan. Quoique ce fût un dimanche, la salle était à moitié vide. C’était un insuccès notoire.
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
r Ballet] Les soins du Ministère, ses dépenses, la construction d’une Salle nouvelle dans Paris firent comprendre à la Cour e
l’intérêt plus particulier qu’il prenait à son succès notre première Salle de Spectacle un peu régulière. C’est celle où on
60 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
la première représentation de la Tempête eut lieu le 15 septembre. La salle offrait un beau coup d’œil. Un grand nombre de ch
quement représentée par Shakespeare. Un vent de malaise passe dans la salle . Les applaudissements d’Auguste restent sans écho
r un lit de repos. Le rideau se lève pour la troisième fois. Dans une salle aux ornements fantastiques la fée Alcine, c’est-à
découvrir Fanny l’Allemande sur le théâtre et pour découvrir dans la salle quelques étrangers venus de France ; pour saluer
e, des chanteurs, des décorations, des danseurs, un pas nouveau et la salle meublée à toutes ses places de ce que Paris renfe
61 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
s sonnets imprimés sur du satin, pleuvent de toutes les parties de la salle  ; ce sont des brevets d’honneur que l’amour de la
62 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
t, d’une ample manière, Sur ce Sujet, prenant carrière, Lors qu’en la Salle des Ballets, Il parut, avec tant d’Attraits, Aux
63 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
l recevait en héritage l’Ile des Pirates, qui faisait le vide dans la salle et dans la caisse. Marie Taglioni, revenue de Lon
uenots. La société la plus brillante de Paris, réunie ce soir-là à la salle de la rue Le Peletier, accueillit, avec des trans
ion, l’étoile a beau se surpasser ; grâce aux artifices du diable, la salle reste de glace. Asmodée continue de combattre le
rouvée charmante ; bien plus, on s’est écrié de tous les points de la salle que cela valait Mlle Taglioni, et personne n’a cr
e la rampe, elle ramasse tous les désirs et tout l’enthousiasme de la salle  ? « Nous avons vu Rosita Diez, Lola et les meille
ny et au public qui applaudissait cette danse « qu’il y avait dans la salle , des mères, des femmes, des sœurs, des filles ».
64 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
e Mazarine, et du Jeu de Paume du Bel-Air, rue de Vaugirard, des deux salles du Palais-Royal et de l’hôtel de la rue Saint-Nic
mense : les acteurs sur le théâtre, les illustres spectateurs dans la salle , tout le monde pleurait. Mademoiselle Prevost qui
scène et improvisa un pas qui porta à son comble l’enthousiasme de la salle . Mademoiselle Prévost était éclipsée. *** Madem
se rehaussé d’un galon d’argent. Des bougies parfumées éclairaient la salle  : c’était le Théâtre de Terpyschore. « Tout le
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
embellissement, comme on louerait de nos jours l’établissement d’une Salle de Spectacle bien régulière et proportionnée au d
66 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
Castor ! Et dire que l’entrée des gladiateurs avait fait fureur à la Salle des Machines, que le grand Dupré avait brillé dan
67 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXII. Du Menuet, & de la maniere de le danser régulierement. » pp. 84-91
ue vous avez fait cinq ou six tours de fuite, il faut d’un coin de la Salle à l’autre, en vous regardant, vous presenter la m
68 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
lots. Il se passait alors sur le théâtre, dans les dessous et dans la salle , trois scènes bien diverses. Le public, surpris,
ent lieu le soir de la représentation d’adieux de leur idole… Dans la salle , on réclamerait la tête de Duponchel… A ce cri,
sse ou manquée. On ne pouvait les descendre ni les remonter. Toute la salle criait de terreur. Enfin, un machiniste se dévoua
nténor Joly venait de prendre les rênes du théâtre de la Renaissance ( salle Ventadour où furent, depuis les Italiens) et brûl
me malgré lui, des bravos unanimes éclatent dans tous les coins de la salle . Je voudrais bien y voir les Péris et les fées vé
69 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
divers caractères114. Un Bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des Salles préparées avec grande magnificence termina cette
70 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
éunis au grand complet, pour le recevoir. On nous introduisit dans la salle du comité où ces messieurs nous attendaient, assi
71 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
e guinées, qu’on lui jetta sur le théâtre de toutes les parties de la salle . Indépendamment de l’or que renfermoient ces bour
72 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
rs dissimulèrent sous les ornements et les tentures la sobriété de la salle . Des ors flamboyants, des velours rutilants, des
compositeur. « — J’en suis sûr. Si vous avez beaucoup d’amis dans la salle qui veulent l’entreprendre, je le ferai continuer
e galvaniser le bal traditionnel en habits noirs et d’introduire à la salle de la rue Le Peletier la foule bariolée qui s’amu
riale de Musique, Paris, 1855, t. II, p. 189. 26. Joseph d’Arçay, la Salle à manger du docteur Véron, Paris, 1868, p. 103.
73 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
(Décoration théâtrale) on donne ce nom à la partie du plancher de la salle de l’Opéra qui est sur l’orchestre. La partie du
ue sur le théâtre en plongeant, et n’ont aucune communication avec la salle . La toile qui ferme le théâtre, se perd dans le c
74 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
urait aimé, sinon la clairière romantique des Sylphides, du moins une salle de fête seigneuriale dans un château « Empire » o
75 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les dames. » pp. 53-69
Dame n’incommode celuy auec lequel elle danse, ayant fait vn tour de salle sur les susdits pas, elle doit s’arrester au bout
quises à la Gaillarde, de s’en aquitter par la promenade d’vn tour de salle au partir des susdites reuerences, comme pratique
76 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
ns doute que cet intermède se prolongeait trop, fit irruption dans la salle , accompagné de deux sergents de ville. A la vue d
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
titre de ballet comique de la Reine. Il fut représenté dans la grande salle de Bourbon, par la Reine, les Princesses, les Pri
78 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
r l’expérience. Celle d’un ballet classique qui s’épanouit dans cette salle de bal houleuse, dans cette atmosphère fauve de p
79 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
la déclaration de guerre. C’est pourquoi je croyais humer dans cette salle paisible et bruyamment sympathique comme une odeu
80 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
que le dessus de sa porte cochère, le grand escalier, et sept ou huit salles très - vastes, étoient ornées de tableaux. Je voy
81 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
eption, point d’éloges. Les réceptions ne se faisoient point dans les salles du Louvre qui lui étoient destinées. L’Epée de bo
peinture, la sculpture, l’architecture et la dorure donnèrent à cette salle la forme, 1’élegance, la richesse et le goût. Ell
82 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
e Vienne. Le jour venu tout fut prêt. J’avais engagé un orchestre. La salle était décorée de fleurs. Le buffet était des plus
83 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
es personnes les plus distinguées de l’état, parut en dansant dans sa salle d’audience, vêtu a la grecque, en robe longue, et
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
vir sa vengeance. Troisième partie. La décoration représente la salle Royale du palais de Créon. Ce Prince est sur son
85 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
uatre dernières, à quatre cents. Il y avait, en outre : Un maître de salle de danse à cinq cents livres ; Un compositeur de
86 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
i, — dont le rideau relevé démasque les effrayantes profondeurs de la salle , — toutes ces demoiselles habillées d’un corsage
87 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
au Park-Theatre avait pour résultat de vider complètement les autres salles . Les directeurs détournèrent ingénieusement à leu
les remercier au Capitole de cette démarche. Quand elle entra dans la salle des délibérations, les députés se levèrent et cha
ttention. Très peu de membres de l’Assemblée sont présents dans cette salle , tandis que les autres siègent au théâtre. » La s
ilette qui, au dire du marchand, venait directement de Paris. Dans la salle les tons rutilants des étoffes étaient amortis, i
88 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
on — serait jetée sur la scène par les lions de la loge infernale. La salle était comble, les Elssléristes triomphaient bruya
lus juste. » La plus spirituelle de nos ballerines, vers 1900, était Mlle Salles  : un feu roulant de plaisanteries, de ripostes du
89 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
au Gymnase, où, le soir de son début, le quatrain suivant courait la salle  : Du premier rang au dernier De l’orchestre, on
90 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
vent être cachées ou voilées de même que les lampes qui éclairent les salles , pour que l’on puisse contempler les objets sans
91 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
nse. La durée de la représentation est de quatre heures. 125. Quelle salle serait assez grande pour contenir les spectateurs
92 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
félicité. Seconde partie. Le théâtre représente une magnifique salle d’audience du palais de Didon. Didon est placée s
93 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51
fin de recommencer de l’autre pied les mesmes pas iusqu’au bout de la salle , où estant, il faudra faire sur le premier pas vn
s reprenant la femme par la main, la conduira iusques au milieu de la salle , & là s’il y a quelque personne qualifiee il
94 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
es les loges et toutes les places étoient retenues ; à cinq heures la salle étoit pleine, et les bureaux de distribution étoi
95 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
ur, je leur donnai des billets pour un grand concert. J’étais dans la salle et les observais. La femme était émerveillée de v
96 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
dats Albains. Esclaves. Acte I. La décoration représente une salle du palais d’Horace. Scène I. Camille, Julie.
97 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
é. L’empereur avait mis à sa disposition, dans la Hofburg, la célèbre salle du Manège, où ses concerts alternèrent pendant la
armonie. On l’entendait dans les théâtres, dans les églises, dans les salles de concert, dans les salons, sur les places publi
98 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
rejoindre, peu après, pour un moment. Nous étions dans le fond de la salle très peu éclairée. On répétait à l’orchestre. Tou
99 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
it ainsi garrotté. Le lendemain matin, le sieur Demeru, gardien de la salle , trouva Boismaison qui avait fait de vains effort
100 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
du sujet de son mandement, il fit passer l’assemblée dans une grande Salle préparée pour l’exécution des Entrées de Balet, q
/ 118