de Procule, amante d’Horace. Julie , confidente de Camille. Dames
Romaines
. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi d’Albe.
. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi d’Albe. Dames et Chevaliers
Romains
. Chevaliers Albains. Prêtres et sacrificateurs.
rs Romains. Chevaliers Albains. Prêtres et sacrificateurs. Soldats
Romains
. Soldats Albains. Esclaves. Acte I. La
les qui subsistent depuis longtems entre leur république et Rome. Les
Romains
ont à leur tour nommé pour défenseurs de leurs dr
en nées. Procule qui les invite à combattre, à vaincre ou à mourir en
Romains
, leur jure que Fulvie sera le prix qu’il accorder
ner des secours. Acte II. La décoration représente le camp des
Romains
et celui des Albains. Un autel est dressé à l’end
omptitude de l’éclair, et lui passe son épée au travers du corps. Les
Romains
jusqu’alors abattus et consternés, font éclater l
privant du jour l’immole aux mânes de ses frères, et à la liberté des
Romains
, qui poussent vers le ciel des cris d’allégresse
ent leur camp, enlèvent leurs morts, et expriment leur désespoir. Les
Romains
entourent avec admiration le vainqueur. Tullus le
présente le Capitole. Scène I. Acteurs précédens. Fulvie, dames
Romaines
, Camille. Horace, précédé et suivi du peuple Roma
es vaincus forment des trophées, qui accompagnent ce char ; les dames
Romaines
s’empressent à lui offrir des lauriers. Fulvie se
et la confusion. Scène II. Les Précédens, Camille. Cette fière
Romaine
, désespérée d’un triomphe qui lui enlève son aman
re qui fait de vains efforts pour la calmer ; elle maudit Rome et les
Romains
: puis s’élançant sur son frère, avec la fureur d
elle et lui plonge son épée dans le sein. A ce spectacle horrible les
Romains
reculent épouvantés. Horace frémit lui-même, le f
ace dévoué à sa patrie, applaudit au parricide de son fils. Les dames
Romaines
sont saisies de frayeur ; Tullus oublie le servic
ur ; Tullus oublie le service important qu’Horace vient de rendre aux
Romains
; son crime en diminue le prix, il ordonne qu’on
açant tout à coup les imprécations que Camille à proférées contre les
Romains
, il s’applaudit d’avoir méconnu son sang, et d’av
ardes. On entend un grand bruit. Une foule de gardes et de chevaliers
Romains
accompagnent Procule. Ils sont éclairés par des f
e I. Le vieil Horace, Horace, Fulvie, Procule, Dames et Chevaliers
Romains
. Le peuple est impatient de voir son libérateur.
triomphateur est accompagné par Procule et Fulvie, par des chevaliers
Romains
et des dames amies de Fulvie. Le char s’arrête au
est suivi d’une danse militaire exécutée par vingt-quatre chevaliers
Romains
; autant de dames tenant à leurs mains des couron
rocule font éclater leur reconnoissance ; les chevaliers et les dames
Romaines
expriment leur admiration et par un sentiment una
Chapitre V. De quelques Danses des
Romains
Les Bacchanales, qu’originairement les Prêtres
danses de l’Amour furent le tableau de la plus effrénée licence. Les
Romains
moins délicats, et peut-être plus ardents pour le
troupes de danseurs et jusqu’aux Maîtres de Danses. Mais la jeunesse
Romaine
prit la place des baladins qu’on venait de chasse
ses crimes ; le vainqueur d’Actium, le tyran de Rome et le fléau des
Romains
dût la gloire de son règne à l’acceuil, et à la p
éclairés, et bienfaisants. Les Grecs imitèrent les Egyptiens ; et les
Romains
à leur tour prirent les Athéniens pour modèle ; i
ouement du peuple. Ce spectacle neuf qui lit tourner toutes les têtes
Romaines
éxeita chaque jour de nouvelles cabales, et c’est
ausse fut applaudie à outrance. Le public cria au miracle ; les dames
Romaines
, à qui le jeune pantomine plaisoit, s’écrioient e
r un effet de cet esprit inquiet et remuant, qui portoit toujours les
Romains
vers les extrêmes, ils commencèrent à murmurer, e
qui avoit pésé dans sa sagesse, le caractère remuant et versatile des
Romains
, prévint la tempête, et conseilla à Auguste de ra
nt que les tableaux dégoûtants de la crapule, et du libertinage ; les
Romains
perdirent leur moralité ; les grands associèrent
s associèrent leurs débauches à celles de ces bas farceurs, les dames
Romaines
, et leurs filles joüoient avec eux les scènes les
es crapuleux histrions. Les théâtres de société se multiplièrent, les
Romains
de toutes les classes ne furent plus que de plats
Chapitre III. De la Danse théâtrale des
Romains
Au moment que les Romains montrèrent du goût po
Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains Au moment que les
Romains
montrèrent du goût pour les Arts, on les vit acco
lui de la symphonie et de la Danse. Ce spectacle nouveau fut reçu des
Romains
avec la plus grande faveur. Pylade et Bathylle jo
e talent furent secondés par les récompenses : l’Art s’accrut, et les
Romains
en jouirent52. Pendant le règne de Néron, un Cyni
tude des compositions nouvelles qu’exigeait d’eux le goût éclairé des
Romains
. On croirait que j’exagère, si je ne me servais s
Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des
Romains
Au temps où les Grecs étaient plongés dans la p
et toutes ces Danses furent nommées sacrées. Il en fut ainsi chez les
Romains
, qui adoptèrent successivement tous les Dieux des
ndrait au but glorieux qu’il se proposait. Il ne se trompa point. Les
Romains
lui durent leurs premières Lois, leurs superstiti
aux Danseurs qu’ils craignaient de perdre. Devenus les Commensaux des
Romains
, mêlés dans les familles, montrant l’art et l’exe
vec personne : il ne tutoyait point de Sénateur, aucun des Chevaliers
Romains
n’était son camarade. Il fut le premier Danseur d
idolâtra les autres. À mesure que l’art baisse, le goût s’altère. Les
Romains
de la Cour d’Auguste, sans rien perdre de leur di
plus ni bienséances, ni honnêteté, ni retenue. La passion des femmes
Romaines
était si folle, qu’elles couraient, les jours où
le Spectacle. Avant lui, quelques Flûtes composaient l’Orchestre des
Romains
. Il le renforça de tous les Instruments connus. I
s. Ésope et Roscius avaient fait par leur déclamation les délices des
Romains
. La Poésie Dramatique était de leur temps en poss
é d’un fond connu) formé par le génie, et adopté avec passion par les
Romains
, fut nommé Danse Italique ; et dans les transport
n peignant les amours de Léda, avait toujours causé à plusieurs Dames
Romaines
, très respectables d’ailleurs, des distractions q
Chapitre VII. Emploi de l’Archimime dans les funérailles des
Romains
On adopta successivement à Rome toutes les céré
l agissait encore. Sa gloire se gravait dans le souvenir. La jeunesse
Romaine
, frappée de l’exemple, admirait son modèle. Les V
nt étoient des accens, qui tous avoient leurs tons et leur repos. Les
Romains
avoient dix accens dont le plus grand nombre est
nd nombre est employé dans notre orthographe. Je crois que ce que les
Romains
appelloient noter un discours, n’étoit que ce que
appelions lire correctement, étoit chanter juste. Il falloit chez les
Romains
le concours de deux personnes, pour composer une
cord avec la voix et la fortifiât. Il paroit que l’usage des orateurs
Romains
étoit d’avoir derrière eux, un joueur d’instrumen
uité, que nous sommes plus licites en instrumens que les Grecs et les
Romains
, et que notre musique est aussi savante et sans d
us sage, plus vraie et bien plus naturelle que celle des Grecs et des
Romains
et que le costume adopté par notre scène Français
La Grèce si longtemps florissante vit passer sa splendeur chez les
Romains
, avec les Arts qu’ils lui ravirent. Rome seule dè
, humains. On éleva des Théâtres. Les chefs d’œuvres des Grecs et des
Romains
qui avaient déjà servi de guide aux Peintres, aux
ncore ce nom à toutes les danses que les Egyptiens, les Grecs, et les
Romains
avaient instituées à l’honneur de leurs faux dieu
e devint parmi les Egyptiens, et successivement chez les Grecs et les
Romains
, la partie la plus considérable du culte de leurs
danses différentes étaient nommées sacrées. Il en fut ainsi chez les
Romains
, qui adoptèrent les dieux des Grecs. Numa, roi pa
tant dans Rome les fondements d’une religion ; et c’est à lui que les
Romains
doivent leurs superstitions, et peut-être leur gl
t exécutées dans la belle saison au milieu des bois. Les Grecs et les
Romains
avaient grand soin de les rendre très solennelles
nse de l’Archimime Danse de l’Archimime, dans les funérailles des
Romains
. « On adopta successivement à Rome toutes les cér
ait encore ; sa gloire se gravait dans tous les esprits ; la jeunesse
Romaine
frappée de l’exemple, admirait son modèle ; les v
. liv. II. ch. VII. [« Emploi de l’Archimime dans les funérailles des
Romains
»] (B) Danses lascives Danses lascives. On
mais bientôt par l’habitude ils la confondirent avec la licence. Les
Romains
moins délicats, et peut-être plus ardents pour le
és qui s’y introduisirent : les Grecs en firent leurs délices, et les
Romains
les adoptèrent avec une espèce de fureur, lorsqu’
ions secrètes du mariage. Les danses lascives des Grecs donnèrent aux
Romains
l’idée de celle-ci, et ils surpassèrent de beauco
ême, il ne servit qu’à rendre cet exercice plus piquant : la jeunesse
Romaine
prit la place des danseurs à gages qu’on avait ch
, Ire partie, livre I, chap. 9, « De la Danse sacrée des Grecs et des
Romains
»] Dessauteur Dessauteur, s. m. (Hist. an
les masques, le costume, la musique, et la pantomime des Grecs et des
Romains
, est rempli de contradictions, d’éloges exagérés,
rer. La déclamation fût à pou près la même chez les Grecs et chez les
Romains
; même costume, même accoutrement, mêmes masques,
nvenables au monologue. Cet essai eût un succès si prodigieux que les
Romains
l’adoptèrent pour toujours : ainsi la déclamation
argé de la gésticnlation. C’est donc à une extinction de voix que les
Romains
dûrent ce changement bizarre ; c’est ainsi que le
’Empire, il sentit les avantages que pouvait lui procurer le goût des
Romains
pour les Spectacles publics, et il fonda sur leur
avi. À mesure que Pylade et Bathylle se disputaient les suffrages des
Romains
, ceux-ci entraînés par le charme du Spectacle, le
des pantomimes furent les principales causes de l’asservissement des
Romains
. 3°. Il n’en est point qui n’accorde à Auguste la
nourriture continuelle et peu dangereuse à l’inquiétude naturelle des
Romains
. Il tenait dans sa main les mouvements secrets de
tomimes, qu’une troupe infâme prostituée sans cesse à la débauche des
Romains
; l’art, qu’un vil instrument dont se servait la
Trajan ; mais cet Empereur crut faire une action utile, en ôtant aux
Romains
un Spectacle que l’indécence avait rendu méprisab
VI. De l’origine des Bals masquez. Les Fêtes Saturnales chez les
Romains
, avoient tant de rapport à la licence de notre Ca
es lieux souterrains faits exprès pour cette solemnité. Cependant les
Romains
ne voulant pas perdre entierement l’usage de leur
nce que l’établissement de la Monarchie, & que nous le tenons des
Romains
qui ont gouverné les Gaules jusqu’à l’an 420. Mai
ce tems de réjouissance : il dit que ceux qui professent la Religion
Romaine
, ont un mois dans l’hyver où la plûpart du peuple
écrite à ma grand’mere, où il lui mandoit de rester dans la Religion
Romaine
, & que pour lui, il avoit eu des raisons d’em
de l’Europe sont encore à notre égard, ce qu’ont été les Grecs et les
Romains
. Parmi ces derniers, une espèce de tyrannie avait
qu’il avait apprises de la belle Aspasie, et Caton le plus sévère des
Romains
à l’âge de plus de soixante ans, crut devoir se f
plus grand que la foule d’Acteurs dont il était entouré. La Jeunesse
Romaine
transportée de ce coup de génie, crie au miracle.
supposait dans l’Empereur une fermeté d’autant plus louable, que les
Romains
paraissaient alors bien plus attachés à leurs Hyl
ne point donner témérairement le nom de danseur à un consul du peuple
romain
; mais pour donner quelque fondement à votre accu
si saltantes anteà nunquàm spectavit ? » Selon Æmilius Probus, les
Romains
estimoient que la danse devoit être mise au rang
conservé le caractère de son établissement chez les Grecs et chez les
Romains
. Elle a dégénéré dans les siècles suivants, et ap
enue en France une partie essentielle d’un nouveau spectacle, que les
Romains
auraient jugé digne de leur magnificence ; et qui
tacle des Danseurs de corde, à celui de sa Piéce. Il plut si fort aux
Romains
, que Capitolin l’Historien dit que le Sénat en or
-là en quelque réputation pour les spectacles publics : les Empereurs
Romains
y assistoient aussi pour se rendre plus familiers
ne de la danse Sacrée des Saliens Prêtres de Mars, instituée chez les
Romains
, que j’ai rapportée dans son lieu ; comme celle d
patrie. Virgile nous apprend aussi qu’après que les Perses & les
Romains
eurent affoibli la grandeur des Grecs, qu’ils env
i impudiques qu’indécentes, qui furent si fort au goût de la jeunesse
Romaine
, que les Maîtres de Danses établirent dans Rome p
utile à la jeunesse, que convenable au divertissement de la grandeur
Romaine
. Le Sénat lui répondit qu’il ne l’avoit fait que
stème tout à fait nouveau sur la Musique et la Danse des Grecs et des
Romains
. Il prétend que leur Chant n’était point un Chant
es mécaniques de la Musique, du Chant et de la Danse des Grecs et des
Romains
étaient évidemment pour le fond, pour les princip
, en un mot si elle n’avait pas été une vraie danse, les Grecs et les
Romains
, les plus exacts de tous les hommes dans la dénom
lui qui connaissait si bien l’antiquité, que les Grecs et surtout les
Romains
, ont porté cet Art infiniment plus loin que nous
uverai, malgré cela qu’elle n’est encore en comparaison de celles des
Romains
, que dans l’état où se trouverait un jeune homme
donné ce nom à toutes les Danses que les Égyptiens, les Grecs et les
Romains
instituèrent à l’honneur de leurs faux Dieux, à c
int, comme on le voit dans l’histoire de leurs Corybantes ; & les
Romains
les ont imitez, en faisant entrer les danses dans
: ce qui a fait dire à Cornelius-Nepos que dès le tems d’Auguste les
Romains
regardoient déja la Danse comme un art qui peut c
esse de la vie civile & l’exercice du corps. Je fais voir que les
Romains
, pour se dédommager des suppressions de ces fêtes
and contentement ; Et malgré son humeur hautaine, Quittant la gravité
Romaine
, Il rit fort aux endroits plaisants, Aussi bien q
ont écrit avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des Grecs, et des
Romains
, Peuples les plus délicats, et les plus difficile
rnes qui ont avancé que la Danse des Anciens appelée Saltatio par les
Romains
, et Orchesis par les Grecs, n’était que l’art de
de tant d’autres Pantomimes célèbres ; si la passion extrême que les
Romains
avaient pour leurs représentations alla jusqu’à p
ue j’ai rapporté plus haut, que des Peuples tels que les Grecs et les
Romains
pleuraient aux Danses Pantomimes tragiques, tout
viennent beaucoup mieux à l’imitation de la coiffure des Grecs et des
Romains
etc. que des cheveux frisés et poudrés ; En l’ann
s d’or, et que les Curiaces le füssent d’argent. Camille, cette fière
Romaine
étoit aussi élégament vétue que Cléopâtre, lorsqu
ns la représentation d’un sujet tiré, pour ainsi dire, du berceau des
Romains
. Toutes mes prières et mes bonnes raisons firent
es leçons de la nature. Eu comparant le costume actuel avec celui des
Romains
, nous toucherons aux deux extrêmes. Le résultat d
s Grecs n’ont point eu ce genre, il semble entièrement appartenir aux
Romains
. Mais ces derniers l’ont connu fort tard, et il p
à leurs jeux publics : ce qui passa en usage chez les Grecs, chez les
Romains
, & presque dans toutes les villes du monde. L
antiquité ; elles paroissent tirées de l’Aréopage & du Sénat des
Romains
. En l’an 2545 du Monde, les Magistrats faisoient
ales & Baccanales, & telles que les danses Nuptiales chez les
Romains
du tems de Tibere. Il dit encore qu’il y a trois
nné ; & le raisonnable, quand il exprime une passion modérée. Les
Romains
, à l’exemple des Anciens, avoient coutume d’aller
uement dansé de ces sortes de danses ; par rapport au respect que les
Romains
avoient encore pour la danse Sacrée, & les da
que par la corruption des danses publiques ; & l’on vit chez les
Romains
toutes les Danses vitieuses triompher de la puret
e la Religion. Le nom de Chœur est demeuré à cette partie des Eglises
Romaines
où les Prêtres chantent & font leurs cérémoni
à l’exemple des Thérapeutes, pour éviter la persécution des Empereurs
Romains
; & que les premiers Chrétiens s’assembloient
que je rapporte ici pour les abolir dans toute l’étendue de l’Eglise
Romaine
, & toutes les danses qui se faisoient sous le
des larmes qu’elles répandoient. Danse Sacrée des Saliens.L’histoire
Romaine
nous fait voir que Numa Pompilius, après avoir ét
ne nous fait voir que Numa Pompilius, après avoir été déclaré Roi des
Romains
l’an 40 de Rome, institua une danse Sacrée en l’h
regardé comme l’Inventeur de toutes les Danses, dont les Grecs et les
Romains
embellirent leurs Festins. Elles furent d’abord,
, dans les premiers ans de sa vie, d’un art qui était devenu chez les
Romains
un objet sérieux, crut devoir se livrer à cinquan
ns toute l’Antiquité. Il passa ensuite, dans toutes les conquêtes des
Romains
, et après la destruction de l’Empire, les États q
es forces, ni de l’Art, lorsqu’on a l’ambition d’exceller. Ce que les
Romains
ont vu faire à Pylade et à Bathylle peut encore ê
ue nous avons rapportée ci-dessus. Le ballet passa des Grecs chez les
Romains
, et il y servit aux mêmes usages ; les Italiens e
e la place qu’elles avaient occupée sur les théâtres des Grecs et des
Romains
; on ne les y fit plus servir que pour les interm
es Eléments, les Amours des Dieux, et peut-être les Fêtes Grecques et
Romaines
. D’où vient donc la rareté des talents dans un pa
invention. La danse de Terpsichore, du prologue des Fêtes Grecques et
Romaines
, doit être rangée aussi dans cette classe. Le P.
un agrément presqu’étranger. Voyez Intermède [Article non signé]. Les
Romains
suivirent d’abord l’exemple des Grecs jusqu’au rè
ts servirent à célébrer l’Être Suprême. Les Égyptiens, les Grecs, les
Romains
, et même les Juifs, les employèrent dans leurs ri
Grecs mêlèrent des danses à leurs tragédies et à leurs comédies ; les
Romains
imitèrent cet exemple jusqu’au temps d’Auguste, q
alité, et de l’insignifiance de leurs gestes. Une ombre costumée à la
Romaine
me tira d’embarras ; c’étoit celle de Roscius, cé
nt point des danseurs ; mais simplement des gesticulateurs : tous les
Romains
les entendoient parfaitement, parcequ’il y avoit.
et Pylade firent revivre cet art, et qu’ils l’introduisirent chez les
Romains
. Je veux croire qu’ils avoient du talent, qu’ils
ommes, qui éxercoient la profession du théatre, étoient esclaves. Les
Romains
, pour conserver à leurs esclaves, cette souplesse
J’aime à voir Auguste et Marc-Aurèle, qui sont de tous les empereurs
romains
les deux à qui il serait le plus glorieux de ress
Cléopâtre, Et quantité d’autres Humains, De Chefs guerriers, Grecs et
Romains
. Ce combat fut fait en cadence ; Et je n’ai point
e jolies femmes, qui proscrivant, la décence même, tantôt Grecques ou
Romaines
, tantôt Egyptiennes ou Circassiennes, séduisent s
, lorsque nous pouvons créer et corriger même ce que les Grecs et les
Romains
ont fait d’irrégulier ? quelle est cette manie qu
s ont placés au rang des chefs-d’œuvre les plus distingués de l’école
Romaine
. Deux célèbres peintres en miniature ont dépassé
ement. En admettant sur son Théâtre le même Art dont les Grecs et les
Romains
s’étaient si heureusement servis, n’aurait-il eu
différents emplois qu’avait remplis la Danse chez les Grecs, chez les
Romains
, et dans les derniers siècles. Vive, saillante, e
e des Barbares, qui est remplie de la plus grande sagesse. Voyant les
Romains
passionnés pour les spectacles, et entendant parl
’ils y alloient chercher, les Barbares disoient : On croiroit que les
Romains
, qui ont inventé ces plaisirs, n’ont ni femmes, n
ntées, et qui lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des
Romains
. Ce Spectacle disparut, et il se forma un grand B
tral. Il y avait donc, dans le pas des Lutteurs des Fêtes Grecques et
Romaines
que le Public a si constamment applaudi, une faut
arriva approchant la même chose. C’est aussi ce que Cléopatre ni les
Romains
n’ont jamais pû éxécuter : ce qui fait voir qu’il
la nature sans la participation de son Créateur. Ce n’est pas que les
Romains
n’ayent quelquefois réüssi dans de pareilles entr
depuis long-temps dans ses jours de décadence ». Les Grecs & les
Romains
en firent un spectacle sublime. Ces Nations ont p
a données en Europe, depuis la décadence de cet Art charmant chez les
Romains
. Avez-vous entendu parler, Monsieur, du joli Spec
Société ? Ces bagatelles étoient reçues chez les Grecs & chez les
Romains
. Le bon vieux temps n’est plus, « & l’on dit
ront sans appel, que tout ce qu’on raconte de celles des Grecs et des
Romains
n’est qu’une exagération extravagante ; et ils co
Quinault. Ce genre appartient tout à fait à la France. Les Grecs, les
Romains
n’eurent aucun Spectacle qui puisse en avoir donn
mment déplacée. Dans l’Acte des Jeux Olympiques des Fêtes Grecques et
Romaines
147, lorsque l’action commence, les Jeux sont fin
les les plus reculés, l’attention des législateurs ; les Grecs et les
Romains
, en l’introduisant dans le culte qu’ils rendaient
me tragique, Chanté, tout du long en musique, Par des Gens Toscans et
Romains
, La plupart légers de deux grains ; Et, même, par
tait l’enfance d’Hercule qui jouait avec les lions. [Voir Ballet] Les
Romains
, en adoptant le théâtre des Grecs, prirent tous l
re créèrent la tragédie et la comédie, ils profitèrent des fautes des
Romains
pour les éviter ; et ils eurent assez de génie et
poèmes. Ainsi on dit : l’entrée de Tibulle dans les Fêtes grecques et
romaines
est fort ingénieuse, c’est une des meilleures ent
51
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
n cerveau. Lorsqu’on entend un si grand nombre de personnages, Grecs,
Romains
, Tartares ou Mahométans, estropier la Langue Fran
indiquant aux Juges le volume & la page. Les Orateurs ou Avocats
romains
, dans les Causes criminelles, & lorsqu’il s’a
mais d’un certain Salius qui, le premier, avait enseigné cet Art aux
Romains
; et tous les auteurs conviennent qu’on l’exécuta
« va-nu-pieds », une « planipes », comme disaient dédaigneusement les
Romains
, à l’instar de ces mille et trois adeptes qui ont
ou pour faire remarquer leur grandeur & leurs magnificences. Les
Romains
qui se sont fait une gloire de surpasser toutes l
olies par l’Empereur Tibere, qui réforma autant qu’il put le luxe des
Romains
pendant son régne. L’Histoire remarque que dès le
tere ; ce qui lui attira l’applaudissement de l’assemblée. L’Histoire
Romaine
fait aussi mention que Caton le Censeur prit un M
x parler enfin de cette pantomime expressive, art connu, si chéri des
Romains
, et que ce peuple préférerait à tous les autres a
s fort éloignés de la perfection à laquelle les Grecs, et surtout les
Romains
, étaient parvenus. Leurs jeux mimiques avaient qu
des prix indignes de ses mains, À se donner lui-même en spectacle aux
Romains
, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [
subissent les mots d’un langage. Un « baron » avait suivi les aigles
romaines
en qualité de soldat du train ; sur cela, trois s
t vrai que les Italiens, peuple gesticulant, aient hérité des anciens
Romains
de quelques-uns de ces signes de convention, je v
toutes les grandes parties de la Tragédie et de la Comédie. Aussi les
Romains
jouissaient-ils d’un avantage qui devait rendre n
noxam exiliumque afferentes.. amandamus et expellimus . » Le concile
romain
tenu en 826, sous le pape Eugène II, se plaint, (
et de San Carlo ne se sont pas évanouies — et je ne cite pas la scène
romaine
dont se réclame Mme Leonidoff, car je crois savoi
s chantres de sa chapelle qui le suivaient ayant entendu les chantres
Romains
, trouvèrent leur façon de chanter risible, parce
t haut sans ménagement : ils chantèrent à leur tour ; et les chantres
Romains
, aussi adroits qu’eux pour le moins à saisir et à
de chant, dont il voulut être le juge ; et il prononça en faveur des
Romains
. Le P. Daniel, Hist. de Fr. tome I. p. 472. On v
ure, dans toutes leurs différentes transmigrations des Grecs chez les
Romains
, de chez les Romains dans le reste de l’Italie, e
s différentes transmigrations des Grecs chez les Romains, de chez les
Romains
dans le reste de l’Italie, et enfin dans toute l’
illé sur les épigrammes de ce Poëte, dit qu’on vit sur le Théâtre des
Romains
les personnages de Dédale, de Laureolus & d’O
vant tous les autres, comme il l’avait été autrefois des Grecs et des
Romains
. Je ne fais au reste, que copier d’un Historien92
re tant de grands hommes, et donna tant de défenseurs à la république
Romaine
; quels effets ne dut pas produire sur une nobles
des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux
Romains
, A venir prodiguer sa voix sur un théatre, etc. »
rivalisoient. en talons et en génie avec ce que les artistes Grecs et
Romains
créèrent de plus parfait, dans un instant où les
te d’Eglé dans les talens lyriques, le prologue des fêtes Grecques et
Romaines
, l’acte Turc de l’Europe galante, un acte entre a
nse ne dit que confusément, parceque nos danseurs ne sont ni Grecs ni
Romains
. J’ajouterai enfin que le programme trace la marc
l sera mon étonnement, lorsque je trouverrai dans les Grecs, dans les
Romains
, dans les Bergers, dans les Matelots, dans les je
te que la charge des traits de ce grand philosophe. Je passe chez les
Romains
: Plaute et Térence ne me parlent point des masqu
re exécution vive et brillante avec l’attirail lourd des Grecs et des
Romains
? Il est vrai, dit Lucien, que les masques des pa
uel sera mon étonnement lorsque je trouverai dans les Grecs, dans les
Romains
, dans les Bergers, dans les Matelots, dans les Je
te que la Charge des traits de ce grand Philosophe. Je passe chez les
Romains
; Plaute & Térence ne me parlent point des ma
; brillante avec l’attirail lourd & incommode des Grecs & des
Romains
. Il est vrai, dit Lucien, que les masques des Pan
personnages, qu’ils portent la tunique fourrée des Strelitz, la toge
romaine
ou l’ample robe des sénateurs vénitiens, gardent
ses rappelant celles des Victoires sculptées sur les Arcs de Triomphe
romains
. Elles semblaient se soutenir en l’air en élevant
oulant peindre une terreur tragique par des images toutes grecques et
romaines
. Elle se tient appuyée à l’autel, absorbée dans s
Eglé dans les Talents Lyriques ; le Prologue des Fêtes Grecques &
Romaines
; l’Acte Turc de l’Europe galante ; un Acte entr’
ers de la satire. Lucile le premier osa la faire voir ; Aux vices des
Romains
présenta le miroir ; Vengea l’humble vertu, de la
faite. 18. Lorsque la Danse était dans la plus grande vogue chez les
Romains
, Lucien, dans son Traité sur la Danse, a dit : «
Traité de la Danse, dialogue de Lucien. Caton, le plus sévère des
Romains
, à l’age de soixante ans, crut devoir se faire re
es seraient nuls, les spectateurs ne sachant pas ce langage. Chez les
Romains
, où l’art de la pantomime s’est soutenu avec succ
n la plus grande et la plus méritée. 6. Pylade, célèbre pantomime
romain
sous le règne d’Auguste. Esope et Roscius avaient
Esope et Roscius avaient fait, par leur déclamation, les délices des
Romains
; la poésie dramatique était de leur temps en pos
y sont exercez avec plaisir, entre autres Fabius, l’un de ces anciens
Romains
, qui au rapport de Cicéron, lorsqu’il eut goûté l
es coutumes & sur les autres choses qui étoient en usage chez les
Romains
, que celles que nous tirons des sculptures qui on
olonnes portent le nom. Ceux qui ont écrit de la Religion des anciens
Romains
, de leur maniere de camper, des simboles allégori
par Ch. de Boigne : « Auguste a débuté dans le monde par le rôle de
romain
. Grand, fort, robuste, un vrai taureau, doué d’un
c de telles mains, de tels battoirs, on ne reste pas longtemps simple
romain
. Auguste franchit rapidement les grades de claque
où la multitude se précipite sans cesse. Lorsque saint Paul écrit aux
Romains
: (c. 12, v. 2.) Ne vous conformez pas au siècle
it cette expression supérieure à toutes les autres ? Les Grecs et les
Romains
avaient une raison très puissante pour s’aider du
tent ; mais le profit est au vendeur, et la sottise à l’acheteur. Les
Romains
avoient cependant les écoles où l’on enseignoit l
es toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, imitèrent les dames
Romaines
; elles trouvèrent Marcel charmant, délicieux, di
& la sottise à l’acheteur ; c’est Ixion qui embrasse la nue. Les
Romains
avoient cependant des écoles où l’on enseignoit l
uple et superbe créature, avec une figure à pans antiques, — grecs ou
romains
, — comme l’exigeait la mode, — et une taille qui
nt. Elle épousa l’excellent comédien Lafont. L’épitaphe de la matrone
romaine
aurait pu lui servir : domum mansit, lanam feci
astoral. Il faut aussi que les danseurs costumés à la grecque ou à la
romaine
, dansent différemment lorsqu’ils portent un habit
l’Orient, par leur communications avec les Grecs, l’ont transmise aux
Romains
, qui l’ont perfectionnée et transmise à leur tour
omme d’un heureux présage pour l’avenir ; on la comparait à l’édilité
romaine
, qui confiait aux magistrats de la ville le soin
te de convention que d’exactitude : c’étaient encore des Grecs et des
Romains
à la façon de ceux de Racine et de David. La bouf
, qui traite des préceptes du décalogue. (tom. 2, pag. 185 du chiffre
romain
.) Le père Alexandre, célèbre jacobin, dans sa thé
ositions conciliantes du gouvernement pontifical, de jeunes seigneurs
romains
s’avisèrent de consulter Pie IX au sujet d’un cad
ent les âmes au moment où il fallait les vertus héroïques des anciens
Romains
. Carducci lançait contre elle des imprécations et
nt toutes de la loi de Moïse ; et les réjouissances ou solennités des
Romains
, tenaient également à la religion et à la politiq
dre, les entrées des conquérants, les superbes retours des vainqueurs
romains
dans la capitale du monde, sont répandus dans tou
ntées, et qui lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des
Romains
. Ce spectacle disparut, et il se forma un grand b
des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux
Romains
. On ne s’attachera point à rapporter les fêtes s
nt surintendant de celle du Roi, auteur célèbre des Fêtes grecques et
romaines
: 3°. les cataractes du Nil et le débordement [vo
let. Balet de Chantilly. Renauld. Pirithoüs. Les Fêtes Grecques &
Romaines
. Mais outre ces Balets, qui se représentent ordi
va que la danse proprement dite étoit un art inconnu des Grecs et des
Romains
, et que je l’avois confondu avec la pantomime qui
sur la voie publique ; elle achète des morceaux de vieilles marmites
romaines
; elle fait un herbier de pissenlits et de tiges
les souffrances d’un sexagénaire amoureux, les comparait aux Elégies
romaines
de Gœthe. « Il faut, disait-il, les lire et les h
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