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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
de Procule, amante d’Horace. Julie , confidente de Camille. Dames Romaines . Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi d’Albe.
. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi d’Albe. Dames et Chevaliers Romains . Chevaliers Albains. Prêtres et sacrificateurs.
rs Romains. Chevaliers Albains. Prêtres et sacrificateurs. Soldats Romains . Soldats Albains. Esclaves. Acte I. La
les qui subsistent depuis longtems entre leur république et Rome. Les Romains ont à leur tour nommé pour défenseurs de leurs dr
en nées. Procule qui les invite à combattre, à vaincre ou à mourir en Romains , leur jure que Fulvie sera le prix qu’il accorder
ner des secours. Acte II. La décoration représente le camp des Romains et celui des Albains. Un autel est dressé à l’end
omptitude de l’éclair, et lui passe son épée au travers du corps. Les Romains jusqu’alors abattus et consternés, font éclater l
privant du jour l’immole aux mânes de ses frères, et à la liberté des Romains , qui poussent vers le ciel des cris d’allégresse
ent leur camp, enlèvent leurs morts, et expriment leur désespoir. Les Romains entourent avec admiration le vainqueur. Tullus le
présente le Capitole. Scène I. Acteurs précédens. Fulvie, dames Romaines , Camille. Horace, précédé et suivi du peuple Roma
es vaincus forment des trophées, qui accompagnent ce char ; les dames Romaines s’empressent à lui offrir des lauriers. Fulvie se
et la confusion. Scène II. Les Précédens, Camille. Cette fière Romaine , désespérée d’un triomphe qui lui enlève son aman
re qui fait de vains efforts pour la calmer ; elle maudit Rome et les Romains  : puis s’élançant sur son frère, avec la fureur d
elle et lui plonge son épée dans le sein. A ce spectacle horrible les Romains reculent épouvantés. Horace frémit lui-même, le f
ace dévoué à sa patrie, applaudit au parricide de son fils. Les dames Romaines sont saisies de frayeur ; Tullus oublie le servic
ur ; Tullus oublie le service important qu’Horace vient de rendre aux Romains  ; son crime en diminue le prix, il ordonne qu’on
açant tout à coup les imprécations que Camille à proférées contre les Romains , il s’applaudit d’avoir méconnu son sang, et d’av
ardes. On entend un grand bruit. Une foule de gardes et de chevaliers Romains accompagnent Procule. Ils sont éclairés par des f
e I. Le vieil Horace, Horace, Fulvie, Procule, Dames et Chevaliers Romains . Le peuple est impatient de voir son libérateur.
triomphateur est accompagné par Procule et Fulvie, par des chevaliers Romains et des dames amies de Fulvie. Le char s’arrête au
est suivi d’une danse militaire exécutée par vingt-quatre chevaliers Romains  ; autant de dames tenant à leurs mains des couron
rocule font éclater leur reconnoissance ; les chevaliers et les dames Romaines expriment leur admiration et par un sentiment una
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre V. De quelques Danses des Romains »
Chapitre V. De quelques Danses des Romains Les Bacchanales, qu’originairement les Prêtres
danses de l’Amour furent le tableau de la plus effrénée licence. Les Romains moins délicats, et peut-être plus ardents pour le
troupes de danseurs et jusqu’aux Maîtres de Danses. Mais la jeunesse Romaine prit la place des baladins qu’on venait de chasse
3 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
ses crimes ; le vainqueur d’Actium, le tyran de Rome et le fléau des Romains dût la gloire de son règne à l’acceuil, et à la p
éclairés, et bienfaisants. Les Grecs imitèrent les Egyptiens ; et les Romains à leur tour prirent les Athéniens pour modèle ; i
ouement du peuple. Ce spectacle neuf qui lit tourner toutes les têtes Romaines éxeita chaque jour de nouvelles cabales, et c’est
ausse fut applaudie à outrance. Le public cria au miracle ; les dames Romaines , à qui le jeune pantomine plaisoit, s’écrioient e
r un effet de cet esprit inquiet et remuant, qui portoit toujours les Romains vers les extrêmes, ils commencèrent à murmurer, e
qui avoit pésé dans sa sagesse, le caractère remuant et versatile des Romains , prévint la tempête, et conseilla à Auguste de ra
nt que les tableaux dégoûtants de la crapule, et du libertinage ; les Romains perdirent leur moralité ; les grands associèrent
s associèrent leurs débauches à celles de ces bas farceurs, les dames Romaines , et leurs filles joüoient avec eux les scènes les
es crapuleux histrions. Les théâtres de société se multiplièrent, les Romains de toutes les classes ne furent plus que de plats
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains Au moment que les Romains montrèrent du goût po
Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains Au moment que les Romains montrèrent du goût pour les Arts, on les vit acco
lui de la symphonie et de la Danse. Ce spectacle nouveau fut reçu des Romains avec la plus grande faveur. Pylade et Bathylle jo
e talent furent secondés par les récompenses : l’Art s’accrut, et les Romains en jouirent52. Pendant le règne de Néron, un Cyni
tude des compositions nouvelles qu’exigeait d’eux le goût éclairé des Romains . On croirait que j’exagère, si je ne me servais s
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains Au temps où les Grecs étaient plongés dans la p
et toutes ces Danses furent nommées sacrées. Il en fut ainsi chez les Romains , qui adoptèrent successivement tous les Dieux des
ndrait au but glorieux qu’il se proposait. Il ne se trompa point. Les Romains lui durent leurs premières Lois, leurs superstiti
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
aux Danseurs qu’ils craignaient de perdre. Devenus les Commensaux des Romains , mêlés dans les familles, montrant l’art et l’exe
vec personne : il ne tutoyait point de Sénateur, aucun des Chevaliers Romains n’était son camarade. Il fut le premier Danseur d
idolâtra les autres. À mesure que l’art baisse, le goût s’altère. Les Romains de la Cour d’Auguste, sans rien perdre de leur di
plus ni bienséances, ni honnêteté, ni retenue. La passion des femmes Romaines était si folle, qu’elles couraient, les jours où
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
le Spectacle. Avant lui, quelques Flûtes composaient l’Orchestre des Romains . Il le renforça de tous les Instruments connus. I
s. Ésope et Roscius avaient fait par leur déclamation les délices des Romains . La Poésie Dramatique était de leur temps en poss
é d’un fond connu) formé par le génie, et adopté avec passion par les Romains , fut nommé Danse Italique ; et dans les transport
n peignant les amours de Léda, avait toujours causé à plusieurs Dames Romaines , très respectables d’ailleurs, des distractions q
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VII. Emploi de l’Archimime dans les funérailles des Romains »
Chapitre VII. Emploi de l’Archimime dans les funérailles des Romains On adopta successivement à Rome toutes les céré
l agissait encore. Sa gloire se gravait dans le souvenir. La jeunesse Romaine , frappée de l’exemple, admirait son modèle. Les V
9 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
nt étoient des accens, qui tous avoient leurs tons et leur repos. Les Romains avoient dix accens dont le plus grand nombre est
nd nombre est employé dans notre orthographe. Je crois que ce que les Romains appelloient noter un discours, n’étoit que ce que
appelions lire correctement, étoit chanter juste. Il falloit chez les Romains le concours de deux personnes, pour composer une
cord avec la voix et la fortifiât. Il paroit que l’usage des orateurs Romains étoit d’avoir derrière eux, un joueur d’instrumen
uité, que nous sommes plus licites en instrumens que les Grecs et les Romains , et que notre musique est aussi savante et sans d
us sage, plus vraie et bien plus naturelle que celle des Grecs et des Romains et que le costume adopté par notre scène Français
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
La Grèce si longtemps florissante vit passer sa splendeur chez les Romains , avec les Arts qu’ils lui ravirent. Rome seule dè
, humains. On éleva des Théâtres. Les chefs d’œuvres des Grecs et des Romains qui avaient déjà servi de guide aux Peintres, aux
11 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ncore ce nom à toutes les danses que les Egyptiens, les Grecs, et les Romains avaient instituées à l’honneur de leurs faux dieu
e devint parmi les Egyptiens, et successivement chez les Grecs et les Romains , la partie la plus considérable du culte de leurs
danses différentes étaient nommées sacrées. Il en fut ainsi chez les Romains , qui adoptèrent les dieux des Grecs. Numa, roi pa
tant dans Rome les fondements d’une religion ; et c’est à lui que les Romains doivent leurs superstitions, et peut-être leur gl
t exécutées dans la belle saison au milieu des bois. Les Grecs et les Romains avaient grand soin de les rendre très solennelles
nse de l’Archimime Danse de l’Archimime, dans les funérailles des Romains . « On adopta successivement à Rome toutes les cér
ait encore ; sa gloire se gravait dans tous les esprits ; la jeunesse Romaine frappée de l’exemple, admirait son modèle ; les v
. liv. II. ch. VII. [« Emploi de l’Archimime dans les funérailles des Romains  »] (B) Danses lascives Danses lascives. On
mais bientôt par l’habitude ils la confondirent avec la licence. Les Romains moins délicats, et peut-être plus ardents pour le
és qui s’y introduisirent : les Grecs en firent leurs délices, et les Romains les adoptèrent avec une espèce de fureur, lorsqu’
ions secrètes du mariage. Les danses lascives des Grecs donnèrent aux Romains l’idée de celle-ci, et ils surpassèrent de beauco
ême, il ne servit qu’à rendre cet exercice plus piquant : la jeunesse Romaine prit la place des danseurs à gages qu’on avait ch
, Ire partie, livre I, chap. 9, « De la Danse sacrée des Grecs et des Romains  »] Dessauteur Dessauteur, s. m. (Hist. an
12 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
les masques, le costume, la musique, et la pantomime des Grecs et des Romains , est rempli de contradictions, d’éloges exagérés,
rer. La déclamation fût à pou près la même chez les Grecs et chez les Romains  ; même costume, même accoutrement, mêmes masques,
nvenables au monologue. Cet essai eût un succès si prodigieux que les Romains l’adoptèrent pour toujours : ainsi la déclamation
argé de la gésticnlation. C’est donc à une extinction de voix que les Romains dûrent ce changement bizarre ; c’est ainsi que le
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
’Empire, il sentit les avantages que pouvait lui procurer le goût des Romains pour les Spectacles publics, et il fonda sur leur
avi. À mesure que Pylade et Bathylle se disputaient les suffrages des Romains , ceux-ci entraînés par le charme du Spectacle, le
des pantomimes furent les principales causes de l’asservissement des Romains . 3°. Il n’en est point qui n’accorde à Auguste la
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
nourriture continuelle et peu dangereuse à l’inquiétude naturelle des Romains . Il tenait dans sa main les mouvements secrets de
tomimes, qu’une troupe infâme prostituée sans cesse à la débauche des Romains  ; l’art, qu’un vil instrument dont se servait la
Trajan ; mais cet Empereur crut faire une action utile, en ôtant aux Romains un Spectacle que l’indécence avait rendu méprisab
15 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
VI. De l’origine des Bals masquez. Les Fêtes Saturnales chez les Romains , avoient tant de rapport à la licence de notre Ca
es lieux souterrains faits exprès pour cette solemnité. Cependant les Romains ne voulant pas perdre entierement l’usage de leur
nce que l’établissement de la Monarchie, & que nous le tenons des Romains qui ont gouverné les Gaules jusqu’à l’an 420. Mai
ce tems de réjouissance : il dit que ceux qui professent la Religion Romaine , ont un mois dans l’hyver où la plûpart du peuple
écrite à ma grand’mere, où il lui mandoit de rester dans la Religion Romaine , & que pour lui, il avoit eu des raisons d’em
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
de l’Europe sont encore à notre égard, ce qu’ont été les Grecs et les Romains . Parmi ces derniers, une espèce de tyrannie avait
qu’il avait apprises de la belle Aspasie, et Caton le plus sévère des Romains à l’âge de plus de soixante ans, crut devoir se f
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
plus grand que la foule d’Acteurs dont il était entouré. La Jeunesse Romaine transportée de ce coup de génie, crie au miracle.
supposait dans l’Empereur une fermeté d’autant plus louable, que les Romains paraissaient alors bien plus attachés à leurs Hyl
18 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
ne point donner témérairement le nom de danseur à un consul du peuple romain  ; mais pour donner quelque fondement à votre accu
si saltantes anteà nunquàm spectavit ?  » Selon Æmilius Probus, les Romains estimoient que la danse devoit être mise au rang
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
conservé le caractère de son établissement chez les Grecs et chez les Romains . Elle a dégénéré dans les siècles suivants, et ap
enue en France une partie essentielle d’un nouveau spectacle, que les Romains auraient jugé digne de leur magnificence ; et qui
20 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
tacle des Danseurs de corde, à celui de sa Piéce. Il plut si fort aux Romains , que Capitolin l’Historien dit que le Sénat en or
-là en quelque réputation pour les spectacles publics : les Empereurs Romains y assistoient aussi pour se rendre plus familiers
ne de la danse Sacrée des Saliens Prêtres de Mars, instituée chez les Romains , que j’ai rapportée dans son lieu ; comme celle d
patrie. Virgile nous apprend aussi qu’après que les Perses & les Romains eurent affoibli la grandeur des Grecs, qu’ils env
i impudiques qu’indécentes, qui furent si fort au goût de la jeunesse Romaine , que les Maîtres de Danses établirent dans Rome p
utile à la jeunesse, que convenable au divertissement de la grandeur Romaine . Le Sénat lui répondit qu’il ne l’avoit fait que
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
stème tout à fait nouveau sur la Musique et la Danse des Grecs et des Romains . Il prétend que leur Chant n’était point un Chant
es mécaniques de la Musique, du Chant et de la Danse des Grecs et des Romains étaient évidemment pour le fond, pour les princip
, en un mot si elle n’avait pas été une vraie danse, les Grecs et les Romains , les plus exacts de tous les hommes dans la dénom
lui qui connaissait si bien l’antiquité, que les Grecs et surtout les Romains , ont porté cet Art infiniment plus loin que nous 
uverai, malgré cela qu’elle n’est encore en comparaison de celles des Romains , que dans l’état où se trouverait un jeune homme
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
donné ce nom à toutes les Danses que les Égyptiens, les Grecs et les Romains instituèrent à l’honneur de leurs faux Dieux, à c
23 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
int, comme on le voit dans l’histoire de leurs Corybantes ; & les Romains les ont imitez, en faisant entrer les danses dans
 : ce qui a fait dire à Cornelius-Nepos que dès le tems d’Auguste les Romains regardoient déja la Danse comme un art qui peut c
esse de la vie civile & l’exercice du corps. Je fais voir que les Romains , pour se dédommager des suppressions de ces fêtes
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 8 novembre 1664 »
and contentement ; Et malgré son humeur hautaine, Quittant la gravité Romaine , Il rit fort aux endroits plaisants, Aussi bien q
25 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
ont écrit avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des Grecs, et des Romains , Peuples les plus délicats, et les plus difficile
rnes qui ont avancé que la Danse des Anciens appelée Saltatio par les Romains , et Orchesis par les Grecs, n’était que l’art de
de tant d’autres Pantomimes célèbres ; si la passion extrême que les Romains avaient pour leurs représentations alla jusqu’à p
ue j’ai rapporté plus haut, que des Peuples tels que les Grecs et les Romains pleuraient aux Danses Pantomimes tragiques, tout
26 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
viennent beaucoup mieux à l’imitation de la coiffure des Grecs et des Romains etc. que des cheveux frisés et poudrés ; En l’ann
s d’or, et que les Curiaces le füssent d’argent. Camille, cette fière Romaine étoit aussi élégament vétue que Cléopâtre, lorsqu
ns la représentation d’un sujet tiré, pour ainsi dire, du berceau des Romains . Toutes mes prières et mes bonnes raisons firent
es leçons de la nature. Eu comparant le costume actuel avec celui des Romains , nous toucherons aux deux extrêmes. Le résultat d
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
s Grecs n’ont point eu ce genre, il semble entièrement appartenir aux Romains . Mais ces derniers l’ont connu fort tard, et il p
28 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
à leurs jeux publics : ce qui passa en usage chez les Grecs, chez les Romains , & presque dans toutes les villes du monde. L
antiquité ; elles paroissent tirées de l’Aréopage & du Sénat des Romains . En l’an 2545 du Monde, les Magistrats faisoient
ales & Baccanales, & telles que les danses Nuptiales chez les Romains du tems de Tibere. Il dit encore qu’il y a trois
nné ; & le raisonnable, quand il exprime une passion modérée. Les Romains , à l’exemple des Anciens, avoient coutume d’aller
uement dansé de ces sortes de danses ; par rapport au respect que les Romains avoient encore pour la danse Sacrée, & les da
que par la corruption des danses publiques ; & l’on vit chez les Romains toutes les Danses vitieuses triompher de la puret
29 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
e la Religion. Le nom de Chœur est demeuré à cette partie des Eglises Romaines où les Prêtres chantent & font leurs cérémoni
à l’exemple des Thérapeutes, pour éviter la persécution des Empereurs Romains  ; & que les premiers Chrétiens s’assembloient
que je rapporte ici pour les abolir dans toute l’étendue de l’Eglise Romaine , & toutes les danses qui se faisoient sous le
des larmes qu’elles répandoient. Danse Sacrée des Saliens.L’histoire Romaine nous fait voir que Numa Pompilius, après avoir ét
ne nous fait voir que Numa Pompilius, après avoir été déclaré Roi des Romains l’an 40 de Rome, institua une danse Sacrée en l’h
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
regardé comme l’Inventeur de toutes les Danses, dont les Grecs et les Romains embellirent leurs Festins. Elles furent d’abord,
, dans les premiers ans de sa vie, d’un art qui était devenu chez les Romains un objet sérieux, crut devoir se livrer à cinquan
ns toute l’Antiquité. Il passa ensuite, dans toutes les conquêtes des Romains , et après la destruction de l’Empire, les États q
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
es forces, ni de l’Art, lorsqu’on a l’ambition d’exceller. Ce que les Romains ont vu faire à Pylade et à Bathylle peut encore ê
32 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
ue nous avons rapportée ci-dessus. Le ballet passa des Grecs chez les Romains , et il y servit aux mêmes usages ; les Italiens e
e la place qu’elles avaient occupée sur les théâtres des Grecs et des Romains  ; on ne les y fit plus servir que pour les interm
es Eléments, les Amours des Dieux, et peut-être les Fêtes Grecques et Romaines . D’où vient donc la rareté des talents dans un pa
invention. La danse de Terpsichore, du prologue des Fêtes Grecques et Romaines , doit être rangée aussi dans cette classe. Le P.
un agrément presqu’étranger. Voyez Intermède [Article non signé]. Les Romains suivirent d’abord l’exemple des Grecs jusqu’au rè
33 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
ts servirent à célébrer l’Être Suprême. Les Égyptiens, les Grecs, les Romains , et même les Juifs, les employèrent dans leurs ri
Grecs mêlèrent des danses à leurs tragédies et à leurs comédies ; les Romains imitèrent cet exemple jusqu’au temps d’Auguste, q
34 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
alité, et de l’insignifiance de leurs gestes. Une ombre costumée à la Romaine me tira d’embarras ; c’étoit celle de Roscius, cé
nt point des danseurs ; mais simplement des gesticulateurs : tous les Romains les entendoient parfaitement, parcequ’il y avoit.
35 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
et Pylade firent revivre cet art, et qu’ils l’introduisirent chez les Romains . Je veux croire qu’ils avoient du talent, qu’ils
ommes, qui éxercoient la profession du théatre, étoient esclaves. Les Romains , pour conserver à leurs esclaves, cette souplesse
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre V. Honneurs et Privilèges accordés à la Danse »
J’aime à voir Auguste et Marc-Aurèle, qui sont de tous les empereurs romains les deux à qui il serait le plus glorieux de ress
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
Cléopâtre, Et quantité d’autres Humains, De Chefs guerriers, Grecs et Romains . Ce combat fut fait en cadence ; Et je n’ai point
38 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
e jolies femmes, qui proscrivant, la décence même, tantôt Grecques ou Romaines , tantôt Egyptiennes ou Circassiennes, séduisent s
, lorsque nous pouvons créer et corriger même ce que les Grecs et les Romains ont fait d’irrégulier ? quelle est cette manie qu
s ont placés au rang des chefs-d’œuvre les plus distingués de l’école Romaine . Deux célèbres peintres en miniature ont dépassé
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
ement. En admettant sur son Théâtre le même Art dont les Grecs et les Romains s’étaient si heureusement servis, n’aurait-il eu
différents emplois qu’avait remplis la Danse chez les Grecs, chez les Romains , et dans les derniers siècles. Vive, saillante, e
40 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
e des Barbares, qui est remplie de la plus grande sagesse. Voyant les Romains passionnés pour les spectacles, et entendant parl
’ils y alloient chercher, les Barbares disoient : On croiroit que les Romains , qui ont inventé ces plaisirs, n’ont ni femmes, n
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
ntées, et qui lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des Romains . Ce Spectacle disparut, et il se forma un grand B
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
tral. Il y avait donc, dans le pas des Lutteurs des Fêtes Grecques et Romaines que le Public a si constamment applaudi, une faut
43 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
arriva approchant la même chose. C’est aussi ce que Cléopatre ni les Romains n’ont jamais pû éxécuter : ce qui fait voir qu’il
la nature sans la participation de son Créateur. Ce n’est pas que les Romains n’ayent quelquefois réüssi dans de pareilles entr
44 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
depuis long-temps dans ses jours de décadence ». Les Grecs & les Romains en firent un spectacle sublime. Ces Nations ont p
a données en Europe, depuis la décadence de cet Art charmant chez les Romains . Avez-vous entendu parler, Monsieur, du joli Spec
Société ? Ces bagatelles étoient reçues chez les Grecs & chez les Romains . Le bon vieux temps n’est plus, « & l’on dit
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
ront sans appel, que tout ce qu’on raconte de celles des Grecs et des Romains n’est qu’une exagération extravagante ; et ils co
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
Quinault. Ce genre appartient tout à fait à la France. Les Grecs, les Romains n’eurent aucun Spectacle qui puisse en avoir donn
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
mment déplacée. Dans l’Acte des Jeux Olympiques des Fêtes Grecques et Romaines 147, lorsque l’action commence, les Jeux sont fin
48 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
les les plus reculés, l’attention des législateurs ; les Grecs et les Romains , en l’introduisant dans le culte qu’ils rendaient
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
me tragique, Chanté, tout du long en musique, Par des Gens Toscans et Romains , La plupart légers de deux grains ; Et, même, par
50 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
tait l’enfance d’Hercule qui jouait avec les lions. [Voir Ballet] Les Romains , en adoptant le théâtre des Grecs, prirent tous l
re créèrent la tragédie et la comédie, ils profitèrent des fautes des Romains pour les éviter ; et ils eurent assez de génie et
poèmes. Ainsi on dit : l’entrée de Tibulle dans les Fêtes grecques et romaines est fort ingénieuse, c’est une des meilleures ent
51 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
n cerveau. Lorsqu’on entend un si grand nombre de personnages, Grecs, Romains , Tartares ou Mahométans, estropier la Langue Fran
indiquant aux Juges le volume & la page. Les Orateurs ou Avocats romains , dans les Causes criminelles, & lorsqu’il s’a
52 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
mais d’un certain Salius qui, le premier, avait enseigné cet Art aux Romains  ; et tous les auteurs conviennent qu’on l’exécuta
53 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
« va-nu-pieds », une « planipes », comme disaient dédaigneusement les Romains , à l’instar de ces mille et trois adeptes qui ont
54 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
ou pour faire remarquer leur grandeur & leurs magnificences. Les Romains qui se sont fait une gloire de surpasser toutes l
olies par l’Empereur Tibere, qui réforma autant qu’il put le luxe des Romains pendant son régne. L’Histoire remarque que dès le
tere ; ce qui lui attira l’applaudissement de l’assemblée. L’Histoire Romaine fait aussi mention que Caton le Censeur prit un M
55 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
x parler enfin de cette pantomime expressive, art connu, si chéri des Romains , et que ce peuple préférerait à tous les autres a
56 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
s fort éloignés de la perfection à laquelle les Grecs, et surtout les Romains , étaient parvenus. Leurs jeux mimiques avaient qu
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
des prix indignes de ses mains, À se donner lui-même en spectacle aux Romains , À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [
58 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
subissent les mots d’un langage. Un « baron » avait suivi les aigles romaines en qualité de soldat du train ; sur cela, trois s
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
t vrai que les Italiens, peuple gesticulant, aient hérité des anciens Romains de quelques-uns de ces signes de convention, je v
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
toutes les grandes parties de la Tragédie et de la Comédie. Aussi les Romains jouissaient-ils d’un avantage qui devait rendre n
61 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
noxam exiliumque afferentes.. amandamus et expellimus . » Le concile romain tenu en 826, sous le pape Eugène II, se plaint, (
62 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
et de San Carlo ne se sont pas évanouies — et je ne cite pas la scène romaine dont se réclame Mme Leonidoff, car je crois savoi
63 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
s chantres de sa chapelle qui le suivaient ayant entendu les chantres Romains , trouvèrent leur façon de chanter risible, parce
t haut sans ménagement : ils chantèrent à leur tour ; et les chantres Romains , aussi adroits qu’eux pour le moins à saisir et à
de chant, dont il voulut être le juge ; et il prononça en faveur des Romains . Le P. Daniel, Hist. de Fr. tome I. p. 472. On v
ure, dans toutes leurs différentes transmigrations des Grecs chez les Romains , de chez les Romains dans le reste de l’Italie, e
s différentes transmigrations des Grecs chez les Romains, de chez les Romains dans le reste de l’Italie, et enfin dans toute l’
64 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
illé sur les épigrammes de ce Poëte, dit qu’on vit sur le Théâtre des Romains les personnages de Dédale, de Laureolus & d’O
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
vant tous les autres, comme il l’avait été autrefois des Grecs et des Romains . Je ne fais au reste, que copier d’un Historien92
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
re tant de grands hommes, et donna tant de défenseurs à la république Romaine  ; quels effets ne dut pas produire sur une nobles
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains , A venir prodiguer sa voix sur un théatre, etc. »
rivalisoient. en talons et en génie avec ce que les artistes Grecs et Romains créèrent de plus parfait, dans un instant où les
68 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64
te d’Eglé dans les talens lyriques, le prologue des fêtes Grecques et Romaines , l’acte Turc de l’Europe galante, un acte entre a
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
nse ne dit que confusément, parceque nos danseurs ne sont ni Grecs ni Romains . J’ajouterai enfin que le programme trace la marc
70 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
l sera mon étonnement, lorsque je trouverrai dans les Grecs, dans les Romains , dans les Bergers, dans les Matelots, dans les je
te que la charge des traits de ce grand philosophe. Je passe chez les Romains  : Plaute et Térence ne me parlent point des masqu
re exécution vive et brillante avec l’attirail lourd des Grecs et des Romains  ? Il est vrai, dit Lucien, que les masques des pa
71 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
uel sera mon étonnement lorsque je trouverai dans les Grecs, dans les Romains , dans les Bergers, dans les Matelots, dans les Je
te que la Charge des traits de ce grand Philosophe. Je passe chez les Romains  ; Plaute & Térence ne me parlent point des ma
; brillante avec l’attirail lourd & incommode des Grecs & des Romains . Il est vrai, dit Lucien, que les masques des Pan
72 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
personnages, qu’ils portent la tunique fourrée des Strelitz, la toge romaine ou l’ample robe des sénateurs vénitiens, gardent
ses rappelant celles des Victoires sculptées sur les Arcs de Triomphe romains . Elles semblaient se soutenir en l’air en élevant
oulant peindre une terreur tragique par des images toutes grecques et romaines . Elle se tient appuyée à l’autel, absorbée dans s
73 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
Eglé dans les Talents Lyriques ; le Prologue des Fêtes Grecques & Romaines  ; l’Acte Turc de l’Europe galante ; un Acte entr’
74 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
ers de la satire. Lucile le premier osa la faire voir ; Aux vices des Romains présenta le miroir ; Vengea l’humble vertu, de la
faite. 18. Lorsque la Danse était dans la plus grande vogue chez les Romains , Lucien, dans son Traité sur la Danse, a dit : « 
Traité de la Danse, dialogue de Lucien.   Caton, le plus sévère des Romains , à l’age de soixante ans, crut devoir se faire re
es seraient nuls, les spectateurs ne sachant pas ce langage. Chez les Romains , où l’art de la pantomime s’est soutenu avec succ
n la plus grande et la plus méritée. 6. Pylade, célèbre pantomime romain sous le règne d’Auguste. Esope et Roscius avaient
Esope et Roscius avaient fait, par leur déclamation, les délices des Romains  ; la poésie dramatique était de leur temps en pos
75 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
y sont exercez avec plaisir, entre autres Fabius, l’un de ces anciens Romains , qui au rapport de Cicéron, lorsqu’il eut goûté l
es coutumes & sur les autres choses qui étoient en usage chez les Romains , que celles que nous tirons des sculptures qui on
olonnes portent le nom. Ceux qui ont écrit de la Religion des anciens Romains , de leur maniere de camper, des simboles allégori
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
par Ch. de Boigne : « Auguste a débuté dans le monde par le rôle de romain . Grand, fort, robuste, un vrai taureau, doué d’un
c de telles mains, de tels battoirs, on ne reste pas longtemps simple romain . Auguste franchit rapidement les grades de claque
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
où la multitude se précipite sans cesse. Lorsque saint Paul écrit aux Romains  : (c. 12, v. 2.) Ne vous conformez pas au siècle
78 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
it cette expression supérieure à toutes les autres ? Les Grecs et les Romains avaient une raison très puissante pour s’aider du
79 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
tent ; mais le profit est au vendeur, et la sottise à l’acheteur. Les Romains avoient cependant les écoles où l’on enseignoit l
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
es toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, imitèrent les dames Romaines  ; elles trouvèrent Marcel charmant, délicieux, di
81 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
& la sottise à l’acheteur ; c’est Ixion qui embrasse la nue. Les Romains avoient cependant des écoles où l’on enseignoit l
82 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
uple et superbe créature, avec une figure à pans antiques, — grecs ou romains , — comme l’exigeait la mode, — et une taille qui
nt. Elle épousa l’excellent comédien Lafont. L’épitaphe de la matrone romaine aurait pu lui servir : domum mansit, lanam feci
83 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
astoral. Il faut aussi que les danseurs costumés à la grecque ou à la romaine , dansent différemment lorsqu’ils portent un habit
84 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
l’Orient, par leur communications avec les Grecs, l’ont transmise aux Romains , qui l’ont perfectionnée et transmise à leur tour
omme d’un heureux présage pour l’avenir ; on la comparait à l’édilité romaine , qui confiait aux magistrats de la ville le soin
te de convention que d’exactitude : c’étaient encore des Grecs et des Romains à la façon de ceux de Racine et de David. La bouf
85 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
, qui traite des préceptes du décalogue. (tom. 2, pag. 185 du chiffre romain .) Le père Alexandre, célèbre jacobin, dans sa thé
86 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
ositions conciliantes du gouvernement pontifical, de jeunes seigneurs romains s’avisèrent de consulter Pie IX au sujet d’un cad
ent les âmes au moment où il fallait les vertus héroïques des anciens Romains . Carducci lançait contre elle des imprécations et
87 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
nt toutes de la loi de Moïse ; et les réjouissances ou solennités des Romains , tenaient également à la religion et à la politiq
dre, les entrées des conquérants, les superbes retours des vainqueurs romains dans la capitale du monde, sont répandus dans tou
ntées, et qui lui avaient acquis la réputation du plus voluptueux des Romains . Ce spectacle disparut, et il se forma un grand b
des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains . On ne s’attachera point à rapporter les fêtes s
nt surintendant de celle du Roi, auteur célèbre des Fêtes grecques et romaines  : 3°. les cataractes du Nil et le débordement [vo
88 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
let. Balet de Chantilly. Renauld. Pirithoüs. Les Fêtes Grecques & Romaines . Mais outre ces Balets, qui se représentent ordi
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
va que la danse proprement dite étoit un art inconnu des Grecs et des Romains , et que je l’avois confondu avec la pantomime qui
90 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
sur la voie publique ; elle achète des morceaux de vieilles marmites romaines  ; elle fait un herbier de pissenlits et de tiges
91 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
les souffrances d’un sexagénaire amoureux, les comparait aux Elégies romaines de Gœthe. « Il faut, disait-il, les lire et les h
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