rn, que de réjouissances et de galanteries. Le goût de Madame sœur du
Roi
pour ces divertissements lui était une ressource
lui offrait en Ministre Philosophe, et Henri IV les recevait en grand
Roi
. On lui annonça un jour, pendant une de ces Fêtes
elques Troupes, marcha à Amiens avec elles, et le premier. Les grands
Rois
donnent toujours leur ton aux Cours même des autr
. Les grands Rois donnent toujours leur ton aux Cours même des autres
Rois
. On dansa dans tous les États de l’Europe, parce
me endroit, que lorsqu’il ne se mêlait pas de ces divertissements, le
Roi
trouvait toujours qu’il y manquait quelque chose.
Dimanche 23 Février 1597, qui était le premier Dimanche de Carême, le
Roi
fit une Mascarade de Sorciers, et alla voir les c
oursault57 57. Ces gazettes mentionnent toutes le déplacement du
roi
à Villers-Cotterêts sans jamais pourtant évoquer
terêts sans jamais pourtant évoquer un quelconque ballet dansé par le
Roi
. Cependant, ils précisent qu’un bon nombre de div
s divertissements préférés de la cour, il n’est pas impossible que le
roi
fut en représentation.
Mariage du Duc de Joyeuse et de Marguerite de Lorraine belle-sœur du
Roi
. En retraçant l’idée de la galanterie de ce temps
heures après midi en la Paroisse de Saint-Germain de l’Auxerrois. Le
Roi
mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine, Pr
mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements du
Roi
et du Marié étaient semblables, tant couverts de
ux dix-sept Festins qui de rang et de jour à autre, par ordonnance du
Roi
, furent faits depuis les Noces, par les Princes e
rades, Présents, Devises, musique, Livrées, que le bruit était que le
Roi
n’en serait pas quitte pour douze cent mille écus
d’un grand Bac accommodé en forme de Char triomphant, dans lequel le
Roi
, Princes, Princesses et les Mariés devaient passe
ls, qui pendant le trajet devaient donner maints passe-temps, tant au
Roi
qu’à 50 000 personnes qui étaient sur le rivage ;
aire marcher les Animaux ainsi qu’on l’avait projeté, de façon que le
Roi
ayant attendu depuis quatre heures du soir jusqu’
as fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la Reine offrit au
Roi
représentait un Dauphin qui nageait sur les flots
rait sans doute une sorte de mérite, si le goût des plaisirs, sous un
Roi
efféminé95, n’y avait été poussé jusqu’à la licen
ond en 1573 pour célébrer le jour de la naissance de Charles IX où ce
Roi
et le Duc d’Anjou son frère soutinrent le combat
ilan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée. Le
Roi
en fit l’ouverture ; les cardinaux de Saint-Séver
e d’esprit qui y rappela le plaisir. Pendant sa Régence, elle mena le
Roi
à Bayonne, où sa Fille Reine d’Espagne, vint la j
aça une Table de douze couverts dans chacun des Berceaux. La Table du
Roi
, des Reines, des Princes et des Princesses du San
les Berceaux et cachés par les Arbres se firent entendre, dès que le
Roi
parut. Les Filles d’honneur des deux Reines, vêtu
légamment partie en Nymphes, partie en Naïades, servirent la Table du
roi
. Des Satyres qui sortaient du bois, leur apportai
moisi, garnis de grandes crépines d’or. C’est là que furent placés le
Roi
, le Roi et la Reine d’Angleterre, Madame la Duche
arnis de grandes crépines d’or. C’est là que furent placés le Roi, le
Roi
et la Reine d’Angleterre, Madame la Duchesse de B
it Amphithéâtre séparé, où étaient placés les vingt-quatre Violons du
Roi
avec six Hautbois et six Flûtes douces. Toute la
s de cristal et quantité de Girandoles garnies de grosses Bougies. Le
Roi
avait fait prier par Billets tout ce qu’il y a de
ue je copie) sur une balustrade vis-à-vis l’Estrade où était placé le
Roi
. Je comptai que cette magnifique Assemblée pouvai
ourgogne prit le Roi d’Angleterre, lui la Reine d’Angleterre, elle le
Roi
, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseig
îchissements, pendant tout le temps du bal qui dura toute la nuit. Le
Roi
en sortit à onze heures avec le Roi d’Angleterre,
re de cet article nous désignons ces banquets extraordinaires que nos
Rois
daignent quelquefois accepter dans le sein de leu
C’est un doux spectacle pour un peuple aussi tendrement attaché à son
Roi
, de le voir au milieu de ses magistrats s’entrete
gnifiques qui se déployèrent le 15 Novembre 1744, jour solennel où le
Roi
, à son retour de Metz, vint jouir des transports
le, était Un arc de triomphe placé entre la maison appelée le coin du
roi
, et la maison qui fait encoignure sur la place du
e de relief de 48 pieds de face sur 28 pieds de haut, représentait le
Roi
couronné de laurier par une renommée placée debou
renommée placée debout dans un char tiré par quatre chevaux, dont le
Roi
tenait les rênes d’une main, et un bâton de comma
peint de différents marbres. Au-devant de l’attique et au-dessous du
Roi
, étaient écrits en lettres d’or sur un fond de ma
de cette fontaine : elle commença à couler au moment de l’arrivée du
Roi
à l’Hôtel-de-ville, et ne cessa qu’après son dépa
e cramoisi, enrichi d’un grand cartouche qui renfermait le chiffre du
Roi
. Toutes les croisées étaient garnies de rideaux d
amoisi : sur la cheminée, du côté de la chambre qui était destinée au
Roi
, était placé un riche dais, sur la queue duquel é
lons d’or, et des aigrettes de plumes blanches au-dessus. Le buste du
Roi
, en marbre blanc, était placé au-dessous de ce ta
ns qui devaient exécuter des morceaux de musique pendant le festin du
Roi
. Cet amphithéâtre était couvert tout-autour de da
de tapis de Turquie, et d’un double tapis de Perse à l’endroit où le
Roi
devait se mettre à table. La table pour le festin
ndroit où le Roi devait se mettre à table. La table pour le festin du
Roi
, que S. M. avait permis que l’on dressât avant so
té faite pour trente-deux couverts. Les appartements destinés pour le
Roi
, pour la Reine, pour Monseigneur le Dauphin, pour
croisées cintrées. Au-devant de la lucarne, au-dessus de la statue du
roi
, était un tableau transparent, avec une inscripti
le et dans tous les corridors. Marche du Roi. Sur les deux heures le
Roi
partit du château des Tuileries, ayant devant et
nt par-dessus le port pour se poster à la place aux Veaux. Lorsque le
Roi
fut arrivé près la barrière de l’Hôtel-de-ville a
galonné en argent, pour servir de garçons de la chambre, tant chez le
Roi
que dans l’appartement de Monseigneur le Dauphin.
nseigneur le Dauphin. Monseigneur le Dauphin qui était arrivé avec le
Roi
, de même que les princes et autres seigneurs, le
s des marchands et échevins s’étaient tenus dans la grande salle ; le
Roi
ordonna de les faire entrer, et M. le gouverneur
prévôt des marchands, qui était sorti un instant de l’appartement du
Roi
, y rentra, et eut l’honneur de dire à sa Majesté
entra, et eut l’honneur de dire à sa Majesté qu’elle était servie. Le
Roi
sortit de son appartement, passa dans la grande s
t se mit à table. Pendant le festin, l’ode qui avait été présentée au
Roi
fut exécutée ; et il y eut d’autres morceaux de m
dant le festin, M. le prévôt des marchands eut l’honneur de servir le
Roi
. Outre la table de sa Majesté, il y avait plusieu
nnes de considération, qui n’avaient pas été nommées pour la table du
Roi
. Il y avait aussi des tables pour les personnes d
du Roi. Il y avait aussi des tables pour les personnes de la suite du
Roi
, pour les gardes-du-corps, les pages, etc. Après
u Roi, pour les gardes-du-corps, les pages, etc. Après le festin, le
Roi
et Monseigneur le Dauphin passèrent dans leur app
le Roi et Monseigneur le Dauphin passèrent dans leur appartement. Le
Roi
regarda par ses croisées l’illumination de la pla
t. Après avoir considéré quelque temps l’illumination de la place, le
Roi
sortit de son appartement avec Monseigneur le Dau
it devoir ajouter à ces premiers détails, la description du souper du
Roi
à l’Hôtel-de-ville, le 8 Septembre 1745, après le
ope, est unanimement regardée comme l’école de l’Univers ! Souper du
Roi
en banquet royal dans l’Hôtel-de-ville, le 8 Sept
nt un genou à terre, et M. le prévôt des marchands fit un discours au
Roi
. Ces messieurs qui étaient vêtus de leurs robes d
eurs robes de velours, prirent aussitôt le devant, et conduisirent le
Roi
, la Reine, Monseigneur le Dauphin, Madame la Daup
phine, et Mesdames, dans la grande salle, et de-là à l’appartement du
Roi
, où ils eurent l’honneur d’être encore présentés
ppartement du Roi, où ils eurent l’honneur d’être encore présentés au
Roi
par M. le duc de Gesvres. Sur les huit heures et
eures et demie du soir, M. le prévôt des marchands demanda l’ordre du
Roi
pour faire tirer le feu d’artifice. On commença p
une brillante illumination, et au haut de l’artifice était un Vive le
Roi
, dont le brillant et la nouveauté frappa d’admira
tout à coup, et que les desseins ne perdirent rien à sa rapidité. Le
Roi
qui parut fort satisfait, vit tirer ce feu à la c
l’estrade de la grande salle et les tapis, pour dresser la table. Le
Roi
, après le concert, rentra dans son appartement ;
l’y suivirent, et M. le prévôt des marchands eut l’honneur de dire au
Roi
que sa Majesté était servie : alors le Roi, la Re
s eut l’honneur de dire au Roi que sa Majesté était servie : alors le
Roi
, la Reine et toute la famille royale, allèrent se
rent se mettre à table. La table contenait quarante-deux couverts. Le
Roi
et la Reine se mirent à table au bout du côté de
Roi et la Reine se mirent à table au bout du côté de l’appartement du
Roi
, dans deux fauteuils ; et sur le retour à droite,
ame la princesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour. Le
Roi
et la Reine et la famille royale furent servis en
lle de vermeil. M. le prévôt des marchands eut l’honneur de servir le
Roi
. La salle était remplie de personnes de la premiè
d salle était telle. Etant d’usage d’appuyer les planchers lorsque le
Roi
honore de sa présence l’Hôtel-de-ville, il avait
ranches de fleurs. Au-devant de la cheminée, du côté de la chambre du
Roi
, était dressé un riche dais avec une queue, sur l
ressé un riche dais avec une queue, sur laquelle était le portrait du
Roi
. Le buste de marbre du Roi était au-dessous, sur
e queue, sur laquelle était le portrait du Roi. Le buste de marbre du
Roi
était au-dessous, sur une console dorée, posée su
partie de cette salle, auprès de la cheminée du côté de la chambre du
Roi
. Au bas, pour le souper, il y avait un petit buff
u bas, pour le souper, il y avait un petit buffet particulier pour le
Roi
et la Reine, et la famille royale. Après le soupe
eine, et la famille royale. Après le souper, qui dura deux heures, le
Roi
passa avec la Reine et la famille royale dans son
’or, retroussés en forme de pavillon, sous lequel était le chiffre du
Roi
en fleurs : au-dessous et sur l’entablement du pr
ses. Il a été donné par la ville de Paris plusieurs autres festins au
Roi
, à la Reine, à la famille royale. Jamais monarque
ouceur ; jamais peuples aussi n’ont été si tendrement attachés à leur
roi
. (B) Fête (Beaux-Arts) Fête, (Beaux-Arts)
agréables démonstrations de l’allégresse publique. Dans les cours des
rois
on sentit par cet exemple, que les mariages, les
ns, à l’accomplissement de ses vues. Pendant sa régence, elle mena le
roi
à Bayonne, où sa fille reine d’Espagne, vint la j
aça une table de douze couverts dans chacun des berceaux. La table du
roi
, des reines, des princes et des princesses du san
les berceaux et cachés par les arbres, se firent entendre dès que le
roi
parut. Les filles d’honneur des deux reines, vêtu
légamment partie en nymphes, partie en naïades, servirent la table du
roi
. Des satyres qui sortaient du bois, leur apportai
es chariots étaient ceux qui allaient représenter un ballet devant le
roi
, et qui formaient par cet arrangement un premier
ontrés ainsi à une multitude innombrable, ils arrivèrent au palais du
roi
où ils dansèrent un grand ballet allégorique. La
sur Alithie, compagne inséparable du plus sage et du plus éclairé des
rois
. Après ce récit, le vieillard accompagné de trois
nos numerus sumus, etc. n’est pas moins cependant le vrai trésor des
rois
: il est, par son industrie et sa fidélité, cette
mariage du duc de Joyeuse et de Marguerite de Lorraine, belle-sœur du
roi
. Je ne fais au reste que copier d’un historien co
heures après midi en la paroisse de Saint-Germain de l’Auxerrois. Le
roi
mena la mariée au moutier, suivie de la reine, pr
mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements du
roi
et du marié étaient semblables, tant couverts de
ux dix-sept festins qui de rang et de jour à autre, par ordonnance du
roi
, furent faits depuis les noces, par les princes,
rades, présents, devises, musique, livrées, que le bruit était que le
roi
n’en serait pas quitte pour cent mille écus. Le m
d’un grand bac accommodé en forme de char triomphant, dans lequel le
roi
, princes, princesses, et les mariés devaient pass
ls, qui pendant le trajet devaient donner maints passe-temps, tant au
roi
qu’à 50000 personnes qui étaient sur le rivage ;
re marcher les animaux, ainsi qu’on l’avait projeté ; de façon que le
roi
ayant attendu depuis quatre heures du soir jusqu’
as fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la reine offrit au
roi
représentait un dauphin qui nageait sur les flots
rait sans doute une sorte de mérite, si le goût des plaisirs, sous un
roi
efféminé, n’y avait été poussé jusqu’à la licence
llets, des bals, des mascarades, de toutes les fêtes, en un mot, d’un
roi
aussi aimable que grand, et qui méritait à tant d
es grands spectacles de ce temps, qui étaient les seuls amusements du
roi
et des courtisans français, ne furent que des fro
mauvais goût, s’empara pour lors sans contradiction du palais de nos
rois
. On croyait s’y être bien réjoui, lorsqu’on y ava
pour lors chargé en France des négociations de sa cour, de donner au
roi
une fête de ce genre. La nouvelle s’en répandit,
ire. La fête brillante que ce ministre donna dans son palais au jeune
roi
, le 26 Février 1651, justifia le choix qu’il avai
la découpure de la salle, d’une adresse assez singulière, pour que le
Roi
et toute la cour pussent voir d’un coup d’œil le
dans le cours de ce superbe spectacle. Aussi vit-on Zulisca amuser le
roi
, plaire à la cour, mériter les suffrages de tous
nu, comme l’avait été celui de ses prédécesseurs ; il semblait que le
Roi
ne se servit que de la même main pour faire éclat
et modeste (M. de Bonneval, pour lors intendant des menus-plaisirs du
Roi
), qui avait eu la plus grande part à l’exécution
e Bonneval, mis en musique par M. de Blamont surintendant de celle du
Roi
, auteur célèbre des Fêtes grecques et romaines :
récédente. Voyons en peu de mots ce qu’il avait déterminé d’offrir au
roi
, dans l’espérance où l’on était de la naissance d
de vue. Tous ces beaux préparatifs avaient pour objet l’amusement du
Roi
, de la famille royale, et de la cour, qui devaien
divers habitants de cette belle partie de l’univers. Au moment que le
roi
serait arrivé, cinquante vaisseaux équipés richem
coins de l’orangerie, devaient faire retentir les airs pendant que le
Roi
, la Reine, et la famille royale, dans le salon du
beaux portiques, un magnifique opéra, qui, au moment de l’arrivée du
roi
, aurait commencé son spectacle. Au sortir du gran
cé son spectacle. Au sortir du grand théâtre, la cour aurait suivi le
Roi
sous tous les portiques : les étoffes, le goût, l
us œuvre, et exerça l’adresse féconde du sieur Arnoult, machiniste du
roi
, aidée des soins actifs de l’ordonnateur et du zè
nôtre. M. Blondel de Gagny, Intendant pour lors des menus-plaisirs du
Roi
, seconda tout le zèle de l’ordonnateur. Par malhe
yaume des moyens éclatants de signaler son zèle et son amour pour nos
rois
. L’histoire de tous les règnes rappelle aux Paris
s citoyens, pour qu’on puisse craindre à son égard d’en trop dire. Le
Roi
, toute la famille royale lui firent espérer d’hon
lieu ; elle était du dessein de feu M. Gabriel, premier architecte du
Roi
: la première était du chevalier Servandoni. Déc
Le concert commença d’une manière vive et bruyante, au moment que le
Roi
parut sur son balcon ; il se fit entendre tant qu
Août, M. Turgot voulut encore donner un nouveau témoignage de zèle au
Roi
, à madame Infante, et à la famille royale. Il éta
zèle et sa magnificence ; ainsi la convalescence du plus chéri de nos
Rois
, son retour de Metz (voyez Festins royaux), nos v
atriotes, dans les circonstances, où leur amour pour le sang de leurs
rois
a la liberté d’éclater. On verrait dans le même t
e nos beaux ports de mer, dans les circonstances où le bonheur de nos
rois
, ou la gloire de la patrie, leur ont fourni les o
langage. Le compliment fut terminé par mille et mille cris de vive le
Roi
, vive la Reine, vive Monseigneur le Dauphin, vive
se retira ensuite aux flambeaux, et se rendit à l’Hôtel des Fermes du
roi
. Cet hôtel compose une des façades latérales de l
it dont tous les Bourbons sont animés, qui produisit lors du sacre du
Roi
en 1725, ces fêtes éclatantes à Villers-Cotterêts
quelques détails qu’on a rassemblés d’après les mémoires du temps. Le
Roi
après son sacre partit de Soissons le 2 de Novemb
un tel ordre, qu’ils laissaient toute la liberté du passage. Quand le
Roi
fut sur son balcon, ayant auprès de sa personne u
x voisins, et par des cavaliers du même ordre, divertirent d’abord le
Roi
. Les danseurs de corde commencèrent ensuite leurs
ts variés de la plus surprenante agilité. Après ce divertissement, le
Roi
voulut voir courir la bague de plus près ; alors
de Pesé, se distinguèrent. Après avoir été témoin de leur adresse, le
Roi
remonta et se mit au jeu. Des que la partie du Ro
e leur adresse, le Roi remonta et se mit au jeu. Des que la partie du
Roi
fut finie, les Comédiens-Italiens donnèrent un im
de village, qui avançait en dansant vers la terrasse, sur laquelle le
Roi
était ; Thévenard marchait à la tête de la troupe
ntaient le marié et la mariée. Ce petit ballet fut suivi du souper du
Roi
et de son coucher. M. le régent, M. le duc de Cha
ang et les principaux officiers de S. M. le suivirent : l’équipage du
Roi
pour le sanglier, commandé par le marquis d’Ecque
inte qu’on avait formée près du jardin de l’orangerie. Pour placer le
Roi
et toute sa cour, on avait construit trois galeri
’à la contre-allée du parterre. La galerie du milieu préparée pour le
Roi
avait douze toises de longueur et trois de largeu
ressemblait assez à un dais qui servait de couronnement à la place du
Roi
. Le plancher était couvert de tapis de Turquie, a
spectateurs, qui ne pouvaient pas tous avoir place sur la galerie du
Roi
. Ces deux galeries étaient décorées de feuillages
précautions infinies, pour prévenir les moindres dangers. Dès que le
Roi
fut placé, on lâcha l’un après l’autre cinq sangl
n épieu. Le comte de Saxe se distingua beaucoup dans cette chasse. Le
Roi
ayant blessé un sanglier d’un dard qu’il lui lanç
oup S. M. et toute la cour, dura jusqu’à une heure après midi, que le
Roi
rentra pour dîner. Chasse du cerf. Après le dîne
heval. Le cerf fut chassé pendant plus de deux heures par la meute du
Roi
; le comte de Toulouse, grand veneur de France, e
t les chiens, alla donner de la tête contre une grille, et se tua. Le
Roi
revint sur les cinq heures dans son appartement,
les chargées de bougies. On voyait au haut de ce théâtre les armes du
Roi
groupées avec des guirlandes de fleurs ; le chiff
tienne : c’étaient des courtisans, qui se démasquèrent d’abord que le
Roi
parut. La sixième, intitulée Ducreux et Baraillon
la Chine, du Japon et des Indes, qui faisaient partie des lots que le
Roi
devait tirer. Javilliers père, et la Mangot, en h
rité inexprimables. Tel est toujours l’effet des beaux contrastes. Le
Roi
suivi de sa cour, entrant dans ce lieu enchanté,
y amusa quelque temps, et joua au hoca et au biribi. Après le jeu, le
Roi
alla au théâtre du docteur Barry : Scapin commenç
e Trivelin expliquait en français, pendant que Flaminia présentait au
Roi
, dans un mouchoir de soie, les raretés que lui of
lui fut offert ; Scapin l’accompagna de ce discours qu’il adressa au
Roi
: Voilà des tablettes qui renferment le trésor d
les. Flaminia eut encore l’honneur de présenter deux autres bijoux au
Roi
; un cachet précieux et d’une gravure parfaite, c
rmain et Saint-Laurent, dans les temps où elles sont belles. Enfin le
Roi
, après avoir été longtemps diverti par la variété
irée, occupa Sa Majesté jusqu’à près de neuf heures du soir. Alors le
Roi
passa sur le parquet de la salle du bal, située a
et, qui avait composé tous les airs de ces danses, chanta un récit au
Roi
. Après ce récit la suite de Terpsichore se montra
agnaient ; ce qui causa une surprise très agréable. Après ce chœur le
Roi
alla souper, et les masques s’emparèrent de la sa
précis assez détaillé dans quelques autres articles. Voyez Sacre des
Rois
de France [Article non rédigé], Illumination [Art
: hé ! sandis, je meurs de faim ; on vit donc de l’air à la cour des
rois
de France? A ces deux originaux, en succédèrent q
le avait été composée par feu Coypel, qui est mort premier peintre du
Roi
, et qui a laissé après lui la réputation la plus
t-Aignan devait faire un jour pour servir l’état et pour plaire à son
Roi
. M. de Blamont, chevalier de l’ordre de Saint-Mic
naître qu’autant qu’ils m’ont paru liés aux grands spectacles que les
rois
, les villes, les provinces, etc. offrent aux peup
phe en l’honneur du mariage de Monseigneur le Dauphin, fils unique du
Roi
, et de madame infante d’Espagne. 6. Arrivez, aug
Loret, lettre du 19 février 1661 Dans fort peu, le Ballet du
Roi
, Fort divertissant, sur ma foi, Qu’on intitule (q
e ; Et, foi de sincère Normand, Le tout me parut si charmant, Que, du
Roi
, l’auguste prestance, Des Princes et Seigneurs la
t, Baptiste. L’inimitable Sieur Geoffroy Fit, bien de fois, rire le
Roi
, Ayant un béguin sur l’oreille, Et faisant l’aveu
tenant que j’écris ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant le
Roi
, devant les Reines, Qui sont de retour de Vincenn
pplication qu’à la Pyrrhique. Mezeray rapporte aussi que nos premiers
Rois
donnoient des festins & des bals militaires à
doit plutôt croire qu’il ne voulut pas donner cette satisfaction à ce
Roi
, qui passoit pour le Tiran de Siracuse ; au lieu
e de bien suivre la cadence des instrumens, & de danser devant ce
Roi
une danse convenable à son caractere ; ce qui lui
personnes de considération sortirent du bal, comme par mépris pour le
Roi
, ne pouvant soufrir cette indignité dans un bal d
ortir, sans coup férir. Cette histoire fit grand bruit dans Paris, le
Roi
la sçut ; & sans la faveur, il eût envoyé à l
t, tous les Chefs du Concile par délibération convinrent de donner au
Roi
une fête galante, & digne de la magnificence
s lesquels il y avoit des tables de douze couverts chacune : celle du
Roi
, des Reines, des Princes & des Princesses du
s Marchands & les Echevins s’aviserent de présenter un Mémoire au
Roi
, pour le prier de leur accorder un petit droit su
zade dans un petit verre, à la santé des Cantons. Après la maladie du
Roi
en 1684, Sa Majesté voulant venir à Notre-Dame po
e Gouverneur de Paris & le Prevôt des Marchands allerent prier le
Roi
d’honorer l’Hôtel de Ville de sa présence, pour y
norer l’Hôtel de Ville de sa présence, pour y dîner à son retour : le
Roi
l’accepta, & y fut régalé avec toute la Cour,
urprenante. Le dîné fut suivi d’un bal de cérémonie ; Monseigneur fut
Roi
du bal, & Madame la Dauphine la Reine : cette
nificence peuvent servir de modele à toutes les Cours de l’Europe. Le
Roi
fit partager en trois la Galerie de Versailles, p
de velours cramoisi, garnis de grandes crépines d’or, pour placer les
Rois
de France & d’Angleterre, avec la Reine, Mada
un petit amphithéâtre séparé, pour placer les vingt-quatre Violons du
Roi
, avec six Haubois & six Flutes douces. Toute
cristal, & quantité de girandoles garnies de grosses bougies. Le
Roi
avoit fait prier par billets tout ce qu’il y a de
tois appuyé sur une balustrade, vis-à-vis l’estrade où étoit placé le
Roi
, je comptai que cette magnifique assemblée pouvoi
Roi d’Angleterre pour danser ; lui, la Reine d’Angleterre ; elle, le
Roi
, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseig
emens, pendant tout le tems du bal qui dura toute la nuit, quoique le
Roi
en sortît à onze heures, avec le Roi d’Angleterre
mp; tous les Princes du Sang, pour aller souper ; mais pendant que le
Roi
y fut, on n’y dansa que des danses graves & s
s’agissait de représenter Agamemnon. Pour exprimer la grandeur de ce
Roi
, le jeune pantomime entre sur la scène avec un co
s plus grandes choses, qu’il voyait, qu’il pesait, qu’il comparait en
Roi
. Les Spectateurs frappés de la justesse, de la di
roidement Pylade en s’adressant à Hylas, nous avions à représenter un
Roi
, qui commandait à vingt Rois. Tu l’as fait long :
ant à Hylas, nous avions à représenter un Roi, qui commandait à vingt
Rois
. Tu l’as fait long : je l’ai fait grand. L’Emper
s, sous le régne de Louis XIII. l’invention de tous les Balets, où le
Roi
dansa au Louvre avec toute sa Cour. Ce Duc étoit
fit un Balet de la prospérité des armes de la France, dans lequel le
Roi
devoit danser masqué avec toute sa Cour ; mais co
ec toute sa Cour ; mais comme depuis long-tems on n’avoit point vû de
Rois
danser sur le Théâtre à Paris, ou peut-être point
être comme une longue fête, après de longs travaux : non seulement le
Roi
& son grand Ministre qui ont tant veillé &
Cette convocation a fait beaucoup d’honneur à la danse. Au mariage du
Roi
en 1659, il dansa avec tous les Seigneurs & D
ec tous ses agrémens, de même qu’il avoit été représenté à Venise. Le
Roi
en 1664 fit encore faire un Balet, dont le sujet
par rapport à ses nouvelles amours : il fut représenté au Louvre ; le
Roi
y dansa encore masqué dans les trois Entrés, avec
let de chevaux. Balet d’Eléphans. Balet des Passions, dansé devant le
Roi
. Balet du Tems, dansé par le Roi. Balet des Plais
Balet des Passions, dansé devant le Roi. Balet du Tems, dansé par le
Roi
. Balet des Plaisirs, dansé par le Roi. Les Plaisi
oi. Balet du Tems, dansé par le Roi. Balet des Plaisirs, dansé par le
Roi
. Les Plaisirs troublez, Mascarade donnée au Roi p
laisirs, dansé par le Roi. Les Plaisirs troublez, Mascarade donnée au
Roi
par M. le Duc de Guise. L’Amour malade, Balet du
L’Amour malade, Balet du Roi dansé par Sa Majesté. Balet dansé par le
Roi
. Balet d’Alcibiade, dansé par le Roi. Balet de la
r Sa Majesté. Balet dansé par le Roi. Balet d’Alcibiade, dansé par le
Roi
. Balet de la Raillerie, dansé par Sa Majesté. Bal
e la Raillerie, dansé par Sa Majesté. Balet de Vincennes dansé par le
Roi
. Balet d’Hercule, dansé au mariage du Roi. Balet
t de Vincennes dansé par le Roi. Balet d’Hercule, dansé au mariage du
Roi
. Balet des Amours déguisez, dansé par le Roi. Bal
ule, dansé au mariage du Roi. Balet des Amours déguisez, dansé par le
Roi
. Balet de Flore, dansé par le Roi. Pomone. Les pe
t des Amours déguisez, dansé par le Roi. Balet de Flore, dansé par le
Roi
. Pomone. Les peines & les plaisirs d’amour. L
e ; ce qui termina le Balet. Une partie des Entrées fut dansée par le
Roi
; les Princes & les Princesses, avec les plus
es plus grands Seigneurs de la Cour, étoient de ces Entrées. Comme le
Roi
en avoit fait la dépense, rien ne fut épargné pou
s Nations du monde vinrent en ordre par la Tamise, jusqu’au Palais du
Roi
, pour rendre leurs hommages à la vérité. C’est un
’un si pesant fardeau sur Alithie qui demeuroit dans cette Isle où le
Roi
l’avoit reçûe si favorablement. Ayant fini son ré
i très joliment s’escrime De la Plume pour faire Rime, Par l’ordre du
ROI
fit les Vers, Un autre composa les Airs,58 Et ce
moiselles d’Elbeuf, d’Arquien et Longueval. GENTILHOMMES DU PAYS : Le
Roi
et le Marquis de Villeroy. FEMME DU CAPITAINE DU
qui de Pleumartin et le Sieur Coquet. GOUVERNEURS DE LA PROVINCE : Le
Roi
; sa Femme : Madame ; son Frère : le Marquis de V
ng, quoique non masquée ; comme je l’ai vû arriver dans un bal que le
Roi
donnoit à Versailles, par un masque déguisé en pa
é de l’entrée du bal pendant le Carnaval, d’un incident qui arriva au
Roi
chez M. le Président de N.… qui donnoit un bal da
u sujet du mariage d’un de ses fils, il y a près de cinquante ans. Le
Roi
qui se plaisoit quelquefois à courre le bal incog
entrer les masques que par billets, refuserent l’entrée à la bande du
Roi
, quoiqu’il fût une heure après minuit. Sur ce ref
respect à toute l’assemblée : M. de Louvois qui étoit de la troupe du
Roi
, tira M. de N … à part ; & s’étant démasqué,
encore M. de N … mais le mal n’alla pas plus loin, par la prudence du
Roi
, qui calma le ressentiment des Princes & des
nt qu’ils le voulurent. Le lendemain ce fait fut rapporté au dîner du
Roi
& de la Reine mere, par gens qui ignoroient q
tout le monde s’étoufoit pour sortir ; quelques-uns crioient sauve le
Roi
: la Duchesse de Berry qui étoit avertie de cette
a Duchesse de Berry qui étoit avertie de cette Mascarade, reconnut le
Roi
, le couvrit de sa robbe, & le préserva bien d
le Dieu Marin, Neptunus, Parut le Patron du Parnasse, Qui, dans notre
Roi
, se retrace, Ainsi qu’en son grand Lieutenant, Bi
Sur ce que ce grand Gradué, Fait ces livres-là, d’ordinaire, Etant du
Roi
, Pensionnaire. Il approuvera, je crois, bien, Q
i l’Italie, Pour travailler, en bel arroi, À ces grands Spectacles de
Roi
, Avait de ses savantes Veilles, Tirés les charman
oit, un peu félonnes, Eussent animé contre moi Cet ardent Officier du
Roi
; Je m’étais (outré de colère) Plaint de son proc
ime. Ledit Ballet je revis, donc, Agréable s’il en fut, onc, Où, du
Roi
, la belle prestance, L’air noble, la taille et la
me pour le drapeau persan « profané » par moi. Mes relations avec un
roi
nègre. — A l’exposition coloniale de Marseille, e
que achevé. Lorsqu’ils furent proches, je m’exclamai : — On dirait un
roi
de contes de Fées ! Ils passèrent devant nous et
enez, je vais vous présenter. J’étais ravie. Lorsque je fus devant le
roi
, je dis tranquillement à mes amis, à voix distinc
ils sont tous taillés sur ce modèle-là en Afrique ! On me présenta au
roi
, il me tendit la main et jugez de mon effarement
cevoir le souverain. — Quand commencera la cérémonie ? demandai-je au
roi
, dès qu’il fut arrivé. — Nous dirons nos prières
u coucher du soleil. Tandis que le jour baissait, je remarquai que le
roi
et les gens de sa suite regardaient le ciel, tout
tout autour d’eux, et je me demandai pourquoi. Voyant ma surprise le
roi
me dit qu’ils cherchaient à s’orienter pour recon
t que la ligne. C’était vraiment très, très beau. Après la prière, le
roi
me raconta que son père avait été détrôné, puis e
avait été nommé chef de sa tribu, car en réalité il n’y avait plus de
roi
. Il était sujet français et dans son pays, tribut
ra faillit ne pas me voir. — Un matin les journaux annoncèrent que le
Roi
et la Reine d’Angleterre allaient passer quelques
ourtant, elle resta à l’Hippodrome jusqu’à quatre heures et demie. Le
Roi
alla seul chez le peintre, et elle arriva en reta
r ou petit Livre Qui se vend, je pense, une livre Chez l’Imprimeur du
Roi
, BALLARD. Où vous verrez, de part en part, Le res
Qui, des Muses favorisé, Fait toujours miracle, à mon gré. 91. Le
Roi
, les Comtes d’Armagnac et de Vaudemont, les Marqu
sième. La quatrième, le Printemps, Avec l’amour et les doux vents. Le
ROI
terminant la dernière, Avec sa grâce coutumière,
out le monde, Qui louait, aussi bien que moi, L’éclat et l’adresse du
Roi
. 106. En quatre Quadrilles.
ances solennelles, de tristesse et de deuil. Dans les funérailles des
Rois
d’Athènes38 une troupe d’Élite vêtue de longues r
archaient lentement et en mesure en chantant des vers à la louange du
Roi
mort. Cette Pompe était suivie d’un grand nombre
]té qu’accompagne, Un certain Breton de Bretagne, Officier moderne du
Roi
, Ce me semble, nommé Taloi, Qui par caprice, ou p
’Impatience, Qui me parut, en bonne foi, Digne d’un illustre et Grand
Roi
: Ses seize admirables Entrées Par moi, de près c
tir, on trouva telles Qu’un chacun les jugea très belles. Ce fut le
Roi
qui commença, Et si parfaitement dansa, Qu’il rav
ttre du 11 février 1662 Le sept du mois, Mardi passé, Le Ballet du
Roi
fut dansé, Mêlé d’un Poème tragique, Chanté, tout
trées, La moindre valant vingt bourrées : Et dont Louis, la Fleur des
Rois
, Paraît à la tête de trois ; Que dis-je, trois ?
récédente Altesse, Savoir Alençon et Valois, Extraites du Sang de nos
Rois
. De Soissons, la Comtesse aimable, Dont la grâc
ose, Et je vais parler d’autre chose. 22. Bouti. 23. Imprimeur du
Roi
pour la Musique.
rait comparer l’espèce particulière d’hommes qui peuplent la Cour des
Rois
, aux différentes parties qui composent ces beaux
us les grands Ballets de ce temps qui étaient les seuls amusements du
Roi
et des Courtisans, ne furent que de froides allus
s mauvais goût s’empara pour lors sans contradiction du Palais de nos
Rois
. On croyait s’y être bien réjoui, lorsqu’on y ava
pour lors chargé en France des négociations de sa Cour, de donner au
Roi
une fête de ce genre. La nouvelle s’en répandit,
justesse dans les choses de pur agrément par le Ballet qu’il donna au
Roi
dans le Palais Cardinal le 7 Février 1641 : il eu
er doit être une longue Fête après de longs travaux. Non seulement le
Roi
et son grand Ministre qui ont tant veillé et trav
exercices sur des rhinocéros. Plusieurs Admirateurs des conquêtes du
Roi
dansèrent la dernière Entrée avec la Gloire qui s
tes d’armes, Qui pour nous étaient de doux charmes ; Dans ce Camp, le
Roi
secondé24 De l’Altesse du Grand Condé25 (Un des
doute, Car, alors, je ne verrai goutte. Ce Ballet du plus Grand des
Rois
Eût été dansé plus de fois, Mais à la requête et
t cassé, Ne serait jamais plus dansé. 24. J’ai dit ailleurs que le
Roi
25. représentait Mars en cette Entrée 26. et Mr
e Cardinal le fit représenter au Château de Vincennes, en présence du
Roi
et de sa cour. Il faut considérer que cet opéra f
e la musique étoit confiée à Cambert, Sous-Intendant de la musique du
Roi
. Mais au milieu de tant de spectacles on distingu
re. Cette fête extraordinaire étoit destinée à célèbrer le mariage du
Roi
, et sa paix avec l’Espagne. Ce spectacle avoir, p
Mazarin tomba dangereusement malade ; mais avant de mourir, il fit au
Roi
un présent inestimable ; il lui légua Colbert son
eux ministère. La mort de Mazarin ne fit pas une grande sensation. Le
Roi
fut enchanté d’être délivré d’un Mentor incommode
e la peinture, de la sculpture et de l’architecture, il fit agréer au
Roi
l’etablissement d’une Académie à Rome ; on y fit
courager les sciences. Rien n’est indifférent au génie. Il proposa au
Roi
l’établissement d’une Académie des Sciences, et s
rent la vertu, les talens et le génie ; il fit tout pour la gloire du
Roi
, le bonheur du peuple, et l’illustration des scie
Ses ennemis augmentèrent sa gloire, et le rendirent aussi cher à son
Roi
qu’a la nation dont il fut constamment l’idole. L
és en femmes, car la danse alors n’étoit cultivée qu’à la cour, et le
Roi
s’étant déclaré on faveur de cet art, qu il exerc
). Ce Ministre qui faisoit honneur à la France, qui avoit rendu a son
Roi
des services signalés, éprouva comme Sully l’ingr
ite de trouver place dans l’Histoire des Arts. Les Mascarades que les
Rois
Charles IX, Henri III, Henri IV et Louis XIII ont
arin le 2 Janvier 1655 dont était Louis XIV. C’est la première que le
Roi
ait dansée. Le Carnaval de Benserade, qu’on exécu
écider, Leur fait accepter pour Arbitre Louis, qui mérite le titre Du
Roi
qui le plus judicieux Qui soit sous la rondeur de
itre Du Roi qui le plus judicieux Qui soit sous la rondeur des Cieux,
Roi
, qui dans la fleur de son âge Est aussi charmant
Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en venait me dire, Et fut-ce le
Roi
notre Sire, As-tu rien vu de si mignon ? Je dirai
ant dire. 31. Tous trois de la Troupe 32. des grands Comédiens du
Roi
. 33. Mademoiselle d’Aumale. 34. Mesdem. Hilaire
ccasion ne s’est plus présentée. La Princesse me demanda encore si le
Roi
et la Reine d’Angleterre m’avaient vue danser : —
ours où j’étais engagée par ailleurs. Pendant une de mes absences, le
Roi
et la Reine d’Angleterre, qui étaient alors le Pr
héâtre. Ce jour-là, ce fut une doublure qui dansa à ma place, mais le
Roi
et la Reine ont dû croire que c’était moi qu’ils
Ils n’y assistèrent pas, en effet, mais la Princesse avait invité le
Roi
et la Reine et toute leur suite, en limitant tout
Le souper était prêt depuis déjà longtemps et la séance finit là. Le
roi
me demanda, il m’en souvient, si je pouvais danse
ns vingt fois et nous avions terminé par les danses lumineuses que le
roi
n’avait jamais vues. Tout le monde, cela va sans
r on travaille À mettre tout en bel arroi Pour ce charmant Plaisir du
ROI
. 100. Préparation du Grand Divertissement
ts et la Comédie Se pouvaient nommer, sur ma foi Un divertissement de
Roi
: Mais, à parler en conscience, J’eus bien besoin
Subligny, dixième semaine, lettre du 18 janvier 1666 Le
ROI
ces jours passés vit les grandes Machines Des Com
r. Les chanteurs et les chanteuses qui exécutent les concerts chez le
Roi
et chez la Reine, sont appelés ordinaires de la M
chez la Reine, sont appelés ordinaires de la Musique de la chambre du
Roi
. Lorsque Louis XIV donnait des fêtes sur l’eau, i
couvrir, mais seulement à ceux qui chantent. Il y a à la chapelle du
Roi
plusieurs castrati qu’on tire de bonne heure des
es capitaineries, et leur parlait quelquefois avec humanité. Ce grand
roi
prenait plaisir à consoler ces malheureux de la b
e les monarques ou que la foule. Certains sentiments, eux aussi, sont
rois
. A Nice, au Riviera Palace Hôtel, je découvris, c
avoir lieu à l’hôtel, en l’honneur d’un grand-duc de Russie, de deux
rois
et d’une impératrice. Je me souviens que la Patti
tait-il donc pour se trouver ainsi, au titre d’invité, parmi tous ces
rois
et ces reines, tous ces princes et ces princesses
as, il fit les présentations. J’appris alors qu’il était le fils d’un
roi
de l’industrie internationale et des plus connus
es chariots étaient ceux qui allaient représenter un Ballet devant le
Roi
, et dont on formait par cet arrangement un premie
ontrés ainsi à une multitude innombrable, ils arrivèrent au Palais du
Roi
, où ils dansèrent un grand Ballet allégorique. L
sur Alithie compagne inséparable du plus sage et du plus éclairé des
rois
. Après ce récit, le Vieillard, accompagné des tro
rtisans des beaux Esprits, MARDI, l’on délivra les Prix Fondés par le
Roi
notre SIRE, Qui des LETTRES chérit l’Empire, Pour
tes, Comme on sait, dans leur noble Emploi, Pour divertir notre Grand
Roi
, L'un, par sa belle Comédie, Et l’autre, par son
toute sorte d’instrumens qui accompagnent la Musique. Les plus grands
Rois
du monde se sont fait un plaisir de danser quelqu
utres Bouffons condamnez par les Conciles, par les Ordonnances de nos
Rois
, & par les Arrests des Cours ; parce que le M
ême famille, Deux fils, une fort jeune Fille, Y donnent un plaisir de
Roi
, Par de charmantes mélodies, Par de petites Coméd
La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 Grand
ROI
, de qui la complaisance, Se joint à la magnificen
ins agréable ; Je souhaiterais, par ma foi, Pour l’amour de son jeune
Roi
, Que la chose fût véritable.
anobli ; il prit le nom de Beaujoyeux, fut nommé valet-de-chambre du
roi
et de la reine sa mère ; il se rendit si illustre
n bon sens. L’impression de la musique fut beaucoup moins vive sur le
roi
, car il est dit qu’il ne fit que rire. Les ballet
que, le cardinal Mazarin fit représenter, au Petit-Bourbon, devant le
roi
et la reine-mère, une pièce italienne intitulée :
la cour des ballets accompagnés de déclamation et de symphonie, où le
roi
, les princes et les plus grands seigneurs dansaie
troducteur des ambassadeurs auprès de Gaston, duc d’Orléans, frère du
roi
Louis XIII, entreprit de surmonter ces obstacles
de l’Opéra Jean-Nicolas de Francine, son gendre, et maître-d’hôtel du
roi
. En 1698, Francine s’associa pour un quart Hyacin
nt-Germain furent chargés de la régie de l’Opéra ; enfin, en 1749, le
roi
donna à la ville de Paris la direction générale d
n, ministre et secrétaire d’état ayant le département de la maison du
roi
. En conséquence, M. Bernage, prevôt des marchands
’exploitation de l’Opéra, dans ses moindres détails, fut réglé par le
roi
lui-même dès 1713, on est moins surpris de lire l
à toute personne, même à celles qui faisaient partie de la maison du
roi
, d’entrer à l’Opéra sans payer ; défense à la liv
it d’autres exceptions à ces règles que pour les spectacles devant le
roi
, et ceux qui avaient lieu pendant les foires de S
a dispute des Bouffons et de Lulli, le coin de la reine et le coin du
roi
, les pamphlets, et les injures, la dispute partou
evait pas à plus de 150,000 livres par année ; il coûtait beaucoup au
roi
. Les recettes ne produisaient pas au-delà de 450,
ême, tantôt par ses délégués, tantôt par le ministère de la Maison du
roi
, et placée sous le patronage de messieurs les gen
n reprenait : Écartez de vous les profanes, Les lâches partisans des
rois
, Et jurez de venger les mânes Des amis des mœurs
aussi ridicule, il faut bien le dire, que celle des ballets du grand
roi
. La Commune de Paris ne négligea rien pour conser
appelé Académie impériale de Musique ; il fit partie de la maison du
roi
, comme il avait fait partie du palais de l’empere
onnelles, n’existait plus ; l’embarrassant patronage de la chambre du
roi
était tombé ; il fallait lancer, en quelque sorte
a Saint-Martin, puis il s’interrompait et reprenait après le jour des
Rois
, et continuait de temps à autre durant le carnava
ue jour. Le bon marché, qui veut s’en prendre aux gouvernemens et aux
rois
, menace aussi l’empyrée de l’Opéra. Tous les soir
éra. Dès sa naissance, il y eut, à deux reprises, deux ordonnances du
roi
pour interdire l’entrée des coulisses à tous ceux
L’habitude et le diable ont triomphé de tous les obstacles. Sous les
rois
de nos pères, les grands seigneurs se glorifiaien
ur. 7. Mrs Vincent et de la Barre. 8. Premier Valet de chambre du
Roi
ner ceci s’amuse, On prépare en moult bel arroi L’admirable Ballet du
Roi
, Dont les raretés sans-pareilles Passent pour aut
ouvés par une loi expresse. L’Histoire qui nous peint tous les grands
Rois
occupés sans cesse à cultiver, à honorer les arts
est vrai qu’il eut une manière à lui d’être méchant homme, et mauvais
Roi
.
binet, lettre du 9 mars 1669 Le lendemain, le Grand Ballet Chez le
ROI
joua son Rôlet, Et le lundi d’ensuite encore, S’e
ruction et de génie ; il s’imagina qu’il falloit représenter un grand
Roi
à la Toise, en conséquense il se fit faire un cot
suite, et sans avoir recours à de si petits moyens, il se présenta en
roi
occupé des projets les plus vastes et les plus im
dit froidement à Hilas : « Jeune homme, nous avions à représenter un
roi
qui commandoit à vingt rois, tu l’as fait long ;
Jeune homme, nous avions à représenter un roi qui commandoit à vingt
rois
, tu l’as fait long ; je l’ai fait grand. » Par un
LIÈRE, Par un Concert incomparable, La rendent fort recommandable. Le
ROI
, MADAME, avec MONSIEUR, Lui voulurent faire l’hon
’ils ont de plus aimable. 94. Par la Troupe Royale et la Troupe du
Roi
.
de Lutèce ; Vous avouerez de bonne foi, Que c’est un vrai Plaisir de
Roi
. 127. Le Marquis de Pourceaugnac. 128. sic.
es occasions éclatantes, pour signaler son zèle et son amour pour nos
rois
ou pour célébrer les événements glorieux à la Fra
d’un pareil miracle, sans surcharger le Peuple, et sans importuner le
Roi
. Ce Magistrat que la postérité, pour l’honneur de
s deux dans la fosse ? (ibid. c. 15, v. 14.) On lit au 3.e livre des
rois
, (c. 22.) que pour un seul véritable prophète, no
tisoit jamais rien de bon, et qu’il ne lui annonçoit que du mal . (5.
Rois
, c. 22, v. 8.) N’étoit-ce pas faire entendre clai
61 Toutes s’expliquant par des VOIX Qui charment ce plus grand des
ROIS
. Les ARTS, qui sous lui rajeunissent, Et de tou
et huit pages représentent les Muses. 62. Pyrame et Thisbé. 63. Le
Roi
, le Marquis de Villeroi, Madame et la Marquise de
tion galante Fut, tout à fait, divertissante, Et cadrant à l’Hymen du
Roi
; Bref, je vous puis jurer ma foi Que cette Actio
Mantes Valent bien de l’argent, ma foi : Ce sont, aussi, Présents de
Roi
. 84. Au Palais Royal. 85. sic. 86. Mademoise
t ou devine, Et lit dans un je ne sais quoi Les Caractères d’un Grand
Roi
. Lundi, vous dansâtes encore L’agréable Ballet de
21 février 1660 Mollier, Esprit de bon aloi, Illustre Musicien du
Roi
, Par une agréable boutade, Fit un Ballet, ou Masc
er 1664 Je vous dis donc, de bonne foi, Qu’en parlant du Ballet du
Roi
, Je fis dans ma Lettre dernière, Une faute absurd
t d’ENTRÉES Qu’il est de Mortels et d’Emplois, Sans excepter Papes ni
Rois
, De cette Loi dure et griève. L’ABBÉ de SAINTE GE
ccès et fut d’abord représentée à Issy, ensuite à Vincennes devant le
roi
. Les auteurs applaudis s’associèrent alors avec l
osée de tel nombre et qualité de personnes qu’il aviserait, et que le
roi
choisirait et arrêterait sur le rapport du direct
ra pas de cette clause si étrange, si l’on songe qu’à cette époque le
roi
, les plus grands seigneurs et les plus grandes da
’installer au théâtre des Tuileries ; puis l’administration obtint du
roi
la permission de jouer des opéras en un acte sur
Que Palais Royal on appelle, Lundi dernier, Jeudi passé, Le Ballet du
Roi
fut dansé. Je ne saurais encor que dire De ce Bal
ramis paraît ; en sa présence on prête le serment de reconnaître pour
Roi
celui qu’elle choisira pour époux. Ninias entre s
isième Acte représente un Bosquet sacré où l’on voit les tombeaux des
Rois
d’Assyrie ; celui de Ninus est sur le devant. Au
Reine de Carthage. Enée , Prince Troyen. Jarbe , Prince Maure, et
Roi
des Gétuliens. L’Amour , sous la forme d’Ascagne
rès de Didon ; il est entouré par les Troyens. Jarbe, Prince Maure et
Roi
des Gétuliens paroît ; il est devancé et suivi pa
s les couronnes de l’univers : Cependant en dédaignant les vœux de ce
Roi
, elle fait sentir à Enée que lui seul règne sur s
cette Reine infortunée. Didon, qui déteste la vie, et qui abhorre ce
Roi
, refuse avec horreur et sa main et ses secours. C
, l’on voit tout rire Par un sort des plus accomplis Que n’eût jamais
ROI
des LYS, Alla dans son charmant Versailles, Où la
La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 Le
ROI
, dont la magnificence Égale la haute puissance, D
e la grandeur, de parler de l’éclat de votre Sang, né pour former nos
Rois
, & de ce haut courage qui en est l’ame : mais
t en Mascarade, En noble et triomphant arroi, (Louis, c’est-à-dire le
Roi
) Dont la splendeur presque infinie Charma toute l
es par le sacerdoce. C’est dans une de ces circonstances que le saint
roi
David se joignit aux ministres des autels, et qu’
fut ainsi chez les Romains, qui adoptèrent les dieux des Grecs. Numa,
roi
pacifique, crut pouvoir adoucir la rudesse de ses
e l’allégresse publique, les fêtes des particuliers, les mariages des
rois
, les victoires, etc. firent inventer en temps dif
tances solennelles de tristesse et de deuil. Dans les funérailles des
rois
d’Athènes, une troupe d’élite vêtue de longues ro
rchaient lentement et en mesure, en chantant des vers à la louange du
roi
mort. Cette pompe était suivie d’un grand nombre
frappées d’anathème par les papes, abolies par les ordonnances de nos
rois
, et sévèrement condamnées par les arrêts des parl
des Saliens. Numa Pompilius l’institua en l’honneur du dieu Mars. Ce
roi
choisit parmi la plus illustre noblesse, douze pr
arde de manquer de citer ce qui est rapporté dans le second livre des
rois
: (c. 6, v. 14.) David, revêtu d’un éphod de lin
s ont autant remarqué tout ce qui est dit dans l’histoire de ce saint
roi
pénitent, des différens caractères si admirables
e sur la danse de David, (M. d’Asfeld, concordance et explication des
rois
et des paralipomènes, tom. 4. p. 100 et suiv.), n
nté, comme Michol, de la condamner comme peu séante à la majesté d’un
roi
et à la gravité d’un prophète. Mais si, en pénétr
t à cette raillerie de Michol ? Apprenons-le de l’histoire sacrée. (2
Rois
, c. 6, vv. 21 et 22.) Oui, dit-il, devant le Sei
sçavez, MONSEIGNEUR, que l’exercice qui en fait le sujet, a servi aux
Rois
les plus sages & aux Héros les plus illustres
lace de la ville. La colonnade est ornée de tous les trophées que les
Rois
d’Argos et de Mycènes ont enlevés dans les différ
ne foule innombrable de peuple s’assemble sur la place, pour voir son
Roi
, qui, après douze ans d’absence, rentre dans ses
jà prévenus par l’epouvante qu’Electre a semée. Elle leur montre leur
Roi
assassiné, respirant à peine, et Cassandre privée
ce double spectacle d’horreur les Officiers volent au secours de leur
Roi
, et les femmes se grouppent autour de Cassandre.
et de l’autre ; mais Electre leur crie : c’est mon frère, c’est votre
Roi
! elle leur montre comme un témoignage de cette v
ciers pénétrés d’amour et de respect pour l’héritier légitime de leur
Roi
, tombent et se prosternent aux pieds d’Oreste, qu
de cariatides qui supportent des lampes sépulchrales. Le tombeau des
Rois
d’Argos et de Mycènes forme la partie principale
n Décret en 744 pour les défendre : dans les suites, les Évêques, les
Rois
, les Empereurs, s’unirent tous à lui pour les pro
es objets plus élevés que soi qu’il nous pousse et nous entraîne. Les
Rois
n’imitent point les grands Seigneurs qui les ento
i méritent d’être admirées, Où Princes et Grands de la Cour, Et nôtre
Roi
digne d’amour, En comblant nos cœurs d’allégresse
rnée, dans une famille intimement unie ? Qu’on démêle le caractère du
Roi
qui règne ; l’esprit des Lois qui enchaînent cett
urs premières Lois, leurs superstitions, et peut-être leur gloire. Ce
roi
forma d’abord un Collège de prêtres qu’il institu
mêmes, les Dames et les Seigneurs les plus aimables de leur Cour. Les
Rois
ajoutaient souvent à tout ce qu’on vient de rappo
igny à côté de Mademoiselle Sallé ? Quelle exécution, du temps du feu
roi
, aurait pu être comparée à celle de Mademoiselle
s, de tous honneurs, En ce Ballet galant dansèrent, Et, des mieux, le
Roi
secondèrent. Cinq jeunes et rare beautés, Sources
Avecque plusieurs de leur Cour, Tant en riche que simple Atour. Le
ROI
, comme maint le proteste, En Persan, avait une Ve
terie sans… apparat. Le lendemain, à son petit-lever, on entretint le
roi
de cette espièglerie. Le jeune Louis XV en rit à
nce de son amant, que ses devoirs de lieutenant général des armées du
roi
avaient emmené loin de Paris, ne voulut pas paraî
ernier venait de la doter du marquisat de Courvoy, lorsqu’un ordre du
roi
lui enjoignit de rallier son régiment, lequel ten
Elle avait eu aussi pour amant Bontemps, premier valet de chambre du
roi
, qui mourut en 1766. A cette occasion, dit Bachau
plus assidus. Avec eux, M. de la Borde, valet de chambre ordinaire du
roi
, était un de ses amants utiles. « Il ne contrib
péciale : quiconque voulait, par ce ministre, arriver à une faveur du
roi
, était imposé d’une certaine somme, versée préala
ethsabée, femme d’Urie, fit tomber David dans l’adultère. (Liv. 2 des
Rois
, c. 11.) La trop grande complaisance de Samson po
ennemis. (Liv. des juges, c. 16.) Enfin, on voit dans l’histoire des
Rois
, (L. 3, c. 11.) que les femmes étrangères que Sal
Salomon aima passionnément, corrompirent à un tel point le cœur de ce
roi
, auparavant si sage, qu’elles lui firent suivre d
Le Ballet de l’Opéra, par Victor Du Bled Comme la cour des
rois
, comme la cour du roi des rois, comme toute admin
Opéra, par Victor Du Bled Comme la cour des rois, comme la cour du
roi
des rois, comme toute administration, comme tout
ar Victor Du Bled Comme la cour des rois, comme la cour du roi des
rois
, comme toute administration, comme tout empire, c
ns aient eu le temps de faire le geste symbolique, un aide-de-camp du
roi
entre dans leur loge, les supplie, au nom de la r
ne. Les lions s’empressèrent de déférer à son vœu, et le lendemain le
roi
signait la grâce de Meunier. Nestor Roqueplan aff
Privilege du
roy
. Louis par la grace de Dieu Roy de France &
di dernier, au Ballet, Au Ballet des Arts, c’est-à-dire, Le Ballet du
Roi
notre Sire, Qui sous son Règne glorieux, Dans Par
le treiziéme siécle, de même que des danses Baladoires : en quoi nos
Rois
se sont conformez dans leurs Ordonnances au senti
, malgré les défenses de l’Eglise & contre les Ordonnances de nos
Rois
; ce qui dans les Synodes a donné lieu à agiter s
les auteurs de cette profanation. On trouve dans le second Livre des
Rois
, chap. 6, que David se fit un honneur d’accompagn
es constitutions ont été plusieurs fois appuyées par des Edits de nos
Rois
, & pour la défense des danses Baladoires qui
eptembre 1667, que je rapporte ici pour faire voir l’attention de nos
Rois
pour la suppression des fêtes & des danses Ba
re Romaine nous fait voir que Numa Pompilius, après avoir été déclaré
Roi
des Romains l’an 40 de Rome, institua une danse S
tion au théâtre ; c’est à Loïe Fuller que j’aurais confié (si j’étais
roi
!) la scène des Sorcières de Macbeth, l’Ariel de
théâtre, étant libre, fut cédé à Lulli sur-intendant de la musique du
Roi
, pour y représenter ses opéras. Ce spectacle eût
yeux Que mille grâces naturelles Qu’on voyait éclater en elles. Le
Roi
parut, soudain après, Sous la figure de Cerès ; P
d’Achille, Genéral des Grecs. Polixène , fille de Priam. Priam ,
Roi
des Troyens. L’ombre d’Achille . Dames troyen
qui veut l’immoler à sa fureur l’atteint au peristille du temple. Ce
Roi
prosterné aux pieds de la statue de Jupiter, semb
fermaient machinalement chez eux par la même raison, qui fait que les
Rois
entre eux ne se visitent guère. Leur vie ordinair
les entendre. Henri III même alla chez Baïf ; mais les Courtisans, le
Roi
, les mignons ne prirent pas plus d’intérêt à cett
de la jambe ramené vers la cuisse. C’est ainsi que la sirène fuit le
roi
des singes, dans un pas qui est la contrepartie d
, Le plus GRAND Prince de la Terre. 101. sic 102. de la Troupe du
Roi
. 103. Personnage de la Comédie qui fut jouée.
s craindre le holà, Peut aller au parterre insulter Attila ; Et si le
Roi
des Huns, ne lui charme l’oreille, Traiter de Vis
des Spectacles gratuits, qui ne servaient qu’aux divertissements des
Rois
et des Princes. 86. Quelle idée !
p de péchés ? Après quelque grand événement favorable à un état et au
roi
qui le gouverne, comme la naissance d’un prince,
, vv. 14 et 15.) Personne ne s’intéresse plus sincèrement au bien des
rois
et des états que les bons chrétiens ; ils se font
nt un devoir de religion de prier souvent pour la santé et la vie des
rois
, pour la prospérité de leurs armes, pour éviter l
sous prétexte de la danse sacrée. Il y a plusieurs ordonnances de nos
Rois
qui les défendent, comme tendantes à la corruptio
on totale des mœurs. Recueil d’édits, ordonnances et déclarations des
Rois
de France. (B) Bocane Bocane, s. f. danse
donné le nom de brandons. Voyez Danse sacrée. Les ordonnances de nos
rois
ont sagement aboli ces danses, ainsi que les bala
nnait, le reconnaissait pour son père, pour son bienfaiteur, pour son
Roi
. On réservait son Apothéose et celle d’Isis pour
ciel, c’étoit pour y contempler le grandeur et la majesté du Roi des
Rois
, et pour rendre graces au maître de l’univers des
d’une admiration respectueuse. Il est donc indécent de transformer un
Roi
pieux en Baladin ; surtout dans une cérémonie aus
la somme de 25 livres ; ensuite on forme un bal champêtre. Plusieurs
Rois
de France ont honoré de leur protection cet établ
ordes, son premier Capitaine des Gardes, qui fit la cérémonie pour le
Roi
, par les ordres du quel il ajouta au prix une bag
donnait autrefois le nom de chantres aux musiciens de la chapelle du
roi
: ils s’en offenseraient aujourd’hui ; on les app
en fait de préventions et d’erreurs sur certains chapitres : mais un
roi
tel que Charlemagne n’était pas fait pour adopter
s Français. C’est un hommage que l’académie royale de Musique rend au
Roi
. On ignore pourquoi l’ancienne musique, beaucoup
t été chargées. Anne Daveau, dit Philidor, ordinaire de la musique du
Roi
, en donna l’idée en 1725. C’est un spectacle trib
lus goûtées du public, et les voix de la chapelle et de la chambre du
Roi
les plus brillantes qu’on a le soin d’y faire par
blic y court en foule. Ce n’est que là, au reste, et à la chapelle du
Roi
, qu’on peut jouir des beaux motets de M. Mondonvi
és de dessus et de bas-dessus ; les premières sont placées du côté du
Roi
, les autres du côté de la Reine. Voyez Chœurs. La
côté de la Reine. Voyez Chœurs. La partie des dessus à la chapelle du
Roi
, est chantée par des castrati. Voyez Chanteur. (B
ir ignoré. Succédant aux tournois, la Danse encor grossière, Chez nos
rois
, à Paris, y monta la première1 ; Lorsque Circé pa
oyeux Tricotets 3 Et le pas d’Henri-Quatre ont orné nos ballets. Ce
roi
si valeureux, si chéri de la France, Et son ami S
: Malgré le préjugé, les souples courtisans, Des plaisirs de leur
roi
devinrent partisans. Cet art, que les bigots ont
étaient de la composition de Beauchamps, sur-intendant des ballets du
Roi
. « Les spectacles de Danse avaient été formés j
y, et M.le marquis de Rossen, y parurent en public une fois devant le
Roi
, qui vint voir ce spectacle ; et choisirent pour
cadémie royale de Musique, en 1671 : mort en 1705. Il dansait avec le
Roi
dans les ballets de la Cour. La critique qu’en fa
onte dans ses Mémoires le fait suivant, en parlant de Madame, sœur du
Roi
. « Elle eut la bonté de m’apprendre elle-même le
de quatre-vingts étaient de grands ballets dans plusieurs desquels ce
Roi
dansa. Cahuzac, Traité de la Danse. – Voyez les
. David, revêtu d’un éphod de lin, dansait devant l’arche. Livre des
Rois
, chap. 6. 6. Socrate est loué par les philoso
à Saint-Germain le 13 février 1669. Dans le nombre de ces ballets, le
Roi
en dansa un dont le sujet était Psyché ou la Puis
nd du Désert, maître à danser de la Reine. Prévôt, maître à danser du
Roi
. Jean Renaud, maître à danser de Monsieur, frère
uissaient de tous les droits des officiers commensaux de la maison du
roi
. La Danse Théatrale, ainsi dénommée, pour la dis
ilan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée. Le
Roi
en fit l’ouverture ; les Cardinaux de Saint-Sever
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