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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
verains Je me souviendrai toujours, et avec quelle joie, de ma 600e représentation à Paris. J’étais alors au théâtre de l’Athénée. L
abitants par leurs clameurs. J’allais oublier de dire que pendant la représentation , j’avais reçu de mes admirateurs, avec un album d
artistiques me demanda s’il ne me plairait pas de donner un soir une représentation en plein air. C’était mon plus vif désir. J’acqui
désir. J’acquiesçai donc. On fit aussitôt des préparatifs pour que ma représentation eût lieu à la même place où l’on avait admiré les
tard, si elle obtenait du succès. Ce n’était que pour cette prochaine représentation que nous comptions faire des annonces. La nuit ét
a foule se précipita vers l’estrade. Ce fut, malgré l’impromptu de la représentation , un succès colossal, et le comité décida de conti
n, un succès colossal, et le comité décida de continuer désormais les représentations en plein air. Lors de la seconde soirée, au momen
s hardiment vers lui. Quelques jours plus tard, on m’engagea pour une représentation qui devait avoir lieu à l’hôtel, en l’honneur d’u
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
que je n’hésitai point à prendre la responsabilité financière de ses représentations quand elle projeta de venir en Europe avec toute
e dansais dans un autre théâtre, mais on vint me dire à l’issue de la représentation , que Hanako avait eu plus qu’un succès : un vrai
nako fit fureur. Partout elle fut obligée de doubler le nombre de ses représentations . Après Copenhague elle fit une tournée de neuf mo
moi pendant près d’un an. A la fin de leur contrat ils donnèrent des représentations à Marseille puis se dispersèrent. Quelques-uns re
, que l’on sût ou non le japonais. Puis je signai un contrat pour dix représentations à titre d’essai. Un contrat ?… Oui, un contrat !…
m’offrit un engagement très important pour mes Japonais et pour trois représentations . J’acceptai. La troupe partit vers Monaco où elle
tations. J’acceptai. La troupe partit vers Monaco où elle donna douze représentations au lieu de trois. En même temps un petit théâtre,
3 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
empête ; les répétitions ; dépenses pour la mise en scène. — Première représentation le 15 septembre 1834. — Physionomie de la salle. 
chel. — Les deux sœurs Elssler à Berlin. — Retour à Paris. — Première représentation des Huguenots, le 29 février 1836. — Vogue de l’E
 Grillparzer à Paris ; son jugement sur les sœurs Elssler. — Première représentation du Diable boiteux, le 1er juin 1836. — Succès com
es portraits du duc d’Orléans et de Fanny Elssler au salon de 1838. —  Représentation à bénéfice du 5 mai 1838. — Second portrait de Fa
de Fanny avec l’Opéra. — Rupture avec Paris. — Tournées en Europe. —  Représentations de Fanny à Vienne. — Ovations à Berlin ; le poète
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
re XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse Toute Représentation théâtrale doit avoir trois parties essentielles.
es proportions convenables, l’action est complète, et le charme de la représentation infaillible. La Danse théâtrale, dès lors qu’elle
résentation infaillible. La Danse théâtrale, dès lors qu’elle est une représentation , doit donc être formée de ces trois parties qui s
l’action entière dont ils sont les parties. Il en est ainsi de toute représentation en Danse. Les trois parties dont on parle, sont,
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
cilité précieuse qui est toujours la marque du grand talent. Comme la représentation , et par conséquent l’imitation fut leur objet pri
Citoyens avait dans les affaires publiques, le moyen facile dans des représentations imitatives, de peindre, avec les couleurs les plu
ère d’imitation qu’elle avait toujours eu, auquel on ajouta celui, de représentation qui était propre au local, où on venait de l’intr
6 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
ficiles qu’il y ait jamais eu sur les Beaux Arts, et surtout, sur les Représentations théâtrales. Sans étaler ici une érudition qui n’a
ornerai à dire que Lucien nous assure qu’on pleurait de son temps aux Représentations Pantomimes, tout de même qu’à celles des Tragédie
ramatiques de leurs grands Poètes. Quelques Auteurs ont assuré que la représentation de trois Tragédies de Sophocle coûta plus aux Ath
s célèbres ; si la passion extrême que les Romains avaient pour leurs représentations alla jusqu’à partager le peuple en deux factions,
e application raisonnée à toutes sortes d’inventions poétiques, et de représentations théâtrales, et par conséquent aux Danses Pantomim
Pièces dont la durée de l’action se rapproche le plus de celle de la représentation , toutes choses égales, sont regardées comme les p
ons au contraire à chaque instant qu’il est trop long. La durée de la représentation d’une Pièce de théâtre peut aller jusqu’à trois h
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
cle parut susceptible de la plus heureuse variété. Il pouvait être la représentation des choses naturelles ou merveilleuses, puisque l
toriques, Fabuleux et Poétiques. [Voir Ballet] Les premiers furent la représentation des sujets connus dans l’Histoire, comme le siège
our les rendre vraisemblables et pour donner un charme nouveau à leur représentation , l’art devait venir au secours de la nature ; et
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
e, rendre les leçons des Philosophes profitables, et faire servir les Représentations même du Théâtre à la correction et à l’amusement
t infecté le Théâtre, restreignit à certains jours de la semaine, les représentations dont la continuité était préjudiciable au commerc
9 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
doit sa perfection aux danses des réjouissances publiques, & aux représentations des Balets de la danse Théâtrale dont les Grecs s
s l’on sçait aussi que les Italiens n’ont imaginé l’Opéra que sur les représentations des Balets des Grecs, & que l’invention de ce
udicité des Satyres, & de cent autres sujets qui conviennent à la représentation & à la perfection des Balets. Néanmoins j’ose
conformes à ce que l’on chantoit ; ce qui fut les premiers essais des représentations des Pantomimes. Ainsi la spirituelle Eriphanis pa
antoient les vers de l’Illiade & de l’Odyssée, avec une espece de représentation . Lysanias, au Traité qu’il a fait des Poëtes Iamb
mperisoient de quelques apparence de gravité & d’ordre dans leurs représentations , à cause des vers d’Homere, d’Hésiode, d’Archilog
n rapporte dans son Traité de la Doctrine Chrétienne, Liv. 2, que les représentations de Balets à Carthage étoient composées avec si pe
ionnez, puisqu’il n’est point de sujets dont on n’en puisse faire une représentation aussi agréable que convenable au Théâtre ; ce qu’
ils sont demeurez jusqu’à présent. Les Jésuites firent en Espagne une représentation d’un Balet ambulatoire, pour la solemnité de la b
de M. de Lully, qui étoient deux génies excellens pour ces sortes de représentations . Après le rétablissement du Roi Charles sur le Tr
rvit M. le Comte d’Aglie auteur de ce Balet, le rendit d’une agréable représentation . L’Auteur feignit que l’Amour qui a toujours un b
M. le Duc de Nemours en 1657, M. Clement, homme fort entendu pour les représentations des spectacles, fit le Balet de la nuit, qui a pa
eurs, Cuisiniers, des Spadacins, &c. Enfin l’on voyoit dans cette représentation Bal, Balet, Comédie, Festins, Concert, sabat, tou
10 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
u plus de 4 000 francs par an. Il faut compter aussi le produit d’une représentation à bénéfice à laquelle les deux sœurs avaient droi
droit pour la durée triennale de leur engagement. La première de ces représentations eut lieu le 5 mai 1838 ; la recette que les deux
sumé, les appointements fixes (8 000 fr.), les feux (4 000 fr.) et la représentation à bénéfice (3 000 francs), constituaient à Fanny
ire dit que l’on redoute des étouffements pour le soir de la première représentation . En vue de cette soirée mémorable, « vingt châtea
Le 14, il dit que toutes les loges sont louées jusque pour la sixième représentation , et le 15, jour de la première, il écrit encore :
ière à surexciter la curiosité et l’impatience du public, la première représentation de la Tempête eut lieu le 15 septembre. La salle
a Gazette des Théâtres définit ainsi : « En vérité, avant la première représentation de ce ballet-pantomime on avait tellement fatigué
perai du pied droit. » Il le fit pour la première fois de sa vie à la représentation suivante et… se cassa la jambe. *** La presse,
eut pendant plusieurs jours une espèce de stupeur charmée. La seconde représentation et les suivantes confirmèrent la bonne impression
ber avec elle. Le 16 octobre, le Théâtre Nautique donnait la première représentation d’un ballet chinois en trois actes, à grand spect
le carrière. Voici quelles furent les recettes des quatorze premières représentations  : 15 sept. 1re représentation avec Fernand
recettes des quatorze premières représentations : 15 sept. 1re représentation avec Fernand Cortez (12e) 7 614 fr. 17 — 2e — 
0 — 28 — 11e — — Le Comte Ory 6 584 — 7 déc. (un dimanche), 12e représentation avec Le Dieu et la Bayadère (75e, dansé par Marie
eu et la Bayadère (75e, dansé par Marie Taglioni) 8 775 — 15 — 13e représentation avec Guillaume Tell (106e) 7 513 — 26 — 14e — 
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
ur la première fois à un de ces spectacles. Frappé de la vérité de la représentation , il laissa échapper, malgré lui, des marques d’ét
r ouvre la Scène. Au moment qu’il paraît, la symphonie se tait, et la représentation continue. Sans autre secours que les pas, les pos
ansport de plaisir qui lui échappe, s’écrie : Non, ce n’est point une représentation  ; c’est la chose même. À peu près dans le même t
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
pour divertir la multitude, qui ne prenait qu’un plaisir médiocre aux Représentations régulières. On donna à ces Danseurs le nom de Mim
de tous les Instruments connus. Il joignit des Chœurs de Danse à ses Représentations  ; il eut soin que leurs pas, leurs figures fussen
sensibles. Les pleurs, les sanglots interrompirent plusieurs fois la Représentation de Glauque dont le Pantomime Plancus jouait le rô
13 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
ages du costume. Je ne pus obtenir de bannir l’or et l’argent dans la représentation du ballet des Horaces ; il fallût, par (un arrêt
ier qu’ils n’étoient pas Grecs, et qu’ils ne pouvoient l’être dans la représentation d’un sujet tiré, pour ainsi dire, du berceau des
Il est le portrait fidèle de toutes les nations et fait le charme des représentations théâtrales ; sans costume point d’illusion, point
ne. Sans cette précaution l’éffet sera nul, le but sera manqué, et la représentation privée de cette vérité qui en impose, ne pourra e
du costume ne se bornent point au vêtement. Les décorations étant aux représentations dramatiques ce que la toile est au tableau ; elle
cadre qui réuniroit à la fois tous les genres de beautés. Une grande représentation théatrale exige le concours de plusieurs arts ; m
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas et Lettres en vers de Boursault »
ements préférés de la cour, il n’est pas impossible que le roi fut en représentation .
15 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
ns la Tarentule. Elle eut un succès inouï que n’épuisèrent pas quinze représentations et qu’elle s’empressa de raconter à Théophile Gau
Opéra. Mais en même temps on lui offrait dix mille dollars pour vingt représentations à donner à la Nouvelle-Orléans. « Nous avons tenu
illard, la tempête et les bancs de sable. Après avoir donné vingt-six représentations à la Nouvelle-Orléans et pris quelques jours de r
ue, elle rentra directement à New-York, y donna une nouvelle série de représentations , ainsi qu’à Philadelphie et à Boston. Le 16 juill
age en Amérique, Fanny Elssler avait donné cent quatre-vingt-dix-neuf représentations . Son bénéfice s’élevait, toutes dépenses payées,
es autres spectacles, les personnes qui ne trouvent plus de place aux représentations du Park sont priées de vouloir bien se rappeler q
cachets variaient de six cents dollars à douze cents par soirée. Des représentations à bénéfice lui rapportèrent trois et même quatre
lui rapportèrent trois et même quatre mille dollars. A la Havane les représentations à bénéfice avaient lieu selon un rite particulier
marque un champ vaste à la méditation… *** Assistons maintenant à une représentation . Fanny vient de terminer un de ses pas de la Tare
n somptueux carrosse qu’escortent deux domestiques à cheval. Après la représentation , le même équipage l’attend à la porte du théâtre,
musiciens du théâtre de Boston donnent une sérénade à Fanny après la représentation . Quand ils sont partis, elle se hâte de se couche
e ou comme on relit les mots tendres d’une bien-aimée. A la fin d’une représentation organisée à Philadelphie par la colonie allemande
République, Van Buren, assistait au théâtre, avec les ministres, à la représentation donnée par Fanny, et il fut décidé que le lendema
politesse en invitant deux cent cinquante hommes de l’équipage à une représentation dont elle composa le programme à leur intention.
ux et, par une attention particulière, une valse de Strauss. Après la représentation , Fanny fut rappelée par les matelots avec un extr
s Antilles. Le peuple, qui ne pouvait s’offrir le luxe d’assister aux représentations de Fanny, n’en subissait pas moins le contre-coup
gumènes firent devant l’hôtel un vacarme sauvage. Le 18 était jour de représentation . Les Allemands escortèrent Fanny du théâtre jusqu
e son bonheur profitât aux malheureux. Sur cent quatre-vingt-dix-neuf représentations , elle en donna vingt et une à titre gracieux, au
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
n agent. Accepter, même si M. Gailhard me les proposait ferme, quatre représentations par mois, il n’y fallait pas songer. C’était, péc
. On me répondit que je pourrais être reçue seulement à l’issue de la représentation et on nous installa, ma mère, Marten Stein et moi
laisir que me procurait la constatation de son insuffisance. Après la représentation , lorsque nous fûmes en présence du directeur — c’
je pus tout de même répéter cette cinquième danse, et à l’heure de la représentation tout était prêt pour mes débuts. L’enthousiasme d
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
nnu a les attraits d’une Maîtresse nouvelle. On se passionne pour des représentations , dont on n’avait point l’idée. Le goût se ranime,
et semblait anoblir aux yeux de la multitude les querelles que leurs Représentations excitaient dans les deux partis. Tant qu’ils rest
s’en cachait pas. Le Pantomime outré le joua sans ménagement, dans la Représentation suivante. Ses partisans applaudirent à cette inso
18 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
ut chancelante. En février, un gros événement artistique, la première représentation de la Juive, occupa le public. La pompe extraordi
d’autres navires au bruit d’une épouvantable canonnade. La première représentation approchait, lorsqu’un effroyable événement rempli
aux environs de 4 000 francs, elles descendaient, à la 9e et à la 10e représentation , au-dessous de 3 000 francs. Don Juan lui-même, u
remarquable ; en moins de trois mois elles donnèrent plus de soixante représentations . Mais ces soirées de Berlin n’eurent aucune signi
du ballet. Le 29 février eut lieu un événement mémorable, la première représentation des Huguenots. La société la plus brillante de Pa
ol, c’étaient ses danses. En mai 1836, peu de temps avant la première représentation du Diable boiteux, le Monde dramatique publiait u
augmentait la sympathie qui l’entourait en prêtant son concours à des représentations de bienfaisance avec un empressement qui ne se re
t Fanny Elssler, la fourmi. *** Quelques semaines avant la première représentation du Diable boiteux, Fanny Elssler reçut une visite
ue du ballet était plus romantique que ses tragédies. *** La première représentation du Diable boiteux eut lieu le 1er juin 1836. Don
on ambition. Asmodée détruit aussi l’auréole de Florinde ; un soir de représentation , l’étoile a beau se surpasser ; grâce aux artific
l fallut au public, au vrai public, écrit Charles de Boigne, quelques représentations pour s’habituer à la cachucha. Ces déhanchements,
euse. Les fortes chaleurs de l’été 1836 ne lui firent aucun tort. Les représentations des Huguenots avaient dû être interrompues à caus
de ce qu’elle appelait son mal au genou, avait assisté à la première représentation du Diable boiteux. Elle avait été témoin du succè
aussitôt, par Nathalie ou la Laitière suisse, une série de vingt-six représentations au nombre desquelles il y avait la Fille mal gard
, les couronnes de reine et les amours de prince ! ! » Les vingt-six représentations rapportèrent 65 000 francs. C’était, pour le théâ
19 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
de la musique de Saint-Marc à Venise, y introduisit cette manière de représentations qui depuis sont devenues si célèbres par la magni
à la cour par ses inventions de ballets, de musique, de festins et de représentations , qu’on ne parlait plus que de lui. Pour les noces
é à Venise pendant l’ambassade de son père, avait pris le goût de ces représentations , et, en essayant de les reproduire, se montra, se
C’est à la reprise de cette pièce, trente-deux ans après la première représentation , en 1682, qu’on fit en France le premier pas vers
ane, la Mort d’Adonis, Ercole amante furent successivement l’objet de représentations particulières. Le marquis de Sourdiac, de la mais
our le musicien, cent livres à chacun, pour chacune des dix premières représentations  ; cinquante livres à chacun pour chacune des ving
es représentations ; cinquante livres à chacun pour chacune des vingt représentations suivantes, si elles ont lieu sans interruption ;
ns d’un ouvrage reçu devaient commencer en même temps que la première représentation de celui qui le précédait. L’ordonnance pousse en
l’hôpital-général, pour avoir contrevenu à cette disposition dans les représentations du Malade Imaginaire et de la Princesse d’Élide ;
. A la même époque, quarante-quatre musiciens avaient concouru à ces représentations , pour la composition de la musique. Parmi eux on
Les noms des artistes du chant et de la danse qui prenaient part à la représentation furent aussi inscrits sur les affiches du jour. L
amener le chant républicain : Allons, enfans de la patrie. Toutes les représentations commençaient par cet hymne que Laïs faisait reten
…., tout le monde se tenait debout et découvert. On donnait aussi des représentations de par et pour le peuple : le Gouvernement en fai
çaise avait été érigée en théâtre du peuple, c’est-à-dire destiné aux représentations officielles offertes gratuitement au peuple ; on
lles offertes gratuitement au peuple ; on ne pouvait être admis à ces représentations que sur l’exhibition d’une marque particulière qu
s, on aura une idée du parti que les idées républicaines ont tiré des représentations de l’Opéra, qui était aussi le centre de réunions
à-dire la gratification qui est allouée à certains acteurs par chaque représentation , et qui, dans son origine, était destinée à les i
égé par les masques accourus pour le bal. Le salle fut fermée ; toute représentation théâtrale était dès-lors impossible dans ce lieu,
ité envers les artistes, tantôt par l’heureuse et productive idée des représentations du dimanche, tantôt par le charme et la richesse
-dire dans les endroits, qui leur sont assignés pour se préparer à la représentation , dans les magasins, dans les classes du Conservat
paradis vint à son tour : il était coquet comme une bonne fortune. La représentation , avec ses habillemens de démons et d’anges, avec
palpitante d’énergique vérité, ne se sont pas bornés là. La première représentation de la Muette de Portici fut pour l’Opéra lui-même
20 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
aussi que les Grecs refuserent d’admettre les Danseurs de corde, aux représentations des Jeux Olimpiques, parce qu’ils n’avoient point
yant, je crois, dix mille écus ; moyennant quoi ils ont joint à leurs représentations des Piéces comiques qui peuvent passer pour une m
is ; aussitôt les spectateurs qui étoient venus pour voir la premiere représentation de sa Comédie, sortirent file à file, sans même r
i d’un singe, surtout ceux qui font profession de gagner leur vie aux représentations des Jeux publics. J’ai vû à Naples un Turc danser
sa vie, comme il lui arriva quelque tems après de la perdre dans une représentation qu’il fit à la Foire de Troyes en Champagne, dont
aux Cavaliers, qui vouloient bien lui présenter pour faire sa seconde représentation  : ce qu’il y a de surprenant, c’est qu’elle s’en
21 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
e fer. Julia, une biche de passage, a donné un soir pour excuse d’une représentation manquée : — Qu’elle avait oublié l’adresse du thé
aucoup d’argent, il s’y fait avec ses cours à domicile, sa régie, ses représentations et ses droits d’auteur, quelque chose comme sept
e fait quelquefois remplacer par son second, moins adroit que lui, la représentation devient vraiment curieuse. Les femmes s’offrent d
de la lecture aux artistes, à la répétition générale et à la première représentation . Passé cela, on ne l’aperçoit plus. On dirait qu’
22 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
francs, payables de mois en mois ; plus 250 francs de feux par chaque représentation , le directeur s’obligeant à lui fournir l’occasio
ois mois de congé par an rachetables par 8 000 francs, plus enfin une représentation à bénéfice à l’expiration de l’engagement. A ce t
d’avance sa part des recettes à effectuer, à savoir 1 500 francs par représentation . Léon Pillet n’eut pour se dédommager que la vent
n’eut pour se dédommager que la vente du mobilier et la recette de la représentation à bénéfice du 30 janvier 1840, que Fanny n’avait
e 1842 elle vint en spectatrice au Kærnthner-Thor, pour assister à la représentation du ballet le Naufrage de la Méduse. Des applaudis
œuvre des garderies d’enfants de Margarethen et de Neulerchenfeld. La représentation fut fixée au 28 septembre. Vienne fut en émoi. De
nvirons de Pâques. Elle donnait chaque fois une série de dix à quinze représentations sur la scène de la Porte de Carinthie. Chacune de
mière ville où Fanny, après son retour d’Amérique, donna une série de représentations fut Berlin. Elle y débuta le 18 octobre 1842 dans
Cracovienne. L’enthousiasme des Berlinois dépassa toute attente. Une représentation à bénéfice donnée le 22 novembre les jeta dans un
lioré. Dans les comptes rendus qu’il donne à la Vossische Zeitung des représentations de Fanny, le malheureux semble vouloir imiter Jul
En 1843, au retour de Londres, Fanny fut fêtée à Bruxelles. Quatorze représentations qu’elle y donna du 31 mai au 6 juillet firent sor
Dans une ville des Etats pontificaux, à Foligno, où Fanny donna douze représentations en février 1846, elle eut à se louer d’un accueil
e se révèle dans la relation que fit la comtesse de Rostopchine de la représentation d’adieux donnée par Fanny le 2 mars 1851, à Mosco
l’aimait, elle-même aimait ce public appréciateur ». La veille de la représentation d’adieux, les artistes des troupes impériales, ru
e fréquenta donc assidument. On la voyait régulièrement aux premières représentations , accompagnée de son inséparable cousine Catherine
9. Comtesse de Rostopchine, Traduction du compte rendu de la dernière représentation de Mademoiselle Fanny Elssler, Moscou, Imprimerie
23 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
; et pour l’augmenter insensiblement, on leur accordoit deux ou trois représentations par année à leur profit. Celui qui avoit un fixe
s de ce bel établissement reçevoient les contingens et le produit des représentations et les versoient à la banque. L’abonnement de ces
24 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
ui-même. IV Je me souviens qu’un soir, à l’issue d’une première représentation qui avait grandement marché, il lui passa par la
ficultés qu’il a fallu vaincre pour arriver simplement à donner cette représentation  ; je suis convaincu qu’au lieu d’un succès il me
t aux répétitions, qu’elles n’abandonnent pas leurs rôles en cours de représentation , il faut être de la force de dix-huit diplomates.
25 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre I. Caractère que doit avoir la Danse Théâtrale »
igation plus étroite, lorsqu’elle est portée au Théâtre, parce que la représentation fait le caractère essentiel et distinctif de l’Ar
26 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
gé à Vienne. Elles donnèrent au théâtre de la Porte de Carinthie huit représentations . Le programme comprenait Nina, Gustave, des pas d
d’une effervescence aussi générale, aussi démesurée qu’à la dernière représentation , et surtout après qu’on eut fait trisser la cachu
nches, modestes et serviables. Elles allèrent sans fracas donner deux représentations à Baden, l’une au profit des pauvres, l’autre au
si bon, si encourageant… Nous sommes à lui125. » Elles donnèrent leur représentation d’adieux le 6 août. Lorsque, à la fin du spectacl
ntée par Duprez, Serda et les chœurs du Théâtre-Italien ; la première représentation de la Volière, ballet tiré par Scribe du conte de
t un article que Th. Gautier publia dans le Messager, la veille de la représentation . L’écrivain refaisait le portrait qu’au mois d’oc
monde, même aux femmes qui ne peuvent souffrir aucune danseuse. « La représentation annoncée pour son bénéfice et celui de sa sœur ne
autier prévoyait copieuse, fut, à peu de chose près, celle des bonnes représentations à bénéfice de l’année. Le total des locations s’é
main, il écrivait pour le Nouvelliste de Thiers le compte rendu de la représentation . Il résume lui-même ainsi l’esprit de son article
a bataille. Elle le rajeunissait de dix ans. Il se croyait revenu aux représentations homériques du More de Venise et d’Hernani. Dans s
arie Taglioni fût placée dans le cadre le plus somptueux. La première représentation eut lieu dans les premiers jours de janvier 1839.
ait destinée à devenir aussi populaire que la cachucha. Néanmoins les représentations de la Gypsi n’eurent pas le même retentissement q
le triste fin de rêve ! En mars commença un long mois de maladie. Les représentations de la Gypsi furent interrompues. Quand Fanny fut
pour l’excuse du public anglais, que quelques jours auparavant, à une représentation au bénéfice de M. Laporte, directeur de Queen’s T
le s’engageait à donner, contre de brillants émoluments, une série de représentations dans plusieurs villes importantes des Etats-Unis.
adieux qui, dans sa pensée, ne devaient pas être définitifs, dans une représentation qui fut donnée à son bénéfice le 30 janvier 1840.
marade de l’Opéra, Barrez, qui venait y donner avec elle une série de représentations et qui lui apportait une longue lettre de Théophi
27 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
tes des Egyptiens & des Grecs. Les Anciens qui ont jugé que la représentation des Balets étoit une maniere d’instruction pour l
ions. Aussi est-ce jusqu’à l’ame que passe le plaisir qui vient de la représentation  ; & c’est ce qui fait que l’homme seul est ca
Jésuites, qui ont été fort estimez. Les Anciens aimoient si fort ces représentations & ces démonstrations dans les spectacles du T
28 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
ès mes débuts au Madison Square Theater on me demanda de danser à une représentation de charité au théâtre allemand de New-York. J’oub
and de New-York. J’oubliai totalement ma promesse jusqu’au jour de la représentation où un billet vint me la rappeler. J’avais négligé
aller. Sur ces entrefaites, M. Marten Stein me procura une dizaine de représentations dans un des jardins d’Altona, le faubourg joyeux
29 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
 Robert le Diable. — L’acte du Cloître. — Les guignons de la première représentation . — Nourrit, Levasseur et madame Dorus. — La Sylph
Gilbert des Voisins. — Ingratitude. — Taglionistes et Elssléristes. —  Représentation d’adieux. — La tête de Duponchel ! — Autre incide
salide se révéla si brusquement papillon, qu’à l’issue de la première représentation , quand le régisseur Solomé s’avança pour proclame
rôle de l’Abbesse. Le 22 novembre 1831, l’affiche annonça la première représentation de l’ouvrage. Cette soirée ne fut qu’un chapelet
opulaires, si jamais personne avait pu prononcer son nom. La première représentation de la Sylphide eut lieu le 14 mars 1832. Le lende
Taglioni arrivait d’Angleterre où elle allait fréquemment donner des représentations . Le jour de son retour, Nourrit prenait son congé
olennelle, qu’une manifestation énergique auraient lieu le soir de la représentation d’adieux de leur idole… Dans la salle, on réclame
Amélie, — et, le lendemain, le roi signait la grâce de Meunier. Cette représentation fut signalée, du reste, par un autre incident : D
agné leur nuit. Il était deux heures du matin. *** Dès les premières représentations de la Tempête, deux écoles rivales se formèrent à
Mais ce ravissement ne connut plus de bornes, lorsqu’au sortir de la représentation , elle vit une foule frénétique se précipiter sur
ique. « Qu’est-ce que Giselle ? s’écriait Gautier au lendemain de la représentation de son œuvre. Giselle, c’est Carlotta Grisi, une
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
ion dont elle fait partie sera bien connue. Les Grecs ont imaginé une représentation vivante des différentes passions des hommes : ce
s. La Musique, la Danse, les Chœurs étaient bannis de ce Théâtre ; la représentation mâle d’une action unique exposée, conduite, dénou
rachât l’homme à lui-même, pour le transporter pendant le cours d’une représentation animée, dans des régions enchantées. Ce beau dess
leur ensemble. 124. L’opéra d’Italie est sans danse. La durée de la représentation est de quatre heures. 125. Quelle salle serait a
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
al et la Princesse royale étaient dans la loge du souverain. Après la représentation ils m’envoyèrent un aide de camp, pour me dire co
à la Princesse Marie pour la remercier et lui proposai de donner une représentation au Palais, si cela pouvait lui être agréable. La
dans le chapitre précédent, que ses enfants n’assisteraient pas à ma représentation . Ils n’y assistèrent pas, en effet, mais la Princ
agages, — perdus en route. Trois mille personnes venues à ma première représentation s’en retournèrent sans m’avoir vue. C’était jouer
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
iques, sont les Théâtres sur lesquels on fait voir successivement ces représentations . Je crois qu’on ne fera pas fâché d’en trouver ic
ent en Ballets les principaux événements de la guerre de Troie. Ces représentations durèrent deux bonnes heures, après quoi on arriva
33 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
vé des rôles dont j’ignorais le premier mot, la veille de la première représentation . C’est ainsi que j’ai joué Marguerite Gauthier, d
e Lyceum, je continuai ma carrière dramatique et les incidents de mes représentations seraient suffisants pour remplir plusieurs volume
34 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
t soixante-seize enfants. Des détachements de la troupe donnaient des représentations chez des particuliers. Mais, à la suite de scènes
un engagement à ce théâtre était le commencement de la célébrité. Les représentations qui s’y donnaient étaient des événements que la p
g, de celui qu’on appelait le Rossini du ballet, Ottavio Pinelli. Une représentation donnée à leur bénéfice le 26 novembre fut très su
le roi y assista et fit aux deux danseuses les cadeaux d’usage. Leur représentation d’adieux, au commencement de décembre, leur valut
faire plaisir à son ami Gentz, elle avait assisté, le 8 octobre, à la représentation de débuts. Le lendemain elle envoyait à Vienne un
anny à Vienne restait médiocre. Un Français, qui suivit, en 1831, les représentations du Kærnthner-Thor, Alphonse Royer, le futur direc
obtint un chaleureux accueil. Des reprises d’œuvres anciennes et deux représentations de l’opéra-ballet le Dieu et la Bayadère remplire
de Barbe-Bleue, et se remit, avec sa sœur, en route pour Berlin. Les représentations de Barbe-Bleue, que les Berlinois ne connaissaien
berlinois. Après avoir donné, le 15 février 1833, à l’Opéra Royal sa représentation d’adieux, elle se dirigea lentement vers l’Anglet
35 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
re et sa rigueur. Sa fille, déjà célèbre, était allée donner quelques représentations à Londres. Dans l’appartement qu’elle avait loué,
Elle vint donner à l’Opéra, ce « centre de l’univers », une série de représentations dont la première, celle du Sicilien, eut lieu le
e dans la tyrolienne de Guillaume Tell. Après cette nouvelle série de représentations , l’administration ne put se décider à laisser rep
e E. R., explique, dans une introduction, qu’à la sixième ou septième représentation de la Révolte au Sérail des sifflets se firent en
cule faisait le service de Londres à Windsor où l’artiste donnait des représentations  ; l’honneur d’y prendre place était ardemment rec
purifiait par sa réserve une donnée quelque peu scabreuse. « Après la représentation , dit la biographie anonyme déjà citée, le roi, ra
qui pouvaient, en une année, s’élever à peu près au même chiffre, les représentations à bénéfice, dont l’une, celle du 22 avril 1837, d
émoluments du mois. Elle ne pouvait pas attendre que les comptes des représentations à bénéfice fussent mis à jour, elle prélevait le
ager des applaudissements avec des camarades. A la fin de la première représentation de la Révolte au Sérail où Perrot avait été assoc
36 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
nsacrés en grande partie au bénéfice des acteurs, c’est-à-dire, à des représentations à leur profit. Celles des acteurs estimés leur va
e théatre, c’est-à-dire, que les ouvriers et les gagistes avoient des représentations qui étoient toujours excellentes. Garrick en avoi
. Les auteurs qui se distinguoient par un succès soutenu, avoient une représentation à leur profit, indépendante des honoraires qui le
ches ; son dessein étoit de les placer dans le premier foyer. Sur les représentations que lui fit un grand personnage, il répondit : le
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
t, s’égorgeaient derrière le théâtre. Les Spectateurs échauffés de la représentation prenaient parti, en venaient aux mains, et un obj
es Acteurs ; on se rassembla dans toutes les familles, pour jouir des représentations secrètes qu’on ne pouvait plus voir sur des Théât
38 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
oges pleines — et nous vous demandons de vous joindre à nous après la représentation . Votre vieux Pal ! » La carte portait un nom qui
ne, il y avait une petite ressemblance. *** Un jour nous donnions des représentations à Lyon. En arrivant au théâtre l’un de mes électr
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
s deux genres. On garda les Bals sérieux pour les occasions de grande représentation , et on donna des bals masqués dans les circonstan
40 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
aux yeux du spectateur les diverses teintes du jour naturel. Dans la représentation d’une aurore, d’un jour ordinaire, ou d’un coucha
ne plus grande importance dans tout ce qui avait quelque rapport à la représentation de leurs tragédies. Par les discours qui sont à l
nature, l’art et le goût, termineront d’une manière satisfaisante une représentation dans laquelle on n’aura rien négligé pour faire n
ent à l’autre sont jetées à la main, et troublent presque toujours la représentation . 2°. Elles restent quelquefois après que la ferme
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
er pour la Reine ; mais toujours dissipée par un exercice, et par des représentations qui remplissaient ses moments et qui suffisaient
42 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
lshommes et les demoiselles pouvaient chanter et danser aux pièces et représentations , sans qu’ils fussent censés déroger au titre de n
is à douze journalistes ; enfin, voyez-la le lendemain d’une première représentation , à son petit lever, inquiète, agitée, dévorant le
poses qu’il faut prendre devant la glace pour préparer l’effet de la représentation du soir ; puis viennent encore les questions d’am
43 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
rête la reine des Belges dans la rue. — J’étais engagée pour quelques représentations à Spa. Le soir de mes débuts, la reine et la prin
ur le boîtier de laquelle étaient gravés ces mots : « Souvenir de la représentation donnée pour la princesse Victoria. » La curiosi
ain et qui aimaient beaucoup ma danse, amenèrent le Shah à une de mes représentations à Marigny. Avant mon apparition en scène le marqu
lle à cette époque. Il vint au théâtre et demanda à me voir, après la représentation . — Que pouvons-nous faire pour votre plaisir, en
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
élicate allégorie. Il est aisé d’apercevoir la vaste carrière que ces représentations fournissaient à la Danse, puisqu’elle en était l’
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
térêt théâtral ; parce que cet intérêt ne peut se trouver que dans la représentation d’une action suivie. Chaque œuvre dramatique a le
46 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31
u goût du public, et se mettre à la mode, d’associer les danses à ses représentations . Le goût vif et déterminé pour les ballets est gé
deviendrai-je, et quelle sensation n’éprouverai-je pas à la vue d’une représentation encore plus vraie, d’une action rendue par mes se
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
lles Tragédies de nos bons Aïeux furent appelées de ce nom ; mais les représentations dont il s’agit ici étaient des actions très diffé
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »
sais parfaitement bien que Saint-Léon a fait exécuter, à la première représentation , le rôle de Franz par Mlle Fiocre, le modèle préf
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
eautés de l’art, les choses absolument essentielles aux charmes de la représentation , à la sureté du public, et à celle du service, qu
ices, des danseurs, des danseuses et de tous les sujets employés à la représentation de l’opéra ; on y pratiqueroit un grand foyer pro
corps des pompiers, ils ne quitteroient point le théâtre pendant les représentations . Ils auroient de grandes séringues telles qu’on e
re une ronde d’inspection tous les soirs après les répétitions et les représentations  ; et pour parer à tous les inconvéniens, ils doiv
les loges de huit places seront réduites à quatre ; dans les grandes représentations on n’aura d’autre peine à se donner que de baisse
utes celles de la rampe ; elles sont préjudiciables aux charmes de la représentation et aussi fatigantes pour les spectateurs que pour
public, elle doit être assez spacieuse, pour que les recettes et les représentations extraordinaires puissent s’élever à dix ou douze
50 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
oût du Public, & se mettre à la mode, d’associer les Danses à ses Représentations , & d’étayer, pour ainsi dire, les chef-d’œuvr
iendrai-je, & quelle sensation n’éprouverai-je pas à la vue d’une représentation encore plus vraie, d’une action rendue par mes se
51 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
l’honneur de ce succès fut pour Lully. Le Public était enchanté de la représentation , et il entendait dire que les Poèmes de Quinault
52 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre II. » pp. 9-16
e : l’un exagère la nature, l’autre la dégrade. Les ballets etant des représentations , ils doivent réunir les parties du drame. Les suj
bras de ses acteurs n’étoient jamais dans l’inaction ; cependant ses représentations pantomimes étoient de glace ; à peine une heure e
53 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29
un fait minauder la nature, l’autre la dégrade. Les Ballets étant des représentations , ils doivent réunir les parties du Drame. Les Suj
bras de ses Acteurs n’étoient jamais dans l’inaction ; cependant ses représentations Pantomimes étoient de glace ; à peine une heure &
54 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
nveloppées dans un billet de mille. Grâce à cette belle activité, les représentations d’opéras et de ballets furent en général très bri
tistes. « Il égaye, écrivait Théophile Gautier, et rend vivantes les représentations , qui, sans lui, seraient mornes et froides ; il e
nt de vrais plans de bataille qu’il élaborait, les soirs de premières représentations . Il dispersait ses hommes en tirailleurs, de mani
ontribution les ressources de ce talent. La veille de chaque première représentation , une véritable conférence avait lieu entre le dir
ter de l’Académie royale de Musique. Les comptes rendus des premières représentations sont des hymnes qui exaltent la gloire et la magn
ient payé pour leurs loges. Rothschild lui-même rendit la sienne. Les représentations continuèrent, avec des recettes qui parfois attei
55 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
e de son temps, et qu’elle n’occupait qu’une très petite partie de la représentation . Ce ne fut qu’au ballet du Triomphe de l’Amour qu
riomphe de l’Amour qu’on introduisit en France des danseuses dans les représentations en musique ; il n’y avait auparavant que quatre o
d’un seul ; qu’il fallait cependant remplir le temps ordinaire de la représentation , Quinault coupait ses poèmes de façon que la décl
on ; et il a fallu en venir à des expédients, pour rendre agréable la représentation de ces ouvrages immortels. Tout cela est arrivé p
56 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
lante les rend extrêmement piquants. On oublie, malgré soi pendant la Représentation , le mauvais fond sur lequel ils sont bâtis, pour
57 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
oncentrée dans son regard que je semblais hypnotiser. A l’issue de la représentation , la jeune femme, que je connaissais particulièrem
s les petits princes et les petites princesses n’assistèrent pas à la représentation . Par contre, ils revinrent au théâtre et s’ancrèr
58 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
écider à un engagement. Le lendemain il vint me voir et proposa vingt représentations dans l’un des premiers théâtres de Budapest. Mon
que j’avais préparé pour elle. Puis, elle alla à Vienne et donna des représentations au théâtre An der Wien. On m’a raconté qu’elle s’
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
es, et qui se sont fait une habitude d’analyser nos sentimens.   A la représentation d’une pièce écrite, la sensibilité de chaque spec
porté à examiner avec une scrupuleuse attention ce qui se passe à la représentation d’un ballet pantomime et à celle d’une pièce parl
60 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
er le tout à la partie. Sans oublier les principaux personnages de la représentation , il doit penser au plus grand nombre ; fixe-t-il
seroit coupée et suspendue, si l’un de ces personnages manquoit à la représentation de cette pièce. Il ne faut point d’inutilité au t
61 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
’en oubliant pour quelques instants, les principaux personnages de la représentation , qu’il pourra penser au plus grand nombre ; fixe-
roit coupée & suspendue, si l’un de ces personnages manquoit à la représentation de cette Piece. Il ne faut point d’inutilité au T
62 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
lui, un ballet était payé cent vingt livres pendant les dix premières représentations et soixante pendant les représentations suivantes
res pendant les dix premières représentations et soixante pendant les représentations suivantes. *** Aujourd’hui, le « cahier des charg
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
ion qui lui est particulier dans l’institution primitive, et celui de représentation qui constitue seul l’Art dramatique. La règle est
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
, les conquêtes et les bienfaits d’Osiris. Leurs Danses en étaient la représentation animée : d’abord, était sa naissance mystérieuse1
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
rs agir, peindre, conserver en un mot, le caractère d’imitation et de représentation que doit avoir nécessairement tout ce qu’on intro
la Danse, pour la Musique, pour la Mécanique ! Je vois cependant à la représentation tous ces mêmes Arts oisifs dans ce moment. À la p
66 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
me suis souvent étonné de la manière rapide avec laquelle, lors d’une représentation théâtrale, le Parterre, c’est à dire, une assembl
t ouverts, leurs esprits étant agités, dans la chaleur d’une première représentation , lancent une inombrable quantité de petits corpus
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
pour contenir la foule immense des curieux : Auguste assista à cette représentation . Hilas n’avoit que de foibles moyens, et manquoit
s théâtres ; mais la passion éffrénée que les Grands avoient pour les représentations licencieuses, les détermina à donner azile dans l
68 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
soirée de la veille comme celle qui allait la suivre, quand arriva la représentation au bénéfice de Cornélie Falcon. Le 7 mars 1840, v
ière et faillit s’y briser. Il fallut l’emporter dans sa loge, et ses représentations interrompirent leur cours. Trois ans plus tard, m
69 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
s, qui, ayant terminé leur travail, voulaient assister à la fin de la représentation . Hérivaut ou Hairivaux, — la sœur cadette
e de sa pièce. Témoin le mirliton suivant qui lui fut envoyé après la représentation de Moïse : Vous êtes fort allègre Et digne de br
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
dans les loges des Acteurs ; elles tâchaient de s’y dédommager de la représentation qui manquait à leur lubricité, en baisant mille f
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
ut ainsi terminée d’une manière aussi gaie qu’ingénieuse. C’est cette représentation Dramatique, peu régulière, mais remplie cependant
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
des habits, des machines qu’on avait employés l’année précédente à la représentation de la tragédie de Mirame 113 ; ouvrage si peu fai
ne s’était servi jusqu’alors que de jeux de paume. Après la première représentation de Mirame, le Cardinal s’était retiré à Rueil. De
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159
roit qu’une fête, où la danse seule brilloit de tout son éclat. Cette représentation eut le plus grand succès ; mais moins indulgent q
stances il doit employer toutes ses ressources : par exemple, dans la représentation des Champs Elisées, dans celle d’une Bachanale an
74 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
e répand et se communique. Je suppose le public assemblé pour voir la représentation d’un excellent ouvrage ; la toile se lève, les ac
vous éprouvez une espèce de langueur à-peu-près vers le milieu de la représentation  ; elle augmente par degrés jusqu’à la fin, et il
ne est dans l’âme de l’acteur et du spectateur. On ne verra jamais de représentation parfaite, sans cette chaleur mutuelle qui entreti
75 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
jamais un ballet. La danse, le concours de plusieurs personnes, et la représentation d’une action par les gestes, les pas, et les mouv
y était réglé, et qu’elles étaient des allégories ingénieuses, et des représentations d’actions, ou des choses naturelles qui renfermai
e dans l’histoire des Arts. Comme dans son principe, le ballet est la représentation d’une chose naturelle ou merveilleuse, il n’est r
s fortes et pathétiques. Le second, né à Alexandrie, se chargea de la représentation des actions gaies, vives et badines. La nature av
76 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
ut la dernière d’Horace, de Corneille, mise en musique par Mouret. La représentation eut lieu sur le théâtre de Sceaux, à la demande e
nt d’être si vivement goûtée par nos voisins d’outre-Manche, qu’à une représentation donnée à son bénéfice, les places furent prises d
villa à Pantin. Là encore, elle avait un théâtre où elle donnait des représentations . Ce fut sur cette scène suburbaine qu’elle « enle
s, elle consentit à donner pour eux seuls une définitivement dernière représentation . En cette circonstance, elle exigea que l’on desc
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
nt suprême de l’art, dont le but unique est de plaire. 79. Dans les représentations d’Ajax en fureur, les Spectateurs furieux comme l
78 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
ets ; et aux bateleurs et autres gens de cette sorte de donner aucune représentation pendant le service divin, tant les matins que les
79 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
q cens gentilshommes de la province qui y restèrent pendant plusieurs représentations  ; ce fut la troupe du Marais, qui joua cette trag
et ses associés cédèrent à son voeu et lui en donnèrent une première représentation le 16 May de la même année, c’est à dire environ
le 16 May de la même année, c’est à dire environ quatre mois après la représentation qui en avoit eu lieu au Château de St. Germain. U
80 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ttini, qui était devenue millionnaire, donna, le 18 décembre 1823, sa représentation d’adieux, où elle joua, — pour la première et der
éron aux matrones du Palais-Royal. » En 1807, le 27 février, dans une représentation du ballet d’Ulysse, mademoiselle Aubry, qui, sous
ne, qui avait été témoin de ce douloureux accident, fit organiser une représentation extraordinaire au bénéfice de la blessée. Elle qu
ns un de mes moments de faiblesse administrative. » *** La première représentation de la Tentation eut lieu le 20 juin 1833. Mademoi
suppression, la scène du monstre serait rétablie comme à la première représentation . Un an plus tard, — 4 décembre 1833, — mademoise
81 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
en Espagne, dans le Roussillon, on exécute des Danses solennelles en représentation de nos Mystères, et à l’honneur de quelques Saint
82 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »
de cérémonie : voilà encore un anachronisme voulu et heureux. Suit la représentation de la Sultane des Indes. Le pas des apothicaires
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
y trouva une foule de billets de banque. Garrick m’a assuré que cette représentation avoit valu à Mlle. Sallé plus de deux cens mille
84 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
oient avec des contorsions belliqueuses : on nous en a donné quelques représentations dans des Entrées à l’Opéra. Platon, dans ses loix
Philosophe s’écria qu’il croyoit voir la chose même, & non pas sa représentation , & que ce Pantomime avoit le corps & les
e triste, le pacifique, l’emporté, & les deux contraires, dans la représentation d’une Piéce tragique ou comique sur le Théâtre ;
85 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
gles de la poétique ; que le ballet dans cette circonstance étoit une représentation d’un sujet quelconque, et qu’il devoit par conséq
t insusceptible du plus grand intérêt, et qu’il ne soit borné qu’à la représentation des fêtes villageoises, des fêtes marines, des ca
tableaux bien plus effrayans que ceux qui lui seroient offerts par la représentation réelle des objets qui lui sont ravis. Le fils du
trouver un sujet connu qui ait quelque rapport à la circonstance, la représentation deviendra d’autant plus intéressante qu’elle ne s
86 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
a magie, de l’irréel, un conte de fées. Enfin, elle donna sa première représentation . Le public, les journalistes semblaient devenir f
faudrait comme éclairage. A son tour elle vint à mon théâtre après la représentation , pour voir quelques éclairages que j’avais instal
87 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
Paris, pour voir Sada Yacco, dans sa fameuse scène de mort. Après la représentation , ils passèrent dans les coulisses, et c’est là qu
et je les priai de venir voir ma nouvelle étoile japonaise. Après la représentation , ils pénétrèrent dans la loge de la plus mignonne
88 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
ijoux. — La nouvelle gazza ladra. — Pieds de danseuses. Les soirs de représentation , la danseuse doit arriver à l’Opéra sur le coup d
é pour son enthousiasme. Ce gentleman ne manqua point de revenir à la représentation suivante. Mais l’accident ne se renouvela pas. N
89 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
ueuse, sur un petit plateau. Il se connoissoit trop bien en effets de représentation  ; il se plaça sur le mont Sinaï, et ce fut delà q
90 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
ement dans la Danse, mais encore dans la déclamation chantée de leurs représentations tragiques et comiques. Les places immenses où s’a
ait eu recours à l’invention des masques qu’on changeait dans la même représentation , selon les divers besoins de l’action théâtrale.
91 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
sérénade. A la fin de mon séjour, on me demanda de prendre part à une représentation de charité. Le théâtre était plein, malgré le pri
té. Le théâtre était plein, malgré le prix élevé des places. Après la représentation , il y eut un grand banquet, offert par le comité
92 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
te pour les habits, et les habits pour la décoration, le charme de la représentation sera complet. Les artistes surtoût et les gens de
e peut détruire le mérite de cet artiste : c’étoit, je crois, dans la représentation de la forêt enchantée, spectacle plein de beauté,
93 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
pour les habits, & les habits pour la décoration, le charme de la représentation sera complet. La dégradation des tailles ne doit
t détruire le mérite de ce grand Peintre ; c’étoit, je crois, dans la représentation de la Forêt enchantée, Spectacle plein de beauté
94 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
à huis clos et n’étaient pas, comme aujourd’hui, de vraies premières représentations , — celui-ci, disons-nous, qui n’était alors que g
eillance de l’autorité. La razzia fut exécutée le lendemain, et, à la représentation suivante on fut étonné d’apercevoir, massé sur le
95 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
ide élan d’ensemble. Mais me voilà à « découvrir » Coppélia à la 388e représentation  ! C’est que j’affectionne particulièrement ce bal
96 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
cs composerent la Théâtrale & les Balets, dans le motif que leurs représentations serviroient à la correction des mœurs, par des ca
97 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
ait adopté de leur vivant ! Mais pourquoi ne le serait-il pas, si les représentations théâtrales continuent d’avoir des admirateurs ? C
e des Scènes muettes. « On se donne bien de garde, lorsqu’on va à la représentation d’une Pantomime , de demander les personnages fo
98 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
nner, dans cette ville, le 5 janvier 1869, à huit heures du soir, une représentation des Chasseurs noirs, ballet anglais à grand spect
eur, une peur !… Le prince et la princesse de Galles assistaient à la représentation  : après le second acte, le prince est descendu me
99 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
ux-mêmes chaque jour davantage à l’action, et présents forcément à la représentation , ils auraient sans cesse devant les yeux les modè
100 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
n’a qu’à multiplier les cheveux de Paderewski par douze. Lors de mes représentations de Salomé au théâtre de l’Athénée, M. et Mme Flam
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