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1 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre III. Des Positions, & de leur origine. » pp. 9-10
nt lui, ce qui prouve sa penetration dans cet Art. Elles doivent être regardées comme des regles indispensables qu’il faut suivre
deur mesurée, que d’introduire ces cinq Positions ; aussi on doit les regarder comme des regles indispensables que l’on doit sui
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
gauche, vous découvrez une véritable forêt d’arbres séculaires. Nous regardons alors Rodin. Il se dilate silencieusement en admi
alors Rodin. Il se dilate silencieusement en admirant le paysage. Il regarde tout d’un tel air de tendresse, que l’on sent qu’
tions, ils n’échangèrent pas une parole. Ils se serrèrent la main, se regardèrent , puis au moment du départ se serrèrent la main à
templaient le chef-d’œuvre qui était devant eux. Rodin à son tour les regardait , caressant le marbre, attendant de leur part un s
mplicité et d’effacement, je ne dois même pas la nommer. En ce qui me regarde , personnellement, je puis dire que Rodin est, ave
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
essemblaient. — Ces couleurs, c’est vous, me dit-il presque rudement. Regardez quelle richesse. Ce rose, ce bleu, c’est vous ; c
ce bleu, c’est vous ; c’est vous vraiment ! Et, en disant cela, il me regardait comme s’il eût craint que je doutasse de sa sincé
lque chose qui paraissait être du marbre de couleur, poli et jaspé. —  Regardez , murmura-t-il, regardez ; vous voici encore. J’ai
t être du marbre de couleur, poli et jaspé. — Regardez, murmura-t-il, regardez  ; vous voici encore. J’ai acheté ces plaques, car
chose, tant je me sentais troublée par cette admiration d’art. Il me regarda presque avec mépris, et répondit : — Du marbre, d
ici, mais elle fait partie de ma collection. On la retrouve partout. Regardez  ! Il raconta l’histoire des papillons, ajoutant :
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
qu’on puisse le faire avec bienséance. Enfin, on ne peut s’arrêter à regarder les danses sans être en même temps témoin de beau
ois, il le faut faire prudemment, et selon que nous sommes enseignés, regarder avec discrétion quelles sont les compagnies que n
ons, suivroient notre exemple. » N’étant permis à personne d’aimer à regarder les danses, que doit-on donc penser des ecclésias
le de faire impression, et qu’on est plus porté à s’en prévaloir pour regarder comme permis un divertissement qu’on n’est déjà q
e que je vous aurai dit. Ce qui est dit ici au prophète Ezéchiel, ne regarde-t -il pas aussi tous ceux qui ont la charge des ames
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
s, je restai debout au milieu de la pièce tandis que tout le monde me regardait . Alors je réunis tout mon courage et je débitai,
avez-vous peur aussi ? La voix ferme reparut : — Non, monsieur. Il me regarda , un sourire erra sur ses lèvres, un peu ironique,
ndit. C’était un laissez-passer pour voir jouer Sarah Bernhardt !… Je regardai la carte, je regardai le directeur. Il souriait.
ez-passer pour voir jouer Sarah Bernhardt !… Je regardai la carte, je regardai le directeur. Il souriait. Je souris. Il tendit l
sant à peine effleurer le sol, puis s’arrêta au milieu de la scène et regarda le public, ce public d’acteurs. Soudain le délire
ée de jouer par les clameurs de la salle — qui sembla le public. Elle regardait , — tour à tour intéressée, passionnée, émue, — ce
ole était là. Et pour moi ! Etait-ce possible ? J’entrai en scène, et regardai le public qui emplissait la salle du haut en bas.
es mains tendues un paquet d’épreuves qu’il venait de tirer. Elle les regarda lentement l’une après l’autre… puis sa voix ; sa
prononça, en retour, quelques mots harmonieux en anglais. De loin je regardais mon idole. Je l’entendais dire, dans ma langue ma
6 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
s spectacles de l’Academie Roïale de Musique. Il ne faut pourtant pas regarder la Danse comme un exercice uniquement inventé pou
re à danser de notre Nation. Le Regne de Louis le Grand sera toûjours regardé avec justice, comme le Regne des hommes les plus
t de justesse, tant de legereté, tant de précision, qu’elle peut être regardée comme un prodige dans ce genre. Elle merite avec
ardée comme un prodige dans ce genre. Elle merite avec justice d’être regardée comme Terpsicore, cette Muse que les anciens ont
r ; & elle ne s’en sert que pour enchanter les yeux avides qui la regardent , & pour attirer les suffrages de tous les cœu
7 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
pe suprême de mon esprit. Que disiez-vous ? PHÈDRE Rien, encore. Nous regardions manger et boire nos semblables… ÉRYXIMAQUE Mais S
cte, et que l’intelligence tout à coup consent aux grâces spontanées… Regardez celle-ci !… la plus mince et la plus absorbée dan
et je ne puis jamais la perdre ; et si, les oreilles bouchées, je la regarde , tant elle est rythme et musique, qu’il m’est imp
ÉRYXIMAQUE De la morsure de Socrate me préservent les dieux ! PHÈDRE Regardez -moi plutôt ces bras et ces jambes innombrables !…
ibles ! SOCRATE Ou qu’elle cède à quelque noble destinée ! ÉRYXIMAQUE Regarde  ! Regarde !… Elle commence, vois-tu bien ? par un
CRATE Ou qu’elle cède à quelque noble destinée ! ÉRYXIMAQUE Regarde ! Regarde  !… Elle commence, vois-tu bien ? par une marche t
tes les impuretés variables ont disparu, devient un modèle universel. Regarde quelle beauté, quelle pleine sécurité de l’âme ré
her Phèdre, en vérité, tu ne fus pas ému sans quelque raison. Plus je regarde , moi aussi, cette danseuse inexprimable, et plus
ssi considérer les choses sous ce jour incontestable… Un œil froid la regarderait aisément comme une démente, cette femme bizarreme
les catastrophes !… Mais à présent, pour rendre grâces à l’Aphrodite, regardez -la. N’est-elle pas soudain une véritable vague de
nt. Cet ennui absolu n’est en soi que la vie toute nue, quand elle se regarde clairement. ÉRYXIMAQUE Il est bien vrai que si no
x ce qu’il y a de divin dans une mortelle ? PHÈDRE Admirable Socrate, regarde vite à quel point tu dis vrai !… Regarde la palpi
 ? PHÈDRE Admirable Socrate, regarde vite à quel point tu dis vrai !… Regarde la palpitante ! On croirait que la danse lui sort
ts d’un temps étranger, des bonds désespérés hors de sa forme… PHÈDRE Regarde , mais regarde !… Elle danse là-bas et donne aux y
étranger, des bonds désespérés hors de sa forme… PHÈDRE Regarde, mais regarde  !… Elle danse là-bas et donne aux yeux ce qu’ici
e son mouvement. PHÈDRE Tu crois qu’elle n’est pas morte ? ÉRYXIMAQUE Regarde ce très petit sein qui ne demande qu’à vivre. Voi
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
fébrile. On n’avait rien fait savoir au public marseillais, car nous regardions cette première soirée comme une sorte de répétiti
es lumières, un homme vint me dire, tandis que j’entrais en scène : —  Regardez avant qu’on éteigne, le flot humain qui déferle à
sa tête. Ses jambes étaient croisées avec une négligence aisée. Il me regardait obstinément. Tout le monde applaudit et applaudit
Qui était cet homme ? Pourquoi son visage me hantait-il ? Pourquoi me regardait -il avec tant d’insistance ? Pourquoi ne m’applaud
9 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
Ils avaient conservé une flamme de jeunesse qui brûlait lorsqu’on les regardait fixement. Quand il parlait, sa voix était celle d
i peur que ma pendule ne se dérange, voulez-vous me la garder ? Je le regardai , muette d’étonnement ; ses yeux lançaient des écl
ément. Cinq. — Pas du tout. Six. — Je l’aime. La pendule s’arrêta. Je regardai les aiguilles, il était six heures. J’aimais M. P
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
sigoths tous les vers de Corneille. Chacun est son propre oracle, et regarde , comme une entreprise sur ses droits, les soins c
éliée et l’oreille fine, entendirent l’Oracle, et en conséquence, ils regardèrent toujours la Danse, comme une imitation par les ge
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
nfiniment plus petit que le nombre de ceux qui y résisteront. Mais on regarde comme un très-grand gain celui d’une seule ame ra
vez pensé qu’à y vivre à votre aise et dans les plaisirs. Vous deviez regarder les biens et les plaisirs de ce monde comme des b
à d’autres plaisirs. De ces biens et de ces plaisirs, que vous deviez regarder comme n’étant pas vos biens, parce que vous n’éti
12 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
t que je travaillois à l’Histoire de la Danse. C’est pourquoi on peut regarder ce Chapitre comme un Supplément, qui renferme aus
ur peu que la matiere fût neuve & étendue, & telle qu’on peut regarder celle dont je traite. Je dirai donc que les Danse
ien-aise de sçavoir l’origine de leur établissement : on peut même le regarder comme le premier spectacle public qui ait paru ch
leurs Jeux ayent bien dégénéré depuis ces tems-là, ayant toujours été regardez en France comme un spectacle puérile & conven
les peuples de Lydie au saut & à la danse. C’est pourquoi on peut regarder Sylene & Bacchus comme des excellens danseurs
daigna pas faire mention des Danseurs de corde, dont les jeux furent regardez depuis comme un spectacle convenable à la populac
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
e prudence Et votre juste vigilance De travailler avec éclat À ce qui regarde l’État, Et de bien régler les affaires, Glorieuse
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
n ton pénétré pour me répondre : — C’est ma femme, ma chère femme. Je regardai alors, avec plus d’attention, l’être effacé et pr
que j’eus l’illusion, un moment, qu’il voyait, mon aveugle ajouta : —  Regardez -la, ma bonne dame, est-ce que sa bonté n’est pas
bonté n’est pas peinte sur tout son visage ? La femme, les yeux bas, regardait toujours son tablier bleu. Je demandai alors à l’
ce à ses simagrées, moi je lui donne un petit morceau de pain. Tenez, regardez -le plutôt. A ce moment quelqu’un venait de jeter
eure pour déjeuner ? — Non, j’apporte mon déjeuner dans un panier. Je regardai , il y avait quelques croûtons de pain, rien de pl
15 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
igion ; ce qui commence à faire connoître une Danse Sacrée qu’on doit regarder comme la plus ancienne de toutes. Les Egyptiens s
ns leurs Sacrifices. Les Juifs, à en juger par les Livres Saints, ont regardé leur danse Sacrée comme un don de Dieu, au culte
ore l’attribue aussi à Terpsicore, la premiere Danseuse des Muses. On regarde encore les Egyptiens comme les premiers inventeur
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre I. Caractère que doit avoir la Danse Théâtrale »
Danse de laquelle il ne résulterait aucune image, ne pourraient être regardées , que comme des productions bizarres, sans art, sa
17 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVIII. De la maniere de faire les Reverences avant de danser. » pp. 60-66
quelque compagnie que l’on soit, on est ordinairement très-curieux à regarder qui va danser, & lorsque vous vous y présente
e l’on porte le pied gauche à côté à la deuxiéme position, & vous regardez la Demoiselle pour lui adresser votre reverence,
18 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
elle me demanda mon nom et, comme je lui remettais ma carte, elle me regarda comme si, n’ayant pas encore observé ma figure, e
endez, reprit le garde, la voilà qui vient d’elle-même ! Et, comme il regardait par la porte, restée ouverte : — C’est bien une d
anquillement mon salut et s’approcha du feu. Je m’étais levé et je la regardais avec stupeur. Etait-ce une illusion ? Il me sembl
me semblait la reconnaître. Mon attention attira la sienne ; elle me regarda à son tour, et tout à coup, me tendant la main :
explication de ces paroles mystérieuses, il me répondait : « Ça ne te regarde pas. Une danseuse ne doit rien savoir et ne pense
t, je vois qu’il est vivant et qu’il a repris connaissance, car il me regarde et m’adresse un faible sourire. On lui demande s’
éprouvais aucune fatigue, je m’étais glissée tout près du divan et je regardais fixement M. d’Autremont. Dans une vie nomade comm
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
e rappelle l’Angleterre ; car, vous voyez, par ces croisées, quand je regarde au loin, je peux encore me croire dans le cher pa
n champ de coquelicots. Tandis que nous retournions à notre place, je regardai la Princesse, j’admirai sa démarche élégante, son
Je n’en suis pas exempte. Puis changeant de sujet de conversation : —  Regardez ces chaises, est-ce qu’elles vous plaisent ? Les
bien faire tout son possible pour tirer d’affaire miss Fuller. Je la regardai un long moment, puis je lui dis : — J’aurais aimé
20 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
ées des Saintes Ecritures. Les saintes Ecritures défendent, 1.° de regarder trop attentivement et avec délibération des perso
prit dit dans le chapitre 9 du livre de l’ecclésiastique (v. 3.). Ne regardez pas une femme volage dans ses désirs, de peur que
sujet de chute. (v. 8.) Détournez vos yeux d’une femme parée, et ne regardez point une beauté étrangère. (v. 9.) Plusieurs s
un sexe différent, lorsqu’il a dit : (Matth. c. 5, v. 28.) Quiconque regarde une femme avec un mauvais désir pour elle, a déjà
21 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
attache Enée. Cette idée dans un enfant enchante les deux amans ; ils regardent ce jeu comme un présage assuré du bonheur qui doi
sé, saisit tous les instans où Enée et Didon enivrés du plaisir de se regarder , ne voyent qu’eux, pour faire éclater sa colère.
eurs chevaux épouvantés. Enée et Didon s’enfoncent dans la grotte, et regardent cet azile échappé à tons les yeux, comme une retr
battant à côté de son amant, le reçoit tendrement dans ses bras, Enée regarde son triomphe comme l’ouvrage de l’Amour, et il en
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
ue j’ai ? Quand je suis entré dans le restaurant, un grand diable m’a regardé du haut en bas, a prononcé quelques mots et tout
s une des innombrables rues de New-York. Sur la rive new-yorkaise, il regarda autour de lui, afin de se créer un point de repèr
n fût à la française, on lui répondit à l’américaine : — Mais cela ne regarde pas le portier. Vous avez commandé une voiture ?
considère généralement les conventions mondaines et aussi comment il regarde de haut quiconque n’est pas Américain. Rien ne pe
hôtel je demandai au gérant de mettre tous ces bijoux en lieu sûr. Il regarda les bijoux et me dit : — Mais, il faut les rendre
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
mouvement continu. [Voir Coupe, Couper] On est dans l’habitude de ne regarder la Danse au Théâtre Lyrique, que comme un agrémen
nte en soi que puisse être une Danse inutile, elle doit toujours être regardée comme ces froids récits des Tragédies, où l’acteu
24 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
pas, et au mouvement méthodique des bras ; dèslors, elle ne peut être regardée que comme une profession, dont le succès se borne
poésie, la peinture, la sculpture et la musique ont enfantés, je dois regarder le ballet comme le frère cadet de cette illustre
n qui fait tourner toutes les têtes légères des Parisiens, et qui est regardée , par eux, comme la base fondamentale des principe
25 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre I. Discours sur les Bras & sur l’utilité de les sçavoir conduire avec grace. » pp. 195-196
urs soins & leurs attentions. Pour moi, je dirai seulement que je regarde les bras qui accompagnent bien le corps en dansan
26 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
’à présent qu’une connoissance très-confuse : ce qui fait qu’on ne la regarde plus aujourd’hui que comme un art simplement util
amp; des Mahométans, & les plus grands Héros de l’Antiquité l’ont regardée comme le premier élément de l’art de la Guerre. C
luxe & par la corruption des mœurs ; ce qui fait que l’Eglise l’a regardée depuis comme un art plus digne de la molesse des
parmi les premiers élémens de la vie civile : les Anciens l’ont même regardée dans son origine, comme une espece de mistere &am
ome, elles furent abolies sous le régne de Tibere ; ce que l’Eglise a regardé aussi dès ce tems-là comme une partie de l’origin
a plus respectable, surtout par rapport à celle des Juifs, qu’ils ont regardée comme un don de Dieu pour l’employer à son culte 
27 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
ecevoir, à sentir, à rendre les impressions du tableau supposé. Je le regarde comme le pinceau du peintre, qui trace les figure
era sublime, sans qu’il soit indispensablement réputé pour fou. On ne regardera plus les hommes les plus rares comme des individu
es se consolent et se rassurent : les ouvrages du dernier siècle sont regardés maintenant sans contradiction, comme des chefs-d’
ute leur conduite est en général si peu ressemblante avec ce que nous regardons comme les manières d’être, adoptées dans la socié
ans la société, qu’on se trouve porté, presque sans le vouloir, à les regarder comme des espèces singulières ; ce n’est rien moi
28 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
ce des Protée, des Pylade, des Batyle et des Roscius. Il pouvoit être regardé comme le légataire de ces hommes rares, qui firen
m’avoit réconcilié avec les monologues, et les a parte ; je les avois regardés comme le triomphe des contre-sens de la plupart d
ions pénibles et forcées tiennent de loin en loin à la nature. Je les regarde comme le trop plein d’une âme fortement agitée pa
situation, dis-je, annonce le désordre de la raison, et ne peut être regardée que comme le délire de la passion. Dans ces situa
ent est son ouvrage ; il ne doit sa sublimité qu’à lui-même, et je le regarde comme le créateur de l’art de la déclamation en F
29 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
îchissements. Les gandins riches et pauvres, pour avoir le plaisir de regarder les daines passer ou pour les voir de prés, vienn
yeux d’avoir des actrices pour maîtresses. — Les sergents de ville me regardent en riant, je suis sûr que j’ai l’air d’un gandin
e tranquillement, sans avoir été reconnue. Deuxième gandin , qui la regarde s’en aller. C’est un employé du théâtre. Bon, vo
30 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
eurs je ne saurais le dissimuler ; ma Pantomime , cet ouvrage que je regardais comme le chef-d’œuvre de l’esprit humain, n’a poi
lle de Racine ; & l’Athalie de ce grand Homme ne fut pas toujours regardée comme un chef-d’œuvre. Nos enfans riront sûrement
nt de gens s’ingérent-ils donc de dire hautement le leur, & de le regarder comme infaillible ? Je l’ai déjà remarqué, c’est
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
nt (non pas sans émoi) Rebutés aussi bien que moi, De loin, la Maison regardâmes , Et soudain nous rétrogradâmes, Grinçant cent et
32 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIII. De la maniere dont les Demoiselles doivent marcher, & celle de se bien presenter. » pp. 38-41
ai déja dit de la maniere de marcher dans les Chapitres précédens qui regardent également l’un & l’autre Sexe, les mêmes rema
33 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XII. De la maniere de faire les bras avec les Pirouettez. » pp. 243-246
dans ma Figure, en la faisant porter à plomb sur un seul pied, & regarder le bras gauche pour le conduire avec la justesse
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
ue je ne vous nommerois que ceux des danseurs et danseuses qu’on peut regarder comme les modèles de leur art ; cependant ceux qu
r sur les ouvrages d’esprit, et qui n’en juge que par sentiment, j’ai regardé le premier pamphelet, le mieux écrit, comme une é
35 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
agnie pût me contempler à son aise, comme une bête curieuse. Elles me regardaient toutes en souriant. Et tandis qu’elles me dévisag
que le jour baissait, je remarquai que le roi et les gens de sa suite regardaient le ciel, tout autour d’eux, et je me demandai pou
lles, surtout dans un pays où il y avait tant de jolies femmes, il me regarda longuement à son tour et répondit : — Pour mes fe
’en suis sûre, si cela lui est possible. Au comble de la surprise, je regardai mon amie et m’écrirai : — Mais alors, c’est pour
36 (1860) Mémoires de Rigolboche « Dédicace. A Mané de l’Indépendance belge » pp. 1-4
t vous avez mis la main dans le macadam, et ma célébrité s’est faite. Regardez vos mains maintenant ! Vos concitoyens ont ri : i
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
la trouver dans l’idée qu’ils s’étaient faite de la Divinité. Ils la regardaient comme l’harmonie du Monde, et ils croyaient, qu’e
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
vez la multitude qui court en foule dans le Salon du Louvre ; mais ne regardez pas comme elle, sans voir. Recueillez-vous : appr
39 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VI. De l’opposition des bras aux pieds. » pp. 210-213
aturelle, & à laquelle on fait le moins d’attention. Par exemple, regarder marcher differentes personnes ? vous verrez que l
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
fiées, les Seigneurs les plus distingués y briguèrent des Entrées. On regardait le succès comme infaillible, le P… de P*** comme
dédaigne, c’est presque toujours votre faute, et rarement la sienne. Regardez -vous comme les enfants d’une même famille, et con
41 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
se qu’après m’être désabusé moi-même. Il est vrai que les Anciens ont regardé les Poëtes & les Peintres d’un même œil, puis
. Car il faut avouer qu’il y a beaucoup de gens d’esprit, qui loin de regarder la Peinture du côté de la perfection & de l’e
s l’ont fait renaître ; & si ces mêmes personnes font tant que de regarder quelques ouvrages de peinture, elles jugent de l’
e de Salomon, & le rendre respectable par leurs ouvrages. Si nous regardons la maniere dont la Peinture a été récompensée, no
un fin connoisseur. Cependant les préceptes qu’il nous a laissez, ne regardent que la théorie de ces deux Arts, lesquels differe
able lui seul de satisfaire à tout ce que le Roi désiroit. Le coloris regarde l’incidence des lumieres, l’artifice du clair obs
es & plus surs que les oreilles. Si après ce premier mouvement on regarde les effets qu’elle produit sur l’esprit, il faut
dans Moïse, David, & Salomon ; c’est pourquoy les Grecs ont aussi regardé Orphée, Lin, Musée, Homere, & Hésiode comme d
i par où je finis le Traité de la Peinture & de la Poésie, que je regarde comme deux sœurs, que la jalousie entretient dans
42 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIV. Des Reverences de plusieurs manieres. » pp. 42-46
ne vous faites deux ou trois pas avant de commencer votre reverence : regarder la personne que vous devez saluer pour lui adress
43 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVI. Discours sur la Courante en general. » pp. 110-114
de parler, du propre aveu des plus habiles Maîtres ; a toûjours esté regardée comme une danse très-necessaire à sçavoir pour bi
44 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
se, & y convioient les pauvres ; quelques saints Docteurs les ont regardées comme les noces de l’Eglise. Il est vrai qu’il s’
par les rues & les places publiques, qu’il soit excommunié & regardé comme un impie. » Néanmoins par succession de te
, Néanmoins d’autres prétendent que cette danse Sacrée des Dervis est regardée parmi eux comme la discipline que se donnent nos
û que l’origine de la danse Sacrée étoit fondée sur ce que Dieu étoit regardé par les Grands-Prêtres comme un nombre mistérieux
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
dont je l’ai écrit. J’ai traité assez sérieusement un sujet qu’on ne regardera peut-être que comme très futile. Je sais que j’au
seule nous causer une certaine émotion vive, qui est le plaisir. Nous regardons cependant, dès l’abord comme des innovations dang
mauvais goût, et c’est cette dernière qu’au temps de l’Abbé Du Bos on regardait comme la perfection de l’Art. La prévention s’exp
46 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
« L’observation du sabbat, c’est-à-dire du jour consacré à Dieu, nous regarde encore plus que les Juifs, parce que nous devons
oin la licence. Les commandemens de Dieu, et en particulier celui qui regarde la sanctification des fêtes, sont trop oubliés ;
n ancien peuple dans les termes les plus forts. Combien cette défense regarde-t -elle encore plus les chrétiens qui, vivant sous l
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
ent, et l’art des sujets employés pour l’exécuter. Lully fut dès lors regardé comme un Compositeur divin, les Chanteurs comme d
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
le du spectacle. Il y avait encore des danses de Mlle Anika Yan. J’ai regardé consciencieusement, j’ai lu également les explica
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
Euridice enchantée vole vers son époux ; il lui tend la main sans la regarder  ; elle le conjure et le presse de jetter les yeux
jetter les yeux sur elle. Fidèle au décret de Pluton, il refuse de la regarder  ; Euridice passe de tous cotés ; il fuit et détou
50 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
s retour un vieux Athélete, dont il se croyait le rival, et qui ne le regardait que comme un faible écolier, plus digne de pitié
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
les gestes de l’amour, les deux petites figures rondes des mimes vous regardent bien en face, imperturbables, pensives, sereines.
52 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159
’inclinant jusqu’à ce qu’il soit passé, et ne point se retourner pour regarder ses pas. S’il vous arrête, ce que vous ne devez p
e de les traverser. Il ne faut point se promener autour du salon pour regarder fixement les personnes qui y sont placées ; cela
danse. Il n’est point honnête de marcher au lieu de danser, comme de regarder du côté opposé à son danseur ou sa danseuse, de n
l’âge ; mais par cela même, elle n’a rien de dangereux, et peut être regardée comme un des amusemens qui conviennent le mieux à
53 (1936) Philosophie de la danse
ur sa toile. Mais l’homme ?   L’homme est cet animal singulier qui se regarde vivre, qui se donne une valeur, et qui place tout
s, à Leibniz et à quelques autres. Cependant, un philosophe peut bien regarder l’action de quelque danseuse, et, remarquant qu’i
’est là précisément ce qu’il cherche, c’est son vice et son jouet. Il regarde alors la danseuse avec des yeux extraordinaires,
nsidérez aussi un virtuose au travail, un violoniste, un pianiste. Ne regardez que les mains de celui-ci. Bouchez-vous les oreil
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
aveur l’un de l’autre d’une bonne conscience, qui leur pesait, qu’ils regardaient tous deux comme un meuble fort incommode et par m
55 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
ème, le plus jeune, est un petit garçon que vous n’avez jamais vu. Il regarde toutes vos affiches et chaque fois il demande des
t pénétrer dans quelque endroit supra terrestre et paradisiaque. Elle regardait , les yeux inquiets, ces murs nus, ce plancher san
56 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
et la peinture, en forment les trois principales parties. La première regarde le poète lyrique, et il doit avoir une connaissan
ses différents actes. Ce point une fois décidé, on croit que le reste regarde le décorateur, et qu’il n’est question que de pei
arcourant les détails clairs et raisonnés qu’il y fait de tout ce qui regarde leur spectacle, il est aisé de se convaincre de l
57 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
it-il, que la sage administration de ce qui vous a été confié ne vous regarde pas. Vous ne pouvez le faire du lieu élevé d’où j
e maison, s’il en est le chef, croie donc que l’office de l’évêque le regarde , et qu’il doit se mettre en peine d’examiner quel
leur sont soumis, sans se mettre, en aucune façon, en peine de ce qui regarde leur bien spirituel, qu’ils lisent ou qu’ils écou
58 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les dames. » pp. 53-69
blasmer d’affecterie, au reste il est necessaire en la commençant de regarder en face la compagnie, mais pour ne s’esloigner de
la veuë auec le corps qu’on releuera en finissant, sans l’arrester à regarder personne fixement en face, pource que cela tient
ent, on le pourra faire, sans leur permettre, comme font plusieurs de regarder par dessus les espaules, ny certains branslemens
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
ne font même qu’un plaisir médiocre à ceux qui en sentent le prix. Je regarde les difficultés multipliées de la musique et de l
qui étoient autant d’invitations, et qui vouloient dire ; Messieurs, regardez moi, mais ne m’écoutez pas : ce passage est diabo
s pas les gestes, les attitudes, les pas et la musique, que l’on doit regarder comme l’organe et l’interprète des mouvemens succ
60 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
ne font même qu’un plaisir médiocre à ceux qui en sentent le prix. Je regarde les difficultés multipliées de la Musique & d
ui étoient autant d’invitations, & qui vouloient dire, Messieurs, regardez -moi, mais ne m’écoutez-pas : ce passage est diabo
pas les gestes, les attitudes, les pas & la musique que l’on doit regarder comme l’organe & l’interprete des mouvements
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
nait de quitter, et il l’imita. Ainsi les hommes qui se sont toujours regardés comme des Êtres fort supérieurs, n’ont cependant
62 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XI. Des Révérences de differentes façons. » pp. 29-34
lle que vous saluez, de même qu’avant de commencer votre reverence de regarder modestement la personne, ce que l’on appelle adre
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
n générale ait proscrit sans retour le quatrième Acte d’Armide. On le regarde comme très indigne des quatre autres, et je pense
ation, les Machines, et jugeons133. 132. Je dois me borner à ce qui regarde la Danse, et je ne puis traiter qu’en passant cet
64 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
pénitence ; et la plupart des jeunes garçons et des jeunes filles ne regardent -ils pas ces vertus comme étrangères, en quelque s
s et les gestes qui se font dans les danses, que la façon libre de se regarder , ne peuvent que donner au démon la plus grande fa
65 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
leur nièce. Ils agravent ses peines en l’accablant de reproches. Ils regardent l’orage comme une suite naturelle de la punition
a perdu son amant : la vie lui devient un fardeau insupportable. Elle regarde la mort comme le remède le plus certain aux tourm
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
anse quelqu agréable et quelque magnifique qu’elle soit, ne peut être regardée que comme accessoire, et que c’est un grand art d
 ; à son approche, Junon et Pallas peignent leur agitation ; elles la regardent comme une rivale dangéreuse. Les trois Déesses an
67 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
erreur funeste par exemple, si on en venait jamais en France, jusqu’à regarder les mœurs comme sans conséquence dans les gens à
68 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
ceux qui la leur représentent ? S’ils paroissent consulter sur ce qui regarde leur conscience, c’est de mauvaise foi, comme les
69 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
ar terre. C’est une promenade en bateau. L’une d’elles, sur la proue, regarde en avant, fascinée ; deux autres, pensives, obser
70 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
e et habituelle de la musique. Le besoin et la nécessité peuvent être regardés comme deux sources où les hommes puisèrent leur i
71 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
me à la chaîne qui nous dominait de toute sa hauteur et persistait me regarder d’un air courroucé. — Demandez-le-lui, dis-je. Le
ns chaque musée, l’impression d’un mélange malencontreux. Dès que j’y regarde les objets quelques instants, une sensation de tr
72 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
oltaire que je l’ai tiré ; j’ai suivi à peu près son plan pour ce qui regarde les événements ; mais j’ai été forcé d’y faire de
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
m’aidant des pieds et des mains. Une fois là-haut, je me retournai et regardai le public, je fis une belle révérence, et commenç
74 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VIII. De la maniere de faire les bras avec les pas de Bourrée, ou Fleurets. » pp. 223-230
en arriere, c’est le bras droit qui se doit plier, en ce que l’on ne regarde l’opposition que de devant : ainsi regle generale
75 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVI. De la maniere de faire les bras avec les Contre-tems de Gavote. » pp. 255-263
ntre-temps en passant l’un devant l’autre, il faut bien que vous vous regardiez tous deux, non plus que lorsque je dis que la têt
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
l’Académie Française ; il en fut le chef et le protecteur. On doit le regarder comme le fondateur du théâtre Français, pour le q
ançais fut crée, et on lui doit sa naissance. On ne peut se refuser à regarder l’Abbé Perrin comme un homme qui eut assez de gén
de Droit fermée alors depuis un siècle, on ne pourra se dispenser de regarder Colbert avec cette admiration qu’inspirent la ver
77 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
e, et les trois Arcadiennes, enchantées de ce qui vient d’arriver, ne regardent le fils de Vénus que comme un dieu bienfaisant. D
ose lever les yeux, et si par hazard elle les lève, ce n’est que pour regarder les filles de Lycénion et pour se dire qu’elles s
t avoir trois couronnes à leur offrir, elle marque son embarras, elle regarde l’amour, et par le pouvoir de ce dieu, sa couronn
78 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
en, parce que la Danse a dégénéré de nos jours au point de ne plus la regarder depuis longtemps que comme l’art de faire des ent
che le plus de celle de la représentation, toutes choses égales, sont regardées comme les plus parfaites. L’étendue des 24 heures
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
plus jeune que moi et me porte une profonde affection. Souvent je la regarde avec curiosité, elle semble lire ce qu’il y a dan
Les gens, qui sont devant elle, ne savent jamais au juste si elle les regarde et pourtant rien de ce qu’ils font ne lui échappe
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
r pour leur gloire qu’ils auront un jour des académies. L’opéra a été regardé long-tems comme l’école du bon goût ; le costume
s par complaisance) sur celui des principaux acteurs qui doivent être regardés comme les premières figures d’un vaste tableau ;
81 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
reste cette scène absolument neuve à la pantomime héroïque, peut être regardée , (si toutefois j’ai eu le bonheur de réussir,) co
n habit de victime est enchaînée sur un rocher escarpé ; elle ne peut regarder sans frémir les précipices dont elle est environn
82 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
a est composé ; ils prétendaient qu’ils n’hésiteraient pas alors à le regarder comme le plus beau et le plus magnifique de tous
ranchise de ces louanges, d’autres critiques étaient bien éloignés de regarder ce spectacle comme l’assemblage ou l’abrégé de to
ux siècles, que l’opéra a été naturalisé en France, il a toujours été regardé comme le plus brillant et souvent comme le plus a
incipales époques de l’Opéra ; elle occupa vivement le public ; on la regarda comme d’un heureux présage pour l’avenir ; on la
tellement anciens, tellement invétérés, qu’on s’était accoutumé à les regarder comme des droits. Il a fallu quelque courage pour
ter ici que celle que l’on a encore aujourd’hui dans les bureaux : on regardait et on regarde encore les recettes comme un access
e que l’on a encore aujourd’hui dans les bureaux : on regardait et on regarde encore les recettes comme un accessoire peu intér
bandeaux qu’il ne faut pas arracher : le monde théâtral ne peut être regardé qu’à distance. Ne, franchissez pas la rampe : cro
83 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
s. Lucien nous a même laissé un Traité de cet Art célèbre, qu’on peut regarder comme une espèce de Poétique des Danses Pantomime
84 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
urs près. Lorsqu’il eut fini il se rassit tandis que tout le monde le regardait avec admiration, bouche bée. Personne cependant n
85 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
phytrion et ses invités dînaient dans des gondoles. De ma fenêtre, je regardais la fête, et je pensais à l’autre souper où j’avai
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
âme des jeunes Athéniennes. Scène II. Les Corsaires débarquent, regardent avec avidité, et s’élancent sur leur proye ; Hymé
87 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
s, je les respecte. » Il m’a dit : « Les idées des autres, cela ne me regarde pas. » J’ai été frappé du ton bref et du regard f
88 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
uit un si grand effet sur le cœur d’Hérode, qui osera se permettre de regarder avec plaisir de nombreuses assemblées de femmes e
tés, en tous ces exemples de cœurs s’enivrant de plaisir… Pour ce qui regarde la gloire de Dieu, nous laissons à juger après to
 ! mais combien plus doivent-ils rougir, s’ils sont assez lâches pour regarder comme permis ce qui est en soi si dangereux, et c
89 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
la ronde des wilis ? C’est là, en effet, que se tient le bal magique. Regardez  ! le gazon tressaille, le cœur d’une belle de nui
! de grâce, vision incomparable, ne t’évanouis pas, laisse-moi encore regarder ce doux visage que je ne croyais revoir qu’au cie
onne de danser la danse la plus pudique et la plus voluptueuse, de le regarder de ton œil le plus tendre, de lui faire ton plus
90 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
e ses mains, celui dont la vie lui est si précieuse. Coriace enchanté regarde ce gage de l’amour, comme le présage heureux de s
de résignation : il s’assied un instant ; il se retrace le passé ; il regarde avec plaisir ses couronnes et ses trophées, qui s
91 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63
naturelle, et à laquelle on fait le moins d’attention. « Par exemple, regardez marcher différentes personnes, vous verrez que lo
92 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114
laissez tomber les bras naturelle-mente à côté du corps. Pour ce qui regarde la position naturelle des bras voyez le ch. IV, n
93 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage » pp. 115-118
is un peu tournée de côté à droite ou à gauche, soit que vous fassiez regarder votre figure en haut, ou en bas, ou devant elle,
94 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
place, enfin à faire toutes les évolutions que les danseurs médiocres regardent comme la perfection de l’art, et qui n’en sont qu
95 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
péra depuis sept heures jusqu’à onze heures du soir, et que le public regarde comme autant de corps célestes, n’ont pas la moin
96 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
Mais il ne parle jamais beaucoup. Alors, croyant la glace rompue, je regardai , en riant, M. Prudhon, qui ne riait pas du tout,
a tête coupée de Jean, la tête du décapité, qui la suit partout et la regarde de ses yeux fixes de martyr. Loïe Fuller a étudié
97 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
t, et vêtue de ma seule chemise de nuit, je passai le vêtement, et me regardai dans une grande glace pour me rendre compte de ce
ent sombre, le directeur, installé dans un fauteuil d’orchestre, nous regardait avec un air d’ennui, — presque de mépris. Pas de
98 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
gathes. Le peu d’êtres estimables que l’on peut compter en Europe, et regarder comme les souverains juges des productions des ar
es prétendent que l’Arabesque doit sa naissance au délire ; et ils le regardent comme un enfant-trouvé de l’art. Dans un autre mo
99 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
père Rédoré ! On le soignera bien, monsieur, on le payera, ça ne vous regarde pas ; on le fera coucher, on ne le laissera pas r
evé, je ne sais pourquoi, car rien de ce qui peut se passer ici ne me regarde et ne m’intéresse encore. Ce damné brouillard ava
100 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
ution parfaite d’un adagio est le nec plus ultra de l’art, et je la regarde comme la pierre de touche du danseur64. [2] Un d
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