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1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
craindroit de faire quelque chose d’immodeste qui les choqueroit. Je réponds à cette objection : 1.° que le monde est aujourd’
evroient en témoigner leur indignation et les condamner hautement. Je réponds en second lieu, que si la présence des hommes peu
t devant qui l’on n’est réellement que ce qu’on est dans le cœur ? Je réponds en troisième lieu, qu’on ne sera pas toujours en
2 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
danses, et auxquelles on revient sans cesse, comme si on ne pouvoit y répondre , ou comme si on n’y avoit jamais rien répondu de
mme si on ne pouvoit y répondre, ou comme si on n’y avoit jamais rien répondu de raisonnable. Le désir d’inculquer davantage le
3 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
sommes étrangers et ma fille ne parle pas assez le français pour vous répondre . Je vous remercie pour elle et vous prie de la la
n hôte à en offrir au voyageur enfoui dans sa voiture. — Le voyageur, répondit -il d’un air narquois, ou la voyageuse ? Cela est
rononcez pas mon nom. Puis-je vous parler sans qu’on nous écoute ? Je répondis en l’invitant à prendre une tasse de thé, ce qui
nter. Mais Fiori était un parfait honnête homme. « Je ne sais pas, me répondit -il, si tu me rapporteras ce que tu vas me coûter,
a condition… — On achevait la phrase en lui parlant à l’oreille. — Il répondait d’un air bourru : « Parbleu ! j’y veille, et le d
and je lui demandais l’explication de ces paroles mystérieuses, il me répondait  : « Ça ne te regarde pas. Une danseuse ne doit ri
garde et m’adresse un faible sourire. On lui demande s’il souffre, il répond que non, et demande qu’on l’aide à se lever. Mais
anquille ; mais nous faisant bien comprendre par ses regards qu’il ne répond de rien et ne peut se prononcer. Mon père m’emmèn
d de rien et ne peut se prononcer. Mon père m’emmène dans la loge, et répondant à mes questions, m’apprend que ce jeune duc est d
duc s’il trouvait quelque satisfaction à me voir près de lui. « Oui, répondit -il, beaucoup. Sa main d’enfant me réchauffe, et s
ournant vers moi, il me demanda si j’allais encore le quitter. « Non, répondis -je, je resterai tant qu’il vous plaira. — Merci,
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
r. On peut imaginer si je me trouvais flattée d’une telle demande. Je répondis , bien entendu, par l’affirmative et je me mis à f
ce soir même pour embarquer après-demain destination New-York. » Je répondis par une autre dépêche réclamant un délai, dans le
là, avec toute une suite de dames de la Cour, puissent vous voir ? Je répondis  : — Dites aux archiduchesses qu’elles peuvent me
en souriant de son joli sourire, je lui demandai s’il était marié. Il répondit affirmativement. Il avait même quatre femmes. Com
y avait tant de jolies femmes, il me regarda longuement à son tour et répondit  : — Pour mes femmes, une femme blanche n’a ni cha
ait parce qu’elles n’avaient jamais vu de femmes blanches. — Oh ! me répondit -il, en aucun cas elles ne seraient jalouses d’une
— Vous ne connaissez sans doute pas Loïe Fuller ? — Mais si, madame, répondit -il, je la connais presque trop si je peux dire. —
e lui demander de venir à l’Hippodrome. Une de ses dames d’honneur me répondit que le séjour de la Reine était très limité et qu
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
ur chanter en chœur des Hymnes en l’honneur d’Apollon. Tout le Peuple répondait à leurs Chants, et applaudissait à leurs Danses.
sent par la Ville toutes nues, et lui en demandaient la cause ; afin, répondit -il, que faisant les mêmes exercices que font les
inion du vulgaire ; d’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit , à quelques Dames étrangères qui lui disaient : I
6 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
était cet étrange bonhomme qui me paraissait un peu maniaque. Je lui répondis donc, sans autrement m’émouvoir : — Merci beaucou
que je voie sa collection ? demandai-je à Rachel Boyer. — Pourquoi ? répondit Rachel Boyer, mais sans doute parce qu’il profess
lée par cette admiration d’art. Il me regarda presque avec mépris, et répondit  : — Du marbre, du marbre, non certes ; ce sont de
possible pour obtenir une invitation, et j’écrivis à M. Groult. Il me répondit aussitôt d’amener le conservateur du musée. Comme
7 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
z-vous me rendre un service ? — Avec grand plaisir, monsieur Prosper, répondis -je. — Je suis forcé de m’absenter pour quelques j
e que cela vous contrarie ? continua-t-il doucement, voyant que je ne répondais pas. Cette proposition qui correspondait si bien
il leva la tête. — Elle vous plaît donc ? — Dame… J’osais à peine lui répondre … — Dites, vous plaît-elle ? Et l’œil brillait, br
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
main et lui demandai ce que c’était. Il n’hésita pas un instant et me répondit , sans avoir porté la fleur à ses narines : — C’e
était la personne qui l’accompagnait. Il prit un ton pénétré pour me répondre  : — C’est ma femme, ma chère femme. Je regardai a
ser avec le vieux. — Vivez-vous seul ? lui demandai-je. — Oh non, me répondit -il avec certitude, car j’ai deux chiens. Mais je
ison. — Qui vous fait la cuisine ? Qui fait le feu chez vous ? — Moi, répondit -il. Je frotte une allumette et, par les craquemen
tions je le questionnai. Il fit beaucoup moins de difficultés pour me répondre . — J’ai admiré autrefois de biens jolies choses,
nir pour regagner sa demeure. Comme je le plaignais à ce sujet, il me répondit  : — Il ne faut pas me plaindre, madame. Songez do
9 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
as laisser le plus petit retranchement aux apologistes des danses, je répondrai à chacun de ces passages en particulier. Au temps
me on y cherche maintenant de quoi justifier les danses. Avant que de répondre aux passages dont on abusoit, cet ancien auteur f
David qui a dansé de toutes ses forces devant l’arche ? Avant que de répondre aux amateurs et aux défenseurs des danses, qui ve
oit que les sentimens de la plus vive religion. Il ne reste plus qu’à répondre à l’endroit de l’Evangile, où Jésus-Christ parle
es ministres protestans que nous avons déjà cités plusieurs fois, ont répondu avant nous aux exemples qu’on voudroit tirer des
t rien dit positivement d’un si grand péril et d’un si grand mal ? Je réponds avec M. Bossuet (dans ses réflexions sur la coméd
ont essuyé de pareilles difficultés, nous ont ouvert le chemin pour y répondre qu’en général tout ce qui intéresse les hommes da
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
arde avec curiosité, elle semble lire ce qu’il y a dans mon regard et répond à mon interrogation muette : — Vous ne pouvez pas
Est-elle jolie ? demanda la mère de Gab. — Non, elle n’est pas jolie, répondit la buraliste. — Est-elle commune, vulgaire ? — No
Ceci ne parut pas la surprendre, elle se tut, réfléchit un moment et répondit  : — Il faut que je pense à cela, mais il me sembl
lui dit : « Mais pas du tout, ces mouchoirs portent votre nom », elle répondit  : « Comment cela peut-il être ? Ces gens ne me co
prendre que c’était à cause de son succès. La mère de Gab après avoir répondu au salut du directeur, qui prenait congé, demanda
11 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
sait aucun gré. La réponse est toujours verbale. Une seule fois J… a répondu épistolairement. « Monsieur, « Vous voulez me fai
, on ne lit pas la lettre. « A un louis, on la lit encore moins. » On répond  : Oui, les yeux fermés. IX Lorsqu’on éprouv
Tu es sûr qu’elle viendra ? Son ami. Parfaitement ! car elle a fait répondre que oui ; après cela, tu sais, je ne réponds de r
ement ! car elle a fait répondre que oui ; après cela, tu sais, je ne réponds de rien ; ces dames sont si changeantes ! Le ga
12 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
andai avec bienveillance : — Quel est le père de cet enfant ? Elle me répondit naïvement : — C’est des messieurs très bien que
— Père Machin, votre aînée est crânement gentille ! Le digne homme me répondit  — en faisant jabot : — Je le crois fichtre bien !
Une lumineuse idée traversa la cervelle de la ballerine. — Vraiment ! répondit -elle. — Ma foi, oui… — Quoi ! vous seriez… Et, s
13 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
Vous voulez me présenter à l’auteur de la Dame aux Camélias ? — Oui, répondit -il. Cela valait bien douze visites à la Jamaïque,
r, un jour, quelqu’un me demanda si j’aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en français, que je ne possédais encore qu’assez
isqu’elle a une telle valeur, qu’allez-vous me donner en échangé ? Je répondis qu’une femme ne pouvait donner qu’une seule chose
14 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
art, en musique et en poème : toutes ces fumées sont bien faites pour répondre les unes des autres. Je le crois aussi. La raison
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
s, se flatte d’en démêler la route, et promet de hâter son retour. On répond à ses offres par mille cris de reconnaissance et
ense la jeune Athénienne qu’il aime. Un applaudissement universel lui répond du consentement de ses Concitoyens. Il part : on
16 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
ent trois sortes de danses : l’une grave, nommée emmeline, à laquelle répondent nos basses danses pavanes et nos menuets ; la sec
es ; la troisième, appelée seimis, entremêlée de gaîté et de gravité, répond à nos branles1. Je ne prétends point publier un t
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
rême. Il est consolé, toutesfois, Par Dame Echo, de qui la voix Lui répond qu’il faut qu’il espère, Et qu’Amour lui sera pro
de los, Sur la belle et rare Princesse Qui va, de sa Royale Altesse, Répondant à son Amitié, Etre l’excellente Moitié. Pour reto
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
. Je dis l’objet do ma visite. Je demandai à voir le directeur. On me répondit que je pourrais être reçue seulement à l’issue de
roposiez de danser à l’Opéra ? Peut-être le sait-il !… — Peu importe, répondis -je, posez toujours la question. Et puis cet homme
in, à présent, transmettait ma demande. — J’ai engagé cette danseuse, répondit M. Marchand en français, parce que le Casino de P
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
enant, je vais la voir. — Il y a tant d’artistes célèbres à New-York, répondit ma mère, comment veux-tu qu’il y ait de la place
na brutalement dans mes oreilles. Un « entrez » qui me sembla lugubre répondit et j’ouvris la porte. Machinalement j’avançai, me
e pleurer. Mon assurance s’en ressentit. — Je n’ai jamais pensé cela, répondis -je. Mais je voudrais devenir une artiste… un jour
traduire ce que disait Sarah. Mais elle ne me laissa pas le temps de répondre . Elle criait, cette fois en anglais : « Horrible 
demander lequel de mes éclairages elle désirait. Et voici ce qu’elle répondit  : — Mes électriciens se mettraient en grève s’ils
20 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
rire, de cette bonne et rassurante façon qui lui est particulière, et répondit  : — Oh non ! Mais il ne parle jamais beaucoup. Al
i dis avec vivacité : — Si vous continuez à me contredire ainsi je ne réponds plus de moi. M. Prudhon, toujours grave, s’inclin
la vieille dame comment elle se portait. — Oh ! cela va très bien, me répondit -elle. Il n’y a que mes yeux qui m’inquiètent. Je
largement pour elle les infirmités que l’âge nous fait subir. Elle me répondit  : — J’aime mes enfants et mes petits-enfants, et
théâtre. Gaie, avec son œil bleu et son sourire de faunesse, elle m’a répondu  : — C’est le hasard. La lumière est venue à moi p
21 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
de s’informer : — Est-ce qu’il y a rien pour moi ? Ce à quoi Cerbère répondait  : — Il y a une lettre. Ou : — Il y a des bonbons.
sait le bouquet d’un verre de malaga, — on lisait la lettre et l’on y répondait … Ces demoiselles d’à présent demandent bien encor
demoiselle L… ne se serait pas exposée à entendre ce que M. de P… lui répondit , le soir de la répétition générale du Tribut de Z
s, — du genou, quelque chose comme le pantalon de nos zouaves, et qui répond au joli petit nom harmonieux de Tutu. Tutu ou C
nvers un monsieur qui avait eu les honneurs de nombreux à parte, elle répondit  : — C’est un malotru, avec lequel ne peut se comm
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
une simple salle, pour la séance que je voulais donner au Palais. Je répondis que cette chose était très possible. Ensuite, et
r des tableaux de ce genre, quand vous viendrez danser au palais ? Je répondis que c’était à des danses de cette sorte que j’ava
i ce qu’elle aimait le mieux parmi les choses qui étaient là, et elle répondit  : « les croix », dont elle avait toute une collec
aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une princesse. — Mais, répondit -elle, c’est la femme que vous connaissez maintena
23 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
de l’eau glacée et trois sonneries, des boissons. On avait donc bien répondu à ses appels. Mais Mortier ne comprenait pas un m
ait une négligence. Or, bien que la maison fût à la française, on lui répondit à l’américaine : — Mais cela ne regarde pas le po
méricain quel jour ils déjeuneraient ensemble chez Delmonico. L’autre répondit  : — Vendredi ou samedi à votre choix. Et l’Anglai
eterre, ils croiraient que vous voulez vous moquer d’eux, et ils vous répondraient qu’ils ne vous croient pas. Ils consentent bien,
s, que je connaissais, et il télégraphia à une banque de New-York qui répondit  : — Les chèques de Loïe Fuller sont parfaitement
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
musique, Dont le Maître scientifique53 Compose des airs ravissants, Répondait à ses doux accents, De VIGARANI les Machines, Par
25 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
déclare sa passion, et lui offre le partage de son trône : Alceste ne répond à ses vœux et à ses hommages que par l’expression
ace de se rendre ; le farouche Lycomède, qui est sur les remparts, ne répond à cette sommation qu’en leur montrant Alceste dan
s ses bras ; son premier soin est de lui demander Alceste. Hercule ne répond que par un geste, qui exprime son affliction : Ad
26 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
n.° 7.) « Quel est cet adversaire », demande le saint docteur ? Et il répond  : « L’adversaire dont il est parlé ici, ne peut ê
 172.) « C’est en vain, dit saint Cyprien, que ceux qui n’ont rien à répondre à la force de nos preuves et de nos raisons, nous
J. C. s’est attiré celle des Juifs pour la leur avoir prêchée ? Et il répond que cela vient de ce que cet amour même qu’ils on
Vérité éternelle ; et du trône où vous présidez à toutes choses, vous répondez à tous ceux qui vous consultent, et vous leur rép
s choses, vous répondez à tous ceux qui vous consultent, et vous leur répondez tout à la fois, quelque différentes que leurs con
fois, quelque différentes que leurs consultations puissent être. Vous répondez toujours clairement ; mais on ne vous entend pas
et fidèles serviteurs sont ceux qui, au lieu de vouloir que vous leur répondiez selon leurs désirs et leurs inclinations, ne cher
conscience ; car je suis assuré qu’elle est assez éclairée pour vous répondre très-justement. Mais ce pasteur, dites-vous, fait
27 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
amoureuse, elle est la plus profonde, sinon la plus directe. L’art y répond  ; et entre tous les arts, la poésie et la musique
28 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
se précipita dans ma loge. — Eh bien Mollie, ma vieille, pourquoi ne répondez -vous pas à la lettre d’un camarade ? Mais en me v
pour une de ses anciennes amies. — Je sais de qui vous voulez parler, répondis -je, mais je ne suis pas Mollie Fuller. Mollie Ful
29 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
r la seconde fois depuis l’expiration de votre deuil, et peut-être me répondrez -vous cette fois-ci comme la première : que vous n
er et se nourrir dans votre montagne ; j’ai pris alors sur moi de lui répondre que vous lui assuriez le vivre et le couvert dans
30 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIII. » pp. 362-395
s talents ? Quel vernis a-t-elle répandu sur leur réputation ? Ils me répondront , s’ils sont sinceres, que cet Art n’a pu les élev
émoires souvent instructifs ; l’Académie à son tour seroit forcée d’y répondre , & ce commerce littéraire en répandant sur no
uts étonnants : il faut ensuite ajouter que l’Eleve a du zele ; qu’il répond aux soins qu’on se donne ; qu’il travaille nuit &
; c’est l’Ecolier d’un tel ; il étoit détestable il y a un mois. Oui, répond celui-ci, il étoit insoutenable, & du dernier
e dépense immense ! Quel livre volumineux ! Il me sera facile de vous répondre . Je ne propose pas en premier lieu deux Mercenair
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
ur était permis de faire jouer les airs qu’ils voulaient danser, pour répondre au caractère du déguisement qu’ils avaient choisi
32 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VII. De la quatriéme Position. » pp. 17-19
peut y réüssir. Mais on me dira que l’on n’a pas de disposition : je réponds à cela que l’on en a toujours quand on le veut, c
33 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
spirituel de la fréquentation des danses. Dans cette supposition, je réponds avec saint Jean Chrysostôme : (hom. 37, in Matth.
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
. — Demandez-le-lui, dis-je. Le monsieur me traduisit les paroles que répondit le bedeau : — Dites à cette femme de s’en aller,
as expliquer la chose, je ne sais pas comment je fais. Je ne puis que répondre , comme Hippocrate, lorsqu’on lui demanda ce qu’ét
médium et fait comprendre ces sensations au corps. De fait, le corps répond tellement à ces impressions que, parfois, quand l
35 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
ur à Charles Wanloo, pourquoi il fuioit les petits spectacles ? il me répondit qu’il n’aimoit ni la farce ni les farceurs, et qu
ire tant de petites choses ? un mauvais plaisant se trouve là et leur répond  : c’est Jérome Pointu. Ces amateurs pénétrent-ils
cet autel, sur le quel ils voient une petite lampe antique. Celui-ci répond bonnement qu’il sert à dérober aux yeux les vases
t aucune base solide, ou qui sont en l’air, sans avoir des ailes ? on répond  : ce sont des figures antiques trouvées dans les
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
proportionnée au rétréci de la salle. L’avant-scène, ou le Proscenium répondait à tout le reste. Les décorations réparoient le no
37 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
ent absolument être interdites aux chrétiens ; et ils le finissent en répondant à plusieurs des raisons qu’on allégue pour les ju
les, les païens même, que les danses sont condamnables, ces ministres répondent à quelques-unes des raisons que les avocats des d
ut réformer l’abus sans rejeter la chose, voici leur réponse : « Nous répondrons , qu’en cas de réforme, il faut user d’une prudenc
. C’est, dit-on un exercice propre à la santé. « Que nous accordions, répondent les ministres, que la santé du corps en puisse êt
onfesseurs qui, étant interrogés sur ce qu’il faut penser des danses, répondent qu’elles sont permises, pourvu qu’on ne s’y porte
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
 ; les pieds formèrent des pas lents ou rapides ; tout le corps enfin répondit par des positions, des attitudes, des sauts, des
39 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
viez pas dédaigné de m’indiquer. Mais quoi ! il fallait bien une fois répondre aux détracteurs d’un art que vous aimez, et que j
40 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
uement. Inès fait les premiers pas, mais s’appercevant que Fernand ne répond point à son empressement elle prend la fuite ; Bé
s-je, comment ils trouvent la Danse & les Ballets ? « miraculeux, répondront -ils ; ils sont du dernier bien ; & les Arts a
egré de perfection où il peut atteindre. « Nous ne nous soucions pas, répondront -ils, que la Danse & les Ballets nous attendri
au Théatre, me répliqua-t-il. Avez-vous lu ces deux Drames ? oui, me répondit -il ; eh bien n’avez-vous pas été ému ; votre ame
nt ? J’ai éprouvé, me dit-il, tous ces mouvements. Pourquoi donc, lui répondis -je, doutez-vous de l’effet que ces pieces produir
lus simple, une expression plus vraie, un air plus naturel ? ils vous répondront pour justifier leur indolence & leur paresse
41 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIII. » pp. 181-196
rs talens ? quel vernis a-t-elle répandu sur leur réputation ? Ils me répondront , s’ils sont sincères, que cet art n’a pu les élev
fauts étonnants. Il faut ensuite ajouter que l’éléve a du zèle, qu’il répond aux soins qu’en se donne, qu’il travaille nuit et
c’est l’écolier d’un tel ; il étoit détestable, il y a un mois. Oui, répond celui-ci, il étoit insoutenable et du dernier mau
e dépense immense ! quel livre volumineux ! Il me sera facile de vous répondre . 1°. Je ne propose pas deux mercenaires, mais deu
42 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
ez quelque saut périlleux ». C’est par de bonnes raisons que je vais répondre aux injures dont on pourra me gratifier. J’avoue
r la ravissante mélodie des Philidor, des Monsigny, des Grétri » ? Je réponds à cette grave objection, que je rends justice aux
usion, si l’on n’y admettait que la Pantomime ou le geste. Je ne puis répondre à cette dernière difficulté, sans entrer dans un
43 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
a première lettre sur Garrick et que vous attendez la seconde pour me répondre . Je vais remplir vos intentions et vous parler en
er foyer. Sur les représentations que lui fit un grand personnage, il répondit  : les grands hommes ont l’univers pour patrie. Il
il étoit vrai qu’il eût retouché les tragédies de Schakespear ; il me répondit  : je ne suis ni assez imbécille, ni assez témérai
44 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
l, je crois.. Alice. Comment que tu t’appelles ? L’ami rougit et ne répond pas. — Tu ne veux pas le dire, — ça m’est égal… T
— Viens-tu, Alice ? Alice. — Voilà. — (Saluant.) — Messieurs. L’ami répond à ce salut par une respectueuse révérence. — Une
45 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
froid qui s’est répandu dans sa déclamation et dans son jeu ; il vous répondra qu’il étoit mal disposé, que ses efforts étoient
de relatif à l’acteur pantomime, puisqu’il doit parler sans voix ; je répondrai que ses gestes, le jeu varié de sa physionomie, l
46 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
xprimant le tourment qu’il endure : Euridice le conjure de nouveau de répondre à son impatience et de jetter un regard sur elle 
’elles s’élancent sur lui ; moins sensibles que les rochers, elles ne répondent à ses accens qu’en lui portant des coups redoublé
47 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
ibes, de Métra, de Salvayre ou de Saint-Saëns ? — En fait de musique, répondit -elle, je n’aime que celle d’Artus. Mercédès
s-tu, toi ? interrogea le directeur. — Moi, m’sieu, je suis un Stilb, répondit le gamin fièrement. Mon Dieu, oui : les Stilb ! U
faire, il me faut Prendre quelque chose de chaud. — Prends mon… cœur, répond -elle. Mesdemoiselles Leppich Ire, IIe &
otre fille, lui demandai-je, elle n’a pas encore vendangé ? — Non, me répondit -il gravement : elle ne commencera que l’année pro
hances de réussite et sur la nature de sa voix. — C’est, m’a-t-il été répondu , le plus beau rhume qu’il nous ait été donné d’en
48 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
service ? lui demanda-t-elle, fort intriguée de ce long mutisme. Sans répondre , le malin en question continua son petit manége,
nsieur ! fit mon amie véritablement effrayée. — Hélas ! mademoiselle, répondit -il enfin. je cherche le moyen d’entamer la conver
49 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
le vous a lancée, vous n’avez plus besoin d’elle. » Ce à quoi l’autre répondit  : « Mais je n’ai pas la moindre envie de retourne
ai une dépêche demandant si je ne devais plus les revoir. Ma danseuse répondit textuellement par un télégramme ainsi libellé :
50 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
Et quand vous sauriez le vôtre jusqu’au bout des orteils… La Danseuse Répondez -moi ! Lorsque je parais en scène, qu’attendez-vou
c pas cela ! Wagner a eu la faiblesse d’écrire les Meistersinger pour répondre à des phrases de ce genre. Il y a des artistes as
51 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
ue dans les gestes, et dans le jeu varié de la main et des doigts, me répondirent dans leur langage ; je ne compris rien aux mouvem
les classes de citoyens ; les ombres que tu viens de consulter, en te répondant dans leur langage, ont employé le moyen de te dés
52 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
ques. Solon qui venoit de l’entretenir de l’utilité des tragédies lui répond ainsi : « j’ai vû jouer des tragédies aux fêtes d
mer, gesticuler, étoit danser ; en voici quelques exemples. Ovide, en répondant à un ami qui lui annonce le succès de sa Médée, s
53 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
s unes des autres. Les symphonies, les habits, la composition entière répondaient toujours à la Fête qu’on célébrait, à l’événement
54 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
e guerre et que je souhaitais qu’ils ne tuassent point, l’un d’eux me répondit très simplement : — Je pense que je peux servir d
d’hui. » N’y tenant plus, je dis ma pensée au directeur. — Du diable, répondit -il, ce n’est pas l’âge qui compte, c’est le temps
à danser dans de telles conditions. — Rien ne peut vous y forcer, me répondit -il, du reste, j’ai pris mes précautions au cas où
55 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
ec encore plus de véhémence qu’auparavant contre ces désordres. On ne répondit à son zèle que par des injures et des outrages, e
as de Jésus-Christ avec le respect qui lui est dû, prenez sa défense, répondez à ceux qui murmurent contre lui, reprenez les bla
leur donner pendant un temps un maître à danser ? Je vais vous faire répondre pour moi un auteur très-connu par l’estime que lu
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
laissée chez moi d’où je ne demandais pas à sortir. » Pouvais-je lui répondre qu’elle avait tort de pas vouloir s’élever au niv
u laisser à son confesseur pour qu’elle ne vous aime pas trop. » J’ai répondu  : « Aimons pour être aimés », et je n’ai pas rouv
ssocier personne à mon mal. Vous me feriez souffrir, mon ami, si vous répondiez au fond de cette lettre et si vous aviez des réfl
57 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
s chrétiens les danses, selon l’idée que je viens d’en donner, et qui répond à ce que tout le monde est en état de voir, j’app
en état de voir, j’apporterai un grand nombre de preuves ; ensuite je répondrai à toutes les objections qu’on a pris à tâche de m
58 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
est en ces jours-là plus à craindre pour eux que celui des danses. Je réponds encore une fois, qu’il ne s’agit pas de choisir e
bien trouver un relâchement à l’esprit humain. Saint Jean Chrysostôme répond que, sans courir au théâtre, nous trouverons la n
59 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
dore, qu’il veut lui donner la main et en faire son épouse. Julie lui répond qu’elle ne l’aime point, qu’elle ne l’aimera jama
; elle se jette dans leurs bras ; ils la questionnent et elle ne leur répond que par des larmes et des sanglots. Enfin pressée
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
ôt sur les Robinets des Fontaines. Cherchez quelque autre moyen, leur répondit ce bon prince, qui ne soit point à charge à mon p
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
aux de feu. Dessinez-vous ; dessinez-les, d’après elle : on peut vous répondre d’avance, qu’ils seront une imitation de la belle
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
e du Seigneur par lequel ils pussent consulter le Seigneur, Achab lui répondit qu’il y en avoit un, par qui ils pouvoient consul
63 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
Lettre VI. Sur le même sujet. J’ai répondu , Monsieur, trop longuement peut-être à votre ques
64 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
— Citoyen, que me donneras-tu pour ma fête ? — Je te donnerai la vie, répondait froidement le farouche Montagnard. Avec le Direct
de senteur et d’onguents… A un bal des Tuileries, la maréchale de M… répondait , en zézayant, suivant son habitude, à un cavalier
autre cueille Ce que ma main, hélas ! devait cueillir ? La belle lui répondit en conservant l’allégorie : Qu’un villageois, au
ous ses vœux, Essaye avec l’élève un pas et quelques passes. Elle lui répondit que la chose n’était pas possible, que l’amitié s
r, ni les serments, a vu échouer toutes ses batteries devant elle. Il répondit à un de ses amis qui lui demandait si son hommage
tifié d’une tabatière. — Mais je ne prise pas, me direz-vous. Je vous répondrai comme le marquis de Torcy à Chapelou, dans le Pos
65 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
vait été son impression au moment de son voyage par-dessus bord, elle répondit  : — Je n’ai vu que du feu ! Mais aussi, ce n’est
— Eh bien, est-ce assez grand cette fois ? lui demanda-t-il. Elle ne répondit pas, s’en alla au mur de fond de la scène, s’y ar
s, dit-il. » J’arriverai ! Et, sans avoir donné à sa mère le temps de répondre , elle s’engagea sur le fleuve, un petit ballot à
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
ble succès. Je voulus consoler Gluck de cette espèce de chûte ; il me répondit avec la gaieté et la franchise de son caractère,
67 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
voir ? Le lendemain le même crayon, conduit par une autre main, avait répondu  : Au Ciel ? Voilà toute la correspondance que nou
ter gants jaunes veut renouveler l’aventure de feue Danaé, la Lorette répond et met sur le cachet une Fortune avec ces mots :
e mien est de te voir. Une autre, qui aimait beaucoup les officiers, répondait à une déclaration par une lettre commençant ainsi
vrage. Un Arthur lui dit tout bas :… mon plus bel ouvrage. La Lorette répond  : Ouvrage est du masculin quand c’est un ouvrage
pique sur table. Je joue piche ! Au lieu de dire Je prends, une autre répond  : Je tonds. Ou, si c’est un roi qu’elle relève,
cela, le sergent de ville, fraction nomade du pouvoir représentatif, répond par un arrêté dont voici, sinon le texte, du moin
xe. Évelina. Etc., etc., etc… Le chef de bureau des travestissements répond à chacune des solliciteuses : Mademoiselle, Mon
l’argent peut servir aux Lorettes ; et sans creuser la question, ils répondent  : A rien ; Ou bien en vers, L’argent pour la L
, au carnaval nous irons faire une partie de bal Chicard. » Le maire répond  : « Monsieur le préfet, vous me faites beaucoup d
68 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
u’on saura que les talents de Pylade et de Bathylle pour l’exécution, répondaient à la hardiesse et à la beauté du Genre qu’ils osa
69 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
pourquoi je ne l’avais pas prévenue de ce que j’allais faire. Je lui répondis que je ne pouvais pas la prévenir d’une chose que
70 (1936) Philosophie de la danse
t l’inquiète ; mais il n’absorbe de ce bruit que ce qu’il faut pour y répondre par une action immédiate et uniforme. Il ne s’att
nt enchaînées et dans un certain ordre, — qu’elles se demandent et se répondent les unes les autres, comme si elles se répercutai
e construite de sensations de durée et de sensations d’énergie qui se répondent , et forment comme une enceinte de résonances. Cet
71 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
ent. Inès fait les premiers pas ; mais, s’appercevant que Fernand  ne répond point à son empressement, elle prend la fuite : B
ré de perfection où il peut atteindre. » « Nous ne nous soucions pas, répondront -ils, que la danse et les ballets nous attendrisse
ent ? j’ai eprouvé, me dit-il, tous ces mouvemens. Pourquoi donc, lui répondis -je, doutéz vous de l’effet que ces pièces produir
lus simple, une expression plus vraie, un air plus naturel ; ils vous répondront pour justifier leur indolence et leur paresse, qu
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
bre infini d’instruments, qui jouaient sans cesse des fanfares, en se répondant les uns les autres. Après s’être montrés ainsi à
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
— Mais c’est que l’œil européen est tout pareil à l’œil du poisson, répondit le père. Cela me donna l’envie de connaître son i
74 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
à laquelle sont soumis les sujets. Et cette danse ne peut aucunement répondre aux aptitudes diverses de toutes les concurrentes
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
s de dire que des fêtes de ce genre, seraient très dispendieuses ; je répondrai que ce n’est point à moi à calculer les ressource
76 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
disait-il, me parler de ses projets de construction ; mais je lui ai répondu que je commençais à m’en tourmenter et qu’il me r
77 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
es Satyres les plus fameux attachez à la suite de Bacchus. Le Cordace répond à nos Gaillardes, Voltes, Passepieds, & Gavot
nd à nos Gaillardes, Voltes, Passepieds, & Gavottes ; le Cycinnis répond à nos danses entremélées de gravité & de gaie
té, comme la Bourée, la Duchesse, & nos Branles ; & l’Emmelie répond à nos danses graves & sérieuses, comme la Cou
78 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ent ému. Il m’aime, un peu, passionnément, pas du tout. Pas du tout ! répond la vilaine fleur, que Giselle jette par terre ave
vampire de la danse ! » À ces sages remontrances maternelles, Giselle répond ce que toute fille répond à sa mère qui lui rappe
ces sages remontrances maternelles, Giselle répond ce que toute fille répond à sa mère qui lui rappelle que l’heure est bien a
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
amis s’ils pouvaient décrire leurs impressions, leurs sensations. Ils répondirent par la négative. Mais sur leur visage, il y avait
80 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
lecteurs que je me suis déterminé à publier ce petit traité que pour répondre à l’empressement de quelques personnes qui ont dé
81 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
quel usage il la destinoit ; à renfermer les ouvrages d’Homere, leur répondit -il. Mais que n’a point fait ce même Aléxandre pou
uelle confiance il osoit travailler au milieu des ennemis, le Peintre répondit qu’il sçavoit fort bien que la guerre qu’il avoit
la Peinture est en partie spirituelle & en partie matérielle ; on répond que la main n’est à la Peinture que ce que la par
sfaire à cette objection ; mais il est bon de l’éclaircir pour y bien répondre . Il est à remarquer que les arts n’étant que des
e par les choses mêmes, mais seulement par l’imitation des choses. On répond que c’est justement ce qui fait le prix de la Pei
82 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
deux théâtres accordaient à la danse une place considérable. C’était répondre au goût et aux aptitudes que les Viennois ont tou
t d’Haydn et l’encensa, comme s’il eût été devant un autel2. » Haydn répondit à tant de dévouement par une affection sincère et
remarqua aussi les dons rares de la petite ballerine de douze ans qui répondait au nom de Fanny Elssler. Lorsqu’en 1824 il repart
9 Fanny Elssler fit la connaissance du chevalier Frédéric de Gentz et répondit à l’amour passionné qu’il conçut pour elle. On ve
83 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
aujourd’hui, n’étoient-ils pas chrétiens aussi bien que ceux-ci ? Que répondit saint Augustin à cela ? Il le marque à Alipe en c
uivant les coutumes qu’elle condamne ? Dans l’objection à laquelle je réponds , on prétend que, dans les réjouissances publiques
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
ère et que c’est sur cet objet que les obstacles se multiplioient. Je répondrai aux vétilleurs, 1o qu’a deux ou trois cent pas de
85 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
& il ne me cause aucune sensation ; c’est qu’il a un langage, me répondra l’Amateur, que vous n’entendez point. Cette conve
ue les pas soient placés avec autant d’esprit que d’Art, & qu’ils répondent à l’action & aux mouvements de l’ame du Danse
86 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
Maman devant tout le monde. Tes amies ne t’approuvaient pas. Tu leur répondais  : Laissez-moi donc tranquille, ne me rappelez pas
fait bien. Je suis heureux ! Tu me fais mille questions : je vais te répondre en continuant ma lettre. J’ai le temps ; M. le du
87 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
mauvaises rencontres. C’est elle, enfin, qui n’a pas sa pareille pour répondre avec dignité à un amoureux trop pressé : — De grâ
me demanderez, peut-être : — Comment vivent ces demoiselles ? Je vous répondrai  : — Comme tout le monde. S’il est, en effet, une
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
contre le P… de P*** qui à son tour commença de mériter sa chute, en répondant à l’injure de Benserade par une autre. [Voir Ball
89 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvi » pp. 89-95
i jamais lûs. Vous êtes donc bien peu curieux, me direz vous, je vous répondrai avec l’ingénuité de Lucinde, ah ! Madame, j’ai ta
90 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVIII. Des pas de Bourée & des Fleurets. » pp. 122-132
vous demandoit de combien de pas le fleuret est composé, vous pouvez répondre de trois. Sçavoir d’un demi-coupé & de deux p
91 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
iez avec passion, que feriez-vous ? — Je chercherais un autre amant, répondit mademoiselle Desmatins. — En ce cas, nous perdons
se révérence « pour s’efforcer de cacher son pudique embarras, » elle répondit d’une voix émue : — Hé ! messieurs, vous imaginez
Mademoiselle Guimard y joue quelquefois, mais son organe sépulcral ne répond pas à ses autres talents. C’est une courtisane qu
92 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
ontre ses parents et de leur faire les sommations d’usage. M. C…. lui répondit  : — Je consens volontiers à vous assister dans ce
quand on lui demandait : — Et vous, qui épouserez-vous ? — Oh ! moi, répondait -elle en souriant, oh ! moi, je resterai garçon. L
a profanation, au matérialisme ! Théophile Gautier se chargea de leur répondre  : « Sans doute, le spiritualisme est une chose r
faire autant. » Quant à sa figure, elle n’est pas fort italienne, et répond peu aux idées brunes qu’éveille le nom des Grisi,
93 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
nt coulisses simplifient, sans doute, le montage d’une pièce, mais ne répondent à aucune formule plausible de mise en scène. Quel
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
ît accablé. Elle vole vers lui ; Belton prend un extérieur forcé pour répondre aux questions de sa maîtresse ; mais le trouble c
95 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
me montrer la nature, de la faire parler, de l’entendre & de lui répondre  ; quelle sera ma sensibilité ! que deviendrai-je,
96 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
la nature aura refusé un don si rare ? A ces objections générales je répondrai 1°. Qu’il n’est point d’erreur dans les Arts, de
cet article tout ce qui a été dit des orateurs du siècle dernier. Je réponds 1°. qu’il n’existe point de musique digne de ce n
97 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
parle, je suis bien fâché de ne pouvoir les satisfaire ; mais je leur répondrai , & vous appuierez mon avis, sans doute, que p
nécessité, me demandera-t-on peut-être, sans que je juge à propos de répondre ) « ces réflexions, dis-je, qu’il fallait faire un
98 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
ri d’effroi ; sa crainte augmenta encore lorsqu’il vit que son ami ne répondait à aucune de ses questions. Après avoir fait des e
it pour être un des plus beaux ornemens de la scène française. Je lui répondis que le mépris des comédiens du Roi pour les acteu
99 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
es mystères de la vie demi-mondaine. Il est extrêmement difficile d’y répondre . Un jour qu’il pleuvait, que le ciel était gris,
100 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
’offrant de l’argent. Cette offre augmenta tellement ma colère que je répondis par ma démission. Je ne me sentais nullement liée
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