ur de la Section philharmonique de la Société du Muséum d’instruction
publique
de Bordeaux [1] Des amis qui s’intéressent à mo
ienveillance à l’auteur. [2] J’ai réfléchi sur ces avantages, que le
public
apprécie toujours assez juste pour ce qu’ils vale
s en musique dont vous êtes doué, les ouvrages lyriques, applaudis du
public
, que vous avez produits pour la scène, placent vo
s des arts et de l’harmonie. Eh bien ! Ce sera sous votre nom, que le
public
, indulgent pour votre fils, votre élève, recevra
Chapitre VII. Des Bals
publics
Le nombre multiplié des Bals masqués pendant le
ns contrainte firent l’ornement des Bals masqués qu’ils donnèrent. Le
Public
en jouit ; mais les Particuliers effrayés de la s
endant très funeste. Par une ordonnance du 31 décembre 1715, les Bals
publics
furent permis trois fois la semaine dans la salle
privilège. Mais la Danse qui fut l’objet, ou le prétexte de ces Bals
publics
, bien loin d’y gagner pour le progrès de l’Art, y
e cette espèce, et pour le progrès de la Danse et pour l’amusement du
Public
! Avec un peu de soin, une imagination médiocre,
i nous le fait trouver si agréable. On peut mettre au nombre des Bals
publics
ceux que la Ville de Paris a donnés dans les occa
Chapitre dernier. Au
public
I Ami lecteur, je suis forcée d’arrêter i
le bachelier, mais d’une ballerine — ils n’ont forcée à rendre ma vie
publique
. — Je l’ai rendue publique. Mon existence est à j
llerine — ils n’ont forcée à rendre ma vie publique. — Je l’ai rendue
publique
. Mon existence est à jour à présent, et Rigolboch
Chapitre IV. Objection : On danse en
public
. On objecte en troisième lieu contre ce qui a
contre ce qui a été dit pour condamner les danses, que se faisant en
public
, il ne peut rien s’y passer de bien criminel ; la
i corrompu, que souvent on ne rougit pas de prendre ou de souffrir en
public
des libertés très criminelles, dont plusieurs de
de n’y pas employer le temps du service divin. Mais toutes les danses
publiques
sont expressément défendues ces jours-là, sans au
-là, sans aucune restriction ; et, s’il est seulement parlé de danses
publiques
, c’est que les juges à qui il est ordonné d’emplo
sur ce point, ne peuvent à cet égard l’exercer que contre les délits
publics
.) Ecoutons donc parler M. de Héricourt. « Les Fi
les et solennelles, aucunes foires et marchés soient tenus, ni danses
publiques
faites ; et leur enjoignons de punir ceux qui y c
s, portant défenses de tenir des foires et des marchés, et des danses
publiques
les dimanches et fêtes, d’ouvrir les jeux de paum
n des dimanches et des fêtes, en défendant en ces jours-là les danses
publiques
. C’est donc manquer tout à la fois à ce qu’on doi
e, (j’ai pensé dire pour un Auteur) de déclarer, à la face de tout un
Public
, qu’il n’est qu’un imbécille, ou que du moins on
s pas le sens commun ; & son idée lui a paru devoir être celle du
Public
. Qu’il me soit permis au moins de me plaindre de
ée de se soumettre, il faudrait qu’il fût conforme à celui de tout le
Public
: & c’est le nombre des éditions d’un Livre,
ne, n’attendent-ils pas leur succès des applaudissemens continuels du
Public
? L’homme le plus savant, le plus raisonnable pro
squ’ils donnent leurs avis comme des loix, & veulent apprendre au
Public
ce qu’il doit estimer ou dédaigner. Voilà des réf
tions de mon esprit, & je me suis dit qu’il fallait les donner au
Public
sans y rien changer. Ainsi je raisonne de ma Pan
t été jouée, tandis qu’elle ne l’a point été ; j’en parle comme si le
Public
l’avait très-bien reçue, tandis qu’il ne la conna
n vrai paradoxe, que de prétendre qu’il n’appartient absolument qu’au
Public
de décider du mérite des Ouvrages littéraires. Un
rononcer à l’Académie Française M. de Lamoignon de Malesherbes : « Le
Public
s’est élevé un Tribunal indépendant de toutes les
des Magistrats, & aucun n’a refusé de reconnaître ce Tribunal du
Public
, comme le Juge Souverain de tous les Juges de la
entait. C’était une Oraison funèbre muette, qui retraçait aux yeux du
public
, toute la vie du citoyen qui n’était plus. L’Arch
nus, par la crainte d’être un jour exposés sans ménagement à la haine
publique
, à la vengeance de leurs contemporains, au mépris
onnaissaient d’avance le sort qui les attendait un jour, par la risée
publique
, à laquelle ils voyaient exposés leurs semblables
les fêtes nationales. Vous me parlez, dans votre lettre, de fêtes
publiques
; vous êtes bien bon, Monsieur, d’honorer de ce n
à faire sur les fêtes en général. Je demanderois dabord si les fêtes
publiques
doivent être exécutées par le peuple ou pour le p
de Nicolet, gouteroient peu les chefs-d’œuvre de Corneille. Les fêtes
publiques
ont eu jusqu’ici différens objets, tantôt celui d
oivent plus coûter à l’imagination, au goût et au génie, qu’au revenu
public
. Colbert donnoit des fêtes qui, en attirant des
seul satisfait. Robespierre donnoit des fêtes qui ruinoient le trésor
public
, faisoient fuir les gens sensés, les gens de goût
nt à moi à calculer les ressources et à fixer l’emploi de la richesse
publique
. Je repeterai encore que Colbert regardoit comme
, elles ont été en usage, surtout dans les occasions de réjouissances
publiques
. Est-il croyable, dit-on, que s’il y avoit tant d
jection à laquelle je réponds, on prétend que, dans les réjouissances
publiques
, le bal et les danses, qui y sont ordinaires, et
ime de saint Paul ne doit-elle pas être suivie dans les réjouissances
publiques
comme dans les particulières ? Et n’avons-nous pa
e à aller au temple du Seigneur pour lui rendre des actions de grâces
publiques
; mais lorsqu’aux cantiques d’actions de grâces o
fait le sujet de leur joie ; mais alors leur joie et les témoignages
publics
qu’ils en donnent, prenant leur source dans la pi
ennemis. Cette injuste accusation étoit fondée sur ce qu’en ces fêtes
publiques
ils ne se livroient pas aux mêmes excès et aux mê
ur défense. (c. 75.) « Vous traitez, dit-il, les chrétiens en ennemis
publics
, parce qu’ils ne rendent pas aux empereurs des ho
sfaire ses désirs impudîques ? Ne peut-on donc prendre part à la joie
publique
qu’en se déshonorant publiquement ? Et convient-i
les puissances, pour le bon état des affaires et pour la tranquillité
publique
. » N’est-ce pas là donner des preuves plus réell
ce et pour le bien de l’état, que de se livrer dans les réjouissances
publiques
à toutes sortes de folies et d’excès ? Salvien, p
gnoit de ce que de son temps, après avoir reçu de Dieu quelque faveur
publique
, on alloit, en signe de réjouissance et avec plus
ond de la Religion, nous apprendront si l’occasion d’une réjouissance
publique
peut rendre les bals et les danses plus légitimes
tte scène en prémier, vous la jouerez ensuite à votre manière ; et le
public
jugera quel est celui de nous qui mérité le scépt
ette idée platte, et ridiculement fausse fut applaudie à outrance. Le
public
cria au miracle ; les dames Romaines, à qui le je
sion de la physionomie, des regards et des gestes, tout transporta le
public
, et au silence de l’admiration succéda bientôt le
ta pour cet instant, et ordonna qu’il fut fouetté dans tous les lieux
publics
de Rome. Cette correction humiliante ne changea p
grands, et insultoit même étant en scène au goût, et aux decisions du
public
. Un jour représentant Hercule furieux, l’action f
bale excitée par Batyle et Ilylas, fortifiée par le mécontentement du
public
, à la têète de la quelle se trouvoit un grand per
air important, et saisit si bien les traits de sa physionomie, que le
public
reconnut le grand personnage ; et sans égard pour
i dit insolemment : ingrat, de quoi te mêles tu ? que ne laisse-tu le
public
s’amuser do nos querelles ? Auguste ne changea ri
ages que pouvait lui procurer le goût des Romains pour les Spectacles
publics
, et il fonda sur leur magie, la tranquillité de s
aient un effet encore plus grand. Les Spectacles anciens sont pour le
Public
comme une vieille habitude : il les voit, il les
l ne s’agit plus, dans les cercles, dans les familles, dans les lieux
publics
, que du spectacle en vogue. Auguste pressentit ce
e la Danse à la mode. Il l’aimait, ou, ce qui revient au même pour le
Public
, lorsqu’on règne, il feignit de l’aimer. De ce mo
une injustice, qui allait jusqu’à la tyrannie, dans l’exil d’un homme
public
, qui était devenu nécessaire aux plaisirs de Rome
s, leur imprimoit un caractère de tristesse, plus propre à ennuier le
public
qu’à l’intéresser. La première danseuse qui parut
cinq années. Si l’on doit juger de ses talens par les regrets que le
public
montra lorsqu’elle quitta la scène, on doit augur
é, danseuse remplie de graces et d’expression, faisoit les délices du
public
. Je ne puis tous fixer l’année de son début ni ce
d’avoir une danseuse aussi animée, et dont l’enjouement pût tirer le
public
de l’assoupissement où le plongeait la monotonie.
, étoit naturellement triste et sérieuse ; et après avoir entraîné le
public
à la joie et au plaisir ; après avoir obtenu les
s le règne de Tibère. Audronicus désespéré de sa situation supplia le
public
de lui permettre de faire réciter son rôle par so
feroit les gestes propres à prêter de l’énergie à la déclamation ; le
public
toujours avide de nouveauté applaudit, avec trans
édie et la comédie tombèrent dans un état de médiocrité telle, que le
public
eu général abandonna ce théatre, qui peu de tems
fatigante. Leur lot sera de végéter dans l’obscurité et d’ennnyer le
public
par leur médiocrité. Ces masques des anciens n’êt
ité donc pouvoient-ils être ? Seroit-ce un avantage que de dérober au
public
la partie la plus essentielle à l’expréssion de l
ent sur le visage de l’acteur. Que je me permette une comparaison. Le
public
pourroit-il jouir des grands effets que lui offre
que cette fête fut célébrée pendant huit jours comme une réjouissance
publique
, qui consistoit en danses aux chants des Cantique
des Cantiques & des Hymnes à la louange de Dieu, avec des festins
publics
, & autres plaisirs honnêtes, pour l’accomplis
a danse dans le chœur de leurs Eglises, comme faisoient dans les Jeux
publics
chez les Grecs, ceux qui menoient le branle de la
, lui disant au contraire : S’il faut que tu danses aux réjouissances
publiques
, danse tant que tu voudras, mais danse comme Davi
es graves & innocentes ont toujours été admises aux réjouissances
publiques
& aux spectacles, & elles ont paru même t
s d’instrumens, & former des danses par les rues & les places
publiques
, qu’il soit excommunié & regardé comme un imp
pratique dans les Eglises, dans les Cimmetieres & aux Processions
publiques
. Ces constitutions ont été plusieurs fois appuyée
e faisoient par les peuples les Fêtes & Dimanches dans les places
publiques
, aussi-bien que la danse des Brandons qui se fais
est donné en la Cour des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses
publiques
appellées fêtes baladoires, & autres semblabl
est donné en la Cour des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses
publiques
& fêtes appelées baladoires introduites par q
nt, conformément aux Ordonnances, seront & demeureront les danses
publiques
appelées Fêtes Baladoires & autres semblables
tems se servit pour composer des danses convenables aux réjouissances
publiques
. Il est encore à présumer que c’est de la danse S
mp; aux Processions les jours de grandes Fêtes & de réjouissances
publiques
ordonnées par les Souverains. Pareilles cérémonie
ent qu’avec peine l’ancien usage de louer des halles & des places
publiques
à des troupes de Danseurs de corde, Baladins, Sal
Cours ; parce que le Magistrat plus humain, toujours attentif au bien
public
, les tolere, seulement ad duritiam cordis, pour d
que les Danseurs de corde sont devenus depuis un tems si agréables au
Public
, par l’embellissement de leurs Jeux & par la
r établissement : on peut même le regarder comme le premier spectacle
public
qui ait paru chez les Grecs, puisqu’il étoit en u
é du Commerce, & qu’ils dressoient leurs Théâtres dans les Places
publiques
, pour assembler le peuple, & pour servir de d
Quatre-Nations. Mais les Curez de Paris voyant que ce divertissement
public
attiroit & détournoit le peuple du Service di
oyaume que dans le tems des Foires, & à découvert dans les Places
publiques
. C’est apparamment sur les remontrances des Curez
pour les sauts périlleux, avoient dressé leur Théâtre dans une Place
publique
, & qu’ils alloient commencer leurs Jeux pour
rde étoient dans ce tems-là en quelque réputation pour les spectacles
publics
: les Empereurs Romains y assistoient aussi pour
x qui font profession de gagner leur vie aux représentations des Jeux
publics
. J’ai vû à Naples un Turc danser sans contrepoids
qui composoient les Jeux Olimpiques. Les Grecs avoient des Académies
publiques
qu’on appeloit Gymnastes, d’où nos Colléges &
l dit entre autres que les Juifs célébrerent une fête de réjouissance
publique
, qui consistoit en festins & en danses, pour
Chapitre X Sommaire. — Le
public
des Délassements. — Sa sympathie avec le théâtre.
. — Rolland le contrôleur en chef et un spectateur gratis. I Le
public
des Délassements est un public spécial, qui sembl
ef et un spectateur gratis. I Le public des Délassements est un
public
spécial, qui semble avoir été créé expressément p
ues-uns des types de ces catégories. Du même coup j’aurai crayonné le
public
des Délassements. II La première catégorie
l, un conte de fées. Enfin, elle donna sa première représentation. Le
public
, les journalistes semblaient devenir fous, complè
e effleurer le sol, puis s’arrêta au milieu de la scène et regarda le
public
, ce public d’acteurs. Soudain le délire éclata, u
le sol, puis s’arrêta au milieu de la scène et regarda le public, ce
public
d’acteurs. Soudain le délire éclata, une folie pa
elle — empêchée de jouer par les clameurs de la salle — qui sembla le
public
. Elle regardait, — tour à tour intéressée, passio
inale que suivit un grand tumulte de bravos et de cris. Maintenant le
public
sortait lentement, comme au regret de quitter l’a
ait un jour à Paris, y monterait sur une scène, elle aussi, devant un
public
frémissant d’enthousiasme et que Sarah Bernhardt
. Et pour moi ! Etait-ce possible ? J’entrai en scène, et regardai le
public
qui emplissait la salle du haut en bas. Dans ma g
-ce vrai ? Etait-ce moi ? Etait-ce Elle ? Je devenais, à mon tour, le
public
et, comme je ne voyais qu’elle ; « son public ».
evenais, à mon tour, le public et, comme je ne voyais qu’elle ; « son
public
». Et voilà qu’elle jouait, à ma profonde, à ma d
silence à grand renfort de gestes imitatifs put être comprise par le
public
grâce à un argument détaillé, précaution qui est
ument détaillé, précaution qui est une belle preuve d’impuissance. Le
public
est admirable au Salon d’Automne, très nombreux,
re estime pour sa sincérité… Nous constaterons également qu’elle a un
public
nombreux et fidèle. Et pour nous soustraire aux t
devient un axiôme ; on y croit sans examen, on la respecte sur la foi
publique
; et la proposer comme un doute, paroît une insig
facent tour à tour. En France on joue un opéra aussi long-tems que le
public
le trouve agréable, et vingt années de de succès
uvrage, on joue, on boit, on mange, ou l’on jase comme dans une place
publique
, ou dans un café bruyant. En France, on écoute to
[Première partie] [1] Le Spectacle que je présente au
Public
est un Ballet Pantomime dans le goût des Anciens.
e en Danse Pantomime. C’est le fruit de mes études que je présente au
Public
; et j’ouvre une nouvelle carrière aux Maîtres de
par un jeu muet pourquoi nous serait-il interdit de le tenter ? Si le
Public
ne veut pas se priver des plus grandes beautés de
peut-être mieux lorsque j’aurai ajouté l’expérience à l’étude ; et le
Public
me fera certainement un mérite de l’avoir entrepr
s de deux qui finit par venir. Mais voilà que je ne reconnais plus le
public
! Car ce public, soi-disant revenu de tout, sait
nit par venir. Mais voilà que je ne reconnais plus le public ! Car ce
public
, soi-disant revenu de tout, sait par cœur l’adage
evenait indiscutable et bientôt indiscutée. On voit par là combien le
public
a raison de se passionner pour ces hauts faits de
, auquel j’ai certainement plus attribué le succès qu’il a eu dans le
Public
, qu’à tout autre mérite ; ce qui fera peut-être t
joye dans les plus grandes occasions de Fêtes & de réjouissances
publiques
. Il est vrai que ce Traité auroit reçû plus de
s accordoient aux compositions de leur maître de chapelle, à privé le
public
et les amateurs de la jouissance de ces belles pr
puisse plaire au génie. Je dois dire cependant, à la justification du
public
, que plusieurs sottises n’ont pas peu contribué a
es prématurées et mensongères, ne contribuèrent pas peu à dégouter le
public
; les louanges outrées que cet ex-directeur ne ce
Si j’ajoute à ces inconvéniens l’effet révoltant que produisit sur le
public
l’impôt arbitraire que le directeur mit indistinc
t à l’opéra depuis sept heures jusqu’à onze heures du soir, et que le
public
regarde comme autant de corps célestes, n’ont pas
ous ces contre-facteurs des talens dégradent la scène et fatiguent le
public
éclairé. Il est des chemins divers et des routes
il y a un triage à faire dans les réputations de nos jours, et que le
public
qui juge et qui prononce sur le mérite, ne voit p
rer ni embéllir notre scène. Lorsque l’on se consacre aux plaisirs du
public
tels que ceux de la scène, il faut avoir reçu de
idoient a tous leurs mouvemens ; ces pas faisoient tourner la tête au
public
enchanté, sans le secours de la pirouette. La Dll
secours de la pirouette. La Dlle. Guymard fixa les applaudissemens du
public
depuis son début jusqu’à sa retraite ; les grâces
’elle auroit pu ajouter aux charmes de la plus correcte exécution. Le
public
hérita ensuite des talens distingués de la Dlle.
moissonné une partie et d’ont l’autre est nulle pour les plaisirs du
public
, je vous entretiendrai, Madame, des artistes actu
este toujours à craindre l’inconstance de la Fortune, les caprices du
public
, les intrigues et les cabales. C’est ce que put c
énement artistique, la première représentation de la Juive, occupa le
public
. La pompe extraordinaire de cet opéra, la qualité
, Nina Lassave. Mille détails, donnés en pâture par les journaux à un
public
avide, absorbaient son attention. La tragique réa
d’amis. Le souvenir de leurs anciens succès y était resté vivace. Le
public
retomba aussitôt sous le charme et les dédommagea
e Sa Majesté, pour achever, rue Le Peletier, la difficile conquête du
public
le plus cultivé, mais aussi le plus récalcitrant
s y voir uniquement de l’afféterie et le désir de capter la faveur du
public
. Avant de se figer en pli professionnel, le souri
rinde s’épuise en vains efforts pour arracher des applaudissements au
public
rendu inerte par les maléfices d’Asmodée, et dans
danse du ventre pour une époque plus voisine de nous. « Il fallut au
public
, au vrai public, écrit Charles de Boigne, quelque
pour une époque plus voisine de nous. « Il fallut au public, au vrai
public
, écrit Charles de Boigne, quelques représentation
t très appréciés des télescopes de l’orchestre et des avant-scène. Le
public
, le vrai public, eut plus de peine à accepter ces
des télescopes de l’orchestre et des avant-scène. Le public, le vrai
public
, eut plus de peine à accepter ces témérités choré
lle voudra faire entendre un autre son que celui des castagnettes, le
public
surpris la considérera comme une usurpatrice. Le
après une disparition de près d’une année, pour reconquérir auprès du
public
parisien son prestige d’autrefois. Elle avait bes
s Elssler, Mlle Taglioni n’avait qu’à se montrer pour reconquérir son
public
… La danse de Mlle Fanny Elssler, il faut bien le
tout à fait là-haut qui s’abandonne à sa chaste et naïve passion, le
public
la reconnaît et s’écrie : C’est elle ! Et le part
iteux ou la Sylphide l’affligeait comme une preuve de la frivolité du
public
, et voici comment il essayait de se consoler de c
liberté de la cachucha. Le Mémorial bordelais rappelait à Fanny et au
public
qui applaudissait cette danse « qu’il y avait dan
sortant du théâtre : « Est-ce que je retrouverais ici le bon, le cher
public
de Paris ? » Les petites minauderies que la criti
ais. « Lorsqu’il lui arrive, disait le Mémorial, de vouloir capter le
public
déjà pantelant de plaisir par une de ces salutati
malheur provoqua en France. C’est au milieu de cette espèce de deuil
public
que tomba la nouvelle de la maladie de Fanny Elss
donc, dans le pas des Lutteurs des Fêtes Grecques et Romaines que le
Public
a si constamment applaudi, une faute de compositi
action de Danse, que son succès doit avoir gravée dans le souvenir du
Public
, et dans l’esprit de nos jeunes Danseurs, afin de
jeunesse vive et brillante qui êtes l’ornement du Théâtre, l’amour du
Public
, et l’espoir de l’Art, ouvrez les yeux, et lisez.
nt rarement l’aurore du talent. Ces Messieurs ne pensent pas comme le
Public
, & devraient bien avoir pour les Auteurs l’in
fiers, trop délicats, rébarbatifs ; peu m’importe. En dépit d’eux, le
Public
va me connaître. Grace au sieur Nicolet, je suis
! Ce ferait leur jouer un assez mauvais tour, & rendre service au
Public
.... Exécutons un aussi noble dessein ; qu’ils ap
s veuves et leurs enfans. Ces établissemens ne coûtent rien au trésor
public
: c’est l’amour de l’humanité et la générosité na
mort pour rendre hommage à sa mémoire, L’estime et la reconnoissance
publique
ont voulu que ce grand compositeur jouit de son t
ent de ce même fonds dépend de la générosité et de la bienfaisance du
public
.
e et je décidai d’organiser des soirées afin de la produire devant un
public
qui saurait l’apprécier et la comprendre. Dans ce
cesse, elle me promit donc sa présence. Certaine enfin d’avoir un bon
public
, je retournai à l’hôtel et dis à mon amie que l’o
, lui expliquant qu’elle risquait par sa négligence de mécontenter un
public
qui pouvait la lancer définitivement. Mes paroles
stume si insuffisant ? Alors je compris soudain l’attitude étrange du
public
, et, poussée par une sorte d’inspiration, je m’éc
ai dû passer pour une imposteuse, car mon amie continua à paraître en
public
dans ce que j’avais appelé sa robe de travail et
lude d’une campagne menée à grand fracas pour exciter la curiosité du
public
et le préparer à recevoir avec faveur les deux re
me danseuse. Joies. » Les entrefilets destinés à tenir l’attention du
public
en éveil se multiplient. Ils donnent les noms des
a Sylphide, et mis en musique par Schneitzhœffer. Afin de préparer le
public
à comprendre et à goûter le sujet, Charles Mauric
ués de la direction faisaient connaître la distribution des rôles. Le
public
était tenu au courant du travail des répétitions.
ment gradués, de manière à surexciter la curiosité et l’impatience du
public
, la première représentation de la Tempête eut lie
s de son manteau. C’est une suite de scènes d’un intérêt médiocre. Le
public
manifeste plutôt de l’ennui. Les lettrés se deman
te. Les fictions de Shakespeare, accommodées de la sorte, laissent le
public
froid. On fait un accueil aimable à Mlle Duvernay
e représentation de ce ballet-pantomime on avait tellement fatigué le
public
de promesses et d’éloges qu’on lui avait presque
our de paraître. Elle tremble en sentant de l’autre côté du rideau ce
public
parisien dont elle brûlait si vivement jadis de r
Alcine avait à peine fait quelques pas, que déjà les dispositions du
public
étaient changées. Il oubliait que le livret était
Ce n’était pas assez de la montrer du haut de la scène de l’Opéra au
public
enchanté. Il éprouvait le besoin de la promener e
mations qui couvrent le petit bruit de ses petites pointes, et que le
public
artificiel du lustre laissera faire au public sér
ites pointes, et que le public artificiel du lustre laissera faire au
public
sérieux. » Le grand public fut invité à se prono
ic artificiel du lustre laissera faire au public sérieux. » Le grand
public
fut invité à se prononcer sur les mérites des deu
ure à elle-même, en la privant, le premier soir où elle affrontait le
public
parisien, de l’appui de sa sœur. Fanny était habi
Pour la première fois, ils rencontrèrent la résistance acharnée d’un
public
de fidèles. Défaite glorieuse ou triomphe douteux
je préfère le pandæmonium de jadis, le corps à corps furieux des deux
publics
de 1913 à l’approbation bénigne et blasée des spe
Aucune conviction n’anime les exécutants qui ne cachent nullement au
public
leur désillusion ironique. Aujourd’hui comme jadi
nds talens a été forcée, en quelque façon, pour satisfaire au goût du
public
, et se mettre à la mode, d’associer les danses à
tissemens sont plus ou moins nombreux. L’indulgence avec la quelle le
public
applaudit à de simples ébauches, devroit, ce me s
delà de ce qu’ils savent, et qu’ils touchent aux bornes de l’art. Le
public
, de son côté, aime à se faire une douce illusion,
ux minauderies de nos danseuses. Je ne parle point de cette partie du
public
, qui en est l’ame et le ressort, de ces hommes se
[Avertissement] N. B. L’Auteur croit devoir prier le
Public
de ne point le confondre avec un artiste du même
yant fait remontrer qu’il souhaiteroit faire imprimez & donner au
Public
un ouvrage de sa composition qui a pour titre : H
qu’il en fera ensuite remis deux Exemplaires dans notre Bibliothéque
publique
, un dans celle de notre Château du Louvre & u
effet, c’est d’après eux que la plupart des ballets qu’on a donnés au
public
depuis moi ont été dessinés ; on a fait mieux, on
ti de déposer et de consigner le peu qui me reste, afin que 1’opinion
publique
, je n’ose dire la postérité, puisse le reconnoîtr
aux artistes de donner l’essor à leur imagination, et qui rassurât le
public
sur des craintes que des événemens fâcheux ne ren
tielles, et qui, jusqu’à ce moment ont été oubliées : La commodité du
public
qui paye, et le droit qu’il a de voir et d’entend
ations et des tableaux variés que lui offre la danse, de sorte que le
public
qui donne son argent, ne voit que le profil des o
olument essentielles aux charmes de la représentation, à la sureté du
public
, et à celle du service, qui en raison de la varié
on pût y pratiquer de larges trotoirs, qui préservassent la partie du
public
la plus nombreuse du danger d’être écrasée par le
n négliger enfin de ce qui contribue à la commodité et à la sûreté du
public
; distribution, qu’il lui est impossible d’exécut
neront dès chefs d’œuvre, et toutes les sources taries de la richesse
publique
deviendront abondantes : c’est alors que la mode
er l’argent nécessaire à cette dépense utile ; elle tranquillisera le
public
, et en veillant à sa sûreté, elle s’occupera égal
en très peu de teins. Une chose tout aussi nécessaire à la sureté du
public
, et qui doit d’autant plus fixer l’attention de l
ision : mais ces salles m’ont toujours parues trop grandes et pour le
public
et pour les acteurs, et surtout pour la mesquiner
lité du service. J’ai déjà souhaité pour l’effet du spectacle, que le
public
ne pût appercevoir aucune lumière dans les chassi
clairer si fausse, si désagréable pour l’acteur, si fatigante pour le
public
, et si diamétralement opposée aux règles de la na
’ai point oublié celle d’une grande nation. La commodité et la sureté
publique
ont sollicité mon attention ; j’ai pensé que ce v
et sans confusion. 2°. Quant à la partie de la salle destinée pour le
public
, elle doit être assez spacieuse, pour que les rec
ent occupé du plaisir. Sur des Chœurs de Musique entretenus des fonds
publics
, on voyait un jour les hommes déjà faits41 former
sur leurs attitudes. Ces deux troupes se réunissaient dans les places
publiques
, pour chanter en chœur des Hymnes en l’honneur d’
nneur de Saturne. 43. « Y ayant, dit Amyot, ès fêtes solennelles et
publiques
toujours trois Danses : celle des Vieillards comm
vait à peine. Aussi parlait-il à ses Camarades comme à des sujets, au
Public
assemblé comme à une armée dont il aurait été le
uggère, il en est une que la faiblesse, la légèreté, l’inconstance du
Public
rendent presque toujours infaillible. Ils ont sur
ès tous ces préparatifs, le moment arrive, l’impulsion est donnée. Le
Public
la suit, et toujours extrême dans sa saveur comme
Festins, qui a rapport à nos Bals de cérémonie pour les réjouissances
publiques
; quoique Philostrate en attribue l’invention à C
tablirent des régles & des preceptes pour perfectioner les danses
publiques
. C’est du mélange de toutes ces danses que les Gr
ce qu’elles occupoient les jours de Fêtes la populace dans les places
publiques
, à passer un tems qui devoit être consacré au Ser
u goût du tems, que parce qu’il paroît avoir été le premier spectacle
public
représenté chez les Grecs, qui appeloient ces Dan
s talents, a été forcée, en quelque façon, pour satisfaire au goût du
Public
, & se mettre à la mode, d’associer les Danses
tissements sont plus ou moins nombreux. L’indulgence avec laquelle le
Public
applaudit à de simples ébauches, devroit, ce me s
là de ce qu’ils savent, & qu’ils touchent aux bornes de l’Art. Le
Public
de son côté aime à se faire une douce illusion, &
ux minauderies de nos Danseuses. Je ne parle point de cette partie du
Public
qui en est l’ame & le ressort, de ces hommes
clames, tout était fait pour elle, et que si elle ne dansait plus, le
public
pourrait protester. — Eh bien, dans ce cas, je da
serpentine, n° 2 la violette, n° 3 le papillon, n° 4 une danse que le
public
désigna plus tard du nom de danse blanche. Pour f
la représentation tout était prêt pour mes débuts. L’enthousiasme du
public
montait progressivement tandis que je dansais. Lo
ns pas besoin. Celles que vous venez de danser ont suffi à enlever le
public
. N’entendez-vous pas les acclamations ? Un instan
iva. J’étais d’une impatience fébrile. On n’avait rien fait savoir au
public
marseillais, car nous regardions cette première s
e trop peu nombreux me sembla d’un mince effet dans un tel espace. Le
public
, qui se trouvait de l’autre côté des pièces d’eau
anse s’achevait. Mes projecteurs, en s’éteignant, nous laissèrent, le
public
et moi, dans la complète obscurité. Le fracas des
Je dansai quatre fois, et les différentes sensations exprimées par le
public
furent tout à fait surhumaines et me donnèrent la
Isadora qui ramena les foules vers la danse, qui lui créa un nouveau
public
. Elle sut déterminer un mouvement d’opinion. Cela
ptions déplorables et mesquines, qu’elle faussât la sensibilité de ce
public
. Grâce à elle, ceux qui viennent déblayer le terr
grand souffle qui passe. D’ailleurs, cette emprise de la danse sur un
public
à peu près aussi candide et par conséquent aussi
a, selon lui, une valeur indiscutable : mais c’est du déjà vu. Or le
public
français serait routinier et conservateur par lui
ésente un grand corps de danse, propre à exécuter et à transmettre au
public
toutes les idées d’un compositeur ingénieux. Les
rente danseurs, et, qu’on me passe l’expression, le pain quotidien du
public
. A l’exemple de Vestris tous les danseurs et les
is tous les danseurs et les danseuses tournent et avec eux la tête du
public
. Si dans un grand ballet, tous les sujets y sont
urs et des chanteuses qui font le charme de l’opéra et les délices du
public
; c’est à M. Gretri qu’il appartient de faire leu
ûjours beaucoup plus d’effet, que ceux qui sont dénuez de secours. Le
Public
n’attend pas d’un homme comme moi, qui a passé to
qui approcha le plus de Ballon, & qui consola en quelque façon le
public
. Il eut l’avantage d’être d’abord associé pour le
amais d’embellir le spectacle, & d’attirer les applaudissemens du
public
. Le commencement de la réputation de Marcel est u
ire ce rôle, & le remplit si bien qu’il engagea dès ce jour-là le
public
à remarquer avec plus d’attention les talens qu’i
nfluence cette scène a exercée à des époques différentes sur l’esprit
public
; on aime à reconnaître comment, à son tour, elle
gréable de nos spectacles. L’antiquité connaissait l’opéra. Les fêtes
publiques
, les cérémonies religieuses offraient toujours ch
rut à Vincennes. Perrin n’abandonna pas son projet de l’établissement
public
de ce spectacle. Le 28 juin 1669, il obtint des l
Paris et autres du royaume, des académies de musique, pour chanter en
public
des pièces de théâtre, comme il se pratique en It
le premier opéra italien représenté devant la cour, on joua devant le
public
le premier opéra français, Pomone, paroles de Per
orme une des principales époques de l’Opéra ; elle occupa vivement le
public
; on la regarda comme d’un heureux présage pour l
maine, qui confiait aux magistrats de la ville le soin des spectacles
publics
. On s’occupa de régler les attributions et les ob
vantes, si elles ont lieu sans interruption ; sans quoi, si le dégoût
public
arrête l’ouvrage, ils ne pourront rien prétendre
après mademoiselle Fontaine ; mademoiselle Guyot lui succéda dans la
publique
admiration. Elle quitta le théâtre pour le couven
a tour à tour encombré et troublé ; l’Opéra, véritable œil-de-bœuf de
publique
dépravation, était tellement fréquenté par la cou
nt régénérer le peuple ; c’était un levier trop puissant sur l’esprit
public
, pour qu’on négligeât de s’en servir. L’Opéra, ce
si remplis d’émotions entraînantes, devait surtout fixer l’attention
publique
. Son étendue, ses ressources, la pompe et le luxe
teurs. C’était donc a lui qu’appartenait le premier rôle de séduction
publique
. La commune de Paris, en 1792, avait succédé à to
contredit le théâtre qui avait le plus contribué à échauffer l’esprit
public
par des scènes patriotiques. L’Offrande à la Libe
bourgeoises et industrielles, en appelant incessamment l’attention du
public
sur l’Opéra, en choisissant pour l’initier à cett
s d’une fois enlacé à un tel point, qu’il s’est vu forcé de mettre le
public
dans la confidence des dégoûts qu’il éprouvait. E
, de tous les gouvernemens de l’Opéra, celui qui convient le mieux au
public
par les plaisirs dont elle le dote, et à l’État,
a ; autant vaudrait-il prétendre que l’Opéra n’est point fait pour le
public
. Remercions M. Véron d’avoir pensé autrement ; s’
rampes. L’égalité règne à l’Opéra, et peut-être le spectacle d’un tel
public
offre-t-il autant d’attraits que les magnificence
vantes, un luxe inouï d’éclairage, tout a été employé pour ramener le
public
. La foule s’y est précipitée, non pas grave, noir
é, le plaisir et surtout l’intérêt y tiennent le sceptre de la morale
publique
. Si nous le voulions, nous pourrions dérouler des
cle tout émaillé de ravissantes : bigarrures. La salle envahie par un
public
qui se confond à toutes les places ; les dieux et
ballet : c’est un genre nouveau qui participe de tous les autres ; le
public
a fait le meilleur accueil à ces heureuses combin
cteur dans l’intérêt du Gouvernement, des artistes et des plaisirs du
public
; elle doit surtout faire usage de ses pouvoirs p
u Comédies-mêlées-d’ariettes. Il faut varier la Scène & donner au
Public
des Pantomimes : voilà ce qui s’appelle du neuf,
est pourquoi il ne convient pas à tous de donner ce divertissement au
Public
, sans s’exposer à la discrétion des masques : c’e
r entrer les masques que par billets, est très-contraire à la liberté
publique
& à l’institution des bals masquez, parce que
ille écus : témoin ceux que le Prince Emanuel de Portugal a donnez au
Public
au mois de Juin 1715, à l’Hôtel de Bretonvilliers
ée dans Paris, S.A.R. Monseigneur le Régent a permis d’établir un bal
public
dans la Salle de l’Opéra, trois fois la Semaine,
armes aux masques ; ce divertissement s’est trouvé si fort au goût du
Public
& des Etrangers, que chaque jour de bal a pro
lorsque Fourcroy exerçait les fonctions de Directeur de l’Instruction
publique
. Les deux ballets auxquels Gardel fait allusion f
Il est possible qu’il ait eu des difficultés avec le Comité de Salut
Public
. Le document suivant tendrait à nous le faire cro
seignements qui lui deviennent nécessaires dans l’intérêt de la chose
publique
. Les représentants du peuple, membres du Comité d
on Juan chanté par Rubini, Tamburini, Lablache, Grisi et Persiani. Le
public
était très froid surtout pour Grisi. Elle s’est f
à ce qu’il paraît, s’était très bien conduit pour elle ; cela rend le
public
froid et tout le succès retombe sur la Persiani.
iés la permission d’établir des académies de musique, pour chanter en
public
des pièces de théâtre pendant douze années conséc
médiatement la consternation fit place aux hourras et à la gaieté. Le
public
ne songea plus qu’à saluer de ses éclats de rire
L’Académie royale de musique fut appelée Opéra en 1791, et depuis, le
public
n’a cessé de lui donner ce nom. Mademoiselle Mont
est rivé à une chaîne plus courte que celle qui attache l’actrice au
public
? et que de maîtres, sans compter le public ! L’a
qui attache l’actrice au public ? et que de maîtres, sans compter le
public
! L’actrice doit plaire et sourire à tous, heureu
s assez vaste pour pressentir comme Auguste, l’utilité des Spectacles
publics
. Ses vues restèrent resserrées dans le cercle étr
ues à Venise. Ces sortes de Concerts firent quelque sensation dans le
Public
. Les gens de la bonne compagnie, qui sont toujour
coup plus de facilité pour composer des pas que je devais exécuter en
public
; ayant surtout quelque peu de temps pour les mie
t ou négligent les principes, tout en dansant, ou en se présentant au
public
. C’est un grand défaut au théâtre, et qui choque
e dans les moments de repos ou dans l’instant que l’on se présente au
public
, pour l’exécution du pas. La manière de bien marc
teurs : ils ont l’art de faire payer chèrement leurs productions : le
public
, amateur de nouveautés, achète tout, et est tromp
c’est à dire, tous les morceaux qui ont été vivement applaudis par le
public
, et qui portent avec le caractère de la nouveauté
et la dépense. En France, dîtes-vous, on joue un opéra autant que le
public
le trouve agréable, et vingt années de succès ne
de ces Opéras Bouffons qu’on y représente séparément sur des Théâtres
publics
. On ne compose guère depuis longtemps ces ouvrage
embellir. 85. Je ne connais que ce seul Ballet qui ait été donné au
Public
, comme Spectacle, ailleurs que dans les Cours des
ublé de ces deux visages, ne devoit jamais montrer la face entière au
public
, et a l’éxemple d’un soldat bien exercé, il fallo
de s’associer aux mimes, et de jouer plusieurs rôles sur les théatres
publics
; lorsque cet Empereur représentoit, un décurion,
e chose désagréable et tout aussi fatigante pour l’acteur que pour le
public
. Il faut convenir que les auteurs anciens n’ont j
mmencèrent par réprésenter des pièces parfaitement connues, et que le
public
savoit presque par coeur. Rome, à cette époque av
e extraordinaire, elle l’obtint, non pas en flattant les habitudes du
public
, mais au contraire en les heurtant de front, en r
rité des Parisiens. A Stuttgart elle conquérait, avec la sympathie du
public
, l’affection de la reine. A Munich, où elle fut e
us brillants sujets de l’Opéra, Mmes Legallois, Anatole, Montessu. Le
public
put mesurer l’énorme distance qui sépare le talen
oirée triomphale qui fait date dans l’histoire de la danse. Ce que le
public
applaudit frénétiquement ce jour-là, ce ne fut pl
ps encore au pinacle où la Sylphide l’avait élevée. L’enthousiasme du
public
ne diminua point lorsque, l’année suivante, le 4
out simplement, d’après notre auteur, la protestation d’une partie du
public
contre l’abus que Véron faisait de la claque. «
is profanée, toi que vierge je veux voir, toi que chaste j’admire ! —
Public
! pudeur, sinon respect pour elle ! Pudeur pour s
à l’idéalisme de la danse de Marie Taglioni. Celle-ci conquérait son
public
, à Berlin, à Milan, comme à Paris, par sa légèret
is Rahel reconnaît que les défauts mêmes qu’elle censure séduisent le
public
, cet enfant. Aber gerade das entzückt Publikümche
jour, à Londres, au King’s Theatre, le rideau tardait à se lever. Le
public
perdit patience et fit du bruit. Le directeur, La
ue la même année le bénéfice de Nourrit, un artiste pourtant choyé du
public
, n’avait produit que 24 000 francs, les guinées,
’il n’avait pu maintenir la discipline dans sa troupe, ni empêcher le
public
payant d’être très chaleureux à l’égard de Perrot
février 1662 Maintenant, qu’en grattant ma têtes, Cette Lettre au
public
j’apprête, D’un style morne, et non follet, On da
Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes
publiques
Toutes les actions publiques des Anciens avaien
Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques Toutes les actions
publiques
des Anciens avaient quelque Analogie avec leurs s
ui j’écris, Vous savez tout ce que je dis ; Mais, comme ma Lettre est
publique
, Aux lecteurs aussi je l’indique. Sur ce, je fe
héâtre de Molière Et que, par grâce singulière Mardi, l’on y donne au
Public
De bout en bout et ric à ric, Son charmant Bourge
plus aujourd’hui que comme un art simplement utile au divertissement
public
; & même, suivant l’opinion de l’Eglise, comm
ux de joie, & des jeux innocens, pour augmenter les réjouissances
publiques
, entretenir les peuples dans la soumission, &
suite des tems, les habitans de la Colchide l’ajouterent à leurs jeux
publics
: ce qui passa en usage chez les Grecs, chez les
exercices du corps, vû qu’ils s’exerçoient à la Danse dans les salles
publiques
depuis l’âge de cinq ans, jusqu’à trente, comme o
a sienne. Elles étoient accompagnées de festins & d’illuminations
publiques
, avec toute sorte d’instrumens ; elles étoient su
les rues, qui étoient illuminées le soir, où l’on dansoit des danses
publiques
; desorte que ce jour-là il n’étoit pas permis, s
euses. Cicéron reprocha à Gabinius homme Consulaire, d’avoir dansé en
public
: ce qui fait voir que dès ce tems, la Danse avoi
la prophanation des danses Sacrées, que par la corruption des danses
publiques
; & l’on vit chez les Romains toutes les Dans
la jouâmes d’abord dans les provinces avant de venir la présenter au
public
de New-York. Je fis donc mes débuts de « danseuse
es pieds tout enveloppée dans le nuage soyeux de la légère étoffe. Le
public
bissa la scène, puis la bissa encore… et tant et
deux ans d’absence de New-York m’avaient fait complètement oublier du
public
, et qu’en essayant de me rappeler à son souvenir,
t-il, ce n’est pas l’âge qui compte, c’est le temps pendant lequel le
public
vous a connue, et vous avez été trop connue comme
pparition baignée dans une lumière bleue. La salle était bondée et le
public
fut absolument enthousiaste. Je dansai mon premie
ndre, car on avait négligé de le mettre sur le programme ! Lorsque le
public
apprit que la nouvelle danseuse était son ancienn
teurs et de les placer derrière les coulisses, de telle sorte, que le
public
ne pût les appercevoir, et je promis de les rempl
expression du chant et de combiner la chose de manière à persuader au
public
que les objets qu’il voyoit agir étoient ceux qui
; si comblé d’allégresse, il fait ouvrir les rideaux qui dérobent au
public
cette action sanguinaire ; s’il frappe du poignar
ce ballet tragique. Le site du cinquième acte représentoit une place
publique
au milieu de la quelle s’élevoit un bûcher ; les
e la mort d’Agamemnon des choeurs chantants et dérobés aux regards du
public
. Oreste prévenu à l’avance du retour de son père
. Soit que l’esprit se fût développé par la continuité des Spectacles
publics
, qui sont toujours l’École la plus instructive de
-vous mutuellement ; estimez-vous, encouragez-vous : donnez le ton au
Public
qui ne demande pas mieux que de le prendre. Son p
avec amitié. Si vous voulez vivre heureux, si vous aspirez à l’estime
publique
, si l’honneur de votre nom vous intéresse, employ
l. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. L’Opéra vient d’offrir au
public
plusieurs soirées composées intégralement de dans
éaliser ce qu’ils avaient suggéré. Des expériences sont tentées et le
public
s’y passionne. Les jours sont loin de la fuite ép
de la comédie Française. Il y avoit toujours six opéras sur pied. Le
public
qui paye, aime la variété et ne s’embarrasse pas
es premiers sujets qui avoient fixé l’amour et les applaudissemens du
public
pendant trente années, n’obtenoient que 3000 liv.
a danse Astronomique. De la danse des festins, pour les réjouissances
publiques
. De la danse des Fêtes Saturnales. De la danse de
était un industriel adroit, qui, ayant bien compris les goûts du gros
public
, le servait à souhait et réalisait, par une fabri
s plus populaires. Le théâtre devait parler avant tout aux sens de ce
public
de banquiers et de négociants, et lui faire oubli
x et qui réunissait à un moment sept cents personnes sur la scène. Le
public
s’extasia de même devant les tableaux de la Juive
meilleur opéra ; il acquit la conviction que la plus grande partie du
public
était animée des mêmes sentiments, que la plupart
leur offrît le même plaisir que Franconi. Le grand Véron et le grand
public
se comprirent ; celui-là sut rendre la musique in
ne donna que des pièces à grand spectacle ; celui-ci, je veux dire le
public
, put avec ses filles et ses épouses se rendre à l
e de fréquenter l’Opéra, il avait acquis du flair ; il connaissait le
public
; il savait les morceaux qui portaient ; il savai
Bouge-Variétés et n’en demandât la fermeture, par mesure de salubrité
publique
. Malheur à l’artiste qui ne partageait pas avec l
en ce temps-là les journaux n’avaient pas encore usé la crédulité du
public
. Celui-ci croyait à la beauté des pièces que prôn
adères. Enfin ce directeur aux ressources infinies attira l’attention
publique
sur lui et sur l’Opéra au moyen des bals qui s’y
entourée de ses admirateurs idolâtres, toujours sûre d’ensorceler le
public
. Incapable décidément de s’entendre avec Duponche
ecteur de lui rendre sa liberté. Le 4 avril, il faisait ses adieux au
public
parisien, en pleine force, dans tout l’éclat de s
qui avaient fait honneur au pays natal devant l’aréopage suprême, le
public
de Paris. Mais on se demandait en même temps si l
la danse dont ils portaient le nom. La cachucha devenait une calamité
publique
. Il y aurait eu de quoi maudire l’importatrice du
son modèle ; elle songe au succès qu’elle lui devra ; elle entend le
public
l’applaudir, elle pense qu’un si grand effort lui
contraire. Quant à Fanny, elle fut entièrement mise hors de cause. Le
public
et la presse reconnurent que si le ballet offrait
prince. Partout où ils la rencontraient, dans la rue, dans les lieux
publics
, ils lui manifestaient une affectueuse déférence.
fut dansée par Fanny et par Thérèse avec une telle perfection que le
public
ne s’offusqua pas de l’étrangeté du sujet. Mlle M
r d’être extrêmement fructueuse, car c’est l’actrice la plus aimée du
public
, et c’est justice. Si la somme d’argent qu’elle r
ître au second acte et aller jusqu’au bout de son rôle. Une partie du
public
manifesta une vive approbation. De ce côté se tro
r la terre ce ciel auquel il ne lui est pas permis de s’élever. » Le
public
sembla partager l’opinion des taglionistes. Les r
u’il portait l’affaire devant les tribunaux. On livra à l’indignation
publique
le nom d’Auguste, qui avait, dit le Bon Sens, « l
pas le même retentissement que celles du Diable boiteux. L’attention
publique
était détournée à ce moment-là du ballet par d’au
ir comprise par de beaux esprits comme Th. Gautier. Mais sur le grand
public
, qu’elle avait cru conquis un moment, son action
urs de Her Majesty’s Theatre avaient traité Fanny avec rigueur. « Le
public
anglais, écrivait Chaudes-Aigues, aurait pu répon
agaçante de Mlle Fanny Elssler. Il est vrai de dire, pour l’excuse du
public
anglais, que quelques jours auparavant, à une rep
aussi un peu par la tiédeur croissante qu’elle croyait sentir chez le
public
, Fanny Elssler prêta volontiers l’oreille à des p
e repos imposé, prématurément peut-être, par les caprices injustes du
public
; elle songeait à s’assurer une retraite dorée. E
lennelles établies par la Loi, ou dans les occasions de réjouissances
publiques
, pour rendre grâces à Dieu, l’honorer, et publier
Cet Art moralement plaisant, Qui nous charme en nous instruisant, En
public
, mêmement, expose (Partie en vers, partie en Pros
re, faire répandre dans la tragédie un torrent de larmes, effrayer le
public
, l’entrainer à la terreur, et l’épouvanter par la
rge grossière du plus beau talent, augmentèrent encore les regrets du
public
. Cette tradition précieuse qu’il avoit établie av
fforce en vain d’imiter, auroit disparû, ou se seroit affoibli, et le
public
eût été privé d’une actrice célèbre, qui lui à fa
s ont fait verser de larmes délicieuses ? Combien elle étoit chère au
public
, et combien ce précieux chef-d’oeuvre de la natur
u, et avança que Mademoiselle Clairon qui connoissoit parfaitement le
public
, avoit peut-être gagné autant d’admirateurs avec
tant plus ridicule, qu’ils y avoient presque tous débutés ; et que le
public
de nos villes de parlement étoit aussi éclairé, e
étais sûre d’obtenir en Europe. Il me conseilla d’aller à Paris où un
public
d’artistes ferait à mes danses l’accueil qu’elles
lle semblait vide totalement. Je vis, quand j’eus achevé, que tout le
public
se trouvait dans les galeries formant balcon à mi
habitude de le faire au théâtre, je revins en scène pour remercier le
public
de ses applaudissements et je vis devant moi, en
u reste parfaitement prévue de Tchaïkovski et de Marius Petipa sur le
public
de Leicester-Square, je la considérais surtout co
uichotte chargeant un troupeau de brebis, — tant d’engouement béat le
public
« insulaire » a invariablement montré aux auditio
s ou bien neuf je l’ai vu de mes yeux au « Théâtre Marie », mêlé à un
public
de gardes rouges et de matelots « en corvée »… Le
ères, nous défendons, sous peine d’excommunication, toutes les danses
publiques
aux principales fêtes de l’année, (ces fêtes sont
x et les danses, par la fréquentation des tavernes, par des débauches
publiques
et scandaleuses, au mépris du service divin, qui
4 novembre 1654, pour les exhorter à faire un bon usage des calamités
publiques
dont il avoit plu à Dieu de les visiter les année
s coutumes, que je viens de toucher. Il faut les reprendre souvent en
public
dans la chaire de vérité, en représenter vivement
Parlement de Paris avoit rendu deux arrèts pour interdire les danses
publiques
, sous peine de cent livres d’amende, tant contre
eigneur et à ses officiers, de permettre ni de souffrir aucunes danse
publique
dans le lieu de Récy, à peine de deux cents livre
tationum genera periculosa. » Il y a quelques années qu’on donna au
public
les décisions d’un assez grand nombre de docteurs
dans les premiers temps une expression simple de joie dans les Fêtes
publiques
ou particulières et successivement les différente
mie, s’il oublie que c’est un poème intéressant, qu’il doit offrir au
public
et non un divertissement fastidieux de danse mort
tes et leurs chûtes corrigent insensiblement ; en écoulant la voix du
public
et celle de l’expérience, ils choisissent des suj
lheureusement inconnue ; ils pourront alors se vanter de présenter au
public
un tableau vraiment neuf et intéressant. Mais ce
ire ; tout doit y être grand, expressif et majestueux et entrainer le
public
a celle illusion vive qui lui fait prendre la cho
e que fauourable a vne ambition qui a pris pour obiect l’vtilité d’un
public
& laquelle ie desire passionnement (Monseigne
e nom de pompe Tyrrhénique88. La mer, le rivage, les rues, les places
publiques
, sont les Théâtres sur lesquels on fait voir succ
uter des Danses vives sur des Symphonies qui exprimaient l’allégresse
publique
: dans tous les détours des rues, une foule d’Ins
« affranchit » la main, on cria au prodige ! C’est que la majorité du
public
hait inconsciemment les exigences impérieuses de
met, dans un geste beau entre tous, de tendre, agenouillée en face du
public
, un vase d’argile à Orion debout derrière elle. M
s le culte qu’ils rendaient à leurs divinités et, dans les cérémonies
publiques
, le pratiquèrent avec tant de succès qu’on a de l
racieux, les membres déliés et les mouvements aisés. En présentant au
public
ce traité élémentaire, je crois lui fournir des m
unes artistes qui excitent en ce moment, à l’Opéra, l’enthousiasme du
public
, ne peuvent s’y trouver. La saison de la Danse es
ce moment ; cela aurait entraîné quelque éloge pour chacun ; c’est au
public
à les juger. N. B. L’auteur de cette faible im
L’autre a peur de ramper ; il se perd dans la nue. Voulez-vous du
public
mériter les amours ? 70 Sans cesse en écrivant v
L’autre a peur de ramper ; il se perd dans la nue. Voulez-vous du
public
mériter les amours ? Sachez de votre corps varier
, Plaisant sans être ignoble, agréable sans fard. N’offrez rien au
public
que ce qui peut lui plaire. Jusque dans votre mar
autant, imitez le ressort du ballon20. Dans cet art enchanteur que le
public
adore, C’est par-là que plaisait l’aimable Théodo
sa mode, Et fut digne pourtant de son heureux destin : Mais chéri du
public
, du succès trop certain, Chant I, vers Vit da
on ressort. Chant I, vers Craignez-vous pour vos vers la censure
publique
? Soyez-vous à vous-même un sévère critique : 18
auteur intraitable &c. Craignez-vous pour vos pas la censure
publique
? Soyez-vous à vous-même un sévère critique : L’i
ntéressé flatteur, Conducteur de cabale et pilier de parterre, Que le
public
invite ou contraint à se taire : Pour des billets
ance un plaisir ignoré. Des pélerins, dit-on, une troupe grossière En
public
à Paris y monta la première ; &c. Art de
masque plus honnête habilla les visages, Sur les ais d’un théâtre en
public
exhaussé Fit paraître l’acteur d’un brodequin cha
leur faux agrément, A ce nouvel appât courut avidement. La faveur du
public
excitant leur audace, 110 Leur nombre impétueux
leur faux agrément, A ce nouvel appât courut avidement. La faveur du
public
excitant leur audace, Leur nombre impétueux s’emp
brusque et grossier, enseigner l’art de plaire17. Et vous qui, du
public
, excitez les transports, Danseurs, pour nous char
outh, M. le duc de Villeroy, et M.le marquis de Rossen, y parurent en
public
une fois devant le Roi, qui vint voir ce spectacl
l’air avant que de retomber à terre, nous prouve que de tout temps le
public
a aimé qu’on l’étonnât. Cependant son genre ordin
ue de la Danse par Cahusac, tome premier, chap. 3. 7. Le spectacle
public
de l’Opéra n’existait pas encore. Louis xiv aimai
gagé par les principaux seigneurs de la Cour à remettre le masque, le
public
trouva aussi ridicule de voir danser masqué, qu’i
e est plus gaie, plus surprenante, et, en général, plaît davantage au
public
. Mademoiselle Allard fut très-renommée dans ce ge
ent le langage des mains des pantomimes. Il y avait à Rome des écoles
publiques
, pour apprendre cet art. Ce langage s’imprime ais
effet, se donne depuis quinze ans, avec les mêmes applaudissemens du
public
. 5. Pierre Gardel. Voyez la note 6 du premier
, et ensuite les introduisirent dans les fêtes et les divertissements
publics
. Peu à peu on dansa sur les théâtres, et les Grec
Peut-être que mon zèle, réuni à mes efforts, m’obtiendra l’indulgence
publique
, et que les jeunes danseurs me sauront gré de l’i
onde ; car nous voyons très souvent de mauvais sauteurs « plaire à un
public
aveuglé par des tours de force, par des gambades
s arrêts, se sont joints aux saints conciles pour défendre les danses
publiques
les saints jours de dimanches et de fêtes, et sur
u conseil d’état, soit des cours souveraines qui défendent les danses
publiques
les saints jours de dimanches et de fêtes, il ne
quand ils seroient innocens. On voit bien que cette marque de la joie
publique
ne conviendroit pas avec le deuil solennel de tou
ce qu’on ne pouvoit les célébrer qu’avec une démonstration de la joie
publique
. Cet esprit se conserve encore dans l’Eglise, com
. Le 14 mai 1840, Fanny Elssler parut pour la première fois devant le
public
de New-York dans la Tarentule. Elle eut un succès
ont les musiciens (la chose se passe à Boston) qui rivalisent avec le
public
pour fêter la triomphatrice et qui hissent avec e
e d’hommages, brisée de fatigue, Fanny monte dans sa chambre. Mais le
public
idolâtre ne lâche point sa proie. Des musiciens e
mposaient à Fanny un surcroît d’efforts : il lui fallait haranguer le
public
. Elle prit l’habitude de jeter par-dessus la ramp
lle toute bouleversée de cette réception extraordinaire. Les affaires
publiques
souffrirent de l’engouement du monde politique po
ie baptisa du même nom sacré une de ses locomotives. Un autre service
public
eut des gracieusetés pour l’artiste : l’administr
lles fussent allumées », pendant qu’elle s’habillait dans sa loge, le
public
impatient lui témoignait, par des trépignements,
rouva même un peu prude ; il dit : « Poussant à l’excès la crainte du
public
américain dont on lui a sans doute exagéré les pu
nnaissait aucune liaison ; dans sa vie, que les journaux étalaient au
public
, le censeur le plus austère ne découvrait aucun d
de Mlle Elssler, si pleine de retenue, de bon ton, de décence, que le
public
américain est tombé en admiration devant cette ch
e, une pensée qui venait du cœur, fut l’œuvre qu’elle recommandait au
public
de New-York du haut de la scène, la fondation d’u
et âcre. Quelle différence entre ces Béotiens du Nouveau-Monde et le
public
si fin, si cultivé, de Paris ! Sa pensée revenait
le Règne de Domitien, jusqu’à des Pères Conscrits, qui s’avilirent en
public
par cet indigne exercice. Ils furent exclus du Sé
d’abord inventée pour le plaisir, & ensuite employée à l’utilité
publique
, ne mérite de la consideration. Fille de l’Harmon
représentations secrètes qu’on ne pouvait plus voir sur des Théâtres
publics
. La familiarité entre les Spectateurs et les Dans
n’en connut que la partie la plus grossière. Il rouvrit les Théâtres
publics
des Pantomimes que Tibère avait fermés. Sous un p
mps d’aller au buffet. C’était vraiment une habile façon d’obliger le
public
à renoncer à ses habitudes. Au lieu d’en appeler
s acteurs d’Europe puissent venir y jouer des pièces de leur pays. Le
public
nippon s’apprête à leur faire le meilleur accueil
Bals masqués magnifiques durant le règne de Louis XIV, mais les bals
publics
, dont je parlerai bientôt, firent tomber tous les
olennelles établies par la loi, ou dans des occasions de réjouissance
publique
, pour rendre grâces à Dieu, l’honorer, et publier
es sacrifices, des mystères d’Isis, de Cérès, etc. ou dans les places
publiques
, comme les bacchanales ; ou dans les bois, comme
du Créateur, donna dans les suites l’idée de celles que l’allégresse
publique
, les fêtes des particuliers, les mariages des roi
entait. C’était une oraison funèbre muette, qui retraçait aux yeux du
public
toute la vie du citoyen qui n’était plus. L’archi
enus par la crainte d’être un jour exposés sans ménagement à la haine
publique
, à la vengeance de leurs contemporains, au mépris
onnaissaient d’avance le sort qui les attendait un jour, par la risée
publique
à laquelle ils voyaient exposés leurs semblables.
des pères conscrits qui s’étaient avilis jusqu’au point d’exécuter en
public
ces sortes de danses. (B) Danse pyrrhique
lus qu’un événement, — une révolution presque. Les ballerines dont le
public
s’était contenté jusqu’alors appartenaient, en ef
ur le bord des rampes d’un côté à l’autre du théâtre. Chaque soir, le
public
attendait ce passage avec la plus vive impatience
en rit à gorge déployée. Mais il fallait une satisfaction à la morale
publique
… Gruer perdit son privilège… Mademoiselle de Cama
Allard déclara que pendant six semaines elle ne pourrait paraître en
public
. Cette ballerine prit sa retraite en 1781. Ma
use et le danseur se réconcilièrent, le verre en main, pendant que le
public
attendait l’exécution de ses volontés. Puis ils r
1769, elle ne pouvait faire face, si l’on en croit Bachaumont : « Le
public
craint de perdre la Guimard. On dit qu’elle est à
, Allard, Théodore et Heinel, vit sa statuette offerte à l’admiration
publique
à la suite d’une souscription faite parmi les hab
ine des Bals de cérémonie, qui se font à l’occasion des réjouissances
publiques
, ou des fêtes particulieres, si ce n’est à Bacchu
it fort. Malchus assure que Pithagore se faisoit honneur de danser en
public
, & d’y passer pour bon danseur, s’étant perfe
t que les plus grands Héros se faisoient un honneur de bien danser en
public
, aux fêtes solemnelles, entre autres Bacchus, Osi
C’est un usage en France, qu’à toutes les occasions des réjouissances
publiques
, l’Hôtel de Ville de Paris donne une fête qui con
prier de leur accorder un petit droit sur les Robinets des Fontaines
publiques
de la Ville, pour régaler les Cantons. Henri IV.
ais sitôt qu’ils furent sortis, tout fut abandonné à la discrétion du
public
: tout ce grand appareil fut pillé en moins d’un
magistrats chrétiens ne doivent point souffrir qu’on donne des leçons
publiques
de danse. Dans le même endroit, Vossius rapporte
quentoient les danses, les jugeant indignes d’assister aux assemblées
publiques
de prières, et de faire la cène. Plus bas, (pag.
cond moyen est de reprendre en particulier, et même, s’il le faut, en
public
, ceux qu’on voit fréquenter les danses. Le troisi
ont l’autorité temporelle, le premier est de ne souffrir aucune école
publique
de danse ; le second, de condamner à des amendes
x et celles qu’on surprendra dansant dans les foires, dans les places
publiques
ou dans les rues, après que la défense en aura ét
supporter comme choses indifférentes, et sous prétexte d’aucun profit
public
ou particulier. Si notre vie a quelquefois besoin
le comique, et qui s’attire sans bassesse les suffrages unanimes d’un
public
éclairé, doit être plus que dédommagé de la priva
rtie de la beauté de l’ébauche ; mais un écolier que l’on présente au
public
est comme un tableau qu’un peintre expose au sall
e faire revivre ses talens dans ceux d’un écolier ? eh ! Monsieur, le
public
pourroit-il savoir mauvais gré à Jéliote 1, s’il
me semble, appartenir de droit aux danseurs. Ils auroient éclairé le
public
et les danseurs ; et en illustrant l’art, ils se
de ballets, après avoir composé ceux d’un opéra à la satisfaction du
public
, soit obligé nécessairement d’en conserver l’idée
comique, & qui s’attire sans bassesse les suffrages unanimes d’un
Public
éclairé, doit être plus que dédommagé de la priva
rtie de la beauté de l’ébauche ; mais un Ecolier que l’on présente au
Public
est comme un tableau qu’un Peintre expose au Sall
faire revivre ses talents dans ceux d’un Ecolier ? Eh ! Monsieur, le
Public
pourroit-il savoir mauvais gré à Mr. Jeliote,8 s’
que je leur dois ; quiconque a contribué long-temps aux plaisirs d’un
Public
aussi éclairé que celui de Paris, est & sera
Lany, après avoir composé les Ballets d’un Opéra à la satisfaction du
Public
, soit obligé nécessairement d’en conserver ainsi
t qui réussit à son théâtre, parce que tout ce qu’il donnait alors au
public
était reçu avec enthousiasme. C’est surtout à la
ant on se tient à quelques scies musicales qui aliènent au danseur le
public
des concerts qui aurait pu devenir le sien.
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