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1 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
ein n’est pas de soutenir que la Peinture l’emporte absolument sur la Poésie . Je n’ai jamais douté que ces deux Arts ne soient
ion qui témoignent de la répugnance à placer la Peinture à côté de la Poésie . Quelque inclination que j’aye à suivre leur avis
s cependant qu’il est bon d’avertir qu’en parlant comme je fais de la Poésie & de la Peinture, je les suppose toujours dan
t dégré de perfection où elles puissent arriver. Ce n’est donc pas la Poésie que j’entreprens d’attaquer ; c’est la Peinture q
e. Quand à force d’éxercice & de réfléxions, la Peinture & la Poésie se furent enfin montrées dans leur plus grand lus
Abbé Genest, la Fontaine, la Mothe & Rousseau ont excellé dans la Poésie  ; que poussez d’un même esprit, ils ont fait tous
de Raphael & du Titien. Il y a néanmoins cette différence, que la Poésie n’a fait que disparoître en Italie, & qu’elle
is ce tems-là, étoit toute marquée, & que la véritable idée de la Poésie ne s’est point perdue ; ou du-moins il étoit aisé
ssi certains, & des ouvrages aussi parfaits qu’étoient ceux de la Poésie , rien n’empêche que nous ne puissions en concevoi
ce que nous en ont dit ceux mêmes qui nous ont donné les régles de la Poésie , comme Aristote & Horace : le premier assure
aitement à sa fin. Ce Philosophe est donc fort éloigné de préférer la Poésie à la Peinture. Pour Horace, il déclare nettement
Peinture. Pour Horace, il déclare nettement que la Peinture & la Poésie ont toujours marché de pas égal, & qu’elles o
pas ces autoritez, nos sens & la raison nous disent assez que la Poésie ne fait entendre aucun événement, que la Peinture
t leur office & leur nom ; on appelle communément la Peinture une Poésie muette, & la Poésie une Peinture parlante. El
nom ; on appelle communément la Peinture une Poésie muette, & la Poésie une Peinture parlante. Elles demandent toutes deu
e, ou qui ne mérite pas d’être représenté. Enfin la Peinture & la Poésie partent du même lieu, tiennent la même route, arr
s plus heureux que celles de leurs concurrens ; tous les genres de la Poésie ont eu leurs louanges & leurs protecteurs. On
si elle se passoit effectivement. » La fin de la Peinture comme de la Poésie , est de surprendre de telle sorte, que leurs imit
ompé, Voilà à peu près les rapports naturels que la Peinture & la Poésie ont ensemble, & qui ont de tout tems, comme d
lement dans la pratique & dans l’exécution : cette pratique de la Poésie se remarque dans la diction & dans la versifi
a versification, supposé que la versification soit de l’essence de la Poésie . On pourroit y ajouter la déclamation, à cause qu
mœurs & les actions des hommes, ce qui est cependant la fin de la Poésie  ; l’exécution de la Peinture consiste dans le des
imagination. Ces differentes manieres d’exécuter la Peinture & la Poésie , ont leurs prix & leurs difficultez : mais l’
Peinture demande beaucoup plus d’étude & de tems que celle de la Poésie  ; car la diction s’acquiert par l’étude de la Gra
e je viens de dire, qu’elle ne manque pas de ressorts non plus que la Poésie , pour plaire aux hommes, pour leur imposer, &
& pour ébranler leurs esprits. Mais quoique la Peinture & la Poésie soient deux sœurs qui se ressemblent en ce qu’ell
pourroit néanmoins attribuer à la Peinture plusieurs avantages sur la Poésie  ; je me contenterai d’en toucher ici quelques-uns
e dévelope, & nous éclaire en se faisant voir tout d’un coup ; la Poésie ne va à son but & ne produit son effet qu’en
te, & touche bien plus vivement que tout ce qui est diffus. Si la Poésie augmente le plaisir par la variété des épisodes &
ectateur : le plaisir qu’elle donne est donc plus vif que celui de la Poésie . On peut encore accorder cet avantage à la Peintu
s effets qu’elle produit sur l’esprit, il faut tomber d’accord que la Poésie , comme la Peinture, a la propriété d’instruire ;
iere. Je ne veux point ici obmettre une chose qui est en faveur de la Poésie  : c’est que les épisodes font d’autant plus de pl
que l’on m’a faites. On m’objecte donc que la Peinture emprunte de la Poésie  ; qu’Aristote dit que les Arts qui se servent du
e servent du secours de la main, sont les moins nobles : enfin que la Poésie est toute spirituelle ; au lieu que la Peinture e
ent se passer l’un de l’autre : la Peinture n’emprunte pas plus de la Poésie , que la Poésie emprunte de la Peinture. Cela est
’un de l’autre : la Peinture n’emprunte pas plus de la Poésie, que la Poésie emprunte de la Peinture. Cela est si vrai, que le
u d’Appellès ne l’avoit fait connoître ; desorte qu’à cet égard si la Poésie a publié les beautez de Vénus, la Peinture en avo
pour la Peinture, mais qui devoit sa fortune & sa réputation à la Poésie , dit que les Peintres & les Poëtes se sont to
ut ce que je viens de dire touchant la Fable & l’Histoire, que la Poésie emprunte du moins autant de la Peinture, que la P
prunte du moins autant de la Peinture, que la Peinture emprunte de la Poésie . A l’égard de ce que dit Aristote, que les Arts q
e la main sont les moins nobles, & de ce que l’on a ajoûté que la Poésie est toute spirituelle, au lieu que la Peinture es
répond que la main n’est à la Peinture que ce que la parole est à la Poésie  ; elles sont les ministres de l’esprit, & le
rts : le même Horace qui nous a donné des régles si excellentes de la Poésie , dit qu’un tableau tient également en suspens les
ont la plume, l’encre & le papier sont les effets matériels de la Poésie . Mais il faut bien un autre art pour exécuter la
’on dit que ce précieux appanage de l’homme, qui se rencontre dans la Poésie avec tous ses ornemens, ne se trouve pas dans la
eur trouve du raisonnement dans la Peinture, comme l’Auditeur dans la Poésie . On entend par le mot de raisonnement, ou la caus
bon effet, il y a autant de raisonnement dans la Peinture que dans la Poésie , parce qu’elles agissent l’une & l’autre en v
chose par la connoissance d’une autre, il se trouve également dans la Poésie & dans la Peinture, quand l’occasion s’en pré
’éxiger de la sorte ; car encore que les raisonnemens entrent dans la Poésie & dans la Peinture ; les ouvrages de ces deux
urs susceptibles ; les Métamorphoses d’Ovide qui sont des ouvrages de Poésie , ne sont la plupart que des descriptions. Il est
our agréable ; le sublime s’y découvre aussi sensiblement que dans la Poésie  ; l’harmonie même qui les introduit toutes deux &
e ne peut suppléer qu’imparfaitement ; mais je sçai bien aussi que la Poésie est fort éloignée d’exprimer avec autant de vérit
la Peinture de parler par les choses, comme il est de l’essence de la Poésie de peindre par les paroles. Il n’est pas véritabl
que de-là venoit la préférence que quelques-uns ont voulu donner à la Poésie  ; j’ai taché de faire voir la conformité qui se r
rfection des spectacles. Les Hébreux ont prétendu que l’origine de la Poésie venoit d’une inspiration divine, comme nous le vo
rts. C’est aussi par où je finis le Traité de la Peinture & de la Poésie , que je regarde comme deux sœurs, que la jalousie
e que si les Poëtes se vantent d’avoir Apollon pour l’inventeur de la Poésie , les Peintres peuvent s’attribuer aussi le Dieu V
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre I. Caractère que doit avoir la Danse Théâtrale »
essif des sons ; la Peinture, par le mélange adroit des couleurs ; la Poésie , par le feu varié du discours ; la Danse, par une
as ; la peinture qui ne serait qu’un vain assemblage de couleurs ; la Poésie qui n’offrirait qu’un arrangement mécanique de mo
pour quelque Peinture que ce puisse être, pour toutes les espèces de Poésie , pour tous les différents genres de Danse. L’imit
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
— Comment, dit le président, vous ne savez pas que Loïe a récité des poésies dimanche ? Ma mère était presque épouvantée, tant
et dit à très haute voix : « Chut !… Taisez-vous, je vais réciter ma poésie . » Elle ne bougea pas tant que le silence ne fut
ugea pas tant que le silence ne fut pas rétabli. Loïe récita alors sa poésie , comme elle l’avait promis, puis retourna à sa pl
oir le plaisir d’entendre notre petite amie, Loïe Fuller, réciter une poésie intitulée : « Marie avait un petit agneau. » Ma
Pétais rappelée. A partir de cette époque je récitai constamment des poésies partout où je me trouvais. Je faisais des speechs
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
Italie, et ils y accoururent. Dès lors la Sculpture, la Peinture, la Poésie , la Musique fleurirent. Les plaisirs de l’esprit
ater dans un même ensemble l’illusion de la Peinture, le charme de la Poésie , les grâces de la Danse. Suivons l’histoire de ce
5 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
t besoin d’être soutenus par la Musique & d’être expliqués par la Poésie , ce qui équivaut sans doute à l’espece de Héros d
honteuse médiocrité. Vous savez que le langage de la Peinture, de la Poésie & de la Sculpture, étoit déjà celui de l’éloq
es, la richesse des vêtements, la pompe du costume, les charmes de la Poésie , de la Musique & de la Déclamation, le séduis
quelque genre qu’il soit, doit avoir, suivant Aristote, ainsi que la Poésie deux parties différentes qu’il nomme partie de qu
vous voyez, les Ballets subordonnés en quelque sorte aux regles de la Poésie  ; cependant ils différent des Tragédies & des
e je vous ai dit dans mes autres Lettres ; puisque ces deux genres de Poésie doivent également avoir une exposition, un nœud &
6 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
s, & ses révolutions, avec le Paralele de la Peinture & de la Poésie , & le Supplément de l’Histoire de la Musique,
outé à l’Histoire de la Danse, un Paralele de la Peinture & de la Poésie , avec un Supplément à l’Histoire de la Musique, q
7 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
t bien que ses autres poèmes lyriques aient l’agrément de ceux-ci. La Poésie de style n’est pas ce qui leur manque : c’est la
ue toutes les autres parties. Voyez Coupe. (B) La cantate demande une poésie plutôt noble que véhémente, douce, harmonieuse ;
images ; le second ne l’est guère souvent que par l’expression : les poésies de Sapho n’étaient que des chansons vives et pass
i la consumait, animait son style et ses vers. (B) En un mot toute la poésie lyrique n’était proprement que des chansons : mai
de la tendresse. Voilà les différentes sources de la Musique et de la Poésie . Le nom de Poète et de Musicien furent longtemps
œurs de Musique. Voyez Chœurs et Concert. Les Grecs n’eurent point de poésie qui ne fût chantée ; la lyrique se chantait avec
pagnement d’instruments, ce qui la fit nommer mélique. Le chant de la poésie épique et dramatique était moins chargé d’inflexi
’on examine avec attention tout ce qu’ont écrit les anciens sur leurs poésies , on ne peut pas révoquer en doute cette vérité. V
et depuis parmi nous. En effet, les Latins ne chantèrent point leurs poésies  ; à la réserve de quelques odes et de leurs tragé
s les jugements qu’il a portés en matière de goût. On dit chantre, en Poésie , pour dire poète : ainsi on désigne Orphée sous l
ue, qui ne lui soit commun avec tous les autres arts. La Peinture, la Poésie , la Sculpture, dans toutes leurs différentes tran
uation, au caractère de chacune des parties du sujet qu’on traite. La Poésie , la Peinture et la Musique sont une imitation. Co
t être que l’expression véritable du sentiment qu’on veut peindre. La Poésie exprime par les paroles, la Peinture par les coul
rimer ce qu’on veut dire, peindre ou chanter. Mais les paroles que la Poésie emploie, reçoivent de l’arrangement, de l’art, un
ue les paroles ont par elles-mêmes ; celle qui leur est donnée par la poésie  ; celle qu’il faut qu’elles reçoivent de la musiq
dans l’histoire ancienne de la musique des Grecs : plusieurs de leurs poésies nous restent ; leur musique leur prêtait sûrement
8 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14
LETTRE PREMIERE. La Poésie , la Peinture & la Danse ne sont, Monsieur, ou
donné ce feu & cet enthousiasme, l’ame de la Peinture & de la Poésie , l’immortalité lui est également assurée. L’Artis
peut s’embellir & se varier à l’infini. L’Histoire, la Fable, la Poésie , la Peinture, tout lui tend les bras pour le tire
9 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
ns leurs tableaux que des Personnages connus. Il n’est permis qu’à la Poésie de faire connaître ses personnages, même puisés d
de Ballets, et des Danseurs différents avec les différents genres de Poésie Dramatique et les différents talents des Poètes,
. 40La Danse Pantomime-tragique est par conséquent la Tragédie de la Poésie  ; elle est celle des Sophocle, des Euripide, des
, je dois partager avec lui l’honneur du succès. 43La Musique est la Poésie des Ballets Pantomimes. Nous pouvons, tout aussi
10 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
n’a plus rien à faire ici. Où la logique prend fin, que le rêve de la poésie commence. Faut-il l’avouer ? L’amour, tel que l’h
11 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
e, sinon la plus directe. L’art y répond ; et entre tous les arts, la poésie et la musique.
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
uelques traits échappés à plusieurs auteurs sur la sublimité de cette poésie muette, en ont donné la plus haute opinion. Mais
ome, dans le tems de sa perfection, si le geste étoit expliqué par la poésie  ; si la pantomime étoit fortifiée par les Interlo
r excellence ; je me garderai bien de le mettre en parallelle avec la poésie qui dit tout, et avec l’architecture qui ne dit r
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
parmi d’affreuses misères, cette Achmadova qui est la Karsavina de la poésie , le charmant Kouzmine vieilli, austère, absorbé p
14 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
sensations que produisent tels « ralentis » et tel repos qui sont la poésie de l’adage. Car, dans un développé, c’est en suiv
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
. La Danse est l’objet principal. Or la Danse théâtrale, ainsi que la Poésie dramatique, doit toujours peindre, retracer, être
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
s à faire éclater les grands mouvements de l’âme. Par cet artifice la Poésie et la Musique119 unies pour former une expression
fut la base de leurs ouvrages, et qui sera toujours l’âme de la belle Poésie , serait souffert encore par des Spectateurs instr
t, parce qu’il réunit avec la vraisemblance suffisante au Théâtre, la Poésie , la Peinture, la Musique, la Danse, la Mécanique,
17 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
histoire et de la mythologie, se pénétrer de toutes les beautés de la poésie , lire Homère, Virgile, l’Arioste et le Tasse, con
sujets de la mythologie, et le troisième contiendra ceux qu’offre la poésie  ; c’est dans ce répertoire abrégé qu’il trouvera
s ne sont que descriptives et historiques, elles font le charme de la poésie et ne peuvent faire celui de la danse. Ces ombres
18 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
que j’oserais nommer sublimes, que la danse, rivale audacieuse de la poésie et de la musique, s’affranchissant enfin de ses g
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
la mienne. L’abbé Du Bos [Dubos], à la suite de ses réflexions sur la Poésie et la Peinture, a fait un volume entier pour étab
es principales de la prédilection qu’on conserve pour les ouvrages de poésie , pour les tableaux, pour les spectacles qu’on con
vivant dont on feint de se soucier beaucoup. 10. Réflexions sur la Poésie et la Peinture. 3. v. sec. 10.
20 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
itué à l’Opéra. Le ballet a ses classiques comme la comédie, comme la poésie . La Péri de Gautier et Coraly a droit de survivre
21 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
a blonde est délicate, faible, langoureuse, lymphatique. Elle aime la poésie , les soupirs étouffés, les clignements d’yeux, le
ême moi, qui suis de la confrérie. XIII Or, avant : employer la poésie . Après : aimer les brunes. Passons à l’autre leço
22 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
[Épigraphe] Le bal est une poésie muette, et la poésie un bal parlant. ………… Tout vi
[Épigraphe] Le bal est une poésie muette, et la poésie un bal parlant. ………… Tout vieil que je suis, enco
9, question 15, traitant de ce qu’il y a de commun entre l’art de la poésie et l’art de baller. – Traduction d’Amyot. Ave
Avertissement sur l’art de la danse, et de ses rapprochemens avec la Poésie . E n lisant l’Art Poétique de Boileau , je fu
rt Poétique de Boileau , je fus frappé de l’analogie des règles de la Poésie avec celles de la Danse. Je sentis la justesse de
. N. B. pour les rapprochemens de l’Art de la Danse et de celui de la Poésie . Vu les transpositions des vers de l’Art poétique
ouvenir. Ainsi la Tragédie agit, marche, et s’explique. (………………. la poésie épique,) Dans le vaste récit d’une longue actio
 ; &c… Sans tous ces ornemens le vers tombe en langueur ; 190 La poésie est morte, ou rampe sans vigueur ; &c… Mais
-agréable. 8. Cadence ou Rhythme ; termes dont on se sert dans la poésie , dans la musique, et dans la Danse, pour exprimer
ours exposé à la contrefaction et à l’imposture. Si l’on voit dans la poésie des esprits lourds et laborieux, qui s’occupent à
volumes. Voyez aussi l’abbé Dubos à la suite de ses Réflexions sur la Poésie et la Peinture ; le Traité de la Danse par Lucien
cius avaient fait, par leur déclamation, les délices des Romains ; la poésie dramatique était de leur temps en possession des
it à la douceur de la voix, à l’énergie des discours, au charme de la poésie . Cahusac, chap. v, liv. 3, tome 1. 7. J’ai vu
qui est celui dont j’entends parler, sache plusieurs choses, comme la poésie , la géométrie, la musique, la philosophie, quoiqu
23 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo III. Delle qualità del Ballerino »
sica, della Filosofia. «Il faut que le Danseur Pantomime connaisse la Poésie , la Géométrie, la Musique, la Philosophie, l’Hist
24 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
int partie de l’Art dramatique, et marcha alors d’un pas égal avec la Poésie , l’Éloquence et la Musique. Dans les derniers siè
ître du fond du sujet chacun de leurs emplois différents. En effet la Poésie , la Peinture, la Danse, la Mécanique n’y sont jam
25 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
cond genre qui les unît aux douceurs de la Musique, aux charmes de la Poésie , et au merveilleux des machines. C’est alors que
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
positions inspire, ils ont souvent la hardiesse de mutiler les belles poésies de Metastase ; ils mêlent l’argile à l’or pur, et
27 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
du corps, sont donc ce qui constitue le ballet. Il est une espèce de poésie muette qui parle, selon l’expression de Plutarque
t la quatrième : la décoration et les machines sont la cinquième : la Poésie est la dernière ; elle n’était chargée que de don
ources pour l’amusement du spectateur, des moyens plus fréquents à la poésie , à la peinture, à la musique, d’étaler leurs rich
mariage de Galéas duc de Milan avec Isabelle d’Aragon. Tout ce que la poésie , la musique, la danse, les machines peuvent fourn
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
Roscius avaient fait par leur déclamation les délices des Romains. La Poésie Dramatique était de leur temps en possession des
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
ra, genre faiblement estimé, fort peu connu, et de tous les genres de Poésie Dramatique, le plus difficile, les plus petites p
30 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
losophe. Suivant lui, il faut que le Danseur Pantomime connaisse « la Poésie , la Géométrie, la Musique, la Philosophie, l’Hist
ésenter ces sujets terribles, versifiés avec toute cette pompe que la Poésie la plus sublime puisse imaginer, et joués par des
31 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
bourg et de Moscou. — Adieux à la scène, le 21 juin 1851, à Vienne. —  Poésie de Grillparzer. — Séjour à Hambourg. — Fanny reti
32 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
toutes ces grandes parties qu’on croit peut-être fort étrangères à la poésie . Qu’on s’occupe à sonder avec quelque soin la mar
Que de belles idées doivent naître d’une imagination échauffée par la poésie et guidée par l’instruction, et de la verve d’un
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
tion, et entièrement disposés à lui offrir toutes leurs richesses. La poésie , la musique vocale et instrumentale ; l’architect
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvi » pp. 89-95
onnée d’apprendre que la porte du temple des beaux-arts, ouverte à la poésie , à la musique et à la peinture, soit constamment
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
aissances glorieuses à l’art ; mais qui le rendent très difficile. La Poésie doit orner ses compositions ; la Musique les anim
36 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
compositeur des Balets, les Pantomimes & les Danseurs sçussent la Poésie , la Géometrie, la Musique, la Phisique, & mêm
la Géometrie, la Musique, la Phisique, & même la Philosophie : la Poésie , pour composer & inventer les sujets ; la Géo
mp; dans les festins, où des Musiciens chantoient & dansoient les Poésies d’Homere : car Aristocles écrivant des Chœurs de
37 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
inspirent. C’est ce qui a fait dire à Plutarque que le Balet est une Poésie muette, qui parle ; parce que sans rien dire, il
38 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8
Lettre première. La poésie , la peinture, et la danse, ne sont, Monsieur, ou
39 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29
les éloges & les applaudissements que toute l’Europe accorde à la Poésie & à la Peinture, les récompenses glorieuses d
40 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
Sylphide, c’est le cadre du tableau ; mademoiselle Taglioni, c’est la poésie , c’est l’image, c’est l’idéal. Dans une rustique
e fille de vingt ans viendra prêter, à cette histoire, la grâce et la poésie de sa bienfaisante jeunesse. Le malheur, c’est d’
41 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
s arts imitateurs. En admirant l’immensité des chefs-d’oeuvre, que la poésie , la peinture, la sculpture et la musique ont enfa
42 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64
nes, la richesse des vêtemens, la pompe du costume, les charmes de la poésie , de la musique et de la déclamation, le séduisant
43 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
mérite de faire ressortir par la déclamation toutes les beautés de la poésie  ; car combien ces belles productions ne perdent-e
44 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
isme, mais dont Gentz et Fanny savouraient ensemble, en cachette, les poésies , comme il l’avouera plus tard à Rahel. Voilà quel
beauté féminine et que l’amour, Fanny a réveillé en lui le goût de la poésie . Il s’est plongé dans la lecture de poètes ancien
ces pages si frondeuses, si dangereuses, mais coupées de si exquises poésies . Aujourd’hui c’est le Buch der Lieder qui le char
sera ni la seule, ni la dernière en son genre. » Un écho de la même poésie de Heine se retrouve dans un billet que Gentz env
ue le monde aurait encore à m’offrir. » Ce n’est pas seulement de la poésie qui envahit à présent l’âme et les lettres de Gen
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
miration, des recherches déplacées, de l’érudition sans grâces, de la Poésie inutile, beaucoup de magnificence perdue, et pas
46 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
iphile, les Protogène, les Appolonius, les Appelle et les Xeuxis ; la poésie , les Homère, les Sophocle, les Euripide et les Vi
47 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159
r cent, il n’y en a que trente qui soient véritablement tragiques. La poésie et la fable présentent au maître de ballets de ma
48 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
bassadeur, fut le premier parmi les Français qui tenta l’accord de la poésie française avec la musique. Malheureusement il se
49 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
chaste ». L’Europe admirait ses « décentes agaceries », la Paix « la poésie et la pudeur » de sa danse. Toutes les résistance
rôles qui lui convenaient. L’Indicateur disait assez justement : « La poésie de Fanny ne monte pas jusqu’à l’invisible, pour s
es et la pourpre des Château-Margaux étincelaient dans les verres. La poésie coula en flots non moins abondants. Une cantate t
50 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
ture a soumis à leurs pinceaux ; et tout ce que les livres saints, la poésie , la fable et l’histoire leur offrent d’agréable,
51 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
esprit humain. A leurs yeux il était la réunion des beaux arts, de la poésie , de la musique, de la danse, de la peinture, de l
a mauvaise humeur le conduit à définir l’opéra, un travail bizarre de poésie et de musique, où le poète et le musicien, gênés
nies religieuses offraient toujours chez les anciens le mélange de la poésie et de la musique. Le joueur de flûte, qui avec un
comédies et les mascarades dans lesquels on unissait la musique à la poésie , ne manquèrent pas sous les règnes de Charles IX
52 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
ire, grâce à des pièces habilement bâties, mais dénuées de vérité, de poésie et de style. C’était un industriel adroit, qui, a
es ressorts de son intelligence et de sa volonté. Si la musique et la poésie restaient lettre close pour ce directeur d’Opéra,
53 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
trouvé. » L’analyse du talent de Marie Taglioni, qui est appelée « la poésie de la danse », amenait la comparaison avec d’autr
e terre-à-terre, et transportée dans les régions de la danse et de la poésie . » Voici maintenant le grand grief : on en veut à
romancier Karl von Holtei, qui vanta ses dons de comédienne dans une poésie intitulée Fanny Elssler als Schauspielerin. La fo
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
gorie, Monsieur, est employée quelquefois dans la peinture et dans la poésie , le ballet étant une peinture vivante et une poés
inture et dans la poésie, le ballet étant une peinture vivante et une poésie muette, peut s’en servir à son tour. Les allégori
55 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
s d’ailes, sortaient des vêtements, donnaient à elles seules toute la poésie de la danse, danse de séduction ou danse de terre
56 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
iers, accentués, mal équarris s’estompent et s’adoucissent jusqu’à la poésie … La rampe est fée. Elle fausse les tons et transf
57 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
qui lui donne, sans parler, autant de charmes qu’en étalent la bonne poésie et l’excellente musique. Les pas de deux, sur tou
58 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
aroît trop sévère. Bon s’ils n’avoient en vue que l’état actuel de la poésie , et la décadence de l’art dramatique ; mais les a
59 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
aimer mieux. On ne m’a pas appris à faire de l’amour un idéal et une poésie . On m’a laissé systématiquement ignorer les volup
60 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
e l’on seroit forcé de la placer au niveau de la Peinture & de la Poésie . Si nos Maîtres de Ballets étoient des Auteurs in
ine. Orphée & Linus, suivant Quintilien, en parloient dans leurs Poésies  : mais à quoi servoient-ils dans ce temps-là au T
61 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
réquents des plus beaux génies qui l’ont tenté, il en est peu dans la poésie qui doive avoir la préférence sur le lyrique. Aus
62 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
et large, une grâce colorée et vague, une imagination imprégnée de la poésie traditionnelle, assurèrent à cette œuvre limpide
63 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
èreté ! quel rythme de mouvements ! quelle noblesse de geste ! quelle poésie d’attitude et surtout quelle douce mélancolie, qu
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
oètes. Le pressentiment du Cardinal se trouva juste. La musique et la poésie lyrique sortirent de leur engourdissement, le goû
65 (1936) Philosophie de la danse
le considèrent ou des corps qui s’y livrent, est tout simplement une poésie générale de l’action des êtres vivants : elle iso
66 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ise, à Vienne, en Angleterre. Elle y chanta aussi, et Malibran, cette poésie vivante, cette intelligence si prompte et si fine
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
un drame, j’ose croire que, s’il peut être comparé à quelque genre de poésie , ce n’est qu’au poëme ; mais il a une analogie bi
68 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
tait ; ce fut son art qu’elle pouvait déployer pleinement ; ce fut la poésie romantique qu’elle établissait définitivement dan
69 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
avec une pieuse admiration le souvenir du vainqueur d’Austerlitz. La poésie chante la grande épopée. Victor Hugo a écrit l’od
70 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
de, ils s’égarent et se perdent. J’ouvre encore un nouveau champ à la poésie en la délivrant des entraves qui restreignoient l
71 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
mettre en Musique les chefs-d’œuvres du Pere & du Créateur de la Poésie lyrique. Cet homme d’un génie vaste & sublime
72 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
unes de son instruction. Monti regrettait qu’il ne se fût adonné à la poésie , assurant qu’il y avait chez lui l’étoffe d’un no
73 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
s’écria la divine Fanny, en voyant le bateau fendre les eaux ! Quelle poésie et quels nobles hommes ! » Le lieutenant sourit e
74 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
aient ouvert aux imaginations de vastes perspectives, en décrivant la poésie des immenses solitudes, des forêts mystérieuses e
75 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
ume compacte s’est mise un moment entre ma mémoire et l’horizon de la poésie antique ; par l’effet d’un mirage alphabétique, i
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