a vie future, qui ne doit jamais finir, que de ce qui peut nous faire plaisir en cette vie qui est si courte ? N’est-ce pas êtr

e ? N’est-ce pas être véritablement sage que de savoir nous priver de plaisirs qui pourroient nous exposer au danger de nous per

ns de musique, ils passent jusqu’à la vieillesse leurs jours dans les plaisirs  ; en un moment ils descendent dans l’enfer (ou da

dent dans l’enfer (ou dans le tombeau.) Que deviennent à la mort les plaisirs dont on a joui pendant la vie ? Et si ces plaisir

nent à la mort les plaisirs dont on a joui pendant la vie ? Et si ces plaisirs ont engagé l’ame dans le péché, de quoi sont-ils

C’est-à-dire, vous n’avez pensé qu’à y vivre à votre aise et dans les plaisirs . Vous deviez regarder les biens et les plaisirs d

otre aise et dans les plaisirs. Vous deviez regarder les biens et les plaisirs de ce monde comme des biens étrangers pour vous,

our vous, parce que vous deviez tendre à d’autres biens et à d’autres plaisirs . De ces biens et de ces plaisirs, que vous deviez

endre à d’autres biens et à d’autres plaisirs. De ces biens et de ces plaisirs , que vous deviez regarder comme n’étant pas vos b

sporter en esprit dans l’autre vie, et y voir les funestes suites des plaisirs défendus qu’on aura recherchés, et les heureuses

audroit-il faire tant d’efforts pour nous persuader de renoncer à des plaisirs qu’on ne peut guère se procurer sans offenser Die

es vaines et profanes, et non à autre fin que de prendre et donner du plaisir . Voilà les danses d’aujourd’hui, même à les consi

es circonstances qui ne leur apportent rien de mieux. Or, ce sont des plaisirs du monde, que nous ne pouvons aucunement approuve

 quand l’homme fidèle use de la récréation, ce n’est pas tant pour le plaisir , autrement ce ne seroit pas récréation ; mais il

les rênes à la chair, et la laisser échapper à un tel abandon de ses plaisirs … Or, à cela nous disons que toutes ces gaîtés son

de telles craintes et sollicitudes, et lui ouvrir la porte à tous les plaisirs , pour s’y répandre en toutes ses aises. Reste-t-i

té, le remède est, non pas d’accorder à la jeunesse tout ce à quoi ce plaisir , c’est-à-dire la folie et la vanité la poussent,

iable ne s’oubliant pas à user de l’occasion, et à présenter tous les plaisirs pour donner de la force aux convoitises en ce qu’

e VII. Non-seulement, selon les théologiens, on ne doit pas « prendre plaisir à danser, mais on ne doit pas non plus se plaire

ce n’étant pas grande en matière de vice, d’y consentir ou de prendre plaisir à le voir faire et de le faire selon que les sain

t prononçoient contre ceux qui assistoient aux théâtres, et prenoient plaisir aux folies qui s’y faisoient ». chapitre VIII. P

t de ces chansons, et ne serviront qu’à donner le poison avec plus de plaisir  ». chapitre IX. Mais ce sur quoi ils insistent c

et les femmes s’y trouvent ensemble pour s’y donner réciproquement du plaisir . « Car, disent-ils, en pareilles circonstances la

e paroles, autres que bien pures et bien chastes ; et que l’on prenne plaisir à dire et ouïr des choses sales et déshonnêtes, c

les mêmes personnes, le cœur surtout n’étant là que pour se donner du plaisir . Or, la danse réunit tous ces dangers ». Revenant

éunit tous ces dangers ». Revenant ensuite aux personnes qui prennent plaisir à assister aux danses, ils remarquent que les inc

d effet sur le cœur d’Hérode, qui osera se permettre de regarder avec plaisir de nombreuses assemblées de femmes et de filles q

s choses célestes, nous ne soyons point amusés et retenus en de vains plaisirs . A ces fins, si nous rapportons ce qui a été dit

cune action, le cœur plongé plus avant dans les folles délices et les plaisirs de la terre, que là. Quant à l’édification du pro

de folies et de vanités, en tous ces exemples de cœurs s’enivrant de plaisir … Pour ce qui regarde la gloire de Dieu, nous lais

tissement de saint Paul, (Rom. c. 13, v. 14,) accorder à la chair ses plaisirs et ses convoitises. » Un autre avantage qu’on pr

n, il y a assez d’autres moyens plus honnêtes. Et vouloir acheter nos plaisirs avec de telles pertes et de tels dommages, même d

lut sont des choses plus chères que tout ce qui se pourroit nommer de plaisirs au monde… Que perdrons-nous en perdant les danses

Mais plutôt que ne gagnons-nous pas en nous privant d’un fol et vain plaisir  ? Nous retranchons ce qui est en tout point répug

leurs attraits ; renonçons au monde, foulons aux pieds tous ses vains plaisirs . Le Seigneur Dieu nous en fasse à tous la grâce,

œuds qui nous rassemblent sont plus déliés et moins embarrassants. Le plaisir , la convenance les forment, les brisent et les re

e maître de rassembler chez lui plus de commodités, d’agréments et de plaisirs que n’en ont imaginé la délicatesse d’Athènes, ou

famille, lui fournissaient encore de temps en temps des occasions de plaisir . Elles devaient paraître d’autant plus piquantes

lité concouraient ensemble pour ranimer la joie et pour entretenir le plaisir . Chaque Famille dans les premiers temps fournit e

t les Danses de Famille. Ces Assemblées, où l’on dansait pour le seul plaisir de danser, furent toujours en usage parmi eux. So

es mœurs, toutes ces danses ne tinrent plus par leur exécution, qu’au plaisir . À mesure d’ailleurs que la Danse devint un Art,

es Chants, dans ses mouvements, dans ses attitudes que la liberté, le plaisir et la joie : ses danses étaient l’image vive de l

premiers temps qu’ils peignaient dans leurs pas. Ils jouissaient des plaisirs de l’âge d’or, qu’ils faisaient renaître. Dans le

oncerts de Musique et les Danses recommençaient, on ne songeait qu’au plaisir . Le Peuple, les Magistrats, la Noblesse confondus

e. Ce n’est pas la seule occasion où l’orgueil a usurpé les droits du plaisir . 34. Voyez Meursius. Ce Nombre est immense. 35

relativement à la Danse. Les hommes communs ne considèrent dans les plaisirs que le plaisir même. Ils sentent, et toutes les p

a Danse. Les hommes communs ne considèrent dans les plaisirs que le plaisir même. Ils sentent, et toutes les puissances de le

profondissent. L’examen qu’ils ajoutent à la jouissance, leur rend le plaisir plus piquant et la réflexion leur suggère les moy

Dieux ! c’est par ce sens qu’ils nous meuvent avec une délicatesse de plaisir qui nous ajuste à leurs desseins, et qui nous att

en chercher davantage : enfin, que le chrétien n’a pas tant besoin de plaisir , qu’il lui en faille procurer de si fréquens et a

ous les aimez comme vous le devez, pourrez-vous trouver de plus grand plaisir que d’être avec eux ? Vous avez une maison et des

’être avec eux ? Vous avez une maison et des amis ; n’y a-t-il pas du plaisir et même du profit à se trouver avec eux ? Et lors

t les Romains passionnés pour les spectacles, et entendant parler des plaisirs qu’ils y alloient chercher, les Barbares disoient

Barbares disoient : On croiroit que les Romains, qui ont inventé ces plaisirs , n’ont ni femmes, ni enfans ; faisant entendre pa

un moyen qui seroit bien propre à dégoûter des dangereux ou criminels plaisirs de ce monde, quels qu’ils soient, des chrétiens s

par la consolation du Saint-Esprit, l’effusion d’une joie divine, un plaisir sublime, que le monde ne peut entendre, par le mé

, nulle musique, nul chant, (j’ajoute nulle danse) ne tient devant ce plaisir . S’il faut pour nous émouvoir, des spectacles, du

ou, comme disent les septante, ils me racontent, ils me proposent des plaisirs , mais il n’y a rien là qui ressemble à votre loi

pirant aux autres, par votre exemple, une plus grande ardeur pour ces plaisirs si dangereux ? Par là, tous les désordres qui en

que vous puissiez être, vous le seriez encore davantage en fuyant ces plaisirs si dangereux. Ne contestons donc pas inutilement,

et nos habits même. Par là nous nous procurerons les vrais et solides plaisirs  ; par la paix de la conscience qui ne sera point

gure de Lucinde . Esprits, et démons sous les formes agréables des Plaisirs , de Nymphes et de Nayades . L’Amour . La Ha

traits aimables de Renaud, un sourire enchanteur tel que celui que le plaisir et l’amour impriment sur la physionomie, suspende

ls sont entourés par un cortège enchanté et voluptueux ; es jeux, les plaisirs , les graces, l’amour et une foule d’amans fortuné

r du jeune guerrier l’impression la plus vive. Les tableaux animés du plaisir effacent de son ame l’amour de la gloire ; ils pr

ymphes ; elles les invitent à quitter la gloire pour s’abandonner aux plaisirs  ; les Graces et l’Amour entourent Ubalde ; il ne

prime sa tendresse. Le chevalier Danois oublie tout pour se livrer au plaisir de voir et de retrouver ce qu’il chérit. C’est en

u plus brillant cortège ; ils se placent sur un sopha ; les Jeux, les Plaisirs , les Nymphes, les Graces et les Amours s’empresse

hacun prêtant les oreilles À tant de charmantes merveilles, Y prendra plaisir , à gogo, Et rira tout son saoul ; ergo, Pour ne f

Après la Danse et le Récit, Où, des mieux, chacun réussit, Après ce plaisir de Théâtre, Dont la Cour fut presque idolâtre,…

e des fêtes nationales ? si elles ne doivent pas, sous l’enveloppe du plaisir , cacher un but moral et politique ? Si l’on soup

je n’ai pas encore vu de fêtes en France, où la moralité fut unie au plaisir , où la décence et le bon goût fussent joints à la

bourses volées, souvent des accidens graves, de la fatigue, et peu de plaisir , du moins de ce plaisir qui doit tourner au profi

des accidens graves, de la fatigue, et peu de plaisir, du moins de ce plaisir qui doit tourner au profit des mœurs, du goût et

r l’industrie, les talens et les arts ; à y attirer, par l’attrait du plaisir , le concours des étrangers. Le temps propre à don

l’Amour ses flèches et son carquois ; cette Déessé promet à Paris des plaisirs et la possession de la beauté la plus rare ; quel

ans un lieu solitaire par la Déesse de la Gloire et par la Déesse des Plaisirs . La première accompagnée d’une suite nombreuse de

ire, qui embellit elle-même cette fête. Du côté opposé, la Déesse des Plaisirs entourée d’Amours et de Zéphirs, est accompagnée

d’Amours et de Zéphirs, est accompagnée par les Jeux, les Ris et les Plaisirs . Des Nymphes charmantes embellissent cette fête ;

és par une foule de petits Amours ; groupes voluptueux formés par les Plaisirs à l’entour du Héros ; tableaux variés par les Gra

aces ; situations embéllies par l’Amour ; tout enfin trace ce que les Plaisirs ont de plus doux, ce que la Volupté conduite par

duite par les Graces a d’attraits, et ce que l’Amour d’accord avec le Plaisir peut avoir de plus touchant. Ce spectacle varié e

ent émue ; perpétuellement entouré par la Gloire et par la Déesse des Plaisirs  ; frappé des brillans tableaux de l’une, séduit p

présentés par la Gloire ; nouvelles images tracées par la Déesse des Plaisirs  ; elles animent leur suite et elles emploient leu

ement le jeune Héros ; son coeur indécis flotte entre la Gloire et le Plaisir . Tantôt l’une l’appèle et parle à son coeur ; tan

ses sens. L’intérêt majestueux de l’honneur, les charmes ravissans du plaisir paroissent dans un parfait équilibre ; il voudroi

ur son choix, flottant sans cesse entre la Gloire qui commande, et le plaisir qui séduit : balance, hésite ; son coeur est ince

ntiniens ! Ce n’est qu’avec le plus violent effort qu’il abandonne le plaisir et qu’il s’échappe de ses bras, pour se précipite

de ses bras, pour se précipiter dans ceux de la Gloire. La Déesse des Plaisirs fuit, avec sa troupe. L’Amour piqué promet qu’il

t doit être léger dans ces sortes de ballets et porterie caractère du plaisir délicat et de l’Amour sans art. Je vais essayer d

e coeur de Philis à la tendresse et en ouvrant son âme aux charmes du plaisir , toujours délicieux quand il est l’image du senti

tendre soin de couronner sa bergère, et de l’orner des fleurs que le plaisir fait éclore autour d’elle. Un peu plus bas, elle

un charme enchanteur la retient ; elle considère avec l’admiration du plaisir l’enfant dangereux ; il est le plus beau et le pl

rlandes de laurier et de branches d’olivier, l’amour, les jeux et les plaisirs formeront des couronnes et porteront les armes du

sont des modèles de ce genre, et on les voit toujours avec un nouveau plaisir . J ai fait quelques ballets épisodiques qui ont e

dit qu’il y a en nous trois principes des mouvemens de la danse ; le plaisir , la douleur, & un instinct divin. Le plaisir

ens de la danse ; le plaisir, la douleur, & un instinct divin. Le plaisir & la douleur produisent des mouvemens au-deho

es chants convenables aux passions. Ce sont ces mouvemens qui font le plaisir , dit encore Plutarque, parce que bien que naturel

nt touchez de ces imitations. Aussi est-ce jusqu’à l’ame que passe le plaisir qui vient de la représentation ; & c’est ce q

ens différens. Plus ces actions sont violentes, plus elles causent de plaisir , parce qu’elles arrêtent davantage l’imagination 

violente de quelqu’un, ils prenoient des criminels, pour se faire le plaisir cruel de voir naturellement représenter ces viole

ssent, Et, sous leurs tons, les Sens languissent, Par le sentiment du plaisir Qui vient doucement les saisir. La Scène est pomp

x qui lisent ma Lettre, Où je vais encor ainsi mettre, Sous votre bon Plaisir aussi, Quelques Chapitres que voici, Contenant, c

arce que, soit parmi les païens, soit parmi les chrétiens, elles font plaisir aux démons qui mettent leur joie dans la perte de

rès les danses, pour empêcher les impressions dangereuses que le vain plaisir qu’on a reçu seroit capable de faire. » Et quelle

? C’est, par exemple, dit-il, de penser, lorsqu’on étoit à prendre ce plaisir de la danse, que plusieurs réprouvés brûloient da

ux anges et aux saints, lorsqu’ils ont vu que le cœur s’arrêtoit à ce plaisir si ridicule ; qu’enfin à mesure qu’on y a donné p

ps, on s’est aussi plus approché de la mort qui mettra fin à tous ces plaisirs . » Je demande maintenant s’il est bien facile et

croit néanmoins nécessaires pour empêcher les funestes impressions du plaisir qu’on y a cherché et goûté ? Et si l’on convient

Adonis . L’hymen . Mercure . Les Graces. Nymphes, Jeux, Ris et Plaisirs  ; troupes d’Amours et de Zéphyrs. Les Euménides.

est environnée par les Graces ; les Nymphes, les Jeux, les Ris et les Plaisirs  ; leurs mouvemens, leur action et leurs danses lé

eur action et leurs danses légères lui tracent les tableaux variés du plaisir et de la volupté. Ces images séduisantes frappent

fait de vains efforts pour résister à une situation qui lui enlève le plaisir de voir ce qu’il aime. Il tombe endormi sur le So

par les parques. Mais, avant de perdre la vie, les Furies se font un plaisir barbare de lui faire éprouver les plus cruels tou

s et des Zéphirs sont grouppés de différentes manières. Les Jeux, les Plaisirs et les Nymphes de la suite de Vénus composent la

r élégante de cette divinité. Vénus et Adonis qui ne respirent que le plaisir , l’expriment par des danses légères. Scène II.

prières de l’Amour ; c’est vainement que les Graces, les jeux et les plaisirs sollicitent en faveur de Psyché ; c’est tout auss

rent dans l’imitation métamorphosées en des expressions de gaieté, de plaisir et de volupté. Ainsi les Grecs en formant les Dan

icence. Les Romains moins délicats, et peut-être plus ardents pour le plaisir , commencèrent d’abord par où les Grecs avaient fi

Fêtes Saturnales sous mille déguisements différents. Le goût pour le plaisir fit bientôt un seul de ces deux genres. On garda

blies pour maintenir l’ordre, la paix et la sûreté dans ces sortes de plaisirs , en a banni presque tous les dangers, et un peu d

, la joie est dans ses yeux, le sourire est sur ses lèvres. Enivré de plaisirs , chancelant sur ses pieds, il paraît se soutenir

pas que la joie et l’amitié ordonnaient dans les familles. Bientôt le plaisir , la bonne chère et le vin donnèrent une plus gran

à la Danse. Les familles s’unirent, pour multiplier les Acteurs et le plaisir  ; mais l’Assemblée en devenant plus nombreuse, pr

ces Fêtes, et leur donna même une tournure d’esprit qui y rappela le plaisir . Pendant sa Régence, elle mena le Roi à Bayonne,

te douce liberté, qui seule fait naître, entretient et sait varier le plaisir . En lisant la Description, que je vais copier ici

ndant arrivé souvent que la bizarrerie des circonstances l’a rendu le plaisir à la mode, au point qu’un Menuet dansé avec grâce

ux. Sylphes et Sylphydes. Héros et Héroïnes. Les Jeux, les Ris et les Plaisirs . Troupe de Zéphirs et d’Amours. Les quatre heures

la terre, des eaux et de l’air se réunissent aux Jeux, aux Ris et aux Plaisirs  ; l’Amour, Vénus et les Graces embellissent cette

atre Heures du jour accompagnent Vénus, pour marquer l’instant de ses plaisirs et celui de son triomphe. Vénus descend de son va

olupté douce accompagne ses pas et embellit toutes ses attitudes ; le Plaisir et une mollesse voluptueuse s’impriment dans tous

ui sont offertes. Il flotte entre les richesses, la réputation et les plaisirs . Mais l’Amour qui veut assurer une nouvelle victo

aux personnages se placent sur le vaisseau ; les Jeux, les Ris et les Plaisirs les suivent successivement ; et lorsque cette tro

ens, qui, par honneur, Comme étant Personnes de marque, Sont dans les Plaisirs du Monarque, Fut admirablement dansé ; Et quand c

dans les Plaisirs du Monarque, Fut admirablement dansé ; Et quand ce plaisir fut passé, On finit toutes ces délices Par des Fe

nt pas regarder la Danse comme un exercice uniquement inventé pour le plaisir . Je crois bien que la joye des Festins, que la vi

omédie, les hommes ont cherché à tirer de l’utilité de ce que le seul plaisir leur avoit fait inventer. Si la Danse ne devoit s

ent pas tous les jeunes Courtisans, dans l’esperance d’être admis aux plaisirs d’une Cour si brillante ? Cependant la Danse ne p

le commerce de la vie, que les plus grands Seigneurs se faisoient un plaisir de vivre avec eux, & de les admettre à leurs

ni & une legereté prodigieuse. Il fit pendant plusieurs années le plaisir & l’admiration des spectateurs, ses talents f

acles, cet essaim de femmes à prétentions qui cherchent sans cesse le plaisir , et que le plaisir fuit toujours ; cette jeunesse

e femmes à prétentions qui cherchent sans cesse le plaisir, et que le plaisir fuit toujours ; cette jeunesse légère, qui juge d

ennes. Vieux Arcadiens. Vieilles Arcadiennes. Vénus. Jeux, Ris et Plaisirs de la suite de Vénus.   La scène est en Arcadie

rire aimable, cette tendre innocence, cette bouche vermeille, dont le plaisir semble s’exhaler, ces yeux qui, quoique fermés, e

sur des cœurs glacés par l’age et fermés sans retour aux attraits du plaisir . Il transforme donc soudain Damet en jeune Berger

’autre se trouvent ramenés à cet âge heureux, où le cœur s’ouvrant au plaisir est l’image de la rose qui s’épanouit au soufle l

laudissent à l’idée de l’Amour ; toutes les Bergères en rougissent de plaisir et la joye et la reconnoissance se peignent dans

le cœur de Philis à la tendresse et en ouvrant son ame aux charmes du plaisir , toujours délicieux, quand il est l’ouvrage du se

u tendre soin de couronner sa Bergère et de l’orner de fleurs, que le plaisir semble faire éclore autour d’elle. Un peu plus ba

charme enchanteur la relient ; elle considère avec admiration et avec plaisir l’enfant dangereux ; il est le plus beau et le pl

ivre de nouveau à des danses qui expriment tout à la fois la joye, le plaisir et l’enjouement. Scène XI. Un prodige inatt

é porté par les Zéphirs ; elle est accompagnée des jeux, des ris, des plaisirs , et une foule de petits Amours s’empresse à la co

pour la Patrie, réunirent sous les mêmes Lois, attachèrent aux mêmes plaisirs , occupèrent aux mêmes plaisirs, occupèrent aux mê

les mêmes Lois, attachèrent aux mêmes plaisirs, occupèrent aux mêmes plaisirs , occupèrent aux mêmes travaux, un Peuple de Sages

à sa Nation ; il est certain que les spectacles, les amusements, les plaisirs pendant son ministère, n’eurent plus ni la grossi

Le Cardinal Mazarin avait de la gaieté dans l’esprit, du goût pour le plaisir , et dans l’imagination moins de faste, que de gal

ent et à la rigueur. L’homme du monde qui travaille, dit-on, pour son plaisir , est toujours jugé à huis clos et par des Juges d

ages duquel on croyait voir toujours les mêmes choses. On aspirait au plaisir d’être dédommagé par un homme neuf, des rhapsodie

as chacun à leur particulier : afin que les Maîtres puissent avoir le plaisir , que par ces moyens aisez, cette jeunesse se trou

us en état de profiter de leurs leçons. Ce qui est un des plus grands plaisirs que nous ayons, de voir nos Ecoliers profiter ; c

Grâces, Si la danse n’amuse, et ne charme les yeux, L’ennui suit les plaisirs , et vole sur leurs traces. Fuselier .

cque chaleur on travaille À mettre tout en bel arroi Pour ce charmant Plaisir du ROI. 100. Préparation du Grand Divertisseme

e grand MONARQUE, Aussi leur donna-t-il une obligeante marque Que son plaisir y fut plus parfait que jamais.

du 24 février 1667 Ballets, Bals, Mascarade, Courses, Et d’autres plaisirs infinis, Qui remplissent l’esprit en vidant bien

ue veut-on plus après cela ? Les autres jours de la Semaine, Ainsi de Plaisirs toute pleine, On a des MUSES le BALLET. 75. si

rès toutes ces allégresses, Allèrent rejoindre la COUR, Des plus doux Plaisirs le Séjour. Le grand BALLET s’y danse encores83, A

Où l’on joua bien son rôlet. Chacun y marchant en cadence, On eut le plaisir de la danse, Et les superbes vêtements En augment

vait point fait de telles ; C’est comme dire d’aussi belles. Et, pour plaisir , plutôt que tard, Allez voir chez le Sieur BALARD

t le plus drôle.103 Voilà comment, en bonne foi, Tout conspire aux Plaisirs d’un ROI Qui, sans que trop de lui je dise, L’Emp

alante qu’admirable, Par des Actes plaisants et beaux, Leur donna des plaisirs nouveaux. Un Ballet de plusieurs Entrées, En bien

Monseigneur le Duc de CRÉQUI, Parent de ce Marquis, et qui Fit avec plaisir la dépense De toute la magnificence, Et dans son

fants, de même famille, Deux fils, une fort jeune Fille, Y donnent un plaisir de Roi, Par de charmantes mélodies, Par de petite

nt d’agréables chansons Quantité de Gens remarquables, Témoins de ces plaisirs aimables, Avec les autres spectateurs En furent l

lles : Et même le Roi Casimir De le voir ayant le désir, Dit après ce plaisir aimable Qu’on ne peut rien voir de semblable, Et

l’autre, si complet, Et qu’on revoid dancer, de même, Avec certe, un plaisir extrême, Ou, pour mieux dire, sans égal, Tout joi

nt qu’un chagrin me dévore De n’y pouvoir me transporter Pour ce rare plaisir goûter, Par ce qu’à présent je travaille, Et si j

a nous Vengerait, mais elle en goguenarde Et croit qu’on dit cela par plaisir seulement.

De la Cour et de la Cité, Mardi dernier, là se trouvèrent, Et divers plaisirs y goûtèrent, Admirant tous, sans fiction, La rich

gaie, Ayant à SAINT GERMAIN en LAYE Encor vu, Samedi dernier, Avec un plaisir singulier, Le Grand BALLET de ces NEUF BELLES Qu’

urs les BOURGEOIS de PARIS, De sa MAJESTÉ si chéris, Jouissent de ses plaisirs mêmes, Avec des liesses extrêmes. Oui, foi de sin

ttention aux paroles qu’il exprime ; les sons seuls suffisent pour le plaisir des auditeurs. Je n’en veux donner d’autre preuve

e, ou dans un café bruyant. En France, on écoute tout avec attention, plaisir ou patience ; ce n’est qu’a la longue que l’on de

a sœur et son ami. Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré de plaisir et de crainte ; il les voit enfin hors de danger 

jetter l’ancre, il descend de son bord ; les Nymphes, les Jeux et les Plaisirs le suivent ; et en attendant les ordres de ce Die

rse leur autel, que l’on brise leur infâme divinité ; les jeux et les plaisirs obéissent à sa voix, l’autel s’ébranle sous leurs

Ce Dieu, Clairville et Constance, Dorval et Zenéide, les Jeux et les Plaisirs dansent les principaux morceaux. La contredanse n

pagnols. Inès qui dans les commencemens de cette scène, jouissoit du plaisir d’une vengeance qu’elle croyoit innocente et dont

s evénemens que cette scène à produits rendent l’action générale ; le plaisir s’empare de tous les cœurs il se manifeste par de

es, il y a dix mois que l’on voit ce spectacle, et qu’on le voit avec plaisir  ; effet certain de la danse en action ; elle paro

ont s’imaginer que la danse et les ballets puissent leur procurer des plaisirs plus vifs. » Que l’on continue, ajouteront-ils, à

2. L’Amour sous la forme d’un corsaire, le commande ; les jeux et les plaisirs sont employés aux différentes manœuvres ; une tro

êtu dans le goût des corsaires brigantins. Les habits des jeux et des plaisirs empruntoient la forme de ceux des matelots qui se

œur & son ami. Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré de plaisir & de crainte ; il les voit enfin hors de dang

er l’ancre ; il descend de son bord ; les Nymphes, les Jeux & les Plaisirs le suivent, & en attendant les ordres de ce D

leur autel, que l’on brise leur infame divinité ; les Jeux & les Plaisirs obéissent à sa voix, l’autel s’ébranle sous leurs

Clairville & Constance, Dorval & Zénéide, les Jeux & les Plaisirs dansent les principaux morceaux. La Contre-danse

pagnols. Inès qui dans les commencements de cette Scene jouissoit du plaisir d’une vengeance qu’elle croyoit innocente & d

s événements que cette Scene a produit rendent l’action générale ; le plaisir s’empare de tous les cœurs ; il se manifeste par

Il y a dix mois que l’on donne ce Spectacle & qu’on le voit avec plaisir  ; effet certain de la Danse en action ; elle paro

s’imaginer que la Danse & les Ballets puissent leur procurer des plaisirs plus vifs. « Que l’on continue, ajouteront-ils, à

L’Amour sous la forme d’un Corsaire le commande ; les Jeux & les Plaisirs sont employés aux différentes manœuvres ; une tro

dans le goût des Corsaires Brigantins. Les habits des Jeux & des Plaisirs empruntoient la forme de ceux des Matelots qui se

ximes du monde, ou même, parce que, livrés à l’amour de ces dangereux plaisirs , leur cœur ne peut s’en détacher ? Dans tous les

r blesser les ames se cache et se glisse comme sous l’herbe verte des plaisirs mondains. (tom. 3. p. 921.) Venenosum serpentem

ptatis. Ensuite il dit en particulier des danses, qui sont un de ces plaisirs mondains et des plus dangereux, que la fragilité

fait parler la joie et la raison. La joie dit qu’elle trouve un grand plaisir dans les danses ; qu’elle s’y porte avec ardeur,

eaucoup plus grande et plus honteuse ; car on trouve dans le chant un plaisir qui est souvent utile et saint, puisqu’en chantan

qui produisent en quelque sorte au-dehors ce qu’il y a dans l’ame… O plaisir ridicule que celui des danses ! Supposez que vous

e une autre : Amentia una aliam tegit. En dansant en pense moins au plaisir présent, qu’à celui qu’on se promet ensuite. La d

pudeur, et lâche la bride aux passions. Voilà, si je ne me trompe, le plaisir que vous croyez rendre innocent en lui donnant le

à sa toilette et dans le deshabillé le plus galant ; les jeux et les plaisirs lui présentent à l’envi tout ce qui peut servir à

res apportent aux Graces les ajustemens nécessaires ; les jeux et les plaisirs , non moins empressés à servir la Déesse, tiennent

graces ; ses mouvemens, ses attitudes, ses regards, sont l’image des plaisirs de l’amour même. Les Nymphes vivement émues s’eff

que sa mère et les Grâces ; et les Nymphes courent et volent après le plaisir qui les suit. Cette scène, Monsieur, perd tout à

chaconne, dans la quelle l’Amour, Vénus, les Graces, les Jeux et les Plaisirs dansent les principaux morceaux. Ici, je pouvois

à la quelle il s’attache : et pendant ce pas plein d’expression, les plaisirs et les jeux entrainent les Nymphes dans la forêt.

hangement que produit son arrivée est un coup de théatre frappant. Le plaisir et la tendresse succèdent sur le champ à la doule

ernative continuelle de tendresse et d’indifférence, de douleur et de plaisir , de sensibilité et de froideur, ont été le sujet

toilette & dans le déshabillé le plus galant ; les Jeux & les Plaisirs lui présentent à l’envi tout ce qui peut servir à

apportent aux Graces les ajustements nécessaires ; les Jeux & les Plaisirs non moins empressés à servir la Déesse tiennent,

graces ; ses mouvements, ses attitudes, ses regards sont l’image des plaisirs de l’Amour même. Les Nymphes vivement émues s’eff

re & les graces ; & les Nymphes courent & volent après le plaisir qui les fuit. Cette Scene, Monsieur, perd tout à

aconne, dans laquelle l’Amour, Vénus, les Graces, les jeux, & les plaisirs dansent les principaux morceaux. Ici je pouvois c

à laquelle il s’attache, & pendant ce pas plein d’expression, les plaisirs & les jeux entraînent les Nymphes dans la for

hangement que produit son arrivée est un coup de Théatre frappant. Le plaisir & la tendresse succédent sur le champ à la do

ve continuelle de tendresse & d’indifférence, de douleur & de plaisir , de sensibilité & de froideur, ont été le suj

la danse, qu’ils l’emportoient sur les modernes. Je leur accorde avec plaisir ce qui nous manque, et ce que nous posséderons lo

cution ; elles ne plaisent point au public ; elles ne font même qu’un plaisir médiocre à ceux qui en sentent le prix. Je regard

est admirable, me dira-t-on ; cela se peut, mais il ne me fait aucun plaisir , il ne me flatte point, il ne me cause aucune sen

t porteront toujours l’émotion dans les âmes les moins sensibles ; le plaisir est un tribut que le cœur ne peut refuser aux cho

c admiration les violons de cette nation, et qu’on écoute danser avec plaisir leurs pantomimes. Ce n’est point-là le but que le

pour se dérober à une profession plus tranquille, que pour jouir des plaisirs qu’ils croient rencontrer à chaque instant dans c

la Danse qu’ils l’emportoient sur les modernes. Je leur accorde avec plaisir ce qui nous manque, & ce que nous posséderons

cution ; elles ne plaisent point au Public ; elles ne font même qu’un plaisir médiocre à ceux qui en sentent le prix. Je regard

est admirable, me dira-t-on ; cela se peut, mais il ne me fait aucun plaisir , il ne me flatte point, & il ne me cause aucu

nt jetteront toujours l’émotion dans les ames les moins sensibles, le plaisir est un tribut que le cœur ne peut refuser aux cho

dmiration les Violons de cette Nation, & qu’on écoute danser avec plaisir leurs Pantomimes. Ce n’est point là le but que le

pour se dérober à une profession plus tranquille, que pour jouir des plaisirs qu’ils croient y rencontrer à chaque instant ; il

gracile figurine rococo qui semble dessinée par Boquet pour les Menus Plaisirs — mais agitée par un frisson nouveau, par une fiè

r Frivolant, et cela d’autant plus volontiers que ce sera pour moi un plaisir que de le revoir.

st pas toujours coutumière, Il est très certain que Paris, Séjour des plaisirs et des ris, Est rempli de réjouissances, De Cadea

es rochers et ses rives, Qui sont de longues perspectives, Donnent un plaisir infini, Grâces au Sieur Bigarany,49 De Modène, e

Puisqu’il sont venus, de si loin, Avecque Comédie et danse, Donner du plaisir à la France.

nser, on ne doit pas non plus aimer à voir danser les autres. Prendre plaisir à être spectateur ou spectatrice des danses, c’es

s des ténèbres, mais plutôt condamnez-les. De plus, si on trouve du plaisir à voir danser, on ne peut guère tarder à en trouv

tent le mal jusqu’aux apparences ; qu’ils renoncent au monde et à ses plaisirs , et fuient toutes les occasions qui portent au ma

, Et la Françoise Comédie,94 Qu’accompagnait la Mélodie, Ont été les Plaisirs charmants Et les plaisants Ébatements De cette Co

us Citoyens de Lutèce ; Vous avouerez de bonne foi, Que c’est un vrai Plaisir de Roi. 127. Le Marquis de Pourceaugnac. 128.

ense qu’il est nécessaire de les développer sans ménagement. C’est le plaisir de la multitude, c’est la gloire d’un Art agréabl

endroit, une partie oisive, et par cette seule raison défectueuse. Le plaisir résultant de l’action principale sera donc nécess

ythmés par le tambour brutal, — chaque épisode, dis-je, nous cause un plaisir aigu, unique. Tel est le naturel, la désinvolture

monotonie, quelques petits gestes souvent trop répétés — et le franc plaisir que donne cette musique limpide, saturée de rythm

ces et les Nymphes y répandent leurs charmes ; les Jeux, les Ris, les Plaisirs et les Attraits l’embellissent encore. Vénus et M

r à la gloire ; mais il n’est pas plutôt parti, que Vénus se livre au plaisir d’aller trouver Adonis qui l’attend. Scène III

ux dieux protecteurs de leur pays. Le calme bien rétabli, le goût des plaisirs , naturel à l’homme ; l’amour, sa première passion

les dissertations les plus savantes sur cet art, ne valent point les plaisirs et les jouissances qu’il nous procure. Je suis, e

fort aux sieurs Assistants, Surtout au Nonce du Saint Père, Qui prit plaisir à ce mystère, De sa présence l’honora, Et, même,

urs les BOURGEOIS de PARIS, De sa MAJESTÉ si chéris, Jouissent de ses plaisirs mêmes, Avec des liesses extrêmes. Oui, foi de sin

, quoi que vous puissiez faire, Vous êtes extraordinaire, Et dans vos plaisirs innocents Vos traits sont toujours ravissants ; S

Ballet, Gai, divertissant et follet, Contribuant, de bonne grâce, Aux plaisirs de la populace, Par cette générosité, Autrement,

endant les Romains ne voulant pas perdre entierement l’usage de leurs plaisirs , pendant ce tems de réjouissance, s’aviserent d’i

liberté publique & à l’institution des bals masquez, parce que le plaisir du déguisement consiste à n’être point connu, &am

que feu Monsieur donnoit au Palais Royal, où tout Paris se faisoit un plaisir d’aller superbement masqué, outre que les rafraîc

tems sont égaux par rapport à l’abstinence, ne se donnent pas plus de plaisir au Carnaval qu’en un autre tems. En 1700 une band

en Sept Entrées, Qui furent fort considérées, Mais, surtout une, des Plaisirs , Qui flattent les jeunes Désirs, Où paraissait le

se une Chançonnette Qui découvre que ses désirs, Ses passions, et ses plaisirs , Se terminent tous dans la Chasse, Où maint Gibie

ar d’autres petits Amours, Lesquels volent à son secours, Ce Dieu des plaisirs , et des peines, Le fait, encor, charger de chaîne

de leurs craintes, et dédaigné leurs faibles cris : entraînée par le plaisir , elle a écouté avec transport, et son enthousiasm

ries, et leur parlait quelquefois avec humanité. Ce grand roi prenait plaisir à consoler ces malheureux de la barbarie de leurs

rs sans action sur le théâtre ; et le moyen de procurer le plus grand plaisir au spectateur, serait de les faire agir suivant l

ls s’en étaient servis dans leur culte : ils l’employèrent dans leurs plaisirs . Alors les Philosophes, peut-être par simple curi

Poëme épique, parce qu’elle fait mieux son effet & donne plus de plaisir . Et dans un autre endroit il dit que la Peinture

voir dans la nature sans horreur, nous font en peinture un fort grand plaisir  ; il ajoute à cette raison que la peinture instru

ce raisonnement Aristote qui mesure la beauté de ces deux arts par le plaisir qu’ils donnent, par la maniere dont ils instruise

par celle dont ils arrivent à leur fin, dit que la Peinture donne un plaisir infini, qu’elle instruit plus généralement, &

les objets du monde ; il visitoit souvent les Peintres, & prenoit plaisir à s’entretenir avec Appellès des choses qui regar

nnages ont aimé la Peinture avec passion, & s’y sont exercez avec plaisir , entre autres Fabius, l’un de ces anciens Romains

x ornemens de leurs Palais ; on voit encore tous les jours combien ce plaisir est sensible aux grands Seigneurs, & aux gens

en plus vivement que tout ce qui est diffus. Si la Poésie augmente le plaisir par la variété des épisodes & par le détail d

e expose ses ouvrages, elle ne fait point languir son spectateur : le plaisir qu’elle donne est donc plus vif que celui de la P

présent le Temple que Salomon avoit bâti dans sa magnificence ? Quel plaisir n’aurions-nous pas à lire l’Histoire de Pausanias

en faveur de la Poésie : c’est que les épisodes font d’autant plus de plaisir dans la suite d’un Poëme, qu’elles y sont incréée

s sortes d’esprits ; mais ceux qui ont un peu d’élévation, se font un plaisir de pénétrer dans la pensée du Peintre, & de t

e le recommande, et l’on éprouvera la vérité de ce que je dis, que le plaisir solide se trouve, non dans ce qui flatte les pass

. Mais si, au sortir de cette solennité sainte, on s’abandonne à tout plaisir sans modération, et que l’on vienne aux danses, v

elon les principes de la vertu. Est-ce pour les célébrer avec plus de plaisir  ? mais il faut devenir agréables, premièrement à

, premièrement à Dieu, qui est là présent ; il faut aussi choisir des plaisirs qui ne causent point de dommage. Est-ce pour exci

ies ou des Comédies, pour divertir la multitude, qui ne prenait qu’un plaisir médiocre aux Représentations régulières. On donna

par les Romains, fut nommé Danse Italique ; et dans les transports du plaisir qu’il causait, on donna aux Acteurs le titre de P

dans une facilité extrême à se prêter sans difficulté aux parties de plaisir les plus libertines, dans les soins qu’on pouvait

ment dans les petites maisons des environs de Rome, ne songeait qu’au plaisir , et avait l’adresse de le faire servir à sa fortu

procuraient par leur fréquence, leur succession ou leur amplitude, un plaisir qui allait jusqu’à une sorte d’ivresse, et si int

garder l’action de quelque danseuse, et, remarquant qu’il y trouve du plaisir , il peut aussi bien essayer de tirer de son plais

qu’il y trouve du plaisir, il peut aussi bien essayer de tirer de son plaisir le plaisir second d’exprimer ses impressions dans

uve du plaisir, il peut aussi bien essayer de tirer de son plaisir le plaisir second d’exprimer ses impressions dans son langag

tte résonance, comme toute autre, se communique : une partie de notre plaisir de spectateurs est de se sentir gagnés par les ry

de parole, mais d’autant plus avides d’enchantements sensibles et de plaisir sans peine, je vous livre à l’art même, à la flam

s, à ce qu’on écrit, très lestes, Venant illec montrer leur nez, Avec plaisir furent lorgnés. Des Avocats y faisaient rire Pl

vent prévenir tant de maux, ils sont la source inépuisable de tant de plaisirs , qu’il est difficile de les connaître, de les app

cultive, peut seule nous causer une certaine émotion vive, qui est le plaisir . Nous regardons cependant, dès l’abord comme des

ux faits certains. Les opéras de Cambert transportèrent tout Paris de plaisir . Les premiers que donna Lully ravirent la Cour et

la Danse, comme on note la Musique. 9. Je n’ai point encore joui du plaisir d’entendre faire un éloge sans restriction de que

onstance qui rend plus criminels ceux qui se livrent à cette sorte de plaisir . Tout le monde convient que les œuvres serviles e

s la considération et l’admiration de ses ouvrages, et non en prenant plaisir à des danses, à des marques de joie folles et ins

, tant on cherche d’explication pour l’abandonner à l’inutilité et au plaisir . » Et sur ce que l’auteur, que M. Bossuet réfute,

pas avec le deuil solennel de toute l’Eglise ; loin de permettre les plaisirs et les réjouissances profanes, elle s’abstenoit d

dier mon Livre. Ce n’est pas que la Danse, d’abord inventée pour le plaisir , & ensuite employée à l’utilité publique, ne

nt faire pour obtenir une pareille fortune, pour avoir, moi aussi, le plaisir d’entendre sonner « ma » pendule, de la remonter,

arguerite, me dit-il, voulez-vous me rendre un service ? — Avec grand plaisir , monsieur Prosper, répondis-je. — Je suis forcé d

eur privation serait une peine ; leur jouissance n’est qu’un médiocre plaisir . Un genre inconnu a les attraits d’une Maîtresse

annie, dans l’exil d’un homme public, qui était devenu nécessaire aux plaisirs de Rome. Il ne lui restait plus de liberté que da

leurs compagnes, et, à la faveur de son travestissement, il jouit du plaisir de voir sa maîtresse. Déjà tout est préparé pour

age offre des danses légères et une foule de grouppes dessinés par le plaisir . Cryséïs obtient la rose, et le parfum qu’elle ex

andent aussi plus de circonspection, mais on en est recompensé par le plaisir que l’on a de se distinguer du vulgaire. Je suppo

ouvrages corporels, et dans le repos du corps ; mais en mettant votre plaisir dans la méditation de la loi de Dieu, et à admire

nima. Ces danses sont les divertissemens des démons, et c’est par le plaisir qu’on y trouve que les ministres de Satan lui att

ir et la demande d’une danseuse, fait voir quelles funestes suites le plaisir criminel de la danse entraîne après lui ? » Il en

, on n’ait de goût que pour la vanité du siècle et pour ses dangereux plaisirs  ? Saint Augustin ayant eu, même avant sa conversi

entium  : Pourquoi, ô homme ! vous tant agiter pour vous procurer des plaisirs  ? Un seul accès de fièvre peut mettre fin à vos d

e sans mouvement. « Alors tous ceux qui ont été les compagnons de vos plaisirs se retireront, en vous abandonnant. Il n’y aura p

un autre exercice qu’à celui de la danse ; ne vous abandonnez pas aux plaisirs  ; pour être admis à la cour de Terpsicore, cette

, en lui faisant éprouver de douces émotions et en livrant son âme au plaisir et à la joie. [8] Soyez vigoureux, mais sans roid

ssantes qui les ont affectés ; le cœur les communique à l’âme ; et le plaisir qui résulte de l’harmonie et de l’intelligence de

28. Le nom d’Euterpe, du grec (Eu, terpein) Bien, Charmer, signifie plaisir  : cette Muse préside à la musique. « Euterpe a d

ide à la musique. « Euterpe a de la flûte animé les doux sons, « Aux plaisirs innocents consacré ses chansons. » Danchet.

lors la Sculpture, la Peinture, la Poésie, la Musique fleurirent. Les plaisirs de l’esprit succédèrent à une galanterie Gothique

n. Le mal de s’éloigner des sacremens par une attache excessive à son plaisir , est très-grand ; mais celui de les profaner n’es

ges italiens parsemés dans cet ouvrage [1] Note. Nous croyons faire plaisir à nos lecteurs, et aux élèves, dont le plus grand

esquels il s’asservit par cette raison, religieusement ; et comme les plaisirs qui s’offrent aux yeux sont plus faciles à compre

u’elle ne parlait que japonais. Ce n’était en somme que pour me faire plaisir , et parce que je l’en avais priée expressément, q

es lignes, bien que je n’aie aucune raison de me souvenir d’elle avec plaisir . C’était une belle jeune fille, toujours délicieu

i nous avait déjà révélé Sada Yacco, il y a quelques années. Et c’est plaisir de voir de près, si charmante, cette petite créat

de leurs petites mains faites pour le commandement. Puis j’avais un plaisir infini à voir cette Salomé en vêtements de tous l

ème. Il n’en reste plus de nos jours que quelques faibles traces. Des plaisirs plus vifs et moins grossiers ont succédé à ces di

s Bourgeois, un jour, Verront ce spectacle à leur tour, Où l’on a des plaisirs extrêmes, Ils en pourront juger eux-mêmes : Mais

t charmé. C’est donc à l’aide de ces deux sens que nous éprouvons des plaisirs délicieux, si toute fois ces arts ont atteint leu

ation de la belle nature ; l’ont-ils manqué, le charme s’évanouit, le plaisir fuit ; la lassitude et l’ennui s’emparent de nous

ent les traits ; dès lors l’illusion disparoit le charme cesse, et le plaisir fuit. Le feu le plus brillant et le plus actif s’

nt par produire l’ennui. Chaque homme porte avec lui la mesure de ses plaisirs , et le trop plein de cette mesure, se change bien

satiété, car l’homme est facilement transporté vers les extrêmes, le plaisir , et la peine. Là c’est un morceau de sculpture re

onstitués, et d’une figure désagréable ; lorsque l’on se consacre aux plaisirs du public, il faut être né avec toutes les dispos

e la Théorie éclaire, voit augmenter à la fois, sa considération, ses plaisirs et sa gloire. L’Histoire raisonnée des Arts, est

ur, échaufferaient son âme par degrés, et lui feraient goûter tout le plaisir que produit au Théâtre le charme de l’imitation.

gnement son office. Nos Reines, pleines d’un bon sens, Mais qui des plaisirs innocents, (Comme sages et débonnaires) Ne sont n

au son de ses instruments rustiques, se livre sans nulle retenue aux plaisirs de la danse et à des jeux que partage, avec une g

e charme d’une suavité rare qui attire et séduit tous ceux qui ont le plaisir de voir sa Hébé, sa Madelaine, son Pâris, sa Vénu

il est d’un agrément vraiment inépuisable. L’autre soir, j’ai pris un plaisir particulier à la variation de Swanilda et de ses

r à fond l’inspiration et les moyens du maître français. Cependant le plaisir intense que cause cette exécution ramassée, conde