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1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples , et de certaines Lois de Lacédémone. Lycurgue o
’idée du plan d’éducation qu’il traça pour la jeunesse de Sparte. Ces Peuples que les Grecs appelaient Barbares, allaient au co
de diverses fleurs, prit encore des Arcadiens, qui passaient pour des Peuples très sages, parce qu’ils savaient être heureux, u
upait constamment de la Danse, jusqu’à trente ans. Dès l’enfance, ces Peuples s’instruisaient de la Musique, pour pouvoir chant
ogrès de chacun des Acteurs. Ils étaient jugés sans partialité par le Peuple , qui était lui-même expert dans cet exercice, et
hommes nouveaux qu’il voulait former. En occupant à la Danse un grand Peuple qu’il souhaitait de rendre heureux, en appliquant
sirs, occupèrent aux mêmes plaisirs, occupèrent aux mêmes travaux, un Peuple de Sages qui ne composaient qu’une même famille,
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
ent pas moins obscures à leurs propres yeux, qu’aux regards mêmes des Peuples qu’ils feignaient d’instruire. Le mystère leur do
ts de lumière qui servirent à établir leur puissance, et à égarer les peuples qu’ils avaient intérêt de séduire. C’est dans cet
barque dorée. À son arrivée, les Prêtres, les Grands de l’État et le Peuple , allaient le recevoir avec la plus grande pompe e
es et gaies qui faisaient passer la joie et l’amour dans le cœur d’un peuple innombrable qui en avait été le spectateur. Selon
ns le temple, des Danses funèbres, qui exprimaient le malheur que les Peuples pleuraient, et tout restait plongé en Égypte dans
nt ainsi pendant sept jours. C’est en se rappelant cette fête, que le Peuple de Dieu imagina dans le désert, la danse sacrilèg
irement des Prêtres du vrai Dieu, une partie de leurs cérémonies ; le Peuple juif, à son tour, entraîné par le penchant à l’im
ion si puissant dans l’homme, se rappela, dans le désert, le culte du Peuple qu’il venait de quitter, et il l’imita. Ainsi les
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
éger et insouciant des Français. Il demandoit, un jour, en parlant du peuple , chante-t-il et danse-t-il encore. Cette question
s cet instant ne peut-être comparé à celui qui vient de se passer. Le peuple avoit du pain, le luxe naissant venoit au secours
flatter de faire sourire l’humanité souffrante. Non, de long-tems, ce peuple trompé par l’infernal artifice de Robespierre et
que toutes les fêtes immorales et insignifiantes que l’on donnoit au peuple , au moment de son délire et dans le cours de sa c
humeur. Le prestige de la liberté et de l’égalité avoit disparu ; le peuple avoit renoncé à sa prétendue souveraineté ; et ce
tous ces dangers qu’en divisant cette masse énorme, et en donnant au peuple autant de fêtes particulières, qu’il y a de faubo
bravoure qui ont illustré nos armées. On me dira, sans doute, que le peuple , est curieux ; je le sai, qu’il veut tout voir, j
rupuleux et le plus sagement maintenu. En connoissaut la curiosité du peuple , je ne puis ignorer qu’il est des genres de spect
n approuvant ma distribution, on ne manquera pas de m’observer que le peuple voudra voir ce qu’on aura préparé au champ de Mar
es les objections, soit raisonnables, soit puériles ; je dirai que le peuple après avoir vû tous les grands préparatifs de la
, qui se rendroit au Champ de Mars, passeroit par les Boulevards ; le peuple admireroit l’appareil le plus frappant et le plus
’entrée du pont de la révolution, arrêteroit la curiosité. Lorsque le peuple auroit vu passer cette marche pompeuse et triomph
4 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
roupe de Joueurs. Plusieurs petits Génies. Troupe de Démons. Foule de Peuple . La Scène est dans la Turquie Européenne. S
, au comble de la joie, fait sonner de la trompette, pour appeller le Peuple . Scene VI. Foule de Peuple de tout âge
e la trompette, pour appeller le Peuple. Scene VI. Foule de Peuple de tout âge & de toute condition. On entend u
Théâtre, & remontent dans leurs nuages. Le Magicien fait signe au Peuple qu’on ne peut avoir des échasses qu’avec de l’arg
& disparaissent. On sonne de la trompette. Scene XV. Le Peuple accourt ; une partie a des échasses, & l’autr
ait de nouvelles conjurations, & sort avec Arlequin & tout le peuple . Scene XVII. Le Sultan, entouré de ses
I. Le Théâtre représente une Salle du Palais du Sultan. (Tout le Peuple est rassemblé). Le Magicien fait sortir de dessou
on en sortira plus beau, plus aimable qu’on ne l’était auparavant. Le Peuple se présente en foule pour essayer la métamorphose
débouffis, de sortir au plutôt. Mais s’appercevant qu’ils menacent le Peuple , il frappe la terre de sa baguette, elle s’entr’o
ins illuminés & décorés des mains de l’Art & de la Nature. Le Peuple vient exprimer au Sultan sa joie & sa reconna
l’assure qu’il doit compter maintenant sur un bonheur inaltérable. Le Peuple célèbre sa félicité. On forme un ballet, composé
e clarté. L’alégresse redouble. Le Sultan n’a plus rien à desirer. Le Peuple se livre aux douces impressions qu’il éprouve ; &
5 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
manderois dabord si les fêtes publiques doivent être exécutées par le peuple ou pour le peuple. S’il peut en être tout à la fo
i les fêtes publiques doivent être exécutées par le peuple ou pour le peuple . S’il peut en être tout à la fois acteur et spect
iques ont eu jusqu’ici différens objets, tantôt celui de distraire le peuple de ses maux, tantôt de capter son suffrage par d’
s mœurs, du goût et de l’esprit. Les fêtes, telles qu’on les donne au peuple , ne sont ni bonnes ni utiles ; elles sont ruineus
lles sont ruineuses pour l’état. Les fêtes qui conviennent à un grand peuple , doivent plus coûter à l’imagination, au goût et
blic, faisoient fuir les gens sensés, les gens de goût, trompoient le peuple , le corrompoit, et l’entretenoit dans une efferve
ête n’est point arrivé. Celui qu’on avoit choisi pour en rassasier le peuple , n’étoit rien moins que propice ; d’ailleurs ces
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
id se joignit aux Ministres des autels, et qu’il dansa en présence du peuple Juif, devant l’Arche, depuis la maison d’Obededon
isse douter de la multitude des Danses et des Chants en usage chez le peuple Juif 17. On voit d’ailleurs, dans les Description
lus grande pompe dans toutes les solennités. Les Égyptiens étaient le Peuple le plus à portée de saisir tout l’extérieur d’un
e répandit bientôt, en achevant de se corrompre, chez tous les autres Peuples de la terre. 13. Sumpsit ergo Maria Prophetiss
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
ns attributs, et sous la forme d’un enfant ordinaire. Corsaires . Peuple d’Athènes . Première partie. La décoratio
fices. Le fond de cette place offre à la vue le temple de l’Amour. Le peuple attend avec impatience l’arrivée des jeunes Athén
t ; l’amour paternel et l’amour filial y éclatent de toutes parts. Le peuple pénétré d’admiration offre des couronnes de roses
n libérateur, et, par un mouvement d’enthousiasme et d’admiration, le peuple place Cryséïs et son amant sur un pavois, les élè
embrasse et les conduit dans son temple. On les suit en foule ; et le peuple , frappé de ce nouveau prodige, exprime tout à la
Cléopatre sur le Cydnas, lorsqu’elle vint visiter Antoine, et que le peuple la prit pour la mère des Amours.
8 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
une danse caractérisée au chant d’un hymne qui exprimoit les vœux du peuple . L’Histoire sainte nous fait voir combien la dans
nu au 15 chapitre de l’Exode, pour remercier Dieu d’avoir délivré son peuple de la persécution des Egyptiens, & de la défa
orer le Veau d’or, ou l’idole qu’ils avoient faite des joyaux d’or du peuple , à l’exemple des Egyptiens qui adoroient l’idole
Egyptiens qui adoroient l’idole ou le bœuf Apis, qui passoit chez ces peuples pour une Divinité : c’est ce qui a fait dire à S.
e du P. Calmet Bénédictin. Il paroît par le Pseaume CXLIX. combien ce peuple connoissoit les emplois que l’on pouvoit faire de
par l’invocation que le Psalmiste fait à Dieu, & pour inviter son peuple à l’honorer par des danses pieuses. Il est dit en
itre 31 des Prophéties de Jérémie, nous apprend que Dieu promet à son peuple , qu’après les peines de l’exil qu’il a souffert d
& pour la défense des danses Baladoires qui se faisoient par les peuples les Fêtes & Dimanches dans les places publiqu
e précedent à Limoges, à la fête de S. Martial Apôtre du Limousin, le peuple danser en rond dans le chœur de l’Eglise de ce Sa
Charles V, l’an 1373, au rapport de Mezeray, qui dit qu’en France le peuple fut attaqué d’une passion maniaque ou phrénésie i
ient : la plûpart de ces gens-là n’étoient néanmoins que de la lie du peuple , de l’un & de l’autre sexe ; le mal fut plus
cadences & ses figures, énoncez dans le premier Chapitre, dont le peuple par la suite des tems se servit pour composer des
une danse caractérisée au chant d’une Hymne qui exprimoit les vœux du peuple . Les Perses & les Indiens qui adoroient le So
t bien juger que c’étoit une ruse des Sacrificateurs pour séduire les peuples , comme il paroît dans Apulée en parlant des danse
s fictions pour rendre ces sortes de cérémonies plus respectables aux peuples . La danse Sacrée étoit encore admise dans les fun
9 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
traverser leur mutuelle félicité. Les Curiaces ont été choisis par le peuple d’Albe, pour terminer, par un combat singulier, l
la vue de ce spectacle déchirant, et il est conduit au capitole où un peuple nombreux l’attend avec impatience. Acte III.
cédens. Fulvie, dames Romaines, Camille. Horace, précédé et suivi du peuple Romain, des troupes de la république et des sénat
ui envoyé, et qu’il doit autant à l’estime de son Roi qu’à l’amour du peuple . Il se précipite dans les bras de Procule ; Fulvi
es trophées, les porte en triomphe, et on l’emmène pour le montrer au peuple . Acte V. La décoration représente la princ
hithéâtres. Les troupes sont rangées à l’entour de cette place, et le peuple est placé derrière elle sur des gradins élevés.
ieil Horace, Horace, Fulvie, Procule, Dames et Chevaliers Romains. Le peuple est impatient de voir son libérateur. Un bruit d’
attelés de front. Le vieil Horace marche devant ce char, et montre au peuple les trophées que la valeur de son fils a su lui o
ête au milieu de la place ; la musique cesse ; et dans cet instant le peuple s’abandonne à son enthousiasme en criant trois fo
rme un grouppe d’autant plus général, que les troupes les dames et le peuple , par un mouvement spontané, expriment par des ges
es Romaines expriment leur admiration et par un sentiment unanime, le peuple applaudit à la justice de Tullus, et au bonheur d
10 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
s captivèrent l’amour des grands, et fixèrent sur eux l’engouement du peuple . Ce spectacle neuf qui lit tourner toutes les têt
ces pantomines moins par goût, que par politique ; il connoissoit le peuple de Rome, il savoit qu’il étoit inquiet, turbulent
upant entièrement sa pensée, étouffoient en lui l’esprit de parti. Le peuple s’amusant sans cesse des intrigues du théâtre ne
t à se plaindre d’Auguste. Les seigneurs s’associèrent à la cabale du peuple . L’Empereur n’étoit plus a leurs yeux qu’un tyran
de changea tous les esprits, dissipa les complots ; les grands, et le peuple chantèrent la bienfaisance, la justice, et les ve
voit fait regetter. Pylade parut, fut applaudi avec transport ; et le peuple et les grands ne cessèrent de bénir un prince, qu
rs. Les arts prirent encore le fuite pour se dérober à la fureur des peuples barbares, qui ravageoient l’empire, et y répandoi
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
urs qui y régnait, aurait cru, dès l’abord, se trouver au milieu d’un Peuple frivole uniquement occupé du plaisir. Sur des Chœ
ues, pour chanter en chœur des Hymnes en l’honneur d’Apollon. Tout le Peuple répondait à leurs Chants, et applaudissait à leur
vait dans les cœurs : elle était une nouvelle leçon de vertu pour des Peuples qui ne vivaient que pour elle43. Quelquefois tout
uis les amena tous deux en pleine assemblée de Ville où était tout le Peuple , et mit devant eux des friandises et fit lâcher u
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
s Ecclésiastiques, de toute la Noblesse et d’une foule innombrable de Peuple . Quatre Chars d’une grandeur extraordinaire étaie
enommée semblaient par leurs attitudes aller les apprendre à tous les Peuples du monde. Cette pompe passa du Port dans la Ville
t vers le Collège, précédés de plusieurs Trompettes. Après quoi des Peuples de diverses Nations, vêtus à la manière de leurs
eprésentés par autant de Génies marchaient, avec ces Nations ; et les Peuples différents, devant les Chars des Ambassadeurs de
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre V. De quelques Danses des Romains »
es Prêtres et les Prêtresses de Bacchus, exécutaient à l’exclusion du Peuple , furent dans les suites imitées par tous les Grec
unesse Romaine prit la place des baladins qu’on venait de chasser. Le Peuple suivit l’exemple que lui donnait la Noblesse : bi
14 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
utume irréligieuse qui s’est introduite aux fêtes des saints, que les peuples , au lieu d’assister à l’Office divin, emploient l
ec de plus grands. Que les prêtres aient donc grand soin d’avertir le peuple qu’on ne doit venir à l’église en ces saints jour
publics, par lesquels non-seulement cet esprit de malice détourne le peuple de fréquenter les églises et d’assister à l’offic
mal, que ce que les saints pères ont autrefois établi pour réunir les peuples dans des assemblées de prières, ne sert plus, par
s fidèles sur les choses du salut, soient saintement observées par le peuple chrétien, nous renouvelons le décret du dernier c
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
à mes idées, et de remonter aux causes premières qui ont enchaîné les peuples de l’Allemagne à l’étude constante et habituelle
fallut il pas d’avantage pour répandre le goût de la musique chez un peuple stagnant. Mais je découvre une cause qui me sembl
e. Vous en voyez la raison ; c’est que cet art est un besoin pour ces peuples , comme le commerce en est un pour les Anglais ; c
16 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ez Danse. (B) Danse sacrée Danse sacrée, c’est la danse que le peuple Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établi
ignit aux ministres des autels, et qu’il dansa en présence de tout le peuple Juif, en accompagnant l’arche depuis la maison d’
telle qu’on vient de l’expliquer, et qu’on la trouve établie chez le peuple Hébreu dans les temps les plus reculés, passa san
oute avec les notions imparfaites de la divinité chez tous les autres peuples de la terre. Ainsi elle devint parmi les Egyptien
fut la plus solennelle. C’est à l’imitation de cette dernière, que le peuple de Dieu imagina dans le désert la danse sacrilège
s égyptiennes, puisqu’elles subsistaient longtemps avant la sortie du peuple Juif de l’Egypte. Les prêtres d’Osiris avaient d’
leurs cérémonies, qu’ils avaient ensuite déguisées et corrompues. Le peuple de Dieu à son tour entraîné par le penchant de l’
l à l’homme, se rappela après sa sortie de l’Egypte les cérémonies du peuple qu’il venait de quitter, et il les imita. Les Gre
nt danseurs par état ; parce que la danse a été regardée par tous les peuples de la terre comme une des parties essentielles du
oyait encore vers le milieu du dernier siècle, les prêtres et tout le peuple de Limoges danser en rond dans le chœur de Saint-
e Romaine prit la place des danseurs à gages qu’on avait chassés ; le peuple imita la noblesse, et les sénateurs eux-mêmes n’e
ce jour tous les travaux cessaient, on ne songeait qu’au plaisir. Le peuple , les magistrats, la noblesse confondus et réunis
mystères des Orgies de Bacchus, qui ne devaient point être connus du peuple . Voyez Orgies [Article du Chevalier de Jaucourt] 
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VIII. De la Danse des Anciens considérée comme exercice. »
t point les grands Seigneurs qui les entourent et qui les copient. Le Peuple se modèle sans cesse sur la Bourgeoisie, qui ne s
Peuple se modèle sans cesse sur la Bourgeoisie, qui ne se croit point Peuple , et qui aurait honte de lui ressembler. Il en fut
18 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
la Jalousie et la Vengeance. Troupe de Démons. Prêtres de l’Hymen. Peuples . Officiers et soldats. Première partie.
des trois ordres de l’état Il approche de l’autel, il montre Jason au peuple , comme le Prince que son cœur choisit pour régner
sa fille, le couronne de sa propre main, et le conduit au trône ; le peuple tombe aux pieds du nouveau Roi ; les cris d’allég
le bruit des timballes et des trompettes retentit dans les airs ; le peuple applaudit au choix de Créon. Créuse mêle sa joye
ose plus lever les yeux. Créon témoigne le plus violent courroux ; le peuple consterné attend en frémissant l’issue d’un tel é
19 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
lacés à la droite du trône, les Satrapes à la gauche ; les gardes, le peuple occupent le fond du temple. Sémiramis paraît ; en
élève un temple consacré à Bélus. On voit d’abord entrer une foule de peuple qui vient lui faire des offrandes. On y danse un
rencontrera. Ninias entre, et en attendant, les Prêtres rappellent le peuple , et continuent leurs prières. Ninias sort ensuite
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
mour qui m’a inspiré assez de courage pour les sauver. À ces mots le Peuple accourt. Les gémissements sont suspendus : un mou
belle action. Il voit tour à tour dans les regards de cette foule de peuple qui l’écoute, la surprise, l’admiration et la joi
, étaient dignes de la sentir et ils la portèrent aussi loin qu’aucun Peuple délicat de la terre ; mais ils ne furent pas long
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
’un sang vif ? Les Prêtres alors se croyaient vraiment inspirés : les Peuples recueillaient leurs discours comme des oracles, e
Anglais, les Espagnols qui avaient leurs Dieux particuliers, tous les Peuples enfin du Monde connu, à quelque idole qu’ils aien
22 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
icateurs . Jeunes filles Témessiennes. Jeunes hommes de Témesse. Peuple . Soldats.   La scène est à Témesse. Scène pr
iens de venir la lui ravir. Cette témérité imposante surprend tout le peuple . Cependant il faut que l’Oracle s’accomplisse, et
e leur ministère et courent dans le temple pour chercher un asile. Le peuple épouvanté fuit de toute part. Eucharis qui craint
terrasse le spectre et le foule à ses pieds. A cette victoire tout le peuple accourt ; il témoigne son admiration, sa joye, sa
ymen à celui de l’amour ; ils enchaînent ces amans avec des Heurs. Le peuple de Témesse rend hommage à l’amitié. C’est un sent
23 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
de fleurs, étoient devancés et suivis par des soldats ; une foule de peuple s’assembloit dans cette place ; mais la résignati
dignoient et les adieux éternels qu’ils se faisoient, subjugnoient le peuple et l’intéressoient en leur faveur. Les soldats ga
es volontés, il commandoit qu’on allumât de bûcher. Dans ce moment le peuple se révoltoit et poussoit des cris d’indignation,
urni. Cette représentation fit une telle impression sur une partie du peuple , qu’en voyant les Danaïdes, les spectres, la mort
ns que la fausseté fournit aux âmes criminelles, tant pour séduire le peuple que pour dissiper ses soupçons. Elle fait un sacr
cette lugubre ceremonie. Au signal donné parle grand prêtre, tout le peuple tombe a génoux, ainsi que Clytéimnestre, Egiste e
24 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
attention on trouve quelquefois bizarres, et qui firent cependant, du peuple le plus pauvre du monde, le Peuple le plus redout
arres, et qui firent cependant, du peuple le plus pauvre du monde, le Peuple le plus redoutable et le plus heureux.
25 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
accompagné d’une suite nombreuse est placé à la droite ; une foule de peuple , témoin de celle cérémonie, est dispersé dans les
une partie des fortifications intérieures de la ville ; une foule de peuple est rangée dans cette place, pour être témoin de
é la résistance de leurs gardes, et se donnent en présence de tout le peuple des témoignages de leur mutuelle tendresse : le p
nce de tout le peuple des témoignages de leur mutuelle tendresse : le peuple attentif à l’action de ces amans, s’y intéresse ;
contre un Roi Tyran ; la persuasion gagne de proche en proche, et le peuple aussi attendri que convaincu de l’innocence de ce
26 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
iné la délicatesse d’Athènes, ou le luxe de Rome, et sur ce point les peuples contemporains les plus polis de l’Europe sont enc
d’hui de nos Fêtes de tous les jours, furent constamment inconnus aux peuples jadis les plus polis et les mieux instruits de la
27 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
ette pantomime expressive, art connu, si chéri des Romains, et que ce peuple préférerait à tous les autres amusements. On sait
r nœud et leur dénouement. Mais est-il nécessaire d’avoir recours aux peuples de l’Antiquité, tandis que nous pouvons citer de
e des passions, des mœurs, des cérémonies et des costumes de tous les peuples . Voilà pour la partie de la composition ; quant à
28 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
ignore absolument mais, ce qui n’est point conjectural, c’est que ce peuple d’artistes et de savans quitta l’Egypte, et se ré
r les succès, et par les honneurs du triomphe ; c’étoit a la vüe d’un peuple nombreux et enthousiaste, qu’ils recevoient le pr
tion flatteuse étoit accompagnée des cris et des applaudissemens d’un peuple , qui attachoit une partie de sa gloire et de son
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
rs de l’abondance ; et lorsque les rigueurs de l’Hiver ramenaient les Peuples dans leurs foyers, pour y jouir des bienfaits des
usique et les Danses recommençaient, on ne songeait qu’au plaisir. Le Peuple , les Magistrats, la Noblesse confondus et réunis
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre V. Honneurs et Privilèges accordés à la Danse »
celle qu’ils avaient naturellement sur eux, ainsi que sur le reste du Peuple , il les mit au-dessus des Citoyens ordinaires, et
plus vif encore, lorsqu’en parcourant les Annales de Rome, je vois le Peuple , les Sénateurs, la Noblesse courir avec empressem
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
e des autres arts, la Danse fut une vive expression de joie. Tous les Peuples l’ont fait servir depuis, dans les réjouissances
nts, le caractère des Nations, la qualité, l’éducation, les mœurs des Peuples . Voilà la Danse simple, et un des objets de Quina
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
sent bien qu’en parlant de nations je n’entends que cette portion des peuples qui cultive les arts. En Italie, on voit communé
leur demanderai enfin si leur désintéressement leur fait chercher le peuple qui paye le moins ce genre de talent.
33 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
innocens, pour augmenter les réjouissances publiques, entretenir les peuples dans la soumission, & délasser quelquefois l’
ela que les Dieux mêmes instituerent des jours de fêtes, afin que les peuples pussent joindre des divertissemens honnêtes au cu
imple amusement. Les Egyptiens qui passent pour l’un des plus anciens peuples du monde, & pour avoir eu les premiers la con
le passe-tems non seulement des personnes de condition, mais aussi du peuple . L’on tient que ce fut une grande louange pour Mé
épeindre de plus excellent que cet exercice. Les Phéaques étoient des peuples si voluptueux, qu’on ne s’étonne pas qu’Homere le
ombat ; terme équivalant à celui d’avoir bien fait à la bataille. Ces peuples avoient encore des danses particulieres en certai
nneur de Bacchus, dont les misteres ne devoient point être revélez au peuple  : on appeloit aussi Dessauteur celui qui les revé
Athenée, Livre 14, rapporte que les Arcadiens qui ont passé pour des peuples fort sages, avoient coutume d’exercer la jeunesse
34 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
ement parlé contre les danses. Il le fait d’abord en expliquant à son peuple l’endroit de l’Evangile selon saint Mathieu, (c. 
oit fait pour cela : un des moyens qu’il employa fut de faire lire au peuple l’histoire de l’adoration du veau d’or par les Ju
les Juifs, rapportée au chapitre 32 de l’Exode : il y est dit que le peuple se leva dès le matin, pour offrir à ce veau des h
saint Augustin, qui n’étoit alors que simple prêtre, fit observer au peuple que dans toute l’Histoire sainte on ne voit que l
vés les dix commandemens. En descendant de la montagne pour porter au peuple ces tables de la loi, Moïse vit le veau et les da
in, contre les désordres qu’il s’efforçoit de détruire, exhortant son peuple à ne plus célébrer, à l’avenir, les fêtes des mar
loir pratiquer tous les ans dans les solennités des Saints, ce que le peuple juif n’a fait qu’une seule fois, et dans une occa
la sainteté de leur vie, assez d’autorité pour faire sur l’esprit des peuples toute l’impression que leurs discours devroient y
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
moyen, leur répondit ce bon prince, qui ne soit point à charge à mon peuple , pour bien régaler mes alliés. Allez messieurs, c
rgot aurait fait l’équivalent d’un pareil miracle, sans surcharger le Peuple , et sans importuner le Roi. Ce Magistrat que la p
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
n, et Division de la Danse sacrée La Danse sacrée est celle que le Peuple Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établi
37 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
r l’origine de la Danse dans les tems les plus reculez & chez les peuples les plus anciens, & je trouve qu’elle y a fai
majestueuses & si graves, qu’elles imprimoient dans l’esprit des Peuples des sentimens de respect pour les Dieux. On peut
d’Achile, parce qu’elles servoient de son tems de divertissement aux peuples de la Grece, où il s’étoit formé à l’exemple de D
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Madame Balachova. »
usse est exécutée avec la grandeur naïve et désinvolte de la femme de peuple russe, le pas norvégien est une « humoresque » tr
39 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — II »
tre masque : même dans le feu, ce sourire est glacé. On croit voir un peuple de poupées et de pantins en cire. Une femme, pass
40 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
int un art universel et estimé. La danse a été en usage chez tous les peuples civilisés et barbares ; elle faisait partie de le
eurs idoles et sur les tombeaux de leurs pères. On sait que, chez les peuples de l’antiquité, les sacrifices étaient accompagné
41 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
Lettre III. Sur le même sujet. Avant de vous nommer, Monsieur, le peuple qui aime le mieux la musique, qui la cultive avec
pour en juger les productions ; jugement bien propre à prouver que le peuple , qui aime le mieux la musique, n’est pas celui qu
42 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
champions. Les chevaliers et les dames se placent sur les gradins. Le peuple se disperse sur l’amphithéatre. Les juges du camp
yeux élevés vers le ciel, elle fait des vœux pour son amant : tout le peuple en fait pour elle. Raymond par sa démarche fière
son casque ; il chancelle, il est prêt à tomber. Les acclamations du peuple , un cri perçant d’Adèle qui tombe mourante dans l
43 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
pompe & à la magnificence des Spectacles qui font les délices des Peuples , & quelquefois les amusemens des plus grands
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
Quelques lois utiles que l’Empereur fit publier alors, trouvèrent le peuple dans cette disposition. Justes ou injustes, on ne
is, d’injustice, de tyrannie. Ce ne furent que transports de joie. Le Peuple , les Sénateurs, la Noblesse ne pouvaient se lasse
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
antomime avait l’effronterie de jouer publiquement un Sénateur, et le Peuple applaudissait à cette insolence. L’Empereur craig
risable. Pline loue cet empereur, d’avoir exécuté, du consentement du Peuple , un projet que Tibère, Néron et Domitien, avaient
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
airés par un nombre immense de lumières, cachées avec art aux yeux du Peuple , et qui portaient toutes sur plusieurs groupes de
, et dont on formait par cet arrangement un premier spectacle pour le Peuple , dont la foule ne saurait, à la vérité, être admi
47 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
sujet d’une affabulation plus palpable : cet être accablé c’était un peuple . Un peuple abstrait ? Que non ! Votre pensée situ
e affabulation plus palpable : cet être accablé c’était un peuple. Un peuple abstrait ? Que non ! Votre pensée situait l’actio
48 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
e Jésus-Christ : (Matth. c. 11, v. 16 et 17.) A qui comparerai-je ce peuple  ? (Le peuple Juif.) Ils ressemblent à ces enfans
 : (Matth. c. 11, v. 16 et 17.) A qui comparerai-je ce peuple ? (Le peuple Juif.) Ils ressemblent à ces enfans assis dans la
ère et que toute sa maison, et qui m’a commandé d’être le chef de son peuple d’Israël, je danserai et je paroîtrai vil encore
ire. C’est avec raison, conclut saint Ambroise, que Dieu a rejeté le peuple juif, parce qu’il n’a point fait pénitence à la p
res instrumens, mais en donnant gloire à Dieu de la délivrance de son peuple  ; car cela est exprimé. Quant aux sauts de David
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
La Jalousie. Compagnons d’Hercule. Femmes de la suite de Déjanire. Peuples vaincus. Prêtres et sacrificateurs.   La décor
Scène I. Un bruit de guerre se fait entendre, et une foule de peuple annonce le retour d’Hercule. Ce héros paroît sur
nt au combat : la présence d’Hercule, et la vue des couronnes, que le peuple destine au vainqueur, les anime ; la fureur s’emp
50 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
, et l’Europe entière ne fut plus que le triste séjour d’une foule de Peuples quelquefois guerriers et toujours barbares. Je fr
51 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
ors nos regards et notre admiration. J’ai à vous nommer maintenant le peuple qui aime le mieux la musique, qui la cultive le p
n que je remonte aux causes premières qui ont nécessité chez ce grand peuple , le goût et l’étude de la musique : permettez moi
52 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
au milieu duquel se décidaient, tant bien que mal, les destinées des peuples . Autour de lui papillonnait un essaim futile de c
Le Congrès danse bien, mais il ne marche pas. » La bourgeoisie et le peuple suivaient l’impulsion venue d’en haut. Le goût de
re dans son passage à travers l’Autriche : « Autour de moi demeure le peuple des Phéaciens à l’œil brillant. C’est tous les jo
n un souci de beauté qui préside à toutes les évolutions. De tous les peuples de race allemande, l’Autrichien réunit au plus ha
oublier et la Bigottini et la Vigano. Sortie des entrailles mêmes du peuple autrichien, élevée sous l’ombre protectrice d’un
Les héros de la pensée et de l’action ne font pas seuls la parure des peuples . Si tout pays est fier de produire des génies exc
êt. Elle nous montre que Fanny Elssler fut véritablement un enfant du peuple et une Autrichienne de race. En elle se rencontre
ang ; on voulait qu’elle fût sortie des couches les plus profondes du peuple . En second lieu il ne fallait pas qu’un pied préd
53 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
peuvent déchirer une ame sensible, l’artiste ne l’eût pas manqué. Le peuple fuyant épouvanté, Iphise et Electre paroissant s’
iciers d’Agamemnon. Dames du Palais. Soldats Grecs. Esclaves Troyens. Peuples de Mycènes. Le Grand Prêtre, des Sacrificateurs e
remportées sur leurs ennemis. Scène i. Une foule innombrable de peuple s’assemble sur la place, pour voir son Roi, qui,
re, .Princesse Troyenne et fille de Priam est placée à sa gauche ; le peuple de Mycènes suit ce char, en jettant des cris d’al
s d’Electre et d’Iphise ; le perfide Egisthe tombe à ses genoux et le peuple transporté d’allégresse s’empresse de témoigner a
nt. Agamemnon qui partage la félicité de sa famille et la joye de son peuple , ordonne à ses guerriers de commercer des fêtes ;
désarment ; il tombe sans connoissance sur une tombeau peu élevée. Le peuple épouvanté fuit de toutes part. On entraine Egisth
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
es actions qui passent ainsi en coutume. Or, Dieu disoit à son ancien peuple dans le livre de l’Exode : (c. 23, v. 2.) Vous n
qui est selon la coutume. » Saint Jean Chrysostôme expliquant à son peuple l’endroit de la Genèse, où il est parlé du mariag
bolir la coutume pleine d’irréligion, qui s’étoit introduite parmi le peuple , de déshonorer par des danses, les fêtes des sain
pereur Michel, parlant d’une coutume très-pernicieuse au clergé et au peuple , qui s’étoit introduite, lui dit « qu’il veut d’a
55 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
ne pourra pas recueillir ce qu’il n’aura pas semé. Aussi, quoique le peuple Juif résistât opiniâtrément à la voix des Prophèt
esse, faites retentir votre voix comme une trompette ; annoncez à mon peuple les crimes qu’il a faits ; et à la maison de Jaco
56 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
d’or, en l’honneur du régne de Saturne, pendant lequel tems tous les peuples vivoient dans une indépendance absolue : cette fê
essent la Religion Romaine, ont un mois dans l’hyver où la plûpart du peuple de l’un & de l’autre séxe, même des gens du p
fous ; & que leur folie finit le Mercredi des Cendres, où tout le peuple va le matin dans les Eglises, se mettre à genoux
57 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
dépens de la crédulité des plus puissans Rois, des Princes, & des peuples qui les alloient consulter comme des Dieux, pour
us grands Philosophes, mais un peu suspects de magie, au sentiment du peuple , & non pas de Saint Jérôme, assurent qu’il y
e à cet Athlete, après l’avoir contraint au bruit des acclamations du peuple , de s’aller précipiter dans la riviere, en faisan
58 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
ressoient leurs Théâtres dans les Places publiques, pour assembler le peuple , & pour servir de divertissement aux Marchand
aris voyant que ce divertissement public attiroit & détournoit le peuple du Service divin, en firent abolir l’usage, &
mpereurs Romains y assistoient aussi pour se rendre plus familiers au peuple . Il faut que leurs Jeux ayent bien dégénéré depui
inventeur de la danse de la Volte ; il surmonta les Toscans & les peuples de Lydie au saut & à la danse. C’est pourquoi
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
es maximes favorites de ce chef de famille : la clef est trouvée. Les Peuples par instinct, se modèlent toujours sur leurs Maît
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
ce qu’elle se soit entièrement écroulée, n’est qu’un préjugé du petit peuple de l’Opéra, qui s’est glissé dans le monde, et qu
61 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
ur ils l’applaudirent. Louis, qui sous ses justes Lois Gouverne les Peuples Gaulois, Avec des grâces sans pareilles, Y fit le
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
Malibran, jamais l’aristocratie féminine de New-York ne s’était faite peuple jusqu’au point de se risquer sur les derniers ban
enue, elle m’accable. Faut-il donc dire adieu, un éternel adieu, à un peuple qui m’a inondée de ses faveurs, qui n’a jamais hé
xagération. Le voyage de Fanny Elssler agit sur toutes les classes du peuple américain à la manière d’un puissant courant magn
à Matanzas, dans le décor féerique de la végétation des Antilles. Le peuple , qui ne pouvait s’offrir le luxe d’assister aux r
odes de la Bible. Un soir que Fanny rentrait du théâtre, une femme du peuple s’approcha de la voiture et lui tendit un enfant
eut dire cependant qu’une harmonie parfaite s’y laissât percevoir. Le peuple américain se composait d’éléments hétérogènes, si
rons-nous cette singulière effervescence où une danseuse jeta tout un peuple  ? Ce ne sera pas, à coup sûr, par le sens artisti
r eux. Ils dirent dans une adresse à Fanny Elssler : « Nous sommes un peuple actif qui se débat sur l’océan de la liberté agit
débat sur l’océan de la liberté agité par une tempête perpétuelle, un peuple qui, de ses bras vigoureux et musclés, oppose aux
échapper, les séductions de la femme les remueraient puissamment. Un peuple rude de travailleurs, que harcelait sans cesse l’
63 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
rmé ce qu’on a appelé les danses dans tous les temps et chez tous les peuples . Imiter, contrefaire, tout en dansant, les pas, l
laves de l’imitation la plus sévère des danses particulières à chaque peuple et, tout en dansant, donner à leurs pas et à leur
64 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
es écrits qui ont conservé et transmis les traditions originelles des peuples , attestent la présence de ce drame, dont l’instin
de pour ne pas attirer les regards de ceux qui voulaient régénérer le peuple  ; c’était un levier trop puissant sur l’esprit pu
et découvert. On donnait aussi des représentations de par et pour le peuple  : le Gouvernement en faisait les frais ; on jouai
à toutes les inaugurations ; on chanta des chœurs : Le digne ami du peuple et l’émule des mœurs Sont tombés sous les coups d
Le fanatisme impur a fermé leur paupière. Célèbres montagnards que le peuple révère, Disciples fameux de Rousseau, Venez pare
’ouvrir pour lui. La Comédie française avait été érigée en théâtre du peuple , c’est-à-dire destiné aux représentations officie
dire destiné aux représentations officielles offertes gratuitement au peuple  ; on ne pouvait être admis à ces représentations
; le Siége de Thionville ; Toute la Grèce ; Wenzel ou le Magistrat du peuple . Si l’on joint à ces œuvres : le Chant des vengea
ue c’est là qu’il faut juger la France, nous eussions apparu comme un peuple en état de démence et d’ivresse. Les fastes de la
mée, qu’ils doivent au moins trouver une mention dans ce chapitre. Un peuple , une race, un monde tout entier, habitent l’Opéra
gnés. La fortune y fait mille tours ; elle jette en aveugle à tout ce peuple les bijoux et l’opulence, la vogue, et ensuite la
traits pour un esprit observateur ; mais c’est folie que d’aborder ce peuple magique ; laissez-lui son rouge et son clinquant,
1794), sous le titre de Théâtre des Arts, ouverture de par et pour le peuple , rue de la Loi ou plutôt de Richelieu, ancienne s
65 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
termine ordinairement la fête : comme il est dit dans l’Exode, que le peuple s’assit pour boire & pour manger, & se le
l’appanage des grands Seigneurs, pour s’attirer la bienveillance des peuples , ou pour faire remarquer leur grandeur & leur
Une réponse si sage fait bien voir la bonté que ce Roy avoit pour son peuple . J’ai vu en 1664 la fête qu’on leur donna à l’Hôt
vœux des mortels : Soleil, par ce seul langage Danse des Bracmanes, peuple des Indes, en l’honneur du Soleil.L’Indien rendoi
rs Titans ? Muse de la Danse. Danses Sacrées. Danse des Bracmanes, peuple des Indes, en l’honneur du Soleil. Prêtres de Mar
66 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des Grecs, et des Romains, Peuples les plus délicats, et les plus difficiles qu’il y
s Romains avaient pour leurs représentations alla jusqu’à partager le peuple en deux factions, les verts et les bleus, qui ont
montré, ce que Lucien assure, et que j’ai rapporté plus haut, que des Peuples tels que les Grecs et les Romains pleuraient aux
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
ortit de sa barque dorée pour subjuguer le coeur d’Antoine, et que le peuple la prit pour la mère de l’Amour ; mais une chose
fera agir et danser dans le même sens et de la même manière, tous les peuples de la terre. La danse Française sera donc celle d
C’est à l’imagination du maître de ballets à se transporter chez les peuples différens de nous : S’il ne pont nous montrer le
68 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
ir soleil d’hiver, mais dans les murs en béton armé de la « Maison du peuple  » que le dernier des tsars éleva à la gloire de l
69 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
e un Arion avec ces paroles : Populi super at prudentia fluctus. Le peuple en vain s’émeut ; la prudence l’apaise. Madame d
une flétrissure pour les courtisans, et une contagion funeste pour le Peuple . [Voir Fête (Beaux-Arts)] 91. Depuis 1559 qui f
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
sans, qu’il lui était aisé d’asservir, à dédaigner le suffrage de ses peuples , qu’elle aurait pu s’attacher, à distraire, à abr
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
tir, et à l’étendue du terrain sur lequel on allait l’élever. Tout ce peuple d’Artistes, qui ne vit dans Quinault qu’un Poète
72 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
arde à ne point donner témérairement le nom de danseur à un consul du peuple romain ; mais pour donner quelque fondement à vot
73 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
s Romains, et il y servit aux mêmes usages ; les Italiens et tous les peuples de l’Europe en embellirent successivement leurs t
; on danse dans L’Europe galante pour danser. Ce sont à la vérité des peuples différents qu’on y voit paraître : mais leurs hab
ention de la danse des chevaux : le plaisir était le seul objet de ce peuple voluptueux ; il était l’âme de tous ses mouvement
Aristote, rapporte que les Crotoniates, qui faisaient la guerre à ce peuple , s’étant aperçu du soin avec lequel on y élevait
rdinaires, et les Crotoniates les taillèrent en pièces. Les Bisaltes, peuples de Macédoine, se servirent du même artifice contr
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
es restes des hommes, qui fixèrent par leurs talens l’admiration d’un peuple enthousiaste, et ami des arts ; ces tristes monum
coles étoient fréquentées par les nobles, par les orateurs, et par le peuple . Ces gestes de convention, ce langage muet, étoit
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
i doit le conduire à Babylone. Il veut que cette alliance console les peuples des malheurs inséparables de la guerre ; il veut
76 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
2, le mariage de S. M. en 1725, etc. C’est un doux spectacle pour un peuple aussi tendrement attaché à son Roi, de le voir au
son retour de Metz, vint jouir des transports d’amour et de joie d’un peuple qui venait de trembler pour ses jours. Nous donno
uve qui avait été remplie de douze muids de vin, qui fut distribué au peuple par trois faces de cette fontaine : elle commença
de décorations ; et c’était par-là que se faisait la distribution au peuple , du pain et des viandes. La place au centre de la
it fermé de cloisons de planches peintes en pierres, pour empêcher le peuple d’entrer dans l’intérieur du perron. Les murs de
age une fontaine de vin à la croix du Trahoir, et on y distribuait au peuple du vin et de la viande. Sa Majesté étant au comme
oi, à la Reine, à la famille royale. Jamais monarque n’a gouverné ses peuples avec autant de douceur ; jamais peuples aussi n’o
ais monarque n’a gouverné ses peuples avec autant de douceur ; jamais peuples aussi n’ont été si tendrement attachés à leur roi
nt extraordinaire, qui intéresse un état, une province, une ville, un peuple , etc. Ce mot a été nécessaire à toutes les natio
dès-lors que dans les grandes circonstances, la joie des princes, des peuples , des particuliers même, pouvait être exprimée d’u
ent vers le collège, précédés de plusieurs trompettes. Après quoi des peuples de diverses nations, vêtus à la manière de leur p
représentés par autant de génies, marchaient avec ces nations et les peuples différents devant les chars des ambassadeurs de l
airés par un nombre immense de lumières, cachées avec art aux yeux du peuple , et qui portaient toutes sur plusieurs groupes de
oi, et qui formaient par cet arrangement un premier spectacle pour le peuple , dont la foule ne saurait à la vérité être admise
, est la participation sage, juste, et utile, qu’on doit y ménager au peuple dans tous les cas de réjouissance générale. On a
qui leur était due des plaisirs qu’allaient prendre leurs maîtres. Le peuple , qu’on croit faussement ne servir que de nombre,
ise un Arion avec ces paroles : populi superat prudentia fluctus ; Le peuple en vain s’émeut, la prudence l’apaise. Madame d’A
une flétrissure pour les courtisans, et une contagion funeste pour le peuple . On ne s’est point refusé à ce récit, peut-être t
a la fête, et ne fut interrompu que par les acclamations réitérées du peuple . Entre le temple et le Pont-Neuf étaient quatre g
llissait les mouvements de la multitude, en éclairant les flots de ce peuple innombrable répandu sur les quais. On jouissait à
conservées dans leur état parfait pendant huit jours, pour donner au peuple la liberté de les voir. Les grands effets que pro
retentit des vœux que faisait pour elle une multitude prodigieuse de peuple , répandu sur le rivage, dans les vaisseaux et dan
re de descendre, et se plaisent à faire éclater leur zèle aux yeux du peuple heureux qu’elle gouverne. C’est cet esprit dont t
spectacles que les rois, les villes, les provinces, etc. offrent aux peuples dans les occasions solennelles : ils m’ont paru d
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
semens moins emportés. » Le prélat rapporte à ce sujet l’exemple du peuple juif. (suprà, p. 161.) « Les Juifs, dit-il, n’avo
primitive, ils n’avoient jamais connu ces inventions de la Grèce… Le peuple innocent et simple trouvoit un assez agréable div
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
ensibilité de son Oncle. Un grand Spectacle qu’il venait de donner au Peuple de Rome, où il n’avait épargné ni soins, ni dépen
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
traire. Le général des Spectateurs, tous les Danseurs subalternes, le peuple de l’Opéra n’ont de la Danse qu’ils appellent nob
80 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
rophète Isaïe se plaint en ces termes : (c. 30, vv. 9, 10 et 11.) Ce peuple est toujours rebelle : Ce sont des enfans menteur
81 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
es personnages, et en substituant des Cœurs de Mages, de Satrapes, de peuple , de femmes au corps de Ballet que j’ai employé ;
ventures entre des Paysans, des Pâtres, et d’autres gens de la lie du peuple . Pour ne pas faire toujours la même chose, ils s’
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
doivent prendre du repos et des divertissements ; mais encore tout le Peuple doit se réjouir, qui, après ses inquiétudes dans
éides et de Tritons, après lesquelles l’Amérique paraît suivie de ses Peuples . Elle présente ses trésors à l’Espagne portée sur
83 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
torsion, et vous trouverez l’origine de cette fausse dénomination. Le peuple avait appelé ce dernier enthousiasme, fureur prop
, fureur prophétique ; et les pédants de l’antiquité (autre partie du peuple peut-être encore plus bornée que la première) don
pinceau, comme s’il était le premier moteur. Le style figuré chez des peuples instruits, tels que le nôtre, devient insensiblem
84 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
ceux des sorciers adorant la terre et le miracle printanier ; ceux du peuple s’adonnant aux jeux rituels. Les jeunes hommes et
85 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
terrompant ses Explois, Qui pourroyent êtablir ses Loix Chez tous les Peuples que la Terre, Dans sa vaste Rondeur, enserre. V
86 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre II. Détails sur Pylade et Bathylle »
é. On juge bien que Pylade ne fut pas plus circonspect en présence du Peuple . Ses flèches lancées au milieu des spectateurs, e
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
t Plutarque, il avait toujours l’adresse de persuader aux Juges et au Peuple , que le prix ne devait être donné qu’à lui. 149
88 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
te fête unique dans son espèce, ne coûta rien au trésor public, et le peuple n’eprouva pas le contre-coup douloureux de la dép
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
x arts. Aussi jaloux de la gloire de son maitre que de la félicité du peuple , ce sage Ministre n’ignoroit pas combien il est i
talens et le génie ; il fit tout pour la gloire du Roi, le bonheur du peuple , et l’illustration des sciences et des arts. Cet
rifioit à la danse et aux répétitions des ballets appartenoient à son peuple . Il est à croire qu’une considération aussi puiss
90 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
ttachant à la superficie de ses rameaux elles n’étoient écrasées ; ce Peuple enfin de Partisans & de Protecteurs qui mandi
ns cela, plus de vérité, plus de costume, plus de pittoresque. Chaque Peuple a des loix, des coutumes, des usages, des modes &
les habits ne consulte personne ; il sacrifie souvent le costume d’un Peuple ancien à la mode du jour, ou au caprice d’une Dan
e est vraie, & si le caractere de la Danse répond au caractere du Peuple & de la Nation qu’elle doit représenter. Ne p
s mêmes ; Musette pour les Prêtresses. Au second Acte, Loure pour les Peuples , Tambourin & Rigaudon pour les Matelots. Au t
91 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
n autre trait. Trois ou quatre gestes, faits pourtant par un homme du peuple , confondirent, dit-on, un habile Philosophe, qui
on entend tous les jours entre maris & femmes dans les menages du peuple , me font desirer que l’on veuille y apprendre à s
92 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
même, au milieu du dernier siècle, on voyait encore les Prêtres et le Peuple de Limoges danser en rond dans le chœur de Saint-
93 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
son. — Attitude du clergé. — Hommages rendus par l’aristocratie et le peuple . — La presse. — Conflits de nationalités. — Les p
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
ête. Je dis se donnait, car, assurément la fête n’étoit point pour le peuple , qui méritoit, au moins, les égards dûs au maître
95 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage » pp. 115-118
absolument. Il n’y a que trop de gens qui, abusant de l’ingénuité du peuple , pour s’emparer de son vœu, foulant aux pieds la
96 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
os oreilles, et qui pourtant font les délices de la majeure partie du peuple  : mais si vous aviez parcouru comme moi les princ
97 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
villes du royaume. A la fête de saint Martial, apôtre du Limousin, le peuple dansait encore vers le milieu du dernier siècle d
la fin de chaque psaume, au lieu de chanter le Gloria Patri, tout le peuple chantait en langage du pays : san Marceau pregats
98 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
rtons, vient de l’inspection et de l’intendance que nous avons sur le peuple dont nous sommes évêques, et du soin que nous dev
’engager à ne pas borner l’usage de son autorité au bien temporel des peuples , mais à l’étendre encore à leur bien spirituel :
99 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
entinelle voyant venir l’épée ne sonne pas de la trompette, et que le peuple ne se tenant point sur ses gardes, l’épée vienne
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
e, qui est la base de la gloire des souverains, et de la félicité des peuples . Comme je ne suis point attaché à mes idées, Vous
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