Chapitre XI. Des Usages de quelques
Peuples
, et de certaines Lois de Lacédémone. Lycurgue o
’idée du plan d’éducation qu’il traça pour la jeunesse de Sparte. Ces
Peuples
que les Grecs appelaient Barbares, allaient au co
de diverses fleurs, prit encore des Arcadiens, qui passaient pour des
Peuples
très sages, parce qu’ils savaient être heureux, u
upait constamment de la Danse, jusqu’à trente ans. Dès l’enfance, ces
Peuples
s’instruisaient de la Musique, pour pouvoir chant
ogrès de chacun des Acteurs. Ils étaient jugés sans partialité par le
Peuple
, qui était lui-même expert dans cet exercice, et
hommes nouveaux qu’il voulait former. En occupant à la Danse un grand
Peuple
qu’il souhaitait de rendre heureux, en appliquant
sirs, occupèrent aux mêmes plaisirs, occupèrent aux mêmes travaux, un
Peuple
de Sages qui ne composaient qu’une même famille,
ent pas moins obscures à leurs propres yeux, qu’aux regards mêmes des
Peuples
qu’ils feignaient d’instruire. Le mystère leur do
ts de lumière qui servirent à établir leur puissance, et à égarer les
peuples
qu’ils avaient intérêt de séduire. C’est dans cet
barque dorée. À son arrivée, les Prêtres, les Grands de l’État et le
Peuple
, allaient le recevoir avec la plus grande pompe e
es et gaies qui faisaient passer la joie et l’amour dans le cœur d’un
peuple
innombrable qui en avait été le spectateur. Selon
ns le temple, des Danses funèbres, qui exprimaient le malheur que les
Peuples
pleuraient, et tout restait plongé en Égypte dans
nt ainsi pendant sept jours. C’est en se rappelant cette fête, que le
Peuple
de Dieu imagina dans le désert, la danse sacrilèg
irement des Prêtres du vrai Dieu, une partie de leurs cérémonies ; le
Peuple
juif, à son tour, entraîné par le penchant à l’im
ion si puissant dans l’homme, se rappela, dans le désert, le culte du
Peuple
qu’il venait de quitter, et il l’imita. Ainsi les
éger et insouciant des Français. Il demandoit, un jour, en parlant du
peuple
, chante-t-il et danse-t-il encore. Cette question
s cet instant ne peut-être comparé à celui qui vient de se passer. Le
peuple
avoit du pain, le luxe naissant venoit au secours
flatter de faire sourire l’humanité souffrante. Non, de long-tems, ce
peuple
trompé par l’infernal artifice de Robespierre et
que toutes les fêtes immorales et insignifiantes que l’on donnoit au
peuple
, au moment de son délire et dans le cours de sa c
humeur. Le prestige de la liberté et de l’égalité avoit disparu ; le
peuple
avoit renoncé à sa prétendue souveraineté ; et ce
tous ces dangers qu’en divisant cette masse énorme, et en donnant au
peuple
autant de fêtes particulières, qu’il y a de faubo
bravoure qui ont illustré nos armées. On me dira, sans doute, que le
peuple
, est curieux ; je le sai, qu’il veut tout voir, j
rupuleux et le plus sagement maintenu. En connoissaut la curiosité du
peuple
, je ne puis ignorer qu’il est des genres de spect
n approuvant ma distribution, on ne manquera pas de m’observer que le
peuple
voudra voir ce qu’on aura préparé au champ de Mar
es les objections, soit raisonnables, soit puériles ; je dirai que le
peuple
après avoir vû tous les grands préparatifs de la
, qui se rendroit au Champ de Mars, passeroit par les Boulevards ; le
peuple
admireroit l’appareil le plus frappant et le plus
’entrée du pont de la révolution, arrêteroit la curiosité. Lorsque le
peuple
auroit vu passer cette marche pompeuse et triomph
roupe de Joueurs. Plusieurs petits Génies. Troupe de Démons. Foule de
Peuple
. La Scène est dans la Turquie Européenne. S
, au comble de la joie, fait sonner de la trompette, pour appeller le
Peuple
. Scene VI. Foule de Peuple de tout âge
e la trompette, pour appeller le Peuple. Scene VI. Foule de
Peuple
de tout âge & de toute condition. On entend u
Théâtre, & remontent dans leurs nuages. Le Magicien fait signe au
Peuple
qu’on ne peut avoir des échasses qu’avec de l’arg
& disparaissent. On sonne de la trompette. Scene XV. Le
Peuple
accourt ; une partie a des échasses, & l’autr
ait de nouvelles conjurations, & sort avec Arlequin & tout le
peuple
. Scene XVII. Le Sultan, entouré de ses
I. Le Théâtre représente une Salle du Palais du Sultan. (Tout le
Peuple
est rassemblé). Le Magicien fait sortir de dessou
on en sortira plus beau, plus aimable qu’on ne l’était auparavant. Le
Peuple
se présente en foule pour essayer la métamorphose
débouffis, de sortir au plutôt. Mais s’appercevant qu’ils menacent le
Peuple
, il frappe la terre de sa baguette, elle s’entr’o
ins illuminés & décorés des mains de l’Art & de la Nature. Le
Peuple
vient exprimer au Sultan sa joie & sa reconna
l’assure qu’il doit compter maintenant sur un bonheur inaltérable. Le
Peuple
célèbre sa félicité. On forme un ballet, composé
e clarté. L’alégresse redouble. Le Sultan n’a plus rien à desirer. Le
Peuple
se livre aux douces impressions qu’il éprouve ; &
manderois dabord si les fêtes publiques doivent être exécutées par le
peuple
ou pour le peuple. S’il peut en être tout à la fo
i les fêtes publiques doivent être exécutées par le peuple ou pour le
peuple
. S’il peut en être tout à la fois acteur et spect
iques ont eu jusqu’ici différens objets, tantôt celui de distraire le
peuple
de ses maux, tantôt de capter son suffrage par d’
s mœurs, du goût et de l’esprit. Les fêtes, telles qu’on les donne au
peuple
, ne sont ni bonnes ni utiles ; elles sont ruineus
lles sont ruineuses pour l’état. Les fêtes qui conviennent à un grand
peuple
, doivent plus coûter à l’imagination, au goût et
blic, faisoient fuir les gens sensés, les gens de goût, trompoient le
peuple
, le corrompoit, et l’entretenoit dans une efferve
ête n’est point arrivé. Celui qu’on avoit choisi pour en rassasier le
peuple
, n’étoit rien moins que propice ; d’ailleurs ces
id se joignit aux Ministres des autels, et qu’il dansa en présence du
peuple
Juif, devant l’Arche, depuis la maison d’Obededon
isse douter de la multitude des Danses et des Chants en usage chez le
peuple
Juif 17. On voit d’ailleurs, dans les Description
lus grande pompe dans toutes les solennités. Les Égyptiens étaient le
Peuple
le plus à portée de saisir tout l’extérieur d’un
e répandit bientôt, en achevant de se corrompre, chez tous les autres
Peuples
de la terre. 13. Sumpsit ergo Maria Prophetiss
ns attributs, et sous la forme d’un enfant ordinaire. Corsaires .
Peuple
d’Athènes . Première partie. La décoratio
fices. Le fond de cette place offre à la vue le temple de l’Amour. Le
peuple
attend avec impatience l’arrivée des jeunes Athén
t ; l’amour paternel et l’amour filial y éclatent de toutes parts. Le
peuple
pénétré d’admiration offre des couronnes de roses
n libérateur, et, par un mouvement d’enthousiasme et d’admiration, le
peuple
place Cryséïs et son amant sur un pavois, les élè
embrasse et les conduit dans son temple. On les suit en foule ; et le
peuple
, frappé de ce nouveau prodige, exprime tout à la
Cléopatre sur le Cydnas, lorsqu’elle vint visiter Antoine, et que le
peuple
la prit pour la mère des Amours.
une danse caractérisée au chant d’un hymne qui exprimoit les vœux du
peuple
. L’Histoire sainte nous fait voir combien la dans
nu au 15 chapitre de l’Exode, pour remercier Dieu d’avoir délivré son
peuple
de la persécution des Egyptiens, & de la défa
orer le Veau d’or, ou l’idole qu’ils avoient faite des joyaux d’or du
peuple
, à l’exemple des Egyptiens qui adoroient l’idole
Egyptiens qui adoroient l’idole ou le bœuf Apis, qui passoit chez ces
peuples
pour une Divinité : c’est ce qui a fait dire à S.
e du P. Calmet Bénédictin. Il paroît par le Pseaume CXLIX. combien ce
peuple
connoissoit les emplois que l’on pouvoit faire de
par l’invocation que le Psalmiste fait à Dieu, & pour inviter son
peuple
à l’honorer par des danses pieuses. Il est dit en
itre 31 des Prophéties de Jérémie, nous apprend que Dieu promet à son
peuple
, qu’après les peines de l’exil qu’il a souffert d
& pour la défense des danses Baladoires qui se faisoient par les
peuples
les Fêtes & Dimanches dans les places publiqu
e précedent à Limoges, à la fête de S. Martial Apôtre du Limousin, le
peuple
danser en rond dans le chœur de l’Eglise de ce Sa
Charles V, l’an 1373, au rapport de Mezeray, qui dit qu’en France le
peuple
fut attaqué d’une passion maniaque ou phrénésie i
ient : la plûpart de ces gens-là n’étoient néanmoins que de la lie du
peuple
, de l’un & de l’autre sexe ; le mal fut plus
cadences & ses figures, énoncez dans le premier Chapitre, dont le
peuple
par la suite des tems se servit pour composer des
une danse caractérisée au chant d’une Hymne qui exprimoit les vœux du
peuple
. Les Perses & les Indiens qui adoroient le So
t bien juger que c’étoit une ruse des Sacrificateurs pour séduire les
peuples
, comme il paroît dans Apulée en parlant des danse
s fictions pour rendre ces sortes de cérémonies plus respectables aux
peuples
. La danse Sacrée étoit encore admise dans les fun
traverser leur mutuelle félicité. Les Curiaces ont été choisis par le
peuple
d’Albe, pour terminer, par un combat singulier, l
la vue de ce spectacle déchirant, et il est conduit au capitole où un
peuple
nombreux l’attend avec impatience. Acte III.
cédens. Fulvie, dames Romaines, Camille. Horace, précédé et suivi du
peuple
Romain, des troupes de la république et des sénat
ui envoyé, et qu’il doit autant à l’estime de son Roi qu’à l’amour du
peuple
. Il se précipite dans les bras de Procule ; Fulvi
es trophées, les porte en triomphe, et on l’emmène pour le montrer au
peuple
. Acte V. La décoration représente la princ
hithéâtres. Les troupes sont rangées à l’entour de cette place, et le
peuple
est placé derrière elle sur des gradins élevés.
ieil Horace, Horace, Fulvie, Procule, Dames et Chevaliers Romains. Le
peuple
est impatient de voir son libérateur. Un bruit d’
attelés de front. Le vieil Horace marche devant ce char, et montre au
peuple
les trophées que la valeur de son fils a su lui o
ête au milieu de la place ; la musique cesse ; et dans cet instant le
peuple
s’abandonne à son enthousiasme en criant trois fo
rme un grouppe d’autant plus général, que les troupes les dames et le
peuple
, par un mouvement spontané, expriment par des ges
es Romaines expriment leur admiration et par un sentiment unanime, le
peuple
applaudit à la justice de Tullus, et au bonheur d
s captivèrent l’amour des grands, et fixèrent sur eux l’engouement du
peuple
. Ce spectacle neuf qui lit tourner toutes les têt
ces pantomines moins par goût, que par politique ; il connoissoit le
peuple
de Rome, il savoit qu’il étoit inquiet, turbulent
upant entièrement sa pensée, étouffoient en lui l’esprit de parti. Le
peuple
s’amusant sans cesse des intrigues du théâtre ne
t à se plaindre d’Auguste. Les seigneurs s’associèrent à la cabale du
peuple
. L’Empereur n’étoit plus a leurs yeux qu’un tyran
de changea tous les esprits, dissipa les complots ; les grands, et le
peuple
chantèrent la bienfaisance, la justice, et les ve
voit fait regetter. Pylade parut, fut applaudi avec transport ; et le
peuple
et les grands ne cessèrent de bénir un prince, qu
rs. Les arts prirent encore le fuite pour se dérober à la fureur des
peuples
barbares, qui ravageoient l’empire, et y répandoi
urs qui y régnait, aurait cru, dès l’abord, se trouver au milieu d’un
Peuple
frivole uniquement occupé du plaisir. Sur des Chœ
ues, pour chanter en chœur des Hymnes en l’honneur d’Apollon. Tout le
Peuple
répondait à leurs Chants, et applaudissait à leur
vait dans les cœurs : elle était une nouvelle leçon de vertu pour des
Peuples
qui ne vivaient que pour elle43. Quelquefois tout
uis les amena tous deux en pleine assemblée de Ville où était tout le
Peuple
, et mit devant eux des friandises et fit lâcher u
s Ecclésiastiques, de toute la Noblesse et d’une foule innombrable de
Peuple
. Quatre Chars d’une grandeur extraordinaire étaie
enommée semblaient par leurs attitudes aller les apprendre à tous les
Peuples
du monde. Cette pompe passa du Port dans la Ville
t vers le Collège, précédés de plusieurs Trompettes. Après quoi des
Peuples
de diverses Nations, vêtus à la manière de leurs
eprésentés par autant de Génies marchaient, avec ces Nations ; et les
Peuples
différents, devant les Chars des Ambassadeurs de
es Prêtres et les Prêtresses de Bacchus, exécutaient à l’exclusion du
Peuple
, furent dans les suites imitées par tous les Grec
unesse Romaine prit la place des baladins qu’on venait de chasser. Le
Peuple
suivit l’exemple que lui donnait la Noblesse : bi
utume irréligieuse qui s’est introduite aux fêtes des saints, que les
peuples
, au lieu d’assister à l’Office divin, emploient l
ec de plus grands. Que les prêtres aient donc grand soin d’avertir le
peuple
qu’on ne doit venir à l’église en ces saints jour
publics, par lesquels non-seulement cet esprit de malice détourne le
peuple
de fréquenter les églises et d’assister à l’offic
mal, que ce que les saints pères ont autrefois établi pour réunir les
peuples
dans des assemblées de prières, ne sert plus, par
s fidèles sur les choses du salut, soient saintement observées par le
peuple
chrétien, nous renouvelons le décret du dernier c
à mes idées, et de remonter aux causes premières qui ont enchaîné les
peuples
de l’Allemagne à l’étude constante et habituelle
fallut il pas d’avantage pour répandre le goût de la musique chez un
peuple
stagnant. Mais je découvre une cause qui me sembl
e. Vous en voyez la raison ; c’est que cet art est un besoin pour ces
peuples
, comme le commerce en est un pour les Anglais ; c
ez Danse. (B) Danse sacrée Danse sacrée, c’est la danse que le
peuple
Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établi
ignit aux ministres des autels, et qu’il dansa en présence de tout le
peuple
Juif, en accompagnant l’arche depuis la maison d’
telle qu’on vient de l’expliquer, et qu’on la trouve établie chez le
peuple
Hébreu dans les temps les plus reculés, passa san
oute avec les notions imparfaites de la divinité chez tous les autres
peuples
de la terre. Ainsi elle devint parmi les Egyptien
fut la plus solennelle. C’est à l’imitation de cette dernière, que le
peuple
de Dieu imagina dans le désert la danse sacrilège
s égyptiennes, puisqu’elles subsistaient longtemps avant la sortie du
peuple
Juif de l’Egypte. Les prêtres d’Osiris avaient d’
leurs cérémonies, qu’ils avaient ensuite déguisées et corrompues. Le
peuple
de Dieu à son tour entraîné par le penchant de l’
l à l’homme, se rappela après sa sortie de l’Egypte les cérémonies du
peuple
qu’il venait de quitter, et il les imita. Les Gre
nt danseurs par état ; parce que la danse a été regardée par tous les
peuples
de la terre comme une des parties essentielles du
oyait encore vers le milieu du dernier siècle, les prêtres et tout le
peuple
de Limoges danser en rond dans le chœur de Saint-
e Romaine prit la place des danseurs à gages qu’on avait chassés ; le
peuple
imita la noblesse, et les sénateurs eux-mêmes n’e
ce jour tous les travaux cessaient, on ne songeait qu’au plaisir. Le
peuple
, les magistrats, la noblesse confondus et réunis
mystères des Orgies de Bacchus, qui ne devaient point être connus du
peuple
. Voyez Orgies [Article du Chevalier de Jaucourt]
t point les grands Seigneurs qui les entourent et qui les copient. Le
Peuple
se modèle sans cesse sur la Bourgeoisie, qui ne s
Peuple se modèle sans cesse sur la Bourgeoisie, qui ne se croit point
Peuple
, et qui aurait honte de lui ressembler. Il en fut
la Jalousie et la Vengeance. Troupe de Démons. Prêtres de l’Hymen.
Peuples
. Officiers et soldats. Première partie.
des trois ordres de l’état Il approche de l’autel, il montre Jason au
peuple
, comme le Prince que son cœur choisit pour régner
sa fille, le couronne de sa propre main, et le conduit au trône ; le
peuple
tombe aux pieds du nouveau Roi ; les cris d’allég
le bruit des timballes et des trompettes retentit dans les airs ; le
peuple
applaudit au choix de Créon. Créuse mêle sa joye
ose plus lever les yeux. Créon témoigne le plus violent courroux ; le
peuple
consterné attend en frémissant l’issue d’un tel é
lacés à la droite du trône, les Satrapes à la gauche ; les gardes, le
peuple
occupent le fond du temple. Sémiramis paraît ; en
élève un temple consacré à Bélus. On voit d’abord entrer une foule de
peuple
qui vient lui faire des offrandes. On y danse un
rencontrera. Ninias entre, et en attendant, les Prêtres rappellent le
peuple
, et continuent leurs prières. Ninias sort ensuite
mour qui m’a inspiré assez de courage pour les sauver. À ces mots le
Peuple
accourt. Les gémissements sont suspendus : un mou
belle action. Il voit tour à tour dans les regards de cette foule de
peuple
qui l’écoute, la surprise, l’admiration et la joi
, étaient dignes de la sentir et ils la portèrent aussi loin qu’aucun
Peuple
délicat de la terre ; mais ils ne furent pas long
’un sang vif ? Les Prêtres alors se croyaient vraiment inspirés : les
Peuples
recueillaient leurs discours comme des oracles, e
Anglais, les Espagnols qui avaient leurs Dieux particuliers, tous les
Peuples
enfin du Monde connu, à quelque idole qu’ils aien
icateurs . Jeunes filles Témessiennes. Jeunes hommes de Témesse.
Peuple
. Soldats. La scène est à Témesse. Scène pr
iens de venir la lui ravir. Cette témérité imposante surprend tout le
peuple
. Cependant il faut que l’Oracle s’accomplisse, et
e leur ministère et courent dans le temple pour chercher un asile. Le
peuple
épouvanté fuit de toute part. Eucharis qui craint
terrasse le spectre et le foule à ses pieds. A cette victoire tout le
peuple
accourt ; il témoigne son admiration, sa joye, sa
ymen à celui de l’amour ; ils enchaînent ces amans avec des Heurs. Le
peuple
de Témesse rend hommage à l’amitié. C’est un sent
de fleurs, étoient devancés et suivis par des soldats ; une foule de
peuple
s’assembloit dans cette place ; mais la résignati
dignoient et les adieux éternels qu’ils se faisoient, subjugnoient le
peuple
et l’intéressoient en leur faveur. Les soldats ga
es volontés, il commandoit qu’on allumât de bûcher. Dans ce moment le
peuple
se révoltoit et poussoit des cris d’indignation,
urni. Cette représentation fit une telle impression sur une partie du
peuple
, qu’en voyant les Danaïdes, les spectres, la mort
ns que la fausseté fournit aux âmes criminelles, tant pour séduire le
peuple
que pour dissiper ses soupçons. Elle fait un sacr
cette lugubre ceremonie. Au signal donné parle grand prêtre, tout le
peuple
tombe a génoux, ainsi que Clytéimnestre, Egiste e
attention on trouve quelquefois bizarres, et qui firent cependant, du
peuple
le plus pauvre du monde, le Peuple le plus redout
arres, et qui firent cependant, du peuple le plus pauvre du monde, le
Peuple
le plus redoutable et le plus heureux.
accompagné d’une suite nombreuse est placé à la droite ; une foule de
peuple
, témoin de celle cérémonie, est dispersé dans les
une partie des fortifications intérieures de la ville ; une foule de
peuple
est rangée dans cette place, pour être témoin de
é la résistance de leurs gardes, et se donnent en présence de tout le
peuple
des témoignages de leur mutuelle tendresse : le p
nce de tout le peuple des témoignages de leur mutuelle tendresse : le
peuple
attentif à l’action de ces amans, s’y intéresse ;
contre un Roi Tyran ; la persuasion gagne de proche en proche, et le
peuple
aussi attendri que convaincu de l’innocence de ce
iné la délicatesse d’Athènes, ou le luxe de Rome, et sur ce point les
peuples
contemporains les plus polis de l’Europe sont enc
d’hui de nos Fêtes de tous les jours, furent constamment inconnus aux
peuples
jadis les plus polis et les mieux instruits de la
ette pantomime expressive, art connu, si chéri des Romains, et que ce
peuple
préférerait à tous les autres amusements. On sait
r nœud et leur dénouement. Mais est-il nécessaire d’avoir recours aux
peuples
de l’Antiquité, tandis que nous pouvons citer de
e des passions, des mœurs, des cérémonies et des costumes de tous les
peuples
. Voilà pour la partie de la composition ; quant à
ignore absolument mais, ce qui n’est point conjectural, c’est que ce
peuple
d’artistes et de savans quitta l’Egypte, et se ré
r les succès, et par les honneurs du triomphe ; c’étoit a la vüe d’un
peuple
nombreux et enthousiaste, qu’ils recevoient le pr
tion flatteuse étoit accompagnée des cris et des applaudissemens d’un
peuple
, qui attachoit une partie de sa gloire et de son
rs de l’abondance ; et lorsque les rigueurs de l’Hiver ramenaient les
Peuples
dans leurs foyers, pour y jouir des bienfaits des
usique et les Danses recommençaient, on ne songeait qu’au plaisir. Le
Peuple
, les Magistrats, la Noblesse confondus et réunis
celle qu’ils avaient naturellement sur eux, ainsi que sur le reste du
Peuple
, il les mit au-dessus des Citoyens ordinaires, et
plus vif encore, lorsqu’en parcourant les Annales de Rome, je vois le
Peuple
, les Sénateurs, la Noblesse courir avec empressem
e des autres arts, la Danse fut une vive expression de joie. Tous les
Peuples
l’ont fait servir depuis, dans les réjouissances
nts, le caractère des Nations, la qualité, l’éducation, les mœurs des
Peuples
. Voilà la Danse simple, et un des objets de Quina
sent bien qu’en parlant de nations je n’entends que cette portion des
peuples
qui cultive les arts. En Italie, on voit communé
leur demanderai enfin si leur désintéressement leur fait chercher le
peuple
qui paye le moins ce genre de talent.
innocens, pour augmenter les réjouissances publiques, entretenir les
peuples
dans la soumission, & délasser quelquefois l’
ela que les Dieux mêmes instituerent des jours de fêtes, afin que les
peuples
pussent joindre des divertissemens honnêtes au cu
imple amusement. Les Egyptiens qui passent pour l’un des plus anciens
peuples
du monde, & pour avoir eu les premiers la con
le passe-tems non seulement des personnes de condition, mais aussi du
peuple
. L’on tient que ce fut une grande louange pour Mé
épeindre de plus excellent que cet exercice. Les Phéaques étoient des
peuples
si voluptueux, qu’on ne s’étonne pas qu’Homere le
ombat ; terme équivalant à celui d’avoir bien fait à la bataille. Ces
peuples
avoient encore des danses particulieres en certai
nneur de Bacchus, dont les misteres ne devoient point être revélez au
peuple
: on appeloit aussi Dessauteur celui qui les revé
Athenée, Livre 14, rapporte que les Arcadiens qui ont passé pour des
peuples
fort sages, avoient coutume d’exercer la jeunesse
ement parlé contre les danses. Il le fait d’abord en expliquant à son
peuple
l’endroit de l’Evangile selon saint Mathieu, (c.
oit fait pour cela : un des moyens qu’il employa fut de faire lire au
peuple
l’histoire de l’adoration du veau d’or par les Ju
les Juifs, rapportée au chapitre 32 de l’Exode : il y est dit que le
peuple
se leva dès le matin, pour offrir à ce veau des h
saint Augustin, qui n’étoit alors que simple prêtre, fit observer au
peuple
que dans toute l’Histoire sainte on ne voit que l
vés les dix commandemens. En descendant de la montagne pour porter au
peuple
ces tables de la loi, Moïse vit le veau et les da
in, contre les désordres qu’il s’efforçoit de détruire, exhortant son
peuple
à ne plus célébrer, à l’avenir, les fêtes des mar
loir pratiquer tous les ans dans les solennités des Saints, ce que le
peuple
juif n’a fait qu’une seule fois, et dans une occa
la sainteté de leur vie, assez d’autorité pour faire sur l’esprit des
peuples
toute l’impression que leurs discours devroient y
moyen, leur répondit ce bon prince, qui ne soit point à charge à mon
peuple
, pour bien régaler mes alliés. Allez messieurs, c
rgot aurait fait l’équivalent d’un pareil miracle, sans surcharger le
Peuple
, et sans importuner le Roi. Ce Magistrat que la p
n, et Division de la Danse sacrée La Danse sacrée est celle que le
Peuple
Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établi
r l’origine de la Danse dans les tems les plus reculez & chez les
peuples
les plus anciens, & je trouve qu’elle y a fai
majestueuses & si graves, qu’elles imprimoient dans l’esprit des
Peuples
des sentimens de respect pour les Dieux. On peut
d’Achile, parce qu’elles servoient de son tems de divertissement aux
peuples
de la Grece, où il s’étoit formé à l’exemple de D
usse est exécutée avec la grandeur naïve et désinvolte de la femme de
peuple
russe, le pas norvégien est une « humoresque » tr
tre masque : même dans le feu, ce sourire est glacé. On croit voir un
peuple
de poupées et de pantins en cire. Une femme, pass
int un art universel et estimé. La danse a été en usage chez tous les
peuples
civilisés et barbares ; elle faisait partie de le
eurs idoles et sur les tombeaux de leurs pères. On sait que, chez les
peuples
de l’antiquité, les sacrifices étaient accompagné
Lettre III. Sur le même sujet. Avant de vous nommer, Monsieur, le
peuple
qui aime le mieux la musique, qui la cultive avec
pour en juger les productions ; jugement bien propre à prouver que le
peuple
, qui aime le mieux la musique, n’est pas celui qu
champions. Les chevaliers et les dames se placent sur les gradins. Le
peuple
se disperse sur l’amphithéatre. Les juges du camp
yeux élevés vers le ciel, elle fait des vœux pour son amant : tout le
peuple
en fait pour elle. Raymond par sa démarche fière
son casque ; il chancelle, il est prêt à tomber. Les acclamations du
peuple
, un cri perçant d’Adèle qui tombe mourante dans l
pompe & à la magnificence des Spectacles qui font les délices des
Peuples
, & quelquefois les amusemens des plus grands
Quelques lois utiles que l’Empereur fit publier alors, trouvèrent le
peuple
dans cette disposition. Justes ou injustes, on ne
is, d’injustice, de tyrannie. Ce ne furent que transports de joie. Le
Peuple
, les Sénateurs, la Noblesse ne pouvaient se lasse
antomime avait l’effronterie de jouer publiquement un Sénateur, et le
Peuple
applaudissait à cette insolence. L’Empereur craig
risable. Pline loue cet empereur, d’avoir exécuté, du consentement du
Peuple
, un projet que Tibère, Néron et Domitien, avaient
airés par un nombre immense de lumières, cachées avec art aux yeux du
Peuple
, et qui portaient toutes sur plusieurs groupes de
, et dont on formait par cet arrangement un premier spectacle pour le
Peuple
, dont la foule ne saurait, à la vérité, être admi
sujet d’une affabulation plus palpable : cet être accablé c’était un
peuple
. Un peuple abstrait ? Que non ! Votre pensée situ
e affabulation plus palpable : cet être accablé c’était un peuple. Un
peuple
abstrait ? Que non ! Votre pensée situait l’actio
e Jésus-Christ : (Matth. c. 11, v. 16 et 17.) A qui comparerai-je ce
peuple
? (Le peuple Juif.) Ils ressemblent à ces enfans
: (Matth. c. 11, v. 16 et 17.) A qui comparerai-je ce peuple ? (Le
peuple
Juif.) Ils ressemblent à ces enfans assis dans la
ère et que toute sa maison, et qui m’a commandé d’être le chef de son
peuple
d’Israël, je danserai et je paroîtrai vil encore
ire. C’est avec raison, conclut saint Ambroise, que Dieu a rejeté le
peuple
juif, parce qu’il n’a point fait pénitence à la p
res instrumens, mais en donnant gloire à Dieu de la délivrance de son
peuple
; car cela est exprimé. Quant aux sauts de David
La Jalousie. Compagnons d’Hercule. Femmes de la suite de Déjanire.
Peuples
vaincus. Prêtres et sacrificateurs. La décor
Scène I. Un bruit de guerre se fait entendre, et une foule de
peuple
annonce le retour d’Hercule. Ce héros paroît sur
nt au combat : la présence d’Hercule, et la vue des couronnes, que le
peuple
destine au vainqueur, les anime ; la fureur s’emp
, et l’Europe entière ne fut plus que le triste séjour d’une foule de
Peuples
quelquefois guerriers et toujours barbares. Je fr
ors nos regards et notre admiration. J’ai à vous nommer maintenant le
peuple
qui aime le mieux la musique, qui la cultive le p
n que je remonte aux causes premières qui ont nécessité chez ce grand
peuple
, le goût et l’étude de la musique : permettez moi
au milieu duquel se décidaient, tant bien que mal, les destinées des
peuples
. Autour de lui papillonnait un essaim futile de c
Le Congrès danse bien, mais il ne marche pas. » La bourgeoisie et le
peuple
suivaient l’impulsion venue d’en haut. Le goût de
re dans son passage à travers l’Autriche : « Autour de moi demeure le
peuple
des Phéaciens à l’œil brillant. C’est tous les jo
n un souci de beauté qui préside à toutes les évolutions. De tous les
peuples
de race allemande, l’Autrichien réunit au plus ha
oublier et la Bigottini et la Vigano. Sortie des entrailles mêmes du
peuple
autrichien, élevée sous l’ombre protectrice d’un
Les héros de la pensée et de l’action ne font pas seuls la parure des
peuples
. Si tout pays est fier de produire des génies exc
êt. Elle nous montre que Fanny Elssler fut véritablement un enfant du
peuple
et une Autrichienne de race. En elle se rencontre
ang ; on voulait qu’elle fût sortie des couches les plus profondes du
peuple
. En second lieu il ne fallait pas qu’un pied préd
peuvent déchirer une ame sensible, l’artiste ne l’eût pas manqué. Le
peuple
fuyant épouvanté, Iphise et Electre paroissant s’
iciers d’Agamemnon. Dames du Palais. Soldats Grecs. Esclaves Troyens.
Peuples
de Mycènes. Le Grand Prêtre, des Sacrificateurs e
remportées sur leurs ennemis. Scène i. Une foule innombrable de
peuple
s’assemble sur la place, pour voir son Roi, qui,
re, .Princesse Troyenne et fille de Priam est placée à sa gauche ; le
peuple
de Mycènes suit ce char, en jettant des cris d’al
s d’Electre et d’Iphise ; le perfide Egisthe tombe à ses genoux et le
peuple
transporté d’allégresse s’empresse de témoigner a
nt. Agamemnon qui partage la félicité de sa famille et la joye de son
peuple
, ordonne à ses guerriers de commercer des fêtes ;
désarment ; il tombe sans connoissance sur une tombeau peu élevée. Le
peuple
épouvanté fuit de toutes part. On entraine Egisth
es actions qui passent ainsi en coutume. Or, Dieu disoit à son ancien
peuple
dans le livre de l’Exode : (c. 23, v. 2.) Vous n
qui est selon la coutume. » Saint Jean Chrysostôme expliquant à son
peuple
l’endroit de la Genèse, où il est parlé du mariag
bolir la coutume pleine d’irréligion, qui s’étoit introduite parmi le
peuple
, de déshonorer par des danses, les fêtes des sain
pereur Michel, parlant d’une coutume très-pernicieuse au clergé et au
peuple
, qui s’étoit introduite, lui dit « qu’il veut d’a
ne pourra pas recueillir ce qu’il n’aura pas semé. Aussi, quoique le
peuple
Juif résistât opiniâtrément à la voix des Prophèt
esse, faites retentir votre voix comme une trompette ; annoncez à mon
peuple
les crimes qu’il a faits ; et à la maison de Jaco
d’or, en l’honneur du régne de Saturne, pendant lequel tems tous les
peuples
vivoient dans une indépendance absolue : cette fê
essent la Religion Romaine, ont un mois dans l’hyver où la plûpart du
peuple
de l’un & de l’autre séxe, même des gens du p
fous ; & que leur folie finit le Mercredi des Cendres, où tout le
peuple
va le matin dans les Eglises, se mettre à genoux
dépens de la crédulité des plus puissans Rois, des Princes, & des
peuples
qui les alloient consulter comme des Dieux, pour
us grands Philosophes, mais un peu suspects de magie, au sentiment du
peuple
, & non pas de Saint Jérôme, assurent qu’il y
e à cet Athlete, après l’avoir contraint au bruit des acclamations du
peuple
, de s’aller précipiter dans la riviere, en faisan
ressoient leurs Théâtres dans les Places publiques, pour assembler le
peuple
, & pour servir de divertissement aux Marchand
aris voyant que ce divertissement public attiroit & détournoit le
peuple
du Service divin, en firent abolir l’usage, &
mpereurs Romains y assistoient aussi pour se rendre plus familiers au
peuple
. Il faut que leurs Jeux ayent bien dégénéré depui
inventeur de la danse de la Volte ; il surmonta les Toscans & les
peuples
de Lydie au saut & à la danse. C’est pourquoi
es maximes favorites de ce chef de famille : la clef est trouvée. Les
Peuples
par instinct, se modèlent toujours sur leurs Maît
ce qu’elle se soit entièrement écroulée, n’est qu’un préjugé du petit
peuple
de l’Opéra, qui s’est glissé dans le monde, et qu
ur ils l’applaudirent. Louis, qui sous ses justes Lois Gouverne les
Peuples
Gaulois, Avec des grâces sans pareilles, Y fit le
Malibran, jamais l’aristocratie féminine de New-York ne s’était faite
peuple
jusqu’au point de se risquer sur les derniers ban
enue, elle m’accable. Faut-il donc dire adieu, un éternel adieu, à un
peuple
qui m’a inondée de ses faveurs, qui n’a jamais hé
xagération. Le voyage de Fanny Elssler agit sur toutes les classes du
peuple
américain à la manière d’un puissant courant magn
à Matanzas, dans le décor féerique de la végétation des Antilles. Le
peuple
, qui ne pouvait s’offrir le luxe d’assister aux r
odes de la Bible. Un soir que Fanny rentrait du théâtre, une femme du
peuple
s’approcha de la voiture et lui tendit un enfant
eut dire cependant qu’une harmonie parfaite s’y laissât percevoir. Le
peuple
américain se composait d’éléments hétérogènes, si
rons-nous cette singulière effervescence où une danseuse jeta tout un
peuple
? Ce ne sera pas, à coup sûr, par le sens artisti
r eux. Ils dirent dans une adresse à Fanny Elssler : « Nous sommes un
peuple
actif qui se débat sur l’océan de la liberté agit
débat sur l’océan de la liberté agité par une tempête perpétuelle, un
peuple
qui, de ses bras vigoureux et musclés, oppose aux
échapper, les séductions de la femme les remueraient puissamment. Un
peuple
rude de travailleurs, que harcelait sans cesse l’
rmé ce qu’on a appelé les danses dans tous les temps et chez tous les
peuples
. Imiter, contrefaire, tout en dansant, les pas, l
laves de l’imitation la plus sévère des danses particulières à chaque
peuple
et, tout en dansant, donner à leurs pas et à leur
es écrits qui ont conservé et transmis les traditions originelles des
peuples
, attestent la présence de ce drame, dont l’instin
de pour ne pas attirer les regards de ceux qui voulaient régénérer le
peuple
; c’était un levier trop puissant sur l’esprit pu
et découvert. On donnait aussi des représentations de par et pour le
peuple
: le Gouvernement en faisait les frais ; on jouai
à toutes les inaugurations ; on chanta des chœurs : Le digne ami du
peuple
et l’émule des mœurs Sont tombés sous les coups d
Le fanatisme impur a fermé leur paupière. Célèbres montagnards que le
peuple
révère, Disciples fameux de Rousseau, Venez pare
’ouvrir pour lui. La Comédie française avait été érigée en théâtre du
peuple
, c’est-à-dire destiné aux représentations officie
dire destiné aux représentations officielles offertes gratuitement au
peuple
; on ne pouvait être admis à ces représentations
; le Siége de Thionville ; Toute la Grèce ; Wenzel ou le Magistrat du
peuple
. Si l’on joint à ces œuvres : le Chant des vengea
ue c’est là qu’il faut juger la France, nous eussions apparu comme un
peuple
en état de démence et d’ivresse. Les fastes de la
mée, qu’ils doivent au moins trouver une mention dans ce chapitre. Un
peuple
, une race, un monde tout entier, habitent l’Opéra
gnés. La fortune y fait mille tours ; elle jette en aveugle à tout ce
peuple
les bijoux et l’opulence, la vogue, et ensuite la
traits pour un esprit observateur ; mais c’est folie que d’aborder ce
peuple
magique ; laissez-lui son rouge et son clinquant,
1794), sous le titre de Théâtre des Arts, ouverture de par et pour le
peuple
, rue de la Loi ou plutôt de Richelieu, ancienne s
termine ordinairement la fête : comme il est dit dans l’Exode, que le
peuple
s’assit pour boire & pour manger, & se le
l’appanage des grands Seigneurs, pour s’attirer la bienveillance des
peuples
, ou pour faire remarquer leur grandeur & leur
Une réponse si sage fait bien voir la bonté que ce Roy avoit pour son
peuple
. J’ai vu en 1664 la fête qu’on leur donna à l’Hôt
vœux des mortels : Soleil, par ce seul langage Danse des Bracmanes,
peuple
des Indes, en l’honneur du Soleil.L’Indien rendoi
rs Titans ? Muse de la Danse. Danses Sacrées. Danse des Bracmanes,
peuple
des Indes, en l’honneur du Soleil. Prêtres de Mar
avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des Grecs, et des Romains,
Peuples
les plus délicats, et les plus difficiles qu’il y
s Romains avaient pour leurs représentations alla jusqu’à partager le
peuple
en deux factions, les verts et les bleus, qui ont
montré, ce que Lucien assure, et que j’ai rapporté plus haut, que des
Peuples
tels que les Grecs et les Romains pleuraient aux
ortit de sa barque dorée pour subjuguer le coeur d’Antoine, et que le
peuple
la prit pour la mère de l’Amour ; mais une chose
fera agir et danser dans le même sens et de la même manière, tous les
peuples
de la terre. La danse Française sera donc celle d
C’est à l’imagination du maître de ballets à se transporter chez les
peuples
différens de nous : S’il ne pont nous montrer le
ir soleil d’hiver, mais dans les murs en béton armé de la « Maison du
peuple
» que le dernier des tsars éleva à la gloire de l
e un Arion avec ces paroles : Populi super at prudentia fluctus. Le
peuple
en vain s’émeut ; la prudence l’apaise. Madame d
une flétrissure pour les courtisans, et une contagion funeste pour le
Peuple
. [Voir Fête (Beaux-Arts)] 91. Depuis 1559 qui f
sans, qu’il lui était aisé d’asservir, à dédaigner le suffrage de ses
peuples
, qu’elle aurait pu s’attacher, à distraire, à abr
tir, et à l’étendue du terrain sur lequel on allait l’élever. Tout ce
peuple
d’Artistes, qui ne vit dans Quinault qu’un Poète
arde à ne point donner témérairement le nom de danseur à un consul du
peuple
romain ; mais pour donner quelque fondement à vot
s Romains, et il y servit aux mêmes usages ; les Italiens et tous les
peuples
de l’Europe en embellirent successivement leurs t
; on danse dans L’Europe galante pour danser. Ce sont à la vérité des
peuples
différents qu’on y voit paraître : mais leurs hab
ention de la danse des chevaux : le plaisir était le seul objet de ce
peuple
voluptueux ; il était l’âme de tous ses mouvement
Aristote, rapporte que les Crotoniates, qui faisaient la guerre à ce
peuple
, s’étant aperçu du soin avec lequel on y élevait
rdinaires, et les Crotoniates les taillèrent en pièces. Les Bisaltes,
peuples
de Macédoine, se servirent du même artifice contr
es restes des hommes, qui fixèrent par leurs talens l’admiration d’un
peuple
enthousiaste, et ami des arts ; ces tristes monum
coles étoient fréquentées par les nobles, par les orateurs, et par le
peuple
. Ces gestes de convention, ce langage muet, étoit
i doit le conduire à Babylone. Il veut que cette alliance console les
peuples
des malheurs inséparables de la guerre ; il veut
2, le mariage de S. M. en 1725, etc. C’est un doux spectacle pour un
peuple
aussi tendrement attaché à son Roi, de le voir au
son retour de Metz, vint jouir des transports d’amour et de joie d’un
peuple
qui venait de trembler pour ses jours. Nous donno
uve qui avait été remplie de douze muids de vin, qui fut distribué au
peuple
par trois faces de cette fontaine : elle commença
de décorations ; et c’était par-là que se faisait la distribution au
peuple
, du pain et des viandes. La place au centre de la
it fermé de cloisons de planches peintes en pierres, pour empêcher le
peuple
d’entrer dans l’intérieur du perron. Les murs de
age une fontaine de vin à la croix du Trahoir, et on y distribuait au
peuple
du vin et de la viande. Sa Majesté étant au comme
oi, à la Reine, à la famille royale. Jamais monarque n’a gouverné ses
peuples
avec autant de douceur ; jamais peuples aussi n’o
ais monarque n’a gouverné ses peuples avec autant de douceur ; jamais
peuples
aussi n’ont été si tendrement attachés à leur roi
nt extraordinaire, qui intéresse un état, une province, une ville, un
peuple
, etc. Ce mot a été nécessaire à toutes les natio
dès-lors que dans les grandes circonstances, la joie des princes, des
peuples
, des particuliers même, pouvait être exprimée d’u
ent vers le collège, précédés de plusieurs trompettes. Après quoi des
peuples
de diverses nations, vêtus à la manière de leur p
représentés par autant de génies, marchaient avec ces nations et les
peuples
différents devant les chars des ambassadeurs de l
airés par un nombre immense de lumières, cachées avec art aux yeux du
peuple
, et qui portaient toutes sur plusieurs groupes de
oi, et qui formaient par cet arrangement un premier spectacle pour le
peuple
, dont la foule ne saurait à la vérité être admise
, est la participation sage, juste, et utile, qu’on doit y ménager au
peuple
dans tous les cas de réjouissance générale. On a
qui leur était due des plaisirs qu’allaient prendre leurs maîtres. Le
peuple
, qu’on croit faussement ne servir que de nombre,
ise un Arion avec ces paroles : populi superat prudentia fluctus ; Le
peuple
en vain s’émeut, la prudence l’apaise. Madame d’A
une flétrissure pour les courtisans, et une contagion funeste pour le
peuple
. On ne s’est point refusé à ce récit, peut-être t
a la fête, et ne fut interrompu que par les acclamations réitérées du
peuple
. Entre le temple et le Pont-Neuf étaient quatre g
llissait les mouvements de la multitude, en éclairant les flots de ce
peuple
innombrable répandu sur les quais. On jouissait à
conservées dans leur état parfait pendant huit jours, pour donner au
peuple
la liberté de les voir. Les grands effets que pro
retentit des vœux que faisait pour elle une multitude prodigieuse de
peuple
, répandu sur le rivage, dans les vaisseaux et dan
re de descendre, et se plaisent à faire éclater leur zèle aux yeux du
peuple
heureux qu’elle gouverne. C’est cet esprit dont t
spectacles que les rois, les villes, les provinces, etc. offrent aux
peuples
dans les occasions solennelles : ils m’ont paru d
semens moins emportés. » Le prélat rapporte à ce sujet l’exemple du
peuple
juif. (suprà, p. 161.) « Les Juifs, dit-il, n’avo
primitive, ils n’avoient jamais connu ces inventions de la Grèce… Le
peuple
innocent et simple trouvoit un assez agréable div
ensibilité de son Oncle. Un grand Spectacle qu’il venait de donner au
Peuple
de Rome, où il n’avait épargné ni soins, ni dépen
traire. Le général des Spectateurs, tous les Danseurs subalternes, le
peuple
de l’Opéra n’ont de la Danse qu’ils appellent nob
rophète Isaïe se plaint en ces termes : (c. 30, vv. 9, 10 et 11.) Ce
peuple
est toujours rebelle : Ce sont des enfans menteur
es personnages, et en substituant des Cœurs de Mages, de Satrapes, de
peuple
, de femmes au corps de Ballet que j’ai employé ;
ventures entre des Paysans, des Pâtres, et d’autres gens de la lie du
peuple
. Pour ne pas faire toujours la même chose, ils s’
doivent prendre du repos et des divertissements ; mais encore tout le
Peuple
doit se réjouir, qui, après ses inquiétudes dans
éides et de Tritons, après lesquelles l’Amérique paraît suivie de ses
Peuples
. Elle présente ses trésors à l’Espagne portée sur
torsion, et vous trouverez l’origine de cette fausse dénomination. Le
peuple
avait appelé ce dernier enthousiasme, fureur prop
, fureur prophétique ; et les pédants de l’antiquité (autre partie du
peuple
peut-être encore plus bornée que la première) don
pinceau, comme s’il était le premier moteur. Le style figuré chez des
peuples
instruits, tels que le nôtre, devient insensiblem
ceux des sorciers adorant la terre et le miracle printanier ; ceux du
peuple
s’adonnant aux jeux rituels. Les jeunes hommes et
terrompant ses Explois, Qui pourroyent êtablir ses Loix Chez tous les
Peuples
que la Terre, Dans sa vaste Rondeur, enserre. V
é. On juge bien que Pylade ne fut pas plus circonspect en présence du
Peuple
. Ses flèches lancées au milieu des spectateurs, e
t Plutarque, il avait toujours l’adresse de persuader aux Juges et au
Peuple
, que le prix ne devait être donné qu’à lui. 149
te fête unique dans son espèce, ne coûta rien au trésor public, et le
peuple
n’eprouva pas le contre-coup douloureux de la dép
x arts. Aussi jaloux de la gloire de son maitre que de la félicité du
peuple
, ce sage Ministre n’ignoroit pas combien il est i
talens et le génie ; il fit tout pour la gloire du Roi, le bonheur du
peuple
, et l’illustration des sciences et des arts. Cet
rifioit à la danse et aux répétitions des ballets appartenoient à son
peuple
. Il est à croire qu’une considération aussi puiss
ttachant à la superficie de ses rameaux elles n’étoient écrasées ; ce
Peuple
enfin de Partisans & de Protecteurs qui mandi
ns cela, plus de vérité, plus de costume, plus de pittoresque. Chaque
Peuple
a des loix, des coutumes, des usages, des modes &
les habits ne consulte personne ; il sacrifie souvent le costume d’un
Peuple
ancien à la mode du jour, ou au caprice d’une Dan
e est vraie, & si le caractere de la Danse répond au caractere du
Peuple
& de la Nation qu’elle doit représenter. Ne p
s mêmes ; Musette pour les Prêtresses. Au second Acte, Loure pour les
Peuples
, Tambourin & Rigaudon pour les Matelots. Au t
91
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
n autre trait. Trois ou quatre gestes, faits pourtant par un homme du
peuple
, confondirent, dit-on, un habile Philosophe, qui
on entend tous les jours entre maris & femmes dans les menages du
peuple
, me font desirer que l’on veuille y apprendre à s
même, au milieu du dernier siècle, on voyait encore les Prêtres et le
Peuple
de Limoges danser en rond dans le chœur de Saint-
son. — Attitude du clergé. — Hommages rendus par l’aristocratie et le
peuple
. — La presse. — Conflits de nationalités. — Les p
ête. Je dis se donnait, car, assurément la fête n’étoit point pour le
peuple
, qui méritoit, au moins, les égards dûs au maître
absolument. Il n’y a que trop de gens qui, abusant de l’ingénuité du
peuple
, pour s’emparer de son vœu, foulant aux pieds la
os oreilles, et qui pourtant font les délices de la majeure partie du
peuple
: mais si vous aviez parcouru comme moi les princ
villes du royaume. A la fête de saint Martial, apôtre du Limousin, le
peuple
dansait encore vers le milieu du dernier siècle d
la fin de chaque psaume, au lieu de chanter le Gloria Patri, tout le
peuple
chantait en langage du pays : san Marceau pregats
rtons, vient de l’inspection et de l’intendance que nous avons sur le
peuple
dont nous sommes évêques, et du soin que nous dev
’engager à ne pas borner l’usage de son autorité au bien temporel des
peuples
, mais à l’étendre encore à leur bien spirituel :
entinelle voyant venir l’épée ne sonne pas de la trompette, et que le
peuple
ne se tenant point sur ses gardes, l’épée vienne
e, qui est la base de la gloire des souverains, et de la félicité des
peuples
. Comme je ne suis point attaché à mes idées, Vous
▲