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1 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Différentes manières de saluer »
sition en arrière. Voyez la planche quatrième . Révérence de deux personnes se rencontrant dans la rue ou sur un chemin Lo
rencontrera dans la rue quelqu’un qu’elle voudra saluer, si c’est une personne dont on ne diffère aucunement, soit par l’âge soi
la condition, et que l’on ne veuille pas s’arrêter, étant près de la personne qu’elle veut saluer, elle portera le pied droit à
tendu sur le côté ; il aura l’attention de céder le haut du pavé à la personne qu’il voudra saluer, supposé que ce soit une dame
son pied gauche à la première position, il fera la révérence : si la personne diffère soit par l’âge, soit par la condition, so
soin de donner le haut de la rue, et de prévenir par sa révérence la personne qu’il voudra saluer. Manière de saluer en entr
lorsqu’il sera question de se retirer, on ira saluer premièrement les personnes de qui l’on reçoit l’honnêteté, et du pas de la p
r une grande pratique qu’on en acquiert l’aisance et la facilité. Les personnes chargées de cette partie de l’éducation auront so
2 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159
ée, la tête à sa position naturelle, pour porter ses regards vers les personnes qu’il saluera, le corps étant plié : dans cette p
nt. Selon que le cavalier voudra se tourner pour se placer devant les personnes qu’il voudra saluer, il dégagera le pied de côté
it accompagné de quelqu’un, vous vous découvrirez du côté opposé à la personne qui l’accompagne ; et si vous êtes recouvert en l
drez également le chapeau en vous inclinant. Lorsqu’on accompagne une personne à qui l’on doit des égards, on lui cède également
, et observant les mêmes civilités qu’il pourrait employer envers les personnes qu’il rencontrerait ; et s’il s’arrêtait pour leu
ge nécessaire dont elle pourrait en avoir besoin : elle ne doit fixer personne , ni s’arrêter pour parler, à moins qu’elle n’y so
i l’on monte en voiture avec quelqu’un, que ce soit une dame ou autre personne pour qui l’on ait des considérations, on lui céde
nière : montant ensuite, l’on se placera sur le devant, quand même la personne serait seule. Le cavalier doit se tenir découvert
dra descendre, on le fera le premier et en arrière, pour laisser à la personne plus de facilité dans ses mouvemens, et se prépar
ment posée ; le cavalier doit se tenir découvert, à moins que quelque personne supérieure en ordonne autrement ; ou après en avo
du milieu aux supérieurs. Il ne faut point s’approcher trop près des personnes , ni s’en éloigner trop, afin de pouvoir entendre
er, on entre posément, faisant quelques pas pour se placer devant les personnes que l’on veut saluer ; le cavalier saluera à la p
nnoncer, s’il faut attendre dans une pièce voisine de celle où est la personne à qui l’on a affaire, le cavalier se tiendra déco
i l’on a affaire, le cavalier se tiendra découvert, et on saluera les personnes qui pourraient s’offrir à la vue ; et lorsqu’on a
un pied selon le sens qu’il faudra prendre pour se placer en face la personne que l’on voudra saluer ; le cavalier saluera comm
indiquée pour leur tenue ; se relevant, on marchera posément vers la personne devant qui l’on se présente ; et restant à la dis
nt dans la forme que nous avons indiquée au maintien. Pour saluer les personnes qui se trouvent placées autour de l’endroit ou su
, pour se tourner et se placer de manière à se présenter à toutes les personnes qui sont du côté vers lequel on s’est tourné ; on
a, comme dans l’autre, quelques pas vers le maître de la maison ou la personne supérieure de la société ; on s’arrêtera à une di
culier, et s’asseyant doucement avec précaution, afin de n’incommoder personne . Étant assis, l’on tiendra les jambes droites, le
ant vers l’endroit où l’on devra se placer, on s’inclinera devant les personnes placées où l’on passera. On observera la même règ
ne faut point se promener autour du salon pour regarder fixement les personnes qui y sont placées ; cela est indécent et d’un ma
serait une insulte qu’on lui ferait. Lorsque l’on invitera une jeune personne pour danser, en l’abordant, on fera un salut, lui
ant son consentement, et soumettant cette demande à l’approbation des personnes qui l’accompagneraient et paraîtraient la diriger
a dame à la droite du cavalier. Le quadrille ou rond étant formé, les personnes qui le composent se salueront réciproquement ; pu
acieux, et les rend désagréables, indécens, et souvent incommodes aux personnes qui les entourent. Il ne faut point quitter sa pl
es entourent. Il ne faut point quitter sa place durant que les autres personnes figurent. La danse étant un amusement pratiqué en
mme avant, la reconduira à sa place en s’inclinant devant elle et les personnes qui l’accompagnent. La dame fera la révérence. On
s les contredanses ; cela devient importun, et prive souvent d’autres personnes de danser, à moins que ce ne soit par complaisanc
rder ni quitter sans faire une profonde révérence. Il faut saluer les personnes même avec qui l’on n’a que des rapports de famili
 ; et avec les inférieurs, s’abstenir de ce ton de fierté indigne des personnes bien nées et qui ont de l’esprit. Un homme bien é
st de tous les rangs ; cependant il faut en user suivant le genre des personnes à qui l’on a affaire ou devant qui l’on se présen
car il existe une grande différence de genre et d’habitudes entre les personnes d’un haut rang et celles d’un rang inférieur : ch
res. En pareil cas, il est nécessaire de se rapprocher des usages des personnes à qui l’on a affaire ou devant qui l’on se présen
3 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
e tout le monde a de s’y introduire, & qu’il s’y glisse nombre de personnes , dont la plûpart enflez de je ne sçai quelle nais
mp; après lui avoir fait une reverence, il va en faire une autre à la personne avec qui il doit danser, pour la convier de venir
avec qui il doit danser, pour la convier de venir danser. Mais si la personne que vous conviez parloit à quelqu’un, & qu’el
us reprendre, lorsque c’est à vous de prier, il faut aller convier la personne qui vous a prié en premier lieu : autrement ce se
ne faut pas danser dans tout le Bal, parce que ce seroit offenser la personne qui vous a prié d’abord, ce qui se doit observer
préferablement aux Masques, car très-souvent ce déguisement cache des Personnes du premier rang. Je ne doute pas, que lorsque l’o
le même cérémonial que dans les Bals, qui est de sçavoir inviter une personne pour danser, en lui faisant une reverence à propo
4 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXV. Des contre-tems du Menuet, & la maniere de les faire. » pp. 104-109
plus, c’est que les contre-tems sautez ne conviennent qu’à de jeunes personnes , ou des personnes de moyenne taille : & pour
es contre-tems sautez ne conviennent qu’à de jeunes personnes, ou des personnes de moyenne taille : & pour ceux qui sont d’un
iere de donner les mains : parce qu’il ne convient point à de grandes personnes de sauter, & de se tourmenter dans les danses
ce : on me dira que cela divertit une compagnie ; parce que plusieurs personnes dansent à la fois, il n’est pas impossible de fai
t à la fois, il n’est pas impossible de faire des danses où plusieurs personnes peuvent danser ensemble, mais avec des pas &
une certaine regle qui ne cause point de confusion, surtout parmi les personnes de distinction, ainsi on peut composer des danses
ion, ainsi on peut composer des danses qui soient dansées à plusieurs personnes , & qui peuvent avoir different mouvement, com
5 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
tte maxime est qu’en effet les mouvemens, les gestes et les sauts des personnes qui dansent, sont absolument contraires à ceux d’
ts des personnes qui dansent, sont absolument contraires à ceux d’une personne qui se possède, et semblent marquer que celles en
e viens de citer : « Je me souviens d’avoir entendu dire que quelques personnes arrivées depuis peu en France, ayant vu des femme
aordinaire. En effet, ajoute Vivès, qui est-ce qui, n’ayant jamais vu personne danser, peut, la première fois qu’il en voit, ne
oit danser sont en fureur, rien n’étant plus contraire à l’état d’une personne sensée que celui où l’on se met en dansant ? Ac
e ce qu’il avoit vu en sa jeunesse une école où il y avoit cinq cents personnes , tant garçons que filles, qui apprenoient à danse
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
éfendent, 1.° de regarder trop attentivement et avec délibération des personnes d’un sexe différent ; 2.° de converser souvent sa
arler ainsi, de la danse. Par rapport aux regards qu’on jette sur des personnes d’un sexe différent, délibérément et avec attenti
dans les regards qu’on fait volontairement et avec attention sur les personnes d’un sexe différent, lorsqu’il a dit : (Matth. c.
pas au contraire de l’essence de la danse de fixer ses regards sur la personne  ? N’est-ce pas la première leçon que des maîtres
rsations trop fréquentes et sans les précautions nécessaires avec des personnes d’un sexe différent, surtout avec celles qui sont
ui naît des conversations trop fréquentes et trop familières avec les personnes d’un autre sexe, est un mal qui ne s’aperçoit pas
Saint-Esprit, parlant en particulier dans la livre des proverbes, des personnes de l’autre sexe dont la fréquentation et les entr
ux qui ont l’imprudence de s’arrêter avec elles, dit de ces sortes de personnes  : (Prov. c. 5, vv. 3 à 8.) Les lèvres de la pros
maison. Combien trouve-t-on dans les assemblées de danses de jeunes personnes , qui à la vérité, ne sont pas des prostituées com
Si on peut dire avec le Saint-Esprit, que les pas de ces sortes de personnes s’enfoncent jusqu’aux enfers , (en ce sens que, n
ré défend les manières trop familières et trop libres d’agir avec des personnes d’un sexe différent. Ces sortes de familiarités p
re pour nous avertir de fuir les manières trop libres d’agir avec des personnes d’un autre-sexe, qu’il est dit dans le livre de l
? Ne pourroit-on pas même dire que Dieu est comme foulé aux pieds des personnes qui dansent ; parce qu’elles mettent, en quelque
violer ? Le même saint Apôtre exhorte les Ephésiens, et nous en leur personne , à ne donner point de lieu et d’entrée au diable
qu’on a moins de force pour leur résister ? J’en prends à témoins les personnes qui ont autrefois le plus aimé ce pernicieux dive
7 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
’usage de donner les mains en dansant. Ces défauts, insultans pour la personne devant qui l’on danse, ne peuvent être soutenus e
le le danseur n’a plus de grâce ; de danser au nombre de plus de huit personnes , ce qui est le nombre ordinaire pour former les q
leurs gaucheries. Nous le disons, cette manière de danser répugne aux personnes d’un bon goût ; ce n’est plus que désordre, confu
ution moderne. Il vaudrait mieux, s’il était possible, que les jeunes personnes à qui la danse est donnée comme faisant partie de
étroit, il convient de former les quadrilles ou contredanses de huit personnes , et s’il est assez large on peut les former à sei
t plus haut. Il serait nécessaire, pour exécuter cette règle, que les personnes qui donnent des bals prissent, à cet effet, un ho
ans la danse, tel qu’un répétiteur ou un musicien même, ou tout autre personne qui pût remplir cette fonction.
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
cher d’inspirer le plus grand éloignement ? Ce sont des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes
t des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes , où, au son de quelques instrumens ou de quelques
contre toute raison. Or, quoi de plus propre à faire revenir tant de personnes de leurs préventions à cet égard, que d’accabler,
ui ont été jusqu’à présent trop indulgens pour les danses et pour les personnes qui les aiment, parce qu’ils ne les ont point env
la condamnation. J’ai dit, 1.° que les danses sont des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes
t des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes qui se réunissent pour se réjouir ensemble. Tout
indiscret de voir et d’être vue, elle sortit pour aller voir, non des personnes d’un autre sexe, mais les femmes du pays de Siche
est d’avoir voulu voir et être vue ; au lieu que la sûreté des jeunes personnes de l’autre sexe consiste à se tenir le plus renfe
lui dis de tout mon cœur  : etc. Ce principe posé, je demande si les personnes qui vont aux danses, croient pouvoir par elles-mê
nses telles qu’elles se pratiquent aujourd’hui, que comme chacune des personnes qui vont aux assemblées pour danser, ne danse pas
r des conversations et des manières d’agir très-libres que les jeunes personnes de différent sexe ont ensemble, et qui ne peuvent
9 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
s ce traité qu’ils doivent l’être, et s’ils refusent l’absolution aux personnes qui ne veulent pas y renoncer, il arrivera que pl
onnes qui ne veulent pas y renoncer, il arrivera que plusieurs de ces personnes abandonneront les sacremens. N’est-ce pas là un i
e aussi de temps en temps la consolation de voir quelques-unes de ces personnes se repentir de leur résistance, céder enfin à la
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
, Qui sont (comme j’ai dit un jour) Les Rossignoles35 de la Cour, Que personne ne contrecarre, À savoir l’Hilaire et la Barre.
flambeaux, Un grand Ballet, et des plus beaux, Dont était, en propre Personne , Notre digne Porte-Couronne, Avec maint Prince et
ce et Grand Seigneur, Et d’autres Gens, qui, par honneur, Comme étant Personnes de marque, Sont dans les Plaisirs du Monarque, Fu
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
ux ? Par là, tous les désordres qui en naissent, à l’égard de tant de personnes , si vous voulez, plus foibles que vous, retombent
foibles que vous, retombent sur votre tête : car comme il n’y auroit personne qui s’empressât de préparer les lieux et les asse
réparer les lieux et les assemblées destinés à ces divertissemens, si personne n’y étoit présent, il s’en suit qu’il est certain
12 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XI. Des Révérences de differentes façons. » pp. 29-34
du corps se fait de suite plus ou moins profonde selon la qualité des personnes que vous saluez, & la tête même s’incline, ce
e en avant, excepté qu’il faut effacer le corps en passant devant les personnes que vous saluez. Effacer signifie que vous vous t
isse vous envisager, faute d’autant plus grossiere que vous jettez la personne dans le doute de sçavoir si c’est elle que vous s
même qu’avant de commencer votre reverence de regarder modestement la personne , ce que l’on appelle adresser sa reverence avant
13 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIII. Des agrémens que l’on peut faire dans le Menuet, & l’attention qu’il faut avoir pour le figurer également. » pp. 92-98
lement. Quoique le Menuet le plus uni selon le goût de beaucoup de personnes , soit le mieux dansé : cependant, j’y ai vû faire
ans une autre occasion, par exemple, vous dansez quelquefois avec une personne qui fera trois pas de Menuet en avant, dans le te
ous faites votre pas de Menuet en allant à droit, dans le tems que la personne avec qui vous dansez va en avant ; ainsi pour vou
utre dans la même regularité de figurer. Il se trouve quelquefois des personnes qui les font en passant à côté l’un de l’autre, m
14 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIV. Des Reverences de plusieurs manieres. » pp. 42-46
elle se fait pareillement, excepté que lorsque vous passez devant une personne vous faites deux ou trois pas avant de commencer
es deux ou trois pas avant de commencer votre reverence : regarder la personne que vous devez saluer pour lui adresser votre rev
nce, & du même tems vous vous tournez à demi du côté que sont les personnes que vous saluez, & vous glissez le pied qui e
15 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
s dans la succession des tems, & par la corruption des mœurs, que personne ne s’est encore avisé d’en donner l’Histoire, de
es Juifs pour rendre plus vénérable le culte de la Religion. Il n’y a personne qui ne sache que David suivi d’une troupe de Lévi
onnées par les Souverains. Pareilles cérémonies se pratiquent par des personnes de l’un & de l’autre sexe en Provence & e
16 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
s opérations de l’esprit. Voyez se présenter dans un cercle une jeune personne embarrassée dans sa marche et dans ses gestes, el
ant de maîtres ineptes font de si mauvais écoliers. Combien de jeunes personnes se rendent singulièrement ridicules par des minau
ns individus sont infiniment intéressants ; qu’on se peigne une jeune personne d’un tempérament faible, dont l’éducation aura ét
leurs artistes, je croirais avoir rendu un service aux parents et aux personnes destinées à l’éducation de la jeunesse ; elles po
17 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
hanté des airs tristes, et vous n’avez pas pleuré. Je pense que les personnes tant soit peu éclairées et de bonne foi sentent d
il y ait quelque chose qui ne soit pas assez grave, relativement aux personnes et aux circonstances ; mais, dans les simples sau
dans les danses que nous condamnons, parce qu’elles se font avec des personnes de différent sexe, et avec des gestes et des atti
serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie… et personne ne vous ravira cette joie  ; au contraire, le dém
ns lequel seul le vrai bonheur nous est promis. Mais, hélas ! presque personne ne veut pleurer saintement et utilement en ce mon
offenser ? Quel rapport entre ce mélange indécent et sans pudeur, de personnes de différent sexe, pour se livrer à la licence d’
essembloit en rien aux danses que nous réprouvons, dont le mélange de personnes de différent sexe fait le fonds et le danger, est
mbien l’esprit qui animoit les saints est différent de celui dont les personnes mondaines sont animées. Celles-ci n’ont que des i
réjouir en Dieu en lui rendant grâces ; ce que ne pouvoient faire des personnes si saintes, jouissant si saintement en la présenc
re qu’à prendre et à donner du plaisir. C’étoient là des mouvemens de personnes touchées et émues d’une douce jouissance des bien
bienfaits de Dieu ; et ce sont ici des danses, après des banquets, de personnes pleines de vin et de viande, ou de cœurs vains et
18 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
mens chrétiens, et doivent par conséquent être évitées par toutes les personnes qui font une profession sincère du christianisme.
force de le pratiquer. C’est donc cette onction sainte que toutes les personnes qui liront ce traité doivent demander, et que je
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
e, mais vous ne devriez pas en avoir. — Ah ! croyez-le bien, il n’y a personne au monde qui n’ait des causes de tristesse. Je n’
ute leur suite, en limitant toutefois ses invitations strictement aux personnes de la Cour. Quand je vis la foule que cela représ
tait pas arrivé et je me trouvai dans un réel ombarras. J’avais douze personnes et plusieurs milliers de kilos de bagages à emmen
le lendemain. Je me rendis donc chez la Princesse, qui était la seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui demander de
pas me faire attendre elle me dit d’entrer dans son petit boudoir où personne ne nous dérangerait. La chambre, toute remplie de
e, me dit-elle, tandis que nous causions ; jamais, quoi qu’il arrive, personne ne peut venir m’y troubler. Je me réfugie ici de
ce que l’on eût retrouvé mes bagages, — perdus en route. Trois mille personnes venues à ma première représentation s’en retournè
20 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XI. » pp. 67-69
nseurs et danseuses ; les autres étoient composés de huit ou de douze personnes , et les chœurs chantans n’étoient pas plus nombre
ment, des fragmens ou des actes détachés. Ces mirotons ne ragoûtoient personne  : on les servoit les Jeudi et ce jour n’étoit poi
21 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre II. De la position des Bras & de l’élevation qu’ils doivent avoir. » pp. 197-199
e suppose dans l’élevation que je represente par cette Figure, qu’une personne soit bien proportionnée : ainsi il m’a paru suiva
ue les Maîtres doivent gouverner leurs Ecoliers : par exemple, si une personne a la taille courte il faut de necessité lui faire
22 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIII. De la maniere dont les Demoiselles doivent marcher, & celle de se bien presenter. » pp. 38-41
ne me paroît plus interessant à une compagnie que de voir danser deux personnes de l’un & de l’autre sexe avec justesse, que
s de ces défauts ; mais pour s’en désabuser, sur tout pour les jeunes personnes qui se négligent, je ne veux que leur propre aveu
23 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
ne plus haute perfection) sans condamner ouvertement et fortement les personnes qui y vont, et sans employer l’autorité que leur
stère pour en détourner absolument, comme d’un grand mal, surtout les personnes dont ils sont chargés ! Est-ce ainsi qu’ont parlé
vie de saint Eloy, évêque de Noyon et de Tournay, nous fournit en sa personne un exemple bien touchant de ce zèle plein de cour
ages, et l’on ne parloit que de le massacrer, quoiqu’il ne se trouvât personne qui voulût mettre la main sur l’oint du Seigneur,
ent peu d’éducation. Mais il suffit pour cela d’apprendre à de jeunes personnes à ne point s’abandonner à une molle nonchalance q
e, qui doit avoir égard aux circonstances des temps, des lieux et des personnes , en imitant la conduite de Dieu dont il est dit (
nner de sa vis salutaires. » Qu’il seroit à souhaiter que toutes les personnes en places et en autorité donnassent, comme Macédo
et à plaire aux hommes ; et que, sans avoir égard à la condition des personnes , ils enseignassent toujours, à l’exemple de leur
24 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
aucoup de familiarités et de libertés criminelles qu’ont ensemble les personnes de différent sexe, ou en dansant, ou après avoir
ns à de telles actions, suivroient notre exemple. » N’étant permis à personne d’aimer à regarder les danses, que doit-on donc p
auvais désirs et les autres mauvais effets cachés, que les danses des personnes de différent sexe produisent naturellement ? Si d
en chaire contre elles ; d’exhorter avec charité et avec douceur les personnes de la paroisse qui les aiment, à y renoncer ; d’ê
25 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
de noces, où elles sont d’usage partout ? Si les danses entre des personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes
es danses entre des personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes , sont toujours pour le moins dangereuses, comme o
e, qu’ils soient fortement excités à la volupté par la vue des jeunes personnes d’un autre sexe, au milieu desquelles ils se trou
avoir avec elles ? N’est-il pas également à craindre pour ces jeunes personnes d’un sexe foible et fragile, que l’esprit impur n
té les plus mortelles atteintes ? Un jour de noces est un jour où les personnes , dont le mariage rassemble leurs parens et leurs
ation de ce sacrement, ont dû joindre leurs prières à celles des deux personnes qui l’ont reçu, pour attirer sur elles la bénédic
26 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
ement ces dons aimables que la nature, en souriant, a versé sur votre personne , moi je ne parlerai que des vertus respectables d
r joui de ce touchant spectacle que j’ai pu m’écrier, avec toutes les personnes qui ont le bonheur de vous approcher : Le cœur d’
27 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVI. Discours sur la Courante en general. » pp. 110-114
Branles dansoit la Courante : il est vrai, qu’il la dansoit mieux que personne de la Cour, & qu’il lui donnoit une grace inf
la Bocanne, qui étoient de parfaitement belles danses, & que les personnes qui seront curieux de les sçavoir, pourront avoir
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
ire, en ce moment, Dire deux mots, tant seulement, De cinq admirables Personnes , De cinq adorables Mignonnes, Qui dans cet illust
n de revoir, S’il plaît à Dieu, Lundi, le soir, Pour lorgner encor la Personne De ce Brave Porte-Couronne, Dont la grâce et l’ag
29 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
rtemens des furieux, ni le désespoir, & les actions violentes des personnes à qui la douleur fait s’arracher les cheveux, ni
ons qui marquent, comme les forgerons, les rameurs, les endormis, des personnes prises de vin, des luteurs, &c. Et les figure
s autres actions de la vie. C’est pour cela que les Princes & les personnes de qualité ont jugé que cet exercice n’avoit rien
tions que prennent les danseurs dans les Entrées, selon le nombre des personnes qui dansent ; ce qui dépend de l’imagination ou d
30 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
ême temps qu’Alexandre Dumas fils. Comme il y avait beaucoup d’autres personnes , je ne remarquai pas tout d’abord, que les deux h
eaux de différentes couleurs aux fenêtres de son observatoire. Chaque personne , qui s’intéressait suffisamment à ses expériences
ssi que telle ou telle couleur “va bien” ou “va mal” à telle ou telle personne  ? Cela paraît prouver que la couleur doit tout de
ance, je donnai un spectacle non moins mémorable, mais à un nombre de personnes plus restreint. Un soir je rentrai chez moi à 8 h
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
r. Il leva l’index de la main droite pour nous imposer un silence que personne n’avait l’intention de troubler ; puis il nous co
ections. — Laisser voir mes collections, s’écria-t-il, jamais. Jamais personne ne les comprendrait ! Je sentis alors combien il
e autres choses il me parla de la fameuse collection de M. Groult que personne ne pouvait voir. Je lui promis de faire mon possi
Il raconta l’histoire des papillons, ajoutant : — C’est la nature que personne ne peut peindre exactement. Elle y a réussi, elle
32 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
je parus pour la première fois aux Folies-Bergère ; je ne connaissais personne , absolument personne à Paris. Figurez-vous donc m
ière fois aux Folies-Bergère ; je ne connaissais personne, absolument personne à Paris. Figurez-vous donc ma surprise, en receva
nd souvent, mais vous pouvez vous convaincre que ce n’est pas la même personne . Le monsieur était grand, fort, très noir, l’air
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 13 février 1667 »
e MADEMOISELLE, Comme un Ange spirituelle, Avec la PRINCESSE MIMI,76 Personne importante, vraimi. C’est elle qui, sur la Fougèr
34 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettres du samedi 20 juin 1671 »
du samedi 20 juin 1671 […] En achevant ce mien Ecrit, J’aprens de Personne d’Esprit Ce qu’il faut, donc, que je publie, Que
35 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. » pp. 49-54
politesse que l’on y observe. Il faut sçavoir d’abord, qu’il n’y a personne admis dans le Cercle, que les Princes & Princ
es, & même Louis Quatorze d’heureuse mémoire la dansoit mieux que personne de sa Cour, ce que je dirai dans la suite ; mais
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 27 août 1661 »
en surnom Giraud18 on appelle, Plût fort à tous par les appâts, De sa personne et de ses pas. 17. La Comédie Les Fâcheux. 18
37 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
st devenu. I Une chose qui étonne bien des gens, c’est mon âge. Personne ne veut croire que je n’ai que dix-huit ans. Et p
e ma réputation est un peu la cause de ces antipathies. Quelle est la personne célèbre qui n’a pas d’ennemis ? Les inimitiés son
de feu Grassot. On a eu tort, mon organe n’est comparable à celui de personne . J’ai trouvé moyen de m’extraire trois notes du g
pté ; il avait cessé de dîner à table, de sortir avec elle. Au reste, personne ne demandait plus de ses nouvelles. Les courses q
38 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
mons des saints docteurs de l’Eglise. Mais que ne font pas encore les personnes qui, remplies de l’esprit du monde, prennent la d
est, qu’elles sont une école d’impureté, à cause du mélange de jeunes personnes de différent sexe, et à cause de tout ce qui s’y
commis à la danse et à cause des danses ; que plusieurs religieux et personnes de piété étoient à la même heure devant Dieu, cha
n de tentation et de chute pour plusieurs, et surtout pour les jeunes personnes de l’un et de l’autre sexe qui s’y trouvent. Cett
39 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 18 février 1662 »
ue je dis, (Sans y comprendre les Couronnes) Plus de sept cens trente Personnes , Dont quatre ou cinq cens je connai, Au susdit Ba
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 5 juin : Ballet et comédie au Palais-royal par la troupe du Dauphin — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 juin 1664 »
ux en discourir) Tout Paris y devrait courir, Car je ne crois pas que personne Plaignît l’argent que l’on leur donne.
41 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre IX. Des Reverences en général. » pp. 22-23
un à avoir de la consideration pour nous, en nous regardant comme une personne qui sçait profiter de l’éducation que l’on a reçu
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 22 août : Ballet, La Destinée de Monseigneur accompagnant la tragédie de collège Sigéric — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 août 1662 »
t vanté Que tu vois écrit à côté, Les Ecoliers des Jésuites, Dont les Personnes sont instruites Aux Sciences, soir et matin, Repr
43 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
u’on trouveroit étrange que j’entreprisse de condamner ce que tant de personnes se permettent sans scrupule, en s’appuyant sur l’
oyer l’autorité et les ressources de leur ministère pour éloigner les personnes qu’ils conduisent, de ces divertissemens qui perd
i la longueur du temps et la succession des années, ni la qualité des personnes qui autorisent certains usages, ni les priviléges
n sentiment, et de la solidité d’une doctrine, par le seul nombre des personnes qui les reçoivent ou les rejettent ? Ne savent-il
evables, elle n’est nullement capable de nous en imposer. Car quelles personnes , en quelque grand nombre qu’elles fussent, pourro
qui périront, donne pour raison de la facilité avec laquelle tant de personnes se laisseront séduire, l’opposition qu’elles auro
ner la voie de Dieu dans la vérité, sans avoir égard à la qualité des personnes  ; comme les Juifs, (Matth. 22, 16.) tout ennemis
u monde, il portera quelque fruit, du moins pour un certain nombre de personnes . Je l’ai entrepris dans cette vue et dans cette i
mander à Dieu qu’il voulût bien bénir mon travail ; et je conjure les personnes qui liront ce que j’ai écrit pour le bien de mes
rouver à la danse, qui est une pierre de scandale à toutes les autres personnes  ; encore faudroit-il que cela se pût faire sans d
44 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
auteurs protestans l’interdisent encore avec plus de force aux jeunes personnes de l’autre sexe. Quant aux jeunes femmes et fille
une compagnie, de lever ainsi le front et le visage… tourner toute sa personne de mille manières, et prendre une contenance si h
de saints actes, et avec une telle prudence, que les fins, l’état des personnes , les actions soient là comme autant de préservati
t, quand elles concourent ensemble dans un même lieu, entre les mêmes personnes , le cœur surtout n’étant là que pour se donner du
plaisir. Or, la danse réunit tous ces dangers ». Revenant ensuite aux personnes qui prennent plaisir à assister aux danses, ils r
elles une suite de beaucoup d’inconvéniens ». Et sur ce que quelques personnes pouvoient répliquer qu’à la vérité on ne peut pas
u’il pût servir à donner de l’ombre) et de le mettre au feu, afin que personne n’y fût plus abusé, il le faut faire de la danse 
des règles de la morale, ou moins attentifs à les faire observer aux personnes de la conscience desquelles ils sont chargés ! ma
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
le bureau de l’hôtel qu’il fit retentir de ses imprécations sans que personne s’en préoccupât puisque personne ne les entendait
etentir de ses imprécations sans que personne s’en préoccupât puisque personne ne les entendait. Le soir de ce même jour, Mortie
oliceman ! Il eut l’idée, une idée superbe, d’entrer dans un magasin. Personne ne s’employa à le renseigner. Les commis s’occupè
 ? Je pars demain matin à six heures ? et je ne sais pas les noms des personnes qui m’ont… confié ces bijoux. Il secoua la tête.
hèque payable à New-York, pour quelques bibelots que j’avais achetés. Personne , absolument personne ne voulut le prendre. J’alla
ork, pour quelques bibelots que j’avais achetés. Personne, absolument personne ne voulut le prendre. J’allai donc chez le préfet
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
éclatants, Des fins joyaux tout bluettants121, La REINE, ayant sur sa Personne , Et si divine et si mignonne, Pour dix-sept milli
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 novembre 1669 »
aît incessamment, Avec un nouvel agrément. Comme il tourne aussi sa Personne , Ce qui pas moins ne nous étonne, Selon ses Sujet
48 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
de la société et demandèrent à chaque dame si l’enfant était à elle : personne ne le reconnaissait. Sur ces entrefaites deux dam
aient cinq minutes pour se préparer. Mon père était un ami intime des personnes chez lesquelles on se rendait, en « surprise-part
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 5 mars 1661 »
sprit, Monsieur de Taloi me souffrit,13 Quoi que, pourtant, quelques personnes , En mon endroit, un peu félonnes, Eussent animé c
50 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
. L’Illustre Dame de MARCÉ122 (Et de bonne part je le sais), Comme Personne ingénieuse, Inventa ce Déguisement, Et, non sans
51 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
une Académie royale de musique, composée de tel nombre et qualité de personnes qu’il aviserait, et que le roi choisirait et arrê
us, le théâtre du Palais-Royal fut détruit par un incendie. Plusieurs personnes périrent, et le feu dura pendant huit jours. Le l
ce, pour ne pas abréger, même au prix d’une complète abdication de sa personne le fatigant chemin qui conduit au triomphe ! Et p
temps, loin d’être folles et dissipées, comme on le suppose, sont des personnes fort sensées, beaucoup plus occupées de leurs int
52 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VIII. De la cinquiéme Position. » pp. 20-21
fausses positions, parce qu’elles m’ont paru inutiles pour les jeunes personnes qui apprennent, je laisse ce soin aux Maîtres qui
53 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
, » Des places qui soient un peu bonnes. » Que pour deux cents trente personnes , » Et vous assure, en vérité, » Que bien des Gens
54 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
sorties, Et chacune a de quoi ravir, Recréer, plaire et divertir. Les personnes , bien préparées À faire toutes leurs Entrées, Y j
55 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
que ridicule à relever. Je le dis, parce que j’en suis sûr, & que personne ne le sait ; répandre de l’intérêt dans une Pant
rpris, Monsieur, quand vous aurez lu cette Pantomime , que plusieurs personnes se soient plaintes de n’y pas trouver de ces situ
e moderne. « Je crois bien que vous m’en saurez bon gré ; quant à ces personnes dont je vous parle, je suis bien fâché de ne pouv
ai même tout bas, avec la modestie qui me caractérise, que toutes les personnes qui l’ont entendue, en ont été ravies. Les endroi
core toutes les vertus morales. Oui, Monsieur, mon caractère & ma personne sont aussi estimables que mes talens : mais c’est
Je fuis charmé de trouver l’occasion de vous assurer sérieusement que personne n’admire plus que moi votre génie, votre éruditio
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
t en très bonne odeur. La jeune Dame de Vivonne, Excellente et sage personne , Que l’on estime infiniment, Mais qui danse assez
n peut, en vérité, Nommer un trésor de beauté. Brancas, cette chère Personne , Toute belle, toute mignonne, Admirable pour sa f
57 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
ron des vaudevillistes. — Gil Perez et Lambert Thiboust acharnés à sa personne . — Ce qui console Markouski. — Sa manie. — « Le s
erez, le joyeux comique du Palais-Royal, est le plus acharné après sa personne . Gil Perez a trouvé plus de plaisanteries sur lui
— Vous en avez bien l’air. — On voit tout de suite que vous êtes des personnes distinguées. XIII La conversation dura sur
58 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
tise et de la rendre aimable. Toute la jeunesse cria au miracle ; les personnes sensées et de goût se bornèrent à gémir. Tous les
est en état de faire revivre. Qu’il se hâte donc de présenter dans sa personne , le modèle parfait de son art ; qu’il l’embelliss
de ses brillantes productions ; il a écrit savament sur son art ; et personne n’est plus en état que lui d’apprécier le mérite
59 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
as être arrêté par la considération de cette multitude innombrable de personnes qui se permettent ce plaisir, ou qui l’approuvent
ité du voile des vierges, c. 1.) « Que ni le temps, ni la dignité des personnes , ni les priviléges des pays ne peuvent prescrire
es choses les plus ridicules et les plus indécentes, dont beaucoup de personnes n’aperçoivent pas le ridicule et l’indécence, tro
es… Je souffrirai donc de devenir l’objet des railleries de plusieurs personnes , pourvu que mon discours puisse porter quelque fr
accord entre Jésus-Christ et Bélial ? (2. Cor. c. 6, vv. 14 et 15.) Personne ne s’intéresse plus sincèrement au bien des rois
60 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
ande tendresse unissait le père et la fille, et si Mlle Fiori est une personne extraordinairement courageuse ou résignée. Je ne
cognito le plus absolu. Voulez-vous me rendre le service de ne dire à personne que vous m’avez rencontrée ici ? — Cela me sera d
ée ici ? — Cela me sera d’autant plus facile que je ne connais encore personne dans ce pays. J’y suis depuis quelques heures. — 
blanc. J’étais ivre de joie et je suppliai M. Fiori de ne me vendre à personne , car les offres pleuvaient autour de lui. J’étais
rgien aussi. » Mais je voyais à l’air troublé et consterné des autres personnes , que mon père me trompait et que quelque chose de
ami qui l’avait amené et deux médecins étaient là, ainsi que d’autres personnes empressées à les aider. Je les pousse, je les éca
près-midi. Il avait un peu de fièvre et s’agitait pour savoir quelles personnes étaient dans la pièce voisine. On lui dit que c’é
61 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 janvier. Quelques danses sur des airs populaires espagnols. »
ns ma mémoire. Mais le charme intense et délicat de toute sa juvénile personne subsiste et domine ce qu’il pourrait y avoir d’in
62 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
femme. Une coquetterie de danseuse qui a voulu prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire. Sais-t
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
klembourg. Ce même jour je pris le tramway. Dans la voiture plusieurs personnes parurent me reconnaître. Une dame vint s’asseoir
e, la princesse était dans la salle avec le major Winslow et d’autres personnes de sa suite. Elle m’envoya chercher et me demanda
ons, qu’il ne voyait pas pourquoi on avait profané le drapeau persan. Personne n’osa lui dire que l’idée ne venait pas de moi, m
lourds, avait fait un très noble effet. Le Shah décore toujours toute personne qui a attiré son attention : c’est une habitude.
comme devant être lancée sur lui dans la salle, bien plus que pour ma personne , mes danses et même pour le drapeau persan « prof
64 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
comme elle l’avait promis, puis retourna à sa place avec l’air d’une personne qui vient de faire la chose la plus naturelle du
as, comme je l’avais fait le dimanche précédent. Seulement cette fois personne ne se moqua de moi. Lorsque ma mère vint me rejoi
65 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
ns. A défaut de lampions, elle fut éclairée par les rayons du soleil. Personne n’y fut invité ; personne n’eût de billets ; et c
elle fut éclairée par les rayons du soleil. Personne n’y fut invité ; personne n’eût de billets ; et cette fête donnée aux Demos
66 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
, Et la Barre pareillement, Dont la voix plaît infiniment, Et dont la personne excellente La Beauté même représente (Assez conve
Père, assurément, Fut Homme de grand jugement. Créquy, cette belle Personne , Qui quoi que Femme est si mignonne, Qu’en son vi
67 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
ait et chéri, Intitulé le FAVORI, Composé de la main savante De cette Personne charmante,51 Qui dans un beau corps féminin Enfe
68 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
s encore réussi à se faire connaître, parce qu’elle est pauvre et n’a personne pour la lancer. Elle a beaucoup de talent et je d
et toute la joie artistique qu’elle me donnait. Lorsqu’elle eut fini, personne ne parla. Je m’approchai de la princesse. Elle me
t lieu la soirée pour la presse. Tout le monde fut enthousiasmé, mais personne plus que moi. J’arrangeai le lendemain une troisi
69 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
es fûrent accueillies avec intérêt par les gens de lettres et par les personnes de goût ; mais en même temps avec un sentiment de
ient aux révolutions, de quelque genre qu’elles soient, sont pour les personnes d’un âge fait : Ce n’est jamais que les génératio
du sujet que je traite ; je la soumets et l’abandonne au jugement des personnes instruites, et qui se sont fait une habitude d’an
70 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
avail. — Serait-elle sauvage ? — Oh ! pour cela, oui. Elle ne connaît personne , ne voit personne. Elle est restée tout à fait ét
le sauvage ? — Oh ! pour cela, oui. Elle ne connaît personne, ne voit personne . Elle est restée tout à fait étrangère à Paris. E
rde parfois ses électriciens à l’ouvrage jusqu’à six heures du matin. Personne n’oserait lui faire la moindre observation et le
fets qu’elle obtenait : « Tout le monde sait quand c’est réussi, mais personne ne sait comment il faut s’y prendre pour y arrive
71 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père, » pp. 1-4
ntéressent à mon ouvrage, désiraient que j’en fisse hommage à quelque personne dont le nom servirait à l’honorer. Ils me faisaie
72 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXV. Du pas de Rigaudon. » pp. 159-161
devant l’autre, il semble que l’on aille donner un coup de pied à la personne avec qui l’on danse.
73 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre I. Discours sur les Bras & sur l’utilité de les sçavoir conduire avec grace. » pp. 195-196
it les regles, & c’est-là ce qui a fait naître le desir à tant de personnes de l’un & de l’autre sexe de s’y exercer, pou
74 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
lus fort de leur beauté, Assurément n’eussent été Auprès de ces rares Personnes , Que des chiffons et des chiffonnes. Outre tant
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
à la licence la plus effrénée. Il n’y avait guère de jour que quelque personne distinguée ne fût l’objet de leur malignité. Un P
L’Empereur craignit que cette hardiesse ne montât bientôt jusqu’à sa Personne . À la fin du spectacle, les Acteurs ou irrités ou
76 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
urage d’amener une troupe si loin de son pays natal dans une ville où personne ne comprenait un mot de japonais. Il complimenta
it tandis que tout le monde le regardait avec admiration, bouche bée. Personne cependant n’avait compris un seul mot de ce qu’il
77 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XII. Des Reverences en arriere. » pp. 35-37
plomb, & qui fait l’étenduë de votre reverence. J’ai vû plusieurs personnes se plier de la ceinture & tirer le pied du mê
78 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
let Ballet Ballet, s. m. danse figurée exécutée par plusieurs personnes qui représentent par leurs pas et leurs gestes un
Tout ballet suppose la danse, et le concours de deux ou de plusieurs personnes pour l’exécuter. Une personne seule, qui en dansa
et le concours de deux ou de plusieurs personnes pour l’exécuter. Une personne seule, qui en dansant représenterait une action,
rte de pantomime. Voyez Pantomime [Article de Jaucourt]. Et plusieurs personnes qui représenteraient quelque action sans danse, f
une comédie, et jamais un ballet. La danse, le concours de plusieurs personnes , et la représentation d’une action par les gestes
s sortes de fêtes ajoutaient des présents magnifiques pour toutes les personnes qui y représentaient des rôles ; ces présents éta
ait un art singulier pour les rendre analogues au sujet général, à la personne qui en était chargée, au rôle qu’elle représentai
79 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
ardonner. Léonide Leblanc, son amie, lui a appris à se tenir avec les personnes comme il faut. La séduction dans la correction. D
ais ! Pauvre pompier ! » Alice Biot Intelligente et agréable personne . Travaille beaucoup. Existence simple et régulièr
grand est charmant. Remarquablement proportionnée dans sa minuscule personne . Les cheveux du soleil. Des yeux qui cabriolent p
nt du 13 février 1882, vous y lirez : « Mademoiselle Bernay, aimable personne . — Très simple et très rangée. — Excellente mère
nonça ces paroles mémorables : — Mesdemoiselles, à l’Opéra, quand une personne qui se respecte tient à jurer, elle doit se conte
é se déclarer lui-même. » Mademoiselle Désiré L’honnêteté en personne . Mais quoi ! rien de ce qui excuserait une faute 
t. A mesure que la fille enfle, la mère maigrit. Un bilboquet en deux personnes . Mademoiselle Martin Ex-Victoria Marta. U
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
terre, me dit-il, c’est la femme. Je lui demandai alors qui était la personne qui l’accompagnait. Il prit un ton pénétré pour m
invite à déjeuner, et voilà sept ans que nous passons dans cette rue. Personne ne nous a jamais dit d’entrer. — Que faites-vous,
ercher le soir ? — Quelqu’un, on peut le dire, allez. Et mieux qu’une personne encore. Il eut un geste large, presque théâtral,
aque de paralysie. La voisine était pauvre, vieille, sans parents, et personne ne voulait s’occuper d’elle. La malheureuse petit
81 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
e crois qu’il y couche. VIII Je dirais bien quelques mots de sa personne , mais il est si modeste que je craindrais de le b
Sari. m. sari. Quoi de neuf ? Oscar. Il y a que nous n’avons plus personne pour répéter. m. sari. Où sont-elles ? Oscar.
enfin lieu. M. Sari , à l’auteur. Eh bien, vous voyez, ça marche, personne ne manque… L’auteur. Tant pis… M. Sari. Pourq
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
utres rangs de Chaises derrière ces Fauteuils étaient remplis par des personnes de considération de la cour et de la Ville. À dro
ses Bougies. Le Roi avait fait prier par Billets tout ce qu’il y a de personnes les plus distinguées de l’un et de l’autre sexe d
cette magnifique Assemblée pouvait être composée de sept à huit cents personnes , dont les différentes parures formaient un specta
83 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
du mérite d’un Ouvrage, me demandera-t-on sans doute, si, selon vous, personne n’est en droit de l’approuver ou de le critiquer 
âtrale, le Parterre, c’est à dire, une assemblée de cinq ou six-cents personnes , décide du mérite d’une Pièce. Je me suis souvent
e faire débiter tant de choses insipides ou ennuyeuses. 9. Quelques personnes trouveront peut-être que c’est soutenir un vrai p
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
Personnages. Euthyme , amant d’Eucharis. Eucharis , jeune personne qui doit être immolée aux mânes de Lybas. L’Ombr
st un sentiment qu’il adopte en faveur d’Euthyme son libérateur. Deux personnes de l’un et l’autre sexe s’attachent à l’amour ; d
unit les deux amans, concilie les deux époux, et cette entrée de neuf personnes qui n’est qu’un épisode, peut donner une esquisse
85 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
’une jeune plume, que de celle d’un Auteur presque octogenaire ; mais personne ne s’étant avisé de l’entreprendre, il pourra tro
86 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
et le plus ancien était formé de quatre, huit, douze et jusqu’à seize personnes , qui après être convenues d’un ou de plusieurs dé
87 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIII. Des Balancez. » pp. 153-155
aniere de conduire les bras dans la seconde Partie. J’ai vû plusieurs personnes le porter à côté à la deuxiéme position, mais il
88 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
e chanter moi-même, ce jour eut été entièrement perdu pour ma gloire. Personne assurément ne s’avisera de citer comme une preuve
s Royal. Alors vous auriez été convaincu, Monsieur, qu’en Italie, les personnes riches ne sont pas les seules qui cultivent la mu
89 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
ans ce qu’on nomme très-improprement la bonne société. La plupart des personnes qui font l’ornement de nos théâtres et qui y bril
’ajouterai que le manque d’éducation et l’ignorance de la plupart des personnes qui se livrent au théâtre est contraire à leurs p
90 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
élite et de choix, Mais qui plus, qui moins, toutefois, Enfin, mainte Personne illustre Parut, illec, dans tout son lustre. La
Vilequier, Marquise excellente, Spirituelles, intelligente, Dont la Personne a des appas, Et qui, surtout, fait de beaux pas,
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 janvier. Une soirée à l’hôtel Charpentier. »
érer ses pointes bien placées, ses bras expressifs et toute sa petite personne sérieuse et élégante, on se croyait en présence d
92 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
e soi. Fanny Elssler était foncièrement Autrichienne, et tout dans sa personne rappelait ses origines. Sa beauté était celle de
opiste de musique et attaché en outre, en qualité de domestique, à la personne du compositeur. Haydn le prit en affection et lui
e captivante de Thérèse Prinster se mêlèrent et s’épanouirent dans la personne de leur fille, avec, en plus, un cachet de distin
par le soin que, jusque dans son extrême vieillesse, elle prit de sa personne et de sa maison, elle laisse l’impression d’une f
ouis XIV dansant majestueusement le ballet, elle voulait que toute la personne eût un air de dignité et de noblesse. Aussi la da
qui se poursuivit entre les deux artistes fut plus qu’une rivalité de personnes  ; ce fut le conflit violent de deux systèmes, de
nt toutes les passions et tout ce qui est sensible à la vue8. » Une personne qui réunissait dans un ensemble parfait les carac
ueroute… Il a été prouvé que les pièces de Sheridan n’attiraient plus personne , que celles de Shakespeare se jouaient devant les
93 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
] Le troisième Acte se passe dans un endroit destiné à lasépulture de personnes de distinction. Le Mausolée du Commandeur nouvell
94 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
es abolira certainement pas, et qu’on n’empêchera pas une infinité de personnes de s’y livrer comme elles ont fait jusqu’à présen
rlant contre les danses, on est bien éloigné de penser que toutes les personnes qui y sont attachées y renonceront ; et qu’on réu
95 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
tesse, elle peut exciter dans les cœurs, surtout dans ceux des Jeunes personnes quelque émotion légère et momentanée, telle qu’on
e on peut juger de son mérite. 45Au surplus, je n’ignore pas que des personnes (peut être d’ailleurs très respectables) faute d’
ensuite par M. Noverre à Stuttgart avec tant de succès ; que d’autres personnes encore plus dangereuses pour les talents ne manqu
96 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mère. Cette personne excellente et charmante, pour qui je me sentais l
de croire que tout s’arrange pour le mieux dans le mariage, sans que personne s’en mêle, pourvu que les convenances sociales ai
ignation. J’étais tout résigné, en ce sens que je ne me suis plaint à personne et que je n’ai jamais fait entendre ni un sanglot
e s’agit pas de savoir si je m’y trouve bien, il s’agit de n’associer personne à mon mal. Vous me feriez souffrir, mon ami, si v
97 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
sont capables de tous les bons procédés, mais ils n’aiment réellement personne . C’est tout simple, ils n’ont besoin d’aucun de l
bien recommandé à ses gens de me traiter avec tous les égards que les personnes de bonne compagnie doivent à leurs inférieurs, j’
l’une à l’autre de loin en loin un seul mot : Rien ! Cherchait-on une personne en danger ? Je me suis rhabillé tout à fait. J’ai
 ; mais j’en fus un peu consolé en apprenant qu’elle n’avait remarqué personne , qu’elle était tenue de près par son père et qu’e
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
ut le dernier ; mais il la sut, la souffrit avec fermeté, ne fit tuer personne , tourna ses vues du côté de l’art, réforma, autan
99 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
vent à tout ce qu’on vient de rapporter, des présents pour toutes les personnes distinguées qui y représentaient des rôles avec e
100 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VI. De l’opposition des bras aux pieds. » pp. 210-213
fait le moins d’attention. Par exemple, regarder marcher differentes personnes  ? vous verrez que lorsqu’ils portent le pied droi
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