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1 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VIII » p. 138
car elle ne sortira pas de scène, sans avoir trébuché. Cette façon de penser enfantine est pourtant le grand art du ballet : l
parole belle, on fait fi de la pensée. Il faut bien des efforts pour penser à une époque où tout est plastique. Les Saisons,
e ballet ne s’en soit cru pensant. Aujourd’hui, je ne sache pas qu’il pense .
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
es réformer, pour engager peut-être le Public à les y contraindre, je pense qu’il est nécessaire de les développer sans ménag
ement des bras, à une légèreté extrême dans la formation des pas. Que penserait -on d’un Graveur, qui, ayant assez de talent, pour
araître seul deux fois, dans quelque Opéra qu’on mette au théâtre. Il penserait n’avoir pas dansé, s’il n’avait ses deux Entrées
ours à faire de son entrée un contresens. 143. Quelques Connaisseurs pensent le contraire. Le général des Spectateurs, tous le
3 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
ge) prends-t-en à mes dix-huit ans. II Cher lecteur, Que vas-tu penser de moi ? Pas grand bien, n’est-ce pas ? Après m’a
t pour laper un peu sur les doigts de ces écrivains écervelés qui ont pensé être très-malins en m’accablant de célébrité au p
4 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
Ballet du Roi, Fort divertissant, sur ma foi, Qu’on intitule (que je pense ) Le Ballet de l’Impatience, Dans le Louvre se dan
si l’on me fait cette grâce De m’y donner, encore, place, Il sera (je pense ) à propos D’en dire encor deux petits mots : Mais
5 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Avertissement. » pp. 33-34
l’art de la danse proprement dit. Cependant en y réfléchissant, j’ai pensé que ces programmes pourroient avoir quelqu’utilit
e à mes élèves, ou à des artistes à qui ils pouvoient être utiles. Je pense que le lecteur ne jugera pas à la rigueur cette e
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 2 février  1669 »
nt fait mettre bas les Armes Au DUC DES LORRAINS, par ses charmes, Ne pense plus qu’à son BALLET, Qui sera galant et follet.
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
re, comment veux-tu qu’il y ait de la place pour toi ? Je n’avais pas pensé à cela ; aussi me levai-je en disant : — Alors, i
r de son théâtre. — Mais il ne voudra pas te recevoir. Je n’avais pas pensé à cela non plus, mais je ne m’attendais pas à un
trouver un engagement… Je ne joue nulle part pour l’instant,… mais je pense que cela… n’a pas d’importance… et que peut-être
ande envie de pleurer. Mon assurance s’en ressentit. — Je n’ai jamais pensé cela, répondis-je. Mais je voudrais devenir une a
er la grande tragédienne française ? — Oui,… je suppose… mais je n’ai pensé qu’à mon… immense désir de la voir… et c’est pour
t aussi comme du cristal qui tintait dans mes oreilles. Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite fille de l’Ouest viend
ce qu’elle répondit : — Mes électriciens se mettraient en grève s’ils pensaient que je pusse leur adjoindre quelqu’un. Tout ce do
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
’ils ne tuassent point, l’un d’eux me répondit très simplement : — Je pense que je peux servir de cible, tout comme un autre,
rvir de cible, tout comme un autre, et les gens qui tireront sur moi, penseront bien que c’est la guerre. — N’est-ce pas vous, su
a guerre. — N’est-ce pas vous, surtout, vous, les plus civilisés, qui penserez cela ? — Croyez-vous que j’aurai le temps de pens
civilisés, qui penserez cela ? — Croyez-vous que j’aurai le temps de penser  ? demanda-t-il. Et disant cela il souriait. Ils é
able en oubliant de demander leurs noms à mes voisins, et lorsque j’y pensai , il était trop tard. Je me rappelai pourtant que
encore. J’allais créer une danse ! Comment n’y avais-je encore jamais pensé  ? Deux de mes amies, Mme Hoffman et sa fille, Mme
ième année, je fus irritée au dernier point de cette allégation et je pensai  : « Faudra-t-il donc que je conquière péniblement
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
’était trompé d’adresse, et je continuai à me démaquiller sans plus y penser . Tout d’un coup, un monsieur se précipita dans ma
înaient dans des gondoles. De ma fenêtre, je regardais la fête, et je pensais à l’autre souper où j’avais été involontairement
*** Je ne suis pas devenue la Loïe Fuller, sans avoir, comme bien on pense , payé mon tribut à quelques petites aventures. Je
10 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
cte que je vous expédie. Si je vous parle de lui comme d’un colis, ne pensez point que je fasse peu de cas de sa personne. C’e
que les réparations de votre demeure, laissez-moi vous dire ce que je pense de l’espèce d’association à laquelle vous m’avez
lir, et cela à cause d’une réponse qu’il m’a faite et qui m’a donné à penser . Comme je le prévenais d’avoir à ne blesser en ri
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 janvier 1667 »
ât recevoir Ainsi qu’il était du devoir. C’est ce qu’on fit aussi, je pense , Avec beaucoup de diligence Et non moins d’exulta
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 30 janvier 1667 »
, On entendit une belle Orgue Qui fait à toute autres la morgue. Je pense aussi qu’on y balla ; Que veut-on plus après cela
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-neuvième semaine, lettre du 9 décembre 1666 »
urs de déplaisir de n’y pouvoir pas être, Car bien du monde, ici, qui pense s’y connaître, Dit que l’artifice en surprend Et
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 février 1669 »
arque adorable, Et qui doit être su partout cet Univers.  […] J’avais pensé , dans cette Épître, Tracer un simple et beau Chap
15 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
re ! Vous êtes saxonne et je suis latine. Lorsque je la considère, je pense comme elle, et je me demande s’il existe une faço
e est tout au monde sauf cela. C’est une drôle de fille qui semble ne penser à rien d’autre qu’à son travail. — Serait-elle sa
ndre, elle se tut, réfléchit un moment et répondit : — Il faut que je pense à cela, mais il me semble que la vibration de la
les de grands bras tourmentés. Toute une floraison de rêve s’étire et pense . Le poème animé de la fleur chante là : délicate,
l’âme des choses même lorsqu’elles n’en ont pas. L’inanimé s’anime et pense sous son désir de magicienne et la « Pantomime du
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de La Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
Que cette Tragicomédie Est pleine d’Actes surprenants, De Vers et de pensers charmants. Chacun admire une Machine Qui semble ê
17 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — III » p. 135
tière évince l’esprit. Les pauvres multitudes sont ravies de ne point penser , et de n’avoir même pas à faire le moindre effort
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 janvier 1667 »
ans Pareille Danse que les autres. Dites pour eux vos Patenôtres, Et pensez , ô pauvres Mondains, Que vous serez des Baladins,
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
est bon Que j’y sois où présent ou non ; C’est un Point, comme je le pense , D’une assez grande conséquence ; Mais, toutefois
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
, Couronna les autres Cadeaux Par le sien, qui fut des plus beaux. Je pense que je le puis dire, Sans qu’on ose me contredire
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 septembre : Le Gentilhomme de Beauce — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 13 septembre 1670 »
’ouïe, Dans le cours de la Comédie. À ce Théâtre si riant, Dressé, je pense , à l’Orient, On se rendait, par une Allée, D'un b
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
ouvement qui exprime la pensée. On ne nous l’enseigne pas et nous n’y pensons pas. Qui de nous n’a été peiné par un mouvement d
s faire autant de mouvements qu’il y a de notes. Il est terrifiant de penser à ce qu’il faut de force et d’agilité, pour mener
ssé les hommes à danser. Maintenant ces causes sont oubliées et on ne pense plus qu’il faille une raison pour danser. En effe
voulais dire, et je m’excuse de l’avoir dit aussi longuement, mais je pense que cela était nécessaire.
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
urrez aisément les voir Dans le Cahier ou petit Livre Qui se vend, je pense , une livre Chez l’Imprimeur du Roi, BALLARD. Où v
24 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
lle ne pouvait chasser de pénibles pressentiments. Moi, je ne voulais penser qu’à ce qui m’attendait de bon dans l’avenir et o
partir et d’attendre un nouvel engagement qui viendrait peut-être. Je pensais à Paris plus que jamais. Ah ! si je pouvais y all
ou pour sombrer ! 2. Traduction mot à mot : « Club des gens qui ne pensent pas », mais, en anglais, le sens est plutôt celui
25 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
re de grâce après le déchaînement furieux des orages de la vie. Et je pensais , sans modestie, que j’allais conquérir ce grand P
otre imitatrice. Et comme vous voyez qu’elle n’a pas grand succès, je pense que vous n’en aurez pas beaucoup plus. Pourtant s
e ma doublure le directeur des Folies-Bergère m’emmena au Figaro. Je pensais certes qu’au point de vue de la réclame c’était u
26 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
on imaginer avec quelle joie j’entrai en relations avec Sada Yacco et penser que je n’hésitai point à prendre la responsabilit
décidai donc bravement à supporter les pertes que j’avais subies, et pensais à toute autre chose lorsque la fortune sembla me
esario qui les emmena à Copenhague. J’allais également en Danemark et pensais m’occuper des affaires des Japonais, en même temp
27 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
. J’éprouvai un réel chagrin de ce voyage manqué, puis bientôt je n’y pensai plus. Un jour, à Londres, une de mes amies, se tr
té de sa maladie lors de mon départ manqué pour le Céleste Empire. Je pense que ce serait trop exiger de Son Excellence que l
pour qu’il lui fût possible de prendre de nouveaux engagements. Je ne pensai donc plus à la Reine. En arrivant à une matinée,
timbrées à l’écu royal. « La Reine a envoyé quelqu’un à ma matinée », pensai -je, « elle veut savoir si mes danses valent vraim
politesse ? Ou bien mes danses lui déplaisaient-elles ? Que devais-je penser  ? Et je rentrai chez moi tout à fait au désespoir
28 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
ages !… Des sauvages et des voleurs !… Et c’est pire encore que je ne pensais . Un matin, il descendit, seul, dans la salle de r
du marchand. Les renseignements qu’il nous fournit, nous donnèrent à penser que ce devait être la fameuse Baxter street, la r
ous priait de commander ce que vous désiriez ? Il réglera l’addition. Pensez à ce que dut croire cet Anglais ! Il était venu d
agrin à considérer un homme qui n’est pas Américain. Chaque Américain pense , sans toutefois s’absorber dans des réflexions pr
n’ai jamais rendu les bijoux. Et je me demande parfois ce que doivent penser mes amies de quelques heures d’une femme qui a os
29 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
. Ses expressions sont simples et ne cherchent pas le pittoresque. Je pense que je ne lui ai pas déplu ; car, au bout de quel
dant, il ne fit aucune réflexion chagrine sur quoi que ce soit. Je ne pense pas qu’il m’ouvre jamais les profondeurs de son c
30 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 7 mars. Spectacle de danse de Mlle Brociner. »
ces du charmant Tansmann. Cette jeune fille, et c’est là l’essentiel, pense par images plastiques et elle est outillée pour l
31 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
ant la guerre interpréter très heureusement une œuvre de Puccini ; je pense aussi à la Pavane de Grieg, fort bien dansée dans
32 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
outer de l’antiquité des sciences, et des arts ; et il est naturel de penser qu’à peine sortis de leur enfance, ils furent dis
s récompenses au moment passager d’un triomphe ; ils y ajoutoient des pensions considérables, et préparoient aux arts et aux sci
33 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 octobre. Moa Mandu »
Mlle Mandu utilise parfois le costume avec une intelligence qui fait penser aux Sakharoffs. Une robe blanche, aux plis monast
34 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
rojets, se partagent en frères la même substance d’une becquée. Qu’en penses -tu, fils d’Acumène ? ÉRYXIMAQUE Je pense que je p
stance d’une becquée. Qu’en penses-tu, fils d’Acumène ? ÉRYXIMAQUE Je pense que je pense comme toi. SOCRATE Ô médecin que tu
becquée. Qu’en penses-tu, fils d’Acumène ? ÉRYXIMAQUE Je pense que je pense comme toi. SOCRATE Ô médecin que tu es, j’admirai
dent ? SOCRATE Homme admirable, qui par les songes connais les dents, penses -tu que les philosophes aient les leurs toutes gât
te semble de la danseuse ? SOCRATE Éryximaque, ce petit être donne à penser … Il assemble sur soi, il assume une majesté qui é
rement de la route, ils sont ce qu’ils sont : nous les perdons sans y penser . Mais considère cette parfaite procession de l’At
s rapports de choses, qui, sur-le-champ, se font ma propre pensée, et pensent , en quelque sorte, à la place de Phèdre. Je me tr
e, à tout prix, prétend qu’elle représente quelque chose ! PHÈDRE Que penses -tu, Socrate ? SOCRATE Si elle représente quoi que
ffrir, un seul instant, de n’être que ce qu’il est. Il est étrange de penser que ce qui est le Tout ne puisse point se suffire
35 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
tes, surtout intérieures, que bien des gens commettent sans presque y penser en les commettant ou après les avoir commises ! C
36 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 janvier. Danses de jadis et danses d’aujourd’hui. »
an Duren et les trois demoiselles Guy vinrent nous dire sur ce qu’ils pensent de la danse antique, la vérité toute nue. Or, c’e
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
u’entrât la Reine : Mais n’ayant pas été placé Aussi bien que j’avais pensé , Je n’ouïs point la mélodie, Je n’y vis point la
38 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
les Récits, Si ce n’est que la COUR de FRANCE Est la seule, comme je pense , Où Gens triés sur le Volet, Puissent ainsi faire
39 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
. En écrivant et en parlant contre les danses, on est bien éloigné de penser que toutes les personnes qui y sont attachées y r
ous avez reçu vos biens pendant votre vie. C’est-à-dire, vous n’avez pensé qu’à y vivre à votre aise et dans les plaisirs. V
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
de sophismes inexplicables et sans vertu. Dans un siècle où on aurait pensé , la prévoyance du Gouvernement aurait su prévenir
41 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
re X. Je vous ai démandé, Madame, quelques jours de réflexion. J’ai pensé , j’ai raisonné, j’ai calculé, et le résultat de m
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
noble et charmante SOUBISE, À qui mainte et mainte Franchise Est, je pense , offerte en Tribut, Beaucoup à tout le monde y pl
43 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
ec calme, j’étudie ma géographie. — De la diplomatie et des pointes ! pensa mademoiselle Emarot. Quelle vocation ! Ma fille s
 : Monsieur Pipelet rêve dans sa loge ; Un papillon noir vole en ses pensers  ; Ses deux filles ont l’âge des baisers, Et sont
44 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
semblait à tous les petits salons de tous les palais du monde ; et je pensais combien cela devait être désagréable de vivre dan
ais ? Je répondis que c’était à des danses de cette sorte que j’avais pensé en lui écrivant, car ces reconstitutions devaient
ma fatigue et vint à moi. — Quel égoïsme de notre part de n’avoir pas pensé plus tôt combien vous devez être lasse ! — Oh ! j
45 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
pas craindre ce qui peut conduire au mal, c’est donner trop sujet de penser qu’on y est déjà engagé. Aussi Jésus-Christ dit-i
ue fait au spectacle un chrétien fidèle, à qui il n’est pas permis de penser volontairement aux vices, ces pensées lui en fais
tion qui est inséparable des danses, n’en rend-elle pas incapable ? Y pense-t -on même le moins du monde à s’en acquitter ? Sain
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
nterprètes de l’Écriture sont sur ce point d’un sentiment unanime. Je pense , dit un des plus célèbres, qu’on doit entendre da
47 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
ion : mais en l’écrivant, j’ai entrevu l’espoir d’être utile, et j’ai pensé qu’à ce titre seul elle pouvait mériter de vous ê
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
ssent, Et ses bons sujets réjouissent ; Bref, qui mieux qu’on ne peut penser , Se connaît des mieux à danser, Soit par haut, ou
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
ns, Qui, récitant des Vers, trois cents, Et cinquante, encore, que je pense , Jouait un Rôle d’importance, Et des plus forts,
50 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
mis eux-mêmes. Après la Jamaïque nous retournâmes à New-York et je ne pensai plus guère à Kingston. Deux ans plus tard, lorsq
se. En causant avec Dumas j’ai appris de lui des choses auxquelles je penserai ma vie entière. Un jour, toujours avec M. Poulle
51 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14
rien de si maussade & de si mal entendu souvent à l’exécution. Je pense , Monsieur, que cet Art n’est resté dans l’enfance
les. Dire que je blâme généralement toutes les figures symmétriques ; penser que je prétende en abolir totalement l’usage, ce
52 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
, nous avons chanté des airs tristes, et vous n’avez pas pleuré. Je pense que les personnes tant soit peu éclairées et de b
u modestes. Salomon, dans le passage de l’Ecclésiaste ; n’a nullement pensé aux danses ; mais il a seulement parlé d’une mani
ans les danses contre lesquelles nous nous élevons, est-on éloigné de penser à chanter ainsi des hymnes à la gloire de Dieu !
s grossière illusion que de prétendre autoriser des danses où l’on ne pense nullement à Dieu, par l’exemple de David, dont la
53 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
tinct, ne sont occupées qu’à sentir. La Nature semble avoir chargé de penser pour eux certains êtres privilégiés qu’elle produ
54 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
vait, que le ciel était gris, que j’étais seule chez moi, je me mis à penser à notre sort actuel et à celui qui nous attendait
rcé, pour se la faire pardonner, de secourir « la mère. » Et quand on pense que cette lettre est copiée textuellement dans un
55 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
s yeux pleins de larmes… — Non pas… C’est très-rigolo, ici… — Rigolo, pensa Markouski, ce sont des Espagnols… et moi qui les
ongeait plus au sommeil. — Je tiens peut-être des bailleurs de fonds, pensait -il. A six heures, le jour parut. Le soleil entra
56 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
s cussions échangé une parole. Je ne savais pas qui il était et je ne pensais nullement à faire sa connaissance. Mais ses yeux
tenait à mon amitié,  — plus qu’à tout au monde. Moi, de mon côté je pensais à lui beaucoup plus que je ne voulais l’avouer, m
57 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8
et souvent rien de si maussade et de si mal entendu à l’exécution. Je pense , Monsieur, que cet art n’est resté dans l’enfance
bles. Dire que je blâme généralement toutes les figures symétriques ; penser que je prétende en abolir totalement l’usage, ce
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
nc, de l’incartade D’icelui, sujet à boutade, Plus ravi qu’on ne peut penser , Mardi dernier, je vis danser, Dans toute sa magn
59 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
égale Dedans la pompe d’un Régale. Quatre Édifices enchantés Et, je pense aussi, concertés Dans les secrets d’une Magie Don
60 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
par tous les docteurs de l’Eglise, qu’on rougisse du moins de ne pas penser sur les danses aussi sainement que l’ont fait plu
61 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
t s’attirer un compliment sincère. Refuser de le dire, c’est donner à penser . Je me rappellerai toujours le mot d’une marchand
e. D’ailleurs, elles n’en diront jamais sur moi-même plus que je n’en pense . Il me serait facile de me venger, dans ce livre
62 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
onc frapper plus particulièrement les jeunes esprits et leur donner à penser que l’être, qui évoluait là, devant eux, parmi de
rre avec son fils. Au bout de quelque temps, elle put croire qu’il ne pensait plus à moi. Neuf ans se passèrent. J’étais devenu
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
l’air de s’occuper le moins du monde de ce que nos invités pouvaient penser d’elle. Mais ce ne fut pas son air d’indifférence
un peu surprise de la façon brusque dont elles étaient parties et n’y pensai plus jusqu’au retour du chef d’orchestre. Il revi
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
Sans oublier les principaux personnages de la représentation, il doit penser au plus grand nombre ; fixe-t-il toute son attent
nnages d’un ballet ne devoient pas faire oublier les subalternes ; je pense même, qu’il est moins difficile de faire jouer de
65 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 décembre. Grands mots, petites danses. »
Gautier dans un feuilleton de 1837, « chose plus commune que l’on ne pense , l’amour insensé pour une muse qui ne vous le ren
66 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
aient en triomphe portés : Ce qui formait si beau spectacle, Que j’en pensai crier, miracle : Et cette Entrée, en vérité, Par
67 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
pour danser. Après quoi ce cardinal ajoute : « Rougissez ; un païen a pensé plus sainement que vous, et un païen vous condamn
gent l’art de périr pour l’éternité ? Je dirai sans hésiter ce que je pense à ce sujet : Si l’adultère et la fornication sont
ie qui en couvre une autre : Amentia una aliam tegit. En dansant en pense moins au plaisir présent, qu’à celui qu’on se pro
cteurs étrangers à l’Eglise, des enfans de l’Eglise doivent rougir de penser moins sainement qu’eux.
68 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
e ces temps reculés, je passe à ma veillée de la nuit dernière. Je ne pensais nullement à une anecdote romanesque et je dégusta
On l’attend d’un moment à l’autre, et même je l’attends ici, où l’on pense qu’il s’arrêtera pour laisser souffler ses chevau
dait : « Ça ne te regarde pas. Une danseuse ne doit rien savoir et ne penser à rien qu’à son art. » A force de m’entendre parl
soins de mon père, d’une solidité bien rassurante. J’avoue que je n’y pensais pas, sauf quand mon danseur, en feignant de me re
69 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
en me souhaitant une bonne nuit. Je n’ai pas dormi tout de suite. Je pensais à toi, à moi, à mon hôte et à Champorel. Comme l’
porel. Comme l’homme est, malgré qu’il en ait, un profond égoïste, je pensais à nous deux d’abord. Je comparais l’existence que
boisson chaude avant de gravir la montagne. Quand le thé fut prêt, je pensai encore à ce jeune voyageur qui se morfondait dans
70 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
seuls ont de l’esprit. Quant à leurs propriétaires, écoutez ce qu’en pensait , — voici déjà tantôt trente ans, — un de leurs pl
equel elle vit. Cependant, elle regrette la Restauration, à cause des pensions de retraite que celle-ci avait créées. Les noms d
i, dans un nombre égal d’années, nous ne pouvions, en nous regardant, penser à, ne fût-ce qu’une seconde, de fièvre amoureuse 
71 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo III. Delle qualità del Ballerino »
bastante saggio che, sebbene non sia egli un Danzatore, ma su di ciò pensa così bene che piacemi, e sia lecito il rapportarl
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
 ; il était indispensable qu’elles peignissent tout ce que Quinault a pensé qu’elles devaient exprimer. [Voir Coupe] Dans Cad
e d’Armide. On le regarde comme très indigne des quatre autres, et je pense que c’est sur l’effet seul qu’on l’a jugé. Le Pub
73 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
omper : ils encouragent rarement l’aurore du talent. Ces Messieurs ne pensent pas comme le Public, & devraient bien avoir p
74 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
re, En acheter le galant LIVRE,70 Que le SUBSTITUT d’APOLLON, Et, je pense , autant que lui blond71 En a fait à son ordinair
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
net, lettre du samedi 18 avril 1671 Je l’ai vu cet Opéra là, Et je pensais n’avoir pas là Suffisamment, d’yeux, & d’orei
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
encouragements encore. Il éprouve le besoin de savoir ce que ses amis pensent de son cas. Il va faire des confidences à l’un de
é et de la sagesse un desséchement prématuré ! Ce n’est pas ainsi que pense Anacréon, lorsqu’il dit dans une de ses chansons
je pas jeter encore un regard dans l’abîme de tes yeux ? Adieu, ange, pense à moi ! » En route il exhale ses plaintes en qua
s qui les accompagnent, et j’oublie la politique et le monde et je ne pense qu’à toi. » Il la remercie avec chaleur de lui av
appartenant au théâtre. Les plus éclairés parmi les hommes ordinaires pensent et disent (car ma liaison avec elle est le sujet
n élève n’ait pas été brillante. Elle a dû paraître timide et gauche, pense-t -il ; en présence d’une femme dont elle a entendu
de la pousser à le signer. Si cette éventualité ne se produit pas, il pense qu’il la reverra dans les premiers jours de décem
son amour dont la profondeur et le désintéressement ont plus de prix, pense-t -il, que les turbulentes ardeurs de la jeunesse. M
progrès étonnants. Elle est aujourd’hui (et ce n’est pas moi seul qui pense ainsi) la première danseuse d’Europe. Une vaste e
et j’agirais en criminel, si j’entravais son avenir. Voilà comment je penserais , même si je possédais un demi-million, si je pouv
77 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159
ui a assigné des règles, des principes et une marche légulière ; j’ai pensé qu’il étoit possible de lui donner plus d’extensi
st plus que suffisant à l’exécution de tous les dessins possibles. Je pense qu’un plus grand nombre de danseurs produiroit de
78 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
ur âme, et non l’imagination, qu’on en a cru chargée jusqu’à présent, pense-t -on qu’on donnera du génie ou du talent à ceux à q
esqu’inutiles, peut-être même s’imaginera-t-on un jour qu’ils peuvent penser , vivre, agir comme le reste des hommes. Ils auron
s décidée pour tout ce qui a l’air d’intrigue, d’artifice, de cabale. Pense-t -on que ce soit là un des moindres ouvrages de la
79 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
ne pourront manquer de vous convaincre que j’ai beaucoup lu, beaucoup pensé , que je possède les règles d’un art dégradé de no
rler. Les progrès de l’esprit humain seront alors à leur comble. J’ai pensé mettre ici une phrase pompeuse ; je l’aurais fait
gne d’estime, qui existe actuellement, Voltaire seul excepté. « J’ai pensé  » que les événemens multipliés, que les changemen
80 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
jourd’hui souillées et déshonorées ? Qu’est-ce que les païens peuvent penser de la sainteté de nos sacremens, quand ils voient
reprochera que dans le sein même de l’Eglise, ils ont moins sainement pensé des choses de la Religion et de la sainteté de no
81 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
Romains n’est qu’une exagération extravagante ; et ils continueront à penser , que nous avons tout ce qu’on peut avoir, parce q
82 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
anc parmi les invités qui ne prenaient pas part à nos exercices. Elle pensait combien elle avait eu de chance de ne pas être là
83 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
er de foi, que de ne vouloir pas s’en rapporter à sa parole, et de ne penser qu’à se réjouir en ce monde, sans se mettre en pe
84 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
t certainement assez pour le faire préférer à tout autre. Et qu’on ne pense pas que l’équitation, l’escrime, la course, la lu
85 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
rien que du sang scandinave coule dans ses veines — dansa ce qu’avait pensé Kant, ce qu’avait chanté Novalis, ce qu’avait ima
ns de succès devant elle ! « Quand Fanny danse », renchérit-il, « on pense à mille choses joyeuses… … Taglioni vous faisait
hérit-il, « on pense à mille choses joyeuses… … Taglioni vous faisait penser aux vallées pleines d’ombre et de fraîcheur, où u
86 (1936) Philosophie de la danse
supposent des demandes, des besoins.   Voilà bien de la philosophie, pensez -vous… Je le confesse… J’en ai mis un peu trop. Ma
’est que le Temps ; et il avoue qu’il le savait fort bien quand il ne pensait pas à s’interroger ; mais qu’il se perdait dans l
qu’on encanaillait facilement naguère, et surtout hors d’Espagne. Je pense qu’elle a obtenu ce magnifique résultat, puisqu’i
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
uteurs vivants. J’ai parlé de Quinault comme on aurait dû toujours en penser , et de Lamotte [La Motte], comme j’en pense. Un É
on aurait dû toujours en penser, et de Lamotte [La Motte], comme j’en pense . Un Écrivain, au reste, qui voudrait faire un Tra
88 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
ant la pendule. Chose curieuse, chaque fois que je la contemplais, je pensais , malgré moi, aux yeux de son propriétaire. Il me
89 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
s ces occasions doit toujours être compté pour beaucoup plus qu’on ne pense . Toute cette pompe, après avait traversé la ville
90 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
qu’elle soit, ne parle ni à l’œil ni à l’imagination, que faut-il en penser  ? ce que je ne conçois pas, c’est de voir des art
91 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
le, l’ivresse ou la folie sont le principe de la danse, qu’en doit on penser selon les Ecritures, où ce qu’on lit de saint Jea
estu sæpè graviter reprehendet atque inseclabitur. » Que faut-il donc penser des confesseurs qui souffrent tranquillement que
, une pénitence de trois ans, ne seroit-il pas contre toute raison de penser que les danses faites dans les places publiques é
92 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
andai-je, et la salade ? — Oh ! ça, nous n’en avons pas souvent. — Je pense que vous mangez de la viande ? — Pas souvent non
ait en retard, elle pleurait, elle pleurait même à chaudes larmes. Je pensais que mon admonestation provoquait ce débordement l
93 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
ar le bureau des longitudes. Nous avons promis une nomenclature. Nous pensons qu’on peut fractionner ainsi la grande famille de
m de l’auteur ne nuise à l’admiration qu’on a pour l’ouvrage. Le père pense un matin que la jeune plante s’étiolera dans la s
Aurai-je trop présumé de votre générosité et de votre zèle, je ne le pense point, en formant le projet de faire une quête ex
naturellement sur les plats, comme la fougère dans les bois, et il ne pense pas qu’il faille une invitation pour se repaître
n est tombé : l’Arthur lui dit… Il y a faute à l’article vin. — Je ne pense pas, monsieur, dit le garçon… vous avez demandé t
ns sortir de Paris ; elle a déjà répété cinq fois : Il est minuit, je pense à toi… Quand elle s’aperçoit qu’il est six heures
h… ah… est le cri général qui s’élève. Le nouvel arrivant ne sait que penser de cette formule de joie, quand on lui présente u
lise de son village. Les médecins de Lorettes. Nous avons pensé que ce chapitre ne devait pas figurer au budget d
94 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
rrière, une très vulgaire barrière, qui ne ferme rien et n’est là, je pense , que pour empêcher les animaux errants d’entrer e
95 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
[Conclusion] Je pense qu’il serait inutile, pour le but que je me suis
96 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
patrie : sous ce rapport, on vous rendra la justice de dire, que vous pensez et que vous écrivez en bon français ; mais il est
97 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
èle, Très digne du doux Sacrement, Et qui danse admirablement. J’ai pensé faire une folie, En oubliant cette jolie, Cette p
98 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
en font les honneurs. J’ai déjà pu dire ici même tout le bien que je pense de Mlle de Craponne ; très nettement croisés ses
99 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
is, que l’enchaînement est exécuté sans défaillances, tel qu’il a été pensé par la maîtresse. À peine son jonc frappe-t-il le
100 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
r. Chant I, vers C’est en vain qu’au Parnasse un téméraire auteur Pense de l’art des vers atteindre la hauteur : S’il ne
pensée : Ils croiraient s’abaisser, dans leurs vers monstrueux, S’ils pensaient ce qu’un autre a pu penser comme eux. Evitons ces
sser, dans leurs vers monstrueux, S’ils pensaient ce qu’un autre a pu penser comme eux. Evitons ces excès : laissons à l’Itali
ans défauts vaut seul un long poëme. 95 Mais en vain mille auteurs y pensent arriver ; Et cet heureux phénix est encore à trou
Un Menuet parfait est la plus noble Danse. En vain, mille danseurs y pensent arriver, Et cet heureux phénix est encore à trouv
ques d’Aristote, d’Horace et de Boileau. 3. Boileau obtint diverses pensions de Louis xiv. Je fus long-temps attaché aux balle
s et des petites pièces : elle m’en a récompensé par des bienfaits et pensions . 1. Académie royale de Musique. 1. L’élégance
connaisse dans la diversité des personnages qu’il représente et qu’il pense se voir en lui comme en un miroir ». Lucien, liv
connaissez l’importance : Formez vos premiers pas sous un maître qui pense  ; Vous avancerez plus avec moins de travaux : Il
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