car elle ne sortira pas de scène, sans avoir trébuché. Cette façon de
penser
enfantine est pourtant le grand art du ballet : l
parole belle, on fait fi de la pensée. Il faut bien des efforts pour
penser
à une époque où tout est plastique. Les Saisons,
e ballet ne s’en soit cru pensant. Aujourd’hui, je ne sache pas qu’il
pense
.
es réformer, pour engager peut-être le Public à les y contraindre, je
pense
qu’il est nécessaire de les développer sans ménag
ement des bras, à une légèreté extrême dans la formation des pas. Que
penserait
-on d’un Graveur, qui, ayant assez de talent, pour
araître seul deux fois, dans quelque Opéra qu’on mette au théâtre. Il
penserait
n’avoir pas dansé, s’il n’avait ses deux Entrées
ours à faire de son entrée un contresens. 143. Quelques Connaisseurs
pensent
le contraire. Le général des Spectateurs, tous le
ge) prends-t-en à mes dix-huit ans. II Cher lecteur, Que vas-tu
penser
de moi ? Pas grand bien, n’est-ce pas ? Après m’a
t pour laper un peu sur les doigts de ces écrivains écervelés qui ont
pensé
être très-malins en m’accablant de célébrité au p
Ballet du Roi, Fort divertissant, sur ma foi, Qu’on intitule (que je
pense
) Le Ballet de l’Impatience, Dans le Louvre se dan
si l’on me fait cette grâce De m’y donner, encore, place, Il sera (je
pense
) à propos D’en dire encor deux petits mots : Mais
l’art de la danse proprement dit. Cependant en y réfléchissant, j’ai
pensé
que ces programmes pourroient avoir quelqu’utilit
e à mes élèves, ou à des artistes à qui ils pouvoient être utiles. Je
pense
que le lecteur ne jugera pas à la rigueur cette e
nt fait mettre bas les Armes Au DUC DES LORRAINS, par ses charmes, Ne
pense
plus qu’à son BALLET, Qui sera galant et follet.
re, comment veux-tu qu’il y ait de la place pour toi ? Je n’avais pas
pensé
à cela ; aussi me levai-je en disant : — Alors, i
r de son théâtre. — Mais il ne voudra pas te recevoir. Je n’avais pas
pensé
à cela non plus, mais je ne m’attendais pas à un
trouver un engagement… Je ne joue nulle part pour l’instant,… mais je
pense
que cela… n’a pas d’importance… et que peut-être
ande envie de pleurer. Mon assurance s’en ressentit. — Je n’ai jamais
pensé
cela, répondis-je. Mais je voudrais devenir une a
er la grande tragédienne française ? — Oui,… je suppose… mais je n’ai
pensé
qu’à mon… immense désir de la voir… et c’est pour
t aussi comme du cristal qui tintait dans mes oreilles. Qui aurait pu
penser
alors que la pauvre petite fille de l’Ouest viend
ce qu’elle répondit : — Mes électriciens se mettraient en grève s’ils
pensaient
que je pusse leur adjoindre quelqu’un. Tout ce do
’ils ne tuassent point, l’un d’eux me répondit très simplement : — Je
pense
que je peux servir de cible, tout comme un autre,
rvir de cible, tout comme un autre, et les gens qui tireront sur moi,
penseront
bien que c’est la guerre. — N’est-ce pas vous, su
a guerre. — N’est-ce pas vous, surtout, vous, les plus civilisés, qui
penserez
cela ? — Croyez-vous que j’aurai le temps de pens
civilisés, qui penserez cela ? — Croyez-vous que j’aurai le temps de
penser
? demanda-t-il. Et disant cela il souriait. Ils é
able en oubliant de demander leurs noms à mes voisins, et lorsque j’y
pensai
, il était trop tard. Je me rappelai pourtant que
encore. J’allais créer une danse ! Comment n’y avais-je encore jamais
pensé
? Deux de mes amies, Mme Hoffman et sa fille, Mme
ième année, je fus irritée au dernier point de cette allégation et je
pensai
: « Faudra-t-il donc que je conquière péniblement
’était trompé d’adresse, et je continuai à me démaquiller sans plus y
penser
. Tout d’un coup, un monsieur se précipita dans ma
înaient dans des gondoles. De ma fenêtre, je regardais la fête, et je
pensais
à l’autre souper où j’avais été involontairement
*** Je ne suis pas devenue la Loïe Fuller, sans avoir, comme bien on
pense
, payé mon tribut à quelques petites aventures. Je
cte que je vous expédie. Si je vous parle de lui comme d’un colis, ne
pensez
point que je fasse peu de cas de sa personne. C’e
que les réparations de votre demeure, laissez-moi vous dire ce que je
pense
de l’espèce d’association à laquelle vous m’avez
lir, et cela à cause d’une réponse qu’il m’a faite et qui m’a donné à
penser
. Comme je le prévenais d’avoir à ne blesser en ri
ât recevoir Ainsi qu’il était du devoir. C’est ce qu’on fit aussi, je
pense
, Avec beaucoup de diligence Et non moins d’exulta
, On entendit une belle Orgue Qui fait à toute autres la morgue. Je
pense
aussi qu’on y balla ; Que veut-on plus après cela
urs de déplaisir de n’y pouvoir pas être, Car bien du monde, ici, qui
pense
s’y connaître, Dit que l’artifice en surprend Et
arque adorable, Et qui doit être su partout cet Univers. […] J’avais
pensé
, dans cette Épître, Tracer un simple et beau Chap
re ! Vous êtes saxonne et je suis latine. Lorsque je la considère, je
pense
comme elle, et je me demande s’il existe une faço
e est tout au monde sauf cela. C’est une drôle de fille qui semble ne
penser
à rien d’autre qu’à son travail. — Serait-elle sa
ndre, elle se tut, réfléchit un moment et répondit : — Il faut que je
pense
à cela, mais il me semble que la vibration de la
les de grands bras tourmentés. Toute une floraison de rêve s’étire et
pense
. Le poème animé de la fleur chante là : délicate,
l’âme des choses même lorsqu’elles n’en ont pas. L’inanimé s’anime et
pense
sous son désir de magicienne et la « Pantomime du
Que cette Tragicomédie Est pleine d’Actes surprenants, De Vers et de
pensers
charmants. Chacun admire une Machine Qui semble ê
tière évince l’esprit. Les pauvres multitudes sont ravies de ne point
penser
, et de n’avoir même pas à faire le moindre effort
ans Pareille Danse que les autres. Dites pour eux vos Patenôtres, Et
pensez
, ô pauvres Mondains, Que vous serez des Baladins,
est bon Que j’y sois où présent ou non ; C’est un Point, comme je le
pense
, D’une assez grande conséquence ; Mais, toutefois
, Couronna les autres Cadeaux Par le sien, qui fut des plus beaux. Je
pense
que je le puis dire, Sans qu’on ose me contredire
’ouïe, Dans le cours de la Comédie. À ce Théâtre si riant, Dressé, je
pense
, à l’Orient, On se rendait, par une Allée, D'un b
ouvement qui exprime la pensée. On ne nous l’enseigne pas et nous n’y
pensons
pas. Qui de nous n’a été peiné par un mouvement d
s faire autant de mouvements qu’il y a de notes. Il est terrifiant de
penser
à ce qu’il faut de force et d’agilité, pour mener
ssé les hommes à danser. Maintenant ces causes sont oubliées et on ne
pense
plus qu’il faille une raison pour danser. En effe
voulais dire, et je m’excuse de l’avoir dit aussi longuement, mais je
pense
que cela était nécessaire.
urrez aisément les voir Dans le Cahier ou petit Livre Qui se vend, je
pense
, une livre Chez l’Imprimeur du Roi, BALLARD. Où v
lle ne pouvait chasser de pénibles pressentiments. Moi, je ne voulais
penser
qu’à ce qui m’attendait de bon dans l’avenir et o
partir et d’attendre un nouvel engagement qui viendrait peut-être. Je
pensais
à Paris plus que jamais. Ah ! si je pouvais y all
ou pour sombrer ! 2. Traduction mot à mot : « Club des gens qui ne
pensent
pas », mais, en anglais, le sens est plutôt celui
re de grâce après le déchaînement furieux des orages de la vie. Et je
pensais
, sans modestie, que j’allais conquérir ce grand P
otre imitatrice. Et comme vous voyez qu’elle n’a pas grand succès, je
pense
que vous n’en aurez pas beaucoup plus. Pourtant s
e ma doublure le directeur des Folies-Bergère m’emmena au Figaro. Je
pensais
certes qu’au point de vue de la réclame c’était u
on imaginer avec quelle joie j’entrai en relations avec Sada Yacco et
penser
que je n’hésitai point à prendre la responsabilit
décidai donc bravement à supporter les pertes que j’avais subies, et
pensais
à toute autre chose lorsque la fortune sembla me
esario qui les emmena à Copenhague. J’allais également en Danemark et
pensais
m’occuper des affaires des Japonais, en même temp
. J’éprouvai un réel chagrin de ce voyage manqué, puis bientôt je n’y
pensai
plus. Un jour, à Londres, une de mes amies, se tr
té de sa maladie lors de mon départ manqué pour le Céleste Empire. Je
pense
que ce serait trop exiger de Son Excellence que l
pour qu’il lui fût possible de prendre de nouveaux engagements. Je ne
pensai
donc plus à la Reine. En arrivant à une matinée,
timbrées à l’écu royal. « La Reine a envoyé quelqu’un à ma matinée »,
pensai
-je, « elle veut savoir si mes danses valent vraim
politesse ? Ou bien mes danses lui déplaisaient-elles ? Que devais-je
penser
? Et je rentrai chez moi tout à fait au désespoir
ages !… Des sauvages et des voleurs !… Et c’est pire encore que je ne
pensais
. Un matin, il descendit, seul, dans la salle de r
du marchand. Les renseignements qu’il nous fournit, nous donnèrent à
penser
que ce devait être la fameuse Baxter street, la r
ous priait de commander ce que vous désiriez ? Il réglera l’addition.
Pensez
à ce que dut croire cet Anglais ! Il était venu d
agrin à considérer un homme qui n’est pas Américain. Chaque Américain
pense
, sans toutefois s’absorber dans des réflexions pr
n’ai jamais rendu les bijoux. Et je me demande parfois ce que doivent
penser
mes amies de quelques heures d’une femme qui a os
. Ses expressions sont simples et ne cherchent pas le pittoresque. Je
pense
que je ne lui ai pas déplu ; car, au bout de quel
dant, il ne fit aucune réflexion chagrine sur quoi que ce soit. Je ne
pense
pas qu’il m’ouvre jamais les profondeurs de son c
ces du charmant Tansmann. Cette jeune fille, et c’est là l’essentiel,
pense
par images plastiques et elle est outillée pour l
ant la guerre interpréter très heureusement une œuvre de Puccini ; je
pense
aussi à la Pavane de Grieg, fort bien dansée dans
outer de l’antiquité des sciences, et des arts ; et il est naturel de
penser
qu’à peine sortis de leur enfance, ils furent dis
s récompenses au moment passager d’un triomphe ; ils y ajoutoient des
pensions
considérables, et préparoient aux arts et aux sci
Mlle Mandu utilise parfois le costume avec une intelligence qui fait
penser
aux Sakharoffs. Une robe blanche, aux plis monast
rojets, se partagent en frères la même substance d’une becquée. Qu’en
penses
-tu, fils d’Acumène ? ÉRYXIMAQUE Je pense que je p
stance d’une becquée. Qu’en penses-tu, fils d’Acumène ? ÉRYXIMAQUE Je
pense
que je pense comme toi. SOCRATE Ô médecin que tu
becquée. Qu’en penses-tu, fils d’Acumène ? ÉRYXIMAQUE Je pense que je
pense
comme toi. SOCRATE Ô médecin que tu es, j’admirai
dent ? SOCRATE Homme admirable, qui par les songes connais les dents,
penses
-tu que les philosophes aient les leurs toutes gât
te semble de la danseuse ? SOCRATE Éryximaque, ce petit être donne à
penser
… Il assemble sur soi, il assume une majesté qui é
rement de la route, ils sont ce qu’ils sont : nous les perdons sans y
penser
. Mais considère cette parfaite procession de l’At
s rapports de choses, qui, sur-le-champ, se font ma propre pensée, et
pensent
, en quelque sorte, à la place de Phèdre. Je me tr
e, à tout prix, prétend qu’elle représente quelque chose ! PHÈDRE Que
penses
-tu, Socrate ? SOCRATE Si elle représente quoi que
ffrir, un seul instant, de n’être que ce qu’il est. Il est étrange de
penser
que ce qui est le Tout ne puisse point se suffire
tes, surtout intérieures, que bien des gens commettent sans presque y
penser
en les commettant ou après les avoir commises ! C
an Duren et les trois demoiselles Guy vinrent nous dire sur ce qu’ils
pensent
de la danse antique, la vérité toute nue. Or, c’e
u’entrât la Reine : Mais n’ayant pas été placé Aussi bien que j’avais
pensé
, Je n’ouïs point la mélodie, Je n’y vis point la
les Récits, Si ce n’est que la COUR de FRANCE Est la seule, comme je
pense
, Où Gens triés sur le Volet, Puissent ainsi faire
. En écrivant et en parlant contre les danses, on est bien éloigné de
penser
que toutes les personnes qui y sont attachées y r
ous avez reçu vos biens pendant votre vie. C’est-à-dire, vous n’avez
pensé
qu’à y vivre à votre aise et dans les plaisirs. V
de sophismes inexplicables et sans vertu. Dans un siècle où on aurait
pensé
, la prévoyance du Gouvernement aurait su prévenir
re X. Je vous ai démandé, Madame, quelques jours de réflexion. J’ai
pensé
, j’ai raisonné, j’ai calculé, et le résultat de m
noble et charmante SOUBISE, À qui mainte et mainte Franchise Est, je
pense
, offerte en Tribut, Beaucoup à tout le monde y pl
ec calme, j’étudie ma géographie. — De la diplomatie et des pointes !
pensa
mademoiselle Emarot. Quelle vocation ! Ma fille s
: Monsieur Pipelet rêve dans sa loge ; Un papillon noir vole en ses
pensers
; Ses deux filles ont l’âge des baisers, Et sont
semblait à tous les petits salons de tous les palais du monde ; et je
pensais
combien cela devait être désagréable de vivre dan
ais ? Je répondis que c’était à des danses de cette sorte que j’avais
pensé
en lui écrivant, car ces reconstitutions devaient
ma fatigue et vint à moi. — Quel égoïsme de notre part de n’avoir pas
pensé
plus tôt combien vous devez être lasse ! — Oh ! j
pas craindre ce qui peut conduire au mal, c’est donner trop sujet de
penser
qu’on y est déjà engagé. Aussi Jésus-Christ dit-i
ue fait au spectacle un chrétien fidèle, à qui il n’est pas permis de
penser
volontairement aux vices, ces pensées lui en fais
tion qui est inséparable des danses, n’en rend-elle pas incapable ? Y
pense-t
-on même le moins du monde à s’en acquitter ? Sain
nterprètes de l’Écriture sont sur ce point d’un sentiment unanime. Je
pense
, dit un des plus célèbres, qu’on doit entendre da
ion : mais en l’écrivant, j’ai entrevu l’espoir d’être utile, et j’ai
pensé
qu’à ce titre seul elle pouvait mériter de vous ê
ssent, Et ses bons sujets réjouissent ; Bref, qui mieux qu’on ne peut
penser
, Se connaît des mieux à danser, Soit par haut, ou
ns, Qui, récitant des Vers, trois cents, Et cinquante, encore, que je
pense
, Jouait un Rôle d’importance, Et des plus forts,
mis eux-mêmes. Après la Jamaïque nous retournâmes à New-York et je ne
pensai
plus guère à Kingston. Deux ans plus tard, lorsq
se. En causant avec Dumas j’ai appris de lui des choses auxquelles je
penserai
ma vie entière. Un jour, toujours avec M. Poulle
rien de si maussade & de si mal entendu souvent à l’exécution. Je
pense
, Monsieur, que cet Art n’est resté dans l’enfance
les. Dire que je blâme généralement toutes les figures symmétriques ;
penser
que je prétende en abolir totalement l’usage, ce
, nous avons chanté des airs tristes, et vous n’avez pas pleuré. Je
pense
que les personnes tant soit peu éclairées et de b
u modestes. Salomon, dans le passage de l’Ecclésiaste ; n’a nullement
pensé
aux danses ; mais il a seulement parlé d’une mani
ans les danses contre lesquelles nous nous élevons, est-on éloigné de
penser
à chanter ainsi des hymnes à la gloire de Dieu !
s grossière illusion que de prétendre autoriser des danses où l’on ne
pense
nullement à Dieu, par l’exemple de David, dont la
tinct, ne sont occupées qu’à sentir. La Nature semble avoir chargé de
penser
pour eux certains êtres privilégiés qu’elle produ
vait, que le ciel était gris, que j’étais seule chez moi, je me mis à
penser
à notre sort actuel et à celui qui nous attendait
rcé, pour se la faire pardonner, de secourir « la mère. » Et quand on
pense
que cette lettre est copiée textuellement dans un
s yeux pleins de larmes… — Non pas… C’est très-rigolo, ici… — Rigolo,
pensa
Markouski, ce sont des Espagnols… et moi qui les
ongeait plus au sommeil. — Je tiens peut-être des bailleurs de fonds,
pensait
-il. A six heures, le jour parut. Le soleil entra
s cussions échangé une parole. Je ne savais pas qui il était et je ne
pensais
nullement à faire sa connaissance. Mais ses yeux
tenait à mon amitié, — plus qu’à tout au monde. Moi, de mon côté je
pensais
à lui beaucoup plus que je ne voulais l’avouer, m
et souvent rien de si maussade et de si mal entendu à l’exécution. Je
pense
, Monsieur, que cet art n’est resté dans l’enfance
bles. Dire que je blâme généralement toutes les figures symétriques ;
penser
que je prétende en abolir totalement l’usage, ce
nc, de l’incartade D’icelui, sujet à boutade, Plus ravi qu’on ne peut
penser
, Mardi dernier, je vis danser, Dans toute sa magn
égale Dedans la pompe d’un Régale. Quatre Édifices enchantés Et, je
pense
aussi, concertés Dans les secrets d’une Magie Don
par tous les docteurs de l’Eglise, qu’on rougisse du moins de ne pas
penser
sur les danses aussi sainement que l’ont fait plu
t s’attirer un compliment sincère. Refuser de le dire, c’est donner à
penser
. Je me rappellerai toujours le mot d’une marchand
e. D’ailleurs, elles n’en diront jamais sur moi-même plus que je n’en
pense
. Il me serait facile de me venger, dans ce livre
onc frapper plus particulièrement les jeunes esprits et leur donner à
penser
que l’être, qui évoluait là, devant eux, parmi de
rre avec son fils. Au bout de quelque temps, elle put croire qu’il ne
pensait
plus à moi. Neuf ans se passèrent. J’étais devenu
l’air de s’occuper le moins du monde de ce que nos invités pouvaient
penser
d’elle. Mais ce ne fut pas son air d’indifférence
un peu surprise de la façon brusque dont elles étaient parties et n’y
pensai
plus jusqu’au retour du chef d’orchestre. Il revi
Sans oublier les principaux personnages de la représentation, il doit
penser
au plus grand nombre ; fixe-t-il toute son attent
nnages d’un ballet ne devoient pas faire oublier les subalternes ; je
pense
même, qu’il est moins difficile de faire jouer de
Gautier dans un feuilleton de 1837, « chose plus commune que l’on ne
pense
, l’amour insensé pour une muse qui ne vous le ren
aient en triomphe portés : Ce qui formait si beau spectacle, Que j’en
pensai
crier, miracle : Et cette Entrée, en vérité, Par
pour danser. Après quoi ce cardinal ajoute : « Rougissez ; un païen a
pensé
plus sainement que vous, et un païen vous condamn
gent l’art de périr pour l’éternité ? Je dirai sans hésiter ce que je
pense
à ce sujet : Si l’adultère et la fornication sont
ie qui en couvre une autre : Amentia una aliam tegit. En dansant en
pense
moins au plaisir présent, qu’à celui qu’on se pro
cteurs étrangers à l’Eglise, des enfans de l’Eglise doivent rougir de
penser
moins sainement qu’eux.
e ces temps reculés, je passe à ma veillée de la nuit dernière. Je ne
pensais
nullement à une anecdote romanesque et je dégusta
On l’attend d’un moment à l’autre, et même je l’attends ici, où l’on
pense
qu’il s’arrêtera pour laisser souffler ses chevau
dait : « Ça ne te regarde pas. Une danseuse ne doit rien savoir et ne
penser
à rien qu’à son art. » A force de m’entendre parl
soins de mon père, d’une solidité bien rassurante. J’avoue que je n’y
pensais
pas, sauf quand mon danseur, en feignant de me re
en me souhaitant une bonne nuit. Je n’ai pas dormi tout de suite. Je
pensais
à toi, à moi, à mon hôte et à Champorel. Comme l’
porel. Comme l’homme est, malgré qu’il en ait, un profond égoïste, je
pensais
à nous deux d’abord. Je comparais l’existence que
boisson chaude avant de gravir la montagne. Quand le thé fut prêt, je
pensai
encore à ce jeune voyageur qui se morfondait dans
seuls ont de l’esprit. Quant à leurs propriétaires, écoutez ce qu’en
pensait
, — voici déjà tantôt trente ans, — un de leurs pl
equel elle vit. Cependant, elle regrette la Restauration, à cause des
pensions
de retraite que celle-ci avait créées. Les noms d
i, dans un nombre égal d’années, nous ne pouvions, en nous regardant,
penser
à, ne fût-ce qu’une seconde, de fièvre amoureuse
bastante saggio che, sebbene non sia egli un Danzatore, ma su di ciò
pensa
così bene che piacemi, e sia lecito il rapportarl
; il était indispensable qu’elles peignissent tout ce que Quinault a
pensé
qu’elles devaient exprimer. [Voir Coupe] Dans Cad
e d’Armide. On le regarde comme très indigne des quatre autres, et je
pense
que c’est sur l’effet seul qu’on l’a jugé. Le Pub
omper : ils encouragent rarement l’aurore du talent. Ces Messieurs ne
pensent
pas comme le Public, & devraient bien avoir p
re, En acheter le galant LIVRE,70 Que le SUBSTITUT d’APOLLON, Et, je
pense
, autant que lui blond71 En a fait à son ordinair
net, lettre du samedi 18 avril 1671 Je l’ai vu cet Opéra là, Et je
pensais
n’avoir pas là Suffisamment, d’yeux, & d’orei
encouragements encore. Il éprouve le besoin de savoir ce que ses amis
pensent
de son cas. Il va faire des confidences à l’un de
é et de la sagesse un desséchement prématuré ! Ce n’est pas ainsi que
pense
Anacréon, lorsqu’il dit dans une de ses chansons
je pas jeter encore un regard dans l’abîme de tes yeux ? Adieu, ange,
pense
à moi ! » En route il exhale ses plaintes en qua
s qui les accompagnent, et j’oublie la politique et le monde et je ne
pense
qu’à toi. » Il la remercie avec chaleur de lui av
appartenant au théâtre. Les plus éclairés parmi les hommes ordinaires
pensent
et disent (car ma liaison avec elle est le sujet
n élève n’ait pas été brillante. Elle a dû paraître timide et gauche,
pense-t
-il ; en présence d’une femme dont elle a entendu
de la pousser à le signer. Si cette éventualité ne se produit pas, il
pense
qu’il la reverra dans les premiers jours de décem
son amour dont la profondeur et le désintéressement ont plus de prix,
pense-t
-il, que les turbulentes ardeurs de la jeunesse. M
progrès étonnants. Elle est aujourd’hui (et ce n’est pas moi seul qui
pense
ainsi) la première danseuse d’Europe. Une vaste e
et j’agirais en criminel, si j’entravais son avenir. Voilà comment je
penserais
, même si je possédais un demi-million, si je pouv
ui a assigné des règles, des principes et une marche légulière ; j’ai
pensé
qu’il étoit possible de lui donner plus d’extensi
st plus que suffisant à l’exécution de tous les dessins possibles. Je
pense
qu’un plus grand nombre de danseurs produiroit de
ur âme, et non l’imagination, qu’on en a cru chargée jusqu’à présent,
pense-t
-on qu’on donnera du génie ou du talent à ceux à q
esqu’inutiles, peut-être même s’imaginera-t-on un jour qu’ils peuvent
penser
, vivre, agir comme le reste des hommes. Ils auron
s décidée pour tout ce qui a l’air d’intrigue, d’artifice, de cabale.
Pense-t
-on que ce soit là un des moindres ouvrages de la
ne pourront manquer de vous convaincre que j’ai beaucoup lu, beaucoup
pensé
, que je possède les règles d’un art dégradé de no
rler. Les progrès de l’esprit humain seront alors à leur comble. J’ai
pensé
mettre ici une phrase pompeuse ; je l’aurais fait
gne d’estime, qui existe actuellement, Voltaire seul excepté. « J’ai
pensé
» que les événemens multipliés, que les changemen
jourd’hui souillées et déshonorées ? Qu’est-ce que les païens peuvent
penser
de la sainteté de nos sacremens, quand ils voient
reprochera que dans le sein même de l’Eglise, ils ont moins sainement
pensé
des choses de la Religion et de la sainteté de no
Romains n’est qu’une exagération extravagante ; et ils continueront à
penser
, que nous avons tout ce qu’on peut avoir, parce q
anc parmi les invités qui ne prenaient pas part à nos exercices. Elle
pensait
combien elle avait eu de chance de ne pas être là
er de foi, que de ne vouloir pas s’en rapporter à sa parole, et de ne
penser
qu’à se réjouir en ce monde, sans se mettre en pe
t certainement assez pour le faire préférer à tout autre. Et qu’on ne
pense
pas que l’équitation, l’escrime, la course, la lu
rien que du sang scandinave coule dans ses veines — dansa ce qu’avait
pensé
Kant, ce qu’avait chanté Novalis, ce qu’avait ima
ns de succès devant elle ! « Quand Fanny danse », renchérit-il, « on
pense
à mille choses joyeuses… … Taglioni vous faisait
hérit-il, « on pense à mille choses joyeuses… … Taglioni vous faisait
penser
aux vallées pleines d’ombre et de fraîcheur, où u
supposent des demandes, des besoins. Voilà bien de la philosophie,
pensez
-vous… Je le confesse… J’en ai mis un peu trop. Ma
’est que le Temps ; et il avoue qu’il le savait fort bien quand il ne
pensait
pas à s’interroger ; mais qu’il se perdait dans l
qu’on encanaillait facilement naguère, et surtout hors d’Espagne. Je
pense
qu’elle a obtenu ce magnifique résultat, puisqu’i
uteurs vivants. J’ai parlé de Quinault comme on aurait dû toujours en
penser
, et de Lamotte [La Motte], comme j’en pense. Un É
on aurait dû toujours en penser, et de Lamotte [La Motte], comme j’en
pense
. Un Écrivain, au reste, qui voudrait faire un Tra
ant la pendule. Chose curieuse, chaque fois que je la contemplais, je
pensais
, malgré moi, aux yeux de son propriétaire. Il me
s ces occasions doit toujours être compté pour beaucoup plus qu’on ne
pense
. Toute cette pompe, après avait traversé la ville
qu’elle soit, ne parle ni à l’œil ni à l’imagination, que faut-il en
penser
? ce que je ne conçois pas, c’est de voir des art
le, l’ivresse ou la folie sont le principe de la danse, qu’en doit on
penser
selon les Ecritures, où ce qu’on lit de saint Jea
estu sæpè graviter reprehendet atque inseclabitur. » Que faut-il donc
penser
des confesseurs qui souffrent tranquillement que
, une pénitence de trois ans, ne seroit-il pas contre toute raison de
penser
que les danses faites dans les places publiques é
andai-je, et la salade ? — Oh ! ça, nous n’en avons pas souvent. — Je
pense
que vous mangez de la viande ? — Pas souvent non
ait en retard, elle pleurait, elle pleurait même à chaudes larmes. Je
pensais
que mon admonestation provoquait ce débordement l
ar le bureau des longitudes. Nous avons promis une nomenclature. Nous
pensons
qu’on peut fractionner ainsi la grande famille de
m de l’auteur ne nuise à l’admiration qu’on a pour l’ouvrage. Le père
pense
un matin que la jeune plante s’étiolera dans la s
Aurai-je trop présumé de votre générosité et de votre zèle, je ne le
pense
point, en formant le projet de faire une quête ex
naturellement sur les plats, comme la fougère dans les bois, et il ne
pense
pas qu’il faille une invitation pour se repaître
n est tombé : l’Arthur lui dit… Il y a faute à l’article vin. — Je ne
pense
pas, monsieur, dit le garçon… vous avez demandé t
ns sortir de Paris ; elle a déjà répété cinq fois : Il est minuit, je
pense
à toi… Quand elle s’aperçoit qu’il est six heures
h… ah… est le cri général qui s’élève. Le nouvel arrivant ne sait que
penser
de cette formule de joie, quand on lui présente u
lise de son village. Les médecins de Lorettes. Nous avons
pensé
que ce chapitre ne devait pas figurer au budget d
rrière, une très vulgaire barrière, qui ne ferme rien et n’est là, je
pense
, que pour empêcher les animaux errants d’entrer e
[Conclusion] Je
pense
qu’il serait inutile, pour le but que je me suis
patrie : sous ce rapport, on vous rendra la justice de dire, que vous
pensez
et que vous écrivez en bon français ; mais il est
èle, Très digne du doux Sacrement, Et qui danse admirablement. J’ai
pensé
faire une folie, En oubliant cette jolie, Cette p
en font les honneurs. J’ai déjà pu dire ici même tout le bien que je
pense
de Mlle de Craponne ; très nettement croisés ses
is, que l’enchaînement est exécuté sans défaillances, tel qu’il a été
pensé
par la maîtresse. À peine son jonc frappe-t-il le
r. Chant I, vers C’est en vain qu’au Parnasse un téméraire auteur
Pense
de l’art des vers atteindre la hauteur : S’il ne
pensée : Ils croiraient s’abaisser, dans leurs vers monstrueux, S’ils
pensaient
ce qu’un autre a pu penser comme eux. Evitons ces
sser, dans leurs vers monstrueux, S’ils pensaient ce qu’un autre a pu
penser
comme eux. Evitons ces excès : laissons à l’Itali
ans défauts vaut seul un long poëme. 95 Mais en vain mille auteurs y
pensent
arriver ; Et cet heureux phénix est encore à trou
Un Menuet parfait est la plus noble Danse. En vain, mille danseurs y
pensent
arriver, Et cet heureux phénix est encore à trouv
ques d’Aristote, d’Horace et de Boileau. 3. Boileau obtint diverses
pensions
de Louis xiv. Je fus long-temps attaché aux balle
s et des petites pièces : elle m’en a récompensé par des bienfaits et
pensions
. 1. Académie royale de Musique. 1. L’élégance
connaisse dans la diversité des personnages qu’il représente et qu’il
pense
se voir en lui comme en un miroir ». Lucien, liv
connaissez l’importance : Formez vos premiers pas sous un maître qui
pense
; Vous avancerez plus avec moins de travaux : Il
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