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1 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
re que facile. On en trouvera la figure, ainsi que la description des parties qui la composent, dans un des deux volumes de pla
n nuages, plus ou moins éclairés selon les occasions. On peint sur la partie de devant, ou une aigle, si c’est le char de Jupi
sants, et on ne conçoit point pourquoi on ne les y emploie pas. Cette partie trop négligée jusqu’ici, suivra sans doute le sor
usieurs vols avec les chars : mais il manque presque toujours quelque partie essentielle à ces sortes de machines. Voyez Vol [
qu’on a l’attention de le bien éclairer, c’est une des plus agréables parties de la décoration. L’effet serait de la plus grand
(B) Cintre Cintre, (Décoration théâtrale) on donne ce nom à la partie du plancher de la salle de l’Opéra qui est sur l’
partie du plancher de la salle de l’Opéra qui est sur l’orchestre. La partie du cintre qui est la plus près du théâtre, n’est
r aider le passage des vols qui se font du milieu du théâtre ou de sa partie la plus éloignée, et qui vont se perdre dans le c
e perdre dans le cintre. Une balustrade de bois amovible sépare cette partie de l’autre : on y place de gros lampions pour écl
té qui changent par le moyen du contrepoids. Le changement des autres parties se fait à la main. Voyez Manœuvre [Article non ré
le lieu de la scène ; que d’ailleurs la coulisse qui avance laisse la partie de la rainure qu’elle a occupée vide hors du théâ
nvention, le dessein et la peinture, en forment les trois principales parties . La première regarde le poète lyrique, et il doit
sance profonde que ce grand homme avait acquise de toutes ces grandes parties qu’on croit peut-être fort étrangères à la poésie
pris la précaution de les acquérir. La décoration à l’opéra fait une partie de l’invention. Ce n’est pas assez d’imaginer des
a une heureuse invention jointe à une connaissance profonde de cette partie , trouvera mille moyens fréquents d’embellir son s
ra ensuite de ce spectacle par celui d’un temple auguste : toutes les parties de la belle architecture des anciens rassemblées
n général, doit être d’un grand secours au peintre qui en exécute les parties . Que de défauts prévenus! que de détails embellis
irées, et qui supposent la connaissance la plus étendue de toutes ces parties différentes. Voilà le modèle : malheur aux poètes
châssis est formée en échelle ; et l’autre moitié reste vide. Dans la partie inférieure en-dessous, et à ses deux extrémités,
les portants de lumière (Voyez Portants [Article non rédigé]) ; et la partie faite en échelle sert aux manœuvres pour aller as
ents, Châssis, Coulisse. (B) Ferme Ferme, (à l’Opéra) c’est la partie de la décoration qui ferme le théâtre, et c’est d
 : elle est partagée en deux. On pousse à la main chacune de ces deux parties sur deux chevrons de bois qui ont une rainure, et
i a d’abord paru facile, entraîne plusieurs inconvénients, et ôte une partie du plaisir que ferait le spectacle. 1°. Les corde
et les moyens sont trouvés depuis longtemps. Une multitude de petites parties de cette espèce trop négligées, diminuent beaucou
un ensemble dépend toujours de l’attention qu’on donne à ses moindres parties . Voyez Machine [Article de Mallet], Décoration, e
différents, en sorte qu’unis ils forment un demi-carré. On met sur la partie horizontale des espèces de lampions de fer blanc
nc faits en forme de biscuits, et auxquels on donne ce nom  ; l’autre partie couvre ces lumières, et on l’oppose au public  ;
, et on l’oppose au public  ; en sorte que toute la lumière frappe la partie de la décoration où l’on veut porter un plus gran
2 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156
des imperfections dont on triomphera, si l’on prévient le tems où les parties ont acquis leur dernier dégré de force et de cons
étonnant qu’ils manquent leur but. L’arrangement disproportionné des parties s’oppose sans cesse en eux au jeu des ressorts, e
es genoux jusqu’aux pieds ; j’observe encore un volume énorme dans la partie intérieure de ses chevilles, une forte élévation
Ce défaut règne également depuis la hanche jusqu’aux pieds ; car ces parties décrivent une ligne qui donne en quelque sorte la
Celui qui est jarreté doit s’appliquer continuellement à éloigner les parties trop resserrées : Le premier moyen pour y réussir
position naturelle et vicieuse, sans des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement et une douleur insupportable.
les dans les efforts du saut roidit les articulations et force chaque partie à rentrer dans sa place et à revenir de sa forme
e ; ce volume met un obstacle aux battemens de l’entrechat : plus ces parties ce joignent, plus celles qui leur sont inférieure
sent moins de jeu aux muscles qui s’y attachent, et dont dépendent en partie les mouvemens du tronc ; mouvemens et inflexions
force. Ceux qui sont arqués ne doivent s’attacher qu’à rapprocher les parties trop distantes, pour diminuer le vide qui se renc
et croiser leurs temps bien plus étroitement afin que la réunion des parties puisse diminuer le jour ou l’intervalle qui les s
t avec plus de vitesse ; brillants, parce que le jour perce entre les parties qui se croisent, et se décroisent. Ce jour est ex
e considère la forme longue et plate de leurs pieds. Je compare cette partie à un levier de la seconde espèce, c’est à dire à
dérobent habilement la longueur de leurs bras ; ils en font fuir une partie dans l’ombre. J’ai dit que les danseurs jarretés
ement, tombera toujours avec pésanteur. La raison en est simple : Les parties foibles ne pouvant résister dans l’instant de la
et vous comprenez qu’il faut plus de tems pour remuer un tout qu’une partie . Quant au brillant qu’elles ont, la vivacité y co
cependant bien moins que les jupes, qui, en dérobant la longueur des parties , fixent plus attentivement les regards, et les fr
3 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314
es imperfections dont on triomphera, si l’on prévient le temps où les parties ont acquis leur dernier degré de force & de c
nt moins en hommes qu’en machines ; l’arrangement disproportionné des parties s’oppose sans cesse en eux au jeu des ressorts &a
es genoux jusqu’aux pieds ; j’observe encore un volume énorme dans la partie intérieure de ses chevilles, une forte élévation
Ce défaut regne également depuis la hanche jusqu’aux pieds ; car ces parties décrivent une ligne qui donne en quelque sorte la
Celui qui est jarreté doit s’appliquer continuellement à éloigner les parties trop resserrées ; le premier moyen pour y réussir
sition naturelle & vicieuse sans des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement & une douleur insupportabl
dans les efforts du saut roidit les articulations, & force chaque partie à rentrer dans sa place & à revenir à sa form
e ; ce volume met un obstacle aux battemens de l’entrechat ; plus ces parties se joignent, plus celles qui leur sont inférieure
nt moins de jeu aux muscles qui s’y attachent & dont dépendent en partie les mouvements du tronc, mouvements & inflexi
force. Ceux qui sont arqués ne doivent s’attacher qu’à rapprocher les parties trop distantes pour diminuer le vuide qui se renc
p; croiser leurs temps bien plus étroitement, afin que la réunion des parties puisse diminuer le jour ou l’intervalle qui les s
t avec plus de vîtesse ; brillants, parce que le jour perce entre les parties qui se croisent & se décroisent ; ce jour est
onsidere la forme longue & plate de leurs pieds. Je compare cette partie à un levier de la seconde espece, c’est-à-dire à
dérobent habilement la longueur de leurs bras ; ils en font fuir une partie dans l’ombre. J’ai dit que les Danseurs jarretés
ement, tombera toujours avec pesanteur. La raison en est simple ; les parties foibles ne pouvant résister dans l’instant de la
p; vous comprenez qu’il faut plus de temps pour remuer un tout qu’une partie . Quant au brillant qu’elles ont, la vivacité y co
is cependant bien moins que les jupes qui en dérobant la longueur des parties fixent plus attentivement les regards & les f
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
se trouvoit claquemuré dans une petite boëte quarrée. Le décore de la partie occupée par les spéctateurs, étoit si vieux, si n
par deux petits lustres qui ne repandoient qu’une clarté lugubre. La partie du théâtre étoit proportionnée au rétréci de la s
étonnèrent par leur ensemble, leur prestesse et leur précision. Cette partie brillante de l’opéra s’est perdue depuis qu’on a
la médiocrité des appointements, et du barbarisme qui règnoit dans la partie du costume. Tout cela ne sera pas gai ; j’ai l’ho
5 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
, il faut absolument renverser l’ordre des choses, et contraindre les parties par une application aussi longue que pénible, à p
’enfance ; c’est le seul moment de réussir, parce qu’alors toutes les parties sont souples, et qu’elles se prêtent facilement à
cle, en rendant à l’arbre sa première forme. La nature dans certaines parties , ne se prête à des changemens qu’autant qu’elle e
rçant uniquement leurs pieds à se placer en dehors. Je sais que cette partie peut se prêter à cette direction par sa souplesse
les cuisses. Il est encore impossible de jetter les premières de ces parties en dehors, sans le secours des secondes, les geno
ment de la cuisse, puisque c’est elle qui commande souverainement aux parties qu’elle domine et qui lui sont inférieures, elle
lle et de la jambe, le déboitement du pied, en un mot la luxation des parties quelconques, sont communément occasionnées dans u
i, joint à des excès d’un autre genre, affoiblissent et relachent les parties  : dèslors il y a peu de souplesse ; les ressorts
fréquens, si l’on se prêtoit, pour ainsi dire, à la chûte, et si les parties foibles ne tentoient pas de résister contre un po
: cette fléxion et cette extension ne peuvent élever le corps, si les parties essentielles à la réaction ne jouent pas de conce
on de sauter dépend des ressorts du cou-de-pied, des muscles de cette partie , et du jeu du tendon d’Achille s’ils opérent une
as qui ont concouru imperceptiblement à l’effort mutuel de toutes les parties , servent, pour ainsi dire, d’ailes et de contre-p
re une idée à la quelle on ne seroit point attaché, si la plus grande partie des danseurs ne s’appliquoit uniquement qu’à étud
alors je tombois perpendiculairement ; mon corps s’affaissoit sur les parties inférieures ; mes jambes étoient immobiles ; et m
ns cesse, et l’exécution étoit ridicule. L’étendue et la longueur des parties doivent déterminer les contours et les déploiemen
semble, plus d’harmonie, plus de tranquillité et plus de graces ; les parties sans cesse désunies et toujours distantes jettero
essine de mauvais goût ; que la vacillation et l’instabilité de cette partie s’oppose à l’à-plomb et à la fermeté ; qu’ils imp
ut désagréable dans la ceinture ; que l’affaissement du corps ôte aux parties inférieures la liberté dont elles ont besoin pour
ésagréable que celle qui résulte de la roideur. Le moëlleux dépend en partie de la fléxion proportionnée des genoux, mais ce m
formation, de l’arrangement juste, de la proportion bien combinée des parties , et qui, dépendant bien moins de l’étude et du ra
et à l’extrémité de la mesure, paroit froid et inanimé, si toutes les parties opérent à-la-fois. Il faut plus de temps pour mou
ps pour mouvoir toute la machine, qu’il n’en faut pour en mouvoir une partie . La fléxion et l’extension du cou-de-pied est bie
ans des concerts pleins de justesse et de précision. Chacun chante sa partie et compte ses temps avec exactitude ; ces concert
t inutile d’ailleurs de m’étendre sur le mécanisme de mon art ; cette partie est portée à un si haut dégré de perfection, qu’i
6 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
il faut absolument renverser l’ordre des choses & contraindre les parties par une application aussi longue que pénible à pr
’enfance ; c’est le seul moment de réussir, parce qu’alors toutes les parties sont souples & qu’elles se prêtent facilement
cle, en rendant à l’arbre sa premiere forme. La nature dans certaines parties , ne se prête à des changements qu’autant qu’elle
rçant uniquement leurs pieds à se placer en dehors. Je sais que cette partie peut se prêter à cette direction par sa souplesse
r les cuisses. Il est encore impossible de jeter les premieres de ces parties en dehors sans le secours des secondes. Les genou
ment de la cuisse, puisque c’est elle qui commande souverainement aux parties qu’elle domine & qui lui sont inférieures. El
& de la jambe, le déboîtement du pied, en un mot, la luxation des parties quelconques sont communément occasionnés dans un
joint à des excès d’un autre genre affoiblissent & relâchent les Parties  ; dès-lors il y a peu de souplesse ; les ressorts
quents, si l’on se prêtoit, pour ainsi dire, à la chûte, & si les parties foibles ne tentoient pas de résister contre un po
ette flexion & cette extension ne peuvent élever le corps, si les parties essentielles à la réaction ne jouent pas de conce
tion de sauter dépend des ressorts du coudepied, des muscles de cette partie & du jeu du tendon d’Achille s’ils opérent un
as qui ont concouru imperceptiblement à l’effort mutuel de toutes les parties servent, pour ainsi dire, d’ailes & de contre
tre une idée à laquelle on ne seroit point attaché, si la plus grande partie des Danseurs ne s’appliquoit uniquement qu’à étud
alors je tombois perpendiculairement ; mon corps s’affaissoit sur les parties inférieures ; mes jambes étoient immobiles, &
nois de voir Thersite imiter Achille. L’étendue & la longueur des parties doivent déterminer les contours & les déploye
ble, plus d’harmonie, plus de tranquillité & plus de graces ; les parties sans cesse désunies & toujours distantes jett
ine de mauvais goût ; que la vacillation & l’instabilité de cette partie s’opposent à l’à-plomb & à la fermeté ; qu’il
ut désagréable dans la ceinture ; que l’affaissement du corps ôte aux parties inférieures la liberté dont elles ont besoin pour
ésagréable que celle qui résulte de la roideur. Le moëlleux dépend en partie de la flexion proportionnée des genoux, mais ce m
formation, de l’arrangement juste, de la proportion bien combinée des parties , & qui dépendant bien moins de l’étude &
à l’extrêmité de la mesure, paroît froid & inanimé, si toutes les parties opérent à la fois. Il faut plus de temps pour mou
mps pour mouvoir toute la machine qu’il n’en faut pour en mouvoir une partie  ; la flexion & l’extension du coudepied est b
des Concerts pleins de justesse & de précision. Chacun chante sa partie & compte ses temps avec exactitude ; ces Conc
inutile d’ailleurs de m’étendre sur le méchanisme de mon Art ; cette partie est portée à un si haut degré de perfection, qu’i
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
a à la place Saint-Roch où est la Maison Professe des Jésuites. Une partie de cette Place représentait la ville de Troie ave
e Troie avec ses tours et ses murailles. Aux approches du Cheval, une partie des murailles tomba. Les soldats Grecs sortirent
t de grands chœurs de musique. Quatre Ambassadeurs, au nom des quatre Parties du Monde, ayant appris la Béatification d’Ignace
ion d’Ignace de Loyola, pour reconnaître les bienfaits que toutes les Parties du Monde avaient reçus de lui, venaient lui faire
ts, avec les respects des Royaumes et des Provinces de chacune de ces Parties . Toutes les Galères et les Vaisseaux du Port sa
rès agréable, composant quatre Troupes ou Quadrilles, pour les quatre Parties du Monde. Les Royaumes et les Provinces, représ
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
genre mixte, qui n’en était pas un, dans lequel les récits firent la partie la plus considérable du Spectacle. [Voir Ballet] 
les siècles les plus éclairés, il y a toujours dans les Arts quelque partie éloignée où la lumière ne perce point encore. Le
Ballet, et peut-être est-il la seule excuse qu’on puisse donner d’une partie des vices principaux qui ont énervé l’exécution p
ni des grâces de son style, ni des charmes du sentiment qui était sa partie sublime, ni de ces traits brillants de Spectacle
et où il était fort au-dessous de lui-même ; ainsi on l’imita dans sa partie défectueuse, où on l’égala ; mais on ne fit que l
tie défectueuse, où on l’égala ; mais on ne fit que le copier dans sa partie supérieure, où peut-être ne l’égalera-t-on jamais
9 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
en entier. Ce rond ou ce cercle tronqué par le Proscénium forme deux parties rentrantes, de manière que les loges qui se trouv
des spectateurs et des acteurs ; en s’appliquant sérieusement à cette partie , il dissipera les craintes, il calmera la frayeur
ture, je me tairai sur la construction et sur les proportions que les parties doivent avoir entre elles, pour former un beau to
mme eux ; commode par la multitude des dégagemens et des sorties ; la partie sur la quelle j’oserai m’étendre, sera celle du t
ifférente de celle d’une salle de comédie ; je ne parle ici que de la partie du théâtre, de son étendue, de ses dessus, de ses
tie du théâtre, de son étendue, de ses dessus, de ses dessous, et des parties latérales. Je dis donc, que le théâtre actuel est
our que l’on pût y pratiquer de larges trotoirs, qui préservassent la partie du public la plus nombreuse du danger d’être écra
au théâtre seroient soutenues par des arcades ; ce qui formeroit deux parties couvertes et abritées, propres à y placer les pom
s encore comme une chose absolument indispensable que l’on donnât aux parties latérales de la droite et de la gauche du théâtre
té de construire deux corps de bâtiment placés sur l’alignement de la partie du théâtre, mais cependant assez éloignés d’elle.
es deux emplacemens seroient pratiqués de droite et de gauche sur les parties latérales du théâtre et les arcades se fermeroien
u dessus de la distribution que l’on nomme retirade. Je reviens à la partie du théâtre. Il seroit fort utile que l’administra
sur celui de l’opéra sans compter les inutiles. Avant, de quitter la partie du théâtre, je dois observer que les réservoirs p
s pour qu’elle se porte avec facilité et quelle soit propagée dans la partie occupée par le spectateur. Une précaution essenti
ur a sa chenille et son insecte. Après avoir murement réfléchi sur la partie du théatre, l’architecte doit s’occuper des spect
s décorations ; s’il a la faculté d’y porter ses regards, il perd une partie du plaisir qu’il se proposoit d’avoir, et on lui
le mérite de sa composition et privent enfin le spectateur d’une des parties enchanteresses de la scène. Voici encore un incon
en Italie de très grands théatres, qui étoient trop petits quant à la partie du service. Comme ils ne sont point machinés et q
je sais qu’il entraîneroit à des dépenses ruineuses ; il faut que la partie proprement dite de la scène ne soit ni beaucoup p
i ; mais il est nécessaire et absolument utile, je le répète, que les parties latérales, c’est à dire, l’espace qui doit règner
s employés à ce spectacle ; je ne renoncerai jamais à l’idée des deux parties enfoncées de droite et de gauche dont j’ai parlé
les cotés : que les colonnes de l’avant-scène soient creuses vers la partie du théâtre ; que dans le vide, qu’offrira le demi
émité de cette salle seroient susceptibles d’un beau décore. Ces deux parties en diminuant la longueur lui donneroient une form
éâtre s’exécutera sans bruit, sans confusion, sans désordre, et cette partie brillante et magnifique de la scène (malheureusem
qu’elles puissent y agir sans peine et sans confusion. 2°. Quant à la partie de la salle destinée pour le public, elle doit êt
péra sans mise de fonds, en faisant une cession gratuite d’une petite partie du terrein, mais les gouvernemens en général ont
atimens réguliers, les deux batimens qu’on éleveroit en face des deux parties latérales du temple des arts, ne pourroient se co
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
es actions de Danse Toute Représentation théâtrale doit avoir trois parties essentielles. Par un Dialogue vif, ou par quelque
euse : c’est ce qu’on nomme le Dénouement. Si quelqu’une de ces trois parties est défectueuse, l’action théâtrale est imparfait
rs qu’elle est une représentation, doit donc être formée de ces trois parties qui seules la constituent. Ainsi, elle sera, plus
nœud et son dénouement, tout comme l’action entière dont ils sont les parties . Il en est ainsi de toute représentation en Danse
parties. Il en est ainsi de toute représentation en Danse. Les trois parties dont on parle, sont, le commencement, le milieu e
11 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
ants et en choristes, et les uns et les autres sont distingués par la partie qu’ils exécutent ; il y a des chanteurs hautes-co
seconds-dessus [Dessus]. Voyez tous ces différents mots, et l’article Parties [Article « Partie de musique » de Rousseau]. Parm
sus]. Voyez tous ces différents mots, et l’article Parties [Article «  Partie de musique » de Rousseau]. Parmi ceux qui exécute
connaissaient point d’autre, ont été révoltés, en voyant adapter une partie des traits difficiles et brillants des Italiens,
bonne heure des écoles d’Italie, et qui chantent dans les motets les parties de dessus. Louis XIV avait des bontés particulièr
. Voyez Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Traité historique, IIe partie , livre IV, chap. 3, « Obstacles au Progrès de la
rs se rassemblent sur le théâtre. Les difficultés à vaincre sur cette partie , doivent être bien faibles à côté de l’autorité,
. Il faut des actions pour animer la danse ; elle perd la plus grande partie de son agrément, et cesse d’être dans sa nature,
12 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIV. » pp. 134-149
est composée, porte en général le nom d’articulation. La plus grande partie de ces pièces, destinée à l’exécution de certains
dés par le moyen d’une seconde articulation qui se rencontre entre la partie inférieure et supérieure des deux os de l’avant-b
t élevé et soutenu à la hautem de l’épaule, tous les muscles de cette partie agissent de concert par une contraction tonique,
ombinés du méchanisme de l’art. On peut considérer la hanche comme la partie qui primordialement facilite le jeu de toutes cel
être évités ; c’est la hanche qui opère ; elle commande à toutes les parties qui lui sont inférieures. Il seroit à souhaiter p
lutte sans cesse contre les hanches, et il faut à son tour que cette partie violemment exercée, obéisse à l’art. Considérons
ar le secours de la hanche, c’est à dire, par l’articulation de cette partie qui est composée de l’os nommé fémur et d’un des
ature sage et prudente dans ses opérations, ne pouvoit donner à cette partie autant de jeu qu’à celle du bras : Trop de mobili
ent que l’on peut parvenir à forcer, pour ainsi dire, le jeu de cette partie , pour lui faire opérer, en apparence, les mouveme
e et défectueuse, parce qu’elle contraste ridiculement avec celle des parties supérieures. Pour être donc parfaitement en dehor
our être donc parfaitement en dehors, il faut être tourné non pas par partie , mais il faut l’être depuis la hanche jusqu’au pi
’au pied ; c’est elle qui pose et qui dirige toutes les positions des parties qu’elle commande, et qui lui sont subordonnées pa
épaule, elle est élevée à une certaine hauteur, et pour maintenir ces parties dans une position contrainte et forcée, tous les
et mouvement d’extension à la jambe ; mais lorsque je tends toute la partie , pour fixer le pointjuste de l’attitude alors la
on de déterminer leur jeu particulier et d’assigner à chacun d’eux la partie de mouvement qui lui est propre. Si ces notions n
13 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « De la manière de marcher »
et et le cou-de-pied tendus, la pointe basse, le corps soutenu par la partie gauche, conservant l’équilibre ; on posera le pie
plate terre à la quatrième position, portant ensuite le corps sur la partie droite en avant, le pied gauche se portera égalem
14 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64
s, l’amusement des sauts périlleux et des tours de force : toutes ces parties détachées forment autant de spectacles différens 
parties détachées forment autant de spectacles différens ; ces mêmes parties réunies en composent un, digne des plus grands Ro
re qu’il soit, doit avoir suivant Aristote, ainsi que la poèsie, deux parties différentes, qu’il nomme partie de qualité et par
Aristote, ainsi que la poèsie, deux parties différentes, qu’il nomme partie de qualité et partie de quantité. Il n’y a rien d
la poèsie, deux parties différentes, qu’il nomme partie de qualité et partie de quantité. Il n’y a rien de sensible qui n’ait
figure, conséquemment le ballet cesse d’exister, s’il ne renferme ces parties essentielles qui caractérisent et qui désignent t
tour ingénieux qu’on lui donne, et sa figure se prend des differentes parties qui le composent : la forme constitue donc les pa
es differentes parties qui le composent : la forme constitue donc les parties de qualité, et l’étendue, celles de quantité. Voi
me tracent point une intrigue suivie et raisonnée ; qui ne font point partie du drame, et qui tombent, pour ainsi dire, des nu
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
lus et quoi qu’il soit étranger à la suite des événemens. Première partie . La décoration représente un vaste péristile s
s’embarquent avec précipitation pour joindre le ravisseur. Seconde partie . La décoration représente un paysage aride ; vo
ercule de son bras nerveux brise et enfonce la porte de la ville. Une partie des murailles s’ecroule. On pénetre dans la place
ée le précede et le suit au bruit d’une musique lugubre. Troisième partie . La décoration représente un paysage orné de qu
endresse de tout ce qui l’entoure et descend aux enfers. Quatrième partie . D’un côté la décoration représente les antres
D’un côté la décoration représente les antres de l’enfer ; l’autre partie de la scène offre les Champs Elisées. Hercule
contre eux, les terrasse, et enlève l’épouse de son ami. Cinquième partie . La décoration représente un bosquet des jardin
parce que l’accord et l’harmonie règnoient également dans toutes les parties de ce vaste tableau.
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
n . Carthaginois . Troyens . Gétuliens. L’hymen . Première partie . La décoration représente un bois sacré, termi
it de loin les pas de la Reine, en exprimant sa félicité. Seconde partie . Le théâtre représente une magnifique salle d’
avec complaisance aux raisons de Didon. Elle propose à ce Prince une partie de chasse, et il l’accepte avec d’autant plus d’e
age, un ballet général et une marche pompeuse terminent cette seconde partie . Troisième partie. La décoration représente
l et une marche pompeuse terminent cette seconde partie. Troisième partie . La décoration représente une vaste forêt disp
e cortège ayant parcouru les routes de la forêt, se rassemble dans la partie circulaire destinée au rendez-vous, avec cette di
ui ont secondé la valeur et l’intrépidité de leur chef. Quatrième partie . La décoration représente l’appartement d’Enée
me résolution d’abandonner Didon et de quitter Carthage. Cinquième partie . La décoration représente un très magnifique p
on voit la mer couverte de la flotte Troyenne, et du coté opposé une partie des édifices de la ville de Carthage, et un bûche
sit d’une torche ; elle court dans le perystile ; elle en embrase les parties qui avoient échappé à la rage des Maures, et elle
17 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
Sophi. Usbeck, frère de Zulmire. Fatnie, autre Sultane. Première partie . La décoration représente les jardins du Sérai
ombragée par de riches étoffes ; derrière cette terrasse s’élève une partie des vastes bâtimens du Sérail, des bosquets couro
eu des quels est placé un bassin orné de jets et de nappes d’eau. Une partie des femmes du Sérail sont grouppées sur la terras
bonheur ; et Usbeck le partage. Cette fête variée termine la première partie de ce spectacle. Seconde partie. La décorati
te fête variée termine la première partie de ce spectacle. Seconde partie . La décoration représente un cabinet du Sophi.
rillant cortège pour se rendre à la Mosquée. Troisièle et dernière partie . La décoration représente la Mosquée du Sophi,
ue quadrille se place successivement et par rang dans les différentes parties de ce grand éditice ; le Sophi monte sur son trôn
18 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
l’amusement des Sauts périlleux & des tours de force : toutes ces parties détachées forment autant de Spectacles différents
parties détachées forment autant de Spectacles différents ; ces mêmes parties réunies en composent un digne des plus grands Roi
re qu’il soit, doit avoir, suivant Aristote, ainsi que la Poésie deux parties différentes qu’il nomme partie de qualité & p
nt Aristote, ainsi que la Poésie deux parties différentes qu’il nomme partie de qualité & partie de quantité. Il n’y a rie
a Poésie deux parties différentes qu’il nomme partie de qualité & partie de quantité. Il n’y a rien de sensible qui n’ait
figure ; conséquemment le Ballet cesse d’exister s’il ne renferme ces parties essentielles qui caractérisent, & qui désigne
ingénieux qu’on lui donne ; & sa figure se prend des différentes parties qui le composent : la forme constitue donc les pa
es différentes parties qui le composent : la forme constitue donc les parties de qualité, & l’étendue, celles de quantité ;
tracent point une intrigue suivie & raisonnée ; qui ne font point partie du Drame & qui tombent, pour ainsi parler, de
19 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
choix ; si celui des sujets qu’il veut traiter en Danse contribue en partie à la réussite de son Ouvrage, ce n’est qu’autant
fortes & entieres tenoient la premiere place, & formoient les parties avancées de celui-ci, les couleurs moins vives &a
isoit ; cette harmonie séduisit l’œil, & il embrassoit toutes les parties sans se fatiguer ; mon Ballet eut d’autant plus d
brillant en couleurs, tout éclatoit avec la même prétention ; aucune partie n’étoit sacrifiée, & cette égalité dans les o
ouleurs des vêtements est inconnue au Théatre ; ce n’est pas la seule partie que l’on y néglige, mais cette négligence ne me p
ut que de justes propositions brillent également dans les différentes parties qui le composent. Si dans une décoration, représe
ra pour le Tableau tranquille un Apollon proportionné aux différentes parties de la machine ; un jeune homme de quinze ans que
à leurs tailles, & au Pont, qui dans cette circonstance étoit la partie qui devoit régler & déterminer le Décorateur,
oilà, Monsieur, l’illusion que produit le Théatre, lorsque toutes les parties en sont d’accord, & que les artistes prennent
ui-ci lui a préparé ? Ce sont des rochers obscurs & lumineux, des parties éteintes, & des parties brillantes de feu ; c
t des rochers obscurs & lumineux, des parties éteintes, & des parties brillantes de feu ; c’est une horreur bien entend
ttention que doit avoir le Maître de Ballets, c’est de placer sur les parties obscures de la décoration les habits les plus cla
20 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre troisième. Étude du corps » pp. 52-56
ller en lui tous ces avantages. [3] Un beau-haut du corps est une des parties essentielles qui constitue le mérite de l’artiste
dessine de mauvais goût, que la vacillation et l’instabilité de cette partie s’opposent à l’aplomb et à la fermeté ; qu’ils im
ut désagréable dans la ceinture ; que l’affaissement du corps ôte aux parties inférieures la liberté dont elles ont besoin pour
39. Les statuaires, les peintres, les antiquaires donnent à cette partie supérieure du corps le nom de Torse ; mais nous s
21 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51
fera parvenir. [2] Un danseur qui n’est pas en dehors dans toutes ces parties , et qui est serré des hanches, n’est pas beaucoup
les, que celles qui résultent de la roideur.  « Le moelleux dépend en partie de la flexion proportionnée des genoux ; mais ce
Ce défaut règne également depuis la hanche jusqu’aux pieds ; car ces parties décrivent une ligne qui donne en quelque sorte la
jour qui doit se rencontrer naturellement entre quelques-unes de ces parties des extrémités inférieures lorsqu’elles sont join
Celui qui est jarreté doit s’appliquer continuellement à éloigner les parties trop resserrées ; le premier moyen pour y réussir
position naturelle et vicieuse, sans des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement et une douleur insupportables.
bles. Ceux qui sont arqués, ne doivent s’attacher qu’à rapprocher les parties trop distantes, pour diminuer le vide qui se renc
et croiser leurs temps bien plus étroitement, afin que la réunion des parties puisse diminuer le jour ou l’intervalle qui les s
22 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
f. acteur qui dans les chœurs de l’opéra et autres concerts chante la partie de bassecontre. Il y a peu de basses-contre à l’o
ère espèce. La correction dans l’arrangement des vers, est une grande partie du Poète lyrique ; les vers de douze syllabes, ce
e ceux-ci. La Poésie de style n’est pas ce qui leur manque : c’est la partie théâtrale, celle du sentiment, et cette coupe rar
anique, et qui fait seule réussir plus d’opéras que toutes les autres parties . Voyez Coupe. (B) La cantate demande une poésie p
airs, les Batistins, en ont composé à l’envi : mais personne en cette partie n’a égalé le fameux Clérambault, dont les cantate
ment des intervalles qui ne sont point harmoniques, qui ne font point partie de nos systèmes de Musique, et qui par conséquent
usique vocale ; et dans celle qui est mêlée d’instruments, on appelle partie de chant toutes celles qui sont destinées pour le
ler, s’unit dans tous les pays avec les mots : mais il perd alors une partie de sa force ; le mot peignant seul l’affection qu
Chœur, est, en Musique, un morceau d’harmonie complète, à quatre parties ou plus, chanté à la fois par toutes les voix, et
abile compositeur. Les Français passent pour réussir mieux dans cette partie qu’aucune autre nation de l’Europe. Le chœur s’ap
œur, par opposition au petit-chœur qui est seulement composé de trois parties  ; savoir, deux dessus, et la hautecontre qui leur
tc. de la seconde entrée des Indes galantes. M. Rameau a poussé cette partie aussi loin qu’il semble qu’elle puisse l’être : p
d’au moins quatre ou cinq musiciens, et pour une musique à plusieurs parties , tant vocales qu’instrumentales. Quant aux ancien
s, comme il paraît qu’ils ne connaissaient pas la musique à plusieurs parties , leurs concerts ne s’exécutaient probablement qu’
cées du côté du Roi, les autres du côté de la Reine. Voyez Chœurs. La partie des dessus à la chapelle du Roi, est chantée par
ent le récitatif (voyez Récitatif [Article de Rousseau]) fut la seule partie de l’exécution qu’il porta et qu’il pouvait porte
fut loisible de rendre suffisante pour son temps l’exécution de cette partie , sur un théâtre dont il était le maître absolu, e
ait à la fois le créateur et l’oracle suprême. Mais l’exécution de la partie instrumentale et du chant devait s’étendre dans l
bleau, de grande force, les chœurs de divers desseins, et à plusieurs parties enchaînées les unes aux autres, qui produisent de
éfauts qu’on peut quelquefois leur reprocher ; toutes ces différentes parties enfin de la musique vocale trouvées de nos jours,
ton propre au sentiment, à la situation, au caractère de chacune des parties du sujet qu’on traite. La Poésie, la Peinture et
ison, ordre et symétrie : les symphonies et le chant sont les grandes parties du total, la perfection de l’ensemble dépend de l
fection de l’ensemble dépend de l’expression répandue dans toutes ses parties . Lully a presque atteint à la perfection dans un
au-dessous de lui-même dans l’expression de presque toutes les autres parties de sa musique. Les fautes d’un faible artiste ne
ant ce que Raphaël a fait d’admirable, on n’avait pas osé relever les parties défectueuses de ses compositions. L’espèce de cul
e vrai genre, n’a en général répandu l’expression que sur cette seule partie  : ses symphonies, ses airs chantants de mouvement
ns expression, qui a été fait par Lully. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du
de le manquer d’une façon plus complète. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du
s »] C’est donc le défaut seul d’expression dans la musique de cette partie d’Armide, qui l’a rendue froide, insipide, et ind
eurs d’Athènes n’étaient pas gens à se contenter à moins ; et par les parties de leurs spectacles que nous admirons encore, il
uelquefois jusqu’au dernier sublime, on la lui refuse dans les autres parties qu’il connaissait sans doute aussi-bien que celle
expression que consiste la beauté du chant en général ; et sans cette partie essentielle, il est absolument sans mérite. Il re
23 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
turelles qui renfermaient un sens moral. [Voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra F
ns sa Poétique, dans un très grand détail au sujet de cette brillante partie des spectacles des Grecs. Quelques auteurs ont pr
s les cours les plus polies de l’Europe. [Voir Traité historique, Ire partie , livre III, chap. 4, « Fragment de Lucien »] On
rents inventeurs. Ce spectacle avait des règles particulières, et des parties essentielles et intégrantes, comme le poème épiqu
ité de lieu. L’invention ou la forme du ballet est la première de ses parties essentielles : les figures sont la seconde : les
plusieurs quadrilles de danseurs, qui par leur danse représentent la partie de l’action dont ils sont chargés. Voyez Entrée.
res qu’on a voulu peindre ; et on s’est attaché plus ou moins à cette partie , selon le plus ou le moins de goût de ceux qui en
court détail, on voit que ce genre de spectacle réunissait toutes les parties qui peuvent faire éclater la magnificence et le g
Sapate [Article non rédigé : voir Traité historique de la danse, IIe partie , livre I, chap. VI : « Des Ballets Moraux »]. En
de temps après la majorité de Louis XIV [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a
aient adressés. Ce poète avait un talent particulier pour les petites parties de ces sortes d’ouvrages ; il s’en faut bien qu’i
ur leur invention et pour leur conduite. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 3, « Fêtes de Louis XIV relativ
imagina un genre mixte, dans lequel les récits firent la plus grande partie de l’action. La danse n’y fut plus qu’en sous-ord
s, ni du charme de son style, ni des grâces du sentiment qui était sa partie sublime. On pouvait l’atteindre plus aisément dan
il avait été fort au-dessous de lui-même ; ainsi on le copia dans sa partie la plus défectueuse jusqu’en 1697, que La Motte,
’avantagé de se faire copier à son tour. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 9, « Du Ballet moderne »] L’Eu
eux dans le ballet, et on y a mis la danse en action : elle y est une partie nécessaire du sujet principal. Ce genre, qui a pl
, voyez Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Traité historique, IIe partie , livre I, chap. 2, « Origine des ballets »]
24 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ieu, l’honorer, et publier ses louanges. [Voir Traité historique, Ire partie , livre I, chap. 6, « Définition, et Division de l
tuèrent depuis plusieurs fêtes solennelles, dont la danse faisait une partie principale. Les filles de Silo dansaient dans les
Samarie, et d’Alexandrie, bâti par le grand-prêtre Onias, qu’une des parties de ces temples était formée en espèce de théâtre,
espèce de théâtre, auquel les Juifs donnaient le nom de chœur, Cette partie était occupée par le chant et la danse, qu’on y e
pompe dans toutes les fêtes solennelles. [voir Traité historique, Ire partie , livre I, chap. 7, De la Danse sacrée des Juifs »
mi les Egyptiens, et successivement chez les Grecs et les Romains, la partie la plus considérable du culte de leurs faux dieux
itation des danses impies des idolâtres. [voir Traité historique, Ire partie , livre I, chap. 8, « De la Danse sacrée des Égypt
es prêtres d’Osiris avaient d’abord pris des prêtres du vrai Dieu une partie de leurs cérémonies, qu’ils avaient ensuite dégui
ieux, dont Orphée instituait le culte ; et comme elle faisait une des parties principales des cérémonies et des sacrifices, à m
a danse a été regardée par tous les peuples de la terre comme une des parties essentielles du culte qu’on devait rendre à la di
ces édifices relativement aux différentes cérémonies, qui étaient la partie extérieure du culte reçu. Ainsi dans toutes les é
retranchée des cérémonies de l’Eglise, cependant elle en fait encore partie dans quelques pays catholiques. En Portugal, en E
en chantant des hymnes de réjouissance. [voir Traité historique, Ire partie , livre I, chap. 10, « De la Danse sacrée des Chré
se dans son plan : aussi l’a-t-il établie dans les mosquées, et cette partie du culte a été réservée au seul sacerdoce. Entre
oyez Moulinet [Article non rédigé], Traité histoire de la danse, Ière partie , livre I, chap. 12, « De la danse sacrée des Turc
jusqu’à la combinaison des spectacles réguliers, la danse fut une des parties principales qui entrèrent dans cette grande compo
chantant les louanges des premiers âges. [voir Traité historique, Ire partie , livre II, chap. 12, « Des Danses des Lacédémonie
s pour célébrer les fêtes des dieux. (B) [voir Traité historique, Ire partie , livre I, chap. 9, « De la Danse sacrée des Grecs
25 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
ouvé que la Danse n’a fait jusqu’ici sur notre Théâtre que la moindre partie de ce qu’elle aurait dû faire. Mais, pour sentir
fait, comme le sont, par exemple, tous ceux de Quinault, chacune des parties qui le composent est relative à l’action principa
prise séparément s’y rapporte, et fasse ainsi, de manière ou d’autre, partie de cette action. La Danse cependant, par l’abus d
cependant, par l’abus dont je parle, deviendra, dans cet endroit, une partie oisive, et par cette seule raison défectueuse. Le
26 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
Coupe, (Belles-lettres.) on donne ce nom à l’arrangement des diverses parties qui composent un poème lyrique. C’est proprement
t. Voyez Opéra [Article de Jaucourt] (B) [Voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra F
peine la danse de son temps, et qu’elle n’occupait qu’une très petite partie de la représentation. Ce ne fut qu’au ballet du T
a fait des progrès, qu’on a imaginé des danses brillantes, que cette partie du spectacle s’est accrue ; depuis enfin que le b
quatrième acte de Roland. L’art d’amener les divertissements est une partie fort rare au théâtre lyrique ; ceux mêmes, pour l
orsque l’action peut marcher sans lui, et que la suppression de cette partie ne laisserait point de vide dans l’ensemble de l’
soumis à cette loi établie par le bon sens, qui exige que toutes les parties d’un ouvrage y soient nécessaires pour former les
est son origine. Le chant, dans ces compositions modernes, occupe une partie de la place qu’occupait la danse dans les ancienn
le ballet doit être tout entier en action. La grande erreur sur cette partie dramatique est que quelques madrigaux suffisent p
Danse, Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Traité historique, IIe partie , livre IV, chap. 11, « Des actions épisodiques en
ble et fondé sur la passion de ce héros. [voir Traité historique, IIe partie , livre IV, chap. 2, « Division de la danse théâtr
elquefois d’allonger le spectacle ; mais il n’en peut être jamais une partie nécessaire : par conséquent il n’est qu’une mauva
e sage de tous les deux, forme la danse agréable et brillante. Chaque partie séparée des ballets anciens était nommée entrée.
ayons à l’opéra. Voyez Ballet. Ce nom qu’on donne encore aux diverses parties de ces sortes d’ouvrages, doit faire connaître au
27 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39
Ce n’est en effet que d’après d’exactes connoissances dans toutes ces parties , que nous pouvons espérer de réussir dans nos com
emagne construits sur les mêmes plans, sont également privés de cette partie magique du spectacle ; en sorte qu’un maître de b
é, ce soin et cette exactitude qu’ils emploient dans les plus petites parties , peuvent contribuer sans doute à la vitesse et à
ion : or, le maître de ballets pourra-t-il réussir s’il ne réunit les parties , et les qualités qui constituent le grand peintre
s qu’à sa nation, ne s’est pas borné à exercer des chevaux une grande partie de sa vie ; il en a soigneusement recherché la na
ir sous les chairs. Il est essentiel de discerner la place que chaque partie doit occuper : l’homme enfin doit se trouver sous
quérir par l’application et l’exercice. Le bon choix des airs est une partie aussi essentielle à la danse, que le choix des mo
28 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77
Ce n’est en effet que d’après d’exactes connoissances dans toutes ces parties que nous pouvons espérer de réussir dans nos comp
magne, construits sur les mêmes plans, sont également privés de cette partie enchanteresse du Spectacle ; ensorte qu’un Maître
ce soin & cette exactitude qu’ils emploient dans les plus petites parties , peuvent contribuer sans doute à la vîtesse &
or le Maître de Ballets pourra-t-il réussir s’il ne réunit toutes les parties & toutes les qualités qui constituent le gran
qu’à sa nation, ne s’est pas borné à exercer des chevaux, une grande partie de sa vie ; il en a soigneusement recherché la na
ir sous les chairs. Il est essentiel de discerner la place que chaque partie doit occuper : l’homme enfin doit se trouver sous
ir par l’application & l’exercice. Le bon choix des airs est une partie aussi essentielle à la Danse, que le choix des mo
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
es suites, plusieurs Fêtes solennelles : la Danse en fit toujours une partie principale. Les Filles de Silo dansaient dans les
restent des Temples de Jérusalem, de Garizim, et d’Alexandrie, qu’une partie de ces Edifices était formée en espèce de théâtre
pèce de théâtre auquel les Juifs avaient donné le nom de Chœur. Cette partie était toujours occupée par le Chant et la Danse,
30 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
leurs fortes et entières tenoient la première place, et formoient les parties avancées de celui-ci ; les couleurs moins vives e
étruisoit ; cette harmonie séduisoit l’œil, qui embrassoit toutes les parties sans se fatiguer ; mon ballet eût d’autant plus d
brillant en couleurs ; tout éclatoit avec la même prétention ; aucune partie n’étoit sacrifiée, et cette égalité dans les obje
couleurs des vêtemens est inconnue au théatre ; ce n’est pas la seule partie qu’on y néglige : mais cette négligence ne me par
aut que de justes proportions brillent également dans les différentes parties qui le composent. Si dans une décoration représen
a pour le tableau tranquille, un Apollon proportionné aux différentes parties de la machine ; un jeune homme de quinze ans, que
nnés à leur taille et au pont, qui, dans cette circonstance, étoit la partie qui devoit règler et déterminer le décorateur, au
oilà, Monsieur, l’illusion que produit le théatre, lorsque toutes les parties en sont d’accord, et que les artistes prennent la
celui ci lui a préparé ? ce sont des rochers obscurs et lumineux, des parties éteintes, des parties brillantes de feu ; c’est u
 ? ce sont des rochers obscurs et lumineux, des parties éteintes, des parties brillantes de feu ; c’est une horreur bien entend
ttention que doit avoir le maître de ballets, c’est de placer sur les parties obscures de la décoration les habits les plus cla
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 8 novembre 1664 »
nt, Qui nous charme en nous instruisant, En public, mêmement, expose ( Partie en vers, partie en Prose) Un Poème si bien tourné
rme en nous instruisant, En public, mêmement, expose (Partie en vers, partie en Prose) Un Poème si bien tourné, Et de tant d’a
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
, qui par leurs pas, leurs gestes, leurs attitudes, représentaient la partie de l’action générale dont ils étaient chargés. On
les passions qu’ils mettaient en Scène. Sans cette précaution, cette partie aurait été toujours défectueuse. À leur exemple,
décoration, et au surplus de l’ensemble83? Telles étaient les belles parties de ces Spectacles superbes consacrés à la Danse.
ges, ou des Souverains pour lesquels ils furent préparés. 83. Cette partie moins négligée rendrait notre Opéra le plus surpr
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
et Bergères. Bacchantes. Faunes, Satyres et Silvains. Première partie . La décoration représente un lieu aride et inh
dieu et éclairé par son flambeau, il disparoît avec lui. Seconde partie . La décoration représente un bras de l’Achéron
les noirs Spectres du Tartare dansent autour d’Orphée. Troisième partie . La décoration représente les Champs Elisés.
dice le suit des yeux et fait des vœux pour son retour. Quatrième partie . La décoration représente le Palais de Pluton.
se livre à des danses que les chants d’Orphée animent. Cinquième partie . La décoration offre l’aspect d’une grotte des
aînent Orphée hors de ce lieu de douleur et d’épouvante1. Sixième partie . La décoration représente le mont Rhodope : l’
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
naüs. Gardes et Soldats. Officiers de la suite de Lincée. Première partie . La décoration représente le Cabinet le Danaüs
utant plus redoutable, qu’il vient d’y lire sa destinée. Deuxième partie . La décoration représente l’intérieur du Templ
peuple, témoin de celle cérémonie, est dispersé dans les différentes parties de cet édifice. Scène i. Danaüs, vivement
une joie feinte, les transports d’une haine implacable. Troisième partie . La décoration représente une grotte de verdur
t entreprendre pour le soustraire à la haine de Danaüs. Quatrième partie . La décoration représente une magnifique galle
l’autre par les gardes qui les conduisent au supplice. Cinquième partie . La décoration représente une grande place pub
er est élevé au milieu de cette place ; dans le fond on apperçoit une partie des fortifications intérieures de la ville ; une
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
en, tournés au ralenti, servent de démonstration et de référence à la partie dansée. Aussi ces brefs instants nous causent une
deux « en comprimé », dépouillé de toute transition fastidieuse ; les parties s’enchaînent sans intervalles. La composition est
pathétique. Quant à la Poupée d’Arlequin qui clôt la suite, c’est la partie la plus complète, la plus heureuse, de ce passion
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
exécuter avec la voix, ou sur un instrument quelconque. En Italie, la partie du chant domine tellement sur toutes les autres,
e moins estimée. En France, le chant proprement dit, la symphonie, la partie dramatique, la partie concertante, tous les genre
ance, le chant proprement dit, la symphonie, la partie dramatique, la partie concertante, tous les genres et toutes les espèce
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
n, formée de mille autres, qui lui sont subordonnées, qui en sont les parties essentielles, qui doivent concourir à l’harmonie
pour remplir l’objet de Quinault, que la Danse, qui allait former une partie considérable de son nouveau Spectacle, agît confo
possible qu’il eût fait entrer la Danse dans sa composition comme une partie principale, si elle n’avait dû toujours agir, pei
, à la conservation et à la corruption des mœurs. À Rome, elle devint partie de l’Art dramatique, et marcha alors d’un pas éga
n’en eût eu que des idées très bornées, s’il n’en avait adopté que la partie la plus faible, et il serait tombé dans cette lou
ontraste admirable, avec le ton de volupté qui règne dans la première partie de l’Acte suivant. [Voir Coupe, Entracte, Entrée]
38 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
Soldats Grecs . Prêtres et sacrificateurs d’Apollon . Première partie . Le fond du théatre représente la ville de Tro
gauche le péristile d’un temple dédié à Jupiter ; la droite offre une partie du palais de Priam. Scène I. Pyrrhus, profi
tous ceux qui, avec leurs biens, ont perdu leur liberté. Seconde partie . Le fond de la décoration représente une mer c
ence et lui offre son cœur et sa main : cette Princesse dissimule une partie de son trouble, et dérobant à son vainqueur le se
pour être témoin d’une union qui va faire son bonheur. Troisième partie . Le fond du théâtre représente le magnifique p
39 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29
égrade. Les Ballets étant des représentations, ils doivent réunir les parties du Drame. Les Sujets que l’on traite en Danse son
& son dénouement. La réussite de ce genre de Spectacle dépend en partie du bon choix des sujets & de leur distributio
de Scene refroidissent l’action & appauvrissent le sujet. Une des parties essentielles au Ballet, est sans contredit, la va
e qu’elle a quelquefois des graces, mais la grace n’est qu’une petite partie des qualités qu’elle doit avoir. Les pas, l’aisan
voilà ce que j’appelle le méchanisme de la Danse. Lorsque toutes ces parties ne sont pas mises en œuvre par l’esprit, lorsque
40 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
ces. Nymphes. Faunes. Guerriers. Dieux de l’Olympe. Première partie . La décoration représente un sallon du palais
uets délicieux, et il leur donne d’intéressantes leçons. Deuxième partie . Le fond et la droite du théâtre représentent
Vulcain est reçu avec indifférence ; il vient montrer à Vénus une partie des armes qu’elle lui a commandées pour Enée ; el
41 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
ances publiques : C’est ainsi que l’on célebre de grandes Fêtes ; une partie du jour s’emploie à louer Dieu, & l’autre aux
sérieux & réglez, dont l’usage a passé depuis dans la plus grande partie des Cours de l’Europe. Saint Augustin rapporte da
e de S. Roch, où est l’Eglise de la Maison Professe des Jésuites. Une partie de cette place étoit ornée d’une décoration qui r
ie, avec ses tours & ses murailles : aux approches du cheval, une partie des murailles tomba ; les Soldats Grecs sortirent
de grands chœurs de Musique : quatre Ambassadeurs aux noms des quatre parties du monde, ayant appris la béatification d’Ignace
spects des Royaumes & des Provinces dépendantes de chacune de ces parties . Toutes les Galeres & tous les Vaisseaux du p
très-agréable, composant quatre troupes ou quadrilles pour les quatre parties du monde. Les Royaumes & les Provinces représ
s d’Hercule se trouva si beau, que Louis XIV. y dansa masqué avec une partie de sa Cour en 1654, en faveur de la prospérité de
sortent avec précipitation des ruines du Palais, & retiennent une partie des déguisemens qu’ils n’ont pas eu le tems de dé
ut-à-fait : les uns ont encore les plumages des oiseaux, d’autres une partie des habits des Nymphes & danseurs, qu’ils avo
t pris pour servir la passion d’Armide ; ce qui termina le Balet. Une partie des Entrées fut dansée par le Roi ; les Princes &
ennes. Le Balet de la naissance de Venus finissoit-là, car la seconde partie concernoit sa puissance. Les Graces en firent le
enez ici vos Princesses, Pour en recevoir les adresses. Aussitôt la partie du Globe, ou l’Europe étoit décrite, s’ouvrit, l’
Après cet avant-Balet, des Princes & des Princesses de ces quatre Parties de l’Europe, sortirent du Globe, & danserent
42 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
un des premiers ornemens de la société, et qui fait, pour ainsi dire, partie de l’éducation nationale. Trop heureux si je puis
abilité dans l’expression de la physionomie. On ne vit plus que cette partie matérielle qui défigurait un art plein de grâces
C’est à la danse que la jeunesse doit cette souplesse dans toutes les parties du corps, cette légèreté dans tous les mouvemens
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
t l’âme et le fond. Ces Spectacles au surplus réunissaient toutes les parties , qui peuvent faire éclater le goût et la magnific
’un homme mis à sa place. [Voir Ballet] 84. On nommait Sapate cette partie du Ballet. Il y avait des Ballets entiers qui por
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
equel j’étais fort neuf. Elle eut la bonté de me mettre de toutes ses parties  ; et je me souviens, qu’elle voulut bien m’appren
cet exercice, lorsqu’il fut parvenu au trône, le dédommagement d’une partie des travaux qu’il lui avait coûté à conquérir. Su
45 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVI. Des Jettez, ou demies Cabrioles. » pp. 162-165
t d’aller des plus faciles aux plus difficiles. Ce pas ne fait que la partie d’un autre pas, comme on la déja pû remarquer dan
n de conserver cet accord d’un sexe avec l’autre ; ce qui est une des parties essentielles à laquelle ont doit se conformer.
46 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XI. De la maniere de faire les bras avec les pas Tombez & les pas de Gaillarde. » pp. 239-242
les pas Tombez & les pas de Gaillarde. Comme dans ma premiere Partie j’ai fait une démonstration du pas tombé & du
que le represente la Figure qui est au commencement de cette deuxiéme Partie  : ainsi lorsque votre pied se tire derriere en to
47 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Avertissement. » pp. 33-34
totalité de l’ouvrage, on saisit mieux le plus on moins d’accord des parties , le plus ou moins d’effet des situations, et la v
rogrès de mon art que de mon propre intérêt, j’en ai donné la majeure partie à mes élèves, ou à des artistes à qui ils pouvoie
48 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « appendix » pp. 257-258
. et bremblantes, lisés : et tremblantes. 193. 21. on apperçoit d’une partie , lisés : on apperçoit une partie. 202. 25. et Osb
blantes. 193. 21. on apperçoit d’une partie, lisés : on apperçoit une partie . 202. 25. et Osbeck, lisés : et Usbeck. 214. 18.à
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
de Ballets même, ne connaissent, n’ambitionnent, ne cultivent que la partie mécanique de l’Art. Elle semble suffire, en effet
té d’un Auteur qui ne saurait être suspecte. Je vais traduire ici une partie de ce qu’il a écrit sur ce genre de composition s
estimé de son temps, et si peu connu du nôtre. 52. On trouvera une partie de l’histoire de Pylade et de Bathylle dans la su
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
omtement exécutée. Les fugitifs se dispersent et s’enfoncent dans les parties du Parc les plus ombragées, et par un mouvement s
régner. Cet événement fut célébré par des fêtes brillantes, dont la partie intéressante fut confiée au goût et à l’imaginati
udre à canon, et les échafauds multipliés absorbent toutes les autres parties de ces fêtes, où les talens et les arts devroient
51 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVI. De la maniere de faire les bras avec les Contre-tems de Gavote. » pp. 255-263
me je vous en ay fait sentir tous les differens tems dans la premiere Partie , tant par le discours que les Figures, c’est ce q
près le saut, & pour faire ressentir comme j’ai dit à la premiere Partie , que la jambe droite s’étend à côté, lorsque vous
rend de la 3e ou 4e position ; comme il est expliqué dans ma premiere Partie  : ainsi il demande une opposition ; c’est pourquo
52 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
le Roi parut. Les Filles d’honneur des deux Reines, vêtues élégamment partie en Nymphes, partie en Naïades, servirent la Table
illes d’honneur des deux Reines, vêtues élégamment partie en Nymphes, partie en Naïades, servirent la Table du roi. Des Satyre
On partagea, (dit l’Historien que je ne fais que transcrire) en trois parties égales, la Galerie de Versailles, par deux Balust
ersailles, par deux Balustrades dorées de quatre pieds de hauteur. La partie du milieu faisait le centre du Bal. On y avait pl
losophique que cette Image. 102. J’en ai déjà parlé dans la première Partie . 103. Voyez les Mémoires de la Reine de Navarre.
53 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
eviendroit intéressant, parce que tout seroit d’accord, et que chaque partie tenant la place qu’elle doit occuper naturellemen
la poèsie lyrique. Cet homme, d’un génie vaste, embrassoit toutes les parties à la fois dans ses compositions ; tout est beau,
e l’opéra peut-il réussir, si ceux qui sont à la tête des différentes parties qui lui sont essentielles, opérent sans se commun
t l’ouvrage du peintre, et il détruit l’effet de la décoration. Telle partie du tableau qui doit être éclairée, devient noire
ir la scène ; le talent consiste à savoir distribuer les lumières par parties , ou par masses inégales, afin de forcer les endro
un grand jour, de ménager ceux qui en exigent peu, et de négliger les parties qui en sont moins susceptibles. Le peintre étant
descendent du sacré Vallon ; que les artistes chargés des différentes parties qui composent l’opéra agissent de concert et se p
médiocrité ; il ne séduit qu’autant qu’il est parfait dans toutes ses parties . Convenez, Monsieur, qu’un auteur qui abandonne s
ns sujets n’y sont plus ; ils ont été remplacés, et au de là dans des parties , et ne le seront peut-être jamais dans les autres
ectacle, et examinons l’ouvrage qu’on lui distribue. On lui donne une partie de répetition ; il l’ouvre et il lit : Prologue :
llets, et dans la danse simple. L’entêtement est égal dans toutes les parties de l’opéra ; il préside en souverain à ce spectac
ussi ridicule qu’embarrassant ; c’est qu’elle avoit étudié toutes les parties de son art, et cherché à les rapprocher de la per
chargé des dessins et du costume des habits de l’opéra, a remédié en partie aux défauts qui règnent dans cette partie si esse
ts de l’opéra, a remédié en partie aux défauts qui règnent dans cette partie si essentielle à l’illusion, il est à desirer qu’
même être belles, parce que les artistes qui sont employés dans cette partie , ont réellement du mérite ; mais la cabale et une
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre II. » pp. 9-16
égrade. Les ballets etant des représentations, ils doivent réunir les parties du drame. Les sujets que l’on traite en danse son
œud et son dénouement. La réussite de ce genre de spectacle dépend en partie du bon choix des sujets et de leur distribution.
e scènes refroidissent l’action, et appauvrissent le sujet.   Une des parties essentielles au ballet, est, sans contredit, la v
e qu’elle a souvent des graces, de la noblesse ; mais ce n’est qu’une partie des qualités qu’elle doit avoir.   Les pas, l’ais
55 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
sur la Scène. Atlas fit ensuite sortir dans le même ordre les autres parties de la Terre, ce qui forma une division simple et
te Fête remplie d’esprit et de variété avec l’assemblage grossier des parties isolées et sans choix du Ballet des prospérités d
s, le discernement ou le mauvais goût des gens en place. 114. Cette partie était imitée de la fête de Bergonce de Botta. 11
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 31 août 1669 »
bonne foi, Jouant la PRINCESSE D’ÉLIDE, Pièce d’un style fort fluide, Partie en Prose et l’autre en Vers, Et pleine d’Ornement
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 14 juillet 1668 »
ne enchanté. 97. Le Théâtre sans Comédie et les Comédiens Juges et Parties , dont le Sieur de Cintio est Auteur.
58 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
qu’on ne peut faire en général un beau spectacle, si elle n’est de la partie . C’est un art auquel les Grecs ont donné le nom d
e Batylle étoient plus gais & plus divertissans. Elle faisoit une partie presque essentielle des misteres & du culte d
a Lune, ou les Elémens : cela se pratique encore aujourd’hui dans une partie des Isles Philippines, & chez les Indiens ido
nt au son de la flute ; desorte que l’on peut dire qu’ils doivent une partie de leur gloire à la Danse & à la Musique : la
runtoit son nom de Mars & de Venus, comme s’ils eussent été de la partie . Il y avoit une autre danse attribuée à Venus, où
re. Les Indiens qui adoroient le Soleil dans l’Orient, & dans une partie des Indes Occidentales, n’avoient point d’autre c
les chez les Romains du tems de Tibere. Il dit encore qu’il y a trois parties dominantes dans l’homme ; l’irascible, le concupi
de Tibere ; ce que l’Eglise a regardé aussi dès ce tems-là comme une partie de l’origine des danses baladoires. La danse sacr
-delà de l’étendue de son excellence, à la considerer dans toutes ses parties  ; ce qui paroîtra fort opposé à l’opinion du vulg
59 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
endroit intéressant, parce que tout seroit d’accord, & que chaque partie tenant la place qu’elle doit occuper naturellemen
rique. Cet homme d’un génie vaste & sublime embrassoit toutes les parties à la fois ; ses compositions sont ou peuvent être
e l’Opéra peut-il réussir, si ceux qui sont à la tête des différentes parties qui lui sont essentielles, opérent sans se commun
’ouvrage du Peintre & il renverse l’effet de la décoration. Telle partie du Tableau qui doit être éclairée devient noire &
ir la Scene ; le talent consiste à savoir distribuer les lumieres par parties ou par masses inégales, afin de forcer les endroi
grand jour, de ménager ceux qui en exigent peu, & de négliger les parties qui en sont moins susceptibles. Le Peintre étant
descendent du sacré Valion ; que les Artistes chargés de différentes parties qui composent l’Opéra agissent de concert, &
ents. L’homme célebre qui a fait choix du sujet, qui en a disposé les parties , qui les a distribuées avec autant de goût que d’
médiocrité, il ne séduit qu’autant qu’il est parfait dans toutes ses parties . Convenez, Monsieur, qu’un Auteur qui abandonne s
s Sujets n’y sont plus, ils ont été remplacés & au-delà, dans des parties , & ne le seront peut-être jamais dans les aut
acle, & examinons l’ouvrage qu’on lui distribue. On lui donne une partie de répétition, il l’ouvre, & il lit ; Prolog
ets & dans la Danse simple. L’entêtement est égal dans toutes les parties de l’Opéra ; il préside en Souverain à ce Spectac
s de l’Opéra, remediera facilement aux défauts qui régnent dans cette partie si essentielle à l’illusion, si toutefois on lui
même être belles, parce que les Artistes qui sont employés dans cette partie ont réellement du mérite ; mais la cabale & u
60 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63
et surtout les mouvements ou le port des bras43, sont, peut-être, les parties les plus difficiles de la danse, et qui demandent
les artistes. Essayons de la rendre moins obscure. L’opposition d’une partie d’un corps solide quelconque, qui se meut, à une
n d’une partie d’un corps solide quelconque, qui se meut, à une autre partie , est une loi d’équilibre qui divise les forces gr
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
pagnée des cris et des applaudissemens d’un peuple, qui attachoit une partie de sa gloire et de son bonheur à l’amour qu’il av
abandonnés, et entièrement oubliés d’un gouvernement, qui devoit une partie de sa gloire, et de sa splendeur à la protection,
r le commandement d’une grande armée pour aller combattre son ingrate partie  ; mais jaloux de sa gloire et de sa réputation, i
62 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
es jours nos oreilles, et qui pourtant font les délices de la majeure partie du peuple : mais si vous aviez parcouru comme moi
out, comme on grave tout. C’est bien là le cas de dire que la majeure partie de nos auteurs en littérature et en musique, font
er faire le second, là où ils sont appellés. Ils confient toujours la partie du récitatif simple à des maîtres en sous-ordre,
63 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
lui pendant seize années, en serroit avec soin les partitions et les parties détachées. L’estime particulière que ces deux Pri
touchoit, il multiplia les affiches de l’Oratorio, lors même que les parties n’étoient point encore à la copie. Ces annonces p
dicis, et que le cizeau de l’ignorance en retranchât les plus petites parties , pour substituer ou des fleurs ou des ornemens de
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
er d’en rire, et il la fuit, en l’accablant d’injures. Cette première partie du Ballet finit par une Entrée vive de Villageois
’intéresser à elle86. Un Négociant fit le premier récit de la seconde partie . Il se réjouissait sans scrupule, de ce que, pour
65 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXII. Des Piroüettez. » pp. 148-152
fection de ce pas ; ce qui sera expliqué plus au long dans ma seconde Partie , celle-ci n’étant que pour la maniere de former l
r les deux pieds, & qui sont placez au commencement de la seconde partie de la Bacchante ; ce pas est trés-facile à faire,
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
. Prêtres de l’Hymen. Peuples. Officiers et soldats. Première partie . La décoration représente le péristile du pala
départ précipité de Médée interrompt la fête ; et termine la première partie de ce ballet. Seconde partie La décoration
ompt la fête ; et termine la première partie de ce ballet. Seconde partie La décoration représente un salon du palais de
qu’elle a résolu d’employer pour assouvir sa vengeance. Troisième partie . La décoration représente la salle Royale du p
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
upuleusement ; un pressentiment juste le déterminera à retrancher les parties qui en rétarderoient la marche, les inutilités, q
t régulières. Si le maître de ballets sacrifie les grandes masses aux parties de détail, l’intérêt principal aux accessoires, e
ui se pyramideront ; les percés seront consacrés à la promenade ; les parties plattes à la danse et les colines du fond, seront
ra, que l’on peut faire les Champs Elisées de Castor et Pollux. Si la partie méchanique de la danse donne au maître de ballets
à Stuttgard, dans le premier acte du ballet d’Alceste, et il faisoit partie de la fête qu’Admete donnoit à Hercule et Lycomed
68 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
acer avec tous ses avantages. Les Nations intéressées aux différentes parties de son action, les triomphes de ses héros, les fê
inault, fut un des pivots sur lesquels il voulut faire rouler une des parties essentielles de son ensemble. Tout ce qui est san
69 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXV. Des contre-tems du Menuet, & la maniere de les faire. » pp. 104-109
pas dont elles sont remplies, & comme les contre-tems en font en partie la construction, je vais décrire la maniere de le
temperée, & pour ménager cet accord entre vous deux, qui fait en partie la beauté de la danse. De plus, c’est que les con
70 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
eds de longueur sur huit pieds de large ; elle était composée de neuf parties , sur quatre pieds brisés en forme de pieds de bic
e Roi regarda par ses croisées l’illumination de la place. Toutes les parties principales de l’architecture de l’arc de triomph
de lumières en falots ou lampes à plaque, qui traçaient la principale partie de la décoration et ses saillies. Tout le pourtou
galonné d’or. Le buffet de la ville était dressé dès le matin dans la partie de cette salle, auprès de la cheminée du côté de
yez les Mémoires de la reine de Navarre. [voir Traité historique, IIe partie , livre II, chap. 4, « Des Bals »] Dans une petit
le roi parut. Les filles d’honneur des deux reines, vêtues élégamment partie en nymphes, partie en naïades, servirent la table
illes d’honneur des deux reines, vêtues élégamment partie en nymphes, partie en naïades, servirent la table du roi. Des satyre
va à la place Saint-Roch, où est la maison professe des Jésuites. Une partie de cette place représentait la ville de Troie ave
e Troie avec ses tours et ses murailles. Aux approches du cheval, une partie des murailles tomba ; les soldats grecs sortirent
t de grands chœurs de musique. Quatre ambassadeurs, au nom des quatre parties du monde, ayant appris la béatification d’Ignace
ion d’Ignace de Loyola, pour reconnaître les bienfaits que toutes les parties du monde avaient reçus de lui, venaient lui faire
ts, avec les respects des royaumes et des provinces de chacune de ces parties . Toutes les galères et les vaisseaux du port salu
très agréable, composant quatre troupes ou quadrilles pour les quatre parties du monde. Les royaumes et les provinces, représen
e deux cents mille écus de pierreries ». [voir Traité historique, IIe partie , livre II, chap. 1, « Des ballets ambulatoires »]
r le nom des artistes dans la postérité. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 2, « Des Fêtes du même genre da
sur la scène. Atlas fit ensuite sortir dans le même ordre les autres parties de la terre, ce qui forma une division simple et
le ballet de Circé et de ses nymphes ». [voir Traité historique, IIe partie , livre II, chap. 2, « Des Fêtes de la Cour de Fra
contentement de toutes personnes, sans qu’aucun en fût offensé ». La partie éclatante de cette fête, qui a été saisie par l’h
t à tant de titres de pareils ministres. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a
habitatori di monti, ou Les Montagnards. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a
a dernière fois dans le Ballet de Flore. [voir Traité historique, IIe partie , livre III, chap. 3, « Fêtes de Louis XIV relativ
iques. Il est beau d’avoir imaginé un ensemble composé de différentes parties , qui, séparées les unes des autres, forment pour
chambre, qui succéda à M. le maréchal de Richelieu, tenta une grande partie de ce que celui-ci avait courageusement imaginé ;
es et la musique ont été inspirées par les grâces, et dont toutes les parties forment une foule de jolis tableaux de la plus do
it de nos grands seigneurs dans les occasions éclatantes. On a vu une partie de ce qu’exécuta le goût ingénieux de M. le duc d
en beaux paysages coupés de palais, de maisons, de cabanes même. Les parties isolées de ces décorations étaient des percées im
rbe galerie : l’intérieur des salons, de la galerie, et de toutes les parties accessoires, était décoré d’architecture d’ordres
a frise peinte en lapis était ornée de guirlandes de fleurs. Dans les parties accessoires, les panneaux étaient peints en brèch
s remplis de musiciens habillés richement, avec des habits des quatre parties de l’Europe. Tout le reste était destiné aux diff
ctérisent les mœurs et les usages des divers habitants de cette belle partie de l’univers. Au moment que le roi serait arrivé,
vi ; et comme un changement rapide de théâtre, toutes les différentes parties de l’orangerie, telles qu’on les a dépeintes, se
dont la campagne était couverte. Les deux côtés du château, toute la partie des jardins qui aboutissait en angle sur l’orange
ion du bassin, de l’orangerie, des deux faces du château, et des deux parties des jardins qui y répondent, aurait servi de clôt
ordé de fossés de six pieds. Vers le commencement du chemin, dans une partie tout à fait unie et horizontale, les pâtres du pa
e avec son archivolte. Cet édifice, qui était de relief en toutes ses parties , était feint de marbre blanc. Il était exécuté av
e qu’un vent de nord violent qui y donnait directement, éteignait une partie des lampions et des pots-à-feu à mesure qu’on les
e manière uniforme. Pour former une liaison agréable entre toutes ces parties , on avait posé des guéridons de feuillées chargée
age. Quand le Roi fut sur son balcon, ayant auprès de sa personne une partie de sa cour, le reste alla occuper les fenêtres du
x de cire blanche : ces lumières rangées avec art sur les différentes parties de l’architecture, produisaient diverses formes a
é témoin de leur adresse, le Roi remonta et se mit au jeu. Des que la partie du Roi fut finie, les Comédiens-Italiens donnèren
toute sa cour, on avait construit trois galeries découvertes dans la partie intérieure de l’avenue, et sur son alignement, à
aient encore à suspendre vingt-quatre lustres. Toutes les différentes parties de cette foire étaient ornées d’une très grande q
rs plaintes, et ce chœur comique, finit d’une manière plaisante cette partie de la fête. La reine et la cour arrivèrent dans l
ue tous ces apprêts, l’idée, la conduite, l’enchaînement des diverses parties de cette fête, furent l’ouvrage de trois jours? C
ouissance. Le mécanisme d’un feu d’artifice dans les deux genres ; la partie physique qui guide sa composition, la géométrique
grande ou la moindre vitesse, etc. mais encore de combiner toutes ces parties avec le plan général du spectacle que la décorati
e musiciens pour les fanfares qu’on entendait alternativement. Sur la partie la plus élevée du temple, placé du côté de l’hôte
t chargé d’un gros falot. C’est du haut de ces tours que commença une partie de l’artifice de ce grand spectacle, après que le
à-mot, du Traité des Ballets, du Père Ménestrier, Jésuite. 3. Cette partie était imitée de la fête de Bergonce de Botta. 4.
71 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XI. Des Révérences de differentes façons. » pp. 29-34
vous saluez, & la tête même s’incline, ce qui est encore une des parties essentielles de la reverence, en vous pliant la c
ps de travers, au lieu qu’étant comme je vous le démontre, toutes les parties se soutiennent par leur opposé : mais lorsque vou
72 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXI. Des pas tombez & des pas de Gaillarde. » pp. 142-147
om que de sa seule construction, au lieu qu’aux autres la plus grande partie sont composez des autres pas ; mais celui-ci est
vous élevant dessus pour faire votre pas tombé ; qui fait la seconde partie dont le pas de Gaillarde est composé ; mais comme
73 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
ste cependant à prévenir quelques doutes qu’on pourrait former sur la partie historique de ce Traité, en partant d’après une a
d’érudition dans un Ouvrage que l’abbé Du Bos en a répandu dans cette partie du sien ; mais elle manque par les fondements. La
ractères qui peuvent rendre un système inadmissible. Premièrement les parties mécaniques de la Musique, du Chant et de la Danse
s’écroule donc évidemment de lui-même. J’ose croire par conséquent la partie historique de cet Ouvrage hors de toute atteinte 
rs de toute atteinte : j’en ai pour garant toute l’antiquité. Dans la partie didactique, je n’ai en faveur de mes observations
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
autorisent à m’étendre sur les abus qui se sont introduits dans celle partie  ; changemens bizarres qui ne doivent leur naissan
doute le plus étonnant et le plus parfait de l’Europe, si toutes les parties qui le composent étoient soignées plus scrupuleus
uvant intéresser les gens d’ésprit, je reviens au costume, comme à la partie la plus intéressante de la scène. Il est le portr
térêt, plus de plaisir. Les loix du costume s’étendent sur toutes les parties de la scène, sur tous les objets qui s’y montrent
tume. J’entends par convenances l’accord et l’harmonie que toutes les parties d’un ballet doivent avoir partiellement pour form
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
ion et à l’intérêt que peut faire naître la pantomime(1). Première partie . La décoration représente une vaste colonnade
iment leur félicité ; l’Olympe applaudit à ces jeux et cette première partie de ce ballet, variée de pas d’expression et de ca
célestes leur respect et leur reconnoissance. Seconde et dernière partie . La décoration offre l’aspect d’un lieu agrest
d’un lieu agreste ; de beaux arbres l’embellissent ; on apperçoit une partie du Mont Ida ; une mer vaste et tranquille termine
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
et si elle ne les anime et ne les vivifie. La physionomie est donc la partie de nous-même la plus utile à l’expression ; or, p
es Démons sous des formes humaines ; les Faunes et les Tritons ont la partie supérieure du corps semblable aux hommes, la part
es Tritons ont la partie supérieure du corps semblable aux hommes, la partie inférieure tient du bouc et du poisson. Les masqu
esoin qu’eux ? quel contre-sens que celui qu’offre le dieu Pan et une partie des Faunes et des Silvains de sa suite, avec des
des Silvains de sa suite, avec des visages blancs, tandis que l’autre partie porte des masques bruns ! Les Démons dansans sont
qui ignore les premiers élémens de son art, qui ne s’attache qu’à la partie grossière de la danse, et qui n’en a jamais senti
nt persuadées enfin que la physionomie est, ainsi que je l’ai dit, la partie de nous-même où toute l’expression se rassemble,
fection. C’est avec peine qu’ils se dessinent agréablement : plus les parties ont d’étendue, plus il est difficile de les arron
auteur, si d’agréables proportions brillent également dans toutes les parties du corps, et rendent cette grâce et cette express
s commencent par leur faire dessiner l’ovale, ils passent ensuite aux parties de la physionomie, et les réunissent enfin pour f
nomie, et les réunissent enfin pour former une tête, ainsi des autres parties du corps. Lorsque l’éléve est parvenu à mettre un
e nous donnons les mêmes soins qu’eux pour nous distinguer dans cette partie . La dispute de Cicéron et Roscius à qui rendroit
77 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
si elle ne les anime & ne les vivifie. La physionomie est donc la partie de nous-mêmes la plus utile à l’expression ; or p
Démons sous des formes humaines ; les Faunes & les Tritons ont la partie supérieure du corps semblable aux hommes, la part
es Tritons ont la partie supérieure du corps semblable aux hommes, la partie inférieure tient du Bouc & du Poisson. Les ma
qu’eux ? Quel contre-sens que celui qu’offrent le Dieu Pan & une partie des Faunes & des Sylvains de sa suite avec de
des Sylvains de sa suite avec des visages blancs, tandis que l’autre partie porte des masques bruns ! Les Démons dansants son
qui ignore les premiers éléments de son Art, qui ne s’attache qu’à la partie grossiere de la Danse & qui n’en a jamais sen
nt persuadées enfin que la physionomie est, ainsi que je l’ai dit, la partie de nous-mêmes où toute l’expression se rassemble,
fection. C’est avec peine qu’ils se dessinent agréablement : plus les parties ont d’étendue, plus il est difficile de les arron
hauteur, si les belles proportions brillent également dans toutes les parties du corps ? La taille du Danseur comique exige moi
s commencent par leur faire dessiner l’Ovale, ils passent ensuite aux parties de la physionomie, & les réunissent enfin pou
ie, & les réunissent enfin pour former une tête, ainsi des autres parties du corps. Lorsque l’éleve est parvenu à mettre un
e nous donnons les mêmes soins qu’eux pour nous distinguer dans cette partie . La dispute de Ciceron & de Roscius, à qui re
78 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78
ans les efforts du saut roidit les articulations, et contraint chaque partie à rentrer dans sa place et à revenir à sa forme n
e ; ce volume met un obstacle aux battements de l’entrechat. Plus ces parties se joignent, et plus celles qui leur sont inférie
nt avec plus de vitesse ; brillants parce que le jour perce entre les parties qui se croisent et se décroisent. Ce jour est exa
79 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
nce de Jésus-Christ, par la lumiere de l’Evangile, qui a désabusé une partie du genre humain des erreurs & de la confiance
Gnomes, qui sont, dit le Comte de Gabalis, composez des plus subtiles parties de la terre qu’ils habitent ; & que les Nymph
e la terre qu’ils habitent ; & que les Nymphes sont composées des parties les plus déliées de l’eau ; les Salamandres sont
mp; les Sylphes sont composez des plus purs atomes de l’air. C’est en partie sur ces idées imaginaires, que les Philosophes qu
80 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
tés d’un Art qui n’est aisé que pour ceux qui n’en saisissent que les parties superficielles & qui imaginent que l’action d
st conduit à l’Autel sur lequel sont appuyés deux Grands Prêtres. Une partie des Habitants est rangée autour de ce même Autel,
succès dans ce Ballet, sans en excepter même la Scene du dépit, jouée partie assis, & partie debout ; elle parut aussi viv
t, sans en excepter même la Scene du dépit, jouée partie assis, & partie debout ; elle parut aussi vive, aussi animée &
resse également le cœur & les yeux. J’ai passé légérement sur les parties de détail pour vous épargner l’ennui qu’elles aur
auroit couru les risques de s’égarer ; mais il a abandonné toutes ces parties grossieres à ceux qui n’ont que des jambes &
eval de la Foire. Il seroit avantageux, Monsieur, pour la plus grande partie de ceux qui se livrent à la Danse & qui s’ado
étoient d’une forme singuliere & dans des couleurs entieres ; une partie de la poitrine, des bras & des jambes étoit c
s critiques au sujet de la Scene simultanée de M. Diderot & de la partie de trictrac jouée dans la premiere Scene du Pere
81 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre I. Caractère que doit avoir la Danse Théâtrale »
tère essentiel et distinctif de l’Art dramatique dont elle fait alors partie .
82 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
est justement composé Et parfaitement divisé.106 Du monde les quatre parties Y sont dignement assorties, Et chacune a de quoi
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
housiasme ; les sonnets imprimés sur du satin, pleuvent de toutes les parties de la salle ; ce sont des brevets d’honneur que l
qu’il n’y a qu’un moyen à prendre pour la résoudre, sans offenser les parties , c’est de convenir que la musique a fait en Franc
84 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
our tourner dans une position quelconque, sans jamais ébranler aucune partie du corps. 60. « La plante du pied est la vraie
sition, servent de balancier pour conserver l’équilibre de toutes les parties du corps qui se trouvent appuyées sur une seule j
ses jambes soit gracieux et facile, et que le mouvement de toutes les parties du corps soit naturel, et dénué d’une pénible et
85 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
des positions, et la bonne grace de la personne. Ceci n’offre que la partie matérielle. La seconde que l’on nomme danse en ac
voila, ce qui constitue l’art. Lorsqu’un danseur parvient à réunir la partie brillante du métier, à l’esprit et à l’expression
cens dont elle peut avoir besoin. Le danseur qui ne s’attache qu’à la partie méchanique de sa profession a bien moins d’étude
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
dans la classe des accessoires d’ornement, qui peuvent s’adapter aux parties intéressantes d’un vaste tableau. Je voudrois qu’
et qu’il seroit possible de leur imprimer : dèslors ils deviendroient partie d’un grand tout. Je ne prétends pas dire non plus
ntéressant qui la détermine ; il faut que les etrangers de toutes les parties de l’Europe en payent les frais en s’amusant ; il
87 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
habillement de Vénus ; les Graces se chargent de son ajustement ; une partie des Nymphes s’occupe à ranger la toilette, pendan
bitans des forêts ; une simple draperie de peau de tigre couvroit une partie de leurs corps, tout le reste paroissoit nu ; et
et le dessin des groupes, l’expression des têtes, et les différentes parties de l’ensemble ; rien n’échappoit à ses regards. C
avec goût, donnent un nouveau prix et une valeur réelle à toutes les parties de la composition : mais le talent consiste à les
e mis en comparaison l’un avec l’autre. Le théatre représente une des parties du Sérail ; un péristile orné de cascades et de j
il est ridicule d’introduire des Janissaires et des Bostangis dans la partie du Sérail destinée aux femmes du Grand-Seigneur,
les ont blessé à cent lieues d’éloignement, n’entroient point dans la partie du Sérail ou se tiennent les femmes ; qu’ils ne p
88 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
’habillement de Vénus. Les Graces se chargent de son ajustement ; une partie des Nymphes s’occupe à ranger la toilette, pendan
itants des forêts ; une simple draperie de peau de tigre couvroit une partie de leur corps, tout le reste paroissoit nu ; &
le dessein des grouppes, l’expression des têtes & les différentes parties de l’ensemble ; rien n’échappoit à ses regards ;
ec goût, donnent un nouveau prix & une valeur réelle à toutes les parties de la composition ; mais le talent consiste à les
mis en comparaison l’un & l’autre. Le Théatre représente une des parties du Serrail ; un Péristile orné de cascades &
est ridicule d’introduire des Janissaires & des Bostangis dans la partie du Serrail destinée aux Femmes du Grand Seigneur,
les ont blessé à cent lieues d’éloignement, n’entroient point dans la partie du Serrail où se tiennent les Femmes ; qu’ils ne
89 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XII. De la Danse sacrée des Turcs »
omet puisa les rêveries de la sienne. Aussi, la Danse sacrée fit-elle partie de son Plan. On ne la pratique que dans les Mosqu
90 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
ombinaison des spectacles réguliers, la Danse fut une des principales parties qui entrèrent dans cette grande composition. Elle
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « Préface de l’auteur »
spectacles publiés par moi depuis une année et parus pour la majeure partie , sauf indication contraire, dans le quotidien Com
92 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XIII. De la maniere de faire les bras avec les Balancez. » pp. 247-248
petite action qui accompagne : ainsi c’est jusques dans ces moindres parties que naissent cette grace & cette delicatesse
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
tions et par un nombre infini de machines surprenantes, formèrent les parties et l’ensemble de ce Ballet allégorique. [Voir Bal
94 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
Quart. 95. Le Théâtre sans Comédie, 96. et les Comédiens Juges et Parties .
95 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
nts, leurs pieds, leurs mains, leurs bras, n’étaient que les diverses parties du tableau, aucune de ces parties ne devait reste
rs bras, n’étaient que les diverses parties du tableau, aucune de ces parties ne devait rester oisive, toutes devaient concouri
96 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
ais le sujet principal auquel elle est liée, et dont elle devient une partie par l’Art du Poète, pouvait absolument subsister
les genres de Poésie Dramatique, le plus difficile, les plus petites parties , ainsi que les plus grandes, doivent être dans un
97 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
d’Oreste et de Pylade. Matelots. La scène est en Tauride. Première partie . La décoration représente la mer ; les deux co
porte à son cœur les sentimens du désespoir. L’ombre en soulevant une partie de son voile, lui découvre la plaie encore saigna
t à la fermeté et au courage qui caractérisent les héros. Seconde partie . La décoration représente la chambre à coucher
plaisir barbare que lui cause l’arrivée des deux Grecs. Troisième partie . La décoration représente le vestibule du temp
ntôt ; ou pour délivrer Oreste, ou pour périr avec lui. Quatrième partie . scene i Les Prêtres et les Prétresses
e gronde, frappe le temple et il disparoît. Cinquième et dernière partie . La disparution du temple qui s’enfonce dans l
98 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
l faut, dans les tableaux de la danse, des traits marqués, de grandes parties , des caractères vigoureux, des masses hardies, de
ffet général de toute la machine, et ne jamais sacrifier le tout à la partie . Sans oublier les principaux personnages de la re
ne doit-il pas exclure toute suite ? L’amour seul pourroit être de la partie  ; mais des paysans, des nymphes, Diane à la chass
99 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
Il faut dans les Tableaux de la Danse des traits marqués, de grandes parties , des caracteres vigoureux, des masses hardies, de
t général de toute la machine, & ne jamais sacrifier le tout à la partie . Ce n’est qu’en oubliant pour quelques instants,
ne doit-il pas exclure toute suite ? L’amour seul pouvoit être de la partie  ; mais des Paysans, des Nymphes, Diane à la chass
100 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
e débit ne doit jamais prendre sur l’articulation ; il est une grande partie du chant français : sans le débit, la scène la mi
emps sur ce point illusion au gros du public ; on la louait sur cette partie qu’elle n’avait point, parce qu’elle chantait ave
onnes qui se dévouent à nos plaisirs. Débiter est donc à l’opéra une partie essentielle à l’acteur ; et débiter est rendre un
applaudissements aux acteurs qui par leur travail auront acquis cette partie très rare. Par cette conduite nous verrons infail
la base et comme les gros murs de l’édifice, et que toutes les autres parties doivent concourir pour en former les embellisseme
la déclamation : peut-être en effet n’était-il que médiocre dans ces parties  ; mais quelle voix ! et il faut premièrement chan
e de la nature : mais l’art seul et sans elle, ne peut rien sur cette partie de la figure humaine ; il n’a que l’avantage d’un
rt dans l’acteur, qui le possède, pose, détermine, arrange toutes les parties sans que l’art s’en mêle ; les bras, les pieds, l
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