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1 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Presentazione »
ltra), corretto gli accenti (nè → né), rettificate ancora le seguenti parole : mezo → mezzo; Pariggi → Parigi; legiadro → leggi
ggiadro; esemplo → esempio; franzese → francese. Il corsivo di alcune parole messe in evidenza è stato riservato per le parole
l corsivo di alcune parole messe in evidenza è stato riservato per le parole straniere, mentre le virgolette lo hanno sostitui
2 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VIII » p. 138
t pourtant le grand art du ballet : l’anecdote mimée, l’histoire sans paroles n’étant vraiment que le plus humble degré du dram
ment que le plus humble degré du drame. Partout où l’on fait fi de la parole belle, on fait fi de la pensée. Il faut bien des
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
que tous ceux qui sont chargés du ministère de l’instruction et de la parole , soient unanimes à condamner hautement les danses
er ses pas, ce doit être de la façon que le sage nous enseigne en ces paroles  : (Prov. c. 4, vv. 26 et 27.) Dressez le sentier
qui ne soit un témoignage de vertu. Voilà la mesure de nos pas que la parole de Dieu nous recommande, non pas de garder mesure
n toutes ses actions marcher en étourdi, et en ses conseils, faits et paroles , ne garder ni mesure ni raison. » chapitre V. D
utre sexe. Quant aux jeunes femmes et filles, ajoutent-ils, ce que la parole de Dieu leur ordonne, « pour conserver leur âge t
remarquent aussi : « que les chansons les plus communes seront là des paroles pleines d’amour, c’est-à-dire d’impureté. Or, de
ux chrétiens qui doivent avoir appris à purifier leur bouche de toute parole déshonnête et folle, et à détester tellement tout
anses ne se feront pas toujours avec de telles chansons de voix et de paroles prononcées, mais au son des instrumens, ce n’est
sont telles, qu’avec la rencontre des yeux il y ait communication de paroles , autres que bien pures et bien chastes ; et que l
s, c’est jeter de l’huile au feu. Chacun sait quelle est la force des paroles mauvaises à corrompre les mœurs. (1. Cor. c. 15,
es regards « allumer le feu des convoitises ; s’il en est de même des paroles obscènes, des chansons folles, des manières trop
lumière le nom de ténèbres ! Un célèbre interprète, expliquant ces paroles d’Isaïe, fait cette belle et solide réflexion : (
en conséquence ils prennent la défense, parce que, pour me servir des paroles de ce savant auteur, elles contribuent à la douc
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
gnie de gens déréglés, l’on ne communique au mal, et que de mauvaises paroles ou actions on n’en remporte quelque vice… Il faut
uvaises, mais plutôt à les reprendre et les condamner, si ce n’est de paroles , pour le moins par une soudaine retraite, et par
: si cela leur déplaît, ce n’est que ce qui nous a été promis par ces paroles de la première épître de saint Pierre (c. 4, v. 4
out curé qui néglige de le faire, ne doit-il pas prendre pour lui ces paroles de Dieu dans la prophétie d’Ezéchiel ? (c. 33, v.
i pour servir de sentinelle à la maison d’Israël : vous écouterez les paroles de ma bouche, et vous leur annoncerez ce que je v
5 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
re jointe avec la musique, qui ne s’accommode pas de toutes sortes de paroles . L’enthousiasme de l’ode ne convient pas à la can
ses organes, et fixer l’expression dont la voix est capable, par des paroles dont le sens annonçât le sentiment qu’on voulait
s gavottes, les branles, etc. (S) On ne connaît guère les auteurs des paroles de nos chansons françaises : ce sont des morceaux
vons encore une espèce de chanson qu’on appelle parodie ; ce sont des paroles qu’on ajuste sur des airs de violon ou d’autres i
bles. Il est très difficile de déterminer en quoi le son qui forme la parole , diffère du son qui forme le chant. Cette différe
ste. Il ne manque peut-être que la permanence aux sons qui forment la parole , pour former un véritable chant : il paraît aussi
nna avec succès la cantate du Retour des dieux sur la terre, dont les paroles sont de M. Tanevot, et la musique de M. Colin de
is sans vie. Le chant d’une chanson, d’une cantate, doit exprimer les paroles de la cantate et de la chanson, sinon le musicien
pression par eux-mêmes, et celle qu’on leur trouve n’est que dans les paroles auxquelles ils sont unis. Pour bien développer ce
véritable du sentiment qu’on veut peindre. La Poésie exprime par les paroles , la Peinture par les couleurs, la Musique par les
les, la Peinture par les couleurs, la Musique par les chants ; et les paroles , les couleurs, les chants doivent être propres à
e propres à exprimer ce qu’on veut dire, peindre ou chanter. Mais les paroles que la Poésie emploie, reçoivent de l’arrangement
doit donc trouver dans la bonne Musique vocale, l’expression que les paroles ont par elles-mêmes ; celle qui leur est donnée p
r récitatif, n’a par elle-même aucune expression du sentiment que les paroles de Quinault ont peint. Ce fait est si certain, qu
ngtemps cru plein de la plus forte expression, on n’a qu’à mettre des paroles qui forment un sens tout à fait contraire, et ce
ut à fait contraire, et ce chant pourra être appliqué à ces nouvelles paroles , aussi bien pour le moins qu’aux anciennes. Sans
nne qui ne sente qu’un chant qui serait l’expression véritable de ces paroles , ne saurait servir pour d’autres qui présenteraie
pétition, rien qui caractérise l’affreux personnage qui parle, et les paroles fortes qu’il dit : l’expression, en un mot, y est
vait beaux, le chanteur ajoutait l’expression de l’action à celle des paroles , et toute l’impression était imputée au musicien,
me une expression, qui ajoute une nouvelle chaleur à l’expression des paroles  ? cette prétention n’est-elle pas une chimère ? n
au, facile, noble, et qu’il fasse passer agréablement à l’oreille des paroles , qui par elles-mêmes expriment le sentiment? On r
ui leur est propre, et qui par conséquent ajoutent à l’expression des paroles . 3°. Que cette expression est répandue en abondan
uelque beau qu’il soit, doit paraître difforme, lorsqu’appliqué à des paroles qui expriment un sentiment, il en exprime un tout
s, on aura trouvé une très belle expression : mais avec les premières paroles on ne chante qu’un contre-sens, et ce chant très
ous nommons très improprement récitatif doive exprimer réellement les paroles , et qu’il ne puisse pas porter trop loin cette qu
force qui naît de l’action théâtrale, la grâce que répandent sur les paroles les inflexions d’un bel organe, l’impression que
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
aime le chant presqu’exclusivement, on n’y fait aucune attention aux paroles qu’il exprime ; les sons seuls suffisent pour le
n France, on pardonne à la musique d’être vraie, analogue au sens des paroles  ; et quand les paroles sont bonnes, on trouve que
la musique d’être vraie, analogue au sens des paroles ; et quand les paroles sont bonnes, on trouve que cela ne gâte rien. En
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
à l’anéantir, et pourra-t-on éviter de l’avoir un jour pour juge ? La parole de J. C. sur cela est précise. (Jean, 12, 48.) C
(Jean, 12, 48.) Celui , dit-il, qui rejette et qui ne reçoit pas mes paroles , a pour juge la parole même que j’ai annoncée : c
dit-il, qui rejette et qui ne reçoit pas mes paroles, a pour juge la parole même que j’ai annoncée : c’est cette parole qui l
s paroles, a pour juge la parole même que j’ai annoncée : c’est cette parole qui le jugera au dernier jour. Notre plus grand
connoître la vérité que J. C. a annoncée et qui est contenue dans sa parole , de la suivre en tout point, et pour cela de fair
vérité que Dieu nous enseigne dans les saintes Ecritures, qui sont sa parole , est, selon saint Augustin, cet adversaire dont J
versaire que J. C. a en vue, et qui ne peut être le diable ? C’est la parole de Dieu et sa loi : Quis est adversarius tuus ?
mes ici-bas que des voyageurs ; Quæ est via ? Vita ista. Comment la parole de Dieu est-elle notre adversaire ? Elle l’est en
que la cupidité désire et ce à quoi elle nous porte. Par exemple, la parole de Dieu dit : Vous ne commettrez point d’adultère
quoi cette fidélité devoit consister, il dit : (3. Reg. 2,4.) Que la parole que Dieu lui avoit donnée étoit qu’il auroit touj
il a marché devant vous dans la vérité et dans la justice. Selon ces paroles de Salomon, marcher dans la vérité et marcher sel
lainte que J. C. faisoit des Juifs qui résistoient opiniâtrément à sa parole  : (Jean. 3, 10.) Ils ont mieux aimé les ténèbres
et dans vos tabernacles. « Voilà, dit saint Augustin, expliquant ces paroles , voilà deux mots différens que le prophète emploi
qu’il soit pur. C’est pourquoi S. Augustin rapporte à ce sujet cette parole de Jésus-Christ : Heureux ceux qui ont le cœur p
t-elle Dieu et est-elle capable de faire pleuvoir, pour me servir des paroles même de saint Augustin, des ténèbres vengeresses
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
quelques-uns prétendent trouver de quoi autoriser les danses dans ces paroles de Jésus-Christ : (Matth. c. 11, v. 16 et 17.) A
 ; et que prétendre s’en servir pour les justifier, c’est faire de la parole de Dieu un abus manifeste et intolérable. Cependa
et nous porter à la vertu et à la pratique de l’Evangile, selon cette parole de saint Paul : (Tim. c. 3, vv. 16 et 17.) Toute
de joie : c’est pourquoi il commence le chapitre d’où sont tirées les paroles qu’on objecte, par cette sentence : Toutes chose
ce monde et ce qui leur étoit réservé en l’autre, il leur adresse ces paroles  : (Jean, c. 16, vv. 20 et 22.) En vérité, je vou
courts par une éternité de supplices. Au lieu donc de se servir de la parole du Saint-Esprit, qu’il y a un temps de pleurer,
’abord étonné ; mais si, en approchant de plus près, on entendoit ses paroles , et si on pouvoit lire dans le cœur qui les dicte
qu’un, trompé par une interprétation grossière et trop humaine de ces paroles , ne croie pouvoir s’en servir pour autoriser ces
t S. Ambroise, (n. 44.) le sens mystérieux : Hoc est mysterium , des paroles du Sauveur, nous avons chanté , et ce que nous a
suis pas moi-même du monde. Saint Paul a aussi tout compris dans ces paroles de son épître aux Philippiens. (c. 4, v. 8.) Tou
9 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IV » p. 136
t le goût le plus sobre et l’expression la plus concise : le moins de paroles qu’il se pût, et du sens le plus essentiel ou le
strument d’orchestre : le luth des passions, la viole humaine. Peu de paroles  : aussi bien ne les perçoit-on jamais. Quelques-u
10 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
s avertit par son exemple, puisqu’après que les Juifs, résistant à sa parole , l’eurent appelé possédé du démon , il ne laissa
digne : En vérité, en vérité, je vous le dis : si quelqu’un garde ma parole , il ne mourra jamais (Jean, c. 8, v. 51.) » Que
c. 8, v. 51.) » Quels motifs n’avons-nous pas de croire plutôt à la parole de Jésus-Christ qu’à celle du monde ? Les maximes
ctions d’un moment ? Ecoutons en tremblant, et méditons souvent cette parole de Job, (Job, c. 21, vv. 11, 12, 13.) Leurs enfa
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
e compte qu’il faut rendre de ses moindres actions et de ses moindres paroles  ; et enfin tout le sérieux de la vie chrétienne.
soi l’esprit de prière, et d’interrompre cet exercice, qui, selon la parole de Jésus-Christ, (Luc. 18, 1.) doit être perpétue
e de Jésus-Christ, qui soumet à un jugement si rigoureux, non pas les paroles mauvaises, mais les paroles inutiles, lorsqu’il d
t à un jugement si rigoureux, non pas les paroles mauvaises, mais les paroles inutiles, lorsqu’il dit : (Marc. c. 12, v. 36.)
lare qu’au jour du jugement, les hommes rendront compte de toutes les paroles inutiles qu’ils auront dites.  » J’ai démontré q
12 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
qui continere volunt ? On rapporte, continue saint Chrysostôme, une parole des Barbares, qui est remplie de la plus grande s
les propose d’après cet illustre évêque, et en employant ses propres paroles . (tom. 7, p. 654 et 655.) « Pour déraciner, dit c
r cela demeuré sans agrément : Tout le monde étoit en admiration des paroles de grâce qui sortoient de sa bouche. (Jean. c. 6
ses Apôtres lui disoient : Maître, à qui irons-nous ? Vous avez les paroles de la vie éternelle  ; mais encore ceux même qui
t sentir ce feu céleste dont David étoit transporté en prononçant ces paroles  : (Ps. 38, v. 4.) Le feu s’allumera dans ma médi
13 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
i que cela se pratique à l’Opéra, où l’on n’entend pas facilement les paroles . Je crois que l’on pourrait cependant faire quelq
sur la Scène ; on leur permettrait, dis-je, de joindre quelquefois la parole aux gestes. Par exemple, le Kain, Brisard, Molé,
leur art. Mais n’est-il pas prouvé qu’on n’entend presque jamais les paroles chantées ? La cause en est sans doute dans l’habi
r que les notes, puisque c’est, dit-il, peine perdue de prononcer des paroles qu’on ne saurait entendre. Suis-je donc si ridicu
ris, sa colère, son admiration, son ennui, qu’en employant un flux de paroles  ? Mais pour donner un exemple tout-à-fait poétiqu
les plus incrédules. Vous dites donc que le Geste n’est rien sans la parole  ? Vous n’avez sans doute jamais su ce vieux conte
14 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Presentazione — Nota al testo »
ltà mettendo in chiara luce l’interesse che lo aveva animato: “non le parole ”, ma “le cose”: In un trattato di ballo avrebbe
ata. Il vero critico avrebbe nel mio trattato cercate le cose, non le parole . […] Nell’additar le regole della danza non mi po
rola straniera, nella presente edizione si è scelto di distinguere le parole straniere (lasciate in corsivo), dall’enfasi (non
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en France »
passe sa vie, à mettre, à arranger dans sa tête un nombre immense de paroles isolées ; et les Savants de la Chine déclarent qu
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
même. Lorsque j’eus fait les présentations, ils n’échangèrent pas une parole . Ils se serrèrent la main, se regardèrent, puis a
les deux heures passées dans le temple, il n’y eut guère plus de dix paroles prononcées. Lorsque la visite des trois ateliers
bien au-dessous de ce que je devrais dire de cette grande figure ; ma parole est peu préparée pour cela, mais mon cœur d’artis
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 20 ou 22 novembre : Xerxès — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 27 novembre 1660 »
cela m’avait invité, Mais, Ô mon Lecteur bénévole, Il ne m’a pas tenu parole  ; Ainsi, je te dis, bien et beau, Que je ne puis
18 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24
sdisance, & non d’aucune crainte que i’aye, ny des effects ny des paroles des gens qui ne me pourroient rien faire que piti
difficiles à comprendre ? Vn Philosophe me dit vn iour, que comme les paroles estoient les marques des conceptions de nostre am
conceptions de nostre ame, les escrits estoient aussi les images des paroles , que des choses s’enfantoient les paroles pour le
toient aussi les images des paroles, que des choses s’enfantoient les paroles pour les communiquer aux presens, & des parol
s’enfantoient les paroles pour les communiquer aux presens, & des paroles les escrits, mais en consideration des absens &am
on des absens & de nos posterieurs, ce qui n’est pas l’office des paroles , il m’apprit encores par des exemples & des r
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
r, tout Franc, La somme d’un bel écu blanc. Je n’entendis point leurs paroles  ; Mais tant Espagnols, qu’Espagnoles, Tant comiqu
20 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — III » p. 135
gestes sont le signe du sauvage. Partout où l’image tient lieu de la parole , la matière évince l’esprit. Les pauvres multitud
21 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo — Avvertimento »
a delle riflessioni, e stimo soltanto necessario prevenirvi con poche parole sulla natura e condizione di quelle. [2] Si attac
ata. Il vero critico avrebbe nel mio trattato cercate le cose, non le parole . Stultum ac supinum, dicea il vecchio Scaligero, 
arrà stomacato dai tanti barbarismi, solecismi, idiotismi ed abusi di parole che a prima mano si veggono sparsi dal supposto F
22 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — II »
II L’ancien ballet est un conte ou une épopée sans paroles , que les gestes figurent et que la musique accomp
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
dessein j’y portai mes pas, Mais, toutefois, je n’entrai pas ; D’une parole assez humaine, » La Salle (me dit-on) est pleine
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
aux compositeurs, tantôt aux acteurs, et aux maîtres des ballets. Les paroles y sont mieux entendues que chez nous, où l’on gra
l’on ne prononce rien ; les chanteurs Italiens n’étudient jamais les paroles  ; les souffleur lit les vers à haute et intelligi
25 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
ité, en représenter vivement les inconvéniens funestes ; et, selon la parole de l’Ecriture, se faire une muraille d’airain pou
et les discours impurs et déshonnêtes ; après avoir cité sur cela les paroles de saint Paul : (1. Cor. c. 15, v. 23.) Les mauv
sans brûler du feu de l’impureté. » Bellarmin rapporte ensuite cette parole de Cicéron, que saint Ambroise avoit rapportée av
crimes. » Enfin, dans le troisième sermon du même cardinal, sur ces paroles de saint Luc : (c. 1, v. 26.) Dieu envoya l’ange
eusement prendre garde à ne rien faire paroître d’efféminé dans leurs paroles ou dans leurs actions, parce que les sentimens le
ue c’est proprement aux danses qu’on peut avec raison appliquer cette parole du psaume 2, v. 9 : Les impies marchent en tourna
e, puisque saint Ambroise n’a pas dédaigné de rapporter à ce sujet la parole de Cicéron, célèbre orateur païen ? D’ailleurs, c
26 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
r le remerciment & l’excuse que Titien lui en faisoit, il dit ces paroles  : Titien mérite d’être servi par César. Mais supp
rès avoir fait une longue description du Sacrifice d’Abraham, dit ces paroles  : « J’ai souvent jetté les yeux sur un tableau qu
pourroit y ajouter la déclamation, à cause qu’elle est le nerf de la parole , & que sans elle on ne sçauroit bien représen
bles : le Poëte peut bien en faire la description par la force de ses paroles , mais les paroles ne seront jamais prises pour la
ut bien en faire la description par la force de ses paroles, mais les paroles ne seront jamais prises pour la chose même, &
matérielle ; on répond que la main n’est à la Peinture que ce que la parole est à la Poésie ; elles sont les ministres de l’e
re, elle n’exprimera jamais aussi nettement ni aussi fortement que la parole . Je sçai bien que l’on peut attribuer à la parole
si fortement que la parole. Je sçai bien que l’on peut attribuer à la parole des expressions que la Peinture ne peut suppléer
L’on a vu plusieurs Peintres qui ne pouvant donner par le moyen de la parole l’idée de certaines choses qu’il importoit de con
frappent les yeux, que par celles qui entrent par les oreilles ; les paroles passent & s’envolent, comme on dit, & les
ité du cœur des Juges en faveur des pauvres : la raison en est que la parole n’est que le signe de la chose, & que la Pein
les choses, comme il est de l’essence de la Poésie de peindre par les paroles . Il n’est pas véritable, poursuivra-t-on, que la
27 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
désir pour elle, a déjà commis l’adultère dans son cœur. Selon cette parole de la vérité même, combien y a-t-il de gens dont
aintenant donc, mon fils, écoutez-moi, et ne vous détournez point des paroles de ma bouche : éloignez d’elle votre voie, et n’a
ion de la chasteté ; la modestie la plus exacte dans les regards, les paroles et les manières, en est le plus fort rempart. Ces
itures nous fournissent une seconde preuve contre les danses dans ces paroles du prophète Isaïe : (c. 3, vv. 16 et 17.) Parce
28 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
re faites de part et d’autre, et les danses, les excès de bouche, les paroles et les chansons libres, dont la plupart des noces
é, Saint Paul dit : (Eph. c. 5, v. 4.) Qu’on n’entende parmi vous ni paroles déshonnêtes, ni folie, ni bouffonnerie, ce qui ne
enir à l’église, afin que là leurs mariages fussent sanctifiés par la parole de Dieu et l’oraison, que leurs promesses fussent
u’en ont écrit les docteurs protestans dont je viens de rapporter les paroles , et qu’il leur reprochera que dans le sein même d
29 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
es satisfaire ? Et combien tout chrétien doit-il être touché de cette parole de Jésus-Christ : (Matth. 10, v. 26.) Il n’y a r
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
cela le troisième concile de Tolède, dont j’ai rapporté plus haut les paroles , ensuite l’article 23 de l’ordonnance d’Orléans d
’est-ce pas manquer de foi, que de ne vouloir pas s’en rapporter à sa parole , et de ne penser qu’à se réjouir en ce monde, san
31 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
d’excellents conseils, mais ses yeux avaient l’air de contredire ses paroles . Son regard m’attirait ; j’étais convaincue qu’il
ette proposition qui correspondait si bien à mon désir m’avait ôté la parole . — Eh bien ?… — Pas du tout, balbutiai-je, je vou
32 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
stes suffisent pour faire entendre ce qui se passe dans notre âme, la parole est inutile dans les drames ; & il est clair
la Pantomime est de la plus haute antiquité. Avant d’introduire la parole dans les Drames, on aura commencé par les gestes
Il est fâcheux que les Pièces de ce Théâtre ne soient pas toutes sans paroles , & que le Public ne sente pas assez le mérite
en passant, ceci peut encore servir de règle pour les Théâtres, où la parole est en usage ; car je ne prétends pas moins qu’à
mour de la Patrie, & se décide à faire poignarder son frère : les paroles sont inutiles pour exprimer tant de choses sublim
33 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
rit, s’excommunie lui-même ; et on peut justement lui appliquer cette parole du prophète Osée : Votre perte, ô Israël ! ne vi
34 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
tre de parler aux yeux par le geste, de substituer des mouvements aux paroles , de représenter par des personnages vivants des a
art, ils exécutaient par son secours ce que le poète produit avec des paroles , le musicien avec des sons, le peintre avec des c
35 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
ralement plus pur, plus répandu, plus éclairé qu’à Paris ; et que les paroles n’y sont pas plus négligées qu’en France, ou le p
e, l’empire de la musique, des décorations et des ballets : quant aux paroles , on ne les entend point et la plupart de nos chan
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action La parole n’est pas plus expressive que le geste. La Peintu
37 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
nseuse. Ils se saluèrent gravement, et le père, prenant le premier la parole , dit ces simples mots : — Monsieur le marquis, au
r, et il déclara à la jeune danseuse qu’elle avait mal interprété ses paroles , et qu’il avait de très bonnes raisons pour décli
38 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
iciarum est extrema saltatio. Le saint docteur cite à ce sujet cette parole d’un païen, qu’une personne qui n’est point ivre,
de ses auditeurs fut en effet brisé par la force et l’onction de ses paroles , à laquelle Dieu joignit l’onction intérieure de
rophètes, les écrits des apôtres et les évangiles. Mais si toutes les paroles de ces saints livres sont véritables et inspirées
trompez pas : on ne peut servir tout à la fois deux maitres, selon la parole de Jésus-Christ. (Matth. c. 6, v. 2.) On ne peut
grands péchés ? « C’est, dit-il, à cause des pensées déshonnêtes, des paroles impures, de la corruption des mœurs, et des perni
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
t rien, direz-vous. Tant pis, il faudra, cette fois-ci, me croire sur parole . Mais il me faut quitter ce beau domaine si longt
40 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
les églises et d’assister à l’office divin et à la prédication de la parole de Dieu, mais où il a encore trouvé moyen d’intro
issent être permises ? Mais de plus, si on fait quelque attention aux paroles de plusieurs conciles que j’ai cités, on a dû rem
41 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
hants : ce qui prouve que le chant est une expression distincte de la parole . Les sons que peut former un muet peuvent exprime
a son expression propre, indépendante de celle de l’articulation des paroles . Voyez Expression. La voix d’ailleurs est un inst
e autre chose que l’expression en chant du sentiment qu’expriment les paroles . Voyez Expression. Les vieillards attachés aux be
Geste, (Déclamation.) Le geste au théâtre doit toujours précéder la parole  : on sent bien plutôt que la parole ne peut le di
théâtre doit toujours précéder la parole : on sent bien plutôt que la parole ne peut le dire ; et le geste est beaucoup plus p
le geste est beaucoup plus preste qu’elle ; il faut des moments à la parole pour se former et pour frapper l’oreille ; le ges
42 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
si dimostri l’intenzione del loro animo17. » [traduction] [6] Ces paroles du grand Léonard 18 doivent être gravées dans la
r, au mime, la chaleur et l’expression que le chanteur peut tirer des paroles , et qu’il faut de plus qu’elle supplée dans le la
sse Virgilio : « Dell’aria io ben mi sovverrei se in mente avessi le parole . » Con cotesto numero o sia ritmo (che noi sogli
s, de tous les âges, de tous les temps ; elle peint même mieux que la parole , une douleur extrême, ou une joie excessive. Da
43 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
galement applicable aux danses, je crois devoir rapporter ses propres paroles en substituant les danses aux spectacles. « En vé
une joie mondaine, l’esprit de recueillement et de componction que la parole de Dieu et ses louanges auront excité ? Disons do
lise dans le temps qu’elle aura perdu son époux, conformément à cette parole de Jésus-Christ même : (Matth. c. 9, v. 15.) Les
44 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
rsonne de connaissance, et j’ai déjà soif. Un habitué , à son ami. Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi ? L’am
son ami. Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi ? L’ami. Parole d’honneur ! L’habitué. C’est drôle ? Où donc pa
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
lus avant. On peut juger de l’impression que produisirent sur moi les paroles que me rapportait mon agent. Accepter, même si M.
genre dans les théâtres de Paris ? — Non. Celle du Casino a manqué de parole . Moi, j’avais déjà engagé votre imitatrice. Et co
46 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Aduertissement. » pp. 1-3
t infiniment ma premiere resolution il me tentoit par mille flateuses paroles a la poursuitte de cest œuure, dont il protestoit
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
bien chantés, Dont les Sens étaient enchantés, MOLIÈRE avait fait les Paroles , Qui valaient beaucoup de Pistoles ; Car, en un m
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
seul secours des gestes, comme un excellent Acteur par le moyen de la parole et un grand Chanteur par les différentes inflexio
49 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
r une fille chrétienne, au titre des danses, après avoir rapporté les paroles des deux païens que je viens de citer : « Je me s
50 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
peux pas partir ; toi tu vas prendre le train pour ne pas manquer de parole aux gens de là-bas, et je te suivrai demain matin
La terrible oppression qui me martyrisait me quitta. Je perçus que sa parole n’était pas vaine, qu’il disait la vérité et que
51 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
ce de mécontenter un public qui pouvait la lancer définitivement. Mes paroles restèrent sans effet. Très lentement elle continu
as, je ne voulais pas le croire. — Eh bien, dit-il, voilà les propres paroles de la mère dès que nous fûmes dans le train : « M
52 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
indiquer, mais dans les passions il est un dégré d’expression que les paroles ne peuvent atteindre, ou plutôt, pour le quel il
aroles ne peuvent atteindre, ou plutôt, pour le quel il n’est plus de paroles . C’est alors que la danse en action triomphe. Un
53 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
oint de vue de la dévotion, semblait avoir la même importance que les paroles rituelles. Les larges burnous blancs, drapés au-d
nt l’Impératrice. Mais au moment de partir pour Pékin, elle manqua de parole . C’est moi qui fus chargé d’informer Sa Majesté q
he à l’Impératrice elle-même, en lui disant la cause de mon défaut de parole . Une femme de cœur, même si elle est impératrice,
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
la demander instamment à Dieu. C’est ce que reconnoît Salomon par ces paroles du livre de la Sagesse : (c. 8, v. 21.) Comme je
, ou même les flammes dans l’ame. Si en chantant on n’articule aucune parole , les airs qui se jouent sur les instrumens rappel
55 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
 ? a-t-elle placé avec justesse les accens propres à l’expression des paroles  ? Les couleurs brillantes de l’harmonie ont-elles
56 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
onsacré ces coups extraordinaires de la Providence » ; je me sers des paroles de M. de Voltaire. 34En jetant ainsi sur le papi
ouvons, tout aussi peu nous en passer qu’un Acteur peut se passer des paroles . Semblables aux Acteurs Anciens qui faisaient que
57 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
ir courroucé. — Demandez-le-lui, dis-je. Le monsieur me traduisit les paroles que répondit le bedeau : — Dites à cette femme de
e nous le pouvons avec les mots. Puisque c’est le mouvement et non la parole qui est la vérité, nous avons donc faussé notre s
58 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
célèbre compositeur fut sollicité par le Baron de Thoudy, auteur des paroles d’Echo et Narcisse, d’en faire la musique ; il cé
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
des hommes ; ils grimacent comme des singes. [Voir Ballet] 137. Les paroles étaient de Quinault et la Musique de Lully. Cet o
60 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
grand poète la même vénération ; la musique varie à l’infini, et les paroles , quoique toujours les mêmes, ont toujours le prix
t les tableaux de leur ensemble. La musique est à la danse ce que les paroles sont à la musique : ce paralèlle ne signifie autr
es écrites de la musique. Rien ne seroit si ridicule qu’un opéra sans paroles  : jugez-en je vous prie, par la scène d’Antonin C
r, la danse sans musique, n’est pas plus expressive que le chant sans paroles  : c’est une espèce de folie ; tous ses mouvemens
leur union et de leur harmonie. Le musicien, à son exemple, prend les paroles , il les parcourt sans attention, et, se livrant à
61 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
and Poëte la même vénération ; la Musique varie à l’infini, & les paroles quoique toujours les mêmes ont toujours le prix d
t les Tableaux de leur ensemble. La Musique est à la Danse ce que les paroles sont à la Musique ; ce parallele ne signifie autr
es écrites de la Musique. Rien ne seroit si ridicule qu’un Opéra sans paroles  ; jugez-en, je vous prie, par la Scene d’Antonin
ur, la Danse sans Musique n’est pas plus expressive que le Chant sans paroles  ; c’est une espece de folie, tous ses mouvements
ur union & de leur harmonie ; le Musicien à son exemple prend les paroles , il les parcourt sans attention, & se livrant
62 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
la Danse, c’est sans contredit un événement tragique représenté sans paroles , et rendu intelligible par les gestes. L’acquisit
r un seul signe expressif supplée souvent à un nombre considérable de paroles , resserre lui-même par sa nature la durée de l’Ac
63 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
à l’homme en même temps que la voix et le geste, en même temps que la parole et le mouvement. Les narrations bibliques sont de
r un théâtre de Paris. Le préjugé contre la difficulté de chanter des paroles françaises existait déjà ; il fallait le vaincre.
roi Louis XIII, entreprit de surmonter ces obstacles ; il hasarda des paroles françaises, qui furent mises en musique par Cambe
la cour, on joua devant le public le premier opéra français, Pomone, paroles de Perrin, musique de Cambert et ballet de Beauch
ue de Lulli, et présentent une liste de quarante-quatre ouvrages. Les paroles de toutes les tragédies lyriques que nous venons
les, dont Molière, conjointement avec Racine et Quinault, a donné les paroles  ; et Acis et Galatée, de Campistron. A quoi bon r
a devaient jouer : l’Apothéose de Beaurepaire ; le Camp de Grand-pré, paroles de Chénier, musique de Gossec ; Fabius, Horatius-
pré, paroles de Chénier, musique de Gossec ; Fabius, Horatius-Coclès, paroles d’Arnault, musique de Méhul ; la Journée du dix a
64 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
ponais. L’essentiel n’était-il pas que ces messieurs crussent que les paroles de M. Sardou avaient été transmises ?… Kawakami s
65 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
upules. Aussi je ne suis pas la femme, — on voudra bien me croire sur parole , — qui, dans le monde, apprécie le plus la valeur
66 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Preface. » pp. 5-10
; cest essay me seruira de garand que la vanité ne me donne point ces paroles , car quiconque entrera en quelque experience de s
67 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
llante douceur de votre caractère pour être certain que vous tiendrez parole . Mais si mon jeune architecte a tout profit à rec
68 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage » pp. 115-118
ait dire à Virgile « Qu’il se rappellerait bien l’air s’il avait, les paroles présentes à l’ esprit. » Avec ce Nombre ou Rythme
69 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
uvée est si profonde et si pure que j’hésite presque à la dépenser en paroles par crainte de la fausser. Car toute habileté de
70 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
rmonta en changeant la marche du poëme ; et l’on mit sur les airs les paroles qui convenoient au chant ; on en supprima et on e
71 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
tomime : on écoutoit bien le petit air, mais on n’entendoit point les paroles et les pensées délicates qui en faisoient le char
72 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
pour le salut du prochain, en sorte qu’on puisse leur appliquer cette parole de l’Ecriture, que les apôtres reconnurent (Jean,
ire en sorte que leur ame fût sauvée au jour du Seigneur. Ce sont les paroles même de saint Paul, au sujet de l’excommunication
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
ution difficile, ces mouvemens compliqués, ôtent, pour ainsi dire, la parole à la danse, plus de simplicité, de douceur et de
ez peut-être que les comédiens ont sur les danseurs, l’avantage de la parole , la force et l’énergie du discours. Mais ces dern
74 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
tion difficile, ces mouvements compliqués, ôtent, pour ainsi dire, la parole à la Danse. Plus de simplicité, plus de douceur &
rez peut-être que les Comédiens ont sur les Danseurs l’avantage de la parole , la force & l’énergie du discours. Mais ces d
75 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
. Il retint faiblement les miennes comme s’il voulait me dire quelque parole suprême, mais il ne le put ; ses traits devinrent
r et la calma autant qu’il était en elle. Mais elle ne savait pas les paroles d’amour et de foi qui apaisent et relèvent. Elle
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ment heureux, dit Gentz dans son billet d’envoi, si, sans ajouter une parole de remerciement, chose contre laquelle je protest
m’écriai : Rien ne me séparera de toi ! « Quant à elle, elle dit des paroles merveilleuses, tendres et douces, comme jamais je
, me suivront à chaque pas que je ferai ; mais, par contre aussi, tes paroles tendres et fortes auront partout et toujours un é
gronder ou de railler ce grand enfant. Cette fois, elle n’eut pas une parole de blâme. Au contraire l’accueil affectueux, vrai
on qu’elle traduisit librement, sans craindre d’aviver encore par ses paroles enthousiastes la flamme qui dévorait le vieillard
reconnaissance et l’amour », comme disait Gentz à Rahel. Laissons la parole à Betty Paoli : « Selon moi, c’est la reconnaiss
ec la belle danseuse Fanny Elssler. Le duc ne lui a jamais adressé la parole . Ce racontar est né de ce fait que l’on a vu plus
77 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
-huit diplomates. Et il obtient tout cela sans cris, sans colère sans paroles dures. En les payant fort mal et quelquefois en n
78 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
t, un collaborateur anonyme de M. Buloz saluait cet événement par ces paroles joyeuses : « Un vent de bénédiction a soufflé l’a
esques, ou bien des personnalités en vue prononcèrent à son sujet des paroles remarquables. Ce sont les plus caractéristiques d
soudains, changeants, puissants de ta blanche personne sortaient des paroles pleines de lumière, d’harmonie, d’enchantement. C
ipaux rôles. Elle a vaincu toutes ses rivales, disait l’auteur, et la parole humaine est incapable de dire tous ses mérites.
érites. Vinte hai tutte ! — Non ha la favella Tua virtude a ridir le parole  — E la voce sul labro si muor ! De Florence, où
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
r celle que M. de Genevois reçut de Madame de Guise un Arion avec ces paroles  : Populi super at prudentia fluctus. Le peuple
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
eul. Peu à peu mon cœur alla à lui sans que nous cussions échangé une parole . Je ne savais pas qui il était et je ne pensais n
81 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
es exprimées sans langue ; il faut qu’elles aient, toute la force des parole et l’expression de la nature, car la pantomime a
82 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
Adèle, le charge d’outrages ; il l’accuse de félonie en manquant à sa parole . Cette injure, la plus sensible que l’on pût fair
83 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
aire ; si vous voulez des baisers, vous en aurez, et aussi de tendres paroles , et dans votre main vous aurez une main vivante,
seule aile. — Et cependant la voilà qui se laisse attirer aux douces paroles du jeune homme ! Elle obéit au charme qui l’attir
84 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
rations pour les malheurs de l’âme. Une blonde n’a jamais résisté aux paroles suivantes : « Quand vous recevrez cette lettre, c
85 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
les gestes d’un monologue, et se retira sans avoir proféré une seule parole . Cet Empereur avoit sans doute étudié les gestes
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
r le quel il est assis s’enflamme, et on lit en caractères de feu ces paroles  : Admète, va perdre la vie, Si quelqu’un ne s’im
87 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
dénommée par un ancien beau, lui répondait dernièrement : — Eh bien, parole  ! je ne vous aurais jamais donné cet âge-là ! ***
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
guer le public. Elle prit l’habitude de jeter par-dessus la rampe des paroles françaises, allemandes, anglaises ou espagnoles,
ée d’enthousiasme, c’est une nation tout entière. » Il n’y a dans ces paroles aucune exagération. Le voyage de Fanny Elssler ag
e sa place et adressa à Fanny, qui s’était avancée vers la rampe, des paroles de remerciements avec le souhait que la Fortune l
olle de joie, reprit l’enfant, le cacha dans un fichu et prononça ces paroles avec une emphase et un lyrisme qui contrastaient
89 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
ntez-vous pas qu’elle (la danse) est l’acte pur des métamorphoses ? » Paroles admirables ! Car, en écartant sévèrement l’erreur
ns l’espoir de bien dire, il tourne son billet à la marquise avec des paroles « bien arrangées comme il faut » : c’est de même
90 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
nter le premier et, au besoin, si j’en avais le courage, de porter la parole . Nous arrivons au nombre d’une trentaine (d’autre
n fin s’il me la prend. » Quand je lui demandais l’explication de ces paroles mystérieuses, il me répondait : « Ça ne te regard
91 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64
iver. Conséquemment un ballet bien fait peut se passer du secours des paroles  : j’ai même remarqué qu’elles refroidissoient l’a
92 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ça ne finit pas ; mais c’est égal, le public donnera dedans. Hélas ! parole de ministre n’est point parole d’évangile. Le pub
al, le public donnera dedans. Hélas ! parole de ministre n’est point parole d’évangile. Le public ne donna pas dedans.« Il re
eur, je vous suis obligé… Est-elle jolie, mon Dieu, est-elle jolie !… Parole sacrée ! on n’est pas jolie comme ça !… Sophie ap
93 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
ns champêtres. Le premier homme qui eut l’idée heureuse d’adapter des paroles au chant fut sans contredit le premier versificat
94 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
séquemment un Ballet bien fait peut se passer aisément du secours des paroles  ; j’ai même remarqué qu’elles refroidissoient l’a
95 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
st juste. Mais l’orchestre n’y verra rien. Je m’en charge. Roger tint parole  : Le soir de ce bal déc… olleté, il amena au doct
ès utile à l’Opéra pour diriger la conduite de ses compagnes, prit la parole , et, s’adressant aux envieuses de mademoiselle Le
96 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
t dans un ballet beaucoup de spectacle et d’action pour suppléer à la parole , beaucoup de passions et de sentimens ; et qu’il
ivent parler au cœur par les yeux ; l’un et l’autre sont privés de la parole  ; l’expression des têtes, l’action des bras, les
97 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
vellent chaque jour dans une ville riche et immense, Garrick avoit lu parole , et. obtenoit les suffrages. Renonçant à son séri
98 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
e peut s’empêcher d’être émue et va lui adresser quelques consolantes paroles en l’assurant de sa protection. Mais, hélas ! la
e l’espoir de prendre sa revanche, Cléofas se voit réduit à jouer sur parole , lorsque, fort heureusement, Dorotea propose à la
99 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
h me remercia comme elle remerciait la foule, en m’inondant de belles paroles . Le lendemain matin l’entreprenant directeur du t
100 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
u tout. De midi à trois heures, en effet, je n’entendis pas une seule parole franchir le seuil de ses lèvres. A table, je dema
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