sconsulte contre les Danses. Le célèbre jurisconsulte dont je veux
parler
, c’est M. Louis de Héricourt, connu par son bel o
s lois ecclésiastiques mises dans leur ordre naturel. (Voici comme il
parle
dans la chapitre 10 qui traite des fêtes, des rel
endues ces jours-là, sans aucune restriction ; et, s’il est seulement
parlé
de danses publiques, c’est que les juges à qui il
t à cet égard l’exercer que contre les délits publics.) Ecoutons donc
parler
M. de Héricourt. « Les Fidèles, dit-il, doivent
qu’on manque de respect pour l’Eglise même que, dans les conciles, a
parlé
si clairement et si fortement contre les danses ?
en des ames ? Les évêques assemblés dans les conciles dont nous avons
parlé
, n’étoient-ils pas les supérieurs légitimes des F
tout commerce extérieur lui devenait impossible de ce fait qu’elle ne
parlait
que japonais. Ce n’était en somme que pour me fai
ateur. Je me demandai comment il arriverait à se tirer d’affaire sans
parler
du tout. De midi à trois heures, en effet, je n’e
e façon qui lui est particulière, et répondit : — Oh non ! Mais il ne
parle
jamais beaucoup. Alors, croyant la glace rompue,
e ne réponds plus de moi. M. Prudhon, toujours grave, s’inclina et ne
parla
pas davantage. Cette boutade, qui ne l’avait même
emarque produirait sur lui. Elle n’en avait produit aucun. Puisque je
parle
de ce secrétaire, je crois devoir lui consacrer q
toujours par l’entremise de ma jeune et élégante secrétaire. Mais, à
parler
de mes mésaventures, j’oublie mon déjeuner chez l
. Et elle se plaignait de ne plus pouvoir lire sans lunettes !… Nous
parlâmes
de ses petits-enfants et de ses arrière-petits-en
sa de nombreuses questions que j’essayai d’éluder, pour n’avoir pas à
parler
de moi tout le temps. Figurez-vous donc mon étonn
e pas et qu’elle vient de renouveler encore à l’Hippodrome. Mais elle
parle
plus volontiers de philosophie que de théâtre. Ga
retie. Il y avait là quantité de gens aimables, et Mme Claretie ayant
parlé
de cette idée de « Souvenirs » que son mari désir
t pas ainsi. Sur quoi, le jeune chef d’orchestre repliquait : — Ne me
parlez
pas des théâtres subventionnés, on y est bien plu
ant obéir comme le font les vrais chefs, en donnant aux ordres le ton
parlé
de la prière. — Voulez-vous avoir la bonté de don
veté absolue des gens pratiques (défiez-vous, au théâtre, de ceux qui
parlent
trop), ces deux femmes menaient la répétition com
essoires. » Ce soir-là, entre deux essais, M. Claretie m’avait encore
parlé
de mon livre, et, à tout prendre, c’est grâce à s
à Paris. Je trouvai ma mère plus malade, et je priai le docteur de ne
parler
de moi à personne. Deux jours durant, je me cacha
res du matin et nuit close. Le conducteur ignorait l’anglais et je ne
parlais
aucune autre langue. Je ne parvenais pas à lui fa
Christ et son sourire cauteleux. J’allai à lui, et lui demandai s’il
parlait
un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il
il parlait un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il essaya de
parler
français, puis allemand, mais je n’entendis pas c
et « malade » en allemand. Il étendit la main pour me dire de ne pas
parler
pendant un instant. Il ferma les yeux et je le re
ut irait bien. Bientôt il me quitta et je compris, à sa manière de me
parler
; qu’il essayait de me donner du courage et de l’
enez ! Dans la voiture il me recommanda : — Entrez dans la chambre et
parlez
à votre mère comme si vous ne l’aviez jamais quit
is lors, je ne suis jamais retournée en Russie, car chaque fois qu’on
parlait
d’un voyage là-bas ma pauvre mère tremblait d’épo
ion : Défendre les Danses, c’est peine perdue. On a beau écrire et
parler
fortement contre les danses, on ne viendra jamais
pareil raisonnement ? Si on le suit, il ne faudra pas plus écrire ni
parler
contre les juremens, les ivrogneries, les impudic
les meilleurs sermons ? En pourroit-on conclure qu’il est inutile de
parler
fortement contre les vices, et qu’il faudroit se
séquence très-fausse que de conclure qu’il est inutile d’écrire ou de
parler
contre les danses, parce que, quelque chose qu’on
t de ce travail dont nous ne sommes pas les maîtres. Ceux qui doivent
parler
sont coupables quand ils se taisent ; mais ils ne
t coupables quand ils se taisent ; mais ils ne le sont pas lorsqu’ils
parlent
à des morts. Le ministre, chargé de planter et d’
llègue. L’ami. Ah ! Marguerite la huguenote ? je la connais ; on en
parle
dans l’Indépendance belge, même que cela scandali
Quelles sont ces femmes ? Les célèbres danseuses dont nous venons de
parler
, probablement. Décidément ce bal est trés-galant
vent de café. Alice. Vois-tu, mon petit, ici faut te déshabituer de
parler
comme tu parles… C’est pas convenable, ça humilie
Alice. Vois-tu, mon petit, ici faut te déshabituer de parler comme tu
parles
… C’est pas convenable, ça humilie les autres. L
les… C’est pas convenable, ça humilie les autres. L’ami. Mais je ne
parle
pas mal, je crois.. Alice. Comment que tu t’app
s éducations. Alice. Oui, on y prend de l’aplomb. Tiens, moi qui te
parles
, il y a six mois, avant de venir ici, j’étais plu
venir. 1. Je prie le lecteur de remarquer que ce n’est pas moi qui
parle
— en ce moment. Je ne suis qu’une simple historie
e qui a fait dire à Plutarque que le Balet est une Poésie muette, qui
parle
; parce que sans rien dire, il s’exprime par les
r les gestes & par les mouvemens : c’est ce qui s’appelle sçavoir
parler
aux yeux, & toucher le cœur par des expressio
er toutes les couleurs que les Naturalistes ont remarquées ; que tout
parle
en lui ; que ses yeux, ses gestes, ses pas, sa mi
loquence, qui semblent mettre sous les yeux les choses dont l’Orateur
parle
. Il y en a, dit Plutarque, qui ne dansent que pou
vautour, & le dernier mis en piéces par les Bacchantes. Tertulien
parle
encore de ceux que l’on condamnoit à paroître ave
ter la mort d’Hercule : & au Traité qu’il adresse aux Martyrs, il
parle
de ceux qui se louoient aux Pantomimes pour porte
n ne peut porter plus loin la perfection de la danse Théâtrale ; sans
parler
d’une infinité d’autres qui charment les spectate
héorie d’art pour la faire admettre par un public d’artistes. Je vous
parle
. Moi Vous ne faites que parler ? Prenez garde !
ttre par un public d’artistes. Je vous parle. Moi Vous ne faites que
parler
? Prenez garde ! Avec quatre pas, Régina B. en di
ts, je me disais : « Ce n’est pas ça, la danse. » La Danseuse Et pour
parler
votre langage : « Qu’est-ce que c’est, la danse ?
eur exotisme. Vous n’aimez point les danses françaises parce qu’elles
parlent
notre langage et n’ont pas de mystère pour vous ;
Mme Rubinstein. Ne dites pas non. Moi Je ne dis pas non. Mais que me
parlez
-vous de Russie à propos de Mme R. ? Elle n’a jama
était morte ailleurs et qui ne vivait plus que par lui seul. Vous me
parliez
tout à l’heure d’une toccata de Bach… Mais quoi d
dont nous voudrions la trouver éprise. À propos de danses, je vous ai
parlé
de Wagner, de Victor Hugo et de M. Ingres parce q
toujours enchanté les yeux Des spectateurs jeunes et vieux ; Et, sans
parler
par complaisance, On la tient la fille de France
ar quand je vois que l’on excelle En quelque art, ou profession, J’en
parle
avec affection, Et ce fut toujours ma coutume D’e
, délicat, spirituel, galant et possédant le rare et souple talent de
parler
de tout, sans jamais se compromettre : M. Chéramy
es pas de là. Il nous fit comprendre, par signes, qu’il désirait nous
parler
, loin des autres. Nous nous glissâmes dehors pour
stances qui avaient entouré la gestation de ses chefs-d’œuvre ; il en
parlait
comme un homme de cœur et comme un critique d’art
vint à Paris, et un ami commun me l’amena. Entre autres choses il me
parla
de la fameuse collection de M. Groult que personn
est un peintre de la Nature. Puis il montra les bois pétrifiés, et en
parla
, avec quelques variantes, comme il en avait parlé
is pétrifiés, et en parla, avec quelques variantes, comme il en avait
parlé
la première fois devant moi. Finalement, il dit à
al, surtout les personnes dont ils sont chargés ! Est-ce ainsi qu’ont
parlé
des danses les saints qui nous ont précédés ? et
rce ils se sont élevés contre elles ? Ils ne se sont pas contentés de
parler
, mais ils ont agi, et ils n’ont pas craint, pour
jour de saint Pierre, prêchant dans une paroisse proche de Noyon, il
parla
fortement contre les danses et les autres jeux qu
ncore enfoncés dans une profonde mort. Les saints pères ont fortement
parlé
contre les mères qui, pouvant nourrir leurs enfan
un sermon de ce père sur l’endroit de saint Mathieu, c. 25, où il est
parlé
du serviteur paresseux, qui fut condamné pour n’a
vous regarde pas. Vous ne pouvez le faire du lieu élevé d’où je vous
parle
, mais vous le pouvez quelque part que vous soyez.
parle, mais vous le pouvez quelque part que vous soyez. Lorsqu’on ne
parle
pas de Jésus-Christ avec le respect qui lui est d
nt acquise ses ouvrages qui ont été si bien reçus du public : je veux
parler
de M. Rollin, ancien recteur de l’université de P
éprisable. Voilà, ce me semble, à quoi doit tendre l’exercice dont je
parle
; et j’ai vu avec joie des maîtres à danser de la
e où se trouve la véritable félicité. Vous trouverez peut-être que je
parle
trop hardiment, et que j’oublie cette retenue et
de posséder en perfection les qualités et les moyens dont je viens de
parler
; on n’exige pas d’un danseur de demi-caractère o
ion que l’on veut trouver dans le danseur héroïque. L’artiste dont je
parle
, doit se distinguer en tenant la partie supérieur
ges68. [7] Les autres danseurs de caractères comiques, dont j’ai déjà
parlé
, s’étudieront dans les pas caractéristiques. Ils
ion des vrais principes de l’art. Dans l’un des journaux de Paris qui
parlait
de mes débuts à l’Académie royale de musique, dan
i que dans cet ouvrage lorsqu’il est question de monsieur Vestris, je
parle
toujours (excepté dans la note (I), p. 79, où je
ut est confondu, jusqu’aux mots propres à désigner les objets dont on
parle
. Ces auteurs ne se sont attachés qu’à peindre les
au milieu des personnes qui assistoient à son audience ; mais il leur
parla
sans langage articulé, et s’exprima avec des gest
du jugemcut de Paris, éxecutée par des pantomimes, qui jouoient sans
parler
; lorsque cet auteur parle des mimes, il emploie
tée par des pantomimes, qui jouoient sans parler ; lorsque cet auteur
parle
des mimes, il emploie le mot incedere, qui signif
it que cette déesse ne dansoit que des yeux. Quintillien, après avoir
parlé
de l’estime et de 1’amitié que Cicéron avoit pour
pour le public. Il faut convenir que les auteurs anciens n’ont jamais
parlé
des jambes de leurs pantomimes, ni de leurs élans
e du chant, et jusqu’à un certain point le dialogue même. Dès qu’elle
parle
au sentiment, toute musique est lente. Au contrai
des recettes au retour du marché. » Mais Shakespeare sourit, et fait
parler
Caliban. La science a raison dans son ordre, comm
une vieille biche. — Mesdames Rose, Gérard et Flore. — Pourquoi je ne
parle
point de leur vie privée. — La vérité sur leur mo
. I Les Délassements-Comiques, ou plutôt les Délass’ Com’, pour
parler
correctement, sont aux autres théâtres parisiens
car, le crois que Sari les magnétise ; quand il se présente, quand il
parle
, la plus indomptée baisse la tête, devient douce
duel pour ses charmes. — Ça me posera, disait-elle, j’ai besoin qu’on
parle
de moi, et puis toutes les jolies femmes doivent
leur plaisir. Quant à leur vie privée, je m’empresserai de n’en point
parler
. J’aurais trop peur que ce que j’écris aujourd’hu
c peine que toute conversation entre nous était impossible, car il ne
parlait
que le français, et nous ne parlions que l’anglai
nous était impossible, car il ne parlait que le français, et nous ne
parlions
que l’anglais. Avec force pantomime et beaucoup d
je débutai aux Folies-Bergère et qu’un monsieur élégant demanda à me
parler
, avec son ami le ministre des Finances de Haïti,
nt comme des frisées. Dumas avait presque deux voix, deux manières de
parler
: celle qu’il employait pour les choses banales,
a vie entière. Un jour, toujours avec M. Poulle pour interprète, nous
parlions
de la Dame aux Camélias et du Demi-Monde et de l’
iles de pigeon, cabrioles, pas de jarret, entrechats, etc. etc. Je ne
parlerai
pas non plus des figures de la plupart des contre
, la valse, l’allemande, plusieurs sortes de contredanses, etc. Je ne
parlerai
pas des danses étrangères, telles que la Monferin
en expression trente vers, voyez Récitatif [Article de Rousseau]. On
parle
ici pour les chanteurs qui possèdent le mieux le
ue le débiter. Une actrice qui n’est plus, et dont on peut maintenant
parler
sans scrupule, parce que la vérité, qui ne saurai
ugent s’il est possible qu’elle débitât. Mais comme l’actrice dont on
parle
était supposée débiter, en conséquence de cette p
s’y faire. Les étrangers cependant arrivent de sang-froid, nous leur
parlons
de notre opéra, et ils y courent ; mais ils ouvre
y entendent rien de ce que nous croyons y voir et y entendre : ils se
parlent
, nous examinent, nous jugent, et prennent pour dé
qu’on ne sait quel nom leur donner. Je dois au surplus avertir que je
parle
ici, 1° des voix en général : il y en a de plus é
de à l’égard d’une voix très précieuse que nous avons perdue. On veut
parler
ici de celle du sieur Lepage, qu’on disait tout-h
la mémoire sont les chevilles ouvrières de la machine qui agit et qui
parle
. Baron avait le geste du rôle qu’il jouait : voil
sublime de l’agitation de l’actrice ; c’est la passion elle-même qui
parle
, qui me trouble, et qui fait passer dans mon âme
entiments que son beau désordre me peint. (B) Gras Gras, s. m.
parler
, chanter gras, défaut qui vient plus souvent de l
grammaire de Restaut, sur la lettre R. Il est rare que les enfants ne
parlent
pas gras, il est rare aussi qu’avec des soins on
et dans le chant, surtout dans celui du théâtre. Voyez Grasseyer. On
parle
gras, on chante gras, lorsqu’on donne le son r co
grasseyent, sonne comme le mot grâce ou trace dans celle des gens qui
parlent
ou chantent bien ; et au lieu de dire carillon, g
uestion du chant, le grasseyement est encore plus vicieux que dans le
parler
. Le son à donner change, parce que les mouvements
tastrophe. La Musique est essentielle aux Pantomimes : c’est elle qui
parle
, nous ne faisons que les gestes ; semblables aux
que nous voulons exprimer, plus nous nous rendons intelligibles. J’en
parlerai
plus amplement dans une autre occasion. Gaspar
ls sont ordinairement bien mieux écoutés et plus suivis, parce qu’ils
parlent
conformément aux désirs déréglés et aux passions,
de la nature corrompue, et qui les combattent. En effet, s’agit-il de
parler
en faveur des passions ? La plupart croient en sa
e me rendit le courage prêt à m’abandonner. Le vieux s’était arrêté à
parler
dans le couloir avec un employé. La jeune fille s
ec un accent italien exagéré : « Nous sommes étrangers et ma fille ne
parle
pas assez le français pour vous répondre. Je vous
s sans attendrissement. Quand il se sentit au plus mal, il voulut lui
parler
, mais il n’en eut pas la force, et ne put que lui
son père ; c’est du moins ce qui me fut raconté dans l’hôtel, où l’on
parlait
d’elle avec autant d’estime que d’intérêt. A prés
ain et ajouta à voix basse : — Ne prononcez pas mon nom. Puis-je vous
parler
sans qu’on nous écoute ? Je répondis en l’invitan
erté de ma vie que ce sentiment-là ! Puisque vous allez le connaître,
parlez
-lui de moi quelque jour, à l’occasion, et dites-l
sur le chemin attendre l’arrivée du maître, et je priai Mlle Fiori de
parler
. — Je suis, me dit-elle, une enfant trouvée aband
son offre, c’est la promesse qu’il me fit de m’habiller, et comme il
parlait
de m’acheter une robe neuve, je lui déclarai que
ais lieu de me maltraiter. A la moindre distraction de ma part, il me
parlait
durement, ne m’épargnait pas les gros mots et me
rmes. Tout à coup il ouvrit les yeux et rencontra les miens. Il ne me
parla
pas, mais il ouvrit sa main comme cherchant la mi
prit-il ; quand vous êtes là, je me sens mieux. Il ne fallait plus me
parler
d’aller danser le soir. On dut changer le spectac
ne pas ses effets aux éclats insignifians d’un vain bruit, mais qu’il
parle
la langue des passions, qu’il peint et qu’il expr
ns la fête des victoires, que c’étoit à ces deux sens qu’ils devoient
parler
. Ils ont encore oublié qu’ils ne devoient opérer
ût fallu en doubler, au moins, l’élévation ? mais j’ai oublié de vous
parler
des figures allégoriques de la liberté et des deu
et des deux renommées, sans doute la bonne, et celle dont Voltaire a
parlé
. Ces figures quoique plus grandes que nature, ne
n on pourrait en faire une Tragédie comme celle des Grecs, en faisant
parler
mes personnages, et en substituant des Cœurs de M
tacles ; mais c’est justement alors qu’on tombera dans le défaut dont
parle
Horace2 au commencement de l’Art poétique. « Vou
’indifférence des Spectateurs pour des Personnages inconnus. Quand je
parle
d’êtres fantastiques, on voit bien que ce n’est p
munément appelées de demi-caractère. Autant la danse dont je viens de
parler
s’approche de la Grotesque, autant celle de demi-
eurs, qui sont le langage avec lequel l’horreur, la pitié, la terreur
parlent
au-dedans de nous, et nous secouent au point de p
re qu’il est difficile de versifier le plan d’une tragédie, tout doit
parler
dans cette musique : elle doit nous aider à nous
manger le morceau. V Cependant je ne résiste pas au plaisir de
parler
de quelques-unes de ces dames. De mademoiselle Fi
yeux de ses amants, passe pour une femme à double face : la femme qui
parle
et la femme qui écrit. J’en ai vu qui pleuraient
is, me fit le brouillon d’une épître échevelée. Dans cette lettre, je
parlais
du ciel bleu, du lac d’azur, des étoiles et de la
ns Finette, si vous voulez bien : j’en ai déjà trop dit sur elle ; et
parlons
d’une autre camarade à moi plus digne de la publi
doit point passer sous silence. — Ces femmes, disait-elle, pour faire
parler
d’elles, sont capables de tout, même de devenir d
a danse acquiert un caractère de vie, qui la rend intéressante ; elle
parle
, elle exprime, elle peint les passions et mérite
ne prétends pas, Monsieur, me donner un air scientifique ; je veux en
parler
par goût, par sentiment et comme un amant passion
nt et comme un amant passionné et ébloui des charmes de sa maîtresse,
parle
d’elle avec enthousiasme. Les Savans, dit Quintil
ation de là nature, qui est l’âme des beaux arts. Il est tems de vous
parler
des deux obstacles, qui m’ont arrêté ; ils font m
n’est ni sourd, ni muet, voudroit-il se soumettre à les fréquenter, à
parler
sans langue, et à entendre sans oreilles ? Fatigu
n’est donc autre chose que la pantomime. Tout doit peindre, tout doit
parler
chez le danseur ; chaque geste, chaque attitude,
nseurs qui commencent ne confondent pas cette pantomime noble dont je
parle
, avec cette expression basse et triviale que les
appans et variés de la physionomie. Les bras d’un danseur auront beau
parler
, si son visage ne joue point, si l’altération que
oix doivent être touchantes ; c’est toujours au cœur qu’elles doivent
parler
; le langage qui leur est propre est celui du sen
plus de variété et d’expression dans les bras ; je voudrois les voir
parler
avec plus d’énergie : ils peignent le sentiment e
et d’accablement : c’est au visage seul à peindre ; c’est aux yeux à
parler
; les bras mêmes doivent être immobiles ; et le d
ux pas ; il faut que l’ame, la physionomie, le geste et les attitudes
parlent
toutes à-la-fois, et qu’elles parlent avec autant
omie, le geste et les attitudes parlent toutes à-la-fois, et qu’elles
parlent
avec autant d’énergie que de vérité. Le spectateu
n’est donc autre chose que la Pantomime. Tout doit peindre, tout doit
parler
chez le Danseur ; chaque geste, chaque attitude,
seurs qui commencent ne confondent pas cette Pantomime noble, dont je
parle
, avec cette expression basse & triviale que l
physionomie. Les mains d’un Danseur habile doivent, pour ainsi dire,
parler
; si son visage ne joue point ; si l’altération q
voix doivent être touchantes, c’est toujours au cœur qu’elles doivent
parler
; le langage qui leur est propre est celui du sen
us de varieté & d’expression dans les bras ; je voudrois les voir
parler
avec plus d’énergie ; ils peignent le sentiment &
mp; d’accablement : c’est au visage seul à peindre ; c’est aux yeux à
parler
; les bras même doivent être immobiles, & le
pas ; il faut que l’ame, la physionomie, le geste & les attitudes
parlent
toutes à la fois, & qu’elles parlent avec aut
le geste & les attitudes parlent toutes à la fois, & qu’elles
parlent
avec autant d’énergie que de vérité. Le Spectateu
u mes quatre sous ! revue jouée à mes chers Délassements-Comiques, on
parlait
d’un nommé Alcibiade, qui s’était fait un nom en
parfaitement réussi. Je suis un peu sans façons avec vous, et je vous
parle
le pied en l’air, cela tient à ce que je suis sûr
ude qui enchaîne mes idées et met ma mémoire à la torture. Je ne vous
parlerai
point, Madame, des directions des Bontemps, des B
’a été impossible d’y mettre du couleur de rose. Après-demain je vous
parlerai
de la marche monotone de l’opéra, des sujets qui
qui ont été chacun dans leur temps les organes de l’Eglise, ont tous
parlé
avec force contre les danses. Le premier dont je
t dans ces dernières tous les traits de ressemblance avec celles dont
parle
le saint docteur ? Les filles ne s’y exposent-ell
est un des pères de l’Eglise qui a le plus souvent et plus fortement
parlé
contre les danses. Il le fait d’abord en expliqua
Nous dirons dans la suite qui est ce païen, et à quelle occasion il a
parlé
de la sorte.) Puis il fait cette réflexion : Ibid
anquer de s’y élever contre les danses ? Voyons en quels termes il en
parle
(Edit. de Cologne, pag. 107 et suiv.). « Qui jama
à des chrétiens de rechercher les divertissemens dont nous venons de
parler
: Si Dei hæc sint verba, et vera et divinitùs in
ri, et ibi cum angelis psallere. » Après avoir entendu saint Ephrem
parler
si fortement contre les danses, et alléguer de si
fense ne doivent-ils pas être pour toujours réduits au silence, ou ne
parler
que pour reconnoître humblement l’erreur où ils o
ces conciles. Dans le troisième, (part.1. des actes, p.69) où il est
parlé
de la manière de célébrer les fêtes des saints, l
n jour de fête ; mais nous avons vu avec quelle force saint Charles a
parlé
contre les danses en général, et quelle effroyabl
nt ne pas insister sur la perfection où cette danseuse atteint ? J’ai
parlé
dernièrement des qualités de son exécution gymnas
l’Opéra, été trois ans Polichinelle et deux ans Singe ? Avec cela (je
parle
d’Idzikovsky) peu ou point de qualités plastiques
urir par excellence, Les Arts, les Lettres, et la Science : Mais pour
parler
sincèrement De ce beau divertissement, Il était r
maines, Et dont, par curiosité, Tu peux voir les noms à côté. Je ne
parlerai
point du reste De ce Ballet pompeux et leste ; On
son Lycée. Comme ma mère ne pouvait pas comprendre de quoi il voulait
parler
, je me levai du tapis sur lequel j’étais assise a
eures seulement, pour apprendre le rôle. Le dimanche dont je viens de
parler
, ma mère ressentit la première commotion nerveuse
is ceci, quelques jours avant sa fin, je pouvais l’entendre remuer ou
parler
, car elle était dans la chambre voisine où deux g
c, entendu de nous. Pour le reste, c’est autre chose, Toutefois, si
parler
j’en ose, Je ne saurais faire autrement Que jaser
’admirateurs. Ô Chers Lecteurs, dans ces Vers nôtres, Je ne saurais
parler
des autres, Qui firent, toutes, grand effet ; Mai
is infiniment ravissants ; Voilà, donc, une affaire close, Et je vais
parler
d’autre chose. 22. Bouti. 23. Imprimeur du Ro
à elles, si cela arrive ! Un grand mal en excuse-t-il un moindre ? On
parle
dans l’objection comme s’il y avoit à choisir ent
’entendre, est de l’homélie 37 sur saint Matthieu. Le saint docteur y
parle
en ces termes contre les spectacles : (tom. 7, p.
esse. Voyant les Romains passionnés pour les spectacles, et entendant
parler
des plaisirs qu’ils y alloient chercher, les Barb
aux pharisiens qui leur en avoient donné l’ordre : Jamais homme n’a
parlé
comme cet homme. Il parle néanmoins avec une tou
avoient donné l’ordre : Jamais homme n’a parlé comme cet homme. Il
parle
néanmoins avec une toute autre douceur, lorsqu’il
prouve encore un peu de décadence, & l’on cessera tout-à-fait d’y
parler
. Les progrès de l’esprit humain seront alors à le
es Lemi**, les du Bel**, les de Ros** gagneraient, si l’usage dont je
parle
était adopté de leur vivant ! Mais pourquoi ne le
e ne suis auprès de vous qu’un petit Ecolier ; cependant je vais vous
parler
en Maître. Vous rirez de ma folie ; n’importe : m
’on oublie le plaisir d’aller voir des gens qui se font entendre sans
parler
, qui découvrent par leurs gestes les passions qui
ien que vous m’en saurez bon gré ; quant à ces personnes dont je vous
parle
, je suis bien fâché de ne pouvoir les satisfaire
froideur & sans lieux communs, remplies de situations rapides qui
parlent
aux yeux, & mettent à l’instant le Spectateur
mimes . Le goût qu’ils ont pour les singuliers Drames dont je vous ai
parlé
plus haut, & sur-tout pour l’Opera-bouffon, a
Pantomimes à machines. Note du grand Sauteur. 4. Peut-être veut-on
parler
ici de quelques Préfaces de MM. Quétaut & Sed
ie Se pouvaient nommer, sur ma foi Un divertissement de Roi : Mais, à
parler
en conscience, J’eus bien besoin de patience : Ca
ul de ses salons de la rue Buffaut qui soit réellement digne d’étude.
Parler
de lui, c’est parler de sa maison. IV Tout
a rue Buffaut qui soit réellement digne d’étude. Parler de lui, c’est
parler
de sa maison. IV Tout le monde sait que ce
cles élogieux. C’est un chasseur de réclames. Et cela lui réussit. On
parle
presque autant de lui que de moi. VI Il n’e
à coup un mouvement se fit à la porte, le contrôleur vint tout joyeux
parler
à l’oreille de Markouski, dont le front se dérida
e. Le Seigneur joué jetait feu et flammes, et le parti de Bathylle ne
parlait
de rien moins que de brûler le Théâtre de Pylade,
ait aux armes. Auguste fit revenir Pylade, et le tumulte cessa. On ne
parla
plus de lois, d’injustice, de tyrannie. Ce ne fur
e profonde des hommes, et de l’art de les gouverner. Le plan, dont je
parle
, devait couler nécessairement de ces deux sources
t prise pour une de ses anciennes amies. — Je sais de qui vous voulez
parler
, répondis-je, mais je ne suis pas Mollie Fuller.
is pas à comprendre, je retournai à l’hôtel en question et demandai à
parler
au directeur. En me voyant il fut stupéfait. — Ma
n nom !… Pour mémoire, j’ajoute que la choriste américaine, dont j’ai
parlé
tout à l’heure, vint à Paris, et qu’un beau jour
le s’affirme librement. Mais au fait, librement n’est qu’une façon de
parler
. Dans les ballets, tels qu’on les donne aujourd’h
référons, pour le moment, sa Cléopâtre. À maintes reprises nous avons
parlé
ici-même des mérites de ce sujet qui sont évident
qu’elle soit Péri ou Salamandre ? Car on ne badine pas avec la danse.
Parler
de Mlle Lorcia sans citer Mlle Roselly, quel para
es moyens que ie tais, & desquels ceux qui les sçauent ne peuuent
parler
qu’à sa confusion. En fin la longueur du temps no
eux ou trois sortes de reuerences, & de cela nulles nouuelles, ne
parler
que des trois premiers bransles fort legerement &
in. Le ballet cambodgien. J’ai vu les Cambodgiennes, il sied que je
parle
d’elles — et me voilà tout penaud, pauvre que je
s, pensives, sereines. Mais, encore une fois, je ressens un malaise à
parler
, au courant de la plume, de ces choses élaborées
, Avec extase, avec liesse, J'en puis, ceci, mettre en avant, Et j’en
parle
comme savant. 141. Les Sieurs Hubert, du Crois
Lettre XV. Je vais avoir l’honneur de vous
parler
, Madame, des danseurs et des danseuses, qui depui
èrent les bien faits de la cour et l’estime des grands. J’ai à vous
parler
encore d’une danseuse charmante, la Dlle. Théodor
a tout ce qu’il faut pour en avoir et pour se les attacher. Je vous
parlerai
enfin des rares dispositions de Gardel, (actuelle
ans un accès de frénésie, qu’il devrait être tranquille. La Pythie ne
parle
plus de nos jours ; ou si elle ose parler, c’est
tre tranquille. La Pythie ne parle plus de nos jours ; ou si elle ose
parler
, c’est la voix qui crie dans le désert. Tout le m
Mais mon esprit se remémore, Qu’étant à Paris de retour, Lors que je
parlai
, l’autre-jour, De ce Ballet que tant on prise, J’
sent pour autant de merveilles : Mais n’en ayant vu qu’un essai, Bien
parler
encore je ne sais ; Si lundi l’on me fait la grâc
temps de l’ancien auteur du traité sur les spectacles, dont j’ai déjà
parlé
, plusieurs cherchoient dans les saintes Ecritures
l’Ecclésiaste ; n’a nullement pensé aux danses ; mais il a seulement
parlé
d’une manière historique de ce qui se passe conti
serai méprisable à mes propres yeux et devant les servantes dont vous
parlez
, et même j’en ferai gloire. Une danse où l’on es
e reste plus qu’à répondre à l’endroit de l’Evangile, où Jésus-Christ
parle
à des enfans qui disent à leurs compagnons : Nou
sa place. La première réponse qu’ils font est, que si les danses dont
parle
l’Ecriture étoient telles que celles d’aujourd’hu
t celles des femmes israélites et de David. Le but de ces danses dont
parle
l’Ecriture étoit « de se réjouir en Dieu en lui r
urs et toutes les horreurs des anciens spectacles, dont l’Ecriture ne
parle
pas. Les saints Pères qui ont essuyé de pareilles
es rudimentaires d’une danse de grand style. Puis Mlle d’Etchessary a
parlé
de ses intentions qui sont plausibles ; celles av
cudero est un danseur de terroir ; il ne transpose ni ne stylise ; il
parle
son langage naturel. J’ignore s’il a du talent. M
s n’aurons pas besoin de nous baisser. Nous revendiquons l’honneur de
parler
de cette troupe et de lui offrir salut et fratern
et d’harmonieuse exaltation. Vous avez vu, dans les théâtres où l’on
parle
le mouvement gauche ou guindé, toujours amoindri
us, pour voir tels miracles, On a quelquefois, tant d’obstacles, Qu’à
parler
en Homme-de-bien, Je ne me dois vanter de rien.
pénible pour moi, Madame, de me trouver dans l’impossibilité de vous
parler
d’une foule de danseuses dont la majeure partie m
pénible pour moi, Madame, de me trouver dans l’impossibilité de vous
parler
d’une foule de danseuses dont la majeure partie m
ées de travaux et de recherches, m’ont acquis, peut être, le droit de
parler
, de juger et de prononcer sur un art que j’ai app
on pourra, donc, comme je crois, Beaucoup, ainsi, se satisfaire. Mais
parlons
de quelque autre Affaire. 140. sic.
le l’ensemble. Quant au grand pas de deux final, j’aurais encore à en
parler
. Le Renard, de Strawinsky, étant, selon le progr
une brève chronique. Mais je peux clore cette énumération, sans avoir
parlé
de l’absente, cette suave et triste Spessiva, la
dent par la maniere d’ôter son chapeau, il me reste maintenant de lui
parler
de chaque reverence en particulier pour lui en fa
s le pied droit pour m’assujettir à mes Figures démonstratives qui en
parlent
,) pour le passer à la proportion ordinaire qui es
De bons vins et de limonades ; Bref, de diverses Mascarades : Mais (à
parler
ingénument) Le plus grand Divertissement, Tant de
d’ailleurs : Mais, surtout, certaine Pucelle44 Fait dire à ceux qui
parlent
d’elle, Qu’on n’en voit point dessous les Cieux Q
57
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
; gasconise comme s’il était encore dans sa Province ; enfin celui-là
parle
tellement du nez, qu’on serait tenté de croire qu
ntage. Cependant, quel renversement de l’ordre naturel ! La maitresse
parle
souvent plus mal que la soubrette ; le valet a le
rs bévues dans le débit même de leurs rôles. Combien de fois font-ils
parler
le Prince qu’ils représentent avec une fierté rid
s trois Ouvrages. On permettrait encore au petit nombre d’Acteurs qui
parlent
bien leur Langue, & qui, de nos jours, se son
Ne vous disputez que par gestes .... Maris, n’allez pas croire que je
parle
d’un certain geste expressif, qui met toujours un
istence ; son esprit va d’exaltation en exaltation. Il ne voit, il ne
parle
que du grand homme, et il en parle avec le délire
n en exaltation. Il ne voit, il ne parle que du grand homme, et il en
parle
avec le délire de l’enthousiasme : il me dit qu’i
z la seconde pour me répondre. Je vais remplir vos intentions et vous
parler
encore une fois de ce grand comédien. Daignez vou
ipal. J’avouerai que j’y ai vu des machines ingénieuses. Je vais vous
parler
de celle dont les effets m’ont parus d’autant plu
uité, et les convives n’étoient pas nombreux. A l’époque dont je vous
parle
, la majeure partie de la noblesse ne tenoit pas m
élassements, si vous voulez. Dans le chapitre précédent, j’ai omis de
parler
d’une petite actrice qui a bien aussi son côté bi
mon théâtre favori. Je suis un peu comme les amoureux, moi ; j’adore
parler
longuement de ce que j’aime. Oscar, — je l’ai dit
audeville amusant. Il joue de la flûte, du piano, de l’accordéon ; il
parle
italien, et pourrait au besoin donner des leçons
emblons un peu. Mais je suis mieux que lui. X Tout à l’heure je
parlais
des travaux de géant qu’il fallait accomplir pour
cabrioles de nos danseurs, et aux minauderies de nos danseuses. Je ne
parle
point de cette partie du public, qui en est l’ame
, se jouent de mes sens au point de me montrer la nature, de la faire
parler
, de l’entendre et de lui repondre ; quelle sera m
mposition : faites danser vos figurans et vos figurantes, mais qu’ils
parlent
, et qu’ils peignent en dansant ; qu’ils soient pa
fortifie et augmente le charme de 1’ éloquence ; il est à l’homme qui
parle
, ce que sont les accompagnemens à l’homme qui cha
s élèves ; ils ont dans des genres opposés de très-grands talens : je
parlerai
d’eux lorsqu’il en sera tems, et en rendant homma
termine, Monsieur, et après vous avoir entretenu du métier ; je vous
parlerai
de l’art, c’est à dire de l’expression et de cett
urs envie, J’y courrais bien plutôt qu’au feu ; Puis il faut que j’en
parle
un peu, Et que de ses pompeux mélanges J’instruis
duites, sans examiner, si elles sont utiles ou nuisibles. Or, pour ne
parler
que de la Danse, du Théâtre, je trouve dans ces i
autre, partie de cette action. La Danse cependant, par l’abus dont je
parle
, deviendra, dans cet endroit, une partie oisive,
est ainsi de toute représentation en Danse. Les trois parties dont on
parle
, sont, le commencement, le milieu et la fin, qui
lent peut produire. Saviez-vous que Pylade eût existé ? Vous avait-on
parlé
de Thymèle et d’Empuse ? On ne vous a montré jusq
e, s’enrichit, & l’Auteur meurt de faim : meurt de faim, façon de
parler
hyperbolique, qui approche pourtant de la vérité.
e deviendront les Comédiens, si j’amène la mode des Drames où l’on ne
parle
point ! Ce ferait leur jouer un assez mauvais tou
rioles de nos Danseurs, & aux minauderies de nos Danseuses. Je ne
parle
point de cette partie du Public qui en est l’ame
, se jouent de mes sens au point de me montrer la nature, de la faire
parler
, de l’entendre & de lui répondre ; quelle ser
ition : Faites danser vos figurants & vos figurantes, mais qu’ils
parlent
& qu’ils peignent en dansant ; qu’ils soient
Tant qu’il y aura du tutu dans le ballet, on n’aura pas la danse. Je
parle
de tutu pour faire bref : Le tutu n’est qu’un sig
me la chose se peut faire, Hélas ! il faudra bien m’en taire, Ou n’en
parler
dans les miens Vers, Sinon de tort et de travers.
emplir. Vous exigez des détails sur l’opéra ; vous voulez que je vous
parle
des gens à talens qui l’ont progressivement placé
se posant le corps sur l’autre sans faire de mouvement forcé ; je ne
parle
pas des fausses positions, parce qu’elles m’ont p
e, en marchant au milieu de la compagnie. Mais au cas que vous aïez à
parler
à quelqu’un, vous allez l’aborder en faisant de p
r excellence, De son temps, le Plaute, ou Térence. La Pièce dont je
parle
ici, Laquelle a si bien réussi, Est un sujet nobl
ou d’exécution ; la 2de danse pantomime ou en action. La première ne
parle
qu’aux yeux, et les charme par la simétrie de ses
que des sons faux et dissonants, lorsque l’art seul voudra les faire
parler
: mais elles obéiront, et rendront au contraire t
comparaison n’a rien de relatif à l’acteur pantomime, puisqu’il doit
parler
sans voix ; je répondrai que ses gestes, le jeu v
vais pas et continuai à lire les jounaux, me grisant des articles qui
parlaient
d’elle. C’était de la magie, de l’irréel, un cont
r le directeur de ce théâtre, s’il vous plaît ? Quand je m’arrêtai de
parler
, mes dents se mirent à claquer si fort que j’en e
ésirez-vous de lui, petite fille ? Mon Dieu, me faudrait-il à nouveau
parler
devant tous ces gens ? Et, à ma stupéfaction, j’e
réalisait, mais me paraissait tout de même un rêve. Je ne pouvais ni
parler
, ni presque respirer, à peine pouvais-je prendre
sourd ! Je lui fis signe de se pencher vers moi pour que je pusse lui
parler
à l’oreille. — Elle dit que ces portraits ne sont
1661, (article 3, sur la sanctification des fêtes, n.° 4.) M. Vialart
parle
ainsi : « Désirant apporter remède aux abus et sc
ens des gens de bien… La véritable charité ne doit point se lasser de
parler
sans cesse contre les vices enracinés, et les mau
t les ennemis de ces esprits de malice. » Le même saint continuant à
parler
contre les danses, traite d’ennemis de Dieu ceux
de Paris, dans un sermon sur le troisième dimanche de l’avent, où il
parle
de la luxure, dit de ce vice, qu’il est un serpen
ialogue, au vingt-quatrième dialogue, qui est sur les danses, il fait
parler
la joie et la raison. La joie dit qu’elle trouve
il n’est aucun bon livre de morale, dont l’auteur, s’il a occasion de
parler
des danses, n’en parle pour les condamner, et pou
de morale, dont l’auteur, s’il a occasion de parler des danses, n’en
parle
pour les condamner, et pour exhorter les Fidèles
es parties que naissent cette grace & cette delicatesse dont j’ai
parlé
ci-devant. Quant aux autres Balancez que l’on por
ommuns, ni si grands qu’ils le sont parmi nous. Ce saint docteur nous
parle
encore à nous-mêmes dans ses sermons qui sont ven
ue mérite un si grand saint, et plus encore la vérité éternelle qui a
parlé
par sa bouche. Je sais, dit saint Jean Chrysostôm
induxerit ut turpe aliquid un quàm aut faciat aut dicat ». Ce saint
parle
encore sur la même matière, dans une homélie sur
? Ubi sermo obscœnus, adest diabolus sua efferens. Lorsque je vous
parle
ainsi, je vous suis peut-être trop à charge et tr
qui a voulu prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait
parler
et écrire. Sais-tu bien pourquoi j’ai fait ce liv
l. Il le faut absolument puisque vous me demandez la permission de me
parler
de l’avenir et que je dois vous refuser, c’est-à-
ir et que je dois vous refuser, c’est-à-dire vous supplier de ne m’en
parler
jamais. Je vous ai caché le secret de ma vie, et
ptés de la tendresse. J’ai aimé avec les sens, avant que mon cœur eût
parlé
et se fût révélé à moi-même. Mon intelligence, pl
on horizon encore plus noir et ma déception plus profonde. Je ne vous
parlerai
plus de ces choses, ne m’en parlez jamais, si vou
eption plus profonde. Je ne vous parlerai plus de ces choses, ne m’en
parlez
jamais, si vous m’aimez ! Je fais bâtir parce que
tutoie. Le nom de son père le fait rougir et il provoque ceux qui lui
parlent
de son origine. La loi sur les titres l’a profond
lleurs il ne veut pas la tromper : il n’a l’intention — c’est lui qui
parle
— que de rire au peu, et voilà tout. Son refrain
c une joie d’enfant dans les flammes », dit Nodier ; et dansant, elle
parle
ainsi, la folâtre : « Les fleurs que tu trouves s
s votre main vous aurez une main vivante, non pas une ombre. Ainsi se
parle
le jeune Écossais à lui-même ; et le voilà, en ef
est l’horreur. Volons à travers le brouillard et l’air impur ! Ainsi
parlent
les sorcières de Macbeth. Les sœurs du Destin se
! « Peu à peu, à mesure que vient le jour (c’est toujours Nodier qui
parle
), les vapeurs du lac élargissent les losanges flo
irculé entre tes lèvres, qui ait été pénétré par tes regards ! »Ainsi
parle
le poète, ainsi danse la fille de l’air ! La fête
x, le rêveur, le jeune homme, toutes les âmes en peine de l’idéal. On
parlera
longtemps encore de mademoiselle Taglioni la Sylp
y a encore un prologue qui, comme l’héroïne d’un poème de Verlaine, «
parlait
italien avec un accent russe ». Quant à la protag
s une action pantomime. [4] Je pense que quand même Noverre 3 aurait
parlé
de tout ce qui concerne le mécanisme, et même le
s intéresser ni plaire. 1. La majeure partie des écrivains dont je
parle
, sont, à la vérité, de très bons littérateurs, ma
choux : « . . . . connus par leur science « Qui, sans être danseurs,
parlent
beaucoup de danse. » Je crois que les écrits de
ope, sortit enfin à cette époque de sa longue enfance ; elle apprit à
parler
le langage des passions qu’elle n’avoit pas encor
orts avec la danse en action. Cette correspondance me donna lieu de
parler
des acteurs qui avoient enrichi de leurs talens l
lité, et sur la quelle il étoit écrit : tu n’iras pas plus loin. Je
parlerai
de ces obstacles, et je prouverai qu’ils ne peuve
ques notions de la Danse Pantomime des Anciens ; et ayant promis d’en
parler
plus amplement, lorsque je ferais paraître quelqu
dues intelligibles au moyen de l’exposition. Quand on a la faculté de
parler
, il est aisé de se faire entendre ; et ces mêmes
ne étude du dessein. Enfin il faut acquérir l’expression, ou l’art de
parler
en dansant. Tout cela est si difficile qu’on peut
et cependant elle ne dure que vingt minutes. 21Il serait superflu de
parler
de la troisième unité, c’est-à-dire, de celle de
Lettre XVII. L e costume, Monsieur, dont je n’ai
parlé
que superficiellement, me paroit trop essentiel a
. Le maître des ballets, souvent homme-machine, bien plus accoutumé à
parler
aux jambes qu’à l’esprit, plus habitué aux mouvem
qui est étudié partiellement, dans ce que la nature présente de plus
parlait
, ne peut être adopté pour le théâtre, toutes les
s brasseurs livrés à leurs travaux grossiers. Dans un autre moment je
parlerai
de la danse telle qu’elle existe aujourd’hui. On
dénomination nouvelle, étaient les mêmes, que celles dont on vient de
parler
, furent la peinture la plus licencieuse, et firen
Maison. Ce seroit ici l’occasion d’en étaler toute la grandeur, de
parler
de l’éclat de votre Sang, né pour former nos Rois
aient de bonne Maison, Et que c’était une Séquelle Qui méritait qu’on
parlât
d’elle. Certainement, je ne puis pas Dire tout
! Une pendule, c’est presqu’une compagne qui vit, qui conseille, qui
parle
; si j’en avais une il me semble que je serais mo
me de jeunesse qui brûlait lorsqu’on les regardait fixement. Quand il
parlait
, sa voix était celle d’un vieillard et ses yeux d
immanentes, des limites déterminées. Et voilà qu’à propos de danse on
parle
couramment décor, costume, littérature, psycholog
t, du reste, beaucoup moins étranger à la question, — mais surtout on
parle
musique. Aussi que de jugements faussés où la for
z au premier jour le jeune architecte que je vous expédie. Si je vous
parle
de lui comme d’un colis, ne pensez point que je f
votre existence celle d’une femme aimable et vertueuse. J’ose vous en
parler
pour la seconde fois depuis l’expiration de votre
d’Autremont, ou M. Flaminien, comme l’appelle Champorel quand il lui
parle
, a, comme je te l’ai dit, vingt-six ans, mais on
se forcer pour m’encourager. Il ne voulait pas encore, disait-il, me
parler
de ses projets de construction ; mais je lui ai r
nifiques durant le règne de Louis XIV, mais les bals publics, dont je
parlerai
bientôt, firent tomber tous les autres pendant la
ent l’oreille du corps, mais le Saint-Esprit ouvre celle du cœur, lui
parle
, et s’en fait obéir ; parce qu’il fait aimer ce q
Avertissement. J e vais
parler
librement et avec franchise des soi-disans maître
i danse mieux et autrement que celles qui l’ont précédée. Quand on ne
parle
ni à l’esprit, ni au cœur, il faut parler aux sen
l’ont précédée. Quand on ne parle ni à l’esprit, ni au cœur, il faut
parler
aux sens et surtout aux yeux48. » Puisque le ba
faut parler aux sens et surtout aux yeux48. » Puisque le ballet ne
parlait
« ni à l’esprit, ni au cœur », il n’était pas néc
es opéras ; il en dota quelques-uns avec prodigalité. Nous avons déjà
parlé
des splendeurs de la Tentation. Une anecdote cont
national fondé sur l’éducation séculaire des Français : nous voulons
parler
de Psyché, ballet en trois actes, de Pierre Garde
diriez-vous d’une pareille barbarie, ombres de Gardel et de Vestris ?
Parlez
-nous des ronds-de-jambe, des pointes, des ballons
. Th. Gautier les accable de ses sarcasmes : « Allez donc, disait-il,
parler
d’un changement quelconque dans une chose aussi s
re qui l’ayent surpassé. Il y a aussi apparence qu’Empuse dont il est
parlé
dans Suidas & Aristophane, étoit une Danseuse
a Danse, comme on les trouve dans la Corographie de Feuillet, dont je
parlerai
plus amplement. Il est bon de sçavoir que Thoinet
sé dans la Bibliothéque du Roi. On trouve encore quelques Auteurs qui
parlent
de la Danse de la Grue, inventée par Thésée, aprè
aissa pas de subsister encore long-tems dans le temple de Mars ; j’en
parlerai
plus au long dans son lieu. Tibere fit encore cha
e ; parce que ce Prince soupçonneux ayant défendu aux Siciliens de se
parler
, de peur qu’ils ne conspirassent contre lui, il l
mposition des Balets. La suite nous fera voir que les Auteurs qui ont
parlé
de l’art de la Danse, n’ont point porté leur imag
comme si elle avait été jouée, tandis qu’elle ne l’a point été ; j’en
parle
comme si le Public l’avait très-bien reçue, tandi
e se louer soi-même, & que la modestie n’était plus de mode. Sans
parler
des Extraits que tant d’Auteurs font de leurs Ouv
nt dans les Journaux, comme s’ils étaient d’une main étrangère ; sans
parler
des petites ruses en usage parmi les Littérateurs
ans doute ; c’est le génie ; il n’a point d’école. Je pourrois encore
parler
de ces acteurs tragiques qui créerent l’art de la
de croire que les généraux haranguoient les troupes en chantant ; car
parler
à haute et intelligible voix, n’est pas chanter.
t rudement le plancher pour marquer la mesure de chaque geste ; si je
parle
ensuite d’une flûte gauche nommée Tibia, faite av
▲