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1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
sconsulte contre les Danses. Le célèbre jurisconsulte dont je veux parler , c’est M. Louis de Héricourt, connu par son bel o
s lois ecclésiastiques mises dans leur ordre naturel. (Voici comme il parle dans la chapitre 10 qui traite des fêtes, des rel
endues ces jours-là, sans aucune restriction ; et, s’il est seulement parlé de danses publiques, c’est que les juges à qui il
t à cet égard l’exercer que contre les délits publics.) Ecoutons donc parler M. de Héricourt. « Les Fidèles, dit-il, doivent
qu’on manque de respect pour l’Eglise même que, dans les conciles, a parlé si clairement et si fortement contre les danses ?
en des ames ? Les évêques assemblés dans les conciles dont nous avons parlé , n’étoient-ils pas les supérieurs légitimes des F
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
tout commerce extérieur lui devenait impossible de ce fait qu’elle ne parlait que japonais. Ce n’était en somme que pour me fai
ateur. Je me demandai comment il arriverait à se tirer d’affaire sans parler du tout. De midi à trois heures, en effet, je n’e
e façon qui lui est particulière, et répondit : — Oh non ! Mais il ne parle jamais beaucoup. Alors, croyant la glace rompue,
e ne réponds plus de moi. M. Prudhon, toujours grave, s’inclina et ne parla pas davantage. Cette boutade, qui ne l’avait même
emarque produirait sur lui. Elle n’en avait produit aucun. Puisque je parle de ce secrétaire, je crois devoir lui consacrer q
toujours par l’entremise de ma jeune et élégante secrétaire. Mais, à parler de mes mésaventures, j’oublie mon déjeuner chez l
. Et elle se plaignait de ne plus pouvoir lire sans lunettes !… Nous parlâmes de ses petits-enfants et de ses arrière-petits-en
sa de nombreuses questions que j’essayai d’éluder, pour n’avoir pas à parler de moi tout le temps. Figurez-vous donc mon étonn
e pas et qu’elle vient de renouveler encore à l’Hippodrome. Mais elle parle plus volontiers de philosophie que de théâtre. Ga
retie. Il y avait là quantité de gens aimables, et Mme Claretie ayant parlé de cette idée de « Souvenirs » que son mari désir
t pas ainsi. Sur quoi, le jeune chef d’orchestre repliquait : — Ne me parlez pas des théâtres subventionnés, on y est bien plu
ant obéir comme le font les vrais chefs, en donnant aux ordres le ton parlé de la prière. — Voulez-vous avoir la bonté de don
veté absolue des gens pratiques (défiez-vous, au théâtre, de ceux qui parlent trop), ces deux femmes menaient la répétition com
essoires. » Ce soir-là, entre deux essais, M. Claretie m’avait encore parlé de mon livre, et, à tout prendre, c’est grâce à s
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
à Paris. Je trouvai ma mère plus malade, et je priai le docteur de ne parler de moi à personne. Deux jours durant, je me cacha
res du matin et nuit close. Le conducteur ignorait l’anglais et je ne parlais aucune autre langue. Je ne parvenais pas à lui fa
Christ et son sourire cauteleux. J’allai à lui, et lui demandai s’il parlait un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il
il parlait un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il essaya de parler français, puis allemand, mais je n’entendis pas c
et « malade » en allemand. Il étendit la main pour me dire de ne pas parler pendant un instant. Il ferma les yeux et je le re
ut irait bien. Bientôt il me quitta et je compris, à sa manière de me parler  ; qu’il essayait de me donner du courage et de l’
enez ! Dans la voiture il me recommanda : — Entrez dans la chambre et parlez à votre mère comme si vous ne l’aviez jamais quit
is lors, je ne suis jamais retournée en Russie, car chaque fois qu’on parlait d’un voyage là-bas ma pauvre mère tremblait d’épo
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
ion : Défendre les Danses, c’est peine perdue. On a beau écrire et parler fortement contre les danses, on ne viendra jamais
pareil raisonnement ? Si on le suit, il ne faudra pas plus écrire ni parler contre les juremens, les ivrogneries, les impudic
les meilleurs sermons ? En pourroit-on conclure qu’il est inutile de parler fortement contre les vices, et qu’il faudroit se
séquence très-fausse que de conclure qu’il est inutile d’écrire ou de parler contre les danses, parce que, quelque chose qu’on
t de ce travail dont nous ne sommes pas les maîtres. Ceux qui doivent parler sont coupables quand ils se taisent ; mais ils ne
t coupables quand ils se taisent ; mais ils ne le sont pas lorsqu’ils parlent à des morts. Le ministre, chargé de planter et d’
5 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
llègue. L’ami. Ah ! Marguerite la huguenote ? je la connais ; on en parle dans l’Indépendance belge, même que cela scandali
Quelles sont ces femmes ? Les célèbres danseuses dont nous venons de parler , probablement. Décidément ce bal est trés-galant 
vent de café. Alice. Vois-tu, mon petit, ici faut te déshabituer de parler comme tu parles… C’est pas convenable, ça humilie
Alice. Vois-tu, mon petit, ici faut te déshabituer de parler comme tu parles … C’est pas convenable, ça humilie les autres. L
les… C’est pas convenable, ça humilie les autres. L’ami. Mais je ne parle pas mal, je crois.. Alice. Comment que tu t’app
s éducations. Alice. Oui, on y prend de l’aplomb. Tiens, moi qui te parles , il y a six mois, avant de venir ici, j’étais plu
venir. 1. Je prie le lecteur de remarquer que ce n’est pas moi qui parle  — en ce moment. Je ne suis qu’une simple historie
6 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
e qui a fait dire à Plutarque que le Balet est une Poésie muette, qui parle  ; parce que sans rien dire, il s’exprime par les
r les gestes & par les mouvemens : c’est ce qui s’appelle sçavoir parler aux yeux, & toucher le cœur par des expressio
er toutes les couleurs que les Naturalistes ont remarquées ; que tout parle en lui ; que ses yeux, ses gestes, ses pas, sa mi
loquence, qui semblent mettre sous les yeux les choses dont l’Orateur parle . Il y en a, dit Plutarque, qui ne dansent que pou
vautour, & le dernier mis en piéces par les Bacchantes. Tertulien parle encore de ceux que l’on condamnoit à paroître ave
ter la mort d’Hercule : & au Traité qu’il adresse aux Martyrs, il parle de ceux qui se louoient aux Pantomimes pour porte
n ne peut porter plus loin la perfection de la danse Théâtrale ; sans parler d’une infinité d’autres qui charment les spectate
7 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
héorie d’art pour la faire admettre par un public d’artistes. Je vous parle . Moi Vous ne faites que parler ? Prenez garde !
ttre par un public d’artistes. Je vous parle. Moi Vous ne faites que parler  ? Prenez garde ! Avec quatre pas, Régina B. en di
ts, je me disais : « Ce n’est pas ça, la danse. » La Danseuse Et pour parler votre langage : « Qu’est-ce que c’est, la danse ?
eur exotisme. Vous n’aimez point les danses françaises parce qu’elles parlent notre langage et n’ont pas de mystère pour vous ;
Mme Rubinstein. Ne dites pas non. Moi Je ne dis pas non. Mais que me parlez -vous de Russie à propos de Mme R. ? Elle n’a jama
était morte ailleurs et qui ne vivait plus que par lui seul. Vous me parliez tout à l’heure d’une toccata de Bach… Mais quoi d
dont nous voudrions la trouver éprise. À propos de danses, je vous ai parlé de Wagner, de Victor Hugo et de M. Ingres parce q
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
toujours enchanté les yeux Des spectateurs jeunes et vieux ; Et, sans parler par complaisance, On la tient la fille de France
ar quand je vois que l’on excelle En quelque art, ou profession, J’en parle avec affection, Et ce fut toujours ma coutume D’e
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
, délicat, spirituel, galant et possédant le rare et souple talent de parler de tout, sans jamais se compromettre : M. Chéramy
es pas de là. Il nous fit comprendre, par signes, qu’il désirait nous parler , loin des autres. Nous nous glissâmes dehors pour
stances qui avaient entouré la gestation de ses chefs-d’œuvre ; il en parlait comme un homme de cœur et comme un critique d’art
vint à Paris, et un ami commun me l’amena. Entre autres choses il me parla de la fameuse collection de M. Groult que personn
est un peintre de la Nature. Puis il montra les bois pétrifiés, et en parla , avec quelques variantes, comme il en avait parlé
is pétrifiés, et en parla, avec quelques variantes, comme il en avait parlé la première fois devant moi. Finalement, il dit à
10 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
al, surtout les personnes dont ils sont chargés ! Est-ce ainsi qu’ont parlé des danses les saints qui nous ont précédés ? et
rce ils se sont élevés contre elles ? Ils ne se sont pas contentés de parler , mais ils ont agi, et ils n’ont pas craint, pour
jour de saint Pierre, prêchant dans une paroisse proche de Noyon, il parla fortement contre les danses et les autres jeux qu
ncore enfoncés dans une profonde mort. Les saints pères ont fortement parlé contre les mères qui, pouvant nourrir leurs enfan
un sermon de ce père sur l’endroit de saint Mathieu, c. 25, où il est parlé du serviteur paresseux, qui fut condamné pour n’a
vous regarde pas. Vous ne pouvez le faire du lieu élevé d’où je vous parle , mais vous le pouvez quelque part que vous soyez.
parle, mais vous le pouvez quelque part que vous soyez. Lorsqu’on ne parle pas de Jésus-Christ avec le respect qui lui est d
nt acquise ses ouvrages qui ont été si bien reçus du public : je veux parler de M. Rollin, ancien recteur de l’université de P
éprisable. Voilà, ce me semble, à quoi doit tendre l’exercice dont je parle  ; et j’ai vu avec joie des maîtres à danser de la
e où se trouve la véritable félicité. Vous trouverez peut-être que je parle trop hardiment, et que j’oublie cette retenue et
11 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
de posséder en perfection les qualités et les moyens dont je viens de parler  ; on n’exige pas d’un danseur de demi-caractère o
ion que l’on veut trouver dans le danseur héroïque. L’artiste dont je parle , doit se distinguer en tenant la partie supérieur
ges68. [7] Les autres danseurs de caractères comiques, dont j’ai déjà parlé , s’étudieront dans les pas caractéristiques. Ils
ion des vrais principes de l’art. Dans l’un des journaux de Paris qui parlait de mes débuts à l’Académie royale de musique, dan
i que dans cet ouvrage lorsqu’il est question de monsieur Vestris, je parle toujours (excepté dans la note (I), p. 79, où je
12 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
ut est confondu, jusqu’aux mots propres à désigner les objets dont on parle . Ces auteurs ne se sont attachés qu’à peindre les
au milieu des personnes qui assistoient à son audience ; mais il leur parla sans langage articulé, et s’exprima avec des gest
du jugemcut de Paris, éxecutée par des pantomimes, qui jouoient sans parler  ; lorsque cet auteur parle des mimes, il emploie
tée par des pantomimes, qui jouoient sans parler ; lorsque cet auteur parle des mimes, il emploie le mot incedere, qui signif
it que cette déesse ne dansoit que des yeux. Quintillien, après avoir parlé de l’estime et de 1’amitié que Cicéron avoit pour
pour le public. Il faut convenir que les auteurs anciens n’ont jamais parlé des jambes de leurs pantomimes, ni de leurs élans
13 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
e du chant, et jusqu’à un certain point le dialogue même. Dès qu’elle parle au sentiment, toute musique est lente. Au contrai
des recettes au retour du marché. » Mais Shakespeare sourit, et fait parler Caliban. La science a raison dans son ordre, comm
14 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
une vieille biche. — Mesdames Rose, Gérard et Flore. — Pourquoi je ne parle point de leur vie privée. — La vérité sur leur mo
. I Les Délassements-Comiques, ou plutôt les Délass’ Com’, pour parler correctement, sont aux autres théâtres parisiens
car, le crois que Sari les magnétise ; quand il se présente, quand il parle , la plus indomptée baisse la tête, devient douce
duel pour ses charmes. — Ça me posera, disait-elle, j’ai besoin qu’on parle de moi, et puis toutes les jolies femmes doivent
leur plaisir. Quant à leur vie privée, je m’empresserai de n’en point parler . J’aurais trop peur que ce que j’écris aujourd’hu
15 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
c peine que toute conversation entre nous était impossible, car il ne parlait que le français, et nous ne parlions que l’anglai
nous était impossible, car il ne parlait que le français, et nous ne parlions que l’anglais. Avec force pantomime et beaucoup d
je débutai aux Folies-Bergère et qu’un monsieur élégant demanda à me parler , avec son ami le ministre des Finances de Haïti,
nt comme des frisées. Dumas avait presque deux voix, deux manières de parler  : celle qu’il employait pour les choses banales,
a vie entière. Un jour, toujours avec M. Poulle pour interprète, nous parlions de la Dame aux Camélias et du Demi-Monde et de l’
16 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Des différents genres de la danse »
iles de pigeon, cabrioles, pas de jarret, entrechats, etc. etc. Je ne parlerai pas non plus des figures de la plupart des contre
, la valse, l’allemande, plusieurs sortes de contredanses, etc. Je ne parlerai pas des danses étrangères, telles que la Monferin
17 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
en expression trente vers, voyez Récitatif [Article de Rousseau]. On parle ici pour les chanteurs qui possèdent le mieux le
ue le débiter. Une actrice qui n’est plus, et dont on peut maintenant parler sans scrupule, parce que la vérité, qui ne saurai
ugent s’il est possible qu’elle débitât. Mais comme l’actrice dont on parle était supposée débiter, en conséquence de cette p
s’y faire. Les étrangers cependant arrivent de sang-froid, nous leur parlons de notre opéra, et ils y courent ; mais ils ouvre
y entendent rien de ce que nous croyons y voir et y entendre : ils se parlent , nous examinent, nous jugent, et prennent pour dé
qu’on ne sait quel nom leur donner. Je dois au surplus avertir que je parle ici, 1° des voix en général : il y en a de plus é
de à l’égard d’une voix très précieuse que nous avons perdue. On veut parler ici de celle du sieur Lepage, qu’on disait tout-h
la mémoire sont les chevilles ouvrières de la machine qui agit et qui parle . Baron avait le geste du rôle qu’il jouait : voil
sublime de l’agitation de l’actrice ; c’est la passion elle-même qui parle , qui me trouble, et qui fait passer dans mon âme
entiments que son beau désordre me peint. (B) Gras Gras, s. m. parler , chanter gras, défaut qui vient plus souvent de l
grammaire de Restaut, sur la lettre R. Il est rare que les enfants ne parlent pas gras, il est rare aussi qu’avec des soins on
et dans le chant, surtout dans celui du théâtre. Voyez Grasseyer. On parle gras, on chante gras, lorsqu’on donne le son r co
grasseyent, sonne comme le mot grâce ou trace dans celle des gens qui parlent ou chantent bien ; et au lieu de dire carillon, g
uestion du chant, le grasseyement est encore plus vicieux que dans le parler . Le son à donner change, parce que les mouvements
18 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
tastrophe. La Musique est essentielle aux Pantomimes : c’est elle qui parle , nous ne faisons que les gestes ; semblables aux
que nous voulons exprimer, plus nous nous rendons intelligibles. J’en parlerai plus amplement dans une autre occasion.   Gaspar
19 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
ls sont ordinairement bien mieux écoutés et plus suivis, parce qu’ils parlent conformément aux désirs déréglés et aux passions,
de la nature corrompue, et qui les combattent. En effet, s’agit-il de parler en faveur des passions ? La plupart croient en sa
20 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
e me rendit le courage prêt à m’abandonner. Le vieux s’était arrêté à parler dans le couloir avec un employé. La jeune fille s
ec un accent italien exagéré : « Nous sommes étrangers et ma fille ne parle pas assez le français pour vous répondre. Je vous
s sans attendrissement. Quand il se sentit au plus mal, il voulut lui parler , mais il n’en eut pas la force, et ne put que lui
son père ; c’est du moins ce qui me fut raconté dans l’hôtel, où l’on parlait d’elle avec autant d’estime que d’intérêt. A prés
ain et ajouta à voix basse : — Ne prononcez pas mon nom. Puis-je vous parler sans qu’on nous écoute ? Je répondis en l’invitan
erté de ma vie que ce sentiment-là ! Puisque vous allez le connaître, parlez -lui de moi quelque jour, à l’occasion, et dites-l
sur le chemin attendre l’arrivée du maître, et je priai Mlle Fiori de parler . — Je suis, me dit-elle, une enfant trouvée aband
son offre, c’est la promesse qu’il me fit de m’habiller, et comme il parlait de m’acheter une robe neuve, je lui déclarai que
ais lieu de me maltraiter. A la moindre distraction de ma part, il me parlait durement, ne m’épargnait pas les gros mots et me
rmes. Tout à coup il ouvrit les yeux et rencontra les miens. Il ne me parla pas, mais il ouvrit sa main comme cherchant la mi
prit-il ; quand vous êtes là, je me sens mieux. Il ne fallait plus me parler d’aller danser le soir. On dut changer le spectac
21 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
ne pas ses effets aux éclats insignifians d’un vain bruit, mais qu’il parle la langue des passions, qu’il peint et qu’il expr
ns la fête des victoires, que c’étoit à ces deux sens qu’ils devoient parler . Ils ont encore oublié qu’ils ne devoient opérer
ût fallu en doubler, au moins, l’élévation ? mais j’ai oublié de vous parler des figures allégoriques de la liberté et des deu
et des deux renommées, sans doute la bonne, et celle dont Voltaire a parlé . Ces figures quoique plus grandes que nature, ne
22 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
n on pourrait en faire une Tragédie comme celle des Grecs, en faisant parler mes personnages, et en substituant des Cœurs de M
tacles ; mais c’est justement alors qu’on tombera dans le défaut dont parle Horace2 au commencement de l’Art poétique. « Vou
’indifférence des Spectateurs pour des Personnages inconnus. Quand je parle d’êtres fantastiques, on voit bien que ce n’est p
munément appelées de demi-caractère. Autant la danse dont je viens de parler s’approche de la Grotesque, autant celle de demi-
eurs, qui sont le langage avec lequel l’horreur, la pitié, la terreur parlent au-dedans de nous, et nous secouent au point de p
re qu’il est difficile de versifier le plan d’une tragédie, tout doit parler dans cette musique : elle doit nous aider à nous
23 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
manger le morceau. V Cependant je ne résiste pas au plaisir de parler de quelques-unes de ces dames. De mademoiselle Fi
yeux de ses amants, passe pour une femme à double face : la femme qui parle et la femme qui écrit. J’en ai vu qui pleuraient
is, me fit le brouillon d’une épître échevelée. Dans cette lettre, je parlais du ciel bleu, du lac d’azur, des étoiles et de la
ns Finette, si vous voulez bien : j’en ai déjà trop dit sur elle ; et parlons d’une autre camarade à moi plus digne de la publi
doit point passer sous silence. — Ces femmes, disait-elle, pour faire parler d’elles, sont capables de tout, même de devenir d
24 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
a danse acquiert un caractère de vie, qui la rend intéressante ; elle parle , elle exprime, elle peint les passions et mérite
ne prétends pas, Monsieur, me donner un air scientifique ; je veux en parler par goût, par sentiment et comme un amant passion
nt et comme un amant passionné et ébloui des charmes de sa maîtresse, parle d’elle avec enthousiasme. Les Savans, dit Quintil
ation de là nature, qui est l’âme des beaux arts. Il est tems de vous parler des deux obstacles, qui m’ont arrêté ; ils font m
n’est ni sourd, ni muet, voudroit-il se soumettre à les fréquenter, à parler sans langue, et à entendre sans oreilles ? Fatigu
25 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
n’est donc autre chose que la pantomime. Tout doit peindre, tout doit parler chez le danseur ; chaque geste, chaque attitude,
nseurs qui commencent ne confondent pas cette pantomime noble dont je parle , avec cette expression basse et triviale que les
appans et variés de la physionomie. Les bras d’un danseur auront beau parler , si son visage ne joue point, si l’altération que
oix doivent être touchantes ; c’est toujours au cœur qu’elles doivent parler  ; le langage qui leur est propre est celui du sen
plus de variété et d’expression dans les bras ; je voudrois les voir parler avec plus d’énergie : ils peignent le sentiment e
et d’accablement : c’est au visage seul à peindre ; c’est aux yeux à parler  ; les bras mêmes doivent être immobiles ; et le d
ux pas ; il faut que l’ame, la physionomie, le geste et les attitudes parlent toutes à-la-fois, et qu’elles parlent avec autant
omie, le geste et les attitudes parlent toutes à-la-fois, et qu’elles parlent avec autant d’énergie que de vérité. Le spectateu
26 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
n’est donc autre chose que la Pantomime. Tout doit peindre, tout doit parler chez le Danseur ; chaque geste, chaque attitude,
seurs qui commencent ne confondent pas cette Pantomime noble, dont je parle , avec cette expression basse & triviale que l
physionomie. Les mains d’un Danseur habile doivent, pour ainsi dire, parler  ; si son visage ne joue point ; si l’altération q
voix doivent être touchantes, c’est toujours au cœur qu’elles doivent parler  ; le langage qui leur est propre est celui du sen
us de varieté & d’expression dans les bras ; je voudrois les voir parler avec plus d’énergie ; ils peignent le sentiment &
mp; d’accablement : c’est au visage seul à peindre ; c’est aux yeux à parler  ; les bras même doivent être immobiles, & le
pas ; il faut que l’ame, la physionomie, le geste & les attitudes parlent toutes à la fois, & qu’elles parlent avec aut
le geste & les attitudes parlent toutes à la fois, & qu’elles parlent avec autant d’énergie que de vérité. Le Spectateu
27 (1860) Mémoires de Rigolboche « Dédicace. A Mané de l’Indépendance belge » pp. 1-4
u mes quatre sous ! revue jouée à mes chers Délassements-Comiques, on parlait d’un nommé Alcibiade, qui s’était fait un nom en
parfaitement réussi. Je suis un peu sans façons avec vous, et je vous parle le pied en l’air, cela tient à ce que je suis sûr
28 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
ude qui enchaîne mes idées et met ma mémoire à la torture. Je ne vous parlerai point, Madame, des directions des Bontemps, des B
’a été impossible d’y mettre du couleur de rose. Après-demain je vous parlerai de la marche monotone de l’opéra, des sujets qui
29 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
qui ont été chacun dans leur temps les organes de l’Eglise, ont tous parlé avec force contre les danses. Le premier dont je
t dans ces dernières tous les traits de ressemblance avec celles dont parle le saint docteur ? Les filles ne s’y exposent-ell
est un des pères de l’Eglise qui a le plus souvent et plus fortement parlé contre les danses. Il le fait d’abord en expliqua
Nous dirons dans la suite qui est ce païen, et à quelle occasion il a parlé de la sorte.) Puis il fait cette réflexion : Ibid
anquer de s’y élever contre les danses ? Voyons en quels termes il en parle (Edit. de Cologne, pag. 107 et suiv.). « Qui jama
à des chrétiens de rechercher les divertissemens dont nous venons de parler  : Si Dei hæc sint verba, et vera et divinitùs in
ri, et ibi cum angelis psallere.  » Après avoir entendu saint Ephrem parler si fortement contre les danses, et alléguer de si
fense ne doivent-ils pas être pour toujours réduits au silence, ou ne parler que pour reconnoître humblement l’erreur où ils o
ces conciles. Dans le troisième, (part.1. des actes, p.69) où il est parlé de la manière de célébrer les fêtes des saints, l
n jour de fête ; mais nous avons vu avec quelle force saint Charles a parlé contre les danses en général, et quelle effroyabl
30 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
nt ne pas insister sur la perfection où cette danseuse atteint ? J’ai parlé dernièrement des qualités de son exécution gymnas
l’Opéra, été trois ans Polichinelle et deux ans Singe ? Avec cela (je parle d’Idzikovsky) peu ou point de qualités plastiques
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
urir par excellence, Les Arts, les Lettres, et la Science : Mais pour parler sincèrement De ce beau divertissement, Il était r
maines, Et dont, par curiosité, Tu peux voir les noms à côté. Je ne parlerai point du reste De ce Ballet pompeux et leste ; On
32 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
son Lycée. Comme ma mère ne pouvait pas comprendre de quoi il voulait parler , je me levai du tapis sur lequel j’étais assise a
eures seulement, pour apprendre le rôle. Le dimanche dont je viens de parler , ma mère ressentit la première commotion nerveuse
is ceci, quelques jours avant sa fin, je pouvais l’entendre remuer ou parler , car elle était dans la chambre voisine où deux g
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
c, entendu de nous. Pour le reste, c’est autre chose, Toutefois, si parler j’en ose, Je ne saurais faire autrement Que jaser
’admirateurs. Ô Chers Lecteurs, dans ces Vers nôtres, Je ne saurais parler des autres, Qui firent, toutes, grand effet ; Mai
is infiniment ravissants ; Voilà, donc, une affaire close, Et je vais parler d’autre chose. 22. Bouti. 23. Imprimeur du Ro
34 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
à elles, si cela arrive ! Un grand mal en excuse-t-il un moindre ? On parle dans l’objection comme s’il y avoit à choisir ent
’entendre, est de l’homélie 37 sur saint Matthieu. Le saint docteur y parle en ces termes contre les spectacles : (tom. 7, p.
esse. Voyant les Romains passionnés pour les spectacles, et entendant parler des plaisirs qu’ils y alloient chercher, les Barb
aux pharisiens qui leur en avoient donné l’ordre : Jamais homme n’a parlé comme cet homme. Il parle néanmoins avec une tou
avoient donné l’ordre : Jamais homme n’a parlé comme cet homme. Il parle néanmoins avec une toute autre douceur, lorsqu’il
35 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
prouve encore un peu de décadence, & l’on cessera tout-à-fait d’y parler . Les progrès de l’esprit humain seront alors à le
es Lemi**, les du Bel**, les de Ros** gagneraient, si l’usage dont je parle était adopté de leur vivant ! Mais pourquoi ne le
e ne suis auprès de vous qu’un petit Ecolier ; cependant je vais vous parler en Maître. Vous rirez de ma folie ; n’importe : m
’on oublie le plaisir d’aller voir des gens qui se font entendre sans parler , qui découvrent par leurs gestes les passions qui
ien que vous m’en saurez bon gré ; quant à ces personnes dont je vous parle , je suis bien fâché de ne pouvoir les satisfaire 
froideur & sans lieux communs, remplies de situations rapides qui parlent aux yeux, & mettent à l’instant le Spectateur
mimes . Le goût qu’ils ont pour les singuliers Drames dont je vous ai parlé plus haut, & sur-tout pour l’Opera-bouffon, a
Pantomimes à machines. Note du grand Sauteur. 4. Peut-être veut-on parler ici de quelques Préfaces de MM. Quétaut & Sed
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 20 ou 22 novembre : Xerxès — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 décembre 1660 »
ie Se pouvaient nommer, sur ma foi Un divertissement de Roi : Mais, à parler en conscience, J’eus bien besoin de patience : Ca
37 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
ul de ses salons de la rue Buffaut qui soit réellement digne d’étude. Parler de lui, c’est parler de sa maison. IV Tout
a rue Buffaut qui soit réellement digne d’étude. Parler de lui, c’est parler de sa maison. IV Tout le monde sait que ce
cles élogieux. C’est un chasseur de réclames. Et cela lui réussit. On parle presque autant de lui que de moi. VI Il n’e
à coup un mouvement se fit à la porte, le contrôleur vint tout joyeux parler à l’oreille de Markouski, dont le front se dérida
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
e. Le Seigneur joué jetait feu et flammes, et le parti de Bathylle ne parlait de rien moins que de brûler le Théâtre de Pylade,
ait aux armes. Auguste fit revenir Pylade, et le tumulte cessa. On ne parla plus de lois, d’injustice, de tyrannie. Ce ne fur
e profonde des hommes, et de l’art de les gouverner. Le plan, dont je parle , devait couler nécessairement de ces deux sources
39 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
t prise pour une de ses anciennes amies. — Je sais de qui vous voulez parler , répondis-je, mais je ne suis pas Mollie Fuller.
is pas à comprendre, je retournai à l’hôtel en question et demandai à parler au directeur. En me voyant il fut stupéfait. — Ma
n nom !… Pour mémoire, j’ajoute que la choriste américaine, dont j’ai parlé tout à l’heure, vint à Paris, et qu’un beau jour
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
le s’affirme librement. Mais au fait, librement n’est qu’une façon de parler . Dans les ballets, tels qu’on les donne aujourd’h
référons, pour le moment, sa Cléopâtre. À maintes reprises nous avons parlé ici-même des mérites de ce sujet qui sont évident
qu’elle soit Péri ou Salamandre ? Car on ne badine pas avec la danse. Parler de Mlle Lorcia sans citer Mlle Roselly, quel para
41 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Aduertissement. » pp. 1-3
es moyens que ie tais, & desquels ceux qui les sçauent ne peuuent parler qu’à sa confusion. En fin la longueur du temps no
eux ou trois sortes de reuerences, & de cela nulles nouuelles, ne parler que des trois premiers bransles fort legerement &
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
in. Le ballet cambodgien. J’ai vu les Cambodgiennes, il sied que je parle d’elles — et me voilà tout penaud, pauvre que je
s, pensives, sereines. Mais, encore une fois, je ressens un malaise à parler , au courant de la plume, de ces choses élaborées
43 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 20 décembre 1670 »
, Avec extase, avec liesse, J'en puis, ceci, mettre en avant, Et j’en parle comme savant. 141. Les Sieurs Hubert, du Crois
44 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
Lettre XV. Je vais avoir l’honneur de vous parler , Madame, des danseurs et des danseuses, qui depui
èrent les bien faits de la cour et l’estime des grands.   J’ai à vous parler encore d’une danseuse charmante, la Dlle. Théodor
a tout ce qu’il faut pour en avoir et pour se les attacher. Je vous parlerai enfin des rares dispositions de Gardel, (actuelle
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
ans un accès de frénésie, qu’il devrait être tranquille. La Pythie ne parle plus de nos jours ; ou si elle ose parler, c’est
tre tranquille. La Pythie ne parle plus de nos jours ; ou si elle ose parler , c’est la voix qui crie dans le désert. Tout le m
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 6 août 1661 »
Mais mon esprit se remémore, Qu’étant à Paris de retour, Lors que je parlai , l’autre-jour, De ce Ballet que tant on prise, J’
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
sent pour autant de merveilles : Mais n’en ayant vu qu’un essai, Bien parler encore je ne sais ; Si lundi l’on me fait la grâc
48 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
temps de l’ancien auteur du traité sur les spectacles, dont j’ai déjà parlé , plusieurs cherchoient dans les saintes Ecritures
l’Ecclésiaste ; n’a nullement pensé aux danses ; mais il a seulement parlé d’une manière historique de ce qui se passe conti
serai méprisable à mes propres yeux et devant les servantes dont vous parlez , et même j’en ferai gloire. Une danse où l’on es
e reste plus qu’à répondre à l’endroit de l’Evangile, où Jésus-Christ parle à des enfans qui disent à leurs compagnons : Nou
sa place. La première réponse qu’ils font est, que si les danses dont parle l’Ecriture étoient telles que celles d’aujourd’hu
t celles des femmes israélites et de David. Le but de ces danses dont parle l’Ecriture étoit « de se réjouir en Dieu en lui r
urs et toutes les horreurs des anciens spectacles, dont l’Ecriture ne parle pas. Les saints Pères qui ont essuyé de pareilles
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 décembre. Grands mots, petites danses. »
es rudimentaires d’une danse de grand style. Puis Mlle d’Etchessary a parlé de ses intentions qui sont plausibles ; celles av
cudero est un danseur de terroir ; il ne transpose ni ne stylise ; il parle son langage naturel. J’ignore s’il a du talent. M
50 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
s n’aurons pas besoin de nous baisser. Nous revendiquons l’honneur de parler de cette troupe et de lui offrir salut et fratern
et d’harmonieuse exaltation. Vous avez vu, dans les théâtres où l’on parle le mouvement gauche ou guindé, toujours amoindri
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 juillet 1661 »
us, pour voir tels miracles, On a quelquefois, tant d’obstacles, Qu’à parler en Homme-de-bien, Je ne me dois vanter de rien.
52 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
pénible pour moi, Madame, de me trouver dans l’impossibilité de vous parler d’une foule de danseuses dont la majeure partie m
pénible pour moi, Madame, de me trouver dans l’impossibilité de vous parler d’une foule de danseuses dont la majeure partie m
ées de travaux et de recherches, m’ont acquis, peut être, le droit de parler , de juger et de prononcer sur un art que j’ai app
53 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 22 novembre 1670 »
on pourra, donc, comme je crois, Beaucoup, ainsi, se satisfaire. Mais parlons de quelque autre Affaire. 140. sic.
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
le l’ensemble. Quant au grand pas de deux final, j’aurais encore à en parler . Le Renard, de Strawinsky, étant, selon le progr
une brève chronique. Mais je peux clore cette énumération, sans avoir parlé de l’absente, cette suave et triste Spessiva, la
55 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XI. Des Révérences de differentes façons. » pp. 29-34
dent par la maniere d’ôter son chapeau, il me reste maintenant de lui parler de chaque reverence en particulier pour lui en fa
s le pied droit pour m’assujettir à mes Figures démonstratives qui en parlent ,) pour le passer à la proportion ordinaire qui es
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
De bons vins et de limonades ; Bref, de diverses Mascarades : Mais (à parler ingénument) Le plus grand Divertissement, Tant de
d’ailleurs : Mais, surtout, certaine Pucelle44 Fait dire à ceux qui parlent d’elle, Qu’on n’en voit point dessous les Cieux Q
57 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
; gasconise comme s’il était encore dans sa Province ; enfin celui-là parle tellement du nez, qu’on serait tenté de croire qu
ntage. Cependant, quel renversement de l’ordre naturel ! La maitresse parle souvent plus mal que la soubrette ; le valet a le
rs bévues dans le débit même de leurs rôles. Combien de fois font-ils parler le Prince qu’ils représentent avec une fierté rid
s trois Ouvrages. On permettrait encore au petit nombre d’Acteurs qui parlent bien leur Langue, & qui, de nos jours, se son
Ne vous disputez que par gestes .... Maris, n’allez pas croire que je parle d’un certain geste expressif, qui met toujours un
58 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
istence ; son esprit va d’exaltation en exaltation. Il ne voit, il ne parle que du grand homme, et il en parle avec le délire
n en exaltation. Il ne voit, il ne parle que du grand homme, et il en parle avec le délire de l’enthousiasme : il me dit qu’i
z la seconde pour me répondre. Je vais remplir vos intentions et vous parler encore une fois de ce grand comédien. Daignez vou
ipal. J’avouerai que j’y ai vu des machines ingénieuses. Je vais vous parler de celle dont les effets m’ont parus d’autant plu
uité, et les convives n’étoient pas nombreux. A l’époque dont je vous parle , la majeure partie de la noblesse ne tenoit pas m
59 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
élassements, si vous voulez. Dans le chapitre précédent, j’ai omis de parler d’une petite actrice qui a bien aussi son côté bi
mon théâtre favori. Je suis un peu comme les amoureux, moi ; j’adore parler longuement de ce que j’aime. Oscar, — je l’ai dit
audeville amusant. Il joue de la flûte, du piano, de l’accordéon ; il parle italien, et pourrait au besoin donner des leçons
emblons un peu. Mais je suis mieux que lui. X Tout à l’heure je parlais des travaux de géant qu’il fallait accomplir pour
60 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31
cabrioles de nos danseurs, et aux minauderies de nos danseuses. Je ne parle point de cette partie du public, qui en est l’ame
, se jouent de mes sens au point de me montrer la nature, de la faire parler , de l’entendre et de lui repondre ; quelle sera m
mposition : faites danser vos figurans et vos figurantes, mais qu’ils parlent , et qu’ils peignent en dansant ; qu’ils soient pa
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
fortifie et augmente le charme de 1’ éloquence ; il est à l’homme qui parle , ce que sont les accompagnemens à l’homme qui cha
s élèves ; ils ont dans des genres opposés de très-grands talens : je parlerai d’eux lorsqu’il en sera tems, et en rendant homma
termine, Monsieur, et après vous avoir entretenu du métier ; je vous parlerai de l’art, c’est à dire de l’expression et de cett
62 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 janvier 1662 »
urs envie, J’y courrais bien plutôt qu’au feu ; Puis il faut que j’en parle un peu, Et que de ses pompeux mélanges J’instruis
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
duites, sans examiner, si elles sont utiles ou nuisibles. Or, pour ne parler que de la Danse, du Théâtre, je trouve dans ces i
autre, partie de cette action. La Danse cependant, par l’abus dont je parle , deviendra, dans cet endroit, une partie oisive,
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
est ainsi de toute représentation en Danse. Les trois parties dont on parle , sont, le commencement, le milieu et la fin, qui
lent peut produire. Saviez-vous que Pylade eût existé ? Vous avait-on parlé de Thymèle et d’Empuse ? On ne vous a montré jusq
65 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
e, s’enrichit, & l’Auteur meurt de faim : meurt de faim, façon de parler hyperbolique, qui approche pourtant de la vérité.
e deviendront les Comédiens, si j’amène la mode des Drames où l’on ne parle point ! Ce ferait leur jouer un assez mauvais tou
66 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
rioles de nos Danseurs, & aux minauderies de nos Danseuses. Je ne parle point de cette partie du Public qui en est l’ame
, se jouent de mes sens au point de me montrer la nature, de la faire parler , de l’entendre & de lui répondre ; quelle ser
ition : Faites danser vos figurants & vos figurantes, mais qu’ils parlent & qu’ils peignent en dansant ; qu’ils soient
67 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — II »
Tant qu’il y aura du tutu dans le ballet, on n’aura pas la danse. Je parle de tutu pour faire bref : Le tutu n’est qu’un sig
68 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
me la chose se peut faire, Hélas ! il faudra bien m’en taire, Ou n’en parler dans les miens Vers, Sinon de tort et de travers.
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IX. » pp. 62-63
emplir. Vous exigez des détails sur l’opéra ; vous voulez que je vous parle des gens à talens qui l’ont progressivement placé
70 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VIII. De la cinquiéme Position. » pp. 20-21
se posant le corps sur l’autre sans faire de mouvement forcé ; je ne parle pas des fausses positions, parce qu’elles m’ont p
71 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XV. Des Reverences en entrant dans un appartement, ou dans une assemblée. » pp. 47-48
e, en marchant au milieu de la compagnie. Mais au cas que vous aïez à parler à quelqu’un, vous allez l’aborder en faisant de p
72 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 8 novembre 1664 »
r excellence, De son temps, le Plaute, ou Térence. La Pièce dont je parle ici, Laquelle a si bien réussi, Est un sujet nobl
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
ou d’exécution ; la 2de danse pantomime ou en action. La première ne parle qu’aux yeux, et les charme par la simétrie de ses
que des sons faux et dissonants, lorsque l’art seul voudra les faire parler  : mais elles obéiront, et rendront au contraire t
comparaison n’a rien de relatif à l’acteur pantomime, puisqu’il doit parler sans voix ; je répondrai que ses gestes, le jeu v
74 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
vais pas et continuai à lire les jounaux, me grisant des articles qui parlaient d’elle. C’était de la magie, de l’irréel, un cont
r le directeur de ce théâtre, s’il vous plaît ? Quand je m’arrêtai de parler , mes dents se mirent à claquer si fort que j’en e
ésirez-vous de lui, petite fille ? Mon Dieu, me faudrait-il à nouveau parler devant tous ces gens ? Et, à ma stupéfaction, j’e
réalisait, mais me paraissait tout de même un rêve. Je ne pouvais ni parler , ni presque respirer, à peine pouvais-je prendre
sourd ! Je lui fis signe de se pencher vers moi pour que je pusse lui parler à l’oreille. — Elle dit que ces portraits ne sont
75 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
1661, (article 3, sur la sanctification des fêtes, n.° 4.) M. Vialart parle ainsi : « Désirant apporter remède aux abus et sc
ens des gens de bien… La véritable charité ne doit point se lasser de parler sans cesse contre les vices enracinés, et les mau
t les ennemis de ces esprits de malice. » Le même saint continuant à parler contre les danses, traite d’ennemis de Dieu ceux
de Paris, dans un sermon sur le troisième dimanche de l’avent, où il parle de la luxure, dit de ce vice, qu’il est un serpen
ialogue, au vingt-quatrième dialogue, qui est sur les danses, il fait parler la joie et la raison. La joie dit qu’elle trouve
il n’est aucun bon livre de morale, dont l’auteur, s’il a occasion de parler des danses, n’en parle pour les condamner, et pou
de morale, dont l’auteur, s’il a occasion de parler des danses, n’en parle pour les condamner, et pour exhorter les Fidèles
76 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XIII. De la maniere de faire les bras avec les Balancez. » pp. 247-248
es parties que naissent cette grace & cette delicatesse dont j’ai parlé ci-devant. Quant aux autres Balancez que l’on por
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
ommuns, ni si grands qu’ils le sont parmi nous. Ce saint docteur nous parle encore à nous-mêmes dans ses sermons qui sont ven
ue mérite un si grand saint, et plus encore la vérité éternelle qui a parlé par sa bouche. Je sais, dit saint Jean Chrysostôm
induxerit ut turpe aliquid un quàm aut faciat aut dicat  ». Ce saint parle encore sur la même matière, dans une homélie sur
 ? Ubi sermo obscœnus, adest diabolus sua efferens. Lorsque je vous parle ainsi, je vous suis peut-être trop à charge et tr
78 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
qui a voulu prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire. Sais-tu bien pourquoi j’ai fait ce liv
79 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
l. Il le faut absolument puisque vous me demandez la permission de me parler de l’avenir et que je dois vous refuser, c’est-à-
ir et que je dois vous refuser, c’est-à-dire vous supplier de ne m’en parler jamais. Je vous ai caché le secret de ma vie, et
ptés de la tendresse. J’ai aimé avec les sens, avant que mon cœur eût parlé et se fût révélé à moi-même. Mon intelligence, pl
on horizon encore plus noir et ma déception plus profonde. Je ne vous parlerai plus de ces choses, ne m’en parlez jamais, si vou
eption plus profonde. Je ne vous parlerai plus de ces choses, ne m’en parlez jamais, si vous m’aimez ! Je fais bâtir parce que
80 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
tutoie. Le nom de son père le fait rougir et il provoque ceux qui lui parlent de son origine. La loi sur les titres l’a profond
lleurs il ne veut pas la tromper : il n’a l’intention — c’est lui qui parle  — que de rire au peu, et voilà tout. Son refrain
81 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
c une joie d’enfant dans les flammes », dit Nodier ; et dansant, elle parle ainsi, la folâtre : « Les fleurs que tu trouves s
s votre main vous aurez une main vivante, non pas une ombre. Ainsi se parle le jeune Écossais à lui-même ; et le voilà, en ef
est l’horreur. Volons à travers le brouillard et l’air impur ! Ainsi parlent les sorcières de Macbeth. Les sœurs du Destin se
! « Peu à peu, à mesure que vient le jour (c’est toujours Nodier qui parle ), les vapeurs du lac élargissent les losanges flo
irculé entre tes lèvres, qui ait été pénétré par tes regards ! »Ainsi parle le poète, ainsi danse la fille de l’air ! La fête
x, le rêveur, le jeune homme, toutes les âmes en peine de l’idéal. On parlera longtemps encore de mademoiselle Taglioni la Sylp
82 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Les Ballets Léonidoff. »
y a encore un prologue qui, comme l’héroïne d’un poème de Verlaine, «  parlait italien avec un accent russe ». Quant à la protag
83 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
s une action pantomime. [4] Je pense que quand même Noverre 3 aurait parlé de tout ce qui concerne le mécanisme, et même le
s intéresser ni plaire. 1. La majeure partie des écrivains dont je parle , sont, à la vérité, de très bons littérateurs, ma
choux : « . . . . connus par leur science « Qui, sans être danseurs, parlent beaucoup de danse. » Je crois que les écrits de
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
ope, sortit enfin à cette époque de sa longue enfance ; elle apprit à parler le langage des passions qu’elle n’avoit pas encor
orts avec la danse en action.   Cette correspondance me donna lieu de parler des acteurs qui avoient enrichi de leurs talens l
lité, et sur la quelle il étoit écrit : tu n’iras pas plus loin.   Je parlerai de ces obstacles, et je prouverai qu’ils ne peuve
85 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
ques notions de la Danse Pantomime des Anciens ; et ayant promis d’en parler plus amplement, lorsque je ferais paraître quelqu
dues intelligibles au moyen de l’exposition. Quand on a la faculté de parler , il est aisé de se faire entendre ; et ces mêmes
ne étude du dessein. Enfin il faut acquérir l’expression, ou l’art de parler en dansant. Tout cela est si difficile qu’on peut
et cependant elle ne dure que vingt minutes. 21Il serait superflu de parler de la troisième unité, c’est-à-dire, de celle de
86 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
Lettre XVII. L e costume, Monsieur, dont je n’ai parlé que superficiellement, me paroit trop essentiel a
. Le maître des ballets, souvent homme-machine, bien plus accoutumé à parler aux jambes qu’à l’esprit, plus habitué aux mouvem
qui est étudié partiellement, dans ce que la nature présente de plus parlait , ne peut être adopté pour le théâtre, toutes les
s brasseurs livrés à leurs travaux grossiers. Dans un autre moment je parlerai de la danse telle qu’elle existe aujourd’hui. On
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre V. De quelques Danses des Romains »
dénomination nouvelle, étaient les mêmes, que celles dont on vient de parler , furent la peinture la plus licencieuse, et firen
88 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
Maison. Ce seroit ici l’occasion d’en étaler toute la grandeur, de parler de l’éclat de votre Sang, né pour former nos Rois
89 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
aient de bonne Maison, Et que c’était une Séquelle Qui méritait qu’on parlât d’elle. Certainement, je ne puis pas Dire tout
90 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
 ! Une pendule, c’est presqu’une compagne qui vit, qui conseille, qui parle  ; si j’en avais une il me semble que je serais mo
me de jeunesse qui brûlait lorsqu’on les regardait fixement. Quand il parlait , sa voix était celle d’un vieillard et ses yeux d
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
immanentes, des limites déterminées. Et voilà qu’à propos de danse on parle couramment décor, costume, littérature, psycholog
t, du reste, beaucoup moins étranger à la question, — mais surtout on parle musique. Aussi que de jugements faussés où la for
92 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
z au premier jour le jeune architecte que je vous expédie. Si je vous parle de lui comme d’un colis, ne pensez point que je f
votre existence celle d’une femme aimable et vertueuse. J’ose vous en parler pour la seconde fois depuis l’expiration de votre
93 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
d’Autremont, ou M. Flaminien, comme l’appelle Champorel quand il lui parle , a, comme je te l’ai dit, vingt-six ans, mais on
se forcer pour m’encourager. Il ne voulait pas encore, disait-il, me parler de ses projets de construction ; mais je lui ai r
94 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
nifiques durant le règne de Louis XIV, mais les bals publics, dont je parlerai bientôt, firent tomber tous les autres pendant la
95 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
ent l’oreille du corps, mais le Saint-Esprit ouvre celle du cœur, lui parle , et s’en fait obéir ; parce qu’il fait aimer ce q
96 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Avertissement. » pp. -1
Avertissement. J e vais parler librement et avec franchise des soi-disans maître
97 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
i danse mieux et autrement que celles qui l’ont précédée. Quand on ne parle ni à l’esprit, ni au cœur, il faut parler aux sen
l’ont précédée. Quand on ne parle ni à l’esprit, ni au cœur, il faut parler aux sens et surtout aux yeux48. » Puisque le ba
faut parler aux sens et surtout aux yeux48. » Puisque le ballet ne parlait « ni à l’esprit, ni au cœur », il n’était pas néc
es opéras ; il en dota quelques-uns avec prodigalité. Nous avons déjà parlé des splendeurs de la Tentation. Une anecdote cont
national fondé sur l’éducation séculaire des Français : nous voulons parler de Psyché, ballet en trois actes, de Pierre Garde
diriez-vous d’une pareille barbarie, ombres de Gardel et de Vestris ? Parlez -nous des ronds-de-jambe, des pointes, des ballons
. Th. Gautier les accable de ses sarcasmes : « Allez donc, disait-il, parler d’un changement quelconque dans une chose aussi s
98 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
re qui l’ayent surpassé. Il y a aussi apparence qu’Empuse dont il est parlé dans Suidas & Aristophane, étoit une Danseuse
a Danse, comme on les trouve dans la Corographie de Feuillet, dont je parlerai plus amplement. Il est bon de sçavoir que Thoinet
sé dans la Bibliothéque du Roi. On trouve encore quelques Auteurs qui parlent de la Danse de la Grue, inventée par Thésée, aprè
aissa pas de subsister encore long-tems dans le temple de Mars ; j’en parlerai plus au long dans son lieu. Tibere fit encore cha
e ; parce que ce Prince soupçonneux ayant défendu aux Siciliens de se parler , de peur qu’ils ne conspirassent contre lui, il l
mposition des Balets. La suite nous fera voir que les Auteurs qui ont parlé de l’art de la Danse, n’ont point porté leur imag
99 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
comme si elle avait été jouée, tandis qu’elle ne l’a point été ; j’en parle comme si le Public l’avait très-bien reçue, tandi
e se louer soi-même, & que la modestie n’était plus de mode. Sans parler des Extraits que tant d’Auteurs font de leurs Ouv
nt dans les Journaux, comme s’ils étaient d’une main étrangère ; sans parler des petites ruses en usage parmi les Littérateurs
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
ans doute ; c’est le génie ; il n’a point d’école. Je pourrois encore parler de ces acteurs tragiques qui créerent l’art de la
de croire que les généraux haranguoient les troupes en chantant ; car parler à haute et intelligible voix, n’est pas chanter.
t rudement le plancher pour marquer la mesure de chaque geste ; si je parle ensuite d’une flûte gauche nommée Tibia, faite av
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