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1 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
au docteur Véron. — Un mot de portier. — Des vers de Vermersch. — Un père authentique. — La danseuse, le vieux soldat et le
uthentique. — La danseuse, le vieux soldat et le marquis. — C’est mon père naturel ! — Les jeux de l’amour et du hasard. — U
eai à le suspendre et lui demandai avec bienveillance : — Quel est le père de cet enfant ? Elle me répondit naïvement : — C
soirs d’Opéra, Se pâmera, rien qu’à les voir, de joie… *** Oh ! les pères de danseuses ! Que dites-vous de celui-ci ? Mlle
r la première fois, au domicile paternel. La mère pleura beaucoup. Le père veilla, lui, toute la nuit. Il ne dit pas un mot
tir, le visage sombre et les mains crispées. Le petit frère suivit le père de loin et revint dire à sa mère qu’il venait d’e
droit chez le marquis de X… La mère se leva et courut à l’église. Le père de la danseuse F. S… avait en effet pénétré dans
posé un visage de circonstance, entra dans le salon où l’attendait le père de la danseuse. Ils se saluèrent gravement, et le
l’attendait le père de la danseuse. Ils se saluèrent gravement, et le père , prenant le premier la parole, dit ces simples mo
…, du deuxième quadrille, dit de M. de Z…, des Ganaches : — C’est mon père naturel. Les jeux de l’amour et du hasard ont ét
vous saviez !… Ah ! que je suis heureuse !… Je viens de retrouver mon père  ! — Mais je n’ai pas dit… essayait d’objecter le
la fillette une de ses camarades de loge, tu crois que M. V… est ton père  ? — Que tu es bête ! J’ai compris tout de suite q
2 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
avec un chiffon de tricot rouge autour de la tête. Derrière elle son père , une espèce de petit Polichinelle blême et crasse
jeunes gens de la ville… — C’est bien, c’est bien, messieurs, dit le père en saisissant le bouquet qu’il remit à sa fille. 
és. Elle ne dansait pas, elle passait. Elle s’arrêtait, parce que son père était souffrant. Je la vis monter l’escalier ; el
tis aussitôt et vis Mlle Fiori éperdue, qui cherchait du secours. Son père était gravement indisposé. Je lui offris de couri
mourir dans la matinée. J’ignore si une grande tendresse unissait le père et la fille, et si Mlle Fiori est une personne ex
se ou résignée. Je ne la vis pas pleurer. Elle agissait autour de son père , cherchant avec une grande présence d’esprit et u
n de payer et qui ne lui permettait pas de s’arrêter pour pleurer son père  ; c’est du moins ce qui me fut raconté dans l’hôt
es deux parvenus dans toute la force du mot. M. Fiori n’était pas mon père  ; c’était un vieux danseur désormais sans emploi,
s, et je n’avais pas encore la force physique de tenir un emploi. Mon père , car j’appelais ainsi M. Fiori, ne me produisait
illance. On me trouvait de grandes dispositions et on prédisait à mon père un grand avenir pour moi, à la condition… — On ac
gnement et du mépris pour la débauche que, malgré tous ses soins, mon père ne pouvait m’empêcher d’apercevoir, c’était surto
ter n’étaient pas, malgré toutes les instructions et les soins de mon père , d’une solidité bien rassurante. J’avoue que je n
her, deux bras vigoureux me saisirent et me remirent dans ceux de mon père , après m’avoir tenue un instant suspendue. Je n’e
cadavre. On le porta dans le foyer, et j’allais l’y suivre quand mon père me retint d’une main de fer, en me disant : « Eh
e, égarée et tremblante, je n’avais pas la force de questionner ; mon père accourut pour me dire : « Ce n’est rien, il va mi
je voyais à l’air troublé et consterné des autres personnes, que mon père me trompait et que quelque chose de grave était a
par ses regards qu’il ne répond de rien et ne peut se prononcer. Mon père m’emmène dans la loge, et répondant à mes questio
e veux être là, je ne le quitterai pas tant qu’il sera en danger. Mon père refuse, il veut que j’aille me coucher et que je
i on me contraint, je ne danserai plus ni le lendemain ni jamais. Mon père est obligé de céder après avoir épuisé les injure
nsentait à rester encore là quelques heures sans remuer. Et comme mon père , qui s’était glissé dans le foyer, voulait m’emme
faire de mauvais rêves. » Alors le médecin m’ordonna de rester et mon père fut obligé de se retirer. Quand le soleil fut lev
personnes étaient dans la pièce voisine. On lui dit que c’étaient mon père et moi. Il voulut nous voir ; mon père était bien
. On lui dit que c’étaient mon père et moi. Il voulut nous voir ; mon père était bien forcé de lui témoigner de l’intérêt et
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
u’on leur ôtât des divertissemens qu’ils avoient vu pratiquer à leurs pères , et qu’ils tenoient d’une coutume immémoriale : i
une obligation plus particulière de s’opposer aux danses, ce sont les pères et mères à l’égard de leurs enfans, et les maître
es en détourner. D’abord, c’est une obligation indispensable pour les pères et mères d’empêcher, autant qu’ils le peuvent, le
leurs enfans d’aller aux danses. Si, par une négligence notable d’un père et d’une mère, un seul de leurs enfans tomboit da
lâmer hautement de cette négligence ? Combien sont plus blâmables les pères et les mères qui, par une semblable négligence à
où ils sont en grand danger d’en commettre ! On est indigne du nom de père et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils e
le bruit de ce tonnerre ne réveille point de leur négligence tant de pères et de mères qui ne se mettent point en peine de l
eil, mais ils sont encore enfoncés dans une profonde mort. Les saints pères ont fortement parlé contre les mères qui, pouvant
lles étoient de mauvaises mœurs. A combien de plus grands dangers les pères et mères exposent-ils la pureté de leurs enfans,
e dangereux talent, dans cet art si funeste ! L’obligation qu’ont les pères et mères d’empêcher, autant qu’ils peuvent, leurs
irs des maîtres et maîtresses envers leurs domestiques, avec ceux des pères et mères envers leurs enfans, dans une exhortatio
ai cru devoir le rapporter tout entier. Il est tiré d’un sermon de ce père sur l’endroit de saint Mathieu, c. 25, où il est
t le talent qui lui avoit été confié. (ser. 94.) « Vous venez, dit ce père , de voir dans ce qu’on nous a lu de l’Evangile, q
elque état qu’ils soient, en ont d’autres sous leur charge, comme les pères et mères, les maîtres et maîtresses. « Ne croyez
terrible dont vous venez de voir qu’ils sont punis. » De ce que les pères et mères doivent, autant qu’il est possible, insp
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
vie et de mort. Dans les premiers temps de la République Romaine, un Père dans ses foyers était toujours aussi absolu, et s
équent très uniforme. La crainte et le respect des enfants pour leurs Pères , les bontés et les complaisances des Pères pour l
ect des enfants pour leurs Pères, les bontés et les complaisances des Pères pour leurs enfants, les services et l’amitié entr
’elles étaient assez rares. Ainsi l’anniversaire de la naissance d’un Père , le mariage d’un fils, l’arrivée d’un étranger, s
5 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
solue qu’on en fait sur soi-même en les confiant, fût-ce à son propre père . Après le mien, vous êtes certainement mon meille
’étais beaucoup trop jeune et trop écrasé par la volonté bénie de mon père pour savoir où j’allais. Je n’avais que vingt ans
t sans combat, vous ne pouviez m’apprendre ce que vous ignoriez ; mon père l’aurait pu, il avait adoré sa femme, il ne s’éta
e que, plus tard, il me fera voyager et voir le monde, mais son vieux père est dans un triste état de santé qui ne permet pa
lle, de la colère contre ses parents qui m’avaient trompé. Mon pauvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la
ais foncièrement égoïste et cruelle, jusqu’à souhaiter la mort de mon père . J’avais tort, j’ai hâte de vous le dire. Ses épa
ais-je lui avouer que j’avais eu tort de l’accepter de la main de mon père sans la connaître, ou que mon père avait eu tort
rt de l’accepter de la main de mon père sans la connaître, ou que mon père avait eu tort de croire que tout s’arrange pour l
s cruellement trop longues, car il me fallait laisser seul mon pauvre père habitué à ma société et à mes soins de tous les i
ui cacher la joie que j’éprouvais, mais je courus en faire part à mon père . Je le trouvai si pâle que j’en fus effrayé. Il m
le détestait. Je m’arrachai, moi, à la tombe à peine refroidie de mon père , je conduisis ma femme chez ses parents. Ils avai
èrement ma solitude d’Autremont où il m’eût été permis de pleurer mon père . On organisa, dans un château voisin, une partie
es bras sans me reconnaître. Ainsi, en moins d’un mois, j’avais perdu père , femme et enfant. J’étais seul au monde. Je couru
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
ose à recevoir sa promesse, Adèle tombe évanouie dans les bras de son père . On vole à son secours ; on la conduit dans son a
e est seule, pour écrire à Raymond. Elle l’engage à se déclarer à son père  ; elle lui promet de mettre tout en usage pour le
e se jette au milieu des combattans ; elle embrasse les genoux de son père . Raymond indigné se précipite aux pieds de Renaud
mé par la gloire, armé par l’Amour, impatient, de venger Adèle et son père , part avec la noble assurance d’un héros qui va c
le. Adèle le rend surtout intéressant : soutenue dans les bras de son père , et les yeux élevés vers le ciel, elle fait des v
euple, un cri perçant d’Adèle qui tombe mourante dans les bras de son père , rallument le courage et la fureur de Raymond. Il
son amant ; elle se jette dans ses bras pour n’en sortir jamais. Son père les unit. L’assemblée applaudit à cet hymen. On s
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
le démêlent toujours. On croit voir alors plusieurs enfants d’un même père , heureusement nés, élevés avec soin, et chargés d
air de famille qui frappe et qui rappelle malgré soi, le souvenir du père et des frères. Il en est au surplus de tous les A
res de leurs Lois : les enfants sont par habitude, les échos de leurs pères . On a de même la clef des Arts, lorsqu’on sait re
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
t dur. Il y avait quarante degrés au-dessous de zéro. En ce temps mon père , ma mère et mes frères habitaient une ferme à sei
ablement la maison. La santé de ma mère donnait des inquiétudes à mon père . Il alla donc au village de Fullersburg — dont la
a naissance et ne m’en suis jamais guérie. Mais, comme du côté de mon père j’avais des ascendants solides, j’entrai dans la
er mes parents. Ils leur donnaient cinq minutes pour se préparer. Mon père était un ami intime des personnes chez lesquelles
9 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
dinaire. Qu’on fasse attention aux raisons pour lesquelles les saints pères les ont si fortement condamnées, on verra que la
ent-elles moins dangereuses qu’elles ne l’étoient du temps des saints Pères , où un grand nombre de chrétiens vivoient encore
orité des anciens docteurs, il prétendoit pareillement que les saints pères ne blâmoient dans les spectacles de leur temps, q
 623 et 624.) « C’est lire trop négligemment les ouvrages des saints pères , que d’assurer, comme fait l’auteur, qu’ils ne bl
; et enfin tout le sérieux de la vie chrétienne. Dites que les saints pères ne blâment pas toutes ces choses et tous ces amas
en désir et dans la préparation du cœur ? On trouvera dans les saints pères toutes ces raisons et beaucoup d’autres. Que si o
avec les saints, en opposant à ce qu’ont dit contre elles les saints pères , ce qu’on lit dans l’introduction à la vie dévote
10 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
res dérobé par un voile ; les Danaïdes croyent d’aprés l’aveu de leur père , que ces statues sont celles de l’Hymen et de l’A
es Officiers se retirent, et les Danaïdes s’assemblent auprès de leur père  ; il les engage de jurer par les Divinités, dont
 ; immobiles et tremblantes, elles n’osent lever les yeux ; mais leur père , arrachant le voile qui déroboit les statues, mon
ïdes reculent épouvantées ; Hypermnestre frémissant du crime, que son père exige d’elle, tombe à ses genoux ainsi que ses sœ
s Danaüs de leur épargner l’horreur et le remords d’un parricide ; ce père barbare est insensible aux larmes et aux prières
nestre, qu’elles volent au parricide pour conserver les jours de leur père  ; Hypermnestre ne veut point tremper ses mains da
st conduit à Danaüs ; à cette vue Hypermnestre vole aux genoux de son père  ; elle le trouve insensible à ses prières ; Lincé
e sur Hypermnestre, qui, attentive à la conservation des jours de son père et de son époux, a volé au milieu d’eux, pour sus
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
a tendresse qu’elle doit à ses frères, par l’amour qu’elle doit à son père et à sa patrie, par l’honneur de sa famille, et p
peint ce que la fureur a de plus affreux. Les Horaces partent ; leur père et Procule les suivent, Fulvie fait mille tendres
l’honneur : qu’il mourût. Dans cet instant Tullus qui apperçoit le père du vainqueur, court à lui, lui montre son fils co
s de sang, et étendus sur la poussière ; il s’arrache des bras de son père  ; il se précipite sur les corps de ses frères ; i
que l’amour au désespoir peut inspirer de barbare ; elle insulte son père qui fait de vains efforts pour la calmer ; elle m
riomphateur : on le charge de fers ; il se jette dans les bras de son père  ; il fait à Fulvie les plus tendres adieux ; il p
s. Il a vaincu en héros ; il doit mourir en Romain. Horace jure à son père qu’il ne démentira pas, par une foiblesse indigne
e précipite dans les bras de Procule ; Fulvie tombe aux genoux de son père  ; le vieil Horace serre dans ses bras son fils et
orace, lui donne Fulvie ; il accepte ce bienfait avec transport ; son père se saisit de ses trophées, les porte en triomphe,
12 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père, » pp. 1-4
Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père , ci-devant membre du Conservatoire de Naples, e
escendu dans mon propre cœur. [5] C’est à vous, respectable et tendre Père , que je dois, après la vie, une éducation, dont p
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
la repouse avec douceur et semble lui reprocher d’avoir abandonné son père , sa mère et lui-même, pour suivre un étranger séd
ne femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la grace de leur père . Scène x. Dans ce moment Zirca et Fatmé qu
t leur surprise et leur indignation ; Eliza vole dans les bras de son père et de sa mère ; ils la repoussent ; elle tombe à
honteux et plus contrit que jamais, se traîne sur ses genoux vers ce père irrité ; sollicite son pardon ou la mort ; les de
elève Belton et lui pardonne. Eliza se précipite dans les bras de son père et de sa mère ; elle leur exprime ainsi que Belto
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
c’était peu de mois après une révolution qui avait éclaté à Haïti. Le père de notre ami, un des grands financiers de l’île,
et trouva tout son monde sain et sauf à l’exclusion de son malheureux père . Après m’avoir raconté cette histoire qui expliqu
d’un joli et bon sourire : — Je peux dire « mon vieil ami », car mon père , déjà, était un vieil ami de son père. — Vraiment
dire « mon vieil ami », car mon père, déjà, était un vieil ami de son père . — Vraiment ! dis-je, au comble de la joie. Vous
15 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
épouses immolent par obéissance aux volontés barbares de Danaiis leur père , cette action se passe dans la première nuit de l
traste ; les embrassemens de deux époux qui s’adorent, la colère d’un père farouche, craintif et sanguinaire présentoient de
bés aux regards du public. Oreste prévenu à l’avance du retour de son père à Mycènes y arrive. Il apprend par Electre l’assa
ar Electre l’assassinat affreux qu’Egiste vient de commettre sur leur père . Oreste au désespoir ne respire que vengeance. Il
ravers les flammes, cherche de l’oeil et de la main l’assassin de son père  ; il l’apperçoit, vole à lui et armé du fer venge
, si une femme jalouse et barbare qui empoisonne sa rivale, brûle son père , poignarde ses propres enfans, et embrâse le pala
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
e danseur le plus étonnant de l’Europe, Vestris le fils, élève de son père , il parut à l’opéra dès l’âge le plus tendre. Son
ue l’intelligence ce nouveau genre entièrement opposé à celui que son père lui avoit donné ; il y obtint le plus grand succè
cessivement des pertes que le temps n’a pu encore réparer. Vestris le père , Mlle. Heynel, Dauberval, les Dlles. Allard et Th
ce clair-obscur qui constituent le charme des beaux-arts. Vestris le père faisoit la pirouette beaucoup mieux que son fils,
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
e Baïf né à Venise pendant le cours de l’ambassade de Lazare Baïf son père , et de retour en France après sa mort, y fit pour
njustice de la fortune. Baïf avait reçu à Venise sous les yeux de son père , les commencements d’une bonne éducation, il y av
18 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
e suffisant à un héros, pour immoler à sa vengeance l’assassin de son père et l’usurpateur de son trône. Si toutes ces raiso
ouleur d’Electre et d’Iphise, embrassant le corps ensanglanté de leur père  ; de l’autre, il eût fait éclater la joye barbare
incesses au comble du bonheur ne peuvent se détacher des bras de leur père . Electre, qui connoît la cruauté de sa mère, la b
l’horrible mystère : elles s’éloignent rapidement pour porter à leur père ce funeste avis. Scène ii. Clytemnestre so
s. Scène vi. Electre et Iphise , qui ont vainement cherhé leur père dans le palais ; ardentes à le sauver, courent pr
ontinuant leur recherche. A la vue de Cassandre assassinée et de leur père mourant, elles jettent des cris de désespoir ; el
insulte, elle jure à Egisthe que son bras saura venger la mort de son père , punir un lâche assassin et un infâme usurpateur.
d’un crime découvert. Scène ix. Electre vole aux pieds de son père , lui parle, le serre dans ses bras, mais le trouv
sser toucher, la fuit avec horreur, lui jure de venger la mort de son père et s’abandonne à toute sa fureur. Iphise se jette
le fer dont le cruel Egisthe s’est servi pour percer le cœur de leur père . A ce recit Oreste frémit d’épouvante et de rage 
vengeance, Oreste veut aller faire des libations sur la tombe de son père  ; il entre dans le tombeau, il descend dans le so
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
e est la suite d’Agamemnon ; Oreste, après avoir vengé la mort de son père , et assassiné involontairement Clytemnestre sa mè
phigénie tremble pour les jours de son frère, Eumène pour ceux de son père , Isménie pour ceux de son époux, qui lui même fri
e l’amitié et de la reconnoissance. Eumène court dans les bras de son père  ; Oreste se jette dans ceux de son ami et ne les
igénie soit vue avec la même bonté, et reçoive le même acceuil que le père . Ce sera m’encourager et me fournir le moyen de f
émit sur les suites de ce projet ; Iphigénie la conjure d’engager son père à favoriser la fuite d’un des étrangers en lui se
le part en lui promettant de mettre tout en usage pour déterminer son père à servir ses desseins. Scène vii. Iphigéni
la main, paroît avec Eumène et Arbas. Cette Prêtresse à déterminé son père à se charger de la fuite d’Oreste. Iphigénie prés
s de donner la mort à Arbas ; Eumène couvre de son corps celui de son père  ; les Prêtresses subordonnées aux ordres d’Iphigé
20 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
du qu’elle seule peut faire revivre. Mlle. Heinel a épousé Vestris le père et la Dlle. Rose vient de mourir à St. Pétersbour
es genres à sa disposition. La Dlle. Clotilde est élève de Vestris le père  : c’est faire son éloge. Cette danseuse a une tai
du qu’elle seule peut faire revivre. Mlle. Heinel a épousé Vestris le père et la Dlle. ROSE vient de mourir à St. Pétersbour
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 août : Ballet du Mariage du Lys et de l’Impériale accompagnant la tragédie de Collège Clementia Christiana — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 21 août 1660 »
us éclatants, Plurent fort aux sieurs Assistants, Surtout au Nonce du Saint Père , Qui prit plaisir à ce mystère, De sa présence l’
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 août : Le Ballet des Destins accompagnant la tragédie de collège Jonathas — Lettres en vers de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 11 août 1669 »
rares talents, Que chacun justement espère Qu’il suivra les traces du père . Cet aimable et charmant Marquis L’admiration s’e
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 5 août : Ballet des Songes accompagnant la tragédie de collège La Prise de Babylone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 8 août 1671 »
nce, Avait pris soin de ce Ballet, Demi-sérieux, & follet, Et les Pères , de tout le reste : Surquoi160, fort surement, j’
24 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
te ; sa poitrine était étroite, son dos légèrement voûté. Lorsque son père l’eut conduite à Paris pour lui faire prendre les
rande partie à l’éducation artistique que Marie Taglioni reçut de son père . Celui-ci n’était pas, bien s’en faut, un chorégr
 : « Comme les artistes des grandes époques de peinture, M. Taglioni père fonda pour la danse une école nouvelle, bien diff
décence et sans pudeur… L’école, le style, le langage de M. Taglioni père disaient tout le contraire : il exigeait une grac
’accablantes fatigues, des larmes, rien n’attendrissait le cœur de ce père , rêvant la gloire pour un talent qui portait son
e réveillât. Cette galanterie fut accueillie comme une insulte par le père . « Dites à ce monsieur, s’écria-t-il, que moi, so
nsulte par le père. « Dites à ce monsieur, s’écria-t-il, que moi, son père , je n’ai jamais entendu le pas de ma fille ; le j
la Révolte au Sérail. La Fille du Danube, composée pour elle par son père et mise en musique par Ad. Adam, la fit reparaîtr
renferment un grand nombre de reçus signés par Mlle Taglioni, par son père ou par son homme d’affaires, et qui attestent ces
courroucé. Cette exécution ne consola pas Marie Taglioni. En vain son père joignit les paroles les plus persuasives à celles
25 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
et aussitôt ces mots paraissent sur la base. Viens, cours, venge ton père . 29Et dans le même moment un poignard tombe à s
qu’il est fils de Ninus, il reçoit le Bandeau Royal, et l’épée de son père , et on lui ordonne de la part des Dieux d’entrer
26 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
Il est noble d’origine et légèrement plébéien d’instinct. Lorsque son père tient serrés les cordons de la bourse, il emprunt
donne vingt lianes de pourboire au garçon qu’il tutoie. Le nom de son père le fait rougir et il provoque ceux qui lui parlen
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
r trop délicats en leurs mœurs), il nourrit deux chiens nés d’un même père et d’une même mère ; et en accoutuma l’un à toute
s voyez, Citoyens mes amis, comme ces deux chiens étant nés d’un même père et mère, sont devenus fort différents l’un de l’a
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
ne fois connus, on ne doit plus être étonné des éloges que les Saints Pères font de la Danse, dans mille endroits de leurs éc
oie et l’agilité avec lesquelles on doit aller à Dieu ; et lorsque ce Père reproche à l’Empereur Julien l’abus qu’il faisait
29 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
es ballets de l’Opéra. Experte en son art, comme son oncle, comme son père , qui fut longtemps chargé de la classe des garçon
e les dents ne sentent pas le renfermé. Sa famille vit de l’Opéra. Le père y était, je crois, musicien à l’orchestre ; le fi
t Très appétissante. Je crois qu’elle vit tranquillement avec son père qui est chef des comparses. Mais pourquoi diantre
ir mère ! — Diable ! — Et ce qu’il y a de plus affreux, c’est que mon père me tuera !… Oui, il me tuera !… Je suis perdue !
 !… Je suis perdue ! — Voyons, ne vous désolez pas !… Je verrai votre père , je lui parlerai, je lui ferai entendre raison… I
e à l’Opéra. Mademoiselle Hayet Une toute jeune fillette. Son père était un chanteur applaudi. Sa mère donne des leç
plus rusées ribaudes que je sache… » Mademoiselle Perrot Le père et le frère dansent à l’Opéra. La mère a dansé à
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
22.) Oui, dit-il, devant le Seigneur qui m’a choisi plutôt que votre père et que toute sa maison, et qui m’a commandé d’êtr
dans l’affaire du salut, que cette parabole est destinée. Les saints Pères sachant combien les mauvais chrétiens sont dispos
eurs des anciens spectacles, dont l’Ecriture ne parle pas. Les saints Pères qui ont essuyé de pareilles difficultés, nous ont
e ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le
ncupiscence des yeux, ou orgueil de la vie ; ce qui ne vient point du père , mais du monde. Si la concupiscence n’est pas de
31 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
seulement que la Rosière ait une conduite irréprochable, mais que son père , sa mère, ses frères et ses sœurs soient eux-même
de l’innocence. La petite Javotte court chez elle pour instruire son père et sa mère du choix de la communauté. Scène II
Colin et se jette dans ses bras. Javotte enchantée, vole avertir son père et sa mère ; ils accourent, ils voyent Colin, l’e
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
de, qu’on exécuta le 18 janvier 1668, fut la dernière, où ce Monarque Père des Arts prit le masque. Il n’avait pas encore tr
33 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
ge, et filles de marbre et baronnes d’Ange sont apparues aux yeux des pères de famille moraux et des collégiens désireux comm
ouvée au Casino-Cadet, à seize ans. J’ai toujours aimé la danse ; mon père soutenait que ma mère avait eu un regard de Marko
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
quarantaine d’années ont porté leur art à la perfection. Vestris le père hérita du beau talent de Dupré et de son sobrique
ature lui avoit donné tout ce qu’il falloit pour remplacer Vestris le père . Il est malheureux pour les progrès d’un art dont
35 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
mmandeur. Il obtient l’entrée dans la maison où il est surpris par le Père . Il se bat contre lui ; le Commandeur est tué ; o
36 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
ps et des pas, 64. Traduction des passages italiens, 115. V Vestris, père , 80. — Auguste, 31, 93, 94. Vigueur, force, 45.
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
e un grand méchef, Le fatal pennache29 du chef S’étant dégagé vers le Père , Il arrive, enfin, que le Frère, Qui paraît doux
38 (1860) Mémoires de Rigolboche « Dédicace. A Mané de l’Indépendance belge » pp. 1-4
sur vous. Je suis votre créature, je vous appartiens ; vous êtes mon père . — Bonjour, papa Mané. Vous voilà forcé d’accepte
39 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
té de renom, Est, du moins, morte par le nom, Qui n’est plus que pour Père et Mère, Que, de longue-main, je révère, Étant le
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
alier,90 Faisait un Momon singulier. Notre DUCHESSE de CHEVREUSE, EN Père et Mari bienheureuse, Et qui, d’ailleurs, ne manq
41 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
s, je parle toujours (excepté dans la note (I), p. 79, où je cite son père ), de M. Auguste Vestris, à qui nous ne pouvons en
is regrettent de ne plus voir sur leur théâtre, de ce danseur que son père , qui ne connaissait dans l’Europe que trois grand
42 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
. Première grande division du genre : 1° La Lorette sous puissance de père et mère. 2° La Lorette émancipée. Division de l’e
rents anonymes. 4° La Lorette exotique. La Lorette sous puissance de père et mère, portiers, a pour boudoir une soupente ;
paternel une tasse avec une anse, c’est la Lorette sous puissance de père et mère qui en fait usage. Sa mère prend son café
ant qu’une aile, la Lorette doit l’accepter. Si elle la refusait, son père lui donnerait sa malédiction. Le père de la Loret
lop, qu’il paie en resemelages. Si la Lorette a une robe neuve, le père pleure de joie, et prie le fils ou le neveu du pr
ils ou le neveu du propriétaire de conduire sa fille au spectacle. Le père va se cacher au parterre, il dissimule son droit
le nom de l’auteur ne nuise à l’admiration qu’on a pour l’ouvrage. Le père pense un matin que la jeune plante s’étiolera dan
’elle sauve avant tout du sinistre, elle laisserait plutôt brûler son père que ces trois objets. Ces trois objets sont : sa
e au passage et presqu’au vol. L’Arthur de la Lorette en puissance de père et mère est presque toujours un clerc d’huissier,
Arthur vaudevilliste est très-recherché de la Lorette en puissance de père et de mère, elle sait que les coulisses donnent l
lle a entendus le soir. L’Arthur fait l’orchestre sur un mirliton, le père pleure ou applaudit. — Nina, dit la maman émue, j
uets contre les taches de rousseur. L’Arthur pharmacien entretient le père et la mère de la Lorette de poudre d’eau de Seltz
 : Une jeune fille des environs de Vendôme, arrachée au chalet de son père , vient à Paris, et, après quelques transformation
La fumée du cigare est appelée à remplacer provisoirement ce que nos pères nommaient dans leur temps, les brouillards de la
43 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
n choreas, et concionem in scurrilitatem  ». Après cette plainte, les pères du concile disent : « Nous condamnons et réprouvo
r de l’homme est si naturellement porté au mal, que ce que les saints pères ont autrefois établi pour réunir les peuples dans
44 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
n effet, j’appris, par une tierce personne, qu’il avait déclaré à son père qu’il voulait m’épouser. Il y eut une scène viole
lait m’épouser. Il y eut une scène violente entre les deux hommes. Le père menaça de déshériter le fils. Et le pauvre garçon
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
e sont associés pour maintenir intactes les méthodes vocales de leurs pères et pour réagir contre l’attitude des professionne
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
. Le jour vint pourtant où ma mère mourut. Puis ce fut le tour de mon père . Et je dus quitter la maison vide. Je m’en fus au
arbon dans la maison, mais il y avait, en revanche, trois malades. Le père balayait la neige dans les rues, pour gagner quel
urtant notre gamin chantait en trottant derrière la voiture comme son père sifflait en balayant la neige. La misère n’est-el
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
s Intermèdes de leurs Tragédies, le tableau d’un événement dont leurs Pères avaient partagé la gloire. [Voir Danse de la Grue
48 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
r. Elle était si étonnante, que je lui fis faire une petite robe. Son père , le docteur Palmer, fit installer chez lui une la
La fille du directeur voulut à toute force faire ma connaissance. Le père prit des informations à mon sujet, et m’écrivit p
49 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
assions différentes : un des côtés par exemple traçoit la colère d’un père en courroux, l’autre côté offroit tous les traits
es avec transport par des hommes d’un rare mérite, et en présence des pères de la sculpture et de la peinture ; arts portés à
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
tendre, ambitieux, ingrat et perfide. Creuse, qui suit les pas de son père , interprête défavorablement son inquiétude, il l’
i ; elle se jette sur son corps, mêle ses souffrances à celles de son père , et veut, en mourant dans ses bras, confondre son
51 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
manière. Toutes les portes des maisons en étaient bientôt ornées. Les Pères , les Mères, les Parents, les Amis, attendaient to
52 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
déchirée par les désastres de sa famille, par la mort tragique de son père , par la perte qu’elle vient de faire d’une mère t
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
prendre ce qui ne vous appartient pas. Elle vous dit : Honorez votre père et votre mère ; et vous manquez au respect que vo
leur cœur et de toute leur ame . Salomon parlant à Dieu de David son père , lui dit : (3 Reg. 3, 6.) Vous avez usé de misér
i dit : (3 Reg. 3, 6.) Vous avez usé de miséricorde envers David mon père , selon qu’il a marché devant vous dans la vérité
bouche de J. C. par laquelle, quoiqu’il soit assis à la droite de son père , il ne cesse de nous parler : (serm. 85, n.° 1.)
mmis et quelle peine mérite un pasteur, qui, ayant lu dans les saints pères que la danse est une pompe du diable, un piége de
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. Les
es SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. Les saints Pères qui ont été chacun dans leur temps les organes de
oie insensées. » (M. Cotellier, dans son recueil des ouvrages des SS. Pères qui ont fleuri dans les temps voisins de celui de
s moyens qu’il emploie pour les perdre. Les esprits de malice, dit ce père , n’ayant pas maintenant la liberté d’exercer leur
55 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
le cercle trop étroit. Ce beau danseur servit de modèle à Vestris le père  ; celui-ci le surpassa en goût, en intelligence,
sque infidèle de la nature. Au reste, ce sont les Dupré, les Vesttris père , les Dauberval, et les Le Picq qui ont été les mo
i à regret qu’on a passé la ligne, et le point juste, que les Vestris père , les Dauberval, et les le Picq, avoient invariabl
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
ant des flambeaux. Ce n’était pas le duc, qui a vingt-six ans, ni son père , qui est mort depuis longtemps. Mais ce pouvait ê
istence que tu m’as faite à celle de ce grand seigneur riche qui a eu père et mère, femme et enfant, et qui vit tout seul à
u’elle n’avait remarqué personne, qu’elle était tenue de près par son père et qu’elle était une enfant parfaitement innocent
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
es barbares frères. L’Égypte le couronnait, le reconnaissait pour son père , pour son bienfaiteur, pour son Roi. On réservait
58 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
ce et de retenue, qu’y a-t-il de plus agréable que des enfans pour un père qui les aime ? Et quoi de plus doux, pour un mari
ucoup d’autres divertissemens. Imitons du moins, dit toujours le même père , (un peu auparavant) les Barbares chez qui il n’y
59 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
o. — Une nouvelle direction. — Saint-Léon. — La Fille de Marbre. — Le père de la débutante. — A Londres. — Un fameux pas de
. *** Fanny — ou Francesca — Cerrito était née à Naples, en 1821. Son père était une sorte de vieux caporal non moins tendre
60 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
ls sont plus habiles dans l’art de conduire les ames, que ces anciens pères  ? On ne donne à la conduite de ces confesseurs, s
61 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
une glace. Ce fut là, occupée à se faire des mines, que monsieur son père la pinça, un beau matin, à Barcelone, vers 1867.
nrayer une vocation aussi clairement manifestée. L’année suivante, le père et l’enfant débarquaient à Paris, hôtel de Sarago
verre de malaga ; à six, le dîner de famille. La diva vit, entre son père et son frère, dans une uniformité paisible, recev
62 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
sauvages dansent autour de leurs idoles et sur les tombeaux de leurs pères . On sait que, chez les peuples de l’antiquité, le
63 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
jouer. Le grand Acteur, La Thorillière, Fait un Roy, de Psiché, le Père  : Et montre tout l’air d’un Héros, Dans son geste
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
résenter Hector : Voilà le Fils, s’écria la multitude, où est donc le Père  ? Un Danseur qui représentait Capanée était d’une
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
a révélé dans ses Ecritures, et par la tradition constante des saints pères , que les danses ne peuvent que causer la perte ét
66 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
entrée d’Apollon, échue à M. Aveline en survivance des sieurs Vestris père et Gardel aîné, est la plus étoffée de toutes. Ca
67 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
C’est avec raison que les mythologistes font les arts enfants du même père . Euterpe est tellement liée avec Terpsichore, qu’
68 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
Sully, Duchesse des mieux née, De quantité d’appâts ornée, Et dont le Père , assurément, Fut Homme de grand jugement. Créqu
69 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
la République et des Arts. Elle était née à Toulouse, en 1777, d’un père italien qui avait joué la comédie. Elle eut pour
ssante drôlesse, on aurait baisé le… nez de l’Empereur d’Autriche, du Saint Père , du roi de Prusse, de Blücher et de Wellington !!
ous allez le décourager ! Quant à Adèle Dumilâtre, personne parmi nos pères n’a oublié le front large ; aux tempes molles et
is, au second acte de Giselle. Hélas ! Myrtha — et Sophie avaient un père  ! Le père Dumilâtre, — qui avait été tragédien, —
mme ça !… Sophie apparaissait à son tour. Même question de la part du père . Même réponse de la part du voisin. Là-dessus, le
70 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
st que l’œil européen est tout pareil à l’œil du poisson, répondit le père . Cela me donna l’envie de connaître son impressio
71 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
rd dans le drame de ce nom. Notre troupe s’arrêta à Philadelphie. Mon père et ma mère étaient avec moi et nous prenions nos
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
place à la joye et à l’allégresse. Cryséïs vole dans les bras de son père  ; d’autres se précipitent dans ceux de leurs mère
73 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114
me frappa, je m’y attachai, et j’en fis l’essai sous les yeux de mon père . Pendant qu’il improvisait sur le piano-forte, je
74 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
ce sujet, que dernièrement j’avois fait une chanson pour la fête d’un père de famille qui a cinq filles très-aimables, et do
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
Castelnau, beauté singulière, Douce fleur, rose printannière, Dont le Père , Homme martial, En mourant fut fait Maréchal. M
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
Fanny, naquit à Eisenstadt, le 3 mai 1769. Il fut musicien comme son père , comme son frère aîné. Après la mort du père, il
l fut musicien comme son père, comme son frère aîné. Après la mort du père , il partagea avec son frère les travaux de copie,
d’Haydn. Le compositeur, qui avait servi de témoin lors du mariage du père , donna au fils la même preuve de sa sympathie. Je
fille son goût pour cette occupation fine et propre entre toutes. Le père copiait d’une écriture superbe les compositions d
77 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
n chants, accompagnée de danses, de machines et de décorations. » Nos pères aimaient à dire que c’était là un spectacle unive
vrages Jean-Antoine Baïf, qui, né à Venise pendant l’ambassade de son père , avait pris le goût de ces représentations, et, e
est toute religieuse : un cardinal fut son parrain ; un abbé fut son père nourricier ; l’Église lui fournit son premier com
u chaos ; et lorsqu’il est arrivé qu’on ait donné à Lulli le titre de père de l’opéra français, personne n’a pensé à lui con
moins les voies aux Messies qui pouvaient se présenter. Laïs, Dérivis père , Nourrit père, Lavigne, mesdames Branchu et Bigot
s aux Messies qui pouvaient se présenter. Laïs, Dérivis père, Nourrit père , Lavigne, mesdames Branchu et Bigottini, disputai
et le diable ont triomphé de tous les obstacles. Sous les rois de nos pères , les grands seigneurs se glorifiaient de l’Opéra,
78 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
de se montrer avec les traits intéressants de la nature. Vest ris le père avoit obtenu de la cour de France la permission d
79 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
pectacle, et les anciennes rubriques aux quelles ils sont attachés de père en fils. A peine est-il permis à un maitre de bal
oient rien au dessus de Lulli, mettre en musique les chefs-d’œuvre du père et du créateur de la poèsie lyrique. Cet homme, d
se connoissent à peine et qui s’évitent toutes, ressemble assez à ces pères , qui confient l’éducation de leurs fils à des mai
e, devient maussade et ennuyeux. Voilà l’image du poète dans celui du père , et l’exemple du drame dans celui de l’enfant. Vo
80 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
grave ou sérieux, beaucoup plus que nous et que les Dupré, et Vestris père , ont été les modèles les plus parfaits de ce genr
81 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
plus belle venue m’a demandé très-sérieusement comment se portait mon père , M. Rigolboche ? II L’histoire de ce baptêm
82 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
roi prenait plaisir à consoler ces malheureux de la barbarie de leurs pères . Voyez Castrati [Article de d’Alembert], Chant, C
83 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
alement et grande amie de Madjeska. Elle aussi était en exil avec son père , qui avait osé écrire un livre libertaire intitul
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
té dans le moule des graces, et être construit comme l’étoit VestRiis père , et Le Picq. Ces deux danseurs ont porté leur art
85 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
. Il vole ensuite vers les prêtres ; il les conduit au tombeau de son père  ; il s’y prosterne avec eux et tâche en vain de l
86 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
Taglioni, après une leçon de deux heures que venait de lui donner son père , tomber mourante sur le tapis de sa chambre, où e
87 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
se l’un et l’autre et remonte en furieux pour porter du secours a son père et à sa mère. La jeune femme pâle, échevelée et m
avec brutalité le vieillard et sa femme ; le jeune enfant vole à son père  ; il lui montre sa mère qu’il croit morte, à ce s
e dansante qui ne date que depuis soixante-dix ans et dont Vestris le père et Mlle. Heinel ont emporté ces titres qui leur a
88 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas ; la mère pleure, le père reste stoïque, impassible, endosse son ancien uni
ille au moment où celle-ci achève de se maquiller : « Mon enfant, ton père est mort ! » L’enfant candide, étouffant un sangl
89 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
montrer par un grand nombre d’autorités des saintes Ecritures et des Pères , et par les plus fortes raisons, que les danses d
tre XIII, XIV, XV, XVI. Enfin, après avoir prouvé par l’Ecriture, les Pères , les conciles, les païens même, que les danses so
90 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
Le gandin. Me conseilles-tu de la garder ? L’ami. Ça dépend. Ton père double-t-il enfin ta pension ? Le gandin. Oui.
91 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
ncile. Le Cardinal Hercule de Mantoue qui y présidait en assembla les Pères , pour déterminer la manière dont le fils de l’Emp
92 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
Nous tirerons ces preuves, 1.° des saintes Ecritures ; 2.° des saints pères et des saints docteurs de l’Eglise ; 3.° des conc
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
jours ; les mères ne tremblent plus sur le sort de leurs filles ; les pères peuvent se livrer sans trouble à l’espoir de voir
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
veut se précipiter dans le bûcher et unir ses cendres à celles de son père  ; puis volant vers Déjanire, il se saisit du fer
95 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159
un genre diamétralement opposé les a mis en pratique. Mais Vestris le père , en les étendant et y mêlant plus de variété, les
96 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
e du seizième siècle. Jean-Antoine Baïf, né à Venise, pendant que son père y était ambassadeur, fut le premier parmi les Fra
97 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
mptitude nous devons courir vers les biens spirituels ; et lorsque ce père reproche à Julien l’abus qu’il faisait de la dans
en moins que délicat sur les mœurs, fut forcé d’exclure du sénat, des pères conscrits qui s’étaient avilis jusqu’au point d’e
98 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
toute tracée dès le jour de sa naissance dans le palais royal de son père . Chacun sait que la vie d’une princesse royale ox
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
voir de l’âme. Il faudroit jouer, disois-je un jour à un comédien, le père de famille et le fils naturel. Ils ne feroient po
ravagant. On s’est écrié par la même raison que le fils naturel et le père de famille n’étoient point des pièces de théatre,
100 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
s où l’Eglise pleure la mort et l’absence de Jésus-Christ. Les saints pères expliquent aussi que c’est pour cette raison, qu’
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