au docteur Véron. — Un mot de portier. — Des vers de Vermersch. — Un
père
authentique. — La danseuse, le vieux soldat et le
uthentique. — La danseuse, le vieux soldat et le marquis. — C’est mon
père
naturel ! — Les jeux de l’amour et du hasard. — U
eai à le suspendre et lui demandai avec bienveillance : — Quel est le
père
de cet enfant ? Elle me répondit naïvement : — C
soirs d’Opéra, Se pâmera, rien qu’à les voir, de joie… *** Oh ! les
pères
de danseuses ! Que dites-vous de celui-ci ? Mlle
r la première fois, au domicile paternel. La mère pleura beaucoup. Le
père
veilla, lui, toute la nuit. Il ne dit pas un mot
tir, le visage sombre et les mains crispées. Le petit frère suivit le
père
de loin et revint dire à sa mère qu’il venait d’e
droit chez le marquis de X… La mère se leva et courut à l’église. Le
père
de la danseuse F. S… avait en effet pénétré dans
posé un visage de circonstance, entra dans le salon où l’attendait le
père
de la danseuse. Ils se saluèrent gravement, et le
l’attendait le père de la danseuse. Ils se saluèrent gravement, et le
père
, prenant le premier la parole, dit ces simples mo
…, du deuxième quadrille, dit de M. de Z…, des Ganaches : — C’est mon
père
naturel. Les jeux de l’amour et du hasard ont ét
vous saviez !… Ah ! que je suis heureuse !… Je viens de retrouver mon
père
! — Mais je n’ai pas dit… essayait d’objecter le
la fillette une de ses camarades de loge, tu crois que M. V… est ton
père
? — Que tu es bête ! J’ai compris tout de suite q
avec un chiffon de tricot rouge autour de la tête. Derrière elle son
père
, une espèce de petit Polichinelle blême et crasse
jeunes gens de la ville… — C’est bien, c’est bien, messieurs, dit le
père
en saisissant le bouquet qu’il remit à sa fille.
és. Elle ne dansait pas, elle passait. Elle s’arrêtait, parce que son
père
était souffrant. Je la vis monter l’escalier ; el
tis aussitôt et vis Mlle Fiori éperdue, qui cherchait du secours. Son
père
était gravement indisposé. Je lui offris de couri
mourir dans la matinée. J’ignore si une grande tendresse unissait le
père
et la fille, et si Mlle Fiori est une personne ex
se ou résignée. Je ne la vis pas pleurer. Elle agissait autour de son
père
, cherchant avec une grande présence d’esprit et u
n de payer et qui ne lui permettait pas de s’arrêter pour pleurer son
père
; c’est du moins ce qui me fut raconté dans l’hôt
es deux parvenus dans toute la force du mot. M. Fiori n’était pas mon
père
; c’était un vieux danseur désormais sans emploi,
s, et je n’avais pas encore la force physique de tenir un emploi. Mon
père
, car j’appelais ainsi M. Fiori, ne me produisait
illance. On me trouvait de grandes dispositions et on prédisait à mon
père
un grand avenir pour moi, à la condition… — On ac
gnement et du mépris pour la débauche que, malgré tous ses soins, mon
père
ne pouvait m’empêcher d’apercevoir, c’était surto
ter n’étaient pas, malgré toutes les instructions et les soins de mon
père
, d’une solidité bien rassurante. J’avoue que je n
her, deux bras vigoureux me saisirent et me remirent dans ceux de mon
père
, après m’avoir tenue un instant suspendue. Je n’e
cadavre. On le porta dans le foyer, et j’allais l’y suivre quand mon
père
me retint d’une main de fer, en me disant : « Eh
e, égarée et tremblante, je n’avais pas la force de questionner ; mon
père
accourut pour me dire : « Ce n’est rien, il va mi
je voyais à l’air troublé et consterné des autres personnes, que mon
père
me trompait et que quelque chose de grave était a
par ses regards qu’il ne répond de rien et ne peut se prononcer. Mon
père
m’emmène dans la loge, et répondant à mes questio
e veux être là, je ne le quitterai pas tant qu’il sera en danger. Mon
père
refuse, il veut que j’aille me coucher et que je
i on me contraint, je ne danserai plus ni le lendemain ni jamais. Mon
père
est obligé de céder après avoir épuisé les injure
nsentait à rester encore là quelques heures sans remuer. Et comme mon
père
, qui s’était glissé dans le foyer, voulait m’emme
faire de mauvais rêves. » Alors le médecin m’ordonna de rester et mon
père
fut obligé de se retirer. Quand le soleil fut lev
personnes étaient dans la pièce voisine. On lui dit que c’étaient mon
père
et moi. Il voulut nous voir ; mon père était bien
. On lui dit que c’étaient mon père et moi. Il voulut nous voir ; mon
père
était bien forcé de lui témoigner de l’intérêt et
u’on leur ôtât des divertissemens qu’ils avoient vu pratiquer à leurs
pères
, et qu’ils tenoient d’une coutume immémoriale : i
une obligation plus particulière de s’opposer aux danses, ce sont les
pères
et mères à l’égard de leurs enfans, et les maître
es en détourner. D’abord, c’est une obligation indispensable pour les
pères
et mères d’empêcher, autant qu’ils le peuvent, le
leurs enfans d’aller aux danses. Si, par une négligence notable d’un
père
et d’une mère, un seul de leurs enfans tomboit da
lâmer hautement de cette négligence ? Combien sont plus blâmables les
pères
et les mères qui, par une semblable négligence à
où ils sont en grand danger d’en commettre ! On est indigne du nom de
père
et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils e
le bruit de ce tonnerre ne réveille point de leur négligence tant de
pères
et de mères qui ne se mettent point en peine de l
eil, mais ils sont encore enfoncés dans une profonde mort. Les saints
pères
ont fortement parlé contre les mères qui, pouvant
lles étoient de mauvaises mœurs. A combien de plus grands dangers les
pères
et mères exposent-ils la pureté de leurs enfans,
e dangereux talent, dans cet art si funeste ! L’obligation qu’ont les
pères
et mères d’empêcher, autant qu’ils peuvent, leurs
irs des maîtres et maîtresses envers leurs domestiques, avec ceux des
pères
et mères envers leurs enfans, dans une exhortatio
ai cru devoir le rapporter tout entier. Il est tiré d’un sermon de ce
père
sur l’endroit de saint Mathieu, c. 25, où il est
t le talent qui lui avoit été confié. (ser. 94.) « Vous venez, dit ce
père
, de voir dans ce qu’on nous a lu de l’Evangile, q
elque état qu’ils soient, en ont d’autres sous leur charge, comme les
pères
et mères, les maîtres et maîtresses. « Ne croyez
terrible dont vous venez de voir qu’ils sont punis. » De ce que les
pères
et mères doivent, autant qu’il est possible, insp
vie et de mort. Dans les premiers temps de la République Romaine, un
Père
dans ses foyers était toujours aussi absolu, et s
équent très uniforme. La crainte et le respect des enfants pour leurs
Pères
, les bontés et les complaisances des Pères pour l
ect des enfants pour leurs Pères, les bontés et les complaisances des
Pères
pour leurs enfants, les services et l’amitié entr
’elles étaient assez rares. Ainsi l’anniversaire de la naissance d’un
Père
, le mariage d’un fils, l’arrivée d’un étranger, s
solue qu’on en fait sur soi-même en les confiant, fût-ce à son propre
père
. Après le mien, vous êtes certainement mon meille
’étais beaucoup trop jeune et trop écrasé par la volonté bénie de mon
père
pour savoir où j’allais. Je n’avais que vingt ans
t sans combat, vous ne pouviez m’apprendre ce que vous ignoriez ; mon
père
l’aurait pu, il avait adoré sa femme, il ne s’éta
e que, plus tard, il me fera voyager et voir le monde, mais son vieux
père
est dans un triste état de santé qui ne permet pa
lle, de la colère contre ses parents qui m’avaient trompé. Mon pauvre
père
avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la
ais foncièrement égoïste et cruelle, jusqu’à souhaiter la mort de mon
père
. J’avais tort, j’ai hâte de vous le dire. Ses épa
ais-je lui avouer que j’avais eu tort de l’accepter de la main de mon
père
sans la connaître, ou que mon père avait eu tort
rt de l’accepter de la main de mon père sans la connaître, ou que mon
père
avait eu tort de croire que tout s’arrange pour l
s cruellement trop longues, car il me fallait laisser seul mon pauvre
père
habitué à ma société et à mes soins de tous les i
ui cacher la joie que j’éprouvais, mais je courus en faire part à mon
père
. Je le trouvai si pâle que j’en fus effrayé. Il m
le détestait. Je m’arrachai, moi, à la tombe à peine refroidie de mon
père
, je conduisis ma femme chez ses parents. Ils avai
èrement ma solitude d’Autremont où il m’eût été permis de pleurer mon
père
. On organisa, dans un château voisin, une partie
es bras sans me reconnaître. Ainsi, en moins d’un mois, j’avais perdu
père
, femme et enfant. J’étais seul au monde. Je couru
ose à recevoir sa promesse, Adèle tombe évanouie dans les bras de son
père
. On vole à son secours ; on la conduit dans son a
e est seule, pour écrire à Raymond. Elle l’engage à se déclarer à son
père
; elle lui promet de mettre tout en usage pour le
e se jette au milieu des combattans ; elle embrasse les genoux de son
père
. Raymond indigné se précipite aux pieds de Renaud
mé par la gloire, armé par l’Amour, impatient, de venger Adèle et son
père
, part avec la noble assurance d’un héros qui va c
le. Adèle le rend surtout intéressant : soutenue dans les bras de son
père
, et les yeux élevés vers le ciel, elle fait des v
euple, un cri perçant d’Adèle qui tombe mourante dans les bras de son
père
, rallument le courage et la fureur de Raymond. Il
son amant ; elle se jette dans ses bras pour n’en sortir jamais. Son
père
les unit. L’assemblée applaudit à cet hymen. On s
le démêlent toujours. On croit voir alors plusieurs enfants d’un même
père
, heureusement nés, élevés avec soin, et chargés d
air de famille qui frappe et qui rappelle malgré soi, le souvenir du
père
et des frères. Il en est au surplus de tous les A
res de leurs Lois : les enfants sont par habitude, les échos de leurs
pères
. On a de même la clef des Arts, lorsqu’on sait re
t dur. Il y avait quarante degrés au-dessous de zéro. En ce temps mon
père
, ma mère et mes frères habitaient une ferme à sei
ablement la maison. La santé de ma mère donnait des inquiétudes à mon
père
. Il alla donc au village de Fullersburg — dont la
a naissance et ne m’en suis jamais guérie. Mais, comme du côté de mon
père
j’avais des ascendants solides, j’entrai dans la
er mes parents. Ils leur donnaient cinq minutes pour se préparer. Mon
père
était un ami intime des personnes chez lesquelles
dinaire. Qu’on fasse attention aux raisons pour lesquelles les saints
pères
les ont si fortement condamnées, on verra que la
ent-elles moins dangereuses qu’elles ne l’étoient du temps des saints
Pères
, où un grand nombre de chrétiens vivoient encore
orité des anciens docteurs, il prétendoit pareillement que les saints
pères
ne blâmoient dans les spectacles de leur temps, q
623 et 624.) « C’est lire trop négligemment les ouvrages des saints
pères
, que d’assurer, comme fait l’auteur, qu’ils ne bl
; et enfin tout le sérieux de la vie chrétienne. Dites que les saints
pères
ne blâment pas toutes ces choses et tous ces amas
en désir et dans la préparation du cœur ? On trouvera dans les saints
pères
toutes ces raisons et beaucoup d’autres. Que si o
avec les saints, en opposant à ce qu’ont dit contre elles les saints
pères
, ce qu’on lit dans l’introduction à la vie dévote
res dérobé par un voile ; les Danaïdes croyent d’aprés l’aveu de leur
père
, que ces statues sont celles de l’Hymen et de l’A
es Officiers se retirent, et les Danaïdes s’assemblent auprès de leur
père
; il les engage de jurer par les Divinités, dont
; immobiles et tremblantes, elles n’osent lever les yeux ; mais leur
père
, arrachant le voile qui déroboit les statues, mon
ïdes reculent épouvantées ; Hypermnestre frémissant du crime, que son
père
exige d’elle, tombe à ses genoux ainsi que ses sœ
s Danaüs de leur épargner l’horreur et le remords d’un parricide ; ce
père
barbare est insensible aux larmes et aux prières
nestre, qu’elles volent au parricide pour conserver les jours de leur
père
; Hypermnestre ne veut point tremper ses mains da
st conduit à Danaüs ; à cette vue Hypermnestre vole aux genoux de son
père
; elle le trouve insensible à ses prières ; Lincé
e sur Hypermnestre, qui, attentive à la conservation des jours de son
père
et de son époux, a volé au milieu d’eux, pour sus
a tendresse qu’elle doit à ses frères, par l’amour qu’elle doit à son
père
et à sa patrie, par l’honneur de sa famille, et p
peint ce que la fureur a de plus affreux. Les Horaces partent ; leur
père
et Procule les suivent, Fulvie fait mille tendres
l’honneur : qu’il mourût. Dans cet instant Tullus qui apperçoit le
père
du vainqueur, court à lui, lui montre son fils co
s de sang, et étendus sur la poussière ; il s’arrache des bras de son
père
; il se précipite sur les corps de ses frères ; i
que l’amour au désespoir peut inspirer de barbare ; elle insulte son
père
qui fait de vains efforts pour la calmer ; elle m
riomphateur : on le charge de fers ; il se jette dans les bras de son
père
; il fait à Fulvie les plus tendres adieux ; il p
s. Il a vaincu en héros ; il doit mourir en Romain. Horace jure à son
père
qu’il ne démentira pas, par une foiblesse indigne
e précipite dans les bras de Procule ; Fulvie tombe aux genoux de son
père
; le vieil Horace serre dans ses bras son fils et
orace, lui donne Fulvie ; il accepte ce bienfait avec transport ; son
père
se saisit de ses trophées, les porte en triomphe,
Épître à Monsieur F. A. Blasis mon
Père
, ci-devant membre du Conservatoire de Naples, e
escendu dans mon propre cœur. [5] C’est à vous, respectable et tendre
Père
, que je dois, après la vie, une éducation, dont p
la repouse avec douceur et semble lui reprocher d’avoir abandonné son
père
, sa mère et lui-même, pour suivre un étranger séd
ne femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la grace de leur
père
. Scène x. Dans ce moment Zirca et Fatmé qu
t leur surprise et leur indignation ; Eliza vole dans les bras de son
père
et de sa mère ; ils la repoussent ; elle tombe à
honteux et plus contrit que jamais, se traîne sur ses genoux vers ce
père
irrité ; sollicite son pardon ou la mort ; les de
elève Belton et lui pardonne. Eliza se précipite dans les bras de son
père
et de sa mère ; elle leur exprime ainsi que Belto
c’était peu de mois après une révolution qui avait éclaté à Haïti. Le
père
de notre ami, un des grands financiers de l’île,
et trouva tout son monde sain et sauf à l’exclusion de son malheureux
père
. Après m’avoir raconté cette histoire qui expliqu
d’un joli et bon sourire : — Je peux dire « mon vieil ami », car mon
père
, déjà, était un vieil ami de son père. — Vraiment
dire « mon vieil ami », car mon père, déjà, était un vieil ami de son
père
. — Vraiment ! dis-je, au comble de la joie. Vous
épouses immolent par obéissance aux volontés barbares de Danaiis leur
père
, cette action se passe dans la première nuit de l
traste ; les embrassemens de deux époux qui s’adorent, la colère d’un
père
farouche, craintif et sanguinaire présentoient de
bés aux regards du public. Oreste prévenu à l’avance du retour de son
père
à Mycènes y arrive. Il apprend par Electre l’assa
ar Electre l’assassinat affreux qu’Egiste vient de commettre sur leur
père
. Oreste au désespoir ne respire que vengeance. Il
ravers les flammes, cherche de l’oeil et de la main l’assassin de son
père
; il l’apperçoit, vole à lui et armé du fer venge
, si une femme jalouse et barbare qui empoisonne sa rivale, brûle son
père
, poignarde ses propres enfans, et embrâse le pala
e danseur le plus étonnant de l’Europe, Vestris le fils, élève de son
père
, il parut à l’opéra dès l’âge le plus tendre. Son
ue l’intelligence ce nouveau genre entièrement opposé à celui que son
père
lui avoit donné ; il y obtint le plus grand succè
cessivement des pertes que le temps n’a pu encore réparer. Vestris le
père
, Mlle. Heynel, Dauberval, les Dlles. Allard et Th
ce clair-obscur qui constituent le charme des beaux-arts. Vestris le
père
faisoit la pirouette beaucoup mieux que son fils,
e Baïf né à Venise pendant le cours de l’ambassade de Lazare Baïf son
père
, et de retour en France après sa mort, y fit pour
njustice de la fortune. Baïf avait reçu à Venise sous les yeux de son
père
, les commencements d’une bonne éducation, il y av
e suffisant à un héros, pour immoler à sa vengeance l’assassin de son
père
et l’usurpateur de son trône. Si toutes ces raiso
ouleur d’Electre et d’Iphise, embrassant le corps ensanglanté de leur
père
; de l’autre, il eût fait éclater la joye barbare
incesses au comble du bonheur ne peuvent se détacher des bras de leur
père
. Electre, qui connoît la cruauté de sa mère, la b
l’horrible mystère : elles s’éloignent rapidement pour porter à leur
père
ce funeste avis. Scène ii. Clytemnestre so
s. Scène vi. Electre et Iphise , qui ont vainement cherhé leur
père
dans le palais ; ardentes à le sauver, courent pr
ontinuant leur recherche. A la vue de Cassandre assassinée et de leur
père
mourant, elles jettent des cris de désespoir ; el
insulte, elle jure à Egisthe que son bras saura venger la mort de son
père
, punir un lâche assassin et un infâme usurpateur.
d’un crime découvert. Scène ix. Electre vole aux pieds de son
père
, lui parle, le serre dans ses bras, mais le trouv
sser toucher, la fuit avec horreur, lui jure de venger la mort de son
père
et s’abandonne à toute sa fureur. Iphise se jette
le fer dont le cruel Egisthe s’est servi pour percer le cœur de leur
père
. A ce recit Oreste frémit d’épouvante et de rage
vengeance, Oreste veut aller faire des libations sur la tombe de son
père
; il entre dans le tombeau, il descend dans le so
e est la suite d’Agamemnon ; Oreste, après avoir vengé la mort de son
père
, et assassiné involontairement Clytemnestre sa mè
phigénie tremble pour les jours de son frère, Eumène pour ceux de son
père
, Isménie pour ceux de son époux, qui lui même fri
e l’amitié et de la reconnoissance. Eumène court dans les bras de son
père
; Oreste se jette dans ceux de son ami et ne les
igénie soit vue avec la même bonté, et reçoive le même acceuil que le
père
. Ce sera m’encourager et me fournir le moyen de f
émit sur les suites de ce projet ; Iphigénie la conjure d’engager son
père
à favoriser la fuite d’un des étrangers en lui se
le part en lui promettant de mettre tout en usage pour déterminer son
père
à servir ses desseins. Scène vii. Iphigéni
la main, paroît avec Eumène et Arbas. Cette Prêtresse à déterminé son
père
à se charger de la fuite d’Oreste. Iphigénie prés
s de donner la mort à Arbas ; Eumène couvre de son corps celui de son
père
; les Prêtresses subordonnées aux ordres d’Iphigé
du qu’elle seule peut faire revivre. Mlle. Heinel a épousé Vestris le
père
et la Dlle. Rose vient de mourir à St. Pétersbour
es genres à sa disposition. La Dlle. Clotilde est élève de Vestris le
père
: c’est faire son éloge. Cette danseuse a une tai
du qu’elle seule peut faire revivre. Mlle. Heinel a épousé Vestris le
père
et la Dlle. ROSE vient de mourir à St. Pétersbour
us éclatants, Plurent fort aux sieurs Assistants, Surtout au Nonce du
Saint Père
, Qui prit plaisir à ce mystère, De sa présence l’
rares talents, Que chacun justement espère Qu’il suivra les traces du
père
. Cet aimable et charmant Marquis L’admiration s’e
nce, Avait pris soin de ce Ballet, Demi-sérieux, & follet, Et les
Pères
, de tout le reste : Surquoi160, fort surement, j’
te ; sa poitrine était étroite, son dos légèrement voûté. Lorsque son
père
l’eut conduite à Paris pour lui faire prendre les
rande partie à l’éducation artistique que Marie Taglioni reçut de son
père
. Celui-ci n’était pas, bien s’en faut, un chorégr
: « Comme les artistes des grandes époques de peinture, M. Taglioni
père
fonda pour la danse une école nouvelle, bien diff
décence et sans pudeur… L’école, le style, le langage de M. Taglioni
père
disaient tout le contraire : il exigeait une grac
’accablantes fatigues, des larmes, rien n’attendrissait le cœur de ce
père
, rêvant la gloire pour un talent qui portait son
e réveillât. Cette galanterie fut accueillie comme une insulte par le
père
. « Dites à ce monsieur, s’écria-t-il, que moi, so
nsulte par le père. « Dites à ce monsieur, s’écria-t-il, que moi, son
père
, je n’ai jamais entendu le pas de ma fille ; le j
la Révolte au Sérail. La Fille du Danube, composée pour elle par son
père
et mise en musique par Ad. Adam, la fit reparaîtr
renferment un grand nombre de reçus signés par Mlle Taglioni, par son
père
ou par son homme d’affaires, et qui attestent ces
courroucé. Cette exécution ne consola pas Marie Taglioni. En vain son
père
joignit les paroles les plus persuasives à celles
et aussitôt ces mots paraissent sur la base. Viens, cours, venge ton
père
. 29Et dans le même moment un poignard tombe à s
qu’il est fils de Ninus, il reçoit le Bandeau Royal, et l’épée de son
père
, et on lui ordonne de la part des Dieux d’entrer
Il est noble d’origine et légèrement plébéien d’instinct. Lorsque son
père
tient serrés les cordons de la bourse, il emprunt
donne vingt lianes de pourboire au garçon qu’il tutoie. Le nom de son
père
le fait rougir et il provoque ceux qui lui parlen
r trop délicats en leurs mœurs), il nourrit deux chiens nés d’un même
père
et d’une même mère ; et en accoutuma l’un à toute
s voyez, Citoyens mes amis, comme ces deux chiens étant nés d’un même
père
et mère, sont devenus fort différents l’un de l’a
ne fois connus, on ne doit plus être étonné des éloges que les Saints
Pères
font de la Danse, dans mille endroits de leurs éc
oie et l’agilité avec lesquelles on doit aller à Dieu ; et lorsque ce
Père
reproche à l’Empereur Julien l’abus qu’il faisait
es ballets de l’Opéra. Experte en son art, comme son oncle, comme son
père
, qui fut longtemps chargé de la classe des garçon
e les dents ne sentent pas le renfermé. Sa famille vit de l’Opéra. Le
père
y était, je crois, musicien à l’orchestre ; le fi
t Très appétissante. Je crois qu’elle vit tranquillement avec son
père
qui est chef des comparses. Mais pourquoi diantre
ir mère ! — Diable ! — Et ce qu’il y a de plus affreux, c’est que mon
père
me tuera !… Oui, il me tuera !… Je suis perdue !
!… Je suis perdue ! — Voyons, ne vous désolez pas !… Je verrai votre
père
, je lui parlerai, je lui ferai entendre raison… I
e à l’Opéra. Mademoiselle Hayet Une toute jeune fillette. Son
père
était un chanteur applaudi. Sa mère donne des leç
plus rusées ribaudes que je sache… » Mademoiselle Perrot Le
père
et le frère dansent à l’Opéra. La mère a dansé à
22.) Oui, dit-il, devant le Seigneur qui m’a choisi plutôt que votre
père
et que toute sa maison, et qui m’a commandé d’êtr
dans l’affaire du salut, que cette parabole est destinée. Les saints
Pères
sachant combien les mauvais chrétiens sont dispos
eurs des anciens spectacles, dont l’Ecriture ne parle pas. Les saints
Pères
qui ont essuyé de pareilles difficultés, nous ont
e ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du
père
n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le
ncupiscence des yeux, ou orgueil de la vie ; ce qui ne vient point du
père
, mais du monde. Si la concupiscence n’est pas de
seulement que la Rosière ait une conduite irréprochable, mais que son
père
, sa mère, ses frères et ses sœurs soient eux-même
de l’innocence. La petite Javotte court chez elle pour instruire son
père
et sa mère du choix de la communauté. Scène II
Colin et se jette dans ses bras. Javotte enchantée, vole avertir son
père
et sa mère ; ils accourent, ils voyent Colin, l’e
de, qu’on exécuta le 18 janvier 1668, fut la dernière, où ce Monarque
Père
des Arts prit le masque. Il n’avait pas encore tr
ge, et filles de marbre et baronnes d’Ange sont apparues aux yeux des
pères
de famille moraux et des collégiens désireux comm
ouvée au Casino-Cadet, à seize ans. J’ai toujours aimé la danse ; mon
père
soutenait que ma mère avait eu un regard de Marko
quarantaine d’années ont porté leur art à la perfection. Vestris le
père
hérita du beau talent de Dupré et de son sobrique
ature lui avoit donné tout ce qu’il falloit pour remplacer Vestris le
père
. Il est malheureux pour les progrès d’un art dont
mmandeur. Il obtient l’entrée dans la maison où il est surpris par le
Père
. Il se bat contre lui ; le Commandeur est tué ; o
ps et des pas, 64. Traduction des passages italiens, 115. V Vestris,
père
, 80. — Auguste, 31, 93, 94. Vigueur, force, 45.
e un grand méchef, Le fatal pennache29 du chef S’étant dégagé vers le
Père
, Il arrive, enfin, que le Frère, Qui paraît doux
sur vous. Je suis votre créature, je vous appartiens ; vous êtes mon
père
. — Bonjour, papa Mané. Vous voilà forcé d’accepte
té de renom, Est, du moins, morte par le nom, Qui n’est plus que pour
Père
et Mère, Que, de longue-main, je révère, Étant le
alier,90 Faisait un Momon singulier. Notre DUCHESSE de CHEVREUSE, EN
Père
et Mari bienheureuse, Et qui, d’ailleurs, ne manq
s, je parle toujours (excepté dans la note (I), p. 79, où je cite son
père
), de M. Auguste Vestris, à qui nous ne pouvons en
is regrettent de ne plus voir sur leur théâtre, de ce danseur que son
père
, qui ne connaissait dans l’Europe que trois grand
. Première grande division du genre : 1° La Lorette sous puissance de
père
et mère. 2° La Lorette émancipée. Division de l’e
rents anonymes. 4° La Lorette exotique. La Lorette sous puissance de
père
et mère, portiers, a pour boudoir une soupente ;
paternel une tasse avec une anse, c’est la Lorette sous puissance de
père
et mère qui en fait usage. Sa mère prend son café
ant qu’une aile, la Lorette doit l’accepter. Si elle la refusait, son
père
lui donnerait sa malédiction. Le père de la Loret
lop, qu’il paie en resemelages. Si la Lorette a une robe neuve, le
père
pleure de joie, et prie le fils ou le neveu du pr
ils ou le neveu du propriétaire de conduire sa fille au spectacle. Le
père
va se cacher au parterre, il dissimule son droit
le nom de l’auteur ne nuise à l’admiration qu’on a pour l’ouvrage. Le
père
pense un matin que la jeune plante s’étiolera dan
’elle sauve avant tout du sinistre, elle laisserait plutôt brûler son
père
que ces trois objets. Ces trois objets sont : sa
e au passage et presqu’au vol. L’Arthur de la Lorette en puissance de
père
et mère est presque toujours un clerc d’huissier,
Arthur vaudevilliste est très-recherché de la Lorette en puissance de
père
et de mère, elle sait que les coulisses donnent l
lle a entendus le soir. L’Arthur fait l’orchestre sur un mirliton, le
père
pleure ou applaudit. — Nina, dit la maman émue, j
uets contre les taches de rousseur. L’Arthur pharmacien entretient le
père
et la mère de la Lorette de poudre d’eau de Seltz
: Une jeune fille des environs de Vendôme, arrachée au chalet de son
père
, vient à Paris, et, après quelques transformation
La fumée du cigare est appelée à remplacer provisoirement ce que nos
pères
nommaient dans leur temps, les brouillards de la
n choreas, et concionem in scurrilitatem ». Après cette plainte, les
pères
du concile disent : « Nous condamnons et réprouvo
r de l’homme est si naturellement porté au mal, que ce que les saints
pères
ont autrefois établi pour réunir les peuples dans
n effet, j’appris, par une tierce personne, qu’il avait déclaré à son
père
qu’il voulait m’épouser. Il y eut une scène viole
lait m’épouser. Il y eut une scène violente entre les deux hommes. Le
père
menaça de déshériter le fils. Et le pauvre garçon
e sont associés pour maintenir intactes les méthodes vocales de leurs
pères
et pour réagir contre l’attitude des professionne
. Le jour vint pourtant où ma mère mourut. Puis ce fut le tour de mon
père
. Et je dus quitter la maison vide. Je m’en fus au
arbon dans la maison, mais il y avait, en revanche, trois malades. Le
père
balayait la neige dans les rues, pour gagner quel
urtant notre gamin chantait en trottant derrière la voiture comme son
père
sifflait en balayant la neige. La misère n’est-el
s Intermèdes de leurs Tragédies, le tableau d’un événement dont leurs
Pères
avaient partagé la gloire. [Voir Danse de la Grue
r. Elle était si étonnante, que je lui fis faire une petite robe. Son
père
, le docteur Palmer, fit installer chez lui une la
La fille du directeur voulut à toute force faire ma connaissance. Le
père
prit des informations à mon sujet, et m’écrivit p
assions différentes : un des côtés par exemple traçoit la colère d’un
père
en courroux, l’autre côté offroit tous les traits
es avec transport par des hommes d’un rare mérite, et en présence des
pères
de la sculpture et de la peinture ; arts portés à
tendre, ambitieux, ingrat et perfide. Creuse, qui suit les pas de son
père
, interprête défavorablement son inquiétude, il l’
i ; elle se jette sur son corps, mêle ses souffrances à celles de son
père
, et veut, en mourant dans ses bras, confondre son
manière. Toutes les portes des maisons en étaient bientôt ornées. Les
Pères
, les Mères, les Parents, les Amis, attendaient to
déchirée par les désastres de sa famille, par la mort tragique de son
père
, par la perte qu’elle vient de faire d’une mère t
prendre ce qui ne vous appartient pas. Elle vous dit : Honorez votre
père
et votre mère ; et vous manquez au respect que vo
leur cœur et de toute leur ame . Salomon parlant à Dieu de David son
père
, lui dit : (3 Reg. 3, 6.) Vous avez usé de misér
i dit : (3 Reg. 3, 6.) Vous avez usé de miséricorde envers David mon
père
, selon qu’il a marché devant vous dans la vérité
bouche de J. C. par laquelle, quoiqu’il soit assis à la droite de son
père
, il ne cesse de nous parler : (serm. 85, n.° 1.)
mmis et quelle peine mérite un pasteur, qui, ayant lu dans les saints
pères
que la danse est une pompe du diable, un piége de
Chapitre III. Témoignages des SS.
Pères
et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. Les
es SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. Les saints
Pères
qui ont été chacun dans leur temps les organes de
oie insensées. » (M. Cotellier, dans son recueil des ouvrages des SS.
Pères
qui ont fleuri dans les temps voisins de celui de
s moyens qu’il emploie pour les perdre. Les esprits de malice, dit ce
père
, n’ayant pas maintenant la liberté d’exercer leur
le cercle trop étroit. Ce beau danseur servit de modèle à Vestris le
père
; celui-ci le surpassa en goût, en intelligence,
sque infidèle de la nature. Au reste, ce sont les Dupré, les Vesttris
père
, les Dauberval, et les Le Picq qui ont été les mo
i à regret qu’on a passé la ligne, et le point juste, que les Vestris
père
, les Dauberval, et les le Picq, avoient invariabl
ant des flambeaux. Ce n’était pas le duc, qui a vingt-six ans, ni son
père
, qui est mort depuis longtemps. Mais ce pouvait ê
istence que tu m’as faite à celle de ce grand seigneur riche qui a eu
père
et mère, femme et enfant, et qui vit tout seul à
u’elle n’avait remarqué personne, qu’elle était tenue de près par son
père
et qu’elle était une enfant parfaitement innocent
es barbares frères. L’Égypte le couronnait, le reconnaissait pour son
père
, pour son bienfaiteur, pour son Roi. On réservait
ce et de retenue, qu’y a-t-il de plus agréable que des enfans pour un
père
qui les aime ? Et quoi de plus doux, pour un mari
ucoup d’autres divertissemens. Imitons du moins, dit toujours le même
père
, (un peu auparavant) les Barbares chez qui il n’y
o. — Une nouvelle direction. — Saint-Léon. — La Fille de Marbre. — Le
père
de la débutante. — A Londres. — Un fameux pas de
. *** Fanny — ou Francesca — Cerrito était née à Naples, en 1821. Son
père
était une sorte de vieux caporal non moins tendre
ls sont plus habiles dans l’art de conduire les ames, que ces anciens
pères
? On ne donne à la conduite de ces confesseurs, s
une glace. Ce fut là, occupée à se faire des mines, que monsieur son
père
la pinça, un beau matin, à Barcelone, vers 1867.
nrayer une vocation aussi clairement manifestée. L’année suivante, le
père
et l’enfant débarquaient à Paris, hôtel de Sarago
verre de malaga ; à six, le dîner de famille. La diva vit, entre son
père
et son frère, dans une uniformité paisible, recev
sauvages dansent autour de leurs idoles et sur les tombeaux de leurs
pères
. On sait que, chez les peuples de l’antiquité, le
jouer. Le grand Acteur, La Thorillière, Fait un Roy, de Psiché, le
Père
: Et montre tout l’air d’un Héros, Dans son geste
résenter Hector : Voilà le Fils, s’écria la multitude, où est donc le
Père
? Un Danseur qui représentait Capanée était d’une
a révélé dans ses Ecritures, et par la tradition constante des saints
pères
, que les danses ne peuvent que causer la perte ét
entrée d’Apollon, échue à M. Aveline en survivance des sieurs Vestris
père
et Gardel aîné, est la plus étoffée de toutes. Ca
C’est avec raison que les mythologistes font les arts enfants du même
père
. Euterpe est tellement liée avec Terpsichore, qu’
Sully, Duchesse des mieux née, De quantité d’appâts ornée, Et dont le
Père
, assurément, Fut Homme de grand jugement. Créqu
la République et des Arts. Elle était née à Toulouse, en 1777, d’un
père
italien qui avait joué la comédie. Elle eut pour
ssante drôlesse, on aurait baisé le… nez de l’Empereur d’Autriche, du
Saint Père
, du roi de Prusse, de Blücher et de Wellington !!
ous allez le décourager ! Quant à Adèle Dumilâtre, personne parmi nos
pères
n’a oublié le front large ; aux tempes molles et
is, au second acte de Giselle. Hélas ! Myrtha — et Sophie avaient un
père
! Le père Dumilâtre, — qui avait été tragédien, —
mme ça !… Sophie apparaissait à son tour. Même question de la part du
père
. Même réponse de la part du voisin. Là-dessus, le
st que l’œil européen est tout pareil à l’œil du poisson, répondit le
père
. Cela me donna l’envie de connaître son impressio
rd dans le drame de ce nom. Notre troupe s’arrêta à Philadelphie. Mon
père
et ma mère étaient avec moi et nous prenions nos
place à la joye et à l’allégresse. Cryséïs vole dans les bras de son
père
; d’autres se précipitent dans ceux de leurs mère
me frappa, je m’y attachai, et j’en fis l’essai sous les yeux de mon
père
. Pendant qu’il improvisait sur le piano-forte, je
ce sujet, que dernièrement j’avois fait une chanson pour la fête d’un
père
de famille qui a cinq filles très-aimables, et do
Castelnau, beauté singulière, Douce fleur, rose printannière, Dont le
Père
, Homme martial, En mourant fut fait Maréchal. M
Fanny, naquit à Eisenstadt, le 3 mai 1769. Il fut musicien comme son
père
, comme son frère aîné. Après la mort du père, il
l fut musicien comme son père, comme son frère aîné. Après la mort du
père
, il partagea avec son frère les travaux de copie,
d’Haydn. Le compositeur, qui avait servi de témoin lors du mariage du
père
, donna au fils la même preuve de sa sympathie. Je
fille son goût pour cette occupation fine et propre entre toutes. Le
père
copiait d’une écriture superbe les compositions d
n chants, accompagnée de danses, de machines et de décorations. » Nos
pères
aimaient à dire que c’était là un spectacle unive
vrages Jean-Antoine Baïf, qui, né à Venise pendant l’ambassade de son
père
, avait pris le goût de ces représentations, et, e
est toute religieuse : un cardinal fut son parrain ; un abbé fut son
père
nourricier ; l’Église lui fournit son premier com
u chaos ; et lorsqu’il est arrivé qu’on ait donné à Lulli le titre de
père
de l’opéra français, personne n’a pensé à lui con
moins les voies aux Messies qui pouvaient se présenter. Laïs, Dérivis
père
, Nourrit père, Lavigne, mesdames Branchu et Bigot
s aux Messies qui pouvaient se présenter. Laïs, Dérivis père, Nourrit
père
, Lavigne, mesdames Branchu et Bigottini, disputai
et le diable ont triomphé de tous les obstacles. Sous les rois de nos
pères
, les grands seigneurs se glorifiaient de l’Opéra,
de se montrer avec les traits intéressants de la nature. Vest ris le
père
avoit obtenu de la cour de France la permission d
pectacle, et les anciennes rubriques aux quelles ils sont attachés de
père
en fils. A peine est-il permis à un maitre de bal
oient rien au dessus de Lulli, mettre en musique les chefs-d’œuvre du
père
et du créateur de la poèsie lyrique. Cet homme, d
se connoissent à peine et qui s’évitent toutes, ressemble assez à ces
pères
, qui confient l’éducation de leurs fils à des mai
e, devient maussade et ennuyeux. Voilà l’image du poète dans celui du
père
, et l’exemple du drame dans celui de l’enfant. Vo
grave ou sérieux, beaucoup plus que nous et que les Dupré, et Vestris
père
, ont été les modèles les plus parfaits de ce genr
plus belle venue m’a demandé très-sérieusement comment se portait mon
père
, M. Rigolboche ? II L’histoire de ce baptêm
roi prenait plaisir à consoler ces malheureux de la barbarie de leurs
pères
. Voyez Castrati [Article de d’Alembert], Chant, C
alement et grande amie de Madjeska. Elle aussi était en exil avec son
père
, qui avait osé écrire un livre libertaire intitul
té dans le moule des graces, et être construit comme l’étoit VestRiis
père
, et Le Picq. Ces deux danseurs ont porté leur art
. Il vole ensuite vers les prêtres ; il les conduit au tombeau de son
père
; il s’y prosterne avec eux et tâche en vain de l
Taglioni, après une leçon de deux heures que venait de lui donner son
père
, tomber mourante sur le tapis de sa chambre, où e
se l’un et l’autre et remonte en furieux pour porter du secours a son
père
et à sa mère. La jeune femme pâle, échevelée et m
avec brutalité le vieillard et sa femme ; le jeune enfant vole à son
père
; il lui montre sa mère qu’il croit morte, à ce s
e dansante qui ne date que depuis soixante-dix ans et dont Vestris le
père
et Mlle. Heinel ont emporté ces titres qui leur a
d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas ; la mère pleure, le
père
reste stoïque, impassible, endosse son ancien uni
ille au moment où celle-ci achève de se maquiller : « Mon enfant, ton
père
est mort ! » L’enfant candide, étouffant un sangl
montrer par un grand nombre d’autorités des saintes Ecritures et des
Pères
, et par les plus fortes raisons, que les danses d
tre XIII, XIV, XV, XVI. Enfin, après avoir prouvé par l’Ecriture, les
Pères
, les conciles, les païens même, que les danses so
Le gandin. Me conseilles-tu de la garder ? L’ami. Ça dépend. Ton
père
double-t-il enfin ta pension ? Le gandin. Oui.
ncile. Le Cardinal Hercule de Mantoue qui y présidait en assembla les
Pères
, pour déterminer la manière dont le fils de l’Emp
Nous tirerons ces preuves, 1.° des saintes Ecritures ; 2.° des saints
pères
et des saints docteurs de l’Eglise ; 3.° des conc
jours ; les mères ne tremblent plus sur le sort de leurs filles ; les
pères
peuvent se livrer sans trouble à l’espoir de voir
veut se précipiter dans le bûcher et unir ses cendres à celles de son
père
; puis volant vers Déjanire, il se saisit du fer
un genre diamétralement opposé les a mis en pratique. Mais Vestris le
père
, en les étendant et y mêlant plus de variété, les
e du seizième siècle. Jean-Antoine Baïf, né à Venise, pendant que son
père
y était ambassadeur, fut le premier parmi les Fra
mptitude nous devons courir vers les biens spirituels ; et lorsque ce
père
reproche à Julien l’abus qu’il faisait de la dans
en moins que délicat sur les mœurs, fut forcé d’exclure du sénat, des
pères
conscrits qui s’étaient avilis jusqu’au point d’e
toute tracée dès le jour de sa naissance dans le palais royal de son
père
. Chacun sait que la vie d’une princesse royale ox
voir de l’âme. Il faudroit jouer, disois-je un jour à un comédien, le
père
de famille et le fils naturel. Ils ne feroient po
ravagant. On s’est écrié par la même raison que le fils naturel et le
père
de famille n’étoient point des pièces de théatre,
s où l’Eglise pleure la mort et l’absence de Jésus-Christ. Les saints
pères
expliquent aussi que c’est pour cette raison, qu’
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