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1 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
Marais. Ce sont, ce dit-on, des Merveilles Pour les yeux et pour les Oreilles  : Pour les Oreilles, je le croi Ainsi qu’un Artic
dit-on, des Merveilles Pour les yeux et pour les Oreilles : Pour les Oreilles , je le croi Ainsi qu’un Article de Foi, Car BOYER
2 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
is goût) il est moins commun de rencontrer chez eux cette précision d’ oreille , avantage rare mais inné, qui caractèrise la dans
us les mouvemens un sel qui les anime, et qui les vivifie. Il y a des oreilles fausses et insensibles aux mouvemens les plus sim
ntribuant à la vitesse, ajoute en quelque sorte à la délicatesse de l’ oreille  ; je veux dire, que tel danseur peut avoir un trè
lations. Ce principe posé, la précision manque à celui qui ayant de l’ oreille , ne sait pas prendre ses temps avec vitesse. L’él
la musique et des mouvemens du danseur, entraîne ceux même qui ont l’ oreille la plus ingrate et la moins susceptible des impre
ique entre dans l’enthousiasme, et qu’il brise le pupitre, distrait l’ oreille du spectateur, coupe l’harmonie, altère le chant
t expressifs de l’autre ; leurs effets réunis offrent aux yeux et aux oreilles , des tableaux animés ; ces sens portent au cœur l
ure. Le contre-point qui sans contredit, est la pierre de toûche de l’ oreille la plus délicate, est pour eux ce qu’il y a de mo
’on ne trouve point dans nos contredanses Françaises. Un danseur sans oreille est l’image d’un fou qui parle sans cesse, qui di
ndiquer aux gens sensés sa folie et son extravagance. Le danseur sans oreille , ainsi que le fou, fait des pas mal-combinés, s’é
manquer d’être froide et de vous déplaire ; c’est aux yeux et non aux oreilles que les pieds et les jambes doivent parler. Je me
3 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
goût ;) il est moins commun de rencontrer chez eux cette précision d’ oreille , talent rare mais inné qui caractérise la Danse,
les mouvements un sel qui les anime & qui les vivifie. Il y a des oreilles fausses & insensibles aux mouvements les plus
ontribuant à la vîtesse ajoute en quelque sorte à la délicatesse de l’ oreille , je veux dire que tel Danseur peut avoir un très-
lations. Ce principe posé, la précision manque à celui qui ayant de l’ oreille , ne sait pas prendre ses temps avec vîtesse ; l’é
Musique & des mouvements du Danseur enchaîne ceux mêmes qui ont l’ oreille la plus ingrate & la moins susceptible des im
e entre dans l’enthousiasme, & qu’il brise le pupitre, distrait l’ oreille du Spectateur, coupe l’harmonie, altere le chant
pressifs de l’autre ; leurs talents réunis offrent aux yeux & aux oreilles les tableaux animés du sentiment ; ces sens porte
esure. Le contrepoint qui sans contredit est la pierre de touche de l’ oreille la plus délicate est pour eux ce qu’il y a de moi
’on ne trouve point dans nos Contredanses françoises. Un Danseur sans oreille est l’image d’un fou qui parle sans cesse, qui di
quer aux gens sensés sa folie & son extravagance. Le Danseur sans oreille ainsi que le fou fait des pas mal combinés, s’éga
r d’être froide & de vous déplaire ; c’est aux yeux & non aux oreilles que les pieds & les jambes doivent parler. Je
4 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 14 septembre : L’Amour médecin — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre en vers du 20 septembre 1665 »
mp; follet : Et des Voix pleines de merveilles56 Ravirent toutes les oreilles . 56. Mademoiselle Hilaire.
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 17 avril : Ballet ou Comédie-ballet représentée à Saint-Cloud chez Monsieur — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 avril 1664 »
iés sur le volet, Eurent Comédie et Ballet, Et, bref, des yeux et des oreilles S’y divertissant à merveilles, Admirant les Appar
6 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Titre complet figurant sur le frontispice] »
iecta fidelibus. Horace, De Arte Poetica.   Ce qui ne frappe que l’ oreille , fait moins d’impression sur Les esprits, que ce
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-neuvième semaine, lettre du 9 décembre 1666 »
1666 Vos Danseurs font-ils des merveilles ? Vous enchante-t-on les oreilles Par les airs du Ballet nouveau ? En un mot tout e
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 »
es beautés, Dont les surprenantes merveilles Charment les yeux et les oreilles  : Et même le Roi Casimir De le voir ayant le dési
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
au parterre insulter Attila ; Et si le Roi des Huns, ne lui charme l’ oreille , Traiter de Visigoths tous les vers de Corneille.
qu’il ne veut pas entendre. Les Grecs qui avaient la vue déliée et l’ oreille fine, entendirent l’Oracle, et en conséquence, il
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 15 novembre 1670 »
l, Audit Versaille138, ont fait merveilles, Charmant les yeux, et les oreilles , Et que ceux du Palais Royal, Chez qui, Molière e
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 juin 1667 »
qu’il faut Et ravit, par maintes Merveilles, Les Yeux ensemble et les Oreilles . 80. L’Hôtel de Bourgogne.
12 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
nerfs à bout ne me permirent pas d’attendre davantage, et je dis à l’ oreille de ma mère : — Je vais aller frapper à la porte.
commis un crime tellement ce petit coup résonna brutalement dans mes oreilles . Un « entrez » qui me sembla lugubre répondit et
e ! je t’aime ! » C’était aussi comme du cristal qui tintait dans mes oreilles . Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite
s, tant ma pensée était pleine d’elle seule. Sa voix sonnait dans mes oreilles . Je ne comprenais pas un mot de ce qu’elle disait
! horrible ! » — Que dit-elle ? demanda-t-il en faisant autour de son oreille un cornet de sa main. Bonheur ! Il était sourd !
lui fis signe de se pencher vers moi pour que je pusse lui parler à l’ oreille . — Elle dit que ces portraits ne sont pas dignes
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
e, est partie intégrale des fêtes ; n’ayant pour souverain juge que l’ oreille , elle doit employer tous ses moyens pour lui plai
e, n’ont, à leur tour, que l’œil pour juge de leurs productions. Si l’ oreille communique rapidement à l’ame les impressions dél
fuit ; la lassitude et l’ennui s’emparent de nous. Lorsque l’œil et l’ oreille ces agens actifs de nos goûts et de nos sensation
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 20 ou 22 novembre : Xerxès — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 décembre 1660 »
ajesté ; Il ne m’a point, par ses merveilles, Charmé les yeux, ni les oreilles , Car je n’ai pu, pour voir cela, Parvenir encor j
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 août 1661 »
tôt Paris la verra, On n’ira pas, on y courra ; Et chacun prêtant les oreilles À tant de charmantes merveilles, Y prendra plaisi
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
je) est Auteur, Et plusieurs, de belle hauteur, Disent que jamais les oreilles N’ouïrent de douceurs pareilles. Mais ce qui ravi
selon mon opinion,46 La douce et charmante union47 Fait goûter aux oreilles fines Des voluptés presque divines. Le Sujet, a
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 11 août : Le Ballet de l’Innocence accompagnant la tragédie de collège Andronicus Martyr — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 13 août 1667 »
e, Vous le récitèrent si bien Que de tous les Latins ils charmèrent l’ oreille . Ce noble Divertissement Était, avecque bienséanc
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 14 février : Le Sicilien ou L’Amour peintre — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 19 juin 1667 »
’Ici je vous en die, Ce n’est rien : il faut sur les Lieux Porter son Oreille et ses Yeux. Surtout, on y voit deux Esclaves86
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début juin : Fragments du Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 juin 1667 »
qu’il faut Et ravit, par maintes Merveilles, Les Yeux ensemble et les Oreilles . Depuis hier, pareillement, On a pour Divertiss
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 septembre : Le Gentilhomme de Beauce — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 13 septembre 1670 »
tout au moins, rempli de mousse, Qui rendait sa chute si douce, Que l’ oreille elle chatouillait, De l’air dont elle gazouillait
21 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
es infléxions de la voix, ses modulations naturelles, la finesse de l’ oreille , son tact et sa sensibilité ; enfin les gestes él
ec la simplicité touchante du sentiment et des graces ; elle charme l’ oreille , et en parlant au goût, elle remue et berce pour
la quelle nous soupirions ; de même la mélodie repose agréablement l’ oreille après le Fracas éclatant de l’harmonie. Cet heure
mier homme qui fit un air, le composa sans règle et sans mesure ; son oreille suppléa au défaut de principes ; mais par success
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
esse, Avec une voix charmeresse, Ses dignes Maximes chanta, Par qui l’ Oreille elle enchanta Tant de Mâles que des Femelles, Qui
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
erts, S’unissant aux voix sans pareilles, Charmaient les cœurs et les oreilles . Par ces diverses raretés Tous les sens étaient e
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 5 août : Ballet des Songes accompagnant la tragédie de collège La Prise de Babylone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 8 août 1671 »
, Ainsi que c’étaient toutes merveilles Pour les Yeux, & pour les Oreilles , Quoi que le beau Sexe enchanteur, Qui plaît le p
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
nnaît des EXPERTS Les Nouveautés et les Merveilles Dignes des Royales Oreilles  ? Que dire encor des Ornements, De tous les riche
26 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
, et qui, par la pratique de la danse, ont acquis une justesse dans l’ oreille dont ils ne paraissaient pas susceptibles, et qu’
donné ; on concevra qu’elle fournit un moyen mécanique pour former l’ oreille la moins exercée et la plus paresseuse. Mais auta
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
de l’aimable HILAIRE La voix mélancolique et claire, Qui flattait l’ oreille et le cœur Du plus délicat Auditeur ; Les instrum
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
urd’hui), Y tient, sous ses rares merveilles, L’âme en Laisse par les oreilles . Les grands et petits Violons, Qui sont comme aut
29 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
Chanter, c’est faire différentes inflexions de voix agréables à l’ oreille , et toujours correspondantes aux intervalles admi
laquelle donne la torture aux élèves, et retarde la formation de leur oreille . Voyez Octave [Article de Rousseau] et Solfier [A
t, comme dans tous les autres arts agréables, la médiocrité, dont les oreilles peu délicates se contentent, est insupportable à
re opéra, et ils y courent ; mais ils ouvrent en vain les yeux et les oreilles , ils n’y volent et n’y entendent rien de ce que n
a nature a donné à l’homme l’organe qu’elle a destiné au chant et aux oreilles françaises que la satiété n’a point encore gâtées
u large ou étroit, lourd ou léger : l’impression qu’il fait sur notre oreille , a des degrés d’agrément ; il étonne ou flatte, i
es à ces sortes d’écarts, et qu’il surprend et flatte même les bonnes oreilles françaises. Avec cet artifice les femmes se sont
le ; il faut des moments à la parole pour se former et pour frapper l’ oreille  ; le geste que la sensibilité rend agile, part to
30 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IX »
, quelle l’étendue. Un monde inconnu s’ouvre au sens du nombre et à l’ oreille  : il n’est pas possible qu’on s’en tienne toujour
31 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
e cœur d’une manière qui n’est propre qu’à lui. Les hommes frappent l’ oreille du corps, mais le Saint-Esprit ouvre celle du cœu
32 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIII. Des Balancez. » pp. 153-155
u’il s’accomode à toutes sortes de mesures ; parce que ce n’est que l’ oreille qui avertit de presser les mouvemens ou de les ra
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
Sieur Geoffroy Fit, bien de fois, rire le Roi, Ayant un béguin sur l’ oreille , Et faisant l’aveugle à merveille. Ô Que la Mig
34 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
célèbres, elle est longue, et chargée de notes ; qu’offre-t-elle à l’ oreille  ? un bruit incommode, un tapage fatiguant. Cette
ce Brouhaha musical ne peignant rien à la pensée, blesse également l’ oreille et le goût. N’est-ce pas ici le cas de dire avec
ens nous consoler et guérir par les accens touchans de la mélodie nos oreilles impitoyablement déchirées. Ici, c’est l’éxpositio
n jettoit dans un vase d’argent son écu de six francs. Marcel avoit l’ oreille line et sensible, et étoil attentif au son que pr
35 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
vertissement, Il était rempli de merveilles Pour les yeux et pour les oreilles , Il me parut digne des Dieux, Et jamais on ne dan
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
si galant, Etait fourmillant de merveilles, Par qui les Yeux, et les Oreilles Etaient charmés également, Et surpris à chaque mo
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
nt arroi, Et, même, avecque des merveilles Pour les Yeux, et pour les Oreilles , Qu’ailleurs, on n’y découvrait point. Vous savez
38 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
ieux Pour plaire à tout plein de beaux yeux, Les instruments pour les oreilles Ne firent pas moins de merveilles ; Les huit Réci
39 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
ondu par des positions, des sauts et des attitudes, aux sons dont les oreilles étaient frappées ; et c’est ainsi que le chant, q
rtisans, et la nombreuse troupe des Midas, « Connaisseurs aux belles oreilles  ». [7] Pour mieux parvenir au but que je me suis
40 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
combiner des sons et des modulations propres à flatter agréablement l’ oreille . Mais le musicien doué de génie ne se renferme pa
à. La pantomime étant plus encore le spectacle des yeux que celui des oreilles , je conçus qu’elle devoit s’associer avec les art
41 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
aimables de la mélodie ; ce chant simple, et touchant qui ne frappe l’ oreille que pour aller au coeur s’associoit intimement à
soumettre à les fréquenter, à parler sans langue, et à entendre sans oreilles  ? Fatigué d’un voyage de six cens lieues, que j’a
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 31 juillet. Notes de vacances sur quelques souvenirs de la saison. »
part. Entendu et vu, quoique cette constatation sonne étrangement à l’ oreille . Maurice Ravel intitula une de ses œuvres récente
43 (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo III. Delle qualità del Ballerino »
Décorum) et, avec cela, être subtil, inventif, judicieux, et avoir l’ oreille très délicate». Lucien, De la Danse l. Su quai re
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
dire, que sur le Théâtre nouveau qu’il fondait, il a voulu parler à l’ oreille par les sons suivis et modulés de la voix, et aux
ines s’étaient adroitement concertés, pour rendre à mes yeux et à mon oreille l’intention ingénieuse du poète. [Voir Expression
45 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
un vain plaisir les trompeuses amorces, Et consultez long-temps votre oreille et vos forces. La nature, fertile en danseurs
vers du jardin. Lorsqu’à la bien chercher d’abord on s’évertue, L’ oreille à la saisir aisément s’habitue ; Au joug de la mu
rien au lecteur que ce qui peut lui plaire. Ayez pour la cadence une oreille sévère : 105 Que toujours dans vos vers le sens
mieux rempli, la plus noble pensée, Ne peut plaire à l’esprit quand l’ oreille est blessée. Prenez mieux votre ton. Soyez si
Par ce sage écrivain la langue réparée N’offrit plus rien de rude à l’ oreille épurée. Les stances avec grace apprirent à tomber
atrains de mesure pareille La rime avec deux sons frappât huit fois l’ oreille  ; Et qu’ensuite six vers artistement rangés Fusse
as de mesure pareille, Lorsque l’air a trois temps, frappe six fois l’ oreille , Par quatre mouvemens artistement rangés, Soient,
encor fredonner ses idylles gothiques, Et changer, sans respect de l’ oreille et du son, Lycidas en Pierrot, et Philis en Toino
atte, chatouille, éveille, 10 Et jamais de grands mots n’épouvante l’ oreille . &c… Chanter Flore, les champs, Pomone, les
amuse, flatte, éveille, Quand, choisissant des airs qui plaisent à l’ oreille , Dans les jardins de Flore, au milieu des vergers
s de ses mesures. Il faut une si grande précision pour que l’œil et l’ oreille soient frappés en même temps, que le spectateur n
ger ce qu’il fait : il serait comme un chanteur qui se boucherait les oreilles , pour s’exercer dans son art. 34. Plusieurs jeun
nt ce qu’on a vu. Hérodote dit que les yeux sont plus fidèles que les oreilles , parce qu’on croit plus aisément ce qu’on voit, q
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
e cette musique limpide, saturée de rythmes populaires, qui délasse l’ oreille après les stridences pathétiques ou ricanantes de
47 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
ne faut avoir, pour aimer la musique et en sentir tout le prix qu’une oreille délicate et une âme sensible, propre à recevoir l
48 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIII. Des agrémens que l’on peut faire dans le Menuet, & l’attention qu’il faut avoir pour le figurer également. » pp. 92-98
bien figurer, il me reste encore deux parties essentielles qui sont l’ oreille , & les bras, pour cette premiere, si l’on n’a
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
Opéra là, Et je pensais n’avoir pas là Suffisamment, d’yeux, & d’ oreilles , Pour toutes les rares Merveilles Que l’on y peut
50 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
isance : musiciens, ils auront un tact plus sûr qu’aucun autre ; leur oreille les rendra maîtres du mouvement, de la mesure, et
la musique et des mouvements du danseur, enchaîne ceux même qui ont l’ oreille la plus ingrate et la moins susceptible de l’impr
t expressifs de l’autre ; leurs effets réunis offrent aux yeux et aux oreilles des tableaux animés ; ces sons portent au cœur le
51 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
e à une bonne exécution, par le trop d’écartement des tems auxquels l’ oreille n’est pas accoutumée. Vous êtes forcés de violer
52 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
; c’est le démon de cette musique — aux « hétérophonies » déchirant l’ oreille , aux rythmes lourds et implacables — qui agite su
53 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
orchestre ; tous ces morceaux ressuscitent l’attention, réveillent l’ oreille et l’œil assoupis ; ils sont applaudis avec entho
54 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
our juger des charmes de la musique, et qu’en général, elle avoit les oreilles doublées de peaux d’âne. J’ai encore à vous entre
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
ement, Expriment leur Deuil, à merveille, Et ravissent l’œil, & l’ oreille . Une autre, de Cyclopes, suit, Mais, nullement,
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
antant :152 Et, n’ayant guére, de pareilles, Charme les yeux, et les Oreilles , Par sa Voix, et par des Appas Que toutes Chanteu
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
’aspect des tableaux qui en résultaient, fut un moyen aussi sûr que l’ oreille , de faire passer l’émotion dans l’âme des Spectat
ce qui, en un mot, pouvait concourir à rendre sensibles aux yeux et l’ oreille les prestiges des Arts, et les charmes de la natu
58 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
t ceux qui lui empruntent de l’argent, qui porte encore des boucles d’ oreilles et qui, cependant, s’habille comme un jeune homme
59 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92
evient insipide, et le plus souvent on se décourage. La justesse de l’ oreille est encore un don précieux ; c’est elle qui souti
pour ainsi dire, noter avec les pieds l’expression du chant. C’est l’ oreille seule qui peut servir de régulateur en ce point.
r de régulateur en ce point. On a comparé avec raison un danseur sans oreille à un fou qui, n’ayant aucune liaison dans les idé
t en même tems remplacer les battemens des mains pour l’exercice de l’ oreille , en frappant chaque battement sur une mesure de c
particulier dans le pied, et du dehors. De la manière d’exercer l’ oreille . L’oreille, qui dirige tous les mouvemens de l
ns le pied, et du dehors. De la manière d’exercer l’oreille. L’ oreille , qui dirige tous les mouvemens de la danse, doit
nse ; que les airs soient variés progressivement, afin d’accoutumer l’ oreille à toutes les difficultés qui existent dans la com
lupart des airs nouveaux pour le genre de composition. Pour exercer l’ oreille et comprendre le tems qui marque la mesure, lorsq
a musique. Ce mouvement est celui de la joie ; il est sensible à l’ oreille par sa vivacité et le nombre pair des tems de la
lus par les personnes qui ne sachant pas danser, ou qui n’ayant pas d’ oreille , trouvent presque toujours trop long chaque trait
60 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
es choses qui concernent nos yeux que de celles qui s’adressent à nos oreilles . Peut-être est-ce parce que les yeux, dès l’enfan
’enfant que l’ouïe. Le champ d’harmonie de l’œil comparé à celui de l’ oreille est comme le soleil par rapport à la lune. Et c’e
61 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
elui-ci change souvent les voyelles en s, écorche impitoyablement les oreilles par ses barbares élisions, & gasconise comme
a-comique, & les airs sublimes du Chevalier Gluck ? Comment notre oreille se passerait-elle d’être si délicieusement chatou
62 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
l s’est donné la mort. Ils n’ont que des yeux pour nous entendre, les oreilles leur sont inutiles, il faut que nous leur fassion
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
fois le tour de son cou et un chapeau haut de forme enfoncé jusqu’aux oreilles . Je causais avec lui en ce mauvais français dont
64 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
ments intensément marqués. Puis, recueillie, immobile, vous prêtiez l’ oreille et l’âme à l’incantation musicale ; vous l’absorb
65 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
onné du brouhaha et du bourdonnement affreux qui retentissoient à mes oreilles  ; je quittai la fête, car lorsque le parterre à d
66 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
voix pure comme son visage, avec peu d’inflexions. Cela coule dans l’ oreille comme le bruit d’une eau qui court dans l’herbe d
67 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114
agination à innover des pas et des enchaînements et pour habituer son oreille à saisir promptement le mouvement et le rythme de
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
sodies dont les Troubadours modernes assourdissent tous les jours nos oreilles , et qui pourtant font les délices de la majeure p
69 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
vel agrément : il n’est point d’ouvrage plus difficile, qui exige une oreille plus délicate, et où la prosodie Française doive
nnes, sur des doubles croches et des intervalles difficiles, choque l’ oreille très désagréablement. Les Italiens, dont la langu
ture, parce que plusieurs traits de ce chant paraissent étrangers à l’ oreille , c’est comme si l’on disait que la langue Italien
es chœurs un bruit agréable et harmonieux qui charme et remplisse les oreilles  : un beau chœur est le chef-d’œuvre d’un habile c
eau qu’il soit d’ailleurs, n’est qu’un contre-sens fatiguant pour les oreilles délicates. Ce principe puisé dans la nature, et t
bon, soit beau, facile, noble, et qu’il fasse passer agréablement à l’ oreille des paroles, qui par elles-mêmes expriment le sen
70 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
bleau dont voici la description. Il peignit un Prince avec de grandes oreilles d’âne, comme on peint Midas, assis sur un trône,
a vûe ; car les choses, dit Horace, qui entrent dans l’esprit par les oreilles , prennent un chemin bien plus long que celles qui
r les yeux, qui sont des témoins plus fidéles & plus surs que les oreilles . Si après ce premier mouvement on regarde les eff
es couleurs une harmonie par les yeux, comme on tire des sons par les oreilles . Mais, me dira-t-on, quelque esprit que l’on puis
les choses qui frappent les yeux, que par celles qui entrent par les oreilles  ; les paroles passent & s’envolent, comme on
71 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
le court et personne ne l’entend ; cependant on crie au miracle. Les oreilles n’ont point été flattées de son jeu, ses sons n’o
m’écoutez pas : ce passage est diabolique ; il ne flattera pas votre oreille , quoiqu’il fasse grand bruit ; mais il y a vingt
72 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
court & personne ne l’entend ; cependant on crie au miracle. Les oreilles n’ont point été flattées de son jeu, ses sons n’o
m’écoutez-pas : ce passage est diabolique ; il ne flattera pas votre oreille , quoiqu’il fasse grand bruit, mais il y a vingt a
73 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
stoïque, offrit le moment de fièvre demandé et une paire de boucles d’ oreilles estimées quatre-vingt mille francs. *** Que dire,
cherchait un moyen et une formule, la mère se pencha tendrement à son oreille  : — A présent, proposa-t-elle, si nous renvoyions
74 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
suis, et je la retrouve, et je ne puis jamais la perdre ; et si, les oreilles bouchées, je la regarde, tant elle est rythme et
pis, je crois, celle-ci qui t’enchante. SOCRATE De Rhodopis, alors, l’ oreille est merveilleusement liée à la cheville… Qu’elle
ce monstre de souplesse ? ÉRYXIMAQUE Rhodonia. SOCRATE De Rhodonia, l’ oreille est merveilleusement liée à la cheville. ÉRYXIMAQ
outes les armes étincelantes de la vie !… Les cymbales écrasent à nos oreilles toute voix des secrètes pensées. Elles sont bruya
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
rps. Il ne saurait avoir une conception trop facile. Un esprit vif, l’ oreille fine, le jugement droit, l’imagination féconde, u
76 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
il est prêt à la maltraiter. Les trois négocians se disent un mot à l’ oreille  ; l’un d’eux tire une bourse et la donne à Belton
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
voix de la vérité. « Je prêtois pourtant, ajoute-t-il, quelquefois l’ oreille à cette harmonie céleste, et j’aurois bien voulu
ne foule de docteurs propres à satisfaire leurs désirs ; et fermant l’ oreille à la vérité, ils l’ouvriront à des fables. N’est
de la bonté de Dieu à son égard. Quiconque n’auroit point d’yeux ni d’ oreilles , quiconque pourroit assister à des danses sans y
78 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
it, elle m’entre dans les veines par les yeux, par la bouche, par les oreilles . Lorsque je suis pour ainsi dire imprégnée de mél
79 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
ouvement se fit à la porte, le contrôleur vint tout joyeux parler à l’ oreille de Markouski, dont le front se dérida. — Ce sont
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
n, hélas ! devait être de courte durée. Je vis revenir Marten Stein l’ oreille basse. Il avait été reçu par M. Pedro Gailhard, m
81 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
charmant. Elle brille comme un rayon de soleil. Elle me vit prêter l’ oreille avec curiosité, car je continuais à chercher où s
82 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
t le bonheur. Le jeune enfant s’approche d’Orphée, lui dit un mot à l’ oreille et disparoît ; il lui a ordonné de se rendre au p
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
mphe ; à-plomb, hardiesse, fermeté, brillant, belle formation de pas, oreille sensible et délicate ; telles étoient les qualité
84 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
immense cravate blanche dont les bouts montent jusque par-dessus les oreilles , afin de couvrir d’énormes écrouelles, de telle s
taille, le cou sanglé dans de hautes cravates qui montaient jusqu’aux oreilles , les cheveux s’enlevant en un toupet dont la foug
gne au Grand-Opéra, et celui-ci est à présent le paradis des gens à l’ oreille dure38. » Ailleurs, le même auteur, décrivant le
85 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
isse sur les tiges des nénuphars. La vieille mère, attentive, prête l’ oreille à ce frôlement léger, et ne peut rien apercevoir 
n autre, — mais qui n’a rien d’extraordinaire et de blessant pour les oreilles britanniques, et qui d’ailleurs, dans un ballet m
86 (1936) Philosophie de la danse
doute ; mais l’être de ce chien ne donne aucune suite à cette vue. L’ oreille de ce chien perçoit un bruit qui la dresse et l’i
un pianiste. Ne regardez que les mains de celui-ci. Bouchez-vous les oreilles , si vous l’osez. Mais ne voyez que ces mains. Voy
87 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
e vous voudrez, ma petite chérie ; j’entends la fée qui murmure à mon oreille qu’elle veut danser pour vous, toujours, toujours
88 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
lis gracieux, la tête couverte d’un morceau de feutre ramené vers les oreilles par un voile. Elle descendait du train de Francfo
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39
la danse à ceux de la mesure avec cette précision, et cette finesse d’ oreille qui sont absolument nécessaires, à moins qu’il ne
90 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77
Danse à ceux de la mesure avec cette précision & cette finesse d’ oreille , qui sont absolument nécessaires, à moins qu’il n
91 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
s par-ci, d’un velours ou d’un ruban par-là, d’une paire de boucles d’ oreilles en verroteries, d’un porte-bonheur de cuivre doré
92 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
rs… Le gandin. On dit qu’elle s’appelle ?… L’ami lui dit le nom à l’ oreille . Soyons discrets ! Le gandin. Elle n’est pas ma
93 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
des instrumens et des chansons ; or, ce son frappant agréablement les oreilles , n’a-t-il pas souvent pour effet d’amollir le cœu
94 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
quatre sous. Nota. Elle fait sortir la fumée par les narines ou par l’ oreille , au choix de la société. La grisette devra renonc
ssale cuiller à potage en fer galvanisé. La Lorette se penche à votre oreille , et vous dit : Mon argenterie est absente, j’avai
ez une bouteille champagne. La maîtresse se baisse de nouveau à votre oreille , et vous dit : Je le fais payer six francs aux An
n aller sans payer mon dîner, La maîtresse de la maison se penche à l’ oreille du nouveau venu et lui dit : « Pour faire cesser
offre, comme dans les mélodrames de M. de Pixerécourt, ses boucles d’ oreilles et ses cheveux pour sauver son amant. Elle termin
95 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
e, n’aura qu’à paraître sur la scène, et elle entendra résonner à son oreille le concert des brava. Quelques-unes, nous devons
96 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
émon toutes les portes de ses sens, et en particulier vos yeux et vos oreilles , comme pour l’inviter à entrer dans votre ame san
97 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
le Décorum) et avec cela être subtil, inventif, judicieux, et avoir l’ oreille très délicate »1. 6L’éducation de ceux qu’on de
98 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
chantait, faisoit des gestes ; peines inutiles ; les statues ont des oreilles et n’entendent point ; des yeux, et ne voyent rie
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
, et que les arts fatigués du bruit de ses grelots, prêteront enfin l’ oreille aux accens de la vérité et aux sages leçons de la
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
insipide griffonnage. Si vous appercevez chez moi le petit bout de l’ oreille , couvrez la de la main gauche, car je crains la d
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