musiques de Mozart et de Mendelssohn ? Fuller elle-même reste dans l’ ombre . Essaim de papillons géants ou, dans Les gemmes f

vif. Les danseuses se profilent sur un écran violemment éclairé. Les ombres qu’elles projettent « doublent » chacun de leurs

lus son double grandit ; elle fuit vers l’avant-scène et voilà qu’une ombre gigantesque dont la tête touche au cintre la pour

se fond dans l’obscurité de la salle. On voit enfin une énorme main d’ ombre se saisir du groupe apeuré des danseuses collées

, je ne me suis tellement amusé au théâtre ! Voilà bien la Fuller ! L’ ombre sur la scène n’avait jusqu’alors été qu’un élémen

ix gémissantes, que des cris de rage et de désespoir, poussés par les ombres criminelles. La terreur glace ses sens, et l’arrê

ésente les Champs Elisés. Scène I. La vue d’un mortel étonne les ombres heureuses : de jeunes amans morts d’amour quitten

s qui en découlent. Orphée bientôt se trouve environné par toutes ces ombres heureuses. Les accords de sa lyre retracent aux u

ouceurs de l’Amour, aux autres les avantages de la gloire ; et chaque ombre se sent, pour ainsi dire, ramenée à son premier p

ant, par l’expression vraie qu’Orphée donne à ses accens ; Les jeunes ombres se rassemblent et forment des danses autour de lu

e cent fois.   Un enfant, et cet enfant, c’est l’Amour, transformé en ombre le conduit près d’un berceau couvert de roses et

près d’un berceau couvert de roses et de jasmin, sous le quel est une ombre assise, dans une attitude, qui exprime l’abatteme

re Euridice, tombe à ses pieds et la reçoit dans ses bras. Toutes les ombres se réunissent près des epoux et forment un groupp

à laisser passer un foible rayon de lumière. J’évoquai humblement les ombres fugitives des Pylade, des Batyle et des Hylas ; d

leurs talens, les idoles des grands, et les dieux de la populace. Ces ombres m’apparûrent, je m’inclinai humblement devant ell

e, par eux, comme la base fondamentale des principes de la danse. Les ombres levèrent les épaules, et se mirent toutes à rire 

se servoient pour exprimer intélligiblement le passé et le futur. Ces ombres dont l’éloquence ne résidoit que dans les gestes,

apperçus de la trivialité, et de l’insignifiance de leurs gestes. Une ombre costumée à la Romaine me tira d’embarras ; c’étoi

e langage muet, étoit entendu de toutes les classes de citoyens ; les ombres que tu viens de consulter, en te répondant dans l

que ceux, qui éxistoient à Rome ? étoient-ils nobles, et décents ? L’ ombre ne me repondit rien, et disparût. J’eûs beaucoup

es de Sémiramis, de Ninias, d’Oroès Pontife de Babylone, et surtout l’ ombre de Ninus. On retrouvera les confidents dans ceux

ar, personnages purement épisodiques, j’ai dû les abandonner. C’est l’ ombre de Ninus qui joue un grand rôle dans mon Ballet.

meil est extrêmement agité ; il semble qu’elle a des rêves affreux. L’ ombre de Ninus paraît ; Sémiramis croit la voir en song

aît ; Sémiramis croit la voir en songe, et son trouble en augmente. L’ ombre après l’avoir menacée d’un poignard qu’elle tient

es Grecs. Polixène , fille de Priam. Priam , Roi des Troyens. L’ ombre d’Achille . Dames troyennes , Captives. Capit

a terre tremble de nouveau ; le tombeau d’Achille s’entr’ouvre ; et l’ ombre menaçante de ce héros apparoît ; la pierre qui co

s irrités. A ce spectacle affreux, les cœurs sont glacés d’effroi. L’ ombre disparoît. Polixène exprime sa douleur ; Pyrrhus

tombeau s’embrase de nouveau ; l’inscription devient plus ardente ; l’ ombre menaçante du héros s’élève toute entière au dessu

ène ramasse ce poignard ; elle jette un regard fier et terrible sur l’ ombre d’Achille. Elle va se le plonger dans le sein, lo

se perce le sein et se traîne mourante vers le tombeau d’Achille ; l’ ombre satisfaite disparoît. Les caractères de feu s’éte

la surface blafarde et vibrante de l’écran, Antinéa se détache ; son ombre souveraine se condense, se matérialise, descend d

le charme personnel de sa danse c’est, avec le mystère de ses yeux d’ ombre et l’acuité de son profil, surtout la serpentine

a musique des sphères se tait : effet saisissant. Mlle Zambelli est l’ Ombre Heureuse que fut jadis Mlle Guimard et, hier enco

ulièrement le quatrième acte ; ce séjour élyséen où se prélassent les ombres en perruques et paniers blancs fut, pour les suje

nterprétation de Mlle Zambelli ? Parfaite. Le rôle malencontreux de l’ Ombre Affligée demande plus que du talent : du dévoueme

nuel d’une jeune fille, il entreprit de la délivrer et de combattre l’ ombre de Lybas. Le spectre parût, dit-on, en vint aux m

ucharis , jeune personne qui doit être immolée aux mânes de Lybas. L’ Ombre de Lybas. L’Amour . L’Hymen . L’Amitié . Esc

errasse les autres ; il court vers le tombeau de Lybas, il évoque son ombre , il le défie au combat. Le tonnérre gronde, les é

e tremble, un bruit souterrain se fait entendre ; la tombe s’ouvre, l’ ombre de Lybas se lève, fait un geste menaçant, accépte

pour un instant, sans pourtant la perdre de vue. Elle lui échappe, l’ ombre de Lybas gagne la cime des rochers. Euthyme la po

nt à mes Figures je ne leur ai donné que le trait, sans les charger d’ ombres , afin que l’on puisse les distinguer avec plus de

nsongères ; où les arts et les talens se développent paisiblement à l’ ombre d’un trône que la gloire environne et dont les ve

ujet d’autant plus difficile à bien traiter qu’il ne présente que des ombres  ; il est nécessaire que le maître de ballets lise

ont le charme de la poésie et ne peuvent faire celui de la danse. Ces ombres sont heureuses, aucune passion ne trouble leur re

mer quelque chose, si les passions ne lui prêtent leurs organes ? Ces ombres ont des souvenirs, des pensées douces ; mais comm

le maître de ballets autorisé à employer les charmes de son art. Les ombres heureuses offrent tous les âges et toutes les con

antité (Dont quatre mille était le nombre), Dissipèrent tout à fait l’ ombre . […] Après le Bal, la Comédie Divertit bien la Co

a mémoire ? Quels mots assez légers pour qu’ils ne pèsent pas à cette ombre ailée ? Pour glorifier la jeune fille défunte, il

rs gothiques, l’ordonnance d’une colonnade antique, les masses et les ombres d’une cathédrale baroque, une fugue de Bach ou le

mble ne ressemble-t-il pas d’une façon alarmante au pâle suaire d’une ombre  ? Et la lune qui se lève et montre, à travers les

qu’à être précipité dans le lac. En effet, toutes ces petites mains d’ ombres poussent ce gros corps massif du haut de la rive.

pleurer sur la tombe de Giselle, et tâcher d’obtenir son pardon de l’ ombre adorée ; car Albrecht n’a trompé Giselle qu’à dem

attendrie des larmes d’Albrecht, pousse un léger soupir, un soupir d’ ombre  ; Albrecht, éperdu, se retourne, il voit scintill

son saint asile, elle sera sauvée, et, sublime abnégation, la pauvre ombre tâche d’être moins belle et moins séduisante. Pei

et se mêle à ses poses, heureux encore de mourir entre les bras d’une ombre si chère. Cette danse éblouissante, vertigineuse

ue des élèves de Mme Chasles reste naturelle et très gracieuse sans l’ ombre d’un cabotinage précoce. Mais le vrai triomphe de

st arrêté par des gouffres de feu, qui s’entrouvrent sous ses pas ; l’ ombre menaçante de Gélanior(1) lui apparoît, elle confi

tombe sans sentiment sur une couchette. Le bruit cesse ; la main et l’ ombre disparoissent ; les caractères s’effacent ; les g

t, un chanteur dérobé par le grouppe de sculpture au devant du quel l’ ombre apparoît, articule ces mots ; frémis tyran, la mo

e s’élance de la barque sur le rivage, et voit bondir à côté d’elle l’ ombre légère de son corps mortel, apparition qui la fai

e surprise. Dans l’existence d’Ondine, idéale et surnaturelle, aucune ombre n’était projetée par le corps diaphane qui lui av

it projetée par le corps diaphane qui lui avait été donné. Elle a une ombre  ! elle est devenue une simple mortelle, elle sera

a femme de Mattéo ! Quelle joie ! quelle ivresse ! Elle joue avec son ombre , elle danse avec elle, elle la taquine, elle la h

a poursuit tour à tour. C’est une idée charmante que cette danse de l’ Ombre , qui a fait fureur en Angleterre, et où Fanny Cér

s autres les parer avec des boucliers ; un Magicien peut invoquer des ombres , des fantômes, & faire des cercles avec sa ba

s, & faire des cercles avec sa baguette enchantée, tandis que ces ombres ou les démons feront diverses postures ; des amou

it du baiser ! Son front brûle encore ! — Mais qu’est-elle devenue, l’ ombre amoureuse ? par quel sentier invisible a-t-elle d

paroles, et dans votre main vous aurez une main vivante, non pas une ombre . Ainsi se parle le jeune Écossais à lui-même ; et

me la fumée blanche, emblème du soufre dévoré par la flamme, dans les ombres des bois et dans les nuages du ciel ! » —  Horri

oisième acte de Robert le Diable, a composé le pas ravissant de cette ombre en peine qui achève la défaite du héros. — Elle s

nche tarlatane. Osons l’affirmer : la Catchucha de Fanny, le Pas de l’ ombre de Taglioni, le libretto de Giselle ne datent pas

choses joyeuses… … Taglioni vous faisait penser aux vallées pleines d’ ombre et de fraîcheur, où une blanche vision sort tout

ns fait ses adieux à Paris. Il compare la ballerine qui rentre dans l’ ombre à la cantatrice dont la mort prématurée fut chant

ain qui se lance d’un plancher… » Mais Gautier ne quitte Le Pas de l’ ombre que pour combler des plus hauts éloges le Pas de

te, et dans cette lumière mon corps se dessinait vaguement en ligne d’ ombre . Ce fut, pour moi, une minute d’intense émotion.

re il faisait nuit. Nous marchâmes en silence dans les rues pleines d’ ombre . Nous ne parlâmes ni l’une ni l’autre. Mais quelq

eux s’animaient étrangement. Je continuai à danser, m’effaçant dans l’ ombre au fond de la scène, puis revenant sous le bec de

rée ; des draperies figuraient économiquement les coulisses ; décor d’ ombres chinoises ; les vaporeux tutus de Raoul Dufy (qui

omone qui servirent toutes les sortes de fruits. Dans le même temps l’ ombre du délicat Apicius sortit de terre. Il venait prê

couchette, sur la quelle Enée s’abandonne aux douceurs du sommeil. L’ ombre d’Anchise apparoît à Enée. Elle le rappelle à son

n sommeil toutes les expressions des sentimens qui agitent son ame. L’ ombre disparoît. Enée se réveille, et ne voulant point

par les personnes qualifiées de la Cour. L’art ou, pour mieux dire, l’ ombre de l’art ne s’était conservée que parmi les gens

tions des furies, son horreur redouble lorsqu’il se voit arrêté par l’ ombre errante de Clytemnestre. A cet aspect, son crime

e à son imagination et porte à son cœur les sentimens du désespoir. L’ ombre en soulevant une partie de son voile, lui découvr

t de lui, et dans l’égarement de son esprit, il poursuit en furieux l’ ombre de sa mère qui disparoît. Scène ii Des Ga

. Les Euménides. Le Crime, le Remords et le désespoir personnifiés. L’ ombre de Clytemnestre. , Les chœurs cachés. Acte pre

e ; il fuit, mais la terre s’entrouve sous ses pas. scene v. L’ ombre terrible et menaçante de Clytemnestre lui apparoî

ste à cet aspect épouvantable recule, frémit, se jette aux pieds de l’ ombre , la conjure d’une voix foible et mourante de croi

ire que son cœur est innocent, et que sa main seule est criminelle. L’ ombre lui répond d’une voix menaçante et terrible, reje

sseur et madame Dorus. — La Sylphide. — Père terrible ! — Le pas de l’ Ombre . — Enthousiasme universel. — Vers de Musset. — Le

des qualités avec ses défauts : elle était maigre, il en faisait une ombre , il la condensait en vapeur, il la promenait sur

n impalpable : vous la croyiez ici, elle était là. Délicieux pas de l’ Ombre  ! Musset s’en souvenait encore douze ans plus tar

que passer Sur ce grand théâtre si sombre, Ne courez pas après votre ombre Et tâchez de nous la laisser. L’engouement pour

une fois sortie de cette atmosphère incandescente pour rentrer dans l’ ombre froide du repos, l’ennui la prit, un ennui sombre

e quatorze ans écrivit, en mon honneur, les lignes suivantes : « Une ombre lumineuse et légère. A travers la nuit brune filt

en sa chair transparente et ses feuilles claires s’échevèlent dans l’ ombre telles de grands bras tourmentés. Toute une flora

és, l’un sur l’autre, il n’y aura point de clair qui fasse valoir les ombres , et les jambes trop réunies n’offriront qu’une ma

lement la longueur de leurs bras ; ils en font fuir une partie dans l’ ombre . J’ai dit que les danseurs jarretés étoient foibl

à qu’en même temps la danse classique, patrimoine français, sort de l’ ombre et s’épanouit dans la nouvelle lumière. Nous voyo

lés l’un sur l’autre, il n’y aura point de clair qui fasse valoir les ombres , & les jambes trop réunies n’offriront qu’une

lement la longueur de leurs bras ; ils en font fuir une partie dans l’ ombre . J’ai dit que les Danseurs jarretés étoient foibl

imiter ! À quoi bon ? Ce qui est exquis en elle est insaisissable : l’ ombre d’une fumée. C’est l’inconscient de sa race qui s

lés l’un sur l’autre, il n’y aura point de clair qui fasse valoir les ombres , et les jambes trop réunies n’offriront qu’une ma

appercevons dans cette masse ténébreuse que des fantômes, et quelques ombres fugitives qui se jouent de notre imagination. Avo

fit une halte en se rendant à Fontainebleau. Il tint même conseil à l’ ombre d’un arbre séculaire qui domine toujours de sa ta

ave et désolée, sur le silence haletant de la multitude. Les blanches ombres glissent sur la mélodie, qui s’égrène, en l’effle

me : homme d’un talent admirable qui végétait, modeste et obscur, à l’ ombre des lauriers de Petipa. Restituons-lui donc sa pa

r nos plaisirs, vous voudrez bien vous contenter devoir défiler leurs ombres devant vous ; c’est à votre imagination à leur pr

solitaire de la petite gare, dans la nuit. Enfin un homme surgit de l’ ombre . Il portait un falot qui faisait une petite tache

mmuniqua depuis : Pâle vision A l’horizon En ce lieu sombre Fugitive ombre … Devant mes yeux vague Une forme vague, Suis-je f

es objets qui ne sont faits que pour leur prêter de la vigueur et des ombres . Un maître de ballets doit s’attacher à donner à

ne. De cet antre il porte ses pas vers les Champs Elisées : parmi les ombres heureuses qui s’offrent à sa vue, il croit distin

r les objets qui ne sont faits que pour leur prêter du nerf & des ombres . Un Maître de Ballets doit s’attacher à donner à

en de tout cela n’existe dans l’exécution. Elle n’en offre pas même l’ ombre . Dans ce même Poème à la fin du troisième Acte, l

uctions de ce genre dans les différentes cours de l’Europe, comme des ombres incomplettes de ce qu’elles sont aujourd’hui, et

et sur les murs de flammes agités, s’émerveillent et s’inquiètent les ombres immenses des ivrognes !… Voyez-moi cette troupe m

ait éveiller délicatement chacune à son tour, les faisant surgir de l’ ombre de mon âme, et paraître à la lumière de vos espri

endre la forme, et la forme fait voir l’instant. PHÈDRE Elle fuit son ombre dans les airs ! SOCRATE Nous ne la voyons jamais

le d’êtres fantastiques, on voit bien que ce n’est pas de Spectres, d’ Ombres , et de Fantômes que j’entends parler : « toute l’

ce, dans la LXXVII. Olympiade, entre Euthryme fameux Athlete, & l’ ombre de l’un des Compagnons d’Ulysse chez les Thémésie

uctions de ce genre dans les différentes Cours de l’Europe, comme des ombres incomplettes de ce qu’elles sont aujourd’hui &

it son origine au hazard, suivant l’opinion commune, par l’effet de l’ ombre de l’homme & la clarté du Soleil, ou de l’omb

par l’effet de l’ombre de l’homme & la clarté du Soleil, ou de l’ ombre de la lumiere, & dont l’invention en est attr

dit que les premiers Peintres prirent les proportions de l’homme à l’ ombre du Soleil, en tirant des lignes pour en marquer l

V Pastels après décès. Essaim d’ ombres . — Mesdemoiselles Lafontaine, Subligny, Desmatins

s, par les escaliers et par les corridors, voici que tout un essaim d’ ombres charmantes tourbillonne et froufroute autour de n

opposées aux vices, pour être aimables et pour séduire, parce que ces ombres trop fortes loin de donner de la valeur aux objet

e vous persuader qu’il est plus glorieux de végéter et de languir à l’ ombre des originaux qui les éclipsent et qui les écrase

posées aux vices pour être aimables & pour séduire, parce que ces ombres trop fortes, loin de donner de la valeur aux obje

ous persuader qu’il est plus glorieux de végéter & de languir à l’ ombre des originaux qui les éclipsent & qui les écr

claire d’un rayon livide ce taudis hasardeux, allant accrocher dans l’ ombre une paillette d’argent sur la bedaine d’un énorme

aprice flamboyant, le rayon méridional qui se joue et glisse dans les ombres de la forêt. Voici donc la manola et Florinde dan

’alors devant sa rivale. Un des ballets que dansait Marie Taglioni, l’ Ombre , faisait dire qu’elle n’était plus que l’ombre d’

sait Marie Taglioni, l’Ombre, faisait dire qu’elle n’était plus que l’ ombre d’elle-même, tandis que l’astre de Fanny Elssler

t, c’était un astre de plus qui s’éteignait au firmament envahi par l’ ombre . Il lui dit : « Ainsi tu veux te dérober à l’art

voiles dont son pied ne faisait que soulever le bord, on eût dit une ombre heureuse, une apparition élyséenne jouant dans un

e amena un grand abus de gaze blanche, de tulle et de tarlatane ; les ombres se vaporisèrent au moyen de jupes transparentes.

ison d’Est. Beatrix de Modéne paroissoit la dernière dans ce ballet d’ ombres  ; elle étoit unie à un jeune Prince portant en tê

hainoient avec des fleurs, et la gloire les couronnoient. Ce ballet d’ ombres étoit vaporeux ; le costume y étoit observé, et e

là, dans le dédale des escaliers et des couloirs, des coins baignés d’ ombres que nos fillettes ne traversaient qu’en frissonna

Que si les anciens l’ont honnoree & mise en vsage, n’ayant que l’ ombre & la figure de la perfection que nous possedo

on si l’on n’observe exactement cette règle, tout se détruira faute d’ ombres et d’oppositions ; tout doit être d’accord, tout

gnorance et la fortune. Comme ses tableaux n’offroient à l’œil aucune ombre vigoureusement prononcée, les jolies femmes disoi

n. Si l’on n’observe exactement cette regle, tout se détruira faute d’ ombres & d’oppositions ; tout doit être d’accord, to

ue de faibles esquisses qui passent devant son entendement, comme des ombres légères, sans surprendre, affecter, ou émouvoir s

bras, ni l’expression des têtes ; en un mot, vous ne m’offrirez que l’ ombre imparfaite du mérite supérieur, & qu’une copi

. Le limonadier qui apporte des demi-tasses a le cauchemar, il voit l’ ombre de la malleposte emporter, avec l’ombre du consom

ses a le cauchemar, il voit l’ombre de la malleposte emporter, avec l’ ombre du consommateur, l’ombre de la petite cuillère d’

it l’ombre de la malleposte emporter, avec l’ombre du consommateur, l’ ombre de la petite cuillère d’argent. Le plus souvent,

cain. Le Morning Herald eut un rédacteur spécial qui suivit comme une ombre la noble étrangère. Grâce à cet organe, le monde

la sainteté du lieu. C’est comme un murmure que feraient entendre les ombres des trépassés. Trois heures sonnent et cette musi

ruit, de le couper par le pied (encore qu’il pût servir à donner de l’ ombre ) et de le mettre au feu, afin que personne n’y fû

ait sortir avec plus de feu les morceaux qui la suivent : ce sont des ombres , qui ménagées avec art et distribuées avec goût,

ait sortir avec plus de feu les morceaux qui la suivent ; ce sont des ombres qui ménagées avec Art & distribuées avec goût

selon qu’ils convenaient à son sujet. Jean-Étienne Despréaux, A l’ ombre de Boileau Despréaux. Contemporain de mes aïe

t non pas le même renom ; Mais je possède un avantage Pour lequel ton ombre , je gage, Céderait tes fameux écrits ; Tu fus, je

ar les personnes de qualité de la Cour ; l’art, ou pour mieux dire, l’ ombre de l’art, ne s’étant conservée que parmi les gens

de carrefour et de bohême ! Que diriez-vous d’une pareille barbarie, ombres de Gardel et de Vestris ? Parlez-nous des ronds-d

fallait de beaucoup néanmoins que le ciel fût entièrement serein. Une ombre large tombait sur le bonheur de Fanny. C’était ce

’année : on l’a jeté aux pieds de Mlle Taglioni. « Adieu donc encore, ombre dansante qui étais toute notre joie innocente, no

bre A la Chambre, Je grandirais d’un bon tiers, Et je pourrais de mon ombre Faire nombre A côté de Monsieur Thiers. Je pourra

gano. Sortie des entrailles mêmes du peuple autrichien, élevée sous l’ ombre protectrice d’un génie qui personnifiait les dons

re d’elle une apparition fugitive, une forme fluide et vaporeuse, une ombre , comme en était une la grande danseuse romantique

cteur, il fait grimacer tous ses traits, et en renversant l’ordre des ombres et des clairs il démonte, pour ainsi dire toute l

oué cet usage, non par frivolité, mais par raison. On a senti que ces ombres inanimées et imparfaites de la belle nature s’opp

oué cet usage, non par frivolité, mais par raison. On a senti que ces ombres inanimées & imparfaites de la belle nature, s

omone qui servirent toutes les sortes de fruits. Dans le même temps l’ ombre du délicat Apicius sortit de terre ; il venait pr