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1 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
danse adhère-t-elle au texte musical, augmente-t-elle la portée de l’ œuvre  ? Celle-ci ne s’en trouve-t-elle pas endolorie, a
Carottes mais qui ne s’amalgament point avec la matière musicale de l’ œuvre . La tâche, d’ailleurs, est loin d’être aisée. Il
lènes distinctement phrasées. C’est pourquoi l’exécution de certaines œuvres modernes par des danseurs n’est, pour le musicien
ne volonté unique capable de coordonner, d’intégrer les éléments de l’ œuvre . Telle quelle, elle n’est qu’un argument pour ceu
2 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 31 juillet. Notes de vacances sur quelques souvenirs de la saison. »
tion sonne étrangement à l’oreille. Maurice Ravel intitula une de ses œuvres récentes : Valse chorégraphique. Un tel titre aut
interprétation plastique, l’incarnation par le danseur. Au concert, l’ œuvre , avec toutes ses beautés, reste, du moins selon s
me suis persuadé une fois de plus qu’en ajoutant quelque chose à une œuvre complète on l’amoindrit. D’ailleurs, je l’ai tou
ions plastiques, d’une dynamique puissante. Le fait est que, dans une œuvre de danse, la conception plastique et mécanique de
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
de pas à devenir le principal dans le paysage. C’est le refuge de « l’ Œuvre  ». Rodin poussa lentement la porte du temple, pui
ur l’apprécier à sa juste valeur. Il faut voir l’homme, le cadre et l’ œuvre , dans leur grand ensemble, pour en comprendre l’e
nt je voudrais pouvoir reproduire l’effet. Rodin nous conduisit à une œuvre qu’il affectionnait particulièrement. Immobiles,
sion ; un mot, un regard, un geste de la tête ou de la main. Ainsi, d’ œuvre en œuvre, de pièce en pièce — car il y a trois at
mot, un regard, un geste de la tête ou de la main. Ainsi, d’œuvre en œuvre , de pièce en pièce — car il y a trois ateliers da
4 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
inci ou bien M. Picabia, c’est là ce qui caractérise et différencie l’ œuvre personnelle de chacun de ces peintres, leurs conc
s nature, créé, donc conventionnel. Il est l’ouvrier ; il est aussi l’ œuvre . Est-ce à dire que je me place à un point de vue
Pavlova son premier rôle de ballerine. Je ne pourrais ici analyser l’ œuvre énorme du maître, œuvre qui jusqu’à nos jours con
e de ballerine. Je ne pourrais ici analyser l’œuvre énorme du maître, œuvre qui jusqu’à nos jours constitue le fonds impériss
5 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
lle Ellen Sinding qui porte un nom déjà illustre en Scandinavie par l’ œuvre d’un sculpteur et celle d’un musicien, est danseu
mais j’y ai entendu avant la guerre interpréter très heureusement une œuvre de Puccini ; je pense aussi à la Pavane de Grieg,
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
on tenait l’adultère pour une chose impossible et incroyable. » Plut. Œuvres morales ; dits notables des Lacédémoniens. 47.
s notables des Lacédémoniens. 47. Dits notables des Lacédémoniens. Œuvres morales. 48. « Lycurgue le Législateur, voulant
ndre les hommes vertueux la nourriture que non pas la Nature. » Plut. Œuvres mor. dits not. des Lacéd. traduct. d’Amyot.
7 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 décembre. La revanche de la danse. »
la durée. Les temps ne sont plus, heureusement, quand on prônait une œuvre musicale pour son pittoresque et une œuvre peinte
ment, quand on prônait une œuvre musicale pour son pittoresque et une œuvre peinte pour ses qualités plastiques. La confusion
8 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »
ne laisse pas à l’étranger la gloire d’avoir monté avant l’Opéra des œuvres telles que la Valse de Ravel. Pour que toutes ces
rythmique n’usurpe plus les droits du maître de ballet en montant des œuvres hybrides qui, n’ayant rien à voir avec la danse,
9 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
un ballet de la plus pure essence classique et qui date de 1890, fait œuvre d’archéologue, un essai de reconstitution, d’exhu
suis tenté de le supposer, la musique de danse est un art applique, l’ œuvre de Tchaïkovski en remplit toutes les fonctions es
cour s’accordent-elles parfaitement avec les éléments classiques de l’ œuvre  : danses d’ensemble des fées, variations de la pr
3 ou 4 pages les plus merveilleuses de grâce et d’invention de tout l’ œuvre énorme de Petipa), d’autres encore. Diaghilev en
10 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VII »
re prescrite, et qui ne puisse être imitée : celle qui convient à une œuvre , et à elle seule, parce qu’elle est le signe de l
11 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
n présentée, avec un effort de mise en scène adéquat à la valeur de l’ œuvre , La Foire de Corfou aurait pu devenir le Petrouch
rent Schmitt ou de Debussy. J’aurais pu cependant citer deux ou trois œuvres récentes, mais bien anodines, bien fades, bien in
12 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
Sylphides russes. Sa matière musicale est traîtreusement dérobée à l’ œuvre de Chopin ; elle est, d’ailleurs dépouillée de so
e ne prétend pas être un marivaudage — la Suite de Clustine reste une œuvre vivante. Et c’est ce qui importe uniquement. Par
avait été amplifié, transfiguré, absorbé par la musique. Il défraya l’ œuvre d’un Lanner, d’un Schubert, de cette dynastie ind
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 mai. Le répertoire : « La Tragédie de Salomé ». »
lheur. Car, malgré la partition du maître-musicien Florent Schmitt, l’ œuvre n’est pas viable. Ce qu’avait, il y a bientôt dix
sée à l’Opéra, elle est d’une insuffisance trop patente. C’est là une œuvre hybride, celle d’un « vieux de la vieille », fidè
14 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
ent suprême des forces moscovites. La première de jeudi comporta deux œuvres inédites : La Belle au Bois dormant et Le Renard.
le au Bois dormant et Le Renard. Paris ne verra pas, cette fois-ci, l’ œuvre maîtresse de Marius Petipa se dérouler dans son e
15 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
esque, intense et sensuel, qui fit surgir de par le monde une foule d’ œuvres théâtrales, qui subordonna pendant plus d’une sai
à Petipa » me cause un certain malaise. Si peu de chose subsiste de l’ œuvre originale ! Et ce désir louable de toujours faire
16 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
nçaise », monta sur la scène exiguë de son petit Théâtre des Arts des œuvres de Lulli et de Rameau, fit appel à la plus pure t
Je me fais un devoir et une joie d’examiner minutieusement toutes les œuvres qui constituent, à l’Opéra, le répertoire de dans
17 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
vitalité exubérante ne se dément pas, mais l’emprise qu’exerce cette œuvre unique apparaît plus intense. Quelle joie que cet
x vides d’être sans âme. On donna à la suite Le Sacre du Printemps, l’ œuvre la plus âprement discutée qu’ait jamais osée Diag
18 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
directe et agressive, avec une foi absolue de primaire, fit avorter l’ œuvre . Pourtant celle-ci se relevait au second tableau.
is nous voilà en 1922 et nous sommes tout étonnés de considérer cette œuvre de combat, outrancière, intransigeante avec une c
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
arion qu’on peut comprendre quel grand penseur il est. Dans toute son œuvre , il est secondé par sa femme. Elle aussi est un g
ondateurs de la Ligue pour le désarmement, et s’occupe aussi d’autres œuvres , ce qui ne l’empêche pas d’être une femme des plu
tc., tandis que les invités arrivaient déjà. Tout le monde se mit à l’ œuvre pour dresser le couvert, et je crois bien que je
20 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
vre. Tu auras tort de dire cela. Ce livre n’est ni un scandale ni une œuvre impie. C’est une fantaisie de femme. Une coquette
21 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 juillet. Le répertoire : « Sylvia » »
partition qui, aujourd’hui, affronte avec aisance le voisinage d’une œuvre de Mozart. « Inspira », c’est bien le mot, car la
rtition de danse » qui compte. Constatons sans aigreur que dans cette œuvre de longue haleine, très abondante, se trouvent de
22 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
nché derrière Faust, l’abonné, sournois, se dérobe ; et rien en cette œuvre équilibrée et sereine ne saurait solliciter le sn
. On peut dire de Castor et Pollux ce qui a été dit de Carmen : cette œuvre est issue de l’esprit de la danse. D’ailleurs, d’
23 (1936) Philosophie de la danse
bitraire. Ainsi, la création artistique n’est pas tant une création d’ œuvres qu’une création du besoin des œuvres ; car les œu
ue n’est pas tant une création d’œuvres qu’une création du besoin des œuvres  ; car les œuvres sont des produits, des offres, q
une création d’œuvres qu’une création du besoin des œuvres ; car les œuvres sont des produits, des offres, qui supposent des
ar définition, comportent une partie d’action, l’action qui produit l’ œuvre , ou bien qui la manifeste. Un poème, par exemple,
e ; vous pouvez alors concevoir la réalisation d’une œuvre d’art, une œuvre de peinture et de sculpture, comme une œuvre d’ar
aît hardie, j’imagine ? Mais songez que, pour maint grand artiste une œuvre n’est jamais achevée ; ce qu’ils croient être leu
24 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
œurs, occupe désormais uniquement nos pensées, éclate dans toutes nos œuvres . (Philip. c. 4, v. 8.)
25 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
Schneitzhœffer (l’on prononçait Chènecerf) dont les deux principales œuvres , la Sylphide et la Tempête, durent leur succès à
es avait été érigée en principe. C’était une loi absolue. La dernière œuvre importante montée sous l’administration du vicomt
librettistes fut monté sur le trône sous le nom de Louis XVIII, cette œuvre eut un renouveau de popularité. C’était la pièce
ut de l’affiche. On conserva au contraire Nina ou la folle par amour, œuvre pathétique, tirée en 1813, par Milon et Persuis,
stèrent également en honneur. Nina, les Noces de Gamache et d’autres œuvres semblables représentaient une variété d’importanc
; mais j’étais incapable de les distinguer les uns des autres. » Une œuvre montra par sa vogue persistante combien le ballet
fécondes et des situations poétiques qui auraient fait du ballet une œuvre vraiment belle. La chorégraphie traditionnelle ét
26 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
vinrent polis, sociables, humains. On éleva des Théâtres. Les chefs d’ œuvres des Grecs et des Romains qui avaient déjà servi d
27 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IV » p. 136
musique et au poème, peuvent faire la plus belle et la plus riche des œuvres d’art. À mon gré, la symphonie seule n’y suffit p
28 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
à constater la vaste culture, presque l’érudition dont témoignent ses œuvres . Sans doute l’intuition et une prodigieuse mémoir
sir des blocs de marbre tandis que l’enfant Icare se jouait parmi les œuvres ébauchées. On applaudit surtout le finale de cet
Stendhal pour de tels spectacles. La Vestale semble bien avoir été l’ œuvre la plus parfaite de Viganò. Si l’on n’y trouve pa
e Viganò. Il inventera encore une Jeanne d’Arc et une Didon, mais ces œuvres inégales ou incomplètes ne peuvent donner une idé
de son génie chorégraphique. Il nous apparaît au contraire dans cette œuvre grandiose avec l’ensemble de ses qualités et de s
cription ou quelque scénario du ballet de Viganò lorsqu’il conçut son œuvre , si proche avec ses géants, son Walhalla, ses gue
l’étude de la musique. Il excellait à choisir dans les opéras et les œuvres symphoniques des morceaux pouvant convenir aux di
Viganò mêle à ceux des compositeurs illustres dont il empruntait les œuvres  : Mozart, Rossini, Beethoven, Spontini, Haydn, et
ographie de Viganò, comme pour tous les renseignements concernant son œuvre , je suis, à moins d’indications contraires, le li
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
eut se trouver que dans la représentation d’une action suivie. Chaque œuvre dramatique a le sien. Le Spectateur est attaché,
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
ns. 117. Voyez le Discours de l’Abbé Lallemand qui est à la tête des Œuvres de Benserade. 118. Plutarque. Œuvres morales de
Lallemand qui est à la tête des Œuvres de Benserade. 118. Plutarque. Œuvres morales de l’envie et de la haine.
31 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
it aussi aux Ephésiens (ch. 5, v. 11.) : Ne prenez point de part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez
tante hardiesse chrétienne se doit montrer, à ne point participer aux œuvres mauvaises, mais plutôt à les reprendre et les con
32 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
é parfaite dans les ensembles. Mais en tant que conception scénique l’ œuvre reste hybride : torse classique enguirlandé d’orn
33 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
, à un pastiche du passé inimitable ; bien au contraire, c’est là une œuvre vivante et neuve où le passé n’apparaît qu’à l’ét
34 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
ts de chambre ? On voit déjà figurer sur le programme de l’année deux œuvres chorégraphiques des maîtres Florent-Schmitt et Ro
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
de mise en scène, sur la stylisation des attitudes, sur le pastiche d’ œuvres plastiques que sur la danse proprement dite. Sa p
36 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
trictions et nous voyons le critique créer pour ce nouveau talent une œuvre nouvelle, qui correspond à ses qualités propres c
, propres à Carlotta qu’il exalte à propos de La jolie fille de Gand, œuvre de Saint-Georges et Adam, cauchemar romantique fr
t de la danse, de voir l’image de Carlotta fleurir tant de pages de l’ œuvre formidable et parfaite du poète. Évidemment ces n
se dévouant au ballet, ses jugements sur tant d’interprètes fameux d’ œuvres quelquefois oubliées se prêteraient à une étude i
37 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
urs éminents et de gens du monde s’est fondé pour l’aider à gérer son œuvre de beauté, mais l’appui financier qu’il lui faudr
nécessaires à alimenter l’école gratuite, miss Élisabeth continue son œuvre . — Il ne faut pas que la danse meure, répète-t-el
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
trois variantes de sa conception. Il a, de plus, intercalé entre ces œuvres des fragments de films qui ajoutent encore à cet
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
’assouplissement acrobatique et la gymnastique dominent ; et dans des œuvres comme Phèdre, cette technique sert de support au
40 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
a loi, et en vous inspirant la justice qui vous fera faire les bonnes œuvres qu’elle commande : Quomodò vos concordat Deus ?
10.) Ils ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étoient mauvaises. Quelle est la source d’une di
J. C. vient de le dire : c’est parce qu’on se plaît dans de mauvaises œuvres , et à suivre des passions que la vérité condamne.
la lumière, et il ne s’approche point de la lumière, de peur que ses œuvres ne soient condamnées. Mais celui qui agit selon l
lon la vérité, s’approche de la lumière, afin qu’on connaisse que ses œuvres sont faites en Dieu. Saint Augustin, réfléchiss
41 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
squ’en 1841-1842 il alla faire entendre à Berlin quelques-unes de ses œuvres . Il le dit « intelligent et patient » et s’exprim
e fut Antonietta Pallerini, la créatrice, à la Scala, des principales œuvres de Vigano. Ce qu’Antonietta Pallerini était pour
elle Amazone, la Somnambule. On monta pour elles, à grands frais, une œuvre du comte de Gallenberg, de celui qu’on appelait l
fois de Vienne à Berlin, obtint un chaleureux accueil. Des reprises d’ œuvres anciennes et deux représentations de l’opéra-ball
n corps de ballet, il résolut de profiter de son voyage pour voir à l’ œuvre l’Autrichienne si chaleureuse ment louée par un c
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
uition juste suffit ; s’il suggère, s’il crée une atmosphère, il fait œuvre d’art. Qu’il s’inspire de ce qui l’émeut, mais qu
43 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
ous n’avions à Paris, en 1732 qu’un violon concertant, le Clerc ; ses œuvres gravées sont encore entre les mains des écoliers
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
le : Et ce Dieu là, c’est du Croisy, Qui hautement, couronne ainsi, L’ Oeuvre , de la belle manière. Mais, achevant cette Mati
45 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
einture, de l’optique et des mécaniques ; en un mot, c’était le grand œuvre par excellence, comme son nom le désigne, et le t
e, prouvent que, dès ces époques reculées, on ne séparait pas, dans l’ œuvre dramatique, les notes musicales et la mesure poét
l’Idylle sur la Paix et l’Églogue de Versailles, et Acis et Galatée ( œuvre posthume) ; d’une mascarade, le Carnaval ; d’un b
e-ballet, et celle des entr’actes d’Œdipe, complètent l’ensemble de l’ œuvre dramatique de Lulli, et présentent une liste de q
a Daphné, par la persévérance même qu’il mit à vouloir produire cette œuvre lyrique, est une preuve évidente de l’estime qu’i
é, établi sur des bases larges et brillantes. Dans la composition des œuvres , Glück, Piccini et Grétry devaient continuer sa s
oute la Grèce ; Wenzel ou le Magistrat du peuple. Si l’on joint à ces œuvres  : le Chant des vengeances, par Rouget-Delisle ; l
aravane du Caire, les Mystères d’Isis, Fernand Cortez, les Prétendus, œuvres qui appartenaient à la fois au Directoire, au Con
cors se mêlent intimement et se confondent dans la composition de ces œuvres  ; tous concourent à l’action. Ce n’est plus un op
46 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
commencemens renversés… On aura appelé Dieu pour être auteur de cette œuvre , et une heure après, on lui donnera congé avec ou
’on en bannit les choses profanes, le péché, le diable, et toutes ses œuvres … Au reste, de quoi servent à ceux qui se marient
47 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
i se livrent à cette sorte de plaisir. Tout le monde convient que les œuvres serviles et les travaux ordinaires sont défendus
e nécessité, on ne se trouve dans le cas de la dispense. Pourquoi les œuvres serviles, bonnes de leur nature et permises en to
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »
t le Chèvre-pied ». Il est bien rare que l’auteur d’un ballet fasse œuvre de poète. Si, par hasard, un livret n’est pas l’a
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »
mal. On astreignit alors la danse à reproduire les formes propres des œuvres peintes ou sculptées ; on disposa le danseur en b
50 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
rain des vivans et des morts descendra pour rendre à chacun selon ses œuvres  ; au lieu qu’elles devroient s’appliquer à purifi
la corruption des mœurs, et des pernicieuses amorces pour toutes les œuvres de la chair qui y sont continuellement jointes :
l nomme « ceux qui ont coutume de profaner les jours de fêtes par des œuvres serviles, par des danses, et autres actions sembl
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
on faisoit auparavant, les jours dédiés à la gloire de Dieu, par des œuvres serviles, par des jeux et des danses dissolues. »
lennelle qu’on y a faite de renoncer au diable, à ses pompes et à ses œuvres , ne pouvant aimer la danse sans suivre le diable,
esquelles il faut certainement mettre les danses, et sans y faire ses œuvres , qui sont les péchés dont (comme nous l’avons déj
52 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
, nous aurions tort de récriminer contre ces charmants auteurs, leurs œuvres ont eu cela d’heureux, c’est qu’elles ont fait no
53 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
e couler la matière humaine dans un moule unique, mais qui cisèle son œuvre , en élague tout le superflu, lime toutes les aspé
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »
corps. Je ne sais si ces pas sont faits par M. Staats, qui a signé l’ œuvre , ou sont calqués sur la version de Mérante. Si ce
55 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
jeunissait-il, par des pas originaux et des dons très personnels, une œuvre marquée de rides profondes par les années. L’admi
artiste avait un rôle conçu tout spécialement pour elle, mais toute l’ œuvre la plaçait dans une atmosphère qui favorisait l’é
fut presque la seule couleur adoptée71. » A la nombreuse lignée des œuvres que suscita la Sylphide, appartient un ballet de
rtiste, t. XIII, p. 7. 86. De Spoelberch de Lovenjoul, Histoire des Œuvres de Th. Gautier, Paris, 1887, t. II, p. 493. 87.
56 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
umisterie — ou bien cette boutade ironique — et voyons Nina Payne à l’ œuvre . Grande, aux épaules larges, aux hanches étroites
57 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
que pas des souvenirs de sa dernière création, le Diable boiteux. Une œuvre de sculpture avait fait quelque bruit à la fin de
ure. L’Artiste en publiait une reproduction par Léon Noël. C’est de l’ œuvre de Barre que s’inspira Devéria quand il représent
nitiales signifiaient que le feuilleton devait être considéré comme l’ œuvre commune de Gérard de Nerval et de Th. Gautier. Ma
Mmes Damoreau-Cinti, Stoltz et Virginie Déjazet. Dans cette dernière œuvre étaient introduits des tableaux vivants, genre de
ffiche. L’administration était très en peine. Elle songea que, si les œuvres nouvelles échouaient, il y en avait d’anciennes q
Th. Gautier et la réponse de Fanny sont publiées dans l’Histoire des Œuvres de Théophile Gautier, par de Spoelberch de Lovenj
58 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
is pour une fois seulement, au profit d’une institution charitable, l’ œuvre des garderies d’enfants de Margarethen et de Neul
rtie du peuple viennois. Comme Fanny abandonnait toute la recette à l’ œuvre des garderies, cette générosité accrut encore l’é
naval, s’ouvrait presque chaque année par des soirées orageuses ; les œuvres et les interprètes traversaient une période de dé
en 1848, les trois fois avec l’excellent Perrot dont elle dansait les œuvres , Esmeralda, Catherine ou la Fille du Bandit et Fa
er alors qu’un jour une si éclatante célébrité acclamerait une de ses œuvres . « C’est comme un conte de fées, dit-il ; on s’en
59 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
mpressionnée si j’avais entendu parler de quelques-unes de ses bonnes œuvres . Je me décidai enfin à croire, pour complaire à m
60 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
cité intellectuelle, de daltonisme esthétique n’est pas chose rare. J’ œuvre humblement à rééduquer cette faculté de percevoir
61 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
la rue Le Peletier, accueillit, avec des transports d’enthousiasme, l’ œuvre nouvelle qui formait, semblait-il, un digne penda
passait pour hostile à la danse, et on le félicitait d’avoir, avec l’ œuvre de Meyerbeer, restauré sur la première scène fran
Diable boiteux fit attendre avec patience aux abonnés la reprise de l’ œuvre de Meyerbeer. Dans le Siècle nouvellement créé, L
Sylphide se maintint lorsque Marie Taglioni créa la Fille du Danube, œuvre de son père et d’Adolphe Adam. L’action, qui se p
62 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
rable au développement mimique ; elle eût suffi à la popularité d’une œuvre dramatique. Quand le jeune Mattéo rentre dans la
imagination imprégnée de la poésie traditionnelle, assurèrent à cette œuvre limpide et charmante une popularité toute germani
63 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
e tristes haillons souillés de cendre et de sang. Mais enfin, quand l’ œuvre de ténèbres est accomplie, se montre dans le ciel
ère, des ténèbres et de l’heure de minuit, que faites-vous là ? — Une œuvre sans nom ! — À la fin, l’horrible vieille obtient
64 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
en demandant un présent pour ma fête. Mon correspondant m’envoya les œuvres de madame Louise Colet. Je me suis punie en les l
65 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
onder pour les comédiens : « Je devrais vous dire quelques mots de l’ œuvre que nous avons entreprise ce soir, mais mon cœur
ésentations, elle en donna vingt et une à titre gracieux, au profit d’ œuvres de bienfaisance. Au taux de trois mille francs qu
se de Fanny Elssler en Amérique, une pensée qui venait du cœur, fut l’ œuvre qu’elle recommandait au public de New-York du hau
Rundschau, n°s 36-43, 1905. 137. Voir la lettre dans l’Histoire des Œuvres de Théophile Gautier, par de Spoelberch de Lovenj
66 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
profession de connoître Dieu, dit l’Apôtre, mais le reniant par leurs œuvres . » chapitre II. Pour procéder avec ordre dans c
ar des moyens saints et légitimes ; et celui qui veut faire une bonne œuvre , la doit commencer sur de meilleurs fondemens. »
67 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
ait la lumière, et ne s’approche point de la lumière, de peur que ses œuvres ne soient condamnées . De là, l’opposition que ta
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
us tendres adieux, et pendant cette scène, il va examiner les chefs d’ œuvres qui composent la galerie d’Apelles. Scène IV.
69 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
entation, que l’on allait mettre à l’étude, marchanda les diables à l’ œuvre de Nourrit, et le papa Taglioni s’en vint plus d’
Fanny Elssler devait jouer Alcine. M. Véron mit lui-même la main à l’ œuvre pour que l’apparition de sa nouvelle pensionnaire
Giselle ? s’écriait Gautier au lendemain de la représentation de son œuvre . Giselle, c’est Carlotta Grisi, une charmante fil
70 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
continue son commerce dans sa loge et partage son admiration entre l’ œuvre de chair et l’œuvre de cuir ; il fractionne son e
ce dans sa loge et partage son admiration entre l’œuvre de chair et l’ œuvre de cuir ; il fractionne son enthousiasme en deux
les amours En Notre-Dame-de-Lorette La patronne de bon secours. C’est œuvre digne de louanges D’avoir placé ce temple protect
chiffre d’un cinquième. Il faut qu’il renonce forcément à continuer l’ œuvre de saint Jean le faiseur de chrétiens ; il est ré
il y avait le nom du signataire : comme en librairie on voit sur les œuvres reliées le nom de Victor Hugo, d’Alfred de Vigny
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
tous les jours de la vie. Nous avions un Théâtre tragique repris sous œuvre par Corneille, et fondé pour jamais sur le sublim
72 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
pire du désespoir, du fait d’un acte irraisonné et non pour une belle œuvre d’inspiration pure. Lorsque je me levai pour pren
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
fleurs. Plus heureuse que ses frères les Créateurs elle fit vivre son œuvre silencieuse et, dans la nuit, ce décor des grande
74 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
s attitrés, ses « matassins », les exécuteurs de ses hautes et basses œuvres . On voyait en ce temps-là (chose inouïe, inconcev
unts excessifs que la Juive et les Huguenots faisaient au cirque, ces œuvres en elles-mêmes, dans leur structure intime, avec
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
à l’oreille. — Elle dit que ces portraits ne sont pas dignes de votre œuvre . Elle a vu vos merveilleuses photographies. Il fa
76 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
elle doivent faire à l’égard des danses publiques, des travaux et des œuvres serviles qui sont une profanation des jours de di
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
que l’homme de Dieu soit parfait et disposé à toutes sortes de bonnes œuvres  ? Combien s’éloigne-t-on de cette intention du s
78 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
térature ; que, chez elle, on vient lui faire des conférences sur les œuvres anciennes et modernes des maîtres en tous genres 
79 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
a Piéce de Théâtre d’Inès de Castro de M. de la Mothe, a couronné ses œuvres , & peut l’emporter sur les plus beaux ouvrage
Homere qui chanta ses louanges. Ce Prince ne marchoit jamais sans les œuvres d’Homere ; il les lisoit incessamment, & il l
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
les isolées ne peuvent opérer efficacement, si elles ne sont mises en oeuvre par le goût, et l’imagination. Mazarin voulant hâ
81 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
mais j’ose dire qu’il est surprenant que M. de Furetiere qui a lû les œuvres de Platon, n’ait pas fait mention de ce qu’il rap
82 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ansparente quelque jeune Allemande morte de consomption en lisant les œuvres de Novalis ? — Toute cette forêt semble pleine de
83 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
ue en sa science. 5. M. Paul Valéry ne fait pas, à proprement dire, œuvre d’archéologue et de restaurateur en décrivant les
84 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
sieurs Moliere & de Lully, Quinault & de Beauchamps, dont les œuvres ont fait l’admiration de nos jours. L’opinion la
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
champion était de nouveau foulé aux pieds par un peuple indocile ! L’ œuvre de la Sainte-Alliance était détruite ! Il était u
er et que sa langue se déliera ; il compte sur Rahel pour continuer l’ œuvre commencée par lui. Parmi les autres points auxque
86 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
à goûter le sujet, Charles Maurice publia une série d’articles sur l’ œuvre du poète anglais. Des communiqués de la direction
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
mettent la fortune des citoyens en danger ; anéantissent les chefs d’ œuvres des beaux arts, et exposent la vie de ceux qui le
88 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
mbre de Boileau Despréaux. Contemporain de mes aïeux, Auteur d’un œuvre merveilleux, Quoiqu’un siècle entier nous sépare,
89 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
éparatifs des spectacles. Le théâtre de Fontainebleau fut repris sous œuvre , et exerça l’adresse féconde du sieur Arnoult, ma
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