itoyens, qui attire les étrangers, et qui donne une grande idée de la
nation
. Il faut convenir d’une triste vérité, c’est que
idée de la nation. Il faut convenir d’une triste vérité, c’est que la
nation
Française, cette nation qui marque le plus en Eur
ut convenir d’une triste vérité, c’est que la nation Française, cette
nation
qui marque le plus en Europe, pour les sciences e
pourroit-on pas, à là paix, donner une fête qui interessat toutes les
nations
? les Ambassadeurs et les personnes distinguées d
es les nations ? les Ambassadeurs et les personnes distinguées de ces
nations
, les notables de chaque département, ne pourroien
le et unique, qui enchaînerait à la France l’admiration de toutes les
nations
. C’est à cette epoque qu’elle pourroit déployer,
fut pas plus égayée, et qui ne jetèrent aucune sorte de lustre sur la
Nation
, on aurait pu la rendre l’admiration de l’Europe.
ur naissance. L’honneur, qu’on me passe le terme, y est l’idole de la
nation
; et c’est l’honneur qui fut toujours l’esprit vi
. Deux jours après, trois cents Gentilshommes représentant toutes les
Nations
du monde et divisés par troupes, parurent sur la
suite nombreuse dansa un avant-Ballet ; et des princes de toutes les
nations
qui sortirent du globe avec un cortège brillant,
et, dont chacun des Actes fut terminé par les hommages que toutes ces
Nations
rendirent à la jeune Princesse d’Angleterre, et p
eurs siècles ; car ils composoient savamment à l’époque où toutes les
nations
apprenoient à solfier. J’entre en matière et je m
’on a vu depuis deux siècles l’essor prodigieux qu’il a donné à cette
nation
. La majeure partie de d’Allemagne est privée de c
les Allemands ces grandes spéculations commerciales qui occupent les
nations
voisines, et aux quelles la disposition des lieux
ste de prononcer sur les chefs-d’œuvre de la musique, et voyons si la
nation
qui aime le mieux cet art, et qui est la plus ent
contribuer au triomphe de ce chef-d’œuvre musical, il n’obtint de la
nation
, qui aime le mieux la musique, qu’un quart de suc
ien une petite lettre à part ; et je la terminerai en vous nommant la
nation
qui aime le plus passionnément et le plus constam
beaucoup considérées, Savoir des MORES et MAHOMS, Deux très perverses
Nations
.78 77. sic 78. Turcs.
lus intéressante de la scène. Il est le portrait fidèle de toutes les
nations
et fait le charme des représentations théâtrales
tes les choses qui les environnent, portent le caractère sevère de la
nation
éloignée que l’autour a transporté sur la scène.
spectateur par le prestige des beaux arts, dans le climat et chez la
nation
dont on lui trace la peinture. Les lois du costum
oeurs, les usages, les lois, la religion, les goûts et le génie d’une
nation
quelconque ; ses habitudes, ses armes, ses véteme
t des danseuses, et loin de trouver dans le vêtement le costume d’une
nation
éloignée, on ne voit que la bigarrure et l’extrav
peuples de la terre. La danse Française sera donc celle de toutes les
nations
; elle ne présentera dans son exécution aucun sig
L’Opéra Français tel qu’on le forma dans sa nouveauté fut reçu de la
Nation
avec un applaudissement presque unanime135 ; parc
e la Tragédie Française, fut mis sous les pieds. L’Opéra ravissait la
Nation
, et dans le même temps elle méconnaissait ou déda
on règne, et qu’ils ajoutéroient à la gloire et à la prospérité de la
nation
. Cette époque étoit bien différente de celle qui
sant ; il faut que cette fête soit grande, parce que c’est une grande
nation
entourée de victoires et de triomphes, qui la don
roit sans se heurter et sans se détruire, et qui honoreroit autant la
nation
qui la donneroit, que les artistes qui l’exécuter
ource intarissable du bonheur, de la sécurité et de la grandeur de la
nation
. Je suis, etc.
s, des tons divers suivant la nature des événements, le caractère des
Nations
, la qualité, l’éducation, les mœurs des Peuples.
mille occasions brillantes de la placer avec tous ses avantages. Les
Nations
intéressées aux différentes parties de son action
preuves. Notez que je ne demande pas ici, qu’elle est celle des deux
nations
qui excelle dans l’art musical, mais seulement qu
rable à l’opinion généralement adoptée. On sent bien qu’en parlant de
nations
je n’entends que cette portion des peuples qui cu
de ce pompeux édifice où repose la cendre des grands hommes de cette
nation
, est construit de manière à recevoir 400 musicien
nteurs. On n’y exécute que les Oratorios du célèbre Haindel, à qui la
nation
a élevé un monument, même de son vivant. On n’a p
des rivières, on le vit, dès son origine, se répandre chez toutes les
Nations
de la terre. Je vais le suivre, depuis ses commen
agnifique de l’univers, celui enfin qui honore le plus le génie de la
nation
, et qui n’attend que les funérailles de la mode e
le desir de s’y rendre habile. Nous pouvons dire à la gloire de notre
Nation
, qu’elle a le veritable goût de la belle Danse. P
y a point de Cour dans l’Europe qui n’ait un Maître à danser de notre
Nation
. Le Regne de Louis le Grand sera toûjours regardé
ut dans tout son éclat qu’à la naissance des Opera. Lully, Italien de
Nation
, étant venu en France à l’âge de neuf ans ; y app
récédés de plusieurs Trompettes. Après quoi des Peuples de diverses
Nations
, vêtus à la manière de leurs Pays, faisaient un b
les Provinces, représentés par autant de Génies marchaient, avec ces
Nations
; et les Peuples différents, devant les Chars des
le monde avec cette bonne grace & cet air qui fait briller notre
Nation
; & c’est sur cette idée que je me suis fait
es François ont plus excellé depuis plus d’un siécle, que pas une des
nations
du monde : les Etrangers mêmes ne le contestent p
d’ordre que de méthode : ce spectacle étoit en vénération parmi cette
nation
. Stace & Martial nous apprennent encore que l
lusieurs trompettes & timbales ; après quoi des peuples de divers
nations
, chacun vétu à la maniere de son pays, danserent
; les Provinces représentez par autant de génies, marchoient avec ces
nations
devant les chars des Ambassadeurs de l’Europe, de
e la Religion s’étoit retirée dans l’Isle d’Angleterre, où toutes les
Nations
du monde vinrent en ordre par la Tamise, jusqu’au
ravie, & du Mozambique, vétus à la maniere de leurs pays ; chaque
Nation
fit autant d’Entrées de Balet, & chaque mer,
ette plante. La premiere Entrée fut de quatre Sacrificateurs de cette
nation
, qui tiroient du tabac en poudre de certaines boë
Portugais, des Allemands, des François, des Polonois, & d’autres
nations
recevoient le tabac des Indiens & s’en servoi
. Ce héros paroît sur un char traîné par les esclaves des différentes
nations
qu’il a vaincues ; ses compagnons charges des tro
ssance autant que leur joye, et dans les quelles le costume de chaque
nation
se fait distinctement remarquer. Une esclave Thés
compagnons ; Hilias et Philoclète l’accompagnent, et les captifs des
nations
qu’il a vaincues les suivent et terminent cette m
vient d’embellir. Tels sont les Arts. Ils s’évanouissent aux yeux des
Nations
que la gloire abandonne. Ils ne paraissent, ils n
e fut une école de goût, de politesse et de galanterie, où toutes les
nations
accourroient pour s’y former, et pour y jouir du
litique, et par le fanatisme, il fit construire le collège des quatre
nations
; il se déclara le protecteur de l’Académie Royal
l’éclat. Nous n’avions alors que des pigeoniers pour théâtres, et la
nation
les a conservés malheureusement trop longtems pou
augmentèrent sa gloire, et le rendirent aussi cher à son Roi qu’a la
nation
dont il fut constamment l’idole. L’éclat de son n
et chercha à rabaisser tout ce qu’il avoit fait pour la gloire de la
nation
, enfin la renommée s’est fait entendre ; et la po
nsons de différentes espèces selon le génie et le caractère de chaque
nation
: mais les Français l’emportent sur tous les peup
mémoire : mais peu de compositeurs y réussissent. Il y a parmi chaque
nation
des tours de chant usés, dans lesquels la plupart
jours la teinte, si on peut parler ainsi, du tempérament des diverses
nations
. Voyez Accent [Article de Dumarsais]. Lorsque le
’Être suprême ; la flatterie le fit servir à la louange des chefs des
nations
, et l’amour à l’expression de la tendresse. Voilà
et Opéra [Article de Jaucourt]. Le chant naturel variant dans chaque
nation
selon les divers caractères des peuples et la tem
lier les différences qu’on trouve dans la Musique vocale des diverses
nations
. Ainsi disputer sur cet article, et prétendre par
voix, il s’ensuit aussi que la Musique instrumentale des différentes
nations
doit avoir nécessairement quelque air du pays où
toutes les autres de la nature. Une vraiment belle femme, de quelque
nation
qu’elle soit, le doit paraître dans tous les pays
et la belle femme de tous les pays, et la bonne musique de toutes les
nations
, ne vient jamais que de la conformation heureuse
Français passent pour réussir mieux dans cette partie qu’aucune autre
nation
de l’Europe. Le chœur s’appelle quelquefois grand
sujets. Le récitatif d’ailleurs, la grande scène suffisait alors à la
nation
à laquelle Lully devait plaire. Les poèmes immort
res de la Danse. C’est là ce langage universel entendu par toutes les
Nations
et par les animaux même ; parce qu’il est antérie
enlevèrent de force, sur l’avis des Vieillards d’Israël14. Lorsque la
Nation
sainte célébrait quelque événement heureux où le
mera toujours un spectacle intéressant, lorsqu’il sera présenté à une
nation
qui aime l’honneur et qui chérit la gloire. C’est
i. J’espère qu’il aura d’autant plus de succès qu’il est offert à une
nation
qui a le courage pour armes, et l’honneur pour de
s le corps de ce bon air qui est si fort estimé & usité par notre
Nation
: ce qui n’est pas de même de plusieurs contre-da
& des régles pour y conserver un ordre convenable aux mœurs de la
nation
. Le masque a même la liberté de prendre la Reine
ce qu’il attaque les Cérémonies de notre Religion, nous voyons peu de
nations
qui n’ayent leurs marottes pour se délasser l’esp
eu de la Terre où le bon goût réside, regardaient en pitié toutes les
nations
, qui ne partageaient point avec eux des divertiss
la fausse opinion que les Courtisans de Louis XIII avaient pris d’une
Nation
spirituelle et polie, qui excellait depuis longte
rts qui concourent unanimement 0 la perfection d’un spectacle dont la
nation
Française se glorifiera toujours, il seroit à des
ères sur un objet qui intéresse autant l’humanité que la gloire de la
nation
, l’embellissement de la capitale, et les progrès
m’intéressant à leur gloire, je n’ai point oublié celle d’une grande
nation
. La commodité et la sureté publique ont sollicité
du côté du palais ? Ces maisons appartiennent presqu’en totalité à la
nation
; ce sacrifice ne lui coûteroit rien. Cet emplace
anufactures ; les nouveautés qu’ils imaginent chaque jour rendent les
nations
étrangères tributaires de nos goûts, de nos costu
us les événements heureux qui intéressaient la gloire ou le repos des
Nations
. Ils formèrent seuls un Spectacle d’une dépense v
à tour, c’est rendre hommage à la fertilité des compositeurs de cette
nation
, à la fécondité de leur imagination et à la riche
it : cette troupe représentait les dieux de la fable, les différentes
nations
, etc. et était promenée dans les rues au son des
nce, une ville, un peuple, etc. Ce mot a été nécessaire à toutes les
nations
: elles ont toutes eu des fêtes. On lit dans tous
précédés de plusieurs trompettes. Après quoi des peuples de diverses
nations
, vêtus à la manière de leur pays, faisaient un ba
les provinces, représentés par autant de génies, marchaient avec ces
nations
et les peuples différents devant les chars des am
. Deux jours après, trois cents gentilshommes représentant toutes les
nations
du monde, et divisés par troupes, parurent sur la
suite nombreuse dansa un avant-ballet ; et des princes de toutes les
nations
qui sortirent du globe avec un cortège brillant,
et, dont chacun des actes fut terminé par les hommages que toutes ces
nations
rendirent à la jeune princesse d’Angleterre, et p
érations, répandront d’agréables délassements sur la terre ; plus les
nations
où ils seront favorisés auront des connaissances,
eu de la terre ou le bon goût réside, regardaient en pitié toutes les
nations
qui ne partageaient point avec eux des divertisse
la fausse opinion que les courtisans de Louis XIII avaient pris d’une
nation
spirituelle et polie, qui excellait depuis longte
t porté ce sentiment vif des choses aimables, qui est si naturel à sa
nation
, il est certain que les spectacles, les plaisirs,
tié d’eux-mêmes, ces hommes sages, qui gouvernaient sous ses yeux une
nation
heureuse. Que ces magnifiques spectacles doivent
s étaient fermées par des cloisons peintes des attributs des diverses
nations
de l’Europe. Les voûtes représentaient l’air, et
répandus dans l’enceinte de l’orangerie représentant les différentes
nations
de l’Europe, et placés avec ordre dans les cases
lôture aux fêtes surprenantes de ce jour tant désiré. L’attente de la
nation
fut retardée d’une année ; et alors des circonsta
everrons sortir des mains d’un moderne qui manquait à la gloire de la
nation
: le choix éclairé de M. le marquis de Marigny a
les Français. Aussi le nom des Turgots sera-t-il toujours cher à une
nation
sensible à la gloire, et qui mérite plus qu’une a
s de tous les gens de bien, et les transports de reconnaissance de la
nation
entière. Une circonstance doit la rendre encore p
inces de France. Nos princes, dans les circonstances du bonheur de la
nation
, signalent souvent par leur magnificence leur amo
sein de la France, ne pourrions-nous pas, en adoptant tout ce que ces
nations
étrangères ont déjà trouvé, inventer des moyens,
t devenir aussi honorables pour les inventeurs, qu’honorables pour la
nation
? Y a-t-il eu encore rien d’aussi imposant en feu
us les événements heureux qui intéressaient la gloire et le repos des
nations
. Il forma seul alors un très grand spectacle, et
ble. On ne verra sans doute jamais notre opéra passer chez les autres
nations
: mais il est vraisemblable qu’un jour, sans chan
i conserveront, ou perdront leur supériorité, selon que le goût de la
nation
pour la musique se fortifiera, ou s’affaiblira pa
ent de ces nouvelles lumières pour donner de nouveaux plaisirs à leur
nation
. C’est l’époque de la naissance des grands ballet
gré, n’est encore que dans son enfance ; mais c’est beaucoup pour une
nation
aussi éclairée que la nôtre, si elle voit une foi
ai une Tragicomédie Espagnole qui a réuni les suffrages de toutes les
Nations
: c’est leFestin de Pierre. Cette Pièce a réussi
jour marqué pour son bénéfice, le fut encore par la générosité de la
nation
. On se battoit pour entrer au théâtre et l’enthou
et les trophées de la victoire, étoient de papiers aux couleurs de la
nation
; une petite pluie humecta tous ces attributs ; e
ayent surpassé les Arcadiens, qui passent encore aujourd’hui pour la
nation
la plus agile à tous les exercices du corps, vû q
ntions. Il est à croire que ce fameux Pantomime étoit Sicilien, cette
nation
ayant excellé pour les gestes, comme on le verra
; aux forces de chacun ; desorte qu’il n’est pas surprenant que cette
nation
ait passé pour produire les meilleurs Danseurs de
nces. Les Romains qui se sont fait une gloire de surpasser toutes les
nations
par leurs prodigalitez, ont ajoûté quelquefois de
; les Biscayens, à la Moresque, avec le tambour de basque. Toutes ces
nations
firent un spectacle assez divertissant pendant un
rrivé en France il y a douze ou quinze ans ; elles passent chez cette
nation
pour des danses de contrée : mais dans leur origi
eusement à peindre le caractère, les mœurs et les usages de certaines
nations
les tableaux seroient souvent d’une composition p
e ses tableaux. Lorsque les caractères sont soutenus, que celui de la
nation
qu’on représente n’est point altéré, et que la na
s, Monsieur, qu’une fête Turque ou Chinoise ne plairoit point à notre
nation
, si on n’avoit l’art de l’embellir ; et je suis p
ement à peindre le caractere, les mœurs & les usages de certaines
Nations
, les tableaux seroient souvent d’une composition
ses tableaux. Lorsque les caracteres sont soutenus ; que celui de la
Nation
qu’on représente n’est point altéré, & que la
s, Monsieur, qu’une Fête Turque ou Chinoise ne plaîroit point à notre
Nation
, si on n’avoit l’art de l’embellir, & je suis
ontrée, qu’ils embellissoient ; ils servirent de modèles à toutes les
nations
; et nous cherchons encore aujourd’hui dans ces c
ne assurément ne s’avisera de citer comme une preuve de goût de notre
nation
pour le chant, ces insipides rapsodies dont les T
posa plusieurs grands opéras, qui obtinrent le suffrage unanime d’une
nation
qui aime passionnément la musique. Un de ses dern
sopposent à la perfection d’un art qui fait les délices de toutes les
nations
de l’Europe, et dont le temple pompeux s’élève av
x qui ont lû les Relations des Voyages de la Chine, sçavent que cette
nation
disloque les membres de leurs enfans, pour leur r
ns en Toscane pour les former à tous les exercices du corps, où cette
Nation
excelloit autant que les Grecs l’avoient pû faire
niversellement, parce qu’il est entendu universellement de toutes les
nations
. Tel violon est admirable, me dira-t-on ; cela se
otes ; de sorte qu’on voit jouer avec admiration les violons de cette
nation
, et qu’on écoute danser avec plaisir leurs pantom
avec confiance ? serions-nous honteux d’être Français ? Comment cette
nation
qui depuis tant de siècles a été admirée de toute
oms par des chefs-d’œuvre, ils contribueront encore à la gloire de la
nation
. Mais il faut, Madame, que ces deux arts majest
duit généralement, parce qu’il est entendu généralement de toutes les
Nations
. Tel Violon est admirable, me dira-t-on ; cela se
otes ; de sorte qu’on voit jouer avec admiration les Violons de cette
Nation
, & qu’on écoute danser avec plaisir leurs Pan
ut porté ce sentiment vif des choses aimables qui est si naturel à sa
Nation
; il est certain que les spectacles, les amusemen
tage sur les autres arts, qu’ils sont de tous les pays, de toutes les
nations
; que leur langage est universellement entendu, e
ordinaire de voir un seul être jouir d’un privilège exclusif chez une
nation
qui les a totalement abolis. Vous serez encore ét
s Toscans beaucoup d’agilité, se servit d’une troupe de gens de cette
nation
de l’un & de l’autre sexe, qui excelloient dé
ntage sur les autres Arts qu’ils sont de tous les Pays, de toutes les
Nations
; que leur langage est universellement entendu, &
paru même très-utiles pour l’éducation de la jeunesse chez toutes les
Nations
, pour perfectionner la vie civile. La fête des Ag
édrale de Tolede l’ancien usage des Messes solemnelles des Musarabes,
nation
Arabe, & qui furent les premiers Chrétiens en
eaucoup servi à perfectionner la nôtre ; desorte qu’il n’est point de
nation
qui puisse se vanter aujourd’hui de l’emporter su
e nec plus ultrà des efforts de l’art, ont tremblé pour le goût de la
nation
. Elle a ri de leurs craintes, et dédaigné leurs f
Les opéras même de Quinault, malgré leur réputation, le préjugé de la
nation
, et le juste tribut de reconnaissance et d’estime
us a été confirmée par des personnes sages et instruites, dont aucune
nation
ne peut récuser le suffrage. Il n’y a pas un homm
pompe que pouvait y ajouter un monarque magnifique, commandant à une
nation
opulente et avide de plaisirs ; et on créa des sp
taisie, le goût, la grâce et la liberté. Il me répondit : — Quand une
nation
manque d’un produit nécessaire, elle l’importe. N
du Roi, chef de l’académie de Lyon, aussi cher aux étrangers qu’à sa
nation
, ne s’est pas borné à exercer des chevaux une gra
ef de l’Académie de Lyon, bien plus cher encore aux étrangers qu’à sa
nation
, ne s’est pas borné à exercer des chevaux, une gr
atiques, ne sont pas toujours une preuve de leur bonté. Le goût de la
Nation
peut être séduit par un caprice de mode, par une
lûte. En examinant la variété et la perfection des instrumens que les
nations
de l’Europe possèdent ; en admirant les chefs d’o
i attirérent non seulement les applaudissemens et les suffrages de sa
nation
, mais qui excitent encore l’admiration et les élo
dans la comédie, celui d’être un des poètes les plus agréables de sa
nation
; je lui ai vu, dis-je, jouer un tyran, qui, effr
ù tout varie, où tout est en mouvement, où les lieux changent, où les
nations
se succédent, où les vêtemens différent à chaque
attirent non seulement les applaudissements & les suffrages de sa
Nation
, mais qui excitent encore l’admiration & les
exceller dans la Comédie celui d’être le Poëte le plus agréable de sa
Nation
; je lui ai vu, dis-je, jouer un tyran, qui effra
ù tout varie, où tout est en mouvement, où les lieux changent, où les
nations
se succédent, où les vêtements différent à chaque
Turque ; et ils s’imaginent représenter le véritable caractère de la
Nation
dont ils ont endossé le vêtement ; mais leurs sau
démie impériale de musique, Académie royale de musique, Théâtre de la
Nation
, Académie nationale de musique. Chaque gouverneme
emps gothiques ; comme il est cependant le seul grand Spectacle d’une
Nation
vive, délicate et sensible, il n’est pas étonnant
rcer de constater avec une minutieuse exactitude, chez telle ou telle
nation
, les premiers pas de l’action théâtrale. Il nous
lèbre Marcel, qui se flattait de reconnaître, à la seule démarche, la
nation
à laquelle appartenait toute personne qui s’adres
ur les affiches du jour. La révolution avait pénétré dans l’Opéra. La
Nation
en avait chassé la cour. Le théâtre exerçait sur
prétendant faire aucun parallèle entre les chanteurs des différentes
nations
et l’excellence des chanteurs italiens, que nous
ue le compositeur peut puiser dans les moeurs et danss le costume des
nations
. Il y auroit beaucoup d’art à rendre ce genre que
eille de voyager non seulement en France, mais encore chez les autres
nations
; ils apprendront que le Menuet nous est arrivé d
leur enfance ; le geste est et sera toujours le langage de toutes les
nations
: on l’entend dans tous les climats ; la nature,
que produisoit l’écu. Cette réunion des deux sexes, et de toutes les
nations
lui rapportoit une somme considérable, les révére
s coutumes, des usages, des modes et des cérémonies opposées ; chaque
nation
diffère dans ses goûts, dans son architecture, da
et si le caractère de la danse répond au caractère du peuple et de la
nation
quelle doit représenter. Ne peut-il pas encore se
outumes, des usages, des modes & des cérémonies opposées ; chaque
Nation
differe dans ses goûts, dans son architecture, da
si le caractere de la Danse répond au caractere du Peuple & de la
Nation
qu’elle doit représenter. Ne peut-il pas encore s
re : ils sont désormais des monuments immuables de la gloire de notre
nation
et de l’humanité. L’enthousiasme est donc ce mouv
ce ». Les Grecs & les Romains en firent un spectacle sublime. Ces
Nations
ont perdu leur grandeur ; leur antique vertu s’es
tout. Sur quoi je me pris à penser : Il en est des femmes comme des
nations
… Heureuses celles qui n’ont pas d’histoire ! A l’
parfait que soit mon ouvrage, n’aurai-je pas un mérite aux yeux de la
nation
Allemande et et du monde littéraire, en multiplia
Catherine Prinster, que Fanny a transportée d’enthousiasme, c’est une
nation
tout entière. » Il n’y a dans ces paroles aucune
mbres y étaient réunies en congrès. Ce furent ces représentants de la
nation
qui pressèrent le directeur du théâtre de la rete
t par leurs actions et par leurs sentimens. Il arrive rarement qu’une
nation
éclairée tombe dans un obscurcissement si univers
toujours fraîche et vigoureuse, n’avait pas fatigué l’admiration des
nations
. Elle vit se reporter sur elle l’idolâtrie des fo
istoire de la chorégraphie le même retentissement que la bataille des
Nations
dans l’histoire des temps modernes. Lumsley, dire
ce sur l’avis des vieillards d’Israël. Lib. Jud. cap. ult. Lorsque la
nation
sainte célébrait quelque événement heureux, où le
sant insérer dans un livre qui fera toujours autant d’honneur à notre
nation
qu’à notre siècle, que la fléxion des genoux et l
sant insérer dans un Livre qui fera toujours autant d’honneur à notre
nation
qu’à notre siecle, que la flexion des genoux &
tié sur les égarements et les préjugés qui subjuguent quelquefois des
nations
entières, et qui blessent leur sensibilité au poi
ils ont fait la base de ces immortels chefs-d’œuvres, que toutes les
nations
ont constamment pris pour leurs modèles. Qui sait
sidère Véron comme un bienfaiteur de la musique, et, par suite, de la
nation
. « Dans ce siècle de désillusions et de ruines, d
ù Mlle Taglioni arrêtait sa berline vagabonde. Le caractère de chaque
nation
se reflétait dans sa façon d’honorer l’héroïne. L
ienne, on voulait savoir qu’elle intéressait un prince bien cher à la
nation
française et moissonné à la fleur de l’âge, pour
ou de Canova par M. Lemot… Tout homme qui a un succès immense dans sa
nation
est remarquable aux yeux du philosophe. Je vous d
u’ils se sont déterminez à quelqu’une de ces Langues, il n’y a qu’une
nation
qui les puisse entendre ; & les Peintres ont
ettes était la Belgique. Pendant quelque temps, les Lorettes de cette
nation
se sont fait passer pour polonaises réfugiées. Me
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