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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
ie en Tauride est la suite d’Agamemnon ; Oreste, après avoir vengé la mort de son père, et assassiné involontairement Clytem
na sur un autre vaisseau, et ce ne fut qu’après avoir lutté contre la mort , que la fureur des flots leur présenta plusieurs
e fait entendre, et elle conçoit le dessein de soustraire Oreste a la mort . Ce Prince la préfere à la fuite et après un comb
on ami ou périr avec lui, arrive dans l’instant où Thoas va donner la mort à Oreste ; le Tyran la reçoit des mains de Pylade
nie par l’arrivée céleste de Minerve. Isménie qui n’a pu se donner la mort , se consacre aux autels de Diane ; elle part avec
jouet de la tempête et exposée à chaque instant a être engloutie ; la mort environne ce malheureux Prince, elle se présente
loutie. Oreste se cramponne à un de ces rochers, et voulant éviter la mort , il rencontre de nouveaux tourmens ; poursuivi de
r patrie ; les deux Princes ne lui répondent que pour lui demander la mort . Ce courage héroïque offense le Tyran ; il menace
annonce à Iphigénie, que deux malheureux, après avoir lutté contre la mort , n’ont échappés au naufrage, que pour être arrêté
main répand ; que son bras, armé par le cruel Thoas, du glaive de la mort , ne peut éluder les coups que la barbarie du Tyra
ylade la relévent de cette posture humiliante : ils sont dévoués à la mort , ils bravent le Tyran, qui effrayé de tant de fer
fort équivoques ; elle leur dit qu’une loi barbare les condamne à la mort  ; ils y sont dévoués ; cette nouvelle ne peut ébr
: ils ne veulent partir ni l’un ni l’autre ; tous deux souhaitent, la mort . Aucun ne veut céder l’honneur de perdre la vie,
sollicitent à prendre la fuite, et tous deux restent pour recevoir la mort . Scène ix. Iphigénie, tenant une lettre à
ire que le meurtre et la vengeance, ordonne à ses gardes de donner la mort à Arbas ; Eumène couvre de son corps celui de son
récipite sur son corps ensanglanté et tente vainement de se donner la mort . Les Gardes de Thoas sont dispersés et mis en fui
gnifiquement orné est sur le bord du rivage. Scène dernière. La mort d’un Prince farouche, cruel et justement abhorré
2 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
ect Danaüs épouvanté recule de surprise et d’effroi ; la pâleur de la mort s’imprime sur ses traits ; ses genoux tremblans s
; plusieurs d’entre eux ont passé des bras du sommeil dans ceux de la mort  ; quelques-uns de ces infortunés luttent encore c
ureur ; il veut courir au secours de ses frères ; il veut venger leur mort par celle dn cruel Danaüs ; mais ne pouvant plus
son apparition glace d’épouvante l’ame des Danaïdes ; la pâleur de la mort se répand sur leurs traits ; le spectre leur mont
s de torches funéraires et lugubres les précipitent dans l’empire des morts . Scène iii. Danaüs, toujours inquiet et to
et à la douleur qui l’accable, le Tyran croit ne pouvoir douter de la mort de Lincée ; dans l’instant qu’il lui témoigne sa
sant cet instant, plonge son poignard dans le sein du Tyran ; déjà la mort s’imprime sur ses traits ; des mouvernens convuls
esse et le conjure de jetter sur elle un regard de clemence ; déjà la mort étend ses voiles sur les traits de Danaüs ; il ex
s eux, ou, si par hazard il les regarde, c’est pour leur reprocher sa mort , leur prouver qu’il emporte sa haine, et qu’il ex
devant du quel l’ombre apparoît, articule ces mots ; frémis tyran, la mort t’attend.
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.
ujet. Quelques personnes seront sans doute étonnées, qu’ayant pris la mort d’Agamemnon pour le sujet d’un ballet, je ne me s
d’y joindre la vengeance d’Oreste et de terminer ce spectacle par la mort de Clytemnestre et d’Egisthe, par le desespoir et
le, ni Sophocle, ni Euripide, ni Séneque. Il n’est pas douteux que la mort d’Agamemnon, la vengeance d’Oreste, ses fureurs,
et au mouvement rapide et précis qu’exigent les scènes pantomimes. La mort d’Agamemnon ne m’eût donné qu’un tableau, qui ser
ues. Si l’on eût chargé un célébré peintre de tracer l’histoire de la mort d’Agamemnon et de la vengeance d’Oreste, l’arrivé
mphale de ce Prince à Mycènes eût caracterisé son premier tableau. Sa mort et celle de Cassandre eussent formé le second. D’
r la composition du troisième tableau. Le quatrième eût représenté la mort de Clytemnestre et d’Egisthe. L’instant où Oreste
’agit, qu’à rapprocher un fils de la maison paternelle pour venger la mort de l’auteur de ses jours, et je sens toute la dif
on ; Clytemnestre recule épouvantée ; Egisthe veut fuir, se donner la mort  ; la Reine tremble, s’oppose à sa fuite à ses tra
Euménides accompagnées de la haine, de la vengeance et du Crime ; la mort suit cette troupe infernale. Elle est prête à fra
ups sur Agamemnon ; il vole ensuite vers Cassandre, qui, dévouée à la mort , marche au devant de lui ; sa fermeté et son cour
enace, elle insulte, elle jure à Egisthe que son bras saura venger la mort de son père, punir un lâche assassin et un infâme
ns ses bras, mais le trouvant glacé et couvert du voile éternel de la mort , elle recule épouvantée et se livre aux transport
in de se laisser toucher, la fuit avec horreur, lui jure de venger la mort de son père et s’abandonne à toute sa fureur. Iph
e du Tyran, A cette nouvelle, Oreste veut l’attendre et lui donner la mort  ; mais ses sœurs suspendent un instant sa vengean
robe les traits de celle à qui il vient involontairement de donner la mort  ; à l’aspect de sa mère, il recule d’horreur et d
la plaie toute saignante qui a frayé jusqu’à son cœur un chemin à la mort . Oreste à cet aspect épouvantable recule, frémit,
ime, le Remords et le désespoir portent à son cœur, veut se donner la mort  ; mais Pylade, Electre et Iphise, toujours attent
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
élène, l’entreprise de Castor et Pollux contre la ville d’Athènes, la mort tragique d’Hippolyte, le retour des Héraclides. C
et d’Œdipe ; dans les Travaux d’Hercule, dans ses infortunes, dans sa mort  ! Glaucon, Créon, Bellérophon, la Chimère, Sthéno
oit les noces de Pelops, le Jugement d’Inachus, le désespoir d’Io, la mort d’Argus, la cruauté d’Atrée, les pleurs de Thyest
de la manière dont y sont reçus les gendres fugitifs d’Adraste, de la mort cruelle d’Antigone et de Ménécée. Ce n’est pas as
ns la Thessalie, qu’il contemple les miracles de la voix d’Orphée, sa mort , sa tête qui rend encore des sons, et qui semble
t des bœufs d’Érythée. En Phénicie, on ne parle que du Myrte et de la mort d’Adonis. Pour exceller en ce genre, il faut join
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
aient lentement et en mesure en chantant des vers à la louange du Roi mort . Cette Pompe était suivie d’un grand nombre de vi
uliers, formées sur ce modèle, étaient à proportion de la dignité des morts et de la vanité des survivants. L’orgueil est à p
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
and ils se taisent ; mais ils ne le sont pas lorsqu’ils parlent à des morts . Le ministre, chargé de planter et d’arroser, ne
imes du monde sont des maximes meurtrières, parce qu’elles donnent la mort aux ames qui ont le malheur de les suivre, et qui
n les suivant, perdent la vie de la grâce, et se rendent dignes de la mort éternelle de l’enfer. Les maximes de J. C. sont a
dé ; mais c’est pour la lui rendre éternellement malheureuse après la mort . Ce que dit Jésus-Christ, demande qu’on mène sur
ls descendent dans l’enfer (ou dans le tombeau.) Que deviennent à la mort les plaisirs dont on a joui pendant la vie ? Et s
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VII. Emploi de l’Archimime dans les funérailles des Romains »
s partialité. Il ne faisait grâce, ni en faveur des grandes places du mort , ni par la crainte du pouvoir de ses successeurs.
uelle ils voyaient exposés leurs semblables. La satire ou l’éloge des morts devenait ainsi, une leçon utile pour les vivants.
8 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
tion a élevé un monument, même de son vivant. On n’a point attendu sa mort pour rendre hommage à sa mémoire, L’estime et la
composoient ce nombreux assemblage de gens à talens. Cramer, que la mort a enlevé à son art, aux amateurs, à sa famille et
re, parce qu’elles jouiroient de la pension de leurs maris après leur mort , et que le gouvernement se chargeroit de l’éducat
9 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
s’eutr’ouvrir sous leurs pas chancelans ; si eIles voyent paroitre la mort armée de sa faux et accompagnée) par les parques 
parques ; si elles frémissent et se prosternent en vain, si enfin la mort de concert avec Atropos tranche le fil de leirs j
ncée et Hypermnestre se jettoient sur son corps ensanglanté : déjà la mort s’imprimoit sur ses traits ; des mouvemens convul
par hazard, il les regardoit, c’étoit toujours pour leur reprocher sa mort , leur prouver qu’il emportoit sa haine, et qu’il
sur une partie du peuple, qu’en voyant les Danaïdes, les spectres, la mort et les parques, elle prit la fuite. Deux poëtes I
ouver. Je passe à un second exemple. J’employai au dernier acte de la mort d’Agamemnon des choeurs chantants et dérobés aux
e dans cette métamorphose succéssive l’image de sa naissance et de sa mort .   Je suis, etc.
10 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
r la massue d’Hercule et le bouclier d’Admète de combattre jusqu’à la mort et de venger l’affront que Lycomède vient de leur
squ’Admète toucheroit aux derniers instans de sa vie, il éviterait la mort si quelqu’un s’y devenoit à sa place. Ce Dieu jet
igne ; puis elle vole à son mari : s’appercevant que les signes de la mort se tracent sur ses traits, elle se frappe et tomb
e de s’expliquer. Hercule lui avoue que son épouse s’est devouée à la mort , pour lui conserver la vie, et il la lui montre e
scène offre les Champs Elisées. Hercule pénétre dans l’empire des morts  ; mais Cerbère, ce monstre à trois têtes, s’oppos
11 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « ERRATA DU TOME II. » p. 242
endre. 39. 2. quelle se montre, lisés : qu’elle se montre. 40. 13. la mort enterroit-elle, lises : la mort enlevoit-elle. 41
lisés : qu’elle se montre. 40. 13. la mort enterroit-elle, lises : la mort enlevoit-elle. 41. 5. dans ce stile, lisés : dans
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
servilement à la piste la marche des grands talents. Ainsi, après sa mort , on fit des Opéras coupés comme les siens [Voir C
faire copier à son tour. Ce Poète, dont un de ses amis a dit, que sa mort même n’avait rien fait pour sa gloire, imagina un
rité le vengera sans doute, et déjà l’envie qui se sert du mérite des morts , pour éclipser celui des vivants, a commencé de n
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
mée s’étiole, les hommes vivants se dérobent. Le drame passionnel, la mort qui passe, hideuse et ricanante, blêmissent sous
pantelante. Heureux le blond étudiant en vareuse verte qui trouve la mort en poursuivant un rêve d’amour : il ne verra pas.
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
l’ambassade de Lazare Baïf son père, et de retour en France après sa mort , y fit pour la Musique les mêmes tentatives que l
les loisirs de son emploi avait composé des livres estimés, qui à sa mort n’avait rien laissé qu’une bonne renommée. Le Fil
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 31 août : Ballet de L’Arc-en-ciel Fils du Soleil , accompagnant la tragédie de collège La Mort des Enfants de Säul — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 3 septembre 1661 »
, illec, d’assurance, Un des adroits Danseurs de France.20 19. La Mort des Enfants de Saül. 20. Le sieur Langlois.
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
ron 800,000 hommes ; et les suites de la bataille d’Arbelles, sont la mort de Darius, massacré par le perfide Bessus, et la
ame est cruellement déchirée par les désastres de sa famille, par la mort tragique de son père, par la perte qu’elle vient
17 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
de bénir un prince, qui leur avoit rendu l’âme de leurs plaisirs. La mort d’Auguste, et celle de Mécènes présagèrent la chû
avec ceux de son maître. Enfin ces Mimes fûrent rappellés encore à la mort de Domitien, et se soutinrent jusqu’au règne de T
barbares, qui ravageoient l’empire, et y répandoient la terreur et la mort  ; ils errèrent de climats en climats, et ne trouv
i secours. Les grands hommes finissent, je le repète encore ; mais la mort , en exerçant son empire, ne peut détruire leurs c
18 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
de la jeune Duchesse. « Je pleurais, dit-il, sur le Mont Apennin la mort de la tendre Eurydice. J’ai appris l’union de deu
r des Danses vives une Chasse à grand bruit. Elle fut terminée par la mort du Sanglier de Calydon, qu’ils offrirent au jeune
19 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VIII » p. 138
ne sont plus des drames muets. Le squelette armé de la faux évoque la mort . Une forte matrone, qui tient les balances, le re
20 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
s s’appercevant que Camille change de visage, et que les signes de la mort s’impriment sur ses traits, elle vole à elle. Cam
ces qui, déjà blessé ne peut opposer qu’une foible défense, reçoit la mort  ; Horace, en le privant du jour l’immole aux mâne
et de reconnoissance. Les Albains quittent leur camp, enlèvent leurs morts , et expriment leur désespoir. Les Romains entoure
c une ame philosophique, ses trophées avec ses chaînes : il attend la mort avec autant de tranquillité que de résignation :
espect et le lit sans crainte. Fulvie croyant que c’est l’arrêt de la mort d’Horace, se livre au desespoir : mais quelle n’e
21 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
entre les bras des Mages. Alors Sémiramis paraît, pâle, échevelée, la mort peinte sur son visage, et se traînant à peine. De
e le poignard teint encore de son sang, la suppliant de lui donner la mort . Le fer échappe de la main de Sémiramis. Elle rec
22 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
& que le sieur Pecourt son éleve a continué avec succès depuis sa mort . Le sieur Blondy nous a donné aussi des Balets po
ctacles du Théâtre, que quand il faloit représenter le supplice ou la mort violente de quelqu’un, ils prenoient des criminel
condamnoit à paroître avec une chemise brûlante, pour représenter la mort d’Hercule : & au Traité qu’il adresse aux Mar
23 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
les Troyens ; il fonce dans leur ville ; il y répand le carnage et la mort et la fait incendier par ses troupes. Les Troyens
emple de Jupiter, et s’efforce en vain de chercher un azile contre la mort . Pyrrhus qui est à sa poursuite et qui veut l’imm
en plus répandre ; mais de charger de fers tous ceux qui ont évité la mort , à ce saccagement général succède la destruction
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
t. Le but de toutes les fêtes qui fûrent données en France, depuis la mort de Louis XIV, fut toujours manqué, parce qu’on ne
ce, les ravages de l’usure, l’anarchie des opinions, la disette et la mort , enfin que les calamités les plus effrayantes n’o
il est tems d’arrêter l’effusion du sang, et de cesser d’envoyer à la mort , ceux qui assurent notre subsistance et notre vie
25 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
iva Desdémone, si prématurément étouffée sous l’oreiller jaloux de la mort , nous croyons qu’elle se trompait ; Carlotta, gui
ant n’est pas très alarmée de cette menace. Hé quoi ! danser après sa mort , cela est bien effrayant ! Est-ce donc un si gran
lleurs, quand on est jolie, jeune, amoureuse, est-ce qu’on croit à la mort  ! Hallali ! hourra ! le cor sonne des fanfares éc
il est l’assassin de Giselle. Ainsi se termine le premier acte. Cette mort , mêlée de danse, doit vous inquiéter pour le repo
nuit qui sonne, une heure inquiétante où les vivants rentrent, où les morts sortent. Les feux follets, papillons de flammes,
upides, trop amoureux de leur vilaine peau pour mourir d’une si jolie mort . Ce n’est pas d’eux que l’on peut dire avec le po
alapou et les évolutions sacrées, tout ce qui a vécu, tout ce qui est mort pour et par la danse. Elles jaillissent de la ter
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 12 février : Réception faite à un Gentilhomme de Campagne — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
Pourrait faire rire un malade, Avec ses drôles d’incidents, Eut-il la mort entre les dents. Un Homme de Cour que j’estime, E
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
rire à gorge pleine ! Qu’OLARIA, Magicienne, Qui provoque à venger sa mort , Par ses manières me plaît fort, Et que très volo
28 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
le conte charmant de Nodier, un autre artiste, un malheureux artiste, mort d’une façon si tragique, Nourrit lui-même, a comp
fin, l’horrible vieille obtient, de ses enchantements, un talisman de mort , — une écharpe rose à faire envie à toutes les fi
— Fraîche écharpe d’un rose vif, frêle tissu printanier qui porte la mort . — En effet, le charme a réussi ; la Sylphide ser
ses haines dans ce frêle tissu ! — Cette écharpe brillante, c’est la mort  ! Posée sur cette fraîche épaule, l’écharpe ravag
dit l’agonie d’un beau lis ; elle mourait peu à peu, lentement, d’une mort aérienne, l’horrible sorcière regardant d’un œil
mort aérienne, l’horrible sorcière regardant d’un œil narquois cette mort funeste. Cependant les sœurs de la Sylphide desce
29 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
de celui qui vient d’être puni par Arlequin. Combat entre les amis du mort & ceux d’Arlequin. Plusieurs sont tués de par
lusieurs sont tués de part & d’autre. Les Vainqueurs chargent les morts sur leurs épaules, & sortent. Scene XXI.
êtus de noir & en longs manteaux, font entendre que le Sultan est mort de douleur. Scene XXIII. Le Théâtre re
30 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
is de l’Amour, elles l’enlèvent pour la précipiter dans le séjour des morts . Cet enlèvement offre un grouppe contrasté d’expr
élivrent Psyché de ses chaînes ; afin de prolonger ses tourmens et sa mort . Psyché revenue à elle-même, cherche vainement à
ar le Styx qu’il triomphera des Enfers et qu’il arrachera Psyché à la mort qu’on lui prépare : il disparoît. Scène III.
autres. Psyché sans mouvement et étendue sur la terre va recevoir la mort . Atropos se dispose à trancher le fil que Lachési
31 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
maîtresses ; et elles comptent bien hériter du domaine, quand il sera mort du cœur. Ces deux filles de ferme ont l’insolence
32 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
Fanny à Vienne. — Lecture de Henri Heine. — Mélancolie de Gentz. — Sa mort . — Nature des sentiments de Fanny pour lui. — Lég
rée à Vienne ; sa maison ; ses amis. — Bonheur de sa vieillesse. — Sa mort le 27 novembre 1884  365 Conclusion   414 paris
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
chateau est quelques fois dangereux ; mais Colin qui craint moins la mort que la honte dont on veut couvrir ce qu’il aime,
r : sa noirceur est découverte, il annonce avec une feinte douleur la mort de Colin. A cette nouvelle, Julie tombe sans conn
amant : la vie lui devient un fardeau insupportable. Elle regarde la mort comme le remède le plus certain aux tourmens qu’e
34 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
lut ni flétrir ses lauriers, ni entacher ses trophées et préférant la mort à l’ignominie, il s’empoisonna. Je trouve encore
, qui, les armes à la main avoient boulversé le monde, fut condamné à mort par un décret de l’Aréopage ; il but tranquilleme
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
nobles jeunes hommes combien ne sont plus, fusillés par les infâmes, morts de faim et de désespérance : Alexandre Block, gra
36 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
hapelle aux Célestins, & y fonda un Service pour ceux qui étoient morts de cet accident. Ces exemples font assez connoîtr
e douzaine pendant le cours du Carnaval de 1714. Mais comme depuis la mort de Louis XIV. toute la Cour s’est renfermée dans
fameux Peintre natif de leur Village, dont il portoit le nom, qui est mort bon Catholique. Je crois ne pouvoir mieux finir c
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
t] Ce discours ridicule qu’on a tenu constamment en France, depuis la mort de Lully, en l’appliquant successivement à toutes
38 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
xikon un article sur Rothschild qui lui fut royalement payé. Après sa mort , Rothschild dit de lui : « C’était là un ami ! Je
par exemple de sa vanité naïve ou de la peur atroce qu’il avait de la mort . Mais ni les princes dont il soutenait la cause,
e toi tu vis, et, avec mon amour, braver tous les coups du destin, la mort même. Mais toi, ma douce enfant, puisse le ciel t
Auprès d’elle seule j’oublie parfois les soucis, la vieillesse et la mort . Je la considère comme un don du ciel, comme une
ur son âme assombrissent les billets qu’il lui écrit. La pensée de la mort le poursuit et se glisse dans ses plus brûlantes
mes de mon amour. « Et lorsque je t’aurai aimée jusqu’à l’heure de ma mort , j’emporterai dans la tombe éternelle la grande b
es acheva sa libération. Il sentait déjà sur lui la main glacée de la mort . Lorsque Fanny revint, il avait éteint en lui-mêm
n où il rapporta des propos tenus par leur ami, six semaines avant sa mort , au comte Münch. « La chère enfant, avait dit Gen
ible que les recommandations d’un si puissant protecteur et, après sa mort , son souvenir aient aplani pour elle certaines di
lssler se répandit en Autriche et en Allemagne dès le lendemain de la mort du prince. En 1834 elle était accréditée en Franc
dignation contre les calomnies de gens malpropres d’après lesquels la mort prématurée du fils de l’Empereur aurait été causé
tait attaché sa conquête par des liens que rien ne put rompre, que sa mort elle-même ne détruisit pas entièrement. Les conso
elle aimait à se rappeler les jours passés avec Gentz, et jusqu’à sa mort elle garda pieusement la mémoire de son ami parti
la confidente de tous ses secrets. Un jour, plusieurs années après sa mort , l’aimable écrivain Louis Speidel essayait de fai
39 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
s que ceux-là, foulés aux pieds des vainqueurs et prêts à recevoir la mort , implorent leur clémence, et leur générosité. Le
res pour le détourner d’un dessein, dont l’exécution va lui donner la mort . Enée, vivement attendri, se jette dans les bras
n, se dispersent dans le palais, et y portent partout la flamme et la mort . Didon, qui n’a plus rien à ménager, seconde leur
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
déconvenues d’amoureux transis s’enchevêtrent et se dénouent — où la mort même, matée, arbore un costume de Pietro Longhi e
41 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
iens ont fait les airs par des notes de différentes valeurs. Après la mort de Bacchus, les Bacchantes en qualité de ses Prêt
ommettoient dans la célébration de cette fête, l’abolit sous peine de mort l’an 668 de la Fondation de Rome. Un semblable mo
42 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
la nature y représenta tous ses chefs-d’œuvres, jusqu’au moment où la mort mit un terme à sa brillante carrière. Ce fut le 1
43 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
Anna Pavlova. Sa collaboration avec Pierre Ilitch Tchaïkovski, que la mort déjà guettait, décida de la victoire. Je refuse d
pectacle dans son ensemble qui avait sensiblement périclité depuis la mort du maître nonagénaire. Les anciens décors brossés
44 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
er les loix sacrées de l’honneur et de se pardonner mutuellement leur mort . Les parrains leur présentent des armes égales :
Le bruit éclatant des timbales et des trompettes est le signal de la mort . Les deux chevaliers armés de pied en cap, et la
45 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
ouveaux ouvrages, qu’il étoit en état de donner, mourut en 1687. à sa mort Beauchamp quitta l’Opera. Pecour qui jusqu’alors
s mon Ouvrage, & il a passé sous les yeux du Maître qui depuis la mort de Lully a composé les Ballets de l’Opera, &
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
avorables, et le Despotisme paternel alla jusqu’au droit de vie et de mort . Dans les premiers temps de la République Romaine
47 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
de la loi nouvelle formait des danses sacrées en l’honneur d’un Dieu mort sur une croix pour le salut de tous les hommes, d
ient lentement et en mesure, en chantant des vers à la louange du roi mort . Cette pompe était suivie d’un grand nombre de vi
culiers formées sur ce modèle, étaient à proportion de la dignité des morts , et de la vanité des survivants : l’orgueil est à
partialité ; il ne faisait grâce, ni en faveur des grandes places du mort , ni par la crainte du pouvoir de ses successeurs.
uelle ils voyaient exposés leurs semblables. La satyre ou l’éloge des morts devenait ainsi une leçon utile pour les vivants.
48 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
e ne me rendis pas compte de cette intention. Toutes deux nous étions mortes de peur. Ma mère me supplia de partir. Le cœur pl
ur avait répondu que ma pauvre mère était toujours entre la vie et la mort . J’avais encore vingt-quatre heures d’attente et
49 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
lus grand nombre en faveur d’Ulisse. Le triomphe de celui-ci & la mort de l’autre présentent au génie une foule de Table
la nature, ne doivent s’appeller que des divertissements fastidieux, morts & inanimés. Le Ballet est l’image du Tableau
50 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
eu partout ses compositions. Haydn et Mozart continuaient, après leur mort , à séduire par leur éternelle fraîcheur de nombre
 1769. Il fut musicien comme son père, comme son frère aîné. Après la mort du père, il partagea avec son frère les travaux d
x mille florins. Ce brave homme entretint dans sa famille, jusqu’à sa mort , qui survint le 12 janvier 1843, la vénération po
vrai. Mais que l’on se donne la peine de consulter les dates. Haydn, mort le 31 mai 1809, ne put assister que du haut du ci
le fût, avait pour les artistes la valeur d’une sentence de vie ou de mort . L’honneur d’être présentées à des souverains éta
té prochaine se manifestèrent. Après avoir pleuré très sincèrement la mort de Gentz, Fanny n’avait pas repoussé les consolat
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
à M. Roussel ; elle a autre chose à faire. Très souple avec cela ; la mort de l’araignée est remarquablement exécutée. Mlle 
52 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
oment où celle-ci achève de se maquiller : « Mon enfant, ton père est mort  ! » L’enfant candide, étouffant un sanglot : « Oh
la nuit, et réciproquement ; — Emma Livry, emportée, hélas ! par une mort affreuse : le feu prit un soir (1862) à la gaze d
va-t-elle, cela doit faire bien souffrir. C’est égal, c’est une belle mort pour une danseuse. » Cette belle mort ne tarda pa
ir. C’est égal, c’est une belle mort pour une danseuse. » Cette belle mort ne tarda pas à la frapper : tandis qu’on emportai
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
e où les cieux s’ouvriront, et où le Juge souverain des vivans et des morts descendra pour rendre à chacun selon ses œuvres ;
(pag. 500.) A la vérité, les danses d’aujourd’hui ne causent pas la mort de saint Jean-Baptiste, comme celle de la fille d
e qu’on lit de saint Jean-Baptiste, précurseur de Jésus-Christ, mis à mort selon le désir et la demande d’une danseuse, fait
nt dans les ames des inclinations et des passions qui leur donnent la mort  : « Choreas, saltationes et tripudia è quibus mor
54 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
ent mon meilleur ami. Eh bien, je ne vous ai rien dit, et lui, il est mort sans rien savoir et me croyant heureux. Je ne me
je la trouvais foncièrement égoïste et cruelle, jusqu’à souhaiter la mort de mon père. J’avais tort, j’ai hâte de vous le d
vait vu tomber et qui ne se relevait pas. Un instant après, on le vit mort , dans les bras des piqueurs qui l’emportaient. Ma
55 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
d Vladimiroff enlève la ballerine dans les airs ce n’est pas un poids mort qu’il porte : car nous voyons Tréfilova plier ave
56 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
La Mort d’Hercule. Ballet tragique. Personnages.
conjure Déjanire de consommer son forfait, et de lui épargner par une mort prompte des tourmens qu’il ne peut plus supporter
57 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
ur victime tous les ans une fille vierge dans le temple au jour de sa mort , ce que les Thémésiens accomplirent pour un tems,
grois ; ce qui fait présumer qu’ils proviennent de cet enlévement. La mort du grand Pan annoncée au Pilote Thamus, du tems d
58 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
IX, qui s’en déclara le protecteur et le premier auditeur. Baïf étant mort en 1589, cette académie fut transférée chez son a
Mazarine au jeu de paume du Bel-Air, dans la de Vaugirard. Puis, à la mort de Molière, la salle rue du Palais-Royal fut donn
59 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
ise, en mémoire de la Cêne de Jesus-Christ avec ses Apôtres, avant sa mort , & pour cimenter l’alliance des Chrétiens con
que les danses qui se faisoient dans les Cimmetieres sur la fosse des morts , outre les danses baladoires employées pour les p
, qu’on les voit tomber dans leurs Mosquées comme s’ils étoient yvres morts  : cependant ils observent cette cérémonie avec be
60 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
? La vie des acteurs est perpétuellement en danger et menacée de cent morts différentes, celle des ouvriers occupés dans les
elle suffoque les ouvriers et les contraint de fuir ; pour éviter la mort , ils abandonnent leur poste ; c’est ce qui est ar
n’entendoient rien et qui étoient saisis de frayeur ; les cris de la mort et du désespoir, des enfans et des femmes écrasés
isse de cet effrayant tableau ; l’instant d’après fut le signal de la mort  ; les flammes gagnèrent, elles dévorèrent tout. N
t aussi remplie de défauts que les deux autres. Quel est l’architecte mort ou vivant, qui ait eû l’avantage de construire tr
61 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
itiatives françaises. La thèse de M. Emmanuel cherche à galvaniser la mort en lui juxtaposant la vie. Il mit les dessins des
62 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
gracieux de Marie Piltz cette chose lamentable, déjà ossifiée par la mort qui la guette. Tel que se présente le Sacre aujou
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
Egyptiens, aux danses funéraires, aux danses sacrées, aux danses des morts … Et elle, à son tour, m’interrogea sur la façon d
es phrases lentes des concertos de Mendelssohn, pour les danses de la mort , et sur la Marche funèbre de Chopin, pour les dan
64 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
epuis le printemps qui suivit mon début aux Folies-Bergère jusqu’à sa mort , elle m’a accompagnée dans tous mes voyages. Tand
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
u’ils auroient décidé être contraire à la santé, et pouvoir causer la mort , quelque peine d’ailleurs qu’on pût souffrir de c
66 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
ues, d’un passé oublié ou légendaire, amour mystique plus fort que la mort . Le ballet, qui fut sous l’Empire surtout un dive
rdiment sur ses reins et qu’elle jette en arrière ses bras enivrés et morts de volupté, on croit voir une de ces belles figur
compare la ballerine qui rentre dans l’ombre à la cantatrice dont la mort prématurée fut chantée par Musset. « Taglioni, di
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
ugement de la postérité ; il pèse à la balance de 1’impartialité, les morts qui jouèrent de leur vivant les premiers rôles su
cabaret, étoit le lieu favori ou se rassembloient les candidats : La mort entérroit-elle un membre de cette illustre Académ
tout s’embellit, tout se perfectionna sous son heureux ministère. La mort de Mazarin ne fit pas une grande sensation. Le Ro
68 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
crimes ; ils devenoient par gradation ses juges et ses bourreaux ; la mort à chaque instant s’imprimoit sur son visage ; ses
bleaux hideux que ses forfaits lui présentoient, il luttoit contre la mort  ; la nature sembloit faire un dernier effort. Cet
açon son tombeau ; mais le moment approchoit, on voyoit réellement la mort  : tout peignoit cet instant qui raméne à l’égalit
instant qui raméne à l’égalité ; il expiroit enfin : le hoquet de la mort et les mouvemens convulsifs de la physionomie des
sion, nul caractère : tout languit, et la nature gémit sous un masque mort et désagréable. Pourquoi laisser aux acteurs et a
69 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
volutions cadencées de sa troupe, tout se disloque. Deux ans après la mort de Viganò, Stendhal parle de ses « admirables bal
d’art anéanties depuis des siècles : « C’était un art nouveau qui est mort avec ce grand homme. » Stendhal ne faisait que p
départ d’un art magnifique et entièrement nouveau. Aussitôt après sa mort tous constatent l’irrémédiable décadence de la ch
les drames récités, nous imaginons assez bien ce que pouvait être la mort de Desdémone, mimée par des artistes de génie com
ò ne fût un merveilleux spectacle et d’une originalité telle que, lui mort , personne ne réussit à produire en ce genre rien
70 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
; à dix-huit elle publiait un manuscrit qu’elle avait trouvé après la mort de sa mère. Elle le fit éditer avec son argent de
écrire ce livre pendant son voyage là-bas, car peu de temps avant sa mort elle avait visité cet intéressant pays et avait p
71 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
aconter aux Spectateurs qu’un Héros a été tué ou qu’il s’est donné la mort . Ils n’ont que des yeux pour nous entendre, les o
72 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
e ne les revis jamais. L’homme, que j’avais vu souffrant, devait être mort , et la femme, la pauvre vieille, si laide, au tab
use. Je me demandais de quelle gaîté elle témoignerait quand enfin la mort de la paralytique viendrait la débarrasser du poi
73 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
me de la campagne — le roi de pique — lequel m’aurait « arrachée à la mort  » et repêchée dans la rivière sans réclamer, dans
74 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
lieu au mois d’avril 1902. J’avais amené avec moi un savant — il est mort tragiquement depuis, écrasé par une voiture, — et
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
re de la rue de Paris, pour voir Sada Yacco, dans sa fameuse scène de mort . Après la représentation, ils passèrent dans les
ellent ami, voulut bien adapter en français, travail laborieux que la mort vint interrompre. Ce fut long ce livre, si long,
76 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
docteur de garder son squelette dans ce cabinet, pour être, après sa mort encore, près de celle qu’il avait aimée. Malgré l
e de se maquiller : — Oh ! mon Dieu ! mon enfant, ton pauvre père est mort  !… La fille tamponne ses yeux avec son mouchoir…
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
nses bien pernicieuses aux ames, pour avoir été disposé à souffrir la mort plutôt que de ne pas faire tous ses efforts pour
s un profond sommeil, mais ils sont encore enfoncés dans une profonde mort . Les saints pères ont fortement parlé contre les
78 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
qui font les choses défendues (dont il venoit de parler) méritent la mort , mais aussi ceux qui approuvent ceux qui les font
79 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
» est souvent, comme dans le cas de l’acrobate, question de vie et de mort  ? Le music-hall est donc un laboratoire, en perma
80 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
es ; ils devenoient par gradations ses Juges & ses Bourreaux ; la mort à chaque instant s’imprimoit sur son visage ; ses
bleaux hideux que ses forfaits lui présentoient, il luttoit contre la mort  ; la nature sembloit faire un dernier effort : ce
açon son tombeau ; mais le moment approchoit, on voyoit réellement la mort  ; tout peignoit l’instant qui ramene à l’égalité 
’instant qui ramene à l’égalité ; il expiroit enfin : le hoquet de la mort & les mouvements convulsifs de la Physionomie
81 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
jolies femmes doivent avoir dans leurs vie à se reprocher au moins la mort d’un homme. Jusqu’à présent, mademoiselle Clément
82 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
était pas arrivé à savoir si sa mère, ses frères et ses sœurs étaient morts ou en vie. Peu de temps après notre départ il ent
83 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
rtenoit. Les spectacles pantomimes ne s’établirent à Rome qu’après la mort irréparable d’Esopus et de Roscius, acteurs célèb
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
raîne sur ses genoux vers ce père irrité ; sollicite son pardon ou la mort  ; les deux jeunes enfans accourent ; ils joignent
85 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
écrit qu’il a débuté avec le plus brillant succès par le Ballet de la Mort d’Orphée. La Danse sérieuse & héroïque est sa
86 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
r les bords de la Sprée ! A Berlin elle eut la douleur d’apprendre la mort de son père, décédé à Vienne le 12 janvier 1843,
is ces danses terribles paraissaient un chuchotement mystérieux de la mort . Tantôt c’était le rossignol gémissant dans les r
roses ? Tombera-t-elle, mêlée à notre argile, dans les vapeurs de la mort  ? Ce divin prodige roulera-t-il dans les demeures
« lansquenet », fréquenta très assidument jusqu’en 1870, année de sa mort , le salon de Fanny. Ce vieux soldat était, au dir
a cousine Catherine Prinster, son inséparable compagne jusque dans la mort , vint reposer à côté d’elle. Le poète latin Marti
87 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
ssons plus celle du créateur de la bonne comédie en France. Fierville mort à l’âge de 106 ans, et qui fut contemporain de Mo
ntôt s’effacent et sont enveloppés sous de sombres voiles, de même la mort , cette nuit éternelle entraîne dans la tombe tous
88 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
des progrès de la danse, et il n’y a que très peu d’années qu’il est mort . (b) Pour vous satisfaire pleinement, et pour vou
89 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
le. [Voir Fête (Beaux-Arts)] 91. Depuis 1559 qui fut l’époque de la mort d’Henri II jusqu’en l’année 1612 il n’y eut que q
90 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
un astronome amateur. Il le fit surmonter d’un observatoire, et, à sa mort , légua cette merveilleuse propriété à un homme qu
91 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
t-il dans une sorte de mysticisme, les brûler tous, à la veille de ma mort , si je le pouvais. N’est-ce pas désolant de les a
92 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
épaule, tandis que, les yeux grands ouverts, elle regardait encore la mort qui venait de la prendre. C’était poignant. Le so
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
. La vue d’un mortel étonne les ombres heureuses : de jeunes amans morts d’amour quittent leurs berceaux de myrthe et d’am
94 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
Ni le roi, ni ses enfants n’étaient atteints, mais on relevait quinze morts , dont un maréchal de France, Mortier, et une tren
endant pour aucune de ses pensionnaires de ces faiblesses qui sont la mort de toute autorité. Avec toutes ces qualités, il a
Pendant la première semaine de novembre, Fanny fut entre la vie et la mort . Enfin le onzième jour les symptômes attendus se
ris poussa un soupir de soulagement : « Encore une belle proie que la mort n’aura pas. Après la Malibran, Fanny Elssler ; vr
95 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
ies par la mère de l’un d’eux, fée de son métier, qui vengea ainsi la mort de son fils. Les ondulations de ces cous blancs e
ux, heureuse de son destin, veut le subir tout entier. Le sceau de la mort s’imprime sur son front : Mattéo s’en aperçoit, i
96 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
ure qu’on y a donné plus de temps, on s’est aussi plus approché de la mort qui mettra fin à tous ces plaisirs. » Je demande
97 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
admirablement fixées de beaux mouvements humains dont le secret était mort pour nous. Ainsi, peu à peu, après Athènes, après
98 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
plus grand nombre en faveur d’Ulisse. Le triomphe de celui-ci, et la mort de son rival présentent à l’artiste une foule de
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
levèrent les épaules, et se mirent toutes à rire ; je trouvai que les morts étoient tout-aussi indécents que les vivants ; ce
100 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
s’allume dans ses veines, et répand sur ses traits l’empreinte de la mort  ; Créon, frappé de ce spectacle déchirant, menace
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