ie en Tauride est la suite d’Agamemnon ; Oreste, après avoir vengé la
mort
de son père, et assassiné involontairement Clytem
na sur un autre vaisseau, et ce ne fut qu’après avoir lutté contre la
mort
, que la fureur des flots leur présenta plusieurs
e fait entendre, et elle conçoit le dessein de soustraire Oreste a la
mort
. Ce Prince la préfere à la fuite et après un comb
on ami ou périr avec lui, arrive dans l’instant où Thoas va donner la
mort
à Oreste ; le Tyran la reçoit des mains de Pylade
nie par l’arrivée céleste de Minerve. Isménie qui n’a pu se donner la
mort
, se consacre aux autels de Diane ; elle part avec
jouet de la tempête et exposée à chaque instant a être engloutie ; la
mort
environne ce malheureux Prince, elle se présente
loutie. Oreste se cramponne à un de ces rochers, et voulant éviter la
mort
, il rencontre de nouveaux tourmens ; poursuivi de
r patrie ; les deux Princes ne lui répondent que pour lui demander la
mort
. Ce courage héroïque offense le Tyran ; il menace
annonce à Iphigénie, que deux malheureux, après avoir lutté contre la
mort
, n’ont échappés au naufrage, que pour être arrêté
main répand ; que son bras, armé par le cruel Thoas, du glaive de la
mort
, ne peut éluder les coups que la barbarie du Tyra
ylade la relévent de cette posture humiliante : ils sont dévoués à la
mort
, ils bravent le Tyran, qui effrayé de tant de fer
fort équivoques ; elle leur dit qu’une loi barbare les condamne à la
mort
; ils y sont dévoués ; cette nouvelle ne peut ébr
: ils ne veulent partir ni l’un ni l’autre ; tous deux souhaitent, la
mort
. Aucun ne veut céder l’honneur de perdre la vie,
sollicitent à prendre la fuite, et tous deux restent pour recevoir la
mort
. Scène ix. Iphigénie, tenant une lettre à
ire que le meurtre et la vengeance, ordonne à ses gardes de donner la
mort
à Arbas ; Eumène couvre de son corps celui de son
récipite sur son corps ensanglanté et tente vainement de se donner la
mort
. Les Gardes de Thoas sont dispersés et mis en fui
gnifiquement orné est sur le bord du rivage. Scène dernière. La
mort
d’un Prince farouche, cruel et justement abhorré
ect Danaüs épouvanté recule de surprise et d’effroi ; la pâleur de la
mort
s’imprime sur ses traits ; ses genoux tremblans s
; plusieurs d’entre eux ont passé des bras du sommeil dans ceux de la
mort
; quelques-uns de ces infortunés luttent encore c
ureur ; il veut courir au secours de ses frères ; il veut venger leur
mort
par celle dn cruel Danaüs ; mais ne pouvant plus
son apparition glace d’épouvante l’ame des Danaïdes ; la pâleur de la
mort
se répand sur leurs traits ; le spectre leur mont
s de torches funéraires et lugubres les précipitent dans l’empire des
morts
. Scène iii. Danaüs, toujours inquiet et to
et à la douleur qui l’accable, le Tyran croit ne pouvoir douter de la
mort
de Lincée ; dans l’instant qu’il lui témoigne sa
sant cet instant, plonge son poignard dans le sein du Tyran ; déjà la
mort
s’imprime sur ses traits ; des mouvernens convuls
esse et le conjure de jetter sur elle un regard de clemence ; déjà la
mort
étend ses voiles sur les traits de Danaüs ; il ex
s eux, ou, si par hazard il les regarde, c’est pour leur reprocher sa
mort
, leur prouver qu’il emporte sa haine, et qu’il ex
devant du quel l’ombre apparoît, articule ces mots ; frémis tyran, la
mort
t’attend.
La
mort
d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.
ujet. Quelques personnes seront sans doute étonnées, qu’ayant pris la
mort
d’Agamemnon pour le sujet d’un ballet, je ne me s
d’y joindre la vengeance d’Oreste et de terminer ce spectacle par la
mort
de Clytemnestre et d’Egisthe, par le desespoir et
le, ni Sophocle, ni Euripide, ni Séneque. Il n’est pas douteux que la
mort
d’Agamemnon, la vengeance d’Oreste, ses fureurs,
et au mouvement rapide et précis qu’exigent les scènes pantomimes. La
mort
d’Agamemnon ne m’eût donné qu’un tableau, qui ser
ues. Si l’on eût chargé un célébré peintre de tracer l’histoire de la
mort
d’Agamemnon et de la vengeance d’Oreste, l’arrivé
mphale de ce Prince à Mycènes eût caracterisé son premier tableau. Sa
mort
et celle de Cassandre eussent formé le second. D’
r la composition du troisième tableau. Le quatrième eût représenté la
mort
de Clytemnestre et d’Egisthe. L’instant où Oreste
’agit, qu’à rapprocher un fils de la maison paternelle pour venger la
mort
de l’auteur de ses jours, et je sens toute la dif
on ; Clytemnestre recule épouvantée ; Egisthe veut fuir, se donner la
mort
; la Reine tremble, s’oppose à sa fuite à ses tra
Euménides accompagnées de la haine, de la vengeance et du Crime ; la
mort
suit cette troupe infernale. Elle est prête à fra
ups sur Agamemnon ; il vole ensuite vers Cassandre, qui, dévouée à la
mort
, marche au devant de lui ; sa fermeté et son cour
enace, elle insulte, elle jure à Egisthe que son bras saura venger la
mort
de son père, punir un lâche assassin et un infâme
ns ses bras, mais le trouvant glacé et couvert du voile éternel de la
mort
, elle recule épouvantée et se livre aux transport
in de se laisser toucher, la fuit avec horreur, lui jure de venger la
mort
de son père et s’abandonne à toute sa fureur. Iph
e du Tyran, A cette nouvelle, Oreste veut l’attendre et lui donner la
mort
; mais ses sœurs suspendent un instant sa vengean
robe les traits de celle à qui il vient involontairement de donner la
mort
; à l’aspect de sa mère, il recule d’horreur et d
la plaie toute saignante qui a frayé jusqu’à son cœur un chemin à la
mort
. Oreste à cet aspect épouvantable recule, frémit,
ime, le Remords et le désespoir portent à son cœur, veut se donner la
mort
; mais Pylade, Electre et Iphise, toujours attent
élène, l’entreprise de Castor et Pollux contre la ville d’Athènes, la
mort
tragique d’Hippolyte, le retour des Héraclides. C
et d’Œdipe ; dans les Travaux d’Hercule, dans ses infortunes, dans sa
mort
! Glaucon, Créon, Bellérophon, la Chimère, Sthéno
oit les noces de Pelops, le Jugement d’Inachus, le désespoir d’Io, la
mort
d’Argus, la cruauté d’Atrée, les pleurs de Thyest
de la manière dont y sont reçus les gendres fugitifs d’Adraste, de la
mort
cruelle d’Antigone et de Ménécée. Ce n’est pas as
ns la Thessalie, qu’il contemple les miracles de la voix d’Orphée, sa
mort
, sa tête qui rend encore des sons, et qui semble
t des bœufs d’Érythée. En Phénicie, on ne parle que du Myrte et de la
mort
d’Adonis. Pour exceller en ce genre, il faut join
aient lentement et en mesure en chantant des vers à la louange du Roi
mort
. Cette Pompe était suivie d’un grand nombre de vi
uliers, formées sur ce modèle, étaient à proportion de la dignité des
morts
et de la vanité des survivants. L’orgueil est à p
and ils se taisent ; mais ils ne le sont pas lorsqu’ils parlent à des
morts
. Le ministre, chargé de planter et d’arroser, ne
imes du monde sont des maximes meurtrières, parce qu’elles donnent la
mort
aux ames qui ont le malheur de les suivre, et qui
n les suivant, perdent la vie de la grâce, et se rendent dignes de la
mort
éternelle de l’enfer. Les maximes de J. C. sont a
dé ; mais c’est pour la lui rendre éternellement malheureuse après la
mort
. Ce que dit Jésus-Christ, demande qu’on mène sur
ls descendent dans l’enfer (ou dans le tombeau.) Que deviennent à la
mort
les plaisirs dont on a joui pendant la vie ? Et s
s partialité. Il ne faisait grâce, ni en faveur des grandes places du
mort
, ni par la crainte du pouvoir de ses successeurs.
uelle ils voyaient exposés leurs semblables. La satire ou l’éloge des
morts
devenait ainsi, une leçon utile pour les vivants.
tion a élevé un monument, même de son vivant. On n’a point attendu sa
mort
pour rendre hommage à sa mémoire, L’estime et la
composoient ce nombreux assemblage de gens à talens. Cramer, que la
mort
a enlevé à son art, aux amateurs, à sa famille et
re, parce qu’elles jouiroient de la pension de leurs maris après leur
mort
, et que le gouvernement se chargeroit de l’éducat
s’eutr’ouvrir sous leurs pas chancelans ; si eIles voyent paroitre la
mort
armée de sa faux et accompagnée) par les parques
parques ; si elles frémissent et se prosternent en vain, si enfin la
mort
de concert avec Atropos tranche le fil de leirs j
ncée et Hypermnestre se jettoient sur son corps ensanglanté : déjà la
mort
s’imprimoit sur ses traits ; des mouvemens convul
par hazard, il les regardoit, c’étoit toujours pour leur reprocher sa
mort
, leur prouver qu’il emportoit sa haine, et qu’il
sur une partie du peuple, qu’en voyant les Danaïdes, les spectres, la
mort
et les parques, elle prit la fuite. Deux poëtes I
ouver. Je passe à un second exemple. J’employai au dernier acte de la
mort
d’Agamemnon des choeurs chantants et dérobés aux
e dans cette métamorphose succéssive l’image de sa naissance et de sa
mort
. Je suis, etc.
r la massue d’Hercule et le bouclier d’Admète de combattre jusqu’à la
mort
et de venger l’affront que Lycomède vient de leur
squ’Admète toucheroit aux derniers instans de sa vie, il éviterait la
mort
si quelqu’un s’y devenoit à sa place. Ce Dieu jet
igne ; puis elle vole à son mari : s’appercevant que les signes de la
mort
se tracent sur ses traits, elle se frappe et tomb
e de s’expliquer. Hercule lui avoue que son épouse s’est devouée à la
mort
, pour lui conserver la vie, et il la lui montre e
scène offre les Champs Elisées. Hercule pénétre dans l’empire des
morts
; mais Cerbère, ce monstre à trois têtes, s’oppos
endre. 39. 2. quelle se montre, lisés : qu’elle se montre. 40. 13. la
mort
enterroit-elle, lises : la mort enlevoit-elle. 41
lisés : qu’elle se montre. 40. 13. la mort enterroit-elle, lises : la
mort
enlevoit-elle. 41. 5. dans ce stile, lisés : dans
servilement à la piste la marche des grands talents. Ainsi, après sa
mort
, on fit des Opéras coupés comme les siens [Voir C
faire copier à son tour. Ce Poète, dont un de ses amis a dit, que sa
mort
même n’avait rien fait pour sa gloire, imagina un
rité le vengera sans doute, et déjà l’envie qui se sert du mérite des
morts
, pour éclipser celui des vivants, a commencé de n
mée s’étiole, les hommes vivants se dérobent. Le drame passionnel, la
mort
qui passe, hideuse et ricanante, blêmissent sous
pantelante. Heureux le blond étudiant en vareuse verte qui trouve la
mort
en poursuivant un rêve d’amour : il ne verra pas.
l’ambassade de Lazare Baïf son père, et de retour en France après sa
mort
, y fit pour la Musique les mêmes tentatives que l
les loisirs de son emploi avait composé des livres estimés, qui à sa
mort
n’avait rien laissé qu’une bonne renommée. Le Fil
, illec, d’assurance, Un des adroits Danseurs de France.20 19. La
Mort
des Enfants de Saül. 20. Le sieur Langlois.
ron 800,000 hommes ; et les suites de la bataille d’Arbelles, sont la
mort
de Darius, massacré par le perfide Bessus, et la
ame est cruellement déchirée par les désastres de sa famille, par la
mort
tragique de son père, par la perte qu’elle vient
de bénir un prince, qui leur avoit rendu l’âme de leurs plaisirs. La
mort
d’Auguste, et celle de Mécènes présagèrent la chû
avec ceux de son maître. Enfin ces Mimes fûrent rappellés encore à la
mort
de Domitien, et se soutinrent jusqu’au règne de T
barbares, qui ravageoient l’empire, et y répandoient la terreur et la
mort
; ils errèrent de climats en climats, et ne trouv
i secours. Les grands hommes finissent, je le repète encore ; mais la
mort
, en exerçant son empire, ne peut détruire leurs c
de la jeune Duchesse. « Je pleurais, dit-il, sur le Mont Apennin la
mort
de la tendre Eurydice. J’ai appris l’union de deu
r des Danses vives une Chasse à grand bruit. Elle fut terminée par la
mort
du Sanglier de Calydon, qu’ils offrirent au jeune
ne sont plus des drames muets. Le squelette armé de la faux évoque la
mort
. Une forte matrone, qui tient les balances, le re
s s’appercevant que Camille change de visage, et que les signes de la
mort
s’impriment sur ses traits, elle vole à elle. Cam
ces qui, déjà blessé ne peut opposer qu’une foible défense, reçoit la
mort
; Horace, en le privant du jour l’immole aux mâne
et de reconnoissance. Les Albains quittent leur camp, enlèvent leurs
morts
, et expriment leur désespoir. Les Romains entoure
c une ame philosophique, ses trophées avec ses chaînes : il attend la
mort
avec autant de tranquillité que de résignation :
espect et le lit sans crainte. Fulvie croyant que c’est l’arrêt de la
mort
d’Horace, se livre au desespoir : mais quelle n’e
entre les bras des Mages. Alors Sémiramis paraît, pâle, échevelée, la
mort
peinte sur son visage, et se traînant à peine. De
e le poignard teint encore de son sang, la suppliant de lui donner la
mort
. Le fer échappe de la main de Sémiramis. Elle rec
& que le sieur Pecourt son éleve a continué avec succès depuis sa
mort
. Le sieur Blondy nous a donné aussi des Balets po
ctacles du Théâtre, que quand il faloit représenter le supplice ou la
mort
violente de quelqu’un, ils prenoient des criminel
condamnoit à paroître avec une chemise brûlante, pour représenter la
mort
d’Hercule : & au Traité qu’il adresse aux Mar
les Troyens ; il fonce dans leur ville ; il y répand le carnage et la
mort
et la fait incendier par ses troupes. Les Troyens
emple de Jupiter, et s’efforce en vain de chercher un azile contre la
mort
. Pyrrhus qui est à sa poursuite et qui veut l’imm
en plus répandre ; mais de charger de fers tous ceux qui ont évité la
mort
, à ce saccagement général succède la destruction
t. Le but de toutes les fêtes qui fûrent données en France, depuis la
mort
de Louis XIV, fut toujours manqué, parce qu’on ne
ce, les ravages de l’usure, l’anarchie des opinions, la disette et la
mort
, enfin que les calamités les plus effrayantes n’o
il est tems d’arrêter l’effusion du sang, et de cesser d’envoyer à la
mort
, ceux qui assurent notre subsistance et notre vie
iva Desdémone, si prématurément étouffée sous l’oreiller jaloux de la
mort
, nous croyons qu’elle se trompait ; Carlotta, gui
ant n’est pas très alarmée de cette menace. Hé quoi ! danser après sa
mort
, cela est bien effrayant ! Est-ce donc un si gran
lleurs, quand on est jolie, jeune, amoureuse, est-ce qu’on croit à la
mort
! Hallali ! hourra ! le cor sonne des fanfares éc
il est l’assassin de Giselle. Ainsi se termine le premier acte. Cette
mort
, mêlée de danse, doit vous inquiéter pour le repo
nuit qui sonne, une heure inquiétante où les vivants rentrent, où les
morts
sortent. Les feux follets, papillons de flammes,
upides, trop amoureux de leur vilaine peau pour mourir d’une si jolie
mort
. Ce n’est pas d’eux que l’on peut dire avec le po
alapou et les évolutions sacrées, tout ce qui a vécu, tout ce qui est
mort
pour et par la danse. Elles jaillissent de la ter
Pourrait faire rire un malade, Avec ses drôles d’incidents, Eut-il la
mort
entre les dents. Un Homme de Cour que j’estime, E
rire à gorge pleine ! Qu’OLARIA, Magicienne, Qui provoque à venger sa
mort
, Par ses manières me plaît fort, Et que très volo
le conte charmant de Nodier, un autre artiste, un malheureux artiste,
mort
d’une façon si tragique, Nourrit lui-même, a comp
fin, l’horrible vieille obtient, de ses enchantements, un talisman de
mort
, — une écharpe rose à faire envie à toutes les fi
— Fraîche écharpe d’un rose vif, frêle tissu printanier qui porte la
mort
. — En effet, le charme a réussi ; la Sylphide ser
ses haines dans ce frêle tissu ! — Cette écharpe brillante, c’est la
mort
! Posée sur cette fraîche épaule, l’écharpe ravag
dit l’agonie d’un beau lis ; elle mourait peu à peu, lentement, d’une
mort
aérienne, l’horrible sorcière regardant d’un œil
mort aérienne, l’horrible sorcière regardant d’un œil narquois cette
mort
funeste. Cependant les sœurs de la Sylphide desce
de celui qui vient d’être puni par Arlequin. Combat entre les amis du
mort
& ceux d’Arlequin. Plusieurs sont tués de par
lusieurs sont tués de part & d’autre. Les Vainqueurs chargent les
morts
sur leurs épaules, & sortent. Scene XXI.
êtus de noir & en longs manteaux, font entendre que le Sultan est
mort
de douleur. Scene XXIII. Le Théâtre re
is de l’Amour, elles l’enlèvent pour la précipiter dans le séjour des
morts
. Cet enlèvement offre un grouppe contrasté d’expr
élivrent Psyché de ses chaînes ; afin de prolonger ses tourmens et sa
mort
. Psyché revenue à elle-même, cherche vainement à
ar le Styx qu’il triomphera des Enfers et qu’il arrachera Psyché à la
mort
qu’on lui prépare : il disparoît. Scène III.
autres. Psyché sans mouvement et étendue sur la terre va recevoir la
mort
. Atropos se dispose à trancher le fil que Lachési
maîtresses ; et elles comptent bien hériter du domaine, quand il sera
mort
du cœur. Ces deux filles de ferme ont l’insolence
Fanny à Vienne. — Lecture de Henri Heine. — Mélancolie de Gentz. — Sa
mort
. — Nature des sentiments de Fanny pour lui. — Lég
rée à Vienne ; sa maison ; ses amis. — Bonheur de sa vieillesse. — Sa
mort
le 27 novembre 1884 365 Conclusion 414 paris
chateau est quelques fois dangereux ; mais Colin qui craint moins la
mort
que la honte dont on veut couvrir ce qu’il aime,
r : sa noirceur est découverte, il annonce avec une feinte douleur la
mort
de Colin. A cette nouvelle, Julie tombe sans conn
amant : la vie lui devient un fardeau insupportable. Elle regarde la
mort
comme le remède le plus certain aux tourmens qu’e
lut ni flétrir ses lauriers, ni entacher ses trophées et préférant la
mort
à l’ignominie, il s’empoisonna. Je trouve encore
, qui, les armes à la main avoient boulversé le monde, fut condamné à
mort
par un décret de l’Aréopage ; il but tranquilleme
nobles jeunes hommes combien ne sont plus, fusillés par les infâmes,
morts
de faim et de désespérance : Alexandre Block, gra
hapelle aux Célestins, & y fonda un Service pour ceux qui étoient
morts
de cet accident. Ces exemples font assez connoîtr
e douzaine pendant le cours du Carnaval de 1714. Mais comme depuis la
mort
de Louis XIV. toute la Cour s’est renfermée dans
fameux Peintre natif de leur Village, dont il portoit le nom, qui est
mort
bon Catholique. Je crois ne pouvoir mieux finir c
t] Ce discours ridicule qu’on a tenu constamment en France, depuis la
mort
de Lully, en l’appliquant successivement à toutes
xikon un article sur Rothschild qui lui fut royalement payé. Après sa
mort
, Rothschild dit de lui : « C’était là un ami ! Je
par exemple de sa vanité naïve ou de la peur atroce qu’il avait de la
mort
. Mais ni les princes dont il soutenait la cause,
e toi tu vis, et, avec mon amour, braver tous les coups du destin, la
mort
même. Mais toi, ma douce enfant, puisse le ciel t
Auprès d’elle seule j’oublie parfois les soucis, la vieillesse et la
mort
. Je la considère comme un don du ciel, comme une
ur son âme assombrissent les billets qu’il lui écrit. La pensée de la
mort
le poursuit et se glisse dans ses plus brûlantes
mes de mon amour. « Et lorsque je t’aurai aimée jusqu’à l’heure de ma
mort
, j’emporterai dans la tombe éternelle la grande b
es acheva sa libération. Il sentait déjà sur lui la main glacée de la
mort
. Lorsque Fanny revint, il avait éteint en lui-mêm
n où il rapporta des propos tenus par leur ami, six semaines avant sa
mort
, au comte Münch. « La chère enfant, avait dit Gen
ible que les recommandations d’un si puissant protecteur et, après sa
mort
, son souvenir aient aplani pour elle certaines di
lssler se répandit en Autriche et en Allemagne dès le lendemain de la
mort
du prince. En 1834 elle était accréditée en Franc
dignation contre les calomnies de gens malpropres d’après lesquels la
mort
prématurée du fils de l’Empereur aurait été causé
tait attaché sa conquête par des liens que rien ne put rompre, que sa
mort
elle-même ne détruisit pas entièrement. Les conso
elle aimait à se rappeler les jours passés avec Gentz, et jusqu’à sa
mort
elle garda pieusement la mémoire de son ami parti
la confidente de tous ses secrets. Un jour, plusieurs années après sa
mort
, l’aimable écrivain Louis Speidel essayait de fai
s que ceux-là, foulés aux pieds des vainqueurs et prêts à recevoir la
mort
, implorent leur clémence, et leur générosité. Le
res pour le détourner d’un dessein, dont l’exécution va lui donner la
mort
. Enée, vivement attendri, se jette dans les bras
n, se dispersent dans le palais, et y portent partout la flamme et la
mort
. Didon, qui n’a plus rien à ménager, seconde leur
déconvenues d’amoureux transis s’enchevêtrent et se dénouent — où la
mort
même, matée, arbore un costume de Pietro Longhi e
iens ont fait les airs par des notes de différentes valeurs. Après la
mort
de Bacchus, les Bacchantes en qualité de ses Prêt
ommettoient dans la célébration de cette fête, l’abolit sous peine de
mort
l’an 668 de la Fondation de Rome. Un semblable mo
la nature y représenta tous ses chefs-d’œuvres, jusqu’au moment où la
mort
mit un terme à sa brillante carrière. Ce fut le 1
Anna Pavlova. Sa collaboration avec Pierre Ilitch Tchaïkovski, que la
mort
déjà guettait, décida de la victoire. Je refuse d
pectacle dans son ensemble qui avait sensiblement périclité depuis la
mort
du maître nonagénaire. Les anciens décors brossés
er les loix sacrées de l’honneur et de se pardonner mutuellement leur
mort
. Les parrains leur présentent des armes égales :
Le bruit éclatant des timbales et des trompettes est le signal de la
mort
. Les deux chevaliers armés de pied en cap, et la
ouveaux ouvrages, qu’il étoit en état de donner, mourut en 1687. à sa
mort
Beauchamp quitta l’Opera. Pecour qui jusqu’alors
s mon Ouvrage, & il a passé sous les yeux du Maître qui depuis la
mort
de Lully a composé les Ballets de l’Opera, &
avorables, et le Despotisme paternel alla jusqu’au droit de vie et de
mort
. Dans les premiers temps de la République Romaine
de la loi nouvelle formait des danses sacrées en l’honneur d’un Dieu
mort
sur une croix pour le salut de tous les hommes, d
ient lentement et en mesure, en chantant des vers à la louange du roi
mort
. Cette pompe était suivie d’un grand nombre de vi
culiers formées sur ce modèle, étaient à proportion de la dignité des
morts
, et de la vanité des survivants : l’orgueil est à
partialité ; il ne faisait grâce, ni en faveur des grandes places du
mort
, ni par la crainte du pouvoir de ses successeurs.
uelle ils voyaient exposés leurs semblables. La satyre ou l’éloge des
morts
devenait ainsi une leçon utile pour les vivants.
e ne me rendis pas compte de cette intention. Toutes deux nous étions
mortes
de peur. Ma mère me supplia de partir. Le cœur pl
ur avait répondu que ma pauvre mère était toujours entre la vie et la
mort
. J’avais encore vingt-quatre heures d’attente et
lus grand nombre en faveur d’Ulisse. Le triomphe de celui-ci & la
mort
de l’autre présentent au génie une foule de Table
la nature, ne doivent s’appeller que des divertissements fastidieux,
morts
& inanimés. Le Ballet est l’image du Tableau
eu partout ses compositions. Haydn et Mozart continuaient, après leur
mort
, à séduire par leur éternelle fraîcheur de nombre
1769. Il fut musicien comme son père, comme son frère aîné. Après la
mort
du père, il partagea avec son frère les travaux d
x mille florins. Ce brave homme entretint dans sa famille, jusqu’à sa
mort
, qui survint le 12 janvier 1843, la vénération po
vrai. Mais que l’on se donne la peine de consulter les dates. Haydn,
mort
le 31 mai 1809, ne put assister que du haut du ci
le fût, avait pour les artistes la valeur d’une sentence de vie ou de
mort
. L’honneur d’être présentées à des souverains éta
té prochaine se manifestèrent. Après avoir pleuré très sincèrement la
mort
de Gentz, Fanny n’avait pas repoussé les consolat
à M. Roussel ; elle a autre chose à faire. Très souple avec cela ; la
mort
de l’araignée est remarquablement exécutée. Mlle
oment où celle-ci achève de se maquiller : « Mon enfant, ton père est
mort
! » L’enfant candide, étouffant un sanglot : « Oh
la nuit, et réciproquement ; — Emma Livry, emportée, hélas ! par une
mort
affreuse : le feu prit un soir (1862) à la gaze d
va-t-elle, cela doit faire bien souffrir. C’est égal, c’est une belle
mort
pour une danseuse. » Cette belle mort ne tarda pa
ir. C’est égal, c’est une belle mort pour une danseuse. » Cette belle
mort
ne tarda pas à la frapper : tandis qu’on emportai
e où les cieux s’ouvriront, et où le Juge souverain des vivans et des
morts
descendra pour rendre à chacun selon ses œuvres ;
(pag. 500.) A la vérité, les danses d’aujourd’hui ne causent pas la
mort
de saint Jean-Baptiste, comme celle de la fille d
e qu’on lit de saint Jean-Baptiste, précurseur de Jésus-Christ, mis à
mort
selon le désir et la demande d’une danseuse, fait
nt dans les ames des inclinations et des passions qui leur donnent la
mort
: « Choreas, saltationes et tripudia è quibus mor
ent mon meilleur ami. Eh bien, je ne vous ai rien dit, et lui, il est
mort
sans rien savoir et me croyant heureux. Je ne me
je la trouvais foncièrement égoïste et cruelle, jusqu’à souhaiter la
mort
de mon père. J’avais tort, j’ai hâte de vous le d
vait vu tomber et qui ne se relevait pas. Un instant après, on le vit
mort
, dans les bras des piqueurs qui l’emportaient. Ma
d Vladimiroff enlève la ballerine dans les airs ce n’est pas un poids
mort
qu’il porte : car nous voyons Tréfilova plier ave
La
Mort
d’Hercule. Ballet tragique. Personnages.
conjure Déjanire de consommer son forfait, et de lui épargner par une
mort
prompte des tourmens qu’il ne peut plus supporter
ur victime tous les ans une fille vierge dans le temple au jour de sa
mort
, ce que les Thémésiens accomplirent pour un tems,
grois ; ce qui fait présumer qu’ils proviennent de cet enlévement. La
mort
du grand Pan annoncée au Pilote Thamus, du tems d
IX, qui s’en déclara le protecteur et le premier auditeur. Baïf étant
mort
en 1589, cette académie fut transférée chez son a
Mazarine au jeu de paume du Bel-Air, dans la de Vaugirard. Puis, à la
mort
de Molière, la salle rue du Palais-Royal fut donn
ise, en mémoire de la Cêne de Jesus-Christ avec ses Apôtres, avant sa
mort
, & pour cimenter l’alliance des Chrétiens con
que les danses qui se faisoient dans les Cimmetieres sur la fosse des
morts
, outre les danses baladoires employées pour les p
, qu’on les voit tomber dans leurs Mosquées comme s’ils étoient yvres
morts
: cependant ils observent cette cérémonie avec be
? La vie des acteurs est perpétuellement en danger et menacée de cent
morts
différentes, celle des ouvriers occupés dans les
elle suffoque les ouvriers et les contraint de fuir ; pour éviter la
mort
, ils abandonnent leur poste ; c’est ce qui est ar
n’entendoient rien et qui étoient saisis de frayeur ; les cris de la
mort
et du désespoir, des enfans et des femmes écrasés
isse de cet effrayant tableau ; l’instant d’après fut le signal de la
mort
; les flammes gagnèrent, elles dévorèrent tout. N
t aussi remplie de défauts que les deux autres. Quel est l’architecte
mort
ou vivant, qui ait eû l’avantage de construire tr
itiatives françaises. La thèse de M. Emmanuel cherche à galvaniser la
mort
en lui juxtaposant la vie. Il mit les dessins des
gracieux de Marie Piltz cette chose lamentable, déjà ossifiée par la
mort
qui la guette. Tel que se présente le Sacre aujou
Egyptiens, aux danses funéraires, aux danses sacrées, aux danses des
morts
… Et elle, à son tour, m’interrogea sur la façon d
es phrases lentes des concertos de Mendelssohn, pour les danses de la
mort
, et sur la Marche funèbre de Chopin, pour les dan
epuis le printemps qui suivit mon début aux Folies-Bergère jusqu’à sa
mort
, elle m’a accompagnée dans tous mes voyages. Tand
u’ils auroient décidé être contraire à la santé, et pouvoir causer la
mort
, quelque peine d’ailleurs qu’on pût souffrir de c
ues, d’un passé oublié ou légendaire, amour mystique plus fort que la
mort
. Le ballet, qui fut sous l’Empire surtout un dive
rdiment sur ses reins et qu’elle jette en arrière ses bras enivrés et
morts
de volupté, on croit voir une de ces belles figur
compare la ballerine qui rentre dans l’ombre à la cantatrice dont la
mort
prématurée fut chantée par Musset. « Taglioni, di
ugement de la postérité ; il pèse à la balance de 1’impartialité, les
morts
qui jouèrent de leur vivant les premiers rôles su
cabaret, étoit le lieu favori ou se rassembloient les candidats : La
mort
entérroit-elle un membre de cette illustre Académ
tout s’embellit, tout se perfectionna sous son heureux ministère. La
mort
de Mazarin ne fit pas une grande sensation. Le Ro
crimes ; ils devenoient par gradation ses juges et ses bourreaux ; la
mort
à chaque instant s’imprimoit sur son visage ; ses
bleaux hideux que ses forfaits lui présentoient, il luttoit contre la
mort
; la nature sembloit faire un dernier effort. Cet
açon son tombeau ; mais le moment approchoit, on voyoit réellement la
mort
: tout peignoit cet instant qui raméne à l’égalit
instant qui raméne à l’égalité ; il expiroit enfin : le hoquet de la
mort
et les mouvemens convulsifs de la physionomie des
sion, nul caractère : tout languit, et la nature gémit sous un masque
mort
et désagréable. Pourquoi laisser aux acteurs et a
volutions cadencées de sa troupe, tout se disloque. Deux ans après la
mort
de Viganò, Stendhal parle de ses « admirables bal
d’art anéanties depuis des siècles : « C’était un art nouveau qui est
mort
avec ce grand homme. » Stendhal ne faisait que p
départ d’un art magnifique et entièrement nouveau. Aussitôt après sa
mort
tous constatent l’irrémédiable décadence de la ch
les drames récités, nous imaginons assez bien ce que pouvait être la
mort
de Desdémone, mimée par des artistes de génie com
ò ne fût un merveilleux spectacle et d’une originalité telle que, lui
mort
, personne ne réussit à produire en ce genre rien
; à dix-huit elle publiait un manuscrit qu’elle avait trouvé après la
mort
de sa mère. Elle le fit éditer avec son argent de
écrire ce livre pendant son voyage là-bas, car peu de temps avant sa
mort
elle avait visité cet intéressant pays et avait p
aconter aux Spectateurs qu’un Héros a été tué ou qu’il s’est donné la
mort
. Ils n’ont que des yeux pour nous entendre, les o
e ne les revis jamais. L’homme, que j’avais vu souffrant, devait être
mort
, et la femme, la pauvre vieille, si laide, au tab
use. Je me demandais de quelle gaîté elle témoignerait quand enfin la
mort
de la paralytique viendrait la débarrasser du poi
me de la campagne — le roi de pique — lequel m’aurait « arrachée à la
mort
» et repêchée dans la rivière sans réclamer, dans
lieu au mois d’avril 1902. J’avais amené avec moi un savant — il est
mort
tragiquement depuis, écrasé par une voiture, — et
re de la rue de Paris, pour voir Sada Yacco, dans sa fameuse scène de
mort
. Après la représentation, ils passèrent dans les
ellent ami, voulut bien adapter en français, travail laborieux que la
mort
vint interrompre. Ce fut long ce livre, si long,
docteur de garder son squelette dans ce cabinet, pour être, après sa
mort
encore, près de celle qu’il avait aimée. Malgré l
e de se maquiller : — Oh ! mon Dieu ! mon enfant, ton pauvre père est
mort
!… La fille tamponne ses yeux avec son mouchoir…
nses bien pernicieuses aux ames, pour avoir été disposé à souffrir la
mort
plutôt que de ne pas faire tous ses efforts pour
s un profond sommeil, mais ils sont encore enfoncés dans une profonde
mort
. Les saints pères ont fortement parlé contre les
qui font les choses défendues (dont il venoit de parler) méritent la
mort
, mais aussi ceux qui approuvent ceux qui les font
» est souvent, comme dans le cas de l’acrobate, question de vie et de
mort
? Le music-hall est donc un laboratoire, en perma
es ; ils devenoient par gradations ses Juges & ses Bourreaux ; la
mort
à chaque instant s’imprimoit sur son visage ; ses
bleaux hideux que ses forfaits lui présentoient, il luttoit contre la
mort
; la nature sembloit faire un dernier effort : ce
açon son tombeau ; mais le moment approchoit, on voyoit réellement la
mort
; tout peignoit l’instant qui ramene à l’égalité
’instant qui ramene à l’égalité ; il expiroit enfin : le hoquet de la
mort
& les mouvements convulsifs de la Physionomie
jolies femmes doivent avoir dans leurs vie à se reprocher au moins la
mort
d’un homme. Jusqu’à présent, mademoiselle Clément
était pas arrivé à savoir si sa mère, ses frères et ses sœurs étaient
morts
ou en vie. Peu de temps après notre départ il ent
rtenoit. Les spectacles pantomimes ne s’établirent à Rome qu’après la
mort
irréparable d’Esopus et de Roscius, acteurs célèb
raîne sur ses genoux vers ce père irrité ; sollicite son pardon ou la
mort
; les deux jeunes enfans accourent ; ils joignent
écrit qu’il a débuté avec le plus brillant succès par le Ballet de la
Mort
d’Orphée. La Danse sérieuse & héroïque est sa
r les bords de la Sprée ! A Berlin elle eut la douleur d’apprendre la
mort
de son père, décédé à Vienne le 12 janvier 1843,
is ces danses terribles paraissaient un chuchotement mystérieux de la
mort
. Tantôt c’était le rossignol gémissant dans les r
roses ? Tombera-t-elle, mêlée à notre argile, dans les vapeurs de la
mort
? Ce divin prodige roulera-t-il dans les demeures
« lansquenet », fréquenta très assidument jusqu’en 1870, année de sa
mort
, le salon de Fanny. Ce vieux soldat était, au dir
a cousine Catherine Prinster, son inséparable compagne jusque dans la
mort
, vint reposer à côté d’elle. Le poète latin Marti
ssons plus celle du créateur de la bonne comédie en France. Fierville
mort
à l’âge de 106 ans, et qui fut contemporain de Mo
ntôt s’effacent et sont enveloppés sous de sombres voiles, de même la
mort
, cette nuit éternelle entraîne dans la tombe tous
des progrès de la danse, et il n’y a que très peu d’années qu’il est
mort
. (b) Pour vous satisfaire pleinement, et pour vou
le. [Voir Fête (Beaux-Arts)] 91. Depuis 1559 qui fut l’époque de la
mort
d’Henri II jusqu’en l’année 1612 il n’y eut que q
un astronome amateur. Il le fit surmonter d’un observatoire, et, à sa
mort
, légua cette merveilleuse propriété à un homme qu
t-il dans une sorte de mysticisme, les brûler tous, à la veille de ma
mort
, si je le pouvais. N’est-ce pas désolant de les a
épaule, tandis que, les yeux grands ouverts, elle regardait encore la
mort
qui venait de la prendre. C’était poignant. Le so
. La vue d’un mortel étonne les ombres heureuses : de jeunes amans
morts
d’amour quittent leurs berceaux de myrthe et d’am
Ni le roi, ni ses enfants n’étaient atteints, mais on relevait quinze
morts
, dont un maréchal de France, Mortier, et une tren
endant pour aucune de ses pensionnaires de ces faiblesses qui sont la
mort
de toute autorité. Avec toutes ces qualités, il a
Pendant la première semaine de novembre, Fanny fut entre la vie et la
mort
. Enfin le onzième jour les symptômes attendus se
ris poussa un soupir de soulagement : « Encore une belle proie que la
mort
n’aura pas. Après la Malibran, Fanny Elssler ; vr
ies par la mère de l’un d’eux, fée de son métier, qui vengea ainsi la
mort
de son fils. Les ondulations de ces cous blancs e
ux, heureuse de son destin, veut le subir tout entier. Le sceau de la
mort
s’imprime sur son front : Mattéo s’en aperçoit, i
ure qu’on y a donné plus de temps, on s’est aussi plus approché de la
mort
qui mettra fin à tous ces plaisirs. » Je demande
admirablement fixées de beaux mouvements humains dont le secret était
mort
pour nous. Ainsi, peu à peu, après Athènes, après
plus grand nombre en faveur d’Ulisse. Le triomphe de celui-ci, et la
mort
de son rival présentent à l’artiste une foule de
levèrent les épaules, et se mirent toutes à rire ; je trouvai que les
morts
étoient tout-aussi indécents que les vivants ; ce
s’allume dans ses veines, et répand sur ses traits l’empreinte de la
mort
; Créon, frappé de ce spectacle déchirant, menace
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