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1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
é d’une manière historique de ce qui se passe continuellement dans le monde , où quelquefois on est affligé et on pleure, et d
és ! Marquant à ses disciples ce à quoi ils étoient destinés pour ce monde et ce qui leur étoit réservé en l’autre, il leur
é, je vous le dis, vous pleurerez et vous gémirez, vous autres, et le monde sera dans la joie ; vous serez dans la tristesse,
, servons-nous-en plutôt pour nous convaincre que notre partage en ce monde doit être les gémissemens et les larmes, à la vue
élas ! presque personne ne veut pleurer saintement et utilement en ce monde , sur l’autorité de Jésus-Christ ; et lorsqu’on en
er dans les Ecritures, qui paroît favorable au goût et aux maximes du monde pour s’en autoriser ; et les saints, au contraire
é, lorsqu’il a dit : (épit. 1, c. 2, vv. 15 et 16.) N’aimez point le monde ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le
1, c. 2, vv. 15 et 16.) N’aimez point le monde ni ce qui est dans le monde . Si quelqu’un aime le monde, l’amour du père n’es
imez point le monde ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde , l’amour du père n’est point en lui ; car tout ce
nde, l’amour du père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde est ou concupiscence de la chair, ou concupiscenc
s yeux, ou orgueil de la vie ; ce qui ne vient point du père, mais du monde . Si la concupiscence n’est pas de Dieu, tout ce
ise, et plus encore tout ce qui l’excite, n’est point de lui, mais du monde  ; et les Chrétiens n’y doivent prendre aucune par
hrist dit d’eux : (Jean, c. 17. v. 14.) Mes disciples ne sont pas du monde , comme je ne suis pas moi-même du monde. Saint P
Mes disciples ne sont pas du monde, comme je ne suis pas moi-même du monde . Saint Paul a aussi tout compris dans ces parole
2 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XV. Des Reverences en entrant dans un appartement, ou dans une assemblée. » pp. 47-48
es deux reverences étant finies, vous entrez, & s’il se trouve du monde placé à droit & à gauche, vous faites des rev
e la civilité le permet, ce qui n’a point de limites, l’usage du beau monde étant le plus grand maître. Après avoir enseigné
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
s-nous pas de croire plutôt à la parole de Jésus-Christ qu’à celle du monde  ? Les maximes du monde sont des maximes meurtrièr
utôt à la parole de Jésus-Christ qu’à celle du monde ? Les maximes du monde sont des maximes meurtrières, parce qu’elles donn
là de vivre un jour éternellement avec lui dans sa gloire. Ce que le monde dit, tend à rendre ici-bas la vie plus agréable e
ns les plaisirs. Vous deviez regarder les biens et les plaisirs de ce monde comme des biens étrangers pour vous, parce que vo
s rendrions-nous pas plus facilement à des vérités pour lesquelles le monde n’a tant d’opposition que parce qu’elles contredi
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
blaient par leurs attitudes aller les apprendre à tous les Peuples du monde . Cette pompe passa du Port dans la Ville, sous pl
chœurs de musique. Quatre Ambassadeurs, au nom des quatre Parties du Monde , ayant appris la Béatification d’Ignace de Loyola
e de Loyola, pour reconnaître les bienfaits que toutes les Parties du Monde avaient reçus de lui, venaient lui faire hommage,
e, composant quatre Troupes ou Quadrilles, pour les quatre Parties du Monde . Les Royaumes et les Provinces, représentés par
5 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
inette, ma rivale. — Pourquoi elle m’est inférieure. — Gueymard. — Le monde de Finette. — La civilisation et nous. — Les lett
ouviens-toi qu’on aime les biches franches, cela repose des femmes du monde . IV Mon amour pour la vérité m’a attiré une
crie toujours. VII Revenons à Finette. Elle fréquente un vilain monde , elle va chez Markouski et, quand elle est au mil
es lorsque les commis de confection les confondent avec les femmes du monde . On aura beau faire, il y a toujours chez la femm
 ? A l’amour-propre probablement. VIII Aucune femme ne vient au monde vertueuse pourtant, elle le devient ou reste ce q
t adopté. La baronne, qui lui avait dit de l’appeler sa tante dans le monde , le débarbouilla elle-même, le fit habiller avec
6 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IX »
n effet, quel en est le genre, quelle la teneur, quelle l’étendue. Un monde inconnu s’ouvre au sens du nombre et à l’oreille 
sses brusques des danses nouvelles sont des essais à pénétrer dans ce monde séduisant de l’arabesque sonore et des rythmes in
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
sans cesse à leur destruction. Que deviendroit l’univers, si tous les mondes dont la marche et les rapports offrent une harmon
es rapports offrent une harmonie si sublime, ressembloient aux petits mondes de l’opéra ? je ne puis le comparer qu’à ces balo
t bien, que tout alloit bien et que nous vivions dans le meilleur des mondes possibles ; je doute qu’ils eûssent l’un et l’aut
n’y est bon, et qu’enfin c’est le plus méchant des infinimens petits mondes possibles.   Je conviendrai cependant, d’après le
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
pol. c. 7.) « Que la vérité n’est point étonnée de sa situation en ce monde , où elle éprouve de continuelles contradictions,
ant leurs propres idées, les maximes, les préjugés et les coutumes du monde . Quoi de plus déplorable que de voir les disciple
9 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
troduction. L a danse, dont l’origine remonte aux premiers âges du monde , ne fut d’abord qu’un mouvement naturel et sponta
rage sera encore utile, je l’espère, à ceux qui se présentent dans le monde avec des manières forcées et éloignées du ton de
que l’amour-propre d’autrui ne nous pardonne jamais ; voilà ce que le monde civilisé doit à notre art. Cette vivacité, qui en
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
’étaient faite de la Divinité. Ils la regardaient comme l’harmonie du Monde , et ils croyaient, qu’elle ne pouvait être mieux
gnols qui avaient leurs Dieux particuliers, tous les Peuples enfin du Monde connu, à quelque idole qu’ils aient sacrifié, ont
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
rtie de ses disputes théologiques, au titre, des choses élevées de ce monde . Sur le septième commandement, pag. 336, il décla
nces qui ne leur apportent rien de mieux. Or, ce sont des plaisirs du monde , que nous ne pouvons aucunement approuver. » ch
vie, les préceptes de bien et saintement vivre, de savoir renoncer au monde et à ses voluptés. S’il faut apprendre à mesurer
tes, et resserrés en toutes les parties de l’ame, de n’aimer point le monde , mais de le mépriser et de fuir ses voluptés, pou
e contre la concupiscence, de mortification du vice ? Mais plutôt, le monde y règne, et ses gaîtés y sont nourries de toute s
u’on a le cœur vain et charnel, et qu’il s’amuse encore aux folies du monde et à des choses qui ne valent rien ; de plus, c’e
erver une pureté très-étroite ; que nous ne nous conformions point au monde , mais que nous prenions pour règle la volonté de
e Dieu en de telles insolences, qui sont autant de façons profanes du monde  ; et Dieu ne sauroit avoir en aucune action, le c
choses plus chères que tout ce qui se pourroit nommer de plaisirs au monde … Que perdrons-nous en perdant les danses ? Mais p
e salut : fuyons les lieux de pécher et leurs attraits ; renonçons au monde , foulons aux pieds tous ses vains plaisirs. Le Se
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
et des Danses. Suivez ces tendres enfants, depuis leur entrée dans le monde , jusqu’au moment où leur raison se développe c’es
s aisément persuadé, que l’on a chanté et dansé depuis la création du monde jusqu’à nous, et qu’il est vraisemblable que les
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
maintes Personnes d’Elite, Au grand Spectacle de Psiché, Dont tout le Monde est alléché, (La chose est très-constante, et sur
ur tout, je dois, Une Merveille sans seconde, Laquelle charme tout le Monde , Une Actrice de quatorze ans, Qui, récitant des V
14 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
ctions, rien moins qu’un demi-siècle d’histoire russe : la chute d’un monde . Pétrouchka nous apparaît — sous les espèces d’u
mme ; elle prime l’acteur désemparé. Il reste juste assez d’âme en ce monde changé pour en meubler les corps de cinq êtres hu
15 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
Chapitre IV Sommaire. — Pourquoi on aime notre monde . — L’indépendance de la femme. — Pourquoi elles d
. d’Ennery. — Ce qu’on lui doit. I Il faut bien l’avouer, notre monde est le plus amusant de tous les mondes, nous vivo
Il faut bien l’avouer, notre monde est le plus amusant de tous les mondes , nous vivons à part, en dehors de toutes les conv
ssi sentencieuse. Et à propos de quoi ? En vantant la gaieté de notre monde , en célébrant ses joies, en chantant son indépend
16 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
la Pologne. Son accent tudesque est la chose la plus réjouissante du monde . Sa gravité et l’importance qu’il croit avoir fer
listes et se couperait un doigt plutôt que de les mécontenter. Il les monde d’invitations, de prévenances et de soins. Dans l
ser une armée entière. Et Markouski adore Gil Perez. — Il m’envoie du monde avec ses farces, — dit-il, — laissez-le dire.
ris une telle importance, il touche par tant de côtés à l’histoire du monde parisien, qu’il ne peut pas être passé sous silen
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
s après, trois cents Gentilshommes représentant toutes les Nations du monde et divisés par troupes, parurent sur la Tamise da
5 était le sujet de ce spectacle. Le Théâtre représentait le globe du monde . La vérité, sous le nom d’Alithie, était tranquil
n trouvait un point ferme, il serait aisé d’enlever toute la masse du monde , il était venu en Angleterre, qui était ce point
18 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
anquée ; ils le dirent et le publièrent ; les Échos du Parnasse et du monde le répétèrent après eux. De là Paris, la Littérat
ne fût pas révolté contre Armide Tragédie. 134. « S’il y a rien au monde qui paraisse étrange et contraire même à une acti
19 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Table. » p. 
Lecteur ou tout ce qu’on voudra, ix Les Ressources, ou le Tableau du Monde , Pantomime, i Lettre d’un Grand-Sauteur à M. de
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-neuvième semaine, lettre du 9 décembre 1666 »
-il beau ? Je meurs de déplaisir de n’y pouvoir pas être, Car bien du monde , ici, qui pense s’y connaître, Dit que l’artifice
21 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
ont plus excellé depuis plus d’un siécle, que pas une des nations du monde  : les Etrangers mêmes ne le contestent pas. L’Opé
hœurs de Musique : quatre Ambassadeurs aux noms des quatre parties du monde , ayant appris la béatification d’Ignace de Loyola
le, composant quatre troupes ou quadrilles pour les quatre parties du monde . Les Royaumes & les Provinces représentez par
     Quelle gloire pour la mer, D’avoir ainsi produit la merveille du monde  : Cette Divinité sortant du sein de l’onde, N’y l
on s’étoit retirée dans l’Isle d’Angleterre, où toutes les Nations du monde vinrent en ordre par la Tamise, jusqu’au Palais d
Pour cela on feignit qu’Atlas ne pouvant plus soutenir le fardeau du monde , dont il étoit chargé depuis long-tems, venoit le
e la vérité. La scêne représentoit au premier acte, le grand globe du monde , marqué de toutes les Provinces, comme elles sont
n Vestales, firent l’ouverture & chanterent ces Vers au Roy. Le monde te vient faire hommage, Grand Roy, de sa fertilit
on pouvoit lui donner un point ferme, il enleveroit toute la masse du monde , qui lui avoit donné tant de peine à porter, il é
n bandeau sur les yeux, s’ennuyant d’être ainsi comme aveugle dans le monde , appelle la lumiere à son secours, & la prie
ages, que les pierreries en brillent, & que l’on en fasse dans le monde les ornemens des habits ; desorte que les ordres
22 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
ien, par rapport aux danses et aux chansons, ne doit point écouter le monde , ses usages, ses maximes ; mais la vérité qui est
ugés des hommes, la multitude des mauvais exemples et les coutumes du monde , dont l’esprit est si opposé à celui de J. C., qu
es apôtres l’esprit de vérité, il a dit (Jean, c. 14, v. 17.) que le monde ne pouvoit le recevoir . Saint Paul dit aussi : (
1. Cor. c. 2, v. 12.) Pour nous, nous n’avons point reçu l’esprit du monde , mais l’esprit de J. C. La cupidité est le gran
nt de raisons qu’on puisse leur opposer, on a recours aux coutumes du monde et aux exemples de la multitude : comme si l’erre
aincre en nous, qu’en nous rendant nous-mêmes victorieux du démon, du monde et de notre propre concupiscence. J’ai dit que la
e notre conduite, et non pas les préjugés des hommes, les coutumes du monde , et les mauvais exemples qu’on y voit, quand ils
x inclinations de la nature corrompue, aux maximes et aux coutumes du monde , il portera quelque fruit, du moins pour un certa
vrage du démon : ce qui a fait dire à Tertullien, que Dieu a formé le monde , mais que c’est le diable qui en fait les pompes
s cette matière. Demandez à Dieu, Monsieur, qu’il me fasse oublier le monde et ce qui est dans le monde ; qu’il me fasse reno
Dieu, Monsieur, qu’il me fasse oublier le monde et ce qui est dans le monde  ; qu’il me fasse renoncer au diable et à ses pomp
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
Ballet de Vénus céleste, Des Divinités la plus leste, Où de très beau Monde courut, Pour la dernière fois parut, Laissant un
24 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
e ce pays est un de ceux qui a eu le plus d’influence sur le reste du monde . Il fut l’école d’Orphée, et d’Homère, de Pythago
tre mille ans semblent faire toucher le voyageur au premier siècle du monde . D’après cette description, on ne peut douter de
ue beaucoup de princes, qui, les armes à la main avoient boulversé le monde , fut condamné à mort par un décret de l’Aréopage 
25 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
ux jeunes compositeurs. L’Oratorio d’Hayden, intitulé la création du monde fut donné sur le théâtre de l’opéra ; cet ouvrage
toit-il propre à recevoir un ouvrage aussi sérieux que la création du monde . Un temple n’eût-il pas été préférable au théâtre
portoient le caractère du charlatanisme. La musique de la création du monde n’étoit point, disoit-il, de la musique ; c’étoit
26 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
assez de bonheur, dans une planche que reproduisaient la Vogue et le Monde dramatique, le charme propre à Fanny, l’ovale fin
it tout à fait impossible. » Ou encore : « Toutes les danseuses de ce monde sont égales et se valent, quand Mlle Taglioni ne
pouvait se faire une opinion sur la valeur d’une partition. Homme du monde , vieil habitué des coulisses, il en usait galamme
gnification pour l’histoire de l’art. Berlin était à la périphérie du monde théâtral ; le centre était à Paris. Ici se décida
onquête du public le plus cultivé, mais aussi le plus récalcitrant du monde . Dans la deuxième semaine de janvier 1836 elle re
, peu de temps avant la première représentation du Diable boiteux, le Monde dramatique publiait une étude intitulée : la Dans
it le diable au corps. « La pensée chorégraphique avait passé, dit le Monde dramatique, de la ouate des mollets dans la moell
er de l’Opéra vit de folles évolutions qui firent frémir dans l’autre monde les mânes des chorégraphes classiques. Il se pass
l’artiste, inscrit comme épigraphe d’un article qu’il publie dans le Monde dramatique les vers de Millevoye : Le bocage éta
ndu et dont elle a été privée si longtemps. De toutes les joies de ce monde , de tous les plaisirs sans fatigue et sans remord
œuvre de son père et d’Adolphe Adam. L’action, qui se passait dans le monde fabuleux des ondines, lui donnait, comme la Sylph
e aux formes fluides, aux gestes mystérieux qui paraissait issue d’un monde surnaturel. L’année 1836, qui vit se produire le
e fut au directeur que l’opinion publique attribua tous les torts. Le Monde dramatique présentait ainsi la situation : « Mll
Le Siècle, 18 juillet 1836. 114. Voir chap. v, p. 175-177. 115. Le Monde dramatique, t. III, n° 11, p. 170. 116. Journal
II, n° 11, p. 170. 116. Journal des Débats, 26 août 1836. 117. Le Monde dramatique, t. III, n° 23, p. 367.
27 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre IX. Des Reverences en général. » pp. 22-23
nces en général. Une chose tres-necessaire de sçavoir pour tout le monde dans quelque état que ce soit, c’est de sçavoir ô
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse Dauphine à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou Subligny — Subligny, seconde semaine, lettre du 17 février 1667 »
int là de BELLE SÉVIGNY À bons grands coups de poings faire battre le monde . Comme elle allait en masque un de ces derniers j
29 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
t, dans le ronflement de toute sa machinerie, vers la rive du nouveau monde . Tout d’abord, il protesta, non sans véhémence, c
les trottoirs. Bientôt il se trouva sur le pont de Brooklyn, noir de monde et sillonné de trains et de tramways, bondés quan
s ce pays précis. Etonné, curieux, — bousculé aussi, — il « suivit le monde  » et une fois le pont traversé, s’engagea dans un
ns quelque partie de l’univers qu’il soit né, aurait préféré venir au monde en Amérique. Car l’Amérique, à en croire les Amér
n prétend posséder l’avantage d’être citoyen du pays le plus libre du monde . Si vous disiez à la plupart des Américains qu’il
avec un enthousiasme que l’on ne saurait dépasser dans aucun pays du monde , et tout le temps du repas je reçus des cadeaux.
30 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
er, lorsqu’un des danseurs lui dit : — Elle a fait son entrée dans le monde , maintenant, il faut qu’elle y reste. A partir de
à seize milles de Chicago, et lorsque l’époque de mon entrée dans le monde approcha, la température devint si froide qu’il f
31 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
Taglioni, que Fanny Elssler, que Carlotta Grisi remplissent les deux mondes d’un frou-frou de blanche tarlatane. Osons l’affi
oute la contexture de l’action faire preuve d’un dualisme marqué ; le monde de la réalité immédiate et mesquine et, juxtaposé
rqué ; le monde de la réalité immédiate et mesquine et, juxtaposé, un monde idéal, celui des réalités essentielles, la vanité
immatérielle et abstraite ne remplissent qu’un des hémisphères de ce monde imaginaire. L’autre s’épanouit en plein soleil. S
est une très charmante femme, elle serait le plus charmant garçon du monde . » Sur quelques avis savants sur la coiffure et
ce détail plastique minutieusement observé par un homme pour qui « le monde visible existe » (paroles de Gautier sur lui-même
une vraie sylphide, ce n’est qu’une danseuse, la première danseuse du monde si vous voulez, mais rien de plus… » Cette peint
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
toutes les autres, en un mot, qui, dans les différentes Religions du monde , ont fait partie du culte reçu. Ce sont là (si j’
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
t de considérable depuis le développement du chaos et la naissance du Monde jusqu’à nos jours55 . Notre Histoire embrasse en
umain. Qu’il suive ensuite les nouveaux habitants qui ont repeuplé le monde . Il trouvera les voyages d’Inachus avec sa mère C
rira le vieil Atlas sur qui les Dieux se reposent du poids immense du monde . L’Espagne conserve encore les restes du Géant à
34 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
usique privées de règles et de principes, sont aussi anciennes que le monde . La nécessité et le besoin furent deux sources fé
r des paroles au chant fut sans contredit le premier versificateur du monde . Il me reste à parler de la peinture et de la scu
ependant on est autorisé à croire que l’amour est aussi ancien que le monde , et que de tout tems il exerca son empire sur les
peux de tous ces êtres éxtraordinaires, et rares, qui en éclairant le monde , ont fait la gloire de leurs siècles, et sont enc
35 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
rer encore Qu’il est justement composé Et parfaitement divisé.106 Du monde les quatre parties Y sont dignement assorties, Et
36 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
comme un seul battement de mains, mais si puissant qu’aucun bruit au monde ne pouvait lui être comparé. Je dansai quatre foi
us. Il me disait combien il tenait à mon amitié,  — plus qu’à tout au monde . Moi, de mon côté je pensais à lui beaucoup plus
embarqué, presque de force, pour un long, très long voyage autour du monde . J’ai fréquemment réfléchi, depuis, au rôle qu’av
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XII. De la Danse sacrée des Turcs »
enfin d’étourdissement, et de lassitude. En parcourant les Annales du Monde , on est quelquefois surpris de la multiplicité de
38 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
salon, qui ressemblait à tous les petits salons de tous les palais du monde  ; et je pensais combien cela devait être désagréa
tamorphose ! Dans une des pièces les plus délicieusement ordonnées du monde , je vis une jeune femme, grande, svelte, blonde e
ne devriez pas en avoir. — Ah ! croyez-le bien, il n’y a personne au monde qui n’ait des causes de tristesse. Je n’en suis p
c moi-même jusqu’à ce que je me sente de nouveau prête à affronter le monde . Je lui dis enfin mes difficultés. Elle sonna et
39 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
modeste qui les choqueroit. Je réponds à cette objection : 1.° que le monde est aujourd’hui si corrompu, que souvent on ne ro
40 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « A Monseignevr : Monseignevr le marqvis de Buckingham Grand Escuier, & Grand Admiral d’Angleterre, &c. »
un Seigneur de qui les vertus sont estimées & admiréez de tout le Monde . Cest pourquoy ie me suis resolu le donnant aux y
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 12 février : Réception faite à un Gentilhomme de Campagne — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
uis sortir d’affaires : Mais, ô ma Muse, s’il vous plaît, Laissons le Monde comme il est, Contents d’un peu de renommée, Agis
42 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
fumée de l’incendie, se sont dispersées les dernières traditions d’un monde dont l’Empire fut le dernier représentant. Vous s
ette banquette s’était assis, dans ces glaces s’était reflété tout un monde de causeurs et de promeneurs dont on retrouverait
courte énumération le corps diplomatique, la maison de l’Empereur, le monde officiel, et comparez le foyer de ce temps-là ave
tié le corps de ballet à la connaissance de cette quatrième partie du monde . Depuis son voyage dans les États-Unis, le pays d
s joyeuses excommuniées se dédommageaient d’être damnées dans l’autre monde en menant une existence damuable dans celui-ci… L
43 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
Rahel Levin, plus tard Rahel Varnhagen, il était très répandu dans le monde où l’on s’amuse. Il s’affichait avec une actrice
ettre suivante, Gentz continue sa confidence le plus naturellement du monde et, maintenant, il ne dissimule plus la force de
mourir n’a désormais pour moi d’autre signification que de quitter un monde dans lequel tu respires. « J’ai le courage de cro
en fête le salon du prince. Il s’était prêté de la meilleure grâce du monde aux taquineries des princesses Hermine et Léontin
ées, et des vers qui les accompagnent, et j’oublie la politique et le monde et je ne pense qu’à toi. » Il la remercie avec ch
la même lettre Gentz fait un autre aveu. En même temps que le goût du monde , que le culte de la beauté féminine et que l’amou
ne complète absence de pruderie et de préjugés chez une des femmes du monde les plus considérées du Berlin de 1830. Rahel ava
n-aimée. Rahel raconte donc que Fanny arrive dans son salon rempli de monde . La belle visiteuse, invitée à s’asseoir à côté d
e protectrice de ses amours : « Il n’y a pas deux amies comme vous au monde  ! » La passion qui était maintenant sa principale
ulgaire, qu’elle n’aurait jamais cru possible, je lui avais ouvert un monde nouveau. Ici et pas ailleurs est la clef de tout
tre vers de sa façon : « Je t’ai aimée et je t’aime encore, et si le monde s’écroulait, de ses débris s’élèveraient les flam
faute, ni la mienne. Mais elle ne peut plus nous séparer, « et si ce monde s’écroulait », le jour où il s’écroulera pour moi
Un seul regard de tes yeux a plus de prix pour moi que tout ce que le monde aurait encore à m’offrir. » Ce n’est pas seuleme
ant, elle était catholique. Un mariage mixte n’était pas possible. Le monde de la cour acceptait avec une indulgence complète
t, avait dit Gentz en parlant de Fanny, se donne toutes les peines du monde  ; elle s’efforce de me dérider, mais tout est inu
rofession. Il n’y avait pas chez elle de dépravation précoce. Dans un monde où la chasteté est une vertu rare, elle ignorait
ait de la danseuse issue d’un milieu modeste, ignorante des usages du monde , dénuée d’instruction. Au lieu de ne voir en elle
t ce contentement aient été réels, c’est ce qu’a refusé d’admettre le monde sceptique et rempli de malice. Il n’a pas voulu c
44 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
veilleux ; vous serez enchaîné par des liens de diamant au fond de ce monde inconnu et invisible d’où vous ne reviendrez jama
nde inconnu et invisible d’où vous ne reviendrez jamais. L’idée de ce monde sous-marin a singulièrement troublé les imaginati
n du symbole grec ; mais si la beauté est le domaine de l’Hellène, le monde merveilleux et invisible se laisse entrevoir au G
e sommeil, qui s’empare de lui. C’est ici que s’ouvrent les portes du monde enchanté habité par les Ondines, le royaume de la
une popularité toute germanique, qui ne dépassa point les limites du monde septentrional. Coleridge, Tieck et Goethe admirai
la Baltique, perle magique qui, sous un autre soleil, en dehors de ce monde spécial, perdait sa couleur et sa beauté. La trad
45 (1936) Philosophie de la danse
action de l’ensemble du corps humain ; mais action transposée dans un monde , dans une sorte d’espace-temps qui n’est plus tou
le-même sur ce qu’elle sait le mieux et qu’on ne sait pas le moins du monde  ? Il faut bien qu’il compense son ignorance techn
ui servent de rien. C’est donc bien que la danseuse est dans un autre monde , qui n’est plus celui qui se peint de nos regards
ui qu’elle tisse de ses pas et construit de ses gestes. Mais, dans ce monde -là, il n’y a point de but extérieur aux actes ; i
s ces traits sont décisivement opposés à ceux de notre action dans le monde pratique et de nos relations avec lui. Dans celui
s usages de toutes les possibilités du langage, qui nous détachent du monde pratique pour nous former, nous aussi, notre univ
46 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — CHAPITRE I. De la maniere de se poser le corps. » pp. 2-3
qu’elle est, puisque c’est par elle que nous nous comportons dans le monde avec cette bonne grace & cet air qui fait bri
47 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
trée, calme, indifférente, n’ayant pas l’air de s’occuper le moins du monde de ce que nos invités pouvaient penser d’elle. Ma
ette danse comme je l’aimai ! Pour moi c’était la plus belle chose du monde . J’oubliai la femme et toutes ses fautes, ses sot
i une nouvelle soirée pour lancer ma protégée. J’invitai tout le beau monde de la ville. La première actrice du Théâtre Natio
48 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
Les ressources, ou le tableau du monde , pantomime. Personnages de la Pantomime.
r des lustres & des girandoles. On voit Arlequin avec beaucoup de monde  : sa Maitresse le dédaigne toujours. Scene X
mposé des différens états de la vie, & qui présente le tableau du Monde . Le Magicien est enlevé dans un globe de lumière,
49 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
chute du jour que nous sommes en proie à ce qu’il y a de meilleur au monde , ce terrible meilleur, multiplié par la durée, in
re les ennuis et de suspendre les peines qui nous chevauchent dans le monde du jour ? Et donc, nous fuyons de l’un dans l’aut
danseuse, Athikté ! PHÈDRE Comme tu les connais ! ÉRYXIMAQUE Tout ce monde charmant a bien d’autres noms ! Les uns qui leur
u’elle ferait, ne serait-ce point ce que nous voyons maintenant, — ce monde de forces exactes et d’illusions étudiées ? — Rêv
agiles onyx ! — Ne t’excuse pas, cher Phèdre, ne sois pas le moins du monde troublé !… Tu n’as rien éprouvé qui ne soit légit
’en fais aucun usage ; toi donc, qui possédant aussi bien qu’homme du monde , tous les secrets de l’art et ceux de la nature,
ptrique de l’esprit, approfondissent et animent la misérable masse du monde … L’idée fait entrer dans ce qui est, le levain de
sortent de moi qui ne savais pas que je contenais ces vertus. Dans un monde sonore, résonnant et rebondissant, cette fête int
e, elle tourne… ÉRYXIMAQUE C’est véritablement pénétrer dans un autre monde … SOCRATE C’est la suprême tentative… Elle tourne,
au centre même de son mouvement. Isolée, isolée, pareille à l’axe du monde … PHÈDRE Elle tourne, elle tourne… Elle tombe ! SO
50 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
stes ? L’art oratoire n’en emprunte-t-il pas toute sa force ? Dans le monde , dans la Société, ne témoigne-t-on pas mieux par
ins, comme s’il avait débité à son Auditoire les meilleures choses du monde . Après avoir ainsi fixé l’attention pendant plus
lle cela, je crois, le bon ton. Ce n’est donc point aux gens du grand monde enchaînés par l’hymen, que mon projet peut être u
borne à souhaiter d’avoir dans ce dernier genre tous les habitans du monde pour confrères. Qu’on essaie à mettre mon systême
51 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
outefois, tant qu’il y aura des esprits pour rêver, pour concevoir le monde et n’y pas être seulement, la religion et la méta
52 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
onse de Kawakami. Mais celui-ci ne semblait pas se douter le moins du monde qu’il eût servi de thème au discours qui venait d
ieux pour peindre la joie de Kawakami d’avoir établi un lien entre le monde théâtral des deux pays. Mon discours n’était qu’u
53 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
pensais à l’autre souper où j’avais été involontairement invitée. Le monde est si petit. *** Je ne suis pas devenue la Loïe
s pas la femme, — on voudra bien me croire sur parole, — qui, dans le monde , apprécie le plus la valeur d’un nom !… Pour mémo
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
Russie et depuis un demi-siècle — ou peu s’en faut — aucun ballet du monde n’apparaissait capable de le réaliser. C’est que
nd chorégraphe classique de Milan, dont l’enseignement rayonna sur le monde , l’éducateur de la fameuse Pléiade, abandonna la
55 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
erreurs dans lesquelles les maximes, les exemples et les préjugés du monde ont pu nous retenir jusqu’à présent. En faisant l
56 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
roit bien propre à dégoûter des dangereux ou criminels plaisirs de ce monde , quels qu’ils soient, des chrétiens sur qui les g
aint-Esprit, l’effusion d’une joie divine, un plaisir sublime, que le monde ne peut entendre, par le mépris de celui qui flat
ent chrétienne : (Ps. 118, v. 85.) Les pécheurs (ceux qui aiment le monde ) me racontent des fables, des mensonges et des in
57 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
que vous avez accordée à l’aînée, pour paroître avec agrément dans le monde . Permettez-lui donc, MONSEIGNEUR, de se présenter
58 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
se, qui pour l’honneur des hommes devrait être effacée des Annales du monde , et qui n’est aux yeux de la Raison qu’une honteu
59 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VII. De la quatriéme Position. » pp. 17-19
s de mauvaises habitudes, dont par la suite on a toutes les peines du monde de s’en défaire ; & quelque bon cependant que
60 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
st-ce pas comme s’il disoit : Ne suivez pas les mauvaises coutumes du monde , non plus que ses mauvaises maximes et ses mauvai
outume, être jugés innocens, puisque depuis long-temps il y a dans le monde des adultères et des voleurs. Mais bien loin qu’e
utume. Ne violons donc pas les lois divines pour suivre les usages du monde , et ne préférons pas à ces lois saintes les perni
 ! Est-ce là ce qu’il est venu nous apprendre quand il est né dans le monde , revêtu d’une chair comme la nòtre ?… Voilà sans
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
ui juge de tout, et qui ne connaît encore rien ; ces gens aimables du Monde , qui prononcent toujours sans avoir vu, et qui en
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
ience qui ne sera point troublée par des remords, nous mènerons en ce monde une vie pure et chaste, et nous obtiendrons en l’
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
e religieusement — j’agitai la soie, et je vis que j’obtenais tout un monde d’ondulations que l’on ne connaissait pas encore.
fille, ce que j’acceptai avec reconnaissance, sans savoir le moins du monde quand et comment il me serait possible de m’acqui
rt un gisement d’or et qui s’oublie lui-même dans la contemplation du monde qui est devant lui. Mais je reviens à mes tribul
ma joie immense, je vis que, dès le lendemain, le théâtre refusait du monde . Il en fut de même tout le temps que dura mon eng
64 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24
ire à quiconque veut rendre son port & son abort agreable dans le monde . De façon qu’en l’ordre des choses se trouuent de
uy donne vne grande entree en la cognoissance de sa Cour & de son monde . Mais que sert il de tant discourir en faueur d’v
nçois en ceste matiere, i’abuserois trop long temps de la patience du monde , & engagerois inutilement ma peine à la gueri
ay pas seulement inutiles, mais dommageables ont eu la vogue parmi le monde , & que celle cy qui meine quand & soy les
65 (1860) Mémoires de Rigolboche « Dédicace. A Mané de l’Indépendance belge » pp. 1-4
ngin, vous êtes Vert-de-gris. *** Je ne vous cacherai pas que dans le monde vous passez pour mon amant. C’est bien de l’honne
66 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
st qu’un préjugé du petit peuple de l’Opéra, qui s’est glissé dans le monde , et qui s’y maintient depuis plus de soixante ans
67 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
qui n’est sérieux qu’avec ses livres. Il rit, joue, et badine dans le monde avec les hommes… Un flot nous entraîne. Je vous s
68 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
s’ils ont fait une faute de s’être approchés de telles assemblées du monde , qu’ils n’ajoutent pas une seconde faute d’être o
 ; qu’ils détestent le mal jusqu’aux apparences ; qu’ils renoncent au monde et à ses plaisirs, et fuient toutes les occasions
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvi » pp. 89-95
ssions. Mais vous savez, Madame, qu’il est tout plein d’êtres dans le monde que l’on ne peut inspirer. Un maître de ballets,
e privations et j’ai renoncé pour jamais aux pompes et aux vanités du monde . J’ai l’honneur d’être etc.
70 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
e modestie et de sagesse, et qui vous feroit commencer à mener dès ce monde une vie toute céleste. Que dois-je donc vous dire
Chrysostôme, ne mérite-t-il pas bien qu’on l’en croie, plutôt que le monde qui est si corrompu et si aveugle ? Je ne puis m’
es et solennités du mariage. Il est vrai qu’il semble à la plupart du monde , que c’est une partie principale des noces, et to
71 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
ment. Les Egyptiens qui passent pour l’un des plus anciens peuples du monde , & pour avoir eu les premiers la connoissance
les Grecs, chez les Romains, & presque dans toutes les villes du monde . L’on attribue à Pylade & à Batylle fameux Pa
sent tirées de l’Aréopage & du Sénat des Romains. En l’an 2545 du Monde , les Magistrats faisoient des sacrifices en l’hon
qui fut cause du premier enlevement d’Helene par Thésée l’an 2854 du Monde , pour satisfaire son amour. Les Grecs avoient dès
nt sacrées que prophanes, qui ont été inventées depuis la création du Monde , comme je vais le faire voir.
72 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
par lumière, mais par prévention pour les coutumes et les maximes du monde , ou même, parce que, livrés à l’amour de ces dang
si périlleux et si peu convenable à des chrétiens, qui ne sont en ce monde que pour faire pénitence ; et se souvenir que ceu
’il pouvoit alléguer contre les danses l’autorité de quelque homme du monde , en réputation par son esprit et ses écrits, son
oici ce que lui répondit ce courtisan détrompé des fausses maximes du monde et de ses pernicieuses coutumes : (cette lettre s
nces, qu’ils n’y allassent jamais. » Il est beau de voir un homme du monde et d’un si rare génie, donner ici des leçons aux
73 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
faut d’intelligence, d’adresse et d’habileté pour faire manœuvrer ce monde de machinistes, de figurants, de femmes et de rég
petite comédienne d’un grand avenir. Elle a la tête la plus jolie du monde , mais, à l’instar de Clémentine, elle s’est fabri
74 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
éléments, comme dirait Gœthe ; il lui faut des rôles en dehors de ce monde  : aussi que de rôles élémentaires n’a-t-on pas in
oici maintenant le grand grief : on en veut à Fanny d’avoir rempli le monde du bruit de ses succès américains ; on lui reproc
paix gagner la tombe, puisque j’ai vu ce qu’il y a de plus sublime au monde  ; j’ai vu les jambes de la divine Fanny s’élever
ute cette joie je crains de ne plus pouvoir être heureux dans l’autre monde . Que voulez-vous que me fassent les anges au ciel
teur, née à Florence de parents français, fort connue à Paris dans le monde des arts, dans les cénacles romantiques, et aussi
carrière, couronnée de gloire et surtout de l’amour et de l’estime du monde civilisé… Succombant sous une sensation trop vive
é son ancien empire, « Au dehors, c’est la force des armes ; dans le monde des âmes, c’est la puissance des arts. Ils sont d
aison toujours vive et alerte. On y rencontrait aussi les sommités du monde des lettres et des arts. Si Grillparzer était dev
de Barnim. La Viennoise arrachée de son milieu, transplantée dans un monde hautain et raide, fut comme en exil sur les bords
fournit un bout de prière à dire sur la tombe de celle qui étonna le monde par la légèreté de ses pas : Nec illi, Terra, gr
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
re correction. Il semble qu’on lui ait inculqué toute la politesse du monde , — toute la gravité aussi. A neuf ans elle lisait
bleus. — Est-elle élégante ? — Ah ! pour cela, non ! Elle est tout au monde sauf cela. C’est une drôle de fille qui semble ne
crivains, d’ambassadeurs, et, aux matinées, il y a foule de femmes du monde et d’enfants. Toutes les chaises et les tables de
76 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
uefois bizarres, et qui firent cependant, du peuple le plus pauvre du monde , le Peuple le plus redoutable et le plus heureux.
77 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
auté. J’eus l’honneur de lui être présenté à un déjeuner du « Tour du monde  » à Boulogne. Je vis une dame américaine aux trai
78 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
’espace, créent à la danseuse une ambiance de rêve, suscitent tout un monde infiniment varié d’entités abstraites. L’espace g
79 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
ils le qualifient quelquefois de grand Musicien & d’Architecte du monde . Saint Augustin, dans son Traité de la Musique vo
par ce moyen en donner la connoissance aux hommes dès la création du monde , sur les principes de la Musique céleste ou natur
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
, dans la galerie des notabilités parisiennes. L’un était un homme du monde , fin, délicat, spirituel, galant et possédant le
mour que vous rendez heureux ! m’écriai-je. Il est regrettable que le monde entier ne puisse considérer ce joli tableau de na
81 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
rte d’instrumens qui accompagnent la Musique. Les plus grands Rois du monde se sont fait un plaisir de danser quelquefois sur
82 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
unesse la maniere de se bien conduire dans les endroits où l’usage du monde l’appelle, & que le Bal donne une certaine li
83 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
e Paix, Ayant terminé ces hauts Faits, Qui faisaient trembler tout le Monde Dessous sa Gloire sans seconde, Il se délasse ave
84 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
evue de Paris, qui fut de plusieurs mois l’aînée de la Revue des Deux Mondes . Plus tard il devint une puissance de premier ord
richesse, donnait, par sa plantation, le moyen de placer beaucoup de monde sur le théâtre ; un très grand nombre de lustres
sique nous est décrit par Ch. de Boigne : « Auguste a débuté dans le monde par le rôle de romain. Grand, fort, robuste, un v
oué d’une paire de mains extraordinaires, il avait été créé et mis au monde pour être claqueur. Avec de telles mains, de tels
fait un théâtre dont la France avait le droit d’être fière devant le monde entier. La Mode disait, avec une arrière-pensée p
ires d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 235. 46. La Mode, Revue du Monde élégant, 1834, 18e livraison. 47. L’Artiste, t.
85 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
formèrent la première Scène, s’y réjouissaient de ce que les maux du monde faisaient tout leur bien, et de ce que la terre c
86 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
e de diriger, à l’époque des « deux décimes », le plus dispendieux au monde des théâtres de cour, le met au-dessus des reproc
87 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
e deuil des victimes qu’ils ont faits, sont les plus belles choses du monde . On aime une blonde. On est fou d’une Andalouse.
ux. Ce qui ne m’arrivera jamais tant qu’il y aura des perruques en ce monde . Bien des femmes ont déjà le chignon faux, pourqu
88 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
là, devant eux, parmi des nuées et des fulgurations, appartenait à ce monde irréel qui les avait subjugués. On ne saurait ima
osse dame et c’est une fée que j’ai vue danser. S’il y a une chose au monde dont je sois incapable, c’est de faire sciemment
89 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
us imiterons vos couturières. « Nous avons déjà ce dont nulle part au monde vous ne trouverez l’équivalent ou même l’approcha
ien apprenne l’existence de cette école d’esthétique sans pareille au monde , et l’agglomère à son magnifique Conservatoire de
90 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
n, ils pénétrèrent dans la loge de la plus mignonne petite actrice du monde et j’eus l’avantage de les revoir. Peu de jours p
it nul émoi de rendre visite à l’administrateur du premier théâtre du monde . J’habitais Paris depuis assez longtemps pour sav
lle l’a popularisé, par Sada Yacco, puis par Mme Hanako, à travers le monde . C’est une des intelligences les plus vives que j
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
avez préféré le moindre effort, l’à-peu-près négligent. Tout ce petit monde aérien qui bat, sous la baguette du chef d’orches
92 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
u grand critique français qui a dit : « Je suis quelqu’un pour qui le monde visible existe ». Et qui sait si cet autre maître
93 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ait passé quelques nuits. C’est dans le lit même du César que vint au monde celle qui devait être plus tard l’impératrice de
parfaitement que les rois n’épousent plus les bergères, même dans le monde du ballet, le pays le moins vétilleux cependant e
grâce d’une voix entrecoupée. Point de grâce ! Si les valseuses de ce monde sont déjà sans pitié, que doivent être celles de
de ce monde sont déjà sans pitié, que doivent être celles de l’autre monde  ! Il est pris, quitté, repris ; chacune veut avoi
94 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
V quelques souverains Au cours de mes nombreux voyages à travers le monde , de l’Est à l’Ouest et du Nord au Sud, à travers
r rapportait de ce pays d’Orient, les plus merveilleuses broderies du monde , que Li Hung Chang lui avait remises pour moi. J’
r à l’Hippodrome. — Cela rendra vos nouvelles danses célèbres dans le monde entier, me dit cette amie. Et la Reine viendra, j
95 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
exposer à la censure, aux contradictions, et même à la persécution du monde . La vie de saint Eloy, évêque de Noyon et de Tour
eu est patient parce qu’il est éternel, et souvent il n’épargne en ce monde , que pour punir plus rigoureusement en l’autre. C
mot, à garder toutes les bienséances qui font partie de la science du monde , et auxquelles on ne peut pas manquer sans se ren
96 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
i l’afflige, il me jure que, plus tard, il me fera voyager et voir le monde , mais son vieux père est dans un triste état de s
par trop son inférieure. Ah ! l’ambition des parents fait loi dans le monde et c’est tant pis pour nous ! » Telle est la tene
moins d’un mois, j’avais perdu père, femme et enfant. J’étais seul au monde . Je courus m’enfermer à Autremont, ne connaissant
97 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
ert pour devenir ce qu’il est. C’est un homme qui n’a pas son égal au monde pour la patience, la charité, le courage et la ve
hamporel qui vous le dit ! » M. d’Autremont s’est peu à peu retiré du monde où, du reste, il ne s’est jamais lancé qu’avec un
nt pas. Laissez-moi me figurer que j’ai eu le bonheur de le mettre au monde  ! Ah ! comme tu m’as aimé, et qu’avais-je fait po
98 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
et exotisme pittoresque, intense et sensuel, qui fit surgir de par le monde une foule d’œuvres théâtrales, qui subordonna pen
99 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XI. Des Révérences de differentes façons. » pp. 29-34
s semblables où est ordinairement l’assemblée que nous disons du beau monde , il ne faut pas les faire avec la même legereté,
100 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
nny Elssler et de sa création. L’opposition fut impuissante. Le grand monde adopta la cachucha. Les dames de la meilleure ari
t d’une marche ailée dans l’or du crépuscule et de là-haut saluent le monde . » D’autres soupiraient un vers italien : E pass
est une très charmante femme, elle serait le plus charmant garçon du monde . « Nous terminerons ce portrait par quelques avis
e époque le portrait des deux mêmes personnages. C’était une femme du monde , Mme de Mirbel, la miniaturiste attitrée de la fa
frémissement passionné plus flatteur que tous les applaudissements du monde  ; car il s’adresse à la femme et non pas à l’actr
qu’elle fait, qui rendent sa danse une des choses les plus douces du monde à regarder ; — elle a, en outre, ce que n’avait p
e couvaient de leurs regards attendris. Toutes ces nouveautés dans le monde des théâtres captivaient trop Paris pour qu’il pû
jouter une province à son royaume. Lasse de se voir cantonner dans le monde du rêve, elle voulait montrer qu’elle était capab
e l’Atlantique, la poursuite désespérée du repos et de la fortune. Le monde des théâtres se souvenait de la manière dont Mme
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