x dames s’avancent pour changer de place, et se donnent en passant la
main
droite en main droite ; chaque cavalier, après av
ent pour changer de place, et se donnent en passant la main droite en
main
droite ; chaque cavalier, après avoir donné la ma
à la dame qui lui fait face, tourne derrière elle en lui quittant la
main
, et va donner la main gauche en main gauche à sa
derrière elle en lui quittant la main, et va donner la main gauche en
main
gauche à sa dame qui passe à l’instant à la place
, le cavalier alors à la place de l’autre cavalier, et se quittent la
main
en arrivant. Ceci, qui n’est que la demi-chaîne,
vers l’autre et balancent durant quatre mesures. Un tour de deux
mains
. 3e. Chaque cavalier et sa dame, aussitôt aprè
avalier et sa dame, aussitôt après avoir balancé, se donnent les deux
mains
, et font un tour sur place en partant à la droite
ite l’un de l’autre jusqu’à chacun leur place, où ils se quittent les
mains
, le tout en quatre mesures. La chaîne des dam
ux dames de vis-à-vis changent de place et se donnent, en passant, la
main
droite en main droite, ensuite la main gauche en
-à-vis changent de place et se donnent, en passant, la main droite en
main
droite, ensuite la main gauche en main gauche à c
et se donnent, en passant, la main droite en main droite, ensuite la
main
gauche en main gauche à chacun des deux cavaliers
en passant, la main droite en main droite, ensuite la main gauche en
main
gauche à chacun des deux cavaliers qui sont resté
re la chaîne avec l’autre dame, doit partir à droite en présentant la
main
gauche à la dame qui arrive à la place de la sien
sur la gauche pour rentrer à sa place, où étant arrivé, il quitte la
main
de sa dame. Ceci, qui s’exécute durant quatre mes
artent obliquement à droite pour changer de place, et se quittent les
mains
en arrivant les uns à la place des autres, durant
du Pantalon au n°. 2.) 6e. Chaque cavalier et sa dame font un tour de
main
. (Voyez la figure du Pantalon au n°. 3.) Contre-p
alement en même tems et en quatre mesures, et font ensuite le tour de
main
. Figure de la (dite de la poule.) 1re. Un c
mesures. 2e. Les mêmes traversent du même côté en se donnant alors la
main
gauche qu’ils ne se quittent pas, et restent de c
nse, en quatre mesures. 3e. Le cavalier et la dame qui se tiennent la
main
gauche, donnent la main droite en main droite, l’
et la dame qui se tiennent la main gauche, donnent la main droite en
main
droite, l’un à sa dame et l’autre à son cavalier,
t en avant et en arrière deux fois ; à la seconde, ils se quittent la
main
, la dame va se placer à la gauche du cavalier de
gure du Pantalon.) 4e. Chacun des deux cavaliers fait un tour de deux
mains
avec sa dame. (Voyez la figure du Pantalon.) Cont
es deux dames qui sont placées à ses côtés s’avancent, se donnent les
mains
pour faire un demi-tour de rond jusqu’à la place
dame. (Voyez la figure du Pantalon.) 8e. Ils font ensuite un tour de
main
. 9e. Les deux dames font la chaîne. 10e. La demi-
inet au lieu de la chaîne des dames, alors elles se donnent toutes la
main
droite, et tournent au milieu de la danse durant
au milieu de la danse durant quatre mesures, puis elle se quittent la
main
droite, et se reprennent la gauche et font un sec
inet alors dans le sens opposé. Ensuite les dames, sans se quitter la
main
gauche, donnent chacune la main droite à leur cav
Ensuite les dames, sans se quitter la main gauche, donnent chacune la
main
droite à leur cavalier et balancent tous en même
en quatre mesures. Après, chaque cavalier et sa dame font un tour de
main
en reprenant leur place. On faisait autrefois le
rrière, puis chaque cavalier va au devant de sa dame, font un tour de
main
jusqu’à leur place. Cette figure ne se fait plus
re. Un cavalier et une dame de vis-à-vis se donnent la main droite en
main
droite, et tournent au milieu de la danse comme à
inet, et en quatre mesures. 2e. Le cavalier et la dame se quittent la
main
, vont donner la main gauche en main gauche, le ca
avalier et la dame se quittent la main, vont donner la main gauche en
main
gauche, le cavalier à sa dame et la dame à son ca
sur place en partant de gauche à gauche selon le sens que présente la
main
, et tournent jusqu’à ce que le cavalier et la dam
le cavalier et la dame qui ont fait le premier tour en se donnant la
main
droite, se rejoignent au milieu de la danse, où i
droite, se rejoignent au milieu de la danse, où ils se reprennent la
main
droite sans pour cela s’être quittés d’un autre c
nnent la main droite sans pour cela s’être quittés d’un autre côté la
main
gauche, ce qui met alors les deux cavaliers et le
mesures. 4e. Le cavalier et la dame qui sont au milieu se quittent la
main
droite, et chaque cavalier avec sa dame se tienne
n droite, et chaque cavalier avec sa dame se tiennent toujours par la
main
gauche, et tournent comme au n°. 2, ci-dessus, ma
traversez à vos places. 6e. Balancez à vos dames. 7e. Un tour de deux
mains
. 8e. Chassez croisés tous les huit ou plus, c’est
a dame, qui se trouve alors à sa droite, se donnent la main droite en
main
droite, et font un tour entier sur place en parta
ur place en partant de droite à droite, selon le sens que présente la
main
, et se retrouvent alors comme quand ils se sont p
’étant rejoints après le tour précédent, se donnent la main gauche en
main
gauche, sans, pour cela, quitter la main droite d
se donnent la main gauche en main gauche, sans, pour cela, quitter la
main
droite de l’autre côté, et font un balancé tous e
multiplié. 11e. Chaque cavalier et chaque dame se tenant toujours la
main
gauche et quittant de l’autre côté la main droite
dame se tenant toujours la main gauche et quittant de l’autre côté la
main
droite, font un tour sur place en partant de gauc
ur place en partant de gauche à gauche, selon le sens que présente la
main
, et, se remettant chacun à leur place, on continu
grâces.) 1er. Un cavalier et sa dame se donnent la main droite en
main
droite, le cavalier en même tems donne la main ga
oite en main droite, le cavalier en même tems donne la main gauche en
main
gauche à la dame qui figure à sa gauche, et les d
la dame qui figure à sa gauche, et les deux dames se donnent l’autre
main
derrière le cavalier et à la taille, et vont tous
nt pour passer dessous les bras des dames, lesquelles se tiennent les
mains
; le cavalier en se relevant de suite, fait passe
. Le cavalier et les deux dames font un tour de rond en se tenant les
mains
, puis un second tour de rond dans l’autre sens, e
la suite de ce Chapitre. 84. Premiere Figure. Maniere de tenire la
Main
[Légende intérieure] Pas de menuet en remontant
itte vous faites chacun deux pas de menuet en avant en vous tenant la
main
Comme vous le voyez écrit ci dessous [en bas, ver
u’il est figuré par 1. ce qui vous rapproche, & vous présentez la
main
en dessous à la Demoiselle, comme il est représen
n en dessous à la Demoiselle, comme il est représenté par 2. ces deux
mains
démontrant que celle du Cavalier doit être en des
e vers le haut] L’homme un pas en arriere / Un de Coté en quittant la
main
/ deux en avant Un en arriere qui vous mets en pr
a demoiselle fait trois pas de menuet en avant et au second quitte la
main
/ Un pas en arriere qui vous mets en presence Pa
vous ; mais à la fin de votre pas de Menuet de côté, vous quittez la
main
& vous faites un pas de Menuet en avant, &
d’un coin de la Salle à l’autre, en vous regardant, vous presenter la
main
droite en allant en avant. 88. Figure pour pres
ter la main droite en allant en avant. 88. Figure pour presenter la
main
droite [Légende intérieure] [du centre vers la d
eure] [du centre vers la droite] figure de la demoiselle en tenant la
main
droite et faisant le tour entier et quite la main
iselle en tenant la main droite et faisant le tour entier et quite la
main
........... [du centre vers la gauche] figure de l
s la gauche] figure de l’homme en faisant le tour entier en tenant la
main
et la quite en tournant...... Et pour vous le fa
evenant du côté gauche) le bras droit à la hauteur de la poitrine, la
main
en dessous, de même qu’il est representé par ces
haut, ce qui est accompagné d’une legere inclination en presentant la
main
, & toûjours vous regardant en faisant un tour
e intérieure] [du centre vers le haut] figure de l’homme en tenant la
main
gauche et faisant le tour entier en quittant la m
mme en tenant la main gauche et faisant le tour entier en quittant la
main
(4) un pas de menuet de coté [du centre vers le b
de coté [du centre vers le bas] figure de la demoiselle en tenant la
main
gauche en faisant le tour entier et quité la main
iselle en tenant la main gauche en faisant le tour entier et quité la
main
; (4) un pas de menuet de coté Ayant quitté la m
tier et quité la main ; (4) un pas de menuet de coté Ayant quitté la
main
droite, il faut aller en avant, en faisant un dem
en avant, en faisant un demi tours. Pour presenter la seconde fois la
main
qui est la gauche, en observant le même ceremonia
, en observant le même ceremonial que vous avez fait en presentant la
main
droite, ce qui est démontré par cette Figure. Et
, ce qui est démontré par cette Figure. Et quand vous vous quittez la
main
gauche, il faut faire un pas de Menuet du côté dr
ontinuez trois ou quatre tours ; ensuite vous vous presentez les deux
mains
en levant vos deux bras à la hauteur de la poitri
de la poitrine, & le corps même se plie. 90. En presentant les
mains
à la Demoiselle, dans le même goût que j’ai tâché
é d’exprimer dans ces deux Figures, & lorsque vous tenez les deux
mains
, vous faites un tour ou deux, mais l’homme fait u
e Menuet en arriere, en amenant à lui la Demoiselle dont il quitte la
main
gauche seulement, pour en ôter du même tems son c
poignet 4 de bas en haut [+ de part et d’autre] Rond du poignet 2 la
main
en desous 1 la main en haut Ce qui se voit par c
haut [+ de part et d’autre] Rond du poignet 2 la main en desous 1 la
main
en haut Ce qui se voit par cette premiere démons
Ce qui se voit par cette premiere démonstrative 1. qui represente la
main
en haut, & par 2. la main en dessous, c’est c
iere démonstrative 1. qui represente la main en haut, & par 2. la
main
en dessous, c’est ce qui fait le contraire de l’u
bas, il faut laisser plier le poignet en dedans faisant un rond de la
main
, qui de ce même mouvement se remet dans la premie
roit cassé. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, la
main
étant en dessous, comme il est répresenté par 2.
par 2. il faut laisser plier le poignet, 4. puis laisser retourner la
main
en haut faisant un demi-tour, comme vous le trace
e vous le tracent ces mots rond du poignet, & par ce mouvement la
main
se trouve à la premiere representation des bras d
ur de l’épaule, comme le represente cette premiere Figure 1. ayant la
main
ouverte 2. puis plier le coude pour prendre votre
coude étant plié comme vous le voyez par la deuxiéme Figure, & la
main
ouverte comme vous l’avez vu par la premiere ; il
ment leve le chapeau, & les quatre doigts le maintiennent dans la
main
; mais le bras se haussant un peu plus, leve tout
sçavoir lever le bras à côté de soi en pliant le coude, approcher la
main
de la tête & prendre le chapeau, le lever de
oude, mettez le chapeau dessus la tête en appuyant de même tems votre
main
contre le retroussi pour l’enfoncer, sans vous re
l’enfoncer, sans vous reprendre à deux fois, & non pas appuyer la
main
sur le milieu de la forme, ce qui n’est pas séant
t faire aucune démonstration pour le recevoir, c’est le bras & la
main
qui le doivent poser. On ne doit pas non plus tro
de ne le point prendre par la forme, & d’avancer le bras & la
main
trop en devant, ce qui cache le visage, ni même d
bord sur le front un peu au-dessus des sourcils, & en appuyant la
main
moderément contre le retroussi, elle ne le fait e
sçavoir faire une reverence de bon air. 61. Cavallier presentant la
Main
pour Danser Je me trouve engagé en quelque mani
a parlé cy-devant, je dirai seulement qu’il faut le prendre icy de la
main
gauche avec les mêmes précautions que celles que
avec les mêmes précautions que celles que j’ay dit pour l’ôter de la
main
droite ; le corps étant posé sur le pied gauche 1
le pied gauche 1. le pied droit devant 2. vous ôtez le chapeau de la
main
gauche en laissant tomber le bras gauche à côté d
t, de même qu’il est démontré 3. & vous présentez en même tems la
main
droite 4. à la Demoiselle en la regardant. Cette
de l’autre sur une même ligne, le Cavalier tient la Demoiselle par la
main
; la main de l’homme en dessous 5. & celle de
sur une même ligne, le Cavalier tient la Demoiselle par la main ; la
main
de l’homme en dessous 5. & celle de la Demois
s jupes avec le pouce 7. parce que le bras étant tourné en dehors, la
main
paroît enveloppée dans les jupes. De cette attitu
dit cy-devant ; mais en faisant cette reverence on ne quitte point la
main
de la Demoiselle, & pour en faire sentir tous
relevant le corps se pose sur le pied gauche ; & vous quittez la
main
de la Demoiselle : en glissant le pied droit deva
placez à côté du corps comme cette premiere Figure le represente, les
mains
ni ouvertes ni fermées : car si le pouce se joign
l’habit, en prenant votre premier demi-coupé du pied droit, & les
mains
en dedans de même que le represente cette seconde
econd mouvement du pied gauche, le coude se plie un peu en levant les
mains
imperceptiblement, de même que le represente cett
t point faire de bras dans le Menuet, que lorsqu’elles presentent les
mains
il suffit qu’au premier balancé elles effacent l’
le pouce & le doigt suivant les bras étendus à côté du corps, les
mains
en dehors, & sans étaler ses jupes ni les ten
s pas de côté, que ceux en passant en avant ; & en presentant les
mains
, comme aussi les agrémens dont j’ai parlé sont po
aire, afin que l’on puisse les mettre en pratique, soit en donnant la
main
, ou dans d’autres endroits. Ainsi pour faire cet
font un effet tout des plus gracieux : par exemple, en presentant la
main
lorsque vous avez fini votre pas de Menuet en rev
bras droit, comme je l’ai déja dit, dans la maniere de presenter les
mains
dans ce même tems à la place d’un pas de Menuet e
t & la fausse à la fin ; cette cadence se marque en frapant de la
main
droite dans la gauche, & vous levez la main à
rque en frapant de la main droite dans la gauche, & vous levez la
main
à la seconde ou fausse cadence, ce qui continuë p
uë par ces deux tems égaux. Mais le pied fait tout le contraire de la
main
, puisque dans le tems que vous relevez sur la poi
une phrase française que je devais dire lorsque Dumas me tendrait la
main
: « Je suis très contente de serrer votre main. »
e Dumas me tendrait la main : « Je suis très contente de serrer votre
main
. » Et, comme de raison, lorsque le moment fut arr
la malheureuse phrase tout de travers. Au lieu de prendre une de ses
mains
, je m’emparai des deux et proclamai avec emphase,
ase, et en appuyant sur chaque mot : « Je suis très contente de votre
main
serrée. » Je ne compris pas sa réponse, mais mon
nse, mais mon ami par la suite me dit que Dumas avait répliqué : — Ma
main
n’est pas serrée, mais je sais ce que vous voulez
nd de ses yeux brillait un éclair de profonde bonté intelligente. Ses
mains
, aux gestes sobres et larges, étaient très belles
mais jamais encore pour une femme : Dumas riait encore et il baisa ma
main
, ce dont je me souviens aussi. Une autre fois nou
e leva pour prendre congé. Dumas le prit par le bras et me tendant sa
main
libre. — Indiscret ! Certainement non ! Tous mes
ente. L’ombre après l’avoir menacée d’un poignard qu’elle tient en sa
main
, la secoue, la réveille et disparaît. La Reine se
Alors en levant les yeux, elle est frappée d’un nouveau prodige : une
main
trace devant elle sur les murs de son Cabinet ce
Elle voudrait leur dire ce qu’elle a vu ; elle marque la place où la
main
avait écrit, mais tout a disparu ; son accablemen
s sort ensuite du tombeau comme égaré ; le poignard qu’il tient en sa
main
est ensanglanté. Des gémissements qui partent du
de son sang, la suppliant de lui donner la mort. Le fer échappe de la
main
de Sémiramis. Elle reconnaît son fils, l’embrasse
le dessinateur. [4] La saignée 48 doit être au niveau du creux de la
main
. Soutenez les poignets et ne les pliez pas trop c
à savoir les placer le plus gracieusement possible. Position de la
main
dans différentes attitudes et dans les arabesques
as, il faut laisser plier le poignet en dedans, faisant un rond de la
main
, qui de ce même mouvement se remet dans la premiè
il faut plier le poignet en l’arrondissant, puis laisser retourner la
main
en haut, faisant un demi-tour, et par ce mouvemen
tourner la main en haut, faisant un demi-tour, et par ce mouvement la
main
se trouve à la première position des bras. Le cou
es coudes. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, les
mains
se trouvant en dessous, il faut plier les poignet
vre à des danses : elles sont interrompues par Renaud qui présente la
main
à Alphonse, comme un gage sacré de la promesse qu
lle, pour lui ordonner de confirmer le don qu’il vient de faire de sa
main
; mais au moment qu’Alphonse se dispose à recevoi
ation et de colère. Il oublie le poids de ses ans, il met l’épée à la
main
, et s’élance sur son ennemi, pour laver dans son
rieuse, que sa juste vengeance et sa victoire le rendront digne de la
main
d’Adèle. Raymond délie le fier Alphonse ; il lui
nt son âme à des sentimens héroïques, elle remet sa défense entre les
mains
de Raymond, et semble ne plus douter de la victoi
e la mort. Les deux chevaliers armés de pied en cap, et la hache à la
main
, s’élancent l’un sur l’autre avec rapidité. Après
nt loin d’eux leurs haches et leurs boucliers, et mettent l’épée à la
main
. Raymond reçoit un coup furieux sur son casque ;
auoir dit en quelque lieu) qu’il se garde bien de se mettre entre les
mains
d’vn ignorant, ny mesme s’il est possible, de cel
’en donne. DE LA REVERENCE. Apres auoir tiré le chapeau de la
main
droite qu’il portera negligemment, non sur la cui
sse comme on souloit faire, ains deuant le busque du pourpoint sur la
main
gauche pour laisser l’autre libre, regardant d’vn
qui n’aye iamais apris à danser sera fort bon de le faire apuyer des
mains
contre vne table, pour luy donner plus de facilit
ERENCE, AVANT COMMENCER VNE COVRANTE. Ayant tiré le chapeau de la
main
gauche deuant la compagnie & iceluy porté neg
utre pied, puis baissant vn peu la teste auec le corps faut baiser la
main
pour prendre celle de la femme, & se couurant
le susdit, qui doit estre accompagné d’vne feinte, de tourner sur la
main
droicte en pliant le genoüil qui se trouue du mes
pointe du pied droict, que le corps tout d’vne piece penchant vers la
main
droicte doit suiure lentement, & en mesme tem
à leur naturel, faut en pliant le genoüil porter esgalement les deux
mains
vers le busque du pourpoint, sans plier le poigne
leuant la pointe du pied droict, le desgager doucement, en baisant la
main
pour prendre celle de la femme, & se couurant
nsi continuer ces mesmes pas face à face de ceux du bransle, ayant la
main
de laquelle on meine au costé sur la ceincture, i
a derniere place, où il la faudra relascher apres auoir tourné sur la
main
gauche pour reprendre le mesme chemin, à fin que
sme pas derriere, faut les rapporter negligemment, iusqu’à ce que les
mains
sans plier le poignet viennent quasi à se ioindre
atteint la perfection y ont auec plus d’apparence commencé de longue
main
, il est grandement necessaire que ceux qui l’entr
t à s’exercer sans appuy en s’esleuant à la premiere, faut porter les
mains
iusques au busque du pourpoint, comme qui prendro
mpagnie, & baissant vn peu la teste auec le corps, pour baiser la
main
& prendre celle de la femme, il l’amenera au
comme on luy a enseigné à la Courante, puis reprenant la femme par la
main
, la conduira iusques au milieu de la salle, &
inon qu’il saluë la femme seulement : Puis prenant son chemin vers la
main
droicte en remettant son chapeau, fera trois ou q
& sans s’arrester sur ceste action, en se releuant faut baiser la
main
droicte, & la raportant à son naturel, escart
lüer vne Dame, excepté qu’il faut en se releuant apres auoir baisé la
main
, baiser aussi la Dame, puis desgager le pied gauc
s de sentir et d’exprimer. Un grand Peintre a commencé par assurer sa
main
. L’Art du Dessin l’a réglée. Il a d’abord tracé q
s retrace les Arts libéraux. Que pourrait produire de plus aimable la
main
même des Grâces ? Voilà les ressources sans nombr
seur moderne. Voyez que de jolis Teniers naissent chaque jour sous la
main
légère de Dehesse.
plus haut point de gloire de l’Art Les Rois ont toujours sous leur
main
un moyen assuré de distraire les regards de la mu
ors de l’Empire, elle fut plus d’une fois sur le point d’en venir aux
mains
, pour régler les rangs des deux Pantomimes. Augus
ition. Justes ou injustes, on ne les examina point ; on ne vit que la
main
de laquelle elles étaient parties. On s’assembla,
uple, les Sénateurs, la Noblesse ne pouvaient se lasser de bénir [la]
main
bienfaisante, qui leur rendait le plus célèbre et
la manière maladroite dont ont la leur fait sentir. Auguste n’eut la
main
sûre, vers la fin de son règne, que parce que l’h
froi ; mais la frayeur de ce Prince redouble, lorsqu’il apperçoit une
main
qui trace en caractères de feu sur le lambris de
pectacle, tombe sans sentiment sur une couchette. Le bruit cesse ; la
main
et l’ombre disparoissent ; les caractères s’effac
ses sœurs s’avancent vers l’autel ; elles posent respectueusement la
main
sur ce marbre sacré, et s’engagent solemnellement
erver les jours de leur père ; Hypermnestre ne veut point tremper ses
mains
dans le sang de Lincée, et se retire dans la ferm
Scène ii. Hypermnestre tremblante paroît tenant un poignard d’une
main
et une lampe de l’autre. Lincée, qui la cherche,
alors ses sermens et les ordres de Danaüs ; le fer lui échappe de la
main
elle se jette aux genoux de son époux, les arrose
e la mort se répand sur leurs traits ; le spectre leur montrant d’une
main
menaçante la route qu’il vient de leur frayer, le
u d’eux, pour suspendre ou détourner leurs coups ; il la saisit d’une
main
, et lève le bras pour lui plonger dans le sein le
résente son sein et elle l’invite à y plonger le fer qu’il tient à la
main
. Pyrrhus, frappé d’un courage si héroïque, et enc
s de Polixène ont faites sur son cœur ; le poignard lui échappe de la
main
, il se jette dans ses bras ; il détache ses fers,
olixène a faite sur lui, rompt le silence et lui offre son cœur et sa
main
: cette Princesse dissimule une partie de son tro
vœux, exprime que rien n’est comparable à sa félicité. Il présente la
main
à Polixène ; et il ordonne à toute sa suite de l’
ève toute entière au dessus de la tombe ; elle tient un poignard à la
main
; elle le jette à son fils, en lui ordonnant d’ég
e héros recule d’horreur ; il frémit d’un ordre aussi barbare ; et sa
main
et son cœur se refusent à l’obéissance ; Polixène
espéroit ; elle court vers son frère en se couvrant le visage de ses
mains
. L’Empereur transporté d’amour, vole à ses genoux
uleur : mais Fatnie lui montre dans l’éloignement le Sophi baisant la
main
de Zulmire, elle devient furieuse, arrache le poi
nt la main de Zulmire, elle devient furieuse, arrache le poignard des
mains
de Fatnie, et lui promet en se retirant avec elle
la pousse, pour ainsi dire, vers le crime ; Zélis approche, lève une
main
tremblante ; le Sophi se retourne ; le fer lui éc
ertit l’Empereur que tout est prêt pour la cérémonie ; il présente la
main
à Zulmire ; Usbeck offre la sienne à Zélis, ils p
Le silence succède au bruit éclatant de la musique : le Sophi pose la
main
sur le livre de la loi ; les assistants tombent à
ne manque jamais la mesure, à qui la tête ne tourne pas, et qui a les
mains
aussi blanches que s’il n’avait rien fait de sa v
le cueille la marguerite. Quelle douce et craintive émotion, comme sa
main
délicate tremble en arrachant le frêle pétale ! G
elle est là, La mère Berthe sort avec force révérences, tenant par la
main
sa fille, toute honteuse de paraître ainsi à l’im
urtivement, et avec un joli geste de chatte curieuse, elle allonge sa
main
vers la princesse, et, tartufe de coquetterie, el
égraphique merveilleusement rendue par Carlotta, elle tombe morte, la
main
sur son cœur, entre les bras de Bathilde et de Be
lis s’emparent de lui ; on le presse, on l’entoure, on se le passe de
main
en main, de bras en bras ; ses jambes fléchissent
parent de lui ; on le presse, on l’entoure, on se le passe de main en
main
, de bras en bras ; ses jambes fléchissent, la res
est bon qu’à être précipité dans le lac. En effet, toutes ces petites
mains
d’ombres poussent ce gros corps massif du haut de
, bonsoir, Hilarion ; justice est faite ! Les feuilles ont frémi, une
main
écarte les branches. Qui ose venir à pareille heu
âte prendre leur part de ce régal. « Méchantes ! s’écrie Giselle, les
mains
jointes, laissez-moi mon Loys, ne le faites pas m
e. Peine inutile ! le jeune homme, fasciné, ne retient plus que d’une
main
la croix protectrice. Myrtha force Giselle de don
son corps transparent se fond comme une vapeur. On aperçoit encore sa
main
frêle et blanche qui fait un signe d’adieu à celu
ui fait un signe d’adieu à celui qu’elle ne doit plus revoir, puis la
main
disparaît : la terre a repris sa proie pour ne pl
as non plus des figures de la plupart des contredanses, telles que la
main
, les deux mains, le moulinet, le rond, le dos-à-d
figures de la plupart des contredanses, telles que la main, les deux
mains
, le moulinet, le rond, le dos-à-dos, la poussette
de saluer pour les cavaliers. Le cavalier, pour saluer, portera la
main
au chapeau, levant le bras à côté de lui selon la
amilier, et ne pourrait être au plus que dans un cas urgent, comme la
main
dans un mauvais pas. De la manière dont une d
; elle les tiendra près d’elle, les coudes pliés, l’avant-bras et la
main
tournes devant elle, une ou les deux, selon l’usa
rsque l’on se présentera pour entrer, le cavalier se découvrira de la
main
gauche, tenant le chapeau bas selon l’étendue du
lever et baisser les bras ; et après l’avoir présenté, en baissant la
main
, on lâchera en même tems la jambe à la quatrième
présentera dans une grande assemblée, le cavalier se découvrira de la
main
gauche, tenant le chapeau bas selon l’étendue du
ontre soi, et pliés de façon que l’avant bras tourne en avant, et les
mains
posées sur soi, lesquelles on aura soin de ne poi
ent la diriger : l’ayant obtenue, on s’inclinera en lui présentant la
main
droite pour recevoir sa main gauche qu’elle doit
nue, on s’inclinera en lui présentant la main droite pour recevoir sa
main
gauche qu’elle doit présenter, lesquelles on sout
n répétera le salut comme auparavant ; et chaque cavalier recevant la
main
gauche de sa dame, suivant l’ordre, également com
niaiserie ou de la sottise, ils ne savent non plus que faire de leurs
mains
; souvent ils les portent à leur tête ou à leurs
es baisers, vous en aurez, et aussi de tendres paroles, et dans votre
main
vous aurez une main vivante, non pas une ombre. A
aurez, et aussi de tendres paroles, et dans votre main vous aurez une
main
vivante, non pas une ombre. Ainsi se parle le jeu
lier brille comme une flamme mouillée, soudain maître James quitte la
main
d’Effie, il se précipite à la suite du démon qui
e affreuse sorcière aux longs cheveux blancs, à la bouche impie, à la
main
osseuse, visage ridé et méchant, gâte quelque peu
» — On accourt ; Gurn est triomphant, James est troublé. Effie, d’une
main
tremblante, soulève le plaid qui cache sa rivale.
t les sorcières de Macbeth. Les sœurs du Destin se sont prises par la
main
, elles vont sans cesse parcourant les terres et l
reparaît cette fois, la Sylphide n’est pas seule, elle conduit par la
main
ce jeune homme dont elle a été si longtemps l’hôt
tenir. Mais notre jeune homme est résolu à tout braver, il obéit à la
main
qui le guide, où va la Sylphide, il ira ; il est
eparaît la sorcière, le génie du mal ; l’horrible vieille tient en sa
main
fiévreuse le tissu funeste auquel ont travaillé d
ient en sa main fiévreuse le tissu funeste auquel ont travaillé d’une
main
haineuse toutes les sorcières de l’Écosse, et mêm
rieux, d’un geste timide. — Plus d’une fois l’écharpe échappe à cette
main
si légère. — Ô malheur ! ô maudite soit la sorciè
ant invincible qui l’entraîne vers Enée, se détermine à lui offrir sa
main
et son trône. Un instant après elle vent entrer d
Prince Troyen, reçoit ses sermens avec transport ; elle lui promet sa
main
, son cœur et son trône. Le jeune Ascagne, ou plut
nifique ; il offre avec les présens les plus rares de ses climats, sa
main
et son cœur à la Reine de Carthage. Cette Princes
u danger de la Reine, vole à ses genoux ; il arrose de ses pleurs les
mains
de son amante, et fait de vains efforts pour la r
elle est armée ; lorsqu’une troupe de Maures, tenant des torches à la
main
, se dispersent dans le palais, et y portent parto
s’écrouler, lorsqu’Jarbe qui s’est ménagé une issue, vient offrir sa
main
et son trône à cette Reine infortunée. Didon, qui
qui déteste la vie, et qui abhorre ce Roi, refuse avec horreur et sa
main
et ses secours. Ce Prince, vivement épris, se jet
che 4. opposé au pied droit, & le bras droit 5. étendu à côté, la
main
en dehors 6. & l’écriture qui fait le demi ce
a jambe gauche étenduë comme la droite, mais son pied en l’air 4. les
mains
tournées en dehors 5. 218. Naissance de l’oposi
ignets de bas en haut : par exemple, vos deux bras ouverts, & les
mains
tournées de même qu’ils sont representez dans la
scène, une autre femme, en chapeau de ville, un cahier de notes à la
main
, très aimable aussi et précise en ses indications
n comme une amazone experte conduit un cheval rétif, de leurs petites
mains
faites pour le commandement. Puis j’avais un pla
les épaules sa jaquette, une Salomé en costume tailleur, et dont les
mains
, les mains mobiles, expressives, tendres ou menaç
s sa jaquette, une Salomé en costume tailleur, et dont les mains, les
mains
mobiles, expressives, tendres ou menaçantes, les
les mains, les mains mobiles, expressives, tendres ou menaçantes, les
mains
toutes blanches, les mains pareilles à des bouts
s, expressives, tendres ou menaçantes, les mains toutes blanches, les
mains
pareilles à des bouts d’ailes, sortaient des vête
s charmant que ces torsions de corps, ces mouvements de caresses, ces
mains
, encore une fois, ces mains de rêve s’agitant là
de corps, ces mouvements de caresses, ces mains, encore une fois, ces
mains
de rêve s’agitant là devant Hérode, superbe en so
z en arriere accompagnant bien le corps, mais pliez, & tenant ses
mains
devant soi l’une dessus l’autre avec un évantail
enant ses mains devant soi l’une dessus l’autre avec un évantail à la
main
, mais sur tout sans affectation.
peuvent calmer ses inquiétudes ; elle quitte son estrade, présente la
main
à Créon, en jettant sur Jason et Créuse qui la su
achever de triompher de ses scrupules ; il lui offre son trône et la
main
de Créuse, à condition qu’il renverra Médée. Jaso
times ; mais son bras mal-assuré refuse d’obéir. Le fer échappe de sa
main
, et la nature semble lui reprocher l’atrocité d’u
té. Créon, après avoir uni Jason à sa fille, le couronne de sa propre
main
, et le conduit au trône ; le peuple tombe aux pie
core de tout son pouvoir ; elle montre les présens qui sont entre les
mains
de ses enfans. Créuse et Jason commencent à se tr
ette fois, de poser le pied sur une barre que l’on doit tenir avec la
main
opposée au pied en exercice, puis de changer de p
ec la main opposée au pied en exercice, puis de changer de pied et de
main
au commandement : c’est ce qu’on appelle se casse
i qu’en escrime, on simule le jeu des fleurets avec l’index de chaque
main
. Elles les exécutent ensuite, — ensemble ou l’une
Les yeux au ciel, sacrebleu ! les yeux au ciel !… — Nos fers !… — Les
mains
en croix et le pied en avant !… — Rompez-les !… —
mains en croix et le pied en avant !… — Rompez-les !… — Décroisez les
mains
! Vivement ! Le pied en arrière ! Regardez tendre
durable que les statues de marbre ? Et immédiatement vous avez mis la
main
dans le macadam, et ma célébrité s’est faite. Reg
is la main dans le macadam, et ma célébrité s’est faite. Regardez vos
mains
maintenant ! Vos concitoyens ont ri : ils auraien
ras opposé, qui est le droit, & qui est plié devant vous, mais la
main
à la hauteur de l’épaule & même devant ; le b
de bas en haut, & le droit du même tems ne fait que retourner la
main
en dessus ; ce qui se fait par un petit rond du p
son pour Dalila lui fit perdre ses forces, et le fit tomber entre les
mains
de ses ennemis. (Liv. des juges, c. 16.) Enfin, o
dit-il : (Matth. c. 5, vv. 29 et 30.) Que si notre œil droit ou notre
main
droite sont pour nous une occasion de péché, nous
rracher et les jeter loin de nous. Il est évident que par l’œil et la
main
qui seroient une occasion de péché, J. C. a voulu
chose qui nous seroit aussi cher et aussi nécessaire que l’œil et la
main
droite. Il veut alors qu’on arrache cet œil, qu’o
a main droite. Il veut alors qu’on arrache cet œil, qu’on coupe cette
main
, ce qui ne pourroit se faire sans une très-grande
et le faire. Il ajoute qu’il faut jeter loin de soi cet œil et cette
main
qu’on a arrachés, parce qu’ils étoient une occasi
, tu m’as juré. » Quand il eut rendu le dernier soupir, elle garda sa
main
dans les siennes et resta assise près de lui, imm
la sienne ; elle me regarda à son tour, et tout à coup, me tendant la
main
: — Monsieur Juste Odoard ! me dit-elle d’un air
e. A présent, merci, merci de tout mon cœur ! Elle me serra encore la
main
et ajouta à voix basse : — Ne prononcez pas mon n
lecture et désirais former un peu mon esprit, il m’ôta les livres des
mains
en me disant : « Apprends que quiconque se consac
phide avec des ailes de papillon que je faisais palpiter en posant la
main
sur mon cœur. Le danseur, objet de ma tendresse d
dans le foyer, et j’allais l’y suivre quand mon père me retint d’une
main
de fer, en me disant : « Eh bien, eh bien, et la
es yeux et rencontra les miens. Il ne me parla pas, mais il ouvrit sa
main
comme cherchant la mienne que je lui donnai aussi
t. Puis il referma les yeux et se rendormit. Je ne pouvais retirer ma
main
sans le réveiller. Le jour parut et il s’éveilla
satisfaction à me voir près de lui. « Oui, répondit-il, beaucoup. Sa
main
d’enfant me réchauffe, et son bon regard qui me r
hambre du malade, presque toujours assise auprès de lui et souvent la
main
dans la sienne.
il a un chapeau il lèvera le bras droit, et prenant son chapeau de la
main
droite, il le laissera aller tendu de côté, incli
un jeune homme, il fera sa révérence de même, ôtant son chapeau de la
main
droite, et laissant tomber son bras tendu sur le
ne si belle hauteur, Se culebute, et pirouette, Sans toucher de pied,
main
, ou tête, La Terre, en aucune façon, Et qui march
a Terre, en aucune façon, Et qui marche, encore, tout de bon, Sur les
mains
, de la même sorte, Qu’un autre, sur ses pieds, se
Mais Loïe se remit sur pieds, et en entendant les rires elle leva la
main
droite et dit à très haute voix : « Chut !… Taise
l’estrade. La dame se mit à lire un petit papier qu’elle tenait à la
main
. Lorsque la dame eut achevé sa lecture, ma mère e
ent des gradins et grimper sur l’estrade en m’aidant des pieds et des
mains
. Une fois là-haut, je me retournai et regardai le
le prix de la danse ; il est accordé à la Théssalienne qui reçoit des
mains
de Déjanire un thyrse d’or, orné d’une guirlande
eux-ci se disputent la victoire ; et celui qui la remporte reçoit des
mains
d’Hercule, une peau de tigre, symbole de l’adress
foiblesse ; le héros, sensible à la gloire, hésite, balance, prend la
main
tremblante d’Jolé, qui ose à peine lever les yeux
nt, elle tombe sur un lit de gazon, et la tête appuyée sur une de ses
mains
, elle s’abandonne aux plus tristes pensées. Ses y
le bûcher, et ordonne à son fils de l’embraser ; Hilias frémit et sa
main
comme son cœur se refuse à un ordre si barbare. D
l’aimera jamais. Cet aveu irrite le bailli ; il veut se saisir de la
main
de Julie ; elle le repousse avec fierté ; il veut
’il en est aimé, que le choix du village justifie son goût, et que la
main
de la Rosière doit mettre le comble à sa félicité
l’offre à Julie ; elle l’accepte avec plaisir ; il ose lui baiser la
main
, et il se sépare d’elle pour rejoindre ses camara
voisin de la maison. Le Bailli saisit cette circonstance, il offre sa
main
pour Julie : cette proposition est rejettée avec
ans de Salency, et ceux du village voisin. Il tient une couronne à la
main
; il fait placer un trône de verdure, couronné d’
Tauride ; le Tyran, vers le quel on les conduit, les remet entre les
mains
d’Iphigénie pour être sacrifiées aux autels de Di
’instant où Thoas va donner la mort à Oreste ; le Tyran la reçoit des
mains
de Pylade ; ses troupes sont dispersées et mises
e sa famille ; un rêve affreux lui a peint Oreste immolé de sa propre
main
, Oreste, l’unique objet de ses espérances, le seu
il est déchiré par la douleur, qu’il n’a point de part au sang que sa
main
répand ; que son bras, armé par le cruel Thoas, d
fléchir. Oreste et Pylade sont enchaînés ; Thoas les remet entre les
mains
d’Iphigénie, qui se sent émue à leur aspect par u
recevoir la mort. Scène ix. Iphigénie, tenant une lettre à la
main
, paroît avec Eumène et Arbas. Cette Prêtresse à d
Oreste se met à genoux et présente sa tête au glaive dont on arme la
main
tremblante de la Prêtresse ; son bras semble se r
e se refuser à ce sanglant sacrifice ; le fer sacré lui échappe de la
main
, et ce n’est qu’après les plus violens combats en
lance a été trompée ; Pylade leur a échappé ; le Tyran tient dans ses
mains
la lettre qu’Iphigénie avoit confiée à Arbas ; il
de l’Or du Rhin ! Je ne lui reproche que quelques défaillances : les
Main
, le Ballet des Lumières, divertissement banal et
mpe et se fond dans l’obscurité de la salle. On voit enfin une énorme
main
d’ombre se saisir du groupe apeuré des danseuses
uit, quelque chose de fantastique. C’était comme un seul battement de
mains
, mais si puissant qu’aucun bruit au monde ne pouv
es princesses ? Il avait appuyé son coude au dossier de sa chaise. Sa
main
soutenait sa tête. Ses jambes étaient croisées av
n me présenta un vicomte, qui prétendait à la fois à mon cœur et à ma
main
. Est-il besoin de dire que, les yeux tout pleins
uement son regard, une fois encore, se posa sur le mien. Immobile, la
main
gauche comprimant les frémissements de mon cœur,
f dévorante, les cizeaux des inflexibles parques s’échappent de leurs
mains
; les Euménides cessent leurs persécutions, et le
que de Caron. Euridice enchantée vole vers son époux ; il lui tend la
main
sans la regarder ; elle le conjure et le presse d
refus l’offensent, elle les attribue à son indifférence, et quitte sa
main
en exprimant son dépit. Orphée l’appelle ; elle b
sa surprise lorsqu’il s’apperçoit qu’Euridice lui est rendue par les
mains
de l’Amour ; transporté de joye, il rend hommage
recs ou Latins qui, soiten Original soit en Traduction, sont dans les
mains
de tout le monde, connaissent les noms célèbres d
s signes expressifs et par des mouvements de la tête, des yeux, de la
main
, des bras et des jambes. [4] Les Pantomimes étaie
la même indifférence qu’on admire des yeux, des bouches, des nez, des
mains
artistement crayonnés. Qu’il y a loin de là à l’a
eu dangereuse à l’inquiétude naturelle des Romains. Il tenait dans sa
main
les mouvements secrets de la machine, qu’il avait
teurs échauffés de la représentation prenaient parti, en venaient aux
mains
, et un objet d’amusement, devenait une occasion c
eurs désordres n’eut rien de flétrissant, parce qu’elle partait de la
main
d’un homme injuste. Domitien traitait les Pantomi
n génie. N’importe. On prôna le premier, tandis qu’on desservait sous
main
le second : les applaudissements, qui vrais ou fa
coup de génie, crie au miracle. Les Dames les plus belles battent des
mains
. On admire, on se passionne, on s’écrie. Hylas es
peines. Quelques mois apres luy disant que i’y auois mis la derniere
main
, & mesme luy faisant voir vn discours que i’y
it iamais pour son honneur auoir tant de creance à ce qui sortoit des
mains
de ce Copiste, que d’en mespriser la veuë, pour e
ui sera d’autant plus précieux à son amant qu’il est l’ouvrage de ses
mains
. Elle lui a brodé une échappe, et elle se flatte
Cependant elle ne peut se refuser au plaisir innocent d’orner de ses
mains
, celui dont la vie lui est si précieuse. Coriace
Fulvie sensible à la gloire de son amant, le couronne de ses propres
mains
. Cet instant est marqué par la joye et par la fél
s reculent épouvantés. Horace frémit lui-même, le fer lui tombe de la
main
; une rumeur générale s’élève parmi les sénateurs
u corrompre la fidélité des gardes : on la voit tenant une lampe à la
main
, descendre en tremblant, les dégrès qui conduisen
par vingt-quatre chevaliers Romains ; autant de dames tenant à leurs
mains
des couronnes de laurier et des branches d’olivie
vers le côté ; les poignets tournés en contraste avec les coudes, les
mains
arrondies des doigts sans être serrées ; le pouce
ut des doigts, sous le pouce et l’index, la prenant à portée de leurs
mains
. Celles qui sont grandes et minces, tiendront les
er le coude que l’on développe en levant l’avant-bras, pour porter la
main
tournée en dessus en face de la poitrine, ayant s
soin de tenir les bras arrondis. Pour baisser le bras, on descend la
main
en dedans, et le bras descend continuellement à s
uand ils sont à la hauteur de la poitrine, pour baisser les bras, les
mains
rentrent en dedans et les bras descendent à leur
e le premier mouvement pour lever le bras, ensuite l’avant-bras et la
main
; pour baisser le bras, c’est la main qui descend
ras, ensuite l’avant-bras et la main ; pour baisser le bras, c’est la
main
qui descend la première, et ensuite le bras conti
ps placé selon l’ordre du maintien ; tenez-vous à quelque chose d’une
main
et sans roideur : pour soutenir le dehors et l’éq
hors, et de la fermeté, peut en même tems remplacer les battemens des
mains
pour l’exercice de l’oreille, en frappant chaque
placez le corps comme pour les autres battemens, vous soutenant d’une
main
pour soutenir le dehors, les jambes tendues et à
sent des mauvais lieux ; il faut que le cavalier tienne sa dame de la
main
droite, au-dessus de la taille ou des deux mains
tienne sa dame de la main droite, au-dessus de la taille ou des deux
mains
si elle a des difficultés pour valser ; autrement
ultés pour valser ; autrement il convient mieux que le cavalier de sa
main
gauche soutienne la main droite de sa dame. Il fa
ment il convient mieux que le cavalier de sa main gauche soutienne la
main
droite de sa dame. Il faut soutenir les bras un p
suivant les quatre mesures de ce trait. Du trait du tour de deux
mains
. Pour remplir ce trait, le cavalier et la dame
e trait, le cavalier et la dame se faisant face se donneront les deux
mains
, baissant un peu celle au centre de la danse, afi
et la dame vers la droite du cavalier ; et finissant le tour de deux
mains
, ils reprendront le sens de la danse ; ils exécut
ême tems le bras qui est de ce côté, pour se donner la main droite en
main
droite ; et faisant le second chassé du pied gauc
du pied gauche, les cavaliers tourneront sur leur droite, quittant la
main
de la dame de ce côté, pour donner la gauche à le
exécutant les trois chassés comme pour traverser, se présenteront la
main
droite, puis la gauche aux cavaliers qui auront p
ouver à la rencontre des dames, où ils se donneront la main gauche en
main
gauche, et tourneront de ce côté en reprenant le
à-vis donneront la main gauche à leurs dames, (on passe en dessous la
main
droite en main droite si l’on veut), levant les b
la main gauche à leurs dames, (on passe en dessous la main droite en
main
droite si l’on veut), levant les bras et les tena
ce de vis-à-vis opposée à la leur, où arrivant, ils se quitteront les
mains
et reprendront le sens de la danse. Ils exécutero
s côtés. Pour remplir ce trait, deux cavaliers de vis-à-vis, de la
main
droite, recevront celle gauche de leurs dames ; e
t, les cavaliers et les dames qui se font face, se donneront les deux
mains
, répétant également ce même pas : chaque cavalier
ême tems fera tourner et placer à sa droite la dame dont il tient les
mains
, ce qui mettra les quatre cavaliers et les quatre
déclarent qu’il est savant. Je crois voir un homme qui ayant dans sa
main
la clef du Temple des Muses, consume ses jours et
ns encore aujourd’hui dans ces chefs-d’oeuvre précieux, échappés à la
main
destructive des tems, et de la barbarie de l’igno
s célèbre par ses vertus que beaucoup de princes, qui, les armes à la
main
avoient boulversé le monde, fut condamné à mort p
écret de l’Aréopage ; il but tranquillement la cigüe préparée par les
mains
de la jalousie, de l’envie et du fanatisme. Mais
ne lui manquait absolument qu’une seule phalange du petit doigt de la
main
gauche, que la mère chercha avec beaucoup de soin
e table et dansèrent, la première villageoise à laquelle il tendit la
main
pour la mener à la danse reconnut avec terreur qu
ndit la main pour la mener à la danse reconnut avec terreur que cette
main
était toute moite, et froide comme la glace. À me
din se mit à marcher devant lui, une petite baguette de coudrier à la
main
, frappant par intervalle le flot qui s’ouvrait et
isse ? Giannina veut le savoir ; à elle il appartient de sonder d’une
main
caressante les plaies de ce cœur aimé ; c’est à e
oux et clairvoyant de Giannina, qui laisse échapper l’écheveau de ses
mains
brûlantes. La raison et l’usage de ses sens vont
met à tourner à rebours, l’écheveau qui s’embrouille à mesure que la
main
du fiancé en développe les fils, et l’Ondine veng
Ondines, suivre inutilement le sillage de la chaloupe, et tendre ses
mains
suppliantes vers le fiancé qui fait force de rame
ces tributaires, mais d’avoir obtenu trois fois l’immortalité par les
mains
du Titien. Toutes les deux sont occupées du soin
t fait souffrir, qu’il lui donna cent talens, & lui mit entre les
mains
son accusateur, pour en faire ce qu’il lui plairo
onné du soupçon & de l’ignorance : en cet état il tend de loin la
main
à la calomnie, qui s’avance vers lui, le visage t
vec des attraits & des charmes extraordinaires ; elle tient de la
main
gauche un flambeau, & traîne de l’autre par l
p; traîne de l’autre par les cheveux un jeune innocent, qui éléve les
mains
au Ciel pour implorer son assistance ; devant lui
nésiens. Ce Peintre mourut l’an du monde 3260. Une seule statue de la
main
d’Aristide, fut vendue 375 talens ; une autre de
ide de plusieurs tributs, pourvû qu’elle lui donnât cette Vénus de la
main
de Praxitelle, qui y attiroit toutes les années u
donner des Gardes pour sa sureté, étant ravi de pouvoir conserver la
main
qu’il avoit sauvé de l’insolence des soldats. De
comme disoit Michel Ange, doit être plutôt dans les yeux que dans les
mains
. Le Dessein suppose la science du corps humain, n
lequel nous décrit toute la Grece, & nous y conduit comme par la
main
, si son discours étoit accompagné de figures démo
cet esprit-là qu’un Peinture habile m’a dit que quand il tenoit à la
main
sa palete chargée de couleurs, qu’il la regardoit
Poésie ; qu’Aristote dit que les Arts qui se servent du secours de la
main
, sont les moins nobles : enfin que la Poésie est
de ce que dit Aristote, que les Arts qui se servent du secours de la
main
sont les moins nobles, & de ce que l’on a ajo
t en partie spirituelle & en partie matérielle ; on répond que la
main
n’est à la Peinture que ce que la parole est à la
n exprimée par la force de l’imagination de cet excellent Peintre. La
main
n’a aucune part à toutes ces choses, qu’autant qu
éloquence ne résidoit que dans les gestes, et dans le jeu varié de la
main
et des doigts, me répondirent dans leur langage ;
langage ; je ne compris rien aux mouvemens de leurs bras, et de leurs
mains
; je m’apperçus de la trivialité, et de l’insigni
s colonnes, de superbes portiques, et de belles statues échappés à la
main
destructive des barbares, et. que le tems avoit r
pare les gestes des mimes, ou plutôt les mouvemens accélérés de leurs
mains
, et de leurs bras à ceux que l’ingénieux Abbé de
eux-mêmes surviennent, et l’écolier ne réussit à s’échapper de leurs
mains
qu’en abandonnant son costume, et grâce à la prot
espèce de nain difforme, aux jambes inégales, au pied fourchu, d’une
main
s’appuyant sur des béquilles, et de l’autre agita
tte de voir tourner à son profit, car il aspire depuis longtemps à la
main
de Dorotea. Mais l’écolier, tirant celle-ci à par
arfumé. — Quand le diable se mêle d’être architecte, il n’y va pas de
main
morte ! — Les colonnes de marbre, les plaques de
agnettes font entendre leur babil sonore ; elle semble secouer de ses
mains
des grappes de rythmes. Comme elle se tord ! Comm
fleuré le sol. Quel geste charmant ! Ne diriez-vous pas qu’avec cette
main
qui rase l’éblouissant cordon de la rampe, elle r
stinée. Cependant, au moment d’entrer chez la veuve, Cléofas sent une
main
se poser sur son bras, et entend une voix qui lui
is la veuve, devinant sans doute ses intentions, présente vivement sa
main
à don Gil, — et tout le monde se rend à la foire.
lée d’étoiles blanches et frangée d’énormes falbalas, traînant par la
main
quelque marmot tout nu et jaune comme une feuille
a fiesta del sautillo. Elle est accompagnée de Paquita, et tient à la
main
le ruban, qu’elle montre avec une affectation iro
e, elle, ne s’est pas enfuie, et glisse sa bourse pleine d’or dans la
main
de Paquita, car, touchée de l’amour pur et naïf d
ment gravé dans le cœur de tous les hommes. Ils sortaient à peine des
mains
du Créateur la voûte azurée des Cieux, la lumière
ie des habitans est rangée autour de ce même autel, tenant dans leurs
mains
des massues avec les quelles ils s’exercent, tand
On apperçoit dans cette chaloupe une femme et un homme qui lèvent les
mains
vers le ciel, et qui demandent du secours. Dorval
r tomber. Enfin leurs massues leurs échappent, elles tombent de leurs
mains
. Vaincus et sans déffense ils se jettent aux geno
n examiner ; il s’élance avec fureur sur Clitandre ; il lui saisit la
main
dans l’instant qu’il baise celle d’Inès et quelle
enace, arrête le transport du jaloux, et lui fait tomber le fer de la
main
. Un geste d’Inès semble reprocher à son amant son
se tomber, ou pour mieux dire il le laisse échapper avec peine de ses
mains
. Dans cet instant il se jette sur son siège, et s
t. Inès, par un regard, assure le pardon de Fernand, qui lui baise la
main
avec transport ; et ils se retirent tous trois pé
us à l’amour que l’amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il baise la
main
de Béatrix, en prend occasion pour se venger de l
vole à son amant, le serre tendrement dans ses bras, le prend par la
main
et s’éfforce de le rappeller à la vie. Fernand ou
qu’ils ont donné à la porte, s’ils n’avoient frappé des pieds, ou des
mains
; qu’on leur demande, dis-je, comment ils trouven
e des Habitants est rangée autour de ce même Autel, tenant dans leurs
mains
des massues avec lesquelles ils s’exercent, tandi
apperçoit dans cette chaloupe une femme & un homme qui levent les
mains
vers le Ciel, & qui demandent du secours. Dor
r tomber ; enfin leurs massues leur échappent, elles tombent de leurs
mains
. Vaincus & sans défense, ils se jettent aux g
en examiner, il s’élance avec fureur sur Clitandre ; il lui saisit la
main
dans l’instant qu’il baise celle d’Inès & qu’
ace, arrête le transport du jaloux & lui fait tomber le fer de la
main
. Un geste d’Inès semble reprocher à son amant son
e tomber, ou pour mieux dire, il le laisse échapper avec peine de ses
mains
. Dans cet instant il se jette sur son siege &
ent ; Inès par un regard assure le pardon de Fernand qui lui baise la
main
avec transport ; & ils se retirent tous trois
us à l’amour que l’amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il baise la
main
à Béatrix, en prend occasion pour se venger de la
vole à son amant, le serre tendrement dans ses bras, le prend par la
main
& s’efforce de le rappeller à la vie. Fernand
t qu’ils ont donné à la porte s’ils n’avoient frappé des pieds ou des
mains
; qu’on leur demande, dis-je, comment ils trouven
de l’autre, les pointes ouuertes, & ainsi la tenant par les deux
mains
, luy faire faire quelques demarches graues &
se tournant vis à vis de ceux qu’on saluë, que si la compagnie est à
main
droicte, que ce soit du pied gauche, & si à g
finir les pieds esloignez d’enuiron demy pied, & lors portant la
main
droicte au costé sur la ceinture, il faut poursui
à celuy qui occupe la derniere place du bransle, faut tourner sur la
main
gauche, & reprendre à peu pres le chemin qu’o
amp; reprendre à peu pres le chemin qu’on aura faict en relaschant la
main
du costé, & ouurir les bras, pour mener auec
s en reculant sur la pointe des pieds, apres lesquels ayant quitté la
main
de celuy qu’on meine, faire vne reuerence en se t
oit pas souvent une danseuse agenouillée se relever sur la pointe, la
main
dans la main du danseur. Puis, quand Vladimiroff
nt une danseuse agenouillée se relever sur la pointe, la main dans la
main
du danseur. Puis, quand Vladimiroff enlève la bal
jupes, robes, ou vestes, Et leurs escarpins, mêmement, Où l’on voyait
main
ornement ; Tout éclatait de broderies, D’argent,
e je nomme, Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami, de longue
main
, (Que Dieu gard50. de toute infortune) M’y plaça
ets les remuent, les affectent et les transportent : ces battemens de
mains
prodigués au hazard ou sans ménagement, perdent s
ent affectée par ce prestige ; si les couleurs et le pinceau dans les
mains
du peintre habile, se jouent de mes sens au point
s, où le génie n’a rien à faire, et ou il ne faut que des bras et des
mains
. » Ces avis donnés et suivis, Monsieur, délivre
recevoir à l’Hôtel de Ville et de les y régaler, trouvèrent sous leur
main
l’ancienne Rubrique, et en conséquence ils délibè
Fées. Tout prospère, tout s’embellit, tout devient admirable sous la
main
vivifiante d’un homme de génie. [Voir Fêtes de la
t sa nature est légère. Ainsi, après l’avoir saisie humblement par la
main
, après s’être suspendue à ses bras, la danse trah
les remuent, les affectent & les transportent ; ces battements de
mains
prodigués au hazard ou sans ménagement perdent so
ffectée par le prestige ; si les couleurs & les pinceaux dans les
mains
du Peintre habile, se jouent de mes sens au point
les mouvements des bras, & où le génie ait moins à opérer que les
mains
. » Ces avis donnés & suivis, Monsieur, déliv
imens, il sauta, gambada, et trépigna, fit des bonds, frappa dans ses
mains
en signe d’allégresse ; ses bras s’associèrent au
aze, parut probablement après la peinture ; et l’argile soumise à une
main
industrieuse prit les formes, que l’idée, et la v
it payé trois cens mille francs ; où un grand Monarque écrivoit de sa
main
au cavalier Bernin, pour le prier de venir en fra
ébauches ; la sculpture pétrissoit l’argile, et il ne sortoit de ses
mains
que d’insipides caricatures. A cet état de langue
orsque vous entrez dans un appartement, il faut ôter le chapeau de la
main
droite, de même que je l’ai dit dans le Chapitre
e moyen du contrepoids. Le changement des autres parties se fait à la
main
. Voyez Manœuvre [Article non rédigé]. Les couliss
t de la verve d’un peintre à qui le premier dessein est donné par une
main
sûre qui a su en écarter tous les inconvénients,
après le sixième châssis : elle est partagée en deux. On pousse à la
main
chacune de ces deux parties sur deux chevrons de
spectacle. 1°. Les cordes d’un changement à l’autre sont jetées à la
main
, et troublent presque toujours la représentation.
sur ce théâtre autant qu’on croit en avoir besoin ; on les sert à la
main
, et ce service fait partie de la manœuvre. Voyez
n visage riant, la tête couverte d’un chapeau de fleurs, tenant de la
main
gauche un flambeau allumé, qu’il laisse pancher n
ssant comme enyvré de plaisirs, appuyé sur un épieu qu’il tient de la
main
droite : on voit encore dans ce Salon, dont le pa
ordonner à leurs valets de s’en emparer : ils mirent tous l’épée à la
main
, aussi-bien que leurs Maîtres ; desorte qu’ils se
se ; les Provençaux, au son d’un tambourin que le Ménétrier bat de la
main
droite, & de la gauche s’en sert pour jouer d
se, que Saint-André m’avoit montrée ; les Bourguemestres batirent des
mains
, & me firent boire razade dans un petit verre
ille : l’on en a peint la représentation dans un grand tableau, de la
main
du fameux Largilliere. J’ai passé sous silence le
les Formez par un seul acteur ; Ses attitudes parlantes, Ses pas, ses
mains
éloquentes Tracent une histoire aux yeux : Fécond
i se creuse aux reins et juste assez de gorge « pour remplir les deux
mains
d’un honnête homme » comme il se disait au xviiie
ssible de bien mesurer ; tandis qu’un Philosophe, qui, le compas à la
main
, la décrit avec ordre, en fonde les principes, dé
é et un esprit de finesse à toute épreuve. Le poignet est soutenu, la
main
étant un élément fixe d’un ensemble cohérent. Qua
t fixe d’un ensemble cohérent. Quand Isadora Duncan « affranchit » la
main
, on cria au prodige ! C’est que la majorité du pu
tre de gravité : voyez-la sortir après six mois de leçon, d’entre les
mains
d’un bon maître, les pieds en dehors, le jarret t
s, en le lisant avec attention, juger du mérite des maîtres entre les
mains
desquels ils mettront leurs élèves, et, je dis pl
p; donne plus de grace au corps,) les bras pendans à côté de soi, les
mains
ni ouvertes ni fermées, la ceinture ferme, les ja
ompagnie, Ouvrage parfait et chéri, Intitulé le FAVORI, Composé de la
main
savante De cette Personne charmante,51 Qui dans
e garde-malade pour veiller ma mère, tellement je me sentais dans les
mains
des philistins. Lorsque le train arriva à Saint-P
re quoi que ce fût, et j’avais cru que le médecin que j’avais sous la
main
pourrait aussi bien tirer ma mère d’affaire et la
Il répéta les mots « mère » et « malade » en allemand. Il étendit la
main
pour me dire de ne pas parler pendant un instant.
perfide Lycomède, accepte la proposition : le traître lui présente la
main
et traverse le pont qui unit le rivage au vaissea
dévouement. On fait avancer les troupes, elles mettent le sabre à la
main
, entourent les deux héros et jurent sur la massue
e la mer et de la forteresse de Scyros. Alceste s’est échappée des
mains
de son ravisseur ; elle est errante et ne sait de
remet une lettre de la part de ce Prince. Clytemnestre la prend d’un
main
tremblante, et de l’autre, lui fait signe de se r
ison, s’irrite, s’emporte, menace ; son bras accoutumé au meurtre, sa
main
exercée au Parricide, ne cherche que de nouvelles
andre a redoublé la haîne, paroît avec Egisthe ; elle lui offre d’une
main
sa couronne, et de l’autre un poignard avec la co
jours de son époux et ceux de la fille de Priam. Elle veut armer les
mains
d’Egisthe du fer homicide : celui-ci, quoiqu’acco
de la vengeance armé pour le punir : le fer est prêt à tomber de ses
mains
. Dans ce moment, un bruit soudain frappe ses orei
et leur suite sont couvertes de crêpes noirs, et tiennent dans leurs
mains
des branches de cyprès ; Egisthe a ses armes et s
e, et ses sœurs en larmes ; il marche à pas chancelans, il lève d’une
main
tremblante le voile qui lui dérobe les traits de
oix foible et mourante de croire que son cœur est innocent, et que sa
main
seule est criminelle. L’ombre lui répond d’une vo
76
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
syllabes pareils, qu’il accompagnait de mouvemens des pieds & des
mains
, comme s’il avait débité à son Auditoire les meil
y a rien qui flatte tant l’œil du Spectateur que l’aspect d’une jolie
main
, & la blancheur d’un bras délicat. J’apprendr
n dire vos enfans ; & ces innocentes créatures, en joignant leurs
mains
, en lui faisant de tendres caresses, toucheront s
édient n’avait aucun succès, recourez au dernier moyen ; portez votre
main
au front, en formant un angle aigu avec l’index &
qui demandoient les soins particuliers. Alors il prenoit le livre des
mains
du souffleur ; il corigeoit les acteurs en leur d
e ne suis ni assez imbécille, ni assez téméraire pour oser porter une
main
profane sur les chefs-d’oeuvre du génie, et de l’
ain, je me suis empressé de les faire disparaître, et d’enlever d’une
main
tremblante et respectueuse le peu de poussière qu
vous appercevez chez moi le petit bout de l’oreille, couvrez la de la
main
gauche, car je crains la droite. Adieu, Monsieur,
artyrs de la loi nouvelle, qui, couronnés de fleurs, et la palme à la
main
, formaient des Danses légères autour de l’autel q
de chœur, qui, le jour de Pâques, se prenaient tout bonnement par la
main
et dansaient en chantant des Hymnes de réjouissan
les jeunes Athéniennes. Elles se disputent une rose qu’il tient à la
main
. Ce badinage offre des danses légères et une foul
e de l’Amour. Ce Dieu la console ; il ramasse la fleur échappée de la
main
de Cryséïs et l’attache à son sein. Il conduit en
lles, ils gâlent tout, ils empoisonnent tout, et la beauté sous leurs
mains
crochues acquiert tous les traits repoussans de l
de se distinguer du vulgaire. Je suppose que l’on ait le chapeau à la
main
& le corps placé à la 4e Position, ainsi que
ée. Sa veuve communiqua la recette à Véron. Celui-ci l’étudia, mit la
main
… à la pâte et s’entendit avec un ancien pharmacie
de ne fut pas général. Un certain nombre de loges restèrent entre les
mains
de leurs anciens propriétaires. Il y en eut une,
roces. *** Lorsque les ministres de Louis-Philippe mirent l’Opéra aux
mains
de Véron, ils n’avaient négligé qu’un tout petit
tier a dit, sur le ton léger du paradoxe, en faveur du personnage aux
mains
robustes, soutien de la fortune indécise des aute
de romain. Grand, fort, robuste, un vrai taureau, doué d’une paire de
mains
extraordinaires, il avait été créé et mis au mond
il avait été créé et mis au monde pour être claqueur. Avec de telles
mains
, de tels battoirs, on ne reste pas longtemps simp
et César lui-même. « A l’apogée de sa fortune, il ne reniait pas ses
mains
, il en était fier ; il les montrait avec orgueil,
des autres pays. La critique littéraire et dramatique était entre les
mains
d’hommes qui savaient juger et écrire. Si la crit
pour la jouissance de citer, c’est-à-dire de transcrire, de sa propre
main
et de sa meilleure encre, des fragments d’un text
battue, et heurtée, en cadence, la terre bien frappée… les paumes des
mains
, les talons, bien frappant et battant le temps, f
rps de la danseuse, particulièrement de la tête et des pieds ou de la
main
(« cependant que la cime adorable de sa tête trac
de suivre l’arabesque accidentée et folâtre de ces trajectoires ; la
main
gauche, dans une série de pirouettes, dessine aut
, cet escamotage est couramment pratiqué ; il n’est question que de «
mains
loquaces » et de « doigts verbeux ». « Leurs main
question que de « mains loquaces » et de « doigts verbeux ». « Leurs
mains
parlent », renchérit, de même, l’exorde de Socrat
resses de ce Dieu font brûler des parfums. Les jeunes époux posent la
main
sur l’autel, et jurent en présence de toutes les
, exécuté sur un air vif et léger. La pomme passe alternativement des
mains
de Pallas dans celles de Junon, et des mains de l
asse alternativement des mains de Pallas dans celles de Junon, et des
mains
de l’Amour dans celles de sa mère. Ce Dieu fatigu
x est douce, infiniment douce. Tout est doux. Il vous reçoit les deux
mains
tendues, très simplement, avec un bon sourire. Pa
ou de compréhension ; un mot, un regard, un geste de la tête ou de la
main
. Ainsi, d’œuvre en œuvre, de pièce en pièce — car
it une « zingara », la reine des « zingaras » ? Un méchant fichu, une
main
crispée sur la hanche. Pour que Anna Johnsson dev
e lui fait comme deux ailerons noirs qui palpitent ; elle porte d’une
main
l’éventail et de l’autre le parasol. D’où vient c
cessaires à notre subsistance, et finiraient par les étouffer, si des
mains
laborieuses ne s’empressoient à les détruire à me
est des cas où ils se touchent. Eh bien ! j’en suis là : graces à la
main
pesante du temps et au poids des années, j’ai ret
née d’un thème populaire, avec ses demi-tours sautés et ces « jeux de
mains
» qui sont des « jeux de vilains » traduits dans
s ces mouvemens ; de plus le Maître en conduisant son Ecolier par les
mains
assure ce que le discours a commencé. D’autant qu
oit pas sans ces sortes d’attentions ; Je lui ai aussi répresenté les
mains
ni ouvertes ni fermées, pour que les mouvemens du
carte, je regardai le directeur. Il souriait. Je souris. Il tendit la
main
, je tendis les deux miennes. Tandis qu’il tenait
l tendit la main, je tendis les deux miennes. Tandis qu’il tenait mes
mains
, il me dit : — Vous avez ma carte, venez me voir
és. Il avait l’air si content. Il s’approcha de Sarah et mit dans ses
mains
tendues un paquet d’épreuves qu’il venait de tire
-elle ? demanda-t-il en faisant autour de son oreille un cornet de sa
main
. Bonheur ! Il était sourd ! Je lui fis signe de s
certaines : ils se conduisent par des habitudes contractées de longue
main
, ou par des caprices du moment. Ils ont donc beso
rmure brillante, animés par une symphonie guerrière, le javelot d’une
main
, le bouclier de l’autre, ils formaient ainsi des
gyptienne séductrice, quand, pour nous sauver de ses piéges et de ses
mains
, il faudroit abandonner tout et nos habits même.
es coudes. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, les
mains
se trouvant en dessous : de même que le represent
de se distinguer dans l’art qu’il enseigne. Un élève qui sortira des
mains
d’un tel maître, manquera d’abord de perfection,
s dispositions, et voulant accélérer mes progrès, me mirent entre les
mains
de cet artiste, élevé à l’école des grands maître
s se rendent compte qu’elles ont compris en marquant les pas avec les
mains
. Et telle est la force de l’expérience, l’automat
de la jambe ramenée en arrière jusqu’à la pointe des doigts de votre
main
à plat, portée en avant. Cette ligne droite grand
qui les composaient portaient des moulins à vent sur la tête, et à la
main
des soufflets, qui, agités, rendaient le siffleme
les Habitants des montagnes résonantes. Ils portaient un tambour à la
main
, une cloche pour ornement de tête, et leurs habit
plusieurs masques, et par une lanterne sourde 111 qu’il portait à la
main
. La quatrième Entrée était composée du Sommeil qu
avenir la plus belle des Bergères recevra une couronne de roses de la
main
du Berger, qui aura remporté le prix accordé à l’
pieds de Philis ; elle l’apperçoit et rougit ; le Berger lui prend la
main
, elle le repousse d’un bras mal assuré avec la fi
modestie touchante de Philis, elles la couronnent elles-mêmes de leur
main
divine. L’Amour qui applaudit au choix de Daphnis
A cet aspect, le dieu de Cythère vole aux Graces, il les prend par la
main
et les conduit à la mère. Un bois de roses naissa
el, il les représente enchaînées l’une à l’autre et se tenant par les
mains
. Les Bergers enchantés de ce nouveau prodige expr
virtuose au travail, un violoniste, un pianiste. Ne regardez que les
mains
de celui-ci. Bouchez-vous les oreilles, si vous l
-ci. Bouchez-vous les oreilles, si vous l’osez. Mais ne voyez que ces
mains
. Voyez-les agir et courir sur l’étroite scène que
les agir et courir sur l’étroite scène que leur offre le clavier. Ces
mains
ne sont-elles pas des danseuses qui, elles aussi,
e vous rappelle que vous n’entendez rien. Vous ne faites que voir ces
mains
qui vont et viennent, se fixent en un point, se c
complexité certaines restrictions à la liberté des mouvements de ces
mains
qui agissent et se multiplient sur le piano. Quoi
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