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1 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Description méthodique des figures de contredanse qui se dansent généralement ; suiviede variétés et de plusieurs autres contredanses nouvelles. » pp. 109-128
x dames s’avancent pour changer de place, et se donnent en passant la main droite en main droite ; chaque cavalier, après av
ent pour changer de place, et se donnent en passant la main droite en main droite ; chaque cavalier, après avoir donné la ma
à la dame qui lui fait face, tourne derrière elle en lui quittant la main , et va donner la main gauche en main gauche à sa
derrière elle en lui quittant la main, et va donner la main gauche en main gauche à sa dame qui passe à l’instant à la place
, le cavalier alors à la place de l’autre cavalier, et se quittent la main en arrivant. Ceci, qui n’est que la demi-chaîne,
vers l’autre et balancent durant quatre mesures. Un tour de deux mains . 3e. Chaque cavalier et sa dame, aussitôt aprè
avalier et sa dame, aussitôt après avoir balancé, se donnent les deux mains , et font un tour sur place en partant à la droite
ite l’un de l’autre jusqu’à chacun leur place, où ils se quittent les mains , le tout en quatre mesures. La chaîne des dam
ux dames de vis-à-vis changent de place et se donnent, en passant, la main droite en main droite, ensuite la main gauche en
-à-vis changent de place et se donnent, en passant, la main droite en main droite, ensuite la main gauche en main gauche à c
et se donnent, en passant, la main droite en main droite, ensuite la main gauche en main gauche à chacun des deux cavaliers
en passant, la main droite en main droite, ensuite la main gauche en main gauche à chacun des deux cavaliers qui sont resté
re la chaîne avec l’autre dame, doit partir à droite en présentant la main gauche à la dame qui arrive à la place de la sien
sur la gauche pour rentrer à sa place, où étant arrivé, il quitte la main de sa dame. Ceci, qui s’exécute durant quatre mes
artent obliquement à droite pour changer de place, et se quittent les mains en arrivant les uns à la place des autres, durant
du Pantalon au n°. 2.) 6e. Chaque cavalier et sa dame font un tour de main . (Voyez la figure du Pantalon au n°. 3.) Contre-p
alement en même tems et en quatre mesures, et font ensuite le tour de main . Figure de la (dite de la poule.) 1re. Un c
mesures. 2e. Les mêmes traversent du même côté en se donnant alors la main gauche qu’ils ne se quittent pas, et restent de c
nse, en quatre mesures. 3e. Le cavalier et la dame qui se tiennent la main gauche, donnent la main droite en main droite, l’
et la dame qui se tiennent la main gauche, donnent la main droite en main droite, l’un à sa dame et l’autre à son cavalier,
t en avant et en arrière deux fois ; à la seconde, ils se quittent la main , la dame va se placer à la gauche du cavalier de
gure du Pantalon.) 4e. Chacun des deux cavaliers fait un tour de deux mains avec sa dame. (Voyez la figure du Pantalon.) Cont
es deux dames qui sont placées à ses côtés s’avancent, se donnent les mains pour faire un demi-tour de rond jusqu’à la place
dame. (Voyez la figure du Pantalon.) 8e. Ils font ensuite un tour de main . 9e. Les deux dames font la chaîne. 10e. La demi-
inet au lieu de la chaîne des dames, alors elles se donnent toutes la main droite, et tournent au milieu de la danse durant
au milieu de la danse durant quatre mesures, puis elle se quittent la main droite, et se reprennent la gauche et font un sec
inet alors dans le sens opposé. Ensuite les dames, sans se quitter la main gauche, donnent chacune la main droite à leur cav
Ensuite les dames, sans se quitter la main gauche, donnent chacune la main droite à leur cavalier et balancent tous en même
en quatre mesures. Après, chaque cavalier et sa dame font un tour de main en reprenant leur place. On faisait autrefois le
rrière, puis chaque cavalier va au devant de sa dame, font un tour de main jusqu’à leur place. Cette figure ne se fait plus
re. Un cavalier et une dame de vis-à-vis se donnent la main droite en main droite, et tournent au milieu de la danse comme à
inet, et en quatre mesures. 2e. Le cavalier et la dame se quittent la main , vont donner la main gauche en main gauche, le ca
avalier et la dame se quittent la main, vont donner la main gauche en main gauche, le cavalier à sa dame et la dame à son ca
sur place en partant de gauche à gauche selon le sens que présente la main , et tournent jusqu’à ce que le cavalier et la dam
le cavalier et la dame qui ont fait le premier tour en se donnant la main droite, se rejoignent au milieu de la danse, où i
droite, se rejoignent au milieu de la danse, où ils se reprennent la main droite sans pour cela s’être quittés d’un autre c
nnent la main droite sans pour cela s’être quittés d’un autre côté la main gauche, ce qui met alors les deux cavaliers et le
mesures. 4e. Le cavalier et la dame qui sont au milieu se quittent la main droite, et chaque cavalier avec sa dame se tienne
n droite, et chaque cavalier avec sa dame se tiennent toujours par la main gauche, et tournent comme au n°. 2, ci-dessus, ma
traversez à vos places. 6e. Balancez à vos dames. 7e. Un tour de deux mains . 8e. Chassez croisés tous les huit ou plus, c’est
a dame, qui se trouve alors à sa droite, se donnent la main droite en main droite, et font un tour entier sur place en parta
ur place en partant de droite à droite, selon le sens que présente la main , et se retrouvent alors comme quand ils se sont p
’étant rejoints après le tour précédent, se donnent la main gauche en main gauche, sans, pour cela, quitter la main droite d
se donnent la main gauche en main gauche, sans, pour cela, quitter la main droite de l’autre côté, et font un balancé tous e
multiplié. 11e. Chaque cavalier et chaque dame se tenant toujours la main gauche et quittant de l’autre côté la main droite
dame se tenant toujours la main gauche et quittant de l’autre côté la main droite, font un tour sur place en partant de gauc
ur place en partant de gauche à gauche, selon le sens que présente la main , et, se remettant chacun à leur place, on continu
grâces.) 1er. Un cavalier et sa dame se donnent la main droite en main droite, le cavalier en même tems donne la main ga
oite en main droite, le cavalier en même tems donne la main gauche en main gauche à la dame qui figure à sa gauche, et les d
la dame qui figure à sa gauche, et les deux dames se donnent l’autre main derrière le cavalier et à la taille, et vont tous
nt pour passer dessous les bras des dames, lesquelles se tiennent les mains  ; le cavalier en se relevant de suite, fait passe
. Le cavalier et les deux dames font un tour de rond en se tenant les mains , puis un second tour de rond dans l’autre sens, e
2 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXII. Du Menuet, & de la maniere de le danser régulierement. » pp. 84-91
la suite de ce Chapitre. 84. Premiere Figure. Maniere de tenire la Main [Légende intérieure] Pas de menuet en remontant
itte vous faites chacun deux pas de menuet en avant en vous tenant la main Comme vous le voyez écrit ci dessous [en bas, ver
u’il est figuré par 1. ce qui vous rapproche, & vous présentez la main en dessous à la Demoiselle, comme il est représen
n en dessous à la Demoiselle, comme il est représenté par 2. ces deux mains démontrant que celle du Cavalier doit être en des
e vers le haut] L’homme un pas en arriere / Un de Coté en quittant la main / deux en avant Un en arriere qui vous mets en pr
a demoiselle fait trois pas de menuet en avant et au second quitte la main / Un pas en arriere qui vous mets en presence Pa
vous ; mais à la fin de votre pas de Menuet de côté, vous quittez la main & vous faites un pas de Menuet en avant, &
d’un coin de la Salle à l’autre, en vous regardant, vous presenter la main droite en allant en avant. 88. Figure pour pres
ter la main droite en allant en avant. 88. Figure pour presenter la main droite [Légende intérieure] [du centre vers la d
eure] [du centre vers la droite] figure de la demoiselle en tenant la main droite et faisant le tour entier et quite la main
iselle en tenant la main droite et faisant le tour entier et quite la main ........... [du centre vers la gauche] figure de l
s la gauche] figure de l’homme en faisant le tour entier en tenant la main et la quite en tournant...... Et pour vous le fa
evenant du côté gauche) le bras droit à la hauteur de la poitrine, la main en dessous, de même qu’il est representé par ces
haut, ce qui est accompagné d’une legere inclination en presentant la main , & toûjours vous regardant en faisant un tour
e intérieure] [du centre vers le haut] figure de l’homme en tenant la main gauche et faisant le tour entier en quittant la m
mme en tenant la main gauche et faisant le tour entier en quittant la main (4) un pas de menuet de coté [du centre vers le b
de coté [du centre vers le bas] figure de la demoiselle en tenant la main gauche en faisant le tour entier et quité la main
iselle en tenant la main gauche en faisant le tour entier et quité la main ; (4) un pas de menuet de coté Ayant quitté la m
tier et quité la main ; (4) un pas de menuet de coté Ayant quitté la main droite, il faut aller en avant, en faisant un dem
en avant, en faisant un demi tours. Pour presenter la seconde fois la main qui est la gauche, en observant le même ceremonia
, en observant le même ceremonial que vous avez fait en presentant la main droite, ce qui est démontré par cette Figure. Et
, ce qui est démontré par cette Figure. Et quand vous vous quittez la main gauche, il faut faire un pas de Menuet du côté dr
ontinuez trois ou quatre tours ; ensuite vous vous presentez les deux mains en levant vos deux bras à la hauteur de la poitri
de la poitrine, & le corps même se plie. 90. En presentant les mains à la Demoiselle, dans le même goût que j’ai tâché
é d’exprimer dans ces deux Figures, & lorsque vous tenez les deux mains , vous faites un tour ou deux, mais l’homme fait u
e Menuet en arriere, en amenant à lui la Demoiselle dont il quitte la main gauche seulement, pour en ôter du même tems son c
3 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre IV. De la maniere de prendre des mouvemens du poignet. » pp. 203-205
poignet 4 de bas en haut [+ de part et d’autre] Rond du poignet 2 la main en desous 1 la main en haut Ce qui se voit par c
haut [+ de part et d’autre] Rond du poignet 2 la main en desous 1 la main en haut Ce qui se voit par cette premiere démons
Ce qui se voit par cette premiere démonstrative 1. qui represente la main en haut, & par 2. la main en dessous, c’est c
iere démonstrative 1. qui represente la main en haut, & par 2. la main en dessous, c’est ce qui fait le contraire de l’u
bas, il faut laisser plier le poignet en dedans faisant un rond de la main , qui de ce même mouvement se remet dans la premie
roit cassé. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, la main étant en dessous, comme il est répresenté par 2.
par 2. il faut laisser plier le poignet, 4. puis laisser retourner la main en haut faisant un demi-tour, comme vous le trace
e vous le tracent ces mots rond du poignet, & par ce mouvement la main se trouve à la premiere representation des bras d
4 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre X. De la maniere d’ôter son chapeau, & de le remettre. » pp. 24-28
ur de l’épaule, comme le represente cette premiere Figure 1. ayant la main ouverte 2. puis plier le coude pour prendre votre
coude étant plié comme vous le voyez par la deuxiéme Figure, & la main ouverte comme vous l’avez vu par la premiere ; il
ment leve le chapeau, & les quatre doigts le maintiennent dans la main  ; mais le bras se haussant un peu plus, leve tout
sçavoir lever le bras à côté de soi en pliant le coude, approcher la main de la tête & prendre le chapeau, le lever de
oude, mettez le chapeau dessus la tête en appuyant de même tems votre main contre le retroussi pour l’enfoncer, sans vous re
l’enfoncer, sans vous reprendre à deux fois, & non pas appuyer la main sur le milieu de la forme, ce qui n’est pas séant
t faire aucune démonstration pour le recevoir, c’est le bras & la main qui le doivent poser. On ne doit pas non plus tro
de ne le point prendre par la forme, & d’avancer le bras & la main trop en devant, ce qui cache le visage, ni même d
bord sur le front un peu au-dessus des sourcils, & en appuyant la main moderément contre le retroussi, elle ne le fait e
5 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVIII. De la maniere de faire les Reverences avant de danser. » pp. 60-66
sçavoir faire une reverence de bon air. 61. Cavallier presentant la Main pour Danser Je me trouve engagé en quelque mani
a parlé cy-devant, je dirai seulement qu’il faut le prendre icy de la main gauche avec les mêmes précautions que celles que
avec les mêmes précautions que celles que j’ay dit pour l’ôter de la main droite ; le corps étant posé sur le pied gauche 1
le pied gauche 1. le pied droit devant 2. vous ôtez le chapeau de la main gauche en laissant tomber le bras gauche à côté d
t, de même qu’il est démontré 3. & vous présentez en même tems la main droite 4. à la Demoiselle en la regardant. Cette
de l’autre sur une même ligne, le Cavalier tient la Demoiselle par la main  ; la main de l’homme en dessous 5. & celle de
sur une même ligne, le Cavalier tient la Demoiselle par la main ; la main de l’homme en dessous 5. & celle de la Demois
s jupes avec le pouce 7. parce que le bras étant tourné en dehors, la main paroît enveloppée dans les jupes. De cette attitu
dit cy-devant ; mais en faisant cette reverence on ne quitte point la main de la Demoiselle, & pour en faire sentir tous
relevant le corps se pose sur le pied gauche ; & vous quittez la main de la Demoiselle : en glissant le pied droit deva
6 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIV. De la maniere de faire les bras du Menuet. » pp. 99-103
placez à côté du corps comme cette premiere Figure le represente, les mains ni ouvertes ni fermées : car si le pouce se joign
l’habit, en prenant votre premier demi-coupé du pied droit, & les mains en dedans de même que le represente cette seconde
econd mouvement du pied gauche, le coude se plie un peu en levant les mains imperceptiblement, de même que le represente cett
t point faire de bras dans le Menuet, que lorsqu’elles presentent les mains il suffit qu’au premier balancé elles effacent l’
le pouce & le doigt suivant les bras étendus à côté du corps, les mains en dehors, & sans étaler ses jupes ni les ten
s pas de côté, que ceux en passant en avant ; & en presentant les mains , comme aussi les agrémens dont j’ai parlé sont po
7 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIII. Des agrémens que l’on peut faire dans le Menuet, & l’attention qu’il faut avoir pour le figurer également. » pp. 92-98
aire, afin que l’on puisse les mettre en pratique, soit en donnant la main , ou dans d’autres endroits. Ainsi pour faire cet
font un effet tout des plus gracieux : par exemple, en presentant la main lorsque vous avez fini votre pas de Menuet en rev
bras droit, comme je l’ai déja dit, dans la maniere de presenter les mains dans ce même tems à la place d’un pas de Menuet e
t & la fausse à la fin ; cette cadence se marque en frapant de la main droite dans la gauche, & vous levez la main à
rque en frapant de la main droite dans la gauche, & vous levez la main à la seconde ou fausse cadence, ce qui continuë p
uë par ces deux tems égaux. Mais le pied fait tout le contraire de la main , puisque dans le tems que vous relevez sur la poi
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
une phrase française que je devais dire lorsque Dumas me tendrait la main  : « Je suis très contente de serrer votre main. »
e Dumas me tendrait la main : « Je suis très contente de serrer votre main . » Et, comme de raison, lorsque le moment fut arr
la malheureuse phrase tout de travers. Au lieu de prendre une de ses mains , je m’emparai des deux et proclamai avec emphase,
ase, et en appuyant sur chaque mot : « Je suis très contente de votre main serrée. » Je ne compris pas sa réponse, mais mon
nse, mais mon ami par la suite me dit que Dumas avait répliqué : — Ma main n’est pas serrée, mais je sais ce que vous voulez
nd de ses yeux brillait un éclair de profonde bonté intelligente. Ses mains , aux gestes sobres et larges, étaient très belles
mais jamais encore pour une femme : Dumas riait encore et il baisa ma main , ce dont je me souviens aussi. Une autre fois nou
e leva pour prendre congé. Dumas le prit par le bras et me tendant sa main libre. — Indiscret ! Certainement non ! Tous mes
9 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
ente. L’ombre après l’avoir menacée d’un poignard qu’elle tient en sa main , la secoue, la réveille et disparaît. La Reine se
Alors en levant les yeux, elle est frappée d’un nouveau prodige : une main trace devant elle sur les murs de son Cabinet ce
Elle voudrait leur dire ce qu’elle a vu ; elle marque la place où la main avait écrit, mais tout a disparu ; son accablemen
s sort ensuite du tombeau comme égaré ; le poignard qu’il tient en sa main est ensanglanté. Des gémissements qui partent du
de son sang, la suppliant de lui donner la mort. Le fer échappe de la main de Sémiramis. Elle reconnaît son fils, l’embrasse
10 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63
le dessinateur. [4] La saignée 48 doit être au niveau du creux de la main . Soutenez les poignets et ne les pliez pas trop c
à savoir les placer le plus gracieusement possible. Position de la main dans différentes attitudes et dans les arabesques
as, il faut laisser plier le poignet en dedans, faisant un rond de la main , qui de ce même mouvement se remet dans la premiè
il faut plier le poignet en l’arrondissant, puis laisser retourner la main en haut, faisant un demi-tour, et par ce mouvemen
tourner la main en haut, faisant un demi-tour, et par ce mouvement la main se trouve à la première position des bras. Le cou
es coudes. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, les mains se trouvant en dessous, il faut plier les poignet
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
vre à des danses : elles sont interrompues par Renaud qui présente la main à Alphonse, comme un gage sacré de la promesse qu
lle, pour lui ordonner de confirmer le don qu’il vient de faire de sa main  ; mais au moment qu’Alphonse se dispose à recevoi
ation et de colère. Il oublie le poids de ses ans, il met l’épée à la main , et s’élance sur son ennemi, pour laver dans son
rieuse, que sa juste vengeance et sa victoire le rendront digne de la main d’Adèle. Raymond délie le fier Alphonse ; il lui
nt son âme à des sentimens héroïques, elle remet sa défense entre les mains de Raymond, et semble ne plus douter de la victoi
e la mort. Les deux chevaliers armés de pied en cap, et la hache à la main , s’élancent l’un sur l’autre avec rapidité. Après
nt loin d’eux leurs haches et leurs boucliers, et mettent l’épée à la main . Raymond reçoit un coup furieux sur son casque ;
12 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51
auoir dit en quelque lieu) qu’il se garde bien de se mettre entre les mains d’vn ignorant, ny mesme s’il est possible, de cel
’en donne. DE LA REVERENCE. Apres auoir tiré le chapeau de la main droite qu’il portera negligemment, non sur la cui
sse comme on souloit faire, ains deuant le busque du pourpoint sur la main gauche pour laisser l’autre libre, regardant d’vn
qui n’aye iamais apris à danser sera fort bon de le faire apuyer des mains contre vne table, pour luy donner plus de facilit
ERENCE, AVANT COMMENCER VNE COVRANTE. Ayant tiré le chapeau de la main gauche deuant la compagnie & iceluy porté neg
utre pied, puis baissant vn peu la teste auec le corps faut baiser la main pour prendre celle de la femme, & se couurant
le susdit, qui doit estre accompagné d’vne feinte, de tourner sur la main droicte en pliant le genoüil qui se trouue du mes
pointe du pied droict, que le corps tout d’vne piece penchant vers la main droicte doit suiure lentement, & en mesme tem
à leur naturel, faut en pliant le genoüil porter esgalement les deux mains vers le busque du pourpoint, sans plier le poigne
leuant la pointe du pied droict, le desgager doucement, en baisant la main pour prendre celle de la femme, & se couurant
nsi continuer ces mesmes pas face à face de ceux du bransle, ayant la main de laquelle on meine au costé sur la ceincture, i
a derniere place, où il la faudra relascher apres auoir tourné sur la main gauche pour reprendre le mesme chemin, à fin que
sme pas derriere, faut les rapporter negligemment, iusqu’à ce que les mains sans plier le poignet viennent quasi à se ioindre
atteint la perfection y ont auec plus d’apparence commencé de longue main , il est grandement necessaire que ceux qui l’entr
t à s’exercer sans appuy en s’esleuant à la premiere, faut porter les mains iusques au busque du pourpoint, comme qui prendro
mpagnie, & baissant vn peu la teste auec le corps, pour baiser la main & prendre celle de la femme, il l’amenera au
comme on luy a enseigné à la Courante, puis reprenant la femme par la main , la conduira iusques au milieu de la salle, &
inon qu’il saluë la femme seulement : Puis prenant son chemin vers la main droicte en remettant son chapeau, fera trois ou q
& sans s’arrester sur ceste action, en se releuant faut baiser la main droicte, & la raportant à son naturel, escart
lüer vne Dame, excepté qu’il faut en se releuant apres auoir baisé la main , baiser aussi la Dame, puis desgager le pied gauc
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
s de sentir et d’exprimer. Un grand Peintre a commencé par assurer sa main . L’Art du Dessin l’a réglée. Il a d’abord tracé q
s retrace les Arts libéraux. Que pourrait produire de plus aimable la main même des Grâces ? Voilà les ressources sans nombr
seur moderne. Voyez que de jolis Teniers naissent chaque jour sous la main légère de Dehesse.
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
plus haut point de gloire de l’Art Les Rois ont toujours sous leur main un moyen assuré de distraire les regards de la mu
ors de l’Empire, elle fut plus d’une fois sur le point d’en venir aux mains , pour régler les rangs des deux Pantomimes. Augus
ition. Justes ou injustes, on ne les examina point ; on ne vit que la main de laquelle elles étaient parties. On s’assembla,
uple, les Sénateurs, la Noblesse ne pouvaient se lasser de bénir [la] main bienfaisante, qui leur rendait le plus célèbre et
la manière maladroite dont ont la leur fait sentir. Auguste n’eut la main sûre, vers la fin de son règne, que parce que l’h
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
froi ; mais la frayeur de ce Prince redouble, lorsqu’il apperçoit une main qui trace en caractères de feu sur le lambris de
pectacle, tombe sans sentiment sur une couchette. Le bruit cesse ; la main et l’ombre disparoissent ; les caractères s’effac
ses sœurs s’avancent vers l’autel ; elles posent respectueusement la main sur ce marbre sacré, et s’engagent solemnellement
erver les jours de leur père ; Hypermnestre ne veut point tremper ses mains dans le sang de Lincée, et se retire dans la ferm
Scène ii. Hypermnestre tremblante paroît tenant un poignard d’une main et une lampe de l’autre. Lincée, qui la cherche,
alors ses sermens et les ordres de Danaüs ; le fer lui échappe de la main elle se jette aux genoux de son époux, les arrose
e la mort se répand sur leurs traits ; le spectre leur montrant d’une main menaçante la route qu’il vient de leur frayer, le
u d’eux, pour suspendre ou détourner leurs coups ; il la saisit d’une main , et lève le bras pour lui plonger dans le sein le
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
résente son sein et elle l’invite à y plonger le fer qu’il tient à la main . Pyrrhus, frappé d’un courage si héroïque, et enc
s de Polixène ont faites sur son cœur ; le poignard lui échappe de la main , il se jette dans ses bras ; il détache ses fers,
olixène a faite sur lui, rompt le silence et lui offre son cœur et sa main  : cette Princesse dissimule une partie de son tro
vœux, exprime que rien n’est comparable à sa félicité. Il présente la main à Polixène ; et il ordonne à toute sa suite de l’
ève toute entière au dessus de la tombe ; elle tient un poignard à la main  ; elle le jette à son fils, en lui ordonnant d’ég
e héros recule d’horreur ; il frémit d’un ordre aussi barbare ; et sa main et son cœur se refusent à l’obéissance ; Polixène
17 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
espéroit ; elle court vers son frère en se couvrant le visage de ses mains . L’Empereur transporté d’amour, vole à ses genoux
uleur : mais Fatnie lui montre dans l’éloignement le Sophi baisant la main de Zulmire, elle devient furieuse, arrache le poi
nt la main de Zulmire, elle devient furieuse, arrache le poignard des mains de Fatnie, et lui promet en se retirant avec elle
la pousse, pour ainsi dire, vers le crime ; Zélis approche, lève une main tremblante ; le Sophi se retourne ; le fer lui éc
ertit l’Empereur que tout est prêt pour la cérémonie ; il présente la main à Zulmire ; Usbeck offre la sienne à Zélis, ils p
Le silence succède au bruit éclatant de la musique : le Sophi pose la main sur le livre de la loi ; les assistants tombent à
18 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ne manque jamais la mesure, à qui la tête ne tourne pas, et qui a les mains aussi blanches que s’il n’avait rien fait de sa v
le cueille la marguerite. Quelle douce et craintive émotion, comme sa main délicate tremble en arrachant le frêle pétale ! G
elle est là, La mère Berthe sort avec force révérences, tenant par la main sa fille, toute honteuse de paraître ainsi à l’im
urtivement, et avec un joli geste de chatte curieuse, elle allonge sa main vers la princesse, et, tartufe de coquetterie, el
égraphique merveilleusement rendue par Carlotta, elle tombe morte, la main sur son cœur, entre les bras de Bathilde et de Be
lis s’emparent de lui ; on le presse, on l’entoure, on se le passe de main en main, de bras en bras ; ses jambes fléchissent
parent de lui ; on le presse, on l’entoure, on se le passe de main en main , de bras en bras ; ses jambes fléchissent, la res
est bon qu’à être précipité dans le lac. En effet, toutes ces petites mains d’ombres poussent ce gros corps massif du haut de
, bonsoir, Hilarion ; justice est faite ! Les feuilles ont frémi, une main écarte les branches. Qui ose venir à pareille heu
âte prendre leur part de ce régal. « Méchantes ! s’écrie Giselle, les mains jointes, laissez-moi mon Loys, ne le faites pas m
e. Peine inutile ! le jeune homme, fasciné, ne retient plus que d’une main la croix protectrice. Myrtha force Giselle de don
son corps transparent se fond comme une vapeur. On aperçoit encore sa main frêle et blanche qui fait un signe d’adieu à celu
ui fait un signe d’adieu à celui qu’elle ne doit plus revoir, puis la main disparaît : la terre a repris sa proie pour ne pl
19 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Des différents genres de la danse »
as non plus des figures de la plupart des contredanses, telles que la main , les deux mains, le moulinet, le rond, le dos-à-d
figures de la plupart des contredanses, telles que la main, les deux mains , le moulinet, le rond, le dos-à-dos, la poussette
20 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159
de saluer pour les cavaliers. Le cavalier, pour saluer, portera la main au chapeau, levant le bras à côté de lui selon la
amilier, et ne pourrait être au plus que dans un cas urgent, comme la main dans un mauvais pas. De la manière dont une d
 ; elle les tiendra près d’elle, les coudes pliés, l’avant-bras et la main tournes devant elle, une ou les deux, selon l’usa
rsque l’on se présentera pour entrer, le cavalier se découvrira de la main gauche, tenant le chapeau bas selon l’étendue du
lever et baisser les bras ; et après l’avoir présenté, en baissant la main , on lâchera en même tems la jambe à la quatrième
présentera dans une grande assemblée, le cavalier se découvrira de la main gauche, tenant le chapeau bas selon l’étendue du
ontre soi, et pliés de façon que l’avant bras tourne en avant, et les mains posées sur soi, lesquelles on aura soin de ne poi
ent la diriger : l’ayant obtenue, on s’inclinera en lui présentant la main droite pour recevoir sa main gauche qu’elle doit
nue, on s’inclinera en lui présentant la main droite pour recevoir sa main gauche qu’elle doit présenter, lesquelles on sout
n répétera le salut comme auparavant ; et chaque cavalier recevant la main gauche de sa dame, suivant l’ordre, également com
niaiserie ou de la sottise, ils ne savent non plus que faire de leurs mains  ; souvent ils les portent à leur tête ou à leurs
21 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
es baisers, vous en aurez, et aussi de tendres paroles, et dans votre main vous aurez une main vivante, non pas une ombre. A
aurez, et aussi de tendres paroles, et dans votre main vous aurez une main vivante, non pas une ombre. Ainsi se parle le jeu
lier brille comme une flamme mouillée, soudain maître James quitte la main d’Effie, il se précipite à la suite du démon qui
e affreuse sorcière aux longs cheveux blancs, à la bouche impie, à la main osseuse, visage ridé et méchant, gâte quelque peu
» — On accourt ; Gurn est triomphant, James est troublé. Effie, d’une main tremblante, soulève le plaid qui cache sa rivale.
t les sorcières de Macbeth. Les sœurs du Destin se sont prises par la main , elles vont sans cesse parcourant les terres et l
reparaît cette fois, la Sylphide n’est pas seule, elle conduit par la main ce jeune homme dont elle a été si longtemps l’hôt
tenir. Mais notre jeune homme est résolu à tout braver, il obéit à la main qui le guide, où va la Sylphide, il ira ; il est
eparaît la sorcière, le génie du mal ; l’horrible vieille tient en sa main fiévreuse le tissu funeste auquel ont travaillé d
ient en sa main fiévreuse le tissu funeste auquel ont travaillé d’une main haineuse toutes les sorcières de l’Écosse, et mêm
rieux, d’un geste timide. — Plus d’une fois l’écharpe échappe à cette main si légère. — Ô malheur ! ô maudite soit la sorciè
22 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
ant invincible qui l’entraîne vers Enée, se détermine à lui offrir sa main et son trône. Un instant après elle vent entrer d
Prince Troyen, reçoit ses sermens avec transport ; elle lui promet sa main , son cœur et son trône. Le jeune Ascagne, ou plut
nifique ; il offre avec les présens les plus rares de ses climats, sa main et son cœur à la Reine de Carthage. Cette Princes
u danger de la Reine, vole à ses genoux ; il arrose de ses pleurs les mains de son amante, et fait de vains efforts pour la r
elle est armée ; lorsqu’une troupe de Maures, tenant des torches à la main , se dispersent dans le palais, et y portent parto
s’écrouler, lorsqu’Jarbe qui s’est ménagé une issue, vient offrir sa main et son trône à cette Reine infortunée. Didon, qui
qui déteste la vie, et qui abhorre ce Roi, refuse avec horreur et sa main et ses secours. Ce Prince, vivement épris, se jet
23 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VII. De la maniere de faire les bras avec les tems de Courante, & les demi coupez en arriere. » pp. 214-222
che 4. opposé au pied droit, & le bras droit 5. étendu à côté, la main en dehors 6. & l’écriture qui fait le demi ce
a jambe gauche étenduë comme la droite, mais son pied en l’air 4. les mains tournées en dehors 5. 218. Naissance de l’oposi
ignets de bas en haut : par exemple, vos deux bras ouverts, & les mains tournées de même qu’ils sont representez dans la
24 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
scène, une autre femme, en chapeau de ville, un cahier de notes à la main , très aimable aussi et précise en ses indications
n comme une amazone experte conduit un cheval rétif, de leurs petites mains faites pour le commandement. Puis j’avais un pla
les épaules sa jaquette, une Salomé en costume tailleur, et dont les mains , les mains mobiles, expressives, tendres ou menaç
s sa jaquette, une Salomé en costume tailleur, et dont les mains, les mains mobiles, expressives, tendres ou menaçantes, les
les mains, les mains mobiles, expressives, tendres ou menaçantes, les mains toutes blanches, les mains pareilles à des bouts
s, expressives, tendres ou menaçantes, les mains toutes blanches, les mains pareilles à des bouts d’ailes, sortaient des vête
s charmant que ces torsions de corps, ces mouvements de caresses, ces mains , encore une fois, ces mains de rêve s’agitant là
de corps, ces mouvements de caresses, ces mains, encore une fois, ces mains de rêve s’agitant là devant Hérode, superbe en so
25 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIII. De la maniere dont les Demoiselles doivent marcher, & celle de se bien presenter. » pp. 38-41
z en arriere accompagnant bien le corps, mais pliez, & tenant ses mains devant soi l’une dessus l’autre avec un évantail
enant ses mains devant soi l’une dessus l’autre avec un évantail à la main , mais sur tout sans affectation.
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
peuvent calmer ses inquiétudes ; elle quitte son estrade, présente la main à Créon, en jettant sur Jason et Créuse qui la su
achever de triompher de ses scrupules ; il lui offre son trône et la main de Créuse, à condition qu’il renverra Médée. Jaso
times ; mais son bras mal-assuré refuse d’obéir. Le fer échappe de sa main , et la nature semble lui reprocher l’atrocité d’u
té. Créon, après avoir uni Jason à sa fille, le couronne de sa propre main , et le conduit au trône ; le peuple tombe aux pie
core de tout son pouvoir ; elle montre les présens qui sont entre les mains de ses enfans. Créuse et Jason commencent à se tr
27 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
ette fois, de poser le pied sur une barre que l’on doit tenir avec la main opposée au pied en exercice, puis de changer de p
ec la main opposée au pied en exercice, puis de changer de pied et de main au commandement : c’est ce qu’on appelle se casse
i qu’en escrime, on simule le jeu des fleurets avec l’index de chaque main . Elles les exécutent ensuite, — ensemble ou l’une
Les yeux au ciel, sacrebleu ! les yeux au ciel !… — Nos fers !… — Les mains en croix et le pied en avant !… — Rompez-les !… —
mains en croix et le pied en avant !… — Rompez-les !… — Décroisez les mains  ! Vivement ! Le pied en arrière ! Regardez tendre
28 (1860) Mémoires de Rigolboche « Dédicace. A Mané de l’Indépendance belge » pp. 1-4
durable que les statues de marbre ? Et immédiatement vous avez mis la main dans le macadam, et ma célébrité s’est faite. Reg
is la main dans le macadam, et ma célébrité s’est faite. Regardez vos mains maintenant ! Vos concitoyens ont ri : ils auraien
29 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VI. De l’opposition des bras aux pieds. » pp. 210-213
ras opposé, qui est le droit, & qui est plié devant vous, mais la main à la hauteur de l’épaule & même devant ; le b
de bas en haut, & le droit du même tems ne fait que retourner la main en dessus ; ce qui se fait par un petit rond du p
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
son pour Dalila lui fit perdre ses forces, et le fit tomber entre les mains de ses ennemis. (Liv. des juges, c. 16.) Enfin, o
dit-il : (Matth. c. 5, vv. 29 et 30.) Que si notre œil droit ou notre main droite sont pour nous une occasion de péché, nous
rracher et les jeter loin de nous. Il est évident que par l’œil et la main qui seroient une occasion de péché, J. C. a voulu
chose qui nous seroit aussi cher et aussi nécessaire que l’œil et la main droite. Il veut alors qu’on arrache cet œil, qu’o
a main droite. Il veut alors qu’on arrache cet œil, qu’on coupe cette main , ce qui ne pourroit se faire sans une très-grande
et le faire. Il ajoute qu’il faut jeter loin de soi cet œil et cette main qu’on a arrachés, parce qu’ils étoient une occasi
31 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
, tu m’as juré. » Quand il eut rendu le dernier soupir, elle garda sa main dans les siennes et resta assise près de lui, imm
la sienne ; elle me regarda à son tour, et tout à coup, me tendant la main  : — Monsieur Juste Odoard ! me dit-elle d’un air
e. A présent, merci, merci de tout mon cœur ! Elle me serra encore la main et ajouta à voix basse : — Ne prononcez pas mon n
lecture et désirais former un peu mon esprit, il m’ôta les livres des mains en me disant : « Apprends que quiconque se consac
phide avec des ailes de papillon que je faisais palpiter en posant la main sur mon cœur. Le danseur, objet de ma tendresse d
dans le foyer, et j’allais l’y suivre quand mon père me retint d’une main de fer, en me disant : « Eh bien, eh bien, et la
es yeux et rencontra les miens. Il ne me parla pas, mais il ouvrit sa main comme cherchant la mienne que je lui donnai aussi
t. Puis il referma les yeux et se rendormit. Je ne pouvais retirer ma main sans le réveiller. Le jour parut et il s’éveilla
satisfaction à me voir près de lui. « Oui, répondit-il, beaucoup. Sa main d’enfant me réchauffe, et son bon regard qui me r
hambre du malade, presque toujours assise auprès de lui et souvent la main dans la sienne.
32 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Différentes manières de saluer »
il a un chapeau il lèvera le bras droit, et prenant son chapeau de la main droite, il le laissera aller tendu de côté, incli
un jeune homme, il fera sa révérence de même, ôtant son chapeau de la main droite, et laissant tomber son bras tendu sur le
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
ne si belle hauteur, Se culebute, et pirouette, Sans toucher de pied, main , ou tête, La Terre, en aucune façon, Et qui march
a Terre, en aucune façon, Et qui marche, encore, tout de bon, Sur les mains , de la même sorte, Qu’un autre, sur ses pieds, se
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
Mais Loïe se remit sur pieds, et en entendant les rires elle leva la main droite et dit à très haute voix : « Chut !… Taise
l’estrade. La dame se mit à lire un petit papier qu’elle tenait à la main . Lorsque la dame eut achevé sa lecture, ma mère e
ent des gradins et grimper sur l’estrade en m’aidant des pieds et des mains . Une fois là-haut, je me retournai et regardai le
35 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
le prix de la danse ; il est accordé à la Théssalienne qui reçoit des mains de Déjanire un thyrse d’or, orné d’une guirlande
eux-ci se disputent la victoire ; et celui qui la remporte reçoit des mains d’Hercule, une peau de tigre, symbole de l’adress
foiblesse ; le héros, sensible à la gloire, hésite, balance, prend la main tremblante d’Jolé, qui ose à peine lever les yeux
nt, elle tombe sur un lit de gazon, et la tête appuyée sur une de ses mains , elle s’abandonne aux plus tristes pensées. Ses y
le bûcher, et ordonne à son fils de l’embraser ; Hilias frémit et sa main comme son cœur se refuse à un ordre si barbare. D
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
l’aimera jamais. Cet aveu irrite le bailli ; il veut se saisir de la main de Julie ; elle le repousse avec fierté ; il veut
’il en est aimé, que le choix du village justifie son goût, et que la main de la Rosière doit mettre le comble à sa félicité
l’offre à Julie ; elle l’accepte avec plaisir ; il ose lui baiser la main , et il se sépare d’elle pour rejoindre ses camara
voisin de la maison. Le Bailli saisit cette circonstance, il offre sa main pour Julie : cette proposition est rejettée avec
ans de Salency, et ceux du village voisin. Il tient une couronne à la main  ; il fait placer un trône de verdure, couronné d’
37 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
Tauride ; le Tyran, vers le quel on les conduit, les remet entre les mains d’Iphigénie pour être sacrifiées aux autels de Di
’instant où Thoas va donner la mort à Oreste ; le Tyran la reçoit des mains de Pylade ; ses troupes sont dispersées et mises
e sa famille ; un rêve affreux lui a peint Oreste immolé de sa propre main , Oreste, l’unique objet de ses espérances, le seu
il est déchiré par la douleur, qu’il n’a point de part au sang que sa main répand ; que son bras, armé par le cruel Thoas, d
fléchir. Oreste et Pylade sont enchaînés ; Thoas les remet entre les mains d’Iphigénie, qui se sent émue à leur aspect par u
recevoir la mort. Scène ix. Iphigénie, tenant une lettre à la main , paroît avec Eumène et Arbas. Cette Prêtresse à d
Oreste se met à genoux et présente sa tête au glaive dont on arme la main tremblante de la Prêtresse ; son bras semble se r
e se refuser à ce sanglant sacrifice ; le fer sacré lui échappe de la main , et ce n’est qu’après les plus violens combats en
lance a été trompée ; Pylade leur a échappé ; le Tyran tient dans ses mains la lettre qu’Iphigénie avoit confiée à Arbas ; il
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
de l’Or du Rhin ! Je ne lui reproche que quelques défaillances : les Main , le Ballet des Lumières, divertissement banal et
mpe et se fond dans l’obscurité de la salle. On voit enfin une énorme main d’ombre se saisir du groupe apeuré des danseuses
39 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
uit, quelque chose de fantastique. C’était comme un seul battement de mains , mais si puissant qu’aucun bruit au monde ne pouv
es princesses ? Il avait appuyé son coude au dossier de sa chaise. Sa main soutenait sa tête. Ses jambes étaient croisées av
n me présenta un vicomte, qui prétendait à la fois à mon cœur et à ma main . Est-il besoin de dire que, les yeux tout pleins
uement son regard, une fois encore, se posa sur le mien. Immobile, la main gauche comprimant les frémissements de mon cœur,
40 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
f dévorante, les cizeaux des inflexibles parques s’échappent de leurs mains  ; les Euménides cessent leurs persécutions, et le
que de Caron. Euridice enchantée vole vers son époux ; il lui tend la main sans la regarder ; elle le conjure et le presse d
refus l’offensent, elle les attribue à son indifférence, et quitte sa main en exprimant son dépit. Orphée l’appelle ; elle b
sa surprise lorsqu’il s’apperçoit qu’Euridice lui est rendue par les mains de l’Amour ; transporté de joye, il rend hommage
41 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
recs ou Latins qui, soiten Original soit en Traduction, sont dans les mains de tout le monde, connaissent les noms célèbres d
s signes expressifs et par des mouvements de la tête, des yeux, de la main , des bras et des jambes. [4] Les Pantomimes étaie
la même indifférence qu’on admire des yeux, des bouches, des nez, des mains artistement crayonnés. Qu’il y a loin de là à l’a
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
eu dangereuse à l’inquiétude naturelle des Romains. Il tenait dans sa main les mouvements secrets de la machine, qu’il avait
teurs échauffés de la représentation prenaient parti, en venaient aux mains , et un objet d’amusement, devenait une occasion c
eurs désordres n’eut rien de flétrissant, parce qu’elle partait de la main d’un homme injuste. Domitien traitait les Pantomi
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
n génie. N’importe. On prôna le premier, tandis qu’on desservait sous main le second : les applaudissements, qui vrais ou fa
coup de génie, crie au miracle. Les Dames les plus belles battent des mains . On admire, on se passionne, on s’écrie. Hylas es
44 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Aduertissement. » pp. 1-3
peines. Quelques mois apres luy disant que i’y auois mis la derniere main , & mesme luy faisant voir vn discours que i’y
it iamais pour son honneur auoir tant de creance à ce qui sortoit des mains de ce Copiste, que d’en mespriser la veuë, pour e
45 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
ui sera d’autant plus précieux à son amant qu’il est l’ouvrage de ses mains . Elle lui a brodé une échappe, et elle se flatte
Cependant elle ne peut se refuser au plaisir innocent d’orner de ses mains , celui dont la vie lui est si précieuse. Coriace
Fulvie sensible à la gloire de son amant, le couronne de ses propres mains . Cet instant est marqué par la joye et par la fél
s reculent épouvantés. Horace frémit lui-même, le fer lui tombe de la main  ; une rumeur générale s’élève parmi les sénateurs
u corrompre la fidélité des gardes : on la voit tenant une lampe à la main , descendre en tremblant, les dégrès qui conduisen
par vingt-quatre chevaliers Romains ; autant de dames tenant à leurs mains des couronnes de laurier et des branches d’olivie
46 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92
vers le côté ; les poignets tournés en contraste avec les coudes, les mains arrondies des doigts sans être serrées ; le pouce
ut des doigts, sous le pouce et l’index, la prenant à portée de leurs mains . Celles qui sont grandes et minces, tiendront les
er le coude que l’on développe en levant l’avant-bras, pour porter la main tournée en dessus en face de la poitrine, ayant s
soin de tenir les bras arrondis. Pour baisser le bras, on descend la main en dedans, et le bras descend continuellement à s
uand ils sont à la hauteur de la poitrine, pour baisser les bras, les mains rentrent en dedans et les bras descendent à leur
e le premier mouvement pour lever le bras, ensuite l’avant-bras et la main  ; pour baisser le bras, c’est la main qui descend
ras, ensuite l’avant-bras et la main ; pour baisser le bras, c’est la main qui descend la première, et ensuite le bras conti
ps placé selon l’ordre du maintien ; tenez-vous à quelque chose d’une main et sans roideur : pour soutenir le dehors et l’éq
hors, et de la fermeté, peut en même tems remplacer les battemens des mains pour l’exercice de l’oreille, en frappant chaque
placez le corps comme pour les autres battemens, vous soutenant d’une main pour soutenir le dehors, les jambes tendues et à
sent des mauvais lieux ; il faut que le cavalier tienne sa dame de la main droite, au-dessus de la taille ou des deux mains
tienne sa dame de la main droite, au-dessus de la taille ou des deux mains si elle a des difficultés pour valser ; autrement
ultés pour valser ; autrement il convient mieux que le cavalier de sa main gauche soutienne la main droite de sa dame. Il fa
ment il convient mieux que le cavalier de sa main gauche soutienne la main droite de sa dame. Il faut soutenir les bras un p
suivant les quatre mesures de ce trait. Du trait du tour de deux mains . Pour remplir ce trait, le cavalier et la dame
e trait, le cavalier et la dame se faisant face se donneront les deux mains , baissant un peu celle au centre de la danse, afi
et la dame vers la droite du cavalier ; et finissant le tour de deux mains , ils reprendront le sens de la danse ; ils exécut
ême tems le bras qui est de ce côté, pour se donner la main droite en main droite ; et faisant le second chassé du pied gauc
du pied gauche, les cavaliers tourneront sur leur droite, quittant la main de la dame de ce côté, pour donner la gauche à le
exécutant les trois chassés comme pour traverser, se présenteront la main droite, puis la gauche aux cavaliers qui auront p
ouver à la rencontre des dames, où ils se donneront la main gauche en main gauche, et tourneront de ce côté en reprenant le
à-vis donneront la main gauche à leurs dames, (on passe en dessous la main droite en main droite si l’on veut), levant les b
la main gauche à leurs dames, (on passe en dessous la main droite en main droite si l’on veut), levant les bras et les tena
ce de vis-à-vis opposée à la leur, où arrivant, ils se quitteront les mains et reprendront le sens de la danse. Ils exécutero
s côtés. Pour remplir ce trait, deux cavaliers de vis-à-vis, de la main droite, recevront celle gauche de leurs dames ; e
t, les cavaliers et les dames qui se font face, se donneront les deux mains , répétant également ce même pas : chaque cavalier
ême tems fera tourner et placer à sa droite la dame dont il tient les mains , ce qui mettra les quatre cavaliers et les quatre
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en France »
déclarent qu’il est savant. Je crois voir un homme qui ayant dans sa main la clef du Temple des Muses, consume ses jours et
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
ns encore aujourd’hui dans ces chefs-d’oeuvre précieux, échappés à la main destructive des tems, et de la barbarie de l’igno
s célèbre par ses vertus que beaucoup de princes, qui, les armes à la main avoient boulversé le monde, fut condamné à mort p
écret de l’Aréopage ; il but tranquillement la cigüe préparée par les mains de la jalousie, de l’envie et du fanatisme. Mais
49 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
ne lui manquait absolument qu’une seule phalange du petit doigt de la main gauche, que la mère chercha avec beaucoup de soin
e table et dansèrent, la première villageoise à laquelle il tendit la main pour la mener à la danse reconnut avec terreur qu
ndit la main pour la mener à la danse reconnut avec terreur que cette main était toute moite, et froide comme la glace. À me
din se mit à marcher devant lui, une petite baguette de coudrier à la main , frappant par intervalle le flot qui s’ouvrait et
isse ? Giannina veut le savoir ; à elle il appartient de sonder d’une main caressante les plaies de ce cœur aimé ; c’est à e
oux et clairvoyant de Giannina, qui laisse échapper l’écheveau de ses mains brûlantes. La raison et l’usage de ses sens vont
met à tourner à rebours, l’écheveau qui s’embrouille à mesure que la main du fiancé en développe les fils, et l’Ondine veng
Ondines, suivre inutilement le sillage de la chaloupe, et tendre ses mains suppliantes vers le fiancé qui fait force de rame
50 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
ces tributaires, mais d’avoir obtenu trois fois l’immortalité par les mains du Titien. Toutes les deux sont occupées du soin
t fait souffrir, qu’il lui donna cent talens, & lui mit entre les mains son accusateur, pour en faire ce qu’il lui plairo
onné du soupçon & de l’ignorance : en cet état il tend de loin la main à la calomnie, qui s’avance vers lui, le visage t
vec des attraits & des charmes extraordinaires ; elle tient de la main gauche un flambeau, & traîne de l’autre par l
p; traîne de l’autre par les cheveux un jeune innocent, qui éléve les mains au Ciel pour implorer son assistance ; devant lui
nésiens. Ce Peintre mourut l’an du monde 3260. Une seule statue de la main d’Aristide, fut vendue 375 talens ; une autre de
ide de plusieurs tributs, pourvû qu’elle lui donnât cette Vénus de la main de Praxitelle, qui y attiroit toutes les années u
donner des Gardes pour sa sureté, étant ravi de pouvoir conserver la main qu’il avoit sauvé de l’insolence des soldats. De
comme disoit Michel Ange, doit être plutôt dans les yeux que dans les mains . Le Dessein suppose la science du corps humain, n
lequel nous décrit toute la Grece, & nous y conduit comme par la main , si son discours étoit accompagné de figures démo
cet esprit-là qu’un Peinture habile m’a dit que quand il tenoit à la main sa palete chargée de couleurs, qu’il la regardoit
Poésie ; qu’Aristote dit que les Arts qui se servent du secours de la main , sont les moins nobles : enfin que la Poésie est
de ce que dit Aristote, que les Arts qui se servent du secours de la main sont les moins nobles, & de ce que l’on a ajo
t en partie spirituelle & en partie matérielle ; on répond que la main n’est à la Peinture que ce que la parole est à la
n exprimée par la force de l’imagination de cet excellent Peintre. La main n’a aucune part à toutes ces choses, qu’autant qu
51 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
éloquence ne résidoit que dans les gestes, et dans le jeu varié de la main et des doigts, me répondirent dans leur langage ;
langage ; je ne compris rien aux mouvemens de leurs bras, et de leurs mains  ; je m’apperçus de la trivialité, et de l’insigni
s colonnes, de superbes portiques, et de belles statues échappés à la main destructive des barbares, et. que le tems avoit r
pare les gestes des mimes, ou plutôt les mouvemens accélérés de leurs mains , et de leurs bras à ceux que l’ingénieux Abbé de
52 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
eux-mêmes surviennent, et l’écolier ne réussit à s’échapper de leurs mains qu’en abandonnant son costume, et grâce à la prot
espèce de nain difforme, aux jambes inégales, au pied fourchu, d’une main s’appuyant sur des béquilles, et de l’autre agita
tte de voir tourner à son profit, car il aspire depuis longtemps à la main de Dorotea. Mais l’écolier, tirant celle-ci à par
arfumé. — Quand le diable se mêle d’être architecte, il n’y va pas de main morte ! — Les colonnes de marbre, les plaques de
agnettes font entendre leur babil sonore ; elle semble secouer de ses mains des grappes de rythmes. Comme elle se tord ! Comm
fleuré le sol. Quel geste charmant ! Ne diriez-vous pas qu’avec cette main qui rase l’éblouissant cordon de la rampe, elle r
stinée. Cependant, au moment d’entrer chez la veuve, Cléofas sent une main se poser sur son bras, et entend une voix qui lui
is la veuve, devinant sans doute ses intentions, présente vivement sa main à don Gil, — et tout le monde se rend à la foire.
lée d’étoiles blanches et frangée d’énormes falbalas, traînant par la main quelque marmot tout nu et jaune comme une feuille
a fiesta del sautillo. Elle est accompagnée de Paquita, et tient à la main le ruban, qu’elle montre avec une affectation iro
e, elle, ne s’est pas enfuie, et glisse sa bourse pleine d’or dans la main de Paquita, car, touchée de l’amour pur et naïf d
53 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
ment gravé dans le cœur de tous les hommes. Ils sortaient à peine des mains du Créateur la voûte azurée des Cieux, la lumière
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
ie des habitans est rangée autour de ce même autel, tenant dans leurs mains des massues avec les quelles ils s’exercent, tand
On apperçoit dans cette chaloupe une femme et un homme qui lèvent les mains vers le ciel, et qui demandent du secours. Dorval
r tomber. Enfin leurs massues leurs échappent, elles tombent de leurs mains . Vaincus et sans déffense ils se jettent aux geno
n examiner ; il s’élance avec fureur sur Clitandre ; il lui saisit la main dans l’instant qu’il baise celle d’Inès et quelle
enace, arrête le transport du jaloux, et lui fait tomber le fer de la main . Un geste d’Inès semble reprocher à son amant son
se tomber, ou pour mieux dire il le laisse échapper avec peine de ses mains . Dans cet instant il se jette sur son siège, et s
t. Inès, par un regard, assure le pardon de Fernand, qui lui baise la main avec transport ; et ils se retirent tous trois pé
us à l’amour que l’amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il baise la main de Béatrix, en prend occasion pour se venger de l
vole à son amant, le serre tendrement dans ses bras, le prend par la main et s’éfforce de le rappeller à la vie. Fernand ou
qu’ils ont donné à la porte, s’ils n’avoient frappé des pieds, ou des mains  ; qu’on leur demande, dis-je, comment ils trouven
55 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
e des Habitants est rangée autour de ce même Autel, tenant dans leurs mains des massues avec lesquelles ils s’exercent, tandi
apperçoit dans cette chaloupe une femme & un homme qui levent les mains vers le Ciel, & qui demandent du secours. Dor
r tomber ; enfin leurs massues leur échappent, elles tombent de leurs mains . Vaincus & sans défense, ils se jettent aux g
en examiner, il s’élance avec fureur sur Clitandre ; il lui saisit la main dans l’instant qu’il baise celle d’Inès & qu’
ace, arrête le transport du jaloux & lui fait tomber le fer de la main . Un geste d’Inès semble reprocher à son amant son
e tomber, ou pour mieux dire, il le laisse échapper avec peine de ses mains . Dans cet instant il se jette sur son siege &
ent ; Inès par un regard assure le pardon de Fernand qui lui baise la main avec transport ; & ils se retirent tous trois
us à l’amour que l’amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il baise la main à Béatrix, en prend occasion pour se venger de la
vole à son amant, le serre tendrement dans ses bras, le prend par la main & s’efforce de le rappeller à la vie. Fernand
t qu’ils ont donné à la porte s’ils n’avoient frappé des pieds ou des mains  ; qu’on leur demande, dis-je, comment ils trouven
56 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les dames. » pp. 53-69
de l’autre, les pointes ouuertes, & ainsi la tenant par les deux mains , luy faire faire quelques demarches graues &
se tournant vis à vis de ceux qu’on saluë, que si la compagnie est à main droicte, que ce soit du pied gauche, & si à g
finir les pieds esloignez d’enuiron demy pied, & lors portant la main droicte au costé sur la ceinture, il faut poursui
à celuy qui occupe la derniere place du bransle, faut tourner sur la main gauche, & reprendre à peu pres le chemin qu’o
amp; reprendre à peu pres le chemin qu’on aura faict en relaschant la main du costé, & ouurir les bras, pour mener auec
s en reculant sur la pointe des pieds, apres lesquels ayant quitté la main de celuy qu’on meine, faire vne reuerence en se t
57 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
oit pas souvent une danseuse agenouillée se relever sur la pointe, la main dans la main du danseur. Puis, quand Vladimiroff
nt une danseuse agenouillée se relever sur la pointe, la main dans la main du danseur. Puis, quand Vladimiroff enlève la bal
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
jupes, robes, ou vestes, Et leurs escarpins, mêmement, Où l’on voyait main ornement ; Tout éclatait de broderies, D’argent,
e je nomme, Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami, de longue main , (Que Dieu gard50. de toute infortune) M’y plaça
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31
ets les remuent, les affectent et les transportent : ces battemens de mains prodigués au hazard ou sans ménagement, perdent s
ent affectée par ce prestige ; si les couleurs et le pinceau dans les mains du peintre habile, se jouent de mes sens au point
s, où le génie n’a rien à faire, et ou il ne faut que des bras et des mains . »   Ces avis donnés et suivis, Monsieur, délivre
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
recevoir à l’Hôtel de Ville et de les y régaler, trouvèrent sous leur main l’ancienne Rubrique, et en conséquence ils délibè
Fées. Tout prospère, tout s’embellit, tout devient admirable sous la main vivifiante d’un homme de génie. [Voir Fêtes de la
61 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — I » p. 134
t sa nature est légère. Ainsi, après l’avoir saisie humblement par la main , après s’être suspendue à ses bras, la danse trah
62 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
les remuent, les affectent & les transportent ; ces battements de mains prodigués au hazard ou sans ménagement perdent so
ffectée par le prestige ; si les couleurs & les pinceaux dans les mains du Peintre habile, se jouent de mes sens au point
les mouvements des bras, & où le génie ait moins à opérer que les mains . » Ces avis donnés & suivis, Monsieur, déliv
63 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
imens, il sauta, gambada, et trépigna, fit des bonds, frappa dans ses mains en signe d’allégresse ; ses bras s’associèrent au
aze, parut probablement après la peinture ; et l’argile soumise à une main industrieuse prit les formes, que l’idée, et la v
it payé trois cens mille francs ; où un grand Monarque écrivoit de sa main au cavalier Bernin, pour le prier de venir en fra
ébauches ; la sculpture pétrissoit l’argile, et il ne sortoit de ses mains que d’insipides caricatures. A cet état de langue
64 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XV. Des Reverences en entrant dans un appartement, ou dans une assemblée. » pp. 47-48
orsque vous entrez dans un appartement, il faut ôter le chapeau de la main droite, de même que je l’ai dit dans le Chapitre
65 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
e moyen du contrepoids. Le changement des autres parties se fait à la main . Voyez Manœuvre [Article non rédigé]. Les couliss
t de la verve d’un peintre à qui le premier dessein est donné par une main sûre qui a su en écarter tous les inconvénients,
après le sixième châssis : elle est partagée en deux. On pousse à la main chacune de ces deux parties sur deux chevrons de
spectacle. 1°. Les cordes d’un changement à l’autre sont jetées à la main , et troublent presque toujours la représentation.
sur ce théâtre autant qu’on croit en avoir besoin  ; on les sert à la main , et ce service fait partie de la manœuvre. Voyez
66 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
n visage riant, la tête couverte d’un chapeau de fleurs, tenant de la main gauche un flambeau allumé, qu’il laisse pancher n
ssant comme enyvré de plaisirs, appuyé sur un épieu qu’il tient de la main droite : on voit encore dans ce Salon, dont le pa
ordonner à leurs valets de s’en emparer : ils mirent tous l’épée à la main , aussi-bien que leurs Maîtres ; desorte qu’ils se
se ; les Provençaux, au son d’un tambourin que le Ménétrier bat de la main droite, & de la gauche s’en sert pour jouer d
se, que Saint-André m’avoit montrée ; les Bourguemestres batirent des mains , & me firent boire razade dans un petit verre
ille : l’on en a peint la représentation dans un grand tableau, de la main du fameux Largilliere. J’ai passé sous silence le
les Formez par un seul acteur ; Ses attitudes parlantes, Ses pas, ses mains éloquentes Tracent une histoire aux yeux : Fécond
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 janvier. Quelques danses sur des airs populaires espagnols. »
i se creuse aux reins et juste assez de gorge « pour remplir les deux mains d’un honnête homme » comme il se disait au xviiie
68 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre I. De l’utilité de la Théorie dans tous les Arts. »
ssible de bien mesurer ; tandis qu’un Philosophe, qui, le compas à la main , la décrit avec ordre, en fonde les principes, dé
69 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 juillet. Le répertoire : « Sylvia » »
é et un esprit de finesse à toute épreuve. Le poignet est soutenu, la main étant un élément fixe d’un ensemble cohérent. Qua
t fixe d’un ensemble cohérent. Quand Isadora Duncan « affranchit » la main , on cria au prodige ! C’est que la majorité du pu
70 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
tre de gravité : voyez-la sortir après six mois de leçon, d’entre les mains d’un bon maître, les pieds en dehors, le jarret t
s, en le lisant avec attention, juger du mérite des maîtres entre les mains desquels ils mettront leurs élèves, et, je dis pl
71 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — CHAPITRE I. De la maniere de se poser le corps. » pp. 2-3
p; donne plus de grace au corps,) les bras pendans à côté de soi, les mains ni ouvertes ni fermées, la ceinture ferme, les ja
72 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
ompagnie, Ouvrage parfait et chéri, Intitulé le FAVORI, Composé de la main savante De cette Personne charmante,51 Qui dans
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
e garde-malade pour veiller ma mère, tellement je me sentais dans les mains des philistins. Lorsque le train arriva à Saint-P
re quoi que ce fût, et j’avais cru que le médecin que j’avais sous la main pourrait aussi bien tirer ma mère d’affaire et la
Il répéta les mots « mère » et « malade » en allemand. Il étendit la main pour me dire de ne pas parler pendant un instant.
74 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
perfide Lycomède, accepte la proposition : le traître lui présente la main et traverse le pont qui unit le rivage au vaissea
dévouement. On fait avancer les troupes, elles mettent le sabre à la main , entourent les deux héros et jurent sur la massue
e la mer et de la forteresse de Scyros. Alceste s’est échappée des mains de son ravisseur ; elle est errante et ne sait de
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
remet une lettre de la part de ce Prince. Clytemnestre la prend d’un main tremblante, et de l’autre, lui fait signe de se r
ison, s’irrite, s’emporte, menace ; son bras accoutumé au meurtre, sa main exercée au Parricide, ne cherche que de nouvelles
andre a redoublé la haîne, paroît avec Egisthe ; elle lui offre d’une main sa couronne, et de l’autre un poignard avec la co
jours de son époux et ceux de la fille de Priam. Elle veut armer les mains d’Egisthe du fer homicide : celui-ci, quoiqu’acco
de la vengeance armé pour le punir : le fer est prêt à tomber de ses mains . Dans ce moment, un bruit soudain frappe ses orei
et leur suite sont couvertes de crêpes noirs, et tiennent dans leurs mains des branches de cyprès ; Egisthe a ses armes et s
e, et ses sœurs en larmes ; il marche à pas chancelans, il lève d’une main tremblante le voile qui lui dérobe les traits de
oix foible et mourante de croire que son cœur est innocent, et que sa main seule est criminelle. L’ombre lui répond d’une vo
76 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
syllabes pareils, qu’il accompagnait de mouvemens des pieds & des mains , comme s’il avait débité à son Auditoire les meil
y a rien qui flatte tant l’œil du Spectateur que l’aspect d’une jolie main , & la blancheur d’un bras délicat. J’apprendr
n dire vos enfans ; & ces innocentes créatures, en joignant leurs mains , en lui faisant de tendres caresses, toucheront s
édient n’avait aucun succès, recourez au dernier moyen ; portez votre main au front, en formant un angle aigu avec l’index &
77 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
qui demandoient les soins particuliers. Alors il prenoit le livre des mains du souffleur ; il corigeoit les acteurs en leur d
e ne suis ni assez imbécille, ni assez téméraire pour oser porter une main profane sur les chefs-d’oeuvre du génie, et de l’
ain, je me suis empressé de les faire disparaître, et d’enlever d’une main tremblante et respectueuse le peu de poussière qu
vous appercevez chez moi le petit bout de l’oreille, couvrez la de la main gauche, car je crains la droite. Adieu, Monsieur,
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
artyrs de la loi nouvelle, qui, couronnés de fleurs, et la palme à la main , formaient des Danses légères autour de l’autel q
de chœur, qui, le jour de Pâques, se prenaient tout bonnement par la main et dansaient en chantant des Hymnes de réjouissan
79 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
les jeunes Athéniennes. Elles se disputent une rose qu’il tient à la main . Ce badinage offre des danses légères et une foul
e de l’Amour. Ce Dieu la console ; il ramasse la fleur échappée de la main de Cryséïs et l’attache à son sein. Il conduit en
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Avertissement. » pp. -1
lles, ils gâlent tout, ils empoisonnent tout, et la beauté sous leurs mains crochues acquiert tous les traits repoussans de l
81 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XII. Des Reverences en arriere. » pp. 35-37
de se distinguer du vulgaire. Je suppose que l’on ait le chapeau à la main & le corps placé à la 4e Position, ainsi que
82 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
ée. Sa veuve communiqua la recette à Véron. Celui-ci l’étudia, mit la main … à la pâte et s’entendit avec un ancien pharmacie
de ne fut pas général. Un certain nombre de loges restèrent entre les mains de leurs anciens propriétaires. Il y en eut une,
roces. *** Lorsque les ministres de Louis-Philippe mirent l’Opéra aux mains de Véron, ils n’avaient négligé qu’un tout petit
tier a dit, sur le ton léger du paradoxe, en faveur du personnage aux mains robustes, soutien de la fortune indécise des aute
de romain. Grand, fort, robuste, un vrai taureau, doué d’une paire de mains extraordinaires, il avait été créé et mis au mond
il avait été créé et mis au monde pour être claqueur. Avec de telles mains , de tels battoirs, on ne reste pas longtemps simp
et César lui-même. « A l’apogée de sa fortune, il ne reniait pas ses mains , il en était fier ; il les montrait avec orgueil,
des autres pays. La critique littéraire et dramatique était entre les mains d’hommes qui savaient juger et écrire. Si la crit
83 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
pour la jouissance de citer, c’est-à-dire de transcrire, de sa propre main et de sa meilleure encre, des fragments d’un text
battue, et heurtée, en cadence, la terre bien frappée… les paumes des mains , les talons, bien frappant et battant le temps, f
rps de la danseuse, particulièrement de la tête et des pieds ou de la main (« cependant que la cime adorable de sa tête trac
de suivre l’arabesque accidentée et folâtre de ces trajectoires ; la main gauche, dans une série de pirouettes, dessine aut
, cet escamotage est couramment pratiqué ; il n’est question que de «  mains loquaces » et de « doigts verbeux ». « Leurs main
question que de « mains loquaces » et de « doigts verbeux ». « Leurs mains parlent », renchérit, de même, l’exorde de Socrat
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
resses de ce Dieu font brûler des parfums. Les jeunes époux posent la main sur l’autel, et jurent en présence de toutes les
, exécuté sur un air vif et léger. La pomme passe alternativement des mains de Pallas dans celles de Junon, et des mains de l
asse alternativement des mains de Pallas dans celles de Junon, et des mains de l’Amour dans celles de sa mère. Ce Dieu fatigu
85 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
x est douce, infiniment douce. Tout est doux. Il vous reçoit les deux mains tendues, très simplement, avec un bon sourire. Pa
ou de compréhension ; un mot, un regard, un geste de la tête ou de la main . Ainsi, d’œuvre en œuvre, de pièce en pièce — car
86 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
it une « zingara », la reine des « zingaras » ? Un méchant fichu, une main crispée sur la hanche. Pour que Anna Johnsson dev
e lui fait comme deux ailerons noirs qui palpitent ; elle porte d’une main l’éventail et de l’autre le parasol. D’où vient c
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
cessaires à notre subsistance, et finiraient par les étouffer, si des mains laborieuses ne s’empressoient à les détruire à me
est des cas où ils se touchent. Eh bien ! j’en suis là : graces à la main pesante du temps et au poids des années, j’ai ret
88 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 janvier. Une soirée à l’hôtel Charpentier. »
née d’un thème populaire, avec ses demi-tours sautés et ces « jeux de mains  » qui sont des « jeux de vilains » traduits dans
89 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIV. Des pas de Sissonne. » pp. 156-158
s ces mouvemens ; de plus le Maître en conduisant son Ecolier par les mains assure ce que le discours a commencé. D’autant qu
90 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre II. De la position des Bras & de l’élevation qu’ils doivent avoir. » pp. 197-199
oit pas sans ces sortes d’attentions ; Je lui ai aussi répresenté les mains ni ouvertes ni fermées, pour que les mouvemens du
91 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
carte, je regardai le directeur. Il souriait. Je souris. Il tendit la main , je tendis les deux miennes. Tandis qu’il tenait
l tendit la main, je tendis les deux miennes. Tandis qu’il tenait mes mains , il me dit : — Vous avez ma carte, venez me voir 
és. Il avait l’air si content. Il s’approcha de Sarah et mit dans ses mains tendues un paquet d’épreuves qu’il venait de tire
-elle ? demanda-t-il en faisant autour de son oreille un cornet de sa main . Bonheur ! Il était sourd ! Je lui fis signe de s
92 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
certaines : ils se conduisent par des habitudes contractées de longue main , ou par des caprices du moment. Ils ont donc beso
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VIII. De la Danse des Anciens considérée comme exercice. »
rmure brillante, animés par une symphonie guerrière, le javelot d’une main , le bouclier de l’autre, ils formaient ainsi des
94 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
gyptienne séductrice, quand, pour nous sauver de ses piéges et de ses mains , il faudroit abandonner tout et nos habits même.
95 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre V. Du mouvement du Coude & de l’Epaule. » pp. 206-209
es coudes. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, les mains se trouvant en dessous : de même que le represent
96 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
de se distinguer dans l’art qu’il enseigne. Un élève qui sortira des mains d’un tel maître, manquera d’abord de perfection,
s dispositions, et voulant accélérer mes progrès, me mirent entre les mains de cet artiste, élevé à l’école des grands maître
97 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
s se rendent compte qu’elles ont compris en marquant les pas avec les mains . Et telle est la force de l’expérience, l’automat
de la jambe ramenée en arrière jusqu’à la pointe des doigts de votre main à plat, portée en avant. Cette ligne droite grand
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
qui les composaient portaient des moulins à vent sur la tête, et à la main des soufflets, qui, agités, rendaient le siffleme
les Habitants des montagnes résonantes. Ils portaient un tambour à la main , une cloche pour ornement de tête, et leurs habit
plusieurs masques, et par une lanterne sourde 111 qu’il portait à la main . La quatrième Entrée était composée du Sommeil qu
99 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
avenir la plus belle des Bergères recevra une couronne de roses de la main du Berger, qui aura remporté le prix accordé à l’
pieds de Philis ; elle l’apperçoit et rougit ; le Berger lui prend la main , elle le repousse d’un bras mal assuré avec la fi
modestie touchante de Philis, elles la couronnent elles-mêmes de leur main divine. L’Amour qui applaudit au choix de Daphnis
A cet aspect, le dieu de Cythère vole aux Graces, il les prend par la main et les conduit à la mère. Un bois de roses naissa
el, il les représente enchaînées l’une à l’autre et se tenant par les mains . Les Bergers enchantés de ce nouveau prodige expr
100 (1936) Philosophie de la danse
virtuose au travail, un violoniste, un pianiste. Ne regardez que les mains de celui-ci. Bouchez-vous les oreilles, si vous l
-ci. Bouchez-vous les oreilles, si vous l’osez. Mais ne voyez que ces mains . Voyez-les agir et courir sur l’étroite scène que
les agir et courir sur l’étroite scène que leur offre le clavier. Ces mains ne sont-elles pas des danseuses qui, elles aussi,
e vous rappelle que vous n’entendez rien. Vous ne faites que voir ces mains qui vont et viennent, se fixent en un point, se c
complexité certaines restrictions à la liberté des mouvements de ces mains qui agissent et se multiplient sur le piano. Quoi
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