che, et il intitulait orgueilleusement ses six volumes de souvenirs :
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris. Bourgeois, Véron l’était
les premières années de l’Empire. Horace de Viel-Castel dit dans ses
Mémoires
: « Véron, c’est le bourgeois gentilhomme du dix-
n entrée à l’Académie royale de Musique. Il nous communique, dans ses
Mémoires
, les réflexions qu’il se fit : « La révolution de
uilles de présence des ouvriers, sur les listes de commandes, sur les
mémoires
des fournisseurs. C’est l’œil du maître, à qui ri
r du docteur Véron, Paris, 1868, p. 103. 27. Horace de Vieil-Castel,
Mémoires
. Paris, 1883, t. I, p. 41. 28. Id., ibid., p. 1
34. 31. Théodore de Banville, Odes funambulesques. 32. Dr L. Véron,
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 104. 33. Cha
un Bourgeois de Paris, t. III, p. 104. 33. Charles de Boigne, Petits
Mémoires
de l’Opéra, Paris, 1857, p. 303. 34. Mémoires d
les de Boigne, Petits Mémoires de l’Opéra, Paris, 1857, p. 303. 34.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 257. 35. Mé
p. 303. 34. Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 257. 35.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 180. 36. Th.
36. Th. Gautier, Portraits contemporains. Paris, 1874, p. 344. 37.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 176. 38. Hen
rt dramatique en France, t. I, p. 191-192. 41. Ch. de Boigne, Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 86. 42. Berlioz, Mémoires, t. II
41. Ch. de Boigne, Petits Mémoires de l’Opéra, p. 86. 42. Berlioz,
Mémoires
, t. II, p. 91. 43. Eugène de Mirecourt, les Cont
43. Eugène de Mirecourt, les Contemporains, Meyerbeer, p. 83. 44.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 233-234. 45.
83. 44. Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 233-234. 45.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 235. 46. La
cet exercice était à la mode à la Cour d’Henri IV. Je trouve dans les
Mémoires
du temps, qu’on y exécuta plus de quatre-vingts g
ance] 97. Mém. de Sully. Liv. 1. 98. L’Hiver de 1608, disent les
Mémoires
de Sully, Liv. 25, se passa tout entier en de plu
des Grands dudit Ballet. J’ai pesté des fois plus de mille Contre ma
mémoire
débile, Et je jure qu’à l’avenir (Quoi que peu da
r à ce prix, Qu’ils méritent bien que l’Histoire En conserve aussi la
mémoire
.
d’établir leur Séjour En son aimable et belle COUR. La DÉESSE de la
MÉMOIRE
,60 Qui de l’OUBLI sauve la Gloire Et le Nom des
tant de Tableaux. 60. Mnémosine. 61. Melle Hilaire représente la
Mémoire
, et le sieur le Gros et huit pages représentent l
urs pour rassembler mes idées vagues et éparses, et pour consulter ma
mémoire
usée et souvent infidèle. Après m’être transporté
s Honneurs, Avec tant de grâce et de gloire Qu’on n’en peut perdre la
Mémoire
. Avant ce superbe Banquet Qui rend si fécond mon
pour ainsi dire, de leurs sépulcres ; et en les ressuscitant dans la
mémoire
des hommes, ils leur assigneraient une place au t
, quelquefois plus éloquente que celle du discours. Gairick avoit une
mémoire
imperturbable. Le souffleur étoit pour lui une ma
ntraire, se trouve perpétuellement. embarrassé. La peur de manquer de
mémoire
l’occupant sans cesse, met des entraves à son déb
ortent l’empreinte de la crainte et de l’inquiétude. Un comédien sans
mémoire
, un danseur sans oreille, et un chanteur privé d’
ce qui l’importune. Chez Garrirk, aucune tension, aucune servitude de
mémoire
ne se manifestoit. Il n’étoit point obligé de tât
rdent leur force et leur puissance, si elles ne sont soutenues par la
mémoire
. Elle est à l’acteur et à l’orateur, ce que la br
es particularités de ses diverses danses se confondent un peu dans ma
mémoire
. Mais le charme intense et délicat de toute sa ju
Au public I Ami lecteur, je suis forcée d’arrêter ici mes
Mémoires
. Je n’ai plus rien à dire. Si tu te plains de ma
ns me soucier beaucoup du mot à mot. Je n’avais alors besoin, avec ma
mémoire
sûre et toute fraîche, d’entendre un poème qu’une
mper d’une syllabe. J’ai toujours gardé, d’ailleurs, une merveilleuse
mémoire
. Je l’ai prouvé par la suite en prenant au pied l
produits pour la scène, placent votre nom à côté des artistes dont la
mémoire
sera chère aux amis des arts et de l’harmonie. Eh
qu’on doit se rendre familières, c’est-à-dire, se les graver dans la
mémoire
, les répétant souvent, tantôt du pied droit, tant
augmenter le pécule. C’est à quoi je songe en évoquant pieusement la
mémoire
d’un grand Français ignoré en France. Du reste la
se de sa Belle au bois dormant à l’Opéra, par Diaghilev, sera pour sa
mémoire
le plus éclatant des hommages.
as fils ait pu me dire : — Elle devrait écrire ses impressions et ses
mémoires
. J’aurais voulu savoir d’elle comment elle eut l’
et, je reçus une lettre de M. Claretie, m’engageant à commencer mes «
Mémoires
». Peut-être avait-il raison, mais je n’osais aff
suis décidée à tremper ma plume dans l’écritoire et à commencer ces «
Mémoires
», — ces « Mémoires », écrits en anglais, et que
er ma plume dans l’écritoire et à commencer ces « Mémoires », — ces «
Mémoires
», écrits en anglais, et que le prince Bojidar Ka
rtus éclatantes, des femmes illustres, dont on conservait en Grèce la
mémoire
. Ces tableaux animés excitaient dans l’âme de Cly
u Carnaval, d’une critique que l’on trouve dans le cinquiéme tome des
Mémoires
de l’Espion Turc, sur l’usage que tous les Cathol
ble qu’il avoit amassé par son travail, il s’avisa, pour éterniser sa
mémoire
, de faire une fondation pour marier un garçon &am
t changé de Religion ; ce qui marque la vénération qu’ils ont pour la
mémoire
de ce fameux Peintre natif de leur Village, dont
t. On marche dans les sentiers difficiles qui conduisent au Temple de
mémoire
à côté des Montesquieu, lorsqu’on peint comme Van
d’un joug pésant et d’une servitude qui enchaîne mes idées et met ma
mémoire
à la torture. Je ne vous parlerai point, Madame,
un art affranchi de la tyrannie académique fut Marie Taglioni. 48.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 155. 49. Ga
49. Gazette des Théâtres, 16 août 1835. 50. Ch. de Boigne, Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 79. 51. Mémoires d’un Bourgeois
ût 1835. 50. Ch. de Boigne, Petits Mémoires de l’Opéra, p. 79. 51.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 221. 52. Ca
55. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique, t. III, p. 222. 56.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 224. 57. L’
, p. 224. 57. L’Académie impériale de Musique, t. II, p. 153. 58.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 214. 59. Pe
58. Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 214. 59. Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 19. 60. Histoire de l’Art dramat
à entretenir. « Lorsque (dit il poétiquement), la raison répète à la
mémoire
les concerts que cette harmonie a formés, toutes
ui se dansoit aprés les branles, & même Louis Quatorze d’heureuse
mémoire
la dansoit mieux que personne de sa Cour, ce que
ces hommes extraordinaires, que la tradition avait agrandis dans leur
mémoire
, se présentassent les premiers à leur esprit, com
tites moustaches très noires. « Quatre noirceurs, ajoutent les Petits
Mémoires
de l’Opéra, qui donnent ordinairement de l’expres
s les casses de l’imprimerie. » On me permettra de ne citer que pour
mémoire
les noms de mesdemoiselles Fioretti, Boschetti, S
, avec cette fougue qu’elle met en tout. Mais elle n’efface pas de ma
mémoire
la figure de porcelaine de la ballerine-Karsavina
de son vivant. On n’a point attendu sa mort pour rendre hommage à sa
mémoire
, L’estime et la reconnoissance publique ont voulu
flechir et d’écrire sur leur art ; ils adresseroient à la société des
mémoires
souvent instructifs ; l’académie, à son tour, ser
ment que les demi-talens. Mais revenons à l’académie de danse. Que de
mémoires
excellents ! que d’observations neuves, et combie
er les aîles de deux artistes faits pour graver à jamais au temple de
mémoire
, et leurs noms, et celui des personnages, qu’ils
chir & d’écrire sur leur Art ; ils adresseroient à la Société des
Mémoires
souvent instructifs ; l’Académie à son tour seroi
ipes ? Que de préceptes pleins de justesse & de solidité ! Que de
Mémoires
excellents ! Que d’observations instructives, &am
s ailes de deux grands hommes faits pour graver à jamais au temple de
Mémoire
& leurs noms & celui des personnages qu’i
i plaire à leur tour. Par là, finit le premier Acte, Selon qu’en ma
mémoire
exacte, J’en ai le détail retenu : Et voici tout
Ils devaient être Poètes et fort bons Poètes. Tous les trésors de la
mémoire
, de l’esprit et de l’Art, suffisaient à peine à l
le, — qui, dans le monde, apprécie le plus la valeur d’un nom !… Pour
mémoire
, j’ajoute que la choriste américaine, dont j’ai p
a offert ni le commentaire savant d’un archiviste-paléographe sur les
mémoires
du duc de Saint-Simon ni un manuel pour reconnaît
nous qui ne l’avons pas connue, trouver d’assez beau pour en orner sa
mémoire
? Quels mots assez légers pour qu’ils ne pèsent p
un poids considérable en leur faveur. Voilà, Madame, tout ce qu’une
mémoire
usée par le temps et le malheur a pu retenir sur
elle fit à Bayonne, avec toute la Cour : ce fait est confirmé par les
Mémoires
de la Reine de Navarre, qui disent qu’elle avoit
e Prevôt des Marchands & les Echevins s’aviserent de présenter un
Mémoire
au Roi, pour le prier de leur accorder un petit d
ubliques de la Ville, pour régaler les Cantons. Henri IV. ayant lû le
Mémoire
, leur dit : Messieurs, il n’appartient qu’à Dieu
Ma tante et M. Jules Janin. I — Oh ! Rigolboche qui publie ses
Mémoires
! — Eh bien, oui, ma chère, est-ce que cela te gê
spillage, l’emploi de ses deniers. Qu’on en juge par les chiffres. Le
mémoire
des décorations exécutées par MM. Séchan, Feuchèr
, Ropiquet, Benard, Danse et Forster, pour un total de 418 fr. 70. Le
mémoire
le plus élevé fut celui des fournitures de passem
briquée par un procédé nouveau ». Ça, c’était la vraie gloire. 93.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 181-182. 94.
tique de 1830, avait la valeur d’un éloge. 95. Ch. de Boigne, Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 78. 96. Voir le Petit Courrier de
, croient qu’il ne faut avoir que des jambes pour être danseur, de la
mémoire
pour être comédien, et de la voix pour être chant
pliquent qu’à remuer les jambes, les autres qu’a faire des efforts de
mémoire
, et les derniers qu’à pousser des cris ou des son
croient qu’il ne faut avoir que des jambes pour être Danseur ; de la
mémoire
pour être Comédien ; & de la voix pour être C
pliquent qu’à remuer les jambes, les autres qu’à faire des efforts de
mémoire
, & les derniers qu’à pousser des cris ou des
Véron nous fournit l’exemple suivant dans le troisième volume de ses
Mémoires
: « Je m’aperçus que l’une de mes ballerines, qu
ieur à Phidias. Il a besoin de se faire de bonne heure une excellente
mémoire
. Tous les temps doivent toujours être présents à
ne peut pas être passé sous silence dans un livre qui s’appelle : les
Mémoires
de Rigolboche.
e de la Reine, Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il n’est
mémoire
en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les hab
ntée par ses yeux et que je ne pouvais plus effacer son sourire de ma
mémoire
. Un soir il y eut bal à l’hôtel. J’y fus invitée,
e jugement. C’est par la même raison que l’acteur qui n’exerce que sa
mémoire
, a l’esprit si rétréci hors de ses rôles, et que
a valeur, se livrent à des jeux qu’ils ont institués, pour honorer la
mémoire
de ce grand capitaine. Les prêtres entrent dans l
x donnèrent encore plus de prix à sa correspondance. Tout en écrivant
mémoires
sur mémoires pour le compte du gouvernement autri
ncore plus de prix à sa correspondance. Tout en écrivant mémoires sur
mémoires
pour le compte du gouvernement autrichien, tout e
lité du prince de Metternich, multiplier les besognes lucratives. Les
mémoires
qu’il écrivit en 1811 à l’occasion de la réforme
cteur de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir. Il écrit, dans ses
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris : « Le bruit se répandit
jours passés avec Gentz, et jusqu’à sa mort elle garda pieusement la
mémoire
de son ami parti depuis longtemps. » Elle évoquai
-Osten, Mein Verhältniss zum Herzog von Reichstadt. 22. Dr L. Véron.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, Paris, Librairie Nouvell
t sur ce titre glorieux, et se voua au plus profond silence. Point de
mémoire
instructif, point de discours, point de complimen
ommée s’est fait entendre ; et la postérité toujours juste a vengé la
mémoire
de Colbert, eu lui décernant le surnom de grand.
XVI. Les grises. La grise ou la blanche n’est placée ici que pour
mémoire
. Les tout jeunes gens qui ont encore la faiblesse
un char traîné par quatre éléphans. L’un & l’autre insultent à la
mémoire
du Sultan. On met le feu au bûcher. Scene XX
l’œil lit sans peine et sans embarras l’histoire d’un prince dont la
mémoire
est gravée par l’amour et la reconnoissance, dans
œil lit sans peine & sans embarras l’Histoire d’un Prince dont la
mémoire
est gravée par l’amour & la reconnaissance da
le rein change de nom. » Et M. de Boigne d’ajouter dans ses amusants
Mémoires
: « Avec le temps, elle s’habitua si bien à ce f
t, du côté de Londres, l’astre montant de Fanny Elssler 64. Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 43. 65. Mémoires d’un Bourgeois
tant de Fanny Elssler 64. Petits Mémoires de l’Opéra, p. 43. 65.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 224. 66. Th.
III, p. 224. 66. Th. Gautier, Portraits contemporains, p. 429. 67.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 223. 68. G.
tes olympiques de la Grèce. Je suis persuadé qu’en consultant bien sa
mémoire
, elle retrouverait les secrets de la fameuse pyrr
um sub crotalo docta movere latus, vous revient involontairement à la
mémoire
. L’esclave syrienne qu’il aimait tant à voir dans
e, avant de conquérir le Nouveau-Monde. 118. Horace de Viel-Castel,
Mémoires
, t. I, p. 41. 119. Petits Mémoires de l’Opéra,
e. 118. Horace de Viel-Castel, Mémoires, t. I, p. 41. 119. Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 210 et p. 236. 120. Le Courrier
l’Art dramatique en France, t. I, p. 190. 134. Ch. de Boigne, Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 90. 135. La lettre de Th. Gautier
d’une douce naïveté, voilà ce que Carlotta Grisi avait laissé dans la
mémoire
des gens du monde et des feuilletonistes. Giselle
on cher Loys, lorsqu’il n’était pas le comte Albrecht, lui revient en
mémoire
; elle en exécute les poses et les temps avec une
ge. 102. J’en ai déjà parlé dans la première Partie. 103. Voyez les
Mémoires
de la Reine de Navarre. 104. Bonnet Hist. de la
mises à leur place ; & convenez enfin que parce que vous avez une
mémoire
excellente, & l’art de faire valoir les vers
échange les hommes de génie firent oublier ses cruautés : sans eux la
mémoire
d’Auguste eût été confondüe avec celle des Tarqui
ire : Il la fit. « J’envoyai à l’instant même, raconte-t-il dans ses
Mémoires
, chercher chez Janisset un remède à de si profond
ue ses succès de théâtre. Ecoutons l’auteur — déjà cité — des Petits
Mémoires
de l’Opéra, lequel semble avoir prodigué à cette
du chant. » Mlle Albertine Coquillard On lit dans les Petits
Mémoires
de l’Opéra : « D’un talent agréable, mais d’une
ppris, par le Cn Cellérien, que le sieur Gallet vous avait adressé un
mémoire
dans lequel il cherche à prouver que tous les maî
répondit : « Je commande un corps où vous servez depuis long-temps ».
Mémoires
de Ninon de Lenclos. 26. Entre Pécour et Dupré,
Louvre, et après le festin, le Ballet de Circé et de ses Nymphes ».
Mémoires
de l’Étoile, tome premier, p. 150. Ce ballet, d
n 1780 : elle eut le plus grand succès. 4. Sully raconte dans ses
Mémoires
le fait suivant, en parlant de Madame, sœur du Ro
La Danse fut un des amusemens favoris de Henri iv. On trouve dans les
Mémoires
de la Cour de ce temps, qu’on y exécuta, depuis 1
liques, pour apprendre cet art. Ce langage s’imprime aisément dans la
mémoire
, parce qu’on oublie rarement ce qu’on a vu. Hérod
s à Phidias ni à Apelles pour le regard. Mais sur-tout il a besoin de
mémoire
, &c. ». Ici Lucien entre dans un détail immen
mademoiselle Lyonnais ne fut pas heureuse. On lit, en effet, dans les
Mémoires
du temps : « Voyez la Lyonnais. Pendant quinze an
s choses merveilleuses. » Ce Théâtre était, en outre, affirment, les
Mémoires
du temps le rendez-vous ordinaire des plus jolies
ïences bleues, recouvertes de lourds tapis orientaux. J’écris cela de
mémoire
, cinq ans après ma visite, mais je suis sûre de n
ue a établies. Ce n’est pas assez que de lire, il faut graver dans sa
mémoire
tous les grands traits que l’on croit propres à l
propre leur conseille d’abandonner leurs maîtres, et de rayer de leur
mémoire
les tendres soins, les peines et les fatigues qu’
conter des souvenirs de cette sereine existence d’artiste. C’est à sa
mémoire
inépuisable que fit appel Stendhal, lorsqu’il ent
. Pohl, Joseph Haydn, Berlin, 1875, I, 1, p. 268. 3. Hector Berlioz,
Mémoires
, t. II, p. 100. 4. Ludwig Speidel, Fanny Elssler
elle comme une simple particuliere ; mais les Juifs pour célébrer sa
mémoire
, ont depuis continué cette fête tous les ans, jus
i dire, de programme, aux spectateurs, qui, les ayant gravées dans la
mémoire
, suivoient l’acteur sans peine, et le devinoient
si dire, de Programmes aux Spectateurs, qui les ayant gravées dans la
mémoire
suivoient l’Acteur sans peine, & le devinoien
vis-à-vis de moi-même, vous me rendriez peut-être injuste envers une
mémoire
que je veux respecter. De même qu’en me blâmant,
dont témoignent ses œuvres. Sans doute l’intuition et une prodigieuse
mémoire
, jointes à d’intelligentes lectures, lui permiren
iode milanaise, de ceux dont il est le plus souvent question dans les
mémoires
du temps et en particulier dans les livres et les
] [6] Ces paroles du grand Léonard 18 doivent être gravées dans la
mémoire
du danseur et du mime, aussi bien que dans celle
; car il ne s’agit point ici d’une opération froide et commune de la
mémoire
. Il n’est point d’homme à qui elle ne rappelle so
elles un geste, un regard, font le plus grand effet. Sans fatiguer ma
mémoire
par de longues recherches, je vous rappellerai ce
ez, la plûpart des Auteurs ont écrit selon leur passion, ou selon les
mémoires
qu’on leur a donnez ; qu’ainsi ils nous ont laiss
es font d’autant plus d’impression dans notre esprit & dans notre
mémoire
, qu’elles exercent plus agréablement notre attent
arles Maurice, Histoire anecdotique du Théâtre, t. II, p. 124. 103.
Mémoires
d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 223. 104. L
, p. 283. 111. L’Artiste, t. XI, 1836, p. 241 et 312. 112. Petits
Mémoires
de l’Opéra, p. 132. 113. Le Siècle, 18 juillet
ition. Je ne sais quelle brume compacte s’est mise un moment entre ma
mémoire
et l’horizon de la poésie antique ; par l’effet d
’O, il n’était plus temps de modifier mon ignorance, de rafraîchir ma
mémoire
et de demander au vieil Homère pourquoi il n’avai
aux lettres. Elle obtient tout, sous condition de ne pas publier ses
mémoires
et de brûler les anciennes lettres d’amour. L
ttention chaque article ou leçon, afin de fixer les principes dans la
mémoire
, et par ce moyen de les avoir toujours présens à
tres, ne laisse échapper aucune occasion de rappeler la danseuse à la
mémoire
des Parisiens. Du reste le très remarquable « por
mes. Adieu, mes bons amis ! Adieu, Amérique ! Vivante, je chérirai ta
mémoire
; mourante, je te bénirai. » D’après l’Historiog
son discours et tira, tout penaud, un papier pour venir en aide à sa
mémoire
infidèle. Mais cela ne marcha pas beaucoup mieux
ilège de s’asseoir auprès de l’étoile pendant son dîner. Je cite pour
mémoire
Boïeldieu, qu’elle épousa en 1802, mariage dont l
nde, comme si de rien n’était. Je voulais conserver son image dans ma
mémoire
, et je trouvais, à la contempler obstinément, je
e où je trouve le plus de variété, de goût, et d’invention. Voyez les
Mémoires
de la reine de Navarre. [voir Traité historique,
de la reine, princesses, et dames tant richement vêtues, qu’il n’est
mémoire
en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les hab
et les sources heureuses du doux calme dont nous jouissons! Voyez les
mémoires
du temps, et les diverses relations des fêtes de
de la naissance d’un duc de Bourgogne. L’histoire, les relations, les
mémoires
, nous apprennent ce que les hommes célèbres ont f
t devoir en rapporter quelques détails qu’on a rassemblés d’après les
mémoires
du temps. Le Roi après son sacre partit de Soisso
te d’un genre aussi neuf qu’élégant, dont on n’a parlé dans aucun des
mémoires
du temps, qui mérite à tous égards d’être mieux c
re du soleil ; prince à jamais célèbre par ses actions! les filles de
mémoire
chanteront sa gloire toutes les fois qu’elles cha
chants agréables frappent d’abord ; ils se gravent facilement dans la
mémoire
: mais peu de compositeurs y réussissent. Il y a
p bégueule à cet endroit. Elle fut même, pour un temps, si j’ai bonne
mémoire
, « consignée » à la porte de ce foyer, « exclue d
lle reste ensevelie dans un assoupissement profond : la routine et la
mémoire
sont les chevilles ouvrières de la machine qui ag
dont la moustache ne saurait nous en imposer, à nous qui avons bonne
mémoire
. — C’est doña Florinde en personne. — Elle s’y pr
uvemens, et à ne plus travailler pour ceux qui n’existent que dans la
mémoire
du public, et dont le genre est presqu’éteint. La
ents, & à ne plus travailler pour ceux qui n’existent que dans la
mémoire
du Public, & dont le genre est presque éteint
. L’amour en a besoin comme la haine ; et ma joie et mon amertume, ma
mémoire
avec mes projets, se partagent en frères la même
urut à Vienne le 27 novembre 1884, elle fut sincèrement pleurée. « Sa
mémoire
restera chère, dit la baronne de Knorr, à tous ce
ellement moqué, que nous devons traiter brièvement et, seulement pour
mémoire
, cette partie de ses annales. Il n’était plus que
tions sur les principes, c’est pour les tenir sans cesse présens à la
mémoire
et à l’attention des élèves qui les oublient trop
▲