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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
venu, le jour même où nous devions nous embarquer pour la Russie, ma mère chancela et serait certainement tombée si je n’av
it appeler un médecin du voisinage, qui ne put me dire ce qu’avait ma mère . Comme il était Français je ne le comprenais du r
tait Français je ne le comprenais du reste que très mal. L’état de ma mère empira, et je résolus définitivement de ne pas l’
escendis et sautai dans un train qui me ramena à Paris. Je trouvai ma mère plus malade, et je priai le docteur de ne parler
ue quelqu’un venait, et j’avais pris une garde-malade pour veiller ma mère , tellement je me sentais dans les mains des phili
bien accusée de vol ! Toute cette scène se déroula en présence de ma mère , ce qui ne fut peut-être pas un pur effet du hasa
compte de cette intention. Toutes deux nous étions mortes de peur. Ma mère me supplia de partir. Le cœur plein d’amertume, l
is vue qu’une ou deux fois, vint faire visite chez nous, et voyant ma mère très malade, elle alla, de sa propre autorité, ch
que le médecin que j’avais sous la main pourrait aussi bien tirer ma mère d’affaire et la mettre en état de partir avec moi
juste au moment où des docteurs français (le médecin qui soignait ma mère avait appelé trois de ses collègues en consultati
, ne pouvait plus la sauver. Le docteur anglais s’offrit à soigner ma mère et les médecins français se retirèrent dès qu’ils
ntière russe un télégramme me parvint. « Revenez immédiatement, votre mère a peu de chances de guérir. » C’étaient les premi
rance. Des larmes à nouveau inondèrent mes joues et je lui dis que ma mère était mourante à Paris. Il répéta les mots « mère
t je lui dis que ma mère était mourante à Paris. Il répéta les mots «  mère  » et « malade » en allemand. Il étendit la main p
savoir, il rouvrit les yeux et me dit en allemand : — Non, non, votre mère ne mourra pas : Je sentis ce qu’il disait et comp
mère ne mourra pas : Je sentis ce qu’il disait et compris les mots «  mère  » et « non ». La terrible oppression qui me marty
çus que sa parole n’était pas vaine, qu’il disait la vérité et que ma mère n’allait pas mourir. Je cessai de pleurer, sûre q
rent et je me retrouvai aussi malheureuse qu’auparavant. Je voyais ma mère étendue morte. Je revoyais ces hommes odieux qui
à Paris pour avoir des nouvelles. On leur avait répondu que ma pauvre mère était toujours entre la vie et la mort. J’avais e
voiture il me recommanda : — Entrez dans la chambre et parlez à votre mère comme si vous ne l’aviez jamais quittée. Votre pr
, j’en suis certaine, une des raisons des progrès de la maladie de ma mère . Ma santé aussi s’altéra au point que je ne suis
en Russie, car chaque fois qu’on parlait d’un voyage là-bas ma pauvre mère tremblait d’épouvante ; et il n’en fut jamais plu
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
et moi allions tous les dimanches, rendit, un après-midi, visite à ma mère et la félicita des débuts que j’avais faits le di
débuts que j’avais faits le dimanche précédent à son Lycée. Comme ma mère ne pouvait pas comprendre de quoi il voulait parl
ma pièce au Lycée, dimanche dernier. — Récité votre pièce ? répéta ma mère , qu’est-ce qu’elle veut dire ? — Comment, dit le
sident, vous ne savez pas que Loïe a récité des poésies dimanche ? Ma mère était presque épouvantée, tant elle était surpris
ièce. — Oh oui, dit le président, et elle a eu beaucoup de succès. Ma mère demanda des explications. Le président lui dit al
ite prière. Ce qu’était celle prière je ne m’en souviens pas. Mais ma mère l’interrompit. — Oh ! je sais. C’est la prière qu
manche suivant, j’allai comme d’habitude au Lycée avec mes frères. Ma mère vint aussi dans le courant de l’après-midi, et s’
r qu’elle tenait à la main. Lorsque la dame eut achevé sa lecture, ma mère entendit ces mots : — Et maintenant nous allons a
, réciter une poésie intitulée : « Marie avait un petit agneau. » Ma mère , au comble de la stupéfaction, était incapable de
écédent. Seulement cette fois personne ne se moqua de moi. Lorsque ma mère vint me rejoindre, longtemps après, elle était en
ment, pour apprendre le rôle. Le dimanche dont je viens de parler, ma mère ressentit la première commotion nerveuse qui deva
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
ation plus particulière de s’opposer aux danses, ce sont les pères et mères à l’égard de leurs enfans, et les maîtres et maît
ourner. D’abord, c’est une obligation indispensable pour les pères et mères d’empêcher, autant qu’ils le peuvent, leurs enfan
d’aller aux danses. Si, par une négligence notable d’un père et d’une mère , un seul de leurs enfans tomboit dans le feu ou d
nt de cette négligence ? Combien sont plus blâmables les pères et les mères qui, par une semblable négligence à préserver leu
en grand danger d’en commettre ! On est indigne du nom de père et de mère , lorsqu’après avoir enfanté des fils et des fille
ce tonnerre ne réveille point de leur négligence tant de pères et de mères qui ne se mettent point en peine de l’ame et du s
ns une profonde mort. Les saints pères ont fortement parlé contre les mères qui, pouvant nourrir leurs enfans, les donnent à
ent de mauvaises mœurs. A combien de plus grands dangers les pères et mères exposent-ils la pureté de leurs enfans, en les la
st propre qu’à corrompre ? Cependant, combien y a-t-il aujourd’hui de mères qui non-seulement laissent tranquillement leurs f
ux talent, dans cet art si funeste ! L’obligation qu’ont les pères et mères d’empêcher, autant qu’ils peuvent, leurs enfans d
aîtres et maîtresses envers leurs domestiques, avec ceux des pères et mères envers leurs enfans, dans une exhortation qu’il f
t qu’ils soient, en ont d’autres sous leur charge, comme les pères et mères , les maîtres et maîtresses. « Ne croyez pas, dit-
dont vous venez de voir qu’ils sont punis. » De ce que les pères et mères doivent, autant qu’il est possible, inspirer à le
plement et sans prévention quel est, sur cet article, le devoir d’une mère chrétienne et raisonnable. Comme il y a des étude
putation, se renfermer dans ces bornes pour satisfaire aux désirs des mères chrétiennes, qui joignent à une grande naissance
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
y avait quarante degrés au-dessous de zéro. En ce temps mon père, ma mère et mes frères habitaient une ferme à seize milles
l fut impossible de chauffer convenablement la maison. La santé de ma mère donnait des inquiétudes à mon père. Il alla donc
donc à se joindre à ses voisins. Mais ceux-ci insistèrent pour que ma mère les accompagnât également Que ferait-elle du bébé
qu’une chose à faire dans ces conditions : emmener aussi l’enfant. Ma mère se défendit tant bien que mal, alléguant qu’elle
n air de petit pauvre. Vous pouvez vous imaginer les sentiments de ma mère lorsqu’elle vit sa fille apparaître dans un tel n
5 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
 — Elles rebondissent ! On raconte qu’un jour mademoiselle Emarot, —  mère de mademoiselle Emma Livry, — étant entrée inopin
d’horloge. On en pourrait bien faire assurément Deux femmes de cœur, mères de famille, Préparant la soupe et tirant l’aiguil
F. S… ne rentra pas, pour la première fois, au domicile paternel. La mère pleura beaucoup. Le père veilla, lui, toute la nu
s crispées. Le petit frère suivit le père de loin et revint dire à sa mère qu’il venait d’entrer tout droit chez le marquis
e à sa mère qu’il venait d’entrer tout droit chez le marquis de X… La mère se leva et courut à l’église. Le père de la danse
assée dernièrement au foyer. Une des plus charmantes coryphées a pour mère une ancienne modiste qui a rôti — par tous les bo
eut recours à des circonlocutions. — Mademoiselle, lui dit-il, votre mère était une fort honorable commerçante. Je l’ai bea
6 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
résolution fut vite prise. Toutes fraîches débarquées à New-York, ma mère et moi étions des étrangères dans la grande ville
orsque j’appris que Sarah allait jouer pour les artistes, je dis à ma mère  : — Maintenant, je vais la voir. — Il y a tant d’
is la voir. — Il y a tant d’artistes célèbres à New-York, répondit ma mère , comment veux-tu qu’il y ait de la place pour toi
rs, il faut que je me dépêche. — Comment t’y prendras-tu ? demanda ma mère . Je m’arrêtai un moment pour réfléchir. — Je ne s
L’objection ne me parut pas formidable, et je me mis en roule avec ma mère qui m’accompagnait toujours et m’obéissait en tou
ne me permirent pas d’attendre davantage, et je dis à l’oreille de ma mère  : — Je vais aller frapper à la porte. Elle devint
— Voilà, monsieur. Je suis une artiste, et je voudrais venir, avec ma mère , à la matinée que Sarah Bernhardt donne pour nous
aisserez tout de même… la voir si… je vous le demande. — Où est votre mère  ? — Là, dehors. Et je désignai la porte. — Cette
. — Eh bien ! je vais vous donner des places pour vous et pour votre mère . — Oh ! merci, monsieur. Le directeur tira une ca
s larmes de bonheur que je ne pouvais plus retenir, et, rejoignant ma mère , je sortis du théâtre. — Qu’y a-t-il, chère Loïe 
place pour vous aussi. Le grand jour survint. Nous étions placées, ma mère et moi, au milieu des fauteuils d’orchestre Autou
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
uffu ; il en écarte avec précaution les branchages, et il découvre sa mère . Cette Déesse ne peut pardonner cette méchanceté,
boude, et il part dans la résolution de se venger des caprices de sa mère . Scène III. Vénus se mêle aux jeux des Faun
disparoît, et il est remplacé par l’Amour qui tombe aux genoux de sa mère dans l’attirail du Dieu des combats. Cet accoutre
e que dans l’instant, il lui ramènera son Berger, mais il exige de sa mère un baiser pour prix de ce service ; la faveur lui
8 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
e élémentaire de la danse. J’ai cherché surtout à me rendre utile aux mères de famille qui pourront facilement, à l’aide de c
leurs enfants, et en diriger elles-mêmes les progrès. En parlant des mères de famille, était-il possible que je n’eusse pas
personnes qui ont le bonheur de vous approcher : Le cœur d’une bonne mère est le chef-d’œuvre de la Divinité. Je suis avec
9 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
cachemire. — Comment on rembourse les provinciaux. — La lettre de ma mère . — M. d’Ennery. — Ce qu’on lui doit. I Il f
e dans un détail trop prosaïque, mais profondément significatif. — Ma mère me forçait à mettre un corset : chez moi, au moin
IX — Avec les larmes que j’ai versées depuis mon départ de chez ma mère , me disait un jour une ouvreuse repentante, on au
e qualifie tout simplement de sublime. Elle a inventé la Lettre de ma mère . Sur sa cheminée traîne perpétuellement une épîtr
maladresse lui coûte fatalement plusieurs louis. La missive est de la mère , laquelle, dans un style pathétique, fait à sa fi
iscrétion, il est forcé, pour se la faire pardonner, de secourir « la mère . » Et quand on pense que cette lettre est copiée
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
loge. Une flamme s’alluma dans les yeux de l’enfant et elle suivit sa mère en lui serrant nerveusement la main. Si la fillet
ère de fée, ainsi que le prouve du reste la fin de cette anecdote. La mère et l’enfant pénétrèrent donc dans ma loge. Une ha
s en plus. A mesure que je m’avançais elle reculait. Très étonnée, la mère dit enfin : — Qu’as-tu donc, ma chérie ? C’est mi
en plus dans leur conviction que la dame qu’ils avaient vue chez leur mère et qui s’était fait passer pour la Loïe Fuller le
s que j’inspirai, deux ans plus tard, en effet, à ce bambin et que sa mère , Mme Roger Marx, me communiqua depuis : Pâle vis
ses études et échappa complètement à l’influence et au contrôle de sa mère . Les choses en arrivèrent au point qu’il fallut f
11 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
chante ou les raconte assise à son rouet, et la jeune fille, devenue mère , berce avec la légende le sommeil et le réveil de
voisin, cruelles envers leurs admirateurs, et justement punies par la mère de l’un d’eux, fée de son métier, qui vengea ains
es sous les flots de l’Océan, leur ont inspiré des rêveries sans fin, mères de légendes pleines d’un étrange intérêt. « En 1
ya dans l’Elbe, attiré par un Ondin qui prétendait jouer avec lui. Sa mère se rendit à l’église et pria beaucoup, six jours
lument qu’une seule phalange du petit doigt de la main gauche, que la mère chercha avec beaucoup de soin. C’est une des prin
ue, et de l’invincible charme auquel il a cédé malgré lui. La vieille mère traite ce récit d’enfantillage ; Giannina, moins
enu par une gaze d’or, glisse sur les tiges des nénuphars. La vieille mère , attentive, prête l’oreille à ce frôlement léger,
qui la blesse dans ses plus chers désirs. C’est le fil de la vieille mère qui se casse, le rouet qui se met à tourner à reb
ême et de son amour. Les caresses de Giannina et la bénédiction de la mère planent encore sur la tête de Mattéo, dont tant d
age du lac ; il y fait monter sa fiancée, qu’il va reconduire chez sa mère . La nuit est calme et le lac silencieux ; la ram
a décadence humaine et de l’humaine douleur. « Cette rose, lui dit sa mère , est à demi flétrie, et vous languissez comme ell
12 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
ce, elle avait encore auprès d’elle la nourrice qui avait remplacé sa mère . Cette femme me raconta que Gab lui faisait faire
e fatigue. Elle me dit encore que Gab était si sauvage que lorsque sa mère recevait une visite, quand l’enfant était au salo
tait pendant combien de temps, jusqu’à ce que l’intrus s’en allât. Sa mère avait tant de souci de ce qu’elle appelait la tim
t elle publiait un manuscrit qu’elle avait trouvé après la mort de sa mère . Elle le fit éditer avec son argent de poche. Le
de mes débuts aux Folies-Bergère, Gab avait quatorze ans. Un jour sa mère lui dit : — Il y a une nouvelle et étrange danseu
ais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa femme, et avec sa mère qui ne la quitte pas. — Est-ce que sa danse la fa
s plus simples complétaient le costume. Après cette vision, Gab et sa mère s’en retournèrent avec leurs places pour la matin
13 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
de magasin. — Le directeur Thuret — Un équipage sous enveloppe. — Une mère inflammable. — Comment elles vivent. — Comment el
on des alliés, qui en firent : Des millionnaires, Des princesses, Des mères de famille respectées… Car on peut faire d’une m
chère enfant no dormirait pas tranquille, si ce n’était pas sa pauvre mère qui l’aidait à se mettre au lit. Les mères de ces
si ce n’était pas sa pauvre mère qui l’aidait à se mettre au lit. Les mères de ces demoiselles débutent par être leurs bonnes
tranger avait envoyé à un petit sujet une voiture et deux chevaux. La mère de la ballerine lui adressa le billet suivant : «
Cette femme de sens entendait ne rien perdre sur le lavage. *** Les mères actuelles, du reste, commencent à ne plus ressemb
comment m’y prendre ?… Comme il cherchait un moyen et une formule, la mère se pencha tendrement à son oreille : — A présent,
du fruit de ses déménagements successifs ; que Fanny Génat joue les «  mères nobles » à Cluny ; que Laure Fonta s’est consacré
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
resta attaché à la passerelle et on crut que nous allions sombrer. Ma mère et moi n’avions jamais fait de traversée. Nous ét
elques jours plus tard nous débarquions à la Jamaïque, à Kingston. Ma mère , M. Morris et moi logions au même hôtel, « le Cla
que j’étais à peine âgée de six semaines !… Un jour, je demandai à ma mère et à M. Morris d’inviter le nouveau venu à notre
avec ses amis, via New-York, et il n’était pas arrivé à savoir si sa mère , ses frères et ses sœurs étaient morts ou en vie.
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
e avec douceur et semble lui reprocher d’avoir abandonné son père, sa mère et lui-même, pour suivre un étranger séducteur. I
e et leur indignation ; Eliza vole dans les bras de son père et de sa mère  ; ils la repoussent ; elle tombe à leurs pieds ;
accourent ; ils joignent leurs prières et leurs pleurs à ceux de leur mère . Zirca ne pouvant être insensible à la vue d’un t
t lui pardonne. Eliza se précipite dans les bras de son père et de sa mère  ; elle leur exprime ainsi que Belton son amour, s
16 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Troisième lettre. A monsieur Juste Odoard, à Lyon. »
monsieur, je vous approuve. Je sais combien vous êtes attaché à votre mère adoptive, et je serais désolé de vous séparer d’e
17 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
tière infatigable : on en sait quelque chose chez Fournaise à Chatou. Mère d’une grande fille qui travaille la comédie, au C
nt qui fait crier les dames des commerçants en rupture d’épicerie. Sa mère a sa chaise capitonnée à l’église. Et Dieu sait c
ces figures dont on ne dit rien et qui n’en disent pas davantage. La mère travaille à la manufacture des tabacs. La fille e
selle Sacré Une gentille fillette, qui a eu le malheur de voir sa mère rendre quelques services de cuisine à la diviniss
Bernay, aimable personne. — Très simple et très rangée. — Excellente mère de famille, » Ouvrez, enfin, le Plutarque des Da
and geste tragique et un sanglot immodéré : — Hélas ! je vais devenir mère  ! — Diable ! — Et ce qu’il y a de plus affreux, c
Une toute jeune fillette. Son père était un chanteur applaudi. Sa mère donne des leçons de piano et des concerts. Ma
quiétante. On redoute un débordement. A mesure que la fille enfle, la mère maigrit. Un bilboquet en deux personnes. Made
Mademoiselle Perrot Le père et le frère dansent à l’Opéra. La mère a dansé à la Gaîté. Avec talent, avec succès. La
Nouvelle-Athènes et l’estaminet du Rat-Mort. Panserose ajoute : « Sa mère … Mais non : je n’en veux plus parler… Je dirais
i, — et, enfin, de quelques personnalités féminines de la maison. Les mères des élèves sont là, dans la salle, formant un pub
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
congé de mes amis, je m’en fus donc, pleine d’espoir et de désirs. Ma mère avait beau essayer de partager mes sentiments, el
ans ressources et absolument à sa merci. Pour comble de malchance, ma mère tomba gravement malade. A l’époque dont je parle,
nt je parle, le choléra venait d’éclater à Hambourg. La maladie de ma mère se déclara si subitement qu’on imagina qu’elle ét
des plus nuisibles sur ma carrière en Europe. Ma poche était vide, ma mère malade. Pas le moindre espoir d’engagement, perso
19 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Deuxième lettre. A monsieur le duc d’Autremont, au château d’Autremont. » p. 82
s-demain, car je devais m’arrêter en route pour faire mes adieux à ma mère et rester un jour auprès d’elle. Mais je l’ai tro
20 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
ux. Tout se passa parfaitement. Le lendemain, je me promenais avec ma mère . Nous traversions la chaussée, lorsqu’une voiture
ts par une dame entre deux âges, arriva sur nous. J’eus peur pour ma mère , et j’étendis le bras vers l’équipage qui s’arrêt
e lumière et mes danses, puis je pris congé et retournai auprès de ma mère qui m’attendait. Lorsque je rentrai à l’hôtel, le
ance. Après avoir traversé le continent, j’allais m’embarquer avec ma mère , lorsque son état de santé me donna les plus vive
rendre. Mon amie plaida ma cause, en alléguant l’état de santé de ma mère et la gravité de sa maladie lors de mon départ ma
peut condamner une fille pour avoir rempli son devoir vis-à-vis de sa mère . Comment la reine Alexandra faillit ne pas me vo
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 janvier 1662 »
tout ; Que si la Reine débonnaire, Dont ma Muse est pensionnaire, La Reine Mère de mon Roy, Ayant un peu de soin de moi, Me faisa
22 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
ante, accoutumées à orner de bouquets et de guirlandes le lit de leur mère , paroissent et sont occupées du soin de chercher
Bergères à, leur devoir ; leur absence à été longue ; que dire à leur mère  ! Il faut partir, que faire de cet enfant ? l’aba
ur corbeille : nous l’emporterons, dit-elle, nous l’offrirons à notre mère comme un oiseau que nous avons trouvé sous des fl
eu soin de la couvrir de leur voile ; Thalie veut, avant tout, que sa mère devine ce qu’il y a dans cette corbeille et sans
de Paphos n’a point de part, il reconnoît la présence invisible de sa mère et celle de Bacchus dispensateur de la gaité. Par
Cythère vole aux Graces, il les prend par la main et les conduit à la mère . Un bois de roses naissantes s’élève sous les pas
i les conduit à la cour céleste. L’Amour je jette dans les bras de sa mère et lui présente ses charmantes sœurs, qui, après
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
zèle pour le Monarque. 1. Mesdemoiselles Mollier et Giraud[t] 2. mères et filles. 3. Les Sieurs Cabout,Mollier, 4. Des
24 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
ison de l’émotion qu’ils m’ont donnée. *** Nous habitions à Passy, ma mère et moi, une maison située au milieu d’un jardin.
ais que l’homme jouât dans le jardin, derrière la maison, pour que ma mère , qui était paralysée, pût l’entendre. Ils consent
bon cœur. Je les fis asseoir sous un arbre, auprès du fauteuil de ma mère , et l’homme joua de l’accordéon jusqu’au moment o
fût très pauvre chez nous, on me gardait. Le jour vint pourtant où ma mère mourut. Puis ce fut le tour de mon père. Et je du
herchait à se procurer un peu d’argent afin d’acheter du charbon à sa mère . Je n’étais pas très sûre de la véracité de ses d
25 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
d’Henri II ne régna que dix-sept mois. Il en coûta peu de soins à sa mère , pour le distraire du Gouvernement que son imbéci
et dont elle aurait dû toujours l’occuper. Henri III devait tout à sa Mère et il n’était point naturellement ingrat. Il avai
ourait le Bal en habit de Fille. Il donna un festin entre autres à sa Mère , où les femmes servirent déguisées en hommes. La
26 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
mon parti fut vite pris. J’embarquai, après le dîner, mon agent et ma mère dans une voiture et je donnai l’adresse des Folie
eçue seulement à l’issue de la représentation et on nous installa, ma mère , Marten Stein et moi, dans un coin du balcon d’où
, le second chef d’orchestre, — M. Henri Hambourg, — Marten Stein, ma mère et moi. — Demandez à M. Marchand, dis-je à Marten
27 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
révient, par un mot, qu’il est forcé de s’arrêter à Lyon auprès de sa mère . Je l’attends sans grande impatience. Mes travaux
n de la nature intellectuelle et morale de la femme. J’avais perdu ma mère dès mes premières années, et j’étais aussi pur qu
mpé. Mon pauvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mèr
moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mère . Cette personne excellente et charmante, pour qui
iai de refuser. Elle en eut du dépit et tout de suite la migraine. La mère me reprocha de m’opposer aux distractions nécessa
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
leurs mœurs), il nourrit deux chiens nés d’un même père et d’une même mère  ; et en accoutuma l’un à toutes friandises, le te
Citoyens mes amis, comme ces deux chiens étant nés d’un même père et mère , sont devenus fort différents l’un de l’autre pou
29 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
ais je ne me décourageai pas. Entre temps, j’ai oublié de le dire, la mère de mon amie nous avait rejointes à Vienne et au l
de l’après-midi. En revenant à l’hôtel j’appris que la danseuse et sa mère étaient reparties à Vienne pour y donner la soiré
ais pas le croire. — Eh bien, dit-il, voilà les propres paroles de la mère dès que nous fûmes dans le train : « Maintenant q
30 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
ans les bras de son père ; d’autres se précipitent dans ceux de leurs mères  ; celle-ci retrouve son frère ; celle-là embrasse
s, lorsqu’elle vint visiter Antoine, et que le peuple la prit pour la mère des Amours.
31 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
en 1881 et signée Chassaignac. Un pastel représentant madame Sangalli mère lui fait face. En peinture, comme chez elle, comm
lle dollars à payer : toute notre fortune ! soupirait madame Sangalli mère . Nous sommes perdues. — Pas encore ! s’écria Rita
galli n’arrive pas, dit-il. » J’arriverai ! Et, sans avoir donné à sa mère le temps de répondre, elle s’engagea sur le fleuv
n ne veut pas : elle dit que ça m’agrandit la bouche. — Constance, ta mère est une idiote ! Hélas ! plus malheureuse qu’idio
de Montmartre, qui s’en va sans cesse répétant : — Ah ! si sa pauvre mère pouvait voir tout cela ! Je sais encore qu’elle a
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
que la Rosière ait une conduite irréprochable, mais que son père, sa mère , ses frères et ses sœurs soient eux-mêmes irrépré
ence. La petite Javotte court chez elle pour instruire son père et sa mère du choix de la communauté. Scène III. Le ba
e jette dans ses bras. Javotte enchantée, vole avertir son père et sa mère  ; ils accourent, ils voyent Colin, l’embrassent e
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
urs malin la ramasse ; il lit l’inscription et présente la pomme à sa mère . Junon et Pallas, attirées par un sentiment de cu
allas dans celles de Junon, et des mains de l’Amour dans celles de sa mère . Ce Dieu fatigué et sachant bien que toutes les D
es plaisirs. Mais l’Amour qui veut assurer une nouvelle victoire à sa mère , engage les Graces à lui présenter le portrait d’
34 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
Jockey ?… — Louise Villeroy. Gentlewoman de nom et d’armes. — Madame mère . — Marconnay. — Noblesse de pif. — Hérivaut ou Ha
oux. D’une excellente tenue. Très pieuse. Fort attention, née pour sa mère , qui n’était pas drôle tous les jours. Par malheu
archant ! Morando Une Italienne. D’une fécondité remarquable. Mère de huit enfants, assure-t-on. Faite à peindre et
35 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
« malheurs » que j’aurai dû avoir dans mon enfance : De parler d’une mère marâtre qui me battait, me nourrissait au pain no
à seize ans. J’ai toujours aimé la danse ; mon père soutenait que ma mère avait eu un regard de Markouski. Mes parents ont
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
. L’instant où Oreste lève le voile qui lui déroboit les traits de sa mère qu’il vient de poignarder involontairement ; cet
le fuyant épouvanté, Iphise et Electre paroissant s’écrier : c’est ma mère  ! des femmes grouppées dans les attitudes de la d
spoir personnifiés, et déchiré enfin par le spectre ensanglanté de sa mère . Ce peintre, en artiste habile, ne se fut pas arr
détacher des bras de leur père. Electre, qui connoît la cruauté de sa mère , la barbarie et l’ambition d’Egisthe, frémit d’in
s menaces d’Electre, se livre à son ressentiment ; elle supplie cette mère irritée de pardonner à la douleur et au désespoir
qui s’élance pour arrêter le bras de son frère, en criant : C’est ma mère (1) ne peut arriver à tems. Oreste furieux n’ent
à qui il vient involontairement de donner la mort ; à l’aspect de sa mère , il recule d’horreur et d’effroi, il veut se frap
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
oup d’estime je fais, Et que l’on chérit et révère Dans la Cour de la Reine Mère , M’y fit entrer, m’y fit placer, Dieu l’en veuill
38 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
nom, Est, du moins, morte par le nom, Qui n’est plus que pour Père et Mère , Que, de longue-main, je révère, Étant leur très
39 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
phée s’aimaient d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas ; la mère pleure, le père reste stoïque, impassible, endoss
s profonds, mots de situation, mots représentatifs d’états d’âmes. La mère d’une coryphée entre en sanglotant dans la loge d
iés en 1814, que beaucoup devinrent des grandes dames étrangères, des mères de famille respectées. Ce demi-sommeil du foyer d
âgée de vingt ans à peine : « Je me suis sentie perdue, dit-elle à sa mère le lendemain de l’accident, et j’ai vite fait un
Quand il eut fini, elle demeura pensive, puis, se retournant vers sa mère  : « Mourir brûlée, observa-t-elle, cela doit fair
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
La Pucelle de Saint-Simon, Fille d’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort charmante, Fille, dont la beauté naissante,
41 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
tremblante le voile qui lui déroboit ses traits ; il reconnoissoit sa mère , il reculoit épouvanté de son crime. Son expressi
crime ! Electre par son action lui repondoit frère barbare, c’est ma mère  ! et le choeur répétoit, monstre, c’est ta mère !
ère barbare, c’est ma mère ! et le choeur répétoit, monstre, c’est ta mère  ! tremble, frémis ; oh crime épouvantable ! fuyon
42 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
obé Psyché aux tourmens que lui préparoit l’implacable jalousie de sa mère , quitte la scène en exprimant l’excès de son bonh
us ; que dans cet instant, sa puissance est subordonnée à celle de sa mère  ; il court et s’éloigne de ce qu’il adore, en exp
à tous les emportemens de la fureur et de la vengeance ; il menace sa mère , il jette loin de lui ses flèches et son carquois
43 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
Il interroge, — on se tait, — il s’alarme… A la fin, madame Duvernay mère entreprend de le rassurer : — Je vais tout vous a
découverte, et tout l’Opéra ne découvrit rien. Camarades, directeur, mère et soupirants jetaient leur langue aux chats, lor
avait pas encore trouvé son Louis XIV. Rentrée au bercail, prés de sa mère , mademoiselle Duvernay se remit avec passion à l’
e Taglioni. L’enfant s’instruisit sous les yeux, sur les genoux de sa mère . Le couvent des Oiseaux eût été moins pudique que
ste, qui oubliait qu’elle était la comtesse Gilbert des Voisins et la mère d’une princesse du vrai monde, pour ne se plus so
, gorge et bras nus ! — Je me suis sentie perdue, dit Emma Livry à sa mère , et j’ai vite fait un bout de prière ! S’aperceva
d il eut fini, Emma Livry demeura pensive ; puis, se tournant vers sa mère  : — Mourir brûlée ! dit-elle, cela doit faire bi
44 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
dire à Paris, regarde la, comme elle est belle ! C’est l’image de ma mère , c’est le chef d’oeuvre de la beauté ; Vénus enfi
autre et remonte en furieux pour porter du secours a son père et à sa mère . La jeune femme pâle, échevelée et mourante ne sa
e sur elle en l’embrassant semble lui crier en versant des larmes, ma mère , ma mère ! dans cet instant les bandits victorieu
e en l’embrassant semble lui crier en versant des larmes, ma mère, ma mère  ! dans cet instant les bandits victorieux sortent
lard et sa femme ; le jeune enfant vole à son père ; il lui montre sa mère qu’il croit morte, à ce spectacle le jeune homme
lle en fondant en larmes ; le petit garçon pleure, mais voyant que sa mère ouvre les yeux et que ses premiers regards le che
45 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
s ! — Les loges d’aujourd’hui. — Ce qu’on appelle faire son mastic. —  Mère et tille. — Ce qu’on appelle faire son chausson. 
consciencieux exige une heure de peine. Léchez — n’empâtez pas ! La mère d’une danseuse entre un soir, en sanglotant, dans
s !… Demain, je vous renverrai tout ce que vous m’avez donné… Oh ! ma mère  ! que je souffre ! Puis, elle alla tomber pantela
46 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
utes les portes des maisons en étaient bientôt ornées. Les Pères, les Mères , les Parents, les Amis, attendaient toutes ces tr
47 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
mort tragique de son père, par la perte qu’elle vient de faire d’une mère tendre et chérie, qui a succombé sous le poids de
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
s fleurs sur l’habit et sur la mante, qui doit servir d’ornement à sa mère . La toilette finie, Venus se retourne du côté de
et un miroir ; il se couvre, il se mire ; il vole dans les bras de sa mère , et il médite en soupirant le dessein, de se veng
le suivent avec ardeur ; mais il s’échappe et disparoit ainsi que sa mère et les Grâces ; et les Nymphes courent et volent
e pas rendre trop sensibles les remarques que l’Amour fait faire à sa mère sur cette disparition, je fais rentrer un instant
49 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
eau d’Autremont, le … Est-ce bien vrai que tu es tout à fait bien, ma mère chérie ? Que tu es bonne de m’avoir envoyé ce tél
que tu m’as faite à celle de ce grand seigneur riche qui a eu père et mère , femme et enfant, et qui vit tout seul à présent
iture, et je résolus d’aller lui en offrir une tasse. — Ici, ma chère mère , j’ouvre une parenthèse pour te demander pardon d
50 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
tire d’ailes, et tout est dit. Parlez maintenant d’une actrice à une mère de famille : celle-ci va évoquer l’existence la p
, si bien que toute jeune fille devant cette chaste indignation de sa mère , se prendra à rêver un monde d’amours, de coquett
51 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
emmes accourent et la soutiennent. Ninias s’apercevant qu’il a tué sa mère , court se jeter à ses pieds ; il y déplore son er
52 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
danse se hâtait de le prévenir, en lui disant : « Elle est là sans sa mère . » Il voulait que sur la scène ces demoiselles fu
au des coulisses. Cette jeune fille, belle et intelligente, avait une mère , comme toutes les danseuses, mais la sienne était
son apprentissage sous la direction de Philippe Taglioni. Bientôt sa mère ne douta plus de rien. Un jour Mme Duvernay dit m
, dès lors, parmi les spectateurs, personne ne bougea. L’orgueilleuse mère dut reconnaître que Louise elle-même avait parfoi
53 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
re grande division du genre : 1° La Lorette sous puissance de père et mère . 2° La Lorette émancipée. Division de l’espèce qu
onymes. 4° La Lorette exotique. La Lorette sous puissance de père et mère , portiers, a pour boudoir une soupente ; le tuyau
l une tasse avec une anse, c’est la Lorette sous puissance de père et mère qui en fait usage. Sa mère prend son café dans un
c’est la Lorette sous puissance de père et mère qui en fait usage. Sa mère prend son café dans un pot de fleurs. Le demi-pou
té le désir de causer de la question d’Orient avec la jeune fille, la mère a jugé convenable de ne pas recevoir la tête cour
sage et presqu’au vol. L’Arthur de la Lorette en puissance de père et mère est presque toujours un clerc d’huissier, un aute
evilliste est très-recherché de la Lorette en puissance de père et de mère , elle sait que les coulisses donnent la grande ém
prouve à la donneuse d’avis qu’on écrivait cire par un c. Une Lorette mère disait en montrant sa fille : Voilà ma plus belle
ette se travestit en cordon bleu, en demoiselle Marguerite ; elle est mère nourrice, hôtelière : elle va faire son marché.
54 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
e, telle que le Sacrifice d’Iphigénie, l’Entrevue de Coriolan avec sa Mère  ; Médée qui déchire ses enfants ; ou Clytemnestre
55 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
drame de ce nom. Notre troupe s’arrêta à Philadelphie. Mon père et ma mère étaient avec moi et nous prenions nos repas dans
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
éducation dont il a eu l’esprit de profiter, et maintenant il aide sa mère adoptive à vivre dans une certaine aisance. Il es
57 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
er avec clarté les premières notions de la danse ; j’avais en vue les mères de famille, et même les institutrices qui pourron
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
n air assez charmant brille, Et mieux que ses riches atours, Était la Mère des Amours, Dont tous trois de l’honneur acquiren
59 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
devenue célèbre, la légende broda sur ses origines. On raconta que sa mère était une marchande de légumes qui la portait, to
trice Agnès Wallner5, ne repose sur rien. Fanny ne pouvait laisser sa mère dans une condition misérable, pendant qu’elle-mêm
ville natale. Elle perdit coup sur coup Gentz, le 9 juin 1832, et sa mère , le 28 août. Plus libre désormais de ses mouvemen
n quelque sorte et le gardèrent de longues années jusqu’au jour où la mère , retirée du théâtre, put lui consacrer toute sa t
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
Titans, la naissance de Vénus, celle de Jupiter, la supposition de sa mère , la révolte des Géants56, le vol de Prométhée, et
61 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
 ; on en parle dans l’Indépendance belge, même que cela scandalise ma mère . Est-ce qu’elle n’est pas un peu la maîtresse de
62 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
gé la mort de son père, et assassiné involontairement Clytemnestre sa mère , fut tourmenté par les Euménides. Ne pouvant ni s
dans l’égarement de son esprit, il poursuit en furieux l’ombre de sa mère qui disparoît. Scène ii Des Gardes de Tho
63 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
it, un des enfans lui présente humblement le coffret de la part de sa mère  ; Médée prend elle-même le bouquet, et paroît se
64 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
abitua si bien à ce fardeau domestique, qu’elle en arriva à porter sa mère et sa sœur. Si la place ne lui eût manqué, elle e
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
) Saltat sed adulterœ filia  ; et il en prend occasion d’avertir les mères chastes et chrétiennes, « d’apprendre à leurs fil
ortante, mais qu’elle est aujourd’hui peu suivie ! Combien voit-on de mères qui se glorifient de ce que leurs filles ont bonn
66 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
u ! car il faut vous l’avouer, Giselle a un défaut, du moins c’est sa mère qui le dit : elle est folle de danse, elle ne son
montrances maternelles, Giselle répond ce que toute fille répond à sa mère qui lui rappelle que l’heure est bien avancée : «
67 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
soin donner des leçons de latin à M. Jules Janin, la bête noire de ma mère . — Comment se fait-il, demanderont les hommes gra
68 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
es Janin m’a arrêtée. Il aurait dit du mal de moi certainement, et ma mère ne se serait plus contenue. Je me suis privée du
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
nt ; les jeunes Témessiennes ne craignent plus pour leurs jours ; les mères ne tremblent plus sur le sort de leurs filles ; l
70 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
its. Cette pensée le détermine à peindre Campaspe sous la forme de la mère des amours. Il donne ses ordres à son élève chéri
71 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
l était de ne me laisser entrer dans l’église sous aucun prétexte. Ma mère était aussi terrifiée que moi-même. C’est alors q
72 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
es Français, qui est engagée au Théâtre Français d’ici pour jouer les mères nobles, la pauvre femme a eu bien des déboires ;
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
la vüe de ses merveilles, ils l’étudiérent, la consultérent et cette mère tendre et généreuse, s’empressa de leur fournir d
74 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
élicieux tableau. Mme Claretie me présenta à la dame âgée. C’était sa mère . Je demandai à la vieille dame comment elle se po
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
la danse serpentine En 1890 j’étais en tournée, à Londres, avec ma mère . Un impresario m’engagea pour aller créer aux Eta
76 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
au lever du rideau : Je m’embarquais à Cherbourg, en compagnie de ma mère et de quelques amis, à destination de New-York. P
77 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
ent leurs regards sur la nature ; qu’ils n’oublient point qu’elle est mère des arts ; qu’elle ne les égara jamais ; qu’elle
78 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
considéré l’enfant pendant quelques minutes, demanda brutalement à la mère  : — Que diable voulez-vous que je fasse de cette
avait guère plus de cinq ans, et déjà elle vivait et faisait vivre sa mère de son jeune talent. A la Scala, il y a deux corp
79 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
le jeune homme le plus hardi veut en vain cacher sa pâleur ; la jeune mère , d’un geste convulsif, presse son enfant sur son
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
excuse frivole, qui loin de justifier la négligence des pères et des mères , ne servent qu’à les condamner. En supposant que
81 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
i ne vous appartient pas. Elle vous dit : Honorez votre père et votre mère  ; et vous manquez au respect que vous leur devez.
82 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
om de Beaujoyeux, fut nommé valet-de-chambre du roi et de la reine sa mère  ; il se rendit si illustre à la cour par ses inve
rissent l’âme et des marchés hideux que plus d’une fois la main d’une mère a signés. La fortune y fait mille tours ; elle je
83 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
4. Son physique ne semblait pas la prédestiner à de grands succès. Sa mère était contrefaite. Elle-même manquait de proporti
84 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
blic qui applaudissait cette danse « qu’il y avait dans la salle, des mères , des femmes, des sœurs, des filles ». Mais bientô
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ins de confiance ; c’est l’enfant attendu, venant se serrer contre sa mère qu’il ne connaît pas encore. Les deux femmes aura
86 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
e Henri II ne régna que dix-sept mois ; il en coûta peu de soins à sa mère pour le distraire du gouvernement, que son imbéci
et dont elle aurait dû toujours l’occuper. Henri III devait tout à sa mère  ; il n’était point naturellement ingrat ; il avai
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