venu, le jour même où nous devions nous embarquer pour la Russie, ma
mère
chancela et serait certainement tombée si je n’av
it appeler un médecin du voisinage, qui ne put me dire ce qu’avait ma
mère
. Comme il était Français je ne le comprenais du r
tait Français je ne le comprenais du reste que très mal. L’état de ma
mère
empira, et je résolus définitivement de ne pas l’
escendis et sautai dans un train qui me ramena à Paris. Je trouvai ma
mère
plus malade, et je priai le docteur de ne parler
ue quelqu’un venait, et j’avais pris une garde-malade pour veiller ma
mère
, tellement je me sentais dans les mains des phili
bien accusée de vol ! Toute cette scène se déroula en présence de ma
mère
, ce qui ne fut peut-être pas un pur effet du hasa
compte de cette intention. Toutes deux nous étions mortes de peur. Ma
mère
me supplia de partir. Le cœur plein d’amertume, l
is vue qu’une ou deux fois, vint faire visite chez nous, et voyant ma
mère
très malade, elle alla, de sa propre autorité, ch
que le médecin que j’avais sous la main pourrait aussi bien tirer ma
mère
d’affaire et la mettre en état de partir avec moi
juste au moment où des docteurs français (le médecin qui soignait ma
mère
avait appelé trois de ses collègues en consultati
, ne pouvait plus la sauver. Le docteur anglais s’offrit à soigner ma
mère
et les médecins français se retirèrent dès qu’ils
ntière russe un télégramme me parvint. « Revenez immédiatement, votre
mère
a peu de chances de guérir. » C’étaient les premi
rance. Des larmes à nouveau inondèrent mes joues et je lui dis que ma
mère
était mourante à Paris. Il répéta les mots « mère
t je lui dis que ma mère était mourante à Paris. Il répéta les mots «
mère
» et « malade » en allemand. Il étendit la main p
savoir, il rouvrit les yeux et me dit en allemand : — Non, non, votre
mère
ne mourra pas : Je sentis ce qu’il disait et comp
mère ne mourra pas : Je sentis ce qu’il disait et compris les mots «
mère
» et « non ». La terrible oppression qui me marty
çus que sa parole n’était pas vaine, qu’il disait la vérité et que ma
mère
n’allait pas mourir. Je cessai de pleurer, sûre q
rent et je me retrouvai aussi malheureuse qu’auparavant. Je voyais ma
mère
étendue morte. Je revoyais ces hommes odieux qui
à Paris pour avoir des nouvelles. On leur avait répondu que ma pauvre
mère
était toujours entre la vie et la mort. J’avais e
voiture il me recommanda : — Entrez dans la chambre et parlez à votre
mère
comme si vous ne l’aviez jamais quittée. Votre pr
, j’en suis certaine, une des raisons des progrès de la maladie de ma
mère
. Ma santé aussi s’altéra au point que je ne suis
en Russie, car chaque fois qu’on parlait d’un voyage là-bas ma pauvre
mère
tremblait d’épouvante ; et il n’en fut jamais plu
et moi allions tous les dimanches, rendit, un après-midi, visite à ma
mère
et la félicita des débuts que j’avais faits le di
débuts que j’avais faits le dimanche précédent à son Lycée. Comme ma
mère
ne pouvait pas comprendre de quoi il voulait parl
ma pièce au Lycée, dimanche dernier. — Récité votre pièce ? répéta ma
mère
, qu’est-ce qu’elle veut dire ? — Comment, dit le
sident, vous ne savez pas que Loïe a récité des poésies dimanche ? Ma
mère
était presque épouvantée, tant elle était surpris
ièce. — Oh oui, dit le président, et elle a eu beaucoup de succès. Ma
mère
demanda des explications. Le président lui dit al
ite prière. Ce qu’était celle prière je ne m’en souviens pas. Mais ma
mère
l’interrompit. — Oh ! je sais. C’est la prière qu
manche suivant, j’allai comme d’habitude au Lycée avec mes frères. Ma
mère
vint aussi dans le courant de l’après-midi, et s’
r qu’elle tenait à la main. Lorsque la dame eut achevé sa lecture, ma
mère
entendit ces mots : — Et maintenant nous allons a
, réciter une poésie intitulée : « Marie avait un petit agneau. » Ma
mère
, au comble de la stupéfaction, était incapable de
écédent. Seulement cette fois personne ne se moqua de moi. Lorsque ma
mère
vint me rejoindre, longtemps après, elle était en
ment, pour apprendre le rôle. Le dimanche dont je viens de parler, ma
mère
ressentit la première commotion nerveuse qui deva
ation plus particulière de s’opposer aux danses, ce sont les pères et
mères
à l’égard de leurs enfans, et les maîtres et maît
ourner. D’abord, c’est une obligation indispensable pour les pères et
mères
d’empêcher, autant qu’ils le peuvent, leurs enfan
d’aller aux danses. Si, par une négligence notable d’un père et d’une
mère
, un seul de leurs enfans tomboit dans le feu ou d
nt de cette négligence ? Combien sont plus blâmables les pères et les
mères
qui, par une semblable négligence à préserver leu
en grand danger d’en commettre ! On est indigne du nom de père et de
mère
, lorsqu’après avoir enfanté des fils et des fille
ce tonnerre ne réveille point de leur négligence tant de pères et de
mères
qui ne se mettent point en peine de l’ame et du s
ns une profonde mort. Les saints pères ont fortement parlé contre les
mères
qui, pouvant nourrir leurs enfans, les donnent à
ent de mauvaises mœurs. A combien de plus grands dangers les pères et
mères
exposent-ils la pureté de leurs enfans, en les la
st propre qu’à corrompre ? Cependant, combien y a-t-il aujourd’hui de
mères
qui non-seulement laissent tranquillement leurs f
ux talent, dans cet art si funeste ! L’obligation qu’ont les pères et
mères
d’empêcher, autant qu’ils peuvent, leurs enfans d
aîtres et maîtresses envers leurs domestiques, avec ceux des pères et
mères
envers leurs enfans, dans une exhortation qu’il f
t qu’ils soient, en ont d’autres sous leur charge, comme les pères et
mères
, les maîtres et maîtresses. « Ne croyez pas, dit-
dont vous venez de voir qu’ils sont punis. » De ce que les pères et
mères
doivent, autant qu’il est possible, inspirer à le
plement et sans prévention quel est, sur cet article, le devoir d’une
mère
chrétienne et raisonnable. Comme il y a des étude
putation, se renfermer dans ces bornes pour satisfaire aux désirs des
mères
chrétiennes, qui joignent à une grande naissance
y avait quarante degrés au-dessous de zéro. En ce temps mon père, ma
mère
et mes frères habitaient une ferme à seize milles
l fut impossible de chauffer convenablement la maison. La santé de ma
mère
donnait des inquiétudes à mon père. Il alla donc
donc à se joindre à ses voisins. Mais ceux-ci insistèrent pour que ma
mère
les accompagnât également Que ferait-elle du bébé
qu’une chose à faire dans ces conditions : emmener aussi l’enfant. Ma
mère
se défendit tant bien que mal, alléguant qu’elle
n air de petit pauvre. Vous pouvez vous imaginer les sentiments de ma
mère
lorsqu’elle vit sa fille apparaître dans un tel n
— Elles rebondissent ! On raconte qu’un jour mademoiselle Emarot, —
mère
de mademoiselle Emma Livry, — étant entrée inopin
d’horloge. On en pourrait bien faire assurément Deux femmes de cœur,
mères
de famille, Préparant la soupe et tirant l’aiguil
F. S… ne rentra pas, pour la première fois, au domicile paternel. La
mère
pleura beaucoup. Le père veilla, lui, toute la nu
s crispées. Le petit frère suivit le père de loin et revint dire à sa
mère
qu’il venait d’entrer tout droit chez le marquis
e à sa mère qu’il venait d’entrer tout droit chez le marquis de X… La
mère
se leva et courut à l’église. Le père de la danse
assée dernièrement au foyer. Une des plus charmantes coryphées a pour
mère
une ancienne modiste qui a rôti — par tous les bo
eut recours à des circonlocutions. — Mademoiselle, lui dit-il, votre
mère
était une fort honorable commerçante. Je l’ai bea
résolution fut vite prise. Toutes fraîches débarquées à New-York, ma
mère
et moi étions des étrangères dans la grande ville
orsque j’appris que Sarah allait jouer pour les artistes, je dis à ma
mère
: — Maintenant, je vais la voir. — Il y a tant d’
is la voir. — Il y a tant d’artistes célèbres à New-York, répondit ma
mère
, comment veux-tu qu’il y ait de la place pour toi
rs, il faut que je me dépêche. — Comment t’y prendras-tu ? demanda ma
mère
. Je m’arrêtai un moment pour réfléchir. — Je ne s
L’objection ne me parut pas formidable, et je me mis en roule avec ma
mère
qui m’accompagnait toujours et m’obéissait en tou
ne me permirent pas d’attendre davantage, et je dis à l’oreille de ma
mère
: — Je vais aller frapper à la porte. Elle devint
— Voilà, monsieur. Je suis une artiste, et je voudrais venir, avec ma
mère
, à la matinée que Sarah Bernhardt donne pour nous
aisserez tout de même… la voir si… je vous le demande. — Où est votre
mère
? — Là, dehors. Et je désignai la porte. — Cette
. — Eh bien ! je vais vous donner des places pour vous et pour votre
mère
. — Oh ! merci, monsieur. Le directeur tira une ca
s larmes de bonheur que je ne pouvais plus retenir, et, rejoignant ma
mère
, je sortis du théâtre. — Qu’y a-t-il, chère Loïe
place pour vous aussi. Le grand jour survint. Nous étions placées, ma
mère
et moi, au milieu des fauteuils d’orchestre Autou
uffu ; il en écarte avec précaution les branchages, et il découvre sa
mère
. Cette Déesse ne peut pardonner cette méchanceté,
boude, et il part dans la résolution de se venger des caprices de sa
mère
. Scène III. Vénus se mêle aux jeux des Faun
disparoît, et il est remplacé par l’Amour qui tombe aux genoux de sa
mère
dans l’attirail du Dieu des combats. Cet accoutre
e que dans l’instant, il lui ramènera son Berger, mais il exige de sa
mère
un baiser pour prix de ce service ; la faveur lui
e élémentaire de la danse. J’ai cherché surtout à me rendre utile aux
mères
de famille qui pourront facilement, à l’aide de c
leurs enfants, et en diriger elles-mêmes les progrès. En parlant des
mères
de famille, était-il possible que je n’eusse pas
personnes qui ont le bonheur de vous approcher : Le cœur d’une bonne
mère
est le chef-d’œuvre de la Divinité. Je suis avec
cachemire. — Comment on rembourse les provinciaux. — La lettre de ma
mère
. — M. d’Ennery. — Ce qu’on lui doit. I Il f
e dans un détail trop prosaïque, mais profondément significatif. — Ma
mère
me forçait à mettre un corset : chez moi, au moin
IX — Avec les larmes que j’ai versées depuis mon départ de chez ma
mère
, me disait un jour une ouvreuse repentante, on au
e qualifie tout simplement de sublime. Elle a inventé la Lettre de ma
mère
. Sur sa cheminée traîne perpétuellement une épîtr
maladresse lui coûte fatalement plusieurs louis. La missive est de la
mère
, laquelle, dans un style pathétique, fait à sa fi
iscrétion, il est forcé, pour se la faire pardonner, de secourir « la
mère
. » Et quand on pense que cette lettre est copiée
loge. Une flamme s’alluma dans les yeux de l’enfant et elle suivit sa
mère
en lui serrant nerveusement la main. Si la fillet
ère de fée, ainsi que le prouve du reste la fin de cette anecdote. La
mère
et l’enfant pénétrèrent donc dans ma loge. Une ha
s en plus. A mesure que je m’avançais elle reculait. Très étonnée, la
mère
dit enfin : — Qu’as-tu donc, ma chérie ? C’est mi
en plus dans leur conviction que la dame qu’ils avaient vue chez leur
mère
et qui s’était fait passer pour la Loïe Fuller le
s que j’inspirai, deux ans plus tard, en effet, à ce bambin et que sa
mère
, Mme Roger Marx, me communiqua depuis : Pâle vis
ses études et échappa complètement à l’influence et au contrôle de sa
mère
. Les choses en arrivèrent au point qu’il fallut f
chante ou les raconte assise à son rouet, et la jeune fille, devenue
mère
, berce avec la légende le sommeil et le réveil de
voisin, cruelles envers leurs admirateurs, et justement punies par la
mère
de l’un d’eux, fée de son métier, qui vengea ains
es sous les flots de l’Océan, leur ont inspiré des rêveries sans fin,
mères
de légendes pleines d’un étrange intérêt. « En 1
ya dans l’Elbe, attiré par un Ondin qui prétendait jouer avec lui. Sa
mère
se rendit à l’église et pria beaucoup, six jours
lument qu’une seule phalange du petit doigt de la main gauche, que la
mère
chercha avec beaucoup de soin. C’est une des prin
ue, et de l’invincible charme auquel il a cédé malgré lui. La vieille
mère
traite ce récit d’enfantillage ; Giannina, moins
enu par une gaze d’or, glisse sur les tiges des nénuphars. La vieille
mère
, attentive, prête l’oreille à ce frôlement léger,
qui la blesse dans ses plus chers désirs. C’est le fil de la vieille
mère
qui se casse, le rouet qui se met à tourner à reb
ême et de son amour. Les caresses de Giannina et la bénédiction de la
mère
planent encore sur la tête de Mattéo, dont tant d
age du lac ; il y fait monter sa fiancée, qu’il va reconduire chez sa
mère
. La nuit est calme et le lac silencieux ; la ram
a décadence humaine et de l’humaine douleur. « Cette rose, lui dit sa
mère
, est à demi flétrie, et vous languissez comme ell
ce, elle avait encore auprès d’elle la nourrice qui avait remplacé sa
mère
. Cette femme me raconta que Gab lui faisait faire
e fatigue. Elle me dit encore que Gab était si sauvage que lorsque sa
mère
recevait une visite, quand l’enfant était au salo
tait pendant combien de temps, jusqu’à ce que l’intrus s’en allât. Sa
mère
avait tant de souci de ce qu’elle appelait la tim
t elle publiait un manuscrit qu’elle avait trouvé après la mort de sa
mère
. Elle le fit éditer avec son argent de poche. Le
de mes débuts aux Folies-Bergère, Gab avait quatorze ans. Un jour sa
mère
lui dit : — Il y a une nouvelle et étrange danseu
ais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa femme, et avec sa
mère
qui ne la quitte pas. — Est-ce que sa danse la fa
s plus simples complétaient le costume. Après cette vision, Gab et sa
mère
s’en retournèrent avec leurs places pour la matin
de magasin. — Le directeur Thuret — Un équipage sous enveloppe. — Une
mère
inflammable. — Comment elles vivent. — Comment el
on des alliés, qui en firent : Des millionnaires, Des princesses, Des
mères
de famille respectées… Car on peut faire d’une m
chère enfant no dormirait pas tranquille, si ce n’était pas sa pauvre
mère
qui l’aidait à se mettre au lit. Les mères de ces
si ce n’était pas sa pauvre mère qui l’aidait à se mettre au lit. Les
mères
de ces demoiselles débutent par être leurs bonnes
tranger avait envoyé à un petit sujet une voiture et deux chevaux. La
mère
de la ballerine lui adressa le billet suivant : «
Cette femme de sens entendait ne rien perdre sur le lavage. *** Les
mères
actuelles, du reste, commencent à ne plus ressemb
comment m’y prendre ?… Comme il cherchait un moyen et une formule, la
mère
se pencha tendrement à son oreille : — A présent,
du fruit de ses déménagements successifs ; que Fanny Génat joue les «
mères
nobles » à Cluny ; que Laure Fonta s’est consacré
resta attaché à la passerelle et on crut que nous allions sombrer. Ma
mère
et moi n’avions jamais fait de traversée. Nous ét
elques jours plus tard nous débarquions à la Jamaïque, à Kingston. Ma
mère
, M. Morris et moi logions au même hôtel, « le Cla
que j’étais à peine âgée de six semaines !… Un jour, je demandai à ma
mère
et à M. Morris d’inviter le nouveau venu à notre
avec ses amis, via New-York, et il n’était pas arrivé à savoir si sa
mère
, ses frères et ses sœurs étaient morts ou en vie.
e avec douceur et semble lui reprocher d’avoir abandonné son père, sa
mère
et lui-même, pour suivre un étranger séducteur. I
e et leur indignation ; Eliza vole dans les bras de son père et de sa
mère
; ils la repoussent ; elle tombe à leurs pieds ;
accourent ; ils joignent leurs prières et leurs pleurs à ceux de leur
mère
. Zirca ne pouvant être insensible à la vue d’un t
t lui pardonne. Eliza se précipite dans les bras de son père et de sa
mère
; elle leur exprime ainsi que Belton son amour, s
monsieur, je vous approuve. Je sais combien vous êtes attaché à votre
mère
adoptive, et je serais désolé de vous séparer d’e
tière infatigable : on en sait quelque chose chez Fournaise à Chatou.
Mère
d’une grande fille qui travaille la comédie, au C
nt qui fait crier les dames des commerçants en rupture d’épicerie. Sa
mère
a sa chaise capitonnée à l’église. Et Dieu sait c
ces figures dont on ne dit rien et qui n’en disent pas davantage. La
mère
travaille à la manufacture des tabacs. La fille e
selle Sacré Une gentille fillette, qui a eu le malheur de voir sa
mère
rendre quelques services de cuisine à la diviniss
Bernay, aimable personne. — Très simple et très rangée. — Excellente
mère
de famille, » Ouvrez, enfin, le Plutarque des Da
and geste tragique et un sanglot immodéré : — Hélas ! je vais devenir
mère
! — Diable ! — Et ce qu’il y a de plus affreux, c
Une toute jeune fillette. Son père était un chanteur applaudi. Sa
mère
donne des leçons de piano et des concerts. Ma
quiétante. On redoute un débordement. A mesure que la fille enfle, la
mère
maigrit. Un bilboquet en deux personnes. Made
Mademoiselle Perrot Le père et le frère dansent à l’Opéra. La
mère
a dansé à la Gaîté. Avec talent, avec succès. La
Nouvelle-Athènes et l’estaminet du Rat-Mort. Panserose ajoute : « Sa
mère
… Mais non : je n’en veux plus parler… Je dirais
i, — et, enfin, de quelques personnalités féminines de la maison. Les
mères
des élèves sont là, dans la salle, formant un pub
congé de mes amis, je m’en fus donc, pleine d’espoir et de désirs. Ma
mère
avait beau essayer de partager mes sentiments, el
ans ressources et absolument à sa merci. Pour comble de malchance, ma
mère
tomba gravement malade. A l’époque dont je parle,
nt je parle, le choléra venait d’éclater à Hambourg. La maladie de ma
mère
se déclara si subitement qu’on imagina qu’elle ét
des plus nuisibles sur ma carrière en Europe. Ma poche était vide, ma
mère
malade. Pas le moindre espoir d’engagement, perso
s-demain, car je devais m’arrêter en route pour faire mes adieux à ma
mère
et rester un jour auprès d’elle. Mais je l’ai tro
ux. Tout se passa parfaitement. Le lendemain, je me promenais avec ma
mère
. Nous traversions la chaussée, lorsqu’une voiture
ts par une dame entre deux âges, arriva sur nous. J’eus peur pour ma
mère
, et j’étendis le bras vers l’équipage qui s’arrêt
e lumière et mes danses, puis je pris congé et retournai auprès de ma
mère
qui m’attendait. Lorsque je rentrai à l’hôtel, le
ance. Après avoir traversé le continent, j’allais m’embarquer avec ma
mère
, lorsque son état de santé me donna les plus vive
rendre. Mon amie plaida ma cause, en alléguant l’état de santé de ma
mère
et la gravité de sa maladie lors de mon départ ma
peut condamner une fille pour avoir rempli son devoir vis-à-vis de sa
mère
. Comment la reine Alexandra faillit ne pas me vo
tout ; Que si la Reine débonnaire, Dont ma Muse est pensionnaire, La
Reine Mère
de mon Roy, Ayant un peu de soin de moi, Me faisa
ante, accoutumées à orner de bouquets et de guirlandes le lit de leur
mère
, paroissent et sont occupées du soin de chercher
Bergères à, leur devoir ; leur absence à été longue ; que dire à leur
mère
! Il faut partir, que faire de cet enfant ? l’aba
ur corbeille : nous l’emporterons, dit-elle, nous l’offrirons à notre
mère
comme un oiseau que nous avons trouvé sous des fl
eu soin de la couvrir de leur voile ; Thalie veut, avant tout, que sa
mère
devine ce qu’il y a dans cette corbeille et sans
de Paphos n’a point de part, il reconnoît la présence invisible de sa
mère
et celle de Bacchus dispensateur de la gaité. Par
Cythère vole aux Graces, il les prend par la main et les conduit à la
mère
. Un bois de roses naissantes s’élève sous les pas
i les conduit à la cour céleste. L’Amour je jette dans les bras de sa
mère
et lui présente ses charmantes sœurs, qui, après
zèle pour le Monarque. 1. Mesdemoiselles Mollier et Giraud[t] 2.
mères
et filles. 3. Les Sieurs Cabout,Mollier, 4. Des
ison de l’émotion qu’ils m’ont donnée. *** Nous habitions à Passy, ma
mère
et moi, une maison située au milieu d’un jardin.
ais que l’homme jouât dans le jardin, derrière la maison, pour que ma
mère
, qui était paralysée, pût l’entendre. Ils consent
bon cœur. Je les fis asseoir sous un arbre, auprès du fauteuil de ma
mère
, et l’homme joua de l’accordéon jusqu’au moment o
fût très pauvre chez nous, on me gardait. Le jour vint pourtant où ma
mère
mourut. Puis ce fut le tour de mon père. Et je du
herchait à se procurer un peu d’argent afin d’acheter du charbon à sa
mère
. Je n’étais pas très sûre de la véracité de ses d
d’Henri II ne régna que dix-sept mois. Il en coûta peu de soins à sa
mère
, pour le distraire du Gouvernement que son imbéci
et dont elle aurait dû toujours l’occuper. Henri III devait tout à sa
Mère
et il n’était point naturellement ingrat. Il avai
ourait le Bal en habit de Fille. Il donna un festin entre autres à sa
Mère
, où les femmes servirent déguisées en hommes. La
mon parti fut vite pris. J’embarquai, après le dîner, mon agent et ma
mère
dans une voiture et je donnai l’adresse des Folie
eçue seulement à l’issue de la représentation et on nous installa, ma
mère
, Marten Stein et moi, dans un coin du balcon d’où
, le second chef d’orchestre, — M. Henri Hambourg, — Marten Stein, ma
mère
et moi. — Demandez à M. Marchand, dis-je à Marten
révient, par un mot, qu’il est forcé de s’arrêter à Lyon auprès de sa
mère
. Je l’attends sans grande impatience. Mes travaux
n de la nature intellectuelle et morale de la femme. J’avais perdu ma
mère
dès mes premières années, et j’étais aussi pur qu
mpé. Mon pauvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la
mère
de ma femme avait été la meilleure amie de ma mèr
moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma
mère
. Cette personne excellente et charmante, pour qui
iai de refuser. Elle en eut du dépit et tout de suite la migraine. La
mère
me reprocha de m’opposer aux distractions nécessa
leurs mœurs), il nourrit deux chiens nés d’un même père et d’une même
mère
; et en accoutuma l’un à toutes friandises, le te
Citoyens mes amis, comme ces deux chiens étant nés d’un même père et
mère
, sont devenus fort différents l’un de l’autre pou
ais je ne me décourageai pas. Entre temps, j’ai oublié de le dire, la
mère
de mon amie nous avait rejointes à Vienne et au l
de l’après-midi. En revenant à l’hôtel j’appris que la danseuse et sa
mère
étaient reparties à Vienne pour y donner la soiré
ais pas le croire. — Eh bien, dit-il, voilà les propres paroles de la
mère
dès que nous fûmes dans le train : « Maintenant q
ans les bras de son père ; d’autres se précipitent dans ceux de leurs
mères
; celle-ci retrouve son frère ; celle-là embrasse
s, lorsqu’elle vint visiter Antoine, et que le peuple la prit pour la
mère
des Amours.
en 1881 et signée Chassaignac. Un pastel représentant madame Sangalli
mère
lui fait face. En peinture, comme chez elle, comm
lle dollars à payer : toute notre fortune ! soupirait madame Sangalli
mère
. Nous sommes perdues. — Pas encore ! s’écria Rita
galli n’arrive pas, dit-il. » J’arriverai ! Et, sans avoir donné à sa
mère
le temps de répondre, elle s’engagea sur le fleuv
n ne veut pas : elle dit que ça m’agrandit la bouche. — Constance, ta
mère
est une idiote ! Hélas ! plus malheureuse qu’idio
de Montmartre, qui s’en va sans cesse répétant : — Ah ! si sa pauvre
mère
pouvait voir tout cela ! Je sais encore qu’elle a
que la Rosière ait une conduite irréprochable, mais que son père, sa
mère
, ses frères et ses sœurs soient eux-mêmes irrépré
ence. La petite Javotte court chez elle pour instruire son père et sa
mère
du choix de la communauté. Scène III. Le ba
e jette dans ses bras. Javotte enchantée, vole avertir son père et sa
mère
; ils accourent, ils voyent Colin, l’embrassent e
urs malin la ramasse ; il lit l’inscription et présente la pomme à sa
mère
. Junon et Pallas, attirées par un sentiment de cu
allas dans celles de Junon, et des mains de l’Amour dans celles de sa
mère
. Ce Dieu fatigué et sachant bien que toutes les D
es plaisirs. Mais l’Amour qui veut assurer une nouvelle victoire à sa
mère
, engage les Graces à lui présenter le portrait d’
Jockey ?… — Louise Villeroy. Gentlewoman de nom et d’armes. — Madame
mère
. — Marconnay. — Noblesse de pif. — Hérivaut ou Ha
oux. D’une excellente tenue. Très pieuse. Fort attention, née pour sa
mère
, qui n’était pas drôle tous les jours. Par malheu
archant ! Morando Une Italienne. D’une fécondité remarquable.
Mère
de huit enfants, assure-t-on. Faite à peindre et
« malheurs » que j’aurai dû avoir dans mon enfance : De parler d’une
mère
marâtre qui me battait, me nourrissait au pain no
à seize ans. J’ai toujours aimé la danse ; mon père soutenait que ma
mère
avait eu un regard de Markouski. Mes parents ont
. L’instant où Oreste lève le voile qui lui déroboit les traits de sa
mère
qu’il vient de poignarder involontairement ; cet
le fuyant épouvanté, Iphise et Electre paroissant s’écrier : c’est ma
mère
! des femmes grouppées dans les attitudes de la d
spoir personnifiés, et déchiré enfin par le spectre ensanglanté de sa
mère
. Ce peintre, en artiste habile, ne se fut pas arr
détacher des bras de leur père. Electre, qui connoît la cruauté de sa
mère
, la barbarie et l’ambition d’Egisthe, frémit d’in
s menaces d’Electre, se livre à son ressentiment ; elle supplie cette
mère
irritée de pardonner à la douleur et au désespoir
qui s’élance pour arrêter le bras de son frère, en criant : C’est ma
mère
(1) ne peut arriver à tems. Oreste furieux n’ent
à qui il vient involontairement de donner la mort ; à l’aspect de sa
mère
, il recule d’horreur et d’effroi, il veut se frap
oup d’estime je fais, Et que l’on chérit et révère Dans la Cour de la
Reine Mère
, M’y fit entrer, m’y fit placer, Dieu l’en veuill
nom, Est, du moins, morte par le nom, Qui n’est plus que pour Père et
Mère
, Que, de longue-main, je révère, Étant leur très
phée s’aimaient d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas ; la
mère
pleure, le père reste stoïque, impassible, endoss
s profonds, mots de situation, mots représentatifs d’états d’âmes. La
mère
d’une coryphée entre en sanglotant dans la loge d
iés en 1814, que beaucoup devinrent des grandes dames étrangères, des
mères
de famille respectées. Ce demi-sommeil du foyer d
âgée de vingt ans à peine : « Je me suis sentie perdue, dit-elle à sa
mère
le lendemain de l’accident, et j’ai vite fait un
Quand il eut fini, elle demeura pensive, puis, se retournant vers sa
mère
: « Mourir brûlée, observa-t-elle, cela doit fair
La Pucelle de Saint-Simon, Fille d’un Duc, de grand renom, Et d’une
Mère
fort charmante, Fille, dont la beauté naissante,
tremblante le voile qui lui déroboit ses traits ; il reconnoissoit sa
mère
, il reculoit épouvanté de son crime. Son expressi
crime ! Electre par son action lui repondoit frère barbare, c’est ma
mère
! et le choeur répétoit, monstre, c’est ta mère !
ère barbare, c’est ma mère ! et le choeur répétoit, monstre, c’est ta
mère
! tremble, frémis ; oh crime épouvantable ! fuyon
obé Psyché aux tourmens que lui préparoit l’implacable jalousie de sa
mère
, quitte la scène en exprimant l’excès de son bonh
us ; que dans cet instant, sa puissance est subordonnée à celle de sa
mère
; il court et s’éloigne de ce qu’il adore, en exp
à tous les emportemens de la fureur et de la vengeance ; il menace sa
mère
, il jette loin de lui ses flèches et son carquois
Il interroge, — on se tait, — il s’alarme… A la fin, madame Duvernay
mère
entreprend de le rassurer : — Je vais tout vous a
découverte, et tout l’Opéra ne découvrit rien. Camarades, directeur,
mère
et soupirants jetaient leur langue aux chats, lor
avait pas encore trouvé son Louis XIV. Rentrée au bercail, prés de sa
mère
, mademoiselle Duvernay se remit avec passion à l’
e Taglioni. L’enfant s’instruisit sous les yeux, sur les genoux de sa
mère
. Le couvent des Oiseaux eût été moins pudique que
ste, qui oubliait qu’elle était la comtesse Gilbert des Voisins et la
mère
d’une princesse du vrai monde, pour ne se plus so
, gorge et bras nus ! — Je me suis sentie perdue, dit Emma Livry à sa
mère
, et j’ai vite fait un bout de prière ! S’aperceva
d il eut fini, Emma Livry demeura pensive ; puis, se tournant vers sa
mère
: — Mourir brûlée ! dit-elle, cela doit faire bi
dire à Paris, regarde la, comme elle est belle ! C’est l’image de ma
mère
, c’est le chef d’oeuvre de la beauté ; Vénus enfi
autre et remonte en furieux pour porter du secours a son père et à sa
mère
. La jeune femme pâle, échevelée et mourante ne sa
e sur elle en l’embrassant semble lui crier en versant des larmes, ma
mère
, ma mère ! dans cet instant les bandits victorieu
e en l’embrassant semble lui crier en versant des larmes, ma mère, ma
mère
! dans cet instant les bandits victorieux sortent
lard et sa femme ; le jeune enfant vole à son père ; il lui montre sa
mère
qu’il croit morte, à ce spectacle le jeune homme
lle en fondant en larmes ; le petit garçon pleure, mais voyant que sa
mère
ouvre les yeux et que ses premiers regards le che
s ! — Les loges d’aujourd’hui. — Ce qu’on appelle faire son mastic. —
Mère
et tille. — Ce qu’on appelle faire son chausson.
consciencieux exige une heure de peine. Léchez — n’empâtez pas ! La
mère
d’une danseuse entre un soir, en sanglotant, dans
s !… Demain, je vous renverrai tout ce que vous m’avez donné… Oh ! ma
mère
! que je souffre ! Puis, elle alla tomber pantela
utes les portes des maisons en étaient bientôt ornées. Les Pères, les
Mères
, les Parents, les Amis, attendaient toutes ces tr
mort tragique de son père, par la perte qu’elle vient de faire d’une
mère
tendre et chérie, qui a succombé sous le poids de
s fleurs sur l’habit et sur la mante, qui doit servir d’ornement à sa
mère
. La toilette finie, Venus se retourne du côté de
et un miroir ; il se couvre, il se mire ; il vole dans les bras de sa
mère
, et il médite en soupirant le dessein, de se veng
le suivent avec ardeur ; mais il s’échappe et disparoit ainsi que sa
mère
et les Grâces ; et les Nymphes courent et volent
e pas rendre trop sensibles les remarques que l’Amour fait faire à sa
mère
sur cette disparition, je fais rentrer un instant
eau d’Autremont, le … Est-ce bien vrai que tu es tout à fait bien, ma
mère
chérie ? Que tu es bonne de m’avoir envoyé ce tél
que tu m’as faite à celle de ce grand seigneur riche qui a eu père et
mère
, femme et enfant, et qui vit tout seul à présent
iture, et je résolus d’aller lui en offrir une tasse. — Ici, ma chère
mère
, j’ouvre une parenthèse pour te demander pardon d
tire d’ailes, et tout est dit. Parlez maintenant d’une actrice à une
mère
de famille : celle-ci va évoquer l’existence la p
, si bien que toute jeune fille devant cette chaste indignation de sa
mère
, se prendra à rêver un monde d’amours, de coquett
emmes accourent et la soutiennent. Ninias s’apercevant qu’il a tué sa
mère
, court se jeter à ses pieds ; il y déplore son er
danse se hâtait de le prévenir, en lui disant : « Elle est là sans sa
mère
. » Il voulait que sur la scène ces demoiselles fu
au des coulisses. Cette jeune fille, belle et intelligente, avait une
mère
, comme toutes les danseuses, mais la sienne était
son apprentissage sous la direction de Philippe Taglioni. Bientôt sa
mère
ne douta plus de rien. Un jour Mme Duvernay dit m
, dès lors, parmi les spectateurs, personne ne bougea. L’orgueilleuse
mère
dut reconnaître que Louise elle-même avait parfoi
re grande division du genre : 1° La Lorette sous puissance de père et
mère
. 2° La Lorette émancipée. Division de l’espèce qu
onymes. 4° La Lorette exotique. La Lorette sous puissance de père et
mère
, portiers, a pour boudoir une soupente ; le tuyau
l une tasse avec une anse, c’est la Lorette sous puissance de père et
mère
qui en fait usage. Sa mère prend son café dans un
c’est la Lorette sous puissance de père et mère qui en fait usage. Sa
mère
prend son café dans un pot de fleurs. Le demi-pou
té le désir de causer de la question d’Orient avec la jeune fille, la
mère
a jugé convenable de ne pas recevoir la tête cour
sage et presqu’au vol. L’Arthur de la Lorette en puissance de père et
mère
est presque toujours un clerc d’huissier, un aute
evilliste est très-recherché de la Lorette en puissance de père et de
mère
, elle sait que les coulisses donnent la grande ém
prouve à la donneuse d’avis qu’on écrivait cire par un c. Une Lorette
mère
disait en montrant sa fille : Voilà ma plus belle
ette se travestit en cordon bleu, en demoiselle Marguerite ; elle est
mère
nourrice, hôtelière : elle va faire son marché.
e, telle que le Sacrifice d’Iphigénie, l’Entrevue de Coriolan avec sa
Mère
; Médée qui déchire ses enfants ; ou Clytemnestre
drame de ce nom. Notre troupe s’arrêta à Philadelphie. Mon père et ma
mère
étaient avec moi et nous prenions nos repas dans
éducation dont il a eu l’esprit de profiter, et maintenant il aide sa
mère
adoptive à vivre dans une certaine aisance. Il es
er avec clarté les premières notions de la danse ; j’avais en vue les
mères
de famille, et même les institutrices qui pourron
n air assez charmant brille, Et mieux que ses riches atours, Était la
Mère
des Amours, Dont tous trois de l’honneur acquiren
devenue célèbre, la légende broda sur ses origines. On raconta que sa
mère
était une marchande de légumes qui la portait, to
trice Agnès Wallner5, ne repose sur rien. Fanny ne pouvait laisser sa
mère
dans une condition misérable, pendant qu’elle-mêm
ville natale. Elle perdit coup sur coup Gentz, le 9 juin 1832, et sa
mère
, le 28 août. Plus libre désormais de ses mouvemen
n quelque sorte et le gardèrent de longues années jusqu’au jour où la
mère
, retirée du théâtre, put lui consacrer toute sa t
Titans, la naissance de Vénus, celle de Jupiter, la supposition de sa
mère
, la révolte des Géants56, le vol de Prométhée, et
; on en parle dans l’Indépendance belge, même que cela scandalise ma
mère
. Est-ce qu’elle n’est pas un peu la maîtresse de
gé la mort de son père, et assassiné involontairement Clytemnestre sa
mère
, fut tourmenté par les Euménides. Ne pouvant ni s
dans l’égarement de son esprit, il poursuit en furieux l’ombre de sa
mère
qui disparoît. Scène ii Des Gardes de Tho
it, un des enfans lui présente humblement le coffret de la part de sa
mère
; Médée prend elle-même le bouquet, et paroît se
abitua si bien à ce fardeau domestique, qu’elle en arriva à porter sa
mère
et sa sœur. Si la place ne lui eût manqué, elle e
) Saltat sed adulterœ filia ; et il en prend occasion d’avertir les
mères
chastes et chrétiennes, « d’apprendre à leurs fil
ortante, mais qu’elle est aujourd’hui peu suivie ! Combien voit-on de
mères
qui se glorifient de ce que leurs filles ont bonn
u ! car il faut vous l’avouer, Giselle a un défaut, du moins c’est sa
mère
qui le dit : elle est folle de danse, elle ne son
montrances maternelles, Giselle répond ce que toute fille répond à sa
mère
qui lui rappelle que l’heure est bien avancée : «
soin donner des leçons de latin à M. Jules Janin, la bête noire de ma
mère
. — Comment se fait-il, demanderont les hommes gra
es Janin m’a arrêtée. Il aurait dit du mal de moi certainement, et ma
mère
ne se serait plus contenue. Je me suis privée du
nt ; les jeunes Témessiennes ne craignent plus pour leurs jours ; les
mères
ne tremblent plus sur le sort de leurs filles ; l
its. Cette pensée le détermine à peindre Campaspe sous la forme de la
mère
des amours. Il donne ses ordres à son élève chéri
l était de ne me laisser entrer dans l’église sous aucun prétexte. Ma
mère
était aussi terrifiée que moi-même. C’est alors q
es Français, qui est engagée au Théâtre Français d’ici pour jouer les
mères
nobles, la pauvre femme a eu bien des déboires ;
la vüe de ses merveilles, ils l’étudiérent, la consultérent et cette
mère
tendre et généreuse, s’empressa de leur fournir d
élicieux tableau. Mme Claretie me présenta à la dame âgée. C’était sa
mère
. Je demandai à la vieille dame comment elle se po
la danse serpentine En 1890 j’étais en tournée, à Londres, avec ma
mère
. Un impresario m’engagea pour aller créer aux Eta
au lever du rideau : Je m’embarquais à Cherbourg, en compagnie de ma
mère
et de quelques amis, à destination de New-York. P
ent leurs regards sur la nature ; qu’ils n’oublient point qu’elle est
mère
des arts ; qu’elle ne les égara jamais ; qu’elle
considéré l’enfant pendant quelques minutes, demanda brutalement à la
mère
: — Que diable voulez-vous que je fasse de cette
avait guère plus de cinq ans, et déjà elle vivait et faisait vivre sa
mère
de son jeune talent. A la Scala, il y a deux corp
le jeune homme le plus hardi veut en vain cacher sa pâleur ; la jeune
mère
, d’un geste convulsif, presse son enfant sur son
excuse frivole, qui loin de justifier la négligence des pères et des
mères
, ne servent qu’à les condamner. En supposant que
i ne vous appartient pas. Elle vous dit : Honorez votre père et votre
mère
; et vous manquez au respect que vous leur devez.
om de Beaujoyeux, fut nommé valet-de-chambre du roi et de la reine sa
mère
; il se rendit si illustre à la cour par ses inve
rissent l’âme et des marchés hideux que plus d’une fois la main d’une
mère
a signés. La fortune y fait mille tours ; elle je
4. Son physique ne semblait pas la prédestiner à de grands succès. Sa
mère
était contrefaite. Elle-même manquait de proporti
blic qui applaudissait cette danse « qu’il y avait dans la salle, des
mères
, des femmes, des sœurs, des filles ». Mais bientô
ins de confiance ; c’est l’enfant attendu, venant se serrer contre sa
mère
qu’il ne connaît pas encore. Les deux femmes aura
e Henri II ne régna que dix-sept mois ; il en coûta peu de soins à sa
mère
pour le distraire du gouvernement, que son imbéci
et dont elle aurait dû toujours l’occuper. Henri III devait tout à sa
mère
; il n’était point naturellement ingrat ; il avai
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