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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
VI lumière et danse Puisque, aussi bien, on s’accorde à di
ue j’ai créé quelque chose, que ce quelque chose est un composé de la lumière , de la couleur, de la musique et de la danse et p
couleur, de la musique et de la danse et plus particulièrement de la lumière et de la danse, il me semble qu’il ne serait peut
t la fâcheuse aventure que m’y valut mon amour de la couleur et de la lumière . *** Quand je vins on Europe, je n’avais jamais v
tés, c’est que les architectes ne se sont nulle part préoccupés de la lumière . Grâce à ce défaut j’ai, dans chaque musée, l’imp
serait enfin mieux comprise. L’éclairage, les reflets, les rayons de lumière tombant sur les objets, sont des questions si ess
musée dont l’éclairage fût parfait. Les verrières laissant passer la lumière doivent être cachées ou voilées de même que les l
oivent tendre tous les efforts des architectes : la répartition de la lumière . Il y a mille façons de la distribuer. Pour qu’el
ns de la distribuer. Pour qu’elle remplisse les conditions voulues la lumière devrait être amenée directement sur les tableaux
les statues au lieu d’y parvenir au hasard. *** La couleur est de la lumière décomposée. Les rayons de lumière décomposés par
au hasard. *** La couleur est de la lumière décomposée. Les rayons de lumière décomposés par les vibrations touchent tel ou tel
résultat des différents changements de la matière et des rayons de la lumière . Chacun de ces effets est désigné sous le nom de
rt au point de vue lumineux. Si j’ai été la première à employer de la lumière de couleur, je ne mérite pour cela aucun éloge, J
ces choses qu’il faut observer quand on danse avec accompagnement de lumière et de musique harmonisées ensemble. Lumière, coul
se avec accompagnement de lumière et de musique harmonisées ensemble. Lumière , couleur, mouvement et musique. Observation, intu
2 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
varié d’entités abstraites. L’espace géométrique est aboli ; c’est la lumière qui crée autour de ce volcan de formes, en l’isol
tour de ce volcan de formes, en l’isolant, un espace idéal ; c’est la lumière encore qui, réverbérée par le verre, sature cette
liquides. Il y a encore le poème du feu où les voiles embrasés par la lumière rouge affectent les formes de la flamme, ou bien
e ne lui reproche que quelques défaillances : les Main, le Ballet des Lumières , divertissement banal et symétrique où elle « nou
3 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 septembre : Le Gentilhomme de Beauce — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 13 septembre 1670 »
des partageaient, Et trente Lustres éclairaient, Répandant, tous, une Lumière Qui plaisait plus à la Visière, Que la Lumière qu
, Répandant, tous, une Lumière Qui plaisait plus à la Visière, Que la Lumière que produit L'Astre du jour, ou de la Nuit : Tout
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
e chrétiens, bien loin de désirer que Dieu fasse luire à leur cœur la lumière de la vérité, la craignent, la fuient et la rejet
à sa parole : (Jean. 3, 10.) Ils ont mieux aimé les ténèbres que la lumière , parce que leurs œuvres étoient mauvaises. Quell
il ajoute tout de suite : (v. 20, 21.) Celui qui fait le mal hait la lumière , et il ne s’approche point de la lumière, de peur
elui qui fait le mal hait la lumière, et il ne s’approche point de la lumière , de peur que ses œuvres ne soient condamnées. Mai
ent condamnées. Mais celui qui agit selon la vérité, s’approche de la lumière , afin qu’on connaisse que ses œuvres sont faites
raité selon les désirs déréglés de son cœur : on craint et on fuit la lumière de la vérité, et elle se cache. La vérité se cach
e Dieu exerce contre ceux à qui la vérité déplaît et qui en fuient la lumière , en expliquant l’endroit de l’évangile où il est
la vérité, et pour cela renoncer aux passions qui en font craindre la lumière , et qui, tant qu’on les aime, rendent indigne d’e
cœur, y firent comme une forêt, où l’épaisseur des arbres empêche la lumière de pénétrer : Sylvescere ausus sum variis et umbr
ntre vous et moi, ô mon Dieu ! comme un nuage épais qui me cachoit la lumière si pure de votre vérité : Et in omnibus erat cali
ment cette prière de David dans le psaume 42 : (v. 3.) Envoyez votre lumière et votre vérité. Qu’elles me conduisent sur votre
ts différens que le prophète emploie en priant Dieu de lui envoyer sa lumière et sa vérité ; mais ces deux mots ne signifient q
e : (Ps. 42, n.° 4.) Hæc nomina duo, res una. Qu’est autre chose la lumière de Dieu, que la vérité de Dieu ? Et la vérité de
la vérité de Dieu ? Et la vérité de Dieu est-elle autre chose que la lumière de Dieu ? Quid enim aliud lux Dei, nisi veritas
x Dei, nisi veritas Dei ? aut quid veritas Dei, nisi lux Dei ? Cette lumière étant toute spirituelle, ne peut être vue que par
une véritable hypocrisie que de paroître, en consultant, chercher la lumière de la vérité ; pendant qu’en effet on ne désire q
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
e petite. » Loïe Fuller, qui fut comédienne avant d’être la fée de la lumière , l’enchanteresse des visions étranges, s’est épri
et son sourire de faunesse, elle m’a répondu : — C’est le hasard. La lumière est venue à moi plutôt que je ne suis allée à ell
yr. Loïe Fuller a étudié dans un laboratoire spécial tous ces jeux de lumière qui transforment le décor de la mer Morte aperçue
rment l’horizon, s’embrasent tour à tour ou s’enveloppent de nuit. La lumière transforme féeriquement l’aspect du pittoresque p
hange ainsi en magicien. Nous assisterons avant peu à des miracles de lumière , au théâtre. Lorsque M. Fortuny, le fils de l’ill
forte part de contribution. Elle a je ne sais où combiné ses jeux de lumière , ayant reçu congé de son propriétaire à la suite
s qu’elle fera demain, séduisants et provocants, dans ses costumes de lumière , j’ai eu la sensation d’une « impresaria » admira
é de la prière. — Voulez-vous avoir la bonté de donner un peu plus de lumière  ?… Bien… C’est cela… Merci ! Sur la scène, une au
d’étoffe, parfois rose, rouge ou vert, pour se rendre compte, sous la lumière électrique, des reflets sur les plis mouvants ou
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
cœurs pour nous instruire et nous toucher ! Dissipez par votre divine lumière les ténèbres et les erreurs dans lesquelles les m
t pu nous retenir jusqu’à présent. En faisant luire à notre esprit la lumière de la vérité, faites-la aussi pénétrer dans nos c
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
scène d’hypnotisme. Le décor, représentant un jardin, était baigné de lumière vert pâle. Le docteur Quack faisait une entrée my
s d’or se jouaient dans les plis de la soie chatoyante, et dans cette lumière mon corps se dessinait vaguement en ligne d’ombre
n danse n° 1, n° 2, etc., etc. La première devait être éclairée d’une lumière bleue, la seconde d’une lumière rouge, la troisiè
a première devait être éclairée d’une lumière bleue, la seconde d’une lumière rouge, la troisième d’une lumière jaune. Pour écl
une lumière bleue, la seconde d’une lumière rouge, la troisième d’une lumière jaune. Pour éclairer mes danses je voulais un pro
irais danser la dernière danse dans l’obscurité avec un seul rayon de lumière jaune traversant le fond de la scène. Lorsque j’e
u » et pourtant ma danse, qui se passait pendant un entr’acte et sans lumière de couleur, fut un succès dès le premier pas. Un
er mes danses telles que je les avais conçues : nuit dans la salle et lumières de couleur sur la scène avec première apparition
res de couleur sur la scène avec première apparition baignée dans une lumière bleue. La salle était bondée et le public fut abs
8 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
n. L’effet serait de la plus grande beauté, si on y faisait servir la lumière à rendre aux yeux du spectateur les diverses tein
entes, et pourraient être peintes à l’œil par le seul arrangement des lumières . Les frais ne seraient pas plus considérables, pe
suffisants pour prouver qu’un poète lyrique ne peut acquérir trop de lumières sur les arts qui doivent concourir à rendre parfa
chée au faux-châssis. Sur le côté opposé, on accroche les portants de lumière (Voyez Portants [Article non rédigé]) ; et la par
de biscuits, et auxquels on donne ce nom  ; l’autre partie couvre ces lumières , et on l’oppose au public  ; en sorte que toute l
ouvre ces lumières, et on l’oppose au public  ; en sorte que toute la lumière frappe la partie de la décoration où l’on veut po
n les sert à la main, et ce service fait partie de la manœuvre. Voyez Lumière [Article non rédigé]. (B)
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 1er mars 1664 »
De divers agréments orné, Et d’invention singulière, Avec l’ordinaire lumière , Fut vers le soir, Jeudi passé, Pour la dernière
10 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Titre complet] »
vec honneur ; d’autres qui sont en vogue aujourd’hui, passeront de la lumière dans les ténèbres. Traduction du Père Sanadon.
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 18 février 1662 »
llets passés, Soit pour la superbe manière, Soit pour les frais de la lumière , Soit pour les habits précieux, N’ont jamais fait
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
sortaient à peine des mains du Créateur la voûte azurée des Cieux, la lumière , l’éclat, la chaleur du Soleil, les Astres de la
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
bres. Ils en faisaient sortir, à leur gré, quelques faibles traits de lumière qui servirent à établir leur puissance, et à égar
ar leur Danse le cercle des signes célestes sous lequel l’Astre de la lumière fait son cours journalier et annuel18. [Voir Dans
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
jamais ni pour dîner ni pour souper. Elle cherche des combinaisons de lumières et de couleurs les unes après les autres, sans fi
 Je ne vois pas comment on pourrait noter avec des mots des rayons de lumière dans leur imperceptible et incessante évolution.
re dans la pensée pour écrire, et on ne peut que sentir des rayons de lumière en décomposition ou en transition, comme on sent
parmi les vies endormies : elle est papillon, elle est feu, elle est lumière , ciel, étoiles. Frêle sous l’étoffe flottante fle
intimement confondue avec l’amour de la forme, de la couleur et de la lumière que j’ai synthétisé, à ses yeux, lorsque je lui a
15 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Réponse de Voltaire » pp. 8-9
estime. Votre titre n’annonce que la danse, et vous donnez de grandes lumières sur tous les arts ; Votre style est aussi éloquen
16 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
leurs saillies et contours ; ce qui composait environ quatorze mille lumières , tant en falots qu’en lampes à plaque. Les entabl
u de la place ordinaire des canons, était décoré d’un grand nombre de lumières en falots ou lampes à plaque, qui traçaient la pr
saillies. Tout le pourtour de cette fontaine qui formait une salle de lumières , et les poteaux, étaient illuminés par des lustre
pes à plaque, qui figuraient les cintres des arcades, avec festons de lumières au-devant des appuis. Le pourtour du piédestal et
rapeaux entrelacés de lauriers, et entouraient le pied d’un groupe de lumières  ; treize autres pieds triangulaires portaient des
; treize autres pieds triangulaires portaient des pyramides ou ifs de lumières , et chacune de ces vingt-huit pièces portait quat
tre-vingt et cent grosses bougies, ce qui faisait environ trois mille lumières . Le contour du feu d’artifice était illuminé, en
es précédaient deux grands chariots éclairés par un nombre immense de lumières , cachées avec art aux yeux du peuple, et qui port
icles de cet Ouvrage, est de répandre, autant qu’il est possible, des lumières nouvelles sur les différentes opérations des Arts
e goût fut enveloppé à la cour de Louis XIII. Les rayons éclatants de lumière , que le génie de Corneille répandait dans Paris,
sements variés et choisis se succédaient ainsi tous les jours ; et la lumière éclatante des illuminations, imaginées avec goût,
disposition des clairs, des obscurs, et des positions ingénieuses des lumières devaient faire paraître à perte de vue. Tous ces
l’orangerie, telles qu’on les a dépeintes, se trouvaient frappées de lumière  ; le palais magique du fond de la pièce des Suiss
angle sur l’orangerie et sur la pièce des Suisses, étaient remplis de lumières qui dessinaient les attributs de l’amour et ceux
il aurait fait voir cette immensité de desseins formés au loin par la lumière , et cette foule de personnages répandus dans l’en
a vu ce poète philosophe emprunter la main des grâces pour offrir la lumière au dernier siècle. Il jouit à la fois de l’honneu
; outre que la couleur blanche a toujours plus de relief, surtout aux lumières et dans les ténèbres, la vraisemblance est aussi
peuple innombrable répandu sur les quais. On jouissait à la fois des lumières qui éclairaient les échafauds, de celles qui bril
recherchée et brillante des hommes et des femmes, dont la clarté des lumières relevait encore l’éclat, faisait un coup d’œil et
ça par le temple de l’Hymen, dont tout l’entablement était profilé de lumières , ainsi que les balustrades, sur lesquelles s’élev
ou girandoles en ifs dans les entrecolonnes, formés par plus de cent lumières chacun. Toute la suite des pyramides et pilastres
ont-Royal, des lustres composés chacun d’environ quatre-vingt grosses lumières , suspendus aux mêmes endroits où l’on met ordinai
jour ; la nuit qui lui succéda, était environnée de la plus brillante lumière . Le signal fut donné, et dans le même instant le
t illuminé presqu’au même moment : on ne vit plus que des torrents de lumière soumis à l’art du dessein, et formant mille figur
couleurs dont on avait eu l’habileté d’embellir les feux divers de la lumière . Feu d’artifice. Le bruit de l’artillerie, le so
combat des dragons succédèrent les artifices dont les huit bateaux de lumières étaient chargés. Au même endroit, dans un ordre d
s vives, les mieux assorties, et les plus convenables à la clarté des lumières et aux divers ornements de relief rehaussés d’or,
hithéâtre pour la symphonie : elle était éclairée par une infinité de lumières placées avec art. On voyait par les croisées de c
tablement, étaient aussi illuminées de quantité de terrines, dont les lumières produisaient un fort bel effet. Lorsque la prince
éclairées de lustres, chargés de longs flambeaux de cire blanche. Des lumières arrangées ingénieusement sous différentes formes,
tes ces parties, on avait posé des guéridons de feuillées chargées de lumières , qui conduisaient la vue d’un objet à l’autre par
une grande quantité de lampions et de flambeaux de cire blanche : ces lumières rangées avec art sur les différentes parties de l
é prodigieuse de pots-à-feu. Tous les compartiments, dessinés par les lumières , ne laissaient rien échapper de leurs agréments p
e foire étaient ornées d’une très grande quantité de lustres ; et ces lumières réfléchies sur de grands miroirs et trumeaux de g
es, soucoupes, et cabarets du Japon et des Indes, et de girandoles de lumières qui se répétaient dans les trumeaux. Corbie et Ju
uva tout-à-coup éclairée par une illumination ingénieuse, et dont les lumières qui la formaient, étaient cachées par des transpa
emps que la Reine voulut bien y rester ; et la réflexion des coups de lumière qui partaient du nombre immense des lumières qu’o
la réflexion des coups de lumière qui partaient du nombre immense des lumières qu’on y avait répandues, augmentait et variait à
pour dire, à demi ivre, que c’était bien la peine de tant dépenser en lumières , pour ne faire voir que de l’eau. Un gascon qui p
et au-dessous des rochers, on voyait à fleur d’eau deux parterres de lumières qui occupaient chacun un espace de 18 toises sur
ifs et d’orangers, avec leurs fruits, de 12 pieds de haut, chargés de lumières . Le dessein des parterres était tracé et figuré d
s, et les ténèbres de la nuit entièrement dissipées. Le mouvement des lumières , qui en les confondant leur donnait encore plus d
à plaque de fer blanc, qui augmentaient considérablement l’éclat des lumières , et qui pendant le jour faisaient paraître les to
rs comme argentées. Elles semblaient s’élever sur quatre terrasses de lumières , ayant 18 pieds de diamètre, sur 70 de haut, en y
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
nage galamment. L’Hiver, ouvrant cette carrière, En est chassé par la lumière De notre Prince sans pareil, Qui représente le So
18 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
s engageront des hommes plus instruits que moi, à jetter de nouvelles lumières sur un objet qui intéresse autant l’humanité que
les ailes, il y découvre la manœuvre du théatre, il y apperçoit cent lumières incommodes et lorsqu’il veut ensuite ramener ses
té pour l’effet du spectacle, que le public ne pût appercevoir aucune lumière dans les chassis. Mais je voudrois encore que l’o
ateurs que pour les acteurs, de toutes les manières de distribuer les lumières , il n’en n’est pas de si incommodes ni de si ridi
toute la physionomie, et la prive de son jeu et de son expression. La lumière , où les rayons du jour frappent tous les corps de
ue dans le vide, qu’offrira le demi-cercle, on y ménage des foyers de lumière qui seront réfléchis par un corps lisse et poli ;
te distribution : alors on parviendra à imiter les beaux effets de la lumière . Au reste tout ceci demande des recherches, des e
t facile de les éclairer en couvrant les tringles qui porteroient les lumières , d’un fer blanc battu et poli, courbé en quart de
oli, courbé en quart de cercle et propre à réfléchir les rayons de la lumière sur le théatre. Je voudrois beaucoup de simplicit
que l’on a construite à Londres. Au reste, je soumets cette idée aux lumières , au goût et aux connoissances des architectes. Je
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
contrainte à laquelle ses yeux avaient été assujettis ; il appela la lumière et l’engagea par les plus tendres chants à se rép
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
éclairés, il y a toujours dans les Arts quelque partie éloignée où la lumière ne perce point encore. Le défaut de sujets fut sa
rmi nous, et que c’est un défaut ancien et national, dont, malgré les lumières que nous acquérons tous les jours, nous avons bie
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
a nuit tendit ses sombres voiles, Mais, pour chasser l’obscurité, Des lumières en quantité (Dont quatre mille était le nombre),
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
. Mes danses, du fait de l’aspect immatériel que leur communiquent la lumière et les couleurs mélangées, devaient donc frapper
te suite de petits amis. Lorsque vint mon tour d’entrer en scène, les lumières s’éteignirent et, dans le silence soudain établi,
ère, le docteur Palmer, fit installer chez lui une lanterne magique à lumières changeantes. La petite dansait et inventait des p
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
s la confusion. Les ténèbres de l’ignorance prévalurent sur la faible lumière des Arts. Elle s’éteignit. Ils disparurent, et l’
24 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
Ils ont donc besoin d’une histoire qui fixe leurs incertitudes, d’une lumière pure qui leur montre les erreurs, le danger, le m
25 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
e Théâtre, n’a plus besoin que de guides, de bons principes, et d’une lumière qui, comme le feu sacré, ne s’éteigne jamais. Qu’
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
barie, à une époque, où l’esprit et le goût, les connoissances et les lumières avoient été portés à leur perfection. On étoit ob
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
it rien de pareil Madame en était la première, Qui paraissait toute lumière , Tant par ses habits précieux Que par l’éclat de
28 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
Voilà donc la fureur poétique établie dans le monde comme un rayon de lumière transcendante, comme une émanation sublime d’en-h
détaillez, vous comparez les attitudes, les contrastes, les coups de lumière , les traits des personnages, leurs passions, le c
x où nous les voyons aujourd’hui. Que s’il est possible de porter des lumières nouvelles sur leur partie purement spirituelle, s
n’est dû qu’à la raison comme cause première ; si c’est à ce rayon de lumière plus ou moins brillant, à cette émanation plus ou
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
la Nation avec un applaudissement presque unanime135 ; parce que les lumières des Spectateurs sur le genre et sur tous les Arts
30 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
e. Ici les chevaux de bois sont mus par de puissantes dynamos sous la lumière crue des lampadaires électriques. Mais qu’est-ell
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
cepter le mien. Diane, non pas la première, Mais, des Cieux seconde lumière , Ayant sur son front ravissant Un riche et lumine
32 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
avait au moins trente mille visiteurs à l’Exposition. On éteignit les lumières et la foule se précipita vers l’estrade. Ce fut,
air. Lors de la seconde soirée, au moment où l’on allait éteindre les lumières , un homme vint me dire, tandis que j’entrais en s
33 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
ille et le sommeil ? Ne cherches-tu pas le réveil et la netteté de la lumière , quand un mauvais rêve te travaille ? Ne sommes-n
it ; implorant, au contraire, les ténèbres, pendant que nous avons la lumière  ; anxieux de savoir, trop heureux d’ignorer, nous
voir son corps qu’en mouvement. ÉRYXIMAQUE Ses yeux sont revenus à la lumière … PHÈDRE Jouissons de l’instant très délicat où el
samment, les recevant de la musique et les rendant tout aussitôt à la lumière  ? ÉRYXIMAQUE Et moi, de mon côté, je songe à la p
simple et singulière j’ai placée, depuis que je t’ai connu, dans tes lumières incomparables : je ne puis t’entendre sans te cro
sse de l’état lourd à l’état subtil, passe par le moment de feu et de lumière … Et flamme, n’est-ce point aussi la forme insaisi
nt et rebondissant, cette fête intense du corps devant nos âmes offre lumière et joie… Tout est plus solennel, tout est plus lé
34 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
enoient à danser. On voit ici que la saine raison, qui étoit la seule lumière qui éclairât les Païens, privés de celle de la Fo
35 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
u du bûcher s’éteint, & à sa place paraît une Gloire éclatante de lumière , au milieu de laquelle est le Sultan ressuscité,
présente le tableau du Monde. Le Magicien est enlevé dans un globe de lumière , & fait connaître qu’il est un puissant Génie
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
l’oracle est accompli ; le sacrifice est consommé : Admète revoit la lumière et recouvre graduellement sa santé ; il se lève,
ient réunis dans cette décoration. Le clair-obscur et l’entente de la lumière étoient observés de manière que ce Palais brillan
37 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
enu si commun, et dont tant de gens osent prendre la défense, non par lumière , mais par prévention pour les coutumes et les max
alart de Hersé, évêque de Châlons en Champagne. L’éminente piété, les lumières et les immenses travaux de cet évêque dans la con
que vous, et un païen vous condamnera au jour du jugement : la seule lumière naturelle a mis ce païen en état d’enseigner que
nsées ; et vous qui êtes un enfant de Dieu, et qui êtes éclairé de la lumière céleste de l’Evangile ; vous chez qui on ne devro
38 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
us-Christ dit (Jean, c. 3, v. 20.) que quiconque fait le mal hait la lumière , et ne s’approche point de la lumière, de peur qu
e quiconque fait le mal hait la lumière, et ne s’approche point de la lumière , de peur que ses œuvres ne soient condamnées . De
39 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
s’y trémoussent, il me sembla qu’au lieu du boulevard, poudroyant de lumières et de foule, j’avais devant moi cette cour de l’a
res, les amours et le plaisir du Paris de ce temps-là, qui étaient la lumière , le mouvement, la vie, l’allégresse de la pauvre
40 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
. On transforma le bar en chambre à coucher et c’est là que je vis la lumière . Ce jour-là une épaisse couche de glace recouvrai
41 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
apporté les décisions contre les danses. Dira-t-on qu’ils ont plus de lumières et de piété, et qu’ils sont plus habiles dans l’a
42 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
ec éclat. Le soleil, en se montrant sur l’horizon, efface par sa vive lumière , tous les objets les plus brillans : je vais auss
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
lles forces qui lui étaient nécessaires pour faire son voyage, et les lumières dont il avait besoin pour ne pas s’égarer. Il mar
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
le temps qui était le plus propre aux actions du Théâtre. Le jour des lumières est un premier pas vers l’imitation, qui commence
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
t il obtint ainsi, en s’appuyant sur les données d’un art vivant, des lumières sur la gymnastique des anciens, que je ne puis ex
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
aux de la Cour. Enfin, voici pour la dernière, De la Cour une autre lumière , Savoir la belle Rochefort, Que tout le monde est
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
équitable souci, En d’autres Machines côtières, Toutes brillantes de Lumières . Mais, comme elle a le cœur fâché Des Honneurs
48 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
u de l’Amour. Dans le même moment celui de l’Hymen s’allume ; mais sa lumière moins vive et moins éteincellante ne dure qu’un i
t favorable éloigne la flotte du rivage, lorsque Didon revoit avec la lumière la perfidie et l’inconstance de son amant. Elle c
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ans un appareil Assez conforme à la manière Que l’on peint ce Dieu de lumière  : Mais, surtout, furent admirés De son chef les c
50 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
à les dérober avec promptitude. S’il n’a pas l’art de distribuer les lumières à propos, il affoiblit l’ouvrage du peintre, et i
, devient noire et obscure ; telle autre qui demande à être privée de lumière , se trouve claire et brillante. Ce n’est pas la g
qui fait valoir la scène ; le talent consiste à savoir distribuer les lumières par parties, ou par masses inégales, afin de forc
afin d’observer les mêmes nuances et les mêmes dégradations dans les lumières . Rien ne seroit plus mauvais qu’une décoration pe
oujours amant passionné, semble chérir le coup qui va le priver de la lumière . Les bergères attendries arrachent Thémire de ce
51 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
es précédaient deux grands chariots éclairés par un nombre immense de lumières , cachées avec art aux yeux du Peuple, et qui port
52 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
, patrimoine français, sort de l’ombre et s’épanouit dans la nouvelle lumière . Nous voyons les « ballets russes », ayant décrit
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
est bien, et que le bien est mal ; qui donnez aux ténèbres le nom de lumière , et à la lumière le nom de ténèbres ! Un célèbr
le bien est mal ; qui donnez aux ténèbres le nom de lumière, et à la lumière le nom de ténèbres ! Un célèbre interprète, exp
avoir renoncé à la vie des hommes du siècle. Ceux qui conservent une lumière plus pure, sont en si petit nombre et ont si peu
54 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage » pp. 115-118
durée. Ce sont des Fantômes qui disparaissent promptement devant les lumières de la vérité. [4] Avant-propos, pag. 14, note (I
55 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
ion sera reprise, toujours, car elle a recréé et des effets, et de la lumière , et de la mise en scène, toutes choses qui seront
56 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »
envahi le ballet français. Disons-le : le prodige russe éclaira d’une lumière implacable le spectacle d’une complète déchéance.
57 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
ébiles et paresseux, ne peuvent digérer, comme il est de trop grandes lumières qui blessent et offensent des vues foibles et dél
58 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
le des anciens patriarches, quoiqu’ils aient vécu dans un temps où la lumière de notre sainte religion ne brilloit pas avec l’é
t-il y avoir entre la justice et l’iniquité ? Quel commerce entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord entre Jésus-Christ
59 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
icorde de Dieu, et ne pas espérer que, par le secours de sa grâce, la lumière de la vérité pénètrera dans un plus grand nombre
60 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
ous impressionne, c’est le lieu ; la rotonde sous la coupole, avec sa lumière blafarde, si chère à Degas, qui durcit les linéam
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
des couleurs, leur dégradation, et les effets quelles produisent à la lumière , doivent fixer encore l’attention du maître de ba
suivi dans les jalousies, ou les fétes du serrail, la dégradation des lumières que les peintres observent dans leurs tableaux ;
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
différent sexe produisent naturellement ? Si donc un curé, qui a des lumières et du zèle, désire bien sincèrement de s’opposer
63 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
épisodes qui se précipitent sur ce plateau garni de linoléum sous la lumière brutale et errante des projecteurs, pour étudier
64 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
ntre leur Roi assassiné, respirant à peine, et Cassandre privée de la lumière . A ce double spectacle d’horreur les Officiers vo
Oreste et Pylade paroîssent dans ce bois sombre qui ne reçoit d’autre lumière que celle des lampes funèbres. Avant de consommer
cris d’allégresse. Cependant Oreste revient à lui, il revoit avec la lumière les objets hideux qui le persécutent. La troupe i
65 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
e. Tout semble s’agiter autour de moi, les décors, les meubles et les lumières . On dirait que tout cela s’entend pour m’envoyer
66 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
u fond de la salle du bal. Il faisait terriblement sombre et la seule lumière perceptible était le tout petit rayon qui filtrai
67 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
nse blanche. Pour finir, j’entendais danser, éclairée par-dessous, la lumière arrivant à travers un carreau sur lequel je me te
68 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
ses expériences pour ne pas craindre l’ennui de rester assise dans la lumière de telle ou telle couleur pendant une heure ou de
69 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
plaques, car ces plaques aussi, c’est vous ! Et, les tournant vers la lumière , il fit jaillir de leurs surfaces toutes les coul
70 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
avantageuse à la ressemblance, qu’il choisisse le jour et le dégré de lumière qui sera le plus favorable ? or, si le grand pein
71 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
s qui déchirent son cœur. Scène dernière. Armide en revoyant la lumière ne peut plus douter de l’inconstance de son amant
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
up mortel. Raymond victorieux vole aux genoux d’Adèle. Elle revoit la lumière et son amant ; elle se jette dans ses bras pour n
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
urgit de l’ombre. Il portait un falot qui faisait une petite tache de lumière ronde dans la brume. Il ouvrit la porte et j’entr
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
r une ouverture étroite le propre à laisser passer un foible rayon de lumière . J’évoquai humblement les ombres fugitives des Py
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
s ; Créuse s’empresse à lui donner ses soins ; mais Médée revoyant la lumière et sa rivale, la fuit avec horreur. La jalousie n
76 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
is bouts de laiton. A l’orchestre, deux violons. Sur le théâtre, deux lumières confuses : celle d’un bec de gaz à réflecteur, pl
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
.) Puis il fait cette réflexion : Ibid.c. 6, n.° 27.) « Si, selon les lumières de la sagesse du siècle, l’ivresse ou la folie so
e le font pas avec assez de vigueur, ou ne se sont pas acquis, par la lumière de leur doctrine et par la sainteté de leur vie,
78 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
’astre des nuits, ouvrant ses paupières aux ailes d’argent, verse une lumière plus vive dans la clairière. Ne voyez-vous pas da
mon Loys, ne le faites pas mourir ; qu’il jouisse encore de la douce lumière des cieux, pour se souvenir de moi, et pleurer su
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
n’étaient pas moins parées : l’éclat de leurs pierreries faisait aux lumières un effet admirable. Comme j’étais appuyé (continu
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
gage de leurs yeux, et les feux qui s’en échappoient, répandoient une lumière vive sur toutes les parties de leur physionomie ;
81 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
le au secours d’une rivale qu’elle ne craint plus. Campaspe revoit la lumière et embrasse les genoux d’Alexandre. Apelles se je
82 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
cours à leur nièce. Scène X. Julie revient à elle, et revoit la lumière . Le tableau de sa situation se retrace à son imag
83 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
apier tout ce que j’ai pu acquérir de simples lueurs ou de véritables lumières sur la Danse Pantomime, je suis bien éloigné de p
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
mant, en traca le profil sur la muraille. Ses traits réfléchis par la lumière d’une lampe lui suggérèrent l’idée de dessiner le
85 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
caractères s’effacent ; les gouffres se ferment, et Danaüs revoit la lumière . Scène iii. Un de ses principaux Officiers
86 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
née. Au lever de la toile l’Amour déchire son bandeau ; il appelle la lumière , et l’engage par ses chants à se répandre sur les
lation de quelques hommes à talents, qui profitèrent de ces nouvelles lumières pour donner de nouveaux plaisirs à leur nation. C
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
oisième Acte d’Alceste. 128. Le chœur de Phaéton : Allez répandre la lumière . 129. V. le quatrième Acte de Roland. 130. Les
88 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
’ils préviennent ces reproches, et qu’ils ouvrent enfin les yeux à la lumière qui leur est présentée par des hommes qui ne doiv
89 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
invention comme de presque toutes les autres ; les premiers rayons de lumière que l’inventeur a répandus ont suffi pour éclaire
Peinture, des couleurs factices, que les diverses modifications de la lumière naturelle ne sauraient jamais produire. La second
90 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
ravail le plus opiniâtre n’offre-t-il aux plus grands artistes qu’une lumière souvent importune qui les éclaire sur leur insuff
ie aux pieds du sacrificateur, Dorval et Clairville voyant à peine la lumière , sont renversés dans les bras de quelques sauvage
91 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
dans l’obscurité qui l’enveloppe aujourd’hui, n’ayant presque pas de lumière pour nous conduire, nous sommes obligés de marche
92 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
cteurs ; mais je les remercie d’avance, s’ils daignent me fournir des lumières nouvelles. Je n’ai point de sentiment que je ne s
93 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156
t découvrir : or, dèsqu’ils ignorent ce que tout homme qui a quelques lumières est en droit de leur reprocher, il n’est pas éton
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
nte et s’élève au dessus de ce grouppe épouvantable. Psyché revoit la lumière et son amant ; elle lui tend les bras : il y vole
95 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
e. Le gaz servit à obtenir des clairs de lune et de poétiques jeux de lumière . Pour cette rénovation romantique du décor, Dupon
ès grand nombre de lustres garnis de bougies répandaient des flots de lumière . Tout le cinquième acte était royal et digne de l
96 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
nt de gens élégants à la fois ; quant à lui, la figure éclairée d’une lumière céleste, la tête rejetée un peu en arrière, à la
97 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
de son fils, et s intéresse à celle de Fulvie, qui revoit bientôt la lumière  ; ce respectable vieillard fait éclater sa joye à
98 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
e votre aimable beauté que le prince d’Atarne s’est aussi privé de la lumière du soleil ; prince à jamais célèbre par ses actio
a de beaux chœurs dans Tancrède ; celui de Phaéton, Allez répandre la lumière , etc. a une très grande réputation, quoiqu’il soi
rages dramatiques ; mais il l’a saisie en homme original ; il a vu la lumière dès qu’elle a paru ; et il a composé de façon qu’
99 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
ts, puissants de ta blanche personne sortaient des paroles pleines de lumière , d’harmonie, d’enchantement. C’étaient quelquefoi
sé par elle avec les rayons les plus chastes et les plus légers de la lumière , avec le mystère le plus saisissant et le plus in
r dans le mystère de l’avenir. Que deviendra cette substance faite de lumière et d’harmonie, cette forme délicate d’où émane co
100 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
Le Courrier des Théâtres insistait particulièrement sur les effets de lumière , inconnus en France jusqu’à ce jour. La Tempête,
dre Léa et il l’épouse en grande pompe, dans une prodigieuse orgie de lumière . Alcine avait à peine fait quelques pas, que déjà
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