oir lu, si lu me lis, tu te diras : En somme c’est un scandale que ce
livre
. Tu auras tort de dire cela. Ce livre n’est ni un
somme c’est un scandale que ce livre. Tu auras tort de dire cela. Ce
livre
n’est ni un scandale ni une œuvre impie. C’est un
soin elle savait parler et écrire. Sais-tu bien pourquoi j’ai fait ce
livre
? — Non. — Je vais te le dire dans la sincérité d
rs appointements réunis formaient un total de huit mille quatre cents
livres
: Deux avaient mille livres ; Quatre étaient à hu
aient un total de huit mille quatre cents livres : Deux avaient mille
livres
; Quatre étaient à huit cents livres ; Quatre, à
ents livres : Deux avaient mille livres ; Quatre étaient à huit cents
livres
; Quatre, à six cents ; Les deux autres, à quatre
cents. Les dix danseuses gagnaient ensemble cinq mille quatre cents
livres
: Les deux premières étaient à neuf cents livres
q mille quatre cents livres : Les deux premières étaient à neuf cents
livres
; Les quatre deuxièmes, à cinq cents ; Les quatre
nts. Il y avait, en outre : Un maître de salle de danse à cinq cents
livres
; Un compositeur de ballets à quinze cents ; Un d
stes. D’après le tarif fixé par lui, un ballet était payé cent vingt
livres
pendant les dix premières représentations et soix
, à peine de confiscation des exemplaires contrefaits, de quinze cens
livres
d’amende contre chacun des contrevenans, dont un
mp; ce dans trois mois de la datte d’icelles ; que l’impression de ce
Livre
sera faite dans notre Royaume, & non ailleurs
entes qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dud.
Livre
, soit tenue pour dûement signifiée, & qu’aux
ez les savoir, Vous pourrez aisément les voir Dans le Cahier ou petit
Livre
Qui se vend, je pense, une livre Chez l’Imprimeur
ent les voir Dans le Cahier ou petit Livre Qui se vend, je pense, une
livre
Chez l’Imprimeur du Roi, BALLARD. Où vous verrez,
Préface de l’auteur « Un
livre
comme je ne les aime pas, ceux épars et privés d’
re, dans le quotidien Comœdia. Ces pages ne constituent donc point un
livre
conçu et construit selon un plan préétabli ; c’es
bérément et avec attention, le Saint-Esprit dit dans le chapitre 9 du
livre
de l’ecclésiastique (v. 3.). Ne regardez pas une
concupiscence s’embrase comme un feu. Dans un autre chapitre du même
livre
, le Saint-Esprit dit encore : (c : 25, v. 28.) N
e sont propres qu’à amollir le cœur, le Saint-Esprit dit dans le même
livre
de l’Ecclésiastique et dans le même chapitre 9 (v
etien de ces femmes brûle comme un feu. Dans le chapitre 42 du même
livre
, le Saint-Esprit nous donne encore cet avis : (vv
ir un sujet de chute. Le Saint-Esprit, parlant en particulier dans la
livre
des proverbes, des personnes de l’autre sexe dont
en même temps qu’on ne sera pas brûlé. C’est dans le chapitre 6.° du
livre
des Proverbes, que le Saint-Esprit parle ainsi (v
bres d’agir avec des personnes d’un autre-sexe, qu’il est dit dans le
livre
de l’ecclésiastique : (c. 9, vv. 12 et 13.) Ne v
où ils se déclarent leur amour. Ce chevalier, violent et emporte, se
livre
sans ménagement à tous les excès de la jalousie e
féliciter ce couple heureux, que l’hymen doit incéssamment unir On se
livre
à des danses : elles sont interrompues par Renaud
, et tout le monde se disperse. Scène II. Alphonse interdit, se
livre
à des inquiétudes ; elles font place aux soupçons
pousse l’injure jusqu’à attaquer sa vertu : il insulte Raymond, et se
livre
sans ménagement à tous les excès de sa fureur.
r jamais. Son père les unit. L’assemblée applaudit à cet hymen. On se
livre
à des danses ; et cette fête qui est le triomphe
Dédicace A Mané de l’Indépendance belge Je vous dédie ce
livre
parce que vous m’avez dédié le vôtre, — je ne sai
s voilà forcé d’accepter la dédicace de mes confidences ; tant que ce
livre
vivra, vous serez le bon Mané à petite Rigolboche
la voix. Une autre fois elle se fit ouvrir le ventre et enlever neuf
livres
de graisse ; mais six semaines après elle mourut
uinées, une somme qui fit monter la recette à plus de deux cent mille
livres
. M. de Voltaire, qui ne croyait à rien, croyait
t lui offrir. Mademoiselle Lyonnais Elle commença à six cents
livres
et finit par en gagner treize cents, plus « cent
a à six cents livres et finit par en gagner treize cents, plus « cent
livres
de pain et de vin. » Son plus grand succès fut Zo
i faire oublier ceux de mademoiselle Arnould. Il a donné trente mille
livres
à cette Allemande pour présent de noces, vingt mi
nte mille livres à cette Allemande pour présent de noces, vingt mille
livres
à un frère qu’elle aimait beaucoup, un ameublemen
éalisa toute sa fortune et en expédia le montant — près de cent mille
livres
— à son ancien amant. Le duc refusa, et la danseu
écuter à Choisy, et qui valut à la ballerine une pension de six mille
livres
et à Despréaux, son partenaire dans cette circons
spréaux, son partenaire dans cette circonstance, une pension de mille
livres
. La « moderne Terpsychore » était fort généreuse
vers créanciers la tourmentent. On évalue à plus de quatre cent mille
livres
le montant de l’argent qu’il lui faudrait pour le
isation de mettre son hôtel en loterie et plaça pour trois cent mille
livres
de billets. La comtesse du Lau, qui n’avait pris
e billets. La comtesse du Lau, qui n’avait pris qu’un billet de vingt
livres
, gagna cet immeuble, construit par l’architecte L
, Appelé Baptiste Molière, Dont la Muse est si singulière : Et qui le
Livre
a composé, Demi-rimé, demi-prosé, Qu'à l’illustre
rade, J'ai, bonnement, attribué, Sur ce que ce grand Gradué, Fait ces
livres
-là, d’ordinaire, Etant du Roi, Pensionnaire. Il
aire diversion à cette scène affligeante, il ordonne des jeux ; on se
livre
à des danses : Zulmire y déploie toutes les grâce
it pour la calmer. Fatnie, qui avoit épié malignement cette scène, se
livre
à tous les projets de sa vengeance ; elle veut qu
uccède au bruit éclatant de la musique : le Sophi pose la main sur le
livre
de la loi ; les assistants tombent à genoux ; il
xprime l’allégresse et la joye ; la danse en étant le symbole, on s’y
livre
avec transport ; chacun exprime la gaieté suivant
ŒURS, Fait trembler les Loups ravisseurs, Comme l’a mis dans son beau
Livre
, Qui fera MIMI toujours vivre, BENSÉRADE, que, sa
r, et n’y danse point, M’étant trompé, dessus ce point, Quand, sur un
Livre
, j’allai mettre, Le contraire, en mon autre Lettr
XXIV comment m. claretie m’a décidée à écrire ce
livre
Un soir, pendant l’Exposition de 1900, M. et Mm
en que je citasse ce passage puisque c’est de là qu’est né le présent
livre
. M. Claretie avait cité l’opinion de Dumas. Il re
vis de moi-même. Et puis cela me paraissait si formidable d’écrire un
livre
. Et un livre sur moi !… Un après-midi, j’allai vo
me. Et puis cela me paraissait si formidable d’écrire un livre. Et un
livre
sur moi !… Un après-midi, j’allai voir Mme Claret
e soir-là, entre deux essais, M. Claretie m’avait encore parlé de mon
livre
, et, à tout prendre, c’est grâce à son insistance
nçais, travail laborieux que la mort vint interrompre. Ce fut long ce
livre
, si long, et formidable… pour moi !… Et tant de p
u deux arrèts pour interdire les danses publiques, sous peine de cent
livres
d’amende, tant contre chacun des contrevenans, qu
t pour les avoir violés, il condamna le seigneur du lieu à deux cents
livres
d’amende, au lieu de cent prescrites par les arrê
ir aucunes danse publique dans le lieu de Récy, à peine de deux cents
livres
d’amende, et d’interdiction contre lesdits offici
expressément au rang de ces occasions, les danses, comme les mauvais
livres
et les mauvaises chansons. Ce qu’en dit le catéch
s de son siècle, mort en 1374 chanoine de Padoue. Dans le premier des
livres
à qui il a donné pour titre : Des remèdes contre
re ce qu’un homme instruit par sa propre expérience, plus que par les
livres
, s’est cru obligé de recommander à ses enfans d’é
nunquàm fiat. C’est le titre du chapitre 10 de la sixième partie du
livre
10, qui traite des préceptes du décalogue. (tom.
Grenoble, et les conférences de Luçon. En un mot, il n’est aucun bon
livre
de morale, dont l’auteur, s’il a occasion de parl
s de sa terre, qui jouiroit de la plus grande réputation de vertu, 25
livres
, qui étoient dans ce temps là une somme assez con
sa terre douze arpens, dont il affecta les revenus au payement des 25
livres
, et des frais accessoires de la cérémonie de la R
ne de roses sur sa tête, et on lui remet en même temps la somme de 25
livres
; ensuite on forme un bal champêtre. Plusieurs Ro
envers ses parens, et la plus douce envers ses compagnes, est de 300
livres
. Les habitans se chargent des frais du mariage de
tion de l’Opéra ; elles s’élevaient alors à dix-neuf mille deux cents
livres
; plus tard elles furent augmentées ; elles étaie
e somme, la famille Lulli avait à elle seule une pension de dix mille
livres
, dont la veuve du célèbre compositeur touchait un
entre trois personnes. En 1713, cette pension fut réduite à six mille
livres
. Il y a loin de cette charge imposée à l’Opéra, a
Pour mettre l’Opéra sur pied, il en coûta environ quarante-cinq mille
livres
. Malgré les énormes bénéfices qu’avaient faits qu
payer. En 1747, il s’est trouvé pour plus de quatre à cinq cent mille
livres
d’arriéré, que l’hôtel-de-ville, chargé de la rég
engagement particulier. Il est dit qu’un fonds annuel de quinze mille
livres
sera affecté a des gratifications qui seront dist
auteurs est ainsi déterminé : pour le poète et pour le musicien, cent
livres
à chacun, pour chacune des dix premières représen
à chacun, pour chacune des dix premières représentations ; cinquante
livres
à chacun pour chacune des vingt représentations s
ngt-sept personnes. Le total des appointemens ne dépassait pas 67,050
livres
. Les premiers sujets du chant avaient chacun 1,50
pas 67,050 livres. Les premiers sujets du chant avaient chacun 1,500
livres
; les premiers danseurs avaient chacun 1,000 livr
ient chacun 1,500 livres ; les premiers danseurs avaient chacun 1,000
livres
; les premières danseuses recevaient chacune 900
chacun 1,000 livres ; les premières danseuses recevaient chacune 900
livres
. Le batteur de mesure avait 1,000 livres, le comp
euses recevaient chacune 900 livres. Le batteur de mesure avait 1,000
livres
, le compositeur de ballets 1,500 livres, et le de
batteur de mesure avait 1,000 livres, le compositeur de ballets 1,500
livres
, et le dessinateur 1,200 livres. Défense expresse
vres, le compositeur de ballets 1,500 livres, et le dessinateur 1,200
livres
. Défense expresse était faite à toute personne, m
its. En 1716, les comédiens français furent condamnés deux fois à 500
livres
d’amende, au profit de l’hôpital-général, pour av
mademoiselle Camargo avait pris sa retraite avec une pension de 1,500
livres
. A côté de l’Académie royale de Musique, on fonda
ien éloigné du temps où sa dépense ne s’élevait pas à plus de 150,000
livres
par année ; il coûtait beaucoup au roi. Les recet
au roi. Les recettes ne produisaient pas au-delà de 450,000 à 500,000
livres
. Du Luxembourg, en 1674, il avait été transporté
tone promenade de dominos. Le prix en était invariablement fixé à six
livres
; il commençait autrefois à la Saint-Martin, puis
oir bien mieux la beauté, Je leur conseille, en vérité, D’aller, pour
livre
ou demi-livre, En acheter le galant LIVRE,70 Que
e, en vérité, D’aller, pour livre ou demi-livre, En acheter le galant
LIVRE
,70 Que le SUBSTITUT d’APOLLON, Et, je pense, aut
à cent vingt-six artistes et employés, et coûtait chaque année 67,050
livres
. Les premiers sujets du chant recevaient chacun 1
e 67,050 livres. Les premiers sujets du chant recevaient chacun 1,500
livres
par an ; les premiers danseurs avaient 1,000 livr
ient chacun 1,500 livres par an ; les premiers danseurs avaient 1,000
livres
, et les premières danseuses 900 livres. Aujourd’h
remiers danseurs avaient 1,000 livres, et les premières danseuses 900
livres
. Aujourd’hui, près de six cents artistes, employé
ne les retenoit pas, il seroit obligé de recourir au commencement du
Livre
, ce qui retarderoit encore l’execution du pas.
ce que nous avons dit à ce sujet. Ils se prévalent de cet endroit du
livre
de l’ecclésiaste : (c. 3. v. 4.) Il y a un temps
ient trouver de quoi autoriser les danses dans ce qui est dit dans le
livre
de l’Exode (c. 15, v. 20.) de Marie prophétesse,
s, n’ont garde de manquer de citer ce qui est rapporté dans le second
livre
des rois : (c. 6, v. 14.) David, revêtu d’un éph
un abus plus criminel que de se servir pour autoriser les vices, des
livres
saints qui n’ont été écrits que pour nous enseign
oigne-t-on de cette intention du saint, quand on va chercher dans les
livres
saints, et qu’on fait d’inutiles efforts pour y t
rs fois, ont répondu avant nous aux exemples qu’on voudroit tirer des
livres
saints en faveur de la danse : ce qu’ils ont dit
il y a des années, reproduit ce même relief révélateur dans un de mes
livres
. Mais, trêve de badinages, car le problème est au
hevaux dans la fameuse Procession des Panathénées. J’ai appris par ce
livre
que, deux siècles durant, esthéticiens et archéol
onorer, et publier ses louanges. [Voir Traité historique, Ire partie,
livre
I, chap. 6, « Définition, et Division de la Danse
ns toutes les fêtes solennelles. [voir Traité historique, Ire partie,
livre
I, chap. 7, De la Danse sacrée des Juifs »] La da
des danses impies des idolâtres. [voir Traité historique, Ire partie,
livre
I, chap. 8, « De la Danse sacrée des Égyptiens »]
tant des hymnes de réjouissance. [voir Traité historique, Ire partie,
livre
I, chap. 10, « De la Danse sacrée des Chrétiens »
linet [Article non rédigé], Traité histoire de la danse, Ière partie,
livre
I, chap. 12, « De la danse sacrée des Turcs ». La
les louanges des premiers âges. [voir Traité historique, Ire partie,
livre
II, chap. 12, « Des Danses des Lacédémoniens »]
yez sur cette danse et son origine le I. tome du Traité de la danse. [
livre
II, chap. 4, « De quelques danses des Grecs »] (B
élébrer les fêtes des dieux. (B) [voir Traité historique, Ire partie,
livre
I, chap. 9, « De la Danse sacrée des Grecs et des
de même que les plus Fous, Et leur Sagesse eut du dessous. Un petit
Livre
dont je tire Tout ce qu’ici je viens d’écrire Se
de sa mère. Elle le fit éditer avec son argent de poche. Le titre du
livre
était Au loin, et Jean Lorrain déclarait que c’ét
vre était Au loin, et Jean Lorrain déclarait que c’était le plus beau
livre
sur l’Inde qu’il eût jamais lu. La mère de Gab av
vre sur l’Inde qu’il eût jamais lu. La mère de Gab avait dû écrire ce
livre
pendant son voyage là-bas, car peu de temps avant
cuteur lui demanda encore s’il n’y avait pas un système établi ou des
livres
qui pussent le mettre sur la voie. Elle eut l’air
ancé long-tems avant que d’oser prendre la liberté de vous dédier mon
Livre
. Ce n’est pas que la Danse, d’abord inventée po
gement des Maîtres ce qui est tout ce que je me suis proposé dans mon
Livre
.
qui renfermaient un sens moral. [Voir Traité historique, IIe partie,
livre
III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra Français
urs les plus polies de l’Europe. [Voir Traité historique, Ire partie,
livre
III, chap. 4, « Fragment de Lucien »] On va donn
[Article non rédigé : voir Traité historique de la danse, IIe partie,
livre
I, chap. VI : « Des Ballets Moraux »]. En France,
s après la majorité de Louis XIV [voir Traité historique, IIe partie,
livre
III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le
invention et pour leur conduite. [voir Traité historique, IIe partie,
livre
III, chap. 3, « Fêtes de Louis XIV relatives à la
é de se faire copier à son tour. [voir Traité historique, IIe partie,
livre
III, chap. 9, « Du Ballet moderne »] L’Europe Ga
Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Traité historique, IIe partie,
livre
I, chap. 2, « Origine des ballets »]
ment pénétré dans l’ame ? (Ephés. c. 6, v. 16.) Si on a lu le premier
livre
de l’histoire de l’ancien Testament, qui est le l
a lu le premier livre de l’histoire de l’ancien Testament, qui est le
livre
de la Genèse, on sait ce qui arriva à Dina, fille
instamment à Dieu. C’est ce que reconnoît Salomon par ces paroles du
livre
de la Sagesse : (c. 8, v. 21.) Comme je savois q
ur plus fort que son désaveu, le trahit à chaque instant. Déjanire se
livre
à tous les excès de la jalousie et du désespoir ;
s d’Hercule. Déjanire qui ignore le retour d’Hercule sur lui-même, se
livre
à toutes ses inquiétudes ; accablée par l’idée de
œur. Ses douleurs s’accroissent ; ses entrailles se déchirent ; il se
livre
à toute sa rage ; il déracine les arbres ; le mal
nteurs des chœurs, des figurans et des figurantes étoient fixés à 400
livres
; les sujets de l’orchestre n’étoient pas plus ma
danses dont je n’ai point fait de mention, ne m’étant engagé dans ce
Livre
que de traiter de la maniere de faire tous les pr
bus. Conc. syn. d’Odon évêque de Paris, Const. 26. 33. Au chap. I du
livre
5, il y a un Arrêt de Règlement du Parlement de P
Figures démonstratives dont je me suis servi dans tout le cours de ce
Livre
m’ont paru aussi necessaires que le discours ; c’
e calme et la joie ; et par une transition subite et naturelle, on se
livre
aux expressions délicieuses de l’amitié et de la
énie, le cœur déchiré par les fonctions barbares de son ministère, se
livre
à sa douleur ; d’un autre côté, elle ignore le so
e sera sacrifié. Cette résolution produit un double effet ; Oreste se
livre
à la douleur, et Pylade à la joie ; Oreste embras
r les défendre, et veiller à la conservation de leurs jours. Thoas se
livre
à toute sa fureur ; son rêve se retrace à son ima
la statue de Diane sur un riche Pavoi ; on lui rend hommage et on se
livre
à l’expression de la reconnoissance par des danse
uit dans le second. C’est un Philosophe qui n’est sérieux qu’avec ses
livres
. Il rit, joue, et badine dans le monde avec les h
l’habitant des campagnes qui, au son de ses instruments rustiques, se
livre
sans nulle retenue aux plaisirs de la danse et à
pable de se montrer avec avantage dans cette danse : mais qu’il ne se
livre
pas, par trop de complaisance, à plaire à d’ignor
eurs Fêtes & dans leurs Sacrifices. Les Juifs, à en juger par les
Livres
Saints, ont regardé leur danse Sacrée comme un do
e Dieu des honneurs convenables, instituerent, à ce que dit Hérodote,
Livre
second, les Bacchanales, qui étoient des Fêtes où
oïse punit les auteurs de cette profanation. On trouve dans le second
Livre
des Rois, chap. 6, que David se fit un honneur d’
oncision, Epiphanie, Dimanches, & Fête du Patron, à peine de cent
livres
d’amende, tant contre chacun des contrevenans, qu
admise dans les funérailles des Payens, comme on le voit dans Platon,
Livre
12 de ses Loix, en parlant de la pompe funébre de
ls jouissoient d’un revenu très-considérable, au rapport de Titelive,
Livre
premier. Quelques Auteurs ont crû qu’on leur donn
our est inéxorable ; il sait dailleurs, que la curiosité de Psyché la
livre
à toute la vengeance de Vénus ; que dans cet inst
présence inattendue suspend les jeux ; à l’aspect de Psyché Vénus se
livre
à son courroux ; elle ne peut lui pardonner d’êtr
, et l’arrache, pour ainsi dire, d’une posture trop humiliante. Il se
livre
à son tour à tous les emportemens de la fureur et
urtout lorsqu’il se souvient de son ancienne existence… C…, puisse ce
livre
t’apporter quelques distractions et le faire croi
r une individualité. Enfermée dans ma chambre, je compulsais tous les
livres
qui parlaient du cancan. D’une force estimable su
ncipaux officiers l’appareil d’un pompeux sacrifice. Ici, Polixène se
livre
à sa passion avec moins de contrainte, et Pyrrhus
armes de cette Princesse ; il se laisse aller dans ses bras, et il se
livre
aux divers sentimens qui déchirent son âme. Polix
e. Orphée exprime sa reconnoissance, et la cour du Dieu des Enfers se
livre
à des danses que les chants d’Orphée animent.
entre l’Amour et Bacchus ; puis se retournant vers son épouse, il se
livre
à tous les transports de la tendresse ; les faune
de Chanteloup Maître d’Hôtel du Roi. Ce Négociant en refusa 150 mille
livres
du Milord Malbouroug, sitôt qu’il fut arrivé à Ro
roug, sitôt qu’il fut arrivé à Roterdam, voulant les vendre 200 mille
livres
. Cependant S.A.R. les a fait revenir, pour cadrer
ien entendus. Ce n’est que par la perte de ces mêmes figures, que les
Livres
de Vitruve & d’Héron l’ancien, qui a traité d
nous paroissent si obscurs. De quelle utilité n’est-elle pas dans les
Livres
de Voyages, & y a-t-il quelque science à laqu
gence ? La Topographie, les Médailles, les Devises, les Emblêmes, les
Livres
de Plantes & ceux des animaux, peuvent-ils se
s tems ? Les bas-reliefs des colonnes Trajane & Antonine sont des
Livres
muets, où l’on ne trouve pas à la vérité les noms
’il fit un modele de la figure que sa fille avoit tracée. Quintilien,
Livre
X. dit que les premiers Peintres prirent les prop
tien, ou Cléante Peintre de Corinte, en furent les inventeurs. Pline,
Livre
V. dit aussi que Giges Lidion fut le premier Pein
l la laisse aux Casuistes Etant obligé de rendre mon jugement sur son
Livre
, j’ai eu la même attention. Le caractere que j’ai
n homme rare, qui pendant les loisirs de son emploi avait composé des
livres
estimés, qui à sa mort n’avait rien laissé qu’une
aint-Mahésa est une grande illustration d’outre-Rhin. Il n’y a pas de
livre
allemand sur la danse — sauf celui du charmant Os
t que tard, Allez voir chez le Sieur BALARD, Qui de tout cela vend le
Livre
, Que presque pour rien il délivre, Si je vous men
par l’honneur de sa famille, et par un sentiment encore plus cher, se
livre
tour-à-tour impressions diverses qui affectent so
fière Romaine, désespérée d’un triomphe qui lui enlève son amant, se
livre
sans ménagement à ce que l’amour au désespoir peu
ans crainte. Fulvie croyant que c’est l’arrêt de la mort d’Horace, se
livre
au desespoir : mais quelle n’est pas sa satisfact
it plusieurs sages païens. Salluste, un de leurs historiens, dans son
livre
de la conjuration de Catilina, (c. 15.) remarque
dérer ses richesses ; il n’en sort qu’une épaisse fumée. Le Sultan se
livre
de nouveau au désespoir, & sort en adressant
L’alégresse redouble. Le Sultan n’a plus rien à desirer. Le Peuple se
livre
aux douces impressions qu’il éprouve ; & tout
s sœurs Fiocre qui s’en revenaient du marché. L’une disait : — Quatre
livres
de veau pour mettre aux petits oignons… — Tu n’ai
Fiocre-Amour conclut avec une impérieuse gravité : — On en fera deux
livres
aux carottes et deux livres aux petits oignons.
ne impérieuse gravité : — On en fera deux livres aux carottes et deux
livres
aux petits oignons. *** Après avoir franchi la
». Cet opuscule est-il un traité d’orchestique, fait pour suppléer au
livre
perdu d’Aristoxène, ou ébauche-t-il une « explica
e. Ce frontispice nous trompe involontairement sur ce que contient le
livre
. Le dessinateur s’est laissé leurrer par une conc
ntre le ballet moderne et l’orchestique grecque. C’est accoudé sur ce
livre
, témoignage à décharge, que M. Paul Valéry a dû r
phistes » d’Athénée, cette encyclopédie sous forme de « table talk » (
Livre
I, paragraphe 21 d et suivants de l’édition Teubn
œur d’un peuple innombrable qui en avait été le spectateur. Selon les
Livres
sacrés des Égyptiens, le Bœuf Apis ne devait vivr
n, à longs cheveux noirs bouclés, et cela ne pesait guère plus de six
livres
. Les deux messieurs firent le tour de la société
beront tous deux dans la fosse ? (ibid. c. 15, v. 14.) On lit au 3.e
livre
des rois, (c. 22.) que pour un seul véritable pro
Auteurs vivans : que j’aurai de plaisir à voir mon nom moulé dans un
Livre
où l’on ne met sans doute que celui des gens illu
pour voler à la gloire ; mais il n’est pas plutôt parti, que Vénus se
livre
au plaisir d’aller trouver Adonis qui l’attend.
plus au long dans Macrobe, & dans le Traité que Lipse en a fait,
Livre
premier. Mais depuis Auguste, l’Empereur Tibere v
toire nous en a conservé quelques autres exemples que voici. Athénée,
Livre
5, parlant de la Danse, rapporte que Plancus Luci
able couverte de rouleaux, qui dans l’Antiquité tenaient la place des
livres
, et des papiers. Son sommeil est extrêmement agit
en ai fait : Ainsi, que je cesse de vivre, Si j’en ai rien vu que par
Livre
: J’ai fait des Vers jusqu’à très bien, Et si je
ts, Enfin, les Cieux, & les Enfers. Mais, il me faudrait faire un
Livre
Gros comme c’il qui s’en délivre Chez Balard, Imp
un jeune homme. Il est marié, mais sa femme est vieille et tient les
livres
. D’ailleurs il ne veut pas la tromper : il n’a l’
l en pareille occasion, être toujours suivi ! 65. Il avait écrit un
livre
profond sur la Danse, que nous n’avons plus. Voye
. Messager reprend Hippolyte et Aricie. Louis Laloy fait paraître son
livre
sur Rameau, fier bouquin, subtil et combattif com
Opéra [Article de Jaucourt] (B) [Voir Traité historique, IIe partie,
livre
III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra Français
Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Traité historique, IIe partie,
livre
IV, chap. 11, « Des actions épisodiques en danse
ondé sur la passion de ce héros. [voir Traité historique, IIe partie,
livre
IV, chap. 2, « Division de la danse théâtrale »]
errogation. Et, comme il sied à un acte inutile et arbitraire, il s’y
livre
sans prévoir de fin ; il entre dans une interroga
vers particulier, lieu privilégié de la danse spirituelle ? Je vous
livre
à présent, fatigués de parole, mais d’autant plus
us avides d’enchantements sensibles et de plaisir sans peine, je vous
livre
à l’art même, à la flamme, à l’ardente et subtile
nt qu’Agamemnon les accuse et confirme cette affreuse vérité, elle se
livre
à tous les sentimens qui l’agitent, elle éclate e
et couvert du voile éternel de la mort, elle recule épouvantée et se
livre
aux transports d’une affliction vive et fortement
te aux pieds de Clytemnestre, qui, offensée des menaces d’Electre, se
livre
à son ressentiment ; elle supplie cette mère irri
consent à les recevoir, et frappée d’un pressentiment heureux elle se
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à la douceur de penser qu’elle aura quelques nouv
e Fontanes ? — Ma foi, sire, pas trop ! — Comment ? — Il m’a payée en
livres
: j’aurais mieux aimé en francs. Mademoiselle Bi
pèce de commensalité inactive ne se chiffrait pas moins de cent mille
livres
! » Total : Près de deux millions par an ! ***
en forme triclinium — était d’ébène sculpté et avait coûté dix mille
livres
. Un splendide cachemire noir, du prix de six mile
e — des « nymphes » de l’Académie. Tenez, j’ai sous les yeux un petit
livre
intitulé : Etrennes aux oisifs, — Petite biograp
u caractère : « Mademoiselle Saulnier disait qu’elle connaissait les
livres
de morale… — Oui, lui répliqua-t-on, comme les vo
manque par les fondements. La vérité seule peut être la base d’un bon
Livre
, elle règne avec le sentiment, la bonne métaphysi
Ouvrages n’a point touché à l’objet que j’ai en vue. Le second est un
Livre
excellent ; mais il roule tout entier sur un genr
même, exilée comme elle l’était du mouvement artistique. Il existe un
livre
amer du grand traditionnaliste M. Charles Maurras
e à faire un égal partage. Hyménée, séparé de Cryséïs par le sort, se
livre
au plus cruel désespoir, lorsqu’il s’apperçoit qu
lors, m’a-t-il dit, ce sera la solitude. Je vais emporter beaucoup de
livres
et de papier pour écrire. » Et il m’a quitté sans
s poétiques, sachant fort bien qu’ils deviennent de la copie dans les
livres
, les journaux, et qu’ainsi ils font l’opinion pub
e Fontanes ? — Ma foi, sire, pas trop ! — Comment ? — Il m’a payée en
livres
, j’aurais mieux aimé en francs. » * * * Le foyer
d’instruction. » On disait de N***, 2e sujet, qu’elle connaissait des
livres
de morale : « Oui, repart-elle, comme les voleurs
décens et les postures efféminées des comédiens ». Dans son troisième
livre
des vierges, (c. 5, n.° 25, tom. 2, pag. 180,) ap
Qui des prophètes l’a enseigné ? Quel évangile l’autorise ? Dans quel
livre
des apôtres trouve-t-on aucune décision favorable
es apôtres et les évangiles. Mais si toutes les paroles de ces saints
livres
sont véritables et inspirées de Dieu, comme elles
les rayons des marchands, qui finissent toujours par les vendre à la
livre
. Il en est de même de l’imprimerie ; car en Franc
rcent, petite sirène verte, et la balancent. Elle se laisse faire, se
livre
avec abandon. Elle se serre, câline, contre la me
le abuse de ses moyens, et que par une imitation pernicieuse, elle se
livre
à des courses, à des gambades qui dégradent, la s
concerne celle des Danseurs de corde, après avoir eu connoissance du
Livre
d’Archange Tuccaro Professeur en l’Art Gymnastiqu
l Duperron ne regardoit que comme un canevas la premiere édition d’un
Livre
, pour peu que la matiere fût neuve & étendue,
ction. Les heures me paroissent-elles rallentir leur marche ? de bons
livres
viennent à mon secours. Je ne lis point de romans
qui possèdent à grands frais d’immenses bibliothèques, dont tous les
livres
, à commencer par la barbe bleue et le petit pouce
lations contemporaines, des estampes, de la musique, enfin surtout du
livre
précieux de Carlo Ritorni. Nous nous contenterons
ouvent question dans les mémoires du temps et en particulier dans les
livres
et les lettres de Stendhal. Le premier ballet en
s concernant son œuvre, je suis, à moins d’indications contraires, le
livre
de Carlo Ritorni, véritable monument élevé à la g
. Prunières. « Stendhal et Rossini », Revue critique des idées et des
livres
, 15 juillet 1920. 25. Cf. Stendhal, Vie de Rossi
é de plaisir et de crainte ; il les voit enfin hors de danger : il se
livre
à l’excès d’une satisfaction inexprimable ; mais
peine de ses mains. Dans cet instant il se jette sur son siège, et se
livre
à la douleur et au désespoir. Béatrix témoin de
le et sans sentiment, et n’écoutant soudain que son désespoir, il s’y
livre
tout entier, et tente de s’arracher la vie. Tous
e plaisir & de crainte ; il les voit enfin hors de danger ; il se
livre
à l’excès d’une satisfaction inexprimable, mais c
ine de ses mains. Dans cet instant il se jette sur son siege & se
livre
à la douleur & au désespoir. Béatrix témoin
mp; sans sentiment, & n’écoutant soudain que son désespoir il s’y
livre
tout entier & tente de s’arracher la vie. Tou
et les moyens qui ont distingué, plus que tout autre, M. Vestris, se
livre
à tous les genres ; le travail et les bonnes leço
lument la danse noble, et que celui qui n’a qu’une taille moyenne, se
livre
au demi-caractère, aux pas d’agilité et au genre
ais qui est toujours guidé par des inspirations précédentes. Dans les
livres
, comme dans la conversation, on commence à partir
quelques-uns de ses effets. (B) [Voir Traité historique, IIe partie,
livre
IV, chap. 12, « Règles générales à observer dans
n-folio de réflexions sur la manière d’écrire les ariettes. Un pareil
Livre
aurait la vogue ; il nous serait aussi utile que
Les Auteurs sont aussi Prophètes que l’inintelligible Nostradamus. Ce
Livre
tant vanté a paru en effet sous le titre de l’Art
pourvû que l’on eût la précaution de ne jamais changer la position du
livre
et de le tenir toujours dans le même sens. Voilà,
t de beau. Quel projet, me direz vous ! quelle dépense immense ! quel
livre
volumineux ! Il me sera facile de vous répondre.
pourvu que l’on eût la précaution de ne jamais changer la position du
Livre
, & de le tenir toujours dans le même sens. Vo
; de beau. Quel projet, me direz-vous ! Quelle dépense immense ! Quel
livre
volumineux ! Il me sera facile de vous répondre.
, de forme antique. Un peu partout, des albums et des partitions, des
livres
et des broderies, beaucoup de broderies. Et l’hô
us sérieuse du monde. Elle dirige elle-même sa domesticité, tient ses
livres
à jour avec la rigidité d’un comptable et distrib
du monde parisien, qu’il ne peut pas être passé sous silence dans un
livre
qui s’appelle : les Mémoires de Rigolboche.
Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Traité historique, IIe partie,
livre
IV, chap. 3, « Obstacles au Progrès de la Danse »
eska. Elle aussi était en exil avec son père, qui avait osé écrire un
livre
libertaire intitulé : « Le Juif polonais. » C’est
ate en reproches. Désolée de la perte qu’elle vient de faire, elle se
livre
à tous les sentimens qu’inspire le désespoir. Ell
Préface. Si j’ai intitulé ce
Livre
Le Maître a danser, ce n’est pas que j’aie voulu
sident à cette fête. Les jeux commencent ; on tire de l’arc ; on se
livre
ensuite à la lutte, et on finit les exercices par
Philis avec une guirlande de roses, et les unit l’un à l’autre. On se
livre
de nouveau à des danses qui expriment tout à la f
ême plus que je n’en pense. Il me serait facile de me venger, dans ce
livre
surtout. Je n’aurais qu’à raconter simplement ce
rendre un service à la partie mâle de mes lecteurs. Par ce moyen, mon
livre
aura son utilité. III Combien pourraient en
de saltation, tantôt pour le geste, tantôt pour la danse. Dans le 79.
livre
de Dion, on trouve un passage tout aussi éxtraord
ne voit que Créuse, oublie ce qu’il doit à Médée. Cette magicienne se
livre
progressivement à tous les mouvemens de la jalous
mmole pour lui. Cette inscription consterne l’assemblée ; Alceste se
livre
aux douceurs de l’espérance. Apollon disparaît. A
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