Errata Page 40. ligne 8. de porter sa tête feja juger,
lisez
, fera juger. Page 57. l. 9. ce se soit un manque,
e feja juger, lisez, fera juger. Page 57. l. 9. ce se soit un manque,
lisez
, ce seroit un manque. Page 45. derniere l. l’autr
un manque, lisez, ce seroit un manque. Page 45. derniere l. l’autra,
lisez
, l’autre. Page 82. l. 7. vous le croisé devant, l
ere l. l’autra, lisez, l’autre. Page 82. l. 7. vous le croisé devant,
lisez
, vous croisez le droit devant. Page 103. l. 4. su
lisez, vous croisez le droit devant. Page 103. l. 4. sur les anches,
lisez
, sur les hanches. Page 154. l. 10. de condiure le
nches, lisez, sur les hanches. Page 154. l. 10. de condiure les bras,
lisez
, de conduire les bras. Page 160. l. 2. qui agite
conduire les bras. Page 160. l. 2. qui agite la jambe & la brise,
lisez
, & la baisse tout de suite. Page 162. l. 18.
& la baisse tout de suite. Page 162. l. 18. du contenu du Menuet,
lisez
, du contre-tems du menuet. Page 181. avant penult
nuet. Page 181. avant penultiéme l. en laissant tomber le pied droit,
lisez
, en se laissant tomber sur le pied droit. Page 19
ant tomber sur le pied droit. Page 199. l. premiere, sans ces cortes,
lisez
, sans ces sortes. Page 207. l. 5. pour de faire l
ans ces cortes, lisez, sans ces sortes. Page 207. l. 5. pour de faire
lisez
, pour faire. Page 225. l. 6. à l’égard des pas de
ez, pour faire. Page 225. l. 6. à l’égard des pas de Bourrée dessous,
lisez
, du pas de Bourrée dessus & dessous. Ibid. l
. l. 14. au second pas de votre pas de Bourrée qui est du pied droit,
lisez
, qui est du pied gauche. Ibid. l. 16. le bras dr
, lisez, qui est du pied gauche. Ibid. l. 16. le bras droit s’ouvre,
lisez
, le bras gauche s’ouvre. Ibid. l. 19. ce qui pro
le bras gauche s’ouvre. Ibid. l. 19. ce qui produit deux positions,
lisez
, deux oppositions. Ibid. 20. on ne le fait pas,
eux positions, lisez, deux oppositions. Ibid. 20. on ne le fait pas,
lisez
, on ne la fait pas.
33. 12. fait regetter, lisés : fait rejetter. 38. 23. doit atteindre,
lises
: doit attendre. 39. 2. quelle se montre, lisés :
se montre, lisés : qu’elle se montre. 40. 13. la mort enterroit-elle,
lises
: la mort enlevoit-elle. 41. 5. dans ce stile, li
9. toujours courrue, lisés : toujours courue. 97. 3. la musique seul,
lises
; la musique seule, id. 19. le égarremens, lisés
es embrasoint, lisés : qui les embrasoient. 114. 13. ils m’ont parus,
lises
: ils m’ont paru. id. 17. mouvemens convultifs, l
ls m’ont parus, lises : ils m’ont paru. id. 17. mouvemens convultifs,
lises
: mouvemens convulsifs. 116. 30. de mes dessins,
. 2. qui concourent, lisés : qui concourent. id. 22. compose de ceux,
lises
: compose de deux. 145. 19. le corps acquierant,
acquierant, lisés : le corps acquérant. 151. 1. peindre des différes,
lises
: peindre les différens. 164 1. et seutimens, lis
dre des différes, lises : peindre les différens. 164 1. et seutimens,
lises
: et de sentimens. 173. 13. le souffle, lises : l
s. 164 1. et seutimens, lises : et de sentimens. 173. 13. le souffle,
lises
: le souffle. 184. 16. se seroit. lisésce seront.
souffle. 184. 16. se seroit. lisésce seront. 191. 18. eu acquiérant,
lises
: en acquérant. 194. 30. des soubretter, lises :
91. 18. eu acquiérant, lises : en acquérant. 194. 30. des soubretter,
lises
: des soubrettes. 199. 1. tous débutes, lises : t
94. 30. des soubretter, lises : des soubrettes. 199. 1. tous débutes,
lises
: tons débuté, 200. 25. Danry-laue, lisés : Drury
aru. 207. 6. les volcans, lisés : des volcans. 210. 2. deScbakespéar,
lises
; de Sbakéspéar. 212. 1. étant finir, lisés : éta
fondu, lisés : je l’avois confondue. 216. 10. ne leur avoient servis,
lises
: ne leur avoient servi. 217. 18. Parisa, lises
leur avoient servis, lises : ne leur avoient servi. 217. 18. Parisa,
lises
: Paris. id. 28. des hommes, lisés : des honneurs
ons d’annoblir, lisés : essayons d’ennoblir. 223. 23. pouvant oduner,
lises
: pouvant donner. 227. 12. anachreontique, lisés
ner. 227. 12. anachreontique, lisés : anacréontique. 230. 1. si lele,
lises
: si elle. 236. 20. de variéres. lises : de varié
nacréontique. 230. 1. si lele, lises : si elle. 236. 20. de variéres.
lises
: de variétés. 237. 12. s’estreserve’, lises : s’
e. 236. 20. de variéres. lises : de variétés. 237. 12. s’estreserve’,
lises
: s’est reservee. 239. 25. les plaies miniserie,
s’estreserve’, lises : s’est reservee. 239. 25. les plaies miniserie,
lises
: les plates niaiseries. a. on a souvent oublie
e. 39. 18. rue fatique t-il ? lisés : me fatigue t’il ? id. 23. je ne
lis
point romans, Lisés : je ne lis point de romans.
sés : me fatigue t’il ? id. 23. je ne lis point romans, Lisés : je ne
lis
point de romans. 50. 22. nous assurent, lisés : n
t 67. 22. le moindre plis, lisés : le moindre pli. 80. 3. ne variolt,
lises
: ne varioit 82. 10. et fut embellir, lises : et
e pli. 80. 3. ne variolt, lises : ne varioit 82. 10. et fut embellir,
lises
: et sût embellir. id. 22. margré ses talens, lis
yer. 125. 5. un charuement, lisés : un acharnement 129. 18. ni régne,
lises
: ni régle. 130. 6. leur égarrement, lisés ; leur
l’envi. 135. 11. un teruee, lisés ; un terme. id. 16. et la securité,
lises
: de la sécurité. 136. 5. celle fête, lisés : cet
s échafauds, lisés : et les échafauds. 144. 3. dans tout ces details,
lises
: dans tous ces détails. id. 24. les monologues r
hapé. 239. 3. coupçonneux, lisés : soupçonneux. id. 5. de la ramener,
lises
: de le ramener. 255. 25. se souvent, lisés ; si
e vas-tu penser de moi ? Pas grand bien, n’est-ce pas ? Après m’avoir
lu
, si lu me lis, tu te diras : En somme c’est un sc
u penser de moi ? Pas grand bien, n’est-ce pas ? Après m’avoir lu, si
lu
me lis, tu te diras : En somme c’est un scandale
er de moi ? Pas grand bien, n’est-ce pas ? Après m’avoir lu, si lu me
lis
, tu te diras : En somme c’est un scandale que ce
L’Art de se louer soi-même, 61 Par-tout où l’on trouvera Poste-face,
lisez
Post-face. Au reste, le Grand-Sauteur ignore comm
es premiers Elemens, Et le bal mesuré d’une parfaite danse : Quil
lise
la Methode & les enseignemens, Dont Lauze a
z fait, et tout ce que vous pouvez faire, sans avoir besoin de savoir
lire
. Continuez de vous dessiner d’après des modèles q
Théâtre, l’amour du Public, et l’espoir de l’Art, ouvrez les yeux, et
lisez
. Apprenez ce que le grand talent peut produire. S
e vit une dame se lever et s’approcher de l’estrade. La dame se mit à
lire
un petit papier qu’elle tenait à la main. Lorsque
? — Je ne sais plus maman. Elle me dit alors que j’avais dù entendre
lire
cette chose par mon frère. Et je me Pétais rappel
s, sous votre Permission, Je fais cette Narration. Pour tous ceux qui
lisent
ma Lettre, Où je vais encor ainsi mettre, Sous vo
profonde affection. Souvent je la regarde avec curiosité, elle semble
lire
ce qu’il y a dans mon regard et répond à mon inte
oute la politesse du monde, — toute la gravité aussi. A neuf ans elle
lisait
Schopenhauer ; à quatorze elle faisait des recher
déclarait que c’était le plus beau livre sur l’Inde qu’il eût jamais
lu
. La mère de Gab avait dû écrire ce livre pendant
tout le temps. » Mon directeur tira alors le journal de sa poche et
lut
ce passage de mes déclarations : « Il faut de l’
de s’attacher à bien conduire leurs bras : c’est pourquoi ils doivent
lire
avec beaucoup d’attention les regles que je vais
e des plus sérieux Que, bien ou mal, tout mortel joue Quand la Parque
lu
fait la moue. 163. Il manque un vers dans la
atiquer. C’est donc cette onction sainte que toutes les personnes qui
liront
ce traité doivent demander, et que je dois aussi
e Paris, je connois très-peu de filles et même de garçons qui sachent
lire
la musique, l’écrire et chanter, ou jouer d’un in
reste aux marchands de musique. Plusieurs d’entre eux ne savent ni la
lire
ni l’apprécier ; tout le bénéfice reste aux compo
172. 16. s’est emparé, lisés : s’est emparée. 182. 21. celle se pose,
lises
: elle se pose. 185. 1. Zéphir les reçoit, lisés
épondit-elle. Il n’y a que mes yeux qui m’inquiètent. Je ne peux plus
lire
sans lunettes et les lunettes me gênent tant. Ell
aucoup aimé la lecture et ne pouvait pas se faire à l’idée de ne plus
lire
. Je sympathisai avec elle et le lui dis. Puis sou
ingt-quinze ans, me dit-elle. Et elle se plaignait de ne plus pouvoir
lire
sans lunettes !… Nous parlâmes de ses petits-enf
er de moi tout le temps. Figurez-vous donc mon étonnement, lorsque je
lus
, le lendemain, dans le Temps, un article d’une co
utile, sans même qu’il fût besoin qu’ils se donnassent la peine de le
lire
. Il y a une espèce d’hommes pour qui seuls, tous
e je dis, En marge ici je vous écris Tous leurs noms que vous pourrez
lire
, Et je n’ai plus rien à vous dire, Ajoutant ceux
sir que celui de vous amuser. Je vous demande franchise et sincérité.
Lisez
cette première lettre, faite pour exposer la mati
et de la mythologie, se pénétrer de toutes les beautés de la poésie,
lire
Homère, Virgile, l’Arioste et le Tasse, connoitre
nfin les règles que la poètique a établies. Ce n’est pas assez que de
lire
, il faut graver dans sa mémoire tous les grands t
présente que des ombres ; il est nécessaire que le maître de ballets
lise
et médite le sixième livre de l’Eneïde de Virgile
les plus vifs transports de reconnaissance, ce beau Cantique que nous
lisons
dans l’Exode13. Ces instruments, ces chœurs de Mu
ien exprimé, Qu’aux Curieux il peut suffire, Et qu’on doit acheter et
lire
: Mais je désire, en ce moment, Dire deux mots, t
e en faveur d’elle. 157. « La petite M. Turpin. » Sic : pour « M »
lire
« Mlle »
ette Epître, ne pourront manquer de vous convaincre que j’ai beaucoup
lu
, beaucoup pensé, que je possède les règles d’un a
oltaire ne craigne donc pas de composer des Pantomimes , & qu’il
lise
attentivement les grandes vérités dont je vais lu
que moi ». « Vous ne serez point surpris, Monsieur, quand vous aurez
lu
cette Pantomime , que plusieurs personnes se soi
que je vous envoie. Depuis six mois, je cours tout Paris, afin de la
lire
de cercle en cercle, de société en société. Elle
es vers de sa façon, et il avoue que vous avez eu l’indulgence de les
lire
et d’excuser sa hardiesse. Il m’entretient de vos
aux brillantes du bassin formoient une espèce de cloche. Si tout ceci
lut
resté immobile, rien ne m’auroit étonné, mais ces
nouvellent chaque jour dans une ville riche et immense, Garrick avoit
lu
parole, et. obtenoit les suffrages. Renonçant à s
geste harmonieux ses voiles dans les flammes, ou changée en un grand
lis
, éblouissante, nous révélant une forme auguste et
e des danses de Mlle Anika Yan. J’ai regardé consciencieusement, j’ai
lu
également les explications fournies par le progra
Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. J’ai
lu
par ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux un M
llection des ouvrages de M. Bossuet, tom. 7, p. 623 et 624.) « C’est
lire
trop négligemment les ouvrages des saints pères,
aucoup de circonspection, et par une sorte de nécessité. » Mais qu’on
lise
attentivement les ouvrages ; de S. François de Sa
, à Paris seulement, vingt mille personnes des deux sexes, qui savent
lire
la musique et l’exécuter avec la voix, ou sur un
ue classique. Il commence à la déchiffrer ; déjà il épèle, bientôt il
lira
couramment. Déjà il applaudit ; bientôt il exiger
on rollet Touchant ce splendide Ballet, Les Vers en sont fort beaux à
lire
, Car Bensérade (c’est tout dire) Qui du Parnasse
rs, foudre de la Littérature, trêve, trêve un moment à vos critiques.
Lisez
avec attention, & vous verrez ce que vous n’a
c’est le maître d’école, dont la mission est d’enseigner aux enfans à
lire
et à solfier. Tous ces faits sont attestés, et je
qu’il vaudroit mieux ne rien savoir des saintes Ecritures, que de les
lire
pour en abuser ainsi. » Est-il en effet un abus p
n approchant de plus près, on entendoit ses paroles, et si on pouvoit
lire
dans le cœur qui les dicte, on seroit attendri pa
et ne défend que la cupidité », comprenons que nous n’entendons et ne
lisons
l’Ecriture avec fruit, qu’autant que cette lectur
les Chasseurs noirs au théâtre de San-Francisco. *** P.-S. — On a pu
lire
dans les journaux du 9 septembre dernier : Mari
ger, tendre et vaporeux. Fluide, éthérée, immatérielle : la tige d’un
lis
!… Le lis a fleuri sur la fenêtre d’un tailleur e
e et vaporeux. Fluide, éthérée, immatérielle : la tige d’un lis !… Le
lis
a fleuri sur la fenêtre d’un tailleur en chambre
es soldats de Crête et de Sparte allèrent à l’assaut en dansant. Nous
lisons
dans les commentateurs des Anciens, que les Égypt
e des Dieux, ou demi-Dieux. Mais, pour contenter davantage Ceux qui
liront
ce mien Ouvrage, Après avoir narré ceci, Je vais
peuvent peindre une pareille passion. Elle l’animait par degrés : on
lisait
, dans ses expressions, une suite de sentiments :
juges et autres ressortissans en nos cours de parlement, de les faire
lire
et publier dans leurs ressorts avec notre présent
tions, ne cherchent qu’à les conformer à ce qui vous plaira. » Qu’on
lise
dans cette disposition le petit ouvrage que je do
qu’il voulût bien bénir mon travail ; et je conjure les personnes qui
liront
ce que j’ai écrit pour le bien de mes frères, de
ur, quel crime a commis et quelle peine mérite un pasteur, qui, ayant
lu
dans les saints pères que la danse est une pompe
ouver que cette conduite est au moins probablement bonne. Je viens de
lire
dans Denis le chartreux, qu’encore que des religi
donnerait à copier, ni d’écrire par lui-même des choses dignes d’être
lues
. Cet homme, borné à l’adresse de la main, n’aurai
pour parvenir à être un excellent Danseur Pantomime, qu’à apprendre à
lire
et à écrire les langues savantes. 17Si nous voul
43
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
ens signes, ceux des Spectateurs, qui voudraient en prendre la peine,
liraient
le Poème, pour juger si les gestes correspondent
ans entrer dans un noble enthousiasme. Eh quoi ! Vous n’avez donc pas
lu
l’histoire ancienne ? Vous ignorez donc mille tra
Public est un Ballet Pantomime dans le goût des Anciens. Ceux qui ont
lu
les auteurs Grecs ou Latins qui, soiten Original
qu’il avoit fait pour cela : un des moyens qu’il employa fut de faire
lire
au peuple l’histoire de l’adoration du veau d’or
peroit par la verge de fureur, s’il méprisoit ce qu’on venoit de leur
lire
. « Je poussai, dit-il, cette menace de la manière
estimés dans l’antiquité, qu’au rapport de saint Jérôme, ils étoient
lus
publiquement dans l’église après les saintes écri
nt que moi. Les journaux lui consacraient des colonnes entières et je
lisais
tout ce qui la concernait. Les journaux disaient
de très loin. Mais où et comment ? Je ne le savais pas et continuai à
lire
les jounaux, me grisant des articles qui parlaien
é. (ser. 94.) « Vous venez, dit ce père, de voir dans ce qu’on nous a
lu
de l’Evangile, quelle est la récompense des bons
aucune façon, en peine de ce qui regarde leur bien spirituel, qu’ils
lisent
ou qu’ils écoutent ce que saint Augustin écrivoit
appelleray point à tesmoin vn Arion qui au son de sa voix & de sa
lire
fist iadis danser ce Dauphin qui le deliura du na
les inanimées mesmes se ioignoyent au bal, animées des charmes de sa
lire
: & ne tireray point ma consequence de l’ordr
in, c’est pour monter à mon grenier que j’appelle mon cabinet. Là, je
lis
les folies et les extravagances du jour ; je parc
rallentir leur marche ? de bons livres viennent à mon secours. Je ne
lis
point de romans, parce que tout ce qui nous envir
. Mlle Payne prétend être la girl de demain. Justes dieux ! Elle aura
lu
l’Ève Future : elle paraphrase Villiers de L’Isle
cheur et leur éclat. Si ces prétendus maîtres de ballets se faisoient
lire
ce qu’Apulée a écrit sur leur art, s’ils pouvoien
6, elle sortait des coryphées pour passer petit sujet. Vous avez bien
lu
: en 1866. Et elle avouait dix-huit ans, pour qu’
mbre de ses habitants. Ouvrez l’Evénement du 13 février 1882, vous y
lirez
: « Mademoiselle Bernay, aimable personne. — Trè
Mademoiselle Khan Ou Cane. Physique entre le zist et le zest. Je
lis
dans Panserose : « Elle a un ami et un enfant… E
us croquer. O Lorettes, fous scarabées, nomades phalènes, laissez-moi
lire
à travers votre transparence les mystères de votr
qu’à z. Il y a des Lorettes qui écrivent comme si elles devaient être
lues
exclusivement par M. Champollion. L’obélisque de
tres dans l’espace de six mois. Le facteur seul est assez Figeac pour
lire
l’adresse. Quant au contenu, le parrain renonce à
nt application de la loi du progrès, il prend, comme la plus facile à
lire
, celle qui avait dû être écrite la dernière. A
ue ceci serve d’enseignement aux indifférents ou aux paresseux qui ne
lisent
pas les lettres sous prétexte qu’elles sont mal é
z du feuilletage jusque sous l’édredon. Chaque page du roman qu’elles
lisent
le soir est mouchetée par la cerise cuite, tatoué
iée. Les vers sont enfants de la lyre ; Il faut les chanter, non les
lire
. Pour chanter l’air, il faut que l’air existe. N
moins licence de ma part, que defaut de connoissances, et que je n’ai
lu
ni Eschyle, ni Sophocle, ni Euripide, ni Séneque.
ime sur ses traits une pâleur mortelle ; elle ne peut se déterminer à
lire
ce fatal billet. Voulant dérober à tous les yeux
éloigner des présages aussi tristes ; mais Cassandre, qui a l’art de
lire
dans l’avenir, voit le palais ensanglanté ; elle
r la dénomination des notes, avec cette différence qu’un bon musicien
lira
deux cens mesures dans un instant, et qu’un excel
nière de l’écrire étoit par conséquent facile, et l’on apprenoit à la
lire
fort aisément. Mais aujourd’hui les pas sont comp
n bras une courbure agréable et un arrondissement parfait. Lorsque le
liras
est élevé et soutenu à la hautem de l’épaule, tou
de mouvemens de pronation et de supination de l’avant-bras, ainsi que
lu
flexion du poignet qui, en adoucissant les angles
ar la dénomination de Notes, avec cette différence qu’un bon Musicien
lira
deux cents mesures dans un instant, & qu’un e
iere de l’écrire étoit par conséquent facile, & on apprenoit à la
lire
fort aisément ; mais aujourd’hui les pas sont com
taines de ce que j’avance à l’égard des danseurs anciens et modernes,
lisez
dans l’Encyclopédie les articles sur la danse, ré
n’ayant ni les talens, ni les organes propres à la déclamation, font
lire
leur pièce, et s’abandonnent entiérement à l’inte
he à son tour ceux de son amante ; leurs yeux s’y rencontrent ; ils y
lisent
mutuellement les signes de leur bonheur. Armide e
n’ayant ni les talents, ni les organes propres à la déclamation, font
lire
leur piece, & s’abandonnent entiérement à l’i
e-ville. Aux deux côtés de la statue de Louis XIV étaient deux grands
lis
de fer-blanc, garnis d’un grand nombre de forts l
ent ornés de deux girandoles à cinq branches, formant des bouquets de
lis
. Au-devant de chacune des gaines des cariatides é
de terrines. Aux côtés de la statue de Louis XIV étaient deux grands
lis
de fer-blanc, garnis de forts lampions. La grande
é que venait Madame la Dauphine, était un grand cartouche vert, où on
lisait
en gros caractères : A la bonne arribado de noste
ans sa main droite les armes de France, et dans sa gauche une tige de
lis
. Pour légende, ditabit olympum nova Cybeles, cett
médaillon renfermant un emblème. Celui de la droite représentait deux
lis
, qui fleurissent d’eux-mêmes et sans culture étra
de 6 pieds de diamètre : ce globe était d’azur, parsemé de fleurs de
lis
et de tours de Castille. On avait placé au-dessus
ne s’arrêta auprès de cette colonne, tant pour la considérer que pour
lire
les quatre inscriptions composées en quatre diffé
ur, et par la Rey, danseuse. La troisième boutique était un café ; on
lisait
dans le cartouche le nom de Benachi. Elle était t
allées du labyrinthe ; l’illumination en était si brillante, qu’on y
lisait
les fables qui y sont répandues en inscriptions,
n. A l’un c’était le fleuve du Guadalquivir, avec un lion au bas ; on
lisait
en lettres d’or, sur l’urne de ce fleuve ces deux
ie la plus élevée du temple, placé du côté de l’hôtel de Bouillon, on
lisait
ce vers de Tibulle. Omnibus ille dies semper nat
is agatur Pour inscription sur l’autre temple du côté du Louvre, on
lisait
cet autre vers du même Poète : O quantùm felix,
les petites filles me firent exactement l’effet de petits anges ; je
lus
une infinie bonté dans leur infinie douceur, et l
s non plus le chinois. Moi Vous le sauriez en quinze jours si vous le
lisiez
tel que ses auteurs de jadis l’écrivaient. Mais v
et généreux. Vous direz à celui qui vous a faite venir. Après avoir
lu
Quintillien, Athenée, St. Augustin, et les auteur
s-patentes et les ordonnances de Louis XIV. J’ouvre ce contrat et j’y
lis
— à la date de 1841 : « Article XXXV. — Les entr
rtes pour les réussites, et le dernier volume de M. Zola… Elles ne le
lisent
pas : ah ! mais non !… Car, en fait de littératur
à la pitié universelle qu’a inspirée la destinée du roi de Rome. On a
lu
avec émotion le poème le Fils de l’Homme où Barth
où trônait Mlle Taglioni, récemment revenue d’Angleterre. On croyait
lire
de l’inquiétude sur son visage, comme si elle se
ité et sa réputation étaient usurpées. Nous nous étonnons, quand nous
lisons
son article vide et prétentieux, que nos aïeuls a
ur la vie et sur le monde. J’étais à l’état sauvage, je ne savais pas
lire
et je sentais l’horreur de la misère sans m’en re
e m’épargner les vives émotions. Il jugea nécessaire de m’apprendre à
lire
et à écrire, et de me faire changer mon patois co
jà malheureusement pénétré dans l’ame ? (Ephés. c. 6, v. 16.) Si on a
lu
le premier livre de l’histoire de l’ancien Testam
tradiction bizarre dans le procédé de toutes les Académies ? Pourquoi
lisent
-elles publiquement les Ouvrages couronnés ? Est-c
des signes subordonnés, pour le nuancer. Ainsi, ce que nous appelions
lire
correctement, étoit chanter juste. Il falloit che
, s’approchent de Vénus ; elles lui enlèvent la pomme, après en avoir
lu
l’inscription ; chacune d’elles prétend que cette
ssa de porter le nom. En 1854, elle se retira de la scène. On pouvait
lire
, il y a quelques années, dans les Petites-Affiche
et rêveurs. Comme ballerine, beaucoup d’étoffe, mais peu de santé. Je
lis
dans le journal le Fouet, en date du 7 juin 1868
es comparait aux Elégies romaines de Gœthe. « Il faut, disait-il, les
lire
et les honorer à titre égal. » *** C’est le hasa
’était blessé à la cheville. Puis il parle d’un mauvais roman qu’il a
lu
pour faire plaisir à Thérèse Elssler qui s’intére
rnier vers. Je ne te demande pas de réponse ; je te prie seulement de
lire
et de relire ce billet. » Quelques jours après,
s à son amant ont disparu. Celles de Gentz doivent naturellement être
lues
avec circonspection, lorsqu’elles parlent des sen
amie, le 27 juin 1837, et qui est conservée au musée d’Avignon, nous
lisons
cette note ajoutée, semble-t-il, par la main de M
instruire, et de nous convaincre. Dans l’impossibilité, où je suis de
lire
dans le passé, et de voyager dans le néant des si
ion un lieu, qui lui paroît d’autant plus redoutable, qu’il vient d’y
lire
sa destinée. Deuxième partie. La décoratio
grandes preuves. Je crois pouvoir les fournir à ceux qui voudront les
lire
sans prévention. Remontons aux sources, et suppos
Didon descend de son trône. Jarbe, attentif au refus de Didon, croit
lire
dans ses regards et dans son action, le motif de
aisanteries de ceux qui, par de certaines raisons, ne pouvoient ni le
lire
, ni l’entendre. Combien le mot pantomime n’a-t-il
Ils ne feroient point d’effet au théatre, me repliqua-t-il. Avez-vous
lu
ces deux drames ? oui, me repondit-il. Eh bien, n
plaisanteries de ceux qui par de certaines raisons ne pouvoient ni le
lire
, ni l’entendre. Combien le mot Pantomime n’a-t-il
ils ne feroient point d’effet au Théatre, me répliqua-t-il. Avez-vous
lu
ces deux Drames ? oui, me répondit-il ; eh bien n
tendrai dire à la plupart des maîtres de ballets, si toutefois ils me
lisent
, que cette action est noire, que la danse ne doit
s : Vous chantez mal si vous prétendez chanter ; et si vous prétendez
lire
, vous lisez mal : vous chantez. Les inflexions d
antez mal si vous prétendez chanter ; et si vous prétendez lire, vous
lisez
mal : vous chantez. Les inflexions de la voix de
et pour preuve un de ses morceaux de la plus grande réputation. Qu’on
lise
d’abord les vers admirables que Quinault met dans
avoir et ce qu’ils doivent pratiquer. Sachant qu’ils n’aiment point à
lire
, j’ai pensé qu’en leur offrant tous les principes
nnées, (époque où mes premières lettres parurent), j’ai eu le tems de
lire
, de méditer et de m’instruire ; mes recherches co
4, p. 139.) « Vous voyez, dit-il, dans le mariage dont vous venez de
lire
l’histoire, avec quelle modestie les anciens patr
uait les bonbons, — on arrosait le bouquet d’un verre de malaga, — on
lisait
la lettre et l’on y répondait… Ces demoiselles d’
uis quelque réputation dans la danse du théâtre. Observer, réfléchir,
lire
, leur paraissent des distractions nuisibles aux m
nnaissance joyeuse. Le lendemain, je fus réveillée dès l’aurore pour
lire
les journaux. Et chaque journal de New-York consa
ité, lorsque le goût et l’imagination ne les dirigent pas. Lorsque je
lis
les poèmes immortels d’Homère de Virgile, du Tass
en brouillon sur sa table, peut-être avec l’intention de me la faire
lire
. « Ma chère Calixte, lui disait-elle, je m’ennuie
elligence ne résiste pas à deux années de cabriolet. La danseuse sait
lire
, écrire et compter… sur ses doigts. A la rigueur,
L’aventure eut du moins pour le faux défunt un côté agréable : il put
lire
son éloge dans des articles nécrologiques trop pr
a Fille du Danube. Si nous ouvrons les journaux de la semaine, nous y
lisons
ces débuts d’articles : « Un scandale inouï vien
n a fait grand bruit, dit-il, de cette algarade dans les journaux : à
lire
ces récits circonstanciés et lamentables, on dira
n avoit bâti dans sa magnificence ? Quel plaisir n’aurions-nous pas à
lire
l’Histoire de Pausanias, lequel nous décrit toute
erre, fut ravi d’y voir représenté en peinture les choses qu’il avoit
lues
dans ses histoires. En effet Bosius & Severan
à, sur les lèvres souriantes de l’Ondine prête à s’engloutir, on peut
lire
la joie et l’orgueil du triomphe, lorsque les ami
ables et précieux. Pour pratiquer cette méthode, il est nécessaire de
lire
plusieurs fois et avec attention chaque article o
ettre dans le dénouement de son drame ; on eût dit l’agonie d’un beau
lis
; elle mourait peu à peu, lentement, d’une mort a
ur leurs affiches. Lorsque les passants s’approchaient, ils pouvaient
lire
ces mots : « Comme la vogue inouïe qui fait couri
sous une heureuse constellation. Le génie, la grâce et la douceur se
lisent
dans les traits de cette femme que l’on glorifie.
s Souvenirs de la marquise de Créqui, rédigés par Courchamps, on peut
lire
le récit d’une leçon de maintien donnée par Vestr
pris le même plan dans le traité que je donne, je n’avois pas encore
lu
celui des ministres ; mais ce plan est si naturel
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