Robinet,
lettre
du 26 décembre 1666 L’auguste BALLET des NEUFS
ALTESSE à qui j’écris, Vous savez tout ce que je dis ; Mais, comme ma
Lettre
est publique, Aux lecteurs aussi je l’indique.
et sept, Et par là, sans la Date mettre, On peut voir de quand est ma
Lettre
. 72. Fille de Madame la Maréchale de la Motte.
Robinet,
lettre
du 22 octobre 1667 Nos vaillants PALADINS de F
tre Permission, Je fais cette Narration. Pour tous ceux qui lisent ma
Lettre
, Où je vais encor ainsi mettre, Sous votre bon Pl
res que voici, Contenant, certes, maintes choses Qui ne vous sont pas
Lettres
closes.
. — Gueymard. — Le monde de Finette. — La civilisation et nous. — Les
lettres
de Finette. — Les mystères de sa correspondance d
aisser tromper. — Le désagrément d’avoir un secrétaire. — J’écris mes
lettres
moi-même. — Madame Louise Colet. — La baronne de
fait cela parce que je le fais. Finette a la réputation d’écrire des
lettres
charmantes. Elle ne sait pas signer son nom et ne
que le professeur est généralement une femme instruite qui écrit des
lettres
poétiques et fait tout ce qui concerne le métier
omme deux cents poulets par jour. C’est beaucoup de travail, mais les
lettres
sont copiées dans le Secrétaire des Dames, ce qui
femme qui écrit. J’en ai vu qui pleuraient d’attendrissement sur ses
lettres
et qui riaient à ses discours. Le malheur est que
c’est une invitation à dîner pour le jour même. XII J’écris mes
lettres
moi-même. Outre que je suis une femme qui a de la
i failli être ridicule — chose que je ne me pardonne pas. J’avais une
lettre
importante à écrire, et vraiment je ne savais com
nant un louis, me fit le brouillon d’une épître échevelée. Dans cette
lettre
, je parlais du ciel bleu, du lac d’azur, des étoi
Lettres
en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gra
en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas et
Lettres
en vers de Boursault57 57. Ces gazettes ment
Robinet,
lettre
du 8 août 1666 Au COLLÈGE des JÉSUITES, Pères
s, MARDI, l’on délivra les Prix Fondés par le Roi notre SIRE, Qui des
LETTRES
chérit l’Empire, Pour animer les STUDIEUX, Qui se
Quelques
lettres
inédites de célébrités chorégraphiques On a be
d’une Taglioni… Pour contribuer à ces futurs ouvrages, voici quelques
lettres
inédites de plusieurs chorégraphes ou danseuses c
inédites de plusieurs chorégraphes ou danseuses célèbres. D’abord une
lettre
du fameux Gaetano Vestris qui offre un certain in
certain intérêt pour l’histoire de la danse sous la Révolution. Cette
lettre
est adressée d’Angleterre à Gardel. Londres, ce
res, ce 17 mai 1791. J’avais répondu d’avance, mon cher Gardel, à la
lettre
obligeante du 5 de ce mois, par celle que j’adres
e pour la vie ton sincère ami, N° 2 Haymarket. VESTRIS. Voici une
lettre
de Gardel, qui n’est pas datée, mais qui a dû êtr
E, DUBARRAU Louis du Bas-Rhin. Avant de quitter Gardel donnons cette
lettre
sans date qu’il adressait pour sa fête à la danse
ésenter mes hommages. Il serait intéressant de publier un recueil de
lettres
de Maria Taglioni. La Sylphide avait de l’esprit
esprit à défaut d’orthographe. On en peut juger par ce fragment d’une
lettre
non datée adressée de Londres à une amie : Un m
ndre… De Saint-Pétersbourg elle écrit quelques années plus tard une
lettre
intéressante : Saint-Pétersbourg, 5/17 janvier
Robinet,
lettre
du 15 février 1670 Le Divertissement Royal Don
oint, Quand, sur un Livre, j’allai mettre, Le contraire, en mon autre
Lettre
.
Loret,
lettre
du 18 février 1662 Maintenant, qu’en grattant
ttre du 18 février 1662 Maintenant, qu’en grattant ma têtes, Cette
Lettre
au public j’apprête, D’un style morne, et non fol
Robinet,
lettre
du 11 avril 1671 À propos, le grand Opéra, Qui
audi : Et puis, je ne faudrai d’en mettre Un plus ample Article en ma
Lettre
. 158. Paris
Lettre
X. Je vous ai démandé, Madame, quelques jours d
amuser. Je vous demande franchise et sincérité. Lisez cette première
lettre
, faite pour exposer la matière que je traite. Si
emparé du trône de la fable, et a élevé le sien sur ses débris. Cette
lettre
est bien sombre ; il m’a été impossible d’y mettr
Loret,
lettre
du 23 février 1664 Je vous dis donc, de bonne
is donc, de bonne foi, Qu’en parlant du Ballet du Roi, Je fis dans ma
Lettre
dernière, Une faute absurde et grossière, Et que
Loret,
lettre
du 5 mars 1661 Pour plaire à quatre Demoiselle
Paix, Les cœurs, d’amour, plus que jamais. Dans mon autre dernière
Lettre
L’Imprimeur oublia de mettre (Dont je lui sus for
es, depuis l’Iliade jusqu’à la Physiologie du fumeur, voir figurer la
lettre
O, cette particule si laconique, cette apostrophe
leur ignorance de notre langue maternelle, s’obstinaient à nommer la
lettre
M). Il n’était plus temps de faire comparoir Ario
uels il arracha son poème hydrofuge. Aucun précédent ne justifiait ma
lettre
initiale. Moi, timide, je tremblais. Heureusement
ui s’élancent de la terre aux cieux, neuf harmonies dont la quinzième
lettre
de l’alphabet est la première modulation. La voil
d le nom de la ville où elle est née, et vous recevez au carnaval des
lettres
d’invitation aux bals, signées madame de Toulouse
e un foulard dont la marque, par une coïncidence bizarre, présente la
lettre
initiale du nom du débiteur chez lequel l’Arthur
’il était Volnay. On cite un Arthur qui fait mettre son nom en toutes
lettres
sur les fichus et les peignoirs que porte la Lore
stait pas, la Lorette éprouverait le besoin de l’inventer. Sur 19,753
lettres
que le facteur parisien colporte en omnibus quoti
ées pour causes de départ, de parjure, ou faute de monnaie. Ces 4,369
lettres
sont toutes sous enveloppe, et consomment chacune
mploie avec plus ou moins de profusion. La Lorette ne date jamais ses
lettres
du lieu où elles sont écrites. Si elle est dans u
élevé de deux millimètres au-dessus du niveau de la mer, elle date sa
lettre
: Du haut des Alpes… ce… Sur deux mille épîtres s
s qui reflètent les tristes impressions d’une âme veuve. Elle date sa
lettre
d’une localité dont le nom seul fait venir la cha
u’il est six heures de relevée, comme disent les avoués, elle plie sa
lettre
; son cachet place sur la cire noire l’empreinte
. La Lorette part avec confiance et se dit : A minuit, n’ayant pas de
lettre
à faire, je mangerai des crêpes ou de la galette
able parce qu’il est fort rare dans son emploi, porte le soir même la
lettre
à l’Arthur. Par une double fatalité, la voiture d
en retard pour m’écrire, parce qu’aujourd’hui, dit-il en montrant la
lettre
, tu es en avance de trois bonnes heures sur minui
ans sa correspondance, n’use jamais des mots qui dépassent la onzième
lettre
de l’alphabet ; son langage écrit est circonscrit
l’alphabet ; son langage écrit est circonscrit dans les limites de la
lettre
a… à la lettre k. Une autre Sévigné a la série de
n langage écrit est circonscrit dans les limites de la lettre a… à la
lettre
k. Une autre Sévigné a la série de mots depuis l…
une distance dans le sillon, et toute la semence ou plutôt toutes les
lettres
se touchent et forment une chaîne sans solution d
chiffrable. Le parrain reçoit à peu près cent vingt à cent vingt-cinq
lettres
dans l’espace de six mois. Le facteur seul est as
ur de ses maux. Les baptêmes continuent, les pupilles augmentent, les
lettres
redoublent, le facteur les apporte avec une féroc
et, comme s’il éprouvait le besoin d’un acte expiatoire, il prend les
lettres
, se condamne à en déchiffrer au moins une ; faisa
’enseignement aux indifférents ou aux paresseux qui ne lisent pas les
lettres
sous prétexte qu’elles sont mal écrites. La Loret
sous prétexte qu’elles sont mal écrites. La Lorette collectionne les
lettres
qu’elle reçoit. Le plus grand chagrin qu’on puiss
’est de changer souvent de format de papier ; parce que le volume des
lettres
réunies n’a plus de grâce et ne peut pas faire co
occupée, monsieur, dit-elle ; quand vous êtes entré, je repassais vos
lettres
. — Ah ! mademoiselle, vous relisiez… — Je ne vous
emoiselle, vous relisiez… — Je ne vous dis pas cela. Je repassais vos
lettres
comme on repasse une collerette, un fichu, un fou
passa au fer toute la correspondance de la semaine. Après cela chaque
lettre
fut insérée dans son dossier ou plutôt dans son c
ui aimait beaucoup les officiers, répondait à une déclaration par une
lettre
commençant ainsi : Monsieur, Ce qui peut milite
ussent jusqu’à l’avarice la plus sordide l’économie qu’elles font des
lettres
de l’alphabet. Elles écrivent J rai vous voir. Et
boîte de la papeterie Marion, en tira un bâton qui sert à sceller les
lettres
, et montrant avec orgueil l’inscription, elle pro
ira à 11 heures précises. Un prince grec assistera au bal. Nota. Une
lettre
particulière adressée à chaque souscripteur indiq
nserve encore dans le langage populaire, elle écrit immédiatement une
lettre
au procureur du roi et accuse son Arthur d’attent
loin le désir d’avoir les lieux garnis, qu’ils payaient les ports de
lettres
de leurs locataires. On concédait gratuitement, p
e ménage ou cordon-bleu, dont le nom de famille commence par ces deux
lettres
: DE. Supposons donc que vous ayez découvert Féli
fortune s’est engloutie sous les décombres des révolutions. Quand la
lettre
est formulée, vous allez trouver votre Mécène, vo
aux de tabacs, de bureaux de papiers timbrés, de bureaux de poste aux
lettres
. Elle obtient tout, sous condition de ne pas publ
s condition de ne pas publier ses mémoires et de brûler les anciennes
lettres
d’amour. Les hommes en place ont une peur atr
es correspondances. Il n’est pas un théâtre où l’on reçoive autant de
lettres
. Soixante à quatre-vingts par soirée au minimum.
out honneur est la phrase consacrée. Elle se retrouve dans toutes les
lettres
. Jamais elle n’a fait défaut. C’est la seule marq
« Quand on vous aime, où vous voit-on ? » VII Le porteur de ces
lettres
est un jeune titi en blouse blanche, qui se tient
ans son pays et a acheté des terres. VIII A force de monter des
lettres
, le facteur des Délass…, comme l’appelle Mélanie,
le bout du doigt. Il en est arrivé à éviter aux dames la lecture des
lettres
inutiles. Le moyen qu’il emploie prouve énormémen
e énormément en faveur de son observation : « Mademoiselle, voici une
lettre
, dit-il ; je n’ai reçu que vingt sous pour la cou
sous pour la course. « A vingt sous pour la course, on ne lit pas la
lettre
. « A un louis, on la lit encore moins. » On répon
Loret,
lettre
du 14 février 1665 Une Mascarade galante, Ou,
il faut, comme de coutume, Qu’il sorte aujourd’hui de ma plume, Cette
Lettre
, que bien des Gens De voir, après, sont diligents
ler. — Confidences à Prokesch von Osten et à la comtesse Fuchs. — Les
lettres
de Gentz à Fanny. — La révolution de 1830 ; Gentz
Gentz chez le prince de Metternich. — Départ de Fanny pour Berlin. —
Lettres
de Gentz à Rahel Varnhagen. — Fanny chez Rahel. —
r Berlin. — Lettres de Gentz à Rahel Varnhagen. — Fanny chez Rahel. —
Lettres
de Rahel à Gentz. — Retour de Fanny à Vienne. — L
que ; le mirage américain. — Adieux à Paris le 30 janvier 1840. — Une
lettre
de Th. Gautier à Fanny. — Fanny à Londres 262 CH
Loret,
lettre
du 10 mai 1664 De nouvelles je suis à sec, Cel
entré dedans. […] Enfin, tant d’admirables choses Étant pour moi des
Lettres
closes, Qui voudrait (en ma place) oser Prendre a
stratagème du cachemire. — Comment on rembourse les provinciaux. — La
lettre
de ma mère. — M. d’Ennery. — Ce qu’on lui doit.
n moyen que je qualifie tout simplement de sublime. Elle a inventé la
Lettre
de ma mère. Sur sa cheminée traîne perpétuellemen
nt la voir elle s’arrange de façon à laisser le visiteur seul avec la
lettre
. Si c’est un amant ou un prétendant, il n’hésite
lement sa rentrée avant que le lecteur ait eu le temps de remettre la
lettre
à sa place. Pris en flagrant délit d’indiscrétion
faire pardonner, de secourir « la mère. » Et quand on pense que cette
lettre
est copiée textuellement dans un drame de M. d’En
ès de la comtesse Eléonore Fuchs ; il lui confessa son amour dans une
lettre
qui est un chef-d’œuvre de prudente audace et qui
cette liaison nous est racontée par Gentz lui-même dans de nombreuses
lettres
. Il y a d’abord celles qu’il écrivit à Fanny. Ell
confidences faites à Joseph Pilat15 et à Prokesch-Osten16. Il y a des
lettres
à la comtesse Eléonore Fuchs, à qui, n’ayant pu l
hise. Varnhagen von Ense, le mari de Rahel, loin d’être choqué de ces
lettres
qui détaillaient à sa femme les joies et les souf
en répétant la citation française dont il s’était déjà servi dans sa
lettre
à Prokesch-Osten : « Je me livre à ces fredaines
poser qu’elle ne contenait point de blâme bien farouche, car, dans la
lettre
suivante, Gentz continue sa confidence le plus na
n l’accepte sans blâme, ni raillerie. Quoique rien ne les sépare, les
lettres
et les billets se succèdent. Gentz doit voir Fann
aient à Kœnigswart les nouvelles de Paris, il avait reçu de Fanny une
lettre
contenant des fleurs et des vers. Cet envoi lui a
onc, assis à cette place, abreuvant mon âme de la douceur de ta chère
lettre
(la troisième) de samedi dernier, et des corolles
dans sa vie. Il lui raconte longuement la soirée de la veille. « Tes
lettres
avaient éveillé toutes mes forces vitales ; au-de
l ami. Elle en apprit toute la force et les singuliers effets par une
lettre
du 22 septembre 1830. « Vous serez étonnée, lui
l’impression produite par Fanny sur un juge aussi avisé. Dans la même
lettre
Gentz fait un autre aveu. En même temps que le go
s attendu de sa part ! Il n’aurait pas osé s’en ouvrir à Rahel, si sa
lettre
n’avait pas dû lui être transmise par un courrier
le font pas. Elles causent, se comprenant à demi-mot, de Vienne, des
lettres
arrivées de là-bas, des réponses que l’on fera. L
e le griser. On comprend que Gentz ait appelé la réponse de Rahel une
lettre
d’une importance capitale pour lui et qu’il ait d
n divine et parfaitement compréhensible pour moi, employée dans votre
lettre
!), dont les yeux, dont les mains (examinez-les d
folie. D’ailleurs vous avez déjà deviné la plupart des choses ; votre
lettre
et l’accueil que vous avez fait à Fanny m’en sont
en veine de confidences ne peut plus s’arrêter. Son cœur déborde, sa
lettre
s’allonge. Sa pensée se reporte à la première ent
s plus tôt. « Je ne puis presque plus, écrit-il toujours dans la même
lettre
, supporter la torture que me cause son absence. T
i est la pure vérité) que ma santé même en souffre. » Cette « grande
lettre
de Presbourg », comme disait Rahel, grandis epist
r les orages de la vie. Cet idéalisme s’accompagnait de confiance. La
lettre
à Rahel exprime la même certitude d’être aimé que
it, soit à la comtesse Fuchs, soit à Fanny elle-même. Cependant cette
lettre
nous fait voir, sans que Gentz s’en aperçoive, un
s réveillé comme quelqu’un qui se serait grisé la veille. » Dans les
lettres
à Rahel une note de plus en plus sombre succède a
e n’est pas seulement de la poésie qui envahit à présent l’âme et les
lettres
de Gentz. Il s’abandonne à une exaltation mystiqu
Gentz sentait-il ce qu’il exprimait avec tant de flamme ? Ou bien ses
lettres
si brûlantes n’auraient-elles été que les exercic
de Metternich raconta ses derniers instants à Prokesch-Osten dans une
lettre
du 15 juin où il rapporta des propos tenus par le
e à se rendre compte de ce qui s’est passé dans le cœur de Fanny. Les
lettres
qu’elle a écrites à son amant ont disparu. Celles
ui elle se défendit aussi d’avoir été dans l’intimité du duc. Sur une
lettre
qu’elle écrivit à cette amie, le 27 juin 1837, et
r 100 Exemplaren gedruckt, 2te Auflage. Cette prétendue traduction de
lettres
que Gentz aurait écrites en français à Fanny Elss
puis son origine jusqu’à présent, s’il Nous plaisoit lui accorder nos
Lettres
de Privilege sur ce necessaires. A ces Causes, vo
permission, & nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, &
Lettres
à ce contraires ; Car tel est notre plaisir. Donn
Loret,
lettre
du 20 janvier 1663 Moi, votre très humble Vale
et maints autres lieux, Fait refleurir par excellence, Les Arts, les
Lettres
, et la Science : Mais pour parler sincèrement De
Robinet,
lettre
du 5 décembre 1666 À présent la Réjouissance E
Robinet,
lettre
du 2 février 1669105 Ici, notre Grand POTENT
Lettre
V. L es Médicis rallumeront le flambeau du go
e Royale de peinture et de sculpture, à la quelle il fit accorder des
lettres
patentes enrégistrées au parlement ; il obtint la
ui fûrent mis en musique par Campert ; ils obtinrent par la suite des
lettres
patentes et le privilège de ce nouveau spectacle
re et au bonheur de ses sujets, de caresser les arts, de protéger les
lettres
, d’encourager les sciences, de soutenir le commer
ncore aux soins de ce sage Ministre, et à son goût pour les arts, les
lettres
et les sciences que l’on doit l’observatoire, et
renommée s’empressa d’y proclamer ses vertus(1). Avant de terminer ma
lettre
je dois vous fixer l’époque où l’on vit pour la p
s savante et moins miraculeuse que celle d’aujourd’hui. Je termine ma
lettre
par une observation, et je dis qu’au milieu de ta
out et de magnificence, à une époque où les sciences, les arts et les
lettres
avoient acquis tant de splendeur, dans un moment
charme de la scène ; l’illusion quelle doit produire mérite bien une
lettre
toute entière. Je suis, etc. (1). Ce Ministre
Robinet,
lettre
du 20 février 1667 On a, depuis le Treizième,
Lettre
d'un grand sauteur A M. de Voltaire, sur les pant
sent considérable. Encore quelques réflexions avant que je termine ma
Lettre
. Ne soyez pas surpris, Monsieur, si j’ai voulu ra
i point entretenu de bagatelles ; le sujet que j’ai traité dans cette
Lettre
est très-grave. Un temps viendra (pour me servir
s haut, & sur-tout pour l’Opera-bouffon, annonce la décadence des
Lettres
, ainsi qu’un grand amour du futile, qui, s’il cro
de ma Pantomime . Mais je n’ai déjà que trop passé les bornes d’une
Lettre
. Il me suffira de citer deux ou trois Tragédies,
gé par la foule qui ne le connaît pas. Enfin, attiré vers l’étude des
Lettres
par une sensibilité naturelle, qui seule peut don
uteur du Sr Nicolet. 2. Mettons le Public dans ma confidence. Cette
Lettre
est une espèce de Parodie de certaine Lettre qu’o
ans ma confidence. Cette Lettre est une espèce de Parodie de certaine
Lettre
qu’on trouve à la fin de la Tragédie intitulée :
Troisième
lettre
. A monsieur Juste Odoard, à Lyon. Autremon
Robinet,
lettre
du 14 juillet 1668100 Le Spectacle superbe et
Robinet,
lettre
du 7 février 1671 Le fameux Ballet de Psiché,
Loret,
lettre
du 11 décembre 1660 Enfin, il faut que je le d
Robinet,
lettre
du 30 juin 166898 À VERSAILLE, où l’on fait f
Subligny, dixième semaine,
lettre
du 18 janvier 1666 Le ROI ces jours passés vit
Robinet,
lettre
du 5 décembre 1671 Un Ballet, Ballet des Balle
Robinet,
lettre
en vers du 20 septembre 1665 […] Achevons. Po
Subligny, troisième semaine,
lettre
du 24 février 1667 Ballets, Bals, Mascarade, C
Loret,
lettre
du 26 avril 1664 De Monsieur, l’Altesse Royale
Lettre
i. sur les fêtes nationales. Vous me parlez,
Lettre i. sur les fêtes nationales. Vous me parlez, dans votre
lettre
, de fêtes publiques ; vous êtes bien bon, Monsieu
es en place, à la honteuse condescendance des artistes et des gens de
lettres
qui encensaient les idoles qu’ils auraient dû mép
Première
lettre
. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Aut
chirez, et, si vous me le permettez, j’y reviendrai dans ma prochaine
lettre
. Sans votre agrément, je ne saurais brusquer par
xions qui me sont venues ce matin après avoir remis à Juste Odoard la
lettre
qui le fera pénétrer dans vos sanctuaires. Je me
Robinet,
lettre
du 17 octobre 1666 L’autre Jour, notre belle R
Robinet,
lettre
du 12 juin 1667 Depuis hier, pareillement, On
Robinet,
lettre
du 1er novembre 1670 Cependant, notre belle Co
Robinet,
lettre
du 25 juillet 1671 Psiché, l’admirable Psiché
Robinet,
lettre
du 26 septembre 1671 La Belle PSICHE, qui tout
Robinet,
lettre
du 9 janvier 166774 Mais, pour revenir au BAL
Robinet,
lettre
du 30 janvier 1667 On se divertit chaque jour
Robinet,
lettre
du 13 février 1667 Mardi, leurs ROYALES ALTESS
La Gravette de Mayolas,
lettre
du 17 août 1669 […] Dans une Salle préparée Et
Robinet,
lettre
du 18 octobre 1670 Mardi, Ballet, et Comédie,1
Robinet,
lettre
du 21 juillet 1668 Dans le PARC de ce beau VER
’égayaient ; Et, pour en gros ne rien ommettre Dans les limites de ma
Lettre
, En ce beau Rendez-vous des Jeux, Un Théâtre augu
’on voudra, ix Les Ressources, ou le Tableau du Monde, Pantomime, i
Lettre
d’un Grand-Sauteur à M. de Voltaire, sur les Pant
Loret,
lettre
du 1er mars 1664 Ce Ballet si bien ordonné, De
Robinet,
lettre
du 31 août 1669 Notre belle et riante COUR Des
La Gravette de Mayolas,
lettre
du 20 septembre 1665 […] Après ce divertisseme
Robinet,
lettre
du 6 mars 1666 […] Ceux qui donnent dans la Ma
La Gravette de Mayolas,
lettre
du 17 janvier 1666 Monseigneur le Duc de CRÉQU
Robinet,
lettre
du 13 février 1667 Ils avaient cet ANGE auprès
Robinet,
lettre
du 14 juillet 1668 Celle des Acteurs d’Italie9
La Gravette de Mayolas, 2ème
lettre
du mois de janvier130 La REINE, qu’un chacun
Robinet,
lettres
du samedi 20 juin 1671 […] En achevant ce mien
Robinet,
lettre
du 31 janvier 1671 […] Le Vendredi, sur nouvea
Loret,
lettre
du 3 septembre 1661 De l’autre mois, le dernie
Loret,
lettre
du 25 août 1663 […] Trois Enfants, de même fam
Robinet,
lettre
du 21 juin 1665 […] Dessus la Scène du milieu
Subligny, vingt-neuvième semaine,
lettre
du 9 décembre 1666 Vos Danseurs font-ils des m
Robinet,
lettre
du 2 mars 1669 Ici, partout, on masque, on bal
Robinet,
lettre
du 27 décembre 1670 Ajoutons, fermant ce Chapi
Deuxième
lettre
. A monsieur le duc d’Autremont, au château d’
Loret,
lettre
du 6 mai 1662 Ce Ballet, qui par le passé A ta
Robinet,
lettre
du 20 décembre 1670 […] Enfin, leurs Confident
Loret,
lettre
du 7 février 1660 Hier, qu’il était Vendredi,
Loret,
lettre
du 14 février 1665 Jeudi, douze du mois présen
La Gravette de Mayolas,
lettre
du 16 août 1665 […] Selon la coutume ordonnée
Robinet,
lettre
du 9 janvier 1667 Mercredi, le cas est certain
Robinet,
lettre
du 16 février 1669 Clio, dont le beau Feu me b
La Gravette de Mayolas,
lettre
de la fin février 1670 Grand ROI, de qui la co
La Gravette de Mayolas,
lettre
de juillet-août 1670 Dans le Collège de Clermo
Lettre
IV. Sur le même sujet. Il me reste à vous entre
ns l’enthousiasme de leur admiration ils écrivirent à l’auteur. Cette
lettre
de félicitation étoit accompagnée d’une médaille
agne on en entend d’excellente dans les mimes et sur les clochers. Ma
lettre
, Monsieur, est déjà bien longue, il faut, pour vo
Loret,
lettre
du 27 août 1661 La Pièce, tant et tant louée,1
Subligny, quatrième semaine,
lettre
du 3 mars 1667 Vous ne nous disiez point, SEIG
Robinet,
lettre
du 14 août 1671 En bonne Santé, ledit Sire, De
e mes réflexions, j’étois loin de prévoir le succès et l’effet de mes
lettres
sur la danse ; quand elles parûrent en 1760, Elle
rûrent en 1760, Elles fûrent accueillies avec intérêt par les gens de
lettres
et par les personnes de goût ; mais en même temps
ui, il sera difficile de ne pas reconnoitre l’effet qu’on produit mes
lettres
. Aussi ont-elles été traduites en Italien, en All
plus grand éloge des principes que j’ai posés dans mon ouvrage. Mes
lettres
n’étoient pourtant que le frontispice du monument
Loret,
lettre
du 27 novembre 1660 Dans le Louvre, dernièreme
Loret,
lettre
du 18 décembre 1660 Cette Collation finie On o
Loret,
lettre
du 6 août 1661 […] Le Ballet de Fontainebleau
Robinet,
lettre
du 16 janvier 1666 Sa MAJESTÉ, le même jour, P
Robinet,
lettre
du 11 janvier 1670129 Toujours la Cour, nombr
Robinet,
lettre
du 15 novembre 1670 J'ajoute, encore, pour la
Robinet,
lettre
du 18 août 1668 Comme chacun, à leur exemple (
Loret,
lettre
du 4 février 1662 […] Aujourd’hui, durant que
Loret,
lettre
du 22 avril 1662 Mardi, le grand Ballet d’Herc
Loret,
lettre
du 11 août 1663 Dans Clermont, où par excellen
Loret,
lettre
du 7 juin 1664 […] À propos de ce noble Enfant
Subligny, huitième semaine,
lettre
du 3 janvier 1666 CURIEUX, allez voir la Pièce
La Gravette de Mayolas,
lettre
du 8 août 1666 Il ne faut pas que notre Plume
Robinet,
lettre
du 27 février 1667 Notre COUR éclatante et gai
Robinet,
lettre
du 12 juin 1667 Encor un mot de notre Ville, E
Loret,
lettre
du 10 juillet 1661 […] Dans cette Noble Cour d
Subligny, vingt-sixième semaine,
lettre
du 18 novembre 166659 Quelqu’un de SAINT GERM
Robinet,
lettre
du 8 septembre 1668 Nos COMIQUES ITALIENS, Tou
chorégraphe. Ce n’étaient que sonnets hyperboliques à sa gloire, que
lettres
critiques détaillant toutes les beautés de ses sp
le des groupements et des mouvements de masses. Carpani qui, dans une
lettre
du 12 décembre 1804, se plaint de l’obscurité exc
n dans les mémoires du temps et en particulier dans les livres et les
lettres
de Stendhal. Le premier ballet en lequel Viganò s
il factice de ces rares brochures que Ritorni cite partiellement. 3.
Lettre
à de Mareste du 24 octobre 1818. 4. Lettre du 3
i cite partiellement. 3. Lettre à de Mareste du 24 octobre 1818. 4.
Lettre
du 3 septembre 1818 à de Mareste. 5. Pour la bio
jeunesse de Beethoven. Paris, Payot, 1921, in-4º, p. 191. 9. Cf. la
lettre
de l’abbé Casti du 17 juin 1793 (op. cit.). 10.
juin 1793 (op. cit.). 10. Rossiniane, 1824, p. 35, 46 et suiv. Ces
lettres
sont datées de 1804. 11. Nous la reproduisons en
iconographiques. 12. Rome, Naples et Florence, I, 395. Une curieuse
lettre
de Viganò à la Directrice du théâtre Royal à Vien
t de Taglioni, elle doit s’occuper exclusivement de ma venue. — Cette
lettre
fait partie de notre collection. 13. Lettre à de
ent de ma venue. — Cette lettre fait partie de notre collection. 13.
Lettre
à de Mareste du 22 décembre 1820. 14. Rome, Nap
284. 18. Costume di tutti i popoli, cité par Ritorni, p. 149. 19.
Lettre
à de Mareste du 6 janvier 1818. 20. Voir la lett
rni, p. 149. 19. Lettre à de Mareste du 6 janvier 1818. 20. Voir la
lettre
du 3 septembre 1818 à de Mareste. 21. Stendhal a
mait ce ballet qu’il disait être « une fête pour l’imagination ». Cf.
lettre
du 21 mars 1818. 22. C. Ritorni, p. cit. 241. Vo
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