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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
Ballet anacréontique. Personnages. Hyménée . Cryséïs . Jeunes Athéniennes . L’Amour, sans attributs, et sous l
rs, et la gaucho des bosquets délicieux. Scène I. Une troupe de jeunes Athéniennes se rassemblent sur le bord de la mer,
nt et jettent, par leur approche imprévue, l’épouvante dans l’âme des jeunes Athéniennes. Scène II. Les Corsaires débarq
ent aux premiers une aussi belle capture ; le combat s’engage, et les jeunes Athéniennes deviennent le jouet de ces barbares :
gient avec leur capture dans une grotte pratiquée par la nature ; les jeunes Athéniennes s’abritent sous les arbres des bosque
r, et les Corsaires yvres et fatigués s’endorment. Scène IV. Un jeune enfant effrayé et mouillé par l’orage, court avec
l’orage, court avec précipitation ; il cherche un azile au milieu des jeunes Athéniennes ; Cryséïs le reçoit dans ses bras ; i
et peint sa situation ; il tremble de froid, pleure, et intéresse ces jeunes beautés ; il vole des bras des unes dans ceux des
son sein, l’embrasse et partage ses tendres caresses entre elle et le jeune Hyménée. Celui-ci, animé tout-à-coup par un nouve
ée. Celui-ci, animé tout-à-coup par un nouveau sentiment, propose aux jeunes Athéniennes de briser leurs chaînes et d’immoler
d’Hyménée et de la belle Cryséïs, en les unissant l’un à l’autre. Les jeunes Athéniennes désarment et enchaînent leurs ravisse
anime son bras. Les Athéniennes libres cherchent avec empressement le jeune enfant, qui, pendant cette action, s’étoit caché
leur libérateur. Il part. Pendant son absence, l’Amour joue avec les jeunes Athéniennes. Elles se disputent une rose qu’il ti
main de Cryséïs et l’attache à son sein. Il conduit en folâtrant les jeunes Athéniennes au bord de la mer. A l’aspect de ce D
s’y placer. Dans cet instant, Hyménée de retour, paroît non comme une jeune Athénienne, mais comme un jeune homme aussi beau
le temple de l’Amour. Le peuple attend avec impatience l’arrivée des jeunes Athéniennes. A la vue du magnifique vaisseau qui
mères ; celle-ci retrouve son frère ; celle-là embrasse sa sœur ; le jeune Hyménée est entouré par ses amis. Cette scène off
2 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
e ballet porte sur deux faits historiques ; le premier est celui d’un jeune Officier Anglais, qui ayant séduit la fille d’un
de l’Abbé Raynal. PERSONNAGES. Belton, Officier Anglais. Eliza, jeune Indienne, enlevée à sa famille par Belton. Zoraï
e Négresses travaillent(1). Scène ii. Pendant cette action, un jeune Officier Anglais nommé Belton paroît inquiet et p
ais nommé Belton paroît inquiet et préoccupé. Il est suivi par Eliza, jeune femme Indienne d’une rare beauté. Ses vives cares
e apparence, qui arrive le long de la côte. C’est Zoraïm, frère de la jeune Indienne, amante de Belton. Il parcourt la scène
ordonne de le quitter et de le suivre à l’instant. Scène v. La jeune femme fait ses efforts pour l’appaiser ; elle cou
vers ses actions ; enfin on apperçoit à l’étonnement douloureux de la jeune femme, qu’il lui déclare qu’il faut se séparer. T
Anglois ; il en instruit ses confrères ; tous reculent d’horreur. La jeune femme est bientôt instruite par leurs propos du p
le ; l’un d’eux tire une bourse et la donne à Belton, qui s’en va. La jeune Indienne veut courir ; elle tombe évanouie entre
s leur apprennent ce dont il s’agit ; ils ajoutent qu’ils ont payé la jeune femme pour la soustraire à la violence de Belton
reparoît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à genoux ; la jeune femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer
noux vers ce père irrité ; sollicite son pardon ou la mort ; les deux jeunes enfans accourent ; ils joignent leurs prières et
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
fête de Cérès, de laquelle les Lois avaient exclu tous les hommes, le jeune Hymen, (car c’est ainsi qu’il se nommait) instrui
et s’endorment enfin noyés de vin et accablés de lassitude. Alors le jeune Hymen propose à ses Compagnes d’égorger leurs Rav
s rassure. Il parle, il presse, il persuade. Il saisit une épée ; ses jeunes compagnes s’arment à son exemple : il donne le si
spérance et de joie, succède à la tristesse. On entoure en tumulte le jeune Hymen. Il demande du silence. Toutes les bouches
de ce moment. Il se découvre, se nomme, et demande pour récompense la jeune Athénienne qu’il aime. Un applaudissement univers
ent profondément gravés dans le souvenir des Athéniens. Ils firent du jeune Hymen un Dieu, qu’ils invoquèrent dans leurs Mari
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
résolution de s’en venger : elle attira par les charmes de son art le jeune guerrier sur les bords de l’Oronte ; Renaud s’y a
ent ; les Nymphes s’en échappent, et toutes s’empressent à séduire le jeune héros ; les tableaux voluptueux que ces Nymphes l
rmide paroît et triomphe. Une vapeur soporifique s’empare des sens du jeune guerrier. Les Nymphes le conduisent sur un lit de
t la vengeance ne respire plus que 1’amour. Elle va s’asseoir près du jeune héros ; elle 1’enchaîneavec des guirlandes et le
licité dont ils jouissent. Ces images séduisantes font sur le cœur du jeune guerrier l’impression la plus vive. Les tableaux
entreprise, lorsqu’une Nymphe sons la forme et la figure de Lucinde, jeune Danoise, tendrement aimée du chevalier, l’aborde
senté par l’Amour ; elle y admire les traits réfléchis de Renaud ; le jeune guerrier y cherche à son tour ceux de son amante 
interdit et confus. Ubalde lui présente le bouclier de diamants ; le jeune héros n’a pas plutôt jette les yeux sur ce miroir
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
la Thrace. On le vit jouant de sa Lyre et chantant les louanges de la jeune Duchesse. « Je pleurais, dit-il, sur le Mont Ape
fut terminée par la mort du Sanglier de Calydon, qu’ils offrirent au jeune duc, en exécutant des Ballets de Triomphe. Un spe
légère, qui portaient des plats couverts de ces superbes oiseaux. La jeune Hébé parut de l’autre, portant le Nectar qu’elle
iris, Judith, Porcie et Sulpicie les remplacèrent, en présentant à la jeune Princesse les palmes de la Pudeur, qu’elles avaie
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
e que j’en dis dans ma Pièce, Mais c’était, toutefois, sa Nièce, (Une jeune Seigneur me le dit) Qui parut au Ballet susdit, D
êmement, assez brunette, A toujours enchanté les yeux Des spectateurs jeunes et vieux ; Et, sans parler par complaisance, On l
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
in, mainte Personne illustre Parut, illec, dans tout son lustre. La jeune Reine mêmement, De la Cour le cher Ornement, De m
passer, dans toute croyance, Pour un des beaux Objets de France. La jeune Madame de Foix, Dont chacun dit, à haute voix, Qu
t le Monde habitable On ne voit rien de plus aimable. L’agréable et jeune Sully, Au visage frais et joli. L’incomparable
e toutes les grâces touchantes Qui rendent les Dames charmantes. La jeune Dame de Vibray, Laquelle, pour dire le vrai, Et b
aime, avec raison, Et d’illustre et bonne Maison. Grancé, belle et jeune Normande, Des plus aimables de sa bande, Et qui,
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
e vêtue de longues robes blanches commençait la marche. Deux rangs de jeunes garçons précédaient le cercueil qui était entouré
s garçons précédaient le cercueil qui était entouré par deux rangs de jeunes Vierges, ils portaient tous des couronnes et des
9 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
Ce sont des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes, où, au son de quelques instrumens ou d
sonnes, où, au son de quelques instrumens ou de quelques chansons, de jeunes garçons dansent avec de jeunes filles, et où, pen
ses sont des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes qui se réunissent pour se réjouir ensem
eule idée ne fait-elle pas envisager les plus grands dangers pour les jeunes garçons et les jeunes filles ainsi rassemblés dan
ance, la prière, la mortification et la pénitence ; et la plupart des jeunes garçons et des jeunes filles ne regardent-ils pas
her, c’est d’avoir voulu voir et être vue ; au lieu que la sûreté des jeunes personnes de l’autre sexe consiste à se tenir le
plis par des conversations et des manières d’agir très-libres que les jeunes personnes de différent sexe ont ensemble, et qui
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
s. Pylade supportait en homme ferme cette disgrâce. Hylas en jouit en jeune étourdi. Sans ménagement, sans pudeur, cabalant à
ait de représenter Agamemnon. Pour exprimer la grandeur de ce Roi, le jeune pantomime entre sur la scène avec un cothurne qui
l’Art, et prévenir désormais la fatuité des Artistes. L’insolence du jeune Pantomime ne fit pas attendre Auguste longtemps.
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
t nus, et celui qui conduisait la Danse, était couronné de palmes. De jeunes enfants les suivaient : ils imitaient leurs pas,
tendre et la danse commençait. C’était une espèce de branle44 que ces jeunes Spartiates exécutaient vivement avec des pas lége
e retournaient aux temps marqués : ils pénétraient dans la troupe des jeunes danseuses ; et ils s’unissaient tous par de mutue
nses : celle des Vieillards commençant disait : Nous avons été jadis Jeunes , vaillants et hardis. Celle des hommes suivait ap
12 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
e que les cils des paupières étaient d’un bleu vert et très-longs. La jeune Nix plut à un jeune boulanger qui la suivit jusqu
aupières étaient d’un bleu vert et très-longs. La jeune Nix plut à un jeune boulanger qui la suivit jusqu’à la rivière, et vo
deux qualités qui peuvent après tout se confondre, avait fourni à la jeune danseuse un cadre heureux et digne de son talent.
ont les préparatifs de la fête. Demain Mattéo va se marier ; c’est un jeune pêcheur qui épouse Giannina, la plus jolie fille
; la mystérieuse Ondine, du fond de ses grottes humides, a reconnu le jeune Mattéo ; éprise de sa beauté, elle exerce sur lui
scination qui augmente sans cesse. Attiré par la force magnétique, le jeune pêcheur marche pas à pas vers les rochers qui bor
que ; elle eût suffi à la popularité d’une œuvre dramatique. Quand le jeune Mattéo rentre dans la chaumière habitée par Giann
béit, Térésa fait tourner son rouet, et la jeune fille arrête sur son jeune époux un regard plein de tendresse, quand la bise
s de corail, de nacre et de porphyre, se déploient en songe devant le jeune berger sicilien. Voici les cavernes profondes où
une critique à notre analyse, nous ne savons vraiment pas pourquoi le jeune Sicilien n’est pas descendu en personne dans ces
l’exposeront au triste sort des mortels. — « Voyez, manière ! dit la jeune Ondine, je consens à périr comme cette rose, à me
le qui, lorsque la danse reprend son essor, échappe à la poursuite du jeune pêcheur, à travers le labyrinthe animé de tous ce
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
Damet , vieux Berger uni à Lycénion. Daphnis , Berger. Philis , jeune Bergère. Troupe de Bergers Arcadiens. Troupe de
qu’elles courent et ne s’éloignent cependant qu’à pas lents. La plus jeune des trois Graces, moins craintive et plus curieus
au ; ni être à craindre, si c’est l’amour. On adopte cette idée ; les jeunes beautés se débarrassent de leurs guirlandes, elle
illant se trouve captif et cherche vainement à rompre ses liens ; les jeunes Arcadiennes à demi cachées, jouissent de son emba
res emües et attendries se reprochent leur cruauté et Thalie, la plus jeune d’entre elles, soutient que c’est une barbarie. A
pour n’en former qu’une seule avec la quelle il s’enchaîne aux trois jeunes Bergères qui en tiennent l’extrémité. Le fils de
le petit monstre soit mis à la porte. Cette résolution consterne les jeunes Arcadiennes et les pénetre de douleur. L’Amour té
s retour aux attraits du plaisir. Il transforme donc soudain Damet en jeune Berger et il opère le même prodige sur Lycénion ;
lement il se dissipe, et l’Amour voit les Graces. Ce ne sont plus les jeunes Arcadiennes, ce ne sont plus de simples Bergères,
et la joye et la reconnoissance se peignent dans leurs yeux. Philis, jeune insensible, qui paroissoit moins connoître le dés
nes, étoit celle qui avoit le plus de droit au prix de la beauté ; le jeune Daphnis, aussi beau et aussi timide que Philis ét
elle se méconnoît dans les uns, elle se retrouve dans les autres ; le jeune Daphnis caché derrière un buisson de fleurs obser
14 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
. Paris, le … Mon cher Flaminien, vous recevrez au premier jour le jeune architecte que je vous expédie. Si je vous parle
es sur une feuille à part avec le relevé des travaux exécutés par mon jeune architecte dans ces derniers temps et qui sont se
n compagnon et un ami. » Je reconnais bien là la bonté candide de vos jeunes années, et je sais assez la bienveillante douceur
tre caractère pour être certain que vous tiendrez parole. Mais si mon jeune architecte a tout profit à recueillir de vos géné
15 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
iancée du jeune homme, fraîche et parée, qui vient dire bonjour à son jeune cousin. Ce jour, en effet, est un grand jour : Ja
ain vous aurez une main vivante, non pas une ombre. Ainsi se parle le jeune Écossais à lui-même ; et le voilà, en effet, très
âlit, le jeune homme le plus hardi veut en vain cacher sa pâleur ; la jeune mère, d’un geste convulsif, presse son enfant sur
mie acharnée de la beauté, de la jeunesse. La sorcière n’a jamais été jeune , elle est née à soixante ans, l’âge des femmes de
nt. Elle est la première qui ait dit à la pauvre Effie : « James, ton jeune fiancé, ne t’aime pas. » Puis elle est partie lai
ne t’aime pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cruel dans ce jeune cœur. Gurn le butor, le jaloux, l’autre amoureux
ant l’heure approche, il faut marcher à l’autel, il faut donner, à la jeune Effie, l’anneau du mariage. C’est alors, il est t
en une moralité cachée, c’est un enseignement qui pourra profiter aux jeunes coquettes de vingt ans. Hélas ! en effet que de j
a profiter aux jeunes coquettes de vingt ans. Hélas ! en effet que de jeunes cœurs ont été perdus pour moins que cela… une éch
de la cornemuse, Gurn triomphant, conduit à la chapelle du village la jeune Effie déjà consolée. Pauvre James ! et pourtant q
écit de ces austérités chrétiennes, se mettait à saluer, d’un sourire jeune encore, la danse de Marie Taglioni, et ce nom-là,
16 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114
une remarque et un conseil que je crois pouvoir être fort utiles aux jeunes élèves, qui ayant déjà mis en usage les principes
pour hâter les progrès dans la composition de la danse, pourquoi nos jeunes élèves ne suivraient-ils pas l’exemple de Dupré ?
travail serait infiniment utile et servirait à développer le génie du jeune danseur. Ses premières compositions manqueraient,
ussi elle dansait comme un ange (a). Il n’y a que trois ans que cette jeune artiste n’est plus. (a) Le Josepin disait : nous
17 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
Nymphes jouent avec l’Amour. Le Petit Dieu veut se venger de la plus jeune d’entre elles ; il lui donne un baiser ; celle-ci
de l’enfant ailé ; elles l’enchaînent à un arbre avec des fleurs. La jeune Nymphe qui s’est emparée de son arc et de ses flé
t blesser, mais ne veut point l’être ; il brise ses liens, appelle de jeunes Faunes soumis à ses loix, leur ordonne de le veng
18 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIII. De la maniere dont les Demoiselles doivent marcher, & celle de se bien presenter. » pp. 38-41
çoit pas de ces défauts ; mais pour s’en désabuser, sur tout pour les jeunes personnes qui se négligent, je ne veux que leur p
illerai pas pour ne point être prolixe. Je souhaite seulement que les jeunes Demoiselles fassent attention à la methode facile
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
s couleurs mélangées, devaient donc frapper plus particulièrement les jeunes esprits et leur donner à penser que l’être, qui é
voir jouer en matinée, la semaine prochaine. Notre troisième, le plus jeune , est un petit garçon que vous n’avez jamais vu. I
regard que je semblais hypnotiser. A l’issue de la représentation, la jeune femme, que je connaissais particulièrement, dit à
sujet, et m’écrivit pour me demander s’il pouvait m’amener sa fille, jeune personne de six ans. J’avais si bien réussi à me
détrompai point ma petite admiratrice. Aujourd’hui, c’est une belle jeune femme ; mais c’est toujours pour moi une bonne et
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
i, dès sa plus tendre enfance, Charmait toute la Cour de France. La jeune Princesse d’Elbeuf, Pour qui, feu Monsieur de Bré
Et dont la prudence et pudeur, Sont partout en très bonne odeur. La jeune Dame de Vivonne, Excellente et sage personne, Que
cunes Filles, d’autres Femmes, L’aimable et charmante Sully, Au teint jeune , frais et poli ; Et Sévigny, dont le visage Charm
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
certaines Lois de Lacédémone. Lycurgue ordonna par une Loi que les jeunes Spartiates fussent exercés dès l’âge de sept ans
vait-on pas attendre de cette foule de guerriers, qui, dès leurs plus jeunes ans, étaient familiarisés avec les armes ? Ils co
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
n ce Ballet galant dansèrent, Et, des mieux, le Roi secondèrent. Cinq jeunes et rare beautés, Sources de feux et de clartés, D
rs les mêmes traits, Autrement, les mêmes attraits, Elle est toujours jeune et brillante, Elle est, même, encore vivante : Ma
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
ort plus qu’humain, Sous un Accoutrement Romain. Cet autre aimable et jeune Altesse, Savoir Madame la DUCHESSE, De Palatine E
-on, D’un chacun dessus sa Personne, Aussi brillante que pouponne. Un jeune AVOCAT la suivait,89 Que fort versé l’on tient a
24 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
sur les opérations de l’esprit. Voyez se présenter dans un cercle une jeune personne embarrassée dans sa marche et dans ses g
s que tant de maîtres ineptes font de si mauvais écoliers. Combien de jeunes personnes se rendent singulièrement ridicules par
certains individus sont infiniment intéressants ; qu’on se peigne une jeune personne d’un tempérament faible, dont l’éducatio
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
Et qui, dès l’âge de douze ans, Ravissait Cour et Courtisans. Deux jeunes Sœurs belles et sages, Qui charment tout par leur
e, Qu’en son visage triomphant On voit encore un teint d’enfant. La jeune Comtesse de Guiche, Douce, agréable, belle et ric
ra, Un grand Trésor possédera. Mortemar, qu’on tient sans pareille, Jeune et ravissante à merveille, De prudence, d’honnête
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »
rôle ou telle variation. Et l’on pourrait, en matinée, distribuer aux jeunes qui promettent des rôles dépassant leur emploi ;
t à M. Aveline de travailler avec le même succès à la formation d’une jeune élite, et à M. Ricaux de poursuivre avec la même
27 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ur. Elles étaient d’un caractère vif et gai. Les jeunes filles et les jeunes garçons les exécutaient avec une couronne de chên
rs de cette danse qu’ils sauvèrent de la barbarie du vieux Saturne le jeune Jupiter, dont l’éducation leur avait été confiée.
vêtue de longues robes blanches commençait la marche ; deux rangs de jeunes garçons précédaient le cercueil, qui était entour
garçons précédaient le cercueil, qui était entouré par deux rangs de jeunes vierges. Ils portaient tous des couronnes et des
se des Lacédémoniens. Lycurgue, par une loi expresse, ordonna que les jeunes Spartiates dès l’âge de sept ans commenceraient à
vigoureux, et d’une contenance fière, menait la danse ; une troupe de jeunes garçons le suivait, se modelait sur ses attitudes
ient ainsi l’union et l’harmonie de la tempérance et de la force. Les jeunes garçons doublaient les pas qu’ils faisaient dans
s. (B) Danse de l’Hymen Danse de l’Hymen. Une troupe légère de jeunes garçons et de jeunes filles couronnés de fleurs e
nt prouvée par ce que nous avons déjà dit de la danse armée. Ces deux jeunes héros s’y exercèrent sans doute avec un succès pl
en dansant. Quelle valeur ne devait-on pas attendre de cette foule de jeunes guerriers, accoutumés dès l’enfance à regarder co
mier jour de Mai. A Rome et dans toute l’Italie, plusieurs troupes de jeunes citoyens des deux sexes sortaient de la ville au
28 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
és. Scène I. La vue d’un mortel étonne les ombres heureuses : de jeunes amans morts d’amour quittent leurs berceaux de my
r penchant, par l’expression vraie qu’Orphée donne à ses accens ; Les jeunes ombres se rassemblent et forment des danses autou
ral qui exprime à la fois l’étonnement l’admiration et le bonheur. Le jeune enfant s’approche d’Orphée, lui dit un mot à l’or
Satyres et de Silvains le devance, et il est suivi par une troupe de jeunes Faunes : les Bacchantes, effrayées des regards de
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 24 août : « agréable ballet » de la Foire Saint-Laurent — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 août 1663 »
août 1663 […] Trois Enfants, de même famille, Deux fils, une fort jeune Fille, Y donnent un plaisir de Roi, Par de charma
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 27 août 1661 »
un Ballet gaillard et mignon, Dansé par maint bon Compagnon, Où cette jeune Demoiselle Qu’en surnom Giraud18 on appelle, Plût
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début mars : Mascarade — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, quatrième semaine, lettre du 3 mars 1667 »
le moins agréable ; Je souhaiterais, par ma foi, Pour l’amour de son jeune Roi, Que la chose fût véritable.
32 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
ballet italien. — L’antiquité ressuscitée. — Tanagra. — Éducation des jeunes danseuses. — La forêt, la gymnastique, l’hydrothé
pieds nus dans des sandales à jour. La figure était celle d’une jolie jeune femme aux traits distingués, au regard rêveur et
au Schutzmann, d’une voix frêle et caressante. Elle avait l’air d’une jeune sœur de cette admirable miss Booth, qui fonda l’a
école où elle reçoit gratuitement, héberge, habille, instruit, vingt jeunes enfants allemands, hollandais, russes, français,
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 11 avril 1671 »
our qui je m’escrime des Doigts, Mardi, pour la seconde fois, Avec sa jeune , et belle Infante, Déjà si vive, et si brillante 
34 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 février. Les périls du music-hall. »
ter la rivalité formidable des attractions ? On vient d’applaudir une jeune femme en maillot pailleté qui, suspendue au trapè
spaña » ! C’est encore à l’Olympia que j’ai vu Mme Yurieva. C’est une jeune femme grande et belle qui exécuta le fameux adage
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
einte logique du tueur de cygnes. Ainsi le talent de Taïroff et de sa jeune compagnie, n’a sur la place de Paris ni cours ni
oulez attribuer à ce mot son ampleur antique. Ils la dansent comme le jeune Sophocle dansa les Perses, d’Eschyle ; comme l’of
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
e Etoiles dansantes ; Quinze Fillettes ravissantes, Dont, certes, les jeunes appâts, La gaie humeur et les beaux pas, Les grâc
r qui l’on jeta mainte œillade. Certes, ces naissantes Beautés, Ces jeunes sources de clartés, Ou, pour le moins, plusieurs
37 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
i a obtenu une vogue connue et méritée. — Le programme en est dû à un jeune littérateur, Edmond Burat de Gurgy, enlevé à la f
ard de bonne mine, taillé tout exprès pour la galanterie, un cavalier jeune , gai, spirituel et hardi plus que pas un, il n’a
deux à sa poursuite et lui proposent de concert un souper fin que le jeune étourdi trouve piquant d’accepter. — Au dessert,
e fort en vogue à Madrid, et cette autre enfin la señora Dorotea, une jeune et riche veuve. — Cléofas les trouve toutes égale
rant celle-ci à part, lui conseille de n’aimer et de n’épouser que le jeune inconnu qui lui a pris au bal un nœud de ruban, e
elle s’éloigne en faisant à l’écolier des signes d’intelligence. — Le jeune Zambulo est au comble de la joie ; il appelle Asm
l’avons dit à propos du Barbier de Séville, il est impossible qu’une jeune Espagnole, entendant au bas de son balcon résonne
lez bien, mesurer nos épées. » Celui qui s’exprime de la sorte est un jeune officier que Cléofas a parfaitement le droit de n
uve. Celle-ci, désirant se consulter avant de faire un choix, prie la jeune marchande de laisser là ses échantillons et de re
que au malheureux Zambulo. — Celui-ci, piqué au vif, s’avance vers le jeune officier et lui rappelle le rendez-vous qu’ils on
ng, il achète à crédit, car les marchands ne peuvent s’imaginer qu’un jeune seigneur si galamment troussé n’ait pas un maravé
38 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
mer un danseur, examinera premièrement si la construction physique du jeune élève est disposée pour l’exercice de la danse72,
e, l’un des meilleurs maîtres de ballet. (b) Il est essentiel pour un jeune danseur de passer quelque temps à l’école de Pari
de huit ans est le plus propre aux premiers exercices du danseur ; le jeune élève comprendra facilement la démonstration ; et
39 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
. De ce burg est descendu, mais dans des intentions moins féroces, le jeune comte Albrecht, garçon de bel air et de bonne min
e d’hymen. Albrecht l’a senti ; aussi a-t-il emprunté le costume d’un jeune vendangeur, et n’a-t-il gardé de sa condition que
nser ; aussi l’aime-t-elle de toute la force de son cher cœur. Quelle jeune Allemande ne serait pas éprise d’un gaillard bien
i. Hilarion, a découvert que Loys n’était pas un paysan, mais bien un jeune burgrave de haute et noble lignée, fiancé à la pr
planchettes, immobile, toute droite. D’ailleurs, quand on est jolie, jeune , amoureuse, est-ce qu’on croit à la mort ! Hallal
d’opale, ne rappelle-t-elle pas par sa blancheur transparente quelque jeune Allemande morte de consomption en lisant les œuvr
 ! La cérémonie terminée, on veut apprendre la valse fantastique à la jeune récipiendaire. Ne vous donnez pas tant de mal, el
n des pas et dans l’agencement des groupes qu’il est toujours le plus jeune de nos chorégraphes.
40 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
ybas. Personnages. Euthyme , amant d’Eucharis. Eucharis , jeune personne qui doit être immolée aux mânes de Lybas
e la scène, un autel. Le jour étant arrivé, où l’on doit immoler une jeune Témessienne, aux mânes de Lybas, tout est préparé
t est préparé pour ce cruel sacrifice. Déjà l’on conduit à l’autel la jeune Eucharis : le sort fatal l’a choisie pour être vi
racle inattendu, le temple élevé à Lybas et l’autel s’écroulent ; les jeunes Témessiennes ne craignent plus pour leurs jours ;
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 11 août : Le Ballet de l’Innocence accompagnant la tragédie de collège Andronicus Martyr — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 13 août 1667 »
Dont notre GRAND PORTE-COURONNE, Une fois tous les ans, guerdonne Les jeunes Cicérons, qui sont les mieux appris. Cela fut pré
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
, De Lalun, Dolivet et Renel. 5. La Troupe Royale. 6. Stilicon, du jeune Mr de Corneille.
43 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
es tout, aussi volumineux, mais non pas si laids ; ils servoient à de jeunes acteurs, qui avoient une voix douce et agréable ;
le Rome, semble à cet égard s’être modelée sur l’ancienne. Ce sont de jeunes imparfaits, qui chantent les rôles de femmes, et
Ce sont de jeunes imparfaits, qui chantent les rôles de femmes, et de jeunes garçons qui remplissent les fonctions de danseuse
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 5 mars 1661 »
oublia de mettre (Dont je lui sus fort mauvais gré) Des Vers pour la jeune Verpré, Et dont, sans flatter, on peut dire Qu’el
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
s Dont brillent les Indiens Bords. Son INFANTE, MADEMOISELLE, Cette jeune Grâce si belle, Ou cet Oriental Amour, L’accompag
46 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VIII. De la cinquiéme Position. » pp. 20-21
as des fausses positions, parce qu’elles m’ont paru inutiles pour les jeunes personnes qui apprennent, je laisse ce soin aux M
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
S, Poème si beau que rien plus, La dernière des Doctes Veiles Du plus jeune des deux CORNEILLES, Qui n’avait point encore par
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
t fort considérées, Mais, surtout une, des Plaisirs, Qui flattent les jeunes Désirs, Où paraissait leur Source même Dans le GR
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 août : Le Ballet des Destins accompagnant la tragédie de collège Jonathas — Lettres en vers de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 11 août 1669 »
miers Personnages Avec de très grands avantages. Dans la fleur de ses jeunes ans, Il a de si rares talents, Que chacun justeme
50 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
utes les espèces, escrime, prix distribués, joûtes, danses nobles des jeunes époux, danse comique et pantomime, ballet général
remonte en furieux pour porter du secours a son père et à sa mère. La jeune femme pâle, échevelée et mourante ne sait de quel
une homme ; ils trainent avec brutalité le vieillard et sa femme ; le jeune enfant vole à son père ; il lui montre sa mère qu
e Plaisir peut avoir de plus touchant. Ce spectacle varié enchante le jeune Héros, son coeur est troublé ; son âme est viveme
s atraits pour triompher : toutes ces peintures affectent vivement le jeune Héros ; son coeur indécis flotte entre la Gloire
e la décision d’Hercule. Que de situations différentes à peindre ! Le jeune Héros irrésolu sur son choix, flottant sans cesse
elle se méconnoit dans les uns ; elle se retrouve dans les autres. Le jeune Daphnis caché derrière un buisson de fleurs obser
paroissoit la dernière dans ce ballet d’ombres ; elle étoit unie à un jeune Prince portant en tête la couronne Archiducale ;
s, me dira-t-on. Eh bien ! Messieurs, ayez l’art de les embellir. Une jeune paysanne bien faite bien jolie, ayant de beaux ye
t étant soigneusement endimanchée n’est-elle pas charmante ? un pâtre jeune , beau, frais, vigoureux, gai, bien découplé, bien
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 septembre. Raden Mas Jodjana, danseur classique. »
on île, certaines fictions du mythe bouddhique. Il a été le tjantrie, jeune clerc, hésitant entre la contemplation et l’appel
oi tout ce bruit à propos d’un « moricaud » ? Pourquoi ? Parce que ce jeune féodal javanais est un danseur classique. Qu’est-
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
ôle De ce petit céleste Drôle : Et comme Homme fait, et formé, Par ce jeune Acteur, tant aimé, Qui par tout, le Baron se nomm
raît tout céleste, Et vaut que la Ville, et la Cour, Aille admirer ce jeune Amour. J’en voudrais dire davantage, Mais déjà,
53 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
igneurs de son Roïaume. Quelle émulation ne ressentoient pas tous les jeunes Courtisans, dans l’esperance d’être admis aux pla
p; Subligny qui se distinguoient, exciterent l’émulation de plusieurs jeunes Danseurs qui entrerent à l’Opera, on les emploïa
t quitté l’Opera, les amateurs de la Danse sentirent cette perte. Les jeunes Danseurs qui avoient des talents s’animerent d’un
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
Si les danses entre des personnes de différent sexe, et surtout de jeunes personnes, sont toujours pour le moins dangereuse
qui doit être dans les chrétiens, comme dans l’histoire du mariage du jeune Tobie avec Sara. Le Saint-Esprit dit expressément
évitable, qu’ils soient fortement excités à la volupté par la vue des jeunes personnes d’un autre sexe, au milieu desquelles i
ur fait avoir avec elles ? N’est-il pas également à craindre pour ces jeunes personnes d’un sexe foible et fragile, que l’espr
55 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
l’image de son vainqueur ; l’Amour sous la forme et sous la figure du jeune Ascagne, triomphe de tous ses efforts ; les tendr
ouble et cette agitation qui caractérisent l’excès de la passion ; le jeune Ascagne vole des bras de Didon dans ceux d’Enée :
s avec transport ; elle lui promet sa main, son cœur et son trône. Le jeune Ascagne, ou plutôt l’enfant de Cythère, s’amuse p
son action, le motif de son indifférence ; il dissimule son dépit. Le jeune Ascagne, pendant cette scène, s’est approché de c
56 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Danses de Mlle Svirskaya. »
à une statue égyptienne de la haute époque ou encore à ces admirables jeunes femmes américaines, qui viennent sur nos tréteaux
57 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
ée d’ajouter à sa pièce une scène où le docteur Quack hypnotisait une jeune veuve. L’hypnotisme était à ce moment très en vog
vent l’être en Angleterre. A table, je fus placée entre deux des plus jeunes officiers. Ils avaient de très longs cous et port
vaincre sa timidité et, du même coup, celle des deux autres. Mais mes jeunes officiers n’étaient timides qu’en présence des fe
is personne aux Indes. Mais tout à coup je me souvins du dîner et des jeunes officiers. J’admirai beaucoup mon joli cadeau, ma
renommée et que je vieillisse de vingt ans pour démontrer que j’étais jeune aujourd’hui. » N’y tenant plus, je dis ma pensée
58 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
leurée. Je savais déjà que M. de Sainte-Fauste a été le gouverneur du jeune duc. « M. de Sainte-Fauste, — c’est Champorel qui
Tu pouvais être calomniée ! cet enfant que tu prenais dans tes bras, jeune encore, — tu n’avais que trente ans, — on pouvait
, il faut vous en retourner au château, monsieur Odoard et emmener le jeune voyageur. C’est un enfant qui a besoin de repos e
s semble. Moi j’ai dormi, je ne suis pas fatigué ; d’ailleurs je suis jeune et très dur à la fatigue. Je vous donne ma parole
t de gravir la montagne. Quand le thé fut prêt, je pensai encore à ce jeune voyageur qui se morfondait dans sa voiture, et je
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
aissait au milieu de ses Rivales, avec les grâces et les désirs d’une jeune Odalisque qui a des desseins sur le cœur de son M
re les occasions de les bien placer : aussi est-ce moins à eux qu’aux jeunes Poètes qui voudront tenter à l’avenir la carrière
60 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
x voix et à résoudre une grande question ; il s’agissoit d’abattre un jeune chêne, planté par la nature. Il s’élevoit avec ma
ges se précipitent par toutes les ouvertures. On les eût pris pour de jeunes écoliers se disputant entre eux le prix du saut e
61 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
les, & quelquefois les amusemens des plus grands Princes. Notre jeune Monarque n’a pas dédaigné dans ses momens de lois
62 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »
aussi simple que fécond en jeux scéniques. C’est la folle équipée du jeune faune Styrax qui s’éprend de la danseuse Cydalise
sement burlesque prouve qu’il nous est né un corps de ballet masculin jeune , discipliné, vaillant. La leçon de flûte interrom
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
u Duc d’Orléans. Le Comte de Jouy et le Bâtard de Foix y périrent, le jeune Nantouillet ne se sauva qu’en se plongeant dans u
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Ressource unique des Danseurs modernes »
mables, agréables, utiles. Si j’étais donc chargé de la conduite d’un jeune Danseur en qui j’aurais aperçu de l’intelligence,
65 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
iques. Il est vrai que ce Traité auroit reçû plus de brillant d’une jeune plume, que de celle d’un Auteur presque octogenai
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
fon lit tourner la tête à tout Paris et renversa celle d’une foule de jeunes comédiens, qui adoptèrent ce genre bas et dégouta
le de jeunes comédiens, qui adoptèrent ce genre bas et dégoutant. Les jeunes auteurs à leur tour renoncèrent au bon goût, à la
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 octobre. Moa Mandu »
qu’on n’en fait plus. Mais faut-il en somme décourager à ce point une jeune artiste dont la bonne volonté et la conviction so
68 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
e. On jouait un ballet mythologique de circonstance : Réception d’une jeune nymphe à la cour de Terpsychore. L’Héberlé repré
plut par le contraste. Terpsychore et le ballet sombrèrent ; mais la jeune nymphe resta, et les applaudissements des spiritu
exécutait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ? demanda la jeune femme au général. — Madame, c’est la polka. — La
en sortit de nouveau pour surveiller l’éducation chorégraphique de la jeune Emma Livry et se consacrer entièrement à l’enseig
outre, on s’était beaucoup occupé d’une prétendue passion que la plus jeune des deux sœurs aurait inspirée au duc de Reichsta
plus de cinq ans, et déjà elle vivait et faisait vivre sa mère de son jeune talent. A la Scala, il y a deux corps de ballet :
vanouissaient à vue de nez. Il fallait, dit M. de Boigne, entendre la jeune femme raconter quelle vie de galères elle menait
l est vrai, rentré à l’Opéra ; mais à la suite et comme appoint de la jeune femme. On lui avait bien promis qu’on lui donnera
eoir sous les grands arbres séculaires de la place de Gand, comme une jeune femme qui viendrait de danser une contredanse dan
69 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
ont il était aimé, un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de la jeune reine. Il devait être en cette qualité, le guide
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
onies145 sur la scène du quatrième Acte des Horaces, dans laquelle le jeune Horace tue Camille. Un Danseur et une Danseuse re
71 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
ques auxquels j’aie jamais été mêlée. Le héros de l’aventure était un jeune journaliste parisien et boulevardier, du nom de P
fait à Paris. Ne ressemblait-il pas en cela, lui-même, après tout, ce jeune journaliste boulevardier, à la plupart de ses com
s. Mais un incident se produisit qui détermina le dégoût définitif du jeune reporter… et sa fuite. Un jour, en rentrant à Hol
e faut encore une fois parler de lui, avait fait la connaissance d’un jeune Roumain, qui semblait un parfait gentilhomme. Mor
72 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
parler jamais. Je vous ai caché le secret de ma vie, et si ma pauvre jeune compagne eût vécu, je ne vous l’aurais jamais rév
viez quitté presque à la veille de mon mariage. J’étais beaucoup trop jeune et trop écrasé par la volonté bénie de mon père p
lus malade que lui et de partir la première. Était-ce la peine d’être jeune , gentille et frétillante, comme disait papa, pour
ne fluctuation qui ôterait toute vue d’ensemble à mon travail ; votre jeune architecte me rendra donc grand service s’il marc
73 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
t ; les couleurs parlent, la toile respire. C’est la Danse en action. Jeunes talents qui entrez dans la carrière du Théâtre ;
74 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
eyrand, ou d’un couplet de Xavier, Duvert et Lausanne. Non ; pour les jeunes personnes qui aspirent à devenir les madones de l
tions. Enfin, l’abonné parvint à se faire écouter, et il déclara à la jeune danseuse qu’elle avait mal interprété ses paroles
75 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
ions. Il faut encore ajouter à tout cela les séductions d’une artiste jeune et belle, qui danse mieux et autrement que celles
Enfin Véron fut toujours à la chasse de cet oiseau rare : « l’artiste jeune et belle, qui danse mieux et autrement que celles
mpétuosité, l’admiration de Théophile Gautier. Mais Lise n’était plus jeune alors, et, malgré le général, il lui fallut prend
es dont quelques-uns promettaient beaucoup. Promesses décevantes ! La jeune garde, pas plus que la vieille, ne renfermait un
nfermait un sujet supérieur, capable de régénérer la danse. Parmi ces jeunes femmes qui eurent pour des raisons diverses une h
dame de compagnie. A Mlle Duvernay manquait, ainsi qu’à ses camarades jeunes ou vieilles du corps de ballet, ce qui fait les a
76 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ançais richement reliés. A quelques mois de là, Napoléon demanda à la jeune femme : — Eh bien ! avez-vous été contente de Fon
ublic d’une si singulière façon, que le public se met à rougir. Cette jeune personne prétend, du reste, comme la servante du
amis qui lui demandait si son hommage avait été accepté : Oui, cette jeune déité, Est tout le portrait de Lucrèce ; Elle en
sements unanimes accueillirent ces jeux de scène gais et comiques. La jeune danseuse avait ajouté au scenario un effet des pl
Quelques jours après cette aventure dont il avait eu connaissance, un jeune secrétaire d’ambassade, — gueux comme Job, — soup
du dentiste. La dent était dans la boîte !… — Malheureux ! s’écria la jeune femme, je vous avais demandé la dent du bas, et v
le enseignait les danses de caractère et le maintien à toute sorte de jeunes demoiselles des meilleures maisons. L’une de ces
ballet Et pour figurer avec elles. *** Au mois de novembre 1860, la jeune étoile créa le Papillon, — trois actes dont Offen
77 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
la Présidente ***, qui donnoit un bal au mariage de sa fille. Quatre jeunes Seigneurs de la Cour, après avoir soupé aux Bons-
rent à leurs épées, & criérent qu’on fermât les portes ; mais ces jeunes Seigneurs se doutant bien de ce qu’il en pourroit
dale De la fille de Minos : Jeux que sur l’airain docile Des armes du jeune Achille Traça le Dieu de Lemnos. Cette strophe
s les contre-danses, qui n’ont que le caprice pour tout principe. Les jeunes Seigneurs de la Cour ont encore établi des bals c
le De la fille de Minos :1 Jeux que sur l’airain docile Des armes du jeune Achille Traça le Dieu de Lemnos. *   Le Carnava
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
e Silo dansaient dans les champs, suivant l’ancien usage, lorsque les jeunes Garçons de la tribu de Benjamin, à qui on les ava
79 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
enthousiasme. Je n’ai point eu la présomption de vouloir initier les jeunes élèves dans les mystères qui ne s’apprennent que
80 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
mblée, Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille jeune , Fille brillante, Fille de mine ravissante, Et do
81 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
e de M. Sari. Si toutes ses compagnes lui ressemblaient, M. Harel (le jeune ) suffirait à conduire le théâtre. Des mauvaises l
la fondation des Délassements. Si cela est vrai, le théâtre est bien jeune ou elle est bien conservée. J’en connais beaucoup
82 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
nséquent celle qui ne souffre aucune contestation ; Oreste étoit fort jeune lorsqu’Agamemnon fut unanimement choisi pour chef
bientôt de deux objets qui lui sont odieux. Pendant cette scène, les jeunes Princesses, qui se sont arrêtées à l’une des croi
nsports du désespoir, puis elle revient aux pieds d’Agamemnon, que la jeune Iphise n’a point cessé d’arroser de ses larmes.
ettre. Electre la prend, mais en fixant ses regards sur les traits du jeune étranger, elle y reconnoît tous ceux de son frère
ps. Sa sœur et Pylade l’arrêtent. Scène vi. Dans ce moment, la jeune Iphise et les femmes accourent succéssivement ; e
nt point son bras, et qu’elle saura le punir de tous ses forfaits. La jeune Iphise, craignant tout des emportemens de sa sœur
83 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
oir, il y a une quinzaine d’années, au Grand-Théâtre de Boston : Une jeune danseuse, était en scène, très audacieuse, très a
es preuves d’énergie morale. A un moment de sa carrière, la gracieuse jeune femme s’était faite impresaria. Pendant son séjou
Madame Sangalli pleure, crie, appelle. La troupe anxieuse supplie son jeune général. Rita s’éloigne toujours. Alors, tout le
t du succès et de la prospérité de sa cadette. Celle-ci, dès son plus jeune âge, quoique chétive et maigrichonne, avait déjà
84 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
plus grande intimité, comme deux vraies sœurs. Gab est beaucoup plus jeune que moi et me porte une profonde affection. Souve
ngs yeux noirs qui semblent sommeiller. Quand elle marche, malgré son jeune âge, c’est d’un pas lent et allongé qui donne l’i
st un type à part. — Grande ? — Plutôt petite que grande. — Est-elle jeune  ? — Oui, je crois, mais je ne pourrais l’affirmer
85 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
dessus de tout ce qui avait paru avant lui)[,] je ne parle que de nos jeunes Danseurs qu’on croit sans doute fort inférieurs a
86 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 14 juillet. « La Maladetta ». »
osité réelle et, en outre, un sentiment vif du caractère ; aussi le «  jeune premier » de la pièce faisait à côté de lui assez
87 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
une figure se détacha en vigueur du reste de la foule : celle de mon jeune inconnu ! Qui était-il donc pour se trouver ainsi
lui déclarer, au prix d’un grand effort de volonté, qu’il était trop jeune pour que notre sentiment mutuel pût se perpétuer
88 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
on. C’est M. Sandrini qui a réglé les évolutions d’un corps de ballet jeune et actif que certains théâtres subventionnés ou m
C’est un succédané, si l’on veut ; mais ce n’est pas déplaisant. Une jeune Russe. Génia Nicolaeva, qui double Matray dans la
89 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
et délicate ; telles étoient les qualités rares qui distinguaient ce jeune danseur. Lany, qui étoit rentré à l’opéra, mais
ou composa pour Vestris et la Dlle. Théodore, un pas de Pâtre ; nôtre jeune Protée saisit avec autant de goût que l’intellige
90 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
et la promenade sont sacrifiées ; les Sultanes accourent ; mais Zélis jeune et belle, parconséquent capricieuse et jalouse, o
adeurs et leur suite : les femmes du Sérail précedent l’Em-pereur. La jeune Reine, Usbeck, Zélis et les Dervis l’accompagnent
91 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
eulement Susse ne suffit pas aux demandes, mais encore M. Barre, son jeune et spirituel auteur, refuse-t-il chaque jour des
e titre de Scribe et Mélesville ; la musique avait été commandée à un jeune prix de Rome, Montfort. Mais il fallut attendre l
e Fanny Elssler, et du même auteur, Barre fils. L’Artiste félicita le jeune sculpteur d’avoir su rendre le vol aérien de la s
à elle que revenait tout le mérite. Elle avait à jouer le rôle d’une jeune princesse chinoise, amoureuse d’un étudiant qui,
de Fanny continuait de tenter les peintres et les sculpteurs. Dantan jeune , qui s’était signalé par de nombreuses figurines
audeville. Dans d’autres tableaux paraissaient les comiques Lepeintre jeune , Arnal, Vernet et Odry. La salle était fort brill
se, on sent l’agilité, la brusque prestesse, les muscles d’acier d’un jeune athlète. Aussi, Mlle Elssler plaît-elle à tout le
ni. D’abord — avantage immense — elle est beaucoup plus belle et plus jeune  ; son profil pur et noble, la coupe élégante de s
onnel qui défrayait toutes les conversations, c’était l’histoire d’un jeune et séduisant gentilhomme italien, M. de Candia, q
Au mois de mai 1838 avait débuté à l’Opéra, dans un rôle modeste, une jeune Danoise, jolie, grande et svelte, Mlle Lucile Gra
te d’Auersperg, en littérature Anastasius Grün, opposaient l’Amérique jeune , forte et libre, aux peuples abâtardis du vieux c
92 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
ier. Prose morose. On doit être préoccupé à l’Académie de danse… La jeune Cydalise languit, s’étiole comme cette autre Cyda
93 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
’Orient, Les claires et pure Naïades, Les gaies et vertes Dryades, La jeune Flore et les Zéphirs, Les Amours, les Jeux, les P
94 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
de pauvreté, ils la méprisèrent. Alors plusieurs quadrilles de Femmes jeunes et belles parurent. La Vérité s’approcha d’elles
95 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
tres de cour, le met au-dessus des reproches. Son attitude envers les jeunes mérite notre admiration affectueuse. Il refuse de
96 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 février. Affaires courantes. »
ndra une, active l’allure même de la danse. Ce qui manque encore à la jeune étoile, c’est l’élan et, par suite, le parcours.
97 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
e voiture qui file à travers les avenues du Vésinet, conduite par une jeune femme habillée avec goût. Le cheval a du sang. Le
e coussinet surélevé, pour caresser du fouet la croupe de sa bête, la jeune femme a des mouvements, des attitudes qui restent
t, s’appliquer également à mademoiselle Bernay. Air : MUSE DES BOIS Jeunes amants, elle fuit votre hommage : Vieux soupirant
long qu’ils ne sont grands ; un nez, Pradier sculpsit ; des dents de jeune louve affamée. Elève du sieur Mathieu. Elle a com
ureusement nécessaire à l’Opéra. Mademoiselle Hayet Une toute jeune fillette. Son père était un chanteur applaudi. Sa
98 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
léguée est, qu’elles sont une école d’impureté, à cause du mélange de jeunes personnes de différent sexe, et à cause de tout c
occasion de tentation et de chute pour plusieurs, et surtout pour les jeunes personnes de l’un et de l’autre sexe qui s’y trou
99 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
ettres sont datées de 1672. Onze ans auparavant, — en mars 1661, — le jeune prince s’était déjà exprimé ainsi dans de premièr
la fière quand elle venait manger chez nous ! Et étonnez-vous que ces jeunes personnes aient hâte de casser leur patin ! Il y
100 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
elle à Vienne, où elle débuta le 10 juin 1822 dans la Réception d’une jeune nymphe à la cour de Terpsichore. Le titre était r
és à faire valoir un style original. Dans le vieux cadre classique la jeune artiste plaçait des figures d’une libre fantaisie
dans ce pays que les romans de Walter Scott avaient mis à la mode. Un jeune villageois, James Reuben, doit épouser la belle E
uillard se dissipe. Dans un riant paysage, la sylphide arrive avec le jeune paysan. Des nymphes voltigent autour de lui. Jame
ayadères, qui avait la réputation de ne pas être un spectacle pour de jeunes princesses. Il leur permit d’y assister le jour o
nèrent de la célébrité en 1835, Théodore Mundt, un des lutteurs de la jeune Allemagne, loua la danse moralisatrice de Marie T
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