Ballet anacréontique. Personnages. Hyménée . Cryséïs .
Jeunes
Athéniennes . L’Amour, sans attributs, et sous l
rs, et la gaucho des bosquets délicieux. Scène I. Une troupe de
jeunes
Athéniennes se rassemblent sur le bord de la mer,
nt et jettent, par leur approche imprévue, l’épouvante dans l’âme des
jeunes
Athéniennes. Scène II. Les Corsaires débarq
ent aux premiers une aussi belle capture ; le combat s’engage, et les
jeunes
Athéniennes deviennent le jouet de ces barbares :
gient avec leur capture dans une grotte pratiquée par la nature ; les
jeunes
Athéniennes s’abritent sous les arbres des bosque
r, et les Corsaires yvres et fatigués s’endorment. Scène IV. Un
jeune
enfant effrayé et mouillé par l’orage, court avec
l’orage, court avec précipitation ; il cherche un azile au milieu des
jeunes
Athéniennes ; Cryséïs le reçoit dans ses bras ; i
et peint sa situation ; il tremble de froid, pleure, et intéresse ces
jeunes
beautés ; il vole des bras des unes dans ceux des
son sein, l’embrasse et partage ses tendres caresses entre elle et le
jeune
Hyménée. Celui-ci, animé tout-à-coup par un nouve
ée. Celui-ci, animé tout-à-coup par un nouveau sentiment, propose aux
jeunes
Athéniennes de briser leurs chaînes et d’immoler
d’Hyménée et de la belle Cryséïs, en les unissant l’un à l’autre. Les
jeunes
Athéniennes désarment et enchaînent leurs ravisse
anime son bras. Les Athéniennes libres cherchent avec empressement le
jeune
enfant, qui, pendant cette action, s’étoit caché
leur libérateur. Il part. Pendant son absence, l’Amour joue avec les
jeunes
Athéniennes. Elles se disputent une rose qu’il ti
main de Cryséïs et l’attache à son sein. Il conduit en folâtrant les
jeunes
Athéniennes au bord de la mer. A l’aspect de ce D
s’y placer. Dans cet instant, Hyménée de retour, paroît non comme une
jeune
Athénienne, mais comme un jeune homme aussi beau
le temple de l’Amour. Le peuple attend avec impatience l’arrivée des
jeunes
Athéniennes. A la vue du magnifique vaisseau qui
mères ; celle-ci retrouve son frère ; celle-là embrasse sa sœur ; le
jeune
Hyménée est entouré par ses amis. Cette scène off
e ballet porte sur deux faits historiques ; le premier est celui d’un
jeune
Officier Anglais, qui ayant séduit la fille d’un
de l’Abbé Raynal. PERSONNAGES. Belton, Officier Anglais. Eliza,
jeune
Indienne, enlevée à sa famille par Belton. Zoraï
e Négresses travaillent(1). Scène ii. Pendant cette action, un
jeune
Officier Anglais nommé Belton paroît inquiet et p
ais nommé Belton paroît inquiet et préoccupé. Il est suivi par Eliza,
jeune
femme Indienne d’une rare beauté. Ses vives cares
e apparence, qui arrive le long de la côte. C’est Zoraïm, frère de la
jeune
Indienne, amante de Belton. Il parcourt la scène
ordonne de le quitter et de le suivre à l’instant. Scène v. La
jeune
femme fait ses efforts pour l’appaiser ; elle cou
vers ses actions ; enfin on apperçoit à l’étonnement douloureux de la
jeune
femme, qu’il lui déclare qu’il faut se séparer. T
Anglois ; il en instruit ses confrères ; tous reculent d’horreur. La
jeune
femme est bientôt instruite par leurs propos du p
le ; l’un d’eux tire une bourse et la donne à Belton, qui s’en va. La
jeune
Indienne veut courir ; elle tombe évanouie entre
s leur apprennent ce dont il s’agit ; ils ajoutent qu’ils ont payé la
jeune
femme pour la soustraire à la violence de Belton
reparoît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à genoux ; la
jeune
femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer
noux vers ce père irrité ; sollicite son pardon ou la mort ; les deux
jeunes
enfans accourent ; ils joignent leurs prières et
fête de Cérès, de laquelle les Lois avaient exclu tous les hommes, le
jeune
Hymen, (car c’est ainsi qu’il se nommait) instrui
et s’endorment enfin noyés de vin et accablés de lassitude. Alors le
jeune
Hymen propose à ses Compagnes d’égorger leurs Rav
s rassure. Il parle, il presse, il persuade. Il saisit une épée ; ses
jeunes
compagnes s’arment à son exemple : il donne le si
spérance et de joie, succède à la tristesse. On entoure en tumulte le
jeune
Hymen. Il demande du silence. Toutes les bouches
de ce moment. Il se découvre, se nomme, et demande pour récompense la
jeune
Athénienne qu’il aime. Un applaudissement univers
ent profondément gravés dans le souvenir des Athéniens. Ils firent du
jeune
Hymen un Dieu, qu’ils invoquèrent dans leurs Mari
résolution de s’en venger : elle attira par les charmes de son art le
jeune
guerrier sur les bords de l’Oronte ; Renaud s’y a
ent ; les Nymphes s’en échappent, et toutes s’empressent à séduire le
jeune
héros ; les tableaux voluptueux que ces Nymphes l
rmide paroît et triomphe. Une vapeur soporifique s’empare des sens du
jeune
guerrier. Les Nymphes le conduisent sur un lit de
t la vengeance ne respire plus que 1’amour. Elle va s’asseoir près du
jeune
héros ; elle 1’enchaîneavec des guirlandes et le
licité dont ils jouissent. Ces images séduisantes font sur le cœur du
jeune
guerrier l’impression la plus vive. Les tableaux
entreprise, lorsqu’une Nymphe sons la forme et la figure de Lucinde,
jeune
Danoise, tendrement aimée du chevalier, l’aborde
senté par l’Amour ; elle y admire les traits réfléchis de Renaud ; le
jeune
guerrier y cherche à son tour ceux de son amante
interdit et confus. Ubalde lui présente le bouclier de diamants ; le
jeune
héros n’a pas plutôt jette les yeux sur ce miroir
la Thrace. On le vit jouant de sa Lyre et chantant les louanges de la
jeune
Duchesse. « Je pleurais, dit-il, sur le Mont Ape
fut terminée par la mort du Sanglier de Calydon, qu’ils offrirent au
jeune
duc, en exécutant des Ballets de Triomphe. Un spe
légère, qui portaient des plats couverts de ces superbes oiseaux. La
jeune
Hébé parut de l’autre, portant le Nectar qu’elle
iris, Judith, Porcie et Sulpicie les remplacèrent, en présentant à la
jeune
Princesse les palmes de la Pudeur, qu’elles avaie
e que j’en dis dans ma Pièce, Mais c’était, toutefois, sa Nièce, (Une
jeune
Seigneur me le dit) Qui parut au Ballet susdit, D
êmement, assez brunette, A toujours enchanté les yeux Des spectateurs
jeunes
et vieux ; Et, sans parler par complaisance, On l
in, mainte Personne illustre Parut, illec, dans tout son lustre. La
jeune
Reine mêmement, De la Cour le cher Ornement, De m
passer, dans toute croyance, Pour un des beaux Objets de France. La
jeune
Madame de Foix, Dont chacun dit, à haute voix, Qu
t le Monde habitable On ne voit rien de plus aimable. L’agréable et
jeune
Sully, Au visage frais et joli. L’incomparable
e toutes les grâces touchantes Qui rendent les Dames charmantes. La
jeune
Dame de Vibray, Laquelle, pour dire le vrai, Et b
aime, avec raison, Et d’illustre et bonne Maison. Grancé, belle et
jeune
Normande, Des plus aimables de sa bande, Et qui,
e vêtue de longues robes blanches commençait la marche. Deux rangs de
jeunes
garçons précédaient le cercueil qui était entouré
s garçons précédaient le cercueil qui était entouré par deux rangs de
jeunes
Vierges, ils portaient tous des couronnes et des
Ce sont des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de
jeunes
personnes, où, au son de quelques instrumens ou d
sonnes, où, au son de quelques instrumens ou de quelques chansons, de
jeunes
garçons dansent avec de jeunes filles, et où, pen
ses sont des assemblées de personnes de différent sexe, et surtout de
jeunes
personnes qui se réunissent pour se réjouir ensem
eule idée ne fait-elle pas envisager les plus grands dangers pour les
jeunes
garçons et les jeunes filles ainsi rassemblés dan
ance, la prière, la mortification et la pénitence ; et la plupart des
jeunes
garçons et des jeunes filles ne regardent-ils pas
her, c’est d’avoir voulu voir et être vue ; au lieu que la sûreté des
jeunes
personnes de l’autre sexe consiste à se tenir le
plis par des conversations et des manières d’agir très-libres que les
jeunes
personnes de différent sexe ont ensemble, et qui
s. Pylade supportait en homme ferme cette disgrâce. Hylas en jouit en
jeune
étourdi. Sans ménagement, sans pudeur, cabalant à
ait de représenter Agamemnon. Pour exprimer la grandeur de ce Roi, le
jeune
pantomime entre sur la scène avec un cothurne qui
l’Art, et prévenir désormais la fatuité des Artistes. L’insolence du
jeune
Pantomime ne fit pas attendre Auguste longtemps.
t nus, et celui qui conduisait la Danse, était couronné de palmes. De
jeunes
enfants les suivaient : ils imitaient leurs pas,
tendre et la danse commençait. C’était une espèce de branle44 que ces
jeunes
Spartiates exécutaient vivement avec des pas lége
e retournaient aux temps marqués : ils pénétraient dans la troupe des
jeunes
danseuses ; et ils s’unissaient tous par de mutue
nses : celle des Vieillards commençant disait : Nous avons été jadis
Jeunes
, vaillants et hardis. Celle des hommes suivait ap
e que les cils des paupières étaient d’un bleu vert et très-longs. La
jeune
Nix plut à un jeune boulanger qui la suivit jusqu
aupières étaient d’un bleu vert et très-longs. La jeune Nix plut à un
jeune
boulanger qui la suivit jusqu’à la rivière, et vo
deux qualités qui peuvent après tout se confondre, avait fourni à la
jeune
danseuse un cadre heureux et digne de son talent.
ont les préparatifs de la fête. Demain Mattéo va se marier ; c’est un
jeune
pêcheur qui épouse Giannina, la plus jolie fille
; la mystérieuse Ondine, du fond de ses grottes humides, a reconnu le
jeune
Mattéo ; éprise de sa beauté, elle exerce sur lui
scination qui augmente sans cesse. Attiré par la force magnétique, le
jeune
pêcheur marche pas à pas vers les rochers qui bor
que ; elle eût suffi à la popularité d’une œuvre dramatique. Quand le
jeune
Mattéo rentre dans la chaumière habitée par Giann
béit, Térésa fait tourner son rouet, et la jeune fille arrête sur son
jeune
époux un regard plein de tendresse, quand la bise
s de corail, de nacre et de porphyre, se déploient en songe devant le
jeune
berger sicilien. Voici les cavernes profondes où
une critique à notre analyse, nous ne savons vraiment pas pourquoi le
jeune
Sicilien n’est pas descendu en personne dans ces
l’exposeront au triste sort des mortels. — « Voyez, manière ! dit la
jeune
Ondine, je consens à périr comme cette rose, à me
le qui, lorsque la danse reprend son essor, échappe à la poursuite du
jeune
pêcheur, à travers le labyrinthe animé de tous ce
Damet , vieux Berger uni à Lycénion. Daphnis , Berger. Philis ,
jeune
Bergère. Troupe de Bergers Arcadiens. Troupe de
qu’elles courent et ne s’éloignent cependant qu’à pas lents. La plus
jeune
des trois Graces, moins craintive et plus curieus
au ; ni être à craindre, si c’est l’amour. On adopte cette idée ; les
jeunes
beautés se débarrassent de leurs guirlandes, elle
illant se trouve captif et cherche vainement à rompre ses liens ; les
jeunes
Arcadiennes à demi cachées, jouissent de son emba
res emües et attendries se reprochent leur cruauté et Thalie, la plus
jeune
d’entre elles, soutient que c’est une barbarie. A
pour n’en former qu’une seule avec la quelle il s’enchaîne aux trois
jeunes
Bergères qui en tiennent l’extrémité. Le fils de
le petit monstre soit mis à la porte. Cette résolution consterne les
jeunes
Arcadiennes et les pénetre de douleur. L’Amour té
s retour aux attraits du plaisir. Il transforme donc soudain Damet en
jeune
Berger et il opère le même prodige sur Lycénion ;
lement il se dissipe, et l’Amour voit les Graces. Ce ne sont plus les
jeunes
Arcadiennes, ce ne sont plus de simples Bergères,
et la joye et la reconnoissance se peignent dans leurs yeux. Philis,
jeune
insensible, qui paroissoit moins connoître le dés
nes, étoit celle qui avoit le plus de droit au prix de la beauté ; le
jeune
Daphnis, aussi beau et aussi timide que Philis ét
elle se méconnoît dans les uns, elle se retrouve dans les autres ; le
jeune
Daphnis caché derrière un buisson de fleurs obser
. Paris, le … Mon cher Flaminien, vous recevrez au premier jour le
jeune
architecte que je vous expédie. Si je vous parle
es sur une feuille à part avec le relevé des travaux exécutés par mon
jeune
architecte dans ces derniers temps et qui sont se
n compagnon et un ami. » Je reconnais bien là la bonté candide de vos
jeunes
années, et je sais assez la bienveillante douceur
tre caractère pour être certain que vous tiendrez parole. Mais si mon
jeune
architecte a tout profit à recueillir de vos géné
iancée du jeune homme, fraîche et parée, qui vient dire bonjour à son
jeune
cousin. Ce jour, en effet, est un grand jour : Ja
ain vous aurez une main vivante, non pas une ombre. Ainsi se parle le
jeune
Écossais à lui-même ; et le voilà, en effet, très
âlit, le jeune homme le plus hardi veut en vain cacher sa pâleur ; la
jeune
mère, d’un geste convulsif, presse son enfant sur
mie acharnée de la beauté, de la jeunesse. La sorcière n’a jamais été
jeune
, elle est née à soixante ans, l’âge des femmes de
nt. Elle est la première qui ait dit à la pauvre Effie : « James, ton
jeune
fiancé, ne t’aime pas. » Puis elle est partie lai
ne t’aime pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cruel dans ce
jeune
cœur. Gurn le butor, le jaloux, l’autre amoureux
ant l’heure approche, il faut marcher à l’autel, il faut donner, à la
jeune
Effie, l’anneau du mariage. C’est alors, il est t
en une moralité cachée, c’est un enseignement qui pourra profiter aux
jeunes
coquettes de vingt ans. Hélas ! en effet que de j
a profiter aux jeunes coquettes de vingt ans. Hélas ! en effet que de
jeunes
cœurs ont été perdus pour moins que cela… une éch
de la cornemuse, Gurn triomphant, conduit à la chapelle du village la
jeune
Effie déjà consolée. Pauvre James ! et pourtant q
écit de ces austérités chrétiennes, se mettait à saluer, d’un sourire
jeune
encore, la danse de Marie Taglioni, et ce nom-là,
une remarque et un conseil que je crois pouvoir être fort utiles aux
jeunes
élèves, qui ayant déjà mis en usage les principes
pour hâter les progrès dans la composition de la danse, pourquoi nos
jeunes
élèves ne suivraient-ils pas l’exemple de Dupré ?
travail serait infiniment utile et servirait à développer le génie du
jeune
danseur. Ses premières compositions manqueraient,
ussi elle dansait comme un ange (a). Il n’y a que trois ans que cette
jeune
artiste n’est plus. (a) Le Josepin disait : nous
Nymphes jouent avec l’Amour. Le Petit Dieu veut se venger de la plus
jeune
d’entre elles ; il lui donne un baiser ; celle-ci
de l’enfant ailé ; elles l’enchaînent à un arbre avec des fleurs. La
jeune
Nymphe qui s’est emparée de son arc et de ses flé
t blesser, mais ne veut point l’être ; il brise ses liens, appelle de
jeunes
Faunes soumis à ses loix, leur ordonne de le veng
çoit pas de ces défauts ; mais pour s’en désabuser, sur tout pour les
jeunes
personnes qui se négligent, je ne veux que leur p
illerai pas pour ne point être prolixe. Je souhaite seulement que les
jeunes
Demoiselles fassent attention à la methode facile
s couleurs mélangées, devaient donc frapper plus particulièrement les
jeunes
esprits et leur donner à penser que l’être, qui é
voir jouer en matinée, la semaine prochaine. Notre troisième, le plus
jeune
, est un petit garçon que vous n’avez jamais vu. I
regard que je semblais hypnotiser. A l’issue de la représentation, la
jeune
femme, que je connaissais particulièrement, dit à
sujet, et m’écrivit pour me demander s’il pouvait m’amener sa fille,
jeune
personne de six ans. J’avais si bien réussi à me
détrompai point ma petite admiratrice. Aujourd’hui, c’est une belle
jeune
femme ; mais c’est toujours pour moi une bonne et
i, dès sa plus tendre enfance, Charmait toute la Cour de France. La
jeune
Princesse d’Elbeuf, Pour qui, feu Monsieur de Bré
Et dont la prudence et pudeur, Sont partout en très bonne odeur. La
jeune
Dame de Vivonne, Excellente et sage personne, Que
cunes Filles, d’autres Femmes, L’aimable et charmante Sully, Au teint
jeune
, frais et poli ; Et Sévigny, dont le visage Charm
certaines Lois de Lacédémone. Lycurgue ordonna par une Loi que les
jeunes
Spartiates fussent exercés dès l’âge de sept ans
vait-on pas attendre de cette foule de guerriers, qui, dès leurs plus
jeunes
ans, étaient familiarisés avec les armes ? Ils co
n ce Ballet galant dansèrent, Et, des mieux, le Roi secondèrent. Cinq
jeunes
et rare beautés, Sources de feux et de clartés, D
rs les mêmes traits, Autrement, les mêmes attraits, Elle est toujours
jeune
et brillante, Elle est, même, encore vivante : Ma
ort plus qu’humain, Sous un Accoutrement Romain. Cet autre aimable et
jeune
Altesse, Savoir Madame la DUCHESSE, De Palatine E
-on, D’un chacun dessus sa Personne, Aussi brillante que pouponne. Un
jeune
AVOCAT la suivait,89 Que fort versé l’on tient a
sur les opérations de l’esprit. Voyez se présenter dans un cercle une
jeune
personne embarrassée dans sa marche et dans ses g
s que tant de maîtres ineptes font de si mauvais écoliers. Combien de
jeunes
personnes se rendent singulièrement ridicules par
certains individus sont infiniment intéressants ; qu’on se peigne une
jeune
personne d’un tempérament faible, dont l’éducatio
Et qui, dès l’âge de douze ans, Ravissait Cour et Courtisans. Deux
jeunes
Sœurs belles et sages, Qui charment tout par leur
e, Qu’en son visage triomphant On voit encore un teint d’enfant. La
jeune
Comtesse de Guiche, Douce, agréable, belle et ric
ra, Un grand Trésor possédera. Mortemar, qu’on tient sans pareille,
Jeune
et ravissante à merveille, De prudence, d’honnête
rôle ou telle variation. Et l’on pourrait, en matinée, distribuer aux
jeunes
qui promettent des rôles dépassant leur emploi ;
t à M. Aveline de travailler avec le même succès à la formation d’une
jeune
élite, et à M. Ricaux de poursuivre avec la même
ur. Elles étaient d’un caractère vif et gai. Les jeunes filles et les
jeunes
garçons les exécutaient avec une couronne de chên
rs de cette danse qu’ils sauvèrent de la barbarie du vieux Saturne le
jeune
Jupiter, dont l’éducation leur avait été confiée.
vêtue de longues robes blanches commençait la marche ; deux rangs de
jeunes
garçons précédaient le cercueil, qui était entour
garçons précédaient le cercueil, qui était entouré par deux rangs de
jeunes
vierges. Ils portaient tous des couronnes et des
se des Lacédémoniens. Lycurgue, par une loi expresse, ordonna que les
jeunes
Spartiates dès l’âge de sept ans commenceraient à
vigoureux, et d’une contenance fière, menait la danse ; une troupe de
jeunes
garçons le suivait, se modelait sur ses attitudes
ient ainsi l’union et l’harmonie de la tempérance et de la force. Les
jeunes
garçons doublaient les pas qu’ils faisaient dans
s. (B) Danse de l’Hymen Danse de l’Hymen. Une troupe légère de
jeunes
garçons et de jeunes filles couronnés de fleurs e
nt prouvée par ce que nous avons déjà dit de la danse armée. Ces deux
jeunes
héros s’y exercèrent sans doute avec un succès pl
en dansant. Quelle valeur ne devait-on pas attendre de cette foule de
jeunes
guerriers, accoutumés dès l’enfance à regarder co
mier jour de Mai. A Rome et dans toute l’Italie, plusieurs troupes de
jeunes
citoyens des deux sexes sortaient de la ville au
és. Scène I. La vue d’un mortel étonne les ombres heureuses : de
jeunes
amans morts d’amour quittent leurs berceaux de my
r penchant, par l’expression vraie qu’Orphée donne à ses accens ; Les
jeunes
ombres se rassemblent et forment des danses autou
ral qui exprime à la fois l’étonnement l’admiration et le bonheur. Le
jeune
enfant s’approche d’Orphée, lui dit un mot à l’or
Satyres et de Silvains le devance, et il est suivi par une troupe de
jeunes
Faunes : les Bacchantes, effrayées des regards de
août 1663 […] Trois Enfants, de même famille, Deux fils, une fort
jeune
Fille, Y donnent un plaisir de Roi, Par de charma
un Ballet gaillard et mignon, Dansé par maint bon Compagnon, Où cette
jeune
Demoiselle Qu’en surnom Giraud18 on appelle, Plût
le moins agréable ; Je souhaiterais, par ma foi, Pour l’amour de son
jeune
Roi, Que la chose fût véritable.
ballet italien. — L’antiquité ressuscitée. — Tanagra. — Éducation des
jeunes
danseuses. — La forêt, la gymnastique, l’hydrothé
pieds nus dans des sandales à jour. La figure était celle d’une jolie
jeune
femme aux traits distingués, au regard rêveur et
au Schutzmann, d’une voix frêle et caressante. Elle avait l’air d’une
jeune
sœur de cette admirable miss Booth, qui fonda l’a
école où elle reçoit gratuitement, héberge, habille, instruit, vingt
jeunes
enfants allemands, hollandais, russes, français,
our qui je m’escrime des Doigts, Mardi, pour la seconde fois, Avec sa
jeune
, et belle Infante, Déjà si vive, et si brillante
ter la rivalité formidable des attractions ? On vient d’applaudir une
jeune
femme en maillot pailleté qui, suspendue au trapè
spaña » ! C’est encore à l’Olympia que j’ai vu Mme Yurieva. C’est une
jeune
femme grande et belle qui exécuta le fameux adage
einte logique du tueur de cygnes. Ainsi le talent de Taïroff et de sa
jeune
compagnie, n’a sur la place de Paris ni cours ni
oulez attribuer à ce mot son ampleur antique. Ils la dansent comme le
jeune
Sophocle dansa les Perses, d’Eschyle ; comme l’of
e Etoiles dansantes ; Quinze Fillettes ravissantes, Dont, certes, les
jeunes
appâts, La gaie humeur et les beaux pas, Les grâc
r qui l’on jeta mainte œillade. Certes, ces naissantes Beautés, Ces
jeunes
sources de clartés, Ou, pour le moins, plusieurs
i a obtenu une vogue connue et méritée. — Le programme en est dû à un
jeune
littérateur, Edmond Burat de Gurgy, enlevé à la f
ard de bonne mine, taillé tout exprès pour la galanterie, un cavalier
jeune
, gai, spirituel et hardi plus que pas un, il n’a
deux à sa poursuite et lui proposent de concert un souper fin que le
jeune
étourdi trouve piquant d’accepter. — Au dessert,
e fort en vogue à Madrid, et cette autre enfin la señora Dorotea, une
jeune
et riche veuve. — Cléofas les trouve toutes égale
rant celle-ci à part, lui conseille de n’aimer et de n’épouser que le
jeune
inconnu qui lui a pris au bal un nœud de ruban, e
elle s’éloigne en faisant à l’écolier des signes d’intelligence. — Le
jeune
Zambulo est au comble de la joie ; il appelle Asm
l’avons dit à propos du Barbier de Séville, il est impossible qu’une
jeune
Espagnole, entendant au bas de son balcon résonne
lez bien, mesurer nos épées. » Celui qui s’exprime de la sorte est un
jeune
officier que Cléofas a parfaitement le droit de n
uve. Celle-ci, désirant se consulter avant de faire un choix, prie la
jeune
marchande de laisser là ses échantillons et de re
que au malheureux Zambulo. — Celui-ci, piqué au vif, s’avance vers le
jeune
officier et lui rappelle le rendez-vous qu’ils on
ng, il achète à crédit, car les marchands ne peuvent s’imaginer qu’un
jeune
seigneur si galamment troussé n’ait pas un maravé
mer un danseur, examinera premièrement si la construction physique du
jeune
élève est disposée pour l’exercice de la danse72,
e, l’un des meilleurs maîtres de ballet. (b) Il est essentiel pour un
jeune
danseur de passer quelque temps à l’école de Pari
de huit ans est le plus propre aux premiers exercices du danseur ; le
jeune
élève comprendra facilement la démonstration ; et
. De ce burg est descendu, mais dans des intentions moins féroces, le
jeune
comte Albrecht, garçon de bel air et de bonne min
e d’hymen. Albrecht l’a senti ; aussi a-t-il emprunté le costume d’un
jeune
vendangeur, et n’a-t-il gardé de sa condition que
nser ; aussi l’aime-t-elle de toute la force de son cher cœur. Quelle
jeune
Allemande ne serait pas éprise d’un gaillard bien
i. Hilarion, a découvert que Loys n’était pas un paysan, mais bien un
jeune
burgrave de haute et noble lignée, fiancé à la pr
planchettes, immobile, toute droite. D’ailleurs, quand on est jolie,
jeune
, amoureuse, est-ce qu’on croit à la mort ! Hallal
d’opale, ne rappelle-t-elle pas par sa blancheur transparente quelque
jeune
Allemande morte de consomption en lisant les œuvr
! La cérémonie terminée, on veut apprendre la valse fantastique à la
jeune
récipiendaire. Ne vous donnez pas tant de mal, el
n des pas et dans l’agencement des groupes qu’il est toujours le plus
jeune
de nos chorégraphes.
ybas. Personnages. Euthyme , amant d’Eucharis. Eucharis ,
jeune
personne qui doit être immolée aux mânes de Lybas
e la scène, un autel. Le jour étant arrivé, où l’on doit immoler une
jeune
Témessienne, aux mânes de Lybas, tout est préparé
t est préparé pour ce cruel sacrifice. Déjà l’on conduit à l’autel la
jeune
Eucharis : le sort fatal l’a choisie pour être vi
racle inattendu, le temple élevé à Lybas et l’autel s’écroulent ; les
jeunes
Témessiennes ne craignent plus pour leurs jours ;
Dont notre GRAND PORTE-COURONNE, Une fois tous les ans, guerdonne Les
jeunes
Cicérons, qui sont les mieux appris. Cela fut pré
, De Lalun, Dolivet et Renel. 5. La Troupe Royale. 6. Stilicon, du
jeune
Mr de Corneille.
es tout, aussi volumineux, mais non pas si laids ; ils servoient à de
jeunes
acteurs, qui avoient une voix douce et agréable ;
le Rome, semble à cet égard s’être modelée sur l’ancienne. Ce sont de
jeunes
imparfaits, qui chantent les rôles de femmes, et
Ce sont de jeunes imparfaits, qui chantent les rôles de femmes, et de
jeunes
garçons qui remplissent les fonctions de danseuse
oublia de mettre (Dont je lui sus fort mauvais gré) Des Vers pour la
jeune
Verpré, Et dont, sans flatter, on peut dire Qu’el
s Dont brillent les Indiens Bords. Son INFANTE, MADEMOISELLE, Cette
jeune
Grâce si belle, Ou cet Oriental Amour, L’accompag
as des fausses positions, parce qu’elles m’ont paru inutiles pour les
jeunes
personnes qui apprennent, je laisse ce soin aux M
S, Poème si beau que rien plus, La dernière des Doctes Veiles Du plus
jeune
des deux CORNEILLES, Qui n’avait point encore par
t fort considérées, Mais, surtout une, des Plaisirs, Qui flattent les
jeunes
Désirs, Où paraissait leur Source même Dans le GR
miers Personnages Avec de très grands avantages. Dans la fleur de ses
jeunes
ans, Il a de si rares talents, Que chacun justeme
utes les espèces, escrime, prix distribués, joûtes, danses nobles des
jeunes
époux, danse comique et pantomime, ballet général
remonte en furieux pour porter du secours a son père et à sa mère. La
jeune
femme pâle, échevelée et mourante ne sait de quel
une homme ; ils trainent avec brutalité le vieillard et sa femme ; le
jeune
enfant vole à son père ; il lui montre sa mère qu
e Plaisir peut avoir de plus touchant. Ce spectacle varié enchante le
jeune
Héros, son coeur est troublé ; son âme est viveme
s atraits pour triompher : toutes ces peintures affectent vivement le
jeune
Héros ; son coeur indécis flotte entre la Gloire
e la décision d’Hercule. Que de situations différentes à peindre ! Le
jeune
Héros irrésolu sur son choix, flottant sans cesse
elle se méconnoit dans les uns ; elle se retrouve dans les autres. Le
jeune
Daphnis caché derrière un buisson de fleurs obser
paroissoit la dernière dans ce ballet d’ombres ; elle étoit unie à un
jeune
Prince portant en tête la couronne Archiducale ;
s, me dira-t-on. Eh bien ! Messieurs, ayez l’art de les embellir. Une
jeune
paysanne bien faite bien jolie, ayant de beaux ye
t étant soigneusement endimanchée n’est-elle pas charmante ? un pâtre
jeune
, beau, frais, vigoureux, gai, bien découplé, bien
on île, certaines fictions du mythe bouddhique. Il a été le tjantrie,
jeune
clerc, hésitant entre la contemplation et l’appel
oi tout ce bruit à propos d’un « moricaud » ? Pourquoi ? Parce que ce
jeune
féodal javanais est un danseur classique. Qu’est-
ôle De ce petit céleste Drôle : Et comme Homme fait, et formé, Par ce
jeune
Acteur, tant aimé, Qui par tout, le Baron se nomm
raît tout céleste, Et vaut que la Ville, et la Cour, Aille admirer ce
jeune
Amour. J’en voudrais dire davantage, Mais déjà,
igneurs de son Roïaume. Quelle émulation ne ressentoient pas tous les
jeunes
Courtisans, dans l’esperance d’être admis aux pla
p; Subligny qui se distinguoient, exciterent l’émulation de plusieurs
jeunes
Danseurs qui entrerent à l’Opera, on les emploïa
t quitté l’Opera, les amateurs de la Danse sentirent cette perte. Les
jeunes
Danseurs qui avoient des talents s’animerent d’un
Si les danses entre des personnes de différent sexe, et surtout de
jeunes
personnes, sont toujours pour le moins dangereuse
qui doit être dans les chrétiens, comme dans l’histoire du mariage du
jeune
Tobie avec Sara. Le Saint-Esprit dit expressément
évitable, qu’ils soient fortement excités à la volupté par la vue des
jeunes
personnes d’un autre sexe, au milieu desquelles i
ur fait avoir avec elles ? N’est-il pas également à craindre pour ces
jeunes
personnes d’un sexe foible et fragile, que l’espr
l’image de son vainqueur ; l’Amour sous la forme et sous la figure du
jeune
Ascagne, triomphe de tous ses efforts ; les tendr
ouble et cette agitation qui caractérisent l’excès de la passion ; le
jeune
Ascagne vole des bras de Didon dans ceux d’Enée :
s avec transport ; elle lui promet sa main, son cœur et son trône. Le
jeune
Ascagne, ou plutôt l’enfant de Cythère, s’amuse p
son action, le motif de son indifférence ; il dissimule son dépit. Le
jeune
Ascagne, pendant cette scène, s’est approché de c
à une statue égyptienne de la haute époque ou encore à ces admirables
jeunes
femmes américaines, qui viennent sur nos tréteaux
ée d’ajouter à sa pièce une scène où le docteur Quack hypnotisait une
jeune
veuve. L’hypnotisme était à ce moment très en vog
vent l’être en Angleterre. A table, je fus placée entre deux des plus
jeunes
officiers. Ils avaient de très longs cous et port
vaincre sa timidité et, du même coup, celle des deux autres. Mais mes
jeunes
officiers n’étaient timides qu’en présence des fe
is personne aux Indes. Mais tout à coup je me souvins du dîner et des
jeunes
officiers. J’admirai beaucoup mon joli cadeau, ma
renommée et que je vieillisse de vingt ans pour démontrer que j’étais
jeune
aujourd’hui. » N’y tenant plus, je dis ma pensée
leurée. Je savais déjà que M. de Sainte-Fauste a été le gouverneur du
jeune
duc. « M. de Sainte-Fauste, — c’est Champorel qui
Tu pouvais être calomniée ! cet enfant que tu prenais dans tes bras,
jeune
encore, — tu n’avais que trente ans, — on pouvait
, il faut vous en retourner au château, monsieur Odoard et emmener le
jeune
voyageur. C’est un enfant qui a besoin de repos e
s semble. Moi j’ai dormi, je ne suis pas fatigué ; d’ailleurs je suis
jeune
et très dur à la fatigue. Je vous donne ma parole
t de gravir la montagne. Quand le thé fut prêt, je pensai encore à ce
jeune
voyageur qui se morfondait dans sa voiture, et je
aissait au milieu de ses Rivales, avec les grâces et les désirs d’une
jeune
Odalisque qui a des desseins sur le cœur de son M
re les occasions de les bien placer : aussi est-ce moins à eux qu’aux
jeunes
Poètes qui voudront tenter à l’avenir la carrière
x voix et à résoudre une grande question ; il s’agissoit d’abattre un
jeune
chêne, planté par la nature. Il s’élevoit avec ma
ges se précipitent par toutes les ouvertures. On les eût pris pour de
jeunes
écoliers se disputant entre eux le prix du saut e
les, & quelquefois les amusemens des plus grands Princes. Notre
jeune
Monarque n’a pas dédaigné dans ses momens de lois
aussi simple que fécond en jeux scéniques. C’est la folle équipée du
jeune
faune Styrax qui s’éprend de la danseuse Cydalise
sement burlesque prouve qu’il nous est né un corps de ballet masculin
jeune
, discipliné, vaillant. La leçon de flûte interrom
u Duc d’Orléans. Le Comte de Jouy et le Bâtard de Foix y périrent, le
jeune
Nantouillet ne se sauva qu’en se plongeant dans u
mables, agréables, utiles. Si j’étais donc chargé de la conduite d’un
jeune
Danseur en qui j’aurais aperçu de l’intelligence,
iques. Il est vrai que ce Traité auroit reçû plus de brillant d’une
jeune
plume, que de celle d’un Auteur presque octogenai
fon lit tourner la tête à tout Paris et renversa celle d’une foule de
jeunes
comédiens, qui adoptèrent ce genre bas et dégouta
le de jeunes comédiens, qui adoptèrent ce genre bas et dégoutant. Les
jeunes
auteurs à leur tour renoncèrent au bon goût, à la
qu’on n’en fait plus. Mais faut-il en somme décourager à ce point une
jeune
artiste dont la bonne volonté et la conviction so
e. On jouait un ballet mythologique de circonstance : Réception d’une
jeune
nymphe à la cour de Terpsychore. L’Héberlé repré
plut par le contraste. Terpsychore et le ballet sombrèrent ; mais la
jeune
nymphe resta, et les applaudissements des spiritu
exécutait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ? demanda la
jeune
femme au général. — Madame, c’est la polka. — La
en sortit de nouveau pour surveiller l’éducation chorégraphique de la
jeune
Emma Livry et se consacrer entièrement à l’enseig
outre, on s’était beaucoup occupé d’une prétendue passion que la plus
jeune
des deux sœurs aurait inspirée au duc de Reichsta
plus de cinq ans, et déjà elle vivait et faisait vivre sa mère de son
jeune
talent. A la Scala, il y a deux corps de ballet :
vanouissaient à vue de nez. Il fallait, dit M. de Boigne, entendre la
jeune
femme raconter quelle vie de galères elle menait
l est vrai, rentré à l’Opéra ; mais à la suite et comme appoint de la
jeune
femme. On lui avait bien promis qu’on lui donnera
eoir sous les grands arbres séculaires de la place de Gand, comme une
jeune
femme qui viendrait de danser une contredanse dan
ont il était aimé, un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de la
jeune
reine. Il devait être en cette qualité, le guide
onies145 sur la scène du quatrième Acte des Horaces, dans laquelle le
jeune
Horace tue Camille. Un Danseur et une Danseuse re
ques auxquels j’aie jamais été mêlée. Le héros de l’aventure était un
jeune
journaliste parisien et boulevardier, du nom de P
fait à Paris. Ne ressemblait-il pas en cela, lui-même, après tout, ce
jeune
journaliste boulevardier, à la plupart de ses com
s. Mais un incident se produisit qui détermina le dégoût définitif du
jeune
reporter… et sa fuite. Un jour, en rentrant à Hol
e faut encore une fois parler de lui, avait fait la connaissance d’un
jeune
Roumain, qui semblait un parfait gentilhomme. Mor
parler jamais. Je vous ai caché le secret de ma vie, et si ma pauvre
jeune
compagne eût vécu, je ne vous l’aurais jamais rév
viez quitté presque à la veille de mon mariage. J’étais beaucoup trop
jeune
et trop écrasé par la volonté bénie de mon père p
lus malade que lui et de partir la première. Était-ce la peine d’être
jeune
, gentille et frétillante, comme disait papa, pour
ne fluctuation qui ôterait toute vue d’ensemble à mon travail ; votre
jeune
architecte me rendra donc grand service s’il marc
t ; les couleurs parlent, la toile respire. C’est la Danse en action.
Jeunes
talents qui entrez dans la carrière du Théâtre ;
eyrand, ou d’un couplet de Xavier, Duvert et Lausanne. Non ; pour les
jeunes
personnes qui aspirent à devenir les madones de l
tions. Enfin, l’abonné parvint à se faire écouter, et il déclara à la
jeune
danseuse qu’elle avait mal interprété ses paroles
ions. Il faut encore ajouter à tout cela les séductions d’une artiste
jeune
et belle, qui danse mieux et autrement que celles
Enfin Véron fut toujours à la chasse de cet oiseau rare : « l’artiste
jeune
et belle, qui danse mieux et autrement que celles
mpétuosité, l’admiration de Théophile Gautier. Mais Lise n’était plus
jeune
alors, et, malgré le général, il lui fallut prend
es dont quelques-uns promettaient beaucoup. Promesses décevantes ! La
jeune
garde, pas plus que la vieille, ne renfermait un
nfermait un sujet supérieur, capable de régénérer la danse. Parmi ces
jeunes
femmes qui eurent pour des raisons diverses une h
dame de compagnie. A Mlle Duvernay manquait, ainsi qu’à ses camarades
jeunes
ou vieilles du corps de ballet, ce qui fait les a
ançais richement reliés. A quelques mois de là, Napoléon demanda à la
jeune
femme : — Eh bien ! avez-vous été contente de Fon
ublic d’une si singulière façon, que le public se met à rougir. Cette
jeune
personne prétend, du reste, comme la servante du
amis qui lui demandait si son hommage avait été accepté : Oui, cette
jeune
déité, Est tout le portrait de Lucrèce ; Elle en
sements unanimes accueillirent ces jeux de scène gais et comiques. La
jeune
danseuse avait ajouté au scenario un effet des pl
Quelques jours après cette aventure dont il avait eu connaissance, un
jeune
secrétaire d’ambassade, — gueux comme Job, — soup
du dentiste. La dent était dans la boîte !… — Malheureux ! s’écria la
jeune
femme, je vous avais demandé la dent du bas, et v
le enseignait les danses de caractère et le maintien à toute sorte de
jeunes
demoiselles des meilleures maisons. L’une de ces
ballet Et pour figurer avec elles. *** Au mois de novembre 1860, la
jeune
étoile créa le Papillon, — trois actes dont Offen
la Présidente ***, qui donnoit un bal au mariage de sa fille. Quatre
jeunes
Seigneurs de la Cour, après avoir soupé aux Bons-
rent à leurs épées, & criérent qu’on fermât les portes ; mais ces
jeunes
Seigneurs se doutant bien de ce qu’il en pourroit
dale De la fille de Minos : Jeux que sur l’airain docile Des armes du
jeune
Achille Traça le Dieu de Lemnos. Cette strophe
s les contre-danses, qui n’ont que le caprice pour tout principe. Les
jeunes
Seigneurs de la Cour ont encore établi des bals c
le De la fille de Minos :1 Jeux que sur l’airain docile Des armes du
jeune
Achille Traça le Dieu de Lemnos. * Le Carnava
e Silo dansaient dans les champs, suivant l’ancien usage, lorsque les
jeunes
Garçons de la tribu de Benjamin, à qui on les ava
enthousiasme. Je n’ai point eu la présomption de vouloir initier les
jeunes
élèves dans les mystères qui ne s’apprennent que
mblée, Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille
jeune
, Fille brillante, Fille de mine ravissante, Et do
e de M. Sari. Si toutes ses compagnes lui ressemblaient, M. Harel (le
jeune
) suffirait à conduire le théâtre. Des mauvaises l
la fondation des Délassements. Si cela est vrai, le théâtre est bien
jeune
ou elle est bien conservée. J’en connais beaucoup
nséquent celle qui ne souffre aucune contestation ; Oreste étoit fort
jeune
lorsqu’Agamemnon fut unanimement choisi pour chef
bientôt de deux objets qui lui sont odieux. Pendant cette scène, les
jeunes
Princesses, qui se sont arrêtées à l’une des croi
nsports du désespoir, puis elle revient aux pieds d’Agamemnon, que la
jeune
Iphise n’a point cessé d’arroser de ses larmes.
ettre. Electre la prend, mais en fixant ses regards sur les traits du
jeune
étranger, elle y reconnoît tous ceux de son frère
ps. Sa sœur et Pylade l’arrêtent. Scène vi. Dans ce moment, la
jeune
Iphise et les femmes accourent succéssivement ; e
nt point son bras, et qu’elle saura le punir de tous ses forfaits. La
jeune
Iphise, craignant tout des emportemens de sa sœur
oir, il y a une quinzaine d’années, au Grand-Théâtre de Boston : Une
jeune
danseuse, était en scène, très audacieuse, très a
es preuves d’énergie morale. A un moment de sa carrière, la gracieuse
jeune
femme s’était faite impresaria. Pendant son séjou
Madame Sangalli pleure, crie, appelle. La troupe anxieuse supplie son
jeune
général. Rita s’éloigne toujours. Alors, tout le
t du succès et de la prospérité de sa cadette. Celle-ci, dès son plus
jeune
âge, quoique chétive et maigrichonne, avait déjà
plus grande intimité, comme deux vraies sœurs. Gab est beaucoup plus
jeune
que moi et me porte une profonde affection. Souve
ngs yeux noirs qui semblent sommeiller. Quand elle marche, malgré son
jeune
âge, c’est d’un pas lent et allongé qui donne l’i
st un type à part. — Grande ? — Plutôt petite que grande. — Est-elle
jeune
? — Oui, je crois, mais je ne pourrais l’affirmer
dessus de tout ce qui avait paru avant lui)[,] je ne parle que de nos
jeunes
Danseurs qu’on croit sans doute fort inférieurs a
osité réelle et, en outre, un sentiment vif du caractère ; aussi le «
jeune
premier » de la pièce faisait à côté de lui assez
une figure se détacha en vigueur du reste de la foule : celle de mon
jeune
inconnu ! Qui était-il donc pour se trouver ainsi
lui déclarer, au prix d’un grand effort de volonté, qu’il était trop
jeune
pour que notre sentiment mutuel pût se perpétuer
on. C’est M. Sandrini qui a réglé les évolutions d’un corps de ballet
jeune
et actif que certains théâtres subventionnés ou m
C’est un succédané, si l’on veut ; mais ce n’est pas déplaisant. Une
jeune
Russe. Génia Nicolaeva, qui double Matray dans la
et délicate ; telles étoient les qualités rares qui distinguaient ce
jeune
danseur. Lany, qui étoit rentré à l’opéra, mais
ou composa pour Vestris et la Dlle. Théodore, un pas de Pâtre ; nôtre
jeune
Protée saisit avec autant de goût que l’intellige
et la promenade sont sacrifiées ; les Sultanes accourent ; mais Zélis
jeune
et belle, parconséquent capricieuse et jalouse, o
adeurs et leur suite : les femmes du Sérail précedent l’Em-pereur. La
jeune
Reine, Usbeck, Zélis et les Dervis l’accompagnent
eulement Susse ne suffit pas aux demandes, mais encore M. Barre, son
jeune
et spirituel auteur, refuse-t-il chaque jour des
e titre de Scribe et Mélesville ; la musique avait été commandée à un
jeune
prix de Rome, Montfort. Mais il fallut attendre l
e Fanny Elssler, et du même auteur, Barre fils. L’Artiste félicita le
jeune
sculpteur d’avoir su rendre le vol aérien de la s
à elle que revenait tout le mérite. Elle avait à jouer le rôle d’une
jeune
princesse chinoise, amoureuse d’un étudiant qui,
de Fanny continuait de tenter les peintres et les sculpteurs. Dantan
jeune
, qui s’était signalé par de nombreuses figurines
audeville. Dans d’autres tableaux paraissaient les comiques Lepeintre
jeune
, Arnal, Vernet et Odry. La salle était fort brill
se, on sent l’agilité, la brusque prestesse, les muscles d’acier d’un
jeune
athlète. Aussi, Mlle Elssler plaît-elle à tout le
ni. D’abord — avantage immense — elle est beaucoup plus belle et plus
jeune
; son profil pur et noble, la coupe élégante de s
onnel qui défrayait toutes les conversations, c’était l’histoire d’un
jeune
et séduisant gentilhomme italien, M. de Candia, q
Au mois de mai 1838 avait débuté à l’Opéra, dans un rôle modeste, une
jeune
Danoise, jolie, grande et svelte, Mlle Lucile Gra
te d’Auersperg, en littérature Anastasius Grün, opposaient l’Amérique
jeune
, forte et libre, aux peuples abâtardis du vieux c
ier. Prose morose. On doit être préoccupé à l’Académie de danse… La
jeune
Cydalise languit, s’étiole comme cette autre Cyda
’Orient, Les claires et pure Naïades, Les gaies et vertes Dryades, La
jeune
Flore et les Zéphirs, Les Amours, les Jeux, les P
de pauvreté, ils la méprisèrent. Alors plusieurs quadrilles de Femmes
jeunes
et belles parurent. La Vérité s’approcha d’elles
tres de cour, le met au-dessus des reproches. Son attitude envers les
jeunes
mérite notre admiration affectueuse. Il refuse de
ndra une, active l’allure même de la danse. Ce qui manque encore à la
jeune
étoile, c’est l’élan et, par suite, le parcours.
e voiture qui file à travers les avenues du Vésinet, conduite par une
jeune
femme habillée avec goût. Le cheval a du sang. Le
e coussinet surélevé, pour caresser du fouet la croupe de sa bête, la
jeune
femme a des mouvements, des attitudes qui restent
t, s’appliquer également à mademoiselle Bernay. Air : MUSE DES BOIS
Jeunes
amants, elle fuit votre hommage : Vieux soupirant
long qu’ils ne sont grands ; un nez, Pradier sculpsit ; des dents de
jeune
louve affamée. Elève du sieur Mathieu. Elle a com
ureusement nécessaire à l’Opéra. Mademoiselle Hayet Une toute
jeune
fillette. Son père était un chanteur applaudi. Sa
léguée est, qu’elles sont une école d’impureté, à cause du mélange de
jeunes
personnes de différent sexe, et à cause de tout c
occasion de tentation et de chute pour plusieurs, et surtout pour les
jeunes
personnes de l’un et de l’autre sexe qui s’y trou
ettres sont datées de 1672. Onze ans auparavant, — en mars 1661, — le
jeune
prince s’était déjà exprimé ainsi dans de premièr
la fière quand elle venait manger chez nous ! Et étonnez-vous que ces
jeunes
personnes aient hâte de casser leur patin ! Il y
elle à Vienne, où elle débuta le 10 juin 1822 dans la Réception d’une
jeune
nymphe à la cour de Terpsichore. Le titre était r
és à faire valoir un style original. Dans le vieux cadre classique la
jeune
artiste plaçait des figures d’une libre fantaisie
dans ce pays que les romans de Walter Scott avaient mis à la mode. Un
jeune
villageois, James Reuben, doit épouser la belle E
uillard se dissipe. Dans un riant paysage, la sylphide arrive avec le
jeune
paysan. Des nymphes voltigent autour de lui. Jame
ayadères, qui avait la réputation de ne pas être un spectacle pour de
jeunes
princesses. Il leur permit d’y assister le jour o
nèrent de la célébrité en 1835, Théodore Mundt, un des lutteurs de la
jeune
Allemagne, loua la danse moralisatrice de Marie T
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