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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
s de l’harmonie. En supposant, comme vous l’avancez, que les ouvrages Italiens se succèdent et s’effacent tour à tour, c’est ren
aîtres. Ne faut-il pas aussi avouer de bonne foi que les compositeurs Italiens , font plus d’opéras en une année que nous n’en fa
sons en dix ; ils ont vingt théâtres, et nous n’en n’avons qu’un. Les Italiens aiment donc passionnément la musique, puisqu’ils
t privé des charmes de cet art divin et consolateur. Quant aux poëtes Italiens existans, je les abandonne au mépris que la pauvr
nous, où l’on grave tout et où l’on ne prononce rien ; les chanteurs Italiens n’étudient jamais les paroles ; les souffleur lit
en Italie des hommes du plus grand mérite dans tous les genres ; les Italiens nous ont donné depuis deux siècles d’excellentes
ge du Roi, et nous n’étions que des bambins dans cet art, lorsque les Italiens les Flamands et les Allemands avaient déjà acquis
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
leura pas même le genre, que Quinault imagina peu de temps après. Les Italiens eurent pour guides dans l’établissement de leur O
t à lui seul. Ils forment une composition fort supérieure à celle des Italiens et des Latins, et qui n’est point inférieure à ce
ur les ouvrages de l’Antiquité. Oublions la chaleur avec laquelle les Italiens parlent de leur opéra, et le ton de dédain dont l
en un mot, philosophiquement ce que les Anciens ont fait, ce que les Italiens exécutent, et ce que le plan qu’a tracé Quinault
agédie des Grecs. Voilà le premier modèle : voici la manière dont les Italiens l’ont suivi. Dans les premiers temps, ils ont pri
ble moins à une Tragédie de Sophocle ou d’Euripide qu’un ancien Opéra italien  : Arlequin n’est pas plus différent d’un personna
ple des Grecs, mais encore ces morceaux forts de composition, que les Italiens appellent Aria 121, presque toujours agréables, q
gagnerait presque toujours122. En retenant les chœurs des Grecs, les Italiens les ont laissés avec encore moins de mouvement qu
Théâtre des Grecs ensemble. Quinault connaissait la marche de l’Opéra Italien , la simplicité noble, énergique, touchante de la
rs dont les Grecs n’avaient fait qu’un trop faible usage, et dont les Italiens , ainsi que je l’ai déjà dit, n’ont pas su se serv
ait-on il y a vingt ans de l’Abbé Métastase. On n’écoute dans l’Opéra Italien que la Musique. Ce sont les Français qui en lisan
quelquefois les Tragédies de l’abbé Métastase sans musique. 123. Les Italiens ne sont pas plus réguliers dans leurs autres comp
e Théâtre de la Comédie Française. Nous avons deux grands genres. Les Italiens n’en ont qu’un. Cette observation est décisive, e
3 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
et afferma le théâtre de la Porte de Carinthie. Il amenait une troupe italienne qui avait pour prima donna Isabelle Colbran, la f
e mémorable qui mit aux prises pendant des années à Vienne la musique italienne représentée par Rossini et la musique allemande h
e 1824 pouvait-elle donner à une danseuse ? Au premier abord la danse italienne semblait une vassale de l’école française. La Fra
ième siècle, la correction française aux emportements tumultueux de l’ Italienne Teresa Monticini. La guerre âpre qui se poursuivi
alli, qui fut très goûtée au même théâtre, était, en dépit de son nom italien , d’origine française. Vigano et sa femme, la bell
chorégraphes français et les exploits de leurs élèves, le tempérament italien s’accommodait mal de leur doctrine. Sous le joug
ts suivait sans contrainte l’élan de sa nature impétueuse. Le danseur italien était plutôt virtuose qu’artiste ; il mettait sa
, des prodiges d’équilibre, des pirouettes vertigineuses. La danseuse italienne faisait de même une grande dépense d’énergie ; el
vent exagéré de tous les muscles, à extérioriser ses émotions, rend l’ Italien particulièrement apte à réussir dans un art qui c
ballet ». Ce théoricien de la chorégraphie dit : « Il est naturel à l’ Italien de gesticuler ; il n’est donc pas surprenant que
dans un ensemble parfait les caractères les plus heureux de la danse italienne et le langage éloquent de la pantomime fut Antoni
nse et par la force expressive de sa mimique. L’exemple des virtuoses italiennes , que Fanny Elssler vit soit à la Scala, soit à Na
dans son art ; jamais elle ne dépasse ses moyens ; c’est le système italien sagement appliqué. D’une manière générale, elle d
liberté. Cependant un œil exercé reconnaît l’école ; c’est la manière italienne , mais assagie, disciplinée ; c’est une heureuse a
rnthner-Thor, la Polonaise Schlanzowska, la Française Mimi Dupuy et l’ Italienne Muratori. Lasse de rester dans le rang, elle song
4 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
, cela fuse, cela grise : c’est un grand cru. Le sujet : un imbroglio italien où des grotesques de Callot bernent des masques é
i et de Zambelli : Carlotta. Le décor : petite « piazza » de bourgade italienne , au campanile roman et aux balcons de fonte baroq
5 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage » pp. 115-118
Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage [1] Note. Nous croyon
èves, dont le plus grand nombre, sans doute, ne connaît pas la langue italienne de leur donner le sens, ou la traduction littéral
itations que nous avons faites de divers morceaux, extraits d’auteurs italiens  ; mais pour ne pas embarrasser notre discours et
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 18 août 1668 »
acieux Chapitre ; Mais, vraiment, les COMÉDIENS, Tant les Français qu’ Italiens , Ont, depuis, témoigné leur zèle De façon si nobl
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-sixième semaine, lettre du 18 novembre 1666 »
où, dit-on, l’on emploie Trois troupes de Comédiens, De FRANCAIS et D’ ITALIENS , Qui par trois IMPROMPTUS y mêleront la joie. On
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Début septembre (le 2 ?) : Remèdes à tous maux — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 septembre 1668 »
Robinet, lettre du 8 septembre 1668 Nos COMIQUES ITALIENS , Toujours de risibles Chrétiens, Et féconds en Pi
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
Robinet, lettre du 7 juillet 1668 NOS COMIQUES ITALIENS , Les plus admirables Chrétiens Qui paraissent sur
10 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Les Ballets Léonidoff. »
re un prologue qui, comme l’héroïne d’un poème de Verlaine, « parlait italien avec un accent russe ». Quant à la protagoniste e
11 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
ement, de « répartir le terrain » comme aurait dit un maître-à-danser italien du xve  siècle. Mlle Ellen Sinding qui porte un n
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
t, peut-elle prouver que les Français aiment mieux la musique que les Italiens  ? En Italie on ne grave que rarement les partitio
e grave que rarement les partitions même des plus grands maîtres. Les Italiens sont à cet égard bien plus sages que les Français
13 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
3, 71. Terminaisons des temps et des pas, 64. Traduction des passages italiens , 115. V Vestris, père, 80. — Auguste, 31, 93, 9
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
nie y fit des miracles, Car les divers Musiciens, Tant de la Cour, qu’ Italiens , Si parfaitement réussirent, Qu’ils délectèrent,
15 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »
jet, très sûr de ses moyens. Elle n’a pas, il est vrai, les pointes «  italiennes  » de Mlle Zambelli qui — et je n’hésite pas à app
16 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
i dois. — Ce que le cancan demande. — Rigolhocher. — La tarentule des Italiens . — Mes impressions lorsque je danse. — Mes émotio
furibond, indifférent et passionné. Rigolbocher enfin. XIV Les Italiens , dit-on, ont inventé les piqûres de la tarentule,
17 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
 » du ballet russe s’affranchissant enfin de la tutelle des virtuoses italiens , renonçant à la musique étrangère fabriquée par d
s d’ensemble des fées, variations de la princesse Aurore, des masques italiens , la célèbre valse villageoise avec guirlandes et
18 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
anse ne parut dans tout son éclat qu’à la naissance des Opera. Lully, Italien de Nation, étant venu en France à l’âge de neuf a
ctacle qui sous le nom d’Opera, n’avoit été connu jusqu’alors que des Italiens . Lully, qui dès sa premiere jeunesse s’étoit atta
19 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
entracte dans les drames de collège. Voyez Ballet de Collège. L’opéra italien a besoin d’entractes ; on les nomme en Italie int
ble soutiendraient réellement? On parle beaucoup en France de l’opéra italien  : croit-on le connaître ? Voyez Opéra [Article du
on le connaître ? Voyez Opéra [Article du Chevalier de Jaucourt]. Les Italiens eux-mêmes, toujours amoureux et jaloux de ce spec
Italie qui ait écouté de suite une seule fois en sa vie tout l’opéra italien . On a eu recours aux intermèdes de bouffons ou à
20 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
s que séculaire, qu’il eût été préparé de longue main par les maîtres italiens perfectionnant et codifiant la gymnastique de la
ue le genre inauguré en France par les Taglioni, dynastie de danseurs italienne et venant de Vienne, comportait toutes les caract
es quatorze mots ne suffisent-ils pas pour que le nom de la ballerine italienne à demi oubliée ne soit jamais effacé des annales
bien, mais ce n’est pas mieux… Quant à sa figure, elle n’est pas fort italienne , et répond peu aux idées brunes qu’éveille le nom
21 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
d’esprit que la petite Paillier ! Mademoiselle Invernizzi Une Italienne qui aurait figuré avec avantage à l’exposition du
e ? a travers les coryphées. Mademoiselle Vendoni Une Italienne  ?… — Dame ! la terminaison du nom semble l’indiqu
Invernizzi, Ottolini, Vandoni, Maffioli, Corzoli, — et cœteri ! — Des Italiennes  ?… — Dame ! si je m’en rapporte au début de cette
er tableau de la Tour de Nesle : « J’ai fait vingt ans la guerre aux Italiens , les plus mauvais coquins que je connaisse… » J’a
s mauvais coquins que je connaisse… » J’ai fait vingt ans l’amour aux Italiennes , les plus rusées ribaudes que je sache… » Ma
22 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
oyaume, fit encore éprouver une chute à la danse et aux ballets ; les Italiens perdirent leur goût pour ces spectacles ; mais Lo
e cœur. » 3. Voyez la note (I) du chap. VII. *. Tous les passages italiens insérés dans cet ouvrage, se trouveront à la fin
23 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
t inattendu. — L’École Isadora Duncan. — Disgrâce frappante du ballet italien . — L’antiquité ressuscitée. — Tanagra. — Éducatio
tes danseuses. — Il ne faut pas que la danse meure. L’éternel ballet italien , insipide et disgracieux, continue à ennuyer les
24 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
ue vous. La Danseuse Et pourquoi ? Que reprochez-vous tant à la danse italienne  ? Moi Qu’elle m’ennuie. La Danseuse Elle a passio
ute, Mme D. danse un peu en anglais, comme d’autres en français ou en italien  ; mais elle danse surtout en grec, et c’est ce do
25 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 novembre. Le débat de la musique et du silence. »
elle a esquissé un air de Grieg, une valse de Drigo, le vieux maestro italien transplanté à l’Opéra de Saint-Pétersbourg. Or, p
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
de Tréfilova. La voilà : Pendant un demi-siècle les grandes virtuoses italiennes avaient tenu la première place sur la scène impér
27 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
u’escorté d’une demi-douzaine de gardes-du-corps, — triples claqueurs italiens attachés à sa personne et chargés de chanter les
te fine sur un col de cygne ; talent un peu grêle. Elle était devenue Italienne en Allemagne, — à la cour de Brunsvick, dit-on.
28 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
t à la danse : un provençal menace son ennemi d’une chanson, comme un Italien menacerait le sien d’un coup de stylet ; chacun a
es intervalles difficiles, choque l’oreille très désagréablement. Les Italiens , dont la langue est bien plus douce que la nôtre,
Ainsi disputer sur cet article, et prétendre par exemple que le chant Italien n’est point dans la nature, parce que plusieurs t
ssent étrangers à l’oreille, c’est comme si l’on disait que la langue Italienne n’est point dans la nature, ou qu’un Italien a to
n disait que la langue Italienne n’est point dans la nature, ou qu’un Italien a tort de parler sa langue. Voyez Chantre, Exécut
ies ou à des motets ; on y peut faire exécuter des cantates, des airs Italiens des excellents maîtres, des morceaux de chant neu
la cantate qui a pour titre la Prise de Lerida et plusieurs ariettes Italiennes y attirèrent beaucoup de monde. Lorsqu’il paraît
ces commencements ce que sont tous les Arts à leur naissance. L’opéra italien avait donné l’idée de l’opéra français : Lully qu
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
Et qui, dansants de bonne grâce, Ou chantants fort plaintivement, En Italien , mêmement, Expriment leur Deuil, à merveille, Et
30 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
n en a fait bal, ballet, ballade, et baladin ; le ballar et ballo des Italiens , et le bailar des Espagnols, comme les Latins en
ssa des Grecs chez les Romains, et il y servit aux mêmes usages ; les Italiens et tous les peuples de l’Europe en embellirent su
(ce qui est impossible) on changera toute la constitution de l’opéra Italien , et qu’il prendra la forme nouvelle et piquante d
re, que le théâtre du merveilleux est propre à rendre le comique. Les Italiens paraissent penser que la musique n’est faite que
31 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
Fanny revint fidèlement tous les ans à Vienne au moment de la saison italienne , c’est-à-dire aux environs de Pâques. Elle donnai
lui fut offert, en une plaquette de luxe, par un groupe d’admirateurs italiens . Le poème était de Giovanni Prati, l’un des Tyrté
s qui éclosent d’ordinaire sous les pas des danseuses. Le patriotisme italien s’y marie d’une manière inattendue avec l’enthous
le public milanais. Le 1er janvier éclatait la grève des fumeurs. Les Italiens s’étaient donné le mot d’ordre pour renoncer à l’
l’opéra et la danse, disaient-ils, avaient fait oublier à beaucoup d’ Italiens l’austère devoir et le combat viril pour la liber
trissait ses admirateurs. « A présent, s’écrie-t-il dans une ode aux Italiens , Agl’ Italiani, les fils s’empoisonnent avec le c
o de la Scala, Merelli, engagea Fanny Elssler à Vienne pour la saison italienne . Elle apparut à ses compatriotes aussi jeune, aus
32 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
l’Alceste, qu’il donna à Vienne. Le poème de cet opéra étoit écrit en Italien . Il n’avoit pu rassembler qu’un petit nombre de c
les spectres, la mort et les parques, elle prit la fuite. Deux poëtes Italiens , au service de deux souverains, vinrent me compli
33 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
la comédie intitulée : la Calandra, qui est une des premières pièces italiennes en musique qui aient paru sur les théâtres. Plus
résenter, au Petit-Bourbon, devant le roi et la reine-mère, une pièce italienne intitulée : la Festa teatrale della Finta Pazza ;
la Festa teatrale della Finta Pazza ; elle fut jouée par des acteurs italiens . Plus tard, la même troupe joua Orfeo e Euridice 
zarine, et au mois de mars 1671, vingt-six ans après le premier opéra italien représenté devant la cour, on joua devant le publ
arche que sur les jambes de ses danseurs. On ne chantait qu’à l’Opéra Italien et à Feydeau, quand mademoiselle Cinti, transfuge
ndo ; Moïse, traduit de Mosè, qui depuis dix ans était joué à l’Opéra Italien . Une subvention royale qui de 1824 à 1828 s’éleva
ourer la belle partition de l’auteur de il Crociato, de ce Meyerbeer, Italien de la Germanie, qui s’est inspiré à la fois de Mo
e les chanteurs des différentes nations et l’excellence des chanteurs italiens , que nous n’hésitons pas à placer au premier rang
34 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
française. — Barbaja et Rossini. — Apprentissage en Italie : l’école italienne . — Fanny danseuse classique. — Saisons à Vienne e
35 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Preface. » pp. 5-10
les de Poitou viennent des Poiteuins, & la Volte de Prouence, des Italiens la Gaillarde ou Romanesque, des Espagnols la Sara
36 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
, par la suprématie de la danseuse russe triomphante de la virtuosité italienne , époque qui prépara l’hégémonie mondiale de ce ba
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
tte jeune fille apparaît être de la même matière dont sont faites ces Italiennes  : une Ferraris jadis, une Zambelli de nos jours.
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
ose bordée de lamé (Pitoeff fecit) et que relève le charmant tutu à l’ italienne , touffu, bouffant, crémant ; le nœud de sa ceintu
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »
aramouche. Fût-ce pour introduire en France la comédie improvisée à l’ italienne  ? Plutôt pour doter son pays d’un art comique qui
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
mouvement qu’avait perçue l’œil infaillible, sombre et lumineux de l’ Italienne que son verbe bref et incisif va relever — mais c
41 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
t exactement préfiguré dans les manuels de gymnastique des voltigeurs italiens de la Renaissance. Quant à ce pas de chahut, ce m
42 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
idée par un signe, ou par un geste quelconque. S’il est vrai que les Italiens , peuple gesticulant, aient hérité des anciens Rom
43 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
s du théâtre de la Renaissance (salle Ventadour où furent, depuis les Italiens ) et brûlait de se signaler par quelque tentative
’en savent pas faire autant. » Quant à sa figure, elle n’est pas fort italienne , et répond peu aux idées brunes qu’éveille le nom
est pas excessive pour une danseuse ; seulement elle a le pied un peu italien ou anglais, si vous aimez mieux. » *** Taglioni
lle aux yeux bleus, au sourire fin et naïf, à la démarche alerte, une Italienne qui a l’air d’une Allemande à s’y tromper, comme
44 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78
avant et en arrière ; la cabriole à un et à deux temps ; la cabriole italienne en avant et en arrière ; les deux ronds de jambe
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
nous les avons observés chez de nombreuses Russes — et chez une seule Italienne , la légendaire Taglioni. En France, il faudrait c
46 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
et, qu’on nomme divertissemens, & dont nous sommes redevables aux Italiens pour l’invention ; Perrin en 1659 la mit en usage
rin en 1659 la mit en usage en France : mais l’on sçait aussi que les Italiens n’ont imaginé l’Opéra que sur les représentations
ation d’esprit, & en ont composé de fort beaux, à l’imitation des Italiens  : ce qui donna lieu à la Cour de France de danser
47 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
ise, à coup sûr ; seulement, elle brille parmi les étoiles de l’école italienne . Rien n’empêcherait la ballerine d’adopter la dev
e de Pan, armes parlantes de la diva. Celle-ci, chez elle, est moins italienne que parisienne, et vous la croiriez volontiers or
48 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
et qui n’en parait que trente. XV Je le rencontrai un soir aux Italiens . — Il me proposa d’entrer aux Délassements. Un de
49 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
, en voyant adapter une partie des traits difficiles et brillants des Italiens , à une langue qu’on n’en croyait pas susceptible 
50 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
utèrent avec un très grand succès au Théâtre Moderne du boulevard des Italiens . La pièce fut jouée trente fois au lieu de dix et
51 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
débuta sur le théâtre du Palais Royal, par Orphée et Euridice, opéra Italien en cinq actes ; il eût le plus grand succès. La n
que du Roi. Mais au milieu de tant de spectacles on distingua l’opéra Italien  ; il avoit pour titre Hercule amante, ou Hercule
52 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
brune ; mademoiselle Page est brune. Rachel était brune. XV Les Italiennes , les Espagnoles, les Turques, sont brunes. Quoi d
53 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
e l’effet qu’on produit mes lettres. Aussi ont-elles été traduites en Italien , en Allemand et en Anglois. La gloire de mon art,
54 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
ssant le bouquet qu’il remit à sa fille. » Et, parlant avec un accent italien exagéré : « Nous sommes étrangers et ma fille ne
et de me faire changer mon patois contre la connaissance de la langue italienne  ; mais là s’arrêtèrent mes leçons. Quand il vit q
55 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
lle amusant. Il joue de la flûte, du piano, de l’accordéon ; il parle italien , et pourrait au besoin donner des leçons de latin
56 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
u’un amas de ridicules et d’invraisemblances. Le récitatif de l’opéra Italien a sans doute quelque analogie avec la déclamation
57 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
elle craint de se crotter les mains en marchant ! Morando Une Italienne . D’une fécondité remarquable. Mère de huit enfant
58 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
e leur laissa libre, après son récit, le champ de la Gloire. Des vers italiens qu’elle fit pleuvoir en s’envolant, sur l’Assembl
59 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
musiciens placés dans une chambre voisine, exécutèrent des symphonies italiennes . Le 28 la ville offrit des présents aux dames et
ns ; la première en français, la seconde en espagnol, la troisième en italien , et la quatrième en latin. Au haut du chapiteau,
-cour dans la foire, on rencontrait à droite le théâtre de la comédie italienne , qui remplissait seul une des faces moins larges
nvironnaient les satyres en lui présentant leurs hommages. Le théâtre italien était occupé par deux acteurs et une actrice, Arl
et une actrice, Arlequin, Pantalon, et Silvia, qui, par des saillies italiennes et des scènes réjouissantes, commençaient les pla
e de la cour opposée à celle que remplissait le théâtre de la comédie italienne . Elle était décorée de la même ordonnance dans le
rtes. La dernière, qui se trouvait dans l’encoignure, près du théâtre italien , était enfin intitulée, M. Blanche, et occupée pa
illuminé, régnait tout le long et au-dessus du théâtre de la comédie italienne  : il était rempli par une quantité prodigieuse d’
rant dans ce lieu enchanté, s’arrêta d’abord au théâtre de la comédie italienne , où Arlequin, Pantalon et Silvia ne firent pas de
la foire, et se plaça dans un fauteuil vers le théâtre de la comédie italienne  : les princes se rangèrent auprès de Sa Majesté.
60 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
, Luzy ; les sieurs Bellecourt, Préville, Augé ; Clairval, au Théâtre italien  ; Larrivée, Legros, & la demoiselle Arnould,
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
est rarement le modèle du bon goût. Le mot costume, que l’on doit aux Italiens , s’est naturalisé en France : il n’étoit employé
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
sœur, réputée pour sa beauté, qui, devenue la femme d’un gentilhomme italien , faisait dire : « Voir Venise et la belle Contari
and, le deuxième en suédois, le troisième en anglais, le quatrième en italien . « Ainsi, s’exclame le biographe, contre l’habitu
63 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
pendant on voit de ces grands et magnifiques tableaux dans les opéras Italiens , naturellement décharnés, privés d’action, d’inté
, et surtout pour la mesquinerie qui règne en général dans les opéras Italiens . Dans les théatres trop vastes, les acteurs paroi
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
expression, l’esprit, le génie et les graces de son art. Les danseurs Italiens ont pris depuis quelque tems le contre-pied des m
65 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
ression, l’esprit, le génie & les graces de son Art. Les Danseurs Italiens ont pris depuis quelque temps le contre-pied des
66 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
Viganò, des Angiolini, des Domenico Rossi et des autres chorégraphes italiens de ce temps. Au cours des années suivantes, Vigan
e son mieux et parfois fort heureusement l’action pantomime chère aux Italiens et la chorégraphie française telle qu’il la tient
67 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
uscule et de là-haut saluent le monde. » D’autres soupiraient un vers italien  : E passato il tempo che Fanni ballava. *** Le
conversations, c’était l’histoire d’un jeune et séduisant gentilhomme italien , M. de Candia, qui, après avoir donné sa démissio
grand duo de Matilda di Sabran ; Duprez et Pauline Garcia jouèrent en italien le dernier acte d’Otello. La partie chorégraphiqu
68 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
ique). (a) On appelle aussi cadence ce battement de gosier, que les Italiens appellent trillo. Les finales des phrases musical
69 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
le grand pas de la Sylphide. Madame Flora Fabri, élégante et dansante italienne , a pris à mademoiselle Taglioni ce qu’elle a pu l
70 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
les compliments de poètes ! Ne faut-il pas leur appliquer le proverbe italien  : En fait d’argent et de sainteté, ne crois que l
71 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
, je ne dois pas omettre ce qu’en écrit en latin, François Pétrarque, italien de naissance, un des plus beaux génies de son siè
72 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
oète de nos amis trouva dans une légende allemande, pour cette blonde Italienne aux prunelles de vergiss-mein-nicht, un sujet de
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
nfler, et les danseurs se rompent et s’estropient en voulant imiter l’ Italien fort et nerveux. Il est un auteur dont j’ignore l
74 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
& les Danseurs se rompent & s’estropient en voulant imiter l’ Italien fort & nerveux. Il est un Auteur dont j’ignor
75 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
on naturel. L’art est tel dans les grands talents, qu’il enchante les italiens habitues à ces sortes d’écarts, et qu’il surprend
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
musique de Lulli, des morceaux pleins d’expression et de variété. Les Italiens ont été à cet égard bien plus sages que nous. Moi
77 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
ique de Lully, des morceaux pleins d’expression & de variété. Les Italiens ont été à cet égard bien plus sages que nous. Moi
78 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
épublique et des Arts. Elle était née à Toulouse, en 1777, d’un père italien qui avait joué la comédie. Elle eut pour concurre
79 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
rême, c’est de gagner de l’argent. Anglo-Saxons, Allemands, Français, Italiens , Espagnols, se disputent avec âpreté le terrain s
80 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ngé dans la lecture de poètes anciens et modernes, latins, allemands, italiens , français. Un exemple va montrer à Rahel jusqu’où
81 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
s, sur une certaine quantité de mesures de musique. 14. Des danseurs Italiens vinrent à Paris danser dans un opéra intitulé les
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