rdre de Monseigneur le Garde des Sceaux un Manuscrit qui a pour titre
Histoire
Generale de la Danse Sacrée & Prophane, son o
Paralele de la Peinture & de la Poésie, & le Supplément de l’
Histoire
de la Musique, par M. Bonnet, ancien Payeur des G
orruption des mœurs, que personne ne s’est encore avisé d’en donner l’
Histoire
, de peur de paroître les autoriser : on ne fait m
ui annoblissent la Danse, méritent bien d’être écrits dans un corps d’
histoire
. Il n’est pas étonnant que l’Auteur de ce Manuscr
oublié aucune notable particularité, il a crû qu’après avoir donné l’
histoire
de la Danse Sacrée des Egyptiens, des Grecs, des
cs, des Juifs & de l’Eglise Latine, il devoit bien donner aussi l’
Histoire
de la Danse prophane, de la Danse Théâtrale, des
onspection que je ne dois jamais perdre de vûe. L’Auteur a ajouté à l’
Histoire
de la Danse, un Paralele de la Peinture & de
un Paralele de la Peinture & de la Poésie, avec un Supplément à l’
Histoire
de la Musique, qu’il a donnée il y a quelques ann
ont des qualités rares dont il ne peut se passer et avec lesquelles l’
Histoire
ancienne, ou plutôt la Fable, lui fournira une ma
ppement du chaos et la naissance du Monde jusqu’à nos jours55 . Notre
Histoire
embrasse en effet toute cette étendue de siècles
t d’Orithye, celui de Médée et ses fureurs : sa retraite en Perse ; l’
histoire
des filles d’Érechthée, et tout ce qu’elles ont f
st rien encore, en comparaison du merveilleux que peuvent fournir les
Histoires
de Mégare, de Nysus, de Scylla, l’ingratitude de
eçurent Ino et Mélicerte dans les Gouffres des mers appartiennent à l’
Histoire
de Corinthe. Celle de Mycènes peut fournir une mo
ause. Voilà ce que lui présente cette seule partie de la Grèce. Car l’
Histoire
de Troie paraît liée à celle de Sparte, et tous l
x Énée. La Fable d’Oreste est aussi naturellement liée à cette grande
histoire
, ses dangers chez les Scythes, la rencontre inopi
hangements de sexe qui sont arrivés, comme à Caénée, et à Tirésie ; l’
Histoire
moderne, ce qu’Antipater et Séleucus entreprirent
, me fit prendre la liberté de lui présenter il y a quelques années l’
Histoire
de la Musique, un des Arts pour lequel Elle sembl
lle ne s’attendoit pas, & qu’elle a néanmoins pris en faveur de l’
Histoire
de la Danse, comme sœur de la Musique : c’est une
Héros que vous soutenez déja depuis long-tems, ne rendent point cette
Histoire
indigne de votre protection, lorsque vous sçavez,
p; la Musique, m’a jetté insensiblement dans la nécessité de donner l’
Histoire
de l’une, après avoir publié celle de l’autre ; &
: les Grecs ont encheri sur eux en ce point, comme on le voit dans l’
histoire
de leurs Corybantes ; & les Romains les ont i
primoient ; ce sont des circonstances que je n’oublie point dans leur
histoire
, parce qu’elles en font le fondement. C’est ainsi
leurs Pantomimes représentoient en dansant & par des gestes, des
histoires
toutes entieres très sensibles aux spectateurs. J
p; Théâtrale. L’art des Danseurs de corde a aussi sa place dans cette
Histoire
, tant par rapport au goût du tems, que parce qu’i
umens, indépendament de ce qu’on en a dit d’Orphée & d’Amphion. L’
histoire
de la Danse Sacrée en particulier auroit demandé
é dans son Traité de l’Orchestre : mais cela est fort différent d’une
Histoire
suivie de cet Art, de laquelle j’aurai eu au moin
une composition régulière. On prenait un sujet ou de la Fable ou de l’
Histoire
. On formait deux ou trois Quadrilles qui s’arrang
qui ne soit digne d’éloges, et qui ne mérite de trouver place dans l’
Histoire
des Arts. Les Mascarades que les Rois Charles IX,
mie me réclame. — Le P. Lacordaire. — M. Louis Veuillot et moi. — Les
histoires
de biches. — Ceux qui y croient. — Disons donc la
j’ai envie d’être de l’Académie. Je ne doute plus de rien à présent.
Histoire
de continuer leurs malicieuses plaisanteries, ils
j’imitais une foule d’amies à moi qui ont inventé sur elles un las d’
histoires
pleurnichardes pour s’excuser de leurs mauvaise c
sibles en leur narrant le conte d’une séduction dans les régles, ou l’
histoire
d’un jeune homme blond — le valet de cœur — qui m
, pour rendre aux yeux quelque action théâtrale que ce puisse être. L’
histoire
de l’Art prouve que les Danseurs de génie n’ont e
le qui a produit, dans les Lettres, L’Esprit des lois, la Henriade, l’
Histoire
naturelle, et l’Encyclopédie, peut aller aussi lo
ion, dans des situations qui naissaient de leur caractère, ou de leur
histoire
, et toutes propres à faire éclater les grands mou
oète, dis-je, a abandonné la Fable, et n’a puisé ses fonds que dans l’
Histoire
. Ce sont donc les personnages les plus graves, le
sublime de ses compositions, lorsque l’Opéra Français fut imaginé. L’
Histoire
était le champ fertile que ce grand Poète avait p
ls matériaux qu’il crut devoir employer pour le bâtir. Il en écarta l’
Histoire
qui avait déjà son Théâtre, et qui comporte une v
la Mécanique pouvait procurer à son établissement. Les beaux traits d’
Histoire
ne sont pas les seuls qui doivent exercer le géni
le pinceau le plus vigoureux, et qui s’était emparé avec raison de l’
Histoire
. Il fallait ne point empiéter sur un établissemen
24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’
histoire
vue par le ballet1. Cependant que l’on joue, au
a, entre ces deux étonnantes fictions, rien moins qu’un demi-siècle d’
histoire
russe : la chute d’un monde. Pétrouchka nous app
ère Darrouy, profond Docteur, En est le noble et digne Auteur : Cette
Histoire
, des mieux traitée, Fut assez bien représentée, E
ace, Id est, Collège de Clermont, Où maint Prud’homme fut semon, Une
Histoire
représentèrent, Que les Spectateurs écoutèrent Av
Orateur, De cet Ouvrage fut l’Auteur, Dont le nom fameux est IRLANDE,
Histoire
belle, vraie et grande, Ayant fait choix de bons
on souvenir) J’aurai toujours soin de sa gloire, Et d’en embellir mon
Histoire
.
tout Paris, Qui la voulut voir à ce prix, Qu’ils méritent bien que l’
Histoire
En conserve aussi la mémoire.
atin, Représentèrent en Latin, Sur un Théâtre magnifique, D’Egeric, l’
Histoire
tragique, Dont les Vers, à ce que m’on dit Des Ge
qui réforma autant qu’il put le luxe des Romains pendant son régne. L’
Histoire
remarque que dès le tems de Socrate & de Plat
son caractere ; ce qui lui attira l’applaudissement de l’assemblée. L’
Histoire
Romaine fait aussi mention que Caton le Censeur p
s ; desorte qu’ils se firent jour pour sortir, sans coup férir. Cette
histoire
fit grand bruit dans Paris, le Roi la sçut ; &
avicin n’auroit pas rapporté un fait si favorable pour elle, dans son
histoire
du Concile de Trente. On ne trouve point de régne
; en grands feux d’artifice, dont la dépense est très-considérable. L’
Histoire
remarque que du tems d’Henri IV. les treize Canto
gilliere. J’ai passé sous silence le régne de Louis XIII. parce que l’
histoire
de son régne ne nous fournit rien d’extraordinair
; Ses attitudes parlantes, Ses pas, ses mains éloquentes Tracent une
histoire
aux yeux : Fécond, il se multiplie, C’est Télephe
st Télephe qui supplie, C’est Oreste furieux. * Toi qui prêtes à l’
Histoire
Ton masque & tes ornemens, Fable, dis moi, do
n parler. Le Renard, de Strawinsky, étant, selon le programme, une «
histoire
jouée et chantée », je me récuse moi-même en m’en
et la plus belle des pirouettes), tirée du Lac des Cygnes, et dont l’
histoire
vaut d’être un jour contée. Eh bien, elle n’en fi
ir cette Shéhérazade de Bakst et de Fokine qui est devenue une page d’
histoire
. C’est là une œuvre-type dont le rayonnement fut
de fouet, qui fait tourner la toupie. J’ai promis un jour de conter l’
histoire
des 32 fouettés de Tréfilova. La voilà : Pendant
Catalogue Des Danses dont je fais mention dans cette
Histoire
. De la danse Sacrée des Hébreux. De la danse
r enfantine est pourtant le grand art du ballet : l’anecdote mimée, l’
histoire
sans paroles n’étant vraiment que le plus humble
rendre propres, sa place, n’en doutons point, lui sera marquée dans l’
histoire
des Artistes fameux, à côté des Pylades et des Ba
lui procura l’Empire. Il est encore fait mention dans le Recueil des
Histoires
prodigieuses, Tome 2, ch. 6, de celles des Satyre
peine de la vie. Je trouve qu’il s’en faut beaucoup que l’Auteur de l’
Histoire
des Oracles, faite en 1686, ait appris au Public
a également passé pour un chef-d’œuvre de l’art. Quinte-Curce, dans l’
Histoire
d’Aléxandre le Grand, dit que quand Jupiter Hammo
p; dont je n’ai traité, malgré toutes ces preuves, que par raport à l’
Histoire
Générale de la Musique ; sçachant bien que toutes
illage. Les savans pinceaux du Poussin ne se sont-ils pas exercés à l’
histoire
et au paysage ; Pergolèse n’a-t-il pas composé le
brillantes compositions à un seul genre ? non sans doute. La fable, l’
histoire
, la pastorale héroïque, les fêtes du paganisme, l
-sérieusement comment se portait mon père, M. Rigolboche ? II L’
histoire
de ce baptême argotique remonte à deux ans. C’éta
nes personnes. On les accable, pour ainsi dire, de gloire préventive,
histoire
de les stimuler. On leur donne ce que j’appellera
c’est avant tout une danse libre. XI Gavarni, — notre peintre d’
histoire
, — en a fourni quelquefois avec le crayon une ima
console Markouski. — Sa manie. — « Le supporteur d’adversité. » — Une
histoire
vraie. — Un mardi raté. — Des Russes attendus. —
« le grand supporteur d’adversité ». IX On raconte une foule d’
histoires
sur lui. — Je ne veux pas me faire l’écho de ces
tout, il a pris une telle importance, il touche par tant de côtés à l’
histoire
du monde parisien, qu’il ne peut pas être passé s
à Dieu comme l’Auteur de la Nature. Pour servir de Supplément à l’
Histoire
de la Musique, imprimée en 1715. Quoique cette
aussez Divinitez ou à leurs Législateurs. Pline nous apprend dans son
Histoire
naturelle, que quelques Grecs coupant de certains
des corps insensibles par la douceur de l’harmonie des instrumens. L’
Histoire
naturelle des Isles Antiltes de l’Amérique, ch. 1
qu’il faut savoir séparer de ceux qui peut-être plus éclatants dans l’
Histoire
, refroidiraient cependant la composition théâtral
on temps, et si peu connu du nôtre. 52. On trouvera une partie de l’
histoire
de Pylade et de Bathylle dans la suite. 53. Il s
t le supposer ! — par deux autres enfants. *** Voici, maintenant, une
histoire
non point plus probante mais plus caractéristique
t clairement : — Je ne me laisse pas tromper. Cette femme raconte des
histoires
!… J’aurais dû danser pour eux, au palais, afin q
Loïe Fuller », figurines que je conserve précieusement. *** Une autre
histoire
curieuse est celle de la fille de Nevada, la gran
es restes de peinture antique que l’on voit à Rome : comme en effet l’
Histoire
remarque qu’en 1240 l’Italie étoit si dénuée de P
ableau que j’ai vû chez les Jésuites de cette Ville, qui en sçavent l’
histoire
par tradition. On trouve encore dans Lucien, qu’A
ndent & ont un prix fixe, au lieu que la Peinture n’en a point. L’
Histoire
remarque entre autres que Mirsillus-Roi de Lidie,
ont pas tenu au-dessous d’eux d’y employer une partie de leur tems. L’
Histoire
de René d’Anjou Roi de Naples, marque encore la p
ruit les ignorans aussi-bien que les doctes ; nous voyons même dans l’
Histoire
de la Conquête du Méxique, que ces peuples n’ayan
leur donner ? Fernand Cortez dans la Conquête du Méxique, ne connut l’
Histoire
ancienne de leurs Rois & de leurs Coutumes qu
bâti dans sa magnificence ? Quel plaisir n’aurions-nous pas à lire l’
Histoire
de Pausanias, lequel nous décrit toute la Grece,
; au lieu que la Peinture peut bien représenter tous les faits d’une
histoire
par ordre, en multipliant ses tableaux ; mais ell
nt également obligez de garder. Si des Fables nous voulons passer à l’
Histoire
, qui est une autre source où les Peintres & l
d’y voir représenté en peinture les choses qu’il avoit lues dans ses
histoires
. En effet Bosius & Severan qui ont écrit de g
ensuit donc de tout ce que je viens de dire touchant la Fable & l’
Histoire
, que la Poésie emprunte du moins autant de la Pei
vir de l’expression de l’Abbé Du Bos : ils jouaient des fables et des
histoires
, quelquefois entières. Ils contrefaisaient la col
distance encore entre ces portraits isolés et l’ensemble d’une grande
histoire
, telle que le Sacrifice d’Iphigénie, l’Entrevue d
a Peinture, le charme de la Poésie, les grâces de la Danse. Suivons l’
histoire
de cette dernière depuis cette époque jusqu’à nos
telligence et de vérité que tout le monde les entendait sans peine. L’
histoire
nous a transmis les prodiges des Protées, des Emp
ui veut s’appliquer sérieusement à la danse doit posséder la fable, l’
histoire
et les poèmes de l’Antiquité. Comme son art n’emp
longue main, ou par des caprices du moment. Ils ont donc besoin d’une
histoire
qui fixe leurs incertitudes, d’une lumière pure q
d’à-propos jamais en défaut, nous présenter les faits essentiels de l’
histoire
de la danse ; quelques brefs aperçus sur les dans
on ne peut broder sur un mauvais cannevas, peindre un grand tableau d’
histoire
sur le médaillon d’une tabatière, ni déployer sur
avoir recours à de petites allégories, lorsque l’on a de tels faits d’
histoire
devant soi ? Si l’on avoit dessein de plaire au
’ai rapporté au sujet d’un bal donné par Antiochus à toute sa Cour. L’
Histoire
nous en a conservé quelques autres exemples que v
rs de l’armée des Gaules, dont il étoit le Général. Mezeray, dans son
Histoire
de France, Tome IV. dit que le 29 Janvier 1393, l
ts & aux passions humaines, ce qui est un grand mal. Je finirai l’
histoire
de la Danse par une singularité que nous rapporte
t augmenter à la fois, sa considération, ses plaisirs et sa gloire. L’
Histoire
raisonnée des Arts, est donc leur vraie, leur uti
s des caractères nationaux, quelques personnages de la Fable, ou de l’
Histoire
; mais sa peinture ressemble alors à la peinture
n action a sur la Danse simple, la supériorité qu’a un beau tableau d’
histoire
sur des découpures de fleurs. Un arrangement méca
tion, j’en ai composé un grand nombre d’après les auteurs anciens ; l’
histoire
, la fable m’ont fourni de précieux matériaux ; le
us grand effet ; mais ce moyen blesseroit tous ceux qui connoissent l’
histoire
, et qui préfèrent la vérité au vraisemblable. Je
Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. Il n’y a point d’
Histoire
touchant les Sciences & les Arts, qui ne renf
anseur, dans l’imitation de Prothée : nous n’en trouvons point dans l’
histoire
qui l’ayent surpassé. Il y a aussi apparence qu’E
sent les Anciens, qu’il soit d’une profonde imagination, versé dans l’
Histoire
comme dans la fable, & grand Naturaliste ou b
s sortes de danses en usage chez les Grecs. Voilà à peu près ce que l’
Histoire
nous a conservé sur l’origine de la Danse des Anc
nse des Anciens, & ce qui m’a servi de canevas pour en composer l’
Histoire
générale, que j’ai tâché de mettre en ordre par C
amp; donner au Public un ouvrage de sa composition qui a pour titre :
Histoire
générale de la Danse, depuis son origine jusqu’à
, encore, ici, Pour la Pucelle du Croisi, Deux ou trois petits mots d’
Histoire
, Qui font le comble de sa gloire : À savoir, ô ch
V. Des Ballets poétiques L’Opéra en Italie s’empara des sujets de l’
Histoire
et de la Fable, et l’on vit peu de grands ballets
iltrant pour ainsi dire, à travers les générations. C’est alors que l’
histoire
pourra peindre librement, et oubliant tout à la f
us, leur foiblesse ou leur courage, leur clémence ou leur tyrannie. L’
histoire
ne nous offre que des portraits infidèles lorsqu’
sans ressemblance n’annoncent que la servitude et le mensonge. Mais l’
histoire
est majestueuse et triomphante lorsqu’elle descen
t des ornemens étrangers. C’est donc la postérité qui doit offrir à l’
histoire
, la palette, les couleurs, et les pinceaux vigour
en 1823, dans Aladin ou la Lampe merveilleuse. Cette dame n’a point d’
histoire
. Sa lampe ne brilla jamais bien fort. *** Derrièr
carrière de la mieux douée des artistes de la nouvelle floraison. Les
histoires
de Louise Duvernay firent du bruit dans le Lander
205. 53. Henri Heine, Der Karneval in Paris, 1842. 54. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique en France, t. I, p. 282. 55.
stoire de l’Art dramatique en France, t. I, p. 282. 55. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique, t. III, p. 222. 56. Mémoir
Paris, t. III, p. 214. 59. Petits Mémoires de l’Opéra, p. 19. 60.
Histoire
de l’Art dramatique, t. I, p. 93. 61. Emaux et
é. — Les beautés de la veille. — les bons mouvements de la baronne. —
Histoire
d’un petit Savoyard. — Son adoption. — Ce qu’il e
té ; comme elle avait du temps à perdre, elle le pria de raconter son
histoire
, ce que le petit fit d’une manière si touchante,
émêle point, au premier coup-d’œil, l’idée du peintre ; si le trait d’
histoire
dont il a fait choix ne se retrace pas à l’imagin
e on arrive au dénouement, et l’œil lit sans peine et sans embarras l’
histoire
d’un prince dont la mémoire est gravée par l’amou
démêle point au premier coup d’œil, l’idée du Peintre ; si le trait d’
Histoire
dont il a fait choix, ne se retrace pas à l’imagi
rrive au dénouement, & l’œil lit sans peine & sans embarras l’
Histoire
d’un Prince dont la mémoire est gravée par l’amou
nt surpris que cet Empereur les ait réprouvés par une loi expresse. L’
Histoire
qui nous peint tous les grands Rois occupés sans
Il avait été servi à souhait. Henry avait broché une stupide et plate
histoire
de pirates arabes, de jeunes filles enlevées, ret
ions. Mais ces soirées de Berlin n’eurent aucune signification pour l’
histoire
de l’art. Berlin était à la périphérie du monde t
e son développement, réaliser toutes ses promesses, et prendre dans l’
histoire
de l’art sa place définitive où sa physionomie no
5. 101. Gazette des Théâtres, 12 avril 1835. 102. Charles Maurice,
Histoire
anecdotique du Théâtre, t. II, p. 124. 103. Mém
3. 104. La Revue de Paris, t. XXX, 1836, p. 206. 105. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique, t. I, p. 43. 106. Th. Gauti
autier, Histoire de l’Art dramatique, t. I, p. 43. 106. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique, t. II, p. 135. 107. Voir no
s, 1883. 109. Gazette des Théâtres, 6 juin 1836. 110. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique, t. I, p. 283. 111. L’Artis
tique, & des sauts périlleux. J’ai crû devoir employer dans l’
Histoire
générale de la Danse, ce qui concerne celle des D
de la Bibliothéque Royale, m’a prêté, sçachant que je travaillois à l’
Histoire
de la Danse. C’est pourquoi on peut regarder ce C
voir de pareils attentats contre ceux qui excellent dans les Arts : l’
Histoire
nous en fournit quantité d’éxemples, surtout pour
se ; j’ai déjà indiqué le caractère des costumes, tissus de rêve et d’
histoire
, échos du temps passé plutôt qu’objets de vitrine
mime connaisse la Poésie, la Géométrie, la Musique, la Philosophie, l’
Histoire
, et la fable, qu’il sache exprimer les passions,
u, ne craignons point d’en trop faire ; et qu’on jette les yeux sur l’
histoire
des Arts, on verra que nous ne sommes encore à ce
qu’au Compas, Font en dansant de divins pas.63 CLION, DÉESSE de l’
HISTOIRE
, Sous qui j’ouvre mon Écritoire, A là, pour son p
caractérisée au chant d’un hymne qui exprimoit les vœux du peuple. L’
Histoire
sainte nous fait voir combien la danse Sacrée éto
s, ceux qui menoient le branle de la danse aux fêtes de cérémonies. L’
Histoire
des Ordres Monastiques du Pere Héliot nous donne
aucoup de dévotion, pour imiter leur fondateur nommé Ménélaüs, dont l’
histoire
fabuleuse dit qu’il tourna miraculeusement de cet
mmencements difficiles. — Etudes. — Succès. — Vie intérieure. — Pas d’
histoire
: — Julia Subra. — Une Ophélie engraissée. — Le t
en est des femmes comme des nations… Heureuses celles qui n’ont pas d’
histoire
! A l’Opéra, on dirait : d’histoires, — et ce plu
Heureuses celles qui n’ont pas d’histoire ! A l’Opéra, on dirait : d’
histoires
, — et ce pluriel ne paraîtrait pas singulier.
ble génie sous les auspices duquel grandit Fanny Elssler fut Haydn. L’
histoire
de la famille de la danseuse est étroitement liée
conduite par un homme qui est une des figures les plus curieuses de l’
histoire
du théâtre au dix-neuvième siècle, par Barbaja, l
même d’éclatants témoignages de sympathie. Ce n’est là en somme que l’
histoire
banale du succès, comme l’ont connu des milliers
voir que les deux sœurs occuperaient une place très différente dans l’
histoire
de la danse. C’est ce qu’avait pressenti la sagac
mmer 1831, Stuttgart und Tübingen, 1832, p. 268. 11. Alphonse Royer,
Histoire
de l’Opéra, Paris, 1875, p. 174. 12. Revue Brit
èrent les Fêtes hyménées, dans lesquelles on retraçait tous les ans l’
histoire
qu’on vient de rapporter. Les Danses particulière
allet] Les premiers furent la représentation des sujets connus dans l’
Histoire
, comme le siège de Troie, les batailles d’Alexand
: mais elles se manifestent d’une manière encore plus sensible dans l’
histoire
des Arts. Comme dans son principe, le ballet est
et poétiques. Les sujets historiques sont les actions connues dans l’
histoire
, comme le siège de Troie, les victoires d’Alexand
ngénieux, sont de plusieurs espèces, et tiennent pour la plupart de l’
histoire
et de la fable. On exprime par les uns les choses
de la foire Saint-Germain, des passe-temps, du carnaval, etc. Enfin l’
histoire
, la fable, l’allégorie, les romans, le caprice, l
e digne de la sainteté qui doit être dans les chrétiens, comme dans l’
histoire
du mariage du jeune Tobie avec Sara. Le Saint-Esp
ire sortir, et il opère ensuite des miracles, comme on le voit dans l’
histoire
de la résurrection de la fille de Jaïr, chef de l
échanisme de la danse, doit sacrifier tous ses loisirs à l’etude de l’
histoire
et de la mythologie, se pénétrer de toutes les be
it tableau de fantasie que le peintre doit offrir, c’est un tableau d’
histoire
; tout doit y être grand, expressif et majestueux
er dans des bornes raisonnables. Je n’en connais qu’un exemple dans l’
Histoire
des Arts. Je vais le rapporter. Puisse-t-il en pa
de Sylvia dans un esprit d’ironie et de rêverie rétrospective ? Or l’
histoire
de la nymphe farouche qui aima le berger Aminta p
a peine à se persuader aujourd’hui les merveilles que nous en trace l’
histoire
. Cet art, considéré comme faisant partie de l’édu
e, an 8. Cette fête étoit allégorique, et elle fera époque dans notre
histoire
. On la nomma l’impromtu de la sagesse. Cette fête
ais pu l’égayer aisément. Je n’avais qu’à m’attacher un peu moins à l’
histoire
de l’Art et beaucoup plus à celle des Artistes ;
j’ai traitée est neuve en notre langue ; quoique nous ayons déjà une
Histoire
de la Danse 6, et un Traité des Ballets 7. Le pre
x ; si les arts, dans toutes leurs ramifications, jettent leur propre
histoire
au sein de ces archives, est-il une tâche qui pro
es dans les résultats qu’elle doit produire ? Telle est, en France, l’
histoire
de l’opéra ; cette gloire de notre pays, cette fé
patience de nos lecteurs. Durey de Noinville, qui publia en 1753 une
Histoire
du théâtre de l’Académie royale de musique, décla
de l’opéra français, personne n’a pensé à lui contester ce mérite. L’
histoire
de l’opéra est donc celle de ce maître lui-même,
ion d’un royaume. Nous les rapportons ici, parce qu’elles racontent l’
histoire
du temps actuel tout autant que celles du temps p
te ici une curieuse et frappante coïncidence entre cette période de l’
histoire
de l’Opéra et ce que nous avons rapporté de sa na
l perdit 217,929 fr. Les chiffres forment une partie essentielle de l’
histoire
de tous les théâtres. Sous l’Empire, l’art du déc
e, est une halte indispensable entre la salle à manger et le salon. L’
histoire
des bals masqués semble former une appendice néce
s les mots, cette autre entente cordiale. Cela me rappelle une petite
histoire
. C’était à l’Athénée en 1893. Nous répétions la S
quoi il n’avait pas voulu me recevoir dans son hôtel. Il me raconta l’
histoire
suivante : — Lorsque vous jouiez Jack Sheppard, l
Se connaître, se restreindre. Puis créer, car la France ayant, dans l’
histoire
donné à la danse son expression suprême peut être
e instant, mes réfléxions sur cet objet, intéressant peut-être pour l’
histoire
de cet art enchanteur. Je suis, etc.
nièce des deux précédentes, est l’héroïne dont nous allons résumer l’
histoire
. La quatrième, également appelée Marie, était la
té de la partition, ce fut une soirée triomphale qui fait date dans l’
histoire
de la danse. Ce que le public applaudit frénétiqu
. Les Adieux à Mademoiselle Taglioni, Paris, 1837. 71. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique, t. III, p. 225. 72. Gazett
ni. 85. L’Artiste, t. XIII, p. 7. 86. De Spoelberch de Lovenjoul,
Histoire
des Œuvres de Th. Gautier, Paris, 1887, t. II, p.
eur de l’Opéra, était, mieux que personne, en mesure d’en connaître l’
histoire
jusque dans les replis les plus invraisemblables.
x, d’ivoires, de bronzes et de sèvres… Parbleu ! vous vous rappelez l’
histoire
de mademoiselle Saint-Germain, dont — vers 1730 —
e rappeler à son souvenir, j’aurais l’air de lui raconter une vieille
histoire
. Comme j’avais alors à peine dépassé ma vingtième
sque j’y arrivai. Je demandai à voir le directeur et lui racontai mon
histoire
. Il m’offrit cent cinquante dollars par semaine.
sés dans les grands bals parés lui étoient payés trois cens francs. L’
histoire
de la Traine, ou des longues queües adaptées aux
sse, c’est ce qu’il aimoit avec le plus de passion. Je lui racontai l’
histoire
du rondeau, et je lui demandai la permission de l
selles. — Leur intelligence. — Leur éducation. — Ce qu’elles savent d’
histoire
et de géographie. — Poulet galant. — Les Marcheus
nd, après le spectacle, pour la conduire là où elle a envie d’aller :
histoire
de lui éviter toute espèce de mauvaises rencontre
ez-vous vous flatter d’être peintres ? vous voulez composer d’après l’
histoire
, et vous l’ignorez ; d’après les poètes, et vous
La « vocation » chez les danseuses !… Hé ! mon Dieu, c’est toujours l’
histoire
racontée — en vers — par Vermersch : Monsieur Pi
e sacrée des Égyptiens »] Il est aisé de se convaincre par ce trait d’
histoire
de l’antiquité des superstitions égyptiennes, pui
s y dansaient pieusement en chantant les prières de l’Eglise. Voyez l’
histoire
des ordres monastiques du P. Heliot. On bâtit des
idité au son de la flûte. Voyez Moulinet [Article non rédigé], Traité
histoire
de la danse, Ière partie, livre I, chap. 12, « De
nement sensationnel qui défrayait toutes les conversations, c’était l’
histoire
d’un jeune et séduisant gentilhomme italien, M. d
tait pas inutile. Th. Gautier se chargeait de narrer de merveilleuses
histoires
, au besoin d’en inventer. « Croyez, disait-il en
itung, n° 214, 26 octobre 1837. 128. Ils sont reproduits soit dans l’
Histoire
de l’Art dramatique en France, Paris, 7 vol., 185
tique. 131. La Renaissance latine, 15 août 1903. 132. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique en France, t. I, p. 188-190.
e de l’Art dramatique en France, t. I, p. 188-190. 133. Th. Gautier,
Histoire
de l’Art dramatique en France, t. I, p. 190. 134
La lettre de Th. Gautier et la réponse de Fanny sont publiées dans l’
Histoire
des Œuvres de Théophile Gautier, par de Spoelberc
auf à l’exclusion de son malheureux père. Après m’avoir raconté cette
histoire
qui expliquait son air de tristesse lors de notre
au goût & au génie, peut s’embellir & se varier à l’infini. L’
Histoire
, la Fable, la Poésie, la Peinture, tout lui tend
ez-vous vous flatter d’être Peintres ? Vous voulez composer d’après l’
Histoire
, & vous l’ignorez ; d’après les Poëtes, &
des lettres, qu’ils avaient celui des chansons : leurs lois et leurs
histoires
, les louanges des dieux et des grands hommes, fur
n seulement de l’amour et du vin, comme aujourd’hui, mais encore de l’
histoire
, de la guerre, et même de la morale. Telle est ce
caractère est d’émouvoir l’âme par le récit tendre et naïf de quelque
histoire
amoureuse et tragique ; les chansons pastorales,
ù personne n’écoute. (B) Concert Spirituel Concert spirituel, (
Histoire
moderne) spectacle public dans lequel on exécute,
oint sont seules capables de rendre très croyable ce qu’on lit dans l’
histoire
ancienne de la musique des Grecs : plusieurs de l
depuis deux ou trois siécles. Comme je ne prétens pas rappeler dans l’
Histoire
de la Danse ce que j’ai dit dans celle de la Musi
giques étoient graves & sérieux, leurs sujets se prenoient dans l’
Histoire
ou dans la Fable : les comiques étoient plaisans
, dans la Religion, dans la Philosophie morale, dans la Fable, dans l’
Histoire
, dans les Romans, dans les Poétes, dans la Peintu
leur demanderai s’ils ont autant remarqué tout ce qui est dit dans l’
histoire
de ce saint roi pénitent, des différens caractère
avid à ce reproche et à cette raillerie de Michol ? Apprenons-le de l’
histoire
sacrée. (2 Rois, c. 6, vv. 21 et 22.) Oui, dit-i
t francs. Cela paye les voitures et les gants. XIV Et la grande
histoire
du cachemire ! Elles arrivent au bal munies d’un
es assurent qu’un joli jeune homme fait pied de grue sous sa croisée,
histoire
de recueillir les louis qui tombent, mais je n’en
mais je n’ai vu Calvé plus jolie qu’avec cet air d’extase… Et voilà l’
histoire
de mes débuts à Paris.
tie de ma collection. On la retrouve partout. Regardez ! Il raconta l’
histoire
des papillons, ajoutant : — C’est la nature que p
de M. Daly, rompre un traité pour une tournée en France. Telle est l’
histoire
de mes relations avec Hanako, grande et petite ac
donienne, c’est que j’ai cru, en toute humilité, écrire une page de l’
histoire
du théâtre national russe. Ce qui se joue actuell
enfant du génie, et du goût peut s’embellir, se varier à l’infini. L’
histoire
, la fable, la peinture, tous les arts se réunisse
vironnoient les guillotines. Ces taches conservées, pas le burin de l’
histoire
feront passer à la postérité la plus reculée, l’h
une ballade. — Nodier, en effet, rapportait de son voyage en Écosse l’
histoire
de Trilby : Trilby, c’est le bon génie du foyer d
tout quand une belle jeune fille de vingt ans viendra prêter, à cette
histoire
, la grâce et la poésie de sa bienfaisante jeuness
s ce temps là un ballet, je cherchai, soit dans la fable, soit dans l’
histoire
, soit enfin dans mon imagination, des sujets, qui
et qui caractérisent le grand maître de ballets, et vous verrez que l’
histoire
, la fable, les poëmes de l’antiquité et la scienc
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