tragiques. La forme qu’ils ont adoptée tient beaucoup de la Tragédie
Grecque
, en a presque tous les défauts, et n’en a que rar
en a que rarement les beautés. Quinault a bâti un édifice à part. Les
Grecs
et les Latins l’ont aidé dans les idées primitive
taliens et des Latins, et qui n’est point inférieure à celle-même des
Grecs
. Ces propositions sont nouvelles. Pour les établi
autant que la composition dont elle fait partie sera bien connue. Les
Grecs
ont imaginé une représentation vivante des différ
une expression complète ont fait passer mille fois dans les cœurs des
Grecs
la pitié, l’admiration, la terreur. Une pareille
l’oreille, de faire passer l’émotion dans l’âme des Spectateurs. Les
Grecs
vivaient sous un gouvernement populaire. Leurs mœ
ait été mieux liée. [Voir Ballet, Entracte] Telle fut la Tragédie des
Grecs
. Voilà le premier modèle : voici la manière dont
ens l’ont suivi. Dans les premiers temps, ils ont pris les sujets des
Grecs
, ont changé la division, et l’ont faite en trois
les occasions éclatantes, est à peu près tel qu’était la Mélopée des
Grecs
; mais moins serrés dans leur Dialogue, surcharge
nés de fleurs, sont peut-être encore plus dissemblables des Tragédies
Grecques
. L’Abbé Métastase, ce Poète honoré à Vienne, dont
exécutent sur les Théâtres d’Italie non seulement ce chant simple des
Grecs
, mais encore ces morceaux forts de composition, q
ait, elle y gagnerait presque toujours122. En retenant les chœurs des
Grecs
, les Italiens les ont laissés avec encore moins d
long124, embrouillé, sans rapport, n’est qu’un mélange du Théâtre des
Grecs
, de la Tragédie Française, et des rhapsodies des
xtraordinaire suppose plus d’étendue de génie que tout le Théâtre des
Grecs
ensemble. Quinault connaissait la marche de l’Opé
t Spectacle. [Voir Féerie] Le langage musical si analogue à la Langue
Grecque
, et de nos jours si éloigné de la vraisemblance,
il plan, et en devenait un accessoire nécessaire. Les chœurs dont les
Grecs
n’avaient fait qu’un trop faible usage, et dont l
vrait et qu’on peut en attendre. 119. Tous les Ouvrages Dramatiques
Grecs
étaient représentés en Musique. Les preuves en so
à l’exclusion du Peuple, furent dans les suites imitées par tous les
Grecs
sans distinction ; mais l’ivresse, les convulsion
ées en des expressions de gaieté, de plaisir et de volupté. Ainsi les
Grecs
en formant les Danses lascives qui étaient les c
ut-être plus ardents pour le plaisir, commencèrent d’abord par où les
Grecs
avaient fini. Les Danses nuptiales, qui, sous cet
naient à la licence du sujet toute la grossièreté de l’exécution. Les
Grecs
furent des modèles honnêtes, en comparaison de la
ur, Est donc de Sicile un Seigneur Charmé, jusqu’à la Jalousie, D’une
Grecque
, son Affranchie. D’autre part, un Marquis Franç
ut, on y voit deux Esclaves86 Qui peuvent donner des Entraves : Deux
Grecques
, qui Grecques en tout, Peuvent pousser cent Cœurs
deux Esclaves86 Qui peuvent donner des Entraves : Deux Grecques, qui
Grecques
en tout, Peuvent pousser cent Cœurs à bout, Comme
agique. Personnages. Pyrrhus , fils d’Achille, Genéral des
Grecs
. Polixène , fille de Priam. Priam , Roi des T
es , Captives. Capitaines et soldats troyens , Captifs. Officiers
Grecs
. Soldats Grecs . Prêtres et sacrificateurs d
apitaines et soldats troyens , Captifs. Officiers Grecs . Soldats
Grecs
. Prêtres et sacrificateurs d’Apollon . Pr
’entrée à l’enorme cheval qui renfermoit des hommes armés, et que les
Grecs
avoient fait construire et feint d’abandonner ens
mourant et ensanglanté au milieu de ses soldats, et ce sang, que les
Grecs
prennent plaisir à voir couler, est le signal de
derrières de cette ville les Troyens et les Troyennes enchaînés ; les
Grecs
portent les trophées de la victoire ; les uns son
uverte de vaisseaux, et les deux cotés du théâtre offrent le camp des
Grecs
; la tente de Pyrrhus est distinguée par sa riche
nt avec leurs boucliers des dégrès par les quels Pyrrhus descend. Les
Grecs
célèbrent le triomphe de ce héros par des danses
né Pyrrhus tente d’unir son sang à celui de son amante. Les officiers
Grecs
, attentifs à la conservation des jours de ce héro
On peut juger, par cette seule réflexion, du point éminent auquel les
Grecs
portèrent, dans les suites, cet Art qu’ils connur
ires des contemporains, que la pénétration, la gaieté, et la vivacité
grecque
, saisissaient toujours du côté ridicule ; l’espri
s, l’ordre et l’harmonie de leurs mouvements. La première saillie des
Grecs
, sur ce point, fut, on l’avoue, une bévue ; mais
bleau. La Danse a conservé le caractère de son établissement chez les
Grecs
et chez les Romains. Elle a dégénéré dans les siè
digne de leur magnificence ; et qui aurait flatté le goût délicat des
Grecs
, il est inconcevable que ses progrès aient été si
Sur la danse ancienne Cordace Cordace, s. f. danse des
Grecs
. Elle a pris son nom d’un des suivants de Bacchus
la danse. Voyez Danse. (B) Cycinnis Cycinnis, s. f. danse des
Grecs
. Elle avait retenu le nom de son inventeur, qui é
»] On donne encore ce nom à toutes les danses que les Egyptiens, les
Grecs
, et les Romains avaient instituées à l’honneur de
re. Ainsi elle devint parmi les Egyptiens, et successivement chez les
Grecs
et les Romains, la partie la plus considérable du
es cérémonies du peuple qu’il venait de quitter, et il les imita. Les
Grecs
durent aux Egyptiens presque toutes leurs premièr
sa patrie leurs connaissances et leurs erreurs. Aussi le système des
Grecs
sur la religion n’était-il qu’une copie de toutes
crées. Il en fut ainsi chez les Romains, qui adoptèrent les dieux des
Grecs
. Numa, roi pacifique, crut pouvoir adoucir la rud
, le javelot, et le bouclier. On voit assez que c’est la même que les
Grecs
appelaient memphitique. Ils en attribuaient l’inv
ncore tenu pour l’inventeur par quelques anciens auteurs. La jeunesse
grecque
s’exerçait à cette danse, pour se distraire des e
stres, et l’harmonie de leur mouvement. Cette danse sublime passa aux
Grecs
, qui l’adoptèrent pour le théâtre. Voyez Strophe
’elles fussent exécutées dans la belle saison au milieu des bois. Les
Grecs
et les Romains avaient grand soin de les rendre t
stinguait ainsi les différentes danses qui peignaient la volupté. Les
Grecs
la connaissaient, et ils étaient dignes de la sen
ut-être plus ardents pour le plaisir, commencèrent d’abord par où les
Grecs
avaient fini. Voyez Danse nuptiale. C’est aux bac
nt les nuits ; de là toutes les libertés qui s’y introduisirent : les
Grecs
en firent leurs délices, et les Romains les adopt
e du Traité de la danse. [livre II, chap. 4, « De quelques danses des
Grecs
»] (B) Danse des Matassins Danse des Matas
ssins ou des Bouffons. Elle était une des plus anciennes danses des
Grecs
. Les danseurs étaient vêtus de corselets ; ils av
iens théâtres : on ne l’y connaît plus maintenant, et les délices des
Grecs
sont de nos jours relégués aux marionnettes. Thoi
ue de toutes les actions secrètes du mariage. Les danses lascives des
Grecs
donnèrent aux Romains l’idée de celle-ci, et ils
té historique, Ire partie, livre I, chap. 9, « De la Danse sacrée des
Grecs
et des Romains »] Dessauteur Dessauteur,
Dessauteur Dessauteur, s. m. (Hist. anc.) c’est le nom que les
Grecs
donnaient à ceux qui révélaient les mystères des
e Jaucourt] (B). Emmelie Emmelie, s. f. (Hist. anc.) danse des
Grecs
. Un des suivants de Bacchus, dans sa conquête des
ec la jeunesse de Délos ; et cette danse passa dans les tragédies des
Grecs
, pour y servir d’intermèdes. Elle fut mise à la p
rimé par des danses caractérisées les Mysteres de leur Religion : les
Grecs
ont encheri sur eux en ce point, comme on le voit
res sur le monde élémentaire : son usage passa chez les Caldéens, les
Grecs
, & les Persans, qui joignirent ses préceptes
estins, desquels le Bal faisoit l’accomplissement de la fête chez les
Grecs
Diodore l’attribue aussi à Terpsicore, la premier
ui étoient des Fêtes où les Danses Lascives prirent leur origine. Les
Grecs
dont les mœurs étoient très-corrompues, les adopt
glement des mœurs, en quoi ils ne s’accordoient pas, dit il, avec les
Grecs
, qui l’estimoient nécessaire pour la politesse de
r les danses publiques. C’est du mélange de toutes ces danses que les
Grecs
composerent la Théâtrale & les Balets, dans l
u’il paroît avoir été le premier spectacle public représenté chez les
Grecs
, qui appeloient ces Danseurs Schoënobates, &
Chapitre IX. De la Danse sacrée des
Grecs
et des Romains Au temps où les Grecs étaient pl
tre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains Au temps où les
Grecs
étaient plongés dans la plus stupide ignorance, O
si chez les Romains, qui adoptèrent successivement tous les Dieux des
Grecs
. Les Brigands qui avaient suivi Romulus, troupe f
n beau spectacle, si elle n’est de la partie. C’est un art auquel les
Grecs
ont donné le nom de Chorographie propre à exprime
de cérémonie, puisque Lucien assure que parmi les Egyptiens & les
Grecs
, il n’étoit ni fête ni cérémonie complette où la
Aristophane, qui sont les premiers Poëtes, qui ont introduit chez les
Grecs
des chœurs de Musique & des Entrées de Balet
il fait son cours journalier & annuel. Ce fut aussi de-là que les
Grecs
tirerent l’origine des Strophes & des Antistr
Guerre, étoient ses premiers emplois, surtout chez les Egyptiens, les
Grecs
& les Perses, d’un tems immémorial. Outre qu’
t qu’elle ne fut point admise dans les jeux Olympiques, parce que les
Grecs
ne crurent pas avoir des prix dignes d’elles ; ma
de l’ajouterent à leurs jeux publics : ce qui passa en usage chez les
Grecs
, chez les Romains, & presque dans toutes les
Pantomines & les Danseurs ont été les premiers Comédiens chez les
Grecs
: il y a aussi eu des femmes excellentes Pantomim
; car il y étoit si sçavant, qu’il en étoit estimé, non seulement des
Grecs
, mais encore des Troyens ses ennemis. Pyrrhus acq
’Helene par Thésée l’an 2854 du Monde, pour satisfaire son amour. Les
Grecs
avoient dès ce tems-là l’usage des Contre-danses,
cette matiere depuis trois ou quatre mille ans par les Egyptiens, les
Grecs
& les Latins : mais j’ose dire qu’il est surp
e l’innocence des premieres Danses des Juifs, des Egyptiens & des
Grecs
. Ce n’étoit pas seulement à bien danser que les A
’expriment par leurs mouvemens & qui ne deviennent sensibles. Les
Grecs
appeloient les habiles Danseurs les sages des pie
sographie, qu’il y avoit deux cens sortes de danses en usage chez les
Grecs
. Voilà à peu près ce que l’Histoire nous a conser
e le regarder comme le premier spectacle public qui ait paru chez les
Grecs
, puisqu’il étoit en usage bien auparavant les Jeu
ité du Théâtre, dit que les Danseurs de corde étoient connus chez les
Grecs
sous le nom de Scocnobates, & chez les Latins
ignirent à leur troupe des Sauteurs pour les sauts périlleux, que les
Grecs
appeloient Cubistes, & des femmes qui sautoie
ctacles qu’avec une espéce de honte. Pausanias rapporte aussi que les
Grecs
refuserent d’admettre les Danseurs de corde, aux
emens impudiques & dissolus, ne l’ayant osé entreprendre chez les
Grecs
, à cause de la vénération qu’ils avoient pour cet
aussi ces sortes d’éxercices qui composoient les Jeux Olimpiques. Les
Grecs
avoient des Académies publiques qu’on appeloit Gy
près que les Perses & les Romains eurent affoibli la grandeur des
Grecs
, qu’ils envoyerent leurs enfans en Toscane pour l
tous les exercices du corps, où cette Nation excelloit autant que les
Grecs
l’avoient pû faire dans le tems de leur splendeur
ont aussi passé pour de très-fameux danseurs & sauteurs chez les
Grecs
; c’étoit des qualitez fort estimables chez les E
Grecs ; c’étoit des qualitez fort estimables chez les Egiptiens, les
Grecs
& les Toscans dans l’Antiquité. Tuccaro, comm
Chapitre II. De la Danse théâtrale des
Grecs
La Pythie déclara par un Oracle, qu’un bon Dans
; ou ce qui est pis encore, parce ce qu’il ne veut pas entendre. Les
Grecs
qui avaient la vue déliée et l’oreille fine, ente
rue] De nouveaux sujets sans nombre51 succédèrent à ces premiers. Les
Grecs
eurent toujours l’imagination féconde et l’exécut
f cruel et sanguinaire avoit conçu une haine si implacable contre les
Grecs
, qu’il n’en échappoit aucun à sa rage ; il les fa
el est le plan du ballet. Ce sujet a été traité par Euripide chez les
Grecs
, et par Guymond de la Touche chez les Français, I
si c’est une licence, elle m’est d’autant plus permise, que le poëte
Grec
termine son Iphigénie par l’arrivée céleste de Mi
donner la mort, se consacre aux autels de Diane ; elle part avec les
Grecs
, qui emportent sa statue et qui vont lui élever u
i de loin paroîssent se réunir ; ils partagent les isles Cyanées. Les
Grecs
ont donné à ces rochers le nom de Sympléoades ; i
n s’élevant vers le ciel se brisent contre les rochers ; des matelots
Grecs
cramponnés aux débris du vaisseau d’Oreste lutten
des victimes innocentes qu’il a fait égorger : un instant après deux
Grecs
se peignent à son imagination ; l’un le menace de
haînés, renouvellent bientôt la soif qu’ il a de répandre le sang des
Grecs
. Scène iii. C’est en vain qu’il les questi
et d’exécuter les jeux institués pour célébrer l’arrivée de tous les
Grecs
que le hazard conduit dans ses états. Ces barbare
ite, en exprimant le plaisir barbare que lui cause l’arrivée des deux
Grecs
. Troisième partie. La décoration représent
férer le sacrifice, et même à chercher les moyens de dérober les deux
Grecs
au coup qui les menace ; elle se retire en promet
s astres, l’ordre immuable, et l’harmonie constante de l’univers. Les
Grecs
dans leurs tragédies introduisirent des danses, e
nt fixe. Voyez Chœur. Thésée changea ce premier objet de la danse des
Grecs
; leurs chœurs ne furent plus que l’image des évo
ballets furent constamment attachés aux tragédies et aux comédies des
Grecs
; Athénée les appelle danses philosophiques ; par
entant les passions, servait à rectifier les mouvements de l’âme. Les
Grecs
avaient d’abord quatre espèces de danseurs qu’on
bouffons ; et ce fut pour purger la scène de cette indécence, que les
Grecs
inventèrent les ballets réglés, et les chœurs gra
ès grand détail au sujet de cette brillante partie des spectacles des
Grecs
. Quelques auteurs ont prétendu que c’était à la c
es, est celle que nous avons rapportée ci-dessus. Le ballet passa des
Grecs
chez les Romains, et il y servit aux mêmes usages
rent en France la place qu’elles avaient occupée sur les théâtres des
Grecs
et des Romains ; on ne les y fit plus servir que
e galante, les Eléments, les Amours des Dieux, et peut-être les Fêtes
Grecques
et Romaines. D’où vient donc la rareté des talent
remiers ballets qui aient été faits par les anciens. Eriphanis, jeune
Grecque
, qui aimait passionnément un chasseur nommé Ménal
rt agréable invention. La danse de Terpsichore, du prologue des Fêtes
Grecques
et Romaines, doit être rangée aussi dans cette cl
s que les anciens et les modernes ont portées sur leurs théâtres. Les
Grecs
unirent la danse à la Tragédie et à la Comédie, m
mède [Article non signé]. Les Romains suivirent d’abord l’exemple des
Grecs
jusqu’au règne d’Auguste ; il parut alors deux ho
Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des
Grecs
avec les nôtres Lorsque Agamemnon partit pour l
n que ses talents lui avaient acquise, et l’estime singulière que les
Grecs
avaient pour son Art, lui avaient procuré une dis
cienne Epodes Epodes, (Musique.) chant des anciens chœurs des
Grecs
, qu’ils exécutaient sans se mouvoir, pour représe
de grace ; l’on a dansé dans les Fêtes des Agapes & dans l’Eglise
Grecque
& Latine, jusqu’au XIII siécle qu’il fut abol
qu’après avoir donné l’histoire de la Danse Sacrée des Egyptiens, des
Grecs
, des Juifs & de l’Eglise Latine, il devoit bi
le. Car elle a beau passer sa vie à décomposer les gestes des statues
grecques
, des estampes japonaises, des figures creusées da
nfants. Aujourd’hui, qui le croirait ? ce sont les danses des statues
grecques
que nous voyons sur toutes les scènes de l’Europe
t à courir, à marcher dans la pleine liberté de mouvement des enfants
grecs
, tels qu’on les voit sur des bas-reliefs qui deme
s en chantant des airs rythmiques. Vêtues d’une sorte de tunique à la
grecque
, courte et lâche, les jambes nues, les cheveux li
ur assigna leurs divers caractères, la Musique si expressive chez les
Grecs
, suivit les idées primitives dans les airs qu’ell
rèrent les Orgies. On voyait au commencement de l’Automne la jeunesse
Grecque
couronnée de Pampres et de Lierre, former des pas
ts. 71. 28. c’et pour lors, lisés : c’est pour lors 83. 14. entré des
grecs
, lisés : entrée des grecs. 84. 7. qui asterint, l
, lisés : c’est pour lors 83. 14. entré des grecs, lisés : entrée des
grecs
. 84. 7. qui asterint, lisés : qui astreint. 90. 2
e ceux qui en ont écrit avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des
Grecs
, et des Romains, Peuples les plus délicats, et le
nse des Anciens appelée Saltatio par les Romains, et Orchesis par les
Grecs
, n’était que l’art de jouer par les gestes une Ac
, et si surtout on fait réflexion à la magnificence avec laquelle les
Grecs
en général, et principalement les Athéniens faisa
assure, et que j’ai rapporté plus haut, que des Peuples tels que les
Grecs
et les Romains pleuraient aux Danses Pantomimes t
s joue dans nos Pièces le rôle que jouait le Chœur dans les Tragédies
Grecques
. Le plan de ces Tragédies doit nous servir de mod
établir un système tout à fait nouveau sur la Musique et la Danse des
Grecs
et des Romains. Il prétend que leur Chant n’était
ent les parties mécaniques de la Musique, du Chant et de la Danse des
Grecs
et des Romains étaient évidemment pour le fond, p
e. Homère nous retrace dans l’Iliade les exercices de Danse des héros
grecs
. Il nous décrit les danses gravées sur le Bouclie
un autre fond, en un mot si elle n’avait pas été une vraie danse, les
Grecs
et les Romains, les plus exacts de tous les homme
e il aurait dû être, lui qui connaissait si bien l’antiquité, que les
Grecs
et surtout les Romains, ont porté cet Art infinim
ce ; ce sont des figures décoratives. Et ce ne sont pas là des danses
grecques
reconstituées ; c’est plutôt le procédé conventio
’on reproduit grandeur nature, — me dis-je, — les figurines d’un vase
grec
, pourquoi ne pas reproduire sur la même échelle l
es Fêtes Baccanales. De la danse des Orgies. De la danse Pyrrique des
Grecs
. De la danse militaire des Lacédémoniens. De la d
. On a encore donné ce nom à toutes les Danses que les Égyptiens, les
Grecs
et les Romains instituèrent à l’honneur de leurs
Chapitre IV. De quelques Danses des
Grecs
Dans les mariages des Athéniens, une troupe lég
vec celles qu’on imagina dans les suites pour peindre la volupté. Les
Grecs
la connaissaient, étaient dignes de la sentir et
ors c’est une fête absolue, c’est l’enivrante vision dionysiaque. Les
Grecs
le savaient. Pour eux, la danse était une des rév
té ! L’époque de Louis-Philippe fut certainement bien loin de l’idéal
grec
. Le roi n’avait rien de Périclès, et ses ministre
t aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des
Grecs
. Les Anciens qui ont jugé que la représentatio
elis dans la tristesse. Enfin ce sont ces sortes de mouvemens que les
Grecs
nomment démonstrations, pareilles aux figures de
avoient leur nom particulier, qu’il seroit difficile de rapporter du
Grec
en notre Langue, pour les faire bien entendre : o
clamosum, expositionem tacitam. Idem. 59. C’est la traduction du mot
grec
Pantomime, de laquelle on se servait à Rome comme
du mot grec Pantomime, de laquelle on se servait à Rome comme du mot
Grec
même. 60. Athénée, Liv. I. ch. 17. 61. Chiron
ils prononceront sans appel, que tout ce qu’on raconte de celles des
Grecs
et des Romains n’est qu’une exagération extravaga
rate fut le plus sage de tous les hommes ; et c’était au temps de ces
Grecs
fameux, sur ces âmes privilégiées, à la vue de ce
celui de l’Opéra, la place qu’elle avait occupée sur les Théâtres des
Grecs
. On ne l’y fit plus servir que d’Intermède. Le gr
Opéras de Quinault. Ce genre appartient tout à fait à la France. Les
Grecs
, les Romains n’eurent aucun Spectacle qui puisse
Une trouvaille ! La Danseuse Vous savez donc l’anglais mieux que le
grec
? Moi C’est méchant ce que vous dites là et ce n’
comme d’autres en français ou en italien ; mais elle danse surtout en
grec
, et c’est ce dont vous ne douteriez pas si vous s
out en grec, et c’est ce dont vous ne douteriez pas si vous saviez le
grec
mieux que l’anglais. La Danseuse Oh ! moi, on ne
assage la marche mesurée et le geste avec la danse. Dans l’anthologie
Grecque
, on blâme un acteur qui avoit dansé le rôle de Ni
guées de l’état, parut en dansant dans sa salle d’audience, vêtu a la
grecque
, en robe longue, et au son des instrumens ; il fi
e la pantomime ; mais c’est une erreur ; cet art étoit connu chez les
Grecs
; Ampuse et Prothée l’avoient porté à sa perfecti
, & aux représentations des Balets de la danse Théâtrale dont les
Grecs
sont les premiers inventeurs ; à laquelle on peut
iens n’ont imaginé l’Opéra que sur les représentations des Balets des
Grecs
, & que l’invention de ceux d’Italie n’est tro
vemens de l’ame, suivant les sexes, & la différence des âges. Les
Grecs
ont aussi passé pour être les plus habiles à expr
la perfection des Balets. Néanmoins j’ose dire, malgré l’opinion des
Grecs
, qu’un génie heureux, avec quelques principes pou
mp; ce fut pour purger le Théâtre de ces spectacles indécens, que les
Grecs
eurent recours aux Balets sérieux & réglez, d
lercoterets, Balet. Balet de Chantilly. Renauld. Pirithoüs. Les Fêtes
Grecques
& Romaines. Mais outre ces Balets, qui se re
aux approches du cheval, une partie des murailles tomba ; les Soldats
Grecs
sortirent de cette machine, & les Troïens de
uperbement orné, & accompagnez de trois cens Cavaliers vétus à la
Grecque
, s’avancerent vers le College, précédez de plusie
ant la Régence, et la mode des premiers n’est pas encore revenue. Les
Grecs
n’ont point eu ce genre, il semble entièrement ap
fait développement. En admettant sur son Théâtre le même Art dont les
Grecs
et les Romains s’étaient si heureusement servis,
se rappeler les différents emplois qu’avait remplis la Danse chez les
Grecs
, chez les Romains, et dans les derniers siècles.
s la Fable par ses transformations surprenantes n’était qu’un Danseur
Grec
, qui opérait ces sortes de prodiges par la rapidi
e reprendre baleine. Voilà le spectacle, non tel qu’il étoit chez les
Grecs
dans sa création, mais tel qu’il existoit à Athèn
que la danse ne dit que confusément, parceque nos danseurs ne sont ni
Grecs
ni Romains. J’ajouterai enfin que le programme tr
te d’Ulisse avoit été jettée par une tempête sur les côte d’Italie un
Grec
de l’armée de ce Prince, nommé Lybas ayant insult
is, sociables, humains. On éleva des Théâtres. Les chefs d’œuvres des
Grecs
et des Romains qui avaient déjà servi de guide au
nombreux et enthousiaste, qu’ils recevoient le prix flatteur que les
Grecs
décernoient au mérite ; ils étoient couronnés par
oire et de son bonheur à l’amour qu’il avoit pour les beaux arts. Les
Grecs
ne bornoient point leurs récompenses au moment pa
t, et leur triomphe. C’est alors que Minerve, selon la Mythologie des
Grecs
, imagina la Memphitique . On la dansait avec l’é
esques 53 ; les bas-reliefs antiques, quelques fragments de peintures
grecques
, ainsi que celles à fresque, des loges du Vatican
écieux monuments de l’antiquité, qui honorent le pinceau et le ciseau
grec
, doivent servir de modèles et d’études au peintre
éducation qu’il traça pour la jeunesse de Sparte. Ces Peuples que les
Grecs
appelaient Barbares, allaient au combat en dansan
s parce que nous sommes fort éloignés de la perfection à laquelle les
Grecs
, et surtout les Romains, étaient parvenus. Leurs
a se fait remarquer par la belle simplicité qui caractérise le ciseau
grec
. (a) « Il ne manque rien à ces charmantes sculpt
e partielle mais saisissante entre le ballet moderne et l’orchestique
grecque
. C’est accoudé sur ce livre, témoignage à décharg
série de pirouettes, dessine automatiquement une variante du méandre
grec
; cette courbe dentelée qui semble enregistrer de
l d’emblée cette imposture du romantisme anglo-saxon qui, de la danse
grecque
antique, fait une improvisation dictée par l’émoi
la giration sur les pointes est rigoureusement idoine à l’orchestique
grecque
. L’hiérodule du ive siècle, coiffée du Kalathos,
es mœurs. Elle n’est pas comédienne ou, comme cela se disait chez les
Grecs
, « hypocrite ». « L’infinité des nobles similitud
déclamation, les masques, le costume, la musique, et la pantomime des
Grecs
et des Romains, est rempli de contradictions, d’é
aison qu’à l’éclairer. La déclamation fût à pou près la même chez les
Grecs
et chez les Romains ; même costume, même accoutre
, et quelques autres chefs-d’œuvre les plus étonnants de la sculpture
grecque
, sont des modèles sublimes de la perfection des f
té et au genre pastoral. Il faut aussi que les danseurs costumés à la
grecque
ou à la romaine, dansent différemment lorsqu’ils
Le nom de cette Muse qui préside à la danse est composé de deux mots
grecs
, dont le premier (terpein) signifie réjouir, et l
gers de justes mouvements. » Danchet. 28. Le nom d’Euterpe, du
grec
(Eu, terpein) Bien, Charmer, signifie plaisir : c
Pantomime est depuis long-temps dans ses jours de décadence ». Les
Grecs
& les Romains en firent un spectacle sublime.
t-on les vices de la Société ? Ces bagatelles étoient reçues chez les
Grecs
& chez les Romains. Le bon vieux temps n’est
és par nos contemporains ; mais un temps viendra, comme on l’a dit en
grec
dans certaine épigraphe, tirée d’Homère ; un temp
st très-grave. Un temps viendra (pour me servir encore de l’Epigraphe
grecque
) un temps viendra que les Français chériront à la
les groupes ; costumes les mieux adaptés au danseur. Fig. i. Tunique
grecque
. Fig. 2. Troubadour espagnol. Fig. 3. Villageois.
retrouva en elle et nous rendit les merveilles perdues de la mimique
grecque
, l’art de ces mouvements à la fois voluptueux et
s plus polis de l’Europe sont encore à notre égard, ce qu’ont été les
Grecs
et les Romains. Parmi ces derniers, une espèce de
e tradition classique du ballet français ; c’est encore l’orchestique
grecque
dont, décidément, nous ignorons trop de choses. E
ours, et le défaut de goût dans les spectateurs qui s’en amusent. Les
Grecs
avaient des entractes de chant et de danse dans t
avec les lions. [Voir Ballet] Les Romains, en adoptant le théâtre des
Grecs
, prirent tous les défauts de leur genre, et n’att
ez de génie et de goût pour se rendre propres les grandes beautés des
Grecs
, et pour en produire de nouvelles, que les Sophoc
rées de ces poèmes. Ainsi on dit : l’entrée de Tibulle dans les Fêtes
grecques
et romaines est fort ingénieuse, c’est une des me
distinguée par sa naissance et par sa beauté, qui savoit très-bien le
grec
et le latin ; mais Salluste ajoute en même temps,
nus, ces arts servirent à célébrer l’Être Suprême. Les Égyptiens, les
Grecs
, les Romains, et même les Juifs, les employèrent
divertissements publics. Peu à peu on dansa sur les théâtres, et les
Grecs
mêlèrent des danses à leurs tragédies et à leurs
, — avec infiniment de grâce, — le corps à peine voilé par un costume
grec
des plus légers et, fait très particulier, pieds
des tragédies. Je voyais s’évoquer les rythmes égyptiens, hindous et
grecs
. Je dis à la danseuse ce à quoi je croyais qu’ell
nifique spectacle. Voyez Opéra [Article de Jaucourt] et Chapelet. Les
Grecs
se servaient des chars pour introduire leurs divi
où se passe la scène. Ce qui nous reste des ouvrages dramatiques des
Grecs
, montre assez qu’Eschyle, Euripide et Sophocle ét
t concourir à rendre parfaite l’exécution de ses ouvrages. Ce que les
Grecs
, P. Corneille et Quinault ont cru nécessaire, eux
a un public nombreux et fidèle. Et pour nous soustraire aux tuniques
grecques
et aux péplums duncaniens, mentionnons Vicente Es
Amant de Cléopâtre, Et quantité d’autres Humains, De Chefs guerriers,
Grecs
et Romains. Ce combat fut fait en cadence ; Et je
phalanges de jolies femmes, qui proscrivant, la décence même, tantôt
Grecques
ou Romaines, tantôt Egyptiennes ou Circassiennes,
abitées par les nouveaux riches , ils y trouvent tout soi-disant à la
Grecque
. Les plus belles choses imaginées pour décorer l’
ouloir copier, lorsque nous pouvons créer et corriger même ce que les
Grecs
et les Romains ont fait d’irrégulier ? quelle est
te de l’Antiquité, que nous sommes plus licites en instrumens que les
Grecs
et les Romains, et que notre musique est aussi sa
nôtre est plus sage, plus vraie et bien plus naturelle que celle des
Grecs
et des Romains et que le costume adopté par notre
que d’être écrites ; et de-là vient, selon Aristote, que le même nom
grec
fut donné aux lois et aux chansons. (S) Les vers
nts de s’en tenir à la branche de myrte, donnèrent lieu à un proverbe
grec
, par lequel on disait qu’un homme chantait au myr
mant de leurs recherches! vertu pure et aimable ! ce fut toujours aux
Grecs
un destin digne d’envie, que de mourir pour vous,
oyait encore briller cet amour de la patrie et de la liberté dont les
Grecs
étaient transportés. « Du vin et de la santé, dit
philélie d’Apollon, les upinges de Diane, etc. (S) Ce genre passa des
Grecs
aux Latins ; plusieurs des odes d’Horace sont des
e les concerts et les chœurs de Musique. Voyez Chœurs et Concert. Les
Grecs
n’eurent point de poésie qui ne fût chantée ; la
ésie, la Sculpture, dans toutes leurs différentes transmigrations des
Grecs
chez les Romains, de chez les Romains dans le res
très croyable ce qu’on lit dans l’histoire ancienne de la musique des
Grecs
: plusieurs de leurs poésies nous restent ; leur
mérite théâtral. Il y avait donc, dans le pas des Lutteurs des Fêtes
Grecques
et Romaines que le Public a si constamment applau
r ; que sur ce plan on pourrait en faire une Tragédie comme celle des
Grecs
, en faisant parler mes personnages, et en substit
it part au Public de ses découvertes, que je crois que le théâtre des
Grecs
doit uniquement nous guider pour nos plans, et qu
rs ou Grands-Prêtres des Juifs, des Egiptiens, des Caldéens & des
Grecs
, furent les premiers qui composerent des danses c
hœur de leurs Eglises, comme faisoient dans les Jeux publics chez les
Grecs
, ceux qui menoient le branle de la danse aux fête
ens, surtout parmi les Caldéens, les Egyptiens, les Perses, & les
Grecs
. Danse Sacrée des Saliens.
matographie encore dans l’enfance pour reconstituer l’orchestique des
Grecs
, d’après les monuments figurés ? Non, car il est
Aux approches du Cheval, une partie des murailles tomba. Les soldats
Grecs
sortirent de cette machine, et les Troyens de leu
le fût évidemment déplacée. Dans l’Acte des Jeux Olympiques des Fêtes
Grecques
et Romaines 147, lorsque l’action commence, les J
dans les siècles les plus reculés, l’attention des législateurs ; les
Grecs
et les Romains, en l’introduisant dans le culte q
ois cents ans. Je n’ai pas prétendu imiter simplement l’Agamemnon des
Grecs
, j’y ai joint encore l’Electre et une partie des
eune lorsqu’Agamemnon fut unanimement choisi pour chef de l’armée des
Grecs
; le siège de Troye a duré dix années ; si l’on a
Messager. Principaux officiers d’Agamemnon. Dames du Palais. Soldats
Grecs
. Esclaves Troyens. Peuples de Mycènes. Le Grand P
instrumens consacrés à la guerre fait retentir les airs ; des soldats
Grecs
, marchant en ordre, ouvrent cette entrée triompha
qu’elles conviennent beaucoup mieux à l’imitation de la coiffure des
Grecs
et des Romains etc. que des cheveux frisés et pou
ment toupet à la Grèque. J’avois beau leur crier qu’ils n’étoient pas
Grecs
, et qu’ils ne pouvoient l’être dans la représenta
allet Pantomime dans le goût des Anciens. Ceux qui ont lu les auteurs
Grecs
ou Latins qui, soiten Original soit en Traduction
contre un peu d’esprit, et beaucoup de corruption. 22. C’est un mot
Grec
qui signifie Serviteur. On avait nommé ainsi ceux
, je tiens moi-même beaucoup à vous le dire. Vêtue d’une tunique à la
grecque
, jambes et pieds nus, vous avez interprété des pa
. [12] Ch. I, pag. 37, n. (I). Ritmo voce greca, ec. — Rythme, mot
grec
qui signifie Nombre. Le nombre est formé par la d
de volumes qui, au rapport de Pline, en avoient été composez par les
Grecs
, soit par la privation des ouvrages dont les Aute
ure du côté de la perfection & de l’estime où elle étoit chez les
Grecs
, n’ont pas même donné la moindre attention à cet
nous le voyons dans Moïse, David, & Salomon ; c’est pourquoy les
Grecs
ont aussi regardé Orphée, Lin, Musée, Homere, &am
vantoient d’avoir inventé la Peinture plus de 6000 ans avant que les
Grecs
en eussent la connoissance, & que les Grecs m
000 ans avant que les Grecs en eussent la connoissance, & que les
Grecs
même n’ont pû leur contester cet avantage sur eux
istoire, la fable m’ont fourni de précieux matériaux ; le théâtre des
Grecs
, Homère, Virgile, l’Arioste et le Tasse m’ont off
e est la seule chose dont je me souvienne, car tout le reste était du
grec
pour moi. A partir de ce moment il y eut une gran
lateurs. Pline nous apprend dans son Histoire naturelle, que quelques
Grecs
coupant de certains roseaux appellez Bonbiscins,
f de la troupe dont leurs chœurs étaient composés ; il vient d’un mot
grec
qui signifie le sommet de la tête. On donne ce no
s Français, avant tous les autres, comme il l’avait été autrefois des
Grecs
et des Romains. Je ne fais au reste, que copier d
angé le domino et la botte d’un personnage de Gozzi contre la tunique
grecque
; celle de Margot, écolière sage. Ce qu’elles fon
onument que je me proposois d’élever à la danse en action, et que les
Grecs
avoient nommée pantomime. En la renfermant dans
ent la Tempête. Le rideau se lève sur une bataille qui se livre entre
Grecs
et Turcs. Des guerriers vont et viennent ; ils to
sont emmenés, des vaincus gémissent ; sur le lieu du combat une femme
grecque
expire en couvrant son enfant des plis de son man
gé est recueilli par une belle jeune fille, Léa, l’enfant même que la
Grecque
en mourant avait laissée sur le champ de bataille
n effet, est regardé comme l’Inventeur de toutes les Danses, dont les
Grecs
et les Romains embellirent leurs Festins. Elles f
Fleurs, l’acte d’Eglé dans les talens lyriques, le prologue des fêtes
Grecques
et Romaines, l’acte Turc de l’Europe galante, un
e, que l’on puisse donner aux Princes, éclairés, et bienfaisants. Les
Grecs
imitèrent les Egyptiens ; et les Romains à leur t
visage ! et quel sera mon étonnement, lorsque je trouverrai dans les
Grecs
, dans les Romains, dans les Bergers, dans les Mat
concilier notre exécution vive et brillante avec l’attirail lourd des
Grecs
et des Romains ? Il est vrai, dit Lucien, que les
tous les spectacles, est celui qui se rapproche le plus de celui des
Grecs
, n’a adopté les masques que pour la danse seuleme
visage ! & quel sera mon étonnement lorsque je trouverai dans les
Grecs
, dans les Romains, dans les Bergers, dans les Mat
cution vive & brillante avec l’attirail lourd & incommode des
Grecs
& des Romains. Il est vrai, dit Lucien, que l
e tous les Spectacles est celui qui se rapproche le plus de celui des
Grecs
, n’a adopté les masques que pour la Danse seuleme
des dieux et des héros sculptés au flanc des vases ou des sarcophages
grecs
. Il y a transposition de la nature plutôt qu’imit
s du festin que lui offre son ami Murena, les danses de deux esclaves
grecs
. Viganò avait ici introduit le pas de deux exigé
du Maître voulant peindre une terreur tragique par des images toutes
grecques
et romaines. Elle se tient appuyée à l’autel, abs
emple de Cléomede natif de l’Isle d’Astipalée, aussi célébre chez les
Grecs
pour la force du corps, que Samson le fut parmi l
urs ; l’Acte d’Eglé dans les Talents Lyriques ; le Prologue des Fêtes
Grecques
& Romaines ; l’Acte Turc de l’Europe galante
non plus bannir les choeurs agissants et expressifs ; à l’exemple des
Grecs
, ils peuvent être employés dans quelques circonst
92
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
dans son cerveau. Lorsqu’on entend un si grand nombre de personnages,
Grecs
, Romains, Tartares ou Mahométans, estropier la La
t employés utilement dans les choeurs qui offrent l’image de ceux des
Grecs
; ils participent à l’action ; il faut, à cet eff
aux Hébreux, lesquels, de l’Orient, par leur communications avec les
Grecs
, l’ont transmise aux Romains, qui l’ont perfectio
due jusqu’à l’Opéra ; la toge y était sévèrement portée ; la draperie
grecque
, les accessoires, la foudre de Jupiter et la barb
plus empreinte de convention que d’exactitude : c’étaient encore des
Grecs
et des Romains à la façon de ceux de Racine et de
es de remarquables améliorations ; à l’exception de l’immuable temple
grec
, ils étaient convenables. La danse semblait stati
vous connaissez tous la petite X…, une des plus désirables « captives
grecques
» de Namouna… Elle a sur la peau le duvet pourp
eur procurerait cette expression supérieure à toutes les autres ? Les
Grecs
et les Romains avaient une raison très puissante
our les Démons, air vif pour les mêmes. Au quatrième acte, entrée des
Grecs
et chaconne, sans compter les vents, les tritons,
utes les parties de l’opéra ; il préside en souverain à ce spectacle.
Grec
, Romain, Berger, Chasseur, Guerrier, Faune, Sylva
ur les Démons ; air vif pour les mêmes. Au quatrieme Acte, entrée des
Grecs
& Chaconne, sans compter les Vents, les Trito
utes les parties de l’Opéra ; il préside en Souverain à ce Spectacle.
Grec
, Romain, Berger, Chasseur, Guerrier, Faune, Silva
ns esthétiques du dix-septième siècle. Mais il était un classique, un
Grec
même, par son goût pour les créations plastiques
d’Aphrodite, à l’androgyne antique, cette ravissante chimère de l’art
grec
. « Ses bras admirablement tournés sont moins rond
croirait sculptées dans le marbre du Pentélique par quelque statuaire
grec
du temps de Phidias, si elles n’étaient plus mobi
e mettrait en commençant ses rapsodies par un mu (c’est ainsi que les
Grecs
primitifs dans leur ignorance de notre langue mat
d’entrée : 25 francs. On se réunira à 11 heures précises. Un prince
grec
assistera au bal. Nota. Une lettre particulière
ncs de prime au cocher quand il peut accrocher la voiture d’un prince
grec
ou d’un agent de change parisien. C’est souvent
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