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1 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
es bonds irréguliers exprimaient sans art, mais non pas toujours sans grâce , une joie franche et vive. Ensuite les règles s’é
s la marche et dans le maintien, ces manières aimables et polies, ces grâces séduisantes qui, après avoir été portées dans les
e vit plus que cette partie matérielle qui défigurait un art plein de grâces et de charmes : on se tourna alors vers la danse
i uniront à la noblesse décente de la danse ancienne, l’aisance et la grâce de la danse moderne. Tels sont les principes qui
quelqu’un d’un ton affectueux ; offrir et recevoir quelque chose avec grâce  ; s’asseoir et se lever sans roideur et sans emba
2 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
roire ? Le fruit qui se peut tirer des meilleures choses dépend de la grâce de Dieu dont les jugemens sont impénétrables ; et
s jugemens sont impénétrables ; et la dépendance où nous sommes de la grâce pour faire le bien, doit-elle nous empêcher de pr
ocurer ? C’est ordinairement à l’usage de ces moyens qu’il attache sa grâce , sans laquelle Jésus-Christ nous dit que nous ne
à la miséricorde de Dieu, et ne pas espérer que, par le secours de sa grâce , la lumière de la vérité pénètrera dans un plus g
dé du démon , il ne laissa pas de répandre avec plus de profusion les grâces de ses instructions, en disant à ces Juifs qui ve
e malheur de les suivre, et qui, en les suivant, perdent la vie de la grâce , et se rendent dignes de la mort éternelle de l’e
3 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
la Salle était présent, Comme les Dames les plus belles, Y virent des grâce nouvelles. Quand cent fois constamment il plairai
s. Quand cent fois constamment il plairait, Et votre adresse et votre grâce Tous les plus habiles surpasse. Le passe-temps du
4 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
age, Dansaient des Danses de Village ; Mais avec tant d’agilité,3 De grâce et de dextérité,4 Que les meilleurs Danseurs des
uivre d’un Ballet, Gai, divertissant et follet, Contribuant, de bonne grâce , Aux plaisirs de la populace, Par cette générosit
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 8 novembre 1664 »
é, Que, certes, si je ne me trompe, Chacun doit admirer sa pompe, Ses grâces , ses naïvetés, Et ses rares diversités. J’en puis
es naïvetés, Et ses rares diversités. J’en puis rendre ce témoignage, Grâce aux Dieux, je vis cet Ouvrage, Ouvrage fin et dél
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
Avec l’amour et les doux vents. Le ROI terminant la dernière, Avec sa grâce coutumière, Avec son maintien sans égal, Il finit
s plus accomplis Acteurs Comme sur les meilleurs Danseurs, Et, par sa grâce sans seconde, Ravit les yeux de tout le monde, Qu
7 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
la mort de son fils. Les ondulations de ces cous blancs et déliés, la grâce mélancolique et languissante de ces oiseaux charm
e sous le grand tilleul du marché. On admira sa politesse et sa bonne grâce  ; mais lorsque les convives se levèrent de table
quoi que l’on fît. Sa tournure était modeste, son maintien décent, sa grâce pudique ; elle avait de grands yeux noirs magnifi
retter ou beaucoup blâmer ; mais qu’elle s’anime, tout s’éclaire : la grâce du mouvement remplace l’insignifiance du repos. L
faut le dire, est charmante et bien composée, pleine de passion et de grâce , favorable au développement mimique ; elle eût su
e de consoler le fiancé qu’elle a choisi. Il ne résiste pas à tant de grâces , et il répond à Giannina par un aveu complet de c
lle, interrompue par le tintement d’une cloche du monastère ; mais la grâce , comme la gaucherie du Nord, réussissent mal à re
mbre, qui a fait fureur en Angleterre, et où Fanny Cérito déploie une grâce exquise. L’invention en est heureuse ; c’est un h
. On s’avance tristement vers l’autel ; la rose va périr ; toutes les grâces de la jeune fille s’effeuillent ; toute sa beauté
t assimilée aux traditions du moyen âge. Dans un petit roman plein de grâce , le Trilby de l’Allemagne, il résuma la tradition
on pinceau, diaphane et transparente ; elle prend les couleurs et les grâces capricieuses de la chimère. Il aime à se plonger
éduire un talent de cette espèce. Un style facile, doux et large, une grâce colorée et vague, une imagination imprégnée de la
8 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
des qualités qui font l’art et les artistes la fantaisie, le goût, la grâce et la liberté. Il me répondit : — Quand une natio
ignes pures. Je songeais, en la regardant, aux ballerines des Opéras. Grâce à elle, je comprenais ce que veulent faire ces pa
miter les bas-reliefs de la Grèce, c’est pour réjouir nos yeux par la grâce et la souplesse de leurs gestes, qu’elles se donn
es amphores les filles de l’Hellade, et c’est cela, avec mille autres grâces , qu’elle ressuscite au son des musiques de notre
de la pureté, de l’innocence, de la candeur unies à la beauté et à la grâce , procure aux vieux pécheurs une émotion que j’app
au rythme des jambes et des pieds nus, au son d’une musique suave, la grâce merveilleuse du moindre de leurs gestes débarrass
9 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
mais sans grand éclat ; M. Vladimiroff est un nègre athlétique, d’une grâce farouche ; il a le tort de souligner un peu trop
n poids mort qu’il porte : car nous voyons Tréfilova plier avec cette grâce parfaite et un peu absente qui lui est propre et
nt la même finale en fit trente-deux avec la même simplicité, la même grâce réservée que nous admirons aujourd’hui en elle. P
10 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
jolies et plus belles les unes que les autres, se disputer par leurs grâces et leurs agaceries le mouchoir que tenoit le Sult
ultan. L’éclat de l’or, des diamans, et celui de la beauté réunis aux grâces et aux talens, offroient aux regards enchantés le
n’approchent par de leurs devancières en talent, en intelligence, en grâces et en attraits. Quelle différence ! Rien n’est st
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
e, même vigueur ; elle à voit sur lui l’avantage du sexe et celui des grâces qui l’accompagnent. La parque a moissonné cette p
rir le théâtre avec l’élégance que lui donna son physique et avec les grâces que lui prêtent son sexe et ses talens. Mais les
règnoient ; une harmonie enchanteresse de mouvemens, imprimés par les grâces et embellis par le charme des contours, prêtoit à
onné tous les moyens adaptés à un genre qui demande de la gaieté, des grâces naïves, de l’esprit, du brillant, de la gentilles
12 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
u moins leur ôtent cette aisance sans laquelle le danseur n’a plus de grâce  ; de danser au nombre de plus de huit personnes,
ette confusion qui leur ôte toute aisance pour se dessiner avec cette grâce qui convient si bien à leur sexe, et qui excite l
me faisant partie de leur éducation, sous le rapport du maintien, des grâces , du ton et des manières, renonçassent pour jamais
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
non seulement l’Onde, Mais l’Air, le Ciel, et tout le monde ; Par ses grâces et ses beautés, Les plus nobles Coeurs sont dompt
Qui font la Cour à cette Belle, Et dansent un air avec Elle, Avec des grâces et des pas, Où l’on remarque des appas Qui passen
essis, charmante Comtesse, Qui dans la fleur de sa jeunesse, Outre sa grâce et son bel air, À l’Esprit pénétrant et clair.
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
qui, bref, charment tous les Gens, Par leurs beaux Vers et par leurs grâces , Y sont, de Vénus, deux des Grâces, Dont à côté,
Par leurs beaux Vers et par leurs grâces, Y sont, de Vénus, deux des Grâces , Dont à côté, voici les noms :154 Et deux petits
i maint cœur est alléché, C’est Mademoiselle Mollière, Dont l’air, la grâce , la manière, L’Esprit, et maints autres Attraits
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
posait, et d’y procurer aux Danseurs des occasions d’y développer les grâces de la Danse simple ; mais la Danse composée, cell
masqués. Il fallait qu’on sût, pour y réussir, déployer ses bras avec grâce , conserver l’équilibre dans ses positions, former
16 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
cependant une science peu commune de l’attitude : genoux fléchis avec grâce , cou-de-pied bombé… « Je ne saurais vous dire ave
avec grâce, cou-de-pied bombé… « Je ne saurais vous dire avec quelle grâce il (Vestris-père) ôtait et remettait son chapeau
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
esse, Voir danser icelle Princesse, Et rien n’égalait les appas De sa grâce et de ses beaux pas : C’est ce qu’on ne lui peut
r, Pour lorgner encor la Personne De ce Brave Porte-Couronne, Dont la grâce et l’agilité, Le port, la taille et majesté Sont
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
Dans un âge tout enfantin, Qui, par sa Voix, et par son geste, Et sa grâce toute céleste, Vous surprit, ravit et charma, Et,
Actrice dont je parle ainsi, Est la petite du Croisi, D’esprit, et de grâce pourvue, Et, de vous, assez bien connue ; Qui, da
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ites du Sang de nos Rois. De Soissons, la Comtesse aimable, Dont la grâce presque adorable A des charmes et des appâts, Que
une et ravissante à merveille, De prudence, d’honnêteté, D’esprit, de grâce et de beauté. Des-Autels, Fille de la Reine, Fo
s plus grandes de l’Univers, Et, certainement, leur Entrée De tant de grâces illustrée, Du grand nombre des spectateurs Fit pr
20 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « [Épigraphe] »
n vain qu’aujourd’hui des chants mélodieux Sur la Scène appellent les Grâces , Si la danse n’amuse, et ne charme les yeux, L’en
21 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
ioni a fait son chef-d’œuvre, le chef-d’œuvre de la légèreté et de la grâce  ! Trilby et la Sylphide, c’est la même ballade ;
u vole, elle est tremblante ; elle arrive dansant à la fois comme les Grâces , sautant comme les nymphes, d’un pas‌ doux et lég
Effie, indignée, accable Gurn de ses mépris, elle rend à son ami ses grâces les plus charmantes, elle est toute prête à l’épo
Puis tout d’un coup, lorsqu’elle s’est bien montrée dans toutes ses grâces légères, disparaît la Sylphide. — Elle fuit, mais
s impossibles à raconter. Il y faut mettre bien de la malice et de la grâce  : un peu de jeunesse et de beauté n’y saurait nui
e belle jeune fille de vingt ans viendra prêter, à cette histoire, la grâce et la poésie de sa bienfaisante jeunesse. Le malh
Paris qui l’a vue naître, c’est là qu’elle a rencontré ses poses, ses grâces , ses idées les plus charmantes ; c’est à Paris qu
e n’aurait pas de vertiges ! C’était une danse toujours nouvelle, une grâce toujours nouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout
aglioni, et ce nom-là, inattendu dans un si grave sujet, ajoutait une grâce nouvelle à ce livre tout rempli des plus austères
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
des habits précieux, Qui donnaient bien moins dans les yeux Que mille grâces naturelles Qu’on voyait éclater en elles. Le Ro
dites, Par moi trop faiblement écrites, Je vis le fond et le tréfond, Grâces au généreux Beaumont, Écuyer de la Reine-Mère, Ge
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 6 mai 1662 »
tre fécond, Madame y parait en sa place ; Mais qui danse avec tant de grâce , Que tel qui l’a bien des fois vu De tout son gra
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 »
toute autre emporte le prix, Soit en pompe, soit en richesse En bonne grâce et politesse.
25 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63
ble ; sans cela, ils formeraient des angles, qui leur enlèveraient la grâce et le contour moelleux, qu’ils doivent toujours p
n même temps en avant ; ce qui donne de plus au danseur infiniment de grâce , parce qu’il doit toujours éviter l’uniformité de
pêche que les bras ne soient roides, et ce qui leur donne beaucoup de grâce . Néanmoins il ne faut pas tant plier le poignet,
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
irent. Le Ballet après commença, Où notre Monarque dansa Avec cette grâce Royale Qui dans l’Europe est sans égale. Après
tre. La jeune Reine mêmement, De la Cour le cher Ornement, De mille grâces assortie, Voulut être de la partie, Avec cette do
gréable de Montespan, Que l’on peut nommer un beau plan De toutes les grâces touchantes Qui rendent les Dames charmantes. La
27 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
ux écoles offraient même un piquant contraste : Vestris enseignait la grâce , la séduction ; c’était un sensualiste ; il exige
de Taglioni qui fait de la danse un art presque immatériel à force de grâce pudique, de réserve décente et de virginale diaph
t qu’à la foule. Le roi Max la citait à ses filles comme un modèle de grâce et de bonne tenue. Cependant Paris continuait, ma
stituant à la précision un peu sèche de la chorégraphie classique une grâce souple, ondoyante, vaporeuse, et, aux figures net
la danseuse qui répudiait tout appel aux sens, tout assaisonnement de grâces piquantes et minaudières. Un hommage inusité salu
dmiration qu’il excitait s’accompagnait du regret que tant de vie, de grâce et d’énergie fussent dépensées à vouloir ranimer
ue Dieu t’a émise de son sein. — Laisse à tes compagnes, qui ont leur grâce , mais qui n’est pas la tienne, laisse-leur ces pa
rd se repose enchanté, Et de ta chaste majesté Tout mouvement est une grâce Toute pose est une beauté84. L’exaltation de M.
ie et que le roi de Bavière proposait à ses filles comme un modèle de grâce et de bonne tenue était honorée des mêmes attenti
pour sa tête et son cœur. Voilà une danseuse qui, par l’élégance, la grâce et la décence de ses manières et de sa danse, a a
deux moitiés disparates. Le haut est délicat, touchant, quoique d’une grâce un peu mièvre, sans passion forte, sans flamme. L
ente comme un modèle de naturel, l’amie de Fanny Elssler découvre une grâce étudiée, des effets cherchés et calculés. Elle es
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
qu’un essai, Bien parler encore je ne sais ; Si lundi l’on me fait la grâce de m’y procurer une place, Où je puisse commodéme
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 7 août : Ballet de la Vérité, accompagnant la tragédie de collège Thésée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 août 1663 »
osée Selon la beauté du Sujet, Par le docte Père Bouchet, Qui par des grâces non pareilles L’a, dit-on, traitée à merveilles.
30 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
nation de l’homme et de la ductilité, de l’abandon, de l’impondérable grâce féminine, le pas de deux est une conquête de notr
cés, élan magnifique dans les mouvements giratoires, muscles d’acier, grâce puérile et souple de tout l’être menu mais bien p
31 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
i tend les bras et implore sa clémence. Frappé de sa beauté et de ses grâces naïves et touchantes, le Prince Macédonien en dev
ne par des danses nobles, dans les quelles Statira déploye toutes les grâces dont la nature la pourvue. (1). Ce ballet a été
32 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
t de son art, sa danse sera froide, sans expression, sans âme et sans grâce . Il n’offrira qu’un tableau manquant de correctio
ssi qu’il cherche à plaire le plus qu’il pourra ; qu’il charme par la grâce , par un aimable abandon, par une danse toujours a
de sorte que tous ses élèves sont maniérés et affectent une sorte de grâce qui a quelque chose de répugnant. 76. À l’âge où
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
mi les OBJETS poupons Lesquels font là des Pas mignons, TOUSSI, cette GRÂCE naissante,72 De plus en plus est ravissante , De
34 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 22 novembre 1670 »
, Le jour de Vendredi prochain, Sur le Théâtre de Molière Et que, par grâce singulière Mardi, l’on y donne au Public De bout
35 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre troisième. Étude du corps » pp. 52-56
gance, donnez-lui, dans ses oppositions et dans ses mouvements, de la grâce , de la souplesse, de l’abandon, sans jamais lui f
et ornés par les mouvements des bras, et ils doivent les suivre avec grâce , pour que tout l’ensemble présente une agréable h
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
odèles Des plus adorables appas, Y font admirer leur beaux pas, Leurs grâces , leurs jolis corsages, Et les charmes de leurs vi
s rives, Qui sont de longues perspectives, Donnent un plaisir infini, Grâces au Sieur Bigarany,49 De Modène, et non pas de Ro
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
Mais paraissent spirituelles, Leurs sarabandes et leurs pas Ont de la grâce et des appâts, Comme nouveau ils divertissent, Et
38 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51
ux se placent en dehors ; les développés seront faits avec aisance et grâce . Un exercice continuel et raisonné vous y fera pa
’avoir les pointes hautes ou inégales ; mettez de la souplesse, de la grâce dans leurs mouvements33, et fortifiez-les pour le
up plus adroit que le danseur arqué ; il aura plus d’aisance, plus de grâce dans l’exécution ; ses mouvements seront faciles
tre entièrement tournés ; sans cela ces positions n’auraient point de grâce . 31. Pour éviter ces grands inconvénients à ceu
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
u’à nous. La Danse simple, celle qui ne demande que quelques pas, les grâces que donnent la bonne éducation et un sentiment mé
es les plus aimables y firent éclater leur goût, leur richesse, leurs grâces . Philippe II alla à Trente en 1562 pendant la ten
’il y fut on ne dansa que des Danses graves et sérieuses, où la bonne grâce et la noblesse de la danse parurent dans tout son
nces l’a rendu le plaisir à la mode, au point qu’un Menuet dansé avec grâce était seul capable de faire une grande réputation
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 janvier 1662 »
e de mon Roy, Ayant un peu de soin de moi, Me faisait l’honneur et la grâce (Ainsi que jadis dans Bourbon) Lors-que ce sera t
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IX. Des Actions convenables à la Danse Théâtrale »
end de la manière seule de les traiter. Or le geste peut peindre avec grâce tout ce que la voix peut exprimer. Toutes les act
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
a Soeur pour la Fille ; Il est certain qu’icelle Soeur A de l’esprit, grâce et douceur : C’est ce que j’en dis dans ma Pièce,
43 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Madame Balachova. »
alier qui sont de toute beauté : ces bras arrondis encadrent avec une grâce alourdie de langueur sa figure expressive. Sa dan
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
brillent les Indiens Bords. Son INFANTE, MADEMOISELLE, Cette jeune Grâce si belle, Ou cet Oriental Amour, L’accompagnait,
45 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
positeur copiste est placé au rang de Noverre, et un compositeur sans grâce est comparé à Hilverding. Me serait-il permis de
cutent, de la justesse, de la légèreté, l’équilibre, le moelleux, les grâces . C’est ici, que les bras (qu’on me passe cette ex
des Eglogues, des Pastorales, et les Danseurs qui les exécutent avec grâce , avec délicatesse, aux Acteurs de l’Opéra et de l
olupté, telles qu’on les ressent lorsque la belle nature parée de ses grâces naïves, et aidée de celles d’un art qui se cache,
46 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
organe, la netteté de son articulation, la vérité, le pathétique, les grâces de son expression, dédommageaient de cette lenteu
pouvoir de l’habitude, que sa figure mal dessinée, colossale et sans grâces , passait pour théâtrale : on prenait pour de la n
iter est rendre un rôle de chant avec rapidité, justesse, expression, grâce et variété. Prodiguons des éloges et des applaudi
endre agréable. On lui refusait l’expression, l’action théâtrale, les grâces de la déclamation : peut-être en effet n’était-il
ombent sur le personnage dont l’apparition, par sa majesté et par ses grâces , doit remplir la première idée qui m’a séduit ; j
s doivent être. Tout suit l’ordre avec l’aisance de l’instinct. Voyez Grâce [Article de Watelet], Chant. Mais souvent le tale
ssaient le temps de réfléchir, nous les trouverions désordonnés, sans grâce , peut-être même désagréables : mais leur feu rapi
le mot race dans la bouche de ceux qui grasseyent, sonne comme le mot grâce ou trace dans celle des gens qui parlent ou chant
ge point ce défaut, par la fausse persuasion qu’il est un surcroît de grâces . Voyez Grasseyement, et l’article R [Article de B
47 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
est métaphysique en son fond. Elle est du temps qui se fait oublier. Grâce à la musique, le temps est l’espace du cœur, ou d
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
mant délicieux des Cœurs, De sa Maison fit les Honneurs, Avec tant de grâce et de gloire Qu’on n’en peut perdre la Mémoire. A
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 août : Le Ballet des Destins accompagnant la tragédie de collège Jonathas — Lettres en vers de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 11 août 1669 »
sa mieux qu’on ne voit ici, Et de Pianais, Comte ilustre, Augmenta la grâce et le lustre De ce Ballet, fait par Beauchamp, Un
50 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
Paul et Virginie, on avait apprécié, outre sa technique parfaite, la grâce de sa pantomime et sa physionomie expressive, viv
résuma toutes ces qualités en ce poème vivant, en cette merveille de grâce et d’harmonie qu’elle fut elle-même et qui ne fai
ce de la capitale. La beauté vigoureuse de Jean-Florian Elssler et la grâce captivante de Thérèse Prinster se mêlèrent et s’é
tre. Haydn imprima un rythme à la vie de Fanny ; il lui communiqua sa grâce souriante et sa spirituelle vivacité. Dès la prem
cette technique et qu’elle acquît ces qualités de goût, de tenue, de grâce qui caractérisaient le style français. A cet égar
es françaises étaient l’automatisme, la convention, la monotonie, les grâces trop étudiées. La plupart s’efforçaient de vivifi
pour elle une parure ; elle sait lui commander et la réduire à de la grâce . Sa victoire fut complète9. » Ainsi Thérèse semb
Thérèse semblait née pour la danse noble, académique, majestueuse. La grâce ne lui était pas naturelle ; il lui fallait se su
i Mlle Taglioni, dit-il, ne peut être surpassée en ce qui concerne la grâce de la danse proprement dite, elle reste loin de F
ns le ballet de Barbe-Bleue, celle-ci a déployé ce qu’on appelle « la grâce dans le terrible » à un degré où n’atteint pas fa
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 février 1669 »
si beau, Quoi qu’il en dise en son Rondeau, Mais y fait voir nouvelle grâce , Ainsi qu’un Maître du Parnasse, Où quand il forg
d’après, Les Heures y viennent exprès Cueillir mille Fleurs pour les Grâces  ; Et puis l’on y voit sur leurs traces Vénus, qui
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
c six autres petits Drôles Qui savent là, très-bien, leurs Rôles. Les Grâces la suivent, aussi,145 Par un équitable souci, En
; dolents De vois Psiché dans la Disgrâce : Et qui, dansants de bonne grâce , Ou chantants fort plaintivement, En Italien, mêm
53 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
re aura favorisé dans sa construction, parviendra à les exécuter avec grâce  ; mais celui qui sera serré des hanches et qui se
otre corps, de vos bras, de vos jambes soit correct, et prononcé avec grâce . On ne saurait trop vous recommander de filer dél
Nos danseurs possèdent un goût plus épuré, leur danse est remplie de grâces et de charmes (qualités qui n’ont jamais existé c
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
t aux forces du corps, d’entretenir son agilité, et de développer ses grâces . Ces deux objets firent naître l’idée de lui en f
55 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « A Sa Majesté l’Empereur de toutes les Russies. » pp. -
et de lui dédier mon ouvrage, mais elle daigne ajouter encore à cette grâce , celle de le faire imprimer à mon bénéfice. Cet h
56 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
Toutes ces choses soutenues par les charmes de la Musique, et par les grâces de la Danse, embellies par les plus éclatantes dé
57 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
uvait dans cette variété les moyens de développer sa précision et ses grâces . Il y a une chaconne en action dans le premier ac
d’enfance, comme les femmes, le soin d’en ajuster les traits avec les grâces qu’elles ont naturellement, et que leur adresse s
qu’elles exécutent. Ces deux raisons ne sont que des prétextes ; les grâces du visage sont en proportion du sentiment ; et l’
 ; et l’expression marquée par les mouvements de ses traits, sont les grâces les plus désirables pour un homme de théâtre. On
pas de deux, sur tout de galanterie ou de passion ; les pas seuls de grâce , les beaux développements des bras et des autres
58 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
oupés comme les siens [Voir Coupe] ; mais qui n’étaient animés ni des grâces de son style, ni des charmes du sentiment qui éta
miniatures piquantes, qui exigent toute la précision du dessein, les grâces du pinceau, et tout le brillant du coloris. Ce ge
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VII. Emploi de l’Archimime dans les funérailles des Romains »
on nommait cet Orateur funèbre), était sans partialité. Il ne faisait grâce , ni en faveur des grandes places du mort, ni par
60 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
ur des Déesses et des Dieux. Monsieur, avec sa belle Suite, Par les Grâce mêmes, conduite Et Madame, pareillement, Du Bal,
61 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 1er ou 2 décembre : Le Ballet des ballets — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 20 février 1672 »
n original Dont mainte autre copiera mal, Certain air, & certaine grâce , Comme une chose qui la passe. C’était Mademoisel
62 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Ressource unique des Danseurs modernes »
oir Chaconne, Entrechat, Gargouillade] N’espérez pas de surpasser les grâces de Mademoiselle Sallé. Vous vous flattez, si vous
63 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
térieure. Cette onction est celle du Saint-Esprit qui enseigne par la grâce et par la charité qu’il répand dans le cœur d’une
64 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
ble, et vous êtes nouvelle ! Les Nymphes sautent comme vous, Mais les Grâces dansent comme elle. Les étoiles touchent de 25 0
’empressèrent de déférer à son vœu, et le lendemain le roi signait la grâce de Meunier. Nestor Roqueplan affirme qu’il n’y eu
ont la préparation des temps sautés qu’on peut définir : une suite de grâces et de séductions ; développés à la seconde, attit
s anciens danseurs y excellaient, apprenaient aux gens de la cour les grâces et les attitudes du corps : ces choses-là autrefo
4, après neuf années de mariage mouvementé. Taglioni sait parfumer de grâce , de modestie apparente ses caprices, elle est fan
chaste caresse, Sans corrompre le cœur, enchaînait le regard. Cette grâce particulière, qui fit dire à Roqueplan : « Elle d
65 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ée. Longtemps les femmes s’étaient dit : « Que peut-il venir après la grâce nuageuse, l’abandon décent et voluptueux de Tagli
est riche et puissant, au bonheur d’être aimé pour lui-même, pour sa grâce et sa jeunesse, sans aucune arrière-pensée d’orgu
bras ; ses jambes fléchissent, la respiration lui manque, il demande grâce d’une voix entrecoupée. Point de grâce ! Si les v
iration lui manque, il demande grâce d’une voix entrecoupée. Point de grâce  ! Si les valseuses de ce monde sont déjà sans pit
lage deux étoiles d’azur. Ce sont ses yeux, c’est Giselle ! « Oh ! de grâce , vision incomparable, ne t’évanouis pas, laisse-m
i aussi, une bonne part dans le succès. Jamais il n’a déployé plus de grâce , de tendresse et de mélancolie. Le second acte su
66 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
la religion, au maintien des forces du corps, au développement de ses grâces , à l’éducation de la jeunesse, à l’amusement des
un mouvement sans objet, une occasion toujours la même de montrer les grâces de la figure, et les belles proportions du corps.
ambition sera tout à fait remplie. Si je suis dans l’erreur, je rends grâces d’avance à la main secourable qui voudra m’aider
67 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
Ne la vit pas partir sans répandre des pleurs. Paris vit succéder aux grâces éternelles, Aux pas aériens, aux célestes douleur
Mais elle est revenue enfin l’enchanteresse, Plus belle que jamais de grâce et de jeunesse : De ses bravos encor Paris la sal
’intérieur du théâtre un sonnet en l’honneur de leur Divinita !… La grâce et l’agilité de celle-ci firent heureusement oubl
68 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
ie empiète sur le domaine de l’acrobatie, et qu’à la légèreté et à la grâce on a substitué l’énergie et la force, il faut sav
er la mesure, de ses petits pieds, avec un rythme, une précision, une grâce des plus louables ! Toujours en colère, d’un nerv
ésir de bien faire, il ne lui était pas échappé de demander à Dieu la grâce de réussir le lendemain ? Et comme elle réussissa
69 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
même ensemble l’illusion de la Peinture, le charme de la Poésie, les grâces de la Danse. Suivons l’histoire de cette dernière
70 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Nostalgie d’étoile. »
en fléchissant les jambes comme dans un menuet de jadis, un pas d’une grâce très discrète. Je lui reprocherai pourtant de ne
71 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
irante tristesse que nous cause malgré nous le spectacle d’un être de grâce mêlé aux décevantes et amères choses de la vie. E
72 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 janvier. Une soirée à l’hôtel Charpentier. »
lbert Aveline ont incarné, dans l’à-propos de M. Guillot de Saix, les grâces légendaires de la Guimard et de Vestris ; or, ces
73 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
Fanny désirait beaucoup venir à Paris ; elle m’accueillit avec bonne grâce . Ces deux artistes ne touchaient à Londres que de
sse de son regard, le dessin de son col, la beauté de ses épaules, la grâce de ses bras, l’élégance de son ensemble, la légèr
le Fanny, et d’être plus majestueuse que Mlle Thérèse. L’une danse la grâce , l’autre la force, et toutes deux sont charmantes
elle, un murmure d’admiration salua tant de jeunesse, de beauté et de grâce . Quand on vit cette forme charmante aux lignes im
ant la planche et toujours aussi vigoureux, aussi finis qu’ils ont de grâce et d’éclat. Les pointes y jouent un grand rôle, u
e danse, depuis la perfection technique que donne l’étude, jusqu’à la grâce native et la délicatesse des poses qui ne s’appre
sensationnel, un pas styrien, qui fut un parfait chef-d’œuvre par la grâce , l’extraordinaire légèreté et l’infaillible sûret
re gloire, c’était celle de Fanny. Elle atteignit pleinement son but. Grâce à elle, Fanny donna sa mesure dans Gustave beauco
74 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
ût (bon), 13. — (mauvais), 11, 12, 55. Gosselin, Mlle Danseuse, 112. Grâce , 23. Groupes, 64, 69. I Jambes, 40. Jarretée, 45.
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
es qu’il composait exprès pour elle. Il l’amusait, en développant ses grâces , en les lui faisant apercevoir, en lui donnant du
76 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
re et chaste, et nous obtiendrons en l’autre la vie éternelle, par la grâce et la bonté de Notre-Seigneur Jésus-Christ. »
77 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
, je ne le sais pas encore. Mais ce qui distingue Karsavina, c’est la grâce suprême de ces ports de bras qui font d’une prépa
78 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
x et jovial, Se peut nommer vraiment Royal ; Et si l’on me fait cette grâce De m’y donner, encore, place, Il sera (je pense)
79 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre cinquième. Positions principales et leurs dérivés ; » pp. 64-70
ue les effets principaux aient une vive expression, qu’accompagne une grâce séduisante. » 49. Remarquez que jusque dans l
iner d’après ces sculptures et ces peintures, remplies d’esprit et de grâces  ; c’est à cette source qu’il faut toujours recour
80 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
reçu leurs soumissions et celle de tous les habitans, leur accorda la grâce de leur délivrance. » Il faut que saint Eloy ait
gloire lorsqu’elles les voient danser avec un art, une adresse et une grâce qui leur attirent des louanges ; et lorsque ne l’
mment dans une chambre ou dans une compagnie, à se présenter de bonne grâce , à faire une révérence à propos ; en un mot, à ga
iée pour les mœurs, qu’elle chantoit et dansoit avec plus d’art et de grâce qu’il ne convenoit à une honnête femme. » Enfin,
81 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
ui sans doute leur a paru, au moins, un obstacle au développement des grâces , à la précision des mouvements, à la perfection d
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
Arts libéraux. Que pourrait produire de plus aimable la main même des Grâces  ? Voilà les ressources sans nombre que les images
83 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
ouis, qui sous ses justes Lois Gouverne les Peuples Gaulois, Avec des grâces sans pareilles, Y fit le Berger, à merveilles. Pl
84 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
contours, par une expression infinie, par une douce naïveté, par une grâce naturelle, et par le charme d’une suavité rare qu
aimables choses, Ni ce charme secret, dont l’œil est enchanté, Ni la grâce plus belle encor que la beauté. » La Fontaine
85 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
alon, qu’une chaussure trop vieille refusait de couvrir ; la sœur des Grâces gesticulait fort peu, de crainte qu’on n’aperçût
le de celle de Vénus, n’empruntent rien à l’art, et brillent de leurs grâces naturelles. Deux rivaux séduits par l’aimable élè
tous genres de la « séduisante » ballerine sont arrivés jusqu’à nous. Grâce aussi à ce flonflon de Guillaume le Flâneur : Ja
e ; il veut, dans son ardeur, Ne prendre des leçons qu’à la fille des Grâces  : Il sera doux, soumis, diligent, studieux. Nanin
Cadix, la Madrilena et toutes sortes d’autres cachuchas et fandangos. Grâce à ces concessions, mademoiselle Noblet resta qu’e
vous prendrais au mot. — Ciel ! grand Dieu ! ai-je bien entendu ? De grâce , parlez ! — Vous le voulez ? — Je vous en supplie
scène de l’Académie impériale de musique, au commencement de l’an de grâce 1859. Mademoiselle Emma Livry reprenait la Sylphi
Livry : Belle Emma, si l’Amour voulait Voir danser un quadrille aux Grâces immortelles, Elles ne sont que trois, le nombre e
86 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
fable. « Ce ne fut jamais un jeu d’oisif que de soustraire un peu de grâce , un peu de clarté, un peu de durée, à la mobilité
ecrètement en harmonie avec la stature » d. Le triple accord de ces «  grâces commensurables », où se confondent les catégories
ance a trouvé son acte, et que l’intelligence tout à coup consent aux grâces spontanées. » À chaque instant, la danseuse pose
, « flocon, oiseau » garde malgré l’usage abusif qu’on en a fait, une grâce immarcescible. Le « frémissement de plume vers l’
teur en décrivant les danses de son banquet. Il met à la place de ces grâces évanouies l’analogue et l’équivalent. Spécifions
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
Danse qui en est composée, est par conséquent l’Art de les faire avec grâce et mesure relativement aux affections qu’ils doiv
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
eaux ! quelle puérilité dans les moyens ! quel défaut d’agréments, de grâces , de convenance dans tout l’ouvrage ! Sans le goût
89 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
as être : Hommage à Nijinsky ? Auriez-vous oublié, lecteur ingrat, sa grâce de fauve câlin, le jeu tant harmonieux des muscle
90 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
tions du théâtre, et si, lorsqu’il venait d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssler, on était venu lui demander si e
fait songer à certain animal de La Fontaine qui s’essaie à faire des grâces . Qu’il a la patte lourde, et combien il reste inf
si par exemple dans le rôle d’Esmeralda, les extases de la vierge, la grâce ingénue, la pudeur céleste, les courroux terrible
lit d’admiration. Ce qui frappe vivement, c’est l’énergie jointe à la grâce . Le pied n’est pas petit ; il est assez charnu et
enou séduit aussi, comme la cheville, par une heureuse alliance de la grâce et de la vigueur. En présence de ce fragment d’un
oûter ; elle ne perdit pas un seul instant sa légèreté habituelle, sa grâce intarissable… Elle s’enleva, voltigea, pirouetta,
opice lui conserva jusqu’à son heure suprême la beauté des traits, la grâce des mouvements, la vivacité de l’esprit, une bonn
eignait à la grande tragédienne Charlotte Wolter l’art de tomber avec grâce du haut d’un escalier. Quand il s’agissait de dan
nistre Schmerling et Dessauer, ne savaient assez raconter avec quelle grâce indescriptible Fanny avait dansé la cachucha, plu
lle un air d’élégance et de distinction. La baronne de Knorr vante la grâce qu’elle mettait à découper le rôti, et l’on s’ext
91 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
point dansé , c’est-à-dire vous n’avez point élevé votre ame à cette grâce spirituelle, parce qu’elle n’en a point été touch
nitence à la prédication de Saint Jean-Baptiste, et qu’il a rejeté la grâce qui lui a été offerte par Jésus-Christ. » Une re
es dont parle l’Ecriture étoit « de se réjouir en Dieu en lui rendant grâces  ; ce que ne pouvoient faire des personnes si sain
, les sons étoient des sujets sacrés, des cantiques et des actions de grâces , pour conduire les pas de manière qu’il n’y eût r
92 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
re des régions correctissimes du faubourg Saint-Germain, n’étaient la grâce féline de son être, son teint chaud et la jolie m
an et vint tomber, en trois bon ’s, sur le trou du souffleur, avec la grâce d’une chatte. Halanzier était ravi et désespéré.
issantes, — toutes les splendeurs d’une divinité de la rampe, avec la grâce inconsciente d’une gazelle dans les bois. *** Pou
ive et maigrichonne, avait déjà des attitudes et des mouvements d’une grâce toute particulière. Avec cela, douée d’un jugemen
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
tonné, si l’on voyait ces anciens Danseurs, avec leur noblesse, leurs grâces , etc. à côté (je ne dis pas de Dupré ; son talent
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
entendre derrière les bosquets. Les sultanes déploient à l’envi leurs grâces , leur élégance et leur agilité. Un bruit d’instru
ne des jeux ; on se livre à des danses : Zulmire y déploie toutes les grâces de son âge et toutes celles de la beauté, dans un
95 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
ine. Ayant dansé, elles font la révérence à la française, avec quelle grâce  ! Mais vain bruit que ces brèves observations ; a
96 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
saviez pas où, C’est à l’enseigne du Parnasse ; Allez-y donc vite, de grâce . Mais revenons à nos Moutons, Et, pour achever,
97 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
t instaurée ; devant la plénitude des formes évoquées ou entrevues la grâce étriquée, guindée et toute de convention, promulg
tère particulier qui la sépare des autres danseuses ; ce n’est pas la grâce aérienne et virginale de Taglioni, c’est quelque
Le « bon Théo » se montre alors presque cruel pour « Marie pleine de grâces  ». « Mademoiselle Taglioni, fatiguée par d’inter
parlerions pas ; mais cet élan si périlleux forme un groupe plein de grâce et de charme ; on dirait plutôt une plume de colo
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
, dont la parure et les discours sont désormais l’ouvrage aimable des grâces . Des Bouffons qui surviennent, rendent hommage à
99 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
écision dans les mouvements. Le style qu’ils recommandaient avait une grâce qui n’était pas toujours de l’afféterie et une di
lanches, malgré son âge. Il s’imaginait que ses sourires fanés et ses grâces rancies pouvaient remplacer la souplesse d’antan.
use épreuve du ballet aux chameaux. On admira, dit Castil-Blaze, « sa grâce , sa vivacité, son agilité pétulante57 ». Hélas !
Mlle Forster, disait Charles Maurice, danse, ou plutôt marche avec la grâce d’une Alsacienne vendeuse de chasse-mouches. Mais
u’ayant enlevé un cœur royal à la pointe d’une cachucha, la reine des Grâces du lieu ne conservât assez longtemps sa conquête
100 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
Mlle de Camargo ; c’est à tort que quelques auteurs lui ont prêté des grâces  : la nature lui avait refusé tout ce qu’il faut p
mitable et vous êtes nouvelle. Les Nymphes sautent comme vous, Et les Grâces dansent comme elle. La Camargo donna le ton. Tou
Maint connaisseur exalte le talent. Sallé, dit l’un, l’emporte par la grâce  ; Roland, dit l’autre, excelle en enjoûment, Et c
lle est d’une légèreté digne de Terpsychore. Il ne lui manque que des grâces un peu plus arrondies dans certaines parties de s
était d’une maigreur extrême ; on l’avait surnommée le Squelette des Grâces . — Ce petit ver à soie devrait être plus gras ;
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