anches, pour que le mouvement des cuisses soit libre, et pour que les
genoux
se placent en dehors ; les développés seront fait
disposés naturellement en dehors ; qui ont les hanches ouvertes, les
genoux
et les pieds tournés en dehors ; ces principales
tourner, et les pointes se baisser à moitié, mais les hanches et les
genoux
resteront toujours dans leur état primitif31. [4]
9] Le sujet qui est arqué doit s’exercer continuellement à tendre les
genoux
, et à leur donner du moelleux et de la souplesse,
tiques. [10] Le jarreté doit s’appliquer toujours à ployer un peu ses
genoux
, et à ne jamais les maintenir tendus ; surtout da
e avec vivacité, et vous fait tomber sur les pointes. Le mouvement du
genou
ne diffère de celui du cou-de-pied qu’en ce qu’il
de la hanche est un mouvement qui conduit celui du cou-de-pied et du
genou
. Il est impossible que les genoux et les pieds se
i conduit celui du cou-de-pied et du genou. Il est impossible que les
genoux
et les pieds se meuvent, si les hanches ne se tou
Quantité de danseurs s’imaginent qu’il n’est question que de plier le
genou
très bas, pour être liant et moelleux ; mais ils
. En partant de ce principe, il n’est pas douteux que fléchissant les
genoux
plus bas qu’il ne faut, relativement à l’air sur
deur. « Le moelleux dépend en partie de la flexion proportionnée des
genoux
; mais ce mouvement n’est pas suffisant ; il faut
étroites et en dedans, ses cuisses rapprochées l’une de l’autre, ses
genoux
gros et si serrés qu’ils se touchent et se collen
l’autre, ce qui forme à peu près la figure d’un triangle, depuis les
genoux
jusqu’aux pieds ; on observera encore un volume é
e d’un arc ; en effet les hanches sont évasées, et les cuisses et les
genoux
sont ouverts, de manière que le jour qui doit se
ns la cavité cotyloïde des os des hanches. Aidé par cet exercice, les
genoux
suivront la même direction, et rentreront, pour a
dans leur place. La rotule qui semble destinée à limiter le rejet du
genou
trop en arrière de l’articulation, tombera perpen
yer, est de conserver une flexion continuelle dans l’articulation des
genoux
, et de paraître extrêmement tendu sans l’être en
ntes, pour diminuer le vide qui se rencontre principalement entre les
genoux
; ils n’ont pas moins besoin que les autres de l’
u’à la cinquiéme position, en se posant entierement à terre & son
genou
se plie, ce qui fait lever le pied gauche, mais l
re & son genou se plie, ce qui fait lever le pied gauche, mais le
genou
droit s’étendant vous oblige à vous laisser tombe
coup de pied & la pente du corps qui attire les jambes & les
genoux
se plient comme si les forces manquoient, ce qui
n du pied droit que vous tirez derriere de se poser à terre & son
genou
se pliant par le poids du corps qui se pose dessu
fait comme un ressort qui étant pressé cherche à s’étendre, ainsi le
genou
en s’étendant rejette le corps sur le pied gauche
la troisiéme position, en retombant de ce saut sur les deux pieds les
genoux
étendus, mais la jambe droite qui a croisé devant
se pose à terre, & le corps se posant dessus & fait plier le
genou
gauche par le fardeau du corps, ce qui oblige la
qui oblige la jambe droite de se lever ; mais dans le même moment le
genou
gauche qui est plié, en voulant s’étendre renvoye
a bien les cinq positions, on se placera à la première, on pliera les
genoux
le plus bas et le plus lentement possible, sans l
jours les pieds à plate terre, observant qu’en pliant il faut que les
genoux
tombent en dehors et dans la direction de la poin
ne invention très simple m’a mis à même de redresser parfaitement les
genoux
d’un enfant, âgé de huit à neuf ans, qui était te
ent bancroche qu’étant debout, les deux jarrets bien tendus, ses deux
genoux
se touchaient, et il y avait treize pouces de dis
avec facilité. Il faut sçavoir d’abord que c’est la hanche, & le
genou
qui forme & dispose ce mouvement, la hanche c
t, la hanche conduit la cuise pour s’écarter ou s’approcher, & le
genou
par sa flection forme le battement en se croisant
la croiser devant la gauche en aprochant la cuise & en pliant le
genou
, & l’étendre en l’ouvrant à côté du même tems
pliant le genou, & l’étendre en l’ouvrant à côté du même tems son
genou
se plie, en la croisant derriere, puis l’étendre
e les faire vîte, en observant à chacun de ces battemens d’étendre le
genou
après que vous l’avez plié. Ils sont necessaires
le gauche à la premiere position, & vous pliez également les deux
genoux
, ayant toujours le corps posé sur le pied gauche,
r le gauche 1. le droit en l’air 2. sans qu’il pose à terre, les deux
genoux
sont pliez également & tournez en dehors la c
ien plier sous soy, & de se relever sur la pointe en étendant les
genoux
à chacun de ces demi-coupez, qui est un des pas l
entiel pour bien danser ; car il vous donne la facilité d’étendre les
genoux
, & vous communique de la force au cou-de-pied
’elles portent les pieds en dehors, les glissent à propos, plient les
genoux
également, & qu’elles tiennent la tête droite
laisser poser le corps sur les deux jambes, puis plier doucement les
genoux
sans plier de la ceinture : au contraire le corps
ux talons près l’un de l’autre à la premiere Position, puis plier les
genoux
également & très-bas, & vous relever avec
rès l’un de l’autre, c’est que les ayant ainsi lorsque vous pliez les
genoux
en les tournant en dehors, ils n’avancent pas plu
premiere position ayant les deux pieds assemblez, vous pliez les deux
genoux
également, & vous vous relevez en sautant &am
en levant du même temps la jambe droite qui s’ouvre à côté, & le
genou
étendu & là reposez du même mouvement aussi à
be gauche se leve en s’ouvrant à côté, sans faire aucuns mouvemens du
genou
, ce n’est que la hanche qui agite la jambe &
s de sens. Une heureuse conformation, surtout dans les hanches et les
genoux
, et une juste élévation dans les coudes-pieds (qu
ière que vos deux pieds paraissent sur une seule ligne ; et tenez les
genoux
tendus. Seconde position. Pour marquer cet
éfaut de l’orteil ou gros doigt de l’autre ; les pieds en dehors, les
genoux
tendus. Quatrième position. Pour marquer c
le corps placé sur la jambe qui est derrière, et sans le mouvoir, les
genoux
tendus, glissez la jambe qui est devant sur la po
e le pied dans toute sa longueur. On tient les pieds en dehors et les
genoux
tendus. De la manière de plier. Plier et t
seur est de conserver une flexion continuelle dans l’articulation des
genoux
et des coudes-pieds, et de paraître très-tendu sa
t de ne pas prendre de force contraire au plié que l’on exécutera des
genoux
et des coudes-pieds le plus bas possible, sans le
orps d’aplomb et ouvrir les hanches, afin de contribuer au-dehors, le
genoux
tournés sur les côtés, et le plus en dehors qu’il
r marcher, en restant tendu sur une jambe, l’autre plie un peu, et le
genou
se porte à une position ouverte où le corps le su
danse dérive de celui de la marche et du sauté, lorsqu’en lâchant le
genou
pour porter une jambe à une position ouverte (act
que par l’exécution du plié ; car pour sauter il faut plier les deux
genoux
à la fois, et forcer ce mouvement. Le pas, qui s’
s des pas se réduisent aux actions suivantes : le plié (inflexion des
genoux
) ; le glissé (action de mouvoir le pied à terre s
de mouvoir le pied à terre sans la quitter) ; l’élevé (extension des
genoux
pliés) ; le sauté (action de s’élever en l’air) ;
e l’autre hanche, enlevez la cuisse haut et la serrant en arrière, le
genou
et le coude-pied tendu tourné en dessus ; puis ba
inte du pied en arrière, et faciliter cette rentrée, vous tiendrez le
genou
tendu pour que le talon se pose. Vous exécuterez
côté opposé à celui où vous vous tenez, en tournant la cuisse, et le
genou
en dessus pour soutenir le dehors : sortez le tal
entrer à la troisième position, où le talon se posera par le moyen du
genou
tendu, la ressortant consécutivement, pour la ren
ième position jusqu’à la seconde ; puis y laissant la cuisse fixe, le
genou
serré et tourné en arrière, pliez ce genou en le
aissant la cuisse fixe, le genou serré et tourné en arrière, pliez ce
genou
en le lâchant : ce mouvement apportera le pied qu
ivement de l’autre jambe. Cet exercice donne de la souplesse dans les
genoux
, un jeu particulier dans le pied, et du dehors.
ur laquelle le corps est posé ; restez un tems ; ensuite soutenant le
genou
en dehors à l’aide du talon que vous présentez, c
te du pied en rapprochant la jambe pour la glisser, lâchant un peu le
genou
à la quatrième position en avant, où elle doit ar
sous vous, en pliant lentement bas sans lever les talons ; tenez les
genoux
tournés à vos côtés ; relevez le corps en tendant
pointe le pied qui est posé derrière, ce qui fera lâcher ou plier le
genou
que vous tiendrez tourné, et développerez en glis
tems ; puis relevez-vous et haussez-vous sur les pointes et tenez les
genoux
tendus ; marchez dans cet état, en partant du pie
écuter ce tems, descendez le corps droit sous vous, en pliant bas des
genoux
et des coudes-pieds ; enlevez-vous consécutivemen
une à la place de l’autre par la première position, et en rendant les
genoux
et les pointes des pieds, de façon que celles-ci
es talons, les pieds à la troisième position en dehors, et serrez les
genoux
. Ce tems, comme exercice, donne de l’élévation,
e lorsqu’on n’en fait qu’un, en retombant, vous fondrez en pliant les
genoux
et les coudes-pieds pour vous renlever consécutiv
eant de jambe chaque fois que vous vous enleverez ; lâchez un peu les
genoux
pour aider à l’élasticité ; avancez les talons po
es talons pour tourner les pointes des pieds en arrière, et tenez les
genoux
tournés à vos côtés, pour donner plus de facilité
ur la pointe le pied qui est derrière, ce qui fera lâcher ou plier le
genou
3 que vous aurez soin de tenir tourné à votre côt
ou 3 que vous aurez soin de tenir tourné à votre côté ; développez ce
genou
en glissant le pied, la pointe près la terre, san
plus facilement les pieds et tourner les pointes de côté ; tenez les
genoux
tendus. Exécutez ce tems alternativement des deux
ointes, vous poserez consécutivement les talons, et vous tiendrez les
genoux
tendus. Exécutez ce tems alternativement des deux
ême tems le pied qui est derrière sur la pointe, ce qui fera plier le
genou
que vous tiendrez tourné à votre côté ; vous le d
, doit être basse près la terre, sans y être posée : vous tiendrez le
genou
tourné à votre côté pour soutenir le dehors ; le
bas de la jambe, la pointe basse près la terre, sans y être posée, le
genou
tourné à votre côté, et les pieds en dehors : dan
le pied de derrière que vous leverez sur la pointe ; et soutenant le
genou
en dehors, vous le développerez de côté en pliant
pied qui est devant, que vous leverez sur la pointe, et soutenant le
genou
en dehors, vous le développerez de côté à la seco
plier, seulement par le mouvement du coude-pied et d’un lâchement de
genou
de la jambe sur laquelle on est posé. Même te
ion : si c’est la jambe de derrière, vous la plierez, ou retirerez le
genou
, ce qui relevera le pied derrière le bas de l’aut
l’autre jambe : si c’est celle de devant, vous retirerez également le
genou
pour relever le pied devant près la jambe, le tal
, la pointe basse près la terre, sans y être posée ; vous tiendrez le
genou
tourné à votre côté. On prend aussi de la jambe q
ndrez la pointe du pied basse près la terre, sans y être posée, et le
genou
tourné à votre côté. Ce tems de sissone exécuté a
rouvent placés à la seconde position ; vous tiendrez les pieds et les
genoux
en dehors ; ensuite pour rassembler les pieds, pl
rrière ; levez le pied de devant sur la pointe, ce qui fera lâcher le
genou
que vous tiendrez tourné à votre côté ; développe
; levez le pied de devant sur la pointe, ce qui fera plier un peu le
genou
que vous tiendrez tourné à votre côté ; ensuite d
levez le pied de devant sur la pointe, ce qui fera lâcher ou plier le
genou
que vous tiendrez tourné et développerez de côté,
z celle qui est derrière levée à la quatrième position de ce côté, le
genou
en dehors et la pointe du pied tendue. Autre
qui est derrière, tenez-la bien en dehors, pliez ou lâchez un peu le
genou
, que vous tiendrez tourné de côté, rentrez en mêm
berez, et vous la tiendrez levée derrière à la quatrième position, le
genou
plié en dehors et la pointe du pied tendue. D
dessus du coude de l’autre pied, près le bas de la jambe, et tenez le
genou
tourné à côté de vous. Pour lier plusieurs balonn
, et durant quatre mesures, en observant toujours qu’il faut avoir le
genou
tourné à côté de soi, le pied également en dehors
it être pliée et l’autre relevée derrière à la quatrième position, le
genou
un peu plié et bien en dehors. Dans cette attitud
assemblé. Pour donner plus d’agrément à cette exécution, soutenant le
genou
tourné à votre côté, lorsque le pied est relevé d
’un comme dans l’autre de ces traits. 3. Ce mouvement de lâcher le
genou
en commençant les pas, joint aux secousses qu’il
étroites et en dedans, ses cuisses rapprochées l’une de l’autre, ses
genoux
gros et si serrés qu’ils se touchent et se collen
l’autre ; ce qui forme à peu près la figure d’un triangle depuis les
genoux
jusqu’aux pieds ; j’observe encore un volume énor
ure d’un arc : en effet, les hanches sont évasées, les cuisses et les
genoux
sont ouverts, de manière que le jour qui doit se
ns la cavité cotyloïde des os des hanches. Aidés par cet exercice les
genoux
suivront la même direction et rentreront, pour ai
dans leur place. La rotule, qui semble destinée à limiter le rejet du
genou
trop en arrière de l’articulation, tombera perpen
yer, est de conserver une flexion continuelle dans l’articulation des
genoux
, et de paroitre extrémement tendu sans l’être en
rtie à rentrer dans sa place et à revenir de sa forme naturelle : les
genoux
ainsi forcés se portent donc en dedans, ils repre
battre ni croiser, restent comme immobiles au moment de l’action des
genoux
qui roulent désagréablement l’un sur l’autre, et
ntes, pour diminuer le vide qui se rencontre principalement entre les
genoux
: ils n’ont pas moins besoin que les autres de l’
souvent l’épaule suit la conformation des hanches ; le coude celle du
genou
; le poignet, celle du pied. Une legère attention
nte pas assez haut pour décider. La plupart d’entre elles dansent les
genoux
ouverts comme si elles étoient naturellement arqu
ient devant en partant tous deux à la fois, & en tombant les deux
genoux
pliez, & du même instant vous relever en reme
la fois, le pied droit qui étoit devant se trouve derriere, & les
genoux
pliez de même que le represente cette premiere Fi
au second mouvement, puis que le pied droit revient devant & les
genoux
sont pliez, comme au premier ; & la troisiéme
cher le pied droit auprès à la premiere position, puis plier les deux
genoux
également, & étant pliez, vous passez le pied
uatriéme position & vous élevez dessus la pointe, en étendant les
genoux
& du même tems le talon droit se pose, &
endant les genoux & du même tems le talon droit se pose, & le
genou
se plie, mais la jambe gauche se glisse devant ju
en étenduë, & à mesure que cette jambe gauche se passe devant, le
genou
droit se plie, & par ce mouvement renvoie le
roites & en dedans, ses cuisses rapprochées l’une de l’autre, ses
genoux
gros & si serrés qu’ils se touchent & se
l’autre ; ce qui forme à peu près la figure d’un triangle depuis les
genoux
jusqu’aux pieds ; j’observe encore un volume énor
arc ; en effet les hanches sont évasées, & les cuisses & les
genoux
sont ouverts, de maniere que le jour qui doit se
s la cavité cotiloïde des os des hanches. Aidés par cet exercice, les
genoux
suivront la même direction & rentreront, pour
dans leur place. La rotule qui semble destinée à limiter le rejet du
genou
trop en arriere de l’articulation tombera perpend
yer, est de conserver une fléxion continuelle dans l’articulation des
genoux
, & de paroître extrêmement tendu sans l’être
ie à rentrer dans sa place & à revenir à sa forme naturelle ; les
genoux
ainsi forcés se portent donc en dedans, ils repre
battre ni croiser, restent comme immobiles au moment de l’action des
genoux
qui roulent désagréablement l’un sur l’autre, &am
ntes pour diminuer le vuide qui se rencontre principalement entre les
genoux
; ils n’ont pas moins besoin que les autres de l’
souvent l’épaule suit la conformation des hanches, le coude celle du
genou
, le poignet celle du pied ; la plus légere recher
onte pas assez haut pour décider. La plupart d’entr’elles dansent les
genoux
ouverts comme si elles étoient naturellement arqu
croisés en entier. Voyez la fig. 4, planc. I. [2] On doit ployer les
genoux
dans toutes ces positions, sans jamais lever les
vement. [6] Les petits battements sur le cou-de-pied. La hanche et le
genou
forment et disposent ces mouvements ; la hanche c
a hanche conduit la cuisse pour s’écarter ou pour s’approcher ; et le
genou
par sa flexion forme le battement en croisant le
te appuyée à terre, il faut la croiser devant la gauche, en pliant le
genou
, et l’étendre en l’ouvrant à côté ; plier du même
t le genou, et l’étendre en l’ouvrant à côté ; plier du même temps le
genou
en croisant derrière, puis l’étendre à côté, et c
incontestable, d’autant que cette jointure commande & dispose des
genoux
& des pieds : ce que je viens de dire que les
tems, c’est lorsque vous passez l’une ou l’autre, d’étendre fort les
genoux
, ce qui vous empêche de croiser vos pas : ce fero
plusieurs personnes sont sujetes faute d’attention : ayant aussi les
genoux
en dehors & les jambes étenduës, cela empêche
e jambes, & autres pas qui se prennent plus du cou-de-pied que du
genou
, ce sont les poignets qui agissent, au lieu que s
t soit accompagné de celui du poignet : ainsi du cou-de-pied & du
genou
, qui ne peut finir son mouvement sans que l’on so
il faut plier sur le gauche le droit en l’air ; & à mesure que le
genou
gauche se plie, la jambe droite en l’air marche e
position, le corps posé sur les deux jambes vous pliez tous les deux
genoux
, & vous vous élevez également en tournant le
é sur un seul pied, la pointe de l’autre à terre, vous pliez les deux
genoux
, & vous vous relevez en sautant sur le pied o
ons ne sont pas d’un maître inepte et mercenaire qui dit, tournez vos
genoux
, sans savoir qu’ils ne peuvent que plier et s’éte
quatre espèces de mouvemens, savoir : à celui de coulisse, à celui de
genou
, à celui de charnière et à celui de pivot. Le mou
tèbres par leurs apophises obliques, la rotule sur le fémur. Celui de
genou
, lorsque la tête d’un os se meut dans une cavité,
remier roule autour du second. Il y a deux sortes d’articulations par
genou
sçavoir ; une, qui se l’ait lorsqu’une tète est r
le. L’articulation du bras avec l’épaule constitue L’articulation par
genou
; c’est-à-dire, qu’ilpeut se mouvoir en haut, en
os du bassin. La jonction de ces deux os constitue l’articulation par
genou
; son mouvement de rotation est moins manifeste q
anche que l’on peut parvenir à se tourner parfaitement en dehors ; le
genou
ne peut point participer à cette position contrai
de tourner dans tous les sens. Si je fais un grand rond de jambe, le
genou
obéit, mais la hanche opère ; si j arrête ma jamb
action tonique ; mais si dans cette position je plie et je fléchis le
genou
pour former ce que l’on nomme communément attitud
ient tonique ; si enfin, je veux de cette position, en fléchissant de
genou
, reprendre un grand tour de jambe dans le moment
n saisit, en fait la lecture avec empressement, et se précipite à ses
genoux
, pour lui témoigner son amour et sa reconnoissanc
couvrir. Adèle se jette au milieu des combattans ; elle embrasse les
genoux
de son père. Raymond indigné se précipite aux pie
mes et de chevaliers sont invités à cette réception. Raymond se met à
genoux
; Renaud lui présente une épée nue, sur la quelle
rauts d’armes et des parrains, entrent dans la lice. Ils se mettent à
genoux
; ils jurent d’observer les loix sacrées de l’hon
à son impétuosité, reçoit le coup mortel. Raymond victorieux vole aux
genoux
d’Adèle. Elle revoit la lumière et son amant ; el
ouvrant le pied droit à côté, & lorsque vous êtes élevé & les
genoux
étendus, vous glissez le pied droit devant jusqu’
sus entierement, mais à mesure que le pied droit se glisse devant, le
genou
gauche se détend & son talon se leve, ce qui
us posez le talon du pied sur lequel vous vous estes élevé, & son
genou
se détend à mesure que vous glissez le pied qui é
ais dans le même moment le talon du pied de devant se pose, & son
genou
se plie & la jambe qui est en l’air s’ouvre u
plie & la jambe qui est en l’air s’ouvre un peu à côté, & le
genou
, qui est plié en s’étendant rejette cette jambe e
s Demoiselles, car elles doivent tourner les pieds, & étendre les
genoux
, quoique l’on prétende que l’on ne s’apperçoit pa
viendront que d’avoir la tête droite, le corps en est plus ferme, les
genoux
étendus, les pas en sont plus assurez. 41. Main
’est elle qui conduit & dispose des autres mouvemens, puisque les
genoux
ni les pieds ne se peuvent tourner si les hanches
perfection elles doivent être étenduës : ainsi le cou-du-pied ni les
genoux
ne se meuvent pas ; mais comme je n’ai entrepris
cretion luy fera iuger le temps de faire la reuerance, sans plier les
genoux
, qu’il coule doucement la iambe droite deuant ius
la iambe, qu’on luy face sans le desplacer plier esgalement les deux
genoux
pour prendre le temps du pas de courante, mais pa
a veuë esgalle de sa hauteur, faut apres auoir tant soit peu plié les
genoux
, faire porter du pied droict vn pas plus en arrie
bien peu sur ceste action, faire plier auec la mesme douceur les deux
genoux
, & en desgageant comme insensiblement la iamb
e sans trainer à terre, & s’esleuant sur la pointe des pieds, les
genoux
tendus, tourner vn peu l’espaule en dedans, du co
iours esgale de sa hauteur, sans plier de la ceincture, ny iamais les
genoux
en dedans, pas mesmes bransler la teste, mais fai
femme, elle se doit commencer du pied gauche, du quel sans plier les
genoux
, ayant les pointes ouuertes, faut porter vn pas à
ceste action s’arrester tant soit peu, puis pliant doucement les deux
genoux
& releuant la pointe du pied droict, le desga
esleuant sur la pointe des pieds, assembler doucement (sans plier les
genoux
) le talon droict au gauche, puis escarter à costé
mieux prendre la cadance, par le dernier, en pliant tant soit peu les
genoux
pour assembler les deux talons en s’esleuant sur
à terre, & sans s’arreste là dessus, faut plier tant soit peu les
genoux
pour mieux prendre son temps, à fin d’assembler l
aire tous les pas sur les mouuemens des pieds, sans plier en tout les
genoux
, que si i’ay dit qu’il faut au commencement faire
oict & la teste du gauche, & qu’il ny marque les cadances des
genoux
, des espaules, ny de la teste, & ne porte la
la premiere position, sans qu’il touche à terre ; puis plier les deux
genoux
également, ce qui s’appelle plier sous soi, mais
à la premiere position, vous pliez sur le pied gauche en ouvrant les
genoux
, & étant pliez vous croisez le pied droit dev
e suit la droite, & se pose derriere à la troisiéme position, les
genoux
étendus sur la pointe ; & pour le troisiéme v
qu’à la quatriéme position, ce mouvement se fait en laissant plier le
genou
du pied de derriere qui renvoie par son plié le c
fausse qu’elle déplace les chevilles, et quelle n’opère rien sur les
genoux
ni sur les cuisses. Il est encore impossible de j
premières de ces parties en dehors, sans le secours des secondes, les
genoux
en effet n’ont que deux mouvemens, celui de fléxi
tation dont elle est douée ; et dans quelque sens quelle se meuve, le
genou
, la jambe et le pied sont forcés à la suivre. Je
cles se prête à toutes sortes de mouvements ; d’autres faussent leurs
genoux
par les attitudes qu’ils adoptent de préférence à
autant d’honneur à notre nation qu’à notre siècle, que la fléxion des
genoux
et leur extension étoit ce qui élevoit le corps.
que de l’effet annoncé par ce système anti-naturel, si vous pliez les
genoux
et si vous les étendez ensuite. Que l’on fasse ce
on sans le secours de la fléxion, et par conséquent de la détente des
genoux
. Ce seroit encore une autre erreur que de se pers
on élasticité, que l’on doit primitivement l’élévation du corps ; les
genoux
, les reins et les bras coopèrent unanimement et d
grande, et, par conséquent plus le saut a d’élévation. La fléxion des
genoux
et leur extension participent aux mouvemens du co
antité de danseurs s’imaginent, qu’il n’est question que de plier les
genoux
très bas pour être liant et moëlleux ; mais ils s
. En partant de ce principe, il n’est pas douteux que fléchissant les
genoux
plus bas qu’il ne le faut relativement à l’air su
roideur. Le moëlleux dépend en partie de la fléxion proportionnée des
genoux
, mais ce mouvement n’est pas suffisant ; il faut
usse qu’elle déplace les chevilles & qu’elle n’opere rien sur les
genoux
ni sur les cuisses. Il est encore impossible de j
premieres de ces parties en dehors sans le secours des secondes. Les
genoux
en effet n’ont que deux mouvements, celui de flex
ion dont elle est douée, & dans quelque sens qu’elle se meuve, le
genou
, la jambe & le pied sont forcés à la suivre.
cles se prête à toutes sortes de mouvements ; d’autres faussent leurs
genoux
par les attitudes qu’ils adoptent de préférence à
autant d’honneur à notre nation qu’à notre siecle, que la flexion des
genoux
& leur extension étoient ce qui élevoit le co
que de l’effet annoncé par ce systême anti-naturel, si vous pliez les
genoux
, & si vous les étendez ensuite. Que l’on fass
sans le secours de la flexion & par conséquent de la détente des
genoux
. Ce seroit encore une autre erreur que de se pers
son élasticité que l’on doit primitivement l’élévation du corps ; les
genoux
, les reins & les bras coopérent unanimement &
ande, & par conséquent plus le saut a d’élévation. La flexion des
genoux
& leur extension participent aux mouvements d
Danseurs s’imaginent, Monsieur, qu’il n’est question que de plier les
genoux
très-bas pour être liant & moëlleux ; mais il
. En partant de ce principe, il n’est pas douteux que fléchissant les
genoux
plus bas qu’il ne le faut relativement à l’air su
roideur. Le moëlleux dépend en partie de la flexion proportionnée des
genoux
, mais ce mouvement n’est pas suffisant ; il faut
s ce n’est pas sur la jambe tendue, verticale, qu’elles pivotent ; le
genou
est infléchi par un demi-plié. Elles pratiquent u
où la plante est maintenue parallèle au sol, une attitude derrière :
genou
ployé, le bas de la jambe ramené vers la cuisse.
ge de l’amour, comme le présage heureux de sa victoire ; il tombe aux
genoux
de Camille, il lui témoigne sa reconnaissance ; m
C’est envain qu’elle veut le suivre ; l’effroi s’empare d’elle ; les
genoux
fléchissent ; elle chancelle et tombe dans un fau
s dégrès qui conduisent au souterrain. Horace l’apperçoit, vole à ses
genoux
: cette amante vient lui offrir un asyle ; elle l
t et par degrès de Fulvie, en frémissant de honte. Fulvie tombe à ses
genoux
, et ne pouvant rien obtenir elle s’abandonne à sa
u peuple. Il se précipite dans les bras de Procule ; Fulvie tombe aux
genoux
de son père ; le vieil Horace serre dans ses bras
sur la tête du jeune héros une couronne de laurier. Horace tombe aux
genoux
de Tullus. Le vieil Horace et Procule font éclate
arrose des larmes que la tendresse maternelle fait couler, se jette à
genoux
, élève les bras vers le ciel, et l’implore en fav
es ; Admète s’approche de ce tableau avec effroi, et se précipite aux
genoux
de son épouse ; mais la voyant sans vie, il se sa
’empire de Pluton et de la rendre à sa tendresse : Hercule se jette à
genoux
, étend ses bras vers le ciel et supplie Jupiter d
qui est endormie. Admète s’approche avec précipitation, se jette aux
genoux
de ces Divinités protectrices. Alceste ouvre les
issés, de marchés, de tendus et de sautés. Le plié, c’est fléchir les
genoux
, comme le démontre la planche deuxième ; le gli
ssaires pour bien danser, elle apprend à se tenir ferme, à tendre les
genoux
, & assujettit à cette regularité qui fait tou
lade la scène de l’Opéra. Mais, oh ! la laideur des dos voûtés et des
genoux
en dedans que nous montrent les émules de l’évang
z donc le mouvement du danseur, dit moderne ou prétendu « antique » :
genoux
projetés verticalement, ruades variées, — s’il ne
lle exprime son impatience ; le berger paroît ; il se précipite à ses
genoux
; il lui témoigne les sentimens les plus tendres
e ce Dieu. Il disparoît, et il est remplacé par l’Amour qui tombe aux
genoux
de sa mère dans l’attirail du Dieu des combats. C
il court, il s’agite, la frayeur s’empare de ses sens ; il se jette à
genoux
, lève ses bras tremblans vers le ciel et implore
époux, tente encore une fois d’ébranler son cœur ; elle embrasse ses
genoux
elle le menace du courroux des Dieux ; mais il re
engage Iphigénie à joindre ses prières aux siennes, elle embrasse les
genoux
du cruel Thoas. Oreste et Pylade la relévent de c
este se livre à la douleur, et Pylade à la joie ; Oreste embrasse les
genoux
d’Iphigénie, pour la conjurer de revoquer un arrê
aux pieds de l’autel, dans l’attitude de la douleur ; Oreste se met à
genoux
et présente sa tête au glaive dont on arme la mai
du coup de tonnerre, et du feu éblouissant de l’éclair, sont tombés à
genoux
; Iphigénie leur montre son frère, l’unique objet
i. Scène iii. Isménie accourt, l’arrête, et, en embrassant ses
genoux
, détourne pour un instant les coups, qu’il veut p
artie à rentrer dans sa place et à revenir à sa forme naturelle ; les
genoux
, ainsi forcés, se portent donc en dedans, ils rep
battre ni croiser, restent comme immobiles au moment de l’action des
genoux
, qui roulent désagréablement l’un sur l’autre ; e
s, lequel déjà courbé et parfaitement posé sur les hanches et sur les
genoux
, ployés et préparés à prendre leur élan, que doit
uil en dedans, au lieu que les talons étant près l’un de l’autre, vos
genoux
se tournent également en dehors. Et de plus c’est
ise et d’effroi ; la pâleur de la mort s’imprime sur ses traits ; ses
genoux
tremblans supportent avec peine le poids de son c
ermnestre frémissant du crime, que son père exige d’elle, tombe à ses
genoux
ainsi que ses sœurs ; en vain elles veulent révoq
es ordres de Danaüs ; le fer lui échappe de la main elle se jette aux
genoux
de son époux, les arrose de ses larmes, et lui co
é de chaînes est conduit à Danaüs ; à cette vue Hypermnestre vole aux
genoux
de son père ; elle le trouve insensible à ses pri
do » de l’allure par une gymnastique simplifiée ; ils font ployer les
genoux
et les redressent, soulèvent les talons et les la
nt le tapage hostile couvre complètement l’orchestre. Elle songe, les
genoux
tournés en dedans, les talons en dehors, inerte.
bserver aussi que lorsque l’on prend ces demi-coupez, faut ouvrir les
genoux
& tourner la pointe fort en dehors, mais pour
s le passez en pliant, vous ne vous relevez jamais si bien, & les
genoux
paroissent toujours pliez ; toutes ces remarques
par consequent l’oblige de se lever derriere, & de suite plier le
genou
droit, & en vous relevant jettez-vous sur le
gerement, n’estant que des demi mouvemens tant du cou-de-pied que des
genoux
& de la hanche ; ce pas a deux temps differen
on le couronne de myrthe ; et enivré de son bonheur, il se jette aux
genoux
d’Armide. Ces deux amans expriment que rien n’ega
ette vue Renaud se dégage des bras des deux chevaliers pour voler aux
genoux
de sa maîtresse ; il s’y précipite, il prend ses
de tableaux pittoresques. Dans le moment où ce guerrier se jette aux
genoux
de son amante, un grand baldaquin de fleurs suppo
à une vie qui l’importune et lui paroît odieuse ; elle se jette à ses
genoux
; elle lui présente son sein et elle l’invite à y
ne exprime sa douleur ; Pyrrhus peint son desespoir ; il se jette aux
genoux
de son amante éperdue, et fait tous ses efforts,
t lui-même s’arracher la vie ; dans ce moment Polixène se jette à ses
genoux
; le coup est suspendu par les regards, et les la
ui annonce l’arrivée de la nouvelle épouse ; Zélis tombe mourante aux
genoux
du Sophi : les autres Sultanes expriment les dive
ant le visage de ses mains. L’Empereur transporté d’amour, vole à ses
genoux
; Zulmire se tourne tendrement vers lui et se pré
Sophi pose la main sur le livre de la loi ; les assistants tombent à
genoux
; il met ensuite le diadême sur la tête de Zulmir
ant à la première position. On plie sur le pied gauche en ouvrant les
genoux
, et étant plié on croise le pied devant soi jusqu
uche suit la droite, et se pose derrière à la troisième position, les
genoux
étendus sur la pointe, et pour le troisième on la
qu’à la quatrième position. Ce mouvement se fait en laissant plier le
genou
de la jambe de derrière, qui renvoie par son plié
ie en ouvrant le pied droit à côté ; et lorsque l’on est élevé et les
genoux
étendus, on glisse le pied droit devant jusqu’à l
sus entièrement. Mais à mesure que le pied droit se glisse devant, le
genou
gauche se détend, et le talon se lève, ce qui ren
it l’historien, s’étoit déguisé en Dieu marin, et en marchant sur ses
genoux
avoit dansé l’avanture de Glaucus. Danser sur ses
hant sur ses genoux avoit dansé l’avanture de Glaucus. Danser sur ses
genoux
est une chose miraculeuse, et marcher sur les gen
. Danser sur ses genoux est une chose miraculeuse, et marcher sur les
genoux
est une chose désagréable et tout aussi fatigante
ant qu’elle s’étende en s’aprochant, & lorsqu’elle se croise, son
genou
se plie, & qu’il s’étend en terminant le demi
mule de mathématique. La jambe droite est tendue comme une flèche, le
genou
bien en dehors se présente de profil ; c’est une
dans le même mouvement décisif — une jambe imparfaitement tendue, au
genou
un peu en dedans. Mais toute cette variation de b
s discrète. Je lui reprocherai pourtant de ne jamais tendre dûment le
genou
, ce qui cause une impression de malaise. Puis, c’
Les pas exécutés : marche rythmée, accentuée par le fléchissement des
genoux
ou par des mouvements plongeant du corps, sont d’
pté qu’au premier saut vous retombez sur vos deux pieds, sans que les
genoux
soient pliez ; mais vous pliez après pour faire l
fait exécuter. Les deux pas glissés doivent s’exécuter en pliant les
genoux
et glissant alternativement les pieds sur la poin
îtroit outré, & il en est de même des jambes, quand vous pliez le
genou
, c’est le cou-de-pied qui acheve le mouvement en
urement techniques et portent sur le détail. Ne laissez pas tomber le
genou
! Ou bien : « que faites-vous de votre bras gauch
xpérience. Elle fait grimacer la perfection. Ne laissez pas tomber le
genou
, mesdames ! Car cela serait un vandalisme inouï !
s. Pour découvrir et prêter à la jambe une bonne forme, on lâchera un
genou
qui se tendra aussitôt en portant le pied à la qu
ée en arrière, on la passera à la première position, lâchant aussi le
genou
qui se tendra également, en portant le pied à la
en arrière. Étant placé comme pour marcher en avant, on lâchera un
genou
qui se tendra en portant le pied à la quatrième p
mènera la jambe restée en avant, la pointe du pied basse ; lâchant le
genou
, on la passera à la première position, continuant
corps au milieu des deux jambes, pour les plier également et bas, les
genoux
en dehors, afin qu’ils sortent également sur les
uisque dans le tems que vous tirez votre pied derriere, & que les
genoux
se plient, comme si les forces vous manquoient (c
n amant, elle aura recours aux larmes, à la prière, et embrassera les
genoux
de son vainqueur, qui, le coeur fortement ébranlé
oit-il pas possible, au départ de Henry, dans l’instant qu’il est aux
genoux
de sa maîtresse, et qu’il ne peut s’en détachér ;
secret de leurs âmes. Enée, qui ne respire que l’amour, se jette aux
genoux
de la Reine ; il lui jure une fidélité éternelle.
les bras de ses femmes. Enée frappé du danger de la Reine, vole à ses
genoux
; il arrose de ses pleurs les mains de son amante
et sa main et ses secours. Ce Prince, vivement épris, se jette à ses
genoux
, se repent de sa barbarie et veut sauver ce qu’il
de rien et demande cependant une science peu commune de l’attitude :
genoux
fléchis avec grâce, cou-de-pied bombé… « Je ne sa
che septième ) les épaules effacées, le menton en arrière, pliant les
genoux
dans cette position, tel que le démontre la planc
un moment et reparoît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à
genoux
; la jeune femme vole à ses enfans ; ils paroîsse
al. Belton plus honteux et plus contrit que jamais, se traîne sur ses
genoux
vers ce père irrité ; sollicite son pardon ou la
une manière si concrète que l’on croit voir la démarche élastique, le
genou
fléchi, les petits pas frappés et tendus d’Alexan
quelle a sur son âme ; Jason lui en promet le sacrifice, embrasse ses
genoux
, et dans l’instant où ces amants expriment leur m
, elle a le bras levé pour frapper l’autre ; Jason se précipite à ses
genoux
et la conjure d’épargner au moins cette dernière
es pieds dans une de ces boites à rainures. Là, talon contre talon et
genoux
en dehors, elle habitue ces pauvres pieds martyri
eurs épaules ; d’un caleçon de même étoffe, qui s’arrête au-dessus du
genou
; de bas, jarretés fort haut, qui leur tiennent l
e en dehors, dégagée trop bas, descend ; la cuisse tombe, entraîne le
genou
, puis la pointe — et voilà toute notre joie gâtée
ent une allure monumentale, le torse se portant avec puissance sur le
genou
plié. Vous avez vu, dans les spectacles lyriques,
a dans un grand embarras, lorsqu’elle souffrit d’un mystérieux mal au
genou
qui inquiéta l’Europe et intrigua les médecins. V
sque immédiatement après ma retraite, Mlle Taglioni déclara un mal de
genou
; on convoqua tous les médecins et chirurgiens or
t Magendie ; la consultation fut longue et sérieuse ; il n’y avait au
genou
ni gonflement ni rougeur ; mais au moindre touche
sé partir l’un ; pour un peu, ils le rendraient responsable du mal au
genou
de l’autre. Après l’été maussade de Paris, le séj
n voyage il n’eût pas l’occasion de voir la sylphide, alors malade du
genou
. La danse qu’il aimait était celle qui s’élève au
y Elssler. Marie Taglioni, délivrée de ce qu’elle appelait son mal au
genou
, avait assisté à la première représentation du Di
lusieurs mois auparavant, quand elle ne pouvait s’expliquer le mal au
genou
de Mlle Taglioni. Pendant la première semaine de
sur les gradins les plis de son manteau et découvrant à chaque pas un
genou
délicat où Soudeikine avait, de sa main, peint un
de leur bonheur et pénétrés de reconnoissance, veulent embrasser les
genoux
d’Hercule ; mais Philoclète entraîne ce héros pou
able au quel son époux est réduit ; elle vole à lui, elle tombe à ses
genoux
et tente de se justifier. Hercule la fuit avec ho
rouve dans les bras d’Adonis. L’Amour la blesse ; le Berger est à ses
genoux
; elle se laisse aller et se penche dans les bras
le qu’elle ne craint plus. Campaspe revoit la lumière et embrasse les
genoux
d’Alexandre. Apelles se jette à ses pieds. Le fav
de la résolution cruelle du Bailli, elle pleure, elle se jette à ses
genoux
. Les paysans emploient de leur côté la prière ; m
de à ses Gardes-chasses de l’arrêter. A cet ordre, Julie embrasse les
genoux
du Seigneur, et demande grace pour lui. Cet acte
ar une respiration trop courte et par une certaine gaucherie dans les
genoux
. D’une excellente tenue. Très pieuse. Fort attent
Fa[ILLISIBLE]quer un parapluie. Mais quelle plastique à se mettre à
genoux
devant — et derrière ! Vous la rappelez-vous dans
monstre marin, ayant une grande queue de poisson : il y dansa sur ses
genoux
& d’une maniere fort extravagante ; ce qui au
Cendres, où tout le peuple va le matin dans les Eglises, se mettre à
genoux
devant des Prêtres qui leur font une croix au fro
e, le prince Jodjana se place bien en face, — les pieds ainsi que les
genoux
légèrement infléchis, — tournés en dehors, à la s
tire le droit tout auprès à la premiere position, puis plier les deux
genoux
également, comme je l’ai expliqué cy-devant ; &am
et qu’Auguste Vestris fut le premier à prodiguer, le fléchissement du
genou
et la démarche élastique, tout cela tient du styl
la tête en avant, enfoncée dans les épaules, la poitrine retirée, les
genoux
crochus et butants, les pieds en dedans, l’habitu
ente : elle a le corps droit sur les deux jambes, la tête droite, les
genoux
pliez, & la ceinture ferme, mais en vous rele
fres encore ouverts, mais ils se ferment à l’instant, elle se jette à
genoux
, elle gratte, pour ainsi dire, la terre et voudro
urs. Lyncée effrayé du danger qui menacoit son épouse, se jettoit aux
genoux
du tyran et mêloit ses larmes à ses prières. Le c
est vainement qu’elle le presse, qu’elle le prie, qu’elle tombe à ses
genoux
; l’Amour est inéxorable ; il sait dailleurs, que
cherche vainement à sortir de ce lieu d’épouvante et d’horreur ; ses
genoux
tremblans se dérobent sous elle ; elle tombe et e
araîtrait outré, et il en est de même des jambes, quand vous pliez le
genou
; c’est le cou-de-pied qui achève le mouvement, e
ourbent, et de l’élans qui se forme dans la jointure des cuisses, des
genoux
et des pieds, et cette extension se fait de deux
rand-père veut se rendre captif pour ses enfans. Le fils se jette aux
genoux
des bandits, les engage à ne point prêter l’oreil
té pénétre tous les villageois de reconnoissance ; ils embrassent les
genoux
de leur libérateur qui lui-même attendri ainsi qu
A l’aspect du fer dangereux l’Amour frémit ; il tombe en pleurant aux
genoux
de Philis, et il la conjure au nom de la beauté d
ouvemens de la main, aux aides ou appuis, plus ou moins prononcés des
genoux
, des molets et du talon. Cette danse s’exécute da
e soir du Tribut de Zamora, mademoiselle L… s’était installée sur les
genoux
de M. de P… — A charge de revanche, fit-elle en l
seline, bouffant aux hanches, fermé au-dessus, — bien au-dessus, — du
genou
, quelque chose comme le pantalon de nos zouaves,
dans tous les genres, mais des accidens et une douleur fixée dans les
genoux
, l’ont forcée dans plusieurs circonstances de sus
jambe à décrocher les étoiles, en fait virevolter le bas autour d’un
genou
qui semble désarticulé. De ses talons sonores ell
t sa cour chez elle comme au théâtre ; ses domestiques la servaient à
genoux
. C’était du reste une gastronome intrépide ; elle
s pas sous elle que jamais on ne put apercevoir sa jambe au-dessus du
genou
. » De là, préoccupation extrême. La cour et la vi
e rendit aux vœux de La Harpe, qui, depuis longtemps, soupirait à ses
genoux
en vers anacréontiques et langoureux. En 1775, el
s tombent de leurs mains. Vaincus et sans déffense ils se jettent aux
genoux
de leurs vainqueurs, qui, naturellement tendres,
t plus occupé de son amour que des inquiétudes d’Inès, se jette à ses
genoux
pour la presser de ne point oublier de parler à B
, sa crainte, sa joye, sa tendresse et son ravissement ; il tombe aux
genoux
de sa maitresse, qui le reçoit dans ses bras avec
dans les bras d’Electre et d’Iphise ; le perfide Egisthe tombe à ses
genoux
et le peuple transporté d’allégresse s’empresse d
des emportemens de sa sœur, et du ressentiment d’Egisthe, tombe a ses
genoux
pour le calmer, mais Electre, appercevant sa sœur
s enfans jettent des fleurs. Cette cérémonie terminée, tous tombent à
genoux
et demeurent dans le silence le plus respectueux.
ombent de leurs mains. Vaincus & sans défense, ils se jettent aux
genoux
de leurs vainqueurs, qui naturellement tendres le
; plus occupé de son amour que des inquiétudes d’Inès, se jette à ses
genoux
pour la presser de ne point oublier de parler à B
a crainte, sa joie, sa tendresse & son ravissement ; il tombe aux
genoux
de sa maîtresse qui le reçoit dans ses bras avec
and Mme D. au milieu d’une danse grave, s’arrête tout à coup, lève le
genou
jusqu’à la poitrine et fait avec la jambe droite
rmantes distribuent de ces robes à la dérobée. Paillasse se jette aux
genoux
du Sultan, pour en obtenir une. Le Sultan inexora
t le mien. Honteux et dépité, je le gardai dans mon chapeau entre mes
genoux
, attendant je ne sais quel moment favorable qui n
ssées à les aider. Je les pousse, je les écarte, et je viens tomber à
genoux
auprès du blessé. Alors seulement, je vois qu’il
urs de cette répétition, un faux mouvement de jambe lui occasionna au
genou
une foulure qu’elle crut d’abord légère ; mais, d
, par des gestes et des signes, et par des mouvements des jambes, des
genoux
, des mains et du corps : et rien ne ressemble plu
, un jeune secrétaire d’ambassade, — gueux comme Job, — soupirait aux
genoux
de la danseuse : — Ce n’est pas moi qui vous offr
re une seconde Taglioni. L’enfant s’instruisit sous les yeux, sur les
genoux
de sa mère. Le couvent des Oiseaux eût été moins
ubles ; Elssler, dans le pays des dollars ; Lucile Grahn avait mal au
genou
. L’Opéra était veuf ; sa première danseuse s’appe
paraissent dans le tourbillon de la danse ! comme elle tombe bien aux
genoux
d’Achmet, haletante, éperdue, souriant dans sa pe
rs accoutumé. — « Voyons, dit Giannina à son fiancé, qu’on se mette à
genoux
ici, devant moi, et que l’on m’aide à dévider cet
chasseresse virginale ; les rotules sont nettes, bien détachées et le
genou
est irréprochable ; ses jambes diffèrent beaucoup
u danger dont il est menacé, l’Amour frémit, il tombe en pleurant aux
genoux
de Philis et il la conjure, au nom de la beauté,
i, lourde brute d’Hilarion, n’as-tu pas reconnu au tremblement de tes
genoux
, à la sueur glacée qui colle tes cheveux à tes te
▲