/ 127
1 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »
5 mars. Pour le ballet français . Ballets russes ; ballets français. — Une variati
5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français . — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». —
est bon ; par lui l’effort moderne tend à se rattacher à la tradition française , la seule viable à l’Académie Nationale. M. Émile
s assez grave. Car si les Russes sont susceptibles de faire un ballet français sans faillir à leur nature, les Français ne saura
ceptibles de faire un ballet français sans faillir à leur nature, les Français ne sauraient faire un ballet russe sans se trahir
t valoir son humanité profonde et créatrice. Ces caractères, le génie français les affirme sans d’ailleurs s’y confiner. Il ne s
il l’intègre, l’assimile, le résorbe. Un Poussin fait de la peinture française avec des paysages d’Italie. Un Watteau emprunte a
e Valenciennes n’en est pas moins la quintessence d’une grande époque française . Molière prenait son bien où il le trouvait. Mais
entatif de son tempérament et saturé de son esprit. Sans doute, l’art français , condamné à l’isolement, se serait étiolé. Il dev
ion des saisons russes a secoué la torpeur qui avait envahi le ballet français . Disons-le : le prodige russe éclaira d’une lumiè
e complète déchéance. Que restait-il dès lors à faire pour le danseur français  ? Se camoufler en Russe ? Renchérir sur l’exotism
e qu’il faut un retour sur soi-même pour reconstituer un art de danse français . Car si un glorieux exemple stimule l’émulation,
2 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
2. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. La danse est-elle ou non un
d’idées ; il y a là une étape significative dans l’évolution du vers français traditionnel, un phénomène rythmique. Quoi qu’ell
’être escamotée. Mais la danse théâtrale est encore et surtout un art français . Ce sont les Russes qui sont venus un jour le pro
e dans sa gloire. Or, ce grand homme russe si justement vénéré est un Français . Marius Petipa, danseur marseillais, chef d’une d
e, époque qui prépara l’hégémonie mondiale de ce ballet. Petipa a été français , comme française avait été la tradition qu’il per
épara l’hégémonie mondiale de ce ballet. Petipa a été français, comme française avait été la tradition qu’il personnifia. Mais po
Russie adopta Petipa. Aussi sa dette est-elle immense envers le génie français . Mais elle a su s’acquitter. Le triomphe des « Sa
e. C’est à quoi je songe en évoquant pieusement la mémoire d’un grand Français ignoré en France. Du reste la reprise de sa Belle
3 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »
s Petipa avait été le « grand chef » du ballet russe, un autre maître français , Bournonville, venant après Galéotti, fonda la gr
e Plane, mime remarquable. Le ballet danois est ainsi de vraie souche française et nourri, en même temps, de la plus belle sève S
le pourra rapporter dans son admirable capitale où le ballet danse un français si pur, où l’on peut voir la plus belle collectio
nçais si pur, où l’on peut voir la plus belle collection de sculpture française « extra muros », et où les amazones qui galopent
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
Chapitre VIII. Suites du Vice primitif L’Opéra Français tel qu’on le forma dans sa nouveauté fut reçu de
ux nues ; tout ce qui parut dans le Poème plus faible que la Tragédie Française , fut mis sous les pieds. L’Opéra ravissait la Nat
Il est arrivé de là que les vices primitifs ont subsisté dans l’Opéra Français , pendant que les connaissances des Spectateurs se
lent supérieur et trente ans de succès l’ont placé dans l’opinion des Français au-dessus de tout ce qui avait paru avant lui)[,]
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
présentait la véritable Renommée. Neuf Cavaliers richement vêtus à la Française marchaient sur ses pas. Ils chassèrent du Théâtre
uelle et polie, qui excellait depuis longtemps dans un genre, que les Français avaient gâté. [Voir Fêtes de la Cour de France] L
la ville de Casals, les retranchements des Espagnols, et le camp des Français . Quatre Fleuves d’Italie qui appelaient ces derni
alie qui appelaient ces derniers dansèrent la première Entrée. Quatre Français qui couraient à leur secours firent la seconde. Q
oir dansé la troisième, se retirent dans leurs retranchements, où les Français les attaquent et les forcent. La Fortune les suit
n voit les Flamands avec des pots de bière, qui viennent recevoir les Français , et ceux-ci entrent dans la ville, malgré les eff
Prudence, paraît avec sa suite ordinaire. Elle vient retirer quelques Français du parti d’Espagne, et son Entrée finit le second
sur de riches Galions qui couvrent la mer. Dans ce moment les Galions français se montrent. Ils voguent à pleines voiles contre
ntre ceux d’Espagne, les attaquent, les combattent et les brûlent. Le Général Français victorieux débarque avec ses Troupes et les Maure
oururent l’y joindre. Il leur dit en les voyant entrer : Eh bien, les Français n’auront jamais du goût pour les belles choses. I
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français L’Opéra Français est une composition dramatique
Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français L’Opéra Français est une composition dramatique, qui pour la forme
uinault en est l’inventeur ; car Perrin, auteur des premiers Ouvrages Français en Musique représentés à Paris, n’effleura pas mê
n général de Quinault, elle est une portion si essentielle de l’Opéra Français , que je ne puis me flatter de la faire bien conna
ans rapport, n’est qu’un mélange du Théâtre des Grecs, de la Tragédie Française , et des rhapsodies des temps gothiques ; comme il
fondé pour jamais sur le sublime de ses compositions, lorsque l’Opéra Français fut imaginé. L’Histoire était le champ fertile qu
. C’est sous ce premier aspect que s’offrit à son esprit un Spectacle Français de Chant et de Danse. D’abord le merveilleux fut
tastase. On n’écoute dans l’Opéra Italien que la Musique. Ce sont les Français qui en lisant l’Abbé Métastase ont publié les pre
. Les chœurs du cinquième Acte d’Atys. 131. Le Théâtre de la Comédie Française . Nous avons deux grands genres. Les Italiens n’en
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
du voisinage, qui ne put me dire ce qu’avait ma mère. Comme il était Français je ne le comprenais du reste que très mal. L’état
de mon inexpérience de la loi comme de ma méconnaissance de la langue française , on menaça de m’arrêter et de m’emprisonner si je
r avec moi. Le docteur anglais arriva juste au moment où des docteurs français (le médecin qui soignait ma mère avait appelé tro
sauver. Le docteur anglais s’offrit à soigner ma mère et les médecins français se retirèrent dès qu’ils surent qu’il était notre
ployé que je voulais un billet pour Berlin. Je lui tendis de l’argent français  : il me le rendit. Je compris qu’il n’accepterait
ait un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il essaya de parler français , puis allemand, mais je n’entendis pas ce qu’il d
tir pour Berlin et que l’employé n’acceptait pas mon billet de banque français . Ce billet de mille francs et un peu de monnaie c
8 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
gardaient comme un homme de génie. Au temps du Congrès, deux artistes français personnifiaient à ce théâtre les principes de la
etés-battus, des pirouettes, des entrechats. En même temps la méthode française insistait sur la nécessité du style. Elle exigeai
oute la personne eût un air de dignité et de noblesse. Aussi la danse française était-elle appelée la danse noble. Il était indis
ces qualités de goût, de tenue, de grâce qui caractérisaient le style français . A cet égard l’enseignement d’Aumer lui rendit de
ue naturelle. Les défauts que l’on reprochait à beaucoup de danseuses françaises étaient l’automatisme, la convention, la monotoni
? Au premier abord la danse italienne semblait une vassale de l’école française . La France fournissait à l’Italie des sujets en g
sait, dans les premières années du dix-neuvième siècle, la correction française aux emportements tumultueux de l’Italienne Teresa
ntrigues Teresa Monticini réussit à éloigner sa rivale, mais la danse française n’en garda pas moins son prestige, grâce à Mmes A
goûtée au même théâtre, était, en dépit de son nom italien, d’origine française . Vigano et sa femme, la belle Maria Medina, avaie
orité des danseurs de France et s’efforçait de les imiter. Le danseur français Bretin, d’abord froidement accueilli par les Mila
e, finit par leur faire aimer son art sobre et distingué. L’influence française fut dominante à l’Académie de danse fondée en 181
avec les cardinaux les conditions de paix imposées par la République française , cédèrent la place à de grandes légendes antiques
sons de la musique de Beethoven7. Malgré l’autorité des chorégraphes français et les exploits de leurs élèves, le tempérament i
passion. Point de danger qu’elle péchât, comme beaucoup de danseuses françaises , par excès de correction. Elle tombait parfois da
cer au style. Son goût délicat d’Autrichienne, affiné par l’éducation française , la préserva des vulgarités du réalisme. Sa danse
e et sans âme, école que je déteste, qui me paralyse d’ennui, l’école française moderne… Combien grande fut la force de la vérité
lques bons juges, la situation de Fanny à Vienne restait médiocre. Un Français , qui suivit, en 1831, les représentations du Kærn
s de l’opéra-ballet le Dieu et la Bayadère remplirent avec des opéras français le reste de la saison. Quelques esprits s’indignè
issait lui préférer, au Kærnthner-Thor, la Polonaise Schlanzowska, la Française Mimi Dupuy et l’Italienne Muratori. Lasse de rest
les banquettes et qu’il fallait, pour attirer la foule, des danseuses françaises , des chevaux et des éléphants… L’art théâtral ne
9 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
valeur de l’œuvre, La Foire de Corfou aurait pu devenir le Petrouchka français  ! Ainsi, on a commis une erreur grave. Car il ne
créateur d’Esméralda ou un Saint-Léon qui fit Néméa sont des maîtres français comme Berlioz ou Carpeaux. On pourrait d’ailleurs
de Noverre, le « Shakespeare de la danse », le plus grand des maîtres français et qu’il n’est pas impossible de reconstituer l’a
10 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
Moscou ou à Petrograd. D’ailleurs le renouveau du spectacle de danse français se produit sous l’influence évidente des ballets
s au comble de leur triomphe. Il annonça dès lors une « grande saison française  », monta sur la scène exiguë de son petit Théâtre
des œuvres de Lulli et de Rameau, fit appel à la plus pure tradition française . Ce n’était là qu’une généreuse boutade, un geste
11 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
te conversation entre nous était impossible, car il ne parlait que le français , et nous ne parlions que l’anglais. Avec force pa
in. Pendant le trajet en chemin de fer, M. Poulle m’apprit une phrase française que je devais dire lorsque Dumas me tendrait la m
s me demeuraient obscurs, mais, peu à peu familiarisée avec la langue française , je subis le charme irrésistible de sa conversati
quelqu’un me demanda si j’aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en français , que je ne possédais encore qu’assez imparfaiteme
12 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
ssèrent à encourager les arts renaissants. Richelieu fonda l’Académie Française  ; il en fut le chef et le protecteur. On doit le
f et le protecteur. On doit le regarder comme le fondateur du théâtre Français , pour le quel il composa lui-même plusieurs tragé
du plus pompeux et du plus magnifique spectacle de l’Europe, (l’Opéra Français ), et nous en devons la jouissance au goût, et au
d’un opéra national, sentit qu’il ne parviendroit à tirer la musique Française des langes dans les quels la routine l’avoit emma
n de France Duc d’Orléans, fût le premier qui offrit à Paris un opéra Français  ; il en fit les paroles, Cambert en composa la mu
isparate monstrueuse qu’ils offriroient. Il craignit que les danseurs Français tristes et nobles ne mourussent à force de rire,
gna, et que ceux-ci en regardant se promener à pas lents les danseurs Français sur les airs de la Courrante, et de la Sarabande,
e ce Ministre furent couronnés par la plus heureuse réussite. L’opéra Français fut crée, et on lui doit sa naissance. On ne peut
rer dans les vües de Mazarin, en composant le premier opéra en langue Française . Protégé par le Prince qu’il servoit il travailla
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »
guissent pas infiniment ; que la 400e de Coppélia, petit chef-d’œuvre français dont le succès est inépuisable, serve d’occasion
oupe qu’il croit destinée à rétablir, dans toute sa gloire, le Ballet français .
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
ément fait pour lui, parce qu’il était un auteur japonais, et que les Français étaient très contents qu’il eût amené sa troupe j
issent peuvent se figurer à quoi ressemblait ce discours ! C’était en français , mais j’affirme que c’était aussi difficile à com
e forme enfoncé jusqu’aux oreilles. Je causais avec lui en ce mauvais français dont je suis coutumière, et sans savoir qui il ét
15 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
il y a plus d’un demi-siècle, Bournonville, missionnaire de la danse française , in partibus infidelium ou, sans métaphores, maît
paraît comme une rare exception — est une des tares du ballet d’opéra français et j’espère être soutenu dans la petite guerre d’
es ne s’inscrira pas à la première page d’une Renaissance de la danse française  ? J’abandonne à regret ce sujet. Mais je le repre
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français . En examinant les vues de Quinault, le plan de
a une esquisse de l’opinion qu’on s’était formée dans la Littérature Française de Quinault et de Lully. Cette erreur est la caus
17 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
let, définitif, absolu. C’est la grande tradition classique du ballet français  ; c’est encore l’orchestique grecque dont, décidé
L’Oiseau de Feu de Fokine. Ayant dansé, elles font la révérence à la française , avec quelle grâce ! Mais vain bruit que ces brèv
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 27 décembre 1670 »
e façon singulière, Par son Gentilhomme Bourgeois, Demi Turc, et demi Français , Et par de bonnes Confitures, Pour moi d’agréable
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
rendra la justice de dire, que vous pensez et que vous écrivez en bon français  ; mais il est un amour devant le quel il faut que
goût musical ? cette fureur de graver tout, peut-elle prouver que les Français aiment mieux la musique que les Italiens ? En Ita
grands maîtres. Les Italiens sont à cet égard bien plus sages que les Français  ; mais à défaut de graveurs il y a un grand nombr
20 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
juste. Sans doute, Mme D. danse un peu en anglais, comme d’autres en français ou en italien ; mais elle danse surtout en grec,
mez surtout en raison de leur exotisme. Vous n’aimez point les danses françaises parce qu’elles parlent notre langage et n’ont pas
arlez-vous de Russie à propos de Mme R. ? Elle n’a jamais dansé qu’en français . La Danseuse Ah ! vraiment ? Moi Mme R. ? c’est l
r, c’est la digne élève de Flaubert, c’est toute l’antiquité vue à la française . Et vous voyez combien votre opinion est imprudem
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 18 août 1668 »
Un assez spacieux Chapitre ; Mais, vraiment, les COMÉDIENS, Tant les Français qu’Italiens, Ont, depuis, témoigné leur zèle De f
22 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
emporter par l’invention acrobatique. Quinault fait triompher le goût français . De tels hommes sont faits pour rendre à la danse
çais. De tels hommes sont faits pour rendre à la danse classique, art français , sa suprématie de jadis. Sa technique est solide,
23 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
de la théophilantropie ; entre le legislateur des Juifs, et celui des Français , L. R. L. P. Je reviens aux fêtes. Pour donner ce
ination à la torture. La nomenclature de toutes celles que les armées Françaises ont remportées, n’est-elle pas immense ? On n’a d
un tableau plus grand et plus terrible ? ce passage fut forcé par les Français , avec une valeur, une intrépidité, et un acharnem
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
la Cohue et le Concours Furent tels, en ces derniers jours, Qu’à part Française Courtésie116, L’Officier, dans sa frénésie, Repou
25 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
loquence au conservatoire où dans les coulisses de l’opéra ? La scène Française ne m’offre-1-elle point Corneille, Racine, Voltai
dont les successeurs font encore aujourd’hui les délices de la scène Française  ; si leur éloquence est secondaire, il faut avoue
e le public à l’ennui, et au sommeil. Le récitatif des premiers opéra Français mis en musique par Cambert et par Lully étoit ega
lle des Grecs et des Romains et que le costume adopté par notre scène Française , s’avoisine de la vérité, autant que celui des an
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
ls anglaises, bataillons d’anges pervers, ont emprunté aux quadrilles français , aux Grille d’Égout et aux Nini Patte-en-l’air, n
e erronée, détestable. J’ai vu, cet été, danser à l’Olympia un couple français , Mitty et Tillio. Leur réputation est considérabl
que — que ce soit l’humour anglo-saxon ou la verve gauloise du forain français . Mais en voilà assez de braconner sur le terrain
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
es progrès, que je défère à la sagacité, au goût, au discernement des Français . 1°. Toute action théâtrale est antipathique aux
e ancienne : elle tenait les Danseurs, dès l’établissement de l’Opéra Français . V. le Père Ménestrier, dans son Traité des balle
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 14 février : Le Sicilien ou L’Amour peintre — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 19 juin 1667 »
usqu’à la Jalousie, D’une Grecque, son Affranchie. D’autre part, un Marquis Français , Qui soupire dessous ses Lois, Se servant de tout
29 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
mener en Angleterre et de l’initier aux secrets de la danse théâtrale française . Vers la fin du xviiie  siècle, la danse français
la danse théâtrale française. Vers la fin du xviiie  siècle, la danse française jouissait d’un prestige universel. De Moscou à Na
restige universel. De Moscou à Naples, de Londres à Vienne, le ballet français triomphait. Partout appelés, partout fêtés, les d
que les danseurs des autres pays avaient les « jambes de plomb ». Les Français n’avaient pas tardé à abuser de cette virtuosité.
était attaché le jeune Viganò, était l’un des très rares chorégraphes français qui s’efforçassent d’appliquer les théories de No
e dont son père était l’impresario, toutes les grâces de la technique française . L’année suivante, il composait pour ce théâtre s
en mettant à la scène à la Fenice La Fille mal gardée du chorégraphe français . En 1793, il partait pour Vienne avec sa femme. L
e Viganò. Ce sont des ballets allégoriques ou mythologiques à la mode française . L’action en est toujours dansée à la différence
heureusement l’action pantomime chère aux Italiens et la chorégraphie française telle qu’il la tient de Dauberval. Il se rend com
la danse. Viganò appelle ainsi non pas la technique savante du ballet français avec ses exercices de virtuosité, mais une gestic
aindre de voir sacrifier l’art de la danse, la merveilleuse technique française à laquelle les connaisseurs trouvaient tant de ch
» Beaucoup étaient de cet avis qui préféraient les grâces de la danse française aux tragédies muettes du grand chorégraphe. Et il
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IX. Des Actions convenables à la Danse Théâtrale »
s ; et sa Danse digne seule de ce nom sera désormais appelée la Danse Française . 146. Elle fut appelée Danse Italique.
31 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
lus difficile, qui exige une oreille plus délicate, et où la prosodie Française doive être plus observée. Le Poète qui est en mêm
ras qui, pour l’ordinaire, n’ont ni sens ni esprit, et où la prosodie Française se trouve ridiculement estropiée. Cantate – av
le créateur de ce genre parmi nous. Il a fait les premières cantates Françaises  ; et dans presque toutes, on voit le feu poétique
es espèces selon le génie et le caractère de chaque nation : mais les Français l’emportent sur tous les peuples de l’Europe, pou
re des deux sexes dans tous les repas, le caractère même d’esprit des Français , ont dû porter rapidement chez eux ce genre à sa
etc. (S) On ne connaît guère les auteurs des paroles de nos chansons françaises  : ce sont des morceaux peu réfléchis, sortis de p
etc. Les étrangers conviennent de notre supériorité en ce genre : le Français débarrassé de soins, hors du tourbillon des affai
e P. Daniel, Hist. de Fr. tome I. p. 472. On voit par-là combien les Français datent de loin en fait de préventions et d’erreur
lles : un beau chœur est le chef-d’œuvre d’un habile compositeur. Les Français passent pour réussir mieux dans cette partie qu’a
forme un grand concert composé des plus belles symphonies des anciens maîtres Français . C’est un hommage que l’académie royale de Musiqu
Arts à leur naissance. L’opéra italien avait donné l’idée de l’opéra français  : Lully qui était Florentin, était musicien comme
les du Carissimi, de Corelli, etc. de même celles de nos bons maîtres français d’aujourd’hui sont fort supérieures à celles qu’o
’ils avaient pu les reconnaître. Lully donc, qui en adaptant le chant français déjà trouvé, à l’espèce de déclamation théâtrale
re III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français  »] On regarde comme très défectueux le quatrième
re III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français  »] C’est donc le défaut seul d’expression dans l
32 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
quoi s’étonner. Sait-on qu’il y a plus d’un quart de siècle un savant français usa de la cinématographie encore dans l’enfance p
uments figurés ? Non, car il est admis d’ignorer tout des initiatives françaises . La thèse de M. Emmanuel cherche à galvaniser la
33 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
e lui, mais aucun n’avait sa magnifique prestance. Des fonctionnaires français accompagnaient les visiteurs, qui produisaient, j
vant le roi, je dis tranquillement à mes amis, à voix distincte et en français  : — Quel beau sauvage ! Je me demande s’ils sont
effarement quand je l’entendis me déclarer à son tour, en un très bon français  : — Je suis charmé, de faire votre connaissance,
son père avait été détrôné, puis exilé du Sénégal par le gouvernement français . Lui-même, ensuite, avait été nommé chef de sa tr
de sa tribu, car en réalité il n’y avait plus de roi. Il était sujet français et dans son pays, tributaire de la France, il n’é
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
XXI choses d’amérique Un étranger, et surtout un Français , qui n’a jamais séjourné en Amérique, ne peut poi
urné en Amérique, ne peut point imaginer notre pays tel qu’il est. Un Français se fera une idée de l’Allemagne sans l’avoir vue 
ie, Mortier égrena les plus belles injures — heureusement débitées en français  — de son répertoire. Le garçon, un nègre herculée
à New-York. Mortier descendit à Holland-House, maison où l’on parlait français et où les choses se passaient d’une façon qui lui
de ce qu’il appelait une négligence. Or, bien que la maison fût à la française , on lui répondit à l’américaine : — Mais cela ne
35 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
ra Comédie-ballet Comédie-ballet : on donne ce nom au théâtre Français , aux comédies qui ont des intermèdes, comme Psych
istorique, IIe partie, livre III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra Français  », et chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan p
s », et chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français  »] Couper Couper un opéra. Il faut couper
Belles-Lettres) terme d’opéra. Le merveilleux est le fonds de l’opéra français . Cette première idée que Quinault a eue en créant
happer, s’ils avaient vécu deux mille ans plus tard. Ainsi le théâtre français , dans les mains de ces deux hommes uniques, ne po
ermèdes. Voyez Intermède [Article non signé]. L’entracte à la comédie française , est composé de quelques airs de violons qu’on n’
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
conduit le plus grand nombre des Fêtes de la Cour de Louis XIII. Les Français qui avaient du génie trouvèrent les accès diffici
on ait jamais données à la Cour d’Angleterre, aient été l’ouvrage des Français . Le mariage de Frédéric cinquième Comte Palatin d
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
naliste M. Charles Maurras, qui porte ce titre révélateur : Quand les Français ne s’aimaient pas. Eh bien, le temps quand « les
rmes libres. Et voilà qu’en même temps la danse classique, patrimoine français , sort de l’ombre et s’épanouit dans la nouvelle l
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
hématisme éternel ». Cette définition déduite par le grand prosateur français est aussi celle de la danse classique incarnée en
is pu dire, et cela aurait été plus strictement exact : « De la danse française d’expression russe. » M. Laurent Novikoff seconde
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 janvier. Une soirée à l’hôtel Charpentier. »
rajeunir. Lulli, Rameau, Gluck, trois époques de la musique de danse française ont fourni la matière de trois « entrées ». Exécu
40 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
jamais prendre sur l’articulation ; il est une grande partie du chant français  : sans le débit, la scène la mieux faite languit
uit et paraît insipide. La lenteur est un des grands défauts du chant français de scène, qu’on nomme aussi déclamation. Il faut
notre chant dramatique ; tels sont les cris au théâtre de la Comédie Française . Le volume, les grandes voix sont à-peu-près tout
a donné à l’homme l’organe qu’elle a destiné au chant et aux oreilles françaises que la satiété n’a point encore gâtées, la facult
sortes d’écarts, et qu’il surprend et flatte même les bonnes oreilles françaises . Avec cet artifice les femmes se sont soutenues a
B) Geste (Chant du théâtre) Geste, (Chant du théâtre.) l’opéra français a pour objet de séduire l’esprit, de charmer les
caractère et de la passion. Voyez Déclamation. Nous voyons au théâtre français des gestes et des mouvements qui nous entraînent 
41 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 janvier. Danses de jadis et danses d’aujourd’hui. »
qui recouvrait le plateau ; ils firent honneur à la grande tradition française qu’ils représentent. La Argentina exécuta son rép
42 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
ître des Ballets en chef et sans partage des Théâtres du Gouvernement français , ou si je n’en suis pas jugé digne, je demande un
s avons en ce moment beaucoup de nouveautés. Mademoiselle Dupont, des Français , qui est engagée au Théâtre Français d’ici pour j
eautés. Mademoiselle Dupont, des Français, qui est engagée au Théâtre Français d’ici pour jouer les mères nobles, la pauvre femm
43 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
e, pendant que son père y était ambassadeur, fut le premier parmi les Français qui tenta l’accord de la poésie française avec la
ur, fut le premier parmi les Français qui tenta l’accord de la poésie française avec la musique. Malheureusement il se trompa dan
l’exécution ; à l’exemple des anciens, il voulut introduire des vers français composés d’iambes, de dactyles, de spondées, etc.
44 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
al. Le second Chant présente les caractères et les règles des Danses françaises et étrangères. L’auteur cite pour exemple quelque
mple quelques graves personnages de l’antiquité, et plusieurs princes français dont cet art faisait les délassemens ; ensuite il
e Théodore 21. Chant I, vers Durant les premiers ans du Parnasse françois , Le caprice tout seul faisait toutes les loix. 1
125 Et toutefois long-temps eut un heureux destin. Mais sa Muse, en français , parlant grec et latin, Avant les premiers a
, Le grand Dupré bientôt, déploya plus de graces27, Et long-temps des Français il enchanta les yeux. De ces maîtres savans di
Chant II, vers D’un trait de ce poëme, en bons mots si fertile, Le Français , né malin, forma le Vaudeville ; Athène a vu
le amusement13. D’un trait de cette Danse, en graces si fertile, Le français , né léger, fit la Danse de ville14 ; Chant II,
Passe de bouche en bouche, et s’accroit en marchant. 185 La liberté française en ses vers se déploie : Cet enfant du plaisir ve
la joie. &c. (Apollon.) Voulant pousser à bout tous les rimeurs françois , Inventa du Sonnet les rigoureuses loix ; 85 Vou
ne adolescent Vole de bal en bal, et triomphe en dansant15. L’agilité française en cet art se déploie : Cet enfant du plaisir doi
s pas de vingt peuples divers, Et couvrit dans nos bals, d’une teinte française , La Walse aux mille tours, la piétinante Anglaise
nie : Un instrument discord n’a jamais d’harmonie. O vous ! jeunes Français , jouez avec vos pas ; Beau sexe, charmez-moi, mai
plaisir ! Ce n’était pas jadis par ce ton ridicule Que le danseur français des Graces fut l’émule. Sans trop de sérieux e
cée par Mlle Chevigny, si expressive dans la pantomime. 22. Opéra Français . En 1669, l’abbé Perrin ayant obtenu des lettres-
ets, les mascarades et les bals furent l’unique ressource de la gaîté française  ». Cahuzac, Traité historique de la Danse. 2.
les sculptures et peintures précieuses qu’elle contenait. La Comédie Française y joua pendant plusieurs années. Ce ne fut qu’en
deux temps moins vifs que l’anglaise, et plus vifs que la contredanse française . Son pas est simple, il ne tient qu’une mesure. C
t de Basque, pas sauté en tournant, qu’on place dans les contredanses françaises en le faisant terre à terre. Le Basque est fort l
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
pour ce genre d’amusement. Peut-être est-ce durant son règne, que les Français ont le plus dansé, et qu’ils se sont le mieux bat
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
otisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français . — Reprise de « Roméo ». On a beaucoup dansé à
rojecteurs, pour étudier à fond l’inspiration et les moyens du maître français . Cependant le plaisir intense que cause cette exé
47 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
imparfaits devaient conduire à l’intronisation définitive de l’opéra français sur un théâtre de Paris. Le préjugé contre la dif
âtre de Paris. Le préjugé contre la difficulté de chanter des paroles françaises existait déjà ; il fallait le vaincre. Pierre Per
s XIII, entreprit de surmonter ces obstacles ; il hasarda des paroles françaises , qui furent mises en musique par Cambert, organis
représenté devant la cour, on joua devant le public le premier opéra français , Pomone, paroles de Perrin, musique de Cambert et
squ’il est arrivé qu’on ait donné à Lulli le titre de père de l’opéra français , personne n’a pensé à lui contester ce mérite. L’
-même dès 1713, on est moins surpris de lire le décret sur le Théâtre Français , que Napoléon data du Kremlin ! D’abord on fonda
immunités. » Il était fait prohibition positive à tous les comédiens français et étrangers de se servir de la salle de l’Opéra,
violons ; les danseurs leur furent interdits. En 1716, les comédiens français furent condamnés deux fois à 500 livres d’amende,
e auteurs d’opéras avaient siégé déjà sur les fauteuils de l’Académie française . A la même époque, quarante-quatre musiciens ava
On annonçait qu’une ère nouvelle allait s’ouvrir pour lui. La Comédie française avait été érigée en théâtre du peuple, c’est-à-di
de Méhul ; la Journée du dix août, ou l’Inauguration de la république Française , sans-culottide ; Miltiade à Marathon ; Manlius T
ourd’hui l’art dans toutes ses parties ; qu’elles ont doté le Théâtre Français d’artistes dont nous pouvons nous glorifier sous
00 fr. par an, mademoiselle Leverd, que nous avons admirée au Théâtre Français . Le personnel et cette dépense diminuèrent plus t
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
’ailleurs les Russes ont tué ce genre hybride que la grande tradition française a toujours ignoré au temps de sa vraie splendeur.
49 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
ous peindre ces prodiges nouveaux dont s’enorgueillit encore la scène française , je m’écarte sans doute de la route que vous n’av
50 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
e Divertissement Royal Fut, encor, le digne Régal De notre belle Cour Française  : Et j’ay su de Gens plus de seize, Que ce Specta
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
s aiguë que l’arabesque. Et c’est le fait de la plupart des danseuses françaises , ou plutôt latines, l’attitude où la verticale de
s du temps, la malheureuse et séraphique Emma Livry. Non, la danseuse française n’est pas faite pour escalader des cieux imaginai
52 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
voyez-vous pas-là les commencemens de la Pantomime  ? Que le Théâtre français éprouve encore un peu de décadence, & l’on ce
chez eux. Elle ne s’est point relevée parmi les Peuples modernes Les Français , au lieu de la rétablir dans son premier état, l’
mimes vont remplacer en Angleterre les Poèmes récités, avant que les Français aient eu le courage de se distinguer entiérement
our me servir encore de l’Epigraphe grecque) un temps viendra que les Français chériront à la fureur les Pantomimes . Le goût q
53 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
seuls la franchir, Si la mort n’eût, pas enlevé Roubillard, sculpteur français , et homme de mérite, il lui auroit fait, exécuter
mense, et du meilleur choix. Les chefs d’oeuvre enfantés par le génie Français y brilloient à côté de ceux des savans de l’Angle
onne et bienfaisante, il était alternativement gai et enjoué comme un Français , sérieux et sombre comme un Anglais. Ces deux man
54 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
ine. Je l’entendis causer : la difficulté avec laquelle elle parle le français ajoute à ses moyens d’expression sans nuire à sa
55 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 14 juillet. « La Maladetta ». »
réfère ostensiblement le presto vivace. À peine commencée la « saison française  » a puissamment contribué à la réputation de M. R
56 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Pas sautés et usités dans les contredanses françaises, ou pots pourris, et utiles à d’autres danses »
Pas sautés et usités dans les contredanses françaises , ou pots pourris, et utiles à d’autres danses I
57 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
morceaux saillants, dont cet illustre compositeur a enrichi le chant Français . Les petits Musiciens se sont d’abord élevés cont
son établissement stable, ses ressources, ses revenus, et le goût des Français pour ce spectacle, sont de grands moyens pour le
58 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
it d’avoir, avec l’œuvre de Meyerbeer, restauré sur la première scène française le règne du grand art. En réalité le nouveau dire
sait la fougue et le naturel à la correction raide de la chorégraphie française . En véritable romantique, il comparait les pas fr
chorégraphie française. En véritable romantique, il comparait les pas français aux vers alexandrins où tout, hémistiches, césure
sme, et d’autre part à ceux qui pensaient que les vieilles traditions françaises de finesse, de mesure et d’élégance avaient du bo
vations. Grillparzer se rencontre avec un certain nombre de critiques français , lorsqu’il reproche à sa compatriote l’abus des m
nses espagnoles et brésiliennes, confiées à des jambes et à des corps français , perdent de leur originalité et de leur lascivité
nt patronage et tempéré, avec sa naïveté d’Allemande et son esprit de Française , ce que la manière de Dolorès avait de trop aband
t Fanny Elssler au premier rang. Le titre de créatrice de la cachucha française était une gloire. C’était aussi un danger. C’étai
59 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
les forment, les brisent et les renouvellent sans cesse. Peut-être le Français a-t-il seul bien connu les avantages, les douceur
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
ne espèce de manège domestique. Accoutumée à jouir de la docilité des Français , elle ne prévoyait point les discordes civiles, e
61 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
raillait volontiers l’absence d’exégèse psychologique dans le ballet français . « Un berger, disait-il à peu près, offre un ruba
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
n quelque sorte un genre national fondé sur l’éducation séculaire des Français  : nous voulons parler de Psyché, ballet en trois
septième siècle que le dix-huitième. Henri Heine disait : « Le ballet français forme un pendant à la tragédie de Racine et aux j
prétentieuse, la même chasteté. Oui, la forme et la nature du ballet français sont chastes, mais les yeux des danseuses accompa
rieures aux poses géométriques et aux écarts à angle droit de l’école française . Dans ce temps-là, les gens du bel air trouvaient
es pas de Zéphire, voilà qui est beau, noble, académique, majestueux, français  ! Ce sourire stéréotypé n’est-il pas des plus con
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
ne des temps modernes, Sarah Bernhardt ; la plus célèbre des actrices françaises  ; allait venir en Amérique. Quel événement ! Nous
 Et c’est pour cela que vous désirez voir jouer la grande tragédienne française  ? — Oui,… je suppose… mais je n’ai pensé qu’à mon
etait aux pieds de mon compatriote. Lui non plus ne comprenait pas le français . Pâle, décomposé, il me demanda de traduire ce qu
64 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
, porte cette inscription en une langue qui a la prétention d’être du français  : « Hommage de fidélité au mérite de Fanny Elssle
public. Elle prit l’habitude de jeter par-dessus la rampe des paroles françaises , allemandes, anglaises ou espagnoles, qui faisaie
nny Elssler ! Vive notre patrie ! » A la Nouvelle-Orléans la colonie française était nombreuse et prospère. Elle avait son quart
se fit jour, une fois de plus, lors du passage de Fanny Elssler. Les Français avaient fait une réception chaleureuse à la brill
ent les cœurs. Dans la rue l’orchestre du théâtre jouait des mélodies françaises . Soudain la cloche d’alarme retentit. Les pompes
ompait. Les Américains avaient voulu tout simplement empêcher la fête française et s’y étaient pris très brutalement. L’affaire n
souci suprême, c’est de gagner de l’argent. Anglo-Saxons, Allemands, Français , Italiens, Espagnols, se disputent avec âpreté le
l s’édifiera leur fortune. Les Allemands, qui représentaient avec les Français l’élément le plus cultivé dans cette cohue de nat
65 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
ïque et fantasque, je crois rester fidèle aux idées du grand critique français qui a dit : « Je suis quelqu’un pour qui le monde
66 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
eur part, le plus élégant démenti à cet humoriste qui prétend que les Françaises vont au théâtre pour être vues, pour voir, et un
n’imagina rien de mieux que de faire porter chez elle les classiques français , richement reliés. À quelque temps de là, l’emper
s voyez que la reine de l’Opéra est mieux accueillie que la reine des Français elle-même. » Que de souvenirs amusants on égrèner
Cette grâce particulière, qui fit dire à Roqueplan : « Elle danse en français  : on ne se relève pas de cela », ne retarda point
67 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
de-ville. Sa Majesté étant arrivée dans la place, y trouva les gardes françaises et suisses ; les gendarmes et les chevau-légers f
des chevau-légers, des gardes-du-corps, et des gendarmes. Les gardes françaises et suisses bordaient la place des deux côtés. Le
uit le plus grand nombre des fêtes de la cour de Louis XIII. Quelques Français qui avaient du génie trouvèrent les accès diffici
on ait jamais données à la cour d’Angleterre, aient été l’ouvrage des Français . Le mariage de Frédéric cinquième comte Palatin d
nt plus de 50 ans la ressource de la galanterie et de la magnificence française . L’aîné des enfants de Henri II ne régna que dix-
e ce temps, qui étaient les seuls amusements du roi et des courtisans français , ne furent que des froides allusions, des composi
tuelle et polie, qui excellait depuis longtemps dans un genre que les Français avaient gâté. Telle fut la nuit profonde, dont le
le souvenir en est resté gravé pour jamais dans les cœurs de tous les Français . On se contente donc de présenter aux lecteurs un
âtre les plus sûrs de plaire ; tous ceux qui brillaient dans la danse française , la seule que le génie ait inventée, et que le go
t et de celui d’une cour éclairée. Outre les chefs-d’œuvre du théâtre français , qu’on vit se succéder sur un autre théâtre moins
ers talents ; on y jouit tour-à-tour des charmes variés du beau chant français , de la pompe de son opéra, de toutes les grâces d
urent suspendues dans l’attente d’un bonheur qui intéressait tous les Français . La grossesse enfin de Madame la Dauphine ranima
s, parce qu’ils peuvent donner une idée juste des ressources du génie français , et du bon caractère d’esprit de nos grands seign
de vue qu’il voulait y ménager pour la cour, et pour la curiosité des Français que l’amour national et la curiosité naturelle fo
la naissance d’un prince avait fait passer dans les cœurs de tous les Français . Voyez Fêtes de la Ville de Paris. Les douceurs d
t représenter avec la plus grande magnificence, six différents opéras français qui étaient entremêlés les jours qu’ils laissaien
choses. Telle fut la manière constante dont M. Turgot se peignit aux Français , pendant le cours de ses brillantes prévôtés. Il
ctateurs, sont restés gravés pour jamais dans le souvenir de tous les Français . Aussi le nom des Turgots sera-t-il toujours cher
s solide de donner à la patrie de nouveaux citoyens. Quel est le vrai Français qui ne sente la grandeur, l’utilité, la générosit
, avec ces mots, propagini imperii gallicani, à la gloire de l’empire français . Un troisième médaillon qui couronnait la porte d
avec moulures, qui renfermaient quatre inscriptions ; la première en français , la seconde en espagnol, la troisième en italien,
e du second, et successivement jusqu’au dernier : ces vaisseaux, tant français qu’étrangers, tous pavoisés, pavillons et flammes
Le comte de Saxe, le prince de Valdeik, et quelques autres seigneurs français y firent éclater leur adresse et leur intrépidité
cteur Barry : Scapin commença sa harangue, que Trivelin expliquait en français , pendant que Flaminia présentait au Roi, dans un
68 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
a guère de nom de province qu’on n’ait donné à quelqu’un des branles Français  ; il y a des branles de Bourgogne, du Barrois, et
cette danse qu’on commençait les bals anciennement. Elle est purement française . Les menuets ont pris la place de cette danse, qu
pides, brillants et moelleux. C’est sous de tels maîtres que la danse française peut acquérir cette expression enchanteresse qui
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
st faite pour se montrer avec confiance ? serions-nous honteux d’être Français  ? Comment cette nation qui depuis tant de siècles
ards et ce respect qui regnoient autrefois, et qui avoient acquis aux Français la réputation d’être le peuple le plus aimable, l
mœurs m’ont raconté ; voilà la façon de voir et de penser de tous les Français amis de leur patrie.   Ce changement seroit bient
70 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
imerait voir la Tréfilova interpréter les chefs-d’œuvre du répertoire français  : Sylvia, Coppélia ; quelle émulation entre égale
71 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
us assisterons peut-être à une renaissance de la danse classique, art français entre tous.
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
mmode, et digne en tout du goût, de l’invention et de la magnificence Française . Bientôt après les Comédiens obtinrent en faveur
73 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
de l’aimer. Il mît le répertoire de l’opéra à l’instar de la comédie Française . Il y avoit toujours six opéras sur pied. Le publ
74 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
de moins propre pour les Ballets Pantomimes, que les plans des Opéra Français  ; et surtout si on voulait les suivre d’un bout à
urai toujours devant les yeux le conseil, que l’auteur de la Poétique Française a donné aux Poètes, et que je m’approprie en qual
75 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
s du Rhin sont des figures de ballet. Songeons ainsi que la tradition française , représentée par Rameau, associe étroitement la d
76 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
un ton difforme et grossier, ennemi de la galanterie et de l’urbanité française . Ce changement, produit par des passions diverses
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
ois n’ai-je pas ouï dire à des gens même de goût et d’esprit, que les Français étaient les meilleurs danseurs de l’Europe, qu’il
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
foi, de confiance et de vivacité, qui est le caractère distinctif du Français . Il aime la Danse. Il a cru jusqu’ici l’avoir por
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
des vices principaux qui ont énervé l’exécution primitive de l’Opéra Français . Ce beau génie qui avait eu des idées si vastes,
80 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 juillet. Le répertoire : « Sylvia » »
ymphes chasseresses qui est une Chevauchée des Valkyries, courue à la française . Ce n’est pas là l’allure pathétique, saccadée et
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
la danse théâtrale. Je m’associe passionnément à cette belle « fièvre française  ». Car la danse est l’essence même du génie de Ra
82 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ble rôlet) Dans ce beau Poème, ou Ballet ; Lequel Poème s’intitule En Français , Les Amours d’Hercule, Et dans sa naturalité Se n
83 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
sonnages, Grecs, Romains, Tartares ou Mahométans, estropier la Langue Française , on s’imagine, par l’effet de l’illusion théâtral
eut conserver les Poèmes immortels qui font tant d’honneur au Théâtre Français . J’entends de ma petite chambre, située auprès du
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
ume tous les mois ; ne croiroit-on pas qu’elles sont honteuses d’être Françaises  ? Tantôt elles sont Circassiennes, et tantôt Egyp
me sens et de la même manière, tous les peuples de la terre. La danse Française sera donc celle de toutes les nations ; elle ne p
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
les origines de Fanny. — Son éducation technique. — Aumer et l’école française . — Barbaja et Rossini. — Apprentissage en Italie 
86 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »
enne. Mais le ballet de Caillavet et de Fiers est une charmante chose française à la manière d’un biscuit de Sèvres, d’un tapis d
87 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
a brune chevelure : cette fausse Espagnole n’est que mesure et clarté française . Dans ce même tour à la grande seconde ses jambes
88 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
la nation. Il faut convenir d’une triste vérité, c’est que la nation Française , cette nation qui marque le plus en Europe, pour
89 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
it ses vues qui tendaient à une lutte sans merci contre la Révolution française , puis contre Napoléon. Les Anglais attachaient un
ale aussi, comme matière à développements, une anecdote qu’il cite en français  : « Dénon, à l’âge de quatre-vingt-trois ans pass
point le sort de l’humanité ? » et il ajoute en répétant la citation française dont il s’était déjà servi dans sa lettre à Proke
a lecture de poètes anciens et modernes, latins, allemands, italiens, français . Un exemple va montrer à Rahel jusqu’où il en est
minute, éprouvée pour Fanny. « Il est des sympathies, écrit-elle, en français , il est des nœuds secrets… » Elle raconte qu’elle
t alors que Vénus tout entière sortit des flots. » Il lui enseigne le français et l’allemand. « Je l’élève, dit-il, comme un enf
ge. Cette prétendue traduction de lettres que Gentz aurait écrites en français à Fanny Elssler est, dit Haym (Ersch und Gruber,
en, Neue Freie Presse, n°s 9651-9652 (10 et 11 juillet 1891). 18. En français . 19. Mme de Stael, de l’Allemagne, II, chap. xii
90 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
concourent unanimement 0 la perfection d’un spectacle dont la nation Française se glorifiera toujours, il seroit à desirer, qu’o
ans ses flancs.   Le théâtre de l’Odéon fût construit pour la comédie Française et l’architecte avoit parfaitement bien combiné t
a comédie et celui qui est emploié au théâtre des arts ; à la comédie Française , la régie d’unité de lieu est scrupuleusement obs
u’il y a dans les pièces d’apparat, soixante personnes sur le théâtre Français , il y en a trois cens sur celui de l’opéra sans c
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
e de la Pologne terrassée. À Paris, on ose. Et cependant les danseurs français échouent lamentablement dans les mazurkas et les
92 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
tris, à qui nous ne pouvons encore comparer aucun danseur, et que les Français regrettent de ne plus voir sur leur théâtre, de c
93 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31
ne fut plus encouragé par les applaudissemens que le nôtre. La scène Française , la plus riche de l’Europe en drames de l’un et d
94 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
istorique, IIe partie, livre III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra Français  »] Le mot ballet vient de ce qu’originairement o
éra Italien, et qu’il prendra la forme nouvelle et piquante du ballet Français . Il consiste en 3 ou 4 entrées précédées d’un pro
théâtre lyrique, le ballet est celui qui paraît le plus agréable aux Français . La variété qui y règne, le mélange aimable du ch
95 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
ici, une réflexion, depuis Louis quatorze jusqu’a ce moment la scène Française s’est soutenue glorieusement, malgré les pertes q
96 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
on qu’il vient de me donner. » Garrick suivoit exactement la comédie Française qui réunissoit alors les talens les plus distingu
cteur, vraiment fait pour être un des plus beaux ornemens de la scène française . Je lui répondis que le mépris des comédiens du R
97 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
lent, mais ils ne cancanent pas. Le cancan est un pas essentiellement français . Il arrivera à être la danse nationale. C’est la
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
nterie de ce temps, elles font voir que la Danse fut un art connu des Français , avant tous les autres, comme il l’avait été autr
99 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
ait ma demande. — J’ai engagé cette danseuse, répondit M. Marchand en français , parce que le Casino de Paris annonçait une danse
100 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
er les assiduités de l’importun. Il n’est pire sourd, dit un proverbe français , que celui qui ne veut pas entendre. Et le vicomt
/ 127