5 mars. Pour le ballet
français
. Ballets russes ; ballets français. — Une variati
5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets
français
. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». —
est bon ; par lui l’effort moderne tend à se rattacher à la tradition
française
, la seule viable à l’Académie Nationale. M. Émile
s assez grave. Car si les Russes sont susceptibles de faire un ballet
français
sans faillir à leur nature, les Français ne saura
ceptibles de faire un ballet français sans faillir à leur nature, les
Français
ne sauraient faire un ballet russe sans se trahir
t valoir son humanité profonde et créatrice. Ces caractères, le génie
français
les affirme sans d’ailleurs s’y confiner. Il ne s
il l’intègre, l’assimile, le résorbe. Un Poussin fait de la peinture
française
avec des paysages d’Italie. Un Watteau emprunte a
e Valenciennes n’en est pas moins la quintessence d’une grande époque
française
. Molière prenait son bien où il le trouvait. Mais
entatif de son tempérament et saturé de son esprit. Sans doute, l’art
français
, condamné à l’isolement, se serait étiolé. Il dev
ion des saisons russes a secoué la torpeur qui avait envahi le ballet
français
. Disons-le : le prodige russe éclaira d’une lumiè
e complète déchéance. Que restait-il dès lors à faire pour le danseur
français
? Se camoufler en Russe ? Renchérir sur l’exotism
e qu’il faut un retour sur soi-même pour reconstituer un art de danse
français
. Car si un glorieux exemple stimule l’émulation,
2. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire
français
célébré en Russie. La danse est-elle ou non un
d’idées ; il y a là une étape significative dans l’évolution du vers
français
traditionnel, un phénomène rythmique. Quoi qu’ell
’être escamotée. Mais la danse théâtrale est encore et surtout un art
français
. Ce sont les Russes qui sont venus un jour le pro
e dans sa gloire. Or, ce grand homme russe si justement vénéré est un
Français
. Marius Petipa, danseur marseillais, chef d’une d
e, époque qui prépara l’hégémonie mondiale de ce ballet. Petipa a été
français
, comme française avait été la tradition qu’il per
épara l’hégémonie mondiale de ce ballet. Petipa a été français, comme
française
avait été la tradition qu’il personnifia. Mais po
Russie adopta Petipa. Aussi sa dette est-elle immense envers le génie
français
. Mais elle a su s’acquitter. Le triomphe des « Sa
e. C’est à quoi je songe en évoquant pieusement la mémoire d’un grand
Français
ignoré en France. Du reste la reprise de sa Belle
s Petipa avait été le « grand chef » du ballet russe, un autre maître
français
, Bournonville, venant après Galéotti, fonda la gr
e Plane, mime remarquable. Le ballet danois est ainsi de vraie souche
française
et nourri, en même temps, de la plus belle sève S
le pourra rapporter dans son admirable capitale où le ballet danse un
français
si pur, où l’on peut voir la plus belle collectio
nçais si pur, où l’on peut voir la plus belle collection de sculpture
française
« extra muros », et où les amazones qui galopent
Chapitre VIII. Suites du Vice primitif L’Opéra
Français
tel qu’on le forma dans sa nouveauté fut reçu de
ux nues ; tout ce qui parut dans le Poème plus faible que la Tragédie
Française
, fut mis sous les pieds. L’Opéra ravissait la Nat
Il est arrivé de là que les vices primitifs ont subsisté dans l’Opéra
Français
, pendant que les connaissances des Spectateurs se
lent supérieur et trente ans de succès l’ont placé dans l’opinion des
Français
au-dessus de tout ce qui avait paru avant lui)[,]
présentait la véritable Renommée. Neuf Cavaliers richement vêtus à la
Française
marchaient sur ses pas. Ils chassèrent du Théâtre
uelle et polie, qui excellait depuis longtemps dans un genre, que les
Français
avaient gâté. [Voir Fêtes de la Cour de France] L
la ville de Casals, les retranchements des Espagnols, et le camp des
Français
. Quatre Fleuves d’Italie qui appelaient ces derni
alie qui appelaient ces derniers dansèrent la première Entrée. Quatre
Français
qui couraient à leur secours firent la seconde. Q
oir dansé la troisième, se retirent dans leurs retranchements, où les
Français
les attaquent et les forcent. La Fortune les suit
n voit les Flamands avec des pots de bière, qui viennent recevoir les
Français
, et ceux-ci entrent dans la ville, malgré les eff
Prudence, paraît avec sa suite ordinaire. Elle vient retirer quelques
Français
du parti d’Espagne, et son Entrée finit le second
sur de riches Galions qui couvrent la mer. Dans ce moment les Galions
français
se montrent. Ils voguent à pleines voiles contre
ntre ceux d’Espagne, les attaquent, les combattent et les brûlent. Le
Général Français
victorieux débarque avec ses Troupes et les Maure
oururent l’y joindre. Il leur dit en les voyant entrer : Eh bien, les
Français
n’auront jamais du goût pour les belles choses. I
Chapitre V. Établissement de l’Opéra
Français
L’Opéra Français est une composition dramatique
Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français L’Opéra
Français
est une composition dramatique, qui pour la forme
uinault en est l’inventeur ; car Perrin, auteur des premiers Ouvrages
Français
en Musique représentés à Paris, n’effleura pas mê
n général de Quinault, elle est une portion si essentielle de l’Opéra
Français
, que je ne puis me flatter de la faire bien conna
ans rapport, n’est qu’un mélange du Théâtre des Grecs, de la Tragédie
Française
, et des rhapsodies des temps gothiques ; comme il
fondé pour jamais sur le sublime de ses compositions, lorsque l’Opéra
Français
fut imaginé. L’Histoire était le champ fertile qu
. C’est sous ce premier aspect que s’offrit à son esprit un Spectacle
Français
de Chant et de Danse. D’abord le merveilleux fut
tastase. On n’écoute dans l’Opéra Italien que la Musique. Ce sont les
Français
qui en lisant l’Abbé Métastase ont publié les pre
. Les chœurs du cinquième Acte d’Atys. 131. Le Théâtre de la Comédie
Française
. Nous avons deux grands genres. Les Italiens n’en
du voisinage, qui ne put me dire ce qu’avait ma mère. Comme il était
Français
je ne le comprenais du reste que très mal. L’état
de mon inexpérience de la loi comme de ma méconnaissance de la langue
française
, on menaça de m’arrêter et de m’emprisonner si je
r avec moi. Le docteur anglais arriva juste au moment où des docteurs
français
(le médecin qui soignait ma mère avait appelé tro
sauver. Le docteur anglais s’offrit à soigner ma mère et les médecins
français
se retirèrent dès qu’ils surent qu’il était notre
ployé que je voulais un billet pour Berlin. Je lui tendis de l’argent
français
: il me le rendit. Je compris qu’il n’accepterait
ait un peu l’anglais. Il n’en savait pas un mot ! Il essaya de parler
français
, puis allemand, mais je n’entendis pas ce qu’il d
tir pour Berlin et que l’employé n’acceptait pas mon billet de banque
français
. Ce billet de mille francs et un peu de monnaie c
gardaient comme un homme de génie. Au temps du Congrès, deux artistes
français
personnifiaient à ce théâtre les principes de la
etés-battus, des pirouettes, des entrechats. En même temps la méthode
française
insistait sur la nécessité du style. Elle exigeai
oute la personne eût un air de dignité et de noblesse. Aussi la danse
française
était-elle appelée la danse noble. Il était indis
ces qualités de goût, de tenue, de grâce qui caractérisaient le style
français
. A cet égard l’enseignement d’Aumer lui rendit de
ue naturelle. Les défauts que l’on reprochait à beaucoup de danseuses
françaises
étaient l’automatisme, la convention, la monotoni
? Au premier abord la danse italienne semblait une vassale de l’école
française
. La France fournissait à l’Italie des sujets en g
sait, dans les premières années du dix-neuvième siècle, la correction
française
aux emportements tumultueux de l’Italienne Teresa
ntrigues Teresa Monticini réussit à éloigner sa rivale, mais la danse
française
n’en garda pas moins son prestige, grâce à Mmes A
goûtée au même théâtre, était, en dépit de son nom italien, d’origine
française
. Vigano et sa femme, la belle Maria Medina, avaie
orité des danseurs de France et s’efforçait de les imiter. Le danseur
français
Bretin, d’abord froidement accueilli par les Mila
e, finit par leur faire aimer son art sobre et distingué. L’influence
française
fut dominante à l’Académie de danse fondée en 181
avec les cardinaux les conditions de paix imposées par la République
française
, cédèrent la place à de grandes légendes antiques
sons de la musique de Beethoven7. Malgré l’autorité des chorégraphes
français
et les exploits de leurs élèves, le tempérament i
passion. Point de danger qu’elle péchât, comme beaucoup de danseuses
françaises
, par excès de correction. Elle tombait parfois da
cer au style. Son goût délicat d’Autrichienne, affiné par l’éducation
française
, la préserva des vulgarités du réalisme. Sa danse
e et sans âme, école que je déteste, qui me paralyse d’ennui, l’école
française
moderne… Combien grande fut la force de la vérité
lques bons juges, la situation de Fanny à Vienne restait médiocre. Un
Français
, qui suivit, en 1831, les représentations du Kærn
s de l’opéra-ballet le Dieu et la Bayadère remplirent avec des opéras
français
le reste de la saison. Quelques esprits s’indignè
issait lui préférer, au Kærnthner-Thor, la Polonaise Schlanzowska, la
Française
Mimi Dupuy et l’Italienne Muratori. Lasse de rest
les banquettes et qu’il fallait, pour attirer la foule, des danseuses
françaises
, des chevaux et des éléphants… L’art théâtral ne
valeur de l’œuvre, La Foire de Corfou aurait pu devenir le Petrouchka
français
! Ainsi, on a commis une erreur grave. Car il ne
créateur d’Esméralda ou un Saint-Léon qui fit Néméa sont des maîtres
français
comme Berlioz ou Carpeaux. On pourrait d’ailleurs
de Noverre, le « Shakespeare de la danse », le plus grand des maîtres
français
et qu’il n’est pas impossible de reconstituer l’a
Moscou ou à Petrograd. D’ailleurs le renouveau du spectacle de danse
français
se produit sous l’influence évidente des ballets
s au comble de leur triomphe. Il annonça dès lors une « grande saison
française
», monta sur la scène exiguë de son petit Théâtre
des œuvres de Lulli et de Rameau, fit appel à la plus pure tradition
française
. Ce n’était là qu’une généreuse boutade, un geste
te conversation entre nous était impossible, car il ne parlait que le
français
, et nous ne parlions que l’anglais. Avec force pa
in. Pendant le trajet en chemin de fer, M. Poulle m’apprit une phrase
française
que je devais dire lorsque Dumas me tendrait la m
s me demeuraient obscurs, mais, peu à peu familiarisée avec la langue
française
, je subis le charme irrésistible de sa conversati
quelqu’un me demanda si j’aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en
français
, que je ne possédais encore qu’assez imparfaiteme
ssèrent à encourager les arts renaissants. Richelieu fonda l’Académie
Française
; il en fut le chef et le protecteur. On doit le
f et le protecteur. On doit le regarder comme le fondateur du théâtre
Français
, pour le quel il composa lui-même plusieurs tragé
du plus pompeux et du plus magnifique spectacle de l’Europe, (l’Opéra
Français
), et nous en devons la jouissance au goût, et au
d’un opéra national, sentit qu’il ne parviendroit à tirer la musique
Française
des langes dans les quels la routine l’avoit emma
n de France Duc d’Orléans, fût le premier qui offrit à Paris un opéra
Français
; il en fit les paroles, Cambert en composa la mu
isparate monstrueuse qu’ils offriroient. Il craignit que les danseurs
Français
tristes et nobles ne mourussent à force de rire,
gna, et que ceux-ci en regardant se promener à pas lents les danseurs
Français
sur les airs de la Courrante, et de la Sarabande,
e ce Ministre furent couronnés par la plus heureuse réussite. L’opéra
Français
fut crée, et on lui doit sa naissance. On ne peut
rer dans les vües de Mazarin, en composant le premier opéra en langue
Française
. Protégé par le Prince qu’il servoit il travailla
guissent pas infiniment ; que la 400e de Coppélia, petit chef-d’œuvre
français
dont le succès est inépuisable, serve d’occasion
oupe qu’il croit destinée à rétablir, dans toute sa gloire, le Ballet
français
.
ément fait pour lui, parce qu’il était un auteur japonais, et que les
Français
étaient très contents qu’il eût amené sa troupe j
issent peuvent se figurer à quoi ressemblait ce discours ! C’était en
français
, mais j’affirme que c’était aussi difficile à com
e forme enfoncé jusqu’aux oreilles. Je causais avec lui en ce mauvais
français
dont je suis coutumière, et sans savoir qui il ét
il y a plus d’un demi-siècle, Bournonville, missionnaire de la danse
française
, in partibus infidelium ou, sans métaphores, maît
paraît comme une rare exception — est une des tares du ballet d’opéra
français
et j’espère être soutenu dans la petite guerre d’
es ne s’inscrira pas à la première page d’une Renaissance de la danse
française
? J’abandonne à regret ce sujet. Mais je le repre
VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra
Français
. En examinant les vues de Quinault, le plan de
a une esquisse de l’opinion qu’on s’était formée dans la Littérature
Française
de Quinault et de Lully. Cette erreur est la caus
let, définitif, absolu. C’est la grande tradition classique du ballet
français
; c’est encore l’orchestique grecque dont, décidé
L’Oiseau de Feu de Fokine. Ayant dansé, elles font la révérence à la
française
, avec quelle grâce ! Mais vain bruit que ces brèv
e façon singulière, Par son Gentilhomme Bourgeois, Demi Turc, et demi
Français
, Et par de bonnes Confitures, Pour moi d’agréable
rendra la justice de dire, que vous pensez et que vous écrivez en bon
français
; mais il est un amour devant le quel il faut que
goût musical ? cette fureur de graver tout, peut-elle prouver que les
Français
aiment mieux la musique que les Italiens ? En Ita
grands maîtres. Les Italiens sont à cet égard bien plus sages que les
Français
; mais à défaut de graveurs il y a un grand nombr
juste. Sans doute, Mme D. danse un peu en anglais, comme d’autres en
français
ou en italien ; mais elle danse surtout en grec,
mez surtout en raison de leur exotisme. Vous n’aimez point les danses
françaises
parce qu’elles parlent notre langage et n’ont pas
arlez-vous de Russie à propos de Mme R. ? Elle n’a jamais dansé qu’en
français
. La Danseuse Ah ! vraiment ? Moi Mme R. ? c’est l
r, c’est la digne élève de Flaubert, c’est toute l’antiquité vue à la
française
. Et vous voyez combien votre opinion est imprudem
Un assez spacieux Chapitre ; Mais, vraiment, les COMÉDIENS, Tant les
Français
qu’Italiens, Ont, depuis, témoigné leur zèle De f
emporter par l’invention acrobatique. Quinault fait triompher le goût
français
. De tels hommes sont faits pour rendre à la danse
çais. De tels hommes sont faits pour rendre à la danse classique, art
français
, sa suprématie de jadis. Sa technique est solide,
de la théophilantropie ; entre le legislateur des Juifs, et celui des
Français
, L. R. L. P. Je reviens aux fêtes. Pour donner ce
ination à la torture. La nomenclature de toutes celles que les armées
Françaises
ont remportées, n’est-elle pas immense ? On n’a d
un tableau plus grand et plus terrible ? ce passage fut forcé par les
Français
, avec une valeur, une intrépidité, et un acharnem
la Cohue et le Concours Furent tels, en ces derniers jours, Qu’à part
Française
Courtésie116, L’Officier, dans sa frénésie, Repou
loquence au conservatoire où dans les coulisses de l’opéra ? La scène
Française
ne m’offre-1-elle point Corneille, Racine, Voltai
dont les successeurs font encore aujourd’hui les délices de la scène
Française
; si leur éloquence est secondaire, il faut avoue
e le public à l’ennui, et au sommeil. Le récitatif des premiers opéra
Français
mis en musique par Cambert et par Lully étoit ega
lle des Grecs et des Romains et que le costume adopté par notre scène
Française
, s’avoisine de la vérité, autant que celui des an
ls anglaises, bataillons d’anges pervers, ont emprunté aux quadrilles
français
, aux Grille d’Égout et aux Nini Patte-en-l’air, n
e erronée, détestable. J’ai vu, cet été, danser à l’Olympia un couple
français
, Mitty et Tillio. Leur réputation est considérabl
que — que ce soit l’humour anglo-saxon ou la verve gauloise du forain
français
. Mais en voilà assez de braconner sur le terrain
es progrès, que je défère à la sagacité, au goût, au discernement des
Français
. 1°. Toute action théâtrale est antipathique aux
e ancienne : elle tenait les Danseurs, dès l’établissement de l’Opéra
Français
. V. le Père Ménestrier, dans son Traité des balle
usqu’à la Jalousie, D’une Grecque, son Affranchie. D’autre part, un
Marquis Français
, Qui soupire dessous ses Lois, Se servant de tout
mener en Angleterre et de l’initier aux secrets de la danse théâtrale
française
. Vers la fin du xviiie siècle, la danse français
la danse théâtrale française. Vers la fin du xviiie siècle, la danse
française
jouissait d’un prestige universel. De Moscou à Na
restige universel. De Moscou à Naples, de Londres à Vienne, le ballet
français
triomphait. Partout appelés, partout fêtés, les d
que les danseurs des autres pays avaient les « jambes de plomb ». Les
Français
n’avaient pas tardé à abuser de cette virtuosité.
était attaché le jeune Viganò, était l’un des très rares chorégraphes
français
qui s’efforçassent d’appliquer les théories de No
e dont son père était l’impresario, toutes les grâces de la technique
française
. L’année suivante, il composait pour ce théâtre s
en mettant à la scène à la Fenice La Fille mal gardée du chorégraphe
français
. En 1793, il partait pour Vienne avec sa femme. L
e Viganò. Ce sont des ballets allégoriques ou mythologiques à la mode
française
. L’action en est toujours dansée à la différence
heureusement l’action pantomime chère aux Italiens et la chorégraphie
française
telle qu’il la tient de Dauberval. Il se rend com
la danse. Viganò appelle ainsi non pas la technique savante du ballet
français
avec ses exercices de virtuosité, mais une gestic
aindre de voir sacrifier l’art de la danse, la merveilleuse technique
française
à laquelle les connaisseurs trouvaient tant de ch
» Beaucoup étaient de cet avis qui préféraient les grâces de la danse
française
aux tragédies muettes du grand chorégraphe. Et il
s ; et sa Danse digne seule de ce nom sera désormais appelée la Danse
Française
. 146. Elle fut appelée Danse Italique.
lus difficile, qui exige une oreille plus délicate, et où la prosodie
Française
doive être plus observée. Le Poète qui est en mêm
ras qui, pour l’ordinaire, n’ont ni sens ni esprit, et où la prosodie
Française
se trouve ridiculement estropiée. Cantate – av
le créateur de ce genre parmi nous. Il a fait les premières cantates
Françaises
; et dans presque toutes, on voit le feu poétique
es espèces selon le génie et le caractère de chaque nation : mais les
Français
l’emportent sur tous les peuples de l’Europe, pou
re des deux sexes dans tous les repas, le caractère même d’esprit des
Français
, ont dû porter rapidement chez eux ce genre à sa
etc. (S) On ne connaît guère les auteurs des paroles de nos chansons
françaises
: ce sont des morceaux peu réfléchis, sortis de p
etc. Les étrangers conviennent de notre supériorité en ce genre : le
Français
débarrassé de soins, hors du tourbillon des affai
e P. Daniel, Hist. de Fr. tome I. p. 472. On voit par-là combien les
Français
datent de loin en fait de préventions et d’erreur
lles : un beau chœur est le chef-d’œuvre d’un habile compositeur. Les
Français
passent pour réussir mieux dans cette partie qu’a
forme un grand concert composé des plus belles symphonies des anciens
maîtres Français
. C’est un hommage que l’académie royale de Musiqu
Arts à leur naissance. L’opéra italien avait donné l’idée de l’opéra
français
: Lully qui était Florentin, était musicien comme
les du Carissimi, de Corelli, etc. de même celles de nos bons maîtres
français
d’aujourd’hui sont fort supérieures à celles qu’o
’ils avaient pu les reconnaître. Lully donc, qui en adaptant le chant
français
déjà trouvé, à l’espèce de déclamation théâtrale
re III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra
Français
»] On regarde comme très défectueux le quatrième
re III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra
Français
»] C’est donc le défaut seul d’expression dans l
quoi s’étonner. Sait-on qu’il y a plus d’un quart de siècle un savant
français
usa de la cinématographie encore dans l’enfance p
uments figurés ? Non, car il est admis d’ignorer tout des initiatives
françaises
. La thèse de M. Emmanuel cherche à galvaniser la
e lui, mais aucun n’avait sa magnifique prestance. Des fonctionnaires
français
accompagnaient les visiteurs, qui produisaient, j
vant le roi, je dis tranquillement à mes amis, à voix distincte et en
français
: — Quel beau sauvage ! Je me demande s’ils sont
effarement quand je l’entendis me déclarer à son tour, en un très bon
français
: — Je suis charmé, de faire votre connaissance,
son père avait été détrôné, puis exilé du Sénégal par le gouvernement
français
. Lui-même, ensuite, avait été nommé chef de sa tr
de sa tribu, car en réalité il n’y avait plus de roi. Il était sujet
français
et dans son pays, tributaire de la France, il n’é
XXI choses d’amérique Un étranger, et surtout un
Français
, qui n’a jamais séjourné en Amérique, ne peut poi
urné en Amérique, ne peut point imaginer notre pays tel qu’il est. Un
Français
se fera une idée de l’Allemagne sans l’avoir vue
ie, Mortier égrena les plus belles injures — heureusement débitées en
français
— de son répertoire. Le garçon, un nègre herculée
à New-York. Mortier descendit à Holland-House, maison où l’on parlait
français
et où les choses se passaient d’une façon qui lui
de ce qu’il appelait une négligence. Or, bien que la maison fût à la
française
, on lui répondit à l’américaine : — Mais cela ne
ra Comédie-ballet Comédie-ballet : on donne ce nom au théâtre
Français
, aux comédies qui ont des intermèdes, comme Psych
istorique, IIe partie, livre III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra
Français
», et chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan p
s », et chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra
Français
»] Couper Couper un opéra. Il faut couper
Belles-Lettres) terme d’opéra. Le merveilleux est le fonds de l’opéra
français
. Cette première idée que Quinault a eue en créant
happer, s’ils avaient vécu deux mille ans plus tard. Ainsi le théâtre
français
, dans les mains de ces deux hommes uniques, ne po
ermèdes. Voyez Intermède [Article non signé]. L’entracte à la comédie
française
, est composé de quelques airs de violons qu’on n’
conduit le plus grand nombre des Fêtes de la Cour de Louis XIII. Les
Français
qui avaient du génie trouvèrent les accès diffici
on ait jamais données à la Cour d’Angleterre, aient été l’ouvrage des
Français
. Le mariage de Frédéric cinquième Comte Palatin d
naliste M. Charles Maurras, qui porte ce titre révélateur : Quand les
Français
ne s’aimaient pas. Eh bien, le temps quand « les
rmes libres. Et voilà qu’en même temps la danse classique, patrimoine
français
, sort de l’ombre et s’épanouit dans la nouvelle l
hématisme éternel ». Cette définition déduite par le grand prosateur
français
est aussi celle de la danse classique incarnée en
is pu dire, et cela aurait été plus strictement exact : « De la danse
française
d’expression russe. » M. Laurent Novikoff seconde
rajeunir. Lulli, Rameau, Gluck, trois époques de la musique de danse
française
ont fourni la matière de trois « entrées ». Exécu
jamais prendre sur l’articulation ; il est une grande partie du chant
français
: sans le débit, la scène la mieux faite languit
uit et paraît insipide. La lenteur est un des grands défauts du chant
français
de scène, qu’on nomme aussi déclamation. Il faut
notre chant dramatique ; tels sont les cris au théâtre de la Comédie
Française
. Le volume, les grandes voix sont à-peu-près tout
a donné à l’homme l’organe qu’elle a destiné au chant et aux oreilles
françaises
que la satiété n’a point encore gâtées, la facult
sortes d’écarts, et qu’il surprend et flatte même les bonnes oreilles
françaises
. Avec cet artifice les femmes se sont soutenues a
B) Geste (Chant du théâtre) Geste, (Chant du théâtre.) l’opéra
français
a pour objet de séduire l’esprit, de charmer les
caractère et de la passion. Voyez Déclamation. Nous voyons au théâtre
français
des gestes et des mouvements qui nous entraînent
qui recouvrait le plateau ; ils firent honneur à la grande tradition
française
qu’ils représentent. La Argentina exécuta son rép
ître des Ballets en chef et sans partage des Théâtres du Gouvernement
français
, ou si je n’en suis pas jugé digne, je demande un
s avons en ce moment beaucoup de nouveautés. Mademoiselle Dupont, des
Français
, qui est engagée au Théâtre Français d’ici pour j
eautés. Mademoiselle Dupont, des Français, qui est engagée au Théâtre
Français
d’ici pour jouer les mères nobles, la pauvre femm
e, pendant que son père y était ambassadeur, fut le premier parmi les
Français
qui tenta l’accord de la poésie française avec la
ur, fut le premier parmi les Français qui tenta l’accord de la poésie
française
avec la musique. Malheureusement il se trompa dan
l’exécution ; à l’exemple des anciens, il voulut introduire des vers
français
composés d’iambes, de dactyles, de spondées, etc.
al. Le second Chant présente les caractères et les règles des Danses
françaises
et étrangères. L’auteur cite pour exemple quelque
mple quelques graves personnages de l’antiquité, et plusieurs princes
français
dont cet art faisait les délassemens ; ensuite il
e Théodore 21. Chant I, vers Durant les premiers ans du Parnasse
françois
, Le caprice tout seul faisait toutes les loix. 1
125 Et toutefois long-temps eut un heureux destin. Mais sa Muse, en
français
, parlant grec et latin, Avant les premiers a
, Le grand Dupré bientôt, déploya plus de graces27, Et long-temps des
Français
il enchanta les yeux. De ces maîtres savans di
Chant II, vers D’un trait de ce poëme, en bons mots si fertile, Le
Français
, né malin, forma le Vaudeville ; Athène a vu
le amusement13. D’un trait de cette Danse, en graces si fertile, Le
français
, né léger, fit la Danse de ville14 ; Chant II,
Passe de bouche en bouche, et s’accroit en marchant. 185 La liberté
française
en ses vers se déploie : Cet enfant du plaisir ve
la joie. &c. (Apollon.) Voulant pousser à bout tous les rimeurs
françois
, Inventa du Sonnet les rigoureuses loix ; 85 Vou
ne adolescent Vole de bal en bal, et triomphe en dansant15. L’agilité
française
en cet art se déploie : Cet enfant du plaisir doi
s pas de vingt peuples divers, Et couvrit dans nos bals, d’une teinte
française
, La Walse aux mille tours, la piétinante Anglaise
nie : Un instrument discord n’a jamais d’harmonie. O vous ! jeunes
Français
, jouez avec vos pas ; Beau sexe, charmez-moi, mai
plaisir ! Ce n’était pas jadis par ce ton ridicule Que le danseur
français
des Graces fut l’émule. Sans trop de sérieux e
cée par Mlle Chevigny, si expressive dans la pantomime. 22. Opéra
Français
. En 1669, l’abbé Perrin ayant obtenu des lettres-
ets, les mascarades et les bals furent l’unique ressource de la gaîté
française
». Cahuzac, Traité historique de la Danse. 2.
les sculptures et peintures précieuses qu’elle contenait. La Comédie
Française
y joua pendant plusieurs années. Ce ne fut qu’en
deux temps moins vifs que l’anglaise, et plus vifs que la contredanse
française
. Son pas est simple, il ne tient qu’une mesure. C
t de Basque, pas sauté en tournant, qu’on place dans les contredanses
françaises
en le faisant terre à terre. Le Basque est fort l
pour ce genre d’amusement. Peut-être est-ce durant son règne, que les
Français
ont le plus dansé, et qu’ils se sont le mieux bat
otisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître
français
. — Reprise de « Roméo ». On a beaucoup dansé à
rojecteurs, pour étudier à fond l’inspiration et les moyens du maître
français
. Cependant le plaisir intense que cause cette exé
imparfaits devaient conduire à l’intronisation définitive de l’opéra
français
sur un théâtre de Paris. Le préjugé contre la dif
âtre de Paris. Le préjugé contre la difficulté de chanter des paroles
françaises
existait déjà ; il fallait le vaincre. Pierre Per
s XIII, entreprit de surmonter ces obstacles ; il hasarda des paroles
françaises
, qui furent mises en musique par Cambert, organis
représenté devant la cour, on joua devant le public le premier opéra
français
, Pomone, paroles de Perrin, musique de Cambert et
squ’il est arrivé qu’on ait donné à Lulli le titre de père de l’opéra
français
, personne n’a pensé à lui contester ce mérite. L’
-même dès 1713, on est moins surpris de lire le décret sur le Théâtre
Français
, que Napoléon data du Kremlin ! D’abord on fonda
immunités. » Il était fait prohibition positive à tous les comédiens
français
et étrangers de se servir de la salle de l’Opéra,
violons ; les danseurs leur furent interdits. En 1716, les comédiens
français
furent condamnés deux fois à 500 livres d’amende,
e auteurs d’opéras avaient siégé déjà sur les fauteuils de l’Académie
française
. A la même époque, quarante-quatre musiciens ava
On annonçait qu’une ère nouvelle allait s’ouvrir pour lui. La Comédie
française
avait été érigée en théâtre du peuple, c’est-à-di
de Méhul ; la Journée du dix août, ou l’Inauguration de la république
Française
, sans-culottide ; Miltiade à Marathon ; Manlius T
ourd’hui l’art dans toutes ses parties ; qu’elles ont doté le Théâtre
Français
d’artistes dont nous pouvons nous glorifier sous
00 fr. par an, mademoiselle Leverd, que nous avons admirée au Théâtre
Français
. Le personnel et cette dépense diminuèrent plus t
’ailleurs les Russes ont tué ce genre hybride que la grande tradition
française
a toujours ignoré au temps de sa vraie splendeur.
ous peindre ces prodiges nouveaux dont s’enorgueillit encore la scène
française
, je m’écarte sans doute de la route que vous n’av
e Divertissement Royal Fut, encor, le digne Régal De notre belle Cour
Française
: Et j’ay su de Gens plus de seize, Que ce Specta
s aiguë que l’arabesque. Et c’est le fait de la plupart des danseuses
françaises
, ou plutôt latines, l’attitude où la verticale de
s du temps, la malheureuse et séraphique Emma Livry. Non, la danseuse
française
n’est pas faite pour escalader des cieux imaginai
voyez-vous pas-là les commencemens de la Pantomime ? Que le Théâtre
français
éprouve encore un peu de décadence, & l’on ce
chez eux. Elle ne s’est point relevée parmi les Peuples modernes Les
Français
, au lieu de la rétablir dans son premier état, l’
mimes vont remplacer en Angleterre les Poèmes récités, avant que les
Français
aient eu le courage de se distinguer entiérement
our me servir encore de l’Epigraphe grecque) un temps viendra que les
Français
chériront à la fureur les Pantomimes . Le goût q
seuls la franchir, Si la mort n’eût, pas enlevé Roubillard, sculpteur
français
, et homme de mérite, il lui auroit fait, exécuter
mense, et du meilleur choix. Les chefs d’oeuvre enfantés par le génie
Français
y brilloient à côté de ceux des savans de l’Angle
onne et bienfaisante, il était alternativement gai et enjoué comme un
Français
, sérieux et sombre comme un Anglais. Ces deux man
ine. Je l’entendis causer : la difficulté avec laquelle elle parle le
français
ajoute à ses moyens d’expression sans nuire à sa
réfère ostensiblement le presto vivace. À peine commencée la « saison
française
» a puissamment contribué à la réputation de M. R
Pas sautés et usités dans les contredanses
françaises
, ou pots pourris, et utiles à d’autres danses I
morceaux saillants, dont cet illustre compositeur a enrichi le chant
Français
. Les petits Musiciens se sont d’abord élevés cont
son établissement stable, ses ressources, ses revenus, et le goût des
Français
pour ce spectacle, sont de grands moyens pour le
it d’avoir, avec l’œuvre de Meyerbeer, restauré sur la première scène
française
le règne du grand art. En réalité le nouveau dire
sait la fougue et le naturel à la correction raide de la chorégraphie
française
. En véritable romantique, il comparait les pas fr
chorégraphie française. En véritable romantique, il comparait les pas
français
aux vers alexandrins où tout, hémistiches, césure
sme, et d’autre part à ceux qui pensaient que les vieilles traditions
françaises
de finesse, de mesure et d’élégance avaient du bo
vations. Grillparzer se rencontre avec un certain nombre de critiques
français
, lorsqu’il reproche à sa compatriote l’abus des m
nses espagnoles et brésiliennes, confiées à des jambes et à des corps
français
, perdent de leur originalité et de leur lascivité
nt patronage et tempéré, avec sa naïveté d’Allemande et son esprit de
Française
, ce que la manière de Dolorès avait de trop aband
t Fanny Elssler au premier rang. Le titre de créatrice de la cachucha
française
était une gloire. C’était aussi un danger. C’étai
les forment, les brisent et les renouvellent sans cesse. Peut-être le
Français
a-t-il seul bien connu les avantages, les douceur
ne espèce de manège domestique. Accoutumée à jouir de la docilité des
Français
, elle ne prévoyait point les discordes civiles, e
raillait volontiers l’absence d’exégèse psychologique dans le ballet
français
. « Un berger, disait-il à peu près, offre un ruba
n quelque sorte un genre national fondé sur l’éducation séculaire des
Français
: nous voulons parler de Psyché, ballet en trois
septième siècle que le dix-huitième. Henri Heine disait : « Le ballet
français
forme un pendant à la tragédie de Racine et aux j
prétentieuse, la même chasteté. Oui, la forme et la nature du ballet
français
sont chastes, mais les yeux des danseuses accompa
rieures aux poses géométriques et aux écarts à angle droit de l’école
française
. Dans ce temps-là, les gens du bel air trouvaient
es pas de Zéphire, voilà qui est beau, noble, académique, majestueux,
français
! Ce sourire stéréotypé n’est-il pas des plus con
ne des temps modernes, Sarah Bernhardt ; la plus célèbre des actrices
françaises
; allait venir en Amérique. Quel événement ! Nous
Et c’est pour cela que vous désirez voir jouer la grande tragédienne
française
? — Oui,… je suppose… mais je n’ai pensé qu’à mon
etait aux pieds de mon compatriote. Lui non plus ne comprenait pas le
français
. Pâle, décomposé, il me demanda de traduire ce qu
, porte cette inscription en une langue qui a la prétention d’être du
français
: « Hommage de fidélité au mérite de Fanny Elssle
public. Elle prit l’habitude de jeter par-dessus la rampe des paroles
françaises
, allemandes, anglaises ou espagnoles, qui faisaie
nny Elssler ! Vive notre patrie ! » A la Nouvelle-Orléans la colonie
française
était nombreuse et prospère. Elle avait son quart
se fit jour, une fois de plus, lors du passage de Fanny Elssler. Les
Français
avaient fait une réception chaleureuse à la brill
ent les cœurs. Dans la rue l’orchestre du théâtre jouait des mélodies
françaises
. Soudain la cloche d’alarme retentit. Les pompes
ompait. Les Américains avaient voulu tout simplement empêcher la fête
française
et s’y étaient pris très brutalement. L’affaire n
souci suprême, c’est de gagner de l’argent. Anglo-Saxons, Allemands,
Français
, Italiens, Espagnols, se disputent avec âpreté le
l s’édifiera leur fortune. Les Allemands, qui représentaient avec les
Français
l’élément le plus cultivé dans cette cohue de nat
ïque et fantasque, je crois rester fidèle aux idées du grand critique
français
qui a dit : « Je suis quelqu’un pour qui le monde
eur part, le plus élégant démenti à cet humoriste qui prétend que les
Françaises
vont au théâtre pour être vues, pour voir, et un
n’imagina rien de mieux que de faire porter chez elle les classiques
français
, richement reliés. À quelque temps de là, l’emper
s voyez que la reine de l’Opéra est mieux accueillie que la reine des
Français
elle-même. » Que de souvenirs amusants on égrèner
Cette grâce particulière, qui fit dire à Roqueplan : « Elle danse en
français
: on ne se relève pas de cela », ne retarda point
de-ville. Sa Majesté étant arrivée dans la place, y trouva les gardes
françaises
et suisses ; les gendarmes et les chevau-légers f
des chevau-légers, des gardes-du-corps, et des gendarmes. Les gardes
françaises
et suisses bordaient la place des deux côtés. Le
uit le plus grand nombre des fêtes de la cour de Louis XIII. Quelques
Français
qui avaient du génie trouvèrent les accès diffici
on ait jamais données à la cour d’Angleterre, aient été l’ouvrage des
Français
. Le mariage de Frédéric cinquième comte Palatin d
nt plus de 50 ans la ressource de la galanterie et de la magnificence
française
. L’aîné des enfants de Henri II ne régna que dix-
e ce temps, qui étaient les seuls amusements du roi et des courtisans
français
, ne furent que des froides allusions, des composi
tuelle et polie, qui excellait depuis longtemps dans un genre que les
Français
avaient gâté. Telle fut la nuit profonde, dont le
le souvenir en est resté gravé pour jamais dans les cœurs de tous les
Français
. On se contente donc de présenter aux lecteurs un
âtre les plus sûrs de plaire ; tous ceux qui brillaient dans la danse
française
, la seule que le génie ait inventée, et que le go
t et de celui d’une cour éclairée. Outre les chefs-d’œuvre du théâtre
français
, qu’on vit se succéder sur un autre théâtre moins
ers talents ; on y jouit tour-à-tour des charmes variés du beau chant
français
, de la pompe de son opéra, de toutes les grâces d
urent suspendues dans l’attente d’un bonheur qui intéressait tous les
Français
. La grossesse enfin de Madame la Dauphine ranima
s, parce qu’ils peuvent donner une idée juste des ressources du génie
français
, et du bon caractère d’esprit de nos grands seign
de vue qu’il voulait y ménager pour la cour, et pour la curiosité des
Français
que l’amour national et la curiosité naturelle fo
la naissance d’un prince avait fait passer dans les cœurs de tous les
Français
. Voyez Fêtes de la Ville de Paris. Les douceurs d
t représenter avec la plus grande magnificence, six différents opéras
français
qui étaient entremêlés les jours qu’ils laissaien
choses. Telle fut la manière constante dont M. Turgot se peignit aux
Français
, pendant le cours de ses brillantes prévôtés. Il
ctateurs, sont restés gravés pour jamais dans le souvenir de tous les
Français
. Aussi le nom des Turgots sera-t-il toujours cher
s solide de donner à la patrie de nouveaux citoyens. Quel est le vrai
Français
qui ne sente la grandeur, l’utilité, la générosit
, avec ces mots, propagini imperii gallicani, à la gloire de l’empire
français
. Un troisième médaillon qui couronnait la porte d
avec moulures, qui renfermaient quatre inscriptions ; la première en
français
, la seconde en espagnol, la troisième en italien,
e du second, et successivement jusqu’au dernier : ces vaisseaux, tant
français
qu’étrangers, tous pavoisés, pavillons et flammes
Le comte de Saxe, le prince de Valdeik, et quelques autres seigneurs
français
y firent éclater leur adresse et leur intrépidité
cteur Barry : Scapin commença sa harangue, que Trivelin expliquait en
français
, pendant que Flaminia présentait au Roi, dans un
a guère de nom de province qu’on n’ait donné à quelqu’un des branles
Français
; il y a des branles de Bourgogne, du Barrois, et
cette danse qu’on commençait les bals anciennement. Elle est purement
française
. Les menuets ont pris la place de cette danse, qu
pides, brillants et moelleux. C’est sous de tels maîtres que la danse
française
peut acquérir cette expression enchanteresse qui
st faite pour se montrer avec confiance ? serions-nous honteux d’être
Français
? Comment cette nation qui depuis tant de siècles
ards et ce respect qui regnoient autrefois, et qui avoient acquis aux
Français
la réputation d’être le peuple le plus aimable, l
mœurs m’ont raconté ; voilà la façon de voir et de penser de tous les
Français
amis de leur patrie. Ce changement seroit bient
imerait voir la Tréfilova interpréter les chefs-d’œuvre du répertoire
français
: Sylvia, Coppélia ; quelle émulation entre égale
us assisterons peut-être à une renaissance de la danse classique, art
français
entre tous.
mmode, et digne en tout du goût, de l’invention et de la magnificence
Française
. Bientôt après les Comédiens obtinrent en faveur
de l’aimer. Il mît le répertoire de l’opéra à l’instar de la comédie
Française
. Il y avoit toujours six opéras sur pied. Le publ
de moins propre pour les Ballets Pantomimes, que les plans des Opéra
Français
; et surtout si on voulait les suivre d’un bout à
urai toujours devant les yeux le conseil, que l’auteur de la Poétique
Française
a donné aux Poètes, et que je m’approprie en qual
s du Rhin sont des figures de ballet. Songeons ainsi que la tradition
française
, représentée par Rameau, associe étroitement la d
un ton difforme et grossier, ennemi de la galanterie et de l’urbanité
française
. Ce changement, produit par des passions diverses
ois n’ai-je pas ouï dire à des gens même de goût et d’esprit, que les
Français
étaient les meilleurs danseurs de l’Europe, qu’il
foi, de confiance et de vivacité, qui est le caractère distinctif du
Français
. Il aime la Danse. Il a cru jusqu’ici l’avoir por
des vices principaux qui ont énervé l’exécution primitive de l’Opéra
Français
. Ce beau génie qui avait eu des idées si vastes,
ymphes chasseresses qui est une Chevauchée des Valkyries, courue à la
française
. Ce n’est pas là l’allure pathétique, saccadée et
la danse théâtrale. Je m’associe passionnément à cette belle « fièvre
française
». Car la danse est l’essence même du génie de Ra
ble rôlet) Dans ce beau Poème, ou Ballet ; Lequel Poème s’intitule En
Français
, Les Amours d’Hercule, Et dans sa naturalité Se n
83
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
sonnages, Grecs, Romains, Tartares ou Mahométans, estropier la Langue
Française
, on s’imagine, par l’effet de l’illusion théâtral
eut conserver les Poèmes immortels qui font tant d’honneur au Théâtre
Français
. J’entends de ma petite chambre, située auprès du
ume tous les mois ; ne croiroit-on pas qu’elles sont honteuses d’être
Françaises
? Tantôt elles sont Circassiennes, et tantôt Egyp
me sens et de la même manière, tous les peuples de la terre. La danse
Française
sera donc celle de toutes les nations ; elle ne p
les origines de Fanny. — Son éducation technique. — Aumer et l’école
française
. — Barbaja et Rossini. — Apprentissage en Italie
enne. Mais le ballet de Caillavet et de Fiers est une charmante chose
française
à la manière d’un biscuit de Sèvres, d’un tapis d
a brune chevelure : cette fausse Espagnole n’est que mesure et clarté
française
. Dans ce même tour à la grande seconde ses jambes
la nation. Il faut convenir d’une triste vérité, c’est que la nation
Française
, cette nation qui marque le plus en Europe, pour
it ses vues qui tendaient à une lutte sans merci contre la Révolution
française
, puis contre Napoléon. Les Anglais attachaient un
ale aussi, comme matière à développements, une anecdote qu’il cite en
français
: « Dénon, à l’âge de quatre-vingt-trois ans pass
point le sort de l’humanité ? » et il ajoute en répétant la citation
française
dont il s’était déjà servi dans sa lettre à Proke
a lecture de poètes anciens et modernes, latins, allemands, italiens,
français
. Un exemple va montrer à Rahel jusqu’où il en est
minute, éprouvée pour Fanny. « Il est des sympathies, écrit-elle, en
français
, il est des nœuds secrets… » Elle raconte qu’elle
t alors que Vénus tout entière sortit des flots. » Il lui enseigne le
français
et l’allemand. « Je l’élève, dit-il, comme un enf
ge. Cette prétendue traduction de lettres que Gentz aurait écrites en
français
à Fanny Elssler est, dit Haym (Ersch und Gruber,
en, Neue Freie Presse, n°s 9651-9652 (10 et 11 juillet 1891). 18. En
français
. 19. Mme de Stael, de l’Allemagne, II, chap. xii
concourent unanimement 0 la perfection d’un spectacle dont la nation
Française
se glorifiera toujours, il seroit à desirer, qu’o
ans ses flancs. Le théâtre de l’Odéon fût construit pour la comédie
Française
et l’architecte avoit parfaitement bien combiné t
a comédie et celui qui est emploié au théâtre des arts ; à la comédie
Française
, la régie d’unité de lieu est scrupuleusement obs
u’il y a dans les pièces d’apparat, soixante personnes sur le théâtre
Français
, il y en a trois cens sur celui de l’opéra sans c
e de la Pologne terrassée. À Paris, on ose. Et cependant les danseurs
français
échouent lamentablement dans les mazurkas et les
tris, à qui nous ne pouvons encore comparer aucun danseur, et que les
Français
regrettent de ne plus voir sur leur théâtre, de c
ne fut plus encouragé par les applaudissemens que le nôtre. La scène
Française
, la plus riche de l’Europe en drames de l’un et d
istorique, IIe partie, livre III, chap. 5, « Établissement de l’Opéra
Français
»] Le mot ballet vient de ce qu’originairement o
éra Italien, et qu’il prendra la forme nouvelle et piquante du ballet
Français
. Il consiste en 3 ou 4 entrées précédées d’un pro
théâtre lyrique, le ballet est celui qui paraît le plus agréable aux
Français
. La variété qui y règne, le mélange aimable du ch
ici, une réflexion, depuis Louis quatorze jusqu’a ce moment la scène
Française
s’est soutenue glorieusement, malgré les pertes q
on qu’il vient de me donner. » Garrick suivoit exactement la comédie
Française
qui réunissoit alors les talens les plus distingu
cteur, vraiment fait pour être un des plus beaux ornemens de la scène
française
. Je lui répondis que le mépris des comédiens du R
lent, mais ils ne cancanent pas. Le cancan est un pas essentiellement
français
. Il arrivera à être la danse nationale. C’est la
nterie de ce temps, elles font voir que la Danse fut un art connu des
Français
, avant tous les autres, comme il l’avait été autr
ait ma demande. — J’ai engagé cette danseuse, répondit M. Marchand en
français
, parce que le Casino de Paris annonçait une danse
er les assiduités de l’importun. Il n’est pire sourd, dit un proverbe
français
, que celui qui ne veut pas entendre. Et le vicomt
▲