ont Baptiste, esprit transcendant, Était Chef et Surintendant, Quatre
Filles
, qui sont de celles Qu’on admire pour Chanterelle
ttre ; Voici les noms des autres quatre. La Pucelle de Saint-Simon,
Fille
d’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort char
-Simon, Fille d’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort charmante,
Fille
, dont la beauté naissante, Se rend digne, de jour
é naissante, Se rend digne, de jour en jour, D’admiration et d’amour,
Fille
, enfin, le rare modèle D’une âme si noble et si b
lle comblée, Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté ;
Fille
jeune, Fille brillante, Fille de mine ravissante,
Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille jeune,
Fille
brillante, Fille de mine ravissante, Et dont les
enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille jeune, Fille brillante,
Fille
de mine ravissante, Et dont les jolis agréments C
s d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’écrivis la Soeur pour la
Fille
; Il est certain qu’icelle Soeur A de l’esprit, g
urant des soirs, ou des nuits, Été dansé cinq fois depuis, Où Verbec,
fille
assez jeunette, Et, mêmement, assez brunette, A t
rs jeunes et vieux ; Et, sans parler par complaisance, On la tient la
fille
de France Qui fait ses pas du plus bel air, Et qu
ches ou se marient. — Ce qu’est un homme à leurs yeux. — Un mot d’une
fille
pauvre. — Le corset et la liberté. — Sommes-nous
aisons. Elles ont soif de liberté. Chez la grisette, l’ouvrière ou la
fille
de concierge, l’indépendance ne peut s’acheter qu
au prix de leur vertu, elles ne sont pas assez riches pour imiter les
filles
dotées qui épousent la liberté en prenant un mari
eux un geôlier bienfaisant qui leur ouvre les portes de la prison. La
fille
pauvre accepte pour sauveur quiconque se présente
ison. La fille pauvre accepte pour sauveur quiconque se présente ; La
fille
opulente, le premier Monsieur qui la demande en m
mande en mariage. III Cela est tellement vrai, surtout pour les
filles
à dots, qu’il n’est pas rare de voir une enfant d
trait de cette perspective : — Je pourrai sortir seule ! IV Une
fille
sans trousseau m’a dit un mot puisé peut-être dan
pas mettre. V Cela peut sembler invraisemblable, mais bien des
filles
ont quitté le toit paternel pour avoir le droit d
missive est de la mère, laquelle, dans un style pathétique, fait à sa
fille
le tableau de sa misère, parle de sa chaumière ve
t homme respectable avoit imaginé de donner tous les ans, à celle des
filles
de sa terre, qui jouiroit de la plus grande réput
ique avoit nommée pour être Rosière. Cette récompense devint pour les
filles
de Salency un puissant motif de sagesse. Indépend
en grosses boucles sur les épaules, accompagnée de sa famille et des
filles
du village, aux quelles les garçons donnent la ma
ur la conservation et l’encouragement des mœurs. Le prix destiné à la
fille
de Romainville qui sera jugée la plus attentive à
Julie, fermier de Salency. Mathurine , tante de Julie. Javotte ,
fille
de Herpin. Le Bailli . Clitandre , seigneur d
igneur de Salency et de Varennes. Climène , son épouse. Garçons et
filles
de Salency. Garçons et filles de Varennes. L
s. Climène , son épouse. Garçons et filles de Salency. Garçons et
filles
de Varennes. La scène est à Salency. Scène
arades. Pendant cette scène, le Bailli est aux aguets avec quelques
filles
du village ; il les a engagées par des promesses
n baldaquin de fleurs : il va élire une nouvelle Rosière : toutes les
filles
attendent en silence l’arrêt du Bailli, et de leu
uronne ; il lui ordonne de replacer les guirlandes et le drapeau. Les
filles
du village abandonnent son parti pour se ranger d
cinq actes. Personnages. Danaüs, Roi d’Argos. Hypermnestre,
fille
de Danaüs. Les Danaïdes, autres filles de Danaüs
s, Roi d’Argos. Hypermnestre, fille de Danaüs. Les Danaïdes, autres
filles
de Danaüs. Lincée, l’un des fils d’Egyptus et Ne
auche de la scène. Scène i. Danaüs désespéré de l’union de ses
filles
avec ses neveux, et de la loi que son frère Egypt
ymen et de l’Amour en torches funéraires, et se servir du bras de ses
filles
pour porter des coups plus assurés, et se délivre
te de sa ruse barbare, découvre le vase mystérieux ; il ordonne à ses
filles
de faire le partage de ce qu’il renferme, et elle
leur père, arrachant le voile qui déroboit les statues, montre à ses
filles
les Divinités, sous les loix des quelles elles vi
ide ; ce père barbare est insensible aux larmes et aux prières de ses
filles
; il les menace, il entre en fureur, et il leur o
aintifs, qui sortent de la Chambre Nuptiale, il ne doute plus que ses
filles
n’ayent exécuté ses ordres. Il commande à deux Of
its, il ordonne qu’on l’entraîne au supplice, et que l’on conduise sa
fille
dans les cachots. Ces deux infortunés se disent d
lsifs annoncent son dernier instant ; il tombe : c’est en vain que sa
fille
vole vers lui, qu’elle le presse et le conjure de
là, sans la Date mettre, On peut voir de quand est ma Lettre. 72.
Fille
de Madame la Maréchale de la Motte. 73. Ces deux
. 72. Fille de Madame la Maréchale de la Motte. 73. Ces deux sont
Filles
de Madame.
ombiez dans ses filets. (v. 5.) N’arrêtez point vos regards sur une
fille
, de peur que sa beauté ne vous devienne un sujet
ces paroles du prophète Isaïe : (c. 3, vv. 16 et 17.) Parce que les
filles
de Sion se sont redressées, qu’elles ont marché l
tudiées et contraintes, le Seigneur rendra sale et chauve la tête des
filles
de Sion ; et il les réduira à la nudité la plus h
il les réduira à la nudité la plus honteuse. Ce qui est reproché aux
filles
de Sion, ne se trouve-t-il pas dans les danses qu
t-il pas dans les danses qui se font parmi nous ? N’y voit-on pas les
filles
chrétiennes affecter de s’y redresser comme faiso
s chrétiennes affecter de s’y redresser comme faisoient autrefois les
filles
de Sion contre lesquelles le prophète s’élève ? N
droit, dans son commentaire sur Isaïe, (tom. 1, pag. 464.) dit qu’une
fille
, telle que le saint prophète la représente, jette
oute : Ah ! plût-à-Dieu qu’on ne pût pas faire encore aujourd’hui aux
filles
chrétiennes le reproche que le prophète Isaïe fai
s chrétiennes le reproche que le prophète Isaïe faisoit autrefois aux
filles
juives ! Atque utinam Ecclesie quoque filiabus h
on point plus probante mais plus caractéristique : Un après-midi, la
fille
d’un architecte fort connu de la ville de Paris a
nserve précieusement. *** Une autre histoire curieuse est celle de la
fille
de Nevada, la grande diva américaine. L’enfant m’
journaux de New-York avait amené un soir, au théâtre, sa femme et sa
fille
pour me voir dans mon rôle de prédilection. La fi
, sa femme et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédilection. La
fille
du directeur voulut à toute force faire ma connai
s à mon sujet, et m’écrivit pour me demander s’il pouvait m’amener sa
fille
, jeune personne de six ans. J’avais si bien réuss
s. J’avais si bien réussi à me donner l’air d’un garçon que la petite
fille
ne pouvait pas croire que je n’en fusse pas réell
ut présentée, elle demanda : — Mais pourquoi Jack met-il des robes de
fille
? Là encore je ne détrompai point ma petite admir
revue. — Fanny Cerrito. — Une nouvelle direction. — Saint-Léon. — La
Fille
de Marbre. — Le père de la débutante. — A Londres
et le compte-rendu de Sacountala. Lucile Grahn Cette blonde
fille
du Danemark entrait à l’Opéra, au mois de juillet
— était le Perrot de la néo-Carlotta. On lui commanda le ballet de la
Fille
de Marbre. Livret, musique, décors, costumes, tou
out fut entrepris en même temps. Tout était prêt avant deux mois. La
Fille
de Marbre réussit. La musique d’Adam réussit ; le
omparer à l’admiration que le brave homme éprouvait à l’endroit de sa
fille
. Il ne la désignait jamais que sous le nom de la
liens attachés à sa personne et chargés de chanter les louanges de sa
fille
!… Celle-ci avait trop d’intelligence et de ballo
quelque part : prophète dans son pays ! La Signorita Priora.
Fille
de l’Italie et du signor Priora, maestro di ballo
ivry, — étant entrée inopinément dans sa salle à manger, y surprit sa
fille
, alors âgée de six ans, en train de fourrager un
atie et des pointes ! pensa mademoiselle Emarot. Quelle vocation ! Ma
fille
sera danseuse. De la diplomatie et des pointes :
’une rose de l’Opéra et d’un papillon du Jockey-Club. La plupart sont
filles
de petites gens : mercenaires de l’atelier, du ma
t rêve dans sa loge ; Un papillon noir vole en ses pensers ; Ses deux
filles
ont l’âge des baisers, Et sont toutes deux belles
uses ! Que dites-vous de celui-ci ? Mlle F. S. un petit sujet, est la
fille
d’un ancien soldat. Elle et le marquis de X…, un
aves chargés de riches présens. La mère de Darius, sa femme, ses deux
filles
, son fils encore en bas âge se trouvoient au pouv
ne de conserver toutes les marques de son ancienne splendeur. Une des
filles
de Darius, Statira, lui tend les bras et implore
e, la magnificence Asiatique éclatent de toutes parts. A la vue de la
fille
chérie de leur ancien maître, les Perses oubliant
— Les Marcheuses. — Mademoiselle Antier. — Mademoiselle Souris. — Les
Filles
de magasin. — Le directeur Thuret — Un équipage s
on fut étonné d’apercevoir, massé sur le théâtre, tout un régiment de
filles
magnifiques et gigantesques. Le ministre, — Savar
n de nos confrères. Je suis reçue marcheuse à l’Opéra ! — Eh bien, ma
fille
, te voilà la porte toute grande ouverte pour en s
lier de l’Académie, mademoiselle Souris cadette qui tenait une petite
fille
par la main. — Oh ! la jolie enfant ! A qui est-
re monde en menant une existence damuable dans celui-ci… La vie d’une
fille
de magasin signifiait alors la liberté, la fantai
ubis, l’argent facilement gagné, plus facilement dépensé… On appelait
filles
de magasin les demoiselles du chant et de la dans
hevé leurs études, figuraient sur la scène avant d’être engagées. Une
fille
inscrite au magasin n’appartenait plus à sa famil
eur fait valoir alors les prérogatives singulières dont jouissent les
filles
de spectacle, qui, n’étant plus sujettes à la cor
: ailleurs le plus souvent. Ils agissent donc en conséquence. « Notre
fille
sera ballerine ! » décident-ils, comme ils auraie
nous si générale, que des artisans même en font l’éducation de leurs
filles
. J’ignore, Monsieur, comment les filles d’artisan
en font l’éducation de leurs filles. J’ignore, Monsieur, comment les
filles
d’artisans sont élevées dans votre quartier ; mai
le mien, qui passe pour le plus beau de Paris, je connois très-peu de
filles
et même de garçons qui sachent lire la musique, l
j’avois fait une chanson pour la fête d’un père de famille qui a cinq
filles
très-aimables, et dont l’éducation a été soignée
t, Et de tous côtés refleurissent, Sachant l’arrivée en ces Lieux Des
FILLES
du Premier des DIEUX, Comme d’Elles ils croient n
me semblent plus charmantes. Avec elles sautent, de plus, Les Neuf
FILLES
de PIERUS, Aussi dessous d’autres Visages, Non mo
s’y trouvent au large69. N’est aussi qu’un feint Changement, Et ces
FILLES
, je vous le jure, Se retrouvent en leur nature.
traits de ressemblance avec celles dont parle le saint docteur ? Les
filles
ne s’y exposent-elles pas, comme il s’en plaignoi
vangile selon saint Mathieu, (c. 14, v. 6.) où il est rapporté que la
fille
d’Hérodiade dansa devant le roi Hérode, qu’elle l
ces mots : (hom. 48, en S. Matth. tom. 7, pag. 436.) « C’est dans la
fille
d’Hérodiade un double crime, et d’avoir dansé et
’hui ne causent pas la mort de saint Jean-Baptiste, comme celle de la
fille
d’Hérodiade la causa ; mais elles en causent une
opetunt ii qui nunc tripudiant, sed animas simul recumbentium. Si la
fille
d’Hérodiade ne se trouve pas aux danses d’aujourd
i ? » Il en fait une autre sur ce qu’Hérodiade produisit elle-même sa
fille
pour la faire danser au milieu d’une assemblée d’
qu’est-ce, dit-il, en effet, (ibid. c. 6, n.° 27, pag. 181), « que la
fille
d’une femme adultère pouvoit apprendre d’elle, si
is ? Quid enim ibì verecundiœ potest esse ubì saltatur ? » Voilà une
fille
qui danse, ajoute S. Ambroise, mais c’est la fill
tur ? » Voilà une fille qui danse, ajoute S. Ambroise, mais c’est la
fille
d’une adultère : (ibid. n.° 31) Saltat sed adult
ion d’avertir les mères chastes et chrétiennes, « d’apprendre à leurs
filles
, non à danser, mais tout ce qui appartient à la R
u suivie ! Combien voit-on de mères qui se glorifient de ce que leurs
filles
ont bonne grâce en dansant, et qui n’ont pas hont
e de Thessalie, époux de Médée. Créon , Roi de Corinthe. Créuse ,
fille
de Créon. Les deux enfans de Médée. Gouvernante
les fêtes les plus brillantes, afin de procurer plus d’occasions à sa
fille
de le séduire par ses charmes, aux quels Jason n’
es réflexions J il veut abdiquer la couronne, il veut unir Jason à sa
fille
; il veut que ce Prince, en se séparant de Médée,
accourent à sa voix ; elle leur commande de servir sa fureur, et ces
filles
de l’enfer lui présentent le feu, le fer et le po
prête à son tour le serment usité. Créon, après avoir uni Jason à sa
fille
, le couronne de sa propre main, et le conduit au
: on en sait quelque chose chez Fournaise à Chatou. Mère d’une grande
fille
qui travaille la comédie, au Conservatoire, et do
à l’orchestre ; le fils y tient un second ou un troisième violon ; la
fille
y danse, — depuis douze ans, — avec beaucoup de l
sent pas davantage. La mère travaille à la manufacture des tabacs. La
fille
en profite pour priser les messieurs à tabatière
vé la maman Sacré à la dignité de grande maîtresse de sa maison et la
fille
à celle de demoiselle de compagnie. De ce jour, l
userait une faute : ni beauté, ni attraction, ni diable au corps. Une
fille
qui fait de la vertu dans le vide. Pamélar Ir
esdemoiselles Leppich Ire, IIe & IIIe Elles me rappellent la
fille
d’un brave vigneron d’Argenteuil, devant lequel o
tête, c’est que, quand les jeunes filles vont aux vignes… — Et votre
fille
, lui demandai-je, elle n’a pas encore vendangé ?
Une crue inquiétante. On redoute un débordement. A mesure que la
fille
enfle, la mère maigrit. Un bilboquet en deux pers
Gaîté. Avec talent, avec succès. La famille habite Bois-Colombes. La
fille
est avenante et tranquille. Elle tient de maman p
e, Vaugotte, Régnier, etc., etc. J’imagine que toutes ces petites
filles
ont dû sortir de pages, — c’est-à-dire de la clas
ait d’une si amusante façon dans le Père de la Débutante : — C’est ma
fille
, monsieur ! Et il n’est pas une de ces braves dam
à quinze ans — ont, en effet, l’air fatigué et renseigné des grandes
filles
. Vous chercheriez en vain chez elles la naïveté d
Il est fou ! La fiancée se répète tout bas : « Il est amoureux d’une
fille
invisible ! » Elle pleure, et pourtant elle l’aim
u, elle a vu le triomphe d’Effie et le mariage qui s’apprête ; pauvre
fille
de l’air, à peine si ses deux ailes battent d’une
ent de très près à la vie réelle ; le héros appartient également à la
fille
de la terre et à la fille des nuages. Une affreus
réelle ; le héros appartient également à la fille de la terre et à la
fille
des nuages. Une affreuse sorcière aux longs cheve
dépasse pas les limites convenues. — Laissez-vous conduire, suivez la
fille
de l’air dans ses demeures que couvre un vert feu
s, un talisman de mort, — une écharpe rose à faire envie à toutes les
filles
de la terre. Que sait-on ? c’est peut-être bien u
t été pénétré par tes regards ! »Ainsi parle le poète, ainsi danse la
fille
de l’air ! La fête est grande dans la forêt encha
lète ne l’a mieux mérité dans aucun art. Mademoiselle Taglioni est la
fille
éclatante de la Norwége ; mais c’est Paris qui l’
is qu’elle a composé ses plus beaux drames : La Révolte au Sérail, la
Fille
du Danube, la Belle au bois dormant, la Sylphide,
nce de son mari, alors en Allemagne, madame Taglioni fut présenter sa
fille
au professeur Coulon, celui-ci, après avoir consi
x ! gémissait-il. On lésine sur les sorcières. On désire donc tuer ma
fille
! Il faut des vols, beaucoup de vols ! Un vol de
au sérail — dont j’ai déjà parlé à propos de Pauline Duvernay — et la
Fille
du Danube : d’assez pauvres ballets, somme toute,
Taglioni était féroce ! Périssent touets les directions pourvu que sa
fille
fit recette ! … Ce fut – sans aucun doute – à l’
tous les théâtres. — Danses hongroises. — La grande sœur. — Sa chère
fille
! — Accusation de matérialisme. — Riposte de Théo
tion de matérialisme. — Riposte de Théophile Gautier. — Bataille à la
Fille
du Danube. — Disgrâce du chef de claque Auguste.
Les marquis se seraient battus jusques au jour ; Inexplicable Sphinx,
fille
de vingt contrées, C’est toi que Barre a faite en
tesse virile, Thérèse Elssler s’effaçait héroïquement devant sa chère
fille
, — c’est ainsi qu’elle appelait sa cadette — et m
moi, je resterai garçon. L’excellente créature se trompait : Sa chère
fille
se maria à un riche banquier… Et ce fut elle — Th
par sa sœur, — et reprit plusieurs rôles de Taglioni : la Muette, la
Fille
du Danube, la Sylphide. Jugez si les partisans de
les danses primitives. » Il n’y en eut pas moins, à la reprise de la
Fille
du Danube, tumulte, émeute, bataille à coups de p
tier. — La Péri. — Le pas du Songe. — Le pas de l’Abeille. — La Jolie
Fille
de Gand. — Autres créations et autres succès. — D
as écrasée par la comparaison et plus tard par le souvenir. Danse, ma
fille
; Taglioni ne vole plus que d’une aile, et Fanny
ésentation de son œuvre. Giselle, c’est Carlotta Grisi, une charmante
fille
aux yeux bleus, au sourire fin et naïf, à la déma
fait. » Plus tard, le grand coloriste ajoutait, à propos de la Jolie
Fille
de Gand, — juillet 1842, — de MM. de Saint-George
, BENSÉRADE, que, sans abus, On peut dire notre PHÉBUS. 76. Petite
Fille
de Madame.
1663 […] Trois Enfants, de même famille, Deux fils, une fort jeune
Fille
, Y donnent un plaisir de Roi, Par de charmantes m
ctifiées : nous n’étions que des lorettes, ils ont fait de nous des «
filles
de marbre » ; nous ne voulions être que des « bic
ue des « biches », ils nous ont métamorphosées en baronnes d’Ange, et
filles
de marbre et baronnes d’Ange sont apparues aux ye
os mots pour des bêtises, des canons rayés contre une armée de jolies
filles
sans défense — c’est presque déloyal. X Au
t dit cela, Car je ne la vis pas bien là. Montauzier, digne et rare
Fille
, En qui la vertu toujours brille, L’esprit, la pr
, Brancas, dont l’angélique face L’éclat des plus beaux lys efface,
Fille
qu’on aime, avec raison, Et d’illustre et bonne M
Ayant des mérites assez, Pour attacher les mieux sensés. Dardennes,
Fille
ravissante, D’humeur belle et divertissante, Et q
que sous un habit champêtre et des toits rustiques, elles se croient
filles
de Lycénion ; que cette même Lycénion qui les a é
te même Lycénion qui les a élevées, ignore elle-même que ces aimables
filles
sont des immortelles ; qu’elles ne reconnoissent
ans malice, sans méchanceté, comme si elles étoient ses sœurs, et ces
filles
charmantes qui réunissent ce qu’ont de divin, la
est servi un repas champêtre et frugal, attendent le retour de leurs
filles
; ils expriment leur crainte et leur tendre inqui
l’Amour et recule d’effroi ; elle frémit sur le danger qui menace ses
filles
et leur fait de ce dieu la peinture la plus terri
nouveau prodige, un nuage léger cache, pendant quelques, instants les
filles
de Lycénion ; insensiblement il se dissipe, et l’
yeux, et si par hazard elle les lève, ce n’est que pour regarder les
filles
de Lycénion et pour se dire qu’elles seules mérit
la colline ; le beau Daphnis paroît couronné de roses ; il aborde les
filles
de Lycénion, et leur dit que leur beauté méritero
un excellent ouvrage qu’il a fait, sur la manière de bien élever une
fille
chrétienne, au titre des danses, après avoir rapp
unesse une école où il y avoit cinq cents personnes, tant garçons que
filles
, qui apprenoient à danser. On voit ici que la sai
Opéras. Grâce à elle, je comprenais ce que veulent faire ces pauvres
filles
quand elles lèvent la jambe, le pied, ou tendent
outes les scènes de l’Europe ! Elles veulent imiter les tanagras, les
filles
d’opéra qui mettent leurs bras en cerceau au-dess
mment couraient, comment portaient les guirlandes et les amphores les
filles
de l’Hellade, et c’est cela, avec mille autres gr
e elles étaient vêtues d’étoffes claires et voltigeantes, les petites
filles
me firent exactement l’effet de petits anges ; je
ue les autres, s’avança et me dit : — Que désirez-vous de lui, petite
fille
? Mon Dieu, me faudrait-il à nouveau parler devan
nez me voir ; peut-être pourrai-je vous trouver un engagement, petite
fille
! Ce fut encore une nouvelle joie, une joie pas v
it dans mes oreilles. Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite
fille
de l’Ouest viendrait un jour à Paris, y monterait
dt se trouverait dans la salle à son tour pour applaudir cette petite
fille
de l’Ouest, comme la petite fille de l’Ouest vena
on tour pour applaudir cette petite fille de l’Ouest, comme la petite
fille
de l’Ouest venait de l’applaudir aujourd’hui ?… *
n vint me dire que Sarah Bernhardt était dans une loge avec sa petite
fille
. Rêvais-je ? Mon idole était là. Et pour moi ! Et
avis, Fut jouée avec excellence Devant cette noble Éminence. Ces deux
Filles
qui par leurs voix Ont charmé la Cour tant de foi
du nom de père et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils et des
filles
pour le siècle présent, on les laisse, par une mo
aujourd’hui de mères qui non-seulement laissent tranquillement leurs
filles
aller aux bale et aux danses, mais trouvent même
uanges ; et lorsque ne l’ayant pas vu, elles entendent dire que leurs
filles
se sont distinguées, par ce dangereux talent, dan
d’eux ne tombent dans l’hérésie ; de peur que sa femme, son fils, sa
fille
, son serviteur ou son esclave, qui a été acheté c
rdinairement une des parties les plus essentielles de l’éducation des
filles
, et l’on y consacre sans peine beaucoup de temps
à faire que leurs enfans croissent comme de jeunes plantes, que leurs
filles
soient parées comme un temple magnifique, que leu
s résumer l’histoire. La quatrième, également appelée Marie, était la
fille
de Paul Taglioni, maître de ballet du roi de Prus
arie Taglioni, la rénovatrice du ballet sous Louis-Philippe, était la
fille
d’un Milanais, le maître de ballet Philippe Tagli
é, de l’élévation surtout, du ballon ; mais il ne permettait pas à sa
fille
un geste, une attitude qui manquât de décence et
che montre quels étaient à la fois son amour-propre et sa rigueur. Sa
fille
, déjà célèbre, était allée donner quelques représ
s’écria-t-il, que moi, son père, je n’ai jamais entendu le pas de ma
fille
; le jour où cela arriverait, je la maudirais68.
o ; mais le ballet, composé tout exprès par Philippe Taglioni pour sa
fille
, était une suite d’exercices destinés à faire val
elle plut à la cour autant qu’à la foule. Le roi Max la citait à ses
filles
comme un modèle de grâce et de bonne tenue. Cepen
écembre 1833, elle créa le principal rôle de la Révolte au Sérail. La
Fille
du Danube, composée pour elle par son père et mis
emberg choisissait pour amie et que le roi de Bavière proposait à ses
filles
comme un modèle de grâce et de bonne tenue était
étersbourg et de Potsdam. Le roi de Prusse n’avait jamais conduit ses
filles
au ballet des Bayadères, qui avait la réputation
is, 1833-1834. 77. Guillaume Tell. 78. Robert le Diable. 79. La
Fille
du Danube. 80. Le Dieu et la Bayadère. 81. Le
r le Monarque. 1. Mesdemoiselles Mollier et Giraud[t] 2. mères et
filles
. 3. Les Sieurs Cabout,Mollier, 4. Des Airs, De
haque ALTESSE La digne et brave Atournaresse. 122. Gouvernante des
Filles
d’Honneur de Madame.
eberle qui fit une si brillante carrière, Angioletta Mayer, les trois
filles
de l’illustre comédienne Sophie Schrœder, dont la
t en affection et lui servit de témoin, lorsqu’il épousa, en 1766, la
fille
d’un quincaillier, Eva-Maria Kœstler. Haydn servi
ne, Thérèse Prinster, surnommée la belle Thérèse, « ’s schœne Resl »,
fille
d’un plâtrier et d’une marchande de farine. Le pl
sa patrie adoptive ; il y mourut en 1872. Un troisième enfant fut une
fille
, Anna, qui parut, peu de temps d’ailleurs, en qua
hérèse Prinster se mêlèrent et s’épanouirent dans la personne de leur
fille
, avec, en plus, un cachet de distinction qui étai
maniait avec dextérité son aiguille de brodeuse ; elle transmit à sa
fille
son goût pour cette occupation fine et propre ent
lle Elssler ce détail du fils aîné qui se fait moine, alors que trois
filles
montent sur les planches. Cela ne signifie pas qu
voici la raison : Thérèse Prinster était morte en 1832, avant que sa
fille
fût devenue la danseuse universellement applaudie
e. La belle créature ! Déesse de la Victoire, Amazone, Minerve, Muse,
fille
de roi, elle représente au naturel tout ce que l’
orf. Trois mois après son arrivée à Londres, elle donna le jour à une
fille
qui fut appelée Thérèse. Deux philanthropes, les
rs ne retentissaient que de gémissements. Chaque Citoyen pleurait une
fille
, une sœur, une amante. On entend alors une jeune
héniens, accourez tous : venez, écoutez-moi. Je viens vous rendre ces
filles
chéries que vous pleurez. Elles vivent. Vous les
nse de haut style, on y tolérait d’étranges audaces. Augusta Maywood,
fille
d’un directeur de cirque américain, rappelait un
dans les Maîtres Chanteurs, dans Parsifal, et que les évolutions des
Filles
du Rhin sont des figures de ballet. Songeons ains
blancheur, Tant elle plaît, tant elle brille, Plutôt un Ange, qu’une
Fille
. De Pons, qui peut, avec raison, Se vanter de b
ue tout le monde estime fort. Outre ces seize Nobles Dames, Aucunes
Filles
, d’autres Femmes, L’aimable et charmante Sully, A
Blâmant un Oracle felon, Qui, plus cruel que Ganelon, Veut que cette
Fille
adorée, Par un Serpent, soit dévorée : Lequel Arr
ortalisant Psiché, Après avoir, un peu, prêché Vénus, sa trop colère
fille
, De sa Machine qui fort brille : Et ce Dieu là, c
e, si on me le demandait. L’ami , bas à l’habitué. Quelle drôle de
fille
! L’habitué. N’est-ce pas ? j’en suis fou. Al
ruction ? L’ami. Je suis négociant. Alice. Fais pas attention, ma
fille
, monsieur ne connaît pas le Casino-Cadet, et il c
lle qui a l’air d’une femme chic, c’est Rosalba-Cancan, une charmante
fille
qui danse ledit cancan comme personne : excepté M
les, à un emprisonnement de six mois et au bannissement perpétuel. Sa
fille
, selon les uns, avait reçu des leçons de mademois
épondit d’une voix émue : — Hé ! messieurs, vous imaginez-vous qu’une
fille
honnête et de qualité ose se produire sur la scèn
t pointes à l’espagnole… Nous voilà bien loin de la précaution d’une
fille
honnête et de qualité ! Gruer était un personnage
Le comte du Bourget la quitta avec toute l’honnêteté qu’on doit à une
fille
qu’on estime. Que fait ma danseuse ? Elle passe d
oiselle Le Duc, dont l’éclat importun offusquait les yeux de quelques
filles
du même ordre, on examinait les avantages et les
aux envieuses de mademoiselle Le Duc, leur dit : — « Eh ! mes pauvres
filles
, vous n’entendez rien à votre bonheur ; au métier
vants ; enfin le troisième, véritable priapée où étaient invitées les
filles
les plus séduisantes, les plus lascives et où la
rment, les Mémoires du temps le rendez-vous ordinaire des plus jolies
filles
de Paris et des plus aimables libertins. Il y ava
e Danse les garçons faisaient doubles ou triples tous les pas que les
filles
faisaient simples dans le même temps. C’était là
ues-uns reprenaient la coutume que Lycurgue avait introduite, que les
filles
, à certains jours de Fête, allassent par la Ville
prudence, d’honnêteté, D’esprit, de grâce et de beauté. Des-Autels,
Fille
de la Reine, Fort aimable, mais inhumaine, Qui ti
ang, Et qui vient d’un fort noble Sang. Ces Belles, tant Femmes que
Filles
, Représentaient quinze Familles Toutes pleines d’
trait mystérieux qui le précipite vers l’inconnu. C’est cependant une
fille
du Midi, une enfant de Cadix, Fanny Cérito, qui,
se marier ; c’est un jeune pêcheur qui épouse Giannina, la plus jolie
fille
de la côte, charmante enfant qui reçoit les félic
lle mère Térésa, il est sombre, préoccupé, distrait : la vision de la
fille
des eaux le harcèle et le poursuit. Quel peut êtr
tre de la cabane en s’entrouvrant donne passage à l’Ondine. La légère
fille
des eaux circule, pareille à ces demoiselles ailé
reine Hydrola. Cette dernière, mère de l’Ondine amoureuse, donne à sa
fille
tous les conseils de la prudence, et lui dit que
t languit. Mais la souveraine des eaux souffrira-t-elle que sa propre
fille
périsse ainsi, et que la tombe d’une mortelle con
qu’avait imaginé Hoffmann. Examinons les sujets de la Sylphide, de la
Fille
du Danube, de Giselle. Nous verrons toute la cont
itres de Taglioni à la gloire théâtrale, ceux de la Sylphide et de la
Fille
du Danube, non seulement Gautier ne crie point au
vivacité espagnole de Fanny tempérée par sa naïveté allemande. « Les
filles
de Milet, les belles Ioniennes, dont il est tant
’est ainsi que la reprise du vétuste ballet pastoral de Dauberval, La
fille
mal gardée, lui sert quinze ans après le premier
texte à une nouvelle apothéose. Le sourire rustique de Lise, la bonne
fille
en jupon court, filant le lin ou battant le beurr
t de pathétique, propres à Carlotta qu’il exalte à propos de La jolie
fille
de Gand, œuvre de Saint-Georges et Adam, cauchema
de passer le temps À baller en l’honneur des Muses, Qui ne sont plus
Filles
camuses Depuis que notre grand Vainqueur A pris l
rchande à la toilette à qui j’ai beaucoup acheté et beaucoup dù. — Ma
fille
, me disait-elle en prenant sa prise, souviens-toi
exemple, ma rivale directe. Tout le monde connaît Finette, charmante
fille
dont les yeux sont grands, les cheveux longs et l
ppeler : les beautés de la veille. XIV La baronne est une bonne
fille
; bohême par instinct, elle aime la liberté et le
e les mains d’un garçon du Cadran-Bleu, pour payer du champagne à des
filles
!… La belle Clotilde Mafleuroy était une des rein
laine noirs, dont les défauts avaient été corrigés en fil blanc ; la
fille
de Danaüs laissait entrevoir aux coulisses la for
Revenons à Guillaume le Flâneur : « Mademoiselle Marinette est une
fille
d’esprit. Quand on a pu jouir un moment de sa con
me la danse ; il veut, dans son ardeur, Ne prendre des leçons qu’à la
fille
des Grâces : Il sera doux, soumis, diligent, stud
ernay mère entreprend de le rassurer : — Je vais tout vous avouer. Ma
fille
danse ce soir à côté de Lise Noblet ; or, celle-c
Il y a là cent mille francs, murmura le vieillard. Mais l’insouciante
fille
, s’esclaffant de rire et repoussant du pied la fa
père Dumilâtre, — qui avait été tragédien, — venait, les soirs où ses
filles
jouaient, s’asseoir au parterre de l’Opéra. Puis,
vous devez pourtant bien les connaître, père Dumilâtre : ce sont vos
filles
! Mademoiselle Louise Fitz-james On lit d
les deux derniers vers : Mais se peut-il qu’un rat si maigre Soit la
fille
d’un chat si rond ? La chatte de cechat si rond,
assise à l’orchestre. Qu’on juge de son épouvante en voyant brûler sa
fille
! Toutes les danseuses, qui se trouvaient en scèn
ensuite employée à l’utilité publique, ne mérite de la consideration.
Fille
de l’Harmonie, elle est de tout tems entrée pour
omptent bien hériter du domaine, quand il sera mort du cœur. Ces deux
filles
de ferme ont l’insolence tranquille des paysans q
s’ouvrit. L’Europe vêtue en Reine en sortit la première suivie de ses
filles
, la France, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, et
Loire, le Guadalquivir, le Rhin, le Tibre et l’Achéloos. Chacune des
filles
de l’Europe avait trois Pages caractérisés par le
stament, qui est le livre de la Genèse, on sait ce qui arriva à Dina,
fille
de Jacob et de Lia, âgée alors d’environ quinze o
ent, elle fut très-occupée de sa figure, se comparant à cet égard aux
filles
du pays que la curiosité lui fit considérer, et q
onfus et sans aucun objet particulier. Dieu qui vouloit apprendre aux
filles
de tous les siècles combien un tel désir est mauv
X L’escadron volant de la rue Lepeletier. Évocation. — Les quatre
filles
Aymon : Schlosser, Poussin, Maupérin et Mercier.
ne ou de la Farandole, — les yeux encore pleins des minois des jolies
filles
qui s’y trémoussent, il me sembla qu’au lieu du b
r, Poussin, Maupérin et Mercier, que l’on avait surnommées les Quatre
filles
Aymon, sans doute parce qu’il devait leur être be
us bas les deux Noblet, après quoi l’armée tout entière de ces belles
filles
sans nom, mais non pas sans charmes. » Loin de s
n et Morcy, un autre jour on lui découvrait une maîtresse, une pauvre
fille
, borgne et contrefaite, Nina Lassave. Mille détai
dans ses jambes une charmante enfant. « A qui donc cette jolie petite
fille
? » Mlle Taglioni lui répondit en riant : « C’est
elles. « La musique aussi de ce ballet était par rapport à Nina ou la
Fille
mal gardée ce qu’est une kermesse de paysans par
trois belles. Le brillant cavalier, découvrant en Paquita une simple
fille
du peuple, la dédaigne, quoiqu’elle l’aime de tou
mier coup avec la Sylphide se maintint lorsque Marie Taglioni créa la
Fille
du Danube, œuvre de son père et d’Adolphe Adam. L
insaisissable, fuyant entre les mains comme les vagues, ses sœurs. La
fille
des eaux, Fleur-des-Champs, sortie d’une touffe d
e surnaturel. L’année 1836, qui vit se produire le Diable boiteux, la
Fille
du Danube, et reparaître la Sylphide, marqua l’ap
série de vingt-six représentations au nombre desquelles il y avait la
Fille
mal gardée, le Carnaval de Venise, le Dieu et la
« qu’il y avait dans la salle, des mères, des femmes, des sœurs, des
filles
». Mais bientôt le faux point d’honneur et les ti
mence par uneSérénade que Don Juan donne à Donna Elvire sa Maîtresse,
fille
du Commandeur. Il obtient l’entrée dans la maison
omblait de contentement ! Et par l’admirable La Barre, Sur qui peu de
Filles
ont barre, Soit pour enchanter, en l’oyant, Ou po
nt Saint-Simon, Cévigny, De mérite presque infini, La Vallière, autre
Fille
illustre, Digne un jour d’avoir un Balustre, Et l
ge. Et SÉVIGNY, bref, est le Nom De cette Beauté de Renom. 88. Les
Filles
d’honneur. 89. Monsieur le Duc. 90. Le Comte d’
s, chez Madame la Présidente ***, qui donnoit un bal au mariage de sa
fille
. Quatre jeunes Seigneurs de la Cour, après avoir
la Reine de Navarre, qui disent qu’elle avoit ménagé l’entrevûe de sa
fille
Reine d’Espagne & femme de Philippe II. &
pussent voir d’un coup d’œil toute l’assemblée pendant le repas. Les
filles
d’honneur des Reines vêtues très également, parti
t façons. Leurs pas, leur course inégale Représentant le Dédale De la
fille
de Minos : Jeux que sur l’airain docile Des armes
façons ; Leurs pas, leur course inégale Représentent le Dédale De la
fille
de Minos :1 Jeux que sur l’airain docile Des arm
orce aux jeunes personnes de l’autre sexe. Quant aux jeunes femmes et
filles
, ajoutent-ils, ce que la parole de Dieu leur ordo
nt baissé. Y a-t-il apparence que cette pudeur puisse permettre à une
fille
au milieu d’une compagnie, de lever ainsi le fron
t, mais pour les autres qui sont spectateurs ; que si le regard d’une
fille
qui dansoit a produit un si grand effet sur le cœ
tre de regarder avec plaisir de nombreuses assemblées de femmes et de
filles
qui dansent, et espérer de n’en recevoir aucun do
se doivent justifier à raison de tels profits, ce seroit celle de la
fille
d’Hérodias, laquelle pour une seule danse gagna l
t crasseux, s’était fait une sorte de cache-nez du maigre châle de sa
fille
à laquelle il avait donné son propre vêtement pou
ien, messieurs, dit le père en saisissant le bouquet qu’il remit à sa
fille
. » Et, parlant avec un accent italien exagéré : «
arlant avec un accent italien exagéré : « Nous sommes étrangers et ma
fille
ne parle pas assez le français pour vous répondre
e mouvement brusque que fit le vieux Fiori pour prendre le bras de sa
fille
, il fit tomber une des fleurs du bouquet de camél
s la matinée. J’ignore si une grande tendresse unissait le père et la
fille
, et si Mlle Fiori est une personne extraordinaire
tes solennelles : la Danse en fit toujours une partie principale. Les
Filles
de Silo dansaient dans les champs, suivant l’anci
celui de Médée et ses fureurs : sa retraite en Perse ; l’histoire des
filles
d’Érechthée, et tout ce qu’elles ont fait et souf
sera frappé en voyant le tyran de Samos, et les folles erreurs de sa
fille
, etc. Il verra en Italie les bords féconds de l’É
le premier est celui d’un jeune Officier Anglais, qui ayant séduit la
fille
d’un Cacique, et en ayant eu plusieurs enfans, co
e x. Dans ce moment Zirca et Fatmé qui ont suivi avec Amazili leur
fille
les pas de Zoraïm leur fils, paroîssent inopinéme
t ou l’on remit en scène pour elle le Diable boiteux, la Sylphide, la
Fille
mal gardée, Barbe-Bleue et la Tarentule, spectacl
dernières créations, Esmeralda, Le Rêve du peintre, Giselle, la Jolie
fille
de Gand. Le poème lui fut présenté sur une feuill
llent Perrot dont elle dansait les œuvres, Esmeralda, Catherine ou la
Fille
du Bandit et Faust. Le reste de son répertoire co
le Rêve du peintre, Giselle, Vénus et Adonis, la Tarentule, la Jolie
fille
de Gand, la Révolte au sérail et la Sylphide 147.
de sur une jeune artiste qui jouait à côté d’elle, Louise Neumann, la
fille
de la célèbre Amalie Haizinger, la future comtess
de sa carrière et ses voyages incessants lui avaient fait négliger sa
fille
qui avait maintenant dix-huit ans. Elle voulait d
lssler indifférente fut l’érection, en 1874, d’une statue à Haydn. La
fille
de Jean-Florian Elssler s’empressa de s’associer
ines dans ses déplacements. Fanny habitait, comme à Hambourg, avec sa
fille
que Betty Paoli appelle une personne « intelligen
e l’armée autrichienne, le baron de Webenau. De ce mariage naquit une
fille
, Fanny, que les intimes nommaient l’« Enkeline »
e des environs de Munich, M. de Le-Plée. De ce mariage sont nées deux
filles
. 156. Ludwig Hevesi, Wiener Totentanz, Stuttgart
ur, en voyage avec ses parents, Gab, qui était alors une toute petite
fille
, voulut avoir un âne qui trottait le long de la v
pour cela, non ! Elle est tout au monde sauf cela. C’est une drôle de
fille
qui semble ne penser à rien d’autre qu’à son trav
grimpent dessus comme une bande de gamins. Tout cela pour une petite
fille
, qui ne semble pas se douter qu’elle a du succès.
is XIII, avec l’Infante d’Espagne, et du Roi Philippe avec la seconde
Fille
de France. Le nombre des Mascarades et des Ballet
. 95. Journal d’Henri III. 96. Henri III courait le Bal en habit de
Fille
. Il donna un festin entre autres à sa Mère, où le
Sujet du ballet. Renaud, Comte de Ponthieu, a promis Adèle sa
fille
à Alphonse, chevalier étranger. Raymond de Mayenn
ur les chevaliers l’engagement le plus saint, Renaud s’approche de sa
fille
, pour lui ordonner de confirmer le don qu’il vien
ges. Pyrrhus , fils d’Achille, Genéral des Grecs. Polixène ,
fille
de Priam. Priam , Roi des Troyens. L’ombre d’
es et des instrumens consacrés à la guerre. Scène II. Polixène,
fille
de Priam, qui avoit tenté d’échapper à un esclava
alachova, qui tenta de ressusciter, avec des moyens de fortune, cette
Fille
mal gardée, créée par Dauberval, et qui s’apparen
mer de longtemps50. » Soucieux de n’exhiber dans les ballets que des
filles
jolies et bien faites, Véron procédait avec beauc
e légendaire à cause de sa maigreur. Toutes les qualités de la pauvre
fille
furent impuissantes à contrebalancer cette disgrâ
veut, dans le plus impur) esprit du dix-huitième siècle. C’était une
fille
bien gardée, dit Véron, qui ne cache pas ses faib
Un jour Mme Duvernay dit majestueusement à Véron : « Le talent de ma
fille
n’a besoin de la protection de personne. » Le dir
n ami ne trouva d’autre moyen de la sauver que de l’épouser. Ainsi la
fille
de Mme Duvernay devint, en justes noces, Mme Lyne
onnent de cent sous à deux francs cinquante par jour, que ces petites
filles
peuvent grignoter à leur ordinaire des truffes so
s même pâle et chancelante, — elle l’interpellait brusquement : — Ma
fille
, de quoi as-tu besoin ? Est-ce d’un conseil ou d’
Il devint amoureux de mademoiselle Nanine Dorival, élève comme lui et
fille
de l’ouvreuse de la loge du comte d’Artois. La fi
mère d’une danseuse entre un soir, en sanglotant, dans la loge de sa
fille
, au moment où celle-ci achève de se maquiller : —
iller : — Oh ! mon Dieu ! mon enfant, ton pauvre père est mort !… La
fille
tamponne ses yeux avec son mouchoir… Et, étouffan
est si générale, que des artisans mêmes en font l’éducation de leurs
filles
, et l’on ne seroit pas embarrassé de trouver, à P
emnestre, usurpateur secret du trône de Mycènes. Electre, Iphise, }
filles
d’Agamemnon et de Clytemnestre. Cassandre, fille
lectre, Iphise, } filles d’Agamemnon et de Clytemnestre. Cassandre,
fille
de Priam, captive d’Agamemnon. Oreste, fils d’Ag
fans. Ce Prince est dans son char ; Cassandre, .Princesse Troyenne et
fille
de Priam est placée à sa gauche ; le peuple de My
n qu’il tranchera tout à la fois les jours de son époux et ceux de la
fille
de Priam. Elle veut armer les mains d’Egisthe du
ule d’indignation ; vole et l’arrache d’une situation ; qui avilit la
fille
d’Agamemnon, en disant au Tyran que c’est à lui à
passer une colombe dans la plaine ; cette colombe, c’est Giselle, la
fille
de Berthe, une honnête et douce et charmante créa
! » À ces sages remontrances maternelles, Giselle répond ce que toute
fille
répond à sa mère qui lui rappelle que l’heure est
là, La mère Berthe sort avec force révérences, tenant par la main sa
fille
, toute honteuse de paraître ainsi à l’improviste
mère Berthe, et la tradition des wilis. J’ai bien peur que la pauvre
fille
ne dorme pas tranquille dans son lit de gazon. Mo
y avais-je encore jamais pensé ? Deux de mes amies, Mme Hoffman et sa
fille
, Mme Hossack, venaient de temps en temps voir où
onnait. Mme Hoffman m’offrit de venir demeurer auprès d’elle et de sa
fille
, ce que j’acceptai avec reconnaissance, sans savo
e, qui faisait un bien mince paquet, et je partis pour le théâtre. La
fille
de Mme Hoffman m’accompagnait. Nous primes par l’
vi Des belles choses que je vis. 41. Mademoiselle de Fiennes, 42.
Fille
d’Honneur de Madame. 43. M. le Duc. 44. Mademoi
ela le plaisir. Pendant sa Régence, elle mena le Roi à Bayonne, où sa
Fille
Reine d’Espagne, vint la joindre avec le Duc d’Al
t cachés par les Arbres se firent entendre, dès que le Roi parut. Les
Filles
d’honneur des deux Reines, vêtues élégamment part
’autel, il apperçoit le fatal couteau prêt à trancher les jours de sa
fille
chérie, il court et vole pour l’arrêter. L’expres
débauches à celles de ces bas farceurs, les dames Romaines, et leurs
filles
joüoient avec eux les scènes les plus indécentes,
ous pouvez vous imaginer les sentiments de ma mère lorsqu’elle vit sa
fille
apparaître dans un tel négligé. Voilà comment j’a
1867. Le papa Mauri était danseur lui-même. Il adorait son art et sa
fille
. Aussi, malgré une assez vive opposition de sa fe
, les fonds étaient bas. C’était la dernière martingale. Il emmena sa
fille
à Milan. L’éducation touchait à sa fin : les écon
s besognes. Dans ce ménage à trois naquirent trois enfants, dont deux
filles
. Une de moins que chez M. et madame Cardinal. Non
les, une qu’il donne aux souliers qu’il a créés, l’autre allouée à sa
fille
qu’il forme. S’il y a dans le mobilier paterne
e de joie, et prie le fils ou le neveu du propriétaire de conduire sa
fille
au spectacle. Le père va se cacher au parterre, i
oulevart extérieur ; à son retour, on lui dit : Votre épouse et votre
fille
ne sont pas là haut. — Quand rentreront-elles ? —
Dans quoi ? — Dans mon lit. — Il n’y en a plus, votre épouse et votre
fille
ont déménagé et le mobilier est parti avec elles.
s humains, voilà ce qui a motivé la translation des meubles. Quand ma
fille
sera sultane, se dit la maman, je réinstallerai l
à se généraliser. Il y a deux mille Lorettes à Paris qui disent être
filles
de colonels de la grande armée. Si elles ne révèl
seurs nomment l’alphabet) ; mais encore, économe du terrain comme une
fille
de laboureur qu’elle est, elle n’observe aucune d
qu’on écrivait cire par un c. Une Lorette mère disait en montrant sa
fille
: Voilà ma plus belle ouvrage. Un Arthur lui dit
r contre la sibylle… Enfin un quaker la prit en pitié et lui dit : Ma
fille
, tu as fait une boulette ; quand on s’aventure da
e vraie scène a deux ans et demi Alors que j’étais une toute petite
fille
, le président du Chicago Progressive Lyceum, où m
taches sanguinolentes disparurent insensiblement ; l’espérance, cette
fille
consolatrice du ciel, reparut sur la terre et rep
t d’instrumens différens, qu’ils avoient de diverses danses ; que les
filles
dansoient au son des instrumens les plus doux ; q
hantoient & dansoient une chanson qu’elles nommoient Calycé : une
fille
de ce nom étant devenue amoureuse d’un jeune homm
décrite, s’ouvrit, l’Europe en sortit vêtue en Reine avec cinq de ses
filles
, la France, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie &
hanter auprès du Globe, ils en firent sortir la Reine d’Asie avec ses
filles
, la Syrie, la Palestine, la Mésopotamie, la Caldé
ée de Marie Taglioni dans la Sylphide. — Deux principes opposés. — La
Fille
du Danube. — Les sœurs Elssler à Bordeaux. — Reto
et d’annoncer aux habitans de cette ville désolée le retour de leurs
filles
chéries, et leur déclarer qu’il est leur libérate
t l’aide à enfanter des fleurs et des fruits ; de même la paix, cette
fille
du ciel, rallumera les feux presqu’éteints de l’i
s plus excellentes pièces sont siffilées. Les fêtes, en général, sont
filles
du génie et de la paix. Ce sont les arts réunis,
rez, car il sort des Enfants-Trouvés. Il a été adopté par une vieille
fille
qui, n’ayant point de fortune à lui laisser, a eu
quoit à la danse qu’on appelle Hormus, qui étoit un branle composé de
filles
& de garçons, où le garçon menoit la danse av
ns, où le garçon menoit la danse avec une contenance fiere, & les
filles
le suivoient avec des pas plus doux & plus mo
t la force & la tempérance. Ils avoient encore une autre danse de
filles
qui se faisoit nuds pieds, pour ne pas dire toute
té, mesdemoiselles Anna, Henriette et Mélanie. Anna est une charmante
fille
qui joue ce qu’on appelle aux Délassements les «
age de la nature. Convenez donc avec moi, Monsieur, que la symmétrie,
fille
de l’Art, sera toujours bannie de la Danse en act
ne & en Portugal, toutes les veilles des Fêtes de la Vierge ; les
filles
s’assemblent le soir devant les portes des Eglise
t vétus de blanc ; il y avoit autour du cerceuil deux rangs de quinze
filles
qui dansoient, & une autre troupe de jeunes g
re le désespoir. Elle évoque la haine, la fureur et la vengeance. Ces
filles
de l’enfer accourent et obéissent à sa voix. Armi
de gloire, que celui qui présidoit aux jeux Olimpiques, lui donna sa
fille
en mariage, comme un prix digne de son tableau, &
l’ombre de la lumiere, & dont l’invention en est attribuée à une
fille
qui traça contre la muraille avec un charbon, les
ux, dit que Débutades Potier de terre à Corinthe, étoit pere de cette
fille
, & qu’il fit un modele de la figure que sa fi
it pere de cette fille, & qu’il fit un modele de la figure que sa
fille
avoit tracée. Quintilien, Livre X. dit que les pr
ène, augmente tout à la fois l’action et l’intérêt : sollicité par sa
fille
, il cède à ses prières ; sa tendresse paternelle
le public a daigné avoir pour Agamemnon ; je désire ardemment que sa
fille
Iphigénie soit vue avec la même bonté, et reçoive
it des plus appétissants. L’ambassadeur d’Angleterre, sa femme et sa
fille
arrivèrent les premiers. Il y eut un rassemblemen
groupés sans grace, privés de toute harmonie, et de cette expression,
fille
du sentiment, qui seule peut embellir l’art, en l
de ses exploits » ce qui prouve que cet empereur a joué le role de la
fille
d’Oedipe. Comme ces masques en général grossissoi
e, Roi de Thessalie dont Phère étoit la Capital avoit épousé Alceste,
fille
de Pélias ; il jouissoit paisiblement des douceur
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