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1 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
ont Baptiste, esprit transcendant, Était Chef et Surintendant, Quatre Filles , qui sont de celles Qu’on admire pour Chanterelle
ttre ; Voici les noms des autres quatre. La Pucelle de Saint-Simon, Fille d’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort char
-Simon, Fille d’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort charmante, Fille , dont la beauté naissante, Se rend digne, de jour
é naissante, Se rend digne, de jour en jour, D’admiration et d’amour, Fille , enfin, le rare modèle D’une âme si noble et si b
lle comblée, Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille jeune, Fille brillante, Fille de mine ravissante,
Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille jeune, Fille brillante, Fille de mine ravissante, Et dont les
enchanté De sa danse et de sa beauté ; Fille jeune, Fille brillante, Fille de mine ravissante, Et dont les jolis agréments C
2 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
s d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’écrivis la Soeur pour la Fille  ; Il est certain qu’icelle Soeur A de l’esprit, g
urant des soirs, ou des nuits, Été dansé cinq fois depuis, Où Verbec, fille assez jeunette, Et, mêmement, assez brunette, A t
rs jeunes et vieux ; Et, sans parler par complaisance, On la tient la fille de France Qui fait ses pas du plus bel air, Et qu
3 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
ches ou se marient. — Ce qu’est un homme à leurs yeux. — Un mot d’une fille pauvre. — Le corset et la liberté. — Sommes-nous
aisons. Elles ont soif de liberté. Chez la grisette, l’ouvrière ou la fille de concierge, l’indépendance ne peut s’acheter qu
au prix de leur vertu, elles ne sont pas assez riches pour imiter les filles dotées qui épousent la liberté en prenant un mari
eux un geôlier bienfaisant qui leur ouvre les portes de la prison. La fille pauvre accepte pour sauveur quiconque se présente
ison. La fille pauvre accepte pour sauveur quiconque se présente ; La fille opulente, le premier Monsieur qui la demande en m
mande en mariage. III Cela est tellement vrai, surtout pour les filles à dots, qu’il n’est pas rare de voir une enfant d
trait de cette perspective : — Je pourrai sortir seule ! IV Une fille sans trousseau m’a dit un mot puisé peut-être dan
pas mettre. V Cela peut sembler invraisemblable, mais bien des filles ont quitté le toit paternel pour avoir le droit d
missive est de la mère, laquelle, dans un style pathétique, fait à sa fille le tableau de sa misère, parle de sa chaumière ve
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
t homme respectable avoit imaginé de donner tous les ans, à celle des filles de sa terre, qui jouiroit de la plus grande réput
ique avoit nommée pour être Rosière. Cette récompense devint pour les filles de Salency un puissant motif de sagesse. Indépend
en grosses boucles sur les épaules, accompagnée de sa famille et des filles du village, aux quelles les garçons donnent la ma
ur la conservation et l’encouragement des mœurs. Le prix destiné à la fille de Romainville qui sera jugée la plus attentive à
Julie, fermier de Salency. Mathurine , tante de Julie. Javotte , fille de Herpin. Le Bailli . Clitandre , seigneur d
igneur de Salency et de Varennes. Climène , son épouse. Garçons et filles de Salency. Garçons et filles de Varennes.   L
s. Climène , son épouse. Garçons et filles de Salency. Garçons et filles de Varennes.   La scène est à Salency. Scène
arades.   Pendant cette scène, le Bailli est aux aguets avec quelques filles du village ; il les a engagées par des promesses
n baldaquin de fleurs : il va élire une nouvelle Rosière : toutes les filles attendent en silence l’arrêt du Bailli, et de leu
uronne ; il lui ordonne de replacer les guirlandes et le drapeau. Les filles du village abandonnent son parti pour se ranger d
5 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
cinq actes. Personnages. Danaüs, Roi d’Argos. Hypermnestre, fille de Danaüs. Les Danaïdes, autres filles de Danaüs
s, Roi d’Argos. Hypermnestre, fille de Danaüs. Les Danaïdes, autres filles de Danaüs. Lincée, l’un des fils d’Egyptus et Ne
auche de la scène. Scène i. Danaüs désespéré de l’union de ses filles avec ses neveux, et de la loi que son frère Egypt
ymen et de l’Amour en torches funéraires, et se servir du bras de ses filles pour porter des coups plus assurés, et se délivre
te de sa ruse barbare, découvre le vase mystérieux ; il ordonne à ses filles de faire le partage de ce qu’il renferme, et elle
leur père, arrachant le voile qui déroboit les statues, montre à ses filles les Divinités, sous les loix des quelles elles vi
ide ; ce père barbare est insensible aux larmes et aux prières de ses filles  ; il les menace, il entre en fureur, et il leur o
aintifs, qui sortent de la Chambre Nuptiale, il ne doute plus que ses filles n’ayent exécuté ses ordres. Il commande à deux Of
its, il ordonne qu’on l’entraîne au supplice, et que l’on conduise sa fille dans les cachots. Ces deux infortunés se disent d
lsifs annoncent son dernier instant ; il tombe : c’est en vain que sa fille vole vers lui, qu’elle le presse et le conjure de
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
là, sans la Date mettre, On peut voir de quand est ma Lettre. 72. Fille de Madame la Maréchale de la Motte. 73. Ces deux
. 72. Fille de Madame la Maréchale de la Motte. 73. Ces deux sont Filles de Madame.
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
ombiez dans ses filets. (v. 5.) N’arrêtez point vos regards sur une fille , de peur que sa beauté ne vous devienne un sujet
ces paroles du prophète Isaïe : (c. 3, vv. 16 et 17.) Parce que les filles de Sion se sont redressées, qu’elles ont marché l
tudiées et contraintes, le Seigneur rendra sale et chauve la tête des filles de Sion ; et il les réduira à la nudité la plus h
il les réduira à la nudité la plus honteuse. Ce qui est reproché aux filles de Sion, ne se trouve-t-il pas dans les danses qu
t-il pas dans les danses qui se font parmi nous ? N’y voit-on pas les filles chrétiennes affecter de s’y redresser comme faiso
s chrétiennes affecter de s’y redresser comme faisoient autrefois les filles de Sion contre lesquelles le prophète s’élève ? N
droit, dans son commentaire sur Isaïe, (tom. 1, pag. 464.) dit qu’une fille , telle que le saint prophète la représente, jette
oute : Ah ! plût-à-Dieu qu’on ne pût pas faire encore aujourd’hui aux filles chrétiennes le reproche que le prophète Isaïe fai
s chrétiennes le reproche que le prophète Isaïe faisoit autrefois aux filles juives ! Atque utinam Ecclesie quoque filiabus h
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
on point plus probante mais plus caractéristique : Un après-midi, la fille d’un architecte fort connu de la ville de Paris a
nserve précieusement. *** Une autre histoire curieuse est celle de la fille de Nevada, la grande diva américaine. L’enfant m’
journaux de New-York avait amené un soir, au théâtre, sa femme et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédilection. La fi
, sa femme et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédilection. La fille du directeur voulut à toute force faire ma connai
s à mon sujet, et m’écrivit pour me demander s’il pouvait m’amener sa fille , jeune personne de six ans. J’avais si bien réuss
s. J’avais si bien réussi à me donner l’air d’un garçon que la petite fille ne pouvait pas croire que je n’en fusse pas réell
ut présentée, elle demanda : — Mais pourquoi Jack met-il des robes de fille  ? Là encore je ne détrompai point ma petite admir
9 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
revue. — Fanny Cerrito. — Une nouvelle direction. — Saint-Léon. — La Fille de Marbre. — Le père de la débutante. — A Londres
et le compte-rendu de Sacountala. Lucile Grahn Cette blonde fille du Danemark entrait à l’Opéra, au mois de juillet
— était le Perrot de la néo-Carlotta. On lui commanda le ballet de la Fille de Marbre. Livret, musique, décors, costumes, tou
out fut entrepris en même temps. Tout était prêt avant deux mois. La Fille de Marbre réussit. La musique d’Adam réussit ; le
omparer à l’admiration que le brave homme éprouvait à l’endroit de sa fille . Il ne la désignait jamais que sous le nom de la
liens attachés à sa personne et chargés de chanter les louanges de sa fille  !… Celle-ci avait trop d’intelligence et de ballo
quelque part : prophète dans son pays ! La Signorita Priora. Fille de l’Italie et du signor Priora, maestro di ballo
10 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
ivry, — étant entrée inopinément dans sa salle à manger, y surprit sa fille , alors âgée de six ans, en train de fourrager un
atie et des pointes ! pensa mademoiselle Emarot. Quelle vocation ! Ma fille sera danseuse. De la diplomatie et des pointes :
’une rose de l’Opéra et d’un papillon du Jockey-Club. La plupart sont filles de petites gens : mercenaires de l’atelier, du ma
t rêve dans sa loge ; Un papillon noir vole en ses pensers ; Ses deux filles ont l’âge des baisers, Et sont toutes deux belles
uses ! Que dites-vous de celui-ci ? Mlle F. S. un petit sujet, est la fille d’un ancien soldat. Elle et le marquis de X…, un
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
aves chargés de riches présens. La mère de Darius, sa femme, ses deux filles , son fils encore en bas âge se trouvoient au pouv
ne de conserver toutes les marques de son ancienne splendeur. Une des filles de Darius, Statira, lui tend les bras et implore
e, la magnificence Asiatique éclatent de toutes parts. A la vue de la fille chérie de leur ancien maître, les Perses oubliant
12 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
— Les Marcheuses. — Mademoiselle Antier. — Mademoiselle Souris. — Les Filles de magasin. — Le directeur Thuret — Un équipage s
on fut étonné d’apercevoir, massé sur le théâtre, tout un régiment de filles magnifiques et gigantesques. Le ministre, — Savar
n de nos confrères. Je suis reçue marcheuse à l’Opéra ! — Eh bien, ma fille , te voilà la porte toute grande ouverte pour en s
lier de l’Académie, mademoiselle Souris cadette qui tenait une petite fille par la main. — Oh ! la jolie enfant ! A qui est-
re monde en menant une existence damuable dans celui-ci… La vie d’une fille de magasin signifiait alors la liberté, la fantai
ubis, l’argent facilement gagné, plus facilement dépensé… On appelait filles de magasin les demoiselles du chant et de la dans
hevé leurs études, figuraient sur la scène avant d’être engagées. Une fille inscrite au magasin n’appartenait plus à sa famil
eur fait valoir alors les prérogatives singulières dont jouissent les filles de spectacle, qui, n’étant plus sujettes à la cor
: ailleurs le plus souvent. Ils agissent donc en conséquence. « Notre fille sera ballerine ! » décident-ils, comme ils auraie
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
nous si générale, que des artisans même en font l’éducation de leurs filles . J’ignore, Monsieur, comment les filles d’artisan
en font l’éducation de leurs filles. J’ignore, Monsieur, comment les filles d’artisans sont élevées dans votre quartier ; mai
le mien, qui passe pour le plus beau de Paris, je connois très-peu de filles et même de garçons qui sachent lire la musique, l
j’avois fait une chanson pour la fête d’un père de famille qui a cinq filles très-aimables, et dont l’éducation a été soignée 
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
t, Et de tous côtés refleurissent, Sachant l’arrivée en ces Lieux Des FILLES du Premier des DIEUX, Comme d’Elles ils croient n
me semblent plus charmantes. Avec elles sautent, de plus, Les Neuf FILLES de PIERUS, Aussi dessous d’autres Visages, Non mo
s’y trouvent au large69. N’est aussi qu’un feint Changement, Et ces FILLES , je vous le jure, Se retrouvent en leur nature.
15 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
traits de ressemblance avec celles dont parle le saint docteur ? Les filles ne s’y exposent-elles pas, comme il s’en plaignoi
vangile selon saint Mathieu, (c. 14, v. 6.) où il est rapporté que la fille d’Hérodiade dansa devant le roi Hérode, qu’elle l
ces mots : (hom. 48, en S. Matth. tom. 7, pag. 436.) « C’est dans la fille d’Hérodiade un double crime, et d’avoir dansé et
’hui ne causent pas la mort de saint Jean-Baptiste, comme celle de la fille d’Hérodiade la causa ; mais elles en causent une
opetunt ii qui nunc tripudiant, sed animas simul recumbentium. Si la fille d’Hérodiade ne se trouve pas aux danses d’aujourd
i ? » Il en fait une autre sur ce qu’Hérodiade produisit elle-même sa fille pour la faire danser au milieu d’une assemblée d’
qu’est-ce, dit-il, en effet, (ibid. c. 6, n.° 27, pag. 181), « que la fille d’une femme adultère pouvoit apprendre d’elle, si
is ? Quid enim ibì verecundiœ potest esse ubì saltatur ?  » Voilà une fille qui danse, ajoute S. Ambroise, mais c’est la fill
tur ?  » Voilà une fille qui danse, ajoute S. Ambroise, mais c’est la fille d’une adultère : (ibid. n.° 31) Saltat sed adult
ion d’avertir les mères chastes et chrétiennes, « d’apprendre à leurs filles , non à danser, mais tout ce qui appartient à la R
u suivie ! Combien voit-on de mères qui se glorifient de ce que leurs filles ont bonne grâce en dansant, et qui n’ont pas hont
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
e de Thessalie, époux de Médée. Créon , Roi de Corinthe. Créuse , fille de Créon. Les deux enfans de Médée. Gouvernante
les fêtes les plus brillantes, afin de procurer plus d’occasions à sa fille de le séduire par ses charmes, aux quels Jason n’
es réflexions J il veut abdiquer la couronne, il veut unir Jason à sa fille  ; il veut que ce Prince, en se séparant de Médée,
accourent à sa voix ; elle leur commande de servir sa fureur, et ces filles de l’enfer lui présentent le feu, le fer et le po
prête à son tour le serment usité. Créon, après avoir uni Jason à sa fille , le couronne de sa propre main, et le conduit au
17 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
: on en sait quelque chose chez Fournaise à Chatou. Mère d’une grande fille qui travaille la comédie, au Conservatoire, et do
à l’orchestre ; le fils y tient un second ou un troisième violon ; la fille y danse, — depuis douze ans, — avec beaucoup de l
sent pas davantage. La mère travaille à la manufacture des tabacs. La fille en profite pour priser les messieurs à tabatière
vé la maman Sacré à la dignité de grande maîtresse de sa maison et la fille à celle de demoiselle de compagnie. De ce jour, l
userait une faute : ni beauté, ni attraction, ni diable au corps. Une fille qui fait de la vertu dans le vide. Pamélar Ir
esdemoiselles Leppich Ire, IIe & IIIe Elles me rappellent la fille d’un brave vigneron d’Argenteuil, devant lequel o
tête, c’est que, quand les jeunes filles vont aux vignes… — Et votre fille , lui demandai-je, elle n’a pas encore vendangé ?
Une crue inquiétante. On redoute un débordement. A mesure que la fille enfle, la mère maigrit. Un bilboquet en deux pers
Gaîté. Avec talent, avec succès. La famille habite Bois-Colombes. La fille est avenante et tranquille. Elle tient de maman p
e, Vaugotte, Régnier, etc., etc. J’imagine que toutes ces petites filles ont dû sortir de pages, — c’est-à-dire de la clas
ait d’une si amusante façon dans le Père de la Débutante : — C’est ma fille , monsieur ! Et il n’est pas une de ces braves dam
à quinze ans — ont, en effet, l’air fatigué et renseigné des grandes filles . Vous chercheriez en vain chez elles la naïveté d
18 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
Il est fou ! La fiancée se répète tout bas : « Il est amoureux d’une fille invisible ! » Elle pleure, et pourtant elle l’aim
u, elle a vu le triomphe d’Effie et le mariage qui s’apprête ; pauvre fille de l’air, à peine si ses deux ailes battent d’une
ent de très près à la vie réelle ; le héros appartient également à la fille de la terre et à la fille des nuages. Une affreus
réelle ; le héros appartient également à la fille de la terre et à la fille des nuages. Une affreuse sorcière aux longs cheve
dépasse pas les limites convenues. — Laissez-vous conduire, suivez la fille de l’air dans ses demeures que couvre un vert feu
s, un talisman de mort, — une écharpe rose à faire envie à toutes les filles de la terre. Que sait-on ? c’est peut-être bien u
t été pénétré par tes regards ! »Ainsi parle le poète, ainsi danse la fille de l’air ! La fête est grande dans la forêt encha
lète ne l’a mieux mérité dans aucun art. Mademoiselle Taglioni est la fille éclatante de la Norwége ; mais c’est Paris qui l’
is qu’elle a composé ses plus beaux drames : La Révolte au Sérail, la Fille du Danube, la Belle au bois dormant, la Sylphide,
19 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
nce de son mari, alors en Allemagne, madame Taglioni fut présenter sa fille au professeur Coulon, celui-ci, après avoir consi
x ! gémissait-il. On lésine sur les sorcières. On désire donc tuer ma fille  ! Il faut des vols, beaucoup de vols ! Un vol de
au sérail — dont j’ai déjà parlé à propos de Pauline Duvernay — et la Fille du Danube : d’assez pauvres ballets, somme toute,
Taglioni était féroce ! Périssent touets les directions pourvu que sa fille fit recette ! … Ce fut – sans aucun doute – à l’
tous les théâtres. — Danses hongroises. — La grande sœur. — Sa chère fille  ! — Accusation de matérialisme. — Riposte de Théo
tion de matérialisme. — Riposte de Théophile Gautier. — Bataille à la Fille du Danube. — Disgrâce du chef de claque Auguste. 
Les marquis se seraient battus jusques au jour ; Inexplicable Sphinx, fille de vingt contrées, C’est toi que Barre a faite en
tesse virile, Thérèse Elssler s’effaçait héroïquement devant sa chère fille , — c’est ainsi qu’elle appelait sa cadette — et m
moi, je resterai garçon. L’excellente créature se trompait : Sa chère fille se maria à un riche banquier… Et ce fut elle — Th
par sa sœur, — et reprit plusieurs rôles de Taglioni : la Muette, la Fille du Danube, la Sylphide. Jugez si les partisans de
les danses primitives. » Il n’y en eut pas moins, à la reprise de la Fille du Danube, tumulte, émeute, bataille à coups de p
tier. — La Péri. — Le pas du Songe. — Le pas de l’Abeille. — La Jolie Fille de Gand. — Autres créations et autres succès. — D
as écrasée par la comparaison et plus tard par le souvenir. Danse, ma fille  ; Taglioni ne vole plus que d’une aile, et Fanny
ésentation de son œuvre. Giselle, c’est Carlotta Grisi, une charmante fille aux yeux bleus, au sourire fin et naïf, à la déma
fait. » Plus tard, le grand coloriste ajoutait, à propos de la Jolie Fille de Gand, — juillet 1842, — de MM. de Saint-George
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 13 février 1667 »
, BENSÉRADE, que, sans abus, On peut dire notre PHÉBUS. 76. Petite Fille de Madame.
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 24 août : « agréable ballet » de la Foire Saint-Laurent — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 août 1663 »
1663 […] Trois Enfants, de même famille, Deux fils, une fort jeune Fille , Y donnent un plaisir de Roi, Par de charmantes m
22 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
ctifiées : nous n’étions que des lorettes, ils ont fait de nous des «  filles de marbre » ; nous ne voulions être que des « bic
ue des « biches », ils nous ont métamorphosées en baronnes d’Ange, et filles de marbre et baronnes d’Ange sont apparues aux ye
os mots pour des bêtises, des canons rayés contre une armée de jolies filles sans défense — c’est presque déloyal. X Au
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
t dit cela, Car je ne la vis pas bien là. Montauzier, digne et rare Fille , En qui la vertu toujours brille, L’esprit, la pr
, Brancas, dont l’angélique face L’éclat des plus beaux lys efface, Fille qu’on aime, avec raison, Et d’illustre et bonne M
Ayant des mérites assez, Pour attacher les mieux sensés. Dardennes, Fille ravissante, D’humeur belle et divertissante, Et q
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
que sous un habit champêtre et des toits rustiques, elles se croient filles de Lycénion ; que cette même Lycénion qui les a é
te même Lycénion qui les a élevées, ignore elle-même que ces aimables filles sont des immortelles ; qu’elles ne reconnoissent
ans malice, sans méchanceté, comme si elles étoient ses sœurs, et ces filles charmantes qui réunissent ce qu’ont de divin, la
est servi un repas champêtre et frugal, attendent le retour de leurs filles  ; ils expriment leur crainte et leur tendre inqui
l’Amour et recule d’effroi ; elle frémit sur le danger qui menace ses filles et leur fait de ce dieu la peinture la plus terri
nouveau prodige, un nuage léger cache, pendant quelques, instants les filles de Lycénion ; insensiblement il se dissipe, et l’
yeux, et si par hazard elle les lève, ce n’est que pour regarder les filles de Lycénion et pour se dire qu’elles seules mérit
la colline ; le beau Daphnis paroît couronné de roses ; il aborde les filles de Lycénion, et leur dit que leur beauté méritero
25 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
un excellent ouvrage qu’il a fait, sur la manière de bien élever une fille chrétienne, au titre des danses, après avoir rapp
unesse une école où il y avoit cinq cents personnes, tant garçons que filles , qui apprenoient à danser. On voit ici que la sai
26 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
Opéras. Grâce à elle, je comprenais ce que veulent faire ces pauvres filles quand elles lèvent la jambe, le pied, ou tendent
outes les scènes de l’Europe ! Elles veulent imiter les tanagras, les filles d’opéra qui mettent leurs bras en cerceau au-dess
mment couraient, comment portaient les guirlandes et les amphores les filles de l’Hellade, et c’est cela, avec mille autres gr
e elles étaient vêtues d’étoffes claires et voltigeantes, les petites filles me firent exactement l’effet de petits anges ; je
27 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
ue les autres, s’avança et me dit : — Que désirez-vous de lui, petite fille  ? Mon Dieu, me faudrait-il à nouveau parler devan
nez me voir ; peut-être pourrai-je vous trouver un engagement, petite fille  ! Ce fut encore une nouvelle joie, une joie pas v
it dans mes oreilles. Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite fille de l’Ouest viendrait un jour à Paris, y monterait
dt se trouverait dans la salle à son tour pour applaudir cette petite fille de l’Ouest, comme la petite fille de l’Ouest vena
on tour pour applaudir cette petite fille de l’Ouest, comme la petite fille de l’Ouest venait de l’applaudir aujourd’hui ?… *
n vint me dire que Sarah Bernhardt était dans une loge avec sa petite fille . Rêvais-je ? Mon idole était là. Et pour moi ! Et
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
avis, Fut jouée avec excellence Devant cette noble Éminence. Ces deux Filles qui par leurs voix Ont charmé la Cour tant de foi
29 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
du nom de père et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils et des filles pour le siècle présent, on les laisse, par une mo
aujourd’hui de mères qui non-seulement laissent tranquillement leurs filles aller aux bale et aux danses, mais trouvent même
uanges ; et lorsque ne l’ayant pas vu, elles entendent dire que leurs filles se sont distinguées, par ce dangereux talent, dan
d’eux ne tombent dans l’hérésie ; de peur que sa femme, son fils, sa fille , son serviteur ou son esclave, qui a été acheté c
rdinairement une des parties les plus essentielles de l’éducation des filles , et l’on y consacre sans peine beaucoup de temps
à faire que leurs enfans croissent comme de jeunes plantes, que leurs filles soient parées comme un temple magnifique, que leu
30 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
s résumer l’histoire. La quatrième, également appelée Marie, était la fille de Paul Taglioni, maître de ballet du roi de Prus
arie Taglioni, la rénovatrice du ballet sous Louis-Philippe, était la fille d’un Milanais, le maître de ballet Philippe Tagli
é, de l’élévation surtout, du ballon ; mais il ne permettait pas à sa fille un geste, une attitude qui manquât de décence et
che montre quels étaient à la fois son amour-propre et sa rigueur. Sa fille , déjà célèbre, était allée donner quelques représ
s’écria-t-il, que moi, son père, je n’ai jamais entendu le pas de ma fille  ; le jour où cela arriverait, je la maudirais68. 
o ; mais le ballet, composé tout exprès par Philippe Taglioni pour sa fille , était une suite d’exercices destinés à faire val
elle plut à la cour autant qu’à la foule. Le roi Max la citait à ses filles comme un modèle de grâce et de bonne tenue. Cepen
écembre 1833, elle créa le principal rôle de la Révolte au Sérail. La Fille du Danube, composée pour elle par son père et mis
emberg choisissait pour amie et que le roi de Bavière proposait à ses filles comme un modèle de grâce et de bonne tenue était
étersbourg et de Potsdam. Le roi de Prusse n’avait jamais conduit ses filles au ballet des Bayadères, qui avait la réputation
is, 1833-1834. 77. Guillaume Tell. 78. Robert le Diable. 79. La Fille du Danube. 80. Le Dieu et la Bayadère. 81. Le
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
r le Monarque. 1. Mesdemoiselles Mollier et Giraud[t] 2. mères et filles . 3. Les Sieurs Cabout,Mollier, 4. Des Airs, De
32 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
haque ALTESSE La digne et brave Atournaresse. 122. Gouvernante des Filles d’Honneur de Madame.
33 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
eberle qui fit une si brillante carrière, Angioletta Mayer, les trois filles de l’illustre comédienne Sophie Schrœder, dont la
t en affection et lui servit de témoin, lorsqu’il épousa, en 1766, la fille d’un quincaillier, Eva-Maria Kœstler. Haydn servi
ne, Thérèse Prinster, surnommée la belle Thérèse, « ’s schœne Resl », fille d’un plâtrier et d’une marchande de farine. Le pl
sa patrie adoptive ; il y mourut en 1872. Un troisième enfant fut une fille , Anna, qui parut, peu de temps d’ailleurs, en qua
hérèse Prinster se mêlèrent et s’épanouirent dans la personne de leur fille , avec, en plus, un cachet de distinction qui étai
maniait avec dextérité son aiguille de brodeuse ; elle transmit à sa fille son goût pour cette occupation fine et propre ent
lle Elssler ce détail du fils aîné qui se fait moine, alors que trois filles montent sur les planches. Cela ne signifie pas qu
voici la raison : Thérèse Prinster était morte en 1832, avant que sa fille fût devenue la danseuse universellement applaudie
e. La belle créature ! Déesse de la Victoire, Amazone, Minerve, Muse, fille de roi, elle représente au naturel tout ce que l’
orf. Trois mois après son arrivée à Londres, elle donna le jour à une fille qui fut appelée Thérèse. Deux philanthropes, les
34 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
rs ne retentissaient que de gémissements. Chaque Citoyen pleurait une fille , une sœur, une amante. On entend alors une jeune
héniens, accourez tous : venez, écoutez-moi. Je viens vous rendre ces filles chéries que vous pleurez. Elles vivent. Vous les
35 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
nse de haut style, on y tolérait d’étranges audaces. Augusta Maywood, fille d’un directeur de cirque américain, rappelait un
dans les Maîtres Chanteurs, dans Parsifal, et que les évolutions des Filles du Rhin sont des figures de ballet. Songeons ains
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
blancheur, Tant elle plaît, tant elle brille, Plutôt un Ange, qu’une Fille . De Pons, qui peut, avec raison, Se vanter de b
ue tout le monde estime fort. Outre ces seize Nobles Dames, Aucunes Filles , d’autres Femmes, L’aimable et charmante Sully, A
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
Blâmant un Oracle felon, Qui, plus cruel que Ganelon, Veut que cette Fille adorée, Par un Serpent, soit dévorée : Lequel Arr
ortalisant Psiché, Après avoir, un peu, prêché Vénus, sa trop colère fille , De sa Machine qui fort brille : Et ce Dieu là, c
38 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
e, si on me le demandait. L’ami , bas à l’habitué. Quelle drôle de fille  ! L’habitué. N’est-ce pas ? j’en suis fou. Al
ruction ? L’ami. Je suis négociant. Alice. Fais pas attention, ma fille , monsieur ne connaît pas le Casino-Cadet, et il c
lle qui a l’air d’une femme chic, c’est Rosalba-Cancan, une charmante fille qui danse ledit cancan comme personne : excepté M
39 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
les, à un emprisonnement de six mois et au bannissement perpétuel. Sa fille , selon les uns, avait reçu des leçons de mademois
épondit d’une voix émue : — Hé ! messieurs, vous imaginez-vous qu’une fille honnête et de qualité ose se produire sur la scèn
t pointes à l’espagnole… Nous voilà bien loin de la précaution d’une fille honnête et de qualité ! Gruer était un personnage
Le comte du Bourget la quitta avec toute l’honnêteté qu’on doit à une fille qu’on estime. Que fait ma danseuse ? Elle passe d
oiselle Le Duc, dont l’éclat importun offusquait les yeux de quelques filles du même ordre, on examinait les avantages et les
aux envieuses de mademoiselle Le Duc, leur dit : — « Eh ! mes pauvres filles , vous n’entendez rien à votre bonheur ; au métier
vants ; enfin le troisième, véritable priapée où étaient invitées les filles les plus séduisantes, les plus lascives et où la
rment, les Mémoires du temps le rendez-vous ordinaire des plus jolies filles de Paris et des plus aimables libertins. Il y ava
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
e Danse les garçons faisaient doubles ou triples tous les pas que les filles faisaient simples dans le même temps. C’était là
ues-uns reprenaient la coutume que Lycurgue avait introduite, que les filles , à certains jours de Fête, allassent par la Ville
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
prudence, d’honnêteté, D’esprit, de grâce et de beauté. Des-Autels, Fille de la Reine, Fort aimable, mais inhumaine, Qui ti
ang, Et qui vient d’un fort noble Sang. Ces Belles, tant Femmes que Filles , Représentaient quinze Familles Toutes pleines d’
42 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
trait mystérieux qui le précipite vers l’inconnu. C’est cependant une fille du Midi, une enfant de Cadix, Fanny Cérito, qui,
se marier ; c’est un jeune pêcheur qui épouse Giannina, la plus jolie fille de la côte, charmante enfant qui reçoit les félic
lle mère Térésa, il est sombre, préoccupé, distrait : la vision de la fille des eaux le harcèle et le poursuit. Quel peut êtr
tre de la cabane en s’entrouvrant donne passage à l’Ondine. La légère fille des eaux circule, pareille à ces demoiselles ailé
reine Hydrola. Cette dernière, mère de l’Ondine amoureuse, donne à sa fille tous les conseils de la prudence, et lui dit que
t languit. Mais la souveraine des eaux souffrira-t-elle que sa propre fille périsse ainsi, et que la tombe d’une mortelle con
43 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
qu’avait imaginé Hoffmann. Examinons les sujets de la Sylphide, de la Fille du Danube, de Giselle. Nous verrons toute la cont
itres de Taglioni à la gloire théâtrale, ceux de la Sylphide et de la Fille du Danube, non seulement Gautier ne crie point au
vivacité espagnole de Fanny tempérée par sa naïveté allemande. « Les filles de Milet, les belles Ioniennes, dont il est tant
’est ainsi que la reprise du vétuste ballet pastoral de Dauberval, La fille mal gardée, lui sert quinze ans après le premier
texte à une nouvelle apothéose. Le sourire rustique de Lise, la bonne fille en jupon court, filant le lin ou battant le beurr
t de pathétique, propres à Carlotta qu’il exalte à propos de La jolie fille de Gand, œuvre de Saint-Georges et Adam, cauchema
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
de passer le temps À baller en l’honneur des Muses, Qui ne sont plus Filles camuses Depuis que notre grand Vainqueur A pris l
45 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
rchande à la toilette à qui j’ai beaucoup acheté et beaucoup dù. — Ma fille , me disait-elle en prenant sa prise, souviens-toi
exemple, ma rivale directe. Tout le monde connaît Finette, charmante fille dont les yeux sont grands, les cheveux longs et l
ppeler : les beautés de la veille. XIV La baronne est une bonne fille  ; bohême par instinct, elle aime la liberté et le
46 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
e les mains d’un garçon du Cadran-Bleu, pour payer du champagne à des filles  !… La belle Clotilde Mafleuroy était une des rein
laine noirs, dont les défauts avaient été corrigés en fil blanc ; la fille de Danaüs laissait entrevoir aux coulisses la for
Revenons à Guillaume le Flâneur : « Mademoiselle Marinette est une fille d’esprit. Quand on a pu jouir un moment de sa con
me la danse ; il veut, dans son ardeur, Ne prendre des leçons qu’à la fille des Grâces : Il sera doux, soumis, diligent, stud
ernay mère entreprend de le rassurer : — Je vais tout vous avouer. Ma fille danse ce soir à côté de Lise Noblet ; or, celle-c
Il y a là cent mille francs, murmura le vieillard. Mais l’insouciante fille , s’esclaffant de rire et repoussant du pied la fa
père Dumilâtre, — qui avait été tragédien, — venait, les soirs où ses filles jouaient, s’asseoir au parterre de l’Opéra. Puis,
vous devez pourtant bien les connaître, père Dumilâtre : ce sont vos filles  ! Mademoiselle Louise Fitz-james On lit d
les deux derniers vers : Mais se peut-il qu’un rat si maigre Soit la fille d’un chat si rond ? La chatte de cechat si rond,
assise à l’orchestre. Qu’on juge de son épouvante en voyant brûler sa fille  ! Toutes les danseuses, qui se trouvaient en scèn
47 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
ensuite employée à l’utilité publique, ne mérite de la consideration. Fille de l’Harmonie, elle est de tout tems entrée pour
48 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
omptent bien hériter du domaine, quand il sera mort du cœur. Ces deux filles de ferme ont l’insolence tranquille des paysans q
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
s’ouvrit. L’Europe vêtue en Reine en sortit la première suivie de ses filles , la France, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, et
Loire, le Guadalquivir, le Rhin, le Tibre et l’Achéloos. Chacune des filles de l’Europe avait trois Pages caractérisés par le
50 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
stament, qui est le livre de la Genèse, on sait ce qui arriva à Dina, fille de Jacob et de Lia, âgée alors d’environ quinze o
ent, elle fut très-occupée de sa figure, se comparant à cet égard aux filles du pays que la curiosité lui fit considérer, et q
onfus et sans aucun objet particulier. Dieu qui vouloit apprendre aux filles de tous les siècles combien un tel désir est mauv
51 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
X L’escadron volant de la rue Lepeletier. Évocation. — Les quatre filles Aymon : Schlosser, Poussin, Maupérin et Mercier. 
ne ou de la Farandole, — les yeux encore pleins des minois des jolies filles qui s’y trémoussent, il me sembla qu’au lieu du b
r, Poussin, Maupérin et Mercier, que l’on avait surnommées les Quatre filles Aymon, sans doute parce qu’il devait leur être be
52 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
us bas les deux Noblet, après quoi l’armée tout entière de ces belles filles sans nom, mais non pas sans charmes. » Loin de s
n et Morcy, un autre jour on lui découvrait une maîtresse, une pauvre fille , borgne et contrefaite, Nina Lassave. Mille détai
dans ses jambes une charmante enfant. « A qui donc cette jolie petite fille  ? » Mlle Taglioni lui répondit en riant : « C’est
elles. « La musique aussi de ce ballet était par rapport à Nina ou la Fille mal gardée ce qu’est une kermesse de paysans par
trois belles. Le brillant cavalier, découvrant en Paquita une simple fille du peuple, la dédaigne, quoiqu’elle l’aime de tou
mier coup avec la Sylphide se maintint lorsque Marie Taglioni créa la Fille du Danube, œuvre de son père et d’Adolphe Adam. L
insaisissable, fuyant entre les mains comme les vagues, ses sœurs. La fille des eaux, Fleur-des-Champs, sortie d’une touffe d
e surnaturel. L’année 1836, qui vit se produire le Diable boiteux, la Fille du Danube, et reparaître la Sylphide, marqua l’ap
série de vingt-six représentations au nombre desquelles il y avait la Fille mal gardée, le Carnaval de Venise, le Dieu et la
« qu’il y avait dans la salle, des mères, des femmes, des sœurs, des filles  ». Mais bientôt le faux point d’honneur et les ti
53 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
mence par uneSérénade que Don Juan donne à Donna Elvire sa Maîtresse, fille du Commandeur. Il obtient l’entrée dans la maison
54 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
omblait de contentement ! Et par l’admirable La Barre, Sur qui peu de Filles ont barre, Soit pour enchanter, en l’oyant, Ou po
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
nt Saint-Simon, Cévigny, De mérite presque infini, La Vallière, autre Fille illustre, Digne un jour d’avoir un Balustre, Et l
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
ge. Et SÉVIGNY, bref, est le Nom De cette Beauté de Renom. 88. Les Filles d’honneur. 89. Monsieur le Duc. 90. Le Comte d’
57 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
s, chez Madame la Présidente ***, qui donnoit un bal au mariage de sa fille . Quatre jeunes Seigneurs de la Cour, après avoir
la Reine de Navarre, qui disent qu’elle avoit ménagé l’entrevûe de sa fille Reine d’Espagne & femme de Philippe II. &
pussent voir d’un coup d’œil toute l’assemblée pendant le repas. Les filles d’honneur des Reines vêtues très également, parti
t façons. Leurs pas, leur course inégale Représentant le Dédale De la fille de Minos : Jeux que sur l’airain docile Des armes
façons ; Leurs pas, leur course inégale Représentent le Dédale De la fille de Minos :1 Jeux que sur l’airain docile Des arm
58 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
orce aux jeunes personnes de l’autre sexe. Quant aux jeunes femmes et filles , ajoutent-ils, ce que la parole de Dieu leur ordo
nt baissé. Y a-t-il apparence que cette pudeur puisse permettre à une fille au milieu d’une compagnie, de lever ainsi le fron
t, mais pour les autres qui sont spectateurs ; que si le regard d’une fille qui dansoit a produit un si grand effet sur le cœ
tre de regarder avec plaisir de nombreuses assemblées de femmes et de filles qui dansent, et espérer de n’en recevoir aucun do
se doivent justifier à raison de tels profits, ce seroit celle de la fille d’Hérodias, laquelle pour une seule danse gagna l
59 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
t crasseux, s’était fait une sorte de cache-nez du maigre châle de sa fille à laquelle il avait donné son propre vêtement pou
ien, messieurs, dit le père en saisissant le bouquet qu’il remit à sa fille . » Et, parlant avec un accent italien exagéré : «
arlant avec un accent italien exagéré : « Nous sommes étrangers et ma fille ne parle pas assez le français pour vous répondre
e mouvement brusque que fit le vieux Fiori pour prendre le bras de sa fille , il fit tomber une des fleurs du bouquet de camél
s la matinée. J’ignore si une grande tendresse unissait le père et la fille , et si Mlle Fiori est une personne extraordinaire
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
tes solennelles : la Danse en fit toujours une partie principale. Les Filles de Silo dansaient dans les champs, suivant l’anci
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
celui de Médée et ses fureurs : sa retraite en Perse ; l’histoire des filles d’Érechthée, et tout ce qu’elles ont fait et souf
sera frappé en voyant le tyran de Samos, et les folles erreurs de sa fille , etc. Il verra en Italie les bords féconds de l’É
62 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
le premier est celui d’un jeune Officier Anglais, qui ayant séduit la fille d’un Cacique, et en ayant eu plusieurs enfans, co
e x. Dans ce moment Zirca et Fatmé qui ont suivi avec Amazili leur fille les pas de Zoraïm leur fils, paroîssent inopinéme
63 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
t ou l’on remit en scène pour elle le Diable boiteux, la Sylphide, la Fille mal gardée, Barbe-Bleue et la Tarentule, spectacl
dernières créations, Esmeralda, Le Rêve du peintre, Giselle, la Jolie fille de Gand. Le poème lui fut présenté sur une feuill
llent Perrot dont elle dansait les œuvres, Esmeralda, Catherine ou la Fille du Bandit et Faust. Le reste de son répertoire co
le Rêve du peintre, Giselle, Vénus et Adonis, la Tarentule, la Jolie fille de Gand, la Révolte au sérail et la Sylphide 147.
de sur une jeune artiste qui jouait à côté d’elle, Louise Neumann, la fille de la célèbre Amalie Haizinger, la future comtess
de sa carrière et ses voyages incessants lui avaient fait négliger sa fille qui avait maintenant dix-huit ans. Elle voulait d
lssler indifférente fut l’érection, en 1874, d’une statue à Haydn. La fille de Jean-Florian Elssler s’empressa de s’associer
ines dans ses déplacements. Fanny habitait, comme à Hambourg, avec sa fille que Betty Paoli appelle une personne « intelligen
e l’armée autrichienne, le baron de Webenau. De ce mariage naquit une fille , Fanny, que les intimes nommaient l’« Enkeline »
e des environs de Munich, M. de Le-Plée. De ce mariage sont nées deux filles . 156. Ludwig Hevesi, Wiener Totentanz, Stuttgart
64 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
ur, en voyage avec ses parents, Gab, qui était alors une toute petite fille , voulut avoir un âne qui trottait le long de la v
pour cela, non ! Elle est tout au monde sauf cela. C’est une drôle de fille qui semble ne penser à rien d’autre qu’à son trav
grimpent dessus comme une bande de gamins. Tout cela pour une petite fille , qui ne semble pas se douter qu’elle a du succès.
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
is XIII, avec l’Infante d’Espagne, et du Roi Philippe avec la seconde Fille de France. Le nombre des Mascarades et des Ballet
. 95. Journal d’Henri III. 96. Henri III courait le Bal en habit de Fille . Il donna un festin entre autres à sa Mère, où le
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
Sujet du ballet. Renaud, Comte de Ponthieu, a promis Adèle sa fille à Alphonse, chevalier étranger. Raymond de Mayenn
ur les chevaliers l’engagement le plus saint, Renaud s’approche de sa fille , pour lui ordonner de confirmer le don qu’il vien
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
ges. Pyrrhus , fils d’Achille, Genéral des Grecs. Polixène , fille de Priam. Priam , Roi des Troyens. L’ombre d’
es et des instrumens consacrés à la guerre. Scène II. Polixène, fille de Priam, qui avoit tenté d’échapper à un esclava
68 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
alachova, qui tenta de ressusciter, avec des moyens de fortune, cette Fille mal gardée, créée par Dauberval, et qui s’apparen
69 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
mer de longtemps50. » Soucieux de n’exhiber dans les ballets que des filles jolies et bien faites, Véron procédait avec beauc
e légendaire à cause de sa maigreur. Toutes les qualités de la pauvre fille furent impuissantes à contrebalancer cette disgrâ
veut, dans le plus impur) esprit du dix-huitième siècle. C’était une fille bien gardée, dit Véron, qui ne cache pas ses faib
Un jour Mme Duvernay dit majestueusement à Véron : « Le talent de ma fille n’a besoin de la protection de personne. » Le dir
n ami ne trouva d’autre moyen de la sauver que de l’épouser. Ainsi la fille de Mme Duvernay devint, en justes noces, Mme Lyne
70 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
onnent de cent sous à deux francs cinquante par jour, que ces petites filles peuvent grignoter à leur ordinaire des truffes so
s même pâle et chancelante, — elle l’interpellait brusquement : — Ma fille , de quoi as-tu besoin ? Est-ce d’un conseil ou d’
71 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
Il devint amoureux de mademoiselle Nanine Dorival, élève comme lui et fille de l’ouvreuse de la loge du comte d’Artois. La fi
mère d’une danseuse entre un soir, en sanglotant, dans la loge de sa fille , au moment où celle-ci achève de se maquiller : —
iller : — Oh ! mon Dieu ! mon enfant, ton pauvre père est mort !… La fille tamponne ses yeux avec son mouchoir… Et, étouffan
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
est si générale, que des artisans mêmes en font l’éducation de leurs filles , et l’on ne seroit pas embarrassé de trouver, à P
73 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
emnestre, usurpateur secret du trône de Mycènes. Electre, Iphise, } filles d’Agamemnon et de Clytemnestre. Cassandre, fille
lectre, Iphise, } filles d’Agamemnon et de Clytemnestre. Cassandre, fille de Priam, captive d’Agamemnon. Oreste, fils d’Ag
fans. Ce Prince est dans son char ; Cassandre, .Princesse Troyenne et fille de Priam est placée à sa gauche ; le peuple de My
n qu’il tranchera tout à la fois les jours de son époux et ceux de la fille de Priam. Elle veut armer les mains d’Egisthe du
ule d’indignation ; vole et l’arrache d’une situation ; qui avilit la fille d’Agamemnon, en disant au Tyran que c’est à lui à
74 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
passer une colombe dans la plaine ; cette colombe, c’est Giselle, la fille de Berthe, une honnête et douce et charmante créa
! » À ces sages remontrances maternelles, Giselle répond ce que toute fille répond à sa mère qui lui rappelle que l’heure est
là, La mère Berthe sort avec force révérences, tenant par la main sa fille , toute honteuse de paraître ainsi à l’improviste
mère Berthe, et la tradition des wilis. J’ai bien peur que la pauvre fille ne dorme pas tranquille dans son lit de gazon. Mo
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
y avais-je encore jamais pensé ? Deux de mes amies, Mme Hoffman et sa fille , Mme Hossack, venaient de temps en temps voir où
onnait. Mme Hoffman m’offrit de venir demeurer auprès d’elle et de sa fille , ce que j’acceptai avec reconnaissance, sans savo
e, qui faisait un bien mince paquet, et je partis pour le théâtre. La fille de Mme Hoffman m’accompagnait. Nous primes par l’
76 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
vi Des belles choses que je vis. 41. Mademoiselle de Fiennes, 42. Fille d’Honneur de Madame. 43. M. le Duc. 44. Mademoi
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
ela le plaisir. Pendant sa Régence, elle mena le Roi à Bayonne, où sa Fille Reine d’Espagne, vint la joindre avec le Duc d’Al
t cachés par les Arbres se firent entendre, dès que le Roi parut. Les Filles d’honneur des deux Reines, vêtues élégamment part
78 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
’autel, il apperçoit le fatal couteau prêt à trancher les jours de sa fille chérie, il court et vole pour l’arrêter. L’expres
débauches à celles de ces bas farceurs, les dames Romaines, et leurs filles joüoient avec eux les scènes les plus indécentes,
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
ous pouvez vous imaginer les sentiments de ma mère lorsqu’elle vit sa fille apparaître dans un tel négligé. Voilà comment j’a
80 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
1867. Le papa Mauri était danseur lui-même. Il adorait son art et sa fille . Aussi, malgré une assez vive opposition de sa fe
, les fonds étaient bas. C’était la dernière martingale. Il emmena sa fille à Milan. L’éducation touchait à sa fin : les écon
s besognes. Dans ce ménage à trois naquirent trois enfants, dont deux filles . Une de moins que chez M. et madame Cardinal. Non
81 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
les, une qu’il donne aux souliers qu’il a créés, l’autre allouée à sa fille qu’il forme. S’il y a dans le mobilier paterne
e de joie, et prie le fils ou le neveu du propriétaire de conduire sa fille au spectacle. Le père va se cacher au parterre, i
oulevart extérieur ; à son retour, on lui dit : Votre épouse et votre fille ne sont pas là haut. — Quand rentreront-elles ? —
Dans quoi ? — Dans mon lit. — Il n’y en a plus, votre épouse et votre fille ont déménagé et le mobilier est parti avec elles.
s humains, voilà ce qui a motivé la translation des meubles. Quand ma fille sera sultane, se dit la maman, je réinstallerai l
à se généraliser. Il y a deux mille Lorettes à Paris qui disent être filles de colonels de la grande armée. Si elles ne révèl
seurs nomment l’alphabet) ; mais encore, économe du terrain comme une fille de laboureur qu’elle est, elle n’observe aucune d
qu’on écrivait cire par un c. Une Lorette mère disait en montrant sa fille  : Voilà ma plus belle ouvrage. Un Arthur lui dit
r contre la sibylle… Enfin un quaker la prit en pitié et lui dit : Ma fille , tu as fait une boulette ; quand on s’aventure da
82 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
e vraie scène a deux ans et demi Alors que j’étais une toute petite fille , le président du Chicago Progressive Lyceum, où m
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
taches sanguinolentes disparurent insensiblement ; l’espérance, cette fille consolatrice du ciel, reparut sur la terre et rep
84 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
t d’instrumens différens, qu’ils avoient de diverses danses ; que les filles dansoient au son des instrumens les plus doux ; q
hantoient & dansoient une chanson qu’elles nommoient Calycé : une fille de ce nom étant devenue amoureuse d’un jeune homm
décrite, s’ouvrit, l’Europe en sortit vêtue en Reine avec cinq de ses filles , la France, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie &
hanter auprès du Globe, ils en firent sortir la Reine d’Asie avec ses filles , la Syrie, la Palestine, la Mésopotamie, la Caldé
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
ée de Marie Taglioni dans la Sylphide. — Deux principes opposés. — La Fille du Danube. — Les sœurs Elssler à Bordeaux. — Reto
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
et d’annoncer aux habitans de cette ville désolée le retour de leurs filles chéries, et leur déclarer qu’il est leur libérate
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
t l’aide à enfanter des fleurs et des fruits ; de même la paix, cette fille du ciel, rallumera les feux presqu’éteints de l’i
88 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
s plus excellentes pièces sont siffilées. Les fêtes, en général, sont filles du génie et de la paix. Ce sont les arts réunis,
89 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
rez, car il sort des Enfants-Trouvés. Il a été adopté par une vieille fille qui, n’ayant point de fortune à lui laisser, a eu
90 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
quoit à la danse qu’on appelle Hormus, qui étoit un branle composé de filles & de garçons, où le garçon menoit la danse av
ns, où le garçon menoit la danse avec une contenance fiere, & les filles le suivoient avec des pas plus doux & plus mo
t la force & la tempérance. Ils avoient encore une autre danse de filles qui se faisoit nuds pieds, pour ne pas dire toute
91 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
té, mesdemoiselles Anna, Henriette et Mélanie. Anna est une charmante fille qui joue ce qu’on appelle aux Délassements les « 
92 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14
age de la nature. Convenez donc avec moi, Monsieur, que la symmétrie, fille de l’Art, sera toujours bannie de la Danse en act
93 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
ne & en Portugal, toutes les veilles des Fêtes de la Vierge ; les filles s’assemblent le soir devant les portes des Eglise
t vétus de blanc ; il y avoit autour du cerceuil deux rangs de quinze filles qui dansoient, & une autre troupe de jeunes g
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
re le désespoir. Elle évoque la haine, la fureur et la vengeance. Ces filles de l’enfer accourent et obéissent à sa voix. Armi
95 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
de gloire, que celui qui présidoit aux jeux Olimpiques, lui donna sa fille en mariage, comme un prix digne de son tableau, &
l’ombre de la lumiere, & dont l’invention en est attribuée à une fille qui traça contre la muraille avec un charbon, les
ux, dit que Débutades Potier de terre à Corinthe, étoit pere de cette fille , & qu’il fit un modele de la figure que sa fi
it pere de cette fille, & qu’il fit un modele de la figure que sa fille avoit tracée. Quintilien, Livre X. dit que les pr
96 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
ène, augmente tout à la fois l’action et l’intérêt : sollicité par sa fille , il cède à ses prières ; sa tendresse paternelle
le public a daigné avoir pour Agamemnon ; je désire ardemment que sa fille Iphigénie soit vue avec la même bonté, et reçoive
97 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
it des plus appétissants. L’ambassadeur d’Angleterre, sa femme et sa fille arrivèrent les premiers. Il y eut un rassemblemen
98 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
groupés sans grace, privés de toute harmonie, et de cette expression, fille du sentiment, qui seule peut embellir l’art, en l
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
de ses exploits » ce qui prouve que cet empereur a joué le role de la fille d’Oedipe. Comme ces masques en général grossissoi
100 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
e, Roi de Thessalie dont Phère étoit la Capital avoit épousé Alceste, fille de Pélias ; il jouissoit paisiblement des douceur
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